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user | Billetterie, réseaux sociaux... L'effet Ricky Rubio se fait ressentir à Barcelone |
assistant | Avec 11 points, 2 rebonds et 4 passes décisives, Ricky Rubio a été l'un des acteurs de la belle victoire de Barcelone ce dimanche contre son rival du Real Madrid (85-79). Le premier match au-dessus des dix points depuis son retour pour le champion du monde 2019, qui n'a pas encore retrouvé son meilleur niveau après une longue pause. Pourtant, le bénéfice de son retour en Catalogne semble largement dépasser le cadre du parquet.\n\n\nUne signature qui rapporte\n\nEn effet, au-delà de ses performances, le statut de star du meneur en Espagne a boosté les chiffres de vente du club. Cela s'est vu dès son premier match, contre Monaco le 1er mars dernier. Une rencontre qui a attiré 7 045 spectateurs au Palau Blaugrana, soit la troisième meilleure affluence de la saison, ainsi que le cinquième match qui a dégagé le plus de revenus dans l'histoire du club.\n\nPlus globalement, les ventes de billets ont bondi de 28 % depuis ce premier match par rapport au reste de la saison. Mais ce n'est pas tout. Sur les réseaux sociaux aussi, un véritable \effet Ricky Rubio\ a été constaté par le club espagnol.\n\nSur Instagram, les deux mois qui ont suivi la signature de l'international ont vu le compte du club gagner plus de 60 000 nouveaux abonnés et 500 000 interactions mensuelle supplémentaires. Les différents épisodes du retour de Rubio, comme les publications liées à son retour à l'entrainement, ont largement été suivies sur ces plateformes. À l'image de la confirmation de sa signature, qui a généré un record d'1,3 millions d'interactions. Un impact très fort et positif pour les Blaugranas, en attendant de retrouver le joueur de 33 ans au meilleur de sa forme. |
user | Marius Grigonis s’inscrit sur le long-terme au Panathinaïkos |
assistant | Sa première saison au Panathinaïkos n’était pas rentrée dans les annales, sa deuxième sous la houlette d’Ergin Ataman l’est bien davantage. Auteur d’un exercice remarquable tant en championnat grec qu'en Euroleague (10,1 points et 3,0 rebonds en 27 minutes en frôlant le 50-40-90 au pourcentage de tirs), Marius Grigonis a décidé de s’engager sur le long terme avec les Verts.\n\nComme révélé par Basket News, l’arrière lituanien a signé un nouveau contrat de trois ans, soit jusqu’à l’été 2027. Il a lui-même confirmé l’information après la victoire en Esake League ce lundi contre Rhodes (74-79). Un match où il a terminé MVP de la rencontre (23 points à 6/6 à 3-points, 5 rebonds).\n\n\C'était très important pour moi de trouver une équipe qui croit en moi plus d'une saison. Je suis heureux de rester avec ma famille en Grèce. J'attends avec impatience de voir comment l’équipe va se développer. L’équipe a une vraie marge de progression, car elle a tout. Elle a l'une des meilleures bases de supporters, l'une des meilleures villes, la météo... tout ! Cela peut être encore mieux qu’aujourd’hui dans le futur”.\n\nEn cas de victoire à domicile jeudi soir contre la lanterne rouge, l’Alba Berlin, le Panathinaikos, actuellement 2e au classement de l’Euroleague, validerait sa place dans le top 4 synonyme d’avantage du terrain en quarts de finale. |
user | Le Parisien T.J. Shorts nommé MVP de la saison d'Eurocup ! |
assistant | Mais où T.J. Shorts va-t-il bien pouvoir ranger ses trophées ? Le meneur américain du Paris Basketball doit avoir chez lui une grande armoire rien que pour ses titres de MVP. En moins d’un an, l’ancien de Bonn en a compilé cinq ! Nommé meilleur joueur de la Basketball Champion League (BCL) et de son Final Four, de la Bundesliga mais aussi, avec Paris, de la Leaders Cup, T.J. Shorts vient d’être élu par un cortège de fans, médias, coachs et capitaines d’équipe MVP de l’Eurocup. Vous avez dit, leader ?\n\nLe suspens était léger tant le Parisien a dominé la saison européenne tant sur le plan individuel que collectif (meilleur bilan de la saison régulière, 17-1, et invaincu en playoffs). Numéro un à l’évaluation (23,4 en moyenne), aux passes décisives (7,5) et aux tirs à 2-points réussis (5,9), deuxième aux points (18,0) et quatrième aux interceptions (2,0) au sein du club de la capitale, il a en plus en son sein cinq nominations de MVP de la journée (1, 10, 12, quarts et demi-finale).\n\nIl est le premier joueur issu d'un club français à recevoir cette distinction, qui survient au lendemain de sa désignation parmi le cinq majeur de la saison et quelques heures avant le lancement de la grande finale. Il succède à Jerian Grant au palmarès.\n\nNul doute que l’international macédonien est heureux d’obtenir ce nouveau trophée individuel mais que son plus beau cadeau serait de remporter l’Eurocup. Rappelez-vous de ce qu’il nous disait après la quête de la Leaders Cup, le premier trophée de l’histoire parisienne ? “Quand je joue, je ne pense jamais au titre de MVP. Mon objectif est seulement de gagner des matches. Les distinctions individuelles viennent toujours avec. Mon seul but est de faire ce dont l’équipe a besoin et je sais que je serai récompensé sur le long terme. Tout le monde voit mes statistiques mais on ne se rend pas compte du travail de mes coéquipiers pour me rendre la tâche plus facile. C’est une récompense avant tout collective car je ne pourrais pas briller sans eux.”\n\nUn bien bel exemple de résilience pour ce meneur de poche (1,75 m, 26 ans), écarté par les grandes universités américaines en raison de sa taille.\n\nLes trophées individuels de la saison 2023-2024 :\nMVP : T.J. Shorts (Paris)\nMeilleur jeune : Zaccharie Risacher (Bourg)\nCoach de l'année : Tuomas Iisalo (Paris)\nCinq majeur : T.J. Shorts (Paris), Matt Morgan (Londres), Isiaha Mike (Bourg), Trevion Williams (Ulm), Gabe Olaseni (Londres)\n\nITW T.J. Shorts, alias terminator, MVP de la Leaders Cup : “Le Paris Basketball a grandi ce week-end”Exceptionnel durant le weekend, particulièrement dans le moneytime de la finale contre Nanterre (90-85), T.J. Shorts, ou “terminator” comme le surnomme Tuomas Iisalo, a été élu MVP de la Leaders Cup 2024. Une distinction de plus à sa collection, pour le premier triomphe du Paris Basketball.BasketEurope.comClément Carton |
user | Une audience record pour la finale féminine de la NCAA |
assistant | Un succès médiatique historique. Si, traditionnellement, la finales du championnat universitaire (NCAA) constituent un véritable événement et sont très suivies aux Etats-Unis, l'édition féminine de 2024 a fait très fort.\n\nSelon ESPN, 18,7 millions de téléspectateurs ont assisté à la victoire de South Carolina contre Iowa (87-75), soit une augmentation de 89 % par rapport à la finale 2023. Un pic d'audience de 24 millions de téléspectateurs aurait même été enregistré en cours de match. Tout simplement le match du circuit universitaire féminin le plus suivi depuis 1992 !\n\n'24 #NCAAWBB Natl. Championship ended the season with a bang on ABC & ESPN\n\n🏀18.7M viewers, peak 24M\n🏀Up 89% from '23 & 285% from '22\n🏀Most-watched basketball game (men's or women's, college or pro) since '19\n🏀Most-watched sporting event since '19 (excl. football & Olympics) pic.twitter.com/0a4uwiOwgp\n\n— ESPN PR (@ESPNPR) April 8, 2024\n\n\nPlus fort encore, il s'agirait de l'événement sportif (professionnel ou universitaire, masculin ou féminin) qui a obtenu la plus forte audience outre-Atlantique depuis 2019, devant la Coupe du Monde de football et les Jeux Olympiques.\n\nDes données qui montrent l'ampleur de l'engouement autour de ce tournoi féminin de la NCAA en 2024, porté par les performances du phénomène Caitlin Clark jusqu'à cette fameuse finale. Même s'il n'y a pas eu de titre au bout, cela promet pour l'arrivée prochaine de la meneuse de jeu de 22 ans en WNBA. |
user | Equipe de France : Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane dévoileront leur liste le 16 mai |
assistant | C’est un sujet qui risque de passionner les suiveurs du basket français : qui ira aux Jeux Olympiques de Paris 2024 ? Les sélectionneurs des équipes de France masculine et féminine donneront quelques éléments de réponse le jeudi 16 mai prochain. Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane rendront publique leur liste pour la campagne de préparation aux Jeux Olympiques.\n\nNul ne sait combien de joueurs et joueuses seront retenus pour la prépa mais la certitude est que la liste définitive des 12 ne sera connue que quelques jours en amont de la compétition olympique, qui débutera le samedi 27 juillet à Villeneuve d'Ascq. Les Bleus ouvriront le bal le jour J contre le vainqueur du TQO de Riga tandis que les Bleues seront opposées au Canada le lundi 29 juillet. La phase finale aura lieu à l'Accor Arena (Bercy).\n\nJeux Olympiques : Décryptage des adversaires des Bleus dans le Groupe BL’équipe de France a hérité de l’Allemagne, championne du monde en titre, du Japon et du vainqueur du TQO de Riga (Lettonie) dans le groupe B aux JO de Paris 2024. Décryptage avec le sélectionneur Vincent Collet et son general manager Boris Diaw... et réactions de ses futurs adversaires.BasketEurope.comClément CartonJeux Olympiques : Décryptage des adversaires des Bleues dans le Groupe BL’équipe de France a été placée dans le groupe B avec l’Australie, le Canada et le Nigéria aux JO de Paris 2024. Décryptage des adversaires avec la general manager Céline Dumerc et le sélectionneur Jean-Aimé Toupane.BasketEurope.comClément Carton |
user | Yoann Cabioc’h futur coach de l'ASVEL féminin |
assistant | Le départ du coach David Gautier à la fin de son contrat avait été évoqué dès le mois de janvier. Trois mois plus tard, l’ASVEL a annoncé le nom de son successeur. Il s’agit de l’actuel assistant de David Gautier, Yoann Cabioc’h, dont le projet a visiblement séduit les dirigeants lyonnais. Lesquels avaient également discuté avec les techniciens espagnols Miguel Mendez, Victor Lapena ou encore Frédéric Dusart. Le Breton de 35 ans est sous contrat jusqu'en 2026.\n\n\nUne ascension fulgurante\n\nYoann Cabioc’h franchit ainsi un nouveau cap dans sa carrière d’entraîneur. Parti du bas de l’échelle à Pacé, il a gravi toutes les divisions nationales féminines. Il a connu cinq montées en division supérieure en 13 années de coaching, entraînant notamment Trégeux (NF2, montée en NF1), Le Poinçonnet (NF2, montée en NF1) ou encore La Glacerie (LF2).\n\nEn contact avec le coach franco-américain James Wade, ce dernier lui a permis de se fondre dans le staff du Chicago Sky en tant que coordinateur vidéo. Premier Français de l’histoire à intégrer le staff d’une franchise WNBA, Yoann Cabioc’h y a vécu quatre riches saisons et remporté le titre en 2021.\n\n“Nous avons reçu et étudié des candidatures plus expérimentées, mais avons jugé que ça n’était pas le bon moment et ce dont nous avions besoin. Il nous faut de l’audace, de l’envie”\n\nSi son expérience de coach principal à La Glacerie (promue en LF2 puis reléguée en NF1) s’est montrée moins prolifique, avec notamment une cascade de blessures, Yoann Cabioc’h a rebondi comme coach assistant de David Gautier à l’ASVEL Féminin depuis 2022, lui qui était initialement venu à Lyon pour travailler avec Pierre Vincent.\n\n“Le choix de Yoann, c’est le choix de la continuité d’une part, mais aussi la volonté de s’appuyer sur une réelle expérience : ce qu’il a vécu en WNBA, sa maîtrise du réseau du basket américain et ses connaissances vont nous ouvrir des perspectives pour des recrutements malins et audacieux à l’avenir. Le timing est le bon pour lui comme pour le club : Yoann a cette soif de découvrir le coaching de haut-niveau, de mettre en application sa vision, une vision qu’il nous a exposée et qui nous séduit vraiment. Et nous, nous défendons nos valeurs : authenticité, partage et audace. Yoann coche toutes ces cases. Nous avons reçu et étudié des candidatures plus expérimentées, mais avons jugé que ça n’était pas le bon moment et ce dont nous avions besoin. Il nous faut de l’audace, de l’envie... Yoann a ce profil et travaille beaucoup à perfectionner ce qu’il déploie”, indique la présidente déléguée Marie-Sophie Obama par communiqué.\n\nDepuis la reprise de l'ASVEL féminin par Tony Parker en 2017, Yoann Cabioc’h est le quatrième entraîneur à être nommé après Valéry Demory (2017-2021), Pierre Vincent (2021-2022) et David Gautier (2022-2024).\n\nCOMMUNIQUE : Yoann Cabioc'h, futur coach de LDLC ASVEL Féminin.\n\n➕ d'infos ➡️ https://t.co/1Gne90a5LD#ASVElles #BeBold pic.twitter.com/8yYhXwATEe\n\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) April 9, 2024\n |
user | Valérie Garnier (Fenerbahçe) au Final Four : «Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner» |
assistant | Situation peu ordinaire, Mersin est à la fois son adversaire actuel en finale du championnat (2-0 pour Fenerbahçe) et en demi-finale d’Euroleague. Ce Final Four à forte présence française sera le troisième de la carrière de Valérie Garnier, intronisée l’an passé au Hall of Fame de la FIBA, après ceux disputés avec Bourges en 2013 et 2014. Pour Basket Europe, la technicienne française plonge au coeur d’une saison intense et palpitante.\n\nValérie, en 2019, alors que vous dirigiez les Bleues pendant l’Euro, vous aviez appris sans ménagement, et de manière assez abrupte, que votre contrat avec Fenerbahçe n’était pas reconduit. Qu’est-ce qui vous a donné envie de revenir dans ce club aujourd’hui?\n\Pour remettre un peu les choses dans le contexte, j’avais effectivement quitté Istanbul en laissant toutes mes affaires là-bas, puisque j’avais déjà commencé à travailler sur l’équipe. Le contrat n’était pas signé et j’étais en fin de contrat, mais on avait commencé à travailler. Moi, j’étais focus sur mon Euro, j’avais confiance dans ma GM, je pensais que tout allait bien. Mais au fur et à mesure dans nos discussions, elle me disait qu’elle ne savait plus trop ce qui se passait, des choses comme ça. Et effectivement, la veille du début de l’Euro, on m’a annoncé qu’on ne renouvellerait pas mon contrat et que j’allais être remplacée. Et dans les quinze jours qui ont suivi, tout mon staff a pris la même direction...\n\nQu’est-ce qui a rendu ce retour possible, et vous a conduit à quitter les garçons de Tours (NM1) dont vous étiez la coach?\n\nLà quand ils ont rappelé, c'était cinq ans après, ce n’était plus la même équipe dirigeante, les responsables du basket ont changé. J’ai eu un bon contact avec la GM, et le membre directeur, M. Kemal, qui a pris contact avec mon agent, était quelqu’un que j’appréciais. Et puis Fenerbahçe aujourd’hui, c’est la place forte du basket féminin, avec l’absence des clubs russes. Quand ils se sont manifestés, j’étais à Manille (où elle a été intronisée au Hall of Fame de la FIBA), et quand mon agent Miloud Dahine m’a dit ensuite que Fenerbahçe me proposait un an de contrat... J’ai dit «Un an? Non je ne bouge pas, je suis bien chez les garçons». Et puis dans les heures qui ont suivi, c’était deux plus un. Ça permet de mieux travailler, et avec l’ambition, car le club venait de gagner l’Euroleague, de retourner au Final Four. Et moi, je n’en ai pas fait cinquante des Final Four; j’en ai fait deux avec Bourges. Donc, c’était une opportunité importante pour moi de retrouver le très, très haut-niveau. Qui plus est à Istanbul, une ville qu’on adore (avec sa compagne).\n\n«Il faut savoir quand même qu’aujourd’hui, on a fait 54 matches en 7 mois. Ça fait une moyenne de 8 matches par mois. On a eu une poussée à douze dans le mois de janvier... On a joué 54 matches, on ena perdu 2»\n\nEt avec des conditions de travail quasiment inégalées ailleurs?\nJe n’ai jamais caché combien j’avais aimé travailler là-bas. Oui, tous les jours, j’ai trois assistants, un préparateur physique, j’ai deux kinés, un masseur, un intendant, un team manager, une GM. C’est une configuration «équipe nationale», avec des gens qui sont employés 24h sur 24h. Ça aide. Comme les conditions de voyage. On a déjà fait du jet privé parce que les conditions ne permettaient pas de faire autrement, avec un calendrier surchargé. Il faut savoir quand même qu’aujourd’hui (après le deuxième match de la finale de championnat), on a fait 54 matches en sept mois!Donc on voyage dans les meilleures conditions. 54 matches, ça fait une moyenne de huit matches par mois. On a eu une poussée à douze dans le mois de janvier... L’idée c’est de finir mi-avril, pour pouvoir libérer les joueuses partantes pour la WNBA, et comme il y a beaucoup de fortes joueuses dans le championnat turc, il y a beaucoup de joueuses de WNBA. Elles viennent ici aussi parce qu’elles savent que mi-avril, elles peuvent partir.\n\nLe pendant de tout ça, c’est que Fenerbahçe est supposé tout gagner. Ça met une pression vraiment exacerbée sur le groupe?\nPas exacerbée, mais bon... On a joué cinquante-quatre matches, on en a perdu deux. Donc, on a gagné cinquante-deux matches. Vendredi dernier, on a commencé notre finale de championnat. C’était notre match le plus important. Dimanche, c’était le match 2, c’était notre match le plus important, et le suivant ce sera notre demi-finale d’Euroleague, oui, tout est crucial. Donc on prend les matches un par un, avec une équipe, un staff, des joueuses qui savent exactement où on veut aller.\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”Après deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L’internationale tricolore devra d’abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.BasketEurope.comClément Carton\n\nEst-ce une situation piégeuse et stratégiquement compliquée, de jouer la finale du championnat contre Mersin, face à qui vous menez 2-0, et qui sera aussi, et à domicile, votre adversaire en demi-finale du Final Four?\nCe ne sont pas les mêmes règles en championnat turc qu’en Euroleague. Enligue turque, ce sont simplement quatre étrangères qui sont autorisées. J’en ai neuf, dont huit qui peuvent jouer l’Euroleague, donc je suis obligée de faire une sélection à chaque match. Et entretemps, il faut quand même garder sur le pont, et en rythme, celles qui ne jouent pas, celles qui s’entraînent quand les autres jouent. C’est particulier. Comme de faire jouer le 3e match de cette finale de championnat, le 17 avril, à Mersin, trois jours après le Final Four... Donc nous on n’aura pas la même équipe au Final Four, et elles non plus. Les intentions de jeu sont les mêmes, mais les individus sont différents, donc il y aura forcément une adaptation à faire. Moi, j’ai des joueuses qui jouent beaucoup dont je sais qu’elles doivent récupérer comme Emma Meesseman, Kayla McBride, et d’autres qui ont besoin d‘entraînement. Il faut arriver au moment important de sorte que tout soit aligné, avec tout le monde dans un état de forme identique.\n\nCe Final Four a une forte identité française: il y a Villeneuve d’Ascq, Olivia Epoupa (à Mersin), Valériane Ayayi (à Prague) et Fenerbahçe, avec Marième Badiane, vous au coaching et Camille Aubert comme assistante. Qu’est-ce que ça vous inspire au sujet de la place du basket féminin français aujourd’hui?\nC’est plutôt un beau constat, une bonne nouvelle. Ça montre que le basket féminin français s’exporte bien àl’étranger, et qu’il existe dans les FinalFour d’Euroleague. La dernière fois, c’était - et je m’en souviens parce que les deux dernières fois qu’un club français était présent, je l’ai vécu - c’était en 2013 et 2014, avec Bourges. On avait fini troisième en 2013, et quatrième en 2014. Quand on va se confronter à ce qui se fait de mieux en Europe, c’est toujours bénéfique. Et aujourd’hui Villeneuve d’Ascq représente la France, c’est bénéfique pour l’ensemble du basket féminin français, celui des clubs, celui de l’équipe nationale.\n\n«Au Final Four, il y a deux matches à gagner, il n’y a pas de calcul, pas de session de rattrapage, dans ce format, tout le monde peut exister»\n\nVilleneuve d’Ascq va vivre son baptême du Final Four. Quels souvenirs gardez-vous de votre premier Final Four? C’est intimidant d’arriver comme le petit Poucet d’une compétition?\nNon... Enfin quand je dis, non, c’est parce que j’ai le souvenir de mon premier Final Four, en 2013, où, tout le temps qu’on y était, on a bien rigolé avec mon assistant. Parce que personne ne nous calculait. Parce que dans l’absolu, personne n’attendait rien de la petite équipe française. Il y avait eu d’abord un Final Eight, et quand on s’est retrouvé au Final Four, là, on a commencé à nous regarder. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Villeneuve a fait un beau parcours, a éliminé Miskolc qui était second de notre poule. C’est une vraie équipe, athlétique, qui développe un basket engagé. Et puis l’essentiel, c‘est d’être présent au moment clé. Ici, tout est rebattu, c’est quelque chose de très particulier. Il y a deux matches à gagner, il n’y a pas de calcul, pas de session de rattrapage, dans ce format, tout le monde peut exister. \n\nÇa veut dire que les paramètres essentiels du jeu d’une équipe peuvent être bouleverséspar l’enjeu et le format?\nC’est un format où tout le monde peut exister. Il peut se passer des choses qu’on ne prévoit pas. Lors du premier match de notre finale de championnat contre Mersin, j’ai vécu un truc que je n’avais jamais connu: mes joueuses ont terminé à 17/26 à trois points! C’est-à-dire à 65 %. Moi en tant qu’entraîneure, je n’avais jamais vécu ce pourcentage sur un nombre de tirs aussi élevé. Mais ce n’était pas la réalité du second match où on a terminé à 8/19, mais dans un match hyper défensif. Alors que le premier était beaucoup plus ouvert. Et je ne sais pas à quoi va ressembler ce troisième match. Ce que je sais, c’est que dans ces moments-là, c’est quand même très intéressant d’être bien en place et efficace d’un point de vue défensif.\n\nC’est toujours aussi primordial, pour vous, la défense?\nOui. Je reste persuadée que c’est ce qui fait gagner des titres. On a été meilleures défense en Euroleague, et aussi en championnat. Même si le curseur est parfois élevé en championnat. La défense, on peut la décider et l’appliquer. On ne peut pas faire 65 % àtrois-points tout le temps, ça peut arriver, mais on ne peut pas le contrôler. J’ai des joueuses qui prennent un plaisir non dissimulé à défendre fort, elles ont adhéré au projet. Même des joueuses que je n’attendais pas à ce niveau d’engagement défensif sont présentes. Elles ont du talent offensif, mais quand je vois qu’on a tenu Mersin à 64 points au match 2... quand je vois le comportement de joueuses comme Natacha Howard, qui contrôle les airs, Kayla McBride qui s’est mise à un niveau intéressant dans ce domaine,ou Emma Meesseman... Emma, on regarde toujours ce qu’elle fait en attaque, mais c’est une très, très grande joueuse défensive, sans parler d’Yvonne Anderson bien sûr. Le très haut-niveau, c’est ça, c’est être capable d’être efficace des deux côtés du terrain.\n\n«On est en mission, j’ai des joueuses qui connaissent bien ce terme. On n’a pas le temps, pas le droit de s’égarer»\n\nAvec Fenerbahçe, vous avez le statut du favori. Ce n’est pas trop lourd à porter?\nC’est un statut qu’on assume. Je connais les exigences de Fenerbahçe, et tout ce qui va avec. Par exemple, on a eu une sacrée pression, incroyable pour le match de Supercoupe que le club n’avaitjamais gagnée. C’était contre l’ASVEL, et ça s’est bien déroulé, face à une équipe diminuée par les absences. Après, il y a tous les matches contre Galatasaray, là, c’est interdiction de perdre. Et puis, il y a la Coupe de Turquie. On avait joué les 17, 20, 24, 27 et 30 décembre. Et le 2, 4et 5 janvier, c’était la coupe de Turquie. Qu’on gagne sur un tir au buzzer de Meesseman. Voilà, c’est pour tout pareil. Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner. À Mersin, on aura 15 % de la capacité de la salle, donc on aura quand même 1 200 supporters du Fenerbahçe, et ça fait du bruit. Ce sont de vrais fans. On est en mission, j’ai des joueuses qui connaissent bien ce terme. On n’a pas le temps, le droit de s’égarer. Gagner, c’est leur ADN. Si je suis revenue au Fenerbahçe, c’est parce que c’était une occasion unique de retrouver le Final Four. Il n’y avait que Fenerbahçe qui pouvait me sortir de mon équipe de garçons, où j’étais vraiment bien». |
user | Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures |
assistant | Dossier - La JL Bourg a enfin trouvé sa place en Europe\n\nSur le terrain, en tribunes et dans les médias, la JL Bourg est en train d’écrire la plus belle page de son histoire. L’équipe de Frédéric Fauthoux fait face au Paris Basketball en finale de l’Eurocup à compter de ce mardi soir (20h30).\n\nDossier - La JL Bourg a enfin trouvé sa place en EuropeSur le terrain, en tribunes et dans les médias, la JL Bourg est en train d’écrire la plus belle page de son histoire. L’équipe de Frédéric Fauthoux fait face au Paris Basketball en finale de l’Eurocup à compter de ce mardi soir (20h30).BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nEurocup : Paris étouffe Bourg-en-Bresse dans le match 1 de la finale\n\nLe Paris Basketball a étouffé la JL Bourg lors du match 1 de la finale de l'Eurocup. Les hommes du coach Tuomas Iisalo ont réalisé une impressionnante démonstration collective en première mi-temps. Le score final (77-64) est flatteur pour la Jeu.\n\nEurocup : Paris étouffe Bourg-en-Bresse dans le match 1 de la finaleLe Paris Basketball a étouffé la JL Bourg lors du match 1 de la finale de l’Eurocup. Les hommes du coach Tuomas Iisalo ont réalisé une impressionnante démonstration collective en première mi-temps. Le score final (77-64) est flatteur pour la Jeu.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nLe Parisien T.J. Shorts nommé MVP de la saison d'Eurocup !\n\nAprès ses titres en Allemagne, en BCL et en Leaders Cup plus tôt dans la saison, T.J. Shorts complète sa collection de distinctions individuelles en étant élu MVP de la saison d'Eurocup ! Un résultat logique tant le meneur de poche a dominé comme personne cette saison européenne avec le Paris Basketball.\n\nLe Parisien T.J. Shorts nommé MVP de la saison d’Eurocup !Jackpot pour T.J. Shorts : après le titre de MVP en BCL l’an dernier, le meneur de poche du Paris Basketball est nommé MVP de la saison 2023-2024 en Eurocup.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nEurocup : Paris ou Bourg, qui sera le 6e club français vainqueur d’une coupe d’Europe ?\n\nCe mardi, c'est le début de la finale d'Eurocup entre le Paris Basketball et la JL Bourg. Un affrontement franco-français, le deuxième en finale d'une coupe d'Europe, dont les Parisiens partent favoris avec un avantage du terrain qui leur permet de disputer ce premier match dans leur Adidas Arena.\n\nEurocup : Paris ou Bourg, qui sera le 6e club français vainqueur d’une coupe d’Europe ?Le Paris Basketball et la JL Bourg s’affrontent pour la deuxième finale franco-française de l’histoire d’une coupe d’Europe en deux manches gagnantes. Premier épisode ce mardi soir (20h30) à l’Adidas Arena.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nLe tournoi de qualification paralympique de basket fauteuil sur BeIN Sports\n\nCe week-end, le Tournoi Qualificatif Paralympique (TQP) aura lieu pour déterminer les quatre équipes qui participeront au tournoi paralympique dans quelques mois. Parmi les participants se trouve l'équipe de France, pas qualifiée d'office pour la compétition et qui affrontera l'Iran, le Canada et les Pays-Bas.\n\nLe tournoi de qualification paralympique de basket fauteuil sur BeIN SportsBeIN Sports diffusera du 12 au 15 avril le tournoi qualificatif paralympique (TQP) de basket fauteuil masculin, à Antibes, dont les matches de l’équipe de France qui affrontera l’Iran, le Canada et les Pays-Bas.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nEquipe de France : Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane dévoileront leur liste le 16 mai\n\nÀ quelques semaines du début du tournoi olympique de Paris 2024, les sélectionneurs des équipes de France masculine et féminine, Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane, vont dévoiler leur sélection pour la campagne de préparation. le jeudi 16 mai. Mais la liste définitive ne sera connue que quelques jours avant le début de la compétition.\n\nEquipe de France : Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane dévoileront leur liste le 16 maiLes sélectionneurs des équipes de France masculine et féminine, Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane, dévoileront leur liste pour la campagne de préparation aux Jeux Olympiques le jeudi 16 mai.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nYoann Cabioc’h futur coach de l'ASVEL féminin\n\nAprès avoir officialisé le départ de son coach David Gautier il y a quelque semaines, l'ASVEL féminin a annoncé le nom de son successeur : il s'agit de Yoann Cabioc'h, assistant-coach auprès de l'équipe première depuis deux ans. Sous contrat jusqu'en 2026, le Breton de 35 ans a convaincu sa direction de lui donner sa chance.\n\nYoann Cabioc’h futur coach de l’ASVEL fémininYoann Cabioc’h a été choisi par l’ASVEL féminin pour être le futur coach de l’équipe professionnelle à compter de la saison 2024-2025. Il était l’entraîneur assistant de David Gautier depuis deux saisons.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n |
user | Pro B : Ali Bouziane quitte Angers et remplace Rémy Valin à Denain |
assistant | Lanterne rouge de Pro B mais toujours en course pour le maintien, l’Étoile Angers Basket a annoncé ce mardi 9 avril le départ de son coach Ali Bouziane avec effet immédiat, alors même que l’équipe est attendue dans la soirée à Nantes pour y disputer un match capital pour sa survie dans l’antichambre. Une situation cocasse qui s’explique par les difficultés économiques du club angevin, qui n’a pas eu le moyen de recruter durant la saison, y compris afin de remplacer les nombreux blessés. L’ancien joueur de Gravelines et Dijon prend la direction de Denain.\n\n« Notre coach Ali Bouziane, par l’intermédiaire de son agent, nous a fait part le dimanche 7 avril de sa volonté d’être libéré de ses fonctions avec effet immédiat, explique le club par communiqué. Après avoir reçu et écouté Ali Bouziane sur ses motivations professionnelles et ses ambitions de carrière, nous avons pris la décision de mettre fin à notre collaboration d’un commun accord et d’officialiser son départ. Il a fait part de sa volonté de s’engager avec le club de Denain Voltaire. Ce qu’il considère comme une opportunité professionnelle qu’il ne peut laisser passer. Dans ces conditions, il nous est difficile de conserver un salarié à un poste aussi engageant. »\n\n🚨 Communiqué officiel - départ d'Ali BOUZIANE\n\nAli BOUZIANE par l’intermédiaire de son agent, a fait part au club la volonté d’être libéré de ses fonctions avec effet immédiat.\n\nPlus d'informations ⤵️#GagnonsEnsemble ⭐️ pic.twitter.com/faEb6UZXdl\n\n— EAB - Etoile Angers Basket (@EABasket49) April 9, 2024\n\n\nIronie de l’histoire, Ali Bouziane a dirigé son dernier match à Angers... contre Denain. Une victoire de l’EAB (82-71) qui a poussé le coach Rémy Valin vers la sortie dans le Nord. La durée de son nouveau contrat pourrait être de deux saisons selon BeBasket.\n\n\nJohn Delay prend les commandes à Angers\n\nAngers va donc confier le coaching à son premier assistant, John Delay, jusqu’à la fin de la saison... sauf revirement de situation. Quant à Ali Bouziane, il devrait diriger son premier match avec les Dragons ce vendredi 12 avril à Fos-sur-Mer. Un duel déjà crucial pour le maintien.\n\nÀ 6 journées de la fin de la saison de Pro B, Angers (8-20) est dernier, Évreux et Fos-sur-Mer (9-19) sont 17e et 16e, Denain est juste devant (10-18) tandis qu’Aix Maurienne s’est donné un peu d’air par rapport à ses concurrents (11-17). Rien n’est fait.\n\nITW Rémy Valin, coach de Denain: «Je suis un dinosaure»À 46 ans, Rémy Valin est un vieux grognard de la Pro B, revenu l’été dernier à Denain après une brève apparition dans l’élite avec Fos. Le coach idéal pour faire part de ses expériences. Entretien.BasketEurope.comPascal Legendre |
user | Eurocup : Paris étouffe Bourg-en-Bresse dans le match 1 de la finale |
assistant | Après Limoges (1982, 83, 88, 93 et 2000), Orthez (1984), Nancy (2002), Nanterre (2015 et 17) et Monaco (2021), Paris est à 40 minutes de s’inscrire comme étant le sixième club français vainqueur d’une Coupe d’Europe.\n\nLe match s'est résumé à sa première mi-temps au cours de laquelle le Paris Basketball a mis son adversaire dans les cordes. T.J. Shorts (15 points et 20 d'évaluation au final) a été une fois encore l'architecte de la victoire parisienne mais c'est le fait que chaque élément s'emboîte parfaitement aux autres qui a été frappant et épatant et l'intensité parisienne ne s'éteint (presque) jamais. La JL a concédé 19 balles perdues, a loupé 20 de ses 24 shoots derrière l'arc et si, par exemple, Zaccharie Risacher s'en sort avec 11 points, c'est en grande partie un total - le meilleur de son équipe - constitué quand les cierges étaient éteints.\n\nSi elle veut toujours croire à la possibilité de graver son nom sur le trophée, la JL Bourg doit prendre sa revanche le 12avril à Ekinox avant de disputer une belle, le 15avril, dans la capitale. C’est loin d’être mission impossible. Le 16décembre, les Bressans y sont parvenus en championnat, 83-81.\n\n\nÀ fond des deux côtés du terrain\n\nL’Eurocup n’est plus réellement la C2 et partage pour le moins l’appellation avec la Basketball Champions League. Le niveau de la compétition a baissé du fait de l’éjection des clubs russes des compétitions internationales et conjointement de la montée à l’étage supérieur de ses derniers vainqueurs, Valence, Monaco et la Virtus Bologne; Gran Canaria ayant refusé l’année dernière de s’engouffrer dans la coûteuse Euroleague. On peut remarquer aussi que l’actuel co-leader du championnat espagnol, Unicaja Malaga, est engagé en BCL.\n\nTout a déjà été écrit sur l’ascension vertigineuse du Paris Basketball parti d’une feuille blanche en 2018 sous le guidage de deux investisseurs américains, Eric Schwartz et David Kahn. L’équipe a dû sa présence en Eurocup à une invitation, a un moment tangué avant d’être propulsé au sommet grâce aux méthodes audacieuses du coach finlandais Tuomas Iisalo et la présence de six joueurs (Sebastian Herrera, Michael Kessens, Leon Kratzer, Collin Malcolm, TJ Shorts, et Tyson Ward) venus directement du Telekom Bonn, vainqueur de la BCL en 2023, et qui ont formé ainsi une solide fondation. Le Paris Basketball joue un run and gun ébouriffant (98,4 points de moyenne en Eurocup avant cette finale), une défense tout aussi intense, avec des rotations incessantes. Jamais la patte d’un coach ne s’est faite autant ressentir au sein d’une équipe française depuis celle de Bozidar Maljkovic à Limoges, il y a trente ans.\n\n«Oui, c'est notre style de basket : courir, jouer avec intensité et choquer les équipes adverses» confirme Nadir Hifi. «Mais c'est notre façon de jouer au basket. Nous ne comptons pas les statistiques ni les points qu'ils ont marqués contre nous. Nous voulons juste gagner chaque match.»\n\nComme l’a démontré notre enquête, le Paris Basketball n’a pas été construit avec des millions de dollars. L’ensemble de ses joueurs est à moins de 150 000 euros la saison, à l’exception de T.J. Shorts (340 000 euros), MVP de l’Eurocup, et du néo-international Nadir Hifi (175 000 euros), qui a été inclus dans le deuxième cinq all-stars de la compétition, qui sont loin d’être surpayés étant donné leur rendement. Quant à Tuomas Iisalo, il n’apparait que 4e dans la hiérarchie des coaches les mieux rémunérés de l’élite derrière ceux d’Euroleague, Sasa Obradovic, Gianmarco Pozzecco et TJ Parker. C’est pourquoi le Finlandais déclare que tout le monde a laissé de l’argent sur la table en rejoignant le Paris Basketball.\n\nLe club de la capitale n’a concédé que 8défaites dans les 53matchs joués toutes compétitions confondues avec un 21 sur 22 en Eurocup (une défaite de cinq points face à Besiktas à la fin novembre) et il est maintenant sur une série de 18 victoires d’affilée. Seul Monaco, troisième équipe dans la hiérarchie européenne à ce jour, a réussi réellement à le dompter (84-62 et 85-92).\n\n💬 Nadir Hifi : \On est content de ce début de match mais ce n'est pas fini !\\n\nLes mots de @NadirHifi au micro de @NielsOnimus à la mi-temps de ce game 1.#SKWEEKLive pic.twitter.com/8bq5WAMwYr\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 9, 2024\n\n\n\n+25 à la 20e minute\n\nC’est dans une Adidas Arena à guichets fermés forte de 8 000spectateurs que s’est joué ce Match 1 alors que les tarifs les plus bas étaient modérés, 19, 25 et 36 euros. Une magnifique enceinte digne d’un tel évènement même si on peut regretter qu’elle soit d’une capacité aussi limitée. L’ambiance est assurée à la fois par une sono et un cube central niveau NBA et le groupe de fans jeunes et dynamiques des Parisii.Le public parisien qui découvre peu à peu l’arena et son équipe n’est pas -encore - le plus aiguisé d’Europe - ce n'est pas la Stark Arena de Belgrade - mais il se prend au jeu. Les quelques dizaines de supporters venus de l’Ain ont été noyés dans le Capharnaüm.\n\nT.J. Shorts faisait apprécier tout de suite à Zaccharie Risacher sa capacité à armer un tir imparable à distance intermédiaire et à tous celle à maîtriser le tempo offensif parisien et son moteur inépuisable. A peu près tout passe par lui. Kevin Kokila ramassait deux fautes en trois minutes et face à la défense turbulente des Parisiens, la JL avait du mal à ajuster ses shoots (3/11 pour commencer). La situation au score des Burgiens se dégradait peu à peu. 7-3, 15-7, 21-9 (8e) et 23-11 à la fin du premier quart-temps.\n\nA 25-11, deux trois-points consécutifs de JeQuan Lewis ont rallumé l’espoir de la JL. Une accalmie de courte durée. Les Burgiens butaient sur un bunker et Paris remettait le turbo: 33-17 sur un panier à trois-points de Nadir Hifi. Les équipiers d’Axel Julien n’avaient souvent pas d’autres choix que de faire faute. D’ailleurs coach Freddy Fauthoux récoltait une technique. Un moyen comme un autre pour provoquer un électrochoc. Qui ne venait pas même si Zaccharie Risacher montrait par éclairs ses compétences près du panier. Mais quand T.J. Shorts était sur le banc pour un peu se reposer, Mehdy Ngouama faisait le job à la mène et c’est via un trois-points de sa part que l’écart était monté à +20 (45-25).\n\nTJ Shorts pénétrait dans la défense de la Jeu comme couteau de cuisine dans du beurre ramolli. Quand il faisait passer le score à 52-29 sur un 2+1, les Parisii hurlaient «MVP... MVP...», ce qui est juste la réalité. Les Burgiens étaient en plein désarroi. Isiaha Mike bafouillait deux fois sur son dribble et le ballon filait dans les décors. Puis c’était au tour de Zaccharie Risacher de perdre les pédales. Un pic était observé à 54-29 avant que la mi-temps soit clôturée à 54-31.\n\nLA PRESSION PARISIENNE 🥵\nLE DUNK DE JUSTIN SIMON 🔨\n\nQuel match du @ParisBasketball ! ⚡️#SKWEEKLive pic.twitter.com/7rLQ0aU4rh\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 9, 2024\n\n\n\n20 minutes de garbage time\n\nTout avait été dit en première mi-temps. Le but de la Jeu était de limiter la casse pour ne pas retourner dans l'Ain avec le moral dans les chaussettes. On notait davantage de scories dans le jeu parisien et le fait que la balle circulait mieux à Bourg mais aussi que la finition laissait toujours à désirer. Le temps filait et la JL faisait un peu baisser la note, de 60-33 à 65-43 (30e).\n\nUn relâchement du Paris Basketball ? C'est interdit dans les tables de la lois de Tuomas Iisalo. Chaque action des Burgiens était systématiquement contestée. Zaccharie Risacher claquait un dunk surpuissant, laissait s'échapper sa frustration en criant de toutes ses forces, mais une fois sur la ligne, il avait droit à des tranchants \surcoté, surcoté\ de la part du kop parisien, qui sait très bien appuyer là où ça fait mal.\n\nLes Burgiens verront peut-être un motif d'espoir d'avoir infligé à leurs rivaux un run de 0-8 à un moment du dernier quart-temps (71-46 à 71-54), puis un 3-15. Ils ont réussi à éviter un trop gros débours sur la feuille de marque, mais c'était après vingt minutes de garbage time ou quelque chose de la sorte.\n\nLes Parisii ont cherché à ce que chacun reprenne le \qui ne saute pas n'est pas Pari-sien...\ Malgré leurs efforts, il y a eu des défections dans les rangs, mais pour un un jeune public parisien - très gâté -, c'était déjà pas si mal.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nA Paris. |
user | Finale de l'Eurocup : Avantage Paris, mais Bourg n'a pas dit son dernier mot |
assistant | Sur le papier, l'opposition 100 % française, en finale de l'Eurocup, entre une JL Bourg qui écrit actuellement la plus belle page de son histoire et un Paris Basketball à l'ascension fulgurante promettait beaucoup. Finalement, il n'y a pas vraiment eu de match ce mardi à l'Adidas Arena (77-64). La faute à une équipe parisienne qui a rapidement su installer son infernal rythme de jeu pour déborder un adversaire burgien sans solution dès le premier quart temps, conclu sur le score de 23 à 11. Une entame de match réussie qui a mis en bonne position l'équipe dirigée par Tuomas Iisalo dans ce match 1 très important à domicile. Après la rencontre, le technicien finlandais parlait d'ailleurs d'une \excellente première mi-temps, avec une intensité défensive incroyable et un jeu offensif de haut niveau\, permettant à ses joueurs de compter 23 points d'avance au moment de regagner les vestiaires (54-31).\n\nSi la deuxième moitié du match a vu l'adresse des locaux diminuer, ils n'ont jamais véritablement perdu le contrôle du match, s'appuyant notamment sur un défense toujours aussi solide : \La seconde mi-temps a été décevante de notre côté, Bourg a commencé à modifier sa défense\, confirme Iisalo. \Cela nous a posé quelques problèmes, mais je pense aussi que notre concentration n'était pas au même niveau qu'en première mi-temps. [...] Mais laisser l'une des meilleures équipes européennes à 33 points en seconde période, c'est plutôt bien. Il ne faut jamais oublier que le basket-ball est un jeu où on peut réussir ou rater. En première mi-temps, des tirs très difficiles sont rentrés, et en seconde période, on a raté des tirs ouverts.\Qu'importe, Paris n'a pas eu besoin d'être adroit pendant 40 minutes pour impressionner.\n\n\Que ce soit marquer, passer ou défendre, j'essaie de faire un peu de tout pour aider notre équipe à gagner\\n\nSi le collectif parisien a une nouvelle fois prouvé à quel point il pouvait se révéler destructeur une fois lancé, il a également pu compter sur son maître à jouer, T.J. Shorts. Pas rassasié par son tout récent titre de MVP de la compétition, le meneur de poche a une encore guidé son équipe d'une main de maître (15 points, 3 rebonds, 4 passes décisives, 2 interceptions et 7 fautes provoquées). De quoi s'attirer une nouvelle fois les louages de son coach : \C'est comme si T.J. prenait toute l'énergie, qui distrait et conduit les autres à une mauvaise performance, pour la mettre dans son jeu. C'est quelque chose de très rare. En fait, j'aurais aimé avoir moi-même cela en tant que joueur, mais c'était le contraire (sourire). C'est un individu unique, je l'ai répété à de nombreuses reprises\.\n\nLa vitesse de zinzin, T.J. Shorts est injouable sur le moindre mismatch ! 😳@ParisBasketball x @EuroCup#SKWEEKLive pic.twitter.com/rDakPGAgdG\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 9, 2024\n\n\nPourtant, loin de vouloir prendre la lumière, l'Américain préférait se concentrer sur le collectif et l'objectif rempli de remporter ce premier match : \J'essaie juste de donner confiance à mes coéquipiers, de donner le ton afin que mes coéquipiers se sentent plus à l'aise. Que ce soit marquer, passer ou défendre, j'essaie de faire un peu de tout pour aider notre équipe à réussir\. Avant de saluer la belle ambiance qui a régné pendant toute la soirée dans les travées d'une Adidas Arena pleine, avec 8 000 supporters prêts à donner de la voix : \C'était incroyable. Merci à tous ceux qui ont fait de cette Arena notre maison. Ils ont été géniaux toute l'année, cela continue de croître et j'espère qu'ils continueront à nous soutenir à travers les hauts et les bas, quoi qu'il arrive à l'avenir. Mais ce soir, c'était génial. Je suis reconnaissant envers tous ceux qui sont venus\.\n\n\nUne soirée sans pour Bourg-en-Bresse\n\nCôté burgien, la soirée s'est révélée bien plus amère. Alors qu'elle espérait surprendre son adversaire et réaliser un coup dans la capitale ce mardi, la JL Bourg s'est rapidement heurtée au mur parisien. L'équipe de Frédéric Fauthoux a affiché un visage bien pâle, au grand désarroi du coach de 51 ans : \Je suis très déçu car on a fait une très mauvaise première mi-temps. Ce n'était pas notre basket\, a tonné le Landais en guise d'introduction en conférence de presse d'après-match. \On n'a pas eu la bonne agressivité pour jouer une finale, on a trop respecté cette équipe. On perd le match en première mi-temps. Après, c'était mieux, mais pas suffisant\.\n\nReconnu pour l'intensité de son jeu, le Paris Basketball a submergé les Aindinois ce mardi soir, comme le regrette Fauthoux : \On le savait, ils poussent, ils accrochent, ils jouent à la limite. Et on n'a pas été prêts à jouer là-dessus. On n'a tenu aucun contre. [...]Aucun des 11 joueurs qui ont joué en première mi-temps n'était au niveau d'une finale d'Eurocup, tout simplement\. En effet, il a été bien difficile de reconnaitre l'équipe burgienne qui a mené sa barque avec maîtrise jusqu'à sa première finale européenne ce mardi. Des difficultés également évoquées par Axel Julien quelques minutes après la fin du match : \C'est entièrement de notre faute. Ils ont très bien joué, ça, c'est sûr, mais c'est nous qui n'avons pas été à la hauteur de l'enjeu. [...] On a manqué un peu d'adresse aussi. C'est un peu notre problème : quand on ne défend pas bien, on n'est pas adroits. Parce que forcément, quand une équipe prend 10-15 points très vite, il faut mettre tous les tirs et on le sait\.\n\nLa deuxième partie de la rencontre a tout de même permis aux Burgiens de limiter la casse et de finir ce match 1 sur une note moins salée : \On a montré de belles choses en seconde mi-temps, c'était beaucoup mieux. On a vu comment on voulait jouer contre eux. Bien sûr, cela donne des motifs d'espoir\, confirme le coach de la JL. Peu expérimentée à ce niveau de la compétition, son équipe a-t-elle payé pour apprendre face à un adversaire dont la moitié de l'effectif et la totalité du staff peuvent s'appuyer sur le vécu commun d'une victoire en BCL la saison dernière ? Axel Julien n'écarte pas totalement cette explication : \Je ne sais pas si cela nous a perturbé, mais c'est quelque chose que beaucoup de personnes de l'équipe n'ont pas encore connu. On a aussi eu un match à l'extérieur pour commencer, ce qui ne nous était pas encore arrivé\. Une fois la défaite digérée, les Burgiens devront rapidement se tourner vers le match 2, prévu ce vendredi dans leur antre d'Ekinox.\n\n\nUn match 2 pour remporter le titre ou prolonger la série\n\nCe rendez-vous, Freddy Fauthoux l'attend déjà avec impatience, en espérant pouvoir prouver que son équipe vaut mieux que ce qu'elle a montré au match 1 : \Ce (mardi) matin, il nous fallait deux victoires pour gagner l'Eurocup. Il nous en reste toujours deux à aller chercher. Le prochain (match) sera chez nous. Donc, je pense qu'il y aura une autre atmosphère, un autre état à l'esprit, ça sera un tout autre match. On joue une finale d'Eurocup, Je ne suis pas sûr que dans notre carrière, on va en jouer beaucoup. Vendredi, on n'a plus droit à l'erreur\. Un message bien reçu par son arrière, qui parle de son côté de \venir avec d'autres intentions et essayer de forcer un match 3\.\n\nUne troisième rencontre que Tuomas Iisalo et ses hommes préfèreraient évidemment éviter. Pour cela, il faudra l'emporter sur le parquet adverse, une condition que les Parisiens n'avaient pas remplie en Betclic Elite au mois de décembre (83-81). De quoi inciter l'ancien coach de Bonn à faire preuve de prudence : \Dans l’ensemble, c’est une victoire très importante pour nous, mais rien n’est encore fait. On s'attend à un match de très haut niveau vendredi, il faudra être prêts\. Alors, ce match 2 permettra-t-il à Bourg d'entretenir l'espoir ? Ou débouchera-t-il sur le premier titre européen d'une équipe de Paris assoiffée de succès collectifs ? Réponse dans moins de 72 heures.\n\n\n\nÀ Paris, |
user | Vidéo : Les highlights de Paris-Bourg |
assistant | null |
user | Les stats du top 10 de tous les temps des Français en Euroleague |
assistant | Nando De Colo est dominant en points, moyennes de points, évaluations et aussi en interceptions mais c’est Fabien Causeur qui apparait comme numéro 1 aux matches joués avec sa carrière passée à Cholet, Vitoria, Bamberg et au Real. Seuls Thomas Heurtel et Adrien Moerman ne sont plus actifs dans la compétition.\n\nPar Darius Garuolis |
user | NBA : Un record de points pour Evan Fournier... Est-ce si important ? |
assistant | 66e défaite pour les Detroit Pistons face aux Philadelphia Sixers (120-102) mais ce que l'on retient c'est qu'Evan Fournier a bien utilisé les 26 minutes mises à sa disposition avec 21 points à 7/11 aux shoots dont un 3/5 à trois-points. Le fait qu'il soit actif paraît être par ricochet une bonne nouvelle pour l'équipe de France, mais ce n'est pas totalement le point de vue de l'intéressé comme il le déclare dans Le Parisien.\n\n\C’est quelque chose que j’ai entendu dans les médias, mais ce n’est pas forcément comme cela que je vois les choses. Que j’ai joué ou pas ces derniers mois, honnêtement, je ne pense pas que cela aurait changé grand-chose dans mon jeu, mes sensations ou mes performances dans l’optique des JO. De toute façon, tu recommences à zéro pour les Jeux. Là, je rejoue mais les JO ne vont pas commencer avant trois bons mois. Je vais à nouveau m’arrêter, on va recommencer une préparation et jouer des matchs amicaux. En revanche, ce que je ne contrôle pas, c’est comment les gens me voient. Peut-être que le fait que je rejoue les rassure, mais de mon côté ça ne change rien.\\n\nEvan Fournier n'a plus que 3 matches à jouer avec les Pistons, la pire équipe de la ligue (13-66). D'une façon plus générale, voici ce qu'il déclare à propos des JO, un an après la déconvenue à la Coupe du monde.\n\n\On est remonté. On ne peut pas se cacher par rapport à ça. Il y a clairement un sentiment de revanche. On a envie de se racheter. Sur le papier, défensivement, il y a moyen que ce soit joli. Il va falloir qu’on mette tout cela en place, qu’on bosse tous très bien et qu’on se mette tous d’accord sur ce qu’on veut faire. Et puis surtout qu’on soit ensemble.\\n\nEVAN FOURNIER 🇫🇷\n\n21 POINTS\n7-11 au shot\n3-5 à 3-points\n4-4 au lancer\n+ 3 REB / 1 STL / 2 BLK pic.twitter.com/XTfWXzPOSw\n\n— NBA France (@NBAFRANCE) April 10, 2024\n |
user | Pro B : Angers au fond du trou |
assistant | L'annonce en début d'après-midi du départ du coach Ali Bouziane pour Denain a fait l'effet une petite bombe car c'est une décision inhabituelle à ce stade de la saison. Angers a des problèmes financiers et Ali Bouziane n’avait pas pu enrôler des pigistes médicaux comme il le souhaitait. Denain ne va pas beaucoup mieux sportivement mais les perspectives sont meilleures que pour le club du Maine-et-Loire. Bon dernier de Pro B avec 8 victoires, Angers n'avait pas besoin de ça pour être dans les cordes et le Nantes Basket Hermine, qui restait sur une seule victoire en huit rencontres, en a profité pour se requinquer.\n\nBryce Nze (14 rebonds) a gagné la bataille des airs tout en distribuant 7 passes, et Devon Thomas (22 points) et Christian Lutete (21) ont mis les petits plats dans les grands en attaque. A l'inverse, les Angevins ont été dominés dans à peu près tous les secteurs (42 à 20 au rebond), seul Darel Poirier (19 points) et Stephan Gauthier (14) étant capables d'alimenter correctement la marque. Les Nantais se sont gavés à l'évaluation : 155 à 57. Du rarement vu.\n\n« Pas besoin de faire un dessin, ce n'est pas la joie dans le vestiaire. C'est une soirée qu'il faut complètement oublier, a soupiré John Delay promu coach à l'improviste, rapporte Presse Océan. Rien n'a fonctionné comme on le voulait du début à la fin. J'ai des joueurs qui n'ont jamais rien lâché de la saison. Ce soir, on ne fait pas abstraction mais on a essayé de faire avec. Maintenant, il faut regarder devant. » |
user | BCL : Trois clubs espagnols au Final Four ? |
assistant | Si la France est dominante en Eurocup en plaçant Bourg et Paris en finale, c'est l'Espagne qui rayonne sur la BCL.\n\nL'Unicaja Málaga a battu Promitheas Patras par 83 à 90 grâce à un meilleur troisième quart-temps. Tyler Kalinoski a marqué 23 points et David Kravish a terminé avec 15 points et un PIR (évalution) de 21. Pendant ce temps, l'UCAM Murcia a dominé Ludwigsbourg, 72 à 85. Marko Todorovic a été le meilleur marqueur avec 17 points et jusqu'à 5 joueurs de Murcie ont totalisé10 points ou plus.\n\nC'est au tour de Lenovo Tenerife de se rendre ce mercredi soir à Tofas Bursa après avoir remporté le match aller, 83-77.\n\nLe quatrième ticket ne sera pas espagnol puisque la série oppose Peristeri à Bonn. Les Allemands, tenants du trophée mais avec une équipe complètement renouvelée puisque son coach et six joueurs sont partis à Paris, ont gagné la première manche, 89-78. |
user | Betclic Elite : Nadir Hifi élu Joueur du Mois de Mars |
assistant | Quelle saison pour le Paris Basketball ! Vainqueur de la Leaders Cup, actuellement deuxième de la saison régulière derrière Monaco, vainqueur de la première manche de la finale de l'Eurocup, le Paris Basketball a vu TJ Shorts être élu MVP de l'Eurocup et Tuomas Iisalo coach de l'année. Et qui avait été élu Joueur du Mois de Février de la Betclic Elite ? TJ Shorts !\n\nC'est donc son équipier Nadir Hifi qui a eu les honneurs pour le mois de mars où il a tourné à 19,6 points de moyenne avec notamment 35 points en 22 minutes face à Nancy.\n\nLe résultat des votes : Nadir Hifi (Paris, 42%), Neal Sako (Cholet, 30%), TJ Shorts (Paris, 16%), Justin Bibbins (Nanterre, 12%). |
user | Portrait - Janelle Salaün, l'éloge de la détermination |
assistant | C’est en regardant les Braqueuses à la télévision avec sa grand-mère que Janelle Salaün, 11 ans, a su. “C’est ce que je veux faire”, a-t-elle lancé à sa mère, elle-même ancienne basketteuse à l’échelon national. Vous connaissez la suite. Douze ans plus tard, la jeune femme va vivre son premier Final Four d’Euroleague avec Villeneuve d’Ascq et probablement, dans une centaine de jours, les Jeux Olympiques de Paris. Des honneurs réservés à une petite élite sur la planète. Deux objectifs d’une carrière qu’elle veut la plus longue possible et qui s’apprêtent à être cochés pour ce talent de la fameuse génération 2001, d'abord passé sous les radars.\n\nQuand Marine Fauthoux et Iliana Rupert, deux autres membres de cette génération dorée, suivaient leur papa dans les gymnases, Janelle Salaün était encore loin de s’imaginer avec une balle orange dans les mains. Ce retard inné l’a suivi jusqu'à peu. “Elle est récompensée aujourd’hui mais tout n’a pas toujours été facile, se remémore Inna Sissoko, sa maman. Elle a commencé plus tard, elle avait moins de technique, elle n’a pas toujours été mise en avant. Mais elle a toujours énormément travaillé. C’est ce qu’ils ont détecté à l’INSEP. Elle arrivait toujours 1h30 avant et repartait bien après l’entraînement.”\n\n“On m’a souvent sous-estimée, considérait encore l’intéressée en janvier dernier dans Basket Le Mag. Je ne faisais pas partie des têtes d’affiche de la génération 2001. Quand les gens parlaient de cette génération, ils ne me mettaient pas dedans. Aujourd’hui, je performe, donc on m’inclut dedans, mais avant, à l’INSEP, j’étais encore au stade de potentiel. Personne ne me connaissait, personne n’avait idée de qui je pouvais devenir. Moi-même, je ne savais pas que j’allais pouvoir sortir du lot”. La détermination a fait le reste.\n\n\nDes gènes d’athlète\n\nAvant de devenir professionnelle, il y a eu bien des étapes. La première à Orly, dans le Val-de-Marne. Sa maman, hôtesse de l’air, toujours un oeil sur les nuages et un autre sur les matches de ses enfants, rêvait elle-même de faire du basket son métier, elle qui a notamment évolué en N3 et N1 à Évry, mais c’était une autre époque. Elle n’a jamais poussé ses enfants à jouer à son sport de prédilection mais Inna Sissoko s’est résolue, après la médaille d’argent des filles aux JO de Londres, à inscrire “mademoiselle” à la rentrée 2012 tout en l’accompagnant dans son club comme éducatrice.\n\nAvant cela, Janelle n’aime pas que sa mère le répète mais... “Elle était très forte dans tous les sports”. En GRS (gymnastique rythmique et sportive) ? “Elle arrivait très bien à faire des roulades et rattraper un cerceau ou un ruban, ce qui demandait une bonne coordination”. En athlétisme ? “Elle courait très vite. Les haies, le relais, la course... elle adorait ça. On l’a même comparé à Marie-José Perec”, esquisse Inna Sissoko dans un sourire. Un sport où la grande sœur de Tidjane - qui brille cette année à Cholet - aurait pu exceller, comme sa grand-mère maternelle. Mais il a fallu choisir et c’est la balle orange qui l’a emporté.\n\nL’intérieure de Villeneuve d’Ascq a hérité de ces gènes de sportifs en étant toujours plus grande que la taille ordinaire. Ses parents ne mesurent pas les 2,01 m et 1,90 m des parents Wembanyama - par ailleurs des amis de la famille Salaün puisque Eve, la grande sœur de Victor, qui a lui-même un an de plus que le petit frère Tidjane, est aussi issue de la génération 2001 - mais les 187 cm du papa et les 177 cm de la maman ont forcément joué en sa faveur (1,90 m).\n\nEt pendant les vacances, pas question de rester à la maison. La famille Salaün a pas mal voyagé, y compris en Guadeloupe, où vit la grand-mère, et a toujours mis le sport en avant. “Les vacances, ce n’était jamais farniente. On se débrouillait toujours pour faire du sport : course, tennis, vélo, basket... on a tout fait !”, certifie Inna Sissoko. Avant même le commencement, le travail de l’ombre avait déjà débuté.\n\n\nDe l’ombre à la lumière\n\nQuatre ans après ses débuts en club, et après un passage d’un an au CREPS de Reims, Janelle Salaün avait déjà comblé son retard sur les joueuses de son âge. Rien d’étonnant pour cette élève perfectionniste, ni une fêtarde ni une reine du shopping dans l’âme, qui a très vite appris à se donner les moyens de réussir. Ce qui lui a permis d’intégrer le centre fédéral, la crème de la crème de la formation, en 2016. La même année que Zoé Wadoux, Yohana Ewodo ou encore Anaïa Hoard (la sœur de Jaylen), rejoignant à l’INSEP le trio Marine Fauthoux - Iliana Rupert - Kendra Chéry, sélectionné avec un an d’avance.\n\nSes trois saisons au Pôle France furent sa porte d’entrée vers le monde professionnel. Elle y a montré son caractère. “Quand elle commence quelque chose, elle veut être la meilleure. À l’INSEP, même pour un footing, elle voulait terminer première”, se remémore sa mère. Ses différents entraîneurs en ont parfois pris pour leur grade. “Quand je n’aimais pas quelque chose, tout le monde le savait. Avec des joueuses d’expérience, j’ai appris que ce n’était pas toujours la bonne solution”, en sourit aujourd’hui Janelle, comme elle le rappelait à la fédération en décembre dernier. Cela aurait pu en être autrement mais elle a bien terminé son cursus au centre fédéral “par défi personnel”, compilant tout de même 9,4 points et 7,7 rebonds en 27 minutes de moyenne en Ligue 2 en 2018-2019.\n\nQuand Marine Fauthoux et Iliana Rupert, championnes d’Europe U16 en 2017 puis finalistes de la Coupe du monde U17 en 2018, disputaient déjà leur premier Euro avec l’équipe de France, à peine majeures, Janelle Salaün n’avait pas encore joué le moindre match en Ligue Féminine. Elle s’est armée de patience pour franchir un premier cap. En 2019-2020, sa première saison professionnelle avec les Flammes Carolo, compliquée par le Covid, a mis ses exigences à rude épreuve. “Ça s’est très mal passé à Charleville. Mentalement, je n’étais pas au top. Et ma première année à Villeneuve d’Ascq, j’ai fait le banc pendant une bonne partie de la saison. Petit à petit, j’ai gratté des places et j’ai gagné la confiance de Rachid Meziane. C’était la période Covid et comme j’avais peu de temps de jeu, j’ai beaucoup travaillé avec un jeune préparateur physique. Les résultats ne sont pas venus immédiatement. Rien ne se retranscrivait sur le terrain. Mais après le Challengers de l’été, j’ai commencé à vraiment exploser.”\n\nAprès trois médailles consécutives en U16 (or), U17 (argent) et U18 (bronze), Janelle Salaün a conclu son parcours avec les Bleuettes en beauté lors de l’été 2021. Pas lors d'un championnat d’Europe mais à l'occasion d’un Challengers U20 mis sur pied par la FIBA pour relancer des compétitions stoppées par la pandémie. Alors qu’elle ne pesait que 3,1 points par match en LFB, la Francilienne s’est fait un nom à Konya, en Turquie, en menant l’équipe de France U20 de Jérôme Fournier à cinq victoires avec 17 points, 10,2 rebonds, 2,0 passes décisives et 1,2 contre de moyenne ! La machine était lancée.\n\n\nUne éthique de travail reconnue de tous\n\nDès la rentrée suivante, elle s'est imposée comme une pièce centrale de l’ESBVA de Rachid Meziane. Un symbole de la montée en puissance du club, jusqu’à devenir au printemps la première équipe française au Final Four de l’Euroleague depuis Bourges il y a dix ans. “Quand je sens que le coach a confiance en moi, ça change tout”, nous disait-elle déjà en août 2022. “Quand elle est arrivée ici, c’était un peu l’année zéro de son projet, se souvient le sélectionneur belge, interrogé par la FFBB. Elle avait beaucoup de détermination et d’ambition. Elle a mis une année à essayer de découvrir et faire connaissance avec la Ligue Féminine, avec moi aussi. Elle a appris à se connaître elle-même. On a fait un gros travail en termes d’introspection pour cibler un peu plus ses forces et ses faiblesses, sur la gestion émotionnelle pour mieux gérer les échecs et la frustration qu’elle peut générer.”\n\nLe travail entrepris avec un sophrologue a fait énormément de bien à cette “fausse calme” en remise en question perpétuelle. “Encore aujourd’hui, j’ai toujours des doutes. Je suis quelqu’un qui réfléchit beaucoup, et même beaucoup trop parfois. Je travaille sur cet aspect-là, aujourd’hui on sait que le côté mental est très important. Je me suis entourée de professionnels, disait-elle dans le numéro 81 de Basket Le Mag. Et j’arrive à me rassurer en retournant à la base : le travail. C’est bateau, mais c’est vraiment mon quotidien : je vais à la salle et je me rassure. J’essaie aussi de demander des conseils aux coaches, aux joueuses plus expérimentées – cette saison, on a la chance d’avoir une coéquipière de 37 ans, Shavonte Zellous. Je ne suis pas timide, donc je n’hésite pas à solliciter mon entourage.”\n\nQuiconque la connait vous dira que c’est un bourreau de travail. “De toute ma carrière, Janelle fait partie des joueuses qui s'imposent la plus grosse charge de travail. Elle a une abnégation, une détermination hors du commun. Elle sait où elle veut aller. Et elle a une hygiène de vie irréprochable parce qu’elle veut avoir une longue carrière”, confiait son coach pour Basket Europe. “Ce qui m’étonne toujours avec Janelle, c’est qu’elle donne l’impression de progresser chaque jour. Elle travaille énormément. Elle a envie de gagner, d'être meilleure à chaque entraînement, à chaque match”, notait la GM des Bleues, Céline Dumerc, il y a quelques semaines. Même Valériane Ayayi, sa future adversaire au Final Four avec Prague et coéquipière en équipe de France, la cite en modèle : “La voir évoluer à ce niveau, c’est juste une évolution logique, une récompense de son travail. Les prochaines doivent comprendre que la réussite passe avant tout par le travail.” Son quotidien est tellement calibré qu’elle en refuse parfois les demandes d’interviews, comme en amont de son premier Final Four, où elle voulait rester dans sa bulle.\n\n\nUn avenir doré chez les Bleues\n\nRien d’étonnant, donc, à la voir exceller sur le plan technique comme sur le step back, un geste qui n’est pas toujours maîtrisé par les grandes. Rien d’étonnant non plus à ce qu’elle s’inscrive sur la durée en équipe de France. Blessée au poignet pendant la sélection à la Coupe du monde 2022, elle fut appelée pour la première fois par Jean-Aimé Toupane en novembre 2022 à l’occasion d’une rencontre face à la Finlande à Saint-Chamond.\n\nPour ses débuts, Janelle Salaün s’était fendue de 12 points. Quelques mois plus tard, Jean-Aimé Toupane, qui “adore sa personnalité”, en faisait une titulaire lors de sa première campagne européenne conclue sur une médaille de bronze à Ljubljana. Et lorsque les Bleues ont été touchées par une vague de blessures pour lancer leurs qualifications à l’EuroBasket 2025, elle a montré la voie terminant meilleure marqueuse de la fenêtre internationale.“Pas grand monde n’aurait parié sur le fait que j’arrive en Équipe de France A. J’ai dû batailler. J’ai toujours eu ce côté underdog et ça me va très bien. Je sais que je n’étais pas attendue et moi-même je ne m’y attendais pas. Mais à un moment, il faut que j’arrête d’être surprise”, souligne-t-elle encore aujourd’hui.\n\nA 22 ans, la native de Paris n’est pas loin de devenir une cadre des Bleues. Elle incarne, avec la génération 2001 et les suivantes, ce vent de fraîcheur qui doit maintenir l’équipe de France aux sommets mondiaux et qui doit lui faire passer un cap alors que le dernier titre européen remonte à 2009, après cinq finales perdues entre 2013 et 2021. Pourquoi pas cet été, à domicile, pour les JO de Paris ? C’est son rêve mais elle ne brûle jamais les étapes. Elle y pensera après la saison avec Villeneuve d’Ascq.\n\nParis 2024 : Marine Fauthoux, Migna Touré et Janelle Salaün racontent leur “folle envie” de Jeux OlympiquesAlors que l’équipe de France féminine entame cette semaine les qualifications à l’EuroBasket 2025 avec des matches contre la Lettonie (ce jeudi 9 novembre à 20h45) et l’Irlande (ce dimanche 12 novembre à 18h), Basket Europe a réuni trois cadres des Bleues, Marine Fauthoux, Migna Touré et Janelle SalBasketEurope.comClément Carton\n\n“Elle va rayonner dans le futur dans les plus hauts clubs européens et probablement en WNBA. Très rapidement”\n\nMême crédo à propos de son futur : pas question de se projeter trop loin ou trop tôt même si, en fin de contrat à l’ESBVA, Janelle Salaün devrait quitter le Nord cet été et franchir une nouvelle étape dans sa carrière, en France ou à l’étranger. “C’est sa quatrième saison chez nous et elle va rayonner dans le futur dans les plus hauts clubs européens et probablement en WNBA. Très rapidement”, projette à notre micro Christophe Vitoux, le GM de Villeneuve d’Ascq. “C’est une fille qui a vraiment faim et il faut la satisfaire, poursuit son coach Rachid Meziane. Si elle continue sur cette voie-là, elle pourra aller jouer dans les meilleures équipes d’Europe et du monde. Elle est profilée pour ça. Je la vois faire une immense carrière que ce soit en club ou à l'international.”\n\nRien ne fait peur à cette étudiante du jeu, scout à temps partiel, dont un des passe-temps favoris est de regarder du basket, notamment l’Euroleague. “Elle regarde beaucoup de matches et de highlights. Elle connaît tout le monde, tous les joueurs NBA et WNBA, et en Europe. Elle aime bien analyser le jeu des joueuses qui jouent à son poste. Comme ça, même si elle ne les connaît pas personnellement, quand elle joue contre elles, elle les connaît déjà. C’est son petit truc. Elle veut affronter les meilleures joueuses du monde”, raconte sa maman.\n\nÀ ce titre, Janelle Salaün ambitionne de jouer en WNBA. Non draftée en 2021, elle a l’avantage - et l’inconvénient - de ne pas appartenir à une franchise et ainsi de pouvoir choisir, en fonction des propositions et de ses priorités estivales, le potentiel projet de son aventure américaine, elle qui a déjà dit non à une équipe pour un camp d’entraînement par le passé. Est-ce que ce sera pour 2025 ? Peut-être, peut-être pas. “La WNBA est un objectif mais c’est un monde particulier. Si je n’ai pas de contact pour l’instant, c’est peut-être pour le mieux, au moins je n’aurai pas de problème vis-à-vis de l’équipe de France”, soulignait-elle en janvier dernier pour Basket Le Mag. N’allons pas trop vite en besogne mais quelque chose nous dit que ce Final Four pourrait lui ouvrir des portes...\n\nITW Christophe Vitoux (GM Villeneuve d’Ascq): «Dans le basket féminin, plus on va loin et plus ça nous coûte»Manager général de l’ESBVA, Christophe Vitoux nous décrit la situation dans son club avant d’aborder le Final Four de l’Euroleague au cours duquel il sera opposé en demi-finale à l’USK Prague, ce vendredi, à Mersin, en Turquie.BasketEurope.comPascal Legendre |
user | NoA Basket, une émission hebdomadaire à voir en replay |
assistant | Cette semaine, autour du journaliste Freddy Vetault, les consultants Simon Darnauzan et Frédéric Sarre sont en plateau et Pape-Philippe Amagou en visio, tout comme le président de la JL Bourg, Julien Desbottes et l’entraîneur de Vichy Guillaume Vizade. Car si on y évoque le Limoges CSP après sa victoire face à Saint-Quentin, la JL est à l’honneur en raison de sa participation à la finale de l’Eurocup et Guillaume Vizade à propos de son transfert à venir au Mans.\n\nBourg, en finale de l’Eurocup: Frédéric Sarre est forcément encore partie prenante puisqu’après en avoir été le coach, il en fut le directeur sportif et le general manager adjoint avant de prendre sa retraite.\n\n«Ça ne me surprend pas tout simplement parce que ce club là pour bien le connaître et bien connaître les gens qui sont à la direction, chaque année a réussi à franchir un palier. La saison dernière on était arrivé dans les playoffs d’Eurocup. On avait failli sur ce match à l'extérieur, on avait fait un non-match. Je pense que ça aussi ça a permis à l'équipe d'apprendre justement quelque chose qui a été mis en place dès le début de saison pour justement ne pas renouveler l'erreur qui avait été faite sur le dernier match. Ce club-là est un club qui chaque saison a été en mesure d'augmenter sa capacité de performance.»\n\nChaque émission se termine par un Coup de gueule/Coup de cœur. Les consultants doivent livrer une opinion en quelques secondes.\n\n«Ça va être un coup de gueule aujourd’hui, annonce Pape-Philippe Amagou. J’ai hésité avec le coup de tête de Bodian Massa, mais finalement je vais partir vers les Mets. Les Mets qui ont perdu ce week-end. Je trouve que c'est vraiment désolant d’avoir un club qui était finaliste l'an dernier et aujourd'hui être dans une telle difficulté. Ils en ont pris encore 35. C’est un club et des joueurs complètement à la dérive. Je jette la pierre à personne mais quand on voit le projet de Bourg qui a été construit dans la durée et qu'on voit à l'inverse ce que nous proposent les Mets, qui était tout en haut et maintenant ils sont tout en bas, je pense que c'est vraiment dommage pour le championnat.»\n\nFrédéric Sarre a été également assistant-coach à Limoges dans des temps déjà anciens (1985-90 et 97-99) puis son coach principal (2011-12) et c’est son sujet du jour.\n\n«Ça sera un coup de cœur pour cette équipe de Limoges et quand je parle de l'équipe, je parle bien de l'équipe sportive à savoir les joueurs et le staff qui pourraient dans cette situation-là avoir quand même de temps en temps des relâchements. Et notamment quand vous êtes menés de 15 points chez vous par Saint-Quentin, vous pouvez avoir cette attitude de peut-être dire qu’avec tous les problèmes qu'il y a autour, on va peut-être se relâcher. Et bien pas du tout, elle continue, elle se bat et bravo à elle.»\n\nLes émissions sont à regarder en replay ici. |
user | Pro B : Un projet de salle à La Rochelle |
assistant | Le Stade Rochelais caracole en tête de la Pro B et sera un candidat très sérieux à l'accession dans l'élite - une seule place cette année - au moment des playoffs. Le problème, c'est que la salle Gaston-Neveur est inadaptée. Le maire Jean-François Fountaine en a pleinement conscience.\n\n\Dans les échanges que nous avons avec le Stade Rochelais Basket, nous avons regardé à utiliser éventuellement temporairement les veilles halles qui sont au Parc Expo. Malheureusement, elles sont trop endommagées. Le coût de rénovation de ces halles plus le coût de construction à l'intérieur de gradins nous amènent à une somme qui n'est pas accessible. Donc, oui, nous travaillons actuellement sur une salle. Nous regardons tous les scénarios. Personnellement,je préférerais que ce soit un financement public, avec des subventions d'autres collectivités. On a des réunions de travail régulièrement avec l'équipe du basket pour voir ce qui est le plus adapté.\\n\nQuelle échéance pour cette future enceinte ?\n\n\C'est de l'ordre de trois ans, entre les études et la réalisation. Ça peut être à La Rochelle, ça peut être ailleurs dans l'agglomération également. La priorité serait sportive. Vous pouvez avoir d'autres types d'évènements sportifs dans cette salle, de la boxe... Mais oui, on regarde l'emplacement, la jauge. On est habitué à avoir des équipes de tailles nationales et internationales, mais La Rochelle reste un territoire de taille modérée. Une ville de 80 000 habitants, une agglo de 180 000. On est un petit poucet par rapport à Nantes, Bordeaux... Mais il y a une forte détermination. On a la chance d'avoir avec le Stade Rochelais un partenaire de très grande qualité. Les mutualisations entre les sections rugby et basket pour les fonctions de supports, c'est un coup de génie.\\n\nITW Aymeric Jeanneau (manager général): «Le Stade Rochelais avait envie d’écrire une page avec le basket»L’ancien international Aymeric Jeanneau, 45 ans, est le manager général du Stade Rochelais, actuellement leader de Pro B.BasketEurope.comPascal Legendre |
user | Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures |
assistant | Finale de l'Eurocup : Avantage Paris, mais Bourg n'a pas dit son dernier mot\n\nCe mardi, le Paris Basketball l'a emporté aisément contre la JL Bourg à l'occasion du match 1 de la finale de l'Eurocup (77-64). Un résultat satisfaisant mais qui n'est pas une fin en soi pour les Parisiens, face à une équipe de la Jeu décidée à montrer un bien meilleur visage vendredi à Ekinox.\n\nFinale de l’Eurocup : Avantage Paris, mais Bourg n’a pas dit son dernier motCe mardi, le Paris Basketball l’a emporté aisément contre la JL Bourg à l’occasion du match 1 de la finale de l’Eurocup (77-64). Un résultat satisfaisant mais qui n’est pas une fin en soi pour les Parisiens, face à une équipe de la Jeu décidée à montrer un bien meilleur visage vendredi à Ekinox.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nValérie Garnier (Fenerbahçe) au Final Four : «Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner»\n\nC’est avec bonheur que Valérie Garnier, 59 ans, l’ex-sélectionneuse des Bleues, a retrouvé les sommets du haut-niveau féminin, à la tête du Fenerbahçe Istanbul, champion d’Euroleague en titre, et qui s’avance en grand favori du Final Four (12-14 avril), disputé à la Servet Tazegül Arena de Mersin.\n\nValérie Garnier (Fenerbahçe) au Final Four : «Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner»C’est avec bonheur que Valérie Garnier, 59 ans, l’ex-sélectionneuse des Bleues, a retrouvé les sommets du haut-niveau féminin, à la tête du Fenerbahçe Istanbul, champion d’Euroleague en titre, et qui s’avance en grand favori du Final Four (12-14 avril), disputé à la Servet Tazegül Arena de Mersin.BasketEurope.comLiliane Trévisan\n\n\n\n\nBetclic Elite : Nadir Hifi élu Joueur du Mois de Mars\n\nGlobalement auteur d'une très belle première saison à Paris, Nadir Hifi est encore monté d'un niveau en mars. Avec une moyenne de quasiment 20 points par match sur le dernier mois, il a pris la première place du classement des meilleurs scoreurs de la saison. En toute logique, le joueur de 21 ans a donc été élu MVP du mois en Betclic Elite.\n\nBetclic Elite : Nadir Hifi élu Joueur du Mois de MarsDéjà couronné en novembre, l’arrière international du Paris Basketball, Nadir Hifi (1,85 m, 21 ans), a été élu Joueur du Mois de Mars de Betclic Elite.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nNBA : Un record de points pour Evan Fournier... Est-ce si important ?\n\nToujours responsabilisé par les Detroit Pistons, Evan Fournier en a profité pour battre son record de points de la saison lors de la défaite de son équipe contre les Philadelphia Sixers (120-102). Ses 21 unités inscrites ont de quoi ressurer en vue de sa participation aux prochains Jeux Olympiques avec l'équipe de France, mais ce n'est pas ce que l'intéressé voulait retenir de ce match.\n\nNBA : Un record de points pour Evan Fournier... Est-ce si important ?21. Evan Fournier a battu cette nuit son record de points de la saison en NBA. Rassurant dans l’optique des Jeux Olympiques ?BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nPro B : Angers au fond du trou\n\nRien ne va plus pour Angers. Déjà lanterne rouge de la Pro B depuis de longs mois, l'EAB a connu un mardi particulièrement agité. Et pour cause : le club a perdu son entraineur Ali Bouziane, en partance pour Denain, avant de s'écrouler contre Nantes, avec une très lourde défaite de 44 points (111-67).\n\nPro B : Angers au fond du trouTriste mardi. L’Etoile Angers Basket a perdu son entraîneur Ali Bouziane et reçu une gifle en soirée de la part de l’Hermine de Nantes (111-67).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nBCL : Trois clubs espagnols au Final Four ?\n\nCette saison, la Basketball Champions League (BCL) réussit particulièrement bien aux clubs espagnols. En effet, les trois clubs engagés en quarts de finale de la compétition de la BCL pourraient se retrouver au Final Four. La qualification est déjà acquise pour l'Unicaja Malaga et Murcia, alors que Tenerife va tenter de décrocher sa deuxième victoire sur le parquet des Turcs de Tofas Bursa.\n\nBCL : Trois clubs espagnols au Final Four ?L’Unicaja Málaga et l’UCAM Murciase sont qualifiés pour le Final Four de la Basketball Champions League. Ils pourraient y avoir un troisième club espagnol, Lenovo Tenerife.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nBilletterie, réseaux sociaux... L'effet Ricky Rubio se fait ressentir à Barcelone\n\nÀ défaut d'avoir retrouvé son meilleur niveau depuis son retour à la compétition au début du mois de mars avec Barcelone, Ricky Rubio apporte à son club dans d'autres domaines. En effet, depuis la signature du meneur international espagnol, les Blaugranas enregistrent des records au niveau de la billetterie, des recettes de match ou encore de la visibilité sur les réseaux sociaux.\n\nBilletterie, réseaux sociaux... L’effet Ricky Rubio se fait ressentir à BarceloneAlors qu’il est de retour en Europe depuis quelques semaines seulement, l’apport de Ricky Rubio ne se traduit pas seulement sur le parquet à Barcelone. Depuis que le meneur a retrouvé la compétition, les chiffres du club ont fortement augmenté, en termes de billetterie comme sur les réseaux sociaux.BasketEurope.comLa rédaction |
user | Vidéo : A la découverte de Tuomas Iisalo |
assistant | Qui connaissait Tuomas Lisalo il y a un an ? Depuis, le Finlandais de 41 ans a gagné la Basketball Champions League avec Bonn et il a été élu Coach de l'Année en BCL et dans la ligue allemande. Il a fait venir six joueurs de Bonn à Paris où il a appliqué les mêmes méthodes. Résultats : une Leaders Cup, une place en finale de l'Eurocup -et plus si affinités- et un trophée de Coach de l'Année dans la compétition. Et à l'évidence son palmarès ne demande qu'à s'étoffer encore et vite. |
user | Quand l'Espagne a cherché à convaincre Domantas Sabonis de jouer pour son équipe nationale |
assistant | Le Lituanien Domantas Sabonis (2,08 m, 27 ans) effectue une saison époustouflante en NBA sous le maillot des Portland Trailblazers avec 26 triples doubles et aussi une série de 61 double double (au moins 10 points et 10 rebonds dans un match), qui vient tout juste de s'achever, et une moyenne générale de 19,5 points, 13,8 rebonds et 8,3 passes décisives.\n\nDomantas Sabonis est le fils d'Arvidas qui, pour ceux qui l'ont vu jouer en jeune en pleine possession de ses moyens, fut le meilleur basketteur européen de sa génération et même le pivot numéro 1 de la planète. Domantas est né à Portland à l'époque où son père portait le maillot des Blazers, mais c'est à Unicaja Malaga qu'il a fait ses débuts en pro.\n\nDans son intervention sur le podcast d'Adrian Wojnarowski, Domantas a parlé de cette époque, se souvenant d'un curieux épisode qui aurait pu l'amener à jouer pour l'Espagne, même s'il admet lui-même que cette possibilité ne fut pas proche de se réaliser. Il explique qu'il a été invité à un camp d'entraînement de l'équipe nationale espagnole, mais que son père a rapidement exclu cette option. Voici ce qu'il répond lorsqu'on lui demande s'il aurait pu jouer pour l'Espagne à un moment donné :\n\n\Je pense que peut-être quand j'étais très jeune. Quand j'avais 14 ans, il y avait un rassemblement. Ils ont essayé de nous convaincre : «C'est juste un rassemblement, viens ici», mais mon père a rapidement écarté cette idée. Il a répondu : « Non, non, tu vas en Lituanie cet été ».\n\nOn comprend l'attitude du père, fier de son pays dont il a défendu les couleurs après celui de l'URSS et qui fut ensuite le président de la fédération lituanienne de basket-ball. Domantas conserve toutefois un très bon souvenir de son passage en Espagne et il exprime sa gratitude envers la formation espagnole.\n\n\Nous avons définitivement appris et développé des compétences complètes en grandissant dans ce système espagnol. Ces années où j'ai grandi, ces années d'adolescence, je dirais que c'était les plus importantes.\\n\nMais il embraye en expliquant qu'il a bien fait de jouer pour son pays d'origine :\n\n\Il n'y a rien de tel que de jouer pour son pays, en particulier pour la Lituanie. Ici, le basket est comme une religion. En faisant partie de ces équipes chaque été, le sentiment que vous ressentez ne peut être comparé à aucun autre match. Avec ces couleurs du drapeau sur vous, chaque année, il y a un groupe spécial de gars, peu importe qui est là. Vous construisez ce lien qui se traduit définitivement par le terrain.\ |
user | Une passe d'armes entre Ergin Ataman et Pablo Prigioni |
assistant | Episode 1. Le Panathinaikos s'est débarrassé lundi avec difficulté de Kolossos à Rhodes, 79-74. Dans ses déclarations à la chaîne ERT à la fin du match, Ergin Ataman, s'est montré furieux, soulignant que Luca Vildoza venait de réaliser une performance qu'il a jugé médiocre.\n\n\Je dois me plaindre de certains joueurs, comme Vildoza. Il a montré qu'il ne pouvait pas prétendre a un temps de jeu en Euroleague avec une telle performance. Le rendement de Mitoglou est également en baisse.\\n\nEpisode 2. Au courant de ce commentaire, le coach de l'Argentine, Pablo Prigioni, qui est par ailleurs assistant coach aux Minnesota Timberwolves, a exprimé à son tour son mécontentement sur X (twitter).\n\n\Il devrait (Ataman) faire preuve de plus de respect envers les joueurs et les aider à mieux jouer au lieu de les blâmer dans les médias !\\n\nEpisode 3. Ergin Ataman est un adepte des réseaux sociaux ou du moins la réaction de Prigioni lui est revenu aux oreilles. Le fougueux coach turc est surtout un habitué des tacles en tous genres et il est monté dans les tours.\n\n\Dans mes équipes, il se passe des choses entre moi, mes joueurs et le club. Pour moi, c'est quelque chose de normal. Il n'y a pas de problème, nous faisons notre travail pour nous et pour notre public. Ce que j'ai trouvé étrange, c'est que j'ai découvert aujourd'hui qu'un gars qui était joueur et maintenant entraîneur en tant qu'entraîneur adjoint en NBA, a commencé à s'impliquer dans nos propres situations. La NBA est une organisation sérieuse pour cela et je n'y répondrai pas. La NBA devrait agir vis à vis de son entraîneur afin qu'il ne se mêle pas des affaires internes des autres clubs européens.\\n\nUn épisode 4 à venir ? |
user | Eurocup féminine : Londres donne au Royaume Uni son premier trophée européen |
assistant | Après avoir perdu le match aller contre Besiktas à Istanbul, les Lions ont renversé la situation avec une victoire81-70devant un public enthousiaste au Copper Box pour une victoire de 149-145 au total.\n\nHolly Winterburn a fait basculer le sort du match en faveur des hôtes avec un trois-points à 15 secondes de la fin pour augmenter leur avance à neuf points puis Megan Gustafson a prolongé l'avantage sur la ligne des lancers francs.\n\nKarlie Samuelson a été nommée MVP de la finale après avoir obtenu une moyenne de 17,5 points, 3,5 rebonds et une évaluation de 17,0 lors des deux matches décisifs pour le titre. La shooting guard américano-britannique a marqué 19 points (7/10 aux shoots) lors du match retour, la néo internationale espagnole d'origine américaine, Megan Gustafson a joué également un rôle clé avec 18 points et 7 rebonds. Temi Fagbenle a contribué avec 17 points et 8 rebonds. Dana Evans a cumulé 17 points et 8 passes décisives pour Besiktas, alors que Mihaela Lazic a ajouté 16 points.\n\nLe club londonien n'a perdu qu'un match tout au long de la campagne, devenant ainsi le 17e club différent à soulever le trophée en 20 éditions et prenant la succession de l'ASVEL vainqueur en 2023.\n\nLes Lions sont coachées par la Grecque Stella Kaltsidou, une ancienne joueuse de Ligue Féminine. |
user | Pro B : Le millionnaire David Despinasse devient l'actionnaire majoritaire de Saint-Chamond |
assistant | Devenu ce mercredi soir l'actionnaire majoritaire du club de Saint-Chamond, David Despinasse est le nouvel homme fort du SCBVG. Son frère Laurent et lui sont à la tête de l'entreprise Despi, premier réseau de boucherie traditionnelle en France. Selon France Bleu, David Despinasse est entré au capital du SCBVG en apportant 1,2 million d'euros devenant ainsi actionnaire majoritaire avec 80 % de la société.\n\nCette arrivée signifie également une union entre les clubs de Saint-Chamond et d'Andrézieux-Bouthéon. La nouvelle société devrait s'appeler le SCABB, le Saint-Chamond Andrézieux-Bouthéon Basket. Elle aura ainsi une équipe en Pro B et aussi en Nationale 1 masculine. |
user | Euroleague : quel adversaire pour Monaco en playoffs ? |
assistant | Une victoire sur le Bayern de Sylvain Francisco permettrait à la Roca Team, qui est invaincue en 5 rencontres face à l'équipe allemande, de terminer sur le podium avec un nombre record de victoires : 23. Voici les enjeux de cette dernière journée :\n\n- La Roca Team termine 2e en cas de victoire sur le Bayern et si le Pana s'incline devant l'Alba Berlin.\n- La Roca Team termine 3e en cas de victoire sur le Bayern et si le Pana s'impose devant l'Alba.\n- En cas de défaite face au Bayern, la Roca Team peut terminer selon les autres résultats 3e, 4e ou sortir du Top 4 (5e place) dans un seul cas de figure : défaite du Pana face à Berlin, victoire du Barça à Villeurbanne, victoire de l'Olympiakos sur le Fener (égalité à trois : Panathinaïkos, Olympiakos, Monaco).\n\nPour rappel : le Top 4 donne l'avantage du terrain en quarts de finale au meilleur des 5 manches. La Roca Team est déjà assurée de participer aux playoffs (quart de finale, à partir du 23 avril). Si la Roca Team termine 3e, elle affronterait le 6e, soit le vainqueur du choc de la dernière journée entre l'Olympiakos et le Fenerbahçe Istanbul. Le Maccabi Tel Aviv est déjà assuré de terminer 7e.\n\nSasa Obradovic : «Le Bayern possède un effectif composé de nombreux champions, ils vont jouer sans pression contre nous. Nous avons pu partager les minutes face à Limoges, Donatas (Motiejunas) et Jordan (Loyd) vont revenir dans l'effectif, nous allons faire en sorte d'être prêts pour cette dernière journée. Toute notre attention est portée sur ce rendez-vous. Le Bayern a un effectif de forte qualité, avec joueurs comme Ibaka, Bolmaro, Lucic, Booker, des joueurs de haut niveau. Je voyais cette équipe atteindre les playoffs. Ce sera un match dur physiquement, pour le Bayern il s'agit de laisser une bonne impression, pour nous il s'agit aussi de préparer les playoffs.»\n\nMatthew Strazel : «Contre Limoges, on a bien préparé la réception du Bayern, une petite finale pour nous. Le Bayern n'aura rien à perdre, on est tous des joueurs différents quand on n'a pas de pression, les tirs rentrent, les moves que l'on ne fait pas d'habitude, ils passent. On est maîtres de notre destin pour terminer le plus haut possible, avec un oeil sur les autres résultats. J'ai l'impression qu'on est prêts et que l'on a conscience de l’enjeu.»\n\nSave it for today and tomorrow 😬\n\nAll the postseason possibilities for the final round of the Regular Season 🏀\n\nPLAYOFFS pic.twitter.com/ZCasmTHprA\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 11, 2024\n |
user | Jeux Olympiques : l'Australie a donné une liste de 22 joueurs |
assistant | 22 joueurs pour 12 places. Les piliers de l'équipe nationale australienne, Patty Mills, Joe Ingles et Josh Giddey font partie de la pré-sélection olympique, tout comme Chris Goulding et Matthew Dellavedova. Le coach Brian Goorjian a également fait appel à la nouvelle star émergente Rocco Zikarsky (2,17 m, 17 ans).\n\nBen Simmons est l'absent le plus notable du roster, en raison d'une blessure au dos. L'ancienne superstar avait connu une saison NBA 2021-22 blanche avant de jouer 42 matches la saison dernière et cette saison son compteur s'est arrêté à 15. Il avait fait part de sa forte envie de jouer à Paris mais il n'en sera rien.\n\nUn communiqué de Basketball Australia indique que \l'équipe initiale sera affinée avant le camp d'entraînement en juillet avec 12 finalistes sélectionnés pour rencontrer les meilleurs du monde aux Jeux olympiques\.\n\n\Nous surveillons activement les joueurs australiens dans les ligues internationales aux États-Unis, en Europe et en Asie ainsi qu'au niveau national dans la NBL et nous sommes confiants dans la chimie potentielle de cette liste\, a déclaré Brian Goorjian. \La complexité des tournois internationaux comme les Jeux olympiques réside dans le fait que vous disposez d’une fenêtre relativement courte pour vous entraîner et vous préparer. Vous devez donc identifier et mettre en œuvre un style qui fonctionne rapidement et amplifie l’ensemble des compétences collectives.\n Ce que nous avons vécu, c'est l'émergence d'Australiens au plus haut niveau à l'étranger et l'évolution de la NBL en tant que ligue de classe mondiale avec des attaques de grande puissance, nous voulons donc conduire un jeu familier mais unique à notre groupe.\\n\nLes Boomers seront aux JO dans le redoutable groupe A. Ils affronteront le Canada et les vainqueurs du tournoi de qualification en Grèce, qui comprend la Grèce, la Slovénie, la Nouvelle-Zélande, la Croatie, l'Égypte et la République dominicaine et de celui en Espagne avec l'Espagne, le Liban, l'Angola, la Finlande, la Pologne et les Bahamas.\n\nAmoureux de Paris, Ben Simmons met les Jeux Olympiques au premier planDevant une horde de médias français et internationaux après son entraînement ce mercredi avec les Brooklyn Nets à Marcel-Cerdan, Ben Simmons a confirmé son intention de revenir l’été prochain en France afin de disputer les Jeux Olympiques avec l’Australie. Ce qui serait une première.BasketEurope.comClément Carton |
user | Mike Scott : “Les Américains doivent arrêter de penser que si vous ne jouez pas en NBA, vous êtes un déchet ou rincé” |
assistant | Après neuf saisons et 612 matches en NBA, Mike Scott a débarqué un peu par hasard en France la saison dernière, à Nancy, avant de partir à la découverte de l’Euroleague cette année à Villeurbanne. L’ailier américain de 35 ans revient sur ce lancement inattendu en Europe pour Bouncewear.\n\n“Un jour, j’étais à la maison. Mon agent m’appelle pour dire que j’avais une proposition de Nancy. Quand j’ai dit à tout le monde ‘je vais à Nancy’, mes proches m’ont dit ‘c’est où, ça, Nancy ?’ Et pour être honnête, je ne savais pas. J’ai même cherché sur Google et j’ai mal prononcé le nom pendant une année entière (rires). C’était une excellente situation pour moi. L’équipe, l’organisation et les fans m'ont bien accueilli, ils m'ont donné une chance. J'aime Nancy pour ça. (...) Quand je suis arrivé, je me souviens du décalage horaire qui était si difficile que je n’ai pas dormi de la semaine. J’étais très fatigué à l’entraînement.”\n\nAprès deux années en France dont une parmi le gotha européen, l’ancien ailier des Hawks et des 76ers est en mesure de dresser une comparaison avec les Etats-Unis. Selon lui, les Américains manquent de reconnaissance pour le reste du basket international.\n\n“Tous les Américains ne peuvent pas faire toute leur carrière en NBA. Partir à l’étranger n’est pas une mauvaise chose. Les Américains doivent arrêter de penser que si vous partez à l’étranger et que vous ne jouez pas en NBA, vous êtes un déchet ou rincé. Même lorsque je jouais en NBA, je n’ai jamais pensé cela. Pour jouer en Euroleague et être efficace, il faut être un bon joueur. Le parcours de chacun est différent et cela dépend des différentes opportunités que vous avez tout au long de votre carrière.”\n\n“La plus grande différence entre la NBA et l'Euroleague, c’est le côté physique. Je pense que c'est plus physique ici, plus de contacts sont autorisés avant que l'arbitre ne siffle”\n\nQuand il est aux Etats-Unis, Mike Scott vit toujours à Atlanta, comme depuis 2012. Il aimerait jouer jusqu’à 40 ans avant de profiter de sa retraite et de sa famille puis de devenir skills development coach, ou coach individuel, en NBA. Son expérience avec l’ASVEL, qui terminera à l’avant-dernière place du classement en Euroleague, lui sera à coup sûr bénéfique.\n\n“L’ASVEL est un bon club. Les fans et coaches sont super, l'équipe est comme une famille. Je sais que l’on n’a pas réalisé ce qu'on voulait en début de saison, mais c'était une bonne expérience pour moi de découvrir l'Euroleague, les différentes équipes et villes. L’Euroleague est la meilleure ligue après la NBA. J’aime cette compétition ! La plus grande différence entre la NBA et l'Euroleague, c’est le côté physique. Je pense que c'est plus physique ici, plus de contacts sont autorisés avant que l'arbitre ne siffle. Pour obtenir des lancers francs en Euroleague, vous devez vous battre. En NBA, c’est plus facile d’obtenir une faute. En NBA, tout est question de points, de highlights pour les réseaux sociaux et d’argent. Ici, en Euroleague, tous les matches ressemblent à des playoffs. Chaque match est intense.”\n\nParmi les joueurs qui l’ont impressionné cette saison en Euroleague, l’ancien NBAer cite les Frenchies Mathias Lessort et Guerschon Yabusele, mais aussi Mike James, Shane Larkin, Wade Baldwin... ou encore Jabari Parker, numéro 2 de la draft 2014, qui a rejoint le Barça cette saison. Un adversaire que l’ASVEL retrouvera à la LDLC Arena pour son dernier match de saison régulière ce vendredi soir. |
user | Italie : pas de TQO pour Gabriele Procida, blessé jusqu'à la fin de la saison |
assistant | Mauvaise nouvelle pour la Nazionale et l’Alba Berlin : Gabriele Procida va manquer la fin de saison. Déjà absent depuis plus d’un mois, l’ailier italien a été opéré d’une “irritation chronique du tendon rotulien gauche”. La durée de son indisponibilité est estimée par le club allemand à trois à quatre mois.\n\nAvec un tel délai de reprise, le joueur de 21 ans ne sera pas remis avant le Tournoi de Qualification Olympique (TQO) de Porto Rico, où l’Italie fera face au pays-hôte et à Bahreïn avant d’affronter potentiellement le vainqueur du groupe avec la Lituanie, le Mexique ou la Côte d’Ivoire. Évidemment, sa présence aux Jeux de Paris 2024 est donc largement compromise, sachant que la sélection de Gianmarco Pozzecco n’est pas sûre d’y participer.\n\nMalgré la dernière place au classement de l’Euroleague, Gabriele Procida a montré de belles promesses cette saison avec 8,3 points à 42,2 % aux tirs et 1,6 rebond pour 8,0 d’évaluation en 17 minutes de moyenne.\n\nDossier – U21 en Europe : La bonne forme des coupes d’EuropeCette saison, les U21 sont plutôt bien traités en coupes d’Europe, que ce soit en Euroleague, en Eurocup ou en BCL. Et l’on y voit de nombreuses pépites briller, dont bon nombre de joueurs français.BasketEurope.comBruno Ferret |
user | La LNB met en valeur ses légendes |
assistant | Les articles et vidéos sur les joueurs, les clubs, les palmarès et les matches de légende sont aussi disponibles tout au long de la saison.\n\nA découvrir ici:https://www.lnb.fr/legendes/statistiques/\n\nFabrice Jouhaud, Directeur Général de la LNB :\La LNB a une responsabilité majeure dans la transmission entre générations. Cela passe par la reconnaissance des joueurs qui ont fait la grandeur de la Ligue.Je me réjouis que la LNB soit désormais en mesure de proposer un stats center qui rend grâce à la belle histoire du Championnat. Surtout, c’est un outil indispensable au rayonnement d’une Ligue professionnelle et un outil patrimonial concret qui témoigne d’une belle et grande histoire.\\n\nPrésenté en octobre 2023, «LNB Légendes» est le programme créé par la Ligue Nationale de Basket afin de mettre en avant ses joueurs emblématiques qui ont marqué le basket français.\n\nDepuis six mois, les anciens joueurs ont été des ambassadeurs impliqués et exigeants sur les événements de la LNB. Ils ont décidé d’aller plus loin dans leurs engagements avec le «LNB Légendes Tour». Ainsi, depuis plusieurs semaines, des rencontres sont organisées dans les centres de formation avec les jeunes afin de transmettre et d’échanger sur leurs parcours, les écueils, les bons conseils ou encore leurs échecs.Le programme LNB Légendes Tour va se déployer sur plusieurs mois afin d’aller à la rencontre de tous jeunes des centres de formation de Betlic Elite et de Pro B.\n\nAntoine Rigaudeau, LNB Légendes :\Il ne s'agit pas de dire que tout était mieux avant. C'est un partage d'expériences, une démarche collective. Nous voulons faire en sorte que l'esprit «légendes» aide au mieux le basket français, son histoire et participe à une vision commune.\\n\nLaurent Sciarra, LNB Légendes, après ses deux premières interventions dans les centres de formation de Gravelines et Nanterre :\C’est une très belle expérience que j’ai hâte de renouveler. C’est une chance pour nous de pouvoir échanger et transmettre, avec une totale liberté de parole, avec les joueurs et staff qui sont très à l’écoute.»\n\nStephen Brun et Laurent Sciarra face au centre de formation de Nanterre : transmission et parler vraiStephen Brun (43 ans) et Laurent Sciarra (50 ans) sont allés à la rencontre des jeunes du centre de formation de Nanterre 92. Une étape de plus du programme “LNB Légendes”, qui envoie d’anciens joueurs historiques à la rencontre de la jeune génération, dans une volonté de transmission d’expérience.BasketEurope.comLiliane Trévisan |
user | Grèce: Les joueurs de l’AEK Athènes font grève |
assistant | L’AEK Athènes fête son centenaire mais le cœur n’est pas aux festivités. Une fois encore le club de la capitale grecque est en proie à des problèmes d’argent et les joueurs ne perçoivent plus leurs salaires. Aussi, alors que l’équipe participe aux barrages (Play Out) de la Stoixman Basket League, ils s’abstiennent d’entraînements collectifs pour se contenter de séances individuelles afin de conserver leur condition physique. Justin Tillman, lui, n’a pas attendu que la situation s’améliore, il est retourné aux États-Unis. Une rencontre avec l’actionnaire majoritaire Makis Angelopoulos a eu lieu ce jeudi et celui-ci a promis aux joueurs qu'ils toucheront une partie de leurs salaires aujourd’hui vendredi.\n\nL’entraîneur espagnol Joan Plaza s’est plaint, il y a quelques semaines, de ces retards de paiement et l’AEK Athènes l’a poursuivi en justice.\n\nDe plus l’AEK a été sanctionné de deux matches à huis clos pour jet de bouteilles lors du match contre l'Apollon à Patras. La peine a été doublée car le club est récidiviste et il n’a pas le droit de faire appel. Aussi, il sera privé de public pour ses matches de Play Out face à Lavrio et le PAOK. |
user | Espagne: Ben McLemore accusé de viol |
assistant | Les accusations remontent à 2021 alors qu'il jouait à Portland. Ben McLemore a été arrêté par la police de l’Oregon à son arrivée à l’aéroport et il a été libéré en versant une partie d'une caution de 500 000 dollars.\n\nParmi les accusations auxquelles il fait face figurent le viol au premier degré et la pénétration sexuelle illégale au premier degré, qui sont tous deux des délits de niveau A passibles d'une peine maximale de 20 ans de prison.Les deux autres accusations – des délits de niveau C passibles d’une peine maximale de cinq ans de prison – sont deux chefs d’accusation d’abus sexuels au deuxième degré.\n\nBen McLemore, choisi comme septième choix de la draft 2013 par Sacramento, a passé dix saisons en NBA. Il a porté le maillot des Kings pendant cinq saisons, Memphis une, Houston une et demie, une demi-saison aux Lakers et la dernière avec les Blazers, pour un total de 556 matchs dont 267 en tant que titulaire, avec 9 points de moyenne en carrière et 10,2 lors de sa dernière saison à Portland\n\nAu cours des deux dernières saisons, il a joué pour Shandong, en Chine, et à l'AEK Athènes. Il a disputé cette saison 13 matches avec Lugo, le dernier en date le 6 avril.\n\n\n\n |
user | François Hollande attendu à Bourg-en-Bresse pour le match 2 de la finale d’Eurocup |
assistant | Après Elohim Prandi, Lilian Thuram ou Olivier Dacourt à l’Adidas Arena lors du match 1, c’est un autre invité de marque qui est attendu à Ékinox pour le match 2 en la personne de François Hollande.\n\nHasard du calendrier, l’ancien président de la République (2012-2017), qui participe à la campagne du PS pour les élections européennes, sera à Bourg-en-Bresse vendredi, comme le rapporte Le Progrès. Il devrait assister au match 2 de la finale d’Eurocup entre le Paris Basketball et la JL Bourg, qui débutera à 19h30.\n\nEn cas de victoire, le club de la capitale remporterait son premier trophée européen, sinon la série repartirait à l’Adidas Arena pour un épilogue prévu ce lundi 15 avril.\n\nFinale de l’Eurocup : Avantage Paris, mais Bourg n’a pas dit son dernier motCe mardi, le Paris Basketball l’a emporté aisément contre la JL Bourg à l’occasion du match 1 de la finale de l’Eurocup (77-64). Un résultat satisfaisant mais qui n’est pas une fin en soi pour les Parisiens, face à une équipe de la Jeu décidée à montrer un bien meilleur visage vendredi à Ekinox.BasketEurope.comValentin Perrot |
user | Euroleague : Contre le Bayern Munich, Monaco se fait peur mais valide sa place dans le top 3 |
assistant | Ce jeudi, la donne était simple pour Monaco : la Roca Team devait l'emporter contre le Bayern Munich pour sécuriser une place sur le podium de l'Euroleague. Un adversaire allemand abordable, qui n'avait plus rien à jouer, mais qu'il convenait de prendre au sérieux pour ne pas risquer une désillusion. Une mission accomplie dans la douleur pour les hommes de Sasa Obradovic, qui ont d'abord largement mené avant de laisser leur adversaire revenir en fin de match.\n\n\nUne première moitié de match parfaitement négociée\n\nLa belle soirée des joueurs du Rocher s'est rapidement profilée dans ce match. Après quelques minutes à échanger les paniers avec leur adversaire (12-12), les Monégasques montaient subitement le curseur en défense tout en maintenant la cadence de l'autre côté du terrain. Un premier quart-temps qui les voyait déjà inscrire 29 points et prendre une avance de 15 unités ! (29-14)\n\nPrivé de sa star Serge Ibaka, le Bayern prenait l'eau de toutes parts dans cette première mi-temps. À l'image de l'excellent duo Jordan Loyd - Elie Okobo (21 points en cumulé en première mi-temps), Monaco faisait preuve d'une adresse insolente, notamment dans la raquette (69 % de réussite aux tirs, 16/19 à deux points). En ajoutant à cela une défense étouffante, le champion de France en titre rentrait logiquement aux vestiaires avec un avantage très important (52-30).\n\n\J'sais plus si j'suis gaucher ou droitier, je shoote des deux mains, Elie Okoboss\ 🎶@ASMonaco_Basket x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/adXkBaUKna\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 11, 2024\n\n\nAvec une telle avance, Monaco savait qu'il lui fallait avant tout contenir les tentatives de retour allemandes dans la troisième période pour s'assurer une fin de match sereine. Malgré une légère baisse de réussite globale aux tirs, la Roca Team maintenait la cap et Mike James continuait de régaler ses coéquipiers (17 points, 12 passes décisives).\n\nLe réveil des hommes de Pablo Laso, initié par un Carsen Edwards incandescent (26 points), aura finalement lieu à partir de la fin du troisième quart-temps et donnera des sueurs froides aux fans monégasques. Revenus à deux points dans la dernière minute, Sylvain Francisco (17 points, 4 passes décisives) et son équipe s'inclineront finalement face à Alpha Diallo (20 points, 5 rebonds), auteur d'un dunk décisif après avoir pris un rebond offensif primordial !\n\n\nMonaco attend son adversaire\n\nUne victoire à l'arrachée (89-85) qui fait le bonheur de Monaco. Ce 23e succès en 34 match permet au club de la Principauté de terminer sa saison d'Euroleague dans les trois premiers. Il pourrait même décrocher la deuxième place si le Panathinaïkos s'incline face à l'ALBA Berlin ce jeudi soir. Restera ensuite à connaitre l'adversaire des Monégasques en quarts de finale, qui pourrait être Fenerbahçe ou l'Olympiakos. Réponse définitive dans la soirée de vendredi.\n\n🥵 La #RocaTeam résiste au Bayern et valide sa place dans le top 4️⃣ !!️\n\n🚀 Fin de la saison régulière d'@EuroLeague, cap sur les play-offs 💥#RocaTeam #EveryGameMatters pic.twitter.com/MLjIcorUcc\n\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) April 11, 2024\n\n\nBoxscore Monaco - Bayern Munich / Classement Euroleague |
user | Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures |
assistant | Finale Eurocup : un match 2 de gala\n\nCe vendredi soir (19h30), Paris Basketball aura l'opportunité de remporter l'Eurocup en battant la JL Bourg chez elle dans le match 2 de la finale. Un duel qui s'annonce explosif. Un invité de marque : l’ancien président de la République, François Hollande, attendu à Ékinox !\n\nFinale de l’Eurocup : Avantage Paris, mais Bourg n’a pas dit son dernier motCe mardi, le Paris Basketball l’a emporté aisément contre la JL Bourg à l’occasion du match 1 de la finale de l’Eurocup (77-64). Un résultat satisfaisant mais qui n’est pas une fin en soi pour les Parisiens, face à une équipe de la Jeu décidée à montrer un bien meilleur visage vendredi à Ekinox.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\nEuroleague : quel adversaire pour Monaco en playoffs ?\n\nDécouvrez tous les scénarios possibles de cette 34e et dernière journée d'Euroleague.\n\nEuroleague : quel adversaire pour Monaco en playoffs ?L’AS Monaco reçoit ce jeudi soir le Bayern Munich. A l’issue de cette ultime journée de saison régulière, l’équipe de la Principauté va connaître son adversaire en playoffs.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPortrait - Janelle Salaün, l'éloge de la détermination\n\nPerfectionniste, Janelle Salaün est devenue, à force de travail, une incontournable du basket français. Avant son premier Final Four d’Euroleague (12-14 avril), où elle affronte Prague ce vendredi (15h) avec Villeneuve d’Ascq en demi-finale, ses proches racontent son ascension.\n\nPortrait - Janelle Salaün, l’éloge de la déterminationPerfectionniste, inflexible et déterminée, Janelle Salaün est devenue, à force de travail, une incontournable du basket français. Avant son premier Final Four d’Euroleague, où elle affronte Prague ce vendredi (15h) avec Villeneuve d’Ascq en demi-finale, ses proches racontent son ascension.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”\n\nAprès deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L'internationale tricolore devra d'abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four de l’Euroleague : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”Après deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L’internationale tricolore devra d’abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nITW Valérie Garnier (Fenerbahçe) : “Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner”\n\nC’est avec bonheur que Valérie Garnier, 59 ans, l’ex-sélectionneuse des Bleues, a retrouvé les sommets du haut-niveau féminin, à la tête du Fenerbahçe Istanbul, champion d’Euroleague en titre, et qui s’avance en grand favori du Final Four, disputé à la Servet Tazegül Arena de Mersin.\n\nValérie Garnier (Fenerbahçe) au Final Four : «Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner»C’est avec bonheur que Valérie Garnier, 59 ans, l’ex-sélectionneuse des Bleues, a retrouvé les sommets du haut-niveau féminin, à la tête du Fenerbahçe Istanbul, champion d’Euroleague en titre, et qui s’avance en grand favori du Final Four (12-14 avril), disputé à la Servet Tazegül Arena de Mersin.BasketEurope.comLiliane Trévisan\n\n\nEurocup féminine : Londres donne au Royaume-Uni son premier trophée européen\n\nLes London Lions sont entrés dans l'histoire en remportant mercredi soir la couronne de l'Eurocup féminine et en devenant ainsi la première équipe britannique à gagner un titre européen.\n\nEurocup féminine : Londres donne au Royaume Uni son premier trophée européenLes London Lions sont entrés dans l’histoire en remportant la couronne de l’Eurocup féminine et en devenant ainsi la première équipe britannique à gagner un titre européen.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : Un millionnaire devient l'actionnaire majoritaire de Saint-Chamond\n\nDevenu ce mercredi soir l'actionnaire majoritaire du club de Saint-Chamond, David Despinasse est le nouvel homme fort du SCBVG. Son frère Laurent et lui sont à la tête de l'entreprise Despi, premier réseau de boucherie traditionnelle en France. Son entrée au capital du club apporterait 1,2 million d'euros de plus.\n\nPro B : Le millionnaire David Despinasse devient l’actionnaire majoritaire de Saint-ChamondDavid Despinasse est devenu ce mercredi soir l’actionnaire majoritaire du club de Saint-Chamond, le SCBVG.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJeux Olympiques : Pas de Ben Simmons avec l'Australie\n\nUne liste de 22 joueurs a été annoncée mercredi matin par la fédération australienne dans l'optique des Jeux Olympiques de Paris. Ben Simmons manque à l'appel.\n\nJeux Olympiques : l’Australie a donné une liste de 22 joueursUne liste de 22 joueurs a été annoncée mercredi matin par la fédération australienne dans l’optique des Jeux Olympiques de Paris. Ben Simmons manque à l’appel.BasketEurope.comLa rédaction |
user | Trophées LFB : Kennedy Burke, Dominique Malonga et Rachid Méziane récompensés |
assistant | Il s'agit du deuxième trophée de suite de MVP pour Kennedy Burke alors que Dominique Malonga et Rachid Méziane sont consacrés pour la première fois. Les résultats ont été proclamés ce mercredi soir sur la chaîne Sport en France.\n\nTrois jeunes Françaises dont deux de Tarbes figurent dans le Cinq idéal de la saison : Carla Leite (Tarbes, 20 ans), Janelle Salaün (Villeneuve d'Ascq, 22 ans) et Dominique Malonga (Tarbes, 18 ans) en plus de Kennedy Burke (Villeneuve d'Ascq) et de la Canadienne Kayla Alexander (Bourges).\n\nCarla LEITE(Tarbes / 19 ans - FRA)- Stats en saison régulière : 19 matches - 15,8 points - 2,5 rebonds - 5,5 passes - Evaluation : 12,3\n\nJanelle SALAÜN(Villeneuve d’Ascq / 22 ans - FRA) - Stats en saison régulière : 22 matches - 14,5 points - 5,5 rebonds - 2,0 passes - Evaluation : 16,0\n\nKennedy BURKE(Villeneuve d’Ascq / 27 ans - USA)- Stats en saison régulière : 21 matches - 15,0 points - 5,7 rebonds - 2,9 passes - Evaluation : 18,5\n\nKayla ALEXANDER(Bourges / 33 ans - CAN) - Stats en saison régulière : 21 matches - 13,4 points - 7,9 rebonds - 0,7 passes - Evaluation : 18,8\n\nDominique MALONGA(Tarbes / 18 ans - FRA)- Stats en saison régulière : 21 matches - 11,9 points - 8,9 rebonds - 1,0 passe - Evaluation : 15,7\n\n\n\nLes 10 dernières MVP LFB2024Kennedy BURKE (USA / Villeneuve d’Ascq)2023 Kennedy BURKE (USA / Villeneuve d’Ascq)\n2022 Iliana RUPERT (Bourges)\n2021 Alexia CHARTEREAU (Bourges)\n2020 -\n2019 Helena CIAK (Lattes Montpellier)\n2018 Nayo RAINCOCK-EKUNWE (CAN / Nantes Rezé)\n2017 Amel BOUDERRA (Charleville-Méz.) et Katherine PLOUFFE (CAN / Nantes Rezé)\n2016 Amel BOUDERRA (Charleville-Mézières) et Latoya WILLIAMS (USA / Lyon)\n2015 Djéné DIAWARA (Arras) et Lizanne MURPHY (CAN / Angers)\n\n\n\n\n\nLes 10 derniers vainqueurs\n\n2024 Rachid MEZIANE (Villeneuve d'Ascq)\n\n2023 David GAUTIER (Lyon)\n2022 Olivier LAFARGUE (Bourges)\n2021 Olivier LAFARGUE (Bourges)\n2020 -\n2019 Valéry DEMORY (Lyon)\n2018 François GOMEZ (Tarbes)\n2017 Romuald YERNAUX (Charleville-Mézières)\n2016 Romuald YERNAUX (Charleville-Mézières)\n2015 Frédéric DUSART (Villeneuve d’Ascq)\n\nLes 10 dernières meilleures jeunes LFB\n\n2024 Dominique MALONGA (Tarbes)\n\n2023 Carla LEITE (Tarbes)\n2022 Pauline ASTIER (Bourges)\n2021 Iliana RUPERT (Bourges)\n2020 -\n2019 Marine FAUTHOUX (Tarbes)\n2018 Alexia CHARTEREAU (Bourges)\n2017 Alexia CHARTEREAU (Bourges)\n2016 Alix DUCHET (Arras)\n2015 Clarince DJALDI-TABDI (Arras)\n2014 Valériane AYAYI (Basket Landes)\n\n\n\n\n\nL’éponge Dominique Malonga : “Être numéro un de la draft WNBA n’est pas impossible”Troisième scoreuse de l’équipe de France lors du TQO en Chine, Dominique Malonga, 18 ans, prend de l’épaisseur en Ligue Féminine. François Gomez, Isabelle Yacoubou et Jean-Aimé Toupane sont unanimes au sujet de “l’éponge”, qui vise la première place de la draft WNBA 2025. Rencontre à Tarbes.BasketEurope.comClément Carton |
user | Tony Parker, président de l'ASVEL : \Le budget va forcément baisser\ |
assistant | A propos du prochain entraîneur, il confirme que Pierric Poupet conserve sa chance de rester à son poste dont il a hérité après les mises à l'écart de TJ Parker et Gianmarco Pozzecco.\n\n\Bien sûr. Nous allons bientôt nous décider, même si ce n’est un secret pour personne que nous sommes en contact avec Gordon Herbert et Sergio Scariolo. Comme pour les filles, nous allons essayer de trancher assez tôt pour avoir une visibilité pour les deux prochaines années.\\n\nVoici ce qu'il répond lorsque lui est posé la question de savoir ce qu'il pense des difficultés de Skweek/Fedcom Media a honoré actuellement divers engagements dont celui de sponsor principal de l'ASVEL.\n\n\Les temps sont durs mais je préfère rester positif. Les personnes de Skweek m’ont dit qu’elles tiendront leurs engagements. On va les laisser travailler et leur faire confiance.\\n\nAprès les déboires avec Smart Good Things, l'ASVEL est-elle ébranlée ?\n\n\Non, parce que je vois les choses dans leur globalité. Et je dis toujours qu’il faut savoir savourer les titres, parce que c’est très dur d’en conquérir. Et nous avons beaucoup gagné. Il faut prendre du recul et, je le répète, je suis là sur le long terme. On nous jugera quand nous ne serons plus là. En attendant, nous sommes toujours aussi motivés pour gagner.\\n\nToutefois Tony Parker révèle que le budget va \forcément baisser\ la saison prochaine. En ce qui concerne le rachat de la LDLC Arena, le président villeurbannais affirme qu'il est toujours en pleine coopération avec l'ancien président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas.\n\n\Jean-Michel a pris le lead et nous travaillons main dans la main pour qu’il arrive à finaliser ce dossier. Cela fait vingt ans qu’on se connaît, on s’est toujours bien entendus et je ne vois pas pourquoi ça ne continuerait pas,\ dit-il. \Nous sommes toujours en discussion avec Jean-Michel. Cela se passe très bien avec lui et il sera là, vendredi, pour assister au match contre Barcelone. Les gens essaient de créer des histoires, mais il n’y en a jamais eu entre Jean-Michel et moi.\\n\nIl y a un sujet que Tony Parker ne veut pas aborder, c'est le fait que son frère TJ a saisi les prud'hommes suite à son licenciement.\n\n\Je ne peux pas parler de ce sujet.\ |
user | Coupe du monde U17 féminine : La France avec le Canada |
assistant | Les 16 équipes ont été réparties en quatre groupes de quatre équipes chacun.\n\nGroupe A: Japon, Espagne, Argentine, Finlande\nGroupe B: Italie, Mexique, Mali, Nouvelle-Zélande\nGroupe C: Porto Rico, Australie, USA, Croatie\nGroupe D: Taiwan, Egypte, Canada, France\n\nLes 16 équipes accéderont à la phase finale de la compétition avec un format à élimination simple à partir des huitièmes de finale. Les équipes du groupe A affronteront les équipes du groupe B, en fonction du classement au sein de ces groupes (1er contre 4e - 2e contre 3e) et les équipes du groupe C affronteront les équipes du groupe D.\n\nLes États-Unis, champions en titre, tenteront de remporter leur sixième médaille d'or en sept tournois. La seule défaite des Américaines dans l'histoire est survenue contre l'Australie, futur championne, en demi-finale de 2016; les États-Unis avaient terminé troisième.\n\nEn 2022, la France avec Dominique Malonga avait obtenu la médaille de bronze en battant le Canada, 84-82.\n\nL'édition 2024 du tournoi aura lieu du 13 au 21 juillet à Irapuato et Leon, au Mexique. |
user | Isiaha Mike (Bourg) : \C’est le match le plus important de ma carrière\ |
assistant | «Nous faisons une très belle saison jusqu’ici et nous sommes en position de gagner un trophée. Nous sommes dos au mur mais nous allons jouer chez nous. Nous avons une chance de gagner et de forcer un match 3. Et nous verrons ce qu’il se passera après,» dit-il au Progrès.\n\nRevenant sur le premier match où il a raté ses 7 shoots derrière l'arc pour marquer 9 points, alors qu'il a été élu dans le meilleur cinq de l'Eurocup, Isiaha Mike déclare :\n\n«Notre attaque n’était pas aussi fluide que d’habitude. Et je pense que nous aurions pu être meilleurs défensivement en première mi-temps.Nous l’avons été en deuxième. Si on ne ralentit pas une équipe aussi bonne que celle de Paris, alors ses joueurs passent une soirée facile. Si on ne leur impose pas plus de pression en attaque, c’est la même histoire. Ils peuvent ressortir des ballons, jouer en transition et conclure des actions spectaculaires. Et leur confiance augmente. Il est très important de faire du bon travail des deux côtés du terrain pour éviter cela. Il ajoute : J’ai très mal joué. C’était probablement mon plus mauvais match de la saison. Par chance, nous en avons un autre demain (vendredi). C’est une autre opportunité de gagner mais, pour cela, nous devrons réussir un meilleur match collectivement.»\n\nPour le Canadien jouer dans sa salle va changer l'atmosphère du match :\n\n«Je suis d’accord. Nous devrions retrouver notre énergie et notre alchimie. Le contexte nous a peut-être angoissé lors du match 1. Maintenant, nous sommes de retour à Bourg, où nous avons toujours très bien joué cette saison. Nous serons dans notre zone de confort, avec nos supporters qui vont nous booster. C’est le match le plus important de ma carrière. Nous voulons être les vilains et empêcher Paris d’accomplir quelque chose d’historique. J’espère que nous pourrons changer l’histoire et être les vainqueurs.»\n\n |
user | Final Four Euroleague Féminine : La prédiction des experts pour Villeneuve d'Ascq - Prague |
assistant | Paul Nilsen, spécialiste du basket-ball féminin à la FIBA :\n\n\Félicitations à Rachid Meziane et à ses joueuses qui, bien qu'il s'agisse d'un parcours de conte de fées et historique, ont une véritable chance de se qualifier pour la finale. Leur grande éthique d’équipe, leur force physique et leur verve générale, dirigés par Kennedy Burke, donneront des maux de tête majeurs. L'expérience de Teja Oblak, blessée, va manquer à Prague mais il faut savoir que la ligne d'ailières composée de Valériane Ayayi, Nyara Sabally et Ezi Magbegor fera le travail.Prédiction : Prague.\\n\nShona Thorburn, assitante-coach à Basket Landes et commentatrice de l'USK Prague pour la FIBA :\n\n\Je ne veux jamais parier contre Prague. Tout au long de la saison, elles ont joué sans une ou deux joueuses et ont trouvé un moyen de gagner. Elles ont l'un des meilleurs entraîneurs de la compétition et sont constamment en compétition pour le trophée. Cela dit, cela pourrait être la première fois depuis très longtemps qu’une équipe française peut monter sur la plus haute marche du podium. Villeneuve a le talent à chaque poste pour concourir. Tant qu'elles ne se contentent pas de leur tir à trois-points, elles constituent une équipe avec laquelle il faut compter.Prédiction : Villeneuve d'Ascq.\\n\nMark Mills, commentateur de Villeneuve d'Ascq pour la FIBA :\n\n\Prague voudra mettre fin au cauchemar du Final Four de la saison dernière avec son effectif beaucoup plus étoffé cette fois-ci. Elles ont une bonne combinaison de jeunesse et d’expérience, qui se sont tous intensifiés à différents moments de la saison. Villeneuve d'Ascq a vécu une véritable saison en dents de scie. À leur meilleur, elles peuvent battre n'importe qui, mais certains jours, les choses ne fonctionnent tout simplement pas pour elles, il est donc difficile de prédire l'issue de celui-ci. Les deux équipes ont remporté des victoires l’une contre l’autre en saison régulière. Cependant, je pense que l'absence d'Oblak pour Prague est le facteur qui fait pencher la balance en faveur de Villeneuve d'Ascq, mais cela risque d'être très serré pendant les 40 minutes ; on peut même voir des heures supplémentaires !Pronostic : Villeneuve d'Ascq.\\n\nDans l'autre demi-finale, les experts se prononcent à l'unanimité pour Fenerbahçe face à Cukurova-Mersin. |
user | Le récap des articles Premium |
assistant | Prolongation à Bourg, ASVEL, Équipe de France, Euroleague... Frédéric Fauthoux et Julien Desbottes se livrent\n\nEn conférence de presse, le président Julien Desbottes et le coach Frédéric Fauthoux ont officialisé la prolongation de ce dernier à la tête de la JL Bourg jusqu’en 2027. Focalisés sur la finale d’Eurocup, les deux hommes forts du projet burgien abordent l’avenir avec sérénité et ambition.\n\nProlongation à Bourg, ASVEL, Équipe de France, Euroleague... Frédéric Fauthoux et Julien Desbottes se livrentEn conférence de presse, le président Julien Desbottes et le coach Frédéric Fauthoux ont officialisé la prolongation de ce dernier à la tête de la JL Bourg jusqu’en 2027. Focalisés sur la finale d’Eurocup, les deux hommes forts du projet burgien abordent l’avenir avec sérénité et ambition.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nÀ Lyon, c’est plus cher de voir les Bleus que les Rolling Stones\n\nVoir les équipes de France de basket est un plaisir qui n’est pas donné à toutes les bourses. Alors que deux France-Serbie ainsi que la cérémonie de retrait du maillot de Tony Parker en équipe de France auront lieu à la LDLC Arena le 12 juillet prochain. Les tarifs des places encore disponibles dépassent les 100 euros.\n\nÀ Lyon, c’est plus cher de voir les Bleus que les Rolling StonesVoir les équipes de France de basket est un plaisir qui n’est pas donné à toutes les bourses.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nLes Français de l'étranger : Une finale européenne pour Jerry Boutsiele et Axel Bouteille\n\nLa qualification du duo Jerry Boutsiele - Axel Bouteille en finale de la FIBA Europe Cup, le nouveau double-double d'Ismaël Kamagaté, le coup de chaud de Sylvain Francisco... Retrouvez les principaux enseignements de la dernière semaine chez les Français de l'étranger.\n\nLes Français de l’étranger : Une finale européenne pour Jerry Boutsiele et Axel BouteilleLa qualification du duo Jerry Boutsiele - Axel Bouteille en finale de la FIBA Europe Cup, le nouveau double-double d’Ismaël Kamagaté, le coup de chaud de Sylvain Francisco... Retrouvez les principaux enseignements de la dernière semaine chez les Français de l’étranger.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nITW Christophe Vitoux (GM Villeneuve d’Ascq): «Dans le basket féminin, plus on va loin et plus ça nous coûte»\n\nManager général de l’ESBVA, Christophe Vitoux nous décrit la situation dans son club avant d’aborder le Final Four de l’Euroleague au cours duquel il sera opposé en demi-finale à l’USK Prague, ce vendredi, à Mersin, en Turquie.\n\nITW Christophe Vitoux (GM Villeneuve d’Ascq): «Dans le basket féminin, plus on va loin et plus ça nous coûte»Manager général de l’ESBVA, Christophe Vitoux nous décrit la situation dans son club avant d’aborder le Final Four de l’Euroleague au cours duquel il sera opposé en demi-finale à l’USK Prague, ce vendredi, à Mersin, en Turquie.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nDossier - La JL Bourg a enfin trouvé sa place en Europe\n\nSur le terrain, en tribunes et dans les médias, la JL Bourg est en train d’écrire la plus belle page de son histoire. L’équipe de Frédéric Fauthoux fait face au Paris Basketball en finale de l’Eurocup à compter de ce mardi soir (20h30).\n\nDossier - La JL Bourg a enfin trouvé sa place en EuropeSur le terrain, en tribunes et dans les médias, la JL Bourg est en train d’écrire la plus belle page de son histoire. L’équipe de Frédéric Fauthoux fait face au Paris Basketball en finale de l’Eurocup à compter de ce mardi soir (20h30).BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nFinale de l'Eurocup : Avantage Paris, mais Bourg n'a pas dit son dernier mot\n\nCe mardi, le Paris Basketball l'a emporté aisément contre la JL Bourg à l'occasion du match 1 de la finale de l'Eurocup (77-64). Un résultat satisfaisant mais qui n'est pas une fin en soi pour les Parisiens, face à une équipe de la Jeu décidée à montrer un bien meilleur visage vendredi à Ekinox.\n\nFinale de l’Eurocup : Avantage Paris, mais Bourg n’a pas dit son dernier motCe mardi, le Paris Basketball l’a emporté aisément contre la JL Bourg à l’occasion du match 1 de la finale de l’Eurocup (77-64). Un résultat satisfaisant mais qui n’est pas une fin en soi pour les Parisiens, face à une équipe de la Jeu décidée à montrer un bien meilleur visage vendredi à Ekinox.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”\n\nAprès deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L'internationale tricolore devra d'abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”Après deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L’internationale tricolore devra d’abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nValérie Garnier (Fenerbahçe) au Final Four : «Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner»\n\nC’est avec bonheur que Valérie Garnier, 59 ans, l’ex-sélectionneuse des Bleues, a retrouvé les sommets du haut-niveau féminin, à la tête du Fenerbahçe Istanbul, champion d’Euroleague en titre, et qui s’avance en grand favori du Final Four (12-14 avril), disputé à la Servet Tazegül Arena de Mersin.\n\nValérie Garnier (Fenerbahçe) au Final Four : «Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner»C’est avec bonheur que Valérie Garnier, 59 ans, l’ex-sélectionneuse des Bleues, a retrouvé les sommets du haut-niveau féminin, à la tête du Fenerbahçe Istanbul, champion d’Euroleague en titre, et qui s’avance en grand favori du Final Four (12-14 avril), disputé à la Servet Tazegül Arena de Mersin.BasketEurope.comLiliane Trévisan\n\n\n\n\nPortrait - Janelle Salaün, l'éloge de la détermination\n\nPerfectionniste, inflexible et déterminée, Janelle Salaün est devenue, à force de travail, une incontournable du basket français. Avant son premier Final Four d’Euroleague, où elle affronte Prague ce vendredi (15h) avec Villeneuve d’Ascq en demi-finale, ses proches racontent son ascension.\n\nPortrait - Janelle Salaün, l’éloge de la déterminationPerfectionniste, inflexible et déterminée, Janelle Salaün est devenue, à force de travail, une incontournable du basket français. Avant son premier Final Four d’Euroleague, où elle affronte Prague ce vendredi (15h) avec Villeneuve d’Ascq en demi-finale, ses proches racontent son ascension.BasketEurope.comClément Carton |
user | Espagne : L'ex-Villeurbannais Dylan Osetkowski candidat au trophée de MVP |
assistant | Deux joueurs émergent à Unicaja : Kameron Taylor et Dylan Osetkowski(2,07 m, 27 ans). L'arrière américain tourne à 9,7 points, 3,8 rebonds, 2,8 passes décisives, 1,2 interception et 12,3 d'évaluation. Cependant, celui qui est le meilleur marqueur, rebondeur et à l'évaluation de l'équipe, c'est l'intérieur Dylan Osetkowski avec 12,5 points, 4,1 rebonds et 13,2 d'éval, en plus d'être le 5e joueur de Liga Endesa au nombre de trois-pointsmarqués par match (plus de 2), avec un taux de réussite de 42 %. Il fait partie de la shortlist des candidats au titre de MVP de la saison.\n\n\Si on compare avec la saison dernière, il marque 3 points de plus en moyenne, son pourcentage de tir à 3-points s'est amélioré de près de 10 %, et il est en progrès au rebonds, aux passes décisives... une saison exceptionnelle\, note Gigantes del Basket.\n\nEvidemment les productions de l'ancien joueur de Ulm et Göttingen ont de quoi étonner quand on se souvient de son passage sans relief à l'ASVEL lors de la saison 2021-22 : 9,2 points et 3,3 rebonds en Betclic Elite et 6,0 points à 31,2 % à trois-points et 3,1 rebonds en Euroleague.\n\nLes meilleurs matchs de Dylan Osetkowski cette saison :\n- 25 points, 9 rebonds et 31 de PIR contre BAXI Manresa\n- 21 points et 23 de PIR contre Surne Bilbao Basket\n- 17 points, 13 rebonds et 24 de PIR contre Río Breogán\n- 20 points, 6 triples et 23 de PIR contre Real Madrid\n- 21 points, 5 rebonds, 5 triples et 22 de PIR contre Bàsquet Girona |
user | Euroleague : Un record de 14 767 spectateurs au Panathinaikos |
assistant | Ce total représente pas moins de 145 905 billets vendus de plus que la saison dernière où la moyenne était tombée à 6 184 spectateurs et l'engouement s'explique par le parcours des Verts, qui terminent à la 2e place de la saison régulière.\n\nLa fréquentation maximale a été enregistrée avec 18 450 spectateurs lors de la 34ème et dernière journée, contre l'Alba Berlin. La victoire sur l'équipe allemande (84-75) a permis de sécuriser la 2e place.\n\n\nLes matches de la saison :\n\n * Olympiakos (1ère journée) : 17 810 billets\n * Bayern Munich (2e journée) : 8 352 billets\n * Maccabi Tel Aviv (4e tour) : 6 451 billets\n * Baskonia Vitoria (5ème journée) : 8 371 billets\n * Zalgiris Kaunas (8ème journée) : 11 125 billets\n * Virtus Bologne (9ème journée) : 14 532 billets\n * Valence (10e journée) : 13 809 billets\n * Real Madrid (13ème journée) : 18 005 billets\n * Étoile Rouge (17ème journée) : 18 124 billets\n * Anatolou Efes (20ème journée) : 17 850 billets\n * Monaco (21ème journée :) 17 946 billets\n * Partizan (22e journée) : 18 421 billets\n * Armani Milan (24e journée) : 11 597 billets\n * Fenerbahce (26ème journée) : 17 732 billets\n * Villeurbanne (28e journée) : 14 519 billets\n * Barcelone (31e journée) : 17 948 billets\n * Alba Berlin (34e journée) : 18 450 billets\n\n\n |
user | Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures |
assistant | Villeneuve d'Ascq se qualifie pour la finale de l'Euroleague !\n\nL'ESBVA a vaincu l'USK Prague (84-78) et va jouer dimanche la finale de l'Euroleague. Une sacrée performance.\n\nVilleneuve d’Ascq se qualifie pour la finale de l’Euroleague !L’ESBVA a vaincu l’USK Prague (84-78) et va jouer dimanche la finale de l’Euroleague. Une sacrée performance.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nVainqueur à Bourg-en-Bresse, Paris remporte l’Eurocup !\n\nVainqueur de la JL Bourg ce vendredi 12 avril (81-89), le Paris Basketball devient le sixième club français vainqueur d’une Coupe d’Europe et décroche son invitation pour l’Euroleague ! La récompense d’une saison quasi-parfaite, avec un parcours sans faute en playoffs.\n\nVainqueur à Bourg-en-Bresse, Paris remporte l’Eurocup !Vainqueur de la JL Bourg ce vendredi 12 avril (81-89), le Paris Basketball devient le sixième club français vainqueur d’une Coupe d’Europe et décroche son invitation pour l’Euroleague ! La récompense d’une saison quasi-parfaite, avec un parcours sans faute en playoffs.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nIsiaha Mike (Bourg) : \C’est le match le plus important de ma carrière\\n\nAuteurs d'une grande saison européenne, Isiaha Mike et Bourg se sont heurtés à un mur contre Paris lors du match 1 de la finale de l'Eurocup. L'ailier-fort canadien le sait : la JL n'a d'autre choix que de s'imposer contre les Parisiens ce vendredi à Ekinox pour maintenir ses espoirs de titre européen.\n\nIsiaha Mike (Bourg) : “C’est le match le plus important de ma carrière”Match 2 de la finale de l’Eurocup à Ekinox, ce vendredi à 19h30. La JL Bourg ayant perdu la première manche à Paris (77-64), elle n’a plus le droit à l’erreur. Le Canadien Isiaha Mike, qui a loupé le premier rendez-vous, le sait mieux que quiconque.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nFinal Four Euroleague Féminine : La prédiction des experts pour Villeneuve d'Ascq - Prague\n\nCe week-end, le Final Four de l'Euroleague féminine va se dérouler à Mersin (Turquie). Qualifié à ce stade de la compétition pour la première fois de son histoire, Villeneuve d'Ascq a d'ailleurs bénéficié de la faveur des pronostics des experts de la FIBA avant sa demi-finale contre Prague.\n\nFinal Four Euroleague Féminine : La prédiction des experts pour Villeneuve d’Ascq - PragueLa Fédération Internationale a fait appel à trois de ses experts pour donner leur favori de la demi-finale Prague-Villeneuve d’Ascq, qui se tiendra ce vendredi à 15h. Et à 2 voix contre 1 c’est l’ESBVA.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLa LNB met en valeur ses légendes\n\nDans la lignée de plusieurs autres initiatives prises depuis le début de la saison, la Ligue Nationale de Basket (LNB) poursuit son travail de valorisation de son patrimoine. Ainsi, elle vient de rendre disponibles les statistiques historiques et records de l'élite du basket français depuis sa création, en 1987.\n\nLa LNB met en valeur ses légendesLes statistiques historiques de l’élite du basket français sont maintenant disponibles sur le site de la LNB, incluant les records individuels et en carrière, depuis la création de la ligue en 1987.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nMike Scott : “Les Américains doivent arrêter de penser que si vous ne jouez pas en NBA, vous êtes un déchet ou rincé”\n\nAprès avoir passé la majeure partie de sa carrière en NBA, Mike Scott s'est installé en France depuis deux saisons à Nancy, puis à l'ASVEL. L'ailier américain apprécie son expérience européenne et regrette le manque de reconnaissance des Américains envers le basket international.\n\nMike Scott : “Les Américains doivent arrêter de penser que si vous ne jouez pas en NBA, vous êtes un déchet ou rincé”Pour Mike Scott, les Américains sous-estiment l’Euroleague. L’expérimenté ailier de l’ASVEL bouclera sa saison de rookie parmi le gotha européen ce vendredi soir (21h) face à Barcelone.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nTony Parker, président de l'ASVEL : \Le budget va forcément baisser\\n\nAlors que la plateforme Skweek, partenaire important de l'ASVEL, connait des difficultés financières, Tony Parker a fait le point sur la situation de son club dans une longue interview accordée au Progrès. L'occasion pour le président villeurbannais de se montrer rassurant, même s'il confirme une baisse de budget pour la saison prochaine.\n\nTony Parker, président de l’ASVEL : “Le budget va forcément baisser”Dans une longue interview au Progrès, le président de l’ASVEL, Tony Parker, a procédé à quelques éclairages sur la situation de son club.BasketEurope.comLa rédaction |
user | Villeneuve d'Ascq se qualifie pour la finale de l'Euroleague ! |
assistant | Villeneuve d'Ascq sera ainsi le quatrième club français a atteindre la finale de l'Euroleague (ex-Coupe des Champions) après Clermont (5 fois), Bourges et Valenciennes (4 fois chacun) Les Nordistes affronteront le vainqueur de l'autre demi-finale Fenerbahçe-Cukurova/Mersin.\n\nCe que les filles de Rachid Méziane ont réalisé est absolument magnifique. Elles ont maintenu pendant 40 minutes une intensité à degré maximale et leurs qualités athlétiques ont fini par écoeurer les Tchèques. On peut ainsi noter que la pivot australienne Ezi Magbegor a été tenue à 6 points et 6 rebonds contre 13,6 points et 8,2 rebonds de moyenne sur la saison. L'absence de la meneuse de jeu slovène de 33 ans, Teja Oblak (9,8 points et 4,3 passes) ne peut être considérée comme la raison de l'échec de l'équipe tchèque, qui a pu compter sur Maite Cazorla (8 passes), qui à l'image de ses équipières a fléchi en fin de match, et sur une Valériane Ayayi royale, qui a battu son record de points de la saison (24 dont 15 en première mi-temps) tout en prenant 6 rebonds et en faisant 5 passes.\n\nAlors que Kennedy Burke (6 points, 1/7) a loupé son match sur le plan offensif -mais la MVP de la saison a été remarquable de l'autre côté du terrain-, l'ESBVA a prouvé qu'elle avait de multiples armes notamment Kamiah Smalls auteure de 18 points à 7/11 aux shoots, 7 passes et 6 rebonds. Mais c'est tout autant via son collectif que Villeneuve est allé chercher ce résultat exceptionnel.\n\nDon't be jealous of Shavonte Zellous 🤣🔥@SZellous1 x @ESBVALM #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/JryYdIFg7L\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) April 12, 2024\n\n\n\nValériane Ayayi met le feu\n\nL'ESBVA est entrée parfaitement dans cette demi-finale. Après avoir répondu du tac au tac aux Tchèques, les filles de Rachid Méziane ont pris les devants (12-8, 17-11), notamment grâce à trois trois-points dont deux de Shavonte Zellous sur quatre essais.\n\nA 21-13, c'est Valériane Ayayi qui relançait complètement son équipe avec trois paniers derrière l'arc dont le dernier bonifié d'un lancer-franc et 12 points au total dans ce premier quart-temps, le tout à 100 %. C'est ainsi que l'USK prenait le lead d'un trois-points (le 9e en 10 minutes pour les deux équipes) de Tereza Vyoralova au buzzer. : 26-27.\n\nAvec le deuxième quart-temps, place à une intensité défensive accrue et l'adresse de l'ESBVA fléchissait. De l'autre côté, l'Allemande Nyara Sabally faisait montre de sa puissance et c'est Prague qui à son tour pointait en tête à la 14e minute (29-33). Après être revenues à 33-33, les Guerrières connaissaient un nouveau petit creux, Prague profitant des offrandes de l'Espagnole Maite Cazorla (7 en 15 minutes) pour poursuivre son oeuvre (33-39). Si leur activité générale était excellente, le trio Burke-Salaün-Hériaud en était à 4/16 aux shoots à la pause et l'ESBVA concédait alors un handicap de sixL points à 37-43.\n\n\nKamiah Smalls prend les affaires en mains\n\nVilleneuve d'Ascq démarrait la deuxième mi-temps comme la première et effaçait très vite son retard (46-45) notamment grâce à la paire Zellous-Diaby. A l'intérieur, on jouait des muscles et Valériane Ayayi continuait d'entasser les points : 21 points en 25 minutes. Le chassé-croisé se poursuivait tout au long de la période pour aboutir à une avance infime (63-62, 30e) pour les Guerrières.\n\nSmalls with a BIG bag of handles ⚡@kamiah_s x @ESBVALM #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/169UwSq4wi\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) April 12, 2024\n\n\nTout s'est donc joué dans le dernier quart-temps. Sur un panier acrobatique de Janelle Salaün percutante des deux côtés du terrain, et un shoot à mi-distance de Kamiah Smalls, l'ESBVA se constituait un capital de sept points à 69-62, qu'elle conservait à 74-67. C'était un combat acharné. Rachid Méziane faisait appel à son banc pour maintenir l'intensité mais Prague grignotait peu à peu son retard avec Tereza Vyoralova et sa capacité à scorer derrière la ligne : 76-76 à 2'55.\n\nMay I have this dance? 💃@ESBVALM x @TheBelgianCats #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/9Y8ewcMD2Z\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) April 12, 2024\n\n\nSuite à une superbe passe de Kamiah Smalls, Janelle Salaün se faisait oublier sous le cercle. L'épatante Kamiah Smalls transformait ensuite deux lancers-francs. 84-78 et 31 secondes à jouer. La défense de l'ESBVA était au top. Valériane Ayayi ratait un shoot du parking et les carottes tchèques étaient définitivement cuites.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPortrait - Janelle Salaün, l’éloge de la déterminationPerfectionniste, inflexible et déterminée, Janelle Salaün est devenue, à force de travail, une incontournable du basket français. Avant son premier Final Four d’Euroleague, où elle affronte Prague ce vendredi (15h) avec Villeneuve d’Ascq en demi-finale, ses proches racontent son ascension.BasketEurope.comClément Carton |
user | Le Zenit Saint-Petersbourg se sépare d'Adrien Moerman |
assistant | Adrien Moerman a rejoint le Zenit en janvier 2023 alors qu'il avait débuté sans succès la saison avec l'AS Monaco. Avec le club russe, l'ancien international a atteint les demi-finales de la VTB United League 2022-23, remporté la Coupe Kondrashine et Belov et la Super Coupe de la United League.\n\nAu total, Adrien Moerman a disputé 53 matchs avec le Zenit, avec une moyenne de 6,9 points, 4,6 rebonds et 0,8 passe décisive. |
user | Nolan Traoré, 18e joueur de LNB au Nike Hoop Summit |
assistant | La rencontre se disputera à Portland dimanche à 4h du matin, heure française.\n\nMelvin Ajinça, sélectionné lui aussi pour l’édition 2024, ne pourra pas y participer en raison d’une blessure.\n\n\nListe de Joueurs issus des clubs de la LNB ayant participé au Nike Hoop Summit :\n\n1999 Liberto Tetimadingar (Levallois SCB) - 2000 Tony Parker (Paris SG Racing) - 2001 Michael Mokongo (Elan Chalon/Saône) - 2007 Nicolas Batum (Le Mans Sarthe Basket), Alexis Ajinça (EB Pau-Orthez) - 2008 Alexis Ajinça (Hyères-Toulon VB) - 2009 Kevin Seraphin (Cholet Basket) - 2010 Maël Lebrun (Orléans Loiret Basket) - 2011 Evan Fournier (Poitiers Basket 86) - 2012 Léo Westermann (ASVEL Lyon-Villeurbanne) - 2013 Livio Jean-Charles (ASVEL Lyon-Villeurbanne) - Mouhammadou Jaiteh (SOM Boulogne-sur-Mer) - 2014 Damien Inglis (Chorale Roanne) - Clint Capela (Elan Chalon/Saône) - 2016 Isaïa Cordinier (ASC Denain VPDH) - 2018 Bathiste Tchouaffe (Nanterre 92) - 2023 Zaccharie Risacher (LDLC ASVEL) - 2024 Nolan Traoré (Saint-Quentin BB) - Melvin Ajinça (Saint-Quentin BB – Blessé) |
user | Euroleague féminine : C'est Fenerbahçe que Villeneuve d'Ascq va affronter en finale |
assistant | Ce ne fut pas une promenade de santé pour le champion en titre, dont les pronostiqueurs lui promettent un back to back. Si le Fener a quasiment toujours mené au score, ce ne fut jamais par une grosse marge face à une équipe de Cukurova poussée par son public et... la meneuse française Olivia Epoupa, qui a obtenu la meilleure évaluation de son équipe (23) avec ses 13 points, 5 rebonds, 3 passes et 3 interceptions. Du Olivia Epoupa de ses meilleures années...\n\nFenerbahçe a même vu son adversaire revenir à égalité à 76 avant de donner un dernier coup de collier décisif. L'ailière Kayla McBride a été éblouissante avec ses 25 points (8/12 aux shoots), 6 rebonds, 5 passes et 2 interceptions.\n\nFenerbahçe est coaché par Valérie Garnier et compte dans ses rangs Marième Badiane, qui a joué un peu moins de 9 minutes pour 7 points et 1 rebond.\n\nLa finale aura lieu dimanche à 18h.\n\nLa boxscore est ICI.\n\n\n\n\n\nValérie Garnier (Fenerbahçe) au Final Four : «Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner»C’est avec bonheur que Valérie Garnier, 59 ans, l’ex-sélectionneuse des Bleues, a retrouvé les sommets du haut-niveau féminin, à la tête du Fenerbahçe Istanbul, champion d’Euroleague en titre, et qui s’avance en grand favori du Final Four (12-14 avril), disputé à la Servet Tazegül Arena de Mersin.BasketEurope.comLiliane Trévisan |
user | Nadir Hifi (Paris) après le sacre d’Eurocup : «Sans Eric Girard, je ne serais pas là» |
assistant | Nadir, allez-vous laver vos cheveux ou allez-vous gardez les confettis jusqu’à la fin de la saison après ce titre d'Eurocup ?\n“En tout cas, ces confettis valent cher ! On a travaillé dur depuis août pour ça. Je sais pas si je vais me laver mais on va profiter au maximum de cette magnifique soirée. C’est un premier objectif accompli. On peut être fiers de nous. On travaille tellement dur depuis août pour ça, et pour toutes les victoires qu'on a su engranger ces dernières semaines, sur ces derniers mois. Je veux remercier tout le staff et tout le club. Je suis venu dans une organisation... qui ne pouvait pas être mieux ! On touche à être meilleurs tous les jours, tous les jours ! Je fais des progrès chaque jour, chaque semaine. Même après des grosses performances, on est derrière moi comme si j’avais fait un mauvais match.\n\nQue ressent-on quand on gagne en terre hostile en mettant des tirs sous pression (14 points à 3/9 à 3-points, 3 passes décisives lors du match 2) ?\n\nC’était une finale. On doit gagner, je veux juste aider mon équipe. J'ai peut-être pris un ou deux tirs un peu précipités. Mais ça fait partie de moi, ça fait partie de Nadir. Mais je pense que j’ai aidé l’équipe dans un moment important, je suis là pour ça. Tout le monde a apporté, que ça soit sur le banc ou le terrain, au niveau de l’énergie. On prépare ça depuis longtemps. On peut être fiers de nous.\n\n\J'ai énormément de caractère. J’ai cette chance de ne pas ressentir cette pression. C’est pour ça qu'on me donne ces responsabilités à cet âge-là\\n\nMikael Jantunen disait que vous ne ressentiez pas la pression...\nJe ne suis pas le seul, lui aussi ! Il a mis des gros tirs (rires). Voilà, ça fait partie de moi. J'ai énormément de caractère. J’ai cette chance de ne pas ressentir cette pression. C’est pour ça qu'on me donne ces responsabilités à cet âge-là, il ne faut pas oublier. Je suis très fier qu’on me donne ces clés. J'en profite et je les saisis. Mais j’en ai parlé (de la pression) avec mes coéquipiers durant la semaine. Je suis très fier qu’ils le ressentent aussi. Je sens la confiance de mes coachs, du staff et de mes coéquipiers. C’est une sensation incroyable, surtout à cet âge-là.\n\nMais Mikael ne vous a pas donné le ballon de la dernière possession...\nOui, je voulais le prendre à la fin pour le jeter en l’air mais il ne me l’a pas donné (rires) !\n\nQuand vous repensez au niveau où vous étiez il y a quatre ans et l’évolution depuis...\nC’est ce que je viens de dire à Skweek. Je ne sais pas si on a compris quelque chose parce que j’étais plein de larmes. J’ai remercié tellement de personnes à la télé... Il y a quatre ans, j’étais en Nationale 3. J’ai eu beaucoup de mal à lancer ma jeune carrière. Mais je suis tombé sur les bonnes personnes. Je vais citer Eric Girard car il y a eu beaucoup de critiques quand je suis parti du Portel mais, sans lui, il ne faut pas oublier que je ne serais pas là. Il m'a lancé, dans cette salle en plus, c’est ici (à Ekinox) que j’ai mis mes premiers points en championnat. Beaucoup de supporters ont été énervés contre moi (sur son départ) mais je voulais juste leur dire que je n’ai rien contre eux. Je suis reconnaissant envers le club du Portel, envers tous les supporters pour l’amour qu’ils m'ont apporté. Je vais retourner là-bas pour le dernier match (de la saison régulière) et je vais leur donner de l’amour, j’espère que m'en donneront. Le club du Portel restera à jamais dans mon cœur et je n’oublierai jamais mon passage là-bas.\n\nL'émotion de Nadir Hifi tellement palpable 🏆@ParisBasketball x @EuroCup #SKWEEKLive pic.twitter.com/FOGRH4AnMl\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 12, 2024\n\n\n\On va tout faire pour faire le triplé !\\n\nProchaine étape : l’Euroleague ?\nLa prochaine étape, c’est rentrer à l’hôtel et profiter ! Mais oui, le next step, c’est l’Euroleague. C’est un autre niveau. Il va falloir se préparer comme on l’a fait cette année. Individuellement comme collectivement, il faudra être dedans directement si on veut y rester. On en parlera plus tard. On va déjà savourer ça et le futur nous en dira plus.\n\nMaintenant que vous avez gagné la Leaders Cup et l’Eurocup, le triplé est devenu un objectif ?\nIl va falloir aborder la fin de championnat de la même façon qu’on a abordé l’Eurocup, à savoir vouloir tout gagner. Il faudra que tout le monde reste professionnel comme on l’a fait depuis le début. Ce ne sera pas facile car quand vous remplissez votre premier objectif global qui est d’accéder à l’Euroleague en gagnant l’Eurocup... Mais je pense que tout le monde est à un niveau de professionnalisme qui est vraiment très haut. C’est pour ça qu’on en est là. On va tout faire pour gagner le championnat aussi et finir la saison à 100 % de victoires.\n\nQuel est le programme ce soir ?\nJe ne sais pas. On verra ! Vous savez, nous n’étions pas sûrs de gagner donc on avait pas prévu quelque chose ! On va voir mais en tout cas, on va bien profiter.”\n\nTomas Iisalo, coach du Paris Basketball :\n\n\C'est une progression incroyable et je ne sais pas s'il y a un équivalent dans l'histoire du basket européen, grâce au travail d'Eric Schwarz et David Kahn (NDLR : les Américains à la tête du club). Quand ils m'ont présenté le projet l'été dernier, ils m'ont dit qu'ils avaient besoin d'un petit plus, ils m'ont fait confiance et m'ont donné les clés de la partie sportive. Ce n'était pas facile car je peux être présenté comme ayant un caractère difficile. La victoire en Leaders Cup, le titre en Eurocup, l'inauguration de l'Arena (mi-février), 13 000 personnes à Bercy contre Monaco : on fait quelque chose d'unique. En début de saison, j'ai appelé mes amis en Finlande et leur ai dit:«Il y a tellement de talents dans ce pays, une telle culture basket à Paris, nous pouvons faire quelque chose de spécial.»Et nous allons continuer. La saison prochaine (en Euroleague) ce sera un défi encore plus grand qui nous attend, avec plus de matches, plus d'argent nécessaire pour les vols, l'hôtellerie, avoir un effectif plus fourni. Mais nous allons relever le défi car nous voulons accomplir quelque chose d'unique dans le basket européen. Mais là, je ne veux pas penser au futur, juste boire, fumer des cigares. Parfois il faut se poser, profiter et regarder ce qu'on a accompli. Le reste viendra à temps.\\n\nPropos recueillis à Bourg-en-Bresse.\n\nVainqueur à Bourg-en-Bresse, Paris remporte l’Eurocup !Vainqueur de la JL Bourg ce vendredi 12 avril (81-89), le Paris Basketball devient le sixième club français vainqueur d’une Coupe d’Europe et décroche son invitation pour l’Euroleague ! La récompense d’une saison quasi-parfaite, avec un parcours sans faute en playoffs.BasketEurope.comClément Carton |