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Vainqueur à Bourg-en-Bresse, Paris remporte l’Eurocup !
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Quelques semaines après son premier sacre à la Leaders Cup, le Paris Basketball est champion d’Europe ! Invaincu depuis le 27 janvier, le club de la capitale, né en 2018, a obtenu à Ékinox sa 19e victoire d’affilée dans un environnement bien plus hostile que trois jours plus tôt à l’Adidas Arena lors du match 1. Bousculés en première mi-temps (46-43), les hommes de Tuomas Iisalo ont renversé la situation en deuxième mi-temps dans le sillage de leur MVP de la saison régulière, T.J. Shorts (22 points, 6 rebonds, 5 passes, 28 d'éval en 30 minutes), et notamment d’un Nadir Hifi (14 points) étincelant dans le moneytime.\n\nLe Paris Basketball est le 6e club français à remporter une Coupe d’Europe après Limoges (1982, 83, 88, 93 et 2000), Orthez (1984), Nancy (2002), Nanterre (2015 et 17) et Monaco (2021). C’est le sacre de la régularité, après une saison régulière admirable (17-1) et un parcours parfait en playoffs, y compris en finale malgré la réaction burgienne du match 2. Pour la Jeu, le rêve s’arrête sur l'avant-dernière marche après des émotions qu’elle n’avait jamais connu auparavant.\n\nParis succède à Gran Canaria au palmarès de l’Eurocup et obtient son invitation pour la saison 2024-2025 en Euroleague. David Kahn n’a pas encore levé le voile sur une participation. “Je ne sais pas si on est prêts et si on irait car j'ignore quel serait le deal en cas de qualification”, disait le patron parisien avant la finale. Mais tout porte à croire que le club de la capitale voudra intégrer le gotha européen la saison prochaine. Ce qui ferait trois équipes françaises en C1 (avec Monaco et l’ASVEL).\n\nFRISSONS 🔥@ParisBasketball x @EuroCup #SKWEEKLive pic.twitter.com/fizVZ3bW7s\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 12, 2024\n\n\n\nDuel sur le terrain et en tribunes\n\nSoutenus par leur désormais traditionnel kop de Parisii, et sa petite centaine de supporters, les hommes de Tuomas Iisalo ont vite compris que ce ne serait pas la même histoire qu’à l’Adidas Arena pour le match 2, ce vendredi 12 avril. Les 3 500 âmes d’Ekinox, vêtues de blanc, avaient commencé à porter leurs héros bien avant l’entre-deux. D’entrée de jeu, les Burgiens ressentaient aussitôt une énergie folle à l’image des deux contres de Zaccharie Risacher et Kevin Kokila dès les deux premières actions.\n\nDerrière ça, la rencontre partait sur des bases offensives bien plus élevées qu’au match 1, notamment côté bressan, avec une adresse extérieure de dingue pour débuter (6/10 à 3-points) et surtout aucune perte de balle au premier quart-temps. Portée par Isiaha Mike et Jeremy Morgan, la Jeu prenait rapidement les devants et comptait déjà 7 points d’avance (16-9, 5e) à l’arrivée dans la salle de l’ancien Président de la République, François Hollande, accueilli avec des “Ici, ici, c’est Bourg-en-Bresse” !\n\nRAINING DAY IN EKINOX ☔️☔️☔️@JLBourgBasket x @EuroCup #SKWEEKLive pic.twitter.com/urfVggFqFd\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 12, 2024\n\n\nDevant l’ancien pensionnaire de l’Elysée, écharpe aux couleurs de la JL autour du cou, les Parisiens se mettaient en jambes dans le sillage de Nadir Hifi et de son MVP T.J. Shorts. Leur domination aux rebonds offensifs (7 à 0 à la pause) leur permettait de combler en partie le trou malgré l’adresse burgienne, notamment celle d’Axel Julien et de Maksim Salash en fin de quart-temps (26-22).\n\n🚨 LA JEU BOMBARDE DE PARTOUT 🚨@JLBourgBasket x @EuroCup #SKWEEKLive pic.twitter.com/rihPIv8HUG\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 12, 2024\n\n\n\nUn rythme fou !\n\nBourg-en-Bresse gardait les rênes grâce à son intensité défensive mais surtout la bonne entrée d’Hugo Benitez. Mais elle allait être limitée par les fautes, notamment Jeremy Morgan, contestataire et auteur d’une faute technique synonyme de quatrième faute (32-24, 13e). Un tournant puisque le Paris Basketball revenait dans la partie malgré les huées d’Ekinox contre l’arbitrage (32-29, 15e) et quelques erreurs inhabituelles, comme la faute antisportive de Mehdy Ngouama (38-33, 17e). Mais quel rythme !\n\nNADIR HIFI ⚡️ JUSTIN SIMON\n\nLa passe et la finition = 🍿\n\n🤝 @ParisBasketball pic.twitter.com/QQqWNtJ4Ta\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 12, 2024\n\n\nLe poster de Justin Simon ne calmait pas pour autant les ardeurs bressanes, notamment l’adresse exceptionnelle d’Isiaha Mike et Axel Julien (7/13 à 3-points à la pause) et même Bodian Massa mi-distance. Mais les coéquipiers d’un T.J. Shorts particulièrement efficace (13 points à 3/6 aux tirs et 7/7 aux lancers, 4 rebonds, 3 passes décisives, 19 d’éval à la pause) avaient également monté le curseur d’intensité en provoquant 7 pertes de balle au deuxième quart. Et il n’y avait logiquement plus qu’une possession d’écart à la pause (46-43).\n\n🏆 Les mots forts de Kessens au micro de @FredMazeas !@ParisBasketball x @EuroCup #SKWEEKLive pic.twitter.com/oLttXYU3eb\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 12, 2024\n\n\n\nNadir Hifi, facteur X !\n\nLe rythme était déjà extrême jusqu’ici mais l’intensité ne baissait pas au retour des vestiaires. Toujours dominants au rebond, les Parisiens bénéficiaient encore de nombreuses secondes chances qui leur permettaient de reprendre l’avantage pour la première fois depuis le tout début de match grâce à T.J. Shorts (48-51, 24e). Ekinox ne semblait pas abattu pour autant et exultait après le dunk rageur de Bodian Massa en contre-attaque (52-51, 25e), d’autant que Michael Kessens lâchait ensuite deux lancers-francs sous la pression !\n\nUn mot que ne connaît pas Nadir Hifi, auteur de deux tirs à 3-points qui remettaient le Paris Basketball en position de force (52-58, 26e) mais pas à l’abri puisque la Jeu recollait après un énorme dunk de Isiaha Mike et l’égalisation de JeQuan Lewis (63-63, 30e). Tout allait alors se jouer dans l’ultime quart-temps. Ce qui n’était pas pour déplaire aux patrons de l’Euroleague, Dejan Bodiroga et Paulius Motiejunas, présents dans la salle.\n\nSOLIIIIDE AXEL JULIEN 💪@JLBourgBasket x @EuroCup #SKWEEKLive pic.twitter.com/aFuce96xpi\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 12, 2024\n\n\nLes hommes de Freddy Fauthoux repassaient un temps devant en début de quatrième quart-temps grâce à Maksim Salash (66-64, 32e). Mais, toujours dominateurs aux rebonds, les Parisiens allaient finalement laisser passer l’orage en infligeant un 11-1 fatal, grâce en partie à l’adresse du duo Ward-Jantunen, qui allait donner un uppercut à Ekinox (67-75, 34e) !\n\n+8 PARIS 🏹@ParisBasketball x @EuroCup #SKWEEKLive pic.twitter.com/u7x4VGRJMK\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 12, 2024\n\n\nA terre, la JL Bourg voulait encore croire en sa bonne étoile. Le public bressan était debout et poussait derrière ses joueurs. Axel Julien donnait toute la rage qu’on lui connait (71-76, 36e), l’ancien de Bonn Jeremy Morgan et Bryce Brown aussi (76-80, 38e) mais Paris enchaînait ensuite les défenses... capitales. Et Nadir Hifi jouait les superstars en portant le coup fatal en inscrivant un tir à trois-points fantastique à moins de deux minutes du terme (76-83, 39e). Ekinox ne s’en relèvera pas. Jamais Paris n’avait battu Bourg dans sa salle. C’est une première qui arrive à point nommé !\n\nC’EST DE LA FOLIE 🥹🥹🥹🥹🥹🥹 pic.twitter.com/TyGl5dTQRw\n\n— Paris Basketball (@ParisBasketball) April 12, 2024\n\n\nÀ Bourg-en-Bresse.\n\nBoxscore Bourg - Paris (match 2)\n\nNadir Hifi (Paris) après le sacre d’Eurocup : «Sans Eric Girard, je ne serais pas là»Quelques semaines après la Leaders Cup, Nadir Hifi a remporté l’Eurocup avec le Paris Basketball. Un deuxième titre pour l’ancien prodige du Portel, qui n’oublie pas d’où il vient, et un amuse-bouche avant de découvrir l’Euroleague. Réaction à chaud.BasketEurope.comClément CartonLes regrets de la JL Bourg, battus en finale de l’Eurocup : « On a joué un match sur deux »Battus ce vendredi soir par le Paris Basketball en finale de l’Eurocup, les Bressans sortent avec des regrets mais la tête haute. Réactions du coach de la JL Bourg, Frédéric Fauthoux, et de ses joueurs, Axel Julien et Hugo Benitez.BasketEurope.comClément Carton
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Vidéo : Le long résumé de Villeneuve d'Ascq-Prague
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Les regrets de la JL Bourg, battus en finale de l'Eurocup : « On a joué un match sur deux »
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Hugo Benitez, meneur de Bourg-en-Bresse, battu par Paris en finale de l‘Eurocup : \On a fait ce qu'il fallait, on a respecté ce que le coach voulait. On a su rebondir par rapport à notre match 1 à Paris qui n'était pas digne d'une finale. Mais on a joué un match sur deux dans cette finale, et ils ont gagné. On a mis la bonne intensité en première période, après on a eu des moments de relâchements et eux des gros tirs. On n'a pas réussi à revenir à la fin.\n\nÇa laisse un goût amer sur la fin de ce match, mais au vu du premier, la logique est respectée. On a des regrets de ne pas jouer ça sur un match sec à Paris, mais si on n'avait perdu d'un point à Paris, ça aurait été la même chose. J'espérais qu'on prenne conscience de ce qu'il fallait faire pour les battre. On a fait un bon match, mais ça n'a pas suffi aujourd'hui. »\n\nAxel Julien, meneur de la JL Bourg : “On n'a pas été dans les mêmes conditions qu’eux l’ont été chez eux. C’est une belle équipe, il faut être bien meilleurs qu'eux pour gagner. On a fait les choses bien, on l'a vu en première mi-temps où on est devant tout le long. Mais ils sont revenus petit-à-petit, on n'a pas trouvé les solutions derrière. Ils méritent leur victoire. Il nous a manqué un petit peu. On n'a rien à reprocher au public, on adore !\\n\nFrédéric Fauthoux, coach de Bourg-en-Bresse : « Je ressens d’abord énormément de fierté par rapport à tout ce que le groupe a donné cette saison en Eurocup. C’est une autre chose de gagner une finale. Chacun l’analysera à sa façon. Ce soir, nous avons fait le match qu’il fallait pour espérer l’emporter. Les gars ont eu du caractère, ils ont été fiers, ils ont été jusqu’au bout. Ce n’était pas du tout la même prestation que le match 1. On a perdu, on est forcément déçus.\n\nOn aura des regrets sur le match 1, c’est certain. Avec un autre match, ils se seraient peut-être posés des questions sur leur style de jeu. Leur confiance n’a pas été ébranlée. Paris mérite sa victoire, ils n’ont perdu qu’un match durant toute la compétition, ils sont en confiance. Ils méritent leur victoire car ils ont fait une belle compétition. La finale, c’est autre chose... Il va falloir se reposer et repartir de l’avant car il nous reste une dernière compétition, la plus belle à mes yeux : le championnat de France. »\n\nPropos recueillis à Bourg-en-Bresse.\n\nNadir Hifi (Paris) après le sacre d’Eurocup : «Sans Eric Girard, je ne serais pas là»Quelques semaines après la Leaders Cup, Nadir Hifi a remporté l’Eurocup avec le Paris Basketball. Un deuxième titre pour l’ancien prodige du Portel, qui n’oublie pas d’où il vient, et un amuse-bouche avant de découvrir l’Euroleague. Réaction à chaud.BasketEurope.comClément Carton
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Vidéo : Le long résumé de Bourg-Paris
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ASVEL : Une victoire de prestige face au Barça
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Joffrey Lauvergne a marqué 20 points, Youssoupha Fall a cumulé 15 points et 8 rebonds et Paris Lee 10 points et 8 passes décisives. Privé de WillyHernangómez et NicoLaprovittola, le Barça a eu comme meilleur marqueur Rokas Jokubaitis avec seulement 12 points.\n\nL'ASVEL a mené 27-18, mais Barcelone est revenu avec un run de 2-10 pour se rapprocher à un point et c'est lui qui menait 38-42 à la pause. Les deux équipes se sont ensuite longtemps tenues par la main (57-57, 60-60). Joffrey Lauvergne et Paris Lee sur trois lancers-francs ont donné la victoire aux Français.\n\nLes Blaugrana savaient déjà dès le troisième quart-temps quel'Olympiakosallait être leur adversaire en quarts de finale, la seule inconnue qu'il leur restait à résoudre ce soir-là.
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Euroleague : Monaco-Fenerbahçe en quart-de-finale
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Voici le classement de la saison régulière :\n\nLes playin (barrages) vont opposer le Maccabi à Baskonia et Anadolu Efes à la Virtus Bologneet se joueront mardi. Le vainqueur deMaccabi - Baskoniasera opposé en playoffs aux Panathinaikos. Le perdant jouera vendredi contre le vainqueur deEfes - Virtus. Le vainqueur accédera aux Playoffs.\n\nLes quarts-de-finale en 5 manches se joueront du 23 avril au 8 mai. Le Final Four se tiendra à Berlin les 24 et 26 mai.
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Pro B : Poitiers assure son maintien
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Les chiffres sont éloquents. 31 à 46 à la mi-temps et puis 23-8 dans le troisième quart-temps et encore 26-15 dans le dernier. C'est ce que l'on appelle montrer deux visages différents dans le même match.\n\nEn première mi-temps, les Poitevins ont perdu 11 balles et n'ont pas fait mieux que 37% de réussite dans les tirs.\n\n«On a perdu des ballons de manière incompréhensible. Mais, quand tu joues en marchant, tu t’exposes à cela», a commenté le coach Andy Thornton-Jones, rapporte La Nouvelle République. Et ? «On a changé de stratégie en défense. Nous avons été ciblés par Antibes sur des choses que l’on a eu du mal à contrôler. J’ai aussi demandé aux gars de se lâcher, d’avoir un peu moins peur.Nos réajustements tactiques sur leur jeu de pick and roll ont payé. On a aussi été les chercher beaucoup plus haut. Cela nous a mis dans un autre rythme.A priori, nos choix ont bien fonctionné. J’ai bien aimé l’impact de mes deux pivots, Facey(9 rebonds)et Jeanne(7 rebonds). Cela a été une clé du match.»\n\nIvan Ramljak (11 points, 6 passes, 5 rebonds), Luka Rupnik (13 points, 5 passes, 3 interceptions), Kentan Facey (10 points, 9 rebonds) et Jonathan Jeanne (13 points, 7 rebonds, 3 passes) sont ceux qui ont principalement façonné la victoire du PB86. Lequel avec 16 victoires -et une 7e place porteuse d'espoirs- est définitivement maintenu en Pro B. Pas mal pour un promu qui avait débuté sa saison avec 5 défaites de rang.\n\nITW Jonathan Jeanne (Poitiers) : “Il y a quelques années, je n’aurais même pas pu imaginer que cela soit possible”Prospect français attendu en NBA à l’été 2017, Jonathan Jeanne a vu sa carrière menacée après la détection d’une maladie génétique très rare. Le début d’une longue reconstruction pour le pivot de 26 ans, qui nous raconte les nombreuses étapes de son sinueux parcours jusqu’à Poitiers, où il renait.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n
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Euroleague féminine : Rachid Méziane (Villeneuve d'Ascq) élu Coach de l'Année !
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C'est une année exceptionnelle que vit Rachid Méziane, qui a commencé par un titre de champion d'Europe avec la Belgique, et qui s'est poursuivie avec Villeneuve d'Ascq : premier de la saison régulière de Ligue Féminine, qualification pour la finale de l'Euroleague -en attendant mieux ?-, et trophée de Meilleur Coach de LFB quelques heures avant de recevoir celui de Meilleur Coach d'Euroleague.\n\nRachid Meziane devance au référendum Carlos Cantero Morales de Casademont Zaragoza et Peter Volgyi de DVTK HUN-Therm.\n\n\n\nEmma Meesseman (1,93 m, 30 ans) a réalisé une nouvelle saison remarquable avec Fenerbahçe : 17,7 points, un pourcentage de réussite de 57,4 % , 5,9 rebonds et 4,7 passes décisives, ce qui a contribué à une évaluation de 23,9.\n\n\C'est toujours spécial (de gagner un trophée MVP) mais les gens qui me connaissent savent tous que ce n'est pas mon objectif\, a t-elle déclaré.\n\nA noter qu'il faut attendre le second Cinq pour voir apparaître deux joueuses de l'ESBVA, Kennedy Burke et Janelle Salaün en compagnie de Valériane Ayayi.\n\nPremière équipe féminine de l'EuroLeague\n\nMarina Mabrey (Cukurova Basketbol Mersin)\nKayla McBride (Fenerbahce Alagoz Holding)\nLeonie Fiebich (Casademont Zaragoza)\nEmma Meesseman (Fenerbahce Alagoz Holding)\nEzi Magbegor (ZVVZ USK Prague)\n\nDeuxième équipe féminine All-EuroLeague\n\nYvonne Anderson (Fenerbahce Alagoz Holding)\nKennedy Burke (Villeneuve d'Ascq LM)\nValériane Ayayi (ZVVZ USK Praha)\nJanelle Salaün (Villeneuve d'Ascq LM)\nElizabeth Williams (Cukurova Basketbol Mersin)\n\nJoueuse défensive de l'année : Yvonne Anderson (Fenerbahce Alagoz Holding)\n\nJeune joueur de l'année : Sika Kone (Perfumerias Avenida)\n\n\nEntraîneur de l'année : Rachid Meziane (Villeneuve d'Ascq LM)\n\nMeilleure Play de la saison : Destiny Slocum (Serco UNI Gyor)\n\n\nPrix d'excellence du club: Casademont Zaragoza\n\nRachid Meziane (Villeneuve d’Ascq) : « Personne ne nous attendait là, au Final Four »Qualifié pour le Final Four de l’Euroleague, Rachid Meziane, le coach de Villeneuve d’Ascq croit en les chances de son équipe du 12 au 14 avril prochain. Les Guerrières feront face à Prague et Valériane Ayayi en demi-finale... à domicile ?BasketEurope.comLa rédaction
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Fin d'aventure entre Frank Mason et le SLUC Nancy
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Le SLUC Nancy ne pourra pas compter sur Frank Mason III pour partir à la conquête des playoffs de Betclic Elite. Le club et le joueur ont \convenu de mettre un terme à leur relation contractuelle\ qui portait pourtant jusqu'à la fin de la saison 2023-24.\n\nFrank Mason n'avait plus foulé le parquet depuis le 10 mars dernier en championnat, se plaignant d'une blessure à la main. Ne voulant plus jouer, la relation entre les deux camps s'était alors tendue. Actuellement, Nancy est 10e au classement avant d'affronter Le Mans à domicile ce samedi à 18h30. Une occasion de se rapprocher un peu plus encore du Top 8 mais surtout de se rassurer après la perte du meneur All-Star cette saison.\n\nEn quasiment un an et demie dans le club lorrain, l'ancien NBAer laissera un goût amer, ou du moins d'inachevé. Après un premier exercice compliqué, il faisait enfin briller le collectif du SLUC en début de campagne 23-24, et affichait une jolie marque statistique à 15,5 points et 5,2 passes décisives.\n\nLe Club tient à remercier Frank pour son apport à l’équipe au titre de la saison passée et de cette saison et lui souhaite la meilleure des continuations dans la suite de sa carrière.#GoSLUC pic.twitter.com/rIqqX4jD2X\n\n— SLUC Nancy Basket (@SLUCbasketNancy) April 13, 2024\n
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Equipe de France : Nike dévoile le maillot des Jeux Olympiques de Paris
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À quatre mois des Jeux Olympiques de Paris, l'on connait les parures des équipes de France de basket pour le grand événement sportif de l'année 2024.\n\n🏀. Les tenues Nike pour le basket à #Paris2024 !!pic.twitter.com/WLsGWB65SE\n\n— MR.CARTER (@NelsonCarterJr) April 11, 2024\n\n\nEquipé par la marque Jordan, filiale de Nike, le Team France ne dispose donc pas du logo à la virgule sur ses maillots mais celui de His Airness à la différence des autres nations équipées par Nike et qui ont également découvert leur tunique lors de l'événement organisé par le géant américain le vendredi 12 avril à Paris.\n\nJeux Olympiques : Décryptage des adversaires des Bleus dans le Groupe BL’équipe de France a hérité de l’Allemagne, championne du monde en titre, du Japon et du vainqueur du TQO de Riga (Lettonie) dans le groupe B aux JO de Paris 2024. Décryptage avec le sélectionneur Vincent Collet et son general manager Boris Diaw... et réactions de ses futurs adversaires.BasketEurope.comClément CartonJeux Olympiques : Décryptage des adversaires des Bleues dans le Groupe BL’équipe de France a été placée dans le groupe B avec l’Australie, le Canada et le Nigéria aux JO de Paris 2024. Décryptage des adversaires avec la general manager Céline Dumerc et le sélectionneur Jean-Aimé Toupane.BasketEurope.comClément Carton
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Šarūnas Jasikevičius, coach du Fenerbahçe : \Monaco, une très bonne équipe avec de la continuité\
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Depuis vendredi soir, l'opposant de Monaco (3e) pour son quart-de-finale de l'Euroleague est connu. Ce sera le club turc du Fenerbahçe (6e) des leaders Nigel Hayes-Davis et Scottie Wilbekin et du coach Šarūnas Jasikevičius. Ce dernier a justement fait part de ses premières impressions sur l'affiche après être tombé de peu dans le Stade de la Paix et de l'Amitié du Pirée face à l'Olympiacos (84-81).\n\nDans un affrontement au meilleur des cinq matches, l'entraîneur lituanien s'attend à retrouver \une des meilleures équipes\ de l'Euroleague, \qui possède beaucoup de continuité, avec le même coach et une grande partie des mêmes joueurs\ et qui \est exactement là où elle voulait être\. Des caractéristiques que Šarūnas Jasikevičius \veut retrouver à l'avenir\ au Fener.\n\nArrivé à la mi-décembre dans le club stambouliote, en remplacement de Dimitris Itoudis, Šarūnas Jasikevičius a connu sa première victoire en Euroleague de la saison dès son premier match face à... Monaco (86-74). La Roca Team avait su prendre sa revanche en février à domicile dans un nouveau duel serré (76-69). À 1 victoire partout en saison régulière, l'avantage du terrain en faveur des Monégasques sera ainsi crucial lors de cette confrontation inédite des playoffs d'Euroleague. Inédite, pas vraiment pour Jasikevičius et Monaco, puisque la Roca Team avait remporté la \petite finale\ du Final Four 2023 face à son Barcelone.\n\nAu micro d'Eurohoops, la grande menace américaine du Fener Nigel Hayes-Davis a lui aussi été questionné sur son prochain adversaire. Réponse : \Nous devons restés concentrer sur nous-mêmes. Nous avons perdu trois derniers matches d'Euroleague mais c'est 0-0 maintenant. Tout commence avec nous, les douze gars du groupe et les cinq qui sont sur le terrain. Nous devons nous préoccuper de cela dans le vestiaire pour nous assurer que nous jouons notre meilleur basket\.
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Rachid Méziane (Villeneuve d'Ascq) : \À quarante minutes de pouvoir graver notre nom éternellement dans le paysage mondial\
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Partagés entre les émotions d'une qualification historique en finale de l'Euroleague et l'envie de bien finir le travail ce dimanche (18h), Rachid Méziane et les joueuses de l'ESBVA étaient euphoriques après leur succès sur Prague (84-78). Mais à quelques heures d'une dernière bataille face à l'ogre Fenerbahçe, il a fallu rapidement garder la tête froide. Savourer, prendre conscience de ce qui a déjà été réalisé, et surtout de ce qui est à la portée de Villeneuve-d'Ascq : un sacre sur la plus grande scène européenne.\n\n\Nous sommesfières de porter un tel maillot, a présenté à L'Equipe Kamiah Smalls après la victoire contre Prague. Les gens ne pensaient peut-être pas qu’on en rêvait, mais je peux vous garantir que nous, cette finale, on en rêvait. Dès le début de la saison. On vit pour ce genre de rendez-vous. Et pour les gagner.\\n\nElu coach de l'année 2023-2024 en Euroleague féminine, Rachid Méziane est le grand artisan d'une équipe de Guerrières qui n'a jamais aussi bien portée son surnom, aussi spectaculaire qu'efficace pour terminer le job. Face au Fenerbahçe, l'entraîneur retrouvera en finale une autre lauréate de la saison d'Euroleague : la MVP - en back-to-back - Emma Meesseman, qu'il connaît très bien pour la coacher en sélection belge.\n\n\Le Fenerbahçeest favori mais mes filles l'ont montré: on peut surprendre tout le monde. J'ai des joueuses qui savent élever leur niveau de jeu et ça fait la différence. C'est un honneur d'être le premier club français en finale depuis vingt ans. C'est un honneur pour le club, la ville, le pays. La Ligue féminine mérite un représentant au Final Four chaque année.\nOn est à quarante minutes de pouvoir graver notre nom éternellement dans le paysage mondial, ajoutait-il dansLa Voix du Nord.\\n\nPortrait - Janelle Salaün, l’éloge de la déterminationPerfectionniste, inflexible et déterminée, Janelle Salaün est devenue, à force de travail, une incontournable du basket français. Avant son premier Final Four d’Euroleague, où elle défiera Fenerbahçe ce dimanche (18h) en finale avec Villeneuve d’Ascq, ses proches racontent son ascension.BasketEurope.comClément Carton
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Qui est Yoann Cabioc’h, le prochain coach de l’ASVEL ?
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L’ASVEL justifie ce choix comme “celui de la continuité”. Alors même que la saison régulière de Ligue Féminine n’était pas terminée, le club lyonnais annonçait, le 9 avril dernier, la nomination de Yoann Cabioc’h comme coach principal à compter de la saison prochaine. Recommandé par Pierre Vincent qui souhaitait l’avoir dans son staff, le Breton était arrivé à Lyon à l’été 2022 avec à la clé un contrat de quatre ans pour s’aligner, initialement jusqu’en 2026, avec celui de l’ancien coach des Bleues.\n\nFinalement, il aura vécu deux saisons diamétralement opposées comme assistant de David Gautier. La première couronnée de succès avec le doublé Eurocup - Ligue Féminine et une finale de Coupe de France, la deuxième, pas encore terminée, balayée par une cascade de blessures et une fallacieuse sixième place de saison régulière synonyme d’affrontement contre Basket Landes en quarts de finale des playoffs (match aller ce jeudi 18 avril à 19h). À 35 ans, et après treize saisons de coaching dans les divisions inférieures en parallèle de la WNBA, Yoann Cabioc’h s’apprête ainsi à prendre les rênes d’une locomotive du basket français dès sa première expérience comme numéro un au sein de l’élite du basket français. Son baptême du feu.\n\n“Le timing est le bon pour lui comme pour le club, confiait la présidente déléguée Marie-Sophie Obama lors de l’officialisation. Il a cette soif de découvrir le coaching de haut-niveau, de mettre en application une vision qu’il nous a exposée et qui nous séduit vraiment. Nous avons reçu et étudié des candidatures plus expérimentées (NDLR : Miguel Mendez, Victor Lapena et Fred Dusart notamment) mais nous avons jugé que ça n’était pas le bon moment et ce dont nous avions besoin. Il nous faut de l’audace, de l’envie... Yoann a ce profil et travaille beaucoup à perfectionner ce qu’il déploie. Son expérience en WNBA, sa maîtrise du réseau du basket américain et ses connaissances vont nous ouvrir des perspectives pour des recrutements malins et audacieux à l’avenir”. Mais alors, qui est vraiment Yoann Cabioc’h ? Nous l’avons rencontré à Mado-Bonnet avant sa (future) promotion.\n\n\nParti tout en bas de l’échelle\n\nComme son nom l’indique, Yoann Cabioc’h est un vrai Breton. Sa grande aventure basket a débuté, comme beaucoup, dans sa région d’origine, à l’AS Pleumeleuc Bedée, club créé par ses parents. C’est à peine majeur que le natif de Rennes s’est tourné vers le coaching, après le bac. “J’ai pris conscience que je voulais devenir coach à 18 ans. Ça a été un déclic dans ma tête. Ça n'a même pas été ‘je veux devenir coach’, c’était ‘je suis coach’”, nous livre le futur technicien de l’ASVEL. “Quand j’ai dit à mes parents que je voulais être coach professionnel, ils m’ont dit que ce n’était pas un métier. Alors je suis parti en fac d’éco pendant un an, ça ne m’a pas plu, puis en fac de sport, ça ne m’a pas plu non plus. Et j’ai passé mon brevet d’état en trois mois. C’est là que ça a vraiment commencé.”\n\nIl est parti tout en bas de l’échelle, avec une équipe de baby basket. Sa passion a fait le reste. À l'époque, celui qui a arrêté de jouer à 24 ans, fan du Stade Rennais, évoluait en Pré-Nationale à Betton, dans le nord de Rennes, mais le club ne pouvait pas lui donner en parallèle d’équipe à coacher. Voilà ce qui l’a conduit en direction de Pacé, là où il habitait. “J’ai commencé par prendre les cadets 4 au plus bas niveau départemental”, sourit-il encore aujourd’hui. Son début d’ascension l’a rapidement amené vers les cadets France et la Pré-Nationale de l’Avenir de Rennes puis, à peine entré dans la vingtaine, vers les séniors de Pacé, alors en Régionale 2. S’en sont suivies cinq saisons pour deux montées et la découverte de la Nationale 3.\n\nQuand en 2014 son actuel patron, Tony Parker, de sept ans son aîné, avait déjà dans son armoire un trophée de champion d’Europe avec les Bleus et ses quatres titres NBA, Yoann Cabioc’h découvrait le quatrième échelon national féminin à Trégueux. Il parvenait à faire monter son équipe lors de sa deuxième saison au club, de la NF2 à la NF1. Pourtant, l’entraîneur au nouveau statut prit une trajectoire surprenante à l’été 2016 : celle de ne pas coacher Trégueux l’année suivante en troisième division, préférant repartir à l’échelon inférieur avec Le Poinçonnet, en NF2. “A l’époque, on me disait ‘tu es fou de refuser de coacher en NF1’ ! Mais je ne pouvais pas choisir mon effectif et le côté humain était très important. J’avais confiance en moi et je savais que ce n’était pas grand-chose par rapport à mon futur, donc je ne voyais pas ça comme un retour en arrière”, se remémore l’intéressé. Un choix payant puisqu’il a permis à cette petite commune collée à Châteauroux de monter en troisième division dès sa première saison au club avant de s’y maintenir les deux suivantes.\n\nLe parcours de Yoann Cabioc’h : Pacé (2009-2014, R2-PNF-NF3), Trégueux (2014-2016, NF2, montée en NF1), Le Poinçonnet (2016-2019, NF2-NF1), La Glacerie-Cherbourg (2019-2022, NF1-LF2 puis descente en NF1), ASVEL (2022-assistant).\n\n\nUn rêve américain débuté au McDo\n\nC’est en 2019 que la trajectoire du désormais trentenaire breton a pris une nouvelle dimension. Boosté par ses dix premières années de coaching, il passe l’appel qui allait changer sa vie. Le Franco-Américain James Wade, mari de l'ex-internationale Edwige Lawson - elle-même originaire de Pacé et dont le premier entraîneur, à Pleumeleuc, bien avant ses débuts en pro avec Bourges en 1994, n’est autre que le père de Yoann Cabioc’h - vient d’être nommé coach principal du Chicago Sky. Les deux hommes ont noué une amitié depuis leur première rencontre quand le Breton avait 18 ans, alors qu’il arrondissait ses fins de mois au restaurant McDonald’s du coin. C’est alors que le natif de Memphis lui propose le grand saut en WNBA avec à la clé un poste de coordinateur vidéo au Chicago Sky.\n\n“Il recherchait un assistant-vidéo mais pas quelqu’un qui soit formé pour ça. Il voulait quelqu’un avec un regard de coach qui apprenne l’outil vidéo. Moi, j’étais disponible les étés. Il m’a donné trois mois pour apprendre SportsCode (logiciel d'édition vidéo) et c’est comme ça que l’aventure a démarré”, raconte l’intéressé. S’en suit une aventure exceptionnelle concrétisée par le titre WNBA en 2021, face au Phoenix Mercury en finale (3-1). Il devient alors le premier Français membre d’un staff à remporter le titre suprême aux Etats-Unis.\n\nDeux ans plus tard, en 2023, il obtient une promotion en devenant assistant-coach d’Emre Vatansever - notamment au côté de la légende belge Ann Wauters - après le départ de James Wade vers la NBA chez les Toronto Raptors. Cette expérience d'un an est pour l'instant classée sans suite en raison du changement de direction du Chicago Sky, et de son nouveau GM Jeff Pagliocca, qui a remplacé cette saison son coach et ses trois assistants pour la saison 2024. “J’ai déjà réalisé mes deux objectifs en WNBA : gagner un titre et devenir assistant. C’est sans regrets que je fais une pause cet été”, affirme ce papa de deux filles, qui a refusé l’offre d’une autre franchise pour profiter de sa famille et de congés bien mérités après cinq ans sans vacances, à enchaîner les saisons à rallonge. Et qui s’apprête donc à débuter une autre aventure énergivore à Lyon.\n\nQuelle est l’identité de jeu de Yoann Cabioc’h ?\n“Elle est basée sur une grosse intensité, d’abord défensive, à savoir de mettre la pression à l’adversaire et s’appuyer sur du jeu rapide, avec du jeu en première intention. J’aime quand mes joueuses attaquent fort dans les huit premières secondes. Derrière, j’aime les systèmes courts avec des principes de jeu qui permettent que le ballon ne s’arrête jamais. J’aime aussi beaucoup le rebond offensif. Il y a un avant et un après WNBA dans ma façon de coacher. À Chicago, j’ai appris que quand on travaille énormément, avec une grosse intensité, les joueuses peuvent réussir des choses qu’elles ne pensaient même pas être capables de faire. Il faut être en mesure de pousser les joueuses dans leurs retranchements, les amener au-delà d’un seuil de fatigue. Ça ne veut pas dire être un dictateur mais il faut les mettre face à leurs responsabilités en leur donnant confiance, leur faire prendre conscience qu’elles sont capables de choses exceptionnelles. Après, on ne s’en rend pas compte en France, même quand on regarde à la télé, mais aux Etats-Unis, ce qui frappe, c’est la vitesse du jeu. Ça va vraiment plus vite, vraiment beaucoup plus vite. La conséquence, c’est que ça te montre comment faire pour accélérer le jeu”. Au-delà de son identité, sa gestion du groupe repose sur la création d’un environnement “ultra positif”. Un management à l’américaine, en quelque sorte.\n\n\n5 ascensions, 1 relégation\n\nAu milieu de ses années WNBA, il avait également passé un cap sur la scène française en devenant coach de La Glacerie-Cherbourg en 2019. Il y a réalisé une première saison de NF1 convaincante avec une première place au classement à l’arrêt des compétitions au moment de la pandémie, synonyme de montée. Puis le club a tenté de survivre à la Ligue 2 “avec un effectif de NF1” malgré de nombreuses joueuses blessées, et fini par retomber au troisième niveau en 2022. Sa première descente après avoir toujours connu la montée, par cinq fois.\n\nUn autre coup de fil important de sa jeune carrière est survenu durant sa dernière saison dans le Cotentin. En décembre 2021, Pierre Vincent, alors dans la première de ses cinq années à l’ASVEL, l’appelle et lui propose de venir l’assister à compter de la saison suivante. Il signe à la fin de l’hiver avant que Lyon ne choisisse entre-temps de changer de cycle en misant sur David Gautier. Qu’importe : Yoann Cabioc’h débarque dans le Rhône dans le costume de numéro 2, avec succès dès sa première saison.\n\nÀ la rentrée prochaine, il deviendra le quatrième coach de l’ère Parker dans la capitale des Gaules après Valéry Demory, Pierre Vincent et David Gautier. Il sera l’homme d’un “nouveau cycle dans une trajectoire redéfinie” après la baisse de budget rendue publique par TP et les départs annoncés de Marine Johannès, Gabby Williams, Héléna Ciak ou encore Julie Allemand selon Le Progrès. “Ma grande fierté, c’est d’avoir démarré tout en bas et d’être arrivé au plus haut niveau, en WNBA et en France. Je suis allé chercher les choses. Ça donne une forme d’humilité, et je sais que j’en manquais au début. Ça m'a aussi aidé à avancer car je n’avais pas conscience des lacunes que j'avais au départ. Il faut être humble sur son évolution parce qu’on fait tous des erreurs mais c’est comme cela qu’on avance plus vite.”\n\nQui sait où s’arrêtera l’ascension fulgurante de ce destin à la “started from the bottom now we here”, comme disent les Américains. Début de réponse la saison prochaine from Mado-Bonnet and l’Astroballe.\n\n\nITW Yoann Cabioc’h : “Avec la structure de l’ASVEL, il y a moyen de faire des Final Four en Euroleague dans les années à venir”\n\nNous avions rencontré Yoann Cabioc’h à Mado-Bonnet le 28 mars dernier avant sa nomination comme futur coach de l’ASVEL à compter de la saison 2024-2025. Voici un extrait de notre interview avec l’assistant actuel de David Gautier :\n\nPas de playoffs en Euroleague, pas de finale de Coupe de France, pas d’avantage du terrain en playoffs de LFB : difficile de nier que c’est une saison décevante pour l’ASVEL...\n“Je dirais plus compliquée que décevante. Il faut attendre la fin de saison avant de qualifier la saison car, si on est champion de France, on ne sera vraiment pas déçus. Par contre, cette saison est très compliquée, oui, et même si on est champion de France, elle aura été compliquée jusqu’au bout, c’est sûr.\n\nAvec une multitude de joueuses blessées, des pigistes à intégrer pour les playoffs et le départ de Gabby Williams... Le gain du titre s’apparente tout de même à un parcours du combattant ?\nC’est sûr que ce sera difficile, évidemment. Mais quand on est coach ou assistant-coach, il n’y a pas d’entre-deux. Soit on y croit, on s’investit comme les autres et on exige que tout le monde dans l’équipe et dans le staff se donne à fond, soit on rend la licence. Quand je viens au boulot, je ne me dis jamais “bon, cette année on sera pas champion”. Je me dis toujours qu’on va trouver des solutions pour gagner le prochain match et pour être champion. On le sera ou on ne le sera pas, je n’en sais rien, mais en tout cas c’est un leitmotiv. Dans ma vie, j’ai eu beaucoup de chance de vivre des moments où les saisons ont bien fini (NDLR : cinq montées en division supérieure en 13 années de coach principal avant l’ASVEL et un titre de champion WNBA dans le staff du Sky). Je sais que le goût du titre, de la victoire, est tellement exceptionnel qu’on a envie d’y revenir à chaque fois et qu’on ne doit jamais abandonner.\n\nLes filles sont-elles soudées dans les épreuves ?\nOui, franchement, les filles sont vraiment soudées entre elles. Elles ont envie d’y arriver. Encore à l'entraînement hier (le 27 mars), c’était très intense. Maintenant, quand on joue avec 5 pros, ça complique le dossier, c’est sûr. Ce n’est pas simple.\n\n“Ce que les gens doivent comprendre, c’est qu’en aucun cas ces blessures sont dues à des défaillances du préparateur physique, des défaillances du kiné ou un surentraînement. Ces trois causes-là, il faut les éliminer”\n\nTony Parker dit qu’il n’a jamais vu ça en 25 ans de carrière. Aviez-vous déjà vécu une aussi grosse hécatombe de blessures ? Comment l’expliquer ?\nPersonnellement, j’avais déjà vécu une saison comme ça il y a deux ans à La Glacerie en LF2. Le nombre de pépins qui nous est arrivés... C'était incroyable. Peu importe. Comment je l’explique cette année ? Je pense que les calendriers internationaux compliquent la donne avec des joueuses qui enchaînent les fenêtres, la WNBA, les saisons à rallonge parce que quand tu fais la Coupe d'Europe, le championnat, la Coupe de France... Tout s’enchaîne et les temps de pause sont assez réduits pour beaucoup de nos joueuses. Aussi, on a des joueuses qui arrivent dans la deuxième voire troisième partie de leur carrière. Elles ont déjà tous ces matchs-là accumulés dans leur corps, donc ce n’est pas simple.\nMais ce que les gens doivent comprendre, c’est qu’en aucun cas ces blessures sont dues à des défaillances du préparateur physique, des défaillances du kiné ou un surentraînement. Ces trois causes-là, il faut les éliminer. Le staff médical est extrêmement compétent et investi. Sur la partie entraînement, on a des mesures, des données chiffrées. On fait très attention. D’ailleurs, on a eu relativement peu de blessures sur des entraînements. Prenons des exemples : la commotion de Marine (Johannès), qui prend un coup dans la tête, c’est pas de chance ; Julie (Allemand) qui saute pour contrer et qui se fait la cheville à sa 28e minute de jeu, ce qu’elle a largement dans les pattes, c’est surtout de la malchance.\n\nL’arrivée tardive de joueuses évoluant en WNBA a causé du tort à l’ASVEL, et d’autres clubs y compris en France...\nBien sûr. D’autant que les saisons se terminent plus tôt dans certains pays. C’est plus facile dans ces championnats-là de faire des joueuses de WNBA qui peuvent libérer des joueuses pour le training camp (NDLR : début fixé au 28 avril en 2024, premier match de saison régulière le 14 mai). En France, on termine plus tard. Donc toutes les joueuses qui veulent faire les camps d’entraînement, on ne peut pas les faire venir - sauf si elles sont dans leurs deux premières années, mais c’est à la marge. Ce n’est pas simple pour la France.\n\nSi vous étiez amené à ne pas disputer l’Euroleague la saison prochaine, serait-ce un manque, un coup d’arrêt dans le projet de l’ASVEL ?\nL’Euroleague, on l'a vécu cette année. On sait que ça se serait passé complètement différemment si l’on avait eu l’effectif au complet, on ne va pas se mentir. Saragosse, Valence, Sepsi là-bas... Il y a tellement de matches où l’on perd de peu. On n’est pas si loin que ça d’aller en quart de finale. Avec la structure de l’ASVEL, il y a très largement moyen d’aller en playoffs, de faire des Final Four dans les années à venir. Et ce n’est pas encore dit qu’on n’aura pas l’Euroleague la saison prochaine (NDLR : en cas de titre en Ligue Féminine).\nMais si l’on n’était pas en Euroleague, ce serait en aucun cas la fin d'un projet. Je ne le vois pas du tout comme ça. Bourges n’avait pas l’Euroleague par exemple cette année. Et personne ne dit qu'à Bourges, c’était la fin de quoi que ce soit. Bourges va peut-être retrouver l’Euroleague la saison prochaine, qui sait ? Tout ça, c’est le témoin d’un championnat de France LFB qui est très relevé, qui est vraiment très respecté en Europe et à juste titre. Il y a aussi Villeneuve d’Ascq, Basket Landes, Lattes-Montpellier, Tarbes qui a de très bons résultats cette année et il y a plein d’autres projets. C’est concurrentiel, il faut le comprendre.”\n\nÀ Lyon.\n\nPortrait - Janelle Salaün, l’éloge de la déterminationPerfectionniste, inflexible et déterminée, Janelle Salaün est devenue, à force de travail, une incontournable du basket français. Avant son premier Final Four d’Euroleague, où elle défiera Fenerbahçe ce dimanche (18h) en finale avec Villeneuve d’Ascq, ses proches racontent son ascension.BasketEurope.comClément Carton
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Eurocup - Paris célèbre son sacre à la maison : \ce n'est que le début\
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Rendez-vous pris à 18h, les supporters du Paris Basketball sont postés devant la Mairie du 18e - arrondissement parisien où se situe l'Adidas Arena - attendant l'arrivée de leurs héros. L'histoire a voulu que le premier apparu soit l'assistant coach Bienvenu Kindoki - on aurait pu le parier. Puis l'Amiral l'a suivi de près, avec en guise de chant d'accueil le terme \Légende\ scandé haut et fort par le Kop Parisii.\n\nAprès quelques minutes d'attente, l'instant est enfin venu pour les fans d'entrer dans le grand hall de la Mairie du 18e, dernière étape avant d'apercevoir toute l'équipe de Paris Basketball et son deuxième trophée remportée cette saison.\n\n📍À la Mairie du 18e, l’heure de la célébration à la maison pour le @ParisBasketball 🏆 pic.twitter.com/yuT6GdOczQ\n\n— Basket Europe (@basketeurope) April 13, 2024\n\n\nPour encore un peu patienter, le speaker chauffe à sa manière les supporters en rappelant le bilan exceptionnel du Paris Basketball lors de cette saison d'Eurocup : \97 points de moyenne marqués par rencontre. 19 points de moyenne d'écart par rencontre. 22 victoires en 23 matches, record historique de l'Eurocup.\ Aux alentours de 18h40, les stars se sont assez faites attendre. Le moment est propice pour elles de fendre la foule et apprécier les acclamations.\n\n🏆Le retour des Héros parisiens🏆\n\nAu milieu de la joie des supporters, le temps des remerciements des joueurs et du staff.\n\n💬 Nadir Hifi : «L’amour que vous nous donnez, je n’ai pas les mots. L’aventure continue !» pic.twitter.com/LFTpU9IsXr\n\n— Basket Europe (@basketeurope) April 13, 2024\n\n\nGrimpant un à un les escaliers de la Mairie du 18e, Tuomas Iisalo et ses hommes ont pris de la hauteur pour démarrer la célébration. Lors de celle-ci, un enchaînement de discours des joueurs et du staff, rythmés par les différents chants des supporters. Le premier a ouvert la \voix\ est Michael Kessens - accompagné d'une fatigue palpable dès ses premiers mots : \On a un peu trop fait la fête hier. C’était un travail aboutie qui a commencé en août. Tout le club nous a mis dans les meilleures situations possibles pour ramener cette coupe à Paris.\\n\nL'ancien de la maison Gauthier Denis a pris le relais, avec un peu plus de facilité : \Merci à ceux qui sont là depuis le début du projet en 2018, merci à ceux qui arrivent jour après jour. La saison n’est pas encore finie donc on compte sur vous pour les prochains matches.\ Court mais efficace, à l'image de ses entrées en jeu. Le duo magique du Paris Basketball TJ Shorts et Nadir Hifi sont aussi allés de leurs remerciements, avec une belle pointe d'émotion pour le second : \L’amour que vous nous donnez toute l’année, je n'ai pas les mots. Vous êtes très important pour nous. On vous a vu quand vous avez mis du boucan à Bourg, ils étaient impressionnés. L’aventure continue.\\n\nLe président américain David Kahn est aussi allé de sa formule pour marquer les esprits, avec son habituel ton posé mais toujours très réfléchi : \À chaque victoire d'un titre, l'équipe historique des Los Angeles Lakers promettait de répéter l'année suivante la même chose. Mais nous n’allons pas pouvoir faire le doublé en Eurocup car l’an prochain nous allons dans une autre ligue.\
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Betclic Elite : en course pour les playoffs, Nancy et Strasbourg l'emportent
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Pour gagner ce samedi soir, il fallait visiblement inscrire 68 points et en prendre un tout petit peu moins. Dans leur maison du Grand-Est, Nancy et Strasbourg ont validé une précieuse victoire dans la lutte pour une place dans le Top 8.\n\nÀ l'occasion de la 29e journée, le SLUC Nancy l'a ainsi emporté 68 à 60 face au Mans Sarthe Basket, porté par un incroyable Chris Clemons (30 points, 8 rebonds et 7 passes décisives). Malgré le départ officialisé aujourd'hui de Frank Mason, un autre meneur américain s'est révélé essentiel à la conquête du succès. Le Mans, au contraire, confirme sa place dans le ventre mou de la Betclic Elite avec une piteuse prestation derrière l'arc (5/32 à trois-points) et joue ainsi à se faire peur pour la derrière ligne droite de la saison.\n\nIL A TUÉ LE MATCH 😱@SLUCbasketNancy x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/AfVR5NIWuN\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 13, 2024\n\n\nStrasbourg a dû s'employer pour venir à bout de ce féroce Gravelines-Dunkerque (68-65). Tyrus McGee a été le plus performant au scoring pour les Alsaciens avec 13 points. La SIG garde sa 8e place qualificative pour les playoffs de Betclic Elite, une belle opération.\n\nAu contraire, le BCM n'est pas passé loin d'un très joli coup dans sa course pour le maintien. Mais la marche était légèrement trop haute en fin de rencontre. À noter la bonne entrée du jeune Roman Domon (18 ans) avec ses 5 points et 5 rebonds en 17 minutes de jeu.\n\nCE AND ONE 🔥@BCMBasket x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/oC7a6oYY5d\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 13, 2024\n
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Betclic Elite : avec un grand Elie Okobo, Monaco \fait le boulot\ à Dijon
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Monaco a résisté au retour dijonnais en fin de match mais s'est bien imposé à l'extérieur malgré les absences notables de Mike James et Donatas Motiejunas. 48h après avoir assuré sa 3e place - synonyme d'avantage du terrain - au classement final d'Euroleague, la Roca Team s'offre un succès cette fois crucial pour garder la tête de la Betclic Elite. Au contraire, David Holston (14 points et 6 passes décisives) et son Dijon restent 12e au classement.\n\nDijon a tenu une mi-temps dans le match (40-45, 20e), avant que les qualités athlétiques des Monégasques fassent la différence sur la longueur de la rencontre. Au retour des vestiaires, l'équipe de Sasa Obradovic a accéléré le pas, portée notamment par un très bon Elie Okobo (21 points, 8 passes décisives et 5 rebonds).\n\nLaurent Legname (entraîneur JDA Dijon) au Bien Public : \Je suis très déçu, on ne fait pas le match qu’on avait décidé. Face à une équipe qui joue son 4ematch en huit jours, ce n’est pas normal qu’ils aient un peu plus d’envie et d’agressivité que nous, c’est inadmissible. Dès le début, j’ai vu qu’on n’y était pas. Même si on a eu un sursaut d’orgueil, les joueurs n’avaient pas l’engagement nécessaire.\\n\nElie Okobo (meneur de Monaco) : \On a gagné, c’est le plus important. Dijon a fait un run sur la fin, mais on est resté concentré et en équipe. Dijon, ce n’est jamais facile, avec les fans et beaucoup d’intensité en défense. On a fait le travail et on a été sérieux, pour montrer une belle équipe de Monaco malgré les absents. On devait gagner ce soir pour se rapprocher de la confirmation de la première place du classement. Ensuite on regardera vers les play-offs et l’Euroleague.\\n\n\nMonaco privé d'une victoire\n\nMalgré ce succès en Bourgogne, la Roca Team n'a pas vu le compteur de ses victoires augmenté à l'issue de la journée. La raison : Coupable d'avoir aligné face à Strasbourg - le 24 mars dernier - Jaron Blossomgame qui était suspendu, Monaco s'est vu retirer son précédent succès en championnat. Battue 92 à 78, la SIG Strasbourg engrange ainsi une précieuse victoire dans la course aux playoffs. Huitième au classement, son bilan repasse en positif (15 victoires pour 14 défaites).
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Pro B : Champagne Basket surprend Boulazac, Vichy remporte son derby
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Le Champagne Basket a frappé un joli coup en déplacement au Palio, la forteresse pourtant imprenable de Boulazac qui tombe à domicile pour la deuxième fois cette fois (70-78). C'est en seconde période que Châlons-Reims s'est détaché de son adversaire, grâce à un collectif à la marque bien répartie (15 points pour Jean-Philippe Dally, 13 points pour David Skara). Avec cette 6e victoire consécutive en championnat, Thomas Andrieux et ses hommes peuvent rêver à une place dans le Top 5 de Pro B.\n\nD'autant que l'OLB - qui tient la 5e place au classement - n'a pas rempli le contrat sur son parquet contre Angers. Dans un match très offensif à la CO'Met Arena (94-98), Orléans s'est fait surprendre par une Etoile Angers Basket en mission sauvetage. Avec 21 points, Shawn Tanner a été le principal artisan du succès de l'EAB.\n\nÀ domicile, la JA Vichy n'a pas tremblé et l’a emporté dans son derby face à Saint-Chamond (85-74). Avec cette victoire, l'équipe de Guillaume Vizade prend quatre victoires d’avance sur Boulazac (un match de plus) et s’assure quasiment la 2e place au classement derrière le leader La Rochelle.
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Limoges en plein brouillard
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Il faisait 26 degrés au palais des sports Maurice-Thorez de Nanterre en ce samedi après-midi et les Limougeauds ont été proprement ébouillantés par leurs adversaires. Ils ont pris 65 points dans la tronche en première mi-temps. C’était à peu près ce que le CSP concédait en un match entier à l’époque de Bozidar Maljkovic. Que les temps ont changé. Les Limougeauds ne savent plus défendre ou ne veulent plus défendre.\n\nSigne des temps aussi : alors qu’il a la dent dure vis-à-vis de la direction du club et qu’il le fait savoir via des banderoles piquantes à chaque match à Beaublanc, c’est le coach adverse, Pascal Donnadieu, que le kop limougeaud a célébré avant la rencontre, tout en manifestant à ses joueurs pendant quarante minutes un soutien indéfectible et forcément admirable étant donné les circonstances.\n\nNanterre n’était pas le lieu idéal pour se remettre de la gifle subie mardi à Monaco (-38) puisque l’équipe du 92 n’a perdu dans sa salle que deux matches face à des adversaires de pointure supérieure (Paris et Monaco), mais de là à imaginer qu’elle fasse une telle démonstration...\n\nSur un alley oop Justin Bibbins-Hamady Ndiaye, le mur des dix points d’avance a été franchie à la 13e minute (39-28) et ensuite la mer est montée inexorablement. +21 à la 17e minute (59-38) et donc 65-42 à la 20e. Les fuites en défense venaient de partout.\n\n«Mon sentiment? Un mélange de colère, de sidération, de frustration, un peu de tout», a répondu le coach Jean-Marc Dupraz après coup. «On a le droit de perdre un match mais pas de cette manière-là vis-à-vis des gens qui se sont engagés pour nous, du public, c’est une faute. On tombe sur une équipe qui est sur un petit nuage au niveau de l’adresse, et même un gros nuage. On les a peut-être aussi aidés en début de match mais ils ont très bien joué. Nous en première mi-temps, on a zéro impact défensif. Oui, pas content, bien sûr.»\n\n\nNicolas Lang : «C’était vraiment moche»\n\nLa note a été moins salée en deuxième mi-temps mais le CSP a tout de même perdu aussi les deux derniers quart-temps (22-19 et 26-16) pour aboutir à 113-77. Le Little Big man Justin Bibbins s’est gavé de points: 29 avec un 8/11 dans les tirs du champ assorti d’un 8/8 aux lancers-francs, de 5 passes et 2 interceptions. Côté limougeaud, sur le plan individuel, seul l’activité de l’intérieur Ike Udanoh (15 points, 5 rebonds) était à saluer. Le meneur Tyree Appleby (17 points) a sauvé la face sur des actions individuelles. Nanterre est monté jusqu’à 151 à l’évaluation et a brillé dans tous les secteurs: 50 points dans la raquette à 30, 29 points en contre-attaque à 13, etc. «Il n’y a rien à retirer de ce soir,» a grincé Nicolas Lang. «En attaque, le premier qui voit la lumière, il envoie et derrière pour revenir le terrain est en pente! C’était vraiment moche.»\n\nLes Limougeauds ont défendu les bras ballants au point de ne faire que deux fautes entre la 10e et la 20e minutes. «Dans le deuxième quart-temps, on fait la deuxième faute à une seconde de la fin. C’est ce que j’ai dit aux joueurs dans les vestiaires. C’est révélateur de l’approche de ce match-là. L’approche mental, comment on s’est préparé pour affronter une équipe qui est dans le top 5, à l’extérieur. C’est certainement mauvais. On n’est pas rentré dans ce match-là avec de fortes convictions», ne pouvait que constater Jean-Marc Dupraz.\n\n\nHors du Limousin, plus rien ne va\n\nFace à Saint-Quentin, le CSP avait été également balloté en première mi-temps mais il avait su réagir en deuxième. A Nanterre comme à Monaco, après avoir pris une claque sur la joue droite, il a tendu ensuite la joue gauche. Visiblement, jouer à Beaublanc galvanise les énergies, pique la fierté, mais tout se liquéfie hors du Limousin. «Ça fait depuis décembre que l’on n’a pas gagné un match à l’extérieur», a noté Nicolas Lang. C’était à Nancy, 67-75, le 10 du mois. «Autant on avait très bien commencé la saison, on était assez solide, on avait gagné à Strasbourg et Gravelines (NDLR : et aussi à Levallois et Saint-Quentin) et depuis décembre on a du mal à faire les efforts qu’il faut quand tu es un peu moins bien au niveau de l’adresse. Quand on voit le troisième quart-temps que l’on arrive à faire en défense face à Saint-Quentin, et ce soir, ça n’a rien à voir. Même si Nanterre est meilleur que Saint-Quentin à domicile surtout avec leur adresse mais ça n’enlève pas qu’il y avait quand même mieux à faire.«\n\nIl faut aussi constater qu’à l’approche des playoffs, la hiérarchie s’est solidifiée et que les équipes du top 5 sont autrement plus compétitives que celles du ventre mou. «Je pense,» acquiesce Nicolas Lang. «Ce n’est pas le même talent, la même structure, la même qualité de jeu. Quand tu regardes Bourg-Paris en finale (de l’Eurocup) et une équipe hors top 5, un 12e, un 13e, ce n’est pas le même basket. Ce sont souvent des équipes qui ont de la continuité, qui parle le même langage basket. Mais Le Portel est hors top 5, ils ont commencé à 0-7, mais après sur les 23 matches suivants, c’est quasiment une des meilleures équipes du championnat. C’est même le top 8. On bat Saint-Quentin la semaine dernière au buzzer, mais ils sont solides, tout le monde sait ce qu’il fait, connaît son rôle, tout le monde est sur la même longueur d’ondes. C’est ce que l’on appelle du basket de haut niveau.»\n\nLe CSP peut présenter comme explication à son déficit au rebond face à Nanterre (34 à 29), les absences d’Alexandre Chassang (dos) et aussi de Kenny Goins (jambe), qui n’a joué que cinq minutes. Mais cela n’est évidemment pas une excuse à l’état d’esprit manifesté par l’ensemble de l’équipe.\n\nA 6’45 de la fin, Justin Bibbins est sorti sous une grêle d’applaudissements et les deux coaches ont fait appel à quelques espoirs. La situation du CSP ne s’est pas alors améliorée. «Je félicite les gamins qui sont entrés sur le terrain dans des conditions pas faciles. Ils ont fait ce qu’ils ont pu», a voulu faire remarquer Jean-Marc Dupraz.\n\nBilan de la soirée? La parole au coach:\n\n«J’espère que c’est un accident. Parfois on dit «c’est un match à oublier». Je dis le contraire: c’est un match à se rappeler toute la semaine et même un peu plus. J’espère en tous cas. On doit ça à notre public. Les supporters dans les tribunes, eux, ils nous ont poussé pendant quarante minutes, ils ont été debout pendant quarante minutes. On doit se racheter d’un match comme ça!» espère Jean-Marc Dupraz. « Je ne suis pas dans la tête des joueurs, mais j’imagine qu’il y a une forme d’abattement. Maintenant qu’est-ce qu’on en fait? C’est surtout ça la question. Oui, ça ne fait pas plaisir de prendre quarante points dans la tronche. A part s’en souvenir et se révolter, je ne vois pas d’autres solutions. Il faut que l’on se regarde en face, tous, faire son introspection sur ses performances et moi aussi le premier, sur la préparation. Il faut rester solidaire, on a gagné des matches ensemble, on les perd ensemble. Bien entendu que j’attends autre chose de la part des joueurs. Chacun doit faire son autocritique et savoir ce qu’il n’a pas fait, ce qui a manqué pour les prochains matches.»\n\nLe Limoges CSP vit une saison très agitée. Pas trop sur le terrain, même si le coach grec Ilias Kantzouris a abandonné le navire en cours de navigation de son propre chef alors que le directeur sportif Kevin Anstett a été écarté. Mais dans les coulisses avec des finances catastrophiques et un management déficient. Sa survie est en jeu. Dans ce contexte pollué, l’équipe fait ce qu’elle peut, elle est à sa place, sans oublier qu’avec les deux victoires qui lui ont été sucrées par les autorités en raison des fautes de gestion, elle serait encore à même de finir dans le top 8, du moins mathématiquement. Peut-être aussi qu’avec une atmosphère plus sereine, les joueurs seraient plus productifs.\n\n«Il reste quatre matches, à nous de ne pas finir comme ça,» veut croire Nicolas Lang. «Il faut trouver des ressources, passer au-dessus de tout ça. Ça sera bête de finir comme ça et de se souvenir de ce groupe-là dans le négatif alors qu’il y a eu beaucoup de positif à retenir. J’espère que l’on va se remettre la tête à l’endroit et rebondir contre Nancy.» Le remède? «De la fierté! Tu ne vas pas en une semaine révolutionner attaque, défense. J’espère aussi qu’Alex (Chassang) va pouvoir revenir. Mathématiquement on n’est pas encore sauvé donc il faut se sauver le plus vite possible. On a vécu des choses fortes cette saison et il ne faut pas finir négativement», répète t-il.\n\nLa suite au(x) prochain(s) épisode(s).\n\nA Nanterre\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n
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NBA : Une dernière réussie pour Victor Wembanyama en 2023-24
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Alors que les San Antonio Spurs s'apprêtent à conclure leur saison 2023-24 contre les Detroit Pistons ce dimanche soir, Victor Wembanyama ne sera pas aligné par la franchise du Texas. Souffrant d'une cheville depuis quelques matches, l'intérieur français espérait pourtant jouer ce dernier match contre l'équipe du Michigan. Ce ne sera finalement pas le cas, puisque les Spurs ont convaincu leur phénomène de se préserver pour cette dernière sans grand enjeu.\n\nThree-peat! 👏\n\nCongrats @wemby on winning @Kia Western Conference Rookie of the Month! pic.twitter.com/8eSHWBtoy3\n\n— San Antonio Spurs (@spurs) April 13, 2024\n\n\n\nLa barre symbolique des 20 points et 10 rebonds de moyenne validée\n\nCette décision met donc fin à l'excellente saison rookie du numéro 1 de la dernière Draft NBA, qui a plus que justifié son statut depuis son arrivée dans la ligue américaine avec des moyennes de 21,4 points, 10,6 rebonds, 3,9 passes décisives et 3,6 contres par match. Sans oublier sa fabuleuse performance, la dernière de la saison, dans la victoire de son équipe contre les Denver Nuggets en début de week-end (34 points, 12 rebonds, 5 passes décisives).\n\nTrès probable futur lauréat du titre de Rookie de l'année en NBA, Victor Wembanyama va maintenant pouvoir prendre un peu de repos avant de se tourner vers la préparation des Jeux Olympiques de Paris avec l'équipe de France. Et de tenter d'écrire une première page glorieuse dans son histoire avec les Bleus, à domicile.
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Le titre de MVP de l'Euroleague féminine pour Emma Meesseman
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La récompense d'une nouvelle saison de domination. Tenante du titre en Euroleague féminine et déjà élue meilleure joueuse de la saison 2022-23, Emma Meesseman tient l'occasion de réitérer cette performance ce dimanche. Auteure d'une nouvelle belle saison d'un point de vue individuel (17,7 points, 5,9 rebonds et 4,7 passes décisives), la Belge a fait honneur à son statut en glanant un nouveau trophée de MVP de la compétition européenne.\n\nA jacket fit for an MVP 🐐👑@EmmaMeesseman x #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/gHkKbMYQcF\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) April 13, 2024\n\n\nUne ligne de plus au palmarès de la joueuse de 30 ans, qui a également remporté l'EuroBasket 2023 avec les Belgian Cats, compétition dont elle a également été élue meilleure joueuse. Elle va désormais tenter de valider cette belle saison en s'offrant un nouveau titre - qui serait le sixième de sa carrière dans la plus prestigieuse compétition européenne - lors de la finale face à Villeneuve d'Ascq ce dimanche.
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Pascal Donnadieu (coach Nanterre): «On a besoin de Limoges dans le paysage du basket français»
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Vous sortiez de deux défaites face à Paris et Villeurbanne. C’était important de rebondir face à Limoges?\nOui, pour reprendre notre marche en avant. Je ne remets pas en cause bien sûr les deux défaites mais c’était aussi un peu un choix par rapport à Ibou Fall Faye. On a considéré que c’était le moment de le traiter avec les matches de Paris et Villeurbanne pour qu’il soit opérationnel pour la fin de saison. C’était aussi une manière de se mettre en difficulté lors de ces deux matches. Il y a eu aussi la blessure de Ben (Sene) à l’épaule qui ne s’est pas entraîné pendant quinze jours. Attention! Ce sont deux équipes qui sont sur le papier plus fortes que nous mais disons que l’on n’était pas totalement en moyen de faire deux belles prestations, d’ailleurs on ne les a pas faites (NDLR : défaites 102-68 et 100-76 et C’est pour ça qu’il fallait vite reprendre tout ce que l’on a fait depuis le début de saison et c’est pour ça que je suis satisfait de la qualité du jeu, de l’état d’esprit de l’équipe, de l’enthousiasme -on a fait 34 passes décisives-, beaucoup d’envie, de détermination. C’était important de bien rebondir surtout que l’on a deux déplacements à Chalon et à Saint-Quentin. Ça fait quatre déplacements en cinq matches. Je suis toujours focus sur l’objectif qui est la cinquième place et c’est sûr que gagner ce soir c’est encore un pas en avant car il ne reste plus beaucoup de matches.\n\nLimoges a des problèmes pour s’imposer à l’extérieur et n’est-ce pas particulièrement difficile de gagner ici dans le sens que ça reste un une petite salle, un peu dans le style des années 70, avec un public chaud, il y a du vacarme? N’est-ce pas finalement un gros avantage de jouer à Maurice-Thorez?\n\nLa réponse est toute simple: ça reste malgré tout dû à la prestation des joueurs. Ce qui était incroyable, c’est que ça faisait deux ou trois années, que l’on gagnait plus de matches à l’extérieur qu’à domicile. On a perdu quasiment la moitié des matches à domicile durant cette période. Donc cet argument tient moyennement. Par contre, quand on a une équipe comme on a cette année, la proximité des supporters joue vraiment un poids important. Mais il faut avoir l’équipe pour, afin d’avoir cette sensation de chaudron. Là, on l’a à travers la vivacité, l’agressivité, ce qui a été souvent notre fonds de commerce les années d’avant. On l’avait un peu perdu cet ADN et donc je pense que c’est dû à la prestation de ce que nos joueurs produisent et qui entraîne après cet engouement populaire qui nous rend difficile à jouer. On sent que l’on a des périodes d’euphorie liées à l’atmosphère de la salle.\n\n«La cinquième place assurera une compétition européenne quelle qu’elle soit et ça c’est important»\n\nVous attendiez-vous à un match aussi facile face à Limoges?\n\nNon. On connaît la densité de la Pro A donc on sait qu’il y a des équipes qui lorsqu’elles ont envie d’être à leur niveau sont difficiles à jouer. Nous, on est toujours méfiants car on sait que dans ce championnat, il peut se passer n’importe quoi. C’est pour ça que je suis satisfait. Après, il est évidemment que Limoges est une équipe qui est beaucoup plus redoutable à domicile car on connaît le contexte de Beaublanc. Elle est un peu plus permissive à l’extérieur. Cela n’enlève rien à notre prestation mais il faut quand même souligner que leur secteur intérieur était démuni avec l’absence d’(Alexandre) Chassang, qui est un joueur important dans leur dispositif, qui joue dur, et (Kenny) Goins, qui visiblement n’était pas totalement rétabli. Ils ne se sont pas présentés dans les meilleures conditions. Et nous, ce que j’avais envie que l’on ait, on l’a eu, c’est-à-dire qu’on avait -l’expression est un peu vulgaire- la bave aux lèvres et on n’a rien lâché pendant quarante minutes, même avec l’entrée des jeunes. C’est la réponse que j’attendais de mon équipe. Beaucoup d’agressivité, de détermination. Dans le speech d’avant-match, j’avais demandé aux joueurs d’essayer de jouer sur un up tempo, de mettre Limoges sur un rythme élevé car je savais qu’ils avaient un peu moins de rotation, des joueurs qui n’aiment pas trop jouer sur un rythme de jeu rapide notamment sur les matches à l’extérieur. C’est ce que l’on a bien fait.\n\nAvez-vous déjà marqué 65 points dans une mi-temps?\n\nDans le grand Nanterre, quand on était euphorique, ça a peut-être dû nous arriver mais pas fréquemment. Quand un joueur comme (Justin) Bibbins est on fire, il voit le cercle gros comme ça. Je ne sais pas, mais c’est certainement l’un des deux ou trois plus gros scores que l’on ait eu à faire.\n\nQu’est-ce que ça change pour vous de finir 5e plutôt que 6e ou même 7e?\n\nLes playoffs, c’est une chose. J’ai envie de vous dire que les quatre premiers ont montré qu’ils sont plus forts que nous. Aujourd’hui c’est le cadet de mes soucis. Quand on sera qualifié en playoffs, quelque soit notre place, il sera temps de se concentrer dessus et de tout faire pour jouer notre carte d’outsider. Et on essaiera de le faire au maximum. Pour moi la cinquième place est fermement identifié -surtout avec la victoire de Paris hier (en finale de l’Eurocup)- comme une place sûre en coupe d’Europe sans tour préliminaire. C’est ce qui m’intéresse. J’ai dit que c’est ma dernière saison et si je peux laisser le club en playoffs avec la finale de la Leaders Cup et surtout en cadeau bonus une place en Coupe d’Europe sans tour préliminaire -ça fait trois, quatre ans qu’on n’y a pas été-, c’est pour ça que je suis si attaché à cette cinquième place. La sixième place permettra aussi sans doute de se qualifier d’office, mais pas plus bas.\n\nQuand vous parlez de Coupe d’Europe, il s’agit de la Basketball Champions League?\n\nJe pense que Paris, Villeurbanne et Monaco vont être en Euroleague. Les échos que j’ai, c’est que Bourg sera en Eurocup. Attention! Si la logique est respectée en quart! C’est-à-dire que les quatre premiers passent. La place après serait Nanterre et comme il n’y aura qu’un club en Eurocup, Nanterre aura le choix du roi entre l’Eurocup et la BCL. Tout ça, on en est loin. Mais en tous les cas, la cinquième place assurera une compétition européenne quelle qu’elle soit et ça c’est important.\n\nAprès la défaite en finale de la Leaders Cup, y a-t-il toujours le même enthousiasme au sein de l’équipe?\n\nLe même. Je trouve que les joueurs sont bien installés dans leur rôle et chacun sait ce qu’il a à faire. Je vais citer deux joueurs qui ont un peu moins de temps de jeu mais qui sont hyper importants: Bastien Pinault dans son rôle de shooteur, on a identifié ce qu’il est capable de faire, et un joueur qui est un peu dans l’ombre mais qui aujourd’hui est pour moi capital dans notre très bonne saison, c’est Lucas Dussoulier. C’est un très beau basketteur, capable de tout faire. Ce soir, c’est 11 points en 15 minutes, de bons choix. Hamady Ndiaye, quand il rentre, il sait aussi ce qu’il sait faire et ce qu’il ne sait pas faire. Bien sûr, il y a les joueurs brillants comme Bibbins ou autre mais j’ai toujours considéré que ce sont souvent ces joueurs-là qui te font faire une très bonne saison ou moins bonne. Coup de chapeau à ces joueurs qui nous permettent de garder de la qualité, d’impulser un réveil quand les titulaires sont un peu moins bons. Je ne parle pas de Joël (Ayayi), qui est un joueur du 5 qui est utilisé comme un 6e homme, mais on a un banc qui apporte beaucoup. Même les petits jeunes ce soir, tout le monde apporte sa pierre à l’édifice.\n\n\n\n«Ce qui m’émeut encore plus, surtout quand on connaît les supporters de Limoges, c’est voir qu’ils mettent une banderole «respect Pascal Donnadieu»\n\n\n\nUne question plus personnelle: entendre le public crier son nom avant le match, ça provoque une émotion particulièresurtout quand il n’y a plus beaucoup de grain de sable dans le sablier ? \n\nIl ne reste plus que cinq matches dont deux à domicile avec au moins un match de playoffs, ça fait trois. On sent que ça se rapproche de la fin mais je suis quelqu’un de pudique, je ne dis pas que ça ne fait pas plaisir, mais j’en suis presque gêné car je pense que le basket c’est un sport collectif. Je suis très content mais je ne veux pas qu’ils en fassent de trop. Les supporters de Nanterre n’ont pas oublié mon parcours et ma carrière mais ce qui m’émeut encore plus, surtout quand on connaît les supporters de Limoges, c’est voir qu’ils mettent une banderole «respect Pascal Donnadieu». Ca fait chaud au cœur, ça créé une émotion supplémentaire. Toute marque d’affection quand on est comme quoi quelqu’un d’assez sensible, c’est forcément émouvant. Je ne suis pas sûr qu’il l’ait fait à beaucoup de monde, donc ça renforce le fait de les remercier. Pour moi, quand on joue à Beaublanc c’est le temple du basket. J’y ai pris de sérieuses défaites, j’ai réussi quelques fois à gagner, mais à chaque fois que je suis venu à Limoges, même quand ils criaient forts derrière, c’était un grand moment. Pour quelqu’un qui est passionné de basket comme moi, qui a tout connu, Limoges ça reste un des plus beaux souvenirs de ma carrière de coach. C’est une cathédrale. On dit que parfois les supporters de Limoges dépassent les bornes mais on a besoin de passion et ça se retrouve nulle part ailleurs.\n\nSuivez-vous l’actualité du CSP plus particulièrement surtout avec tous les rebondissements en matière de finances et de management?\n\nOn est obligé de suivre! Ca fait partie du traitement presque quotidien de la presse du basket. Bien sûr, s’il y a eu de grosses erreurs de faites et des dysfonctionnements, c’est normal qu’ils soient sanctionnés mais s’il y a les projets de Monaco et Paris -il ne faut pas être aigri, ils ont leur identité- attention à ne pas oublier tous les clubs historiques qui ont marqué le basket français, et je ne parle pas forcément de Limoges, parce qu’il y a une histoire. Je n’ai pas envie qu’un club comme Limoges ait des désagréments. On a besoin de Limoges dans le paysage du basket français. On a besoin d’engouement. Limoges est un club médiatique. J’espère que leurs histoires vont se résorber. Bien évidemment je ne suis pas le gendarme financier de la ligue... Ca fait partie des clubs qui doivent se retrouver en Pro A. Je crois que tout est réuni pour que le basket français franchisse un cap au niveau médiatique, la qualité est de mieux en mieux, les clubs travaillent de plus en plus. On a des clubs qui performent en coupes d’Europe mais pas que. On mérite beaucoup plus que le traitement médiatique que l’on a actuellement, quand je vois l’engouement dans les salles toutes les semaines. Quand je vois certains sports, je ne suis pas sûr qu’ils méritent plus que nous.\n\nD’où les places fortes...\n\nEt les histoires différentes. Les clubs historiques, les clubs qui ont un nouveau projet, les clubs qui se battent avec un peu moins de moyens. Il faut un peu de tout et c’est pourça que je ne suis pas convaincu du passage de 18 à 16 clubs. Pourquoi l’argument n’est pas bon? Là, on est à 18 et c’était quoi la finale de l’Eurocup? C’était Bourg-Paris, il me semble. Aujourd’hui, on a un club d’Euroleague qui est troisième. On ne se débrouille pas bien à 18? Qu’est-ce qu’on va gagner d’être à 16? Ce que l’on va perdre par contre, ce sont deux équipes. Je ne vois vraiment pas pourquoi on passe à 16.\n\n\n\n\n\n
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JO de Paris 3x3 : La Lettonie et l'Azerbaïdjan qualifiés
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Chez les hommes, les médaillés d'or en titre ont encore une fois réservé leur place aux Jeux olympiques grâce à une victoire 14-19 contre l'Autriche. Nauris Miezis a été le feu de l'équipe en marquant 5 points et 7 rebonds lors de cette finale. Il a été élu tout naturellement MVP du tournoi.\n\nLa Lettonie rejoint ainsi les États-Unis, la Serbie et la Chine qui se sont qualifiés pour les Jeux olympiques de Paris selon le ranking de la FIBA.\n\nChez les femmes, l'Azerbaïdjan a battu la Pologne en finale dans un match serré, 18-17, emmenée par Tiffany Hayes (1,78 m, 34 ans), une Américaine naturalisée -oui, il y en a aussi dans le 3x3 et ça pèse encore plus que dans le 5x5 !-, qui possède un long cursus dans le 5x5 en Europe et en WNBA, et qui a accumulé 6 points dans cette dernière manche. Hayes a remporté le trophée de MVP, inscrivant 32 points sur le tournoi.\n\nL'Azerbaïdjan rejoint la Chine, les États-Unis et la France dans les équipes qualifiées pour les Jeux olympiques de Paris, qui avaient déjà obtenu leur place grâce au ranking FIBA.\n\nCLASSEMENT FINAL\n\nHommes :\n\n1. Lettonie\n2. Autriche\n3. Pays-Bas\n4. Nouvelle-Zélande\n5. Suisse\n6. Égypte\n7. Mongolie\n8. Hong Kong, Chine\n\nFemmes :\n\n1. Azerbaïdjan\n2. Pologne\n3. Pays-Bas\n4. Hongrie\n5. Égypte\n6. Chili\n7. Mongolie\n8. Hong Kong, Chine\n\nLe prochain tournoi de qualification aura lieu à Utsunomiya, au Japon, du 3 au 5 mai.
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Euroleague féminine : Une 3e place pour Valériane Ayayi et Prague
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Valériane Ayayi avait totalisé 15 points à la mi-temps, elle a un peu freiné en deuxième période, mais elle finit tout de même meilleure marqueuse du match avec 21 points (7/14 aux shoots) et en ajoutant 8 rebonds. A remarquer également le double double de l'Australienne Ezi Magbegor (13 points et 10 rebonds) et encore les 19 points et 6 passes de l'Espagnole Maite Cazorla.\n\nLes Tchèques ont toujours été devant et ont calmé les intentions de retour des Turques en leur infligeant un cinglant 11-29 dans le dernier quart-temps.\n\nAu cours de ce Final Four, Olivia Epoupa et son jeu si atypique pour une meneuse (14 points, 7 rebonds et 4 interceptions face à Prague) a prouvé qu'elle est à son meilleur niveau. Elle n'est pas apparue en équipe de France depuis février 2022. Y est-elle encore désirée ?\n\nLa boxscore est ICI.
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Thibaut Petit, de la Ligue Féminine à coach de l'Année en Suisse
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Thibaut Petit a été un coach à succès chez les féminines, allant notamment en finale de l'Eurocup avec le BLMA en 2019. Avec l'Olympic Fribourg, il a terminé premier de la saison régulière du championnat suisse avec une seule défaite en 27 matches, tout en remportant la Coupe de la ligue et la Coupe de Suisse en attendant peut-être le triplé.\n\n”C’est savoureux. J’avais pas mal de pression en arrivant car j’ai succédé à un coach charismatique qui avait gagné beaucoup de titres. Fribourg est un peu comme Ostende en Belgique : chaque année, c’est l’équipe à battre. On m’avait dit qu’il s’agissait d’un cadeau empoisonné mais je n’ai pas vu ça comme ça. C’est la première fois que j’ai l’opportunité de construire une équipe avec un noyau aussi large qualitativement. C’est l’une des plus belles structures dans lesquelles j’ai évolué.Fribourg pourrait jouer la première moitié du tableau en Belgique. On avait d’ailleurs battu Anvers en préparation,” raconte le Belge à La Dernière Heure, ajoutant : \Je me sens vraiment bien ici. J’ai encore un an de contrat mais je pourrais m’installer à plus long terme. La saison prochaine, mon fils va intégrer le centre de formation.”\n\nThibaut Petit n'est pas réellement prophète dans son pays en Belgique, et sa candidature pour succéder à Philip Mestdagh chez les Belgian Cats n'avait pas été retenue. C'est Valéry Demory qui avait été alors choisi.\n\n”J’ai eu deux entretiens d’une heure avec la fédération. On m’avait dit qu’on me tiendrait au courant de la décision le mardi suivant. Mais j’attends toujours l’appel. Si une opportunité arrive un jour, j’y serai attentif. Mais on ne gagne pas sa vie avec une équipe nationale. Je fais déjà beaucoup de sacrifices durant la saison en club, donc c’est pas plus mal d’avoir des étés moins chargés.”
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Betclic Élite : L'ASVEL en maîtrise totale à Blois
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Après sa dernière victoire de prestige en Euroleague contre Barcelone, l'ASVEL avait rendez-vous avec Blois pour un match à enjeu au Jeu de Paume. Au coude-à-coude avec la JL Bourg pour une place sur le podium de la Betclic Élite, les visiteurs devaient s'imposer face à une équipe de l'ADA qui joue sa survie dans la division. Le club présidé par Tony Parker n'a pas failli à sa mission dans le Loir-et-Cher, avec une large victoire finale (72-98).\n\n\nUne deuxième mi-temps à sens unique\n\nÀ la mi-temps, et malgré une défense perméable, l'ADA était toujours dans le match (43-47), bien aidé par le retour de blessure de Milan Barbitch (14 points, 6 rebonds, 4 passes décisives). Avant de se retrouver dépassée dès le retour des vestiaires par les hommes de Pierrick Poupet, auteurs d'un 14-2 en début de troisième quart-temps. Ils ont ensuite plié l'affaire pour finalement s'imposer de 26 points, le plus gros écart du match.\n\nLe week-end finit en beauté !\n\nNos Villeurbannais s'imposent logiquement à Blois (72-98) et enchainent une quatrième victoire consécutive toutes compétitions confondues.\n\n🔜 Prochain rendez-vous dans une semaine pour le choc face au Paris Basketball. ⤵️\n🎟... pic.twitter.com/5xOExWDTeZ\n\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) April 14, 2024\n\n\nAvec une paire intérieure intenable (21 points et 10 rebonds pour Youssoupha Fall, 19 points pour Joffrey Lauvergne), l'ASVEL valide sa 21e victoire de la saison et conforte sa troisième place au classement du championnat de France. En revanche, la situation se complique un peu plus pour Blois. Toujours 17e, les hommes de David Morabito comptent deux victoires de retard sur Gravelines-Dunkerque, le premier non-relégable. Inquiétant, à seulement cinq journées de la fin de la saison.
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Euroleague féminine : La belle histoire de Villeneuve d'Ascq s'arrête en finale
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Villeneuve d'Ascq ne rejoint pas ainsi au Panthéon national Bourges vainqueur en 1997, 98 et 2001, et Valenciennes, qui l'avait suivi au palmarès, en 2002 et 2004, mais ce qu'ont fait les filles du coach Rachid Méziane cette saison en Euroleague restera dans les annales. Qui aurait prédit sur la ligne de départ une telle réussite ?\n\nCette finale, c'était le pot de terre contre le pot de fer car même s'il a perdu depuis son diamant américain Breanna Stewart, qui avait enfourné 35 points lors de la finale 2023 à sens unique contre Cukurova (99-60), le club de Fenerbahçe possède des moyens financiers hors normes, dans la tradition des clubs russes du Spartak Moscou et d'UMCC Ekaterinbourg et son corolaire, un constellation d'étoiles. Les joueuses turques ne sont là que pour compléter un effectif où l'on dénombre huit étrangères. On peut d'ailleurs satisfaire notre fibre national en constatant que parmi les championnes d'Europe la coach, Valérie Garnier, l'assistante Camille Aubert, et l'une des intérieures, Marième Badiane (4 points, 5 passes, 14 d'éval), sont Françaises. Au final, le Fener n'a perdu que deux matches cette saison, face à l'ASVEL -un paradoxe- et Schio..\n\nL'ESBVA sait que ce moment de bonheur vécu à pleins poumons en Turquie sera peut-être, sinon probablement éphémère. Il a fallu un alignement parfait des planètes pour que ses joueuses et ce coach se retrouvent ensemble au même moment dans le Nord. Déjà la double MVP Kennedy Burke va quitter les lieux avant même la fin des playoffs et si elle va s'enrichir des Tarbaises Carla Leite et Marie-Paule Fopposi, l'ESBVA va perdre aussi des éléments qu'il n'a pas les moyens financiers de garder. Oui, c'est cruel.\n\nBank is open even on a Sunday for @kamiah_s 🔥#EuroLeagueWomen x @ESBVALM pic.twitter.com/kdFnR2kdLC\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) April 14, 2024\n\n\n\nLes joueuses turques comme faire-valoir\n\nIl ne peut pas y avoir de regrets car les Guerrières -pas un surnom usurpé- ont tout donné mais à l'impossible nul n'est tenu. Les cadres ont plutôt répondu présent -sauf Kiariata Diaby- mais le banc est incontestablement trop léger pour le plus haut niveau.\n\nLa Belge Emma Meesseman, MVP de l'Euroleague, meilleure joueuse européenne de sa génération et du calibre des top joueuses américaines, a démoli la défense de l'ESBVA dans le deuxième quart-temps, et elle remporte sa 6e Euroleague. Une machine. L'Américaine Nepheesa Collier, vue à Lattes-Montpellier lors de la saison 2020-21, a montré toutes les facettes de son talent pour finir meilleure marqueuse avec 33 points à 12/19 aux tirs et 8 rebonds et 4 passes pour faire bonne mesure. Kayla McBride a ajouté 17 points et Nikolina Milic 16. Les joueuses natives de Turquie n'ont pas marqué un point jusqu'à la 38e minute.\n\n\nEmma Meesseman dans ses oeuvres\n\nPremier constat : les fans du Fener en noir et jaune dans les tribunes ont sifflé d'entrée les Nordistes quand elles avaient le ballon. Deuxième indication : les Turques imprimaient un up tempo et pendant quelques instants, les Guerrières ont été pris dans un tourbillon (0-6, 5-12). Mais grâce à l'adresse du trio Salaün-Burke-Zellous, l'ESBVA est parvenue à assécher un temps le torrent turc (14-16).\n\nUn répit de courte durée. Kayla McBride démontrait son savoir faire et Fenerbahçe repassait en tête : 16-22, 21-26. Les stats d'adresse de Fenerbahçe à la fin du quart-temps étaient juste incroyables : 12/16 dans les tirs du champ et 3/3 aux lancers-francs. 28 points en 10 minutes. Et pourtant sur un trois-points avec la planche au buzzer de Kamiah Smalls, Villeneuve était revenu à une unité 27-28 !\n\nLa première minute de la deuxième période était affreuse pour l'ESBA et sanctionnée de 6 points. 27-34. Mais les filles de Rachid Méziane parvenaient à trouver les ressources pour égaliser à 34-34 (13e) avec 10 points de Shavonte Zellous, qui avait été toutefois l'auteure de 4 balles perdues.\n\nLa troisième vague d'assaut du Fener était menée par Emma Meesseman mais Villeneuve ne craquait pas grâce à une superbe adresse derrière l'arc (7/10) et égalisait encore à 40. Seulement, les Turques ne baissaient pas leur rythme offensif d'un degré et Emma Meesseman tranchait la défense nordiste à chaque fois pour atteindre 18 points à 8/9 aux shoots en 18 minutes. Des passes mal ajustées, des shoots manqués et l'ESBA ne pouvait pas cette fois répondre du tac au tac. Pire, sur un trois-points de l'ex-Berruyère Yvonne Anderson au buzzer, suite à une circulation de balle parfaite, Fenerbahçe obtenait son avantage le plus important : +13 (58-45) avec deux tiers de leurs shoots réussis.\n\n\nNapheesa Collier et le Fener sans pitié\n\nCe panier au buzzer d'Yvonne Anderson était ressenti comme un coup de bambou. Heureusement, le Fener perdait un peu de sa superbe offensive. Ce troisième quart-temps était dans un autre registre que les deux premiers, plus défensif. L'ESBVA se maintenait à 10-15 points mais commettait trop de balles perdues pour envisager mieux. Et c'est encore juste à la fin du quart-temps que Villeneuve concédait le plus gros écart : -16 à 61-77.\n\nOn sentait que c'était mission impossible de revenir à la marque et même de résister à la furia turque. Napheesa Collier avait pris le flambeau de Emma Meesseman. Le Fenerbahçe était juste trop rapide, trop adroit, trop fort, et sans pitié. La défense de l'ESBVA se fissurait puis explosait. Les dernières minutes ont été looonnnngues. C'est évidemment dommage d'en prendre 33.\n\nLa boxscore est ICI.\n\n
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Nolan Traoré se distingue au Nike Hoop Summit
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Evénement annuel opposant une équipe de jeunes talents internationaux à des prospects américains, le Nike Hoop Summit se tenait à Portland ce week-end. Un événement auquel Nolan Traoré était convié. Le jeune meneur, qui a récemment découvert la Betclic Elite sous les couleurs de Saint-Quentin, a profité de l'occasion pour démontrer tout son talent en terres américaines.\n\nNolan Traore at the Nike hoop summit:\n\n18 points\ngood amount of assists/lots of good passes\n\nHe was cooking all nightpic.twitter.com/Wuw709pE0B\n\n— Teg🚨 (@IQfor3) April 14, 2024\n\n\nDu haut de ses 17 ans, le frère du Blésois Armel Traoré a inscrit 18 points, pris 2 rebonds, 4 passes décisives et 1 interception. Une belle performance malgré la défaite de son équipe face aux Américains (98-75), portés par leur intérieur Cooper Flagg (19 points, 11 rebonds). En tout cas, la prestation du talent de la génération 2006 n'est pas passé inaperçue et ne manquera pas d'attiser encore plus l'intérêt des scouts dans les prochains mois.
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Betclic Elite : Sekou Doumbouya redonne de l'espoir à Roanne contre Cholet
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Dans une situation difficile depuis de longues semaines, Roanne est encore loin d'avoir abdiqué. Les hommes de Marc Berjoan l'ont prouvé ce dimanche en allant chercher une victoire primordiale devant leur public contre Cholet (82-69). Un succès que le club doit beaucoup à l'impressionnante performance réalisée par Sekou Doumbouya.\n\nGrande satisfaction depuis son arrivée au club il y a six semaines, l'ailier de 23 ans a réalisé son plus haut total de point en huit match, avec 33 unités inscrites ! De quoi permettre aux Ligériens de s'imposer dans un match qui les a d'abord vus proposer un premier quart-temps timide (18-20) avant de prendre le match à leur compte.\n\n\nUne adresse retrouvée au meilleur moment\n\nGlobalement, ce match a permis aux pivots français Yannis Morin (10 points, 11 rebonds, 4 passes décisives) et Neal Sako (12 points, 10 rebonds) de se livrer un beau duel, sans oublier la belle prestation du prospect Tidjane Salaün (16 points, 5 rebonds) mais c'est sur l'adresse à trois points que les Roannais ont fait la différence (13/24, contre 8/33 pour les Choletais). De quoi leur permettre de décrocher une victoire primordiale (82-69).\n\nVICTOIRE CHORALIENNE !! | Chorale 82-69 Cholet\n\n10e victoire de la saison pour nos Choraliens, la lutte pour le maintien continue 👊⚪🔵#ChoraleNation #BetclicELITE #CHOCB pic.twitter.com/pklKeKvbuH\n\n— Chorale Roanne Basket (@ChoraleRoanne) April 14, 2024\n\n\nAu classement, Roanne reste provisoirement coincé dans la zone rouge (16e) mais revient à la hauteur de Gravelines-Dunkerque avant une confrontation décisive contre le BCM le week-end prochain. C'est en revanche une mauvaise opération pour Cholet, qui rate l'occasion de conforter sa 6e place au classement. Au contraire, les hommes de Laurent Vila voient Le Portel les doubler, Strasbourg et Nancy revenir et ils ne disposent plus que d'une victoire d'avance sur la 9e place. La lutte pour les playoffs s'annonce serrée jusqu'au bout.
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Le programme TV : C'est l'heure des playoffs pour la Ligue Féminine !
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Mercredi 17 avril :\n20h00 - Roanne / Monaco - Betclic Elite - Skweek\n\nJeudi 18 avril :\n19h00 - ASVEL F / Basket Landes - LFB - Sport en France et Skweek\n20h50 - Tarbes / Bourges - LFB - Sport en France et Skweek\n\nVendredi 19 avril :\n19h00 - Charnay / Lattes-Montpellier - LFB - Sport en France et Skweek\n20h50 - Angers / Villeneuve d'Ascq - LFB - Sport en France et Skweek\n\nSamedi 20 avril :\n16h00 - Cholet / Blois - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Chalon / Nanterre - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Gravelines-Dunkerque / Roanne - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Le Mans/ Boulogne-Levallois - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Limoges / Nancy - Betclic Elite - Skweek\n21h00 - Saint-Quentin / Dijon - Betclic Elite - Skweek\n\nDimanche 21 avril :\n14h30 - Monaco / Le Portel - Betclic Elite - Skweek\n16h30 - Bourg / Strasbourg - Betclic Elite - Skweek\n19h00 - ASVEL / Paris - Betclic Elite -Skweek /La Chaîne L'Equipe\n\nSkweek diffusera les 6 rencontres des finales de coupe de France les 26 et 27 avril.\n\nREGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON2023-2024:\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE:\nLA CHAÎNE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe retransmet un match de Betclic Elitechaque dimancheet quelques rencontres d'Euroleague. Disponible gratuitement sur le canal 21 de la TNT.\nFRANCE TÉLÉVISIONS\nFrance Télévisions est le diffuseur gratuit des Jeux Olympiques de Paris 2024 (Eurosport est le diffuseur payant). Le groupe retransmet également, sur les antennes régionales de France 3, quelques affiches de Pro B et de Ligue Féminine (canaux 301 à 324).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite Sport en France diffuse une affiche par journée de Ligue Féminine (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse la NBA. Ses chaînes sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 46 à 48 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).\n\nSUR INTERNET :\nSKWEEK\nL'intégralité des matches deBetclic Elite, d'Euroleague et d'Eurocup masculine, un match par semaine de Ligue Féminine, de l'Euroleague et de l'Eurocup féminine, le top 8 Coupe de France et du 3x3 sont diffusés en live et disponibles en replay sur la plateformeSkweek.\nDAZN\nLa plateforme diffuse les matches de qualification des équipes de France masculine et féminine ainsi que ceux des clubs français en BCL. Il est possible d'y accéderpar internetou en téléchargeant l'application suriOSouAndroid.\nLNB TV\nLa plateforme digitale (OTT) de la LNB retransmet l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay. Trois façons d’y accéder: sur le siteLNB, sur le siteLNB TVou en téléchargeant l’application LNB suriOSouAndroid.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de laFFBB, de laFIBAet de laFIBA 3x3diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : notamment la Ligue Féminine, l'Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.
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Chris Jones : \Euroleague ou Eurocup, Valence est ma maison\
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Chris Jones semble s'épanouir à Valence, et il ne s'en cache pas. Arrivé au club espagnol en 2022 après une grosse saison à l'ASVEL, le combo-guard de 31 ans s'est rapidement imposé comme le leader offensif de son équipe, avec laquelle il a disputé l'Euroleague ces deux dernières saisons. Sauf que la participation des Valenciens à la plus prestigieuse compétition européenne n'est pas garantie pour la saison prochaine. Une perspective qui ne perturbe pas l'ancien du Maccabi Tel-Aviv, décidé à ne pas bouger, comme il l'a expliqué à Meridian Sport :\n\n\Je n'y pense pas du tout. L'année dernière, j'ai prolongé mon contrat de trois ans, donc j'ai encore deux ans à Valence. C'est ce sur quoi je me concentre en ce moment, je ne pense pas à l'avenir. Je l'ai dit dans des interviews précédentes : peu importe que nous jouions en EuroLeague ou en EuroCup. Valence est ma maison et je suis heureux ici\\n\nUne belle marque de fidélité de la part d'un joueur qui a inscrit 12,7 points de moyenne sur la scène européenne cette saison, et qui pouvait légitimement prétendre à rester au plus haut niveau de compétition. S'il n'a également pas caché sa déception à la suite de l'éviction du coach Alex Mumbru il y a quelques jours, Jones n'en reste pas moins déterminé à poursuivre son histoire avec Valence. Reste à savoir quelle coupe d'Europe évolueront le Texan et son équipe dans quelques mois.
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
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Limoges en plein brouillard\n\nLe CSP a pris une volée à Nanterre (113-77). Il lui reste quatre matches pour montrer un autre visage en attendant de savoir s’il va pouvoir éviter le naufrage économique.\n\nLimoges en plein brouillardLe CSP a pris une volée à Nanterre (113-77). Il lui reste quatre matches pour montrer un autre visage en attendant de savoir s’il va pouvoir éviter le naufrage économique.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nEuroleague féminine : La belle histoire de Villeneuve d'Ascq s'arrête en finale\n\nL'ESBVA n'a pas pu empêcher Fenerbahçe de s'approprier un deuxième trophée d'Euroleague de suite. La note finale est salée (106-73) et ne traduit pas l'épopée des Guerrières.\n\nEuroleague féminine : La belle histoire de Villeneuve d’Ascq s’arrête en finaleL’ESBVA n’a pas pu empêcher Fenerbahçe de s’approprier un deuxième trophée d’Euroleague de suite. La note finale est salée (106-73) et ne traduit pas l’épopée des Guerrières.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nEuroleague féminine : Une 3e place pour Valériane Ayayi et Prague\n\nL'USK Prague s'est remis de son élimination en demi-finale par Villeneuve d'Ascq, s'imposant sans faire de quartiers à Cukurova Mersin sur son terrain pour la 3e place : 67-95.\n\nEuroleague féminine : Une 3e place pour Valériane Ayayi et PragueL’USK Prague s’est remis de son élimination en demi-finale par Villeneuve d’Ascq, s’imposant sans faire de quartiers à Cukurova Mersin sur son terrain pour la 3e place : 67-95.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nNolan Traoré se distingue au Nike Hoop Summit\n\nConvié au Nike Hoop Summit aux côtés de plusieurs autres gros prospects de 18 ans et moins, Nolan Traoré a brillé à Portland ce week-end. Une performance qui va encore faire monter la cote du meneur de Saint-Quentin, malgré la défaite de son équipe Monde contre la Team USA (98-75).\n\nNolan Traoré se distingue au Nike Hoop SummitConvié au Nike Hoop Summit aux côtés de plusieurs autres gros prospects de 18 ans et moins, Nolan Traoré a brillé à Portland ce week-end. Une performance qui va encore faire monter la cote du meneur de Saint-Quentin, malgré la défaite de son équipe Monde contre la Team USA (98-75).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nBetclic Elite : avec un grand Elie Okobo, Monaco \fait le boulot\ à Dijon\n\nEn déplacement sur le parquet de la JDA Dijon, la Roca Team consolide sa première place au classement de Betclic Elite. Sans \l'engagement nécessaire\, Dijon perd à la maison 72 à 80.\n\nBetclic Elite : avec un grand Elie Okobo, Monaco “fait le boulot” à DijonEn déplacement sur le parquet de la JDA Dijon, la Roca Team consolide sa première place au classement de Betclic Elite. Sans “l’engagement nécessaire”, Dijon perd à la maison 72 à 80.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nNBA : Une dernière réussie pour Victor Wembanyama en 2023-24\n\nDans la nuit de vendredi à samedi, Victor Wembanyama a réalisé l'une de ses meilleures performances en NBA dans la victoire de prestige des San Antonio Spurs contre Denver (121-120). Une performance de choix pour terminer la phénoménale saison rookie du Français, au repos contre les Detroit Pistons.\n\nNBA : Une dernière réussie pour Victor Wembanyama en 2023-24Dans la nuit de vendredi à samedi, Victor Wembanyama a réalisé l’une de ses meilleures performances en NBA dans la victoire de prestige des San Antonio Spurs contre Denver (121-120). Une performance de choix pour terminer la phénoménale saison rookie du Français, au repos contre les Detroit Pistons.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nBetclic Élite : L'ASVEL en maîtrise totale à Blois\n\nEn déplacement chez une équipe de Blois toujours bloquée à l'avant-dernière place de la Betclic Élite, l'ASVEL a fait respecter son statut (98-72). Une large victoire qui consolide la place des Villeurbannais sur le podium, alors que l'ADA s'enfonce.\n\nBetclic Élite : L’ASVEL en maîtrise totale à BloisEn déplacement chez une équipe de Blois toujours bloquée à l’avant-dernière place de la Betclic Élite, l’ASVEL a fait respecter son statut (98-72). Une large victoire qui consolide la place des Villeurbannais sur le podium, alors que l’ADA s’enfonce.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nBetclic Elite : Sekou Doumbouya redonne de l'espoir à Roanne contre Cholet\n\nAvec un Sekou Doumbouya inarrêtable (33 points), Roanne a débordé Cholet ce dimanche à la Halle Vacheresse. Une victoire qui fait du bien à la Chorale et lui permet de recoller à la 15e place, alors que CB enchaine une deuxième défaite d'affilée et retombe à la 7e place.\n\nBetclic Elite : Sekou Doumbouya redonne de l’espoir à Roanne contre CholetAvec un Sekou Doumbouya inarrêtable (33 points), Roanne a débordé Cholet ce dimanche à la Halle Vacheresse. Une victoire qui fait du bien à la Chorale et lui permet de recoller à la 15e place, alors que CB enchaine une deuxième défaite d’affilée et retombe à la 7e place.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nŠarūnas Jasikevičius, coach du Fenerbahçe : \Monaco, une très bonne équipe avec de la continuité\\n\nL'entraîneur du Fener Šarūnas Jasikevičius s'est exprimé au sujet de la Roca Team, son adversaire en quart-de-finale de l'Euroleague.\n\nŠarūnas Jasikevičius, coach du Fenerbahçe : “Monaco, une très bonne équipe avec de la continuité”L’entraîneur du Fener Šarūnas Jasikevičius s’est exprimé au sujet de la Roca Team, son adversaire en quart-de-finale de l’Euroleague.BasketEurope.comLa rédaction\n\n
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Finale Fenerbahçe-Villeneuve d'Ascq : Le résumé et le match en entier
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Voici un long résumé et même le match en entier de Fenerbahçe-Villeneuve d'Ascq. Lire le résumé ICI.
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Les Metropolitans 92 vont quitter l'élite
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La victoire de Roanne face à Cholet (82-69) a enterré les derniers espoirs des Mets -s'il en restait- et de toutes façons ceux-ci ont été incapables d'une réaction d'orgueil face à Chalon, une autre équipe toujours menacée par la relégation. Ils se sont inclinés à domicile, 75-83, avec Matthieu Gauzin comme meilleur marqueur à 17 points.\n\nCette rétrogradation survient un an après une place en finale des playoffs et le passage fastueux de Victor Wembanyama. La gestion de la direction du club a été depuis catastrophique. Les Mets ne sont repartis qu'avec le seul Lahaou Konate, ont embauché Laurent Foirest pour succéder à Vincent Collet comme coach au dernier moment, et ils ont recruté à la va-vite et mal. Pire : 6 joueurs* ont quitté le club en pleine saison et Matthieu Gauzin aurait bien aimé les suivre mais la LNB a refusé son transfert pour Nancy. L'assistant Nebojša Bogavac a également fait ses valises pour un poste de head coach à l'Alliance Sport Alsace. Une débandade.\n\nAprès une victoire (Chalon) en douze matches, Laurent Foirest a été remercié, et il a été remplacé par son adjoint Jean-Paul Besson qui a remporté depuis 3 victoires (Roanne, Saint-Quentin et Dijon) en 17 matches. Les Mets possèdent la 13e attaque du championnat (77,8) et surtout la pire défense (89,5). Rempli à ras-bord du temps éphémère de la Wembanmania, le palais des sports Marcel-Cerdan sonne le creux avec 1 997 spectateurs en moyenne à l'issue des matches allers, la pire affluence de la Betclic Elite.\n\nOn peut se demander maintenant si les Metropolitans 92 ont un avenir dans la deuxième division d'élite. Plusieurs fois ils ont déjà failli déposer les armes. Le projet du maire de Boulogne, Pierre-Christophe Baguet, de construire un club de référence avec une arena moderne était une chimère. C'est le Paris Basketball qui occupe définitivement le terrain dans la capitale.\n\n*Dee Bost, Grant Sherfield, Josh Carlton, Amar Gegic, Jordan Theodore, Alen Omic.
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Euroleague féminine : Un 6e trophée pour Emma Meesseman
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Les joueuses les plus titrées en Euroleague :\n\n * 6 : Emma Meesseman (Belgique)\n * 6 : Diana Taurasi (Etats-Unis)\n * 6 : Alba Torrens (Espagne)\n * 6 : Natalia Vieru (Russie)\n * 5: Sue Bird (Etats-Unis)\n * 5 : Irina Ossipova (Russie)\n * 4 : Olga Artechina (Russie)\n * 4 : Brittney Griner (Etats-Unis)\n * 4: Sancho Lyttle (Espagne)\n * 4 : Ann Wauters (Belgique)\n\n«Ce sont d'excellentes joueuses avec qui partager une équipe, mais j'espère que je n'ai pas encore fini. Je vais faire tout ce que je peux pour profiter de ce titre d'abord et ensuite il faudra voir ce qui se passera l'année prochaine. Je ne regarde pas trop loin dans l'avenir à ce sujet pour le moment\, a déclaré la meilleure joueuse belge de l'histoire.\n\nLes quatre premiers titres d'Emma Meesseman ont été remportés avec UMMC Ekaterinbourg en 2016, 2018, 2019 et 2021, et les deux autres en 2023 et 24 avec Fenerbahçe. Cette saison, elle a été élue MVP de l'Euro 2023 et MVP de l'Euroleague 2024. Lors de la finale face à Villeneuve d'Ascq, elle s'est fendue de 22 points à 10/12 aux shoots, 5 rebonds, 6 passes et 2 contres pour 30 d'évaluation.\n\nEmma Meesseman a porté le maillot de Villeneuve d'Ascq lors de la saison 2012-13.
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WNBA : Leila Lacan et Carla Leite à quel niveau de la draft ?
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Il ne fait aucun doute pour quiconque que la méga star d'Iowa Caitlin Clark sera la numéro un de cette draft 2024 et va rejoindre ainsi l'Indiana Fever.\n\n\Je tiens à remercier personnellement Caitlin Clark d'avoir amélioré notre sport\, a déclaré la coach de South Carolina, Dawn Staley, après la victoire de son équipe sur Iowa en finale NCAA,dimanche dernier.\Elle portait une lourde charge pour notre sport. Et cela ne va tout simplement pas s'arrêter là.\\n\nIl existe plusieurs projections (Mock Drafts) et elles sont pour le moins contradictoires en ce qui concerne les deux meneuses françaises. Deux exemples.\n\nPour ESPN, Leila Lacan (1,80 m, 19 ans) n'apparait seulement qu'à la 20e place par le Atlanta Dream et Carla Leite (1,75 m... 20 ans demain) à la 25e par le Phoenix Mercury.\n\nA l'inverse, the nexthoops positionne Leila Lacan au... 3e rang et Carla Leite au 8e.\n\n\Leïla Lacan est l'adolescente la plus productive d'Europe, l'une des meilleures joueuses du championnat français et sans doute le plus grand espoir françaisde tous les temps,\ s'enflamme le site qui ne doit pas savoir que Dominique Malonga est également Française ! \Lacan associe sa vitesse exceptionnelle, sa pression sur le cercle et sa capacité défensive à des améliorations constantes en tant que shooteuse, ce qui en fait une contributrice de haut niveau pour une équipe de la WNBA.\\n\n\Leite développe un jeu sans ballon et une défense Pick and Roll, ce qui en fait une meneuse capable de passer les défenses de toutes les manières tout en faisant plus que défendre correctement,\ lit-on à propos de l'autre meneuse française avec ce bémol : \Les compétences offensives de Leite se limitent à exécuter des Pick and Roll et à créer des avantages en tant que driver – une joueuse talentueuse, mais qui manque d'une compétence secondaire bancable sur laquelle les équipes peuvent s'appuyer dans les minutes importantes.\\n\nLeila Lacan a compilé 12,7 points (35,8% aux tirs, 30,7% à trois-points), 3,0 passes, 2,7 rebonds, et... 3,2 interceptions avec Angers en Ligue Féminine.\n\nCarla Leite 15,8 points (38,4% aux tirs avec seulement 19,7% à trois-points, 86% aux lancers-francs), 5,5 passes, 2,5 rebonds et 1,3 interception avec Tarbes.\n\nAlors, en haut de la draft ou rejetées en bas, les deux Françaises ? Réponse dans quelques heures.\n\nLes 1er choix de la draft depuis la création de la WNBA :\n\n * 2023:Indiana Fever | Aliyah Boston(South Carolina)\n * 2022:Atlanta Dream | Rhyne Howard (Kentucky)\n * 2021:Dallas Wings | Charli Collier (Texas)\n * 2020:New York Liberty | Sabrina Ionescu(Oregon)\n * 2019:Las Vegas Aces | Jackie Young(Notre Dame)\n * 2018:Las Vegas Aces | A’ja Wilson(South Carolina)\n * 2017:San Antonio Stars | Kelsey Plum(Washington)\n * 2016:Seattle Storm | Breanna Stewart (Connecticut)\n * 2015:Seattle Storm | Jewell Loyd(Notre Dame)\n * 2014:Connecticut Sun | Chiney Ogwumike (Stanford)\n * 2013:Phoenix Mercury | Brittney Griner (Baylor)\n * 2012:Los Angeles Sparks | Nneka Ogwumike(Stanford)\n * 2011:Minnesota Lynx | Maya Moore(Connecticut)\n * 2010:Connecticut Sun | Tina Charles(Connecticut)\n * 2009:Atlanta Dream | Angel McCoughtry(Louisville)\n * 2008:Los Angeles Sparks | Candace Parker (Tennessee)\n * 2007:Phoenix Mercury | Lindsey Harding(Duke)\n * 2006:Minnesota Lynx | Seimone Augustus(LSU)\n * 2005:Charlotte Sting | Janel McCarville(Minnesota)\n * 2004:Phoenix Mercury | Diana Taurasi(Connecticut)\n * 2003:Cleveland Rockets | LaToya Thomas(Mississippi State)\n * 2002:Seattle Storm | Sue Bird(Connecticut)\n * 2001:Seattle Storm | Lauren Jackson(Australia)\n * 2000:Cleveland Rockers | Ann Wauters (Belgium)\n * 1999:Washington Mystics | Chamique Holdsclaw (Tennessee)\n * 1998:Utah Starzz | Margo Dydek (Poland)\n * 1997:Houston Comets | Tina Thompson (Southern California)
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Euroleague : Wade Baldwin (Maccabi) sera finalement présent pour le play-in face à Vitoria
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En raison du conflit au Moyen-Orient, la saison du Maccabi Tel-Aviv est chaotique. L'équipe israélienne est contrainte de se réfugier à Belgrade pour jouer ses matches \à domicile\ d'Euroleague. De plus, l'espace aérien israélien a été fermé samedi en raison de l'attaque de l'Iran laissant craindre l'impossibilité pour elle de se déplacer vers l'étranger. Mais dimanche, il a rouvert et le Maccabi a pu se rendre en Serbie, mais pas... Wade Baldwin.\n\nQue s'est-il passé? Wade Baldwin déclarait-il forfait lui qui est indispensable au rendement de son équipe avec ses 17,7 points, 2,7 rebonds et 4,9 passes décisives par match ? Dans un communiqué, le Maccabi a expliqué ce lundi le motif de son retard à l'embarquement.\n\n«En raison d'un problème bureaucratique lié au passeport du fils de Wade Baldwin, le meneur et sa famille n'ont pas pu décoller d'Israël ce soir. La solution à ce problème nécessitait la présence de Wade et, une fois le problème résolu, le joueur s'envolera aujourd'hui pour Belgrade, aura le temps d'arriver à l'entraînement ce soir et, bien sûr, sera à la disposition de l'équipe lors du match de play-in contre Baskonia.\\n\nCes 17,7 points de moyenne places Wade Baldwin au troisième rang des meilleurs marqueurs de la compétition, derrière Markus Howard (19,4) et Mike James (18,7). De plus, il est le troisième joueur à l'évaluation (19,5) derrière Shane Larkin et Mike James, tous les deux à 20,1.
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FC Barcelone : L'ancienne internationale Anna Cruz en colère après son propre club
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C'est sur Catalunya Ràdio après la victoire sur Spar Girona, qui place le Barça à la 12e place, qu'Anna Cruz a fait part de son ressentiment.\n\n\Nous n'avons pas été traités de manière professionnelle. Au quotidien, il y avait des minimums, des choses les plus élémentaires comme les conditions de travail, les déplacements, les paiements... qui n'étaient pas respectés. Derrière les joueuses et le staff, il y avait un vide très important.\\n\nBoom ! Et cette dénonciation fait suite à des propos plein de sous-entendus de l'une de ses équipières, la Croate Karla Erjavec, qui a déclaré :\n\n\Beaucoup de choses se sont produites dont nous seuls sommes au courant, mais à la fin, le cœur a pris le dessus et nous avons gagné.\\n\nEvidemment le Barça s'est défendu estimant que :\n\n\les conditions établies dans l'accord ont été scrupuleusement respectées, même avec des extras\.\n\nIl faut savoir que l' équipe fémininedu Barçan'est pas intégrée à la structure du club mais fait partie du Santfeliuenc, qui reçoit une partie des fonds du Barça et se charge du paiement des salaires et des déplacements. Il reste que pour l'image de ce \Grand d'Espagne\, ce n'est pas bon du tout.
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
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Pascal Donnadieu (coach Nanterre): «On a besoin de Limoges dans le paysage du basket français»\n\nSamedi, Nanterre a torpillé Limoges (113-77) et consolide ainsi sa 5e place synonyme de Coupe d’Europe, mais son coach Pascal Donnadieu estime qu’il est fondamental pour le basket français que le CSP sorte indemne de ses problèmes financiers récurrents.\n\nVous sortiez de deux défaites face à Paris et Villeurbanne. C’était important de rebondir face à Limoges?\nOui, pour reprendre notre marche en avant. Je ne remets pas en cause bien sûr les deux défaites mais c’était aussi un peu un choix par rapport à Ibou Fall Faye. On a considéré que c’était le moment de le traiter avec les matches de Paris et Villeurbanne pour qu’il soit opérationnel pour la fin de saison. C’était aussi une manière de se mettre en difficulté lors de ces deux matches. Il y a eu aussi la blessure de Ben (Sene) à l’épaule qui ne s’est pas entraîné pendant quinze jours. Attention! Ce sont deux équipes qui sont sur le papier plus fortes que nous mais disons que l’on n’était pas totalement en moyen de faire deux belles prestations, d’ailleurs on ne les a pas faites (NDLR : défaites 102-68 et 100-76 et C’est pour ça qu’il fallait vite reprendre tout ce que l’on a fait depuis le début de saison et c’est pour ça que je suis satisfait de la qualité du jeu, de l’état d’esprit de l’équipe, de l’enthousiasme -on a fait 34 passes décisives-, beaucoup d’envie, de détermination. C’était important de bien rebondir surtout que l’on a deux déplacements à Chalon et à Saint-Quentin. Ça fait quatre déplacements en cinq matches. Je suis toujours focus sur l’objectif qui est la cinquième place et c’est sûr que gagner ce soir c’est encore un pas en avant car il ne reste plus beaucoup de matches.\n\nPascal Donnadieu (coach Nanterre): «On a besoin de Limoges dans le paysage du basket français»Samedi, Nanterre a torpillé Limoges (113-77) et consolide ainsi sa 5e place synonyme de Coupe d’Europe, mais son coach Pascal Donnadieu estime qu’il est fondamental pour le basket français que le CSP sorte indemne de ses problèmes financiers récurrents.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nLe programme TV : C'est l'heure des playoffs pour la Ligue Féminine !\n\nCette semaine, le programme est allégé par la fin de l'Eurocup et de la saison régulière de l'Euroleague. Il reste tout de même quelques belles affiches avec le début des playoffs de la Ligue Féminine ou encore le choc de Betclic Elite entre l'ASVEL et Paris.\n\nMercredi 17 avril :\n20h00 - Roanne / Monaco - Betclic Elite - Skweek\n\nLe programme TV : C’est l’heure des playoffs pour la Ligue Féminine !Cette semaine, le programme est allégé par la fin de l’Eurocup et de la saison régulière de l’Euroleague. Il reste tout de même quelques belles affiches avec le début des playoffs de la Ligue Féminine ou encore le choc de Betclic Elite entre l’ASVEL et Paris.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPlayoffs Euroleague : Monaco va démarrer les 24 et 26 avril\n\nL'Euroleague a publié les dates des quarts-de-finale de playoffs et on y apprend que l'AS Monaco jouera ses deux premiers matches contre Fenerbahçe les mercredi 24 et vendredi 26 avril à Gaston-Médecin.\n\nPlayoffs Euroleague : Monaco va démarrer les 24 et 26 avrilL’Euroleague a publié les dates des quarts-de-finale de playoffs et on y apprend que l’AS Monaco jouera ses deux premiers matches contre Fenerbahçe les mercredi 24 et vendredi 26 avril à Gaston-Médecin.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague : Wade Baldwin (Maccabi) sera finalement présent pour le play-in face à Vitoria\n\nLe meilleur joueur du Maccabi Tel-Aviv, Wade Baldwin (1,93 m, 28 ans), va finalement pouvoir participer au match de play-in d'Euroleague, mardi, à Belgrade, face à Baskonia Vitoria.\n\nEn raison du conflit au Moyen-Orient, la saison du Maccabi Tel-Aviv est chaotique. L'équipe israélienne est contrainte de se réfugier à Belgrade pour jouer ses matches \à domicile\ d'Euroleague. De plus, l'espace aérien israélien a été fermé samedi en raison de l'attaque de l'Iran laissant craindre l'impossibilité pour elle de se déplacer vers l'étranger. Mais dimanche, il a rouvert et le Maccabi a pu se rendre en Serbie, mais pas... Wade Baldwin.\n\nEuroleague : Wade Baldwin (Maccabi) sera finalement présent pour le play-in face à VitoriaLe meilleur joueur du Maccabi Tel-Aviv, Wade Baldwin (1,93 m, 28 ans), va finalement pouvoir participer au match de play-in d’Euroleague, mardi, à Belgrade, face à Baskonia Vitoria.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nThibaut Petit, de la Ligue Féminine à coach de l'Année en Suisse\n\nLe Belge Thibaut Petit, 44 ans, qui est passé notamment par Arras (2011-13) et Lattes-Montpellier (2018-21), a été élu coach de l'Année en Suisse, chez les garçons, avec Fribourg.\n\nThibaut Petit a été un coach à succès chez les féminines, allant notamment en finale de l'Eurocup avec le BLMA en 2019. Avec l'Olympic Fribourg, il a terminé premier de la saison régulière du championnat suisse avec une seule défaite en 27 matches, tout en remportant la Coupe de la ligue et la Coupe de Suisse en attendant peut-être le triplé.\n\nThibaut Petit, de la Ligue Féminine à coach de l’Année en SuisseLe Belge Thibaut Petit, 44 ans, qui est passé notamment par Arras (2011-13) et Lattes-Montpellier (2018-21), a été élu coach de l’Année en Suisse, chez les garçons, avec Fribourg.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague féminine : Un 6e trophée pour Emma Meesseman\n\nAvec la victoire en finale de Fenerbahçe sur Villeneuve d'Ascq, la Belge Emma Meesseman (1,92 m 30 ans) a remporté une 6e Euroleague rejoignant l'Américaine Diana Taurasi, l'Espagnole Alba Torrens et la Russe Natalia Vieru en haut du palmarès.\n\nLes joueuses les plus titrées en Euroleague :\n\n * 6 : Emma Meesseman (Belgique)\n * 6 : Diana Taurasi (Etats-Unis)\n * 6 : Alba Torrens (Espagne)\n * 6 : Natalia Vieru (Russie)\n * 5: Sue Bird (Etats-Unis)\n * 5 : Irina Ossipova (Russie)\n * 4 : Olga Artechina (Russie)\n * 4 : Brittney Griner (Etats-Unis)\n * 4: Sancho Lyttle (Espagne)\n * 4 : Ann Wauters (Belgique)\n\nEuroleague féminine : Un 6e trophée pour Emma MeessemanAvec la victoire en finale de Fenerbahçe sur Villeneuve d’Ascq, la Belge Emma Meesseman (1,92 m 30 ans) a remporté une 6e Euroleague rejoignant l’Américaine Diana Taurasi, l’Espagnole Alba Torrens et la Russe Natalia Vieru en haut du palmarès.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nChris Jones : \Euroleague ou Eurocup, Valence est ma maison\\n\nLe fait que Valence risque de ne pas disputer l'Euroleague la saison prochaine n'effraie visiblement pas Chris Jones. Elément-clé du club espagnol depuis son arrivée en 2022, l'arrière américain a déclaré vouloir rester chez le champion d'Espagne 2017 la saison prochaine.\n\nChris Jones semble s'épanouir à Valence, et il ne s'en cache pas. Arrivé au club espagnol en 2022 après une grosse saison à l'ASVEL, le combo-guard de 31 ans s'est rapidement imposé comme le leader offensif de son équipe, avec laquelle il a disputé l'Euroleague ces deux dernières saisons. Sauf que la participation des Valenciens à la plus prestigieuse compétition européenne n'est pas garantie pour la saison prochaine.\n\nChris Jones : “Euroleague ou Eurocup, Valence est ma maison”Le fait que Valence risque de ne pas disputer l’Euroleague la saison prochaine n’effraie visiblement pas Chris Jones. Elément-clé du club espagnol depuis son arrivée en 2022, l’arrière américain a déclaré vouloir rester chez le champion d’Espagne 2017 la saison prochaine.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLes Metropolitans 92 vont quitter l'élite\n\nL'issue ne faisait aucun doute depuis plusieurs semaines. C'est désormais acté : les Metropolitans de Boulogne-Levallois sont relégués en Pro B.\n\nLa victoire de Roanne face à Cholet (82-69) a enterré les derniers espoirs des Mets -s'il en restait- et de toutes façons ceux-ci ont été incapables d'une réaction d'orgueil face à Chalon, une autre équipe toujours menacée par la relégation. Ils se sont inclinés à domicile, 75-83, avec Matthieu Gauzin comme meilleur marqueur à 17 points.\n\nCette rétrogradation survient un an après une place en finale des playoffs et le passage fastueux de Victor Wembanyama. La gestion de la direction du club a été depuis catastrophique. Les Mets ne sont repartis qu'avec le seul Lahaou Konate, ont embauché Laurent Foirest pour succéder à Vincent Collet comme coach au dernier moment, et ils ont recruté à la va-vite et mal. Pire : 6 joueurs* ont quitté le club en pleine saison et Matthieu Gauzin aurait bien aimé les suivre mais la LNB a refusé son transfert pour Nancy. L'assistant Nebojša Bogavac a également fait ses valises pour un poste de head coach à l'Alliance Sport Alsace. Une débandade.\n\nLes Metropolitans 92 vont quitter l’éliteL’issue ne faisait aucun doute depuis plusieurs semaines. C’est désormais acté : les Metropolitans de Boulogne-Levallois sont relégués en Pro B.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nFinale Fenerbahçe-Villeneuve d'Ascq : Le résumé et le match en entier\n\nMême si le résultat final est en défaveur des Guerrières (73-106), cette finale de l'Euroleague féminine restera gravée dans les mémoires car ce fut l'aboutissement d'une véritable épopée de l'équipe nordiste.\n\nFinale Fenerbahçe-Villeneuve d’Ascq : Le résumé et le match en entierMême si le résultat final est en défaveur des Guerrières (73-106), cette finale de l’Euroleague féminine restera gravée dans les mémoires car ce fut l’aboutissement d’une véritable épopée de l’équipe nordiste.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJO de Paris 3x3 : La Lettonie et l'Azerbaïdjan qualifiés\n\nLa Lettonie (Hommes) et l'Azerbaïdjan (Femmes) ont décroché leur billet pour les Jeux Olympiques de Paris en remportant le premier Tournoi de Qualification Olympique 3x3, à Hong Kong, en Chine.\n\nChez les hommes, les médaillés d'or en titre ont encore une fois réservé leur place aux Jeux olympiques grâce à une victoire 14-19 contre l'Autriche. Nauris Miezis a été le feu de l'équipe en marquant 5 points et 7 rebonds lors de cette finale. Il a été élu tout naturellement MVP du tournoi.\n\nJO de Paris 3x3 : La Lettonie et l’Azerbaïdjan qualifiésLa Lettonie (Hommes) et l’Azerbaïdjan (Femmes) ont décroché leur billet pour les Jeux Olympiques de Paris en remportant le premier Tournoi de Qualification Olympique 3x3, à Hong Kong, en Chine.BasketEurope.comLa rédaction
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Playoffs Euroleague : Monaco va démarrer les 24 et 26 avril
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Dzanan Musa (Real Madrid) et la NBA : \En Europe, chaque ballon est joué...\
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Dzanan Musa a été élu MVP espoirs de l'Eurocup en 2018 et reconnu comme le Meilleur Joueur du championnat espagnol en 2022 alors qu'il portait le maillot de Breogan Lugo avant de rejoindre le Real Madrid. Mais entre-temps, il a connu deux années difficiles avec les Brooklyn Nets où il n'a eu droit qu'à des poussières de minutes sur 49 matches. Pourquoi cet insuccès ?\n\n\Cela dépend complètement de l'opportunité. Quand j’étais enNBA, je ne me suis pas retrouvé dans la situation dans laquelle j’aurais dû me retrouver. Je crois que j'aurais pu avoir un rôle sérieux dans n’importe quelle équipeNBA, mais je me suis retrouvé dans une mauvaise situation. Tous les joueurs qui vont enNBAet qui reviennent ensuite en Europe vous diront que si vous y êtes dans une bonne situation et que le coach croit en vous, alors vous jouez et avez l'opportunité de vous montrer. Je n'ai pas eu la chance d'être sur le terrain et que le coach me fasse confiance. Ce sont des choses sur lesquelles je ne pouvais pas avoir d'influence. J'ai fait de mon mieux, mais ce n'était pas la bonne opportunité à ce moment-là. Je suis revenu en Espagne et quand je suis arrivé, ils m'ont fait confiance dès le premier instant, ce qui est crucial, je pense. Cela me convient. Le plus important pour moi, c'est le respect et la confiance que je reçois de la part de l'entraîneur, et c'est exactement ce que j'ai eu en Espagne.\\n\nLa confiance en lui, elle habite le Bosnien en permanence... ou presque.\n\n\Je vais être honnête, j'ai toujours confiance. J'ai toujours confiance en moi. C'est quelque chose que j'ai depuis mes 14, 15 ans. J'ai toujours cru en moi. Quand j'entrais sur le terrain, je pensais qu'il n'y avait personne de meilleur que moi. Je pense encore qu'aujourd'hui, que lorsque j'entre sur le terrain, j'ai une telle confiance dans ma tête que je pense pouvoir gérer n'importe qui. L'autre chose, c'est que j'étais sceptique parce que je me demandais si je trouverais un jour un entraîneur qui me donnerait la liberté de montrer ce que je pouvais faire. J'étais sceptique, surtout après Anadolu Efes, quand je n'ai pas eu l'occasion de rejouer, c'est pourquoi il y a eu quelques chutes. Cela m'a presque brisé.\ Il ajoute : \J'ai eu l'occasion de jouer avec Durant et Irving, mais aussi contre LeBron James, Giannis Antetokounmpo et d'autres. Ce sont quelques-unes des choses qui m’ont aidé à être qui je suis aujourd’hui. Ce chemin n’a pas été facile, j’ai traversé beaucoup de mauvaises choses pour arriver là où je suis aujourd’hui. Je pense que tout cela devait arriver pour que j’arrive là où je suis.\\n\nQuand on lui demande de différencier le jeu en NBA avec celui de l'Euroleague et du championnat espagnol, son commentaire rejoint celui de la plupart des acteurs qui ont connu les deux rives de l'Atlantique.\n\n\Je dirais que ce sont deux sports différents. En Europe, chaque match est très important, tandis qu'en NBA,vous arrivez à une situation où les victoires ne sont plus importantes parce que vous savez que vous ne participerez pas aux playoffs, ni aujourd'hui aux play-in. Puis le club abandonne la saison et pendant deux ou trois mois, il joue littéralement comme du basket de rue. Ce sont des choses très différentes. En Europe, chaque ballon est joué. Même si nous avons obtenu la première place avant le début des playoffs de l'Eurolegue, chaque ballon est important. Si vous avez regardé le match entre le Real et l’Étoile Rouge, on aurait dit que la finale se jouait. Nous ne jouions plus pour rien, eux et nous, mais l'envie de gagner est présente. Ce sont quelques différences.\
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Un autre Grec à la tête du CSKA Moscou
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Andreas Pistiolis a déjà passé huit saisons au CSKA en tant qu'assistant. Il a tenu ce rôle au Panathinaikos, sous la direction de Zeljko Obradovic, et gagné trois Euroleague, avant d'en remporter deux autres avec son compatriote Dimitris Itoudis au CSKA. En mars 2022, il avait quitté le club russe, acceptant l'offre de Galatasaray comme head coach, son contrat se terminant en mai 2023.\n\nLe CSKA occupe actuellement la 3e place de la VTB League, à une victoire d'UNICS Kazan et du Zenit Saint-Petersbourg. Le commentaire de son président Andreï Vatoutine :\n\n\Je suis heureux d'accueillir à nouveau Andreas au CSKA ! Lorsque nous nous sommes dit au revoir il y a deux ans, j'ai dit que nos chemins se croiseraient certainement à nouveau. Ce jour est venu, et notre invitation deviendra immédiatement une épreuve difficile pour le coach. L'équipe doit gagner, il ne reste qu'une semaine avant les playoffs et Pistiolis devra se mettre immédiatement au travail. Nous ne nous attendons pas à une transformation magique. Nous espérons que le nouvel entraîneur saura utiliser un nouveau regard pour trouver les bons gestes dans la gestion de l'équipe et secouer émotionnellement les joueurs. Nous pensons qu'Andreas réussira parce qu'il a fait une excellente école au plus haut niveau, qu'il possède une vaste expérience, qu'il sait gagner et qu'il a une grande idée de ce que signifie travailler pour le CSKA. Il est important que Pistiolis connaisse la plupart de nos joueurs, connaisse le club et la Ligue, et il n'aura pas besoin de temps pour s'adapter. Et surtout, il a exprimé une grande envie d’aider l’équipe. Oui, changer d'entraîneur avant les playoffs est un gros risque et un grand défi, mais avec cette étape, au lieu du malheur des derniers matchs, nous nous donnons, ainsi qu'à nos fans, l'espoir d'une performance réussie. Il nous reste très peu de temps, mais nous tous au club ferons tout notre possible pour que Andreas réussisse. Nous lui souhaitons bonne chance et espérons le soutien des fans !\\n\n\n\n\n\n
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Affluences en Euroleague : L'ASVEL 13e, Monaco dernier
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Les affluences progressent chaque année en Euroleague et ce sont les deux clubs de Belgrade, qui occupent désormais tous les deux la Stark Arena dont la capacité (non officielle) et supérieure à 20 000 places, qui boostent l'ensemble. Les 19 916 spectateurs au Partizan représente un record historique en Euroleague. Le Panathinaikos a également enregistré une hausse très sensible de sa fréquentation.\n\nL'inauguration de la LDLC Arena permet à l'ASVEL de bénéficier de la 3e hausse alors que Gaston-Médecin est trop exigu pour rivaliser avec les autres arènas. Mais l'équipe de la Principauté aurait-elle des fréquentations très supérieures dans une enceinte plus vaste ?\n\nOn peut aussi remarquer que si le Paris Basketball accepte l'invitation de rejoindre l'Euroleague la saison prochaine, avec l'Adidas Arena et ses 8 000 places, il sera en-dessous de la moyenne générale même en la remplissant à bloc à chaque match.\n\n
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Draft WNBA : Carla Leite 9e, Leïla Lacan 10e !
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Les deux meneuses françaises se retrouvent ainsi à une très bonne position au milieu d'Américaines, l'Australienne Nyadiew Puoch étant à la 12e place. Un superbe cadeau d'anniversaire pour Carla Leite qui fête aujourd'hui même ses 20 ans. Le petit prodige italien Matilde Villa n'apparait qu'à la 32e place.\n\nCarla Leite a assuré 15,8 points (38,4% aux tirs, 19,7% à trois-points, 86% aux lancers-francs), 5,5 passes, 2,5 rebonds et 1,3 interception avec Tarbes en Ligue Féminine. Leila Lacan 12,7 points (35,8% aux tirs, 30,7% à trois-points), 3,0 passes, 2,7 rebonds, et 3,2 interceptions avec Angers.\n\nCarla Leite a été championne d'Europe U20 en 2023 et élue MVP de la compétition et également MVP Espoirs de la Ligue Féminine la même année. A noter qu'une autre Française, Lou Lopez-Sénéchal a été retenue en 5e position par les Wings l'année dernière mais elle n'a pas pu jouer de la saison en raison d'une blessure.\n\nLeïla Lacan compte 13 sélections en équipe de France et a participé à l'Euro 2023. Le Connecticut Sun fut la franchise de Sandrine Gruda de 2008 à 2010.\n\nLes deux joueuses sont de sérieuses candidates à une place chez les Bleues pour les Jeux Olympiques de Paris. La sélection s'annonce particulièrement ardue au poste de meneuse.\n\nComme prévu Caitlin Clark, meilleure marqueuse de l'histoire de la NCAA a été choisie en numéro 1.\n\nFirst round\n\n1. Indiana Fever:Caitlin Clark, PG, Iowa\n\n2. Los Angeles Sparks:Cameron Brink, PF, Stanford\n\n3. Chicago Sky:Kamilla Cardosa, C, South Carolina\n\n4. Los Angeles Sparks:Rickea Jackson, SF, Tennessee\n\n5.Dallas Wings:Jacy Sheldon, SG, Ohio State\n\n 6. Washington Mystics:Aaliyah Edwards, UConn\n\n7. Chicago Sky:Angel Reese, F, LSU\n\n8.Minnesota Lyns:Alissa Pili, F, Utah\n\n9. Dallas Wings:Carla Leite, SG, France\n\n10.Connecticut Sun:Leïla Lacan, PG, France\n\n11.New York Liberty:Marquesha Davis, SF, Ole Miss\n\n12.Atlanta Dream :Nyadiew Puoch, PF, Australia\n\nSecond round\n\n13. Chicago Sky:Brynna Maxwell, G, Gonzaga\n\n14.Seattle Storm:Nika Mühl, PG, UConn\n\n15. Indiana Fever:Celeste Taylor, PG, Ohio State\n\n 16. Las Vegas Aces:Dyaisha Fiar, G, Syracuse\n\n17. New York Liberty:Esmery Martinez, PF, Arizona\n\n18. Las Vegas Aces:Kate Martin, SG, Iowa\n\n19. Connecticut Sun:Taiyanna Jackson, C, Kansas\n\n20. Atlanta Dream:Isobel Borlase, PG, Australia\n\n21. Washington Mystics:Kaylynne Truong, PG, Gonzaga\n\n22. Connecticut Sun:Helena Pueyo, PG, Arizona\n\n23. New York Liberty:Jessika Carter, C, Mississippi State\n\n24. Las Vegas Aces:Elizabeth Kitley, C, Virginia Tech\n\nThird round\n\n25.Phoenix Mercury: Charisma Osborne, PG, UCLA\n\n26. Seattle Storm:Mackenzie Holmes, PF, Indiana\n\n27. Indiana Fever:Leilani Correa, PG, Florida\n\n28. Los Angeles Sparks:McKenzie Forbes, SF, USC\n\n29. Phoenix Mercury:Jaz Shelley, SG, Nebraska\n\n30. Washington Mystics:Nastja Claessens, SG, Belgium\n\n31. Minnesota Lynx:Kiki Jefferson, SG, Louisville\n\n32. Atlanta Dream:Matilde Villa, SG, Italy\n\n33. Dallas Wings:Ashley Owusu, SG, Penn State\n\n34. Connecticut Sun:Abbey Hsu, SG, Columbia\n\n35. New York Liberty:Kaitlyn Davis, PF, USC\n\n36. Las Vegas Aces:Angel Jackson, C, Jackson State
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Rudy Gobert, l'enfant rejeté par sa famille
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Le pivot international du Minnesota Timberwolves est le fils de Rudy Bourgarel (2,13 m, 58 ans), qui a été international et de Corinne Gobert dont il porte le nom. Il raconte avoir été très mal accepté dans son cercle familial en raison de la couleur de sa peau.\n\n\Avant même que j'en prenne conscience, quand j'étais un enfant venu au monde dans le nord de la France, certaines personnes ne voulaient pas de moi à cause de qui je suis. Et pas seulement les gens. Mapropre famille très proche, en fait.\n\nC'est un souvenir douloureux, mais que je dois partager. Vous voyez, chaque année, le côté maternel de la famille organisait ce grand dîner de Noël chez une certaine personne. Ma mère est blanche. Mon père est noir. Il est originaire de Guadeloupe et il jouait professionnellement au basket en France lorsqu'ils se sont rencontrés. Ma mère avait déjà deux enfants blancs issus de sa précédente relation, et puis je suis venue au monde....\n\nEt pour certaines personnes, c’était un problème.\n\nAprès ma naissance, certains membres de ma famille lui ont fait comprendre très clairement qu'elle n'était pas la bienvenue au dîner de Noël si elle m'emmenait avec elle.\n\nElle aurait pu y aller seule. Mais elle ne pouvait pas amener «cet enfant». Elle ne pouvait pas amener Rudy.\n\nElle était dévastée. Et évidemment, elle a plutôt passé Noël avec moi. Elle leur a dit : \Si c'est ce que vous pensez, alors vous ne me verrez plus. Pas à Noël. Jamais. Je ne veux rien avoir à faire avec vous.\\n\nMa mère.... Que serais-je sans elle ?\n\nDès le premier jour, avant que je puisse me protéger, ma mère me protégeait. Les choses qu'elle a faites pour moi et mes frères et sœurs... c'est incroyable. Financièrement, nous n’avions pas grand-chose. Mon père est retourné en Guadeloupe quand j'avais deux ans et ma mère a dû assumer beaucoup de responsabilités. Nous vivions dans ce que nous appelons un HLM, un logement social. Des immigrants de tous horizons. Il se passait beaucoup de choses, c'était un endroit intéressant. Peu importe ce qui se passait, je me sentais toujours reconnaissant et heureux pour tout ce que j'avais. Je ne me suis jamais plaint, je n'ai jamais demandé à ma mère des choses que nous ne pouvions pas nous permettre.\n\nL'un de mes premiers souvenirs est celui d'être allé avec ma mère dans un petit magasin que cet organisme de bienfaisance (NDLR : les Restos du coeur) tenait le week-end. Pour une raison quelconque, c'était une période moins abondante pour nous, et vous pouviez obtenir des produits d'épicerie gratuits et des trucs comme ça. Pendant les vacances, ils avaient toute une table de jouets qui étaient offerts à tous les enfants.\n\nMa mère m'a dit que je pouvais choisir tout ce que je voulais pour mon cadeau de Noël. Je me souviens avoir choisi ce jouet vraiment cool et j'avais peut-être six ou sept ans. C'est à ce moment-là que j'ai commencé à réaliser à quoi ressemblait ma vie à l'époque, comparée à celle des autres enfants, et à ressentir ce sentiment de bonheur, mêlé de tristesse, mêlé de faim.... Alors que je jouais avec ce nouveau jouet, je me souviens avoir pensé : « Un jour, nous n'aurons plus à nous soucier de rien. »\n\nCe n’était pas vraiment une question d’argent ou de choses matérielles. Il s’agissait de se sentir à l’aise. En contrôle.\n\nCe petit souvenir m'est revenu dans le noir. C'était comme si cela se passait juste devant moi. C'était tellement vivant.\n\nEt ce n'est pas un triste souvenir. C'est la chose qu'il est important de réaliser. Ce n'est pas triste du tout. C'est beau.\
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Cholet : Nick Johnson opéré du tendon d'Achille
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Nick Johnson avait joué son premier match avec CB le 3 mars contre Limoges inscrivant 17 points mais il avait été victime d'une blessure à l’ischio-jambier. C'est pourquoi l'arrière américain n'a fait que trois apparitions avec l'équipe de Laurent Vila en Betclic Elite. Il s'est blessé au mollet face à Malaga en BCL et samedi face à Roanne c'est le tendon d'Achille qui a lâché.\n\nCholet Basket, qui vient de concéder deux défaites de rang en championnat -il est 8e avec 15 victoires et 14 défaites- doit déjà composer avec la blessure de Gérald Ayayi à la main. Il s'est assuré la signature de l'ailier américano-samoan Samuta Avea comme pigiste médical de ce dernier.\n\n
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L'équipe de France qualifiée pour les Jeux Paralympiques
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Ce tournoi était la dernière chance de se qualifier pour les JO de Paris. Le plateau comprendra ainsi l’Allemagne, le Canada, la France et les Pays-Bas qui rejoignent l’Australie, l’Espagne, les États-Unis et la Grande-Bretagne déjà qualifiés lors d’un précédent tournoi.\n\nLa dernière participation de l’équipe de France de basket fauteuil aux Jeux Paralympiques remonte aux JO d'Athènes en 2024.Ainsi, la France sera présente dans la totalité des 22 parasports que comprend le programme des Jeux de Paris 2024.\n\nL’équipe de France féminine va à son tour tenter de se qualifier lors du TQP qui débute ce mercredi 17 avril à Osaka au Japon.\n\nL'équipe de France masculine de basket fauteuil sera aux Jeux paralympiques de Paris 2024 🇫🇷\n\nOn se voit au mois d'août pour de nouveau vibrer avec les Bleus ✨@EquipeFRA I @FRAparalympique I @Paris2024 I @_IWBF #LastChanceForParis pic.twitter.com/Fhgjw3ugSd\n\n— FFHandisport (@FFHandisport) April 15, 2024\n\n\nUne victoire d’autant plus précieuse qu’elle revêt un caractère historique. Et pour cause, l’équipe de France de basket fauteuil n’avait plus participé aux Jeux Paralympiques depuis Athènes, en 2004. Une éternité.
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Vincent Collet et les JO : \Remonter sur le podium une deuxième fois...\
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Dans un mois Vincent Collet va livrer sa pré-sélection pour les Jeux Olympiques de Paris et cela cogite dans l'esprit du sélectionneur et de ses adjoints.\n\n\On a eu une réunion la semaine dernière avec mes assistants où on a resserré la liste, mais elle n’est pas encore au niveau de l’annonce de la présélection. Il y a encore des discussions sur certains postes, bien sûr. Dans le secteur extérieur, on n’a pas autant de... je ne dirais pas de certitudes, on n’en a jamais, mais il y a en tout cas beaucoup plus d’incertitudes que certaines années. Nos joueurs réalisent des saisons qui ne sont pas celles qu’on pouvait espérer.\\n\nParmi les préoccupations, le fait que les trois meneurs Frank Ntilikina, Théo Maledon et Killian Hayes ont été proprement éjectés de leurs franchises NBA.\n\n\C’est une difficulté supplémentaire. En plus, ce sont des joueurs qui sont jeunes et qui ne jouent pas. C’est un contexte très particulier. On va sans doute devoir en prendre au moins un parmi ceux qui ne jouent pas : ce n’est quand même pas classique, surtout à cet âge-là.\\n\nA propos de l'objectif des Bleus aux JO, voici ce que Vincent Collet répond :\n\n\Ce qui m’anime, c’est qu’on fasse la meilleure compétition possible. C’est remonter sur le podium une deuxième fois, parce qu’aucune équipe de France ne l’a fait. On avait fait des médailles en 1948 et en 2000 mais on n’a pas confirmé la fois d’après. Et pour moi, la pérennité devant une compétition olympique la plus relevée de l’histoire – parce qu’on peut considérer que 10 équipes sur 12 sont candidates au podium – ce serait incroyable. Je suis agacé lorsqu’on me dit : « Est-ce qu’on va battre les Américains ? » C’est très peu respectueux d’équipes comme l’Allemagne, championne du monde ; la Serbie, probablement la deuxième plus forte équipe derrière les Américains ; le Canada, qui nous a marché dessus l’année dernière... Il faut avoir beaucoup d’ambition, mais aussi l’humilité de comprendre qu’il faudra beaucoup se battre pour aller au bout. Avant de parler d’or, il faut déjà gravir les échelons. Après, on pourra se mettre à rêver. Ça ne m’empêche pas, parfois, lorsque je marche, de visualiser une finale. Ça m’arrive même assez souvent, je ne vais pas vous le cacher.\
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JO de Paris : 11 des 12 joueurs de Team USA auraient été choisis
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Cette liste comprend LeBron James des Lakers, Stephen Curry des Warriors, Kevin Durant des Suns et encore Joël Embiid des 76ers. Anthony Davis (Lakers), Devin Booker (Suns), Anthony Edwards (Timberwolves), Jayson Tatum, (Celtics), Jrue Holiday (Celtics), Bam Adebayo (Heat), et Tyrese Haliburon (Pacers) seraient les autres élus.\n\nKevin Durant est l'un des deux seuls joueurs à avoir remporté trois médailles d'or olympiques en basket-ball masculin, avec Carmelo Anthony. LeBron James participera à ses quatrièmes Jeux olympiques, alors que ce seront les premiers de Steph Curry et de Joël Embiid.\n\nHaliburton et Edwards sont les seuls joueurs de l'équipe de la Coupe du monde à se retrouver dans cette sélection pour les Jeux olympiques.\n\nLesÉtats-Unisseront en phase de groupes, avec la Serbie, le Soudan du Sud et le vainqueur du TQO de San Juan qui comprend l'Italie, Porto Rico, le Bahrein, la Lituanie, le Mexique et la Côte d’Ivoire.\n\nESPN Sources: USA Basketball is finalizing its 2024 Paris Olympics roster with Steph Curry, LeBron James, Kevin Durant, Jayson Tatum, Joel Embiid, Devin Booker, Tyrese Haliburton, Anthony Edwards, Jrue Holiday, Bam Adebayo and Anthony Davis. Team may initially keep one open spot. pic.twitter.com/kO7TREBVDK\n\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) April 15, 2024\n
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Jordi Fernandez, premier Espagnol à devenir coach en NBA
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Jordi Fernandez avait commencé sa carrière d'entraîneur dans son pays à 15 ans et il a fait également des séjours en Norvège et aux Pays-Bas. Arrivé pour la première fois aux Etats-Unis en 2004 pour participer à un camp d'été, l'Espagnol a déjà effectué une longue carrière sur les bancs de la NBA, aux Cleveland Cavaliers puis comme adjoint depuis 2016, aux Denver Nuggets et aux Sacramento Kings. Il a eu également des expériences en G-League.\n\nLe 14 décembre 2022, il avait franchi une nouvelle étape, puisque l'expulsion de Mike Brown lors d'un match lui avait permis de prendre en charge l'équipe des Kings pour quelques minutes. En 2023, il a été nommé entraîneur de l'équipe nationale canadienne qui a obtenu l'été dernier pour la première fois une médaille (en bronze) à une Coupe du monde, et avant cela, il a eu des expériences en G-League.\n\n« Si mon bon travail me donne cette opportunité (d’être head coach), je serai préparé. Je crois que je pourrai le faire\, a-t-il déclaré à l'Agence EFE en 2022.\n\nJosh Lewenberg, journaliste du média canadien TSN, a écrit :\n\n« Il est dans le basket depuis longtemps. Il a ce flair européen pour le basket-ball, ce qui est énorme parce que c'est ainsi que se déroule ce sport. C'est un grand leader, un grand communicateur et il est très intelligent.\\n\n\n
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Ousmane Dieng MVP des finales de G-League
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Ousmane Dieng (2,06 m, 20 ans) a cumulé 25 points dont 13 dans le premier quart-temps, ouvrant la voie à une victoire du Oklahoma City Blue. Il a converti 9 paniers sur 14 shoots, dont un 5/6 au-delà de l'arc, et ajouté six rebonds, quatre passes décisives et deux interceptions.\n\nOusmane Dieng, 20 ans, a été sélectionné comme 11e choix lors de la draft NBA 2022 et au cours des deux dernières années, le natif de Villeneuve-sur-Lot a joué 72 matches en NBA (33 cette saison à 4,0 points et 1,5 rebond) et 59 avec la filiale duThunder en G League.\n\nSon coéquipier Olivier Sarr (2,08 m, 25 ans) a été également en verve en réalisant un double-double avec 10 points et 13 rebonds, plus deux passes décisives, deux interceptions et un contre.