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Qualifications Coupe du Monde : 16 Espagnols retenus par Sergio Scariolo
L'entraîneur Sergio Scariolo a annoncé ce mercredi la liste des 16 joueurs espagnols appelés à jouer en Islande (jeudi 23 février) et à Cáceres (dimanche 26 février) les deux derniers matches de qualification pour la Coupe du monde 2023 pour laquelle l'Espagne est d'ores et déjà qualifiée.\n\nConformément à un accord conclu entre la fédération espagnole et la Virtus Bologne, Sergio Scariolo pourra concilier ses positions de sélectionneur national et d'entraîneur de l'équipe italienne, comme il l'a déjà fait lors de la fenêtre de novembre. Scariolo dirigera les entraînements de l'équipe nationale à Alicante et Cáceres, ainsi que le match contre l'Italie à Cáceres. Durant le séjour de l'équipe nationale en Islande, Scariolo sera de retour avec la Virtus mais restera en contact permanent avec son staff d'entraîneurs.\n\n * Francis Alonso (Surne Bilbao Basket), 4 sélections\n * Jonathan Barreiro (Unicaja Malaga), 10 sélections\n * Ferran Bassas (Gran Canaria), 9 sélections\n * Pep Busquets (Joventut Badalona), 1 sélection\n * Michael Caicedo (Coviran Grenade)\n * Alberto Díaz (Unicaja), 23 sélections\n * Sergi García (Río Breogán), 6 sélections\n * Fran Guerra (Lenovo Tenerife), 12 sélections\n * Rubén Guerrero (Monbus Obradoiro), 8 sélections\n * Juan Núñez (Ratipharm Ulm, Allemagne), 5 sélections\n * Joel Parra (Joventut Badalona), 24 sélections\n * Tyson Pérez (Real Betis Basketball), 2 sélections\n * Miquel Salvó (Gran Canaria), 5 sélections\n * Jaume Sorolla (Basket de Gérone)\n * Edgar Vicedo (Monbus Obradoiro), 7 sélections\n * Eric Vila (Basquet Gérone), 1 sélection\n\nPhoto : Joël Parra (FIBA)
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Europe : Le tirage au sort des compétitions de jeunes pour 2023
La FIBA a procédé au tirage au sort des compétitions européennes de jeunes pour l'été prochain. La légende de l'équipe nationale grecque Evina Maltsi et l'ancien capitaine britannique Dan Clark étaient sur place au siège de la FIBA.\n\nAu total, 246 équipes s'affronteront dans 16 tournois, qui se dérouleront dans trois catégories d'âge et trois divisions.\n\nPour voir les résultats des 16 tirages, veuillez cliquer ici.\n\nPhoto : FIBA
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Pro B : Vers un record de spectateurs pour Orléans-Angers
Le premier match de l'OLB face à Angers, le samedi 1er avril, à la CO'Met, devrait battre le record de spectateurs pour un match de Pro B.\n\n5 000 places ont d'ores et déjà trouvé preneurs alors que l'arena peut en accueillir le double. L'affiche n'est pourtant pas la plus belle qui soit puisque Angers est 8e et l'OLB, qui descend de Beclic Elite, 10e. La moyenne de spectateurs à Orléans est de 2 268 spectateurs jusqu'à présent. C'est évidemment la perspective de découvrir l'arena qui explique ce succès populaire.\n\nLe record de spectateurs en Pro B est de 6 016 pour un Limoges- Boulazac, le 12 février 2012.\n\n\n\nPhoto : Tuan Nguyen
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Darel Poirier vers Pau
Selon Jean Fauret de La République des Pyrénées, l'ailier-fort Darel Poirier (2,07 m, 25 ans) est en contact avancé avec Pau pour signer un contrat jusqu'à la fin de la saison.\n\nEn raison d'une blessure au genou, Darel Poirier était resté plusieurs mois sans jouer avant d'effectuer, il y a peu, une pige médicale réussie avec son club formateur de Cholet (7,2 points et 3,0 rebonds en 5 matches). Actuellement 16e de Betclic Elite avec 8 victoires et 13 défaites, l'Elan Béarnais lutte pour son maintien dans la division.\n\n\n\nPhoto : Tuan Nguyen
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8e de finale Coupe de France : Dijon au finish à Antibes
Les Sharks d'Antibes ont vendu chèrement leur peau, obligeant la JDA Dijon à jouer une prolongation pour s'imposer 85-89.\n\nEn l'absence de David Holston, toujours blessé, Jonathan Rousselle (17 points) a passé 38 minutes sur le terrain alors que Markis McDuffie (37', 20 points), David Brembly (36') et Gregor Hrovat (35', 18 points et 7 rebonds) ont également été très sollicités. A Antibes, le temps de jeu a été plus équitablement réparti entre dix joueurs avec Xavier Pollard à 15 points.\n\nC'est une interception de Matt Mobley ponctuée par deux lancers-francs qui ont donné le coup de grâce aux Antibois, alors que l'Américain avait loupé auparavant ses 6 tirs du champ du match.\n\nMercredi 15 février – 19h00\nMonaco (Betclic Elite) – Boulogne-Levallois (Betclic Elite) – En direct et en exclusivité sur MCS Basket (profitez de l’offre BasketEurope + MCSBasket pour un abonnement annuel à 49€)\nPau-Lacq-Orthez (Betclic Elite) – Le Portel (Betclic Elite) – En live sur Youtube\n\nMercredi 15 février – 20h00\nStrasbourg (Betclic Elite) – Boulazac (Pro B) – En live sur Youtube\nLimoges (Betclic Elite) – Bourg-en-Bresse (Betclic Elite) – En live sur Youtube\nLyon-Villeurbanne (Betclic Elite) – Roanne (Betclic Elite) – En live sur Youtube\n\nMardi 28 février – 20h30\nSaint Chamond (Pro B) – Cholet (Betclic Elite) – En live sur Youtube\n\nDéjà joué\nNancy (Betclic Elite) – Le Mans (Betclic Elite) : 78-86\n\nPhoto : Markis McDuffie (FIBA)
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Facundo Campazzo va jouer avec l'Argentine lors de la fenêtre de février
En attendant de pouvoir intégrer l'Euroleague, au 1er mars, le meneur de jeu de l'Etoile Rouge de Belgrade, Facundo Campazzo (1,78 m, 31 ans) va disputer deux matches de qualification à la Coupe du Monde 2023.\n\nLe 24 février, un match contre le Canada est programmé à Mar del Plata, en Argentine, et deux jours plus tard un autre contre la République dominicaine, dans la même ville.\n\n« Et de cela, j'en suis ravi. La plupart des joueurs de l'Euroleague ne peuvent pas jouer pour les équipes nationales, car l'Argentine est loin, et nous avons aussi des matches en Euroleague. Maintenant, j'ai une opportunité, je veux l'utiliser et essayer d'aider l'équipe et l'entraîneur Pablo Prigioni à gagner des matchs », a t-il déclaré.\n\nL'autre Argentin de l'Etoile Rouge, Luca Vildoza, est ainsi consigné en Europe pour disputer des matches d'Euroleague.\n\nL'Argentine est actuellement dans une position délicate, à égalité dans son groupe avec le Venezuela et la République Dominicaine avec 7 victoires et 3 défaites, mais classée 4e en raison d'un point average défavorable.\n\nPhoto : FIBA
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Limoges veut entrer \en résistance\
Déja éreintés par un rythme très soutenu avec le championnat et la Basketball Champions League, le Limoges CSP se voit offrir deux obstacles majeurs : Bourg-en-Bresse ce mercredi en 8e de finale de Coupe de France puis Dijon, vendredi, en quart-de-finale de la Leaders Cup.\n\n« On doit résister cette semaine, nous ne sommes pas plus frais. On a joué huit matches sur les douze derniers à l’extérieur, on a passé vingt jours sur trente loin de la maison. Ce n’est pas une excuse mais il faut en tenir compte. Malgré cela, il faudra donner 110 %, » annonce le coach Massimo Cancellieri dans les colonnes du Populaire.\n\nSi le CSP s'était imposé à Beaublanc le 7 janvier en championnat (76-68), il était revenu mortifié de son déplacement à Ekinox le 4 février (98-75). Nicolas Lang veut croire qu'avec le soutien de son public son équipe va être transcendée.\n\n« À l’extérieur, on a beaucoup plus de mal à trouver nos repères. À domicile par contre, on a toujours cet engouement et quand on est un peu moins bien, on arrive toujours à revenir. »\n\nSi ses équipiers vont probablement voir arriver la trêve avec soulagement, Nicolas Lang va devoir quant à lui enchaîner après la Leaders Cup avec l'équipe de France dont un déplacement à Pardubice en République Tchèque.\n\nPhoto : Nicolas Lang, FIBA
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Vidéo : Un-contre-un avec Terry Tarpey (Le Mans) et Kim Tillie (Cholet)
En amont du derby entre Le Mans et Cholet à la Leaders Cup -les deux premiers ont été favorables au MSB cette saison-, la LNB nous offre ce un-contre-un avec Terry Tarpey et Kim Tillie.
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Vidéo - Le LNB Club : Qui va gagner la Leaders Cup ?
Ce 4e épisode du LNB Club concocté par l'équipe de First Team est consacré à la Leaders Cup, qui va se tenir de vendredi à dimanche à l'Arena de Saint-Etienne.\n\nLe programme : - Intro (00:00) - Preview ASVEL - Mets 92 (05:17) - Preview Monaco - Bourg-en-Bresse + Palette \Comment défendre Mike James ?\ (16:13) - Preview Dijon - Limoges + ITW Jacques Alingue (32:45) - Preview Cholet - Le Mans (44:03) - Le Top 10 du mois, présenté par Samsung (47:00)\n\nPhoto : JDA Dijon (LNB)
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Euroleague : Rodrigue Beaubois (Anadolu Efes) parmi les nominés pour le trophée de Défenseur de l'Année
L'Euroleague a publié cinq noms de candidats au trophée de Défenseur de l'Année avec parmi eux Rodrigue Beaubois (1,88 m, 34 ans), l'arrière d'Anadolu Efes.\n\n\Membre du prestigieux club des shooteurs à 50-40-90 (NDLR : Réussite à 2, 3-points et lancers-francs) aussi récemment qu'en 2020-21, Beaubois est surtout connu pour ses contributions offensives aux doubles champions en titre. Cependant, les guards adverses et les entraîneurs sont bien conscients des forces défensives de Beaubois. Grâce à sa rapidité, ses longs bras et son caractère de compétiteur, Beaubois défend souvent sur le meilleur guard adverse et a produit des chiffres impressionnants. Non seulement il est classé neuvième de la ligue aux contres (0,9 contre), mais il est le seul garde du top 40 ! Le 1,2 interception de Beaubois sont au 15e rang de la ligue et il est l'un des trois seuls joueurs dans le top 20 pour les interceptions et les contres\, écrit le site de l'Euroleague.\n\nLes autres candidats sont l'ancien Villeurbannais Kevarrius Hayes (Zalgiris Kaunas), Nikola Kalinic (FC Barcelone), Alessandro Pajola (Virtus Bologne), Walter Tavares (Real Madrid) et Thomas Walkup (Olympiakos).\n\nPhoto : Euroleague\n\n\n\n\n\n
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Walter Tavares (Real Madrid) : \En NBA, j'en suis venu à détester le basket\
Le pivot du Real Madrid Walter \Edy\ Tavares (2,21 m, 30 ans) est un as du basket européen, tout spécialement en défense, mais il n'a pas réussi à s'imposer en NBA. Pas sûr qu'il ait une nouvelle chance.\n\nWalter Tavares n'a joué que 13 matches entre Atlanta et Cleveland. De quoi le frustrer comme il l'indique à El Pais.\n\n\Non, je n'ai pas beaucoup apprécié. Si vous ne jouez pas... Mais cela m'a aidé parce que si je n'avais pas vécu cette période, je n'aurais pas été aussi fort mentalement que je le suis maintenant pour résister à tout ce qui se passe dans les matches. Je sais mieux gérer les émotions, avoir de la tempérance. En NBA, j'en suis venu à détester le basket. Je me suis seulement entraîné et je n'ai pas joué. Je voulais concourir, jouer, gagner. La porte est-elle fermée ? Je ne sais pas. Ici, je suis très heureux, je me sens important et aimé. Nous verrons.\\n\nLe quotidien espagnol lui demande par ailleurs s'il a déjà vécu des épisodes de racisme en Espagne.\n\n\Non. Il y a des cas isolés. Ici, je n'ai jamais vécu une telle situation. Parfois, vous rencontrez quelqu'un qui dit quelque chose qu'il ne devrait pas, mais je n'ai jamais remarqué de racisme en Espagne. Cela me met très en colère et triste qu'à l'extérieur, ils pensent que c'est un pays raciste. Ce n'est pas ça. Il y a beaucoup d'immigrants. Je suis en Espagne depuis plus de 10 ans et rien ne m'est jamais arrivé.\\n\nWalter Tavares aurait pu prendre la nationalité espagnole, mais il défend les couleurs de son pays d'origine, le Cap-Vert, dans les compétitions africaines.\n\n\J'ai toujours voulu (NDLR : Etre espagnol), mais comme le Cap-Vert a une petite base de basket, j'ai continué dans cette équipe pour l'aider. J'aimerais vraiment jouer avec l'Espagne, mais ils ont beaucoup plus de talent et de ressources que le Cap-Vert. Jouer avec mon pays et faire ma part est très important pour moi.\\n\nPhoto : Euroleague
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Strasbourg : DeAndre Lansdowne rêve de rejouer une finale de la Coupe de France à Bercy
Après avoir chuté l'an dernier à ce stade face à Pau, l'Américain de Strasbourg, DeAndre Lansdowne (1,88 m, 33 ans), ambitionne de rejouer une autre finale de la Coupe de France à Paris-Bercy. Seulement la SIG multiplie les pépins et reçoit ce mercredi soir Boulazac en 8e de finale avec un effectif très limité.\n\nEn attendant de récupérer d'ici deux à trois semaines Léo Cavalière et Matt Mitchell, la SIG n'aura que six professionnels à mettre sur la feuille de match face à Boulazac.\n\n« C'est comme si chaque jour, quelque chose arrivait et rendait notre métier plus difficile. On essaye de mettre les pièces ensemble et il y en a tout le temps une qui se casse, » déclare le coach Luca Bianchi aux DNA.\n\nDeAndre Lansdowne a incontestablement besoin de souffler -la SIG n'est pas qualifiée pour la Leaders Cup- mais il veut passer auparavant l'obstacle périgourdin et les suivants :\n\n« Mais comme le dit LeBron James : la fatigue, c'est dans la tête... C'est tellement excitant de jouer devant plus de 10 000 spectateurs... Pour moi, c'était un rêve d'enfant. Il y a quelques années encore (en 2015-2016) , j'évoluais dans un petit gymnase, devant 50 ou 100 personnes, en troisième division allemande. Mon ami Brandon Jefferson jouait, lui, en Bundesliga, devant 2 000 ou 3 000 fans. Je me souviens que je lui disais : \Mec, ça doit être trop fun\. Peu importe le nombre de joueurs que l'on sera, ajoute t-il, je pense toujours que nous pouvons nous qualifier et disputer le tour suivant avec un groupe probablement plus compétitif. »\n\nPhoto : FIBA
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Basket Europe est aussi sur TikTok !
Depuis une semaine, Basket Europe a lancé son compte TikTok avec l'objectif de rendre visible et attractif le basketball européen pour le plus grand nombre et spécialement les jeunes.\n\nNotre média évolue avec son temps ! Basket Europe s'est installé depuis une semaine sur TikTok, la plateforme de partage de vidéo. Déjà présent sur Facebook, Twitter et LinkedIn, Basket Europe ajoute un nouveau réseau social à son activité, avant de bientôt reprendre du service sur son compte YouTube.\n\nSur notre compte TikTok, nous traiterons des sujets similaires à notre site web, liés à l'actualité du basketball national et international. Nous profiterons aussi de nos déplacements à travers les terrains pour vous proposer davantage de contenus audiovisuels. Le dernier rassemblement de l'équipe de France féminine à l'INSEP a fait l'objet d'une publication le 8 février dernier.\n\nDéjà plus de 400 personnes sont abonnées à notre compte TikTok, alors n'hésitez à faire grandir notre communauté. Cela ne fait que commencer !\n\nhttps://www.tiktok.com/@basketeurope/video/7200079173023534342
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Espagne : Qui va gagner la Copa del Rey ?
Le Palau Olimpic de Badalona sera, pendant quatre jours, l'épicentre du basket espagnol et européen avec l'édition de la Copa del Rey 2023, qui réunit le Real Madrid, le Barça, Cazoo Baskonia Vitoria, Lenovo Tenerife, Unicaja Malaga, Gran Canaria, Joventut Badalona et Valencia Basket. Les entraîneurs et directeurs sportifs des équipes qui ne participent pas à l'épreuve ont livré leurs pronostics.\n\nQui remportera les quarts de finale ?\n\nReal Madrid – Valence Basket\n\n94,7% des personnes interrogées penchent pour le Real ! 63% des pronostics voient une différence entre 4 et 9 points.\n\nBarcelone - Unicaja\n\nLe Barça est également favori mais avec un peu moins de suffrages : 84,2%.\n\nLenovo Tenerife – Grande Canaria\n\nLe duel canarien divise davantage techniciens et managers. Lenovo Tenerife a la faveur du pronostic avec 63,1%.\n\nJoventut Badalona - Cazoo Baskonia Vitoria\n\n84,2% pensent que le Cazoo Baskonia va gagner, pour seulement 15,8% qui voient l'hôte Joventut triompher.\n\nQui en finale ?\n\nLa finale la plus attendue est Barça-Cazoo Baskonia, qui a la faveur d'un tiers des sondés (31,6%) devant Real Madrid-Cazoo Baskonia (26,3%) et Real Madrid-Lenovo Tenerife (21,1%).\n\nQui sera vainqueur ?\n\nLe Real Madrid est le favori pour remporter le titre dans 52,6% des brackets. Suivent Cazoo Baskonia (26,3%) et le Barça (15,8%).\n\nMCS Basket a l'exclusivité de la diffusion en France de la Copa Del Rey. Profitez de l’offre BasketEurope + MCS Basket pour un abonnement annuel à 49€\n\nPhoto : ACB
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Féminines : L'ancienne joueuse de Bourges, Stella Kaltsidou, devient coach des London Lions
L'équipe féminine des London Lions a annoncé que l'ancienne internationale grecque Stella (Styliani) Kaltsidou est sa nouvelle coach.\n\nStella Kaltsidou, 40 ans, fut l'une des joueuses emblématiques de l'équipe de Grèce et de Bourges de 2009 à 2014 avec qui elle fut trois fois championne de France. En Ligue Féminine, elle a également porté les maillots de Villeneuve d'Ascq et de Tarbes. Après avoir mis fin à sa carrière de joueuse en 2019, elle est devenue entraîneure adjointe de l'Olympiakos et de l'équipe nationale slovène.\n\nKaltsidou rejoint une équipe des Lions qui est l'une des équipes les plus titrées du sport féminin britannique, ayant réalisé un exploit sans précédent de 50 victoires consécutives dans la Women's British Basketball League (WBBL).\n\n\Je suis vraiment heureuse de rejoindre la famille des London Lions, commente la Grecque. Je tiens à remercier le club de m'avoir fait confiance et de m'avoir donné l'opportunité de travailler dans le basket britannique qui se développe d'année en année. Le club a déjà prouvé son potentiel en Europe. L'objectif est de construire une équipe basée sur des joueuses britanniques et avec du travail et de la patience pour devenir une force stable en Europe\.\n\n\n\n‍Photo : FIBA
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Le match Nanterre-ASVEL du dimanche 12 mars a passé le cap des 10 000 réservations
Nanterre 92 affrontera l’ASVEL à Paris La Défense Arena, le dimanche 12 mars 2023 à 17h00, et le club vient d'annoncer que plus de 10 000 places sont déjà vendues.\n\nNanterre 92 détient le record d’affluence pour un match de Betclic Elite, avec 15 220 spectateurs. C’était en 2018, déjà face à Lyon-Villeurbanne, dans la plus grande arène indoor d’Europe, Paris La Défense Arena.\n\nCe rendez-vous de prestige est l'occasion pour les clubs des Hauts-de-Seine de s'ouvrir à un public plus large, lui qui a rassemblé seulement 2 442 spectateurs pour les matches allers de la saison en cours, dans son palais des sports Maurice-Thorez, soit la 17e affluence de Betclic Elite.\n\n
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Allemagne : Le Bayern Munich au creux de la vague
Alors que ce week-end est programmé le Final Four de la Coupe d'Allemagne, le Bayern Munich a subi une sixième défaite en championnat face aux Hambourg Towers. Une déroute même et à domicile : 70-89.\n\n\Il n'y a pas de mots pour décrire cette faillite. Nous étions embarrassants, même plus que ça et nous ne méritons tout simplement pas des fans comme ça. Nous ne méritons pas ces supporters qui nous soutiennent tant malgré nos 25 points de retard à domicile\, a déclaré le coach Andrea Trinchieri.\n\nLe Bayern a perdu cinq des six derniers matchs toutes compétitions confondues, ce qui a fait dire à l'international Niels Giffey :\n\n\Ce n'était pas de l'énergie dont nous avions besoin. Nous devons nous pincer le nez. Une telle défaite fait mal. Nous allons réfléchir ensemble et parler.\\n\nA l'inverse, l'autre équipe allemande d'Euroleague, Alba Berlin, longtemps en difficulté à Hakro Merlins Crailsheim, a gagné, 91-85, pour la 18e fois en 19 matches. L'Alba sera l'adversaire du Bayern dès la demi-finale de la Coupe.\n\nCette déconvenue n'a pas empêché le président du Bayern, Herbert Hainer, de déclarer :\n\n\Nous voulons à nouveau gagner des titres dans les compétitions nationales. Terminer deuxième n'est pas notre objectif.\\n\nDemi-finales Coupe d'Allemagne (samedi) :\n\nOldenbourg-Ludwigsbourg et Alba Berlin-Bayern Munich\n\nPhoto : Niels Giffey (FIBA)
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La fédération israélienne a fait une proposition officielle à Pablo Laso
Dans son ambition de signer l'ancien coach du Real Madrid, Pablo Laso, la fédération israélienne est passée à la phase de concrétisation.\n\nPrès de huit mois se sont écoulés depuis que le Real Madrid a décidé, de manière surprenante de se passer des services de son entraîneur Pablo Laso, 55 ans, invoquant un problème cardiaque et de prétendus rapports médicaux dont l'intéressé lui-même n'a pas eu connaissance. Depuis lors, le coach espagnol aurait eu des propositions d'équipes d'Euroleague auxquelles il n'a pas donné suite. La dernière en date est venue de la Fédération d'Israël, qui s'est rendue en Espagne il y a quelques jours pour rencontrer l'entraîneur le plus titré de l'histoire du Real Madrid et tenter de le convaincre de prendre en mains son équipe nationale.\n\nL'équipe d'Israël est sans coach depuis le départ de Guy Goodes qui est survenue après l'échec à l'EuroBasket. Selon Walla Sport, le manager de la sélection israélienne, et ancien coach de légende du Maccabi Tel-Aviv, Pini Gherson, souhaite enrôler Pablo Laso pour tenter une qualification aux Jeux Olympiques de Paris. Il se dit que l'Espagnol pourrait parallèlement entraîner le Maccabi Tel-Aviv. Affaire à suivre.\n\nPhoto : Euroleague
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Coupe de France : l'AS Monaco étrille Boulogne-Levallois
L'AS Monaco s'est largement imposée en 8es de finale de Coupe de France (107-76) face aux Mets de Victor Wembanyama. La Roca Team se rattrape après sa défaite contre la JL Bourg le week-end dernier.\n\nL'AS Monaco de Sasa Obradovic n'a pas fait dans la dentelle face à Boulogne-Levallois en Coupe de France. Dans une salle Gaston-Médecin à guichets fermés, le meneur américain Mike James a été bien inspiré, inscrivant 18 points dans cette rencontre. Dès les premières minutes, il a envoyé deux tirs à trois-points pour permettre à la Roca Team de prendre le large (8-1). Les Mets de Vincent Collet ont manqué de discipline dans le premier quart-temps, avec un total de dix fautes. Sur la ligne des lancers-francs (13/14), Monaco prenait le large après dix minutes (29-17).\n\n\n\n\nVictor Wembanyama muselé par les Monégasques\n\nCette déroute de Boulogne-Levallois peut s'expliquer par un manque d'agressivité des Mets, mais surtout par une bonne défense de la Roca Team sur la star Victor Wembanyama. Chima Moneke puis Yoann Makoundou ont mis en difficulté le jeune Français de 19 ans.\n\nDans le deuxième quart-temps Bilal Coulibaly récoltait ses 3e et 4e fautes pendant qu'Elie Okobo lançait la machine avec un stepback dans l'angle (32-17, 13e). Les Mets ont tenté tant bien que mal de garder le cap mais le tir à trois-points de Matthew Strazel avec la faute derrière a créé un écart trop conséquent (43-29). La barre des 20 points était atteinte à la mi-temps (58-38) et les visiteurs n'ont jamais semblé en mesure de refaire ce retard.\n\n\n\nMonaco a ensuite déroulé son jeu, agrandissant progressivement l'écart. Victor Wembanyama a fait ce qu'il pouvait (13 points, 11 rebonds, 2 passes, 5 contres, mais aussi 7 pertes de balle) mais rien n'y a fait. Dans le 4e quart-temps, Sasa Obradovic a donné du temps de jeu au jeune Nicolas Vanel, qui n'a pas réussi à inscrire ses premiers points. Au final, près de 30 points d'écart ont séparé les deux équipes à la fin de la rencontre (107-76) alors que Monaco et les Mets vont participer à la Leaders Cup ce week-end.\n\nÀ Monaco.\n\nPhoto : Lucas Métairie / BasketEurope
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Salaires LNB 2022-2023 – Top 10 agences : Comsport toujours numéro un
En clôture de son dossier salaire de Betclic Elite et de Pro B, la rédaction de Basket Europe présente son top 10 des agences en LNB. Comsport reste leader mais la concurrence, toujours plus dense, s’affirme. Derrière You First et Maz Sport Agency, une poignée d'agences tire son épingle du jeu.\n\n\n\nCette étude exclusive ainsi que plus de 2 000 articles premium sont uniquement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps d'en faire partie. N’hésitez plus,abonnez-vous !\n\n\n\nDans l’ombre, les agents sont devenus des piliers incontournables du basket mondial, et donc français. Ils travaillent au contact des clubs, qui s’appuient sur leur réseau pour construire des effectifs toujours plus compétitifs d’année en année. En clôture de notre dossier salaires LNB de la saison 2022-2023, nous avons choisi de vous présenter notre top 10 des agences les plus influentes du marché français. Un exercice à géométrie variable tant le nombre de joueurs peut fluctuer d’une année à l’autre, surtout en fonction des partenaires*.\n\nAinsi, la rédaction de Basket Europe a opté pour un classement par points selon plusieurs critères. Nous avons attribué, sans distinction de valeur :\n- 8 points à un joueur ou coach de Betclic Elite signé sur une saison complète et géré en direct\n- 6 points à un joueur ou coach de Betclic Elite signé sur une saison complète et géré en partenariat\n- 6 points à un joueur ou coach de Betclic Elite signé sur un contrat court (pigiste médical ou joueur transféré/coupé) et géré en direct\n- 4 points à un joueur ou coach de Betclic Elite signé sur un contrat court (pigiste médical ou joueur transféré/coupé) et géré en partenariat\n- 4 points à un joueur ou coach de Pro B signé sur une saison complète et géré en direct\n- 3 points à un joueur ou coach de Pro B signé sur une saison complète et géré en partenariat\n- 3 points à un joueur ou coach de Pro B signé sur un contrat court (pigiste médical ou joueur transféré/coupé) et géré en direct\n- 2 points à un joueur ou coach de Pro B signé sur un contrat court (pigiste médical ou joueur transféré/coupé) et géré en partenariat\n- 1 point à un assistant-coach de Betclic Elite ou de Pro B\n\nComme les agences se rémunèrent à hauteur d’un pourcentage des salaires versés à leurs clients, nous avons décidé d’attribuer des points bonus pour tout contrat supérieur à une valeur donnée. Dans le détail :\n- 10 points à un joueur ou coach de Betclic Elite dépassant les 500 000 euros annuels net\n- 5 points à un joueur ou coach de Betclic Elite dépassant les 200 000 euros annuels net\n- 2 points à un joueur ou coach de Pro B dépassant les 75 000 euros annuels net\n\nOn vous laisse juge de la pertinence d’un tel classement tel qu’il a été pensé. Si ce mode de calcul nous a paru le plus propice pour faire un état des lieux de la profession sur le marché français lors de la saison 2022-2023, il n’a pas valeur de référence officielle - comme répété durant notre dossier salaire, nous ne sommes pas la LNB.\n\nRappelons enfin que les agences présentées ci-dessous ne placent pas uniquement leurs clients en France, certains joueurs « premiums » évoluant notamment dans des championnats plus rémunérateurs, en Europe ou ailleurs, avec la NBA en point d’orgue. Ce top 10 ne prend donc en compte que les clients des deux meilleures divisions françaises, ce qui n’est pas sans incidence par rapport à une comparaison classique entre agences.\n\nÀ noter que nous avons arrêté nos données au 15 février 2023, que nous n’avons pas pris en compte les stagiaires et aspirants et que n’ont été comptabilisés qu’une seule fois les joueurs ayant joué pour plusieurs clubs différents de LNB lors de cette même saison 2022-23.\n\n\nLe top 10\n\n1 – Comsport (601 points)\n\nFondée par Bouna Ndiaye et Jérémy Medjana en 1997, Comsport est devenue au fil des années la référence sur le marché du français. Par l’ajout de Florian Collet et Matthieu Nicolas sur le secteur masculin, l’agence a encore pris du poids ces dernières saisons. Avec ses 17 joueurs draftés dont Rudy Gobert, Nicolas Batum ou encore Evan Fournier, elle est la spécialiste de l’importation de basketteurs français aux Etats-Unis mais aussi la plus réputée au sein de l’Hexagone.\n\nSur ses 167 clients, on retrouve la moitié dans le championnat de France. Évidemment, Comsport s’est offert cette saison un coup de projecteur monumental avec la gestion de Victor Wembanyama, à qui l’on promet la place de numéro un à la prochaine Draft NBA. Il a par ailleurs été placé chez les Metropolitans 92 de Boulogne-Levallois, sous les ordres de Vincent Collet, l’un des huit coachs de l’élite de l’agence.\n\nMais son panel est en réalité beaucoup plus large. Il s’est même élargi avec plus de 50 joueurs en Betclic Elite et 30 en Pro B. Cela va d’autres prospects de renom (Ismael Kamagate, Juhann Begarin, Hugo Besson, tous trois draftés) à de nombreux internationaux français (Antoine Diot, Axel Julien, Lahaou Konaté). Par ses partenaires, Comsport représente également Mike James, plus gros salaire de l’histoire de la première division, Youssoupha Fall, John Brown, Chima Moneke ou encore David Holston. Du beau linge !\n\n2 – You First Sports (247 points)\n\nDerrière Comsport, une poignée d’acteurs se partage la plus belle part du gâteau. À la deuxième place de notre classement, on retrouve You First, qui se maintient au même rang que l’an dernier (24 joueurs de Betclic Elite contre 23 l’an dernier à la même période). Rien de très étonnant pour ce poids lourd du marché européen, deuxième agence pourvoyeuse de clients en Euroleague lors de la saison 2021-2022 (28 joueurs).\n\nLa société fondée en 2002 en Espagne s’appuie sur un réseau important de collaborateurs, dont Guillaume Althoffer depuis 2020, le représentant de la fédération française des agents, et est dirigée par l’ancien joueur du Mans et de Pau, Juan Aisa. Dans son portefeuille, on retrouve de nombreux joueurs français, les internationaux Amine Noua et Bodian Massa, mais aussi Benoit Mangin ou le néo All Star Stéphane Gombauld, comme des étrangers très en vue tels que Ronald March, Justin Patton ou encore Emmanuel Nzekwesi.\n\n3 – Maz Sport Agency (218 points)\n\nAnnée après année, l’agence d’Olivier Mazet prend de l’épaisseur sur le marché français. En plus des Frenchies expatriés en Europe (Guerschon Yabusele, Mam Jaiteh) et en NBA (Frank Nitlikina), Maz Sport Agency continue sa progression dans le championnat de France (15 joueurs contre 14 l’an dernier, plus 17 en Pro B). Derrière Comsport, c’est l’agence la plus fournie en coachs d’élite, avec T.J. Parker mais aussi Nenad Markovic et, via un partenaire, Luca Banchi, le tacticien du redressement strasbourgeois.\n\nOn lui reconnait plusieurs fidèles, dont de nombreux français parmi lesquels Charles Kahudi, Maxime Courby, Maxime Roos ou Romuald Morency, entre autres. Et des jeunes plein de potentiel : Nadir Hifi en premier lieu, mais aussi Matthew Strazel, Kevin Kokila ou bien Lucas Beaufort. De la jeunesse, de l’expérience et de la polyvalence, de quoi permettre à l’agence de monter sur notre podium.\n\n4 – Octagon Europe (176 points)\n\nDerrière le podium, on retrouve quatre agences dans un mouchoir de poche. Parmi elles, il y a la quatrième société la plus pourvoyeuse de joueurs en Euroleague la saison dernière (25 joueurs) : Octagon. Sa filière américaine est tout autant réputée - elle gère notamment les intérêts de Giannis Antetokounmpo, Stephen Curry ou encore Bam Adebayo en NBA - et sa branche française n’est pas en reste (18 joueurs en Betclic Elite contre 14 l’an dernier).\n\nSi l’on met de côté le cas Donatas Motiejunas, l’agence dont les intérêts français sont gérés par Louis Trohel ne comprend pas de têtes d’affiche mais un joli peloton de joueurs autour de 100 000 euros la saison, avec une spécialisation dans le placement de joueurs au passeport bosman et de jeunes joueurs à haut potentiel (Gauzin, Dokossi, Hamon-Crespin entre autres). Cela s’explique aussi car ses leaders français évoluent à l’étranger (Mathias Lessort, Thomas Heurtel, Isaïa Cordinier et Sylvain Francisco).\n\n5 – Beo Basket (173 points)\n\nDe très loin la société représentant le plus de joueurs la saison dernière en Euroleague (52) – et pour la cinquième année consécutive -, Beo Basket est l'un des leaders du marché européen. L’agence internationale fondée par le Serbe Misko Raznatovic, également propriétaire de la pépinière serbe de Mega, agit en France par l’intermédiaire de Pedja Materic. Cet ancien basketteur professionnel franco-serbe possède un portefeuille de choix et de forts liens avec l’AS Monaco.\n\nOutre le coach le mieux payé de l’histoire du championnat de France, Sasa Obradovic, Beo Basket tient aussi Yoan Makoundou et Yakuba Ouattara, en plus d’Alpha Diallo via un partenaire. Citons également les joueurs US Markis McDuffie et DeAndre Lansdowne, de belles valeurs ajoutées. Mais aussi Paul Lacombe, Nicolas Lang, Alexandre Chassang ou encore Léopold Cavalière. Et seul le jeune Armel Traoré ne touche pas 100 000 euros annuels parmi les joueurs signés à l’année. Seulement, l’agence ne compte « que » 17 joueurs en Betclic Elite, deux de moins que la saison dernière, et qu’un seul en Pro B. Mais quelle densité !\n\n6 – Fusion Sports (168 points)\n\nNée en 2011 de l’alliance entre deux agents français, Hirant Manakyan et Pascal Lévy, Fusion Sports figure très haut dans le panier de la hiérarchie du marche français. Derrière Comsport, et dans la même proportion que Maz Sport Agency, c’est l’agence la plus fournie en joueurs français de calibre Betclic Elite (Jacques Alingué, Abdoulaye Loum, Yannis Morin ou encore Hugo Benitez).\n\nSurtout, elle a notamment placé son duo d’élite Elie Okobo - Adrien Moerman sur le Rocher, avant que le deuxième ne soit poussé vers la sortie. Si l’agence n’est que 6e de notre classement, cela s’explique en partie par son relatif faible nombre de joueurs partenaires (un seul en Betcilc Elite, deux en Pro B). Mais elle a toujours prouvé qu'elle visait d'abord la qualité à la quantité.\n\n7 – Backstage Sports (165 points)\n\nNée à l’été 2021 de la réunion entre Julien Durécu et Bertrand Gineys - qui travaillaient tous deux indépendamment jusqu’alors -, Backstage Sports s’est forgé en peu de temps une vraie place sur le marché français. C’est la deuxième agence la plus présente en Pro B (23 joueurs) et c’est aussi celle qui place la plus grosse proportion de clients partenaires (8 sur 12 en Betclic Elite, 12 sur 19 en Pro B.\n\nDans son portefeuille, on retrouve plusieurs joueurs américains majeurs de leur équipe : Kyle Allman à Paris, Marcus Keene à Strasbourg, James Palmer à Bourg, Justin Bibbins à Nanterre, Michael Stockton à Pau, mais aussi quelques joueurs français intéressants, dont le Villeurbannais Yves Pons, revenu en Europe après un séjour aux Etats-Unis.\n\n8 - Elite Sports Management (116 points)\n\nDerrière le top 7, il reste une place pour une poignée d’autres agences. Parmi elles, Elite Sports Management. La société de Miloud Dahine, ancien joueur de Pro A (avec Pau, Besançon et Evreux) dans les années 90-2000, compte une grosse vingtaine de clients en LNB, dont un qui fut élevé au rang de star l’été dernier : Terry Tarpey. Dans son portefeuille, il y a aussi quelques piliers de Pro B avec Mickael Gelabale, Kevin Dinal ou Clément Cavallo, entre autres.\n\n9 - Da Next Step Agency (105 points)\n\nMVP français de Pro B en 1997, l’ancien basketteur David Condouant a gardé une fibre en deuxième division. Le directeur de l’agence Da Next Step a placé pas moins de 20 joueurs en Pro B cette saison, dont 15 en direct. Son portefeuille est un peu moins fourni en Betclic Elite mais l’ancien représentant français d’Octagon a conservé un joli réseau. Il compte ainsi parmi ses meilleurs représentants Jamar Diggs, Kyle Foster, Nic Moore ou bien Thomas Cornély.\n\n10 - Anthony Rose / indépendant (100 points)\n\nEn clôture de ce top 10, Anthony Rose fait figure d’exception. S’il travaille en indépendant, il est à lui seul le deuxième plus gros fournisseur de joueurs partenaires en Betclic Elite (12 de ses 13 joueurs). Le fils de Didier Rose a par ailleurs dans son portefeuille Vitalis Chikoko, Retin Obasohan, Pierre Pelos ou encore le coach italien de Limoges, Massimo Cancellieri.\n\nMais aussi...\n\nOutre Anthony Rose, une poignée d’autres agents indépendants placent un ou plusieurs clients en LNB. Seuls deux d’entre eux comptent plus de 10 joueurs en Betclic Elite : Nicolas Paul et Yorick Hachemi, par ailleurs tout proche d’intégrer le top 10.\n\nEn dehors de des noms cités précédemment, une dizaine d’agences se partagent la plus petite part du gâteau. Independent Sports & Entertainment (ISE), BDA Sports Management, Starting Five, Wasserman, Bemavo Sports, Basketball International Group (BIG), AK Sports Management, 01 Sports Management, Baz’n Sport et YSP Basketball Agency comptent tous trois joueurs de LNB ou plus.\n\nLe top 10 des agences, saison 2022-2023 - Tableau récapitulatif\n\n\n\nTop 10AgencesReprésentants LNB emblématiquesJoueurs Betclic EliteJoueurs Pro BCoachs LNBPoints1ComsportVictor Wembanyama, Mike James, Vincent Collet, Ismael Kamagate5530116012You First SportsAmine Noua, Antoine Eito, Ronald March, Bodian Massa242102473Maz Sport AgencyCharles Kahudi, T.J. Parker, Dee Bost, Nenad Markovic151742184Octagon EuropeDonatas Motiejunas, Matthieu Gauzin, Gregor Hrovat18811765Beo BasketSasa Obradovic, Yakuba Ouattara, Yoan Makoundou, Alpha Diallo17121736Fusion SportsElie Okobo, Adrien Moerman, Jacques Alingue101531687Backstage SportsYves Pons, Kyle Allman, Marcus Keene, James Palmer122311658Elite Sports ManagementTerry Tarpey, Mickael Gelabale, Williams Narace61621169Da Next Step AgencyKyle Foster, Thomas Cornely, Jamar Diggs420010510Anthony Rose - IndépendantVitalis Chikoko, Retin Obasohan, Massimo Cancellieri1312100\n\n\n\nTop 5 des agences - Joueurs Betclic Elite\n\n\n\nTop 5AgencesContrats pleinsContrats courtsEn directEn partenariatJoueurs Betclic Elite1Comsport43123025552You First Sports1861410243Octagon Europe108180184Beo Basket143143175Maz Sport Agency11413215\n\n\n\nTop 5 des agences - Joueurs Pro B\n\n\n\nClassAgencesContrats pleinsContrats courtsEn directEn partenariatJoueurs Pro B1Comsport2552010302Backstage Sports1941112233You First Sports183129214Da Next Step Agency164155205Maz Sport Agency15215217\n\n\n\nTop 5 des agences - Coachs LNB\n\n\n\nTop 5AgencesCoachs Betclic EliteCoachs Pro BCoachs LNB1Comsport83112Maz Sport Agency3143Fusion Sports1234Beo Basket2025Anthony Rose - Indépendant112\n\n\n\nTop 5 des agences - Joueurs et coachs au-dessus de 200 000 euros annuels net\n\n\n\nTop 5AgencesClients > 200k1Comsport72Yorick Hachemi - Indépendant53Beo Basket44Maz Sport Agency35Anthony Rose - Indépendant3\n\n\n\n\n\n* Pour placer leur joueur en France, les agents doivent posséder la licence délivrée par la fédération française de basketball (FFBB). Cela dit, l’immense majorité des joueurs étrangers étant représentés par un agent étranger n’ayant pas de reconnaissance sur le sol français, ces derniers sont placés via des partenariats avec des agents hexagonaux (avec qui les commissions générées sont généralement partagées à parts égales). La plupart du temps, les joueurs étrangers ne choisissent pas l’agent local qui va les représenter dans le pays où ils vont évoluer.\n\n\n\n\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Krishna Goma)
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L'ASA dernière affluence de Pro B : Le manager général s'explique
Avec 841 spectateurs (74% de taux de remplissage), l'Alliance Sport Alsace possède la plus faible affluence de la Pro B. Le manager général Thomas Lotz s'en explique sur le site du club.\n\nRappelons que l'ASA est l'alliance des clubs de Gries-Oberhoffen et Souffelweyersheim.\n\n\Ces chiffres nous donnent plusieurs informations. D’un côté les capacités de nos deux salles sont trop petites et c’est un problème pour notre développement économique. Nous allons atteindre notre limite économique et nous resterons un petit club de Pro B qui se battra pour se maintenir tant que ce sera comme ça. D’un autre côté, nous ne les remplissons qu’à 74%, ce qui est un peu au-dessus de la moyenne de Pro B quand même. Ça veut dire que nous n’avons pas encore réussi à fidéliser un public assez nombreux. Même si nous avons fait plusieurs matchs à guichets fermés. Plusieurs raisons à cela :\n\n * Le projet ASA est encore nouveau et nous jouons dans 2 salles : il est évident que nous n’avons pas réussi à convaincre tous les supporters historiques du BCGO et du BCS à venir. On y travaille, mais on n’a pas encore réussi.\n * En tant que ASA, nous représentons un territoire large : du nord de Strasbourg à Haguenau. On espère développer notre identité et nos valeurs pour que tous les habitants de ce territoire puissent s’identifier à une réussite du sport alsacien issue de clubs de « villages ». Je crois que nos histoires et nos valeurs méritent d’être mieux connues.\n * D’un autre côté, il faut conquérir de nouveaux spectateurs, pas uniquement les passionnés de basket. Pour cela, on peut s’inspirer sur pleins de modèles pour rendre l’expérience du match de basket addictive. Nos amis de la SIG ont réussi à fidéliser un public beaucoup plus large par tout le travail commercial, communication, évènementiel.... A nous d’effectuer le travail aussi pour rendre la soirée encore meilleure.\
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Coupe de France : La hiérarchie respectée
L'ASVEL, Bourg, Monaco, Pau-Lacq-Orthez, et Strasbourg ont gagné hier soir leur ticket pour le top 8 de Trélazé.\n\nIl n'y a pas réellement de surprises dans les résultats sinon l'ampleur de la différence au score à Monaco et Limoges, et à l'inverse la difficulté qu'a eu Villeurbanne à écarter Roanne.\n\nLa perf de la soirée est à mettre au crédit du Palois Gerald Ayayi avec 28 points, 13 rebonds et 39 d'évaluation.\n\nMercredi 15 février\nMonaco (Betclic Elite) 107-76 Boulogne-Levallois (Betclic Elite)\nPau-Lacq-Orthez (Betclic Elite) 92-83 Le Portel (Betclic Elite)\n\nMercredi 15 février\nStrasbourg (Betclic Elite) 101-83 Boulazac (Pro B)\nLimoges (Betclic Elite) 79-94 Bourg-en-Bresse (Betclic Elite)\nLyon-Villeurbanne (Betclic Elite) 89-88 Roanne (Betclic Elite)\n\nMardi 28 février - 20h30\nSaint Chamond (Pro B) - Cholet (Betclic Elite) - En live sur Youtube\n\nDéjà joué\nNancy (Betclic Elite) 78-86 Le Mans (Betclic Elite)\nAntibes (Pro B) 85-89 JDA Dijon (Betclic Elite)\n\n\n\nPhoto : James Palmer (Bourg, Jacques Cormarèche)
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Coupe d'Italie : Milan chute dès les quarts-de-finale
Germani Brescia a causé la surprise en éliminant en quart-de-finale du Final Eight Armani Milan, 72-75.\n\nMalgré Billy Baron (18 points), Timothé Luwawu-Cabarrot (13 points, 4 passes et 4 rebonds) et Shabazz Napier (13 points et 6 rebonds), les Milanais n'ont jamais pu se débarrasser de leurs adversaires emmenés par l'ancien Limougeaud CJ Massinburg (16 points en 17 minutes).\n\nBilly Baron a inscrit un trois-points de la survie et Timothé Luwawu-Cabarrot a choisi alors de faire faute sur CJ Massinburg pour arrêter le chrono. Seulement, l'Américain a mis ses deux lancers-francs et la dernière \prière\ de Gigi Datome n'a pas atteint sa cible.\n\nPour Milan, il s'agit d'un flop qui s'ajoute aux déboires en Euroleague. Brescia s'est qualifié à cette coupe d'Italie en tant que huitième équipe et depuis l'équipe de Lombardie a concédé 6 défaites consécutives en championnat, ce qui l'a fait tomber dans la zone de relégation.\n\nLors de cette première journée consacrée à deux quarts de finale, 6 590 spectateurs ont été enregistrés dans l'arena de Pesaro.\n\nAutre demi-finale : Pesaro b. Varèse : 84-80.\n\nLes demi-finales et la finale sont à suivre sur MCS Basket (profitez de l’offre BasketEurope + MCSBasket pour un abonnement annuel à 49€).\n\nPhoto : Amadeo Della Valle (Brescia, Lega Basket)
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Les 6 infos de la semaine : Après la Coupe de France vient la Leaders Cup !
Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 12 au 18 février.\n\nToute l’année, Basket Europe vous informe hebdomadairement de l’actualité du basket français et européen à travers la rubrique «les 6 infos de la semaine» en accès gratuit.\n\n\nLeaders Cup : une première journée à sensation !\n\nPour son grand retour, le tournoi de mi-saison réunissant les meilleures équipes de la phase aller de Betclic Elite s'est installé à Saint-Chamond, dans une Arena flambant neuve et à guichet fermé. Vendredi, quatre quarts-de-finale ont déjà eu lieu et une grande surprise : la sortie du favori tout désigné. Monaco est tombé pour la deuxième fois en six jours contre la JL Bourg. Le collectif de Freddy Fauthoux a parfaitement maîtrisé son vis-à-vis et s'offre une demie face à Dijon. Victorieuse d'un Limoges dans le dur, la JDA de David Holston compte bien conserver son titre. Réponse ce samedi à 18h30.\nLors des deux derniers matches de la journée, Le Mans s'est une nouvelle fois imposé contre Cholet. Même diminués, les Manceaux ont résisté au retour de la bande à Boris Dallo ! Quant à l'ASVEL, malgré une seconde période douteuse, elle a surpassé les Metropolitans 92 d'un Victor Wembanyama en double-double. Les Villeurbannais et le MSB se retrouveront ce soir à 21h pour une place en finale.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652804/sasa-obradovic-apres-lelimination-de-monaco-en-leaders-cup-cest-inacceptable/\n\n\nCoupe de France (H) : hiérarchie respectée\n\nLa semaine passée, Le Mans avait créé la surprise en s'imposant à Nancy. Mardi, les huitièmes de finale de la Coupe de France se sont poursuivis avec la victoire de Dijon à Antibes. Mercredi, Monaco a imposé sa supériorité contre Boulogne-Levallois et Strasbourg a pris le meilleur sur Boulazac. Au finish, l'ASVEL a bien failli être renversé contre Roanne dans un derby à sensation. Dans le même temps, la JL Bourg éliminait Limoges de la Coupe de France à Beaublanc, dans un duel entre deux équipes aux dynamiques contraires. Cholet se déplacera à Saint-Chamond le 28 février pour le dernier match de ces huitièmes. Le top 8 de la compétition se jouera à Trélazé les 18 et 19 mars, diffusé en exclusivité sur MCS Basket.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652645/victor-wembanyama-boulogne-levallois-les-defenses-sont-plus-adaptees-que-jamais-a-jouer-contre-moi/\n\n\nTony Parker et l'ASVEL, un pas de côté dans son projet ?\n\nTony Parker a affirmé demeurer président de l’ASVEL et de l’ASVEL féminin même s’il revend ses parts à Smart Good Things. Actionnaire majoritaire de l’ASVEL depuis 2014 et de Lyon-ASVEL depuis 2017, la légende tricolore s’est voulu rassurant disant qu’il s’agit simplement d’une réorganisation patrimoniale : \Je ne vais nulle part, je reste à l’ASVEL. Pour comprendre ma réflexion, mon but est d’amener l’ASVEL le plus haut possible.\ a-t-il signalé dans un entretien accordé à L'Equipe.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/en-france/lnb/652478/le-match-nanterre-asvel-du-dimanche-12-mars-a-passe-le-cap-des-10-000-reservations/\n\n\nCoupe de France (F) : Villeneuve d'Ascq s'est joué du Tango\n\nL'ESBVA a créé la \mini\ surprise de ces quarts-de-finale de la Coupe de France féminine. Grâce à une belle entame, Janelle Salaun et ses coéquipières ont battu Bourges. À domicile, Basket Landes a aisément remporté son duel contre Angers. Jeudi soir, Tarbes n'a pas réalisé d'exploit face à l'armada de l'ASVEL. Plus tôt, Illkirch-Graffenstaden (LF2) avait pris le meilleur de Monaco (LF2) pour se qualifier pour le dernier carré de la compétition. Le tirage au sort des demi-finales aura lieu le 20 février.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652635/lancienne-internationale-isabelle-yacoubou-sort-un-livre-geante/\n\n\nLes Bleues finissent en beauté\n\nDimanche, l'équipe de France féminine a soigné sa sortie lors de la fenêtre internationale. Victorieuses en Lituanie trois jours plus tôt, les Bleues avaient validé leur ticket pour l'EuroBasket 2023. En déplacement en Finlande, les coéquipières de Marine Johannes ont surclassé leur adversaire 46-82. Qualifiée parmi les 16 équipes de la phase finale du championnat d'Europe, l'équipe de France connaîtra la composition de son groupe lors du tirage au sort, organisé le 8 mars prochain.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/651369/pauline-astier-lavenir-de-lequipe-de-france-conjugue-au-present/\n\n\nSalaires Pro B : Chalon conserve son rang, les belles surprises lilloises\n\nLa rédaction de Basket Europe a publié cette semaine ses derniers numéros de son grand dossier salaires des joueurs et entraîneurs de LNB. Après un mois de janvier consacré à la Betclic Elite, les contrats des acteurs de Pro B ont été révélés lors de la première quinzaine de février. Les Hauts-de-France s'en sortent bien au classement, comme dans les finances. L'Elan Chalon règne en maître avec le joueur et le coach le mieux payé du championnat, mais n'est pas toujours dans les bons coups. À Aix-Maurienne comme à Saint-Chamond, on se pose quelques questions...\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/651990/salaires-pro-b-2022-23-top-20-des-salaires-antoine-eito-reste-en-tete/\n\n\nMais aussi...\n\n * [Abonnés] Salaires LNB 2022-2023 – Top 10 agences : Comsport toujours numéro un\n * [Abonnés] Top 20 Salaires Betclic Elite : Victor Wembanyama loin derrière les millionnaires\n * Mike James et Mathias Lessort nominés au trophée de MVP de la saison d'Euroleague\n * Euroleague : Vers un record d’affluence pour la 19e saison de suite !\n * Grèce : Gianmarco Pozzecco en contact avancé avec le Panathinaikos\n * Les Français de l’étranger : Mam Jaiteh et Mathias Lessort, les maîtres de la raquette\n * Paul Seignolle, président de Blois : « Il faut rajeunir les instances dirigeantes de la ligue »\n\n\n\n\n\n\n\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. Pour faire partie de ce cercle de privilégiés, abonnez-vous !\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/651579/les-6-infos-de-la-semaine-les-bleues-valident-leur-billet-pour-leuro-monaco-remporte-son-duel-contre-lasvel/\n\nPhoto : Leo Morillon LNB
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Boulogne-Levallois se sépare de Anzejs Pasecniks
Les Metropolitans 92 ont décidé de se séparer du pivot letton Anzejs Pasecniks (2,18 m, 27 ans), qui avait rejoint l’effectif en tant que pigiste médical d'Ibrahima Fall Faye.\n\nEn 10 matches et 14 minutes de moyenne, Anzejs Pasecniks a apporté 5,8 points et 2,9 rebonds à l'équipe de Vincent Collet.\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Nancy : Seulement deux matches ne se sont pas joués à guichets fermés
Avec 5 763 spectateurs en moyenne, le SLUC Nancy a affiché la plus forte moyenne de spectateurs de Betclic Elite à l'issue des matches allers. Youri Verieras, le directeur général du SLUC Nancy, apporte quelques précisions à L'Est Républicain.\n\nChiffres remarquables : le SLUC a enregistré 9 guichets fermés en 11 matches à domicile. Seuls ceux contre Pau (5 557 spectateurs) et Blois (4 415 spectateurs) n'ont pas fait le plein.\n\n« Mais Pau était notre quatrième match à domicile en trois semaines » explique Youri Verieras, le directeur général du SLUC Nancy, « et le match face à Blois s'est joué en même temps que France - Angleterre, en Coupe du monde de football. »\n\nLe SLUC est sur sa lancée de la saison dernière quand il affichait avec 4 465 spectateurs la meilleure affluence de Pro B.\n\n« C'est pratiquement du jamais vu », commente le DG, « mais il y a sans doute plusieurs raisons. Déjà, l'équipe joue bien au basket et offre un spectacle agréable pour le public. Et puis, il s'est passé un truc la saison dernière avec la série de treize succès de rang en fin de parcours. Ce scénario idyllique a créé pas mal d'adhésion et on a su capitaliser dessus. La dernière raison, c'est qu'on travaille beaucoup sur les valeurs du basket. On s'intéresse à tous les publics et on essaie de faire en sorte que cela reste accessible avec une politique tarifaire qui est très compétitive ».\n\nAutres précisions : le SLUC revendique 1 500 abonnés et la billetterie représente 13% de son budget.\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : SLUC
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La photo : La finale de la Coupe de Grèce au Stade de Marbre
Le basket grec joue également ce week-end son Final 8 de la Coupe nationale, ce qui nous permet de publier cette photo d'il y a plus de quarante ans lorsque le cadre était la fameux Stade panathénaïque d'Athènes, alias le Kallimarmaro, alias le Stade de Marbre, où se tinrent les premiers Jeux Olympiques modernes en 1896.\n\nIl apparait que c'est la finale de 1979 qui a attiré le plus grand nombre de spectateurs : 30 000. Cette année-là, après les succès de l'Olympiakos lors des éditions précédentes, c'est le Panathinaikos qui a raflé le trophée.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/543861/athenes-4-avril-1968-nuit-divresse/
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
NBA All-Star : Un seul Français, Sidy Cissoko, parmi 25 joueurs internationaux
Un nombre record de 25 joueurs internationaux de 17 pays participeront au NBA All-Star 2023 à Salt Lake City, avec un seul Français, Sidy Cissoko (2,03 m, né en 2004), qui joue en G-League. En comparaison, 15 joueurs internationaux de 12 pays étaient présents au NBA All-Star 2022.\n\nLes joueurs internationaux pour le match sont les starters Giannis Antetokounmpo (Milwaukee Bucks; Grèce), Luka Doncic (Dallas Mavericks ; Slovénie), Joel Embiid* (Philadelphia 76ers ; Cameroun), Kyrie Irving (Mavericks ; Australie), Nikola Jokic (Denver Nuggets ; Serbie) et Lauri Markkanen (Utah Jazz ; Finlande).\n\nShai Gilgeous-Alexander (Oklahoma City Thunder; Canada), Domantas Sabonis (Sacramento Kings; Lituanie) et Pascal Siakam (Toronto Raptors; Cameroun) font partie des joueurs du banc.\n\nLe Jordan Rising Stars, qui aura lieu le 17 février, mettra en vedette neuf joueurs internationaux : Sidy Cissoko (NBA G League Ignite ; France), Josh Giddey (Thunder ; Australie), Mojave King (NBA G League Ignite ; Australie), Bennedict Mathurin (Indiana Pacers; Canada; liens avec Haïti), Leonard Miller (NBA G League Ignite; Canada), Andrew Nembhard (Pacers; Canada), Alperen Sengun (Houston Rockets; Turquie), Jeremy Sochan (San Antonio Spurs; Royaume-Uni; liens en Pologne) et Franz Wagner (Orlando Magic ; Allemagne).\n\nLe concours STARRY 3-Point, qui fait partie de State Farm All-Star Saturday Night mettra en vedette Markkanen et Buddy Hield (Pacers; Bahamas).\n\nLe Kia Skills Challenge, qui fait également partie du State Farm All-Star Saturday Night permettra de voir à l'oeuvre à une équipe composée de trois frères Antetokounmpo : Giannis et Thanasis Antetokounmpo (Bucks ; Grèce ; liens avec le Nigeria) et Alex Antetokounmpo (Wisconsin Herd ; Grèce ; liens au Nigéria).\n\nLe match de la G-League comprend Charles Bassey (Austin Spurs ; Nigeria), Cissoko, King, Miller, Neemias Queta (Stockton Kings; Portugal), Babacar Sane (NBA G League Ignite ; Sénégal) et Gui Santos (Santa Cruz Guerriers ; Brésil).\n\n*Les nationalités sont celles déterminées par la NBA. Joël Embiid possède également les passeports américains et français.\n\nPhoto : Sidy Cissoko (FIBA)
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Leaders Cup 2023 : demandez le programme !
La Leaders Cup démarre ce vendredi pour trois journées d'une compétition entre les huit équipes de Betclic Elite les mieux classées à l'issue de la phase aller.\n\nPour sa première depuis 2020, la Leaders Cup s'est installée à Saint-Chamond du 17 au 19 février. Les quatre quarts-de-finale se succéderont dès ce vendredi. Les deux demi-finales prendront place le samedi. Le dimanche, le tournoi de mi-saison de la LNB se terminera avec la finale de la Leaders Cup Pro B, suivie de celle de Betclic Elite.\n\n\nLes affiches des quarts-de-finale\n\n * JDA Dijon - Limoges CSP à 13h sur LNB TV+\n\nLe tenant du titre dijonnais ouvre le bal face aux Limougeauds. Ces derniers sont dans une mauvaise passe après leur lourde défaite en championnat à Nanterre, suivie par une élimination à domicile de la Coupe de France par la JL Bourg. Mais les hommes de Massimo Cancellieri ont toutes les raisons de croire en leur étoile ; ils avaient battu Markis McDuffie et ses coéquipiers 81-77 lors de la phase aller de Betclic Elite.\n\n * AS Monaco - JL Bourg à 15h30 sur LNB TV+\n\nDe 2016 à 2018, la Roca Team a régné en maître sur la Leaders Cup. Triple vainqueur de la compétition, Monaco a depuis évolué financièrement e sportivement et veut tout rafler. Mais l'adversaire qui se dresse sur son passage est redoutable, et de cela la Roca Team en est bien consciente. Les deux équipes viennent tout juste de se rencontrer en championnat. Les Bressans de Freddy Fauthoux se sont imposés ce week-end de deux points contre l'armada menée par Elie Okobo et Mike James. Il y a deux jours, les deux formations ont aussi validé leur ticket pour le top 8 de la Coupe de France. Autant vous dire que ce duel risque de tenir toutes ses promesses.\n\nLes vainqueurs de ses deux rencontres s'affronteront en demi-finale le samedi 18 février à 18h30, diffusée sur L'Equipe Live.\n\n\n\n\n\n\n\n * Cholet Basket - Le Mans Sarthe Basket à 18h30 sur L'Equipe Live\n\nDébut février, les deux équipes des Pays de la Loire s'étaient rencontrées à Cholet, en championnat. Le match avait largement tourné en la faveur des visiteurs manceaux, vainqueurs de 20 points. Cholet perdait ainsi son deuxième match de la saison contre le MSB. À Saint-Chamond, assisterons-nous à un \jamais deux sans trois\ ? C'est en tout cas ce que Matt Morgan, le meneur américain 4e meilleur marqueur de Betclic Elite, voudra réaliser face à la formation de Boris Dallo. Il reste à savoir de combien de joueurs en état de marche va disposer le coach Elric Delord.\n\n * Boulogne-Levallois - Lyon-Villeurbanne à 21h sur La chaîne L'Equipe\n\nPour terminer la première journée en beauté, l'actuel 2e au classement rencontre dès son quart-de-finale le triple champion de France en titre. Les Metropolitans 92 connaissent, à la suite de plusieurs blessures au sein de l'effectif, une sensible baisse de régime. Mais ils peuvent toujours compter sur leur pépite Victor Wembanyama pour assurer dans tous les compartiments du jeu. Face à l'ancien club de Wemby, le duel devrait tourner néanmoins à l'avantage de l'ASVEL. La formation d'Euroleague va mieux depuis l'arrivée de Dee Bost dans son roster. Pour rappel, les Mets s'étaient imposés d'un point à domicile lors de leur première opposition de la saison, en janvier dernier.\n\nLes vainqueurs de ses deux rencontres s'affronteront en demi-finales le samedi 18 février à 18h30 (L'Equipe Live) et 21h (La chaîne L'Equipe). La finale de la Leaders Cup est programmée à 18h30 le dimanche 19 février, à retrouver sur beIN Sports et La chaîne L'Equipe. La finale de la Leaders Cup Pro B, Angers-Boulazac, sera sur L'Equipe Live à 16h.\n\n\n\nPhoto : Arena Saint-Chamond (LNB)
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Grèce : Gianmarco Pozzecco en contact avancé avec le Panathinaikos
Les médias italiens ont révélé que le coach de la Squadra Azzurra, Gianmarco Pozzecco, avait reçu une proposition du Panathinaikos. La Stampa précise que le président de la Fédération italienne, Gianni Petrucci, a annoncé qu'il ne s'opposera pas à aménager le cas échéant le contrat qui les lie jusqu'en 2024.\n\n« Maintenant, tout est entre les mains de Pozzecco, et la décision appartient à lui-seul, a commenté Gianni Petrucci. Je ne peux pas le bloquer, au nom d'un contrat unique et pour la relation qui s'est créée entre nous, une de ses aspirations légitimes. La seule condition est que nous ne parlions pas du marché pendant l'activité de l'équipe nationale ».\n\nLe Pana offrirait au charismatique Gianmarco Pozzecco, 50 ans, un contrat d'au moins un demi-million de dollars.\n\nOn rappelle que l'Italie s'est qualifiée pour la Coupe du monde 2023 qui se déroulera du 25 août au 10 septembre aux Philippines, Japon et Indonésie.\n\nPhoto : FIBA
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Vincent Collet (Boulogne-Levallois) après la défaite contre Monaco : \La Leaders Cup, on ne la gagnera pas\
Ce mercredi soir, Boulogne-Levallois s'est incliné de 31 points face à l'AS Monaco en 8es de finale de la Coupe de France (107-76). Les Mets vont affronter ce vendredi l'ASVEL à la Leaders Cup, un nouvel adversaire de calibre européen pour les Parisiens. Le coach Vincent Collet n'est pas optimiste sur les chances de succès.\n\nPour les Mets de Victor Wembanyama, la déroute à Monaco n'est pas de bon augure avant la Leaders Cup de ce week-end. L'entraineur Vincent Collet n'a pas manqué de souligner le manque d'agressivité de son équipe dans cette rencontre :\n\n\Les Monégasques ont montré plus d’agressivité ce soir, ils n’ont jamais relâché la pression. Sur certaines séquences, on a été capables de jouer à ce niveau là, mais 15 minutes sur 40, ce n’est pas suffisant. Monaco n’a jamais lâché de lest, ils ont été sérieux du début à la fin. Ils ont aussi fait tourner mais hormis le jeune espoir Nicolas Vanel, ce sont tous des joueurs d’un très haut niveau. On ne sentait aucune différence lors de leur rotation, ce qui n’était pas notre cas. On était déjà amoindris avant le début du match, puis on a perdu 2 joueurs très rapidement avec les fautes (Coulibaly et Jones). Malgré tout, on retiendra une grande leçon de cette défaite : si on veut mieux résister, il va falloir élever notre intensité\.\n\nMais avant la Leaders Cup ce week-end, Vincent Collet ne se fait pas d'illusion. Les Mets vont devoir faire face à de nombreuses absences :\n\n\En ce qui concerne la Leaders Cup, sincèrement il ne faut pas rêver, on ne la gagnera pas. On va évidemment tout donner au premier match contre l’ASVEL mais au fond de nous on le sait. En plus, Pasecniks s’en va ce soir, il quitte le club. Justin James s’est fait une entorse. On était 7 ce soir mais on ne sera plus que 5 ce week-end. C’est un mauvais moment, on va retrouver nos joueurs après la trêve internationale pour bien attaquer la reprise du championnat. On a eu les deux plus mauvais tirages dans les deux compétitions que sont la Coupe de France et la Leaders Cup. Je n’ai aucun regret de ce match si ce n'est le visage insuffisant que l’on a montré ce soir. Après j’ai des explications. Il faut se servir de nos erreurs pour nous améliorer par la suite\.\n\nMême constat à la fin du match pour Bandja Sy (9 points, 4 rebonds, 1 passe) concernant l'intensité dans le match, même si le joueur des Mets se rend à la Leaders Cup avec la volonté de chercher un résultat :\n\n\Ils sont venus avec la même intensité qu’en Euroleague. Monaco est la meilleure équipe de Betclic Élite et de loin. C’était difficile de rester dans le match. On a eu un segment dans le match où on a réagi, on jouait plus dur mais ça n’a pas suffit. Ils ont joué le match jusqu’au bout avec beaucoup d’intensité et des joueurs de talent. Ce vendredi, on va affronter l’ASVEL en Leaders Cup, c’est encore une équipe d’Euroleague. C’est un trophée à gagner, on va faire de notre mieux pour aller chercher un résultat. Dans tous les cas, il va falloir qu’on mette plus d’intensité dans les matchs jusqu’à la fin de la saison\.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\Ce match était plus intéressant pour les spectateurs que pour les tacticiens\\n\nDe son côté, l'entraineur monégasque Sasa Obradovic est satisfait de la victoire. Il précise aussi que Jordan Loyd a été laissé au repos mais qu'il sera bien présent ce week-end. Mais pour lui, le niveau proposé par son équipe n'était pas à la hauteur de ses attentes :\n\n\Je pense que ce match était plus intéressant pour les spectateurs que pour les tacticiens. Mais c’est important de faire plaisir aux fans qui viennent nous voir. J’ai beaucoup de choses à dire, on a fait pas mal d’erreurs. Les joueurs absents ce week-end sont bien revenus et ont fait un bon match. C’est une victoire importante avant la Leaders Cup. Contre l’ASVEL, on ne jouait pas au niveau d’Euroleague. Ce soir, on était encore plus loin de notre niveau européen. Il y avait 3 divisions d’écart entre l’Euroleague et le match ce soir, même concernant notre match. Tout le monde va vouloir gagner la Leaders Cup, on a une revanche à prendre après notre défaite contre la JL Bourg. Ce premier match sera peut-être le plus dur de la compétition. Avec 3 matchs en 3 jours, il va falloir gérer le groupe. Concernant Jordan Loyd, il en train de revenir à son meilleur niveau mais j’ai choisi de le laisser au repos ce soir. Je pense que ça aurait été trop pour lui d’enchaîner. Mais il va jouer ce week-end en Leaders Cup, pas d’inquiétude à ce niveau là\.\n\n\n\nPour Matthew Strazel (14 points, 2 rebonds, 5 passes), une réaction était indispensable après la défaite contre Bourg-en-Bresse. Les Monégasques ont aussi réussi à contenir le phénomène Victor Wembanyama grâce à une bonne défense. Il a également abordé la question de la gestion des jeunes au sein de la Roca Team :\n\n\Après la défaite contre Bourg, on a eu une petite réunion entre joueurs et membres du staff. On devait montrer autre visage dans les matchs couperets, et ne pas jouer avec nos adversaires. Il faut bien commencer le match pour se mettre dans les bonnes dispositions, et comme on l’a vu ce soir, ça a marché. On a pu reposer certains cadres. On a essayé de mettre beaucoup d’agressivité défensivement et offensivement. Il y avait un peu de fatigue à la fin, ça s’est vu dans le jeu de l’équipe mais ça reste une victoire satisfaisante. On a l’effectif pour jouer le match à fond, on va devoir gérer jusqu’à fin de l’année. Les choses sérieuses commencent, la fin de saison va être importante avec le championnat, l’Euroleague, la Leaders Cup et la Coupe de France, il va falloir être sérieux à tous les matchs. Contre Bourg, on va venir avec l’esprit revanchard. Ils ont bien savouré à domicile mais on va essayer de leur mettre le couteau sous la gorge dès le début. On va avoir besoin de tout le monde avec 3 matchs en 3 jours. La Leaders Cup est un vrai objectif pour le club. Je vais donner le maximum sur les minutes qu’on va me donner. Si on me demande de défendre je vais défendre, si on me demande de créer je vais créer, si on me demande de marquer je vais marquer. Je suis à la disposition de l’équipe et prêt à tout donner pour gagner la Leaders Cup. En Euroleague, la salle est souvent remplie. C’est un peu moins le cas en championnat mais ça a fait plaisir de voir autant de monde sur une affiche française, forcément ça nous a aidés. En face, il y a un certain phénomène qui s’appelle Victor Wembanyama, c’est vrai que les supporters monégasques l’ont souvent applaudi. J’espère que tout va bien se passer pour lui, qu’il va prendre soin de son corps. Parfois, on ne peut rien faire contre lui car il est trop grand. On voulait l’empêcher de prendre des rebonds offensifs, le pousser hors de la raquette. Il termine à 13 points, c’est pas mal mais on sait qu’il peut en mettre 30 donc je pense qu’on s’en sort pas trop mal. Quand le coach est serein en fin de match avec un écart, il peut faire jouer les jeunes espoirs. Le public est content de les voir, ça aide ces jeunes.\\n\nÀ Monaco.\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Valérie Garnier, au coeur des garçons avec Tours
L’ex-entraîneuse des filles de l’équipe de France a basculé dans une nouvelle orientation de sa carrière, en relevant le défi de coacher une équipe masculine, pour la première fois de son itinéraire professionnel. Elle vit aujourd’hui au rythme de la Nationale Masculine 1, le 3ème niveau du basket français, et a pris les commandes du TMB, club en plein doute, et en danger, au moment de son arrivée mi-décembre.\n\nElle avait coaché son dernier match à la tête des Bleues, aux JO, le 7 aout 2021, dans la Saitama Super Arena de Tokyo. Pour une ultime médaille de bronze, décrochée face à la Serbie (76-91), qui mettait un point final, mais elle ne le savait pas encore, à une saison qui l’avait vue, fin juin, perdre une quatrième finale de championnat d’Europe, en Espagne, face... aux Serbes (54-63). Avec dans ses bagages, un record de médailles pour un sélectionneur national français (4 médailles d’argent européennes, une de bronze aux JO), elle fut néanmoins priée par la FFBB de faire ses valises, début septembre 2021, après un long silence peu respectueux et pas très empreint de considération.\n\nExit le bail de quasiment dix ans avec les Bleues (elle était entrée comme assistante de Pierre Vincent en 2012, puis head-coach l’année suivante), au revoir Valence, Tokyo... Mais elle laisse aussi derrière elle une riche carrière en club, avec Bourges (trois titres nationaux en 2012,13, 15, une coupe de France en 2014, l’Eurocoupe en 2016), et un passage fructueux à Fenerbahçe (championne de Turquie en 2018 et doublé coupe-championnat en 2019).\n\nPourtant c’est sur le parquet de la Halle Monconseil (1 500 places) de Tours, que nous l’avons retrouvée ce jeudi 9 février, survêtement noir, toute droite et fine, presque frêle car surplombée par la masse et la hauteur de Abdel Kader Sylla (2,05 m), Thibaut Daval-Braquet (2,10 m), Scott Suggs (2 m), au milieu de la première équipe masculine de sa carrière.\n\nValérie Garnier, 58 ans, fait bosser ses garçons sur des systèmes offensifs, puis interrompt le jeu d’un coup « Non, les gars, non, vous n’y êtes pas. Vous jouez comme des filles là ». La réflexion a fait sourire les observateurs présents dans la salle, tant elle était teintée de cet humour un brin provocateur que la coach affectionne avec ses joueurs, propre à capter leur attention ; car on ne fera pas procès à Valérie Garnier de ne pas avoir été une ardente engagée de la cause du basket féminin, toujours, toute sa carrière, contre vents et marées.\n\nMais, aujourd’hui tout ça est derrière elle. Un peu par la force des choses, et beaucoup aussi parce qu’elle a saisi une opportunité au vol, celle d’un défi qui donne un autre souffle à sa carrière. Car après l’équipe de France vint le temps du repos, de mettre un peu de distance. « J’avais la volonté de me reposer et de faire plein de choses, toutes celles que je n’avais pas pu faire quand j’entraînais en club et en équipe de France, aller à des concerts, des diners entre amis, profiter des gens que j’aime, des choses simples » dit-elle. Un changement d’agent (elle travaille aujourd’hui avec Miloud Dahine), la non-conclusion d’un accord avec la sélection féminine canadienne, alors que les contacts étaient très avancés – « Mais ils voulaient quelqu’un à plein temps, ce qui impliquait de vivre à Toronto à l’année, c’est ce qui a freiné. Et je n’avais pas non plus une aisance exceptionnelle en anglais » - une projection vers l’équipe féminine de Galatasaray, avortée suite à un changement d’orientation du directoire du club turc, tout ça a chamboulé sa réflexion.\n\nL’idée de coacher chez les garçons ne s’est pas élaborée en un jour. C’est pendant une réunion de l’Académie des coaches, où elle côtoie Claude Bergeaud, Alain Weisz, Vincent Collet que la chose trace un chemin dans son esprit. « Pourquoi tu ne vas pas chez les garçons ? Je ne sais plus qui, mais quelqu’un a lancé ça... J’en ai discuté à part avec Vincent, il pensait que ce serait bien ». Le soutien et les encouragements de l’entraîneur des Bleus ont amorcé le déclic. « On était début juillet, mais ce n’était pas encore intégré dans ma démarche, je m’interrogeais, car je pensais que ça allait mettre fin à ce qu’avait été toute ma vie de joueuse et d’entraîneuse chez les femmes. Puis j’ai compris qu’on pouvait faire des allers-retours ; j’en parlais autour de moi, et quand me suis décidée en novembre, un mois après j’étais ici » résume-t-elle.\n\n\nEn relais de Thomas Drouot\n\nIci, c’était une équipe complètement à la dérive dans sa poule de NM1, plombée par un bilan très négatif (4v-11 d), qui avait coûté sa place au coach Thomas Drouot, le 4 décembre. En grand danger, le club tourangeau n’a pourtant pas hésité à solliciter Valérie Garnier, une femme sans aucune expérience du basket masculin, pour gérer cette situation de crise.\n\nLe choix est peu commun, dans une NM1 à vingt-huit équipes, qui ne compte qu’une autre femme –coach, Lauriane Dolt (Mulhouse). Mais à la différence de Valérie Garnier, Lauriane Dolt, 39 ans, a essentiellement évolué dans des équipes masculines (dont la SIG en Elite). Pourtant, pour Romain Régnard, le directeur général (salarié) du TMB , le choix de Valérie Garnier s’est imposé avec cohérence. « On n’aurait pas osé aller la chercher, si son agent ne nous l’avait pas proposée. Car elle est très référencée sur le basket féminin, et on ne savait pas qu’elle pouvait s’orienter vers le basket masculin » raconte-t-il. « De notre côté, on avait une équipe touchée psychologiquement, et la faire venir, on s’est dit que ça allait avoir un impact fort et qu’elle avait le profil pour remettre les joueurs en avant, pour que chacun trouve sa place et puisse s’y épanouir. On pensait qu’elle pouvait avoir ce rôle - un peu comme une maman – d’aller chercher le positif chez des joueurs un peu meurtris, d’avoir de l’écoute ». Il appelle ça « la corde sensible féminine », comme un facteur X qui pourrait faire la différence.\n\nMédiatiquement, et en termes de notoriété, il est clair que Valérie Garnier a fait passer le TMB dans une autre dimension par rapport à son statut sportif. On n’avait jamais vu autant de médias prendre le chemin de la halle Monconseil, et s’intéresser au TMB. Les médias basket, bien sûr, la Nouvelle République et la presse régionale, c’est normal, mais aussi l’Equipe, Le Parisien, Le Figaro, Canal +... « C’est sûr que ça permet de donner un énorme coup de projecteur sur le club, ça fait parler, ça attire l’attention sur ce que nous faisons dans ce club » reconnaît le DG. Même le maire de Tours, qui s’est informé auprès du club, tenait à souhaiter la bienvenue à l’ex- sélectionneuse de l’équipe de France.\n\nPour autant, l’attention médiatique ne fait pas tout. Le club tourangeau était en situation d’urgence quand il a confié les clés de la maison à Valérie Garnier, débarquée à l’arraché du Var , où elle réside, le 14 décembre, à l’issue d’une course folle, la veille d’un premier match capital, face à Berck. « Le mardi 13, on signait, le mercredi 14, je mettais tout le monde et les valises dans la voiture, et j’ai fait les 870 km entre Carqueiranne et Tours dans la foulée. On était en situation d’urgence absolue. Le jeudi, je fais mon premier entraînement, et le vendredi soir, je coache mon premier match » déroule la coach en revisitant cette semaine de pure folie.\n\n« Son bilan sportif parle pour elle » analyse encore Romain Régnard. Car effectivement, sous la direction de Valérie Garnier, le bilan du TMB est repassé en positif (5v-4d, avant le match face à Lorient ce week-end). Mais surtout, le club a enchaîné trois victoire d’affilée (face à Berck, à Poitiers et au Pôle France) dans la foulée de son arrivée. « On gagne au forceps contre Berck, grâce à des choix stratégiques de Valérie, et sur la victoire à Poitiers, elle a eu un gros impact sur le jeu également » souligne le DG.\n\nLa principale intéressée sait que les choses ne sont pas aussi simples qu’elles peuvent le paraître. Elle sait aussi qu’arrivée en mode commando, elle n’a pas pu révolutionner le jeu du TMB. « Mais elle a eu un discours cash et franc avec eux, ses mots étaient importants » précise encore Romain Régnard.\n\n« J’arrivais dans une situation d’urgence, je leur ai dit qu’en un jour, je n’avais pas le temps de travailler, mais qu’ils pouvaient avoir une action de décision sur les choses qu’on pouvait changer : s’engager, mettre de la dureté en défense, prendre les rebonds et mettre du rythme en attaque. On est partis là-dessus, dans l’urgence. Je leur ai proposé deux ou trois trucs, ils avalent les consignes assez facilement. On est partis au combat cinq jours comme ça » raconte la coach, dont le palmarès, l’expérience et la communication ont visiblement fait grand effet sur ses joueurs. L’adhésion du groupe a été quasi immédiate.\n\n« Ce n’est jamais évident, un changement de coach, pour celui qui se fait virer, comme pour celui, celle qui arrive » admet le pivot Abdelkader Sylla. « On était en situation délicate ; j’avais eu de très bons échos sur elle, je me suis dit « elle a fait ce qu’il y a de mieux dans le basket féminin ». J’étais curieux de voir ce qu’elle pouvait nous apporter. Je n’avais pas de préjugés. Quelqu’un qui a ramené autant de médailles ... je me suis dit, ce n’est pas n’importe qui qui va nous coacher, c’est la « Vincent Collet » du basket féminin ».\n\n\n\J’ai réalisé que les garçons étaient aussi bavards que les filles ! \\n\nPassé le coup de feu, et les victoires cruciales engrangées après son arrivée, Valérie Garnier a donc pris le temps de partir à la connaissance de son équipe, pour sonder les personnalités, les aspirations, dit-elle, de ses joueurs, notamment au cours d’entretiens individuels. « J’avais prévu des entretiens individuels, d’une vingtaine de minutes, et j’ai réalisé que les garçons étaient aussi bavards que les filles ! » s’amuse-t-elle. « Il n’y en a pas un pour qui ça a duré vingt minutes, c’était plutôt une heure à chaque fois. On a échangé pour se connaître. J’ai senti de l’humilité et du respect dans leur attitude ».\n\nElle avait bien anticipé aussi que de son côté, son choix de plonger dans le monde du basket masculin lui demanderait une certaine adaptation, dans le relationnel, comme dans le jeu. « Dans le discours, le relationnel, je leur ai dit que je fonctionnerai toujours dans le direct avec eux. Bien sûr, la capacité à pouvoir tout se dire, elle existe de toutes les façon, tant que c’est dit avec respect. Mais je pense qu’on peut être plus direct avec les garçons ; les femmes que nous sommes sont parfois plus... susceptibles ; là je trouve le management plus direct, empreint de sincérité » décrit-elle quant à sa relation avec ses joueurs.\n\nQuant au jeu, même si elle estime qu’il est plus facile de faire le chemin dans le sens où elle l’a choisi, des filles vers les garçons, elle apprécie « cet engagement, et cette intensité aux entraînements. Dès qu’ils entrent sur le terrain, ils sont en mode compétition », et elle découvre, sans que ce ne soit réellement une surprise , « la force dans l’impact physique, la puissance dans les passes, la vitesse et la mobilité des appuis et cette verticalité qui n’existe pas dans le basket féminin ». Et elle raconte, dans un sourire, que lorsqu’elle a vu, lors d’un de ses tout premiers entrainements, Abdel Kader Sylla s’envoler pour claquer un gros dunk , elle a arrêté le jeu dans la foulée. Avant de lâcher devant ses joueurs étonnés « Oui, il faut me laisser un peu de temps pour que je puisse apprécier le premier smash de ma carrière de coach ». Elle avoue vivre avec cette équipe masculine « ce que j’aurais aimé vivre chez les filles et que les qualités physiques des filles ne peuvent pas permettre... »\n\nQuant aux joueurs, passée la phase d’observation, ils semblent très réceptifs à sa façon de faire. « Dans le contenu du jeu , il y a un peu de continuité avec ce qu’on faisait avant » note Sylla. « Mais elle a apporté sa touche avec beaucoup de précision, de fluidité dans le jeu. Elle est vraiment dans les détails, dans l’exigence. Elle apporte une exigence de haut niveau, il n’y a pas mieux pour évoluer. Et elle essaye toujours de redonner la confiance; elle finit toujours ses discours par quelque chose de positif, c’est super ». Pour son adjoint, Gaëtan Douet, « sa venue a changé l’état d’esprit de l’équipe. On était dans une spirale négative, où on perdait les matches serrés. Oui, il y a eu un changement avec Valérie. On a enclenché une dynamique différente, on arrive à gagner ces matches serrés, les deux premiers qu’elle a coachés, on les a pris ».\n\nCa va faire maintenant deux mois que Valérie Garnier a empoigné cet autre levier de sa carrière, qu’elle commence à prendre la mesure d’un club bien structuré (300 partenaires, 1,6 million de budget), dont le président, Bruno de l’Espinay, fondateur et président du groupe « Artus intérim » est très investi. « Ici, si on compare à Bourges, il manque juste le Prado. C’est un club très structuré, j’ai onze joueurs pros, et pour tout ce qui est autour, je suis vraiment dans de bonnes conditions de travail » reconnait-elle , confirmant ne pas avoir perdu au niveau salarial par rapport à son passage en Berry.\n\n\nArrosée dans le vestiaire\n\nIl reste maintenant à envisager son apport sur la durée, puisqu’elle a signé pour la saison suivante également. Dans l’immédiat, arracher une place dans le groupe B (6ème au 10ème )et peut-être ensuite une place en playoffs. Et ce ne sera sans doute pas la partie la plus facile de son nouveau chemin. Mais l’ex-coach des Bleues, qui ne veut pas se morfondre dans les regrets et l’amertume, compte bien aller de l’avant. Elle a gardé, au compte-gouttes, quelques contacts avec certaines joueuses des Bleues, un de ses assistants, mais insiste-t-elle « jamais au cours de nos échanges, je ne demande des nouvelles de l’équipe de France. On n’en parle pas. Je n’ai jamais été attirée par les potins, ça ne m’intéresse pas ».\n\nElle voyage aujourd’hui au milieu de sa troupe de « chevaliers » - les Knights du Tours Métropole Basket - et dans cette nouvelle croisade, s’est faite adoubée par ses garçons lors d’un épisode qu’elle n’oubliera jamais. C’était après avoir coaché son premier match, sa première victoire après prolongation. « Le président est rentré dans le vestiaire, je leur ai fait un petit debrief, et d’un seul coup, je les vois tous arriver en criant autour de moi. Je me suis demandée ce qui se passait, et ils m’ont tous vidé leur gourde sur la tête ! J’étais là, dans mon petit tailleur, avec les chaussures qui vont bien, et ils m’ont arrosée entièrement. J’étais trempée. Eux, ils étaient heureux, c’était leur façon de me remercier, de me dire « bienvenue coach ». Ca me restera tout le temps... »\n\nVoilà donc Valérie Garnier repartie en campagne, dans un milieu professionnel le plus masculin qu’elle ait pu connaître. Elle ne brandit pas pour autant l’étendard d’un militantisme féministe exacerbé, ni ne se pose en porte -parole. « Je ne donne pas à tout ça une signification spéciale. J’ai voulu me faire ma propre expérience. J’ai eu des femmes, entraîneuses, qui m’ont envoyé des messages me disant « encore une façon d’ouvrir une porte ». Je ne suis pas allé chercher tout ça. Je suis arrivée ici avec beaucoup d’humilité ». Et si d’aventure, elle se questionnait sur ses ressources à mener le TMB où il doit aller, la vie, qui aime à rappeler les épreuves du passé, lui remet en mémoire, tous les jours, une autre lutte, vitale, qu’elle a su mener à bien. Car Valérie Garnier qui s’est installée à Chambray les Tours, se retrouve à deux pas... du Pôle Médical où elle avait été opérée d’un cancer du sein en mai 2017. Avant de mener les Bleues en finale de l’Euro , à peine un mois plus tard...\n\nA Tours\n\nx\n\n\n\n\n\nPhoto d'ouverture : TMB
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L'ancienne internationale Isabelle Yacoubou sort un livre, \Géante\
L'ancienne internationale Isabelle Yacoubou, 36 ans, actuellement à Tarbes, sort un livre dont le titre lui va comme un gant : \Géante. Les matchs de ma vie\.\n\nIsabelle Yacoubou a été notamment championne d'Europe en 2009 et vice-championne olympique en 2012 à Londres.\n\n\Aux Jeux olympiques de Londres, en 2012, la championne au sourire rayonnant et aux tresses bleu-blanc-rouge marque les esprits. Avec les « Braqueuses », l’équipe de France de basket féminine, elle vient d’arracher une médaille d’argent inespérée. Dotée d’une voix douce qui tranche avec sa taille d’1m90 et sa carrure impressionnante, Isabelle Yacoubou est une femme déterminée.\nPuissante, diront certains. Comment s’est forgé son caractère ? Quels furent ses combats ? Ses passions ? Quelles fêlures se cachent derrière la carapace ?\nÉprise de liberté, non-conformiste, Isabelle Yacoubou détonne dans le monde du sport de haut niveau. Elle assume son culot, et oser lui réussit. Elle souhaite ainsi faire évoluer la condition des joueuses vers l’égalité avec les hommes. Et elle a choisi de devenir mère (ce qui n’était pas prévu par la convention collective des basketteuses...), son exemple inspirant par la suite d’autres joueuses.\nGéante retrace le parcours d’une sportive et d’une femme exceptionnelles, sans rien cacher de ses déboires et de ses peines. Et révèle les coulisses de ses victoires retentissantes, que ce soit en bleu ou en club. Parce qu’il est toujours possible de rebondir !\, prévient la maison d'edition.\n\nIsabelle Yacoubou, Géantes, par Sandra Bensoussan. 240 pages. 14cm x 22cm. 20 euros. Editions L'Archipel.\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : FIBA
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Victor Wembanyama (Boulogne-Levallois) :«Les défenses sont plus adaptées que jamaisà jouer contre moi »
Vendredi soir, les Metropolitans 92 défieront l’ASVEL à Saint-Chamond en clôture des quarts de finale de la Leaders Cup. Avec les différentes blessures chez ses coéquipiers, Victor Wembanyama (2,21 m, 19 ans) se sait plus ciblé que jamais.\n\nTouchés par les blessures, les Metropolitans 92 connaissent leur premier véritable coup de mou depuis quelques semaines. Après leur large défaite en Coupe de France à Monaco mercredi, leur entraîneur Vincent Collet semblait déjà résigné à l’idée de soulever le trophée de la Leaders Cup. Pas Victor Wembanyama. « C’est son avis, pas le mien », s’est amusé le probable futur numéro un de la Draft en conférence de presse.\n\n« On sera en mission, oui, mais, comme souvent ces derniers temps, on s’adaptera. Quand on met les pieds sur le terrain, c’est pour gagner. On ne cherche pas d’excuses. On prépare les entraînements avec beaucoup d’espoirs, c’est un petit peu plus dur de préparer les matches, les temps de jeu sont augmentés naturellement. Il y a des moments durs dans une saison, on en est au milieu d’un. Mais le tout, c’est de rebondir. »\n\n\n« Il y aura un sentiment particulier quand je jouerai à l’Astroballe »\n\nAvec les blessures récentes de Tremont Waters et d’Hugo Besson, qui s’ajoutent à celles d’Ibrahima Fall Faye, Armel Traoré et Aaron Henry et au départ d’Anzejs Pasecniks, les défenses s’adaptent. Résultat : Wemby est plus ciblé, comme le montrent ses 7 pertes de balles mercredi soir. Vendredi, ils ne seront pas plus de 6 pros sur le terrain, et il faudra trouver d’autres parades.\n\n« Quand on enlève des cadres, les défenses se concentrent encore plus sur ceux qui restent sur le terrain. Il faut faire jouer l’équipe. Personnellement, je sais que les défenses sont plus adaptées à jouer contre moi que jamais, d’autant plus avec les absents. Cela a été progressif mais j’ai l’impression que ça atteint un seuil. Contre Blois, j’avais systématiquement deux défenseurs sur moi. Mais ce n'est pas grave, j’ai l’habitude », a-t-il souligné.\n\n\n\n\n\n\n\nSi cette Leaders Cup n’arrive pas au meilleur moment pour Boulogne-Levallois et qu’elle ne fait pas office de « priorité » pour Wemby - qui aurait d'ailleurs aimé la jouer une fois à Disney -, le hasard du tirage au sort l’a réuni une nouvelle fois face à son ancienne équipe : l’ASVEL. Mais il le promet, il n’y aura pas de sentiment de revanche à Saint-Chamond. « Il y aura un sentiment particulier quand je jouerai à l’Astroballe », a-t-il souri. En attendant, le coup d’envoi est prévu pour 19h.\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/une/652591/vincent-collet-boulogne-levallois-apres-la-defaite-contre-monaco-la-leaders-cup-on-ne-la-gagnera-pas/\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Thomas Savoja)
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Massimo Cancellieri (coach Limoges) : «On ne se cherche pas d'excuses»
Avant d’affronter Dijon en ouverture des quarts de finale de la Leaders Cup ce vendredi (13h), le coach du Limoges CSP Massimo Cancellieri a livré son analyse sur la mauvaise passe de son équipe.\n\nBattus pour la huitième fois en dix rencontres en Coupe de France mercredi soir, les Limougeauds arrivent à la Leaders Cup avec l’étiquette d’outsider. Malgré la dynamique en la défaveur de son groupe, Massimo Cancellieri s’est montré optimiste sur la suite des événements. En conférence de presse jeudi soir, il a livré à la poignée de journalistes présents à l’Arena de Saint-Chamond - dans un français de plus en plus parfait - un véritable show, en toute décontraction.\n\nSans doute que le coach limougeaud a été prévenu que la Leaders Cup, et son format en matches couperets, a souvent réservé son lot de surprises. Toujours est-il que le technicien italien n’a pas caché les difficultés du moment, liées aux blessures, à la surutilisation de certains joueurs, mais aussi à la forte adversité en BCL comme en Betclic Elite.\n\n« Quand on nous pose une question sur la forme du moment ou sur les blessures, il y a deux façons de répondre. Soit on cherche des excuses, soit on dit la vérité. Dans notre cas, on ne se cherche pas d'excuses. Il faut dire qu’on a accumulé des blessures, mais comme beaucoup d’équipes durant la saison. Nous allions dans la bonne direction, nous avons fait d’excellentes choses jusqu’en janvier. Et après janvier, tout a changé. Maintenant, je sens que mon équipe a besoin de recommencer à travailler ensemble. Car on est dans une machine à laver avec des matches tous les trois jours, avec en plus du championnat un groupe extrêmement relevé dans le top 16 de BCL. C’est difficile de rivaliser pour viser les playoffs. Les pertes de Desi Rodriguez et Bryce Jones nous ont fait du mal. L’alchimie s’est brisée, mais ce n’est pas forcément notre faute. Ce n’est pas que nous sommes désunis, c’est surtout lié à une surutilisation des joueurs. Honnêtement, ils sont fatigués. Et après, je ne suis pas un entraineur qui veut reposer les joueurs parce qu’on a besoin de travailler aussi. L’équipe a perdu un peu de confiance, donc on va reprendre avec des choses basiques. En tout cas, notre parcours de revalorisation de l’équipe a déjà commencé. Nous avons encore besoin de temps mais cela débutera avec des matches comme celui de vendredi. Avec moins de 48h de repos entre la Coupe de France et la Leaders Cup, on va jouer motivés. On va s’amuser... On va même kiffer ! (rires) », a-t-il conclu entre quelques blagues adressées à Nicolas Lang et aux journalistes.\n\nEn attendant, le CSP a l’occasion de se relancer ce vendredi face à un adversaire, Dijon, qui a aussi marqué le pas ses dernières semaines - défaites contre Strasbourg, Villeurbanne et Boulogne-Levallois, victoire après prolongation à Antibes. À l’heure du repas, nul doute que la bande à Cancellieri mettra un peu de piment à cette première rencontre du weekend (entre-deux à 13h, à suivre sur LNB TV).\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652645/victor-wembanyama-boulogne-levallois-les-defenses-sont-plus-adaptees-que-jamais-a-jouer-contre-moi/\n\nPhoto : Massimo Cancellieri (FIBA)
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Coupe de France féminine : Villeneuve d'Ascq sort Bourges
Bourges n'a pas été à la hauteur de son statut à Villeneuve d'Ascq, alors que Basket Landes et Lyon se sont qualifiés pour le dernier carré.\n\nVilleneuve d'Ascq a infligé un incroyable 18-0 à Bourges qui s'est retrouvé ainsi dans les cordes. Kennedy Burke (18 points, 5 rebonds, 6 passes, 3 interceptions et 1 contre), Kariata Diaby (15 points, 10 rebonds), Kamiah Smalls (20 points), Janelle Salaun (14 points) et Hind Ben Abdelkader (12 points), ont propulsé leur équipe vers une victoire qui fera date malgré les efforts d'Yvonne Anderson (19 points, dont 4/5 à trois-points).\n\nA retenir par ailleurs les performances des Lyonnaises Sandrine Gruda (17 points et 8 rebonds), Blake Dietrich (18 points dont 4/5 à trois points, 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions et 1 contre), et des Tarbaises Ana Tadic (14 points, 10 rebonds) et Yoana Ewodo (16 points, 7 rebonds, 3 passes et 2 Interceptions).\n\nA Basket Landes, Marine Fauthoux (23 points, 6 rebonds et 5 passes) et Regan Magarity (21 points, 8 rebonds et 2 contres) ont été très efficaces tout comme Leila Lacan (15 points et 5 rebonds) à Angers.\n\nBasket Landes (LFB) - Angers (LFB) 84-65 | Replay\nTarbes (LFB) - Lyon (LFB) 71-82 | Replay\nVilleneuve d'Ascq (LFB) - Bourges (LFB) 83-74 | Replay\n\nDéjà joué :\n\nIllkirch-Graffenstaden (LF2) - Monaco (LF2) : 56-51\n\nTirage au sort des demi-finales le lundi 20 février.\n\nPhoto : Kamiah Smalls (Villeneuve d'Ascq, FIBA)
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Tony Parker va demeurer président de l'ASVEL
Dans un entretien à L'Equipe, Tony Parker a affirmé demeurer président de l'ASVEL et de l'ASVEL féminin même s'il revend ses parts à Smart Good Things, une start-up spécialisée dans la fabrication de boissons instantanées.\n\nTony Parker s'est voulu rassurant disant qu'il s'agit juste d'une réorganisation patrimoniale.\n\n\Je ne vais nulle part, je reste à l'ASVEL. Pour comprendre ma réflexion, mon but est d'amener l'ASVEL le plus haut possible. Etre champion d'Europe un jour avec les garçons, être champion d'Europe avec les filles, continuer à faire monter la valeur du club,\ déclare t-il au quotidien sportif. \Céder mes parts, je dirais oui et non. On a un partenaire (Smart Good Things) qui est devenu le plus gros sponsor du club et qui a émis la possibilité de prendre des actions pour aider le club à monter. Pour le bien du club, je suis prêt à faire ça.\\n\nLe quadruple champion NBA confirme que l'Olympique Lyonnais est pour l'instant réticent sur ce montage financier, mais qu'il n'est pas en guerre avec Jean-Michel Aulas, et qu'il se voit à l'ASVEL sur les dix prochaines années.\n\n\Le club, je l'ai racheté 2 millions d'euros en 2014. Aujourd'hui, la valeur du club est de 40 millions d'euros ! J'espère que l'Euroleague sera fermée un jour. Dans trois ans, avec l'Euroleague fermée, le club peut valoir entre 100 et 200 millions d'euros,\ estime t-il.\n\nPhoto : LNB
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Hapoël Jérusalem vainqueur de la Coupe d'Israël
Dans le duel éternel, l'Hapoel Jérusalem a battu le Maccabi Tel-Aviv, 67 à 61, pour remporter pour la 7e fois la Coupe d'Etat d'Israël.\n\nSpeedy Smith s'est avéré le leader de Jérusalem avec 16 points et neuf passes décisives. Lorenzo Brown (15 points, 6 rebonds) et Bonzie Colson (15 points) ont été les meilleurs marqueurs du Maccabi.\n\n\Tout le processus a commencé cet été et je crois que nous n'avions que deux gars une fois que nous avons commencé à constituer l'équipe\, a déclaré le coach de Jérusalem, Aleksandar Dzikic, après le match. \Nous avons essayé de signer les meilleurs joueurs israéliens que nous pouvions, certains gars ne sont pas venus. Nous l'avons construit différemment de ce à quoi les gens sont habitués, mais je pense que ces gars-là sont bien ensemble. La somme est plus grande que toutes les parties pris individuellement.\
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Copa del Rey : Historique, Malaga tombe le Barça !
Grosse surprise dans la Copa del Rey avec l'élimination du Barça par Unicaja Malaga, vainqueur en prolongation (89-87) et qui va affronter le Real Madrid en demi-finale.\n\nLe moment est historique puisque c'est la première fois en 18 matches couperet (9 de playoffs, 7 de Coupe et 2 de Super Coupe) que Malaga élimine le club catalan. Dario Brizuela (27 points) et Kendrick Perry (22 points) ont été les principaux artificiers d'Unicaja. Les 15 points et 9 rebonds de Nikola Mirotic n'ont pas été suffisants.\n\n«Je tiens à féliciter Unicaja car ils ont joué un grand match. Ils se sont battus jusqu'au bout, a commenté celui-ci. Encore une fois, nous n'avons pas su conclure le match, mais je dois dire que nous étions confiants, nous avons fait un bon match. Il est maintenant temps de réfléchir. Nous devons regarder attentivement la vidéo et analyser ce qui s'est passé. Nous avons eu des avantages importants et nous leur avons permis de revenir. Unicaja joue du bon basket, mais nous sommes le Barça et nous n'avons pas été bons à la fin. Nous sommes humains et nous devons essayer de relever la tête le plus tôt possible. Je suis touché car une option pour gagner un trophée a été perdue. Nous venons de gagner deux Coupes d'affilée. Quand tu perds, tu te sens mal. Barcelone est appréciée par le nombre de titres qu'il a remportés. Quand il est perd, c'est un mauvais goût dans la bouche. Maintenant, il reste encore beaucoup de temps avant que nous puissions à nouveau nous battre pour un titre, mais je suis optimiste, nous sommes certainement capables de renverser la vapeur. Nous devons être plus solidaires que jamais. Nous devons nous battre pour les titres restants. Je fais confiance au Barça.\\n\nDans l'autre demi-finale, le Real a fini par venir à bout de Valencia, 86-85. Gabriel Deck a apporté 19 points et 9 rebonds. Guerschon Yabusele a été également en verve (10 points, 8 rebonds), ce qui a été moins le cas de Vincent Poirier (0 point, 4 rebonds) et Petr Cornelie (3 points), alors que Fabien Causeur n'a pas joué. Avec 20 points, Chris Jones a été le top marqueur de Valencia.\n\nLe programme aujourd'hui : Tenerife-Gran Canaria et Badalone-Vitoria.\n\nMCS Basket a l’exclusivité de la diffusion en France de la Copa Del Rey pour les demi-finales et finale. Profitez de l’offre BasketEurope + MCS Basket pour un abonnement annuel à 49€\n\nPhoto : Gabriel Deck (Real Madrid)
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Pro B : Saint-Quentin redevient leader
Tout comme à l'aller, Saint-Quentin a réussi à s'imposer à l'ALM Evreux, en Normandie cette fois (67-71), et récupère ainsi son fauteuil de leader.\n\n« Cette défaite est un très bon signe, a tout de même déclaré le coach de l'ALM, Nono Asceric, rapporte Paris Normandie. On n’a jamais abandonné. Malgré quelques lay-up manqués, un rebond offensif capté dans les dernières secondes... »\n\nLe match s'est joué effectivement à trois fois rien alors que SQBB menait de 18 points (39-57) à la 31e minute et que Tommy Ghezala se faisait exclure du terrain. Christian Lutete (21 points) et Yempabou Palo (16) ont artillé pour que leur équipe fasse son retard mais ce ne fut pas suffisant, même si à 16 secondes de la fin il y avait juste un point d'écart.\n\n\Oui il y a eu une erreur arbitrale mais les joueurs de l’ALM ont oublié de faire un « box out » (écran de retard) pour prendre le rebond sur le lancer manqué de Pfister\, estime Paris-Normandie.\n\nSQBB, pour qui Mathis Dossou-Yovo a été encore une fois très solide (19 points et 7 rebonds, possède donc désormais autant de victoires que Chalon (15) et un point-average favorable, alors que l'ALM végète à la 15e place et pense à faire prochainement des changements dans son effectif pour sauver sa tête.\n\nPhoto : Mathis Dossou-Yovo (Grégory Portelette)
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Emilie Gomis, ambassadrice de Paris 2024 et aussi marraine d'un raid au Maroc
L'ancienne internationale Emilie Gomis, vice-championne olympique en 2012, a participé au raid Sahraouiya dans le sud du Maroc, et n'oublie jamais son rôle d'ambassadrice pour Paris 2024. C'est ce qu'elle a raconté à CNEWS.\n\nEmilie Gomis est marraine de la Sahraouiya, challenge 100% féminin et solidaire disputé à Dakhla, dans le sud du Maroc.\n\n\C'est le genre de chose que j'aime les challenges comme la Sahraouiya, dit-elle. En plus, dans un décor magnifique. Ça me sort un petit peu des terrains de basket. Et puis, on rencontre énormément de filles. C’est solidaire, féminin. Il y a le côté sportif mais surtout, avant tout, la solidarité entre femmes. On a eu quelques échanges donc c'est super sympa de partager ce moment-là.\\n\nEmilie Gomis fait donc partie des ambassadrices de Paris 2024.\n\n\Evidemment... dès que je peux placer les Jeux, n'importe où, je le fais. En tant qu’ambassadrice, c’est normal. Surtout à l’étranger, c’est une bonne chance de parler de cet événement qui va être historique et qui va se dérouler chez nous. Ce sera une grande fête en France et pour le monde entier. Lorsque je suis à l’étranger, comme pour ce raid au Maroc, c’est aussi l’occasion de partager un moment avec les expatriés mais aussi les locaux via une initiation sportive pour faire découvrir certains sports olympiques. Mais aussi d’avoir un échange.\\n\nPhoto : FFBB
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\Rose\, un spectacle en l'honneur d'une ancienne internationale des années 50
Régis Laroche a monté un spectacle en l'honneur d'une basketteuse internationale, Rose Guichard, intitulé tout simplement \Rose\.\n\nRose Guichard, dite Rosette, fut basketteuse avec ses quatre sœurs dans l'équipe de l'ASCEM Lyon, dans les années cinquante et elle a été sélectionnée à 7 reprises en équipe de France en 1958-59. Elle fut même distinguée de la médaille d'Argent de La Jeunesse et des Sports au début des années 90.\n\n\Comédien professionnel depuis presque trente ans, je joue actuellement tous les samedis à 19h au théâtre La Flèche, à Paris dans le 11ème, un petit spectacle de 50mn, écrit et interprété par mes soins, qui s'intitule \ROSE\. C'est seul en scène que je rends hommage à la vie de la sportive, mais aussi à celle de la femme forte qu'elle était. Elle nous a malheureusement quitté en janvier 2019,\ explique Régis Laroche.\n\nExtrait :\n\n\L’équipe est emmenée par Rose, la benjamine. Surnommée par ses proches Rosette. Ses qualités physiques sont indéniables : elle est grande et saute haut. Elle a du caractère. Elle est assez vite remarquée, et sélectionnée dans l’équipe du lyonnais dès l’âge de 17 ans. Dans son club, elle progresse rapidement, car très attentive aux conseils de son entraîneur. Elle fait donc partie du cinq majeur ; les cinq joueuses qui débutent la rencontre. Oui, pour rappel, le Basket-ball est un sport qui se joue à cinq contre cinq. En deux mi-temps de vingt minutes, à l’époque. On joue le plus souvent en plein air, sur un sol en terre battue. Le ballon, avant d’être celui qu’on connaît, est d’abord gonflé d’une vessie et cousu d’un lacet. Et l’argent n’a pas encore fait son entrée en jeu. Athlétique, Rose joue au centre. C’est elle qui s’engage au coup d’envoi. A l’entre-deux. Dans le rond central, l’arbitre lance le ballon dans les airs ; les deux adversaires s’élancent, et d’une touche de la main tentent de transmettre le ballon à leur équipe respective. Rose excelle dans cet exercice. Mais quelle détente ! (...) Très énergique en défense, Rose est adroite en attaque. Elle sait s’imposer et prendre ses responsabilités. Mais aussi se faire oublier quand il le faut. Elle porte le numéro 7, et restera le pivot de son équipe entre 1957 et 1961, face aux meilleures joueuses de l’Hexagone. A 18 ans, elle est reconnue par la presse nationale comme « un sérieux espoir ». Elle suscite naturellement l’intérêt des autres clubs. Mais toutes les propositions sont laissées à distance, trop attachée à ses couleurs, et surtout à ses sœurs.\\n\nAu théâtre de la Flèche, 77 rue de Charonne, Paris 11ème tous les samedis à 19h, jusqu'au 18 mars.\n\nVoir un extrait ICI.
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La phrase - Eric Girard, coach du Portel : \Sincèrement, je suis inquiet pour la suite\
Le coach du Portel, Eric Girard, a pesté contre l'arbitrage après l'élimination de son équipe en Coupe de France par Pau. Il a aussi manifesté des inquiétudes quant au maintien de son équipe en Betclic Elite.\n\nActuellement, l'ESSM possède une victoire de plus que le premier relégable, l'ADA Blois.\n\n« Sincèrement, je suis inquiet pour la suite. Quand on voit les clubs comme Pau et Fos qui recrutent des Américains qu’on ne peut pas se payer et qu’on nous refuse alors que Pau, par exemple, a des problèmes financiers, je pense que la fin de championnat va être plus compliquée que ce que l’on pensait. D’autant qu’on a des joueurs qui tombent un peu. J’espère que Zoran Nikolic ne va pas revenir rincé de ses matchs internationaux et que Noé Abouo va prendre un peu de confiance. »\n\nPhoto : Jacques Cormarèche
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Leaders Cup : Dijon ouvre le bal en maîtrisant Limoges
Ce vendredi après-midi en ouverture de la Leaders Cup, le tenant du titre dijonnais a sorti le Limoges CSP amputé de son coach Massimo Cancellieri, exclu dès le deuxième quart-temps (83-65).\n\nCela remonte à il y a trois ans mais la JDA Dijon est bien tenante du titre de la Leaders Cup. Et, à ce titre, elle compte bien défendre son trophée après une entrée en matière réussie. Dans une Arena de Saint-Chamond qui s’est remplie aux deux tiers au fil du match - comme il en est souvent de mise le vendredi -, l’équipe de Nenad Markovic s’est rendu le match facile contre le Limoges CSP.\n\nMalgré la belle entame des Limougeauds (4-12, 4e), la JDA Dijon a instantanément retourné la situation grâce à un 14-0 dès l’entrée en jeu de l’international slovène Gregor Hrovat, 14 points à 100% aux tirs et 4 interceptions en à peine... 5 minutes ! La tendance du premier acte s’est confirmée sur la suite de la rencontre, d’autant plus après l’exclusion du coach limougeaud Massimo Cancellieri, sanctionné d’une disqualifiante après deux fautes techniques en réaction à une succession de coups de sifflets contre son équipe.\n\n\n\n\n\n\n\n\nGregor Hrovat en feu, David Holston économisé\n\nTrop indiscipliné à l’image de Bryce Jones, auteur de 6 des 13 pertes de balles limougeaudes à la pause, le CSP a fait la course derrière (48-34 à la mi-temps). Rapidement privé de Nicolas Lang (4 fautes), son meilleur marqueur de la première période (13 points), Limoges n’a pas fait mieux qu’un rapproché à 10 points en deuxième mi-temps (53-43, 27e).\n\n\n\nSur sa plus mauvaise passe depuis le début de la saison, le CSP concède ainsi sa neuvième défaite en onze matches. En revanche, tous les voyants sont au vert pour la JDA Dijon, en pleine maîtrise à l’image d’un excellent Gregor Hrovat (23 points à 7/11 aux tirs, 5 rebonds, 4 passes, 4 interceptions pour 27 d’évaluation en 26 minutes). En gestion, l’équipe dijonnaise a même pu économiser son meneur de poche David Holston, de retour d’une blessure au doigt, qui avait débuté sur le banc (13 points, 7 passes décisives en 22 minutes).\n\n\nMonaco ou Bourg-en-Bresse en demi-finale\n\nSamedi à 18h30, la JDA Dijon affrontera le vainqueur du prochain quart de finale entre Monaco et Bourg-en-Bresse (entre-deux à 15h30, à suivre sur LNB TV). Les deux autres quarts auront lieu à 18h30 et 21h.\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652765/leaders-cup-jonathan-rousselle-apres-la-qualification-de-dijon-gregor-hrovat-a-montre-lexemple/\n\nBoxscore Dijon - Limoges / Calendrier Leaders Cup\n\nPhoto : Jonathan Rousselle - JDA Dijon (LNB - Hervé Bellenger)
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Le fils de Predrag Stojakovic va jouer pour la Grèce
Predrag Stojakovic est né sur ce qui est aujourd'hui le territoire de la Croatie, mais il est Serbe et il a joué pour la Yougoslavie. Seulement son fils Andrej va porter le maillot de l'équipe de Grèce.\n\nPredrag Stojakovic, 45 ans aujourd'hui, shooteur émérite, a été champion NBA avec Dallas en 2011, et champion d'Europe avec la Yougoslavie en 2001 puis champion du Monde, à Indianapolis, l'année suivante. Les Serbes espéraient que son fils Andrej, 2,01 m, né en 2004, fasse de même avec eux, mais il a choisi d'opter pour la Grèce. Rien de surprenant. Andrej est né à Salonique, sa mère est grecque et son père, qui a joué quatre saisons au PAOK, possède lui-même le passeport grec.\n\nAndrej joue actuellement pour un lycée de Sacramento, a choisi de poursuivre ses études à Stanford l'année prochaine, et il vient d'être invité à un tournoi rassemblant quelques uns des meilleurs lycéens du pays.\n\n\L'année dernière à cette époque, je n'y ai même pas pensé. J'ai hâte d'être sur le terrain, de représenter Sacramento et la Grèce. Je suis très excité\, a t-il déclaré.
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Euroleague : Mike James et Mathias Lessort nominés au trophée de MVP de la saison
Mike James (Monaco) et Mathias Lessort (Partizan Belgrade) font partie des sept candidats au trophée de MVP de la saison d'Euroleague 2022-23.\n\nLes cinq autres sont Vasilije Micic (Anadolu Efes), Johnathan Motley (Fenerbahçe), Kostas Sloukas (Olympiakos), Walter Tavares (Real Madrid) et Sasha Vezenkov (Olympiakos). Le détenteur du trophée est Nikola Mirotic (Barcelone).\n\n\Nikola Mirotic a été élu MVP de l'EuroLeague en 2022, mais James était l'un des principaux prétendants au trophée après avoir mené Monaco aux playoffs lors de sa toute première saison dans la compétition, écrit le site de l'Euroleague. Le vétéran de neuf saisons de l'Euroleague est le joueur incontournable de Monaco et le leader sur le terrain, et il a contribué à le guider à la quatrième place du classement avec un record de 15-9. James, qui a été nommé MVP du mois d'octobre, affiche une moyenne de 17,3 points, 3,6 rebonds, 4,8 passes décisives, 1,2 interception et un PIR (évaluation) de 18,0, car il fait un peu de tout pour une équipe avec de grandes ambitions. Monaco n'est qu'à deux matchs du leader de l'Euroleague, l'Olympiakos, donc de grosses performances de James dans la dernière ligne droite pourraient l'aider à monter encore plus haut dans le classement.\\n\nEt à propos de Mathias Lessort :\n\n\Peut-être que l'un des nominés surprises pour être dans la course au MVP est Lessort, qui joue dans sa quatrième saison dans la compétition et a représenté un club différent dans chacune de ces campagnes. Le centre du Partizan connaît sa meilleure saison à ce jour dans la première compétition de basket-ball interclubs d'Europe, avec une moyenne de 12,8 points, 7,2 rebonds, le deuxième total le plus élevé de l'EurlLeague et le deuxième PIR moyen le plus élevé avec 20,1. Lessort a été une menace pour les big men de l'opposition tout au long de la saison, et il est l'une des principales raisons pour lesquelles le Partizan se retrouve en playoffs. Si Lessort devait terminer la saison en force, il pourrait voir son cas de MVP gagner encore plus de soutien.\\n\nPhoto : Mathias Lessort (Euroleague)
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L'auteur présumé des propos racistes à l'encontre de Loïc Akono sera jugé en juillet
L'auteur présumé de propos racistes ayant visé en janvier Loïc Akono, lors du match de Nationale 2, Charleville-Mézières vs Metz, sera jugé le 3 juillet.\n\n« Le mis en cause, âgé de 73 ans, a été entendu en audition libre et a reconnu avoir employé le terme bonobo (un singe de la famille des chimpanzés)», a écrit dans un communiqué la procureure, Magali Josse. Il est convoqué devant la justice pour «injure publique en raison de l'origine, l'ethnie, la nation, la race ou la religion» et «provocation à la haine lors d'une manifestation sportive. Il encourt une peine d'un an d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende, outre la peine complémentaire d'interdiction de pénétrer dans une enceinte sportive pendant une durée de cinq ans».\n\nUne réunion de la commission de discipline de la FFBB se tiendra à Paris le 22 février à laquelle le club de Metz sera associé.\n\nPhoto : Loïc Akono (Canonniers Metz)
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Leaders Cup : Bourg s'offre un formidable exploit en sortant Monaco !
Triple vainqueur de l'épreuve, leader du championnat de France, candidate affirmée au Final Four de l'Euroleague, l'AS Monaco a été éliminée de l'édition 2023 dès les quarts de finale par la JL Bourg (92-102).\n\nNe croyez pas que la Roca Team a fait l'impasse sur le tournoi. La bataille a été acharnée et les Monégasques sont tombés sur des Burgiens coriaces, tous impliqués, beaucoup plus collectifs, très adroits à trois-points (13-26), et qui ont réédité leur performance du 12 février à Ekinox. Comme trop souvent l'AS Monaco a survécu et est morte par Mike James qui a pété les plombs en fin de match.\n\n\nUne zone embrouille Monaco\n\nLa JL Bourg s'est tout de suite imposée au score (2-7) avec une zone, une solide défense intérieure autour de Amida Brimah, un tempo qui a déréglé les Monégasques, à l'image de ce airball de Mike James. De l'autre côté du terrain, l'attaque bressane était variée, ce qui explique la demi-douzaine de points d'avance quelques secondes avant la fin du premier quart-temps.\n\n\n\nPour donner de la vigueur à son équipe, le coach Sasa Obradovic plaçait un temps ensemble Mike James, Elie Okobo, et Matthew Strazel auteur d'un 3+1 heureux, mais ce sont surtout les rebonds offensifs (12 à 5), notamment de Chima Moneke (5), le meilleur Monégasque du match, qui pesaient lourds dans la balance. Ainsi, Monaco menait temporairement (38-34, 17e), mais pas de quoi affoler les hommes de Freddy Fauthoux, qui alternaient les défenses, faisaient preuve de patience en attaque et bénéficiaient des actions de classe de l'ailier James Palmer Jr (13 points soit 1 par minute). C'est ainsi que la JL s'octroyait une avance substantiel, vu le contexte du match, de 7 points (43-50) à la mi-temps.\n\n\n\nA 43-53, Monaco mettait enfin plus d'intensité mais avec peu d'effets. Mike James ratait beaucoup d'actions mais ça ne l'empêchait pas de persévérer, parfois avec bonheur, parfois pas. La Roca Team ratait aussi pas mal de lancers-francs (23/38 aux final) alors que Bourg pouvait compter sur un esprit de groupe, un jeu plus construit, et l'hyper rapide Jordan Floyd (15 points). 66-72 après trois quarts-temps.\n\nLa JL était sur un nuage, à l'image de Frantz Massénat (4/7 à trois-points), et elle menait 77-85 à 5 minutes de la fin. A Monaco, tout passait par Mike James jusqu'à l'excès. Malgré tout les Monégasques sont revenus peu à peu pour passer en tête à 1'50 du buzzer (89-88). C'est alors que Mike James s'est vu siffler sa 5e faute pour un passage en force, il n'a pas apprécié, il a écopé d'une technique en bonus, et cette fois Bourg avait définitivement sa qualification méritée en poche. Dépasser le cap des 100 points face à Monaco, c'est un exploit !\n\nSamedi à 18h30, la JL Bourg rencontrera en demi-finale le tenant du titre, la JDA Dijon, tombeur de Limoges en début d'après-midi.\n\nBoxscore Bourg - Monaco / Calendrier Leaders Cup\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652778/axel-julien-apres-lexploit-de-bourg-contre-monaco-cetait-une-etape-il-y-en-aura-une-autre-contre-dijon/ https://www.basketeurope.com/livenews-fr/652804/sasa-obradovic-apres-lelimination-de-monaco-en-leaders-cup-cest-inacceptable/\n\nPhoto : JL Bourg (LNB - Bellenger/Morillon)
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Leaders Cup - Jonathan Rousselle après Dijon-Limoges : «Gregor Hrovat a montré l’exemple»
Solide vainqueur de Limoges dans le premier quart de finale de la Leaders Cup 2023 (83-65), la JDA Dijon a pu compter sur un excellent Gregor Hrovat (23 points, 4 interceptions).\n\nA l’heure de la sieste, les Dijonnais ont mis quelques minutes à rentrer dans leur quart de finale de la Leaders Cup contre Limoges. Après une entame ratée (4-12, 4e), la JDA a retourné la situation grâce à un 14-0 à l’entrée en jeu de Gregor Hrovat, 14 points à 100% aux tirs et 4 interceptions en à peine... 5 minutes !\n\n« Gregor (Hrovat) a été notre détonateur. Son entrée a tout changé en première mi-temps. Il nous a donné du rythme, il a montré l’exemple, il a volé des ballons. Il nous a redonné de la confiance alors qu’on avait très mal démarré. On peut lui tirer une fière chandelle, a loué son coéquipier Jonathan Rousselle. Dans notre équipe, tous les joueurs peuvent sortir de leur boîte. On a des leaders bien identifiés mais derrière, tout le monde peut apporter sur un match bien défini. Aujourd’hui, c’est lui, demain, ça peut être quelqu’un d’autre. »\n\n\n\n\n« Gregor Hrovat nous a donné de la confiance »\n\nLittéralement partout sur le terrain, l’international slovène termine à 23 points à 7/11 aux tirs, 5 rebonds, 4 passes, 4 interceptions pour 27 d’évaluation en 26 minutes. En conférence de presse, son coach Nenad Markovic l’a logiquement qualifié de « game changer ».\n\n« On a débuté le match très lentement, avec un manque de concentration des deux côtés du terrain. Les entrées en jeu de Jacques Alingue et Gregor Hrovat ont tout changé. On s’est ajustés. On a été plus agressifs sur la ligne de passe et Gregor Hrovat a fait un super travail en interceptant 3 ballons de suite. Il nous a donné de la confiance, c’est comme cela qu’on a réussi à maintenir Bryce Jones à 2 points à la mi-temps. »\n\n\n\n\n\n\n\nJoueur de collectif, l’intéressé a joué la carte du joueur performant dans un collectif performant. « Pour battre Limoges, il faut être fort en défense. Quand on a réussi à imposer notre rythme en défense, on s’est rendu le match facile. J’ai marqué beaucoup de points sur contre-attaque, mais c’est grâce à notre défense en tant qu’équipe. Avec les retours de blessure, on redevient une équipe dangereuse. »\n\nLe tenant du titre dijonnais peut désormais attendre son adversaire en demi-finale (Monaco ou Bourg-en-Bresse) avec de la confiance « On n’a pas trop tiré sur les cadres, les blessés reviennent, c’est idéal pour la suite. S’il y avait un scénario à choisir, ce serait celui-ci », a confié tout sourire Jonathan Rousselle.\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652727/leaders-cup-dijon-ouvre-le-bal-en-maitrisant-limoges/\n\nPhoto : Gregor Hrovat (Hervé Bellenger - LNB)
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Axel Julien après l’exploit de Bourg contre Monaco : «C’était une étape, il y en aura une autre contre Dijon»
Sensation à Saint-Chamond ! Ce vendredi après-midi, la JL Bourg a réalisé l’exploit de sortir l’AS Monaco dès les quarts de finale de la Leaders Cup (92-102). L’équipe de Fred Fauthoux s’offrira un derby à Dijon pour une place en finale de l'édition 2023. Réactions.\n\nFred Fauthoux, coach de la JL Bourg : « Je pense que tous les joueurs ont joué leur meilleur match de la saison, je ne pourrais pas en sortir un. Ils sont tous rentrés en jeu et ils ont tous apporté. C’est ce que l’on fait depuis le début de saison, on a une équipe homogène. Les responsabilités et le temps de jeu sont répartis. Le défi physique proposé par Monaco a été très relevé mais on n’a pas reculé. Je dirais que c’est même la première fois de l’année où l’on a réussi. C’est une grosse performance : Monaco était l’archi-favori, avec l’équipe type. Maintenant, il ne faudra pas penser qu’on devient l’archi-favori à notre tour. On verra comment on récupère demain mais cette victoire est de bon augure. »\n\nAxel Julien, meneur de la JL Bourg : « On a fait un super match. Ils ont eu du mal à contrôler notre jeu de passe, ils se sont adaptés en allant provoquer des fautes, il fallait tenir les un-contre-un. On a été intelligents à la fin pour tenir le résultat. On a été solides, il y a eu des coups de sifflet des deux côtés donc celle-là, on peut la garder pour nous. Maintenant, l’histoire de la Leaders Cup, c’est trois matches et pas un seul, malheureusement. Pour soulever le trophée, il faut forcément battre des gros. C’était une étape, il y en aura une autre demain contre Dijon. C’est beau car ce sera David (Holston) et Abdou (Loum) contre (Alexandre) Chass et moi. Il y en aura au moins deux qui défendront leur titre cette année. C’est bien que David soit là demain parce que l’histoire aurait été moins belle comme ça, même s’il va nous faire mal. »\n\n\n\n\n\n\n\nAlex Chassang, intérieur de la JL Bourg : « Cette victoire fait du bien ! Elle montre ce qu’on fait de mieux depuis deux semaines. On est sur une excellente dynamique, on a été très sérieux encore aujourd’hui. Il n’y a pas d’état d’âme, tout le monde joue les uns pour les autres, les onze joueurs ont apporté ce soir. On fait des fautes quand il faut les faire, tout le monde joue dur. On a encore des lacunes, bien sûr, mais au moins tout le monde joue se donne et on n’a pas de regrets à la fin. A nous de bien se reposer pour demain contre Dijon. Ils se sont rendus un match facile cet après-midi, ils arriveront peut-être un peu plus frais que nous. Ça va être une belle bataille. Et affronter Dijon en Leaders Cup, ça sera forcément particulier pour Axel et moi (sourire). »\n\nHugo Benitez, meneur de la JL Bourg : « On mérite la victoire. On a été devant tout le long, parfois avec des vrais écarts. Personne n’avait gagné deux fois contre Monaco, on n’avait pas besoin d’extra-motivation. On savait qu’on était les outsiders. Une saison est faite de hauts et de bas, on est resté tous ensemble. Battre deux fois Monaco, ce n’est pas anodin. Mais il faudra confirmer, car si on perd demain, ça ne servira à rien. Dijon est une grosse équipe, il ne va pas falloir se relâcher et penser que ça va être plus facile. Il nous reste deux matchs pour un trophée. Je n’ai jamais gagné un titre au niveau pro, j’ai vraiment envie de marquer le coup. »\n\n\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652804/sasa-obradovic-apres-lelimination-de-monaco-en-leaders-cup-cest-inacceptable/\n\nPhoto : Axel Julien (LNB)
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TaShawn Thomas en renfort à Boulogne-Levallois
Les Metropolitans 92 font appel à l'intérieur américain TaShawn Thomas (2,03 m, 29 ans) vu la saison dernière au Mans.\n\nTaShawn Thomas a joué trois saisons en NCAA avec les Houston Cougars (2011-2014). Après une saison en Allemagne et une autre en Italie, il a enchainé quatre saisons en Israël avec des clubs de la Champions League. TaShawn Thomas a alors tourné à 14,7 points et 6,1 rebonds pour 19,8 d’évaluation en BCL.\n\nIl a joué au Mans lors de la saison 2021-22 où il fut considéré comme faisant partie du top 5 du championnat avant de voir ses productions s'effilocher en fin de saison. La saison 2022-2023 avec Perth (Australie) s’est conclue ce 12 février avec une défaite en play-in face à Cairns, ce qui lui permet de rejoindre les Mets 92.\n\nPhoto : FIBA
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Sasa Obradovic après l’élimination de Monaco en Leaders Cup : «C’est inacceptable»
Grande favorite de la Leaders Cup, l’AS Monaco est tombée dès les quarts de finale contre la JL Bourg (92-102). La déception est grande pour le coach monégasque Sasa Obradovic et son joueur Chima Moneke en conférence de presse. Réactions.\n\nSasa Obradovic, coach de l’AS Monaco : « La meilleure équipe va en demi-finale. Et pourquoi ont-ils été meilleurs ? C’est ça la question. Vous avez dit que nous étions trop forts pour ce championnat mais vous voyez bien que non. Pour tout, cette équipe doit se battre à 100%, et on ne l’a pas fait dès la première possession. Tout le monde doit assumer ses responsabilités, moi le premier. Mais il faut souligner le grand match de la JL Bourg : dès que l’on revenait, ils trouvaient une façon de marquer, parfois de manière complètement inattendue. Notre approche a été mauvaise. La JL a beaucoup de qualités, à commencer par un gros collectif. Ils jouent tous l’un pour l’autre. On a mal réagi face à certaines situations frustrantes, on ne doit pas sur réagir sur des problèmes d’arbitrage. Les arbitres ont fait des erreurs des deux côtés mais où était notre concentration ? Sur les coups de sifflets ou sur la prochaine action ? 100 points encaissés, pour un prétendant aux playoffs de l’Euroleague, c’est beaucoup trop... On était peut-être à la limite de nos fatigues physiques et mentales. Il faut que l’on analyse ce qui s’est passé et qu’on reparte de l’avant. Aujourd’hui, c’était inacceptable. Et la sortie de Mike James ? No comment. »\n\n\n\nChima Moneke, intérieur de l’AS Monaco : « C’est très décevant. Encaisser 102 points dans le jeu européen, c’est problématique. Il faut que l’on joue avec plus de fierté d’un point de vue défensif. Si l’on a perdu, c’est uniquement de notre faute. On a raté des lay-ups, des lancers-francs, on a vraiment fait des choses stupides. C’est inacceptable, l’écart final ne reflète pas le scénario. De perdre par dix points alors qu’on menait à deux minutes de la fin, c’est un manque de discipline chez nous. Mais on ne mérite pas de gagner. »\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652778/axel-julien-apres-lexploit-de-bourg-contre-monaco-cetait-une-etape-il-y-en-aura-une-autre-contre-dijon/\n\nPhoto : Mike James (LNB)
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EuroBasket féminin : Le programme de préparation des Bleues
Qualifiée pour l’EuroBasket 2023, l’Équipe de France féminine connaît désormais son programme de préparation estival.\n\nLes Bleues débuteront leur préparation estivale à l’INSEP (Paris), du lundi 15 au vendredi 19 mai ; un stage auquel ne participeront pas les joueuses disputant la finale du championnat de Ligue Féminine (matches prévus les 17 et 20 mai, et belle éventuelle le 22 mai).\n\nL’ensemble du Groupe France se retrouvera ensuite à partir du mercredi 24 mai à l’INSEP et prendra ensuite la direction de Toulouse pour poursuivre sa préparation, et affronter la Serbie (championne d’Europe en titre) le lundi 29 mai 2023 à 18h00 au Palais des Sports André Brouat (4200 places). Les joueuses de Jean-Aimé Toupane resteront dans le Sud-Ouest et poursuivront leur préparation à Mont de Marsan, où elles affronteront à deux reprises la Chine (vice-championne du Monde l’été dernier à Sydney) le vendredi 2 juin (19h30) et le samedi 3 juin (19h30), à l’Espace François Mitterrand (2500 places).\n\nEnfin, les Tricolores termineront leur préparation à l’Euro par un dernier stage à Bourg-en-Bresse, et une ultime rencontre face à la Grande-Bretagne à Ekinox (3500 places), le samedi 10 juin 2023 à 20h00.\n\nInfos billetterie\n\nLes billetteries ouvriront dans le courant du mois de mars. Pour être informé de l’ouverture de chaque billetterie, il est possible de s’inscrire à l’alerting en ligne sur http://billetterie.ffbb.com\n\nTirage au sort de l’EuroBasket Women 2023\n\nL’EuroBasket Women 2023 se déroulera du 15 au 25 juin 2023 à Ljubljana en Slovénie (phase de poule et phase finale) et à Tel-Aviv en Israël (phase de poule). Le tirage au sort aura lieu le mercredi 8 mars.\n\nPhoto : Alexia Chartereau (FIBA)
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Leaders Cup : Le Mans résiste au retour de Cholet et file en demi-finale
Vendredi en début de soirée, Le Mans s’est fait une place dans le dernier carré de la Leaders Cup en résistant au retour de Cholet (77-84). Les Sarthois affronteront samedi le vainqueur d’ASVEL - Boulogne-Levallois (entre-deux à 21h).\n\nIl y a moins de deux semaines, Le Mans faisait tomber le voisin choletais à la Meilleraie par vingt points d’écart. Vendredi, en quart de finale de la Leaders Cup, le scénario d’un nouveau succès fleuve des hommes d’Elric Delord, avec seulement 7 pros en l’absence de Williams Narace, Tres Tinkle et Josh Carlton, se dessinait dans une première mi-temps à sens unique (34-49).\n\n\n\nNéanmoins, CB a fini par justifier sa place sur le podium de Betclic Elite en initiant un retour et comblant les 20 points d’écart du début du deuxième quart-temps (17-37, 14e), jusqu’à passer devant à l’entrée du moneytime (68-67, 33e). Mais Cholet a laissé des plumes dans la bataille et s’est à nouveau fait distancer dans les ultimes minutes (77-84).\n\n\nLe duo Valentin Chery - Terry Tarpey plus fort que le retour de CB\n\nTouché par les blessures, notamment dans le secteur intérieur, Le Mans a pu compter sur un Valentin Chery en grande forme (14 points, 8 rebonds, 3 interceptions pour 23 d’évaluation en 30 minutes). Plus que précieux en défense, Terry Tarpey termine lui à 17 points à 4/11 aux tirs, 7 rebonds, 2 interceptions et 2 contres pour 23 d’évaluation en 28 minutes. À noter que les deux jeunes intérieurs manceaux Raphael Djasrambaye (7 points, 2 rebonds en 16 minutes) et Mathias Van Den Beemt ont été importants en sortie de banc.\n\n\n\nSi Boris Dallo a surnagé (20 points, 6 rebonds, 4 passes décisives, 2 interceptions pour 25 d’évaluation en 33 minutes), il fut bien le seul côté choletais. Dominic Artis a été moins précis que d’habitude (14 points mais 6/18 aux tirs dont 0/6 derrière l'arc), tandis que l’équipe de Laurent Vila a concédé 15 pertes de balles en première mi-temps. Un point faible corrigé en deuxième (3 seulement), mais trop tard.\n\nSamedi à 21h, Le Mans affrontera le vainqueur du dernier quart de finale entre l’ASVEL et les Metropolitans 92 (entre-deux à 21h sur La Chaine L’Equipe). L’autre demi-finale opposera Dijon, vainqueur de Limoges, à Bourg-en-Bresse, sensation de la journée avec son exploit sur Monaco.\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nBoxscore Cholet - Le Mans / Calendrier Leaders Cup\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Terry Tarpey (Hervé Bellenger - LNB)
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Qualif. Coupe du Monde : Loïc Schwartz (Saint-Quentin) dans la sélection belge
15 joueurs ont été sélectionnés pour affronter la Grande-Bretagne le 24 février Newcastle et la Turquie le lundi 27 février à Mons, en matchs de qualification de la Coupe du monde 2023.\n\nParmi eux, on trouve l'arrière de Saint-Quentin Loïc Schwartz (7,2 points et 3,0 passes en Pro B). Pour le match en Grande-Bretagne la semaine prochaine, Retin Obasohan (ASVEL) et Ismael Bako (Virtus Bologne) ne seront pas disponibles en raison des rencontres de leurs clubs en Euroleague. Mais, en cas de victoire des Belgian Lions à Newcastle, les deux joueurs rejoindront le groupe pour le match contre la Turquie.\n\nPour que les Belges se qualifient, il faut 1-gagner les deux matches, 2- que la Serbie perdent deux fois, en Grèce et à domicile contre la Grande-Bretagne, ce qui parait peu probable.\n\nLes 15 Belgian Lions : Vrenz Bleijenbergh (Ostende), Haris Bratanovic (Ostende), Thijs De Ridder (Anvers), Vincent Kesteloot (Heidelberg/All), Manu Lecomte (Buducnost Podgorica/Mnt), Siebe Ledegen (Alost), Alex Libert (Charleroi), Jean-Marc Mwema (Anvers), Xander Pintelon (Ostende), Roby Rogiers (Anvers), Milan Samardzic (Charleroi), Loïc Schwartz (Saint-Quentin/Fra), Jonathan Tabu (Cantu/Ita), Kevin Tumba (Liège), Thibault Vanderhaegen (Louvain).\n\nPhoto : Loïc Schwartz (FIBA)
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Leaders Cup : L'ASVEL vient à bout de Victor Wembanyama
29 points, 16 rebonds, 3 contres - et aussi 5 balles perdues. Le public de la Leaders Cup a vu le meilleur de Victor Wembanyama, un Wemby parfois bionique, mais ça sera la seule fois du week-end. Les Metropolitans 92 ont bien résisté à l'ASVEL mais n'ont pas tenu la distance (65-72).\n\nIncomplète et notamment toujours orpheline de son talentueux meneur Tremont Waters, et en attente de l'intégration de TaShawn Thomas qu'elle vient de recruter, l'équipe de Vincent Collet a manqué de ressources pour contredire un pronostic qui lui était très défavorable. Ainsi DeVante Jones a joué 37 minutes à la mène avant d'abdiquer sur une 5e faute. On dira que Villeurbanne a fait le job, mais sans briller, sinon le trio Nando De Colo (18 points et 5 passes), Dee Bost (11 points, 17 d'évaluation) et Alex Tyus (13 rebonds).\n\nSes fans ont été ravis : Wemby a marqué les quatre premiers paniers et -un lancer-franc- des Mets. De plus, l'autre géant d'en face de même taille, Youssoupha Fall, écopait de 2 fautes en 2 minutes. Seulement, il est vite apparu que l'effectif villeurbannais était plus riche et l'ASVEL avait déjà 10 points d'avance (16-6) en un peu plus de quatre minutes. Les 7 balles perdues des Mets en un quart-temps avait de quoi chagriner Coach Collet.\n\n\n\n\nWemby et les autres\n\nNando De Colo (10 points sur ses 11 premières minutes de jeu) était tout en maîtrise et le Nordiste faisait don d'une passe sublime dans le dos à Youssoupha Fall qui n'avait plus qu'à dunker. Juste après, on avait droit à une action magistrale de Zaccharie Risacher. Le tout accordait un avantage déjà conséquent à l'ASVEL 34-20. Si l'ASVEL n'avait que 11 points d'avance (43-32) à la mi-temps, c'est qu'elle ne faisait pas toujours preuve de rigueur. Ceci dit, les Mets manquaient de solutions offensives. Wemby avait marqué 15 points -et pris 6 rebonds- mais donc l'ensemble de ses équipiers 17 seulement. \On arrive à peine à mettre en place les systèmes. On va essayer de trouver d'autres solutions mais ce n'est pas facile,\ commenta Vincent Collet au micro de La Chaîne L'Equipe.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nVictor Wembanyama marquait son premier trois-points, et si par deux fois il se faisait manipuler par Youssoupha Fall en poste bas, ce sont ses prouesses qui maintenaient les Mets à flots. 46-52 à mi-chemin du troisième quart-temps. L'ASVEL ne parvenait pas à se mettre à l'abri, au point d'être taquinée au score à la 30e minute (55-57), alors que Wemby était déjà en double double (27 points et 11 rebonds pour 30 d'évaluation).\n\n\n\nA 7'29, Youssoupha Fall commettait sa 5e faute, mais sur l'action d'après Wembayama était victime d'une béquille qui l'obligeait à rejoindre le banc. Et le temps qu'il revienne en jeu, l'ASVEL avait passé un 5-0 pour mener 57-65. Ce fut une cassure dans le momentum des banlieusards parisiens qui voyaient leurs adversaires s'échapper. En définitive, Villeurbanne n'a jamais pris ses aises dans ce match, mais mais Boulogne-Levallois n'est jamais passé devant.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652929/vincent-collet-boulogne-levallois-on-a-ete-pour-le-moins-valeureux-presque-heroiques/\n\nPROGRAMME & RÉSULTATS\n\nVendredi 17 février :\n\n * JDA Dijon – Limoges CSP : 83 - 65\n * AS Monaco Basket – JL Bourg-en-Bresse : 92 - 102\n * Cholet Basket – Le Mans Sarthe Basket : 77-84\n * Boulogne-Levallois Metropolitans 92 – LDLC ASVEL : 65-72\n\nSamedi 18 février :\n\n * JDA Dijon - JL Bourg-en-Bresse : 18h30, à St Chamond - L'Equipe Live\n * Le Mans SB - LDLC ASVEL : 21h00, à St Chamond - La chaîne L'Equipe\n\nDimanche 19 février :\n\n * Finale PRO B : Angers - Boulazac - 16h00, à St Chamond - L'Equipe Live\n * Finale Betclic ÉLITE : 18h30, à St Chamond - La chaîne L'Equipe\n\nBoxscore ASVEL - Boulogne-Levallois / Calendrier Leaders Cup\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Léo Morillon - LNB)
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Kim Tillie (Cholet) : «Peut-être qu’on a un peu sous-estimé Le Mans»
Vendredi en début de soirée, Le Mans a résisté à Cholet pour atteindre le dernier carré de la Leaders Cup (77-84). Les Sarthois affronteront samedi le vainqueur d’ASVEL – Boulogne-Levallois, les Choletais rentrent eux à la maison avec de la déception. Réactions.\n\nKim Tillie, ailier-fort de Cholet : « Le réveil a été trop tardif. On s’est bien battus pour revenir au score. Mais c’était trop compliqué après s’être tellement mis en difficulté au début. Le MSB était vraiment en confiance, comme s’ils ne rataient pas un shoot du premier quart-temps. On a subi leur sorte de press : on s’est retrouvé à faire des systèmes courts, on s’est précipités, on n’a pas pris des bons shoots. C’était la copie conforme du match d’il y a quinze jours mais malgré tout, on n’a pas lâché, on revient de -20 à +1. Dans le dernier quart-temps, on reprend des tirs précipités, on fait des fautes, on rate des rebonds offensifs. C’est dommage, il nous manquait un peu de combativité. C’est un objectif raté, on a encore trois : la Coupe de France, d’abord, puis les playoffs de la FIBA Europe Cup et le championnat. Il va falloir retenir les leçons et que l’on soit plus sérieux. Peut-être qu’on a un peu sous-estimé le MSB, on a lu les articles comme quoi ils n’étaient pas au complet. Peut-être qu’on a cru que cela allait être facile...”\n\nLaurent Vila, coach de Cholet : « Bien qu’on ait travaillé en conséquence sur le match d’il y a quinze jours, on a traversé la même première période. C’est incompréhensible, et très décevant. En première mi-temps, je ne reconnaissais pas des gars qui avaient envie de prendre leur revanche sur Le Mans et de passer en demi-finale. On revient bien ensuite mais par moments, on était livides. Certains n’ont pas encore saisi les efforts qu’il faut faire sur l’ensemble du match. Tout le monde est déçu. Comme on a d’autres objectifs à venir, que l’on peut continuer à espérer, ce sera une leçon, encore une fois, et il ne faudra pas que ça se reproduise. Les rencontres comme cela, on n’a qu’une chance ! On l’a donné au Mans et même eux, ils ne devaient pas y croire avant. C’est un match qu’on ne doit jamais perdre ! »\n\n\n\n\n\n\n\nValentin Chery, MVP du match (Le Mans) : « On savait que ça allait être difficile. Même avec les blessés, il fallait aborder ce match fort physiquement. Quand Cholet repasse devant, on devait juste rester concentré et continuer à faire ce qui nous avait réussi en première mi-temps. On a remis notre tempo en place et c’est pour ça qu’on a réussi à reprendre les commandes. On n’est pas venu ici pour rien. On sait qu’on peut le faire ! On l’a fait à Nancy, encore aujourd’hui, il faudra bien récupérer pour demain. Mais sur le terrain, c’est cinq contre cinq. »\n\nElric Delord, coach du Mans : « On n’avait plus qu’un seul intérieur pro, Valentin Chery. Dans cette situation, on n’avait rien à perdre. Sans trois joueurs majeurs, c’est héroïque d’être capable de gagner ce match-là. On n’avait pas de pression : une défaite aurait été normale et une victoire aurait été fantastique. On jouait plus petit, avec Terry (Tarpey) et Abdou (Ndoye) comme poste 4, et on a fait du tout terrain pendant 40 minutes. On était obligé de les pousser, pour qu’ils perdent du temps à remonter le terrain, histoire qu’ils n’aient que 10-12 secondes à attaquer. Ça nous a coûté beaucoup d’énergie, on avait le capot qui fume à la fin de la première mi-temps et on a plié mais pas rompu. On peut espérer un retour pour Josh Carlton et Tres Tinkle demain. Ils évoluent très bien. En revanche, pour Williams Narace, c’est mort. Aussi à 99% pour Kaza Kajami-Keane, qui devrait être off. »\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/652841/leaders-cup-le-mans-resiste-au-retour-de-cholet-et-se-qualifie-en-demi-finale/\n\nPhoto : Kim Tillie (Hervé Bellenger - LNB)
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Vincent Collet (Boulogne-Levallois) : «On a été pour le moins valeureux, presque héroïques»
Vendredi soir, l’ASVEL a rejoint Le Mans dans le dernier carré de la Leaders Cup en dominant Boulogne-Levallois (65-72). Diminués, les Metropolitans 92 quittent la compétition prématurément, comme l’avait prédit leur coach Vincent Collet, mais la tête haute. Réactions.\n\nVincent Collet, coach de Boulogne-Levallois : « On a été pour le moins valeureux, presque héroïques. On a vraiment tout donné, on s’est accroché. J’aurais bien aimé que la faute sur Victor soit sifflée et que ça aille vite à sa sortie, car ça n’a pas duré longtemps mais on a pris un écart quand il s’est fait soigner. J’aurais bien aimé voir jusqu’où on aurait pu aller.\n\nEn tout cas, est-ce qu’on aurait pu reproduire ce genre de performance ? Il aurait fallu recommencer demain contre une équipe aussi forte. Ce qui nous est arrivé n’est pas dramatique au vu des circonstances (NDLR : les Metropolitans 92 jouaient à cinq joueurs professionnels ce soir). Il nous aurait au moins fallu une rotation extérieure de plus pour tenir un peu plus la balle. On était mieux organisés en deuxième mi-temps mais on a trop souffert en début de match. Tout le monde a contribué, mais on paie le prix au final.\n\nOn a pu le faire aussi car on a eu une tête de proue exceptionnelle (Victor Wembanyama termine à 29 points à 10/23 aux tirs, 16 rebonds et 3 contres), même s’il manque quelques petites choses à la fin. Avant ça, il a joué comme un joueur d’exception. C’est aussi pour cela qu’on pouvait être si prêts à quelques minutes de la fin. Victor a tenu l’équipe en étant meilleur que ces dernières semaines. Il a été plus juste dans ses décisions offensives. Et en défense, il prend 16 rebonds avec autorité contre une équipe qui a quand même de beaux athlètes.\n\nLa bonne nouvelle, c’est qu’on va récupérer des joueurs après la trêve. On va récupérer Tremont Waters, Armel Traoré et on a signé un nouveau joueur (TaShawn Thomas). On aura une équipe plus proche de ce qu’on avait en début de saison. En ce qui concerne Tashawn Thomas, c’est un profil qu’on connait, qui peut jouer sur deux postes, qui est expérimenté et qui a un registre de passe qui nous intéresse. Je pense qu’il pourra aider à servir un peu plus Victor. C’est un profil qui va nous donner des options. Il sera là après le break. »\n\n\n\nBilal Coulibaly, arrière de Boulogne-Levallois : « On n’est pas passé loin de la victoire. On aurait aimé la chercher mais la fatigue et le manque de lucidité ont beaucoup joué. Nous sommes quand même fiers de notre match, le coach aussi. On avait vraiment envie de gagner, on a donné tout ce qu’on avait. C’était grandiose ce soir, il y avait vraiment du monde. Même l’entrée sur le parquet m’a fait bizarre, je n’ai pas l’habitude. Quand les blessés reviendront, il n’y a pas de raison de ne pas aller chercher la victoire. »\n\n\n\n\n\n\n\nNando De Colo, arrière de l’ASVEL : “C’était un match de Leaders Cup. Il n’y a pas forcément de favori avant, c’est une finale chaque jour. Cela passe par beaucoup de détails. Ce soir, on a contrôlé le match, même si on s’est fait quelques frayeurs. Maintenant, il faut bien se reposer. Le Mans sera une opposition sur un style différent. Si l’on veut faire un résultat ce week-end, il faut juste se concentrer sur nous. Collectivement, on devra être sur la même page et faire le boulot pour aller le plus loin possible. »\n\n\n\nT.J. Parker, coach de l’ASVEL : « La Leaders Cup n’est pas une compétition facile. On a pu le voir avec les défaites de Monaco et Cholet. Le premier match est toujours le plus compliqué. Ce soir, il y a eu un grand Victor en face qui a mis des tirs très difficiles. On a pu faire les stops quand il le fallait. Sur les trois-quatre dernières minutes, on a eu l’agressivité défensive nécessaire. Contre le MSB, il ne faudra surtout pas redonner de deuxième chance. Maintenant, tout le monde peut gagner cette Leaders Cup. On va jouer contre une équipe du Mans qui est très forte, qui nous avait battu chez nous. La fatigue va rentrer en compte. Il y a deux matches pour un trophée, il faut la mettre de côté. »\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nCalendrier/Résultats Leaders Cup\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/en-france/lnb/652874/leaders-cup-lasvel-vient-a-bout-de-victor-wembanyama/\n\nPhoto : Vincent Collet (LNB - Léo Morillon)
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Coupe de Serbie : Fou comme toujours, le match Etoile Rouge - Partizan a duré plus de deux heures et demie
L'Etoile Rouge a battu le Partizan, 83-73, en demi-finale de la Coupe de Serbie, du nom de l'ancien joueur yougoslave, Radivoj Korac. Mais un match entre les deux rivaux de Belgrade ne peut jamais se passer comme une lettre à la poste.\n\nOn peut retenir que les Argentins Luca Vildoza (15 points) et Facundo Campazzo (12 points, 7 passes) se sont mis en évidence à l'Etoile Rouge, ainsi que James Nunnally (19 points), Zach LeDay (16 points) et Mathias Lessort (13 points et 12 rebonds) au Partizan.\n\nEt aussi que le coach de l'Etoile Rouge, Dusko Ivanovic a été expulsé dès la 12e minute de jeu. Mais il a continué de donner ses consignes à ses joueurs à l'entrée du tunnel des vestiaires... Surtout que le match fut interrompu à la 33e minute en raison du comportement des supporters, qui après s'être copieusement insultés - et même bagarrés pour certains - ont envoyé des briquets et divers objets sur le terrain. L'ancien joueur de Bourg et de Monaco, Danilo Andjusic, a même du prendre un micro pour leur demander de se calmer.\n\n\Les gens, s'il vous plaît, ne jetez pas d'objets sur le terrain. Nous avons besoin de vous, allons-y.\\n\nTout ceci n'a pas vraiment choqué Facundo Campazzo :\n\n\Non, je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussi fou. Tout le monde lançait des choses sur le terrain, mais je sais ce que c'est, j'ai tout apprécié, c'est un super spectacle. J'ai vraiment apprécié sur et en dehors du terrain. Nous nous sommes donnés, une grande victoire.\\n\nEt encore que dans cette atmosphère électrique, il y avait une tension palpable entre joueurs avec un incident entre Facundo Campazzo et Mathias Lessort, visiblement très excité, auquel s'est mêlé Luca Vildoza, puis l'ensemble des joueurs sur le terrain pour appeler au calme. Bref, du classique. Les deux vidéos vont vous en dire davantage.\n\nL'Etoile Rouge affrontera Mega en finale, qui dans l'autre demi-finale a battu FMP, 86-67.
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Ranking FIBA Qualif. Coupe du Monde : La France 2e
Alors que les fenêtres des qualifications à la Coupe du Monde vont se refermer la semaine prochaine, la FIBA a établi son traditionnel Power Ranking pour la zone européenne plaçant l'équipe de France à la 2e place derrière l'éternel rival espagnol.\n\nSi la France et sept autres nations sont d'ores et déjà qualifiés pour la Coupe du Monde, trois billets entre huit pays sont encore en jeu dans la zone européenne.\n\nVoici ce qui est écrit sur l'équipe de France :\n\n\La France a verrouillé sa place dans la dernière fenêtre de la Coupe du monde et l'entraîneur Vincent Collet peut continuer à tester les joueurs et comment ils pourraient s'intégrer dans l'équipe finale. Les Bleus joueront en République tchèque puis accueilleront la Lituanie dans un dernier match qui pourrait décider de la première place du groupe. Oh!, et nous devrions probablement voir deux autres matchs avec Victor Wembanyama.\\n\nOn peut remarquer les 9e et 10e place de la Grèce et de la Serbie qui n'ont pas encore assuré leur qualification. Ce Power Ranking reflète la valeur des équipes des fenêtres et pas forcément de celles engagées l'été.\n\nPhoto : Terry Tarpey (FIBA)
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Opinion : Pourquoi l’ASVEL ne vaut pas 40 millions
La nouvelle a fait grand bruit cette semaine. Tony Parker, actionnaire majoritaire de l’ASVEL depuis 2014 veut céder ses parts. Et dans une interview à L’Equipe, il explique que la valorisation actuelle du club se situe à 40 milllions. Voilà pourquoi c’est non.\n\nTony Parker, 40 ans, président de l’ASVEL, et finaliste pour la promotion 2023 du Hall of Fame, veut céder 62% de l’ASVEL. Il avait déjà dit en juin 2022 qu’il était prêt à vendre à John Textor quand le milliardaire américain s’apprêtait à racheter l’OL – également actionnaire de l’ASVEL à hauteur de 33,3%. Cette fois, il souhaite céder ses parts à la société Smart Good Things dont il est par ailleurs actionnaire, en échange de parts de Smart Good Things justement, dont l’action entrée en bourse en septembre 2022 à 96 euros pointe aujourd’hui à 245. L’Equipe explique tout cela très bien.\n\nDans l’interview du 17 février hier, Parker qui a racheté le club pour 2 millions d’euros en 2014 explique la chose suivante. « Aujourd'hui, la valeur du club est de 40 millions d'euros ! Je veux que mes actionnaires continuent à me faire confiance. J'espère que l'Euroligue sera fermée un jour. Dans trois ans, avec l'Euroligue fermée, le club peut valoir entre 100 et 120 millions d'euros ! »\n\nL’ASVEL a fait du très bon boulot ces dernières années. Tony Parker a réussi gagner les trois derniers titres, à faire grandir le club, à attirer des sponsors importants comme LDLC ou Smart Good Things, établir un partenariat d’envergure avec l’OL et à mener au bout le projet d’une nouvelle Arena sur la Métropole. Grâce à son aura, son flair, son travail, son équipe. Bravo à lui.\n\nAujourd’hui, le club annonce 9,7 millions d’euros de revenus pour 2021-22 et projette d’en rentrer 12,6 pour 2022-23. Ce qui le place sur le terrain français à un niveau jamais atteint. Fin octobre 2022, le président délégué du club Gaëtan Muller annonce 8 millions de sponsoring cumulés. D’après lui, ce total place le club numéro 1 dans le basket, évidemment, mais aussi dans le Top 3 des clubs du Top 14 de rugby et le Top 10 des clubs de foot. La différence sur le budget de ces entités se faisant évidemment sur les droits télés énormes générés par le foot et le rugby.\n\nTout ça pour dire quoi ? Que l’ASVEL bosse très bien. Et qu’elle est aujourd’hui au plafond de ce que propose le basket français. Pour grandir, le chemin, c’est celui de l’Europe. Et de l’Euroleague. Et voilà où s’arrête le rêve.\n\nMême avec une grande salle, aucun club en Euroleague ne génère suffisamment de revenus pour combler son budget. Le grand Real Madrid ? Moins de 15 millions de revenus annuels et 30 millions de déficit environ chaque année pour arriver à 45 millions de budget annuels. Barcelone ? Moins de 8 millions de chiffres d’affaires en 2020 et presque 30 millions de déficit également. Le 9 juin 2020, le président du Panathinaikos, le sulfureux Dimitris Giannakopoulos annonce mettre son club en vente pour 25 millions d’euros. Il dit que le club en vaut 100. Mais il explique aussi que sa famille a comblé les déficits du club depuis 1972 à hauteur de 450 millions ! Au final, pas de vente.\n\nUne nouvelle salle pour l’ASVEL permet d’espérer quelques millions annuels supplémentaires (au-delà de trois, ce sera miraculeux) mais cela ne permettra en aucun cas de doubler le budget, contrairement à ce qu’on spontanément penser.\n\nL’Equipe donnait ainsi la parole au président du CSKA Moscou Andrei Vatoutine qui rappelait le business model de l’Euroleague. « Avec tout le respect que je dois aux stars du basket européen, leurs salaires ne dépendent pas des revenus des clubs et des ligues comme en NBA mais d'une compétition entre les ambitions des propriétaires. »\n\nEt Parker de rappeler récemment qu’il n’est pas milliardaire et donc qu’il ne pourra pas avoir d’ambitions en Euroleague tant qu’il ne sera pas prêt à perdre 20 millions par an. Ce que personne ne lui reproche. Les revenus de l’Euroleague progressent certes, mais très lentement et les clubs se plaignent de ne pas en voir la couleur. C’est la raison principale pour laquelle ils ont chassé Jordi Bertomeu après 20 ans à la tête de l’Euroleague. Et puis, ces rentrées sont tellement faibles par rapport aux dépenses des clubs qu’il faudrait une augmentation de 1000% de revenus de l’Euroleague pour entrevoir une rentabilité.\n\nAujourd’hui, où en est l’Euroleague ? Nulle part. Depuis la fin de règne de Bertomeu à l’été dernier, la direction actuelle assurée par Dejan Bodiroga et Marshall Glickman navigue à vue. Pour une raison simple. Les clubs détenteurs d’une licence A sont les vrais patrons mais n’ont pas de direction commune claire. Quelques exemples. Les négociations avec la FIBA sont au point mort faute d’interlocuteurs. La gestion récente du dossier Facundo Campazzo ou l’invitation lancée à Monaco, puis regrettée par Glickman sans aucune base réglementaire pour la saison prochaine montre le flottement qui règne à Barcelone.\n\nEnfin, Parker parle de modèle fermée et d’une valeur de l’ASVEL qui pourrait monter à plus de 100 millions d’euros. Il tente de faire rêver, technique de vendeur. Mais il s’agit d’un fantasme. Fermer la ligue est ce qu’a pratiquement déjà fait l’Euroleague et les revenus n’ont pas suivi. Pourquoi ? L’économiste Pierre Rondeau spécialiste de ces questions, l’explique très bien. Une ligue fermée est un modèle économique très profitable, à condition d’être la ligue leader au niveau mondiale. Donc dans un monde où la NBA n’existerait pas, Tony Parker aurait raison. Et d’ailleurs, l’objectif ultime de ce dernier est de devenir propriétaire d’une franchise NBA, où le revenus et la valeur des franchises suivent des courbes exponentielles.\n\nCe qui nous mène à la dernière question. Pourquoi Parker souhaite vendre maintenant ? Jusqu’à présent, il a attiré des partenaires grâce au marché français. S’associer à Parker et l’ASVEL, c’était la certitude de soulever des trophées et de côtoyer un des sportifs les plus charismatiques et accomplis des vingt dernières années. Le tout sur un marché relativement abordable, celui du basket français. TP a offert à Aulas son rêve de club omnisport à une époque où gagner le moindre trophée en foot n’est plus payable.\n\nAprès trois titres, avec la licence A en Euroleague, l’arrivée de la nouvelle salle, l’ASVEL est au top de son image. Au niveau personnel, l’image et l’aura de Parker vont également commencer à s’estomper, doucement. Un mouvement logique à mesure que les exploits de sa carrière s’éloignent. Dernier élément, sans doute décisif celui-là.\n\nLa montée en puissance de Monaco avec un mécène avec un portefeuille sans fond (10 millions de masse salariale cette saison), si elle se confirme dans la durée indique que la domination sans partage de l’ASVEL est terminée. L’argent ne fait pas tout mais l’ASVEL n’est plus favorite du tout.\n\nParker est intelligent. Il a compris tout cela et voilà pourquoi il souhaite vendre maintenant.\n\nAlors, le club vaut-il 40 millions ? Une vente se fait toujours de gré à gré donc le juste prix est le prix qu’est prêt à y mettre un acheteur. Et dans le sport, les choses ne sont pas toujours rationnelles. Mais d’un strict point de vue business, la valorisation de l’ASVEL devrait se faire en rapport avec ses revenus. Et la promesse du développement à l’échelle européenne ne tient pas.\n\nPhoto : Tony Parker (Léo Morillon/LNB)
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Pro B : Le meneur croate Antonio Jordano a signé à Chalon
L'international croate Antonio Jordano (1,90 m, 23 ans) et l'Elan Chalon ont passé un accord pour le reste de la saison.\n\nAntonio Jordano a été formé au sein du club de Cedevita Zagreb avant de rejoindre en 2019 Osijek en 1ère ligue Croate. Il y terminera meilleur marqueur de son Championnat à l’âge de 20 ans lors de la saison 2019-2020 (18,9 points par match, 42,1% à 3-points). Parti sur les mêmes bases lors de l’exercice suivant, il attire rapidement la convoitise du KK Zadar, l’un des plus grands clubs croates qu’il rejoint en cours de saison. Champion de Croatie en 2021 après l’avoir été déjà en 2018, finaliste en 2022, il est également membre de l’équipe nationale croate.\n\nArrière de formation mais régulièrement utilisé sur le poste de meneur de jeu, il affiche cette saison une moyenne de 11,8 points et 1,6 passes décisives en 22’ en championnat. Ses statistiques sont supérieures en Ligue Adriatique avec 14,4 points de moyenne en 29 minutes (37% à 3 points), assortis de 2,4 passes.\n\nLibéré par son club après une belle performance face à l’Etoile Rouge de Belgrade le 12 février dernier (16 points 4/7 à 3 points), Antonio Jordano rejoindra les bords de Saône à l’issue du rassemblement de son équipe nationale.\n\nUn peu plus tard dans la journée, l’Elan Chalon a annoncé avoir mis fin au contrat de Tayler Persons.
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Ce qu'il faut retenir des salaires de la saison 2022-2023 en LNB
Après la Betclic Élite, la rédaction de Basket Europe vous a révélé les salaires des joueurs et coachs de Pro B durant le mois de février. Que faut-il retenir de notre dossier ?\n\nPendant les mois de janvier et de février, nous vous avons dévoilé les salaires de tous les joueurs et coachs des 36 clubs de la Ligue Nationale de Basket pour la saison 2022-2023. Après la Betclic Elite, vous avez découvert ces derniers jours ceux de Pro B. Le tout accompagné de nos analyses, club par club, avec les meilleures – et moins bonnes – affaires à la mi-saison.\n\nEn résumé, Monaco a fait tomber les principaux records financiers sur une saison en Betclic Élite, dont le budget (20,7 millions d’euros) et la masse salariale (10,8 millions d’euros brut). Mike James est le premier joueur à atteindre la barre des 2 millions d’euros net et Sasa Obradovic le premier coach à franchir celle du demi-million d’euros sur une saison. L’ASVEL est l’unique club à pouvoir concurrencer économiquement son rival monégasque avec ses 15,8 millions d’euros de budget, soit la plus grosse enveloppe de son histoire. Il compte deux millionnaires, Nando De Colo et Joffrey Lauvergne, du jamais vu là encore.\n\n\nChalon domine financièrement la Pro B\n\nEn ce qui concerne la Pro B, Chalon-sur-Saône, plus gros budget (4,9 millions) et plus grosse masse salariale (1,4 million) de la deuxième division française, se retrouve logiquement avec deux des trois joueurs les mieux rétribués. Et son coach, Savo Vucevic, pointe dans des sphères rarement vues pour la Pro B. Rien d’étonnant à voir l’Elan coleader après 20 journées. Avec des finances de seconde partie de tableau, Saint-Quentin, Vichy-Clermont et Lille sont les trois clubs qui sortent du lot, principalement grâce à un recrutement bon marché.\n\nLa rédaction de Basket Europe\n\n\n\nLa liste des articles de notre dossier salaires de Betclic Elite\nClub par club\nBlois : la barre des 100 000 euros franchie, une première\nBoulogne-Levallois (Metropolitans 92) : Wemby, l’affaire du siècle\nBourg : une trouvaille nommée James Palmer\nCholet: Laurent Vila – Dominic Artis, duo de choc\nDijon : Markis McDuffie, facteur X\nFos: Allan Dokossi tient la baraque\nGravelines-Dunkerque: le rebond Laurent Legname\nLe Mans: Terry Tarpey, mini prix et donne le maximum\nLe Portel: Hifi des idées de génie\nLimoges: le CSP surfe sur la vague Cancellieri\nLyon-Villeurbanne (ASVEL) : Nando De Colo, premier millionnaire français\nMonaco: Tous les records sont battus\nNancy : Mike Scott, la surprise du chef\nNanterre : Sur les sables mouvants\nParis: Ismaël Kamagate, un joyau à bon prix\nPau: L’âge de raison\nRoanne : March attaque\nStrasbourg: l’effet Luca Banchi\n\nNos analyses\nLes coachs : Sasa Obradovic et les autres\nTop 20 : Victor Wembanyama loin derrière les millionnaires\nTop 5 par poste : Monaco et l’ASVEL - presque - seuls au monde\nTop-Flop JFL : L’extraordinaire rentabilité de Nadir Hifi\nTop-Flop JNFL : Emmanuel Nzekwesi très rentable, Brynton Lemar beaucoup moins\n\nLa liste des articles de notre dossier salaires de Pro B\nClub par club\nAngers: la belle surprise Akaemji Williams\nAntibes: Jean-Marc Pansa et Tim Derksen moins rentables que l’an dernier\nBoulazac: Nic Moore, un leader blessé\nChalon: Antoine Eito et Mike Gelabale à 100 000 euros et plus\nChâlons-Reims: David Skara pétille\nDenain: Michael Oguine se transcende\nÉvreux: la révélation Ilias Kamardine\nGries-Souffel: Tom Digbeu, un retour remarqué\nLa Rochelle: Robert Turner, le sauveur?\nLille: Bastien Vautier fait sauter la banque\nNantes: JaCori Payne intéressant\nOrléans: Tyran de Lattibeaudière bien seul\nQuimper: Digue Diawara et Ivan Vranes seuls au monde\nSaint-Chamond: le couac malgré Mathieu Boyer\nSaint-Quentin: Mathis Dossou-Yovo ultra-rentable\nSaint-Vallier: Jazzmarr Ferguson se démène\nVichy-Clermont: la mitraillette Tray Boyd fait mouche\n\nNos analyses\nLes coachs : Savo Vucevic au sommet de la division\nTop 20 : Antoine Eito reste en tête\nTop-Flop:Gaëtan Meyniel et Gavin Kensmil, super-pioches\n\nMais aussi...\nNotre top 10 des agences en LNB : Comsport toujours numéro un\n\n\n\nPhoto : Antoine Eito (Élan Chalon)
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Qualifications Coupe du Monde : Les 14 Lituaniens contre la France
Voici les 14 joueurs lituaniens retenus pour les matches de qualification à la Coupe du Monde contre la Hongrie et la France.\n\n\Les pensées et les sentiments ne changent pas dans cette fenêtre de sélection. Nous avons obtenu une place en Coupe du monde et c'est très bien - nous ne sommes pas accablés par la responsabilité ou la pression. Cependant, sans équivoque, nous voulons jouer et gagner, nous comprenons ce que nous représentons et à quelle hauteur la barre est fixée. En raison de la période de préparation encore plus courte de cette fenêtre de sélection, nous sommes arrivés à la conclusion que nous voulions rassembler autant que possible les mêmes personnes afin d'avoir une continuité », a commenté le coach Kestuis Kemzūra.\n\nLa Lituanie avait remporté le match aller contre la Hongrie (78-88) mais lourdement perdu celui contre la France, à domicile (65-90).\n\nJoueurclubArnas VelickaChemnitz Niners (Allemagne)Eigirdas ŽukauskasAlytusEimantas BendžiusDinamo Sassari (Italie)Evaldas KairysVilniusGabriel MaldūnasPanevėžys LietkabelisGytis MasiulisVilniusGytis RadzeviciusVilniusKristupas ZemaitisAlytusMantas RubštavičiusPanevėžys LietkabelisMargiris NormantasVilniusMartin GebenManresa (Espagne)Matas JogelaKlaipėda NeptūnasMindaugas KuzminskasPinar Karşiyaka Izmir (Turquie)Vaïdas KariniauskasRapide de Bucarest (Roumanie)\n\nPhoto : (FIBA)
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Italie : \Les personnes intéressées par le basket de Serie A ont augmenté au cours des deux dernières années et demie\
Interrogé pour la newsletter hebdomadaire \Sport&Business\ de La Gazzetta dello Sport, le président de la Serie A Basketball League, Umberto Gandini ,s'est exprimé sur le Final 8 qui a lieu ce week-end et ses projets liés à la croissance du basket italien.\n\n« Le sold out des deux derniers jours atteste d'un grand succès auprès du public. De plus, la Municipalité de Turin, la Chambre de Commerce et la Région du Piémont ont travaillé dur pour impliquer le territoire. A Turin, nous avons réuni pour la première fois avec le conseiller Infront plus de 300 personnes et 120 entreprises, qui investissent dans les seize équipes de Serie A, dans un environnement B2B ».\n\nGandini a également souligné les priorités de son mandat :\n\n« Depuis mon arrivée, nous avons commencé à investir massivement pour élargir le bassin et nous adresser à un public plus jeune, changer de langage avec des accords commerciaux comme celui avec Radio Deejay et profiter du numérique et des réseaux sociaux. Nous essayons de rendre le basket cool. La courbe de croissance significative est un fait qui nous donne de l'espoir. Les personnes intéressées par le basket de Serie A ont augmenté au cours des deux dernières années et demie, passant de 11 millions en mai 2020 à 16 millions en novembre 2022, selon les données de StageUp-Ipsos. Je suis particulièrement satisfait de l'augmentation de la part des jeunes générations : par rapport à 2018-19, les intéressés par la tranche d'âge des 25-34 ans sont passés de 18 à 20 %. Encore plus marqués sont les indices de ceux qui suivent régulièrement le basket.\\n\nPhoto : LBA
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Les louanges du coach de la République Tchèque à l'égard de Victor Wembanyama
Jeudi à Pardubice, avec notamment le Limougeaud Tomáš Kyzlink et le Strasbourgeois Martin Peterka, la République Tchèque va recevoir l'équipe de France, et son coach Ronen Ginzburg est dithyrambique à propos de Victor Wembanyama.\n\n\Pour certains de nos joueurs, un match contre un tel joueur sera l'expérience d'une vie, et je crois qu'il en sera de même pour les supporters\, devine l'entraîneur de l'équipe nationale tchèque Ronen Ginzburg, qui a appelé ses joueurs à un rassemblement à Poděbrady ce dimanche. \D'après ce que j'ai vu jusqu'à présent, il me suffit de savoir qu'à son âge, il domine déjà le championnat de France, ce qui est tout à fait unique. Ce n'est certainement pas un joueur ordinaire. Si d'autres joueurs comme lui jouent un jour, il faudra envisager de changer les règles, peut-être faudra-t-il élever le cercle ou agrandir le terrain. Et je ne plaisante pas ». Mais le coach israélien n'oublie pas d'ajouter :\Même si nos fans seront curieux à propos d'un tel joueur, il reste notre adversaire et ils nous soutiendront.\\n\nC'est pour toute l'équipe de France que le coach de l'équipe tchèque marque son respect :\n\n\Même s'il manque à la France, comme pour nous, certaines des plus grandes stars, elle a une grande qualité, la plupart des joueurs jouent dans de très bonnes ligues et avec ce roster, ils auraient pu facilement terminer quelque part entre la cinquième et la huitième place à l'EuroBasket de l'année dernière\, note Ginzburg. \Jeudi prochain, nous affronterons l'une des meilleures équipes du monde et des joueurs qui dans quelques années seront peut-être parmi les meilleurs de la NBA. J'espère tellement que les fans viendront nous soutenir, même si nous n'avons pas tous nos meilleurs joueurs. Nous aimons toujours jouer à Pardubice et je pense que les supporters apprécieront\.\n\nA propos du rajeunissement de son équipe, qui est dernière du groupe avec 3 victoires et 7 défaites, le coach précise :\n\n\Nous aurions pu prendre des joueurs plus âgés qui, pour le moment, sont peut-être un peu meilleurs que certains des jeunes appelés, mais ceux qui sont sélectionnés devraient être importants dans l'équipe nationale dans deux ou trois ans et nous devons leur donner du temps sur le terrain pour apprendre et avec les erreurs qu'ils commettent jusqu'à présent.\\n\nMeneurs :\nViktor PŮLPÁN (Basket Brno)\nOndřej SEHNAL (ERA Basketball Nymburk)\nRichard BÁLINT (Basket Brno)\n\nArrières/Ailiers :\nVojtěch HRUBAN (London Lions, Grande-Bretagne)\nTomáš KYZLINK (CSP Limoges, France)\nOndřej HANZLÍK (Basquet Gérone, Espagne)\nPetr ŠAFARČÍK (BK KVIS Pardubice)\nJakub SLAVÍK (BK Opava)\n\nIntérieurs :\nOndřej BALVÍN (BC Prometey, Ukraine)\nMartin PETERKA (SIG Strasbourg, France)\nPatrik AUDA (Yokohama B-Corsairs, Japon)\nMartin KŘÍŽ (ERA Basketball Nymburk)\nDavid BÖHM (USK Praha)\nJames KARNIK (Lions De Genève, Suisse)\n\n\n\n\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Hervé Bellenger/FIBA)
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Leaders Cup - Frédéric Fauthoux (Bourg) : «On n’a pas volé notre place en finale»
Après avoir sorti Monaco, la JL Bourg s’est qualifiée pour la finale de la Leaders Cup en dominant le tenant du titre, Dijon (77-94). Le coach Frédéric Fauthoux est fier de ses joueurs, qui ont fait preuve de « solidarité » et de « force collective ».\n\nFrédéric Fauthoux, coach de la JL Bourg : « Ce soir, il y a eu une vraie force collective et de la solidarité. On a bien fermé la raquette. Ils ont eu un déficit d’adresse en première mi-temps, cela nous a quand même pas mal aidé. Mais pour une fois qu’on contrôle le rebond, c’est plutôt encourageant. Je pense qu’on a réussi à trouver notre équilibre offensif. On avait ciblé David Holston. On savait qu’il avait des petits pépins physiques sur la main donc on pouvait imaginer qu’il n’était pas à 100 %. Il fallait stopper ce joueur-là. »\n\n« Je ne suis plus vraiment surpris (de notre niveau de jeu) car depuis un petit moment, on arrive à développer un vrai jeu collectif des deux côtés du terrain. Depuis quinze jours, c’est très dur de sortir un joueur de cette équipe. C’est un vrai collectif qui joue ensemble. Je tiens vraiment à les féliciter de produire un basket comme ça. Mais c’est jamais gagné car le très haut niveau, c’est très dur. Dans le sport de haut niveau, on sait que c’est toujours très fragile de maintenir un très haut niveau. On va essayer d’en profiter le maximum. Mais je suis heureux car on a mis en place des choses en place qui paient aujourd’hui, c’est tout bénef. Pourvu que ça dure ! »\n\n« On s’est donnés une mission. Maintenant, on ne va pas changer notre préparation de match. Il va falloir se reposer. Jouer une finale, ce n’est pas neutre. Pour certains, ce sera leur première. Il faudra appréhender tout ça. Ramener un trophée à Bourg, c’est un challenge très important. Quand on sait à quel point c’est dur de construire un club, de le structurer, ce n’est pas rien. L’objectif de tout dirigeant, supporter, joueur et staff, c’est de gagner un trophée. Donc je vais pas dire qu’on aura plus de pression que ce soir mais ce serait un très beau symbole de remporter un titre avec cette équipe. Cette équipe, elle a quelque chose. Ce serait bien de gagner, et en plus en jouant bien. »\n\n« Si on joue contre l’ASVEL ? Ce serait un beau symbole que de le retrouver en finale. De l’intérieur, je sais comment ils préparent ces matches. Ce serait un joli clin d’oeil à l’histoire. Mais il y a Le Mans, aussi. Ce qui est sûr, c’est qu’on n’a pas volé notre place de finaliste. On joue bien, on développe un très beau jeu collectif, avec de la solidarité. Quoi qu’il se passe demain, ce sont des très beaux signaux pour la suite de la saison. On a une semaine dure et excitante. »\n\n\n\n\n\n\n\nAxel Julien, meneur de la JL Bourg : « On a fait le boulot. On a essayé d’embêter David (Holston), c’est vrai qu’il revient d’une blessure (au doigt) qui peut le gêner sur son tir. On a tout fait pour le faire déjouer mais c’est surtout le travail qu’on fait tout au long du match qui nous permet de l’emporter, l’intensité qu’on a mis. On a joué un peu intelligemment, à part les dernières minutes où on s’est fait un tout petit peu peur. Mais c’était un gros match dans l’ensemble. On a été constants sur 40 minutes. »\n\n« Avec Alex Chassang, on tentera de défendre ce titre qu’on a gagné en 2020. Une Leaders Cup, ce n’est que des matches contre des grosses équipes. Si on joue mal, on sort. Maintenant, c’est à nous d’encore monter notre niveau en finale. En tout cas, on ne peut pas passer à côté du match demain après ce qu’on a fait hier et aujourd’hui. On essaie de jouer avec le collectif, que tout le monde soit bon, mais quand un joueur comme James (Palmer) fait ce genre de prestations, avec si peu de déchets, ça aide forcément l’équipe. Ça lui a profité, et tant mieux, qu’il continue comme ça, moi ça me dérange pas. »\n\nJordan Floyd, arrière de la JL Bourg : « Quand on a joué à Dijon, Markis McDuffie et David Holston ont été bons. On s’en est souvenus. On leur devait une revanche. Notre effort défensif a été spectaculaire. Nos quatre défaites de janvier ont été une prise de conscience qu’il fallait revenir à ce qu’on faisait avant. Et maintenant, on se partage de nouveau la balle. C’est notre façon de jouer. Quand tout le monde touche le ballon, on peut approcher les 90-100 points. Et un soir, Pierre Pelos va mettre 20 points, un autre ce sera Alexandre Chassang. Tout le monde peut prendre feu, sans exception. Notre équipe est vraiment spéciale et unique. »\n\n\n\n\n\n\n\nNenad Markovic, coach de la JDA Dijon : « Dès les premières minutes, on a eu du mal. On n’a jamais su s’organiser. La JL Bourg a probablement la meilleure dynamique de tout le championnat maintenant. Je le disais avant la Leaders Cup. Ils jouent de manière excellente, ils bougent le ballon, ils sont en contrôle absolu des deux côtés du terrain. Défensivement, nous les avons laissé développer un jeu rapide, nous étions tout le temps en retard. Nous les avons laissés s’installer dans leur jeu rapide. Ce n’était tout simplement pas assez bon pour une demi-finale, surtout contre une aussi bonne équipe. »\n\nJonathan Rousselle, meneur de la JDA Dijon : « Nous avons été déficients sur trop de domaines. Il y a eu une vraie défaillance en défense en terme d’intensité, de rebonds. Nous avons subi. On n’est pas rentré dans le match comme il fallait. Le fait de reculer a été une constante pendant tout le match. La JL Bourg surfe sur une dynamique impressionnante. Ça se sent dans leur jeu, c’est fluide, il y a un flow offensif élevé. Ça fait mal de savoir le reconnaître mais la meilleure équipe a gagné. »\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nRésultats/Programme Leaders Cup\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653084/leaders-cup-bourg-elimine-dijon-le-tenant-du-titre-et-file-en-finale/\n\nPhoto : Frédéric Fauthoux (Hervé Bellenger - LNB)
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Leaders Cup : Bourg élimine Dijon, le tenant du titre, et file en finale !
En éliminant le tenant du titre dijonnais, la JL Bourg est la première équipe à valider son ticket pour la finale de la Leaders Cup (77-94). Elle attend le vainqueur d’ASVEL - Le Mans (entre-deux à 21h, La Chaîne L’Equipe).\n\nLe tenant du titre est dehors ! Après son exploit la veille contre Monaco, archi favori de la compétition, la JL Bourg a confirmé ce samedi en début de soirée en éliminant la JDA Dijon, vainqueur de la dernière édition en 2020. Dans une Arena de Saint-Chamond quasi-pleine, l’équipe de Frédéric Fauthoux a maîtrisé son sujet... et prouvé une nouvelle fois qu’elle n’était pas venue dans la Loire pour faire de la figuration !\n\nLa différence s’est faite en première mi-temps. Après 14 changements de leader en autant de minutes, le collectif burgien s’est détaché en finissant sur un 11-0 juste avant la pause (31-44). En manque de réussite (1/9 à 3-points derrière l’arc en première mi-temps, 43 % à 2-points sur le match), la JDA Dijon a été muselée par l’agressivité de la Jeu, qui n’a jamais regardé dans le rétroviseur dès lors qu’elle a compté 20 points d’avance (44-64, 28e). Il y eut un réveil des hommes de Nenad Markovic, mais bien trop tardif pour espérer conserver leur titre.\n\n\n\n\nLe duo Palmer - Floyd dominant\n\nComme aime le rappeler l’entraîneur Frédéric Fauthoux, la JL Bourg a encore une fois fourni un effort collectif (24 passes décisives, 11 balles perdues, 40 rebonds à 33). Il faut souligner la nouvelle performance de James Palmer (25 points à 8/11 aux tirs, 4 rebonds, 3 passes pour 27 d'évaluation) et la prestation offensive de Jordan Floyd (17 points à 5/7 aux tirs et 7/7 aux lancers).\n\nCôté Dijonnais, Jacques Alingue s’est distingué avec 17 points et 8 rebonds, bien secondé par Matt Mobley (18 points à 5/11 aux tirs, 4 rebonds, 4 passes). Mais il aura manqué un David Holston à son niveau, lui qui est encore un peu juste après son retour de blessure au doigt (4 points à 4/4 aux lancers mais 0/8 aux tirs, 7 passes, 4 fautes en 26 minutes).\n\n\n\n\nL’ASVEL ou Le Mans en finale\n\nLe JL Bourg est de retour en finale, qu’elle avait déjà atteint en 2019. Mais cette fois-ci, ce ne sera pas face à Monaco. Cerise sur le gâteau, les deux anciens dijonnais Axel Julien et Alex Chassang défendront leur titre. La deuxième demi-finale opposera Le Mans à l’ASVEL (coup d’envoi à 21h, à suivre sur La Chaîne L’Equipe).\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nBoxscore Dijon - Bourg / Résultats et programme Leaders Cup\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653083/leaders-cup-frederic-fauthoux-bourg-on-na-pas-vole-notre-place-en-finale/\n\nPhoto : Jordan Floyd - JL Bourg (Léo Morillon - LNB)
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Sylvain Francisco marque 33 points en demi-finale de la Coupe de Grèce
Peristeri s'est qualifié pour la finale de la Coupe de Grèce, 65-77 face à l'AEK Athènes, emmené par un Sylvain Francisco de feu qui a marqué 33 points. Une première pour le club.\n\nLe meneur international n'avait inscrit que 9 points à la mi-temps, mais il en a compilé 10 dans le troisième quart-temps et 14 dans le quatrième. Et il l'a fait avec des statistiques impressionnantes : 4/4 à deux-points, 4/8 à trois-points et 13/13 aux lancers-francs. Ajoutez à tout cela 6 rebonds et 4 passes décisives en 32 minutes.\n\n\J'étais en condiance, nous avons joué une très bonne défense, et cela m'a aidé en attaque. Je ne savais pas que j'avais marqué 33 points. La défense a fait la différence. Nous avons écrit l'histoire de Peristeri, qui est entré en finale. Mais nous avons encore un combat de plus. Nous n'avons pas peur de qui que ce soit que nous affronterons en finale,\ a t-il déclaré.\n\nSylvain Francisco est ensuite attendu à Nanterre pour le rassemblement de l'équipe de France.\n\n
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Leaders Cup : Ce sera une finale ASVEL-Bourg
Après avoir accompli des exploits face à Nancy en Coupe de France, et Cholet en quart-de-finale de cette Leaders Cup, Le Mans, trop amoindri, n'a pu résister à l'ASVEL (65-90), en mode Euroleague, qui jouera la JL Bourg, demain dimanche, en finale.\n\nAlors que Williams Narace n'a pas fait le déplacement à Saint-Chamond, vis à vis du match face à Cholet, le coach Elric Delord ne pouvait toujours pas compter sur le pivot Josh Carlton, ni sur l'ailier Tres Tinkle, mais ni encore sur le meneur de jeu Kaza Kajami-Keane qui s'est re-re-re-blessé en demi-finale. Avec un effectif aussi réduit, Le Mans n'a pas pu résister à l'agressivité défensive de Villeurbanne et ne pourra donc pas se mettre, demain dimanche, en quête d'une quatrième victoire après 2006, 2009 et 2014. A l'inverse, l'ASVEL tentera de guigner un deuxième trophée après celui de 2010. Nando De Colo (15 points et 5 passes en 16 minutes ce soir) sera incontestablement son atout maître.\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes jeunes à la rescousse, mais...\n\nElric Delord était contraint de placer la révélation du tournoi Raphael Djasrambaye dans le cinq de départ, ou de faire entrer le big man néerlandais Mathias Van den Beemt, au bout de cinq minutes. Le premier a passé ce soir 20 minutes sur le terrain et le deuxième 13, ce qui était complètement improbable il y a encore une dizaine de jours. Le début du match nous a proposé un mano a mano entre les deux vice-champions d'Europe, Nando De Colo et Terry Tarpey et surtout une défense en mode forteresse des Villeurbannais, laquelle conjuguée avec deux bombes de Dee Bost et une de Charles Kahudi leur permettaient de faire une première différence (13-22, 8e), d'autant que Matt Morgan était malheureux dans sa réussite extérieure.\n\n\n\nCinq minutes de Super De Colo\n\nNando De Colo offrait une série de passes d'excellence conclues par autant de paniers, plus un panier mi-distance et pour la première fois l'ASVEL tenait sa dizaine de points d'avance (25-35). En fait, le Nordiste faisait à peu près tout sur le terrain, y compris râler auprès des arbitres.\n\nDee Bost ou Charles Kahudi défendaient le plomb sur Matt Morgan qui avait du mal à trouver de l'espace vital (8/8 aux lancers-francs mais 1/8 aux shoots en première mi-temps). Sans aucune adresse de la part de son Stephen Curry maison, Le Mans ne pouvait espérer rivaliser avec l'ASVEL qui s'envolait au fil du 2e quart-temps (29-48). Le 30,7% de réussite des Sarthois avec aucun shoot à trois-points sur 9 tentatives traduisait leur incapacité à se défaire de l'emprise de leurs adversaires.\n\n\n\n\nLe temps du garbage time\n\nL'ASVEL revenait des vestiaires comme anesthésiée et Le Mans en profitait pour donner un coup de collier, mais Nando De Colo en deux ou trois traits de génie balayait tout espoir d'un retour. La suite du match constituait à savoir si le MSB pouvait limiter la casse, ce qui était d'un intérêt très relatif. TJ Parker faisait appel à toutes ses rotations mais évidemment le banc de l'ASVEL est beaucoup plus riche que celui du MSB surtout dans cette période de blessures à répétition. De plus, les Manceaux ont fait preuve d'une imprécision dramatique à trois-points (1/15) -la défense de l'ASVEL en est bien sûr la raison numéro 1-, aussi, l'addition finale était salée.\n\n\n\nPROGRAMME & RÉSULTATS\n\nVendredi 17 février :\n\n * JDA Dijon – Limoges CSP : 83 – 65\n * AS Monaco Basket – JL Bourg-en-Bresse : 92 – 102\n * Cholet Basket – Le Mans Sarthe Basket : 77-84\n * Boulogne-Levallois Metropolitans 92 – LDLC ASVEL : 65-72\n\nSamedi 18 février :\n\n * JDA Dijon – JL Bourg-en-Bresse : 77-94\n * Le Mans SB – LDLC ASVEL : 65-90\n\nDimanche 19 février :\n\n * Finale PRO B : Angers – Boulazac – 16h00, à St Chamond – L’Equipe Live\n * Finale Betclic ÉLITE : ASVEL-Bourg 18h30, à St Chamond – La chaîne L’Equipe\n\nBoxscore ASVEL - Le Mans / Calendrier Leaders Cup\n\nPhoto : Dee Bost (Léo Morillon/LNB)
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Charles Kahudi et l’ASVEL en finale de la Leaders Cup : «Contre Bourg, il n’y aura pas de cadeau»
Samedi soir, l’ASVEL a rejoint la JL Bourg en finale en dominant largement une équipe du MSB largement décimée (65-90). T.J. Parker a pu faire tourner, la meilleure manière de se préparer à l’éventualité de ramener à Villeurbanne sa première Leaders Cup. Réactions.\n\nCharles Kahudi, capitaine de l’ASVEL : « C’était un match très sérieux. Le Mans a joué avec ses armes. Après un premier quart-temps moyen, on a su redresser la barre et faire une grosse différence. Quand on partage la balle et qu’on défend fort, on a plus de chances de faire des matches constants sur 40 minutes. La défense, c’est la clé. On a beaucoup de talent, il faut que la balle vive. Bourg a fait preuve de beaucoup d’adresse donc il faudra défendre encore plus fort demain, jouer encore plus collectivement pour trouver les moyens de les faire douter. Je suis content de retrouver Freddy (Fauthoux), comme j’étais content de retrouver Le Mans aujourd’hui. Mais il n’y aura pas de cadeau. »\n\n\n\nNando De Colo, arrière de l’ASVEL : « On est là où on voulait être aujourd’hui. C’était une bonne prestation collective ce soir, il faut qu’on garde le rythme demain. Le Mans était diminué ? Sans manquer de respect à personne, ce qui se passe chez l’adversaire, ce n’est pas mon problème. Le plus important, c’est de se concentrer sur notre équipe. L’équipe a fait un très bon boulot contre une équipe qui a du répondant, qui a de très fortes individualités. On a plutôt bien contrôlé le tempo. On va bien se reposer pour demain. On a envie de soulever ce trophée. »\n\n\n\n\n\n\n\nAntoine Diot, meneur de l’ASVEL : « C’est une satisfaction d’avoir gagné mais encore plus d’avoir mis la manière. Nous avons été très intenses en défense pour creuser un petit écart et ensuite, on a construit dessus. Le fait de passer à +20 nous a donné de l’air. Ça a permis à tout le monde d’apporter sa pierre à l’édifice, à ceux qui avaient beaucoup joué hier de se reposer un petit peu. C’est important quand on a trois matches en trois jours. Maintenant, il ne faut pas s’arrêter là. Je viens de Bourg, c’est toujours agréable de voir le club où j’ai débuté faire de belles choses mais il n’y aura pas de sentiment demain. Bourg a connu une très belle semaine, avec une double victoire contre Monaco, ce n’est pas évident. Ils font encore un très beau match aujourd’hui. C’est une équipe où le danger peut venir de partout, ils défendent très bien collectivement. C’est une équipe en pleine confiance et c’est toujours dangereux. À nous d’imposer notre rythme pour s’en donner en attaque, de ne pas les mettre dans le confort. Physiquement, on peut les impacter. »\n\n\n\n\n\n\n\nAbdoulaye Ndoye, arrière du Mans : « Pendant le premier quart-temps, on fait du mieux qu’on peut et on a pu rester un peu dans la partie, avant d’être impacté physiquement. Je ne vais pas trouver d’excuse, on a donné physiquement ce que l’on pouvait. Mais il n’y a rien à dire, l’ASVEL était plus forte et complète. Même s’il manquait quatre joueurs, il faut savoir tirer quelques leçons de cette Leaders Cup. On va se remettre au travail après une semaine de repos. »\n\n\n\nElric Delord, coach du Mans : « On n’a pas triché. Il y a beaucoup d’enseignements à tirer de ce match-là, certains fondamentaux qu’on oublie sous pression ou parce qu’on est fatigué. Cela montre donc que ce n’est pas encore ancré. On est obligé d’être concentré dessus pour les faire. Il n’y a pas de regrets, on peut être fier de nous, on a donné tout ce que l’on pouvait. Les absents ? Je m’en fiche, ils ne sont pas là. On a pu voir des bonnes choses : Raph (Djasrambaye) et Mat (Van Den Beemt) se rendent compte du travail qu’il y a devant eux. Hier soir, le petit Noah Goudou-Sinha m’a souhaité un joyeux anniversaire. Je lui ai demandé s’il voulait venir, il m’a répondu qu’il n’attendait que ça. Et quand Vincent Loriot l’a appelé, il savait déjà qu’il avait un train pour arriver à 12h à Saint-Étienne, il avait tout cherché lui-même. C’est bien, ça lui a fait plaisir, c’est un gamin qui est toujours avec nous aux entraînements. On a pris la décision de laisser Josh Carlton au repos 30 minutes avant l’entre-deux : s’il rechutait, il en aurait eu pour quelques semaines. »\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653083/leaders-cup-frederic-fauthoux-bourg-on-na-pas-vole-notre-place-en-finale/\n\nPhoto : Antoine Diot (LNB - Hervé Bellenger)
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ASVEL - Bourg en finale de la Leaders Cup, l'heure des retrouvailles entre T.J. Parker et Frédéric Fauthoux
Tombeur du Mans samedi soir, l’ASVEL a rejoint la JL Bourg en finale de la Leaders Cup, vainqueur un peu plus tôt de la JDA Dijon. Un match pour un titre, qu'aucune des deux équipes n'a jamais gagné, entre deux coachs associés à Villeurbanne et désormais adversaires : T.J. Parker et Frédéric Fauthoux. Voici leur réaction d'après-match en demi-finale.\n\nT.J. Parker, coach de l’ASVEL : « Nous sommes rentrés dans le match comme il le fallait, c’est ça qui était différent d’hier (contre Boulogne-Levallois). Ce n’était pas juste les titulaires, mais vraiment les douze joueurs ensemble. On a pu lancer les rotations et on n’a jamais baissé d’intensité. C’est une arme d’avoir autant de joueurs. On a fait un bon match aujourd’hui mais il va falloir être meilleur demain pour ramener un titre. Il faudra se méfier. Bourg joue très bien au basket, ça n’a pas commencé dès la Leaders Cup. Gagner deux fois Monaco et à Limoges donne forcément de la confiance. Quand tu es sur une lancée, tu joues bien. Ce sera sympa d’affronter Freddy (Fauthoux). La dernière fois qu’on s’est vu, c’était à l’Astroballe pour une remise des bagues, c’était une soirée spéciale. C’est quelqu’un avec qui on a gagné beaucoup de titres, avec un doublé et une coupe de France. C’était des belles années. Cette fois-ci, on va s’affronter pour un titre que ni l’ASVEL ni Bourg n’a jamais gagné. Ce sera le premier pour quelqu’un. »\n\nFrédéric Fauthoux, coach de la JL Bourg : « C'est un beau symbole que de retrouver l'ASVEL en finale. De l’intérieur, je sais comment ils préparent ces matches. C'est un joli clin d’oeil à l’histoire. Ce qui est sûr, c’est qu’on n’a pas volé notre place de finaliste. On joue bien, on développe un très beau jeu collectif, avec de la solidarité. Quoi qu’il se passe demain, ce sont des très beaux signaux pour la suite de la saison. On a une semaine dure et excitante. C’est un vrai collectif qui joue ensemble. Mais dans le sport de haut niveau, on sait que c’est toujours très fragile de maintenir un très haut niveau. On va essayer d’en profiter le maximum. Mais je suis heureux car on a mis en place des choses en place qui paient aujourd’hui, c’est tout bénef. Pourvu que ça dure ! »\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/coupes-deurope/euroleague-fr/653015/opinion-pourquoi-lasvel-ne-vaut-pas-40-millions/\n\nPhoto : T.J. Parker - Frédéric Fauthoux (Infinity Nine Media)
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Europe : Où en sont les Coupes nationales ?
Ce week-end se jouent les coupes nationales dans plusieurs ligues européennes majeures. En voici les résultats.\n\n\nALLEMAGNE\n\nLe Bayern Munich a fait trébucher son rival l'Alba Berlin donné favori. Il a pu bénéficier des retours sur le terrain de Vladimir Lucic et d'Augustine Rubit. Les 31 points de Jaleen Smith n'ont pas été suffisants pour mener les Berlinois vers la victoire. Avec 21 points, Cassius Winston a été le meilleur marqueur du Bayern.\n\nDemi-finales\n\nEWE Baskets Oldenburg – MHP Riesen Ludwigsburg : 92-86\nBayern Munich – ALBA Berlin : 83-77\n\nFinale\n\nEWE Baskets Oldenbourg – Bayern Munich\n\n\nESPAGNE\n\nPas de sempiternel finale Barça-Real à la Copa del Rey. Après le Barça en quart, c'est le Real qui s'est fait éliminer en demi. L'auteur du lèse majesté, les deux fois, c'est Unicaja Malaga. Face au Real, David Kravish avec 20 points a été le leader d'Unicaja, tandis que l'ancien Villeurbannais Dylan Osetkowski en a ajouté 14. Walter Tavares a été le plus productif au Real avec 18 points. Fabien Causeur a marqué 8 points, Guerschon Yabusele 6, Vincent Poirier et Petr Cornelie aucun.\n\n\Au troisième quart-temps, ils ont marqué 30 points et cela ne peut pas être autorisé. Nous avons pris des tirs que nous n'aurions pas dû prendre et les 7-8 dernières minutes, nous avons dû prendre des risques pour essayer de revenir dans le match,\ a commenté Adam Hanga.\n\nL'éternel Marcelo Huertas, 39 ans, a obtenu 15 points pour Lenovo Tenerife récent vainqueur de la Coupe Intercontinentale, alors que le meilleur marqueur de Badalone a été Joel Parra avec 26 points.\n\nQuarts de finale\n\nReal Madrid – Valence : 86-85\nFC Barcelone – Unicaja Malaga : 87-89\nLenovo Tenerife – Gran Canaria : 89-73\nJoventut Badalona – Vitoria : 94-91\n\nDemi-finales\n\nReal Madrid – Unicaja Malaga : 82-93\nJoventut Badalona – Lenovo Tenerife : 72-73\n\nFinale\n\nUnicaja Malaga – Lenovo Tenerife\n\nLa finale de la Copa del Rey est en exclusivité sur MCS Basket. Profitez de l'offre BasketEurope + MCSBasket pour un abonnement annuel à 49€)\n\n\nGRECE\n\nC'est dans le troisième quart-temps que l'Olympiakos a creusé un écart face au Panathinaikos. Le Bulgare Sasha Vezenkov a réalisé un double-double avec 22 points et 10 rebonds pour 33 d'évaluation. Moustapha Fall a été également très bon avec 4 points, 11 rebonds, 4 passes, 3 contres et 2 interceptions. L'ancien meneur d'Orléans et de Monaco, Paris Lee, a offert en vain 15 points à son équipe du Pana.\n\nC'es le Péristeri de Vassilis Spanoulis qui va défier Olympiakos en finale. Sylvain Francisco a été phénoménal avec 33 points, plus 6 passes et 4 rebonds. Isaiah Miles a été le meilleur marqueur de l'AEK avec 21 points.\n\nQuarts de finale\n\nPanionios – AEK : 88-93\nPeristeri – PAOK : 77-64\nOlympiakos - Aris : 82-51\nPanathinaikos - Kolossos : 87-80\n\nDemi-finales\n\nAEK – Peristeri : 65-77\nOlympiakos – Panathinaikos : 81-65\n\nFinale\n\nPeristeri – Olympiakos\n\n\nITALIE\n\nMilan dans les choux, la Virtus Bologne est la favorite pour remporter la Coupe d'Italie. En tête dès les premières minutes, elle a laminé Tortona, 90-65. Marco Belinelli (20 points) et Tornike Shengelia (18) ont été les principaux contributeurs offensifs. Mam Jaiteh a marqué 4 points et pris 3 rebonds.\n\nDu côté des perdants, l'ancien Limougeaud Demonte Harper a été le meilleur marqueur de son équipe avec 19 points et 4 rebonds.\n\nA Brescia, Amedeo Della Valle a terminé le match avec 15 points. CJ Massinburg, également un ancien de Limoges, a ajouté 13 points et 8 rebonds. Pour Pesaro, Dejan Kravic a réussi un double-double de 12 points et 11 rebonds.\n\nQuarts de finale\n\nMilan – Brescia : 72-75\n\nPesaro – Varèse : 84-80\n\nVirtus Bologne – Reyer Venezia : 82-68\n\nDerthona – Trente : 74-70\n\nDemi finales\n\nVirtus Bologne – Derthona : 90-65\n\nBrescia – Pesaro : 74-57\n\nFinale\n\nVirtus Bologne – Brescia\n\nLa finale de la Coupe d'Italie est en exclusivité sur MCS Basket. Profitez de l'offre BasketEurope + MCSBasket pour un abonnement annuel à 49€)\n\n\nSERBIE\n\nAprès avoir éliminé le Partizan en demi-finale, l'Etoile Rouge n'a pas tremblé pour se défaire de Mega en finale : 96-79. Ognjen Dobric a mis 18 de ses 24 points dans le troisième quart-temps. Les autres principaux marqueurs ont été Nemanja Nedovic (20 points), Filip Petrusev (15) et Luka Mitrovic (14). C'est Malcolm Cazalon qui s'est révélé le top scoreur de Mega avec 15 points.\n\n\Je tiens à saluer l'ambiance, qui était phénoménale, et les supporters, qui ont encore une fois montré qu'ils sont nos piliers », a déclaré le coach de l'Etoile Rouge Dusko Ivanovic.\n\nQuarts de finale\n\nPartizan – Spartak Subotica: 91-64\nMega – Voïvodine 75-62\nEtoile Rouge – Borac :89-64\nFMP – Metalac : 91-76\n\nDemi-finales\n\nFMP – Méga 67-86\nPartizan – Etoile Rouge : 75-83\n\nFinale\n\nEtoile Rouge – Méga: 96-79\n\nPhoto : Tornike Shengelia (Virtus Bologne)
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Le chiffre : 11 victoires d'affilée de l'Olympiakos sur le Panathinaikos
Avec sa victoire en demi-finale de la Coupe de Grèce, l'Olympiakos en est à 11 victoires de suite sur son rival éternel, le Panathinaikos, soit quinze mois sans défaite.\n\nAujourd'hui, les deux rivaux ne sont plus du même calibre quand on sait qu'Olympiakos est le leader de l'Euroleague (17-7) alors que le Panathinaikos (8-16) stagne à la 16e place.\n\nLes onze victoires consécutives :\n\n 1. Olympiakos - Panathinaikos 81-65 (Coupe de Grèce OPAP)\n 2. Panathinaikos - Olympiakos 71-95 (Euroleague)\n 3. Olympiakos - Panathinaikos 68-66 (Basket League)\n 4. Panathinaikos - Olympiakos 52-67 (Super Coupe)\n 5. Olympiakos - Panathinaikos 93 - 74 (Basket League - Finales)\n 6. Panathinaikos - Olympiakos 72-78 (Basket League - Finales)\n 7. Olympiakos - Panathinaikos 74-61 (Basket League - Finales)\n 8. Panathinaikos - Olympiakos 62-68 (Basket League)\n 9. Olympiakos - Panathinaikos 101-73 (Euroleague)\n 10. Panathinaikos - Olympiakos 73-81 (Coupe de Grèce OPAP - Finale)\n 11. Panathinaikos - Olympiakos 65-84 (Euroleague)\n\nPhoto : Sasha Vezenkov (Oympiakos, Euroleague)
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La NBA envisage un tournoi à mi-saison avec des équipes d'Euroleague
Lors de sa conférence de presse du All-Star Game, le commissioner Adam Silver a déclaré que la NBA envisage un tournoi de la mi-saison avec des équipes d'Euroleague.\n\nAprès l'Open McDonald's qui avait été institué en 1987 à Milwaukee, avec les Bucks, l'URSS et Milan, allons-nous assister à une version 2.0 d'un tournoi proposant un plateau avec des franchises NBA et des équipes d'Euroleague ? Adam Silver constate que sa ligue est passée en trente ans de 20 joueurs \internationaux\ à 120, soit plus d'un quart des rosters, et que les cinq meilleurs marqueurs de la présente saison proviennent de cinq pays différents.\n\nLe problème est de faire coïncider les calendriers des deux côtés de l'Atlantique.\n\n« C'est quelque chose que nous continuerons à examiner. Je pense qu'il s'agit de créer la meilleure compétition possible. Une partie du problème est le cycle de notre saison par rapport à l'Euroleague. Je ne pense pas qu'il soit réaliste qu'une équipe, par exemple, termine la finale, après ce dont nous avons tous parlé, c'est une très longue saison, puis aille encore jouer dans un autre tournoi. Et puis souvent, à cause du mouvement des joueurs dans cette ligue, c'est une équipe différente l'automne suivant, et ils ne sont pas encore conditionnés. Ils n'ont pas eu l'occasion de s'intégrer à l'équipe, puis ils entreraient directement dans la compétition ».\n\nLa solution possible ? Un tournoi à la mi-saison comme ceux que l'on voit partout en Europe comme la Leaders Cup en France.\n\n\n\n\n\n\n\n« Je pense que c'est à long terme que nous devrions voir cela – et cela pourrait résoudre le problème de la longue saison régulière. Je veux dire, par exemple, nous avons parlé d'un tournoi en cours de saison pour créer une excitation supplémentaire pendant la saison régulière. Il se peut qu'à un moment donné, il y ait un tournoi en cours de saison, mais il inclurait des clubs extérieurs à la NBA. Ce sont donc toutes des idées que nous continuerons à examiner ».\n\nA priori, il faudra attendre encore un peu pour voir ce type de projet se concrétiser, mais avant le McDo de 1987, qui croyait que les deux mondes allaient se donner la main ?\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/492791/retro-1991-les-los-angeles-lakers-de-magic-johnson-a-paris/\n\nPhoto : Adam Silver
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Le programme TV : L'équipe de France en clair sur France 4
L'équipe de France est à l'honneur cette semaine avec ses deux derniers matches de qualifications à la Coupe du Monde en clair sur France 4 et aussi en payant sur BeIN Sport. Conséquence : les championnats nationaux font relâche.\n\nJeudi 23 février :\n\n18h45 - République Tchèque/France - Qualif. Coupe du Monde - France 4 et BeIN Sports 2\n\nVendredi 24 février :\n\n20h00 - ASVEL/Anadolu Efes - Euroleague - Skweek\n\n20h45 - Barcelone/Monaco - Euroleague - Skweek\n\nDimanche 26 février :\n\n18h00 - France/Lituanie - Qualif. Coupe du Monde - France 4 et BeIN Sports 3\n\n\nLe programme de la semaine sur MCS Basket\nMercredi 22 février :\n03h00 - Indiana/Michigan State - Saison régulière - NCAA\nDimanche 26 février :\n02h00 - Virginia/North Carolina - Saison régulière - NCAA\n\nMCS Basket, c'est chaque année plus de 600 matches de basketball en direct et à la demande.\n\nCOMMENT REGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON 2022-2023 :\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE :\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse, entre autres, l'affiche de la journée de Betclic Elite, les équipes de France et la NBA. Ses chaines sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52 - Canal Sat : canaux 66 à 68 - Free : canaux 31 à 33 - Orange : canaux 45 à 47 ou 176 à 178 - SFR : canaux 115 à 117).\nSTATIONS REGIONALES DE FRANCE 3\nChaque weekend, France 3 retransmet du basket sur ses antennes régionales (Betclic Elite, Ligue Féminine, Pro B). Ses chaînes sont accessibles gratuitement et localement sur la TNT. Elles sont également accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 301 à 324, Free : canaux 301 à 326, Canal : canaux 350 à 373, Orange : canaux 211 à 236, SFR : canaux 431 à 456).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite diffuse une affiche par journée de saison régulière plus les playoffs de Ligue Féminine. Plusieurs émissions spéciales durant l'année, disponibles en replay (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\nLA CHAINE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe diffuse 30 rencontres d'Euroleague en clair cette saison (dont 23 affiches de saison régulière et 7 rencontres de playoffs) en direct ou en léger différé. Disponible sur le canal 21 de la TNT.\n\nSUR INTERNET (OTT) :\nLNB TV - LA PLATEFORME DIGITALE OTT DE LA LNB\nLa plateforme diffuse l'ensemble des matches (*qui ne sont pas diffusés par BeIN Sports et France 3) de Betclic Elite et de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay et sont tous commentés. Trois façons d’y accéder : sur le site LNB, sur le site LNB TV ou en téléchargeant l’application LNB sur iOS ou Android.\nSKWEEK\nTous les matches d'Euroleague masculine et féminine et ceux des équipes françaises en Eurocup sont diffusés en live et en replay sur la plateforme skweek.tv. Des avant-matches et des émissions spéciales chaque semaine.\nMCS BASKET\nLes matches des championnats d'Espagne, Italie, Turquie et de NCAA ainsi que la Coupe de France, la Coupe d’Espagne, la Coupe de Turquie et la Coupe d’Italie sont disponibles sur la plateforme MCS Basket.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de la FFBB - commentaires en français -, de la Basketball Champions League, de la FIBA et de la FIBA 3x3 diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : respectivement Ligue Féminine, BCL, Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.\nTWITCH\nLa chaîne First Team diffuse des matches des Metropolitans 92 gratuitement et en direct sur sa chaîne Twitch et sur LNB TV.\n\nPhoto : Nicolas Lang (FIBA)
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Angers remporte la Leaders Cup Pro B !
Dimanche après-midi, l’Etoile Angers Basket a remporté son premier titre professionnel en battant Boulazac en finale de la Leaders Cup Pro B 2023 (88-72). C’est la première fois qu’un promu s’impose dans l’histoire de la compétition !\n\nÀ jamais le premier ! Ce n’est peut-être pas le titre le plus prestigieux du basket français mais il est historique pour l’Etoile Angers Basket, qui vient de remporter ce dimanche après-midi l’édition 2023 de la Leaders Cup Pro B. Premier promu à se hisser en finale, qui plus est en restant invaincu sur l’intégralité de la compétition, le club du Maine-et-Loire a une fois de plus maîtrisé sa finale.\n\n\n\nDans une Arena de Saint-Chamond quasi-pleine, les hommes d’Ali Bouziane ont pris les devants dès le premier quart-temps (19-14). Porté par l’ancien Palois Yohan Choupas, 12 points en première mi-temps, l’Etoile a mis un coup de collier avant la pause (44-37) et a confirmé dans le troisième en n’encaissant que 13 points en 10 minutes (66-50).\n\n\n\nIncapables d’inscrire le moindre panier à 3-points jusqu’alors, les hommes d’Alexandre Ménard ont bien initié un retour par deux paniers primés de Raijon Kelly (66-58, 32e). Mais le matelas de 16 unités d’avance était trop confortable : Angers a retrouvé un nouveau souffle pour sécuriser la victoire finale.\n\n\nYohan Choupas en mode MVP\n\nDominateurs dans tous les secteurs de jeu et porté par leur collectif (les dix joueurs se sont partagés le temps de jeu et tous ont marqué), les Angevins n’ont pas volé leur trophée. Mention spéciale au MVP de cette finale, Yohan Choupas, 19 points à 7/10 aux tirs, 3 rebonds et 18 d’évaluation en 32 minutes. Mais aussi au capitaine courage Stephan Gauthier, meilleur +/- de la partie et auteur de 11 points, 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions et 1 contre en 22 minutes !\n\n\n\nCôté périgourdin, le sursaut d’orgueil de Raijon Kelly, remplaçant médical du leader Nic Moore blessé depuis janvier et auteur de 19 points à 7/10 aux tirs, n’a pas suffi à retourner la situation. Déjà finaliste de la compétition en 2016, le BBD - venu avec une centaine de spectateurs - repart une nouvelle fois bredouille.\n\nPalmarès Leaders Cup Pro B\n2015 : Antibes\n2016 : Bourg-en-Bresse\n2017 : Roanne\n2018 : Denain\n2019 : Roanne\n2020 : Nantes\n2021 : Fos-sur-Mer\n2022 : Évreux\n2023 : Angers\n\nAngers succède ainsi à Évreux, vainqueur de l’édition 2022. Tout va s’enchaîner très vite à Saint-Chamond puisque la grande finale de la Leaders Cup de première division aura lieu entre Bourg-en-Bresse et l’ASVEL (entre-deux à 18h30, à suivre sur La Chaîne L’Equipe et BeIn Sports). Un derby aux multiples retrouvailles.\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nBoxscore Boulazac - Angers\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653282/ali-bouziane-vainqueur-de-la-leaders-cup-pro-b-avec-angers-un-promu-invaincu-cest-unique/\n\nPhoto : Angers (Hervé Bellenger - LNB)
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Ali Bouziane, vainqueur de la Leaders Cup Pro B avec Angers, un promu invaincu : «C’est unique !»
Dimanche après-midi, l’Etoile Angers Basket a soulevé sa première Leaders Cup Pro B en battant Boulazac (88-72). Premier promu à soulever ce trophée, le tout en étant invaincu sur toute la compétition, le coach angevin Ali Bouziane peut savourer. Réactions.\n\nAli Bouziane (coach Angers) : « Je ne sais pas si c’est une première, mais 9 victoires et être invaincu dans la compétition, le tout en étant promu, c’est unique. On y est allés petit à petit. On a commencé sans savoir ce qu’on voulait, en étant dans la poule du tenant du titre, Évreux, et d’un club qui descend de Pro A, Orléans. Quand on sort invaincu de cette poule et qu’on tombe Chalon (NDLR : plus gros budget de Pro B), on s’est mis en mission. Ce qui n’était pas un objectif en soi l’est devenu, dans ce rôle d’outsider qui nous va très bien. Ce n’est surtout pas une consécration mais c’est une belle récompense. »\n\n« En finale, on a contrôlé le jeu. On a eu une semaine de préparation que Boulazac n’a pas eu, ça joue. On a beaucoup travaillé cette semaine et on était vraiment prêts. On les a maintenu à 4/20 à 3-points, c’était une stratégie payante. Les gars ont montré de très belles attitudes. On a parlé de sérénité, de contenu et de process, ce qui allait nous amener à la victoire. On ne voulait pas se mettre de pression. C’est ce qui a fait qu’on a pu rester serein. »\n\n« À titre personnel, c’est mon premier trophée en professionnel, j’apprends aussi. C’est un truc de malade. Qui aurait pu prédire qu’on fasse une telle saison ? Certains médias avaient pronostiqué que nous serions derniers du championnat. C’était mal connaître l’état d’esprit de nos joueurs. Tous ont quelque chose à prouver. On a joué sur ça. Au final, on a gagné contre toutes les équipes du top 5. Maintenant, notre seul objectif, ça reste le maintien. Il faut être humble. »\n\nYohan Choupas (Angers), MVP de la finale : « On ne peut qu’être heureux. Clairement, la victoire est une grosse satisfaction, et avec la manière en plus ! On s’est vraiment donné défensivement et offensivement. En championnat, on n’arrive pas à tenir 40 minutes. Ça n’a pas été le cas aujourd’hui mais on y est presque arrivés cette fois-ci, et cela a suffi malgré notre entame de quatrième quart-temps. La clé, c’était la détermination. Tout le monde a apporté. À titre personnel, j’ai forcé quelques tirs mais je me suis senti bien. J’ai essayé de faire ce que je savais faire. Ce trophée, c’est une récompense. C’est le fruit du travail réalisé depuis plusieurs années. »\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nBathiste Tchouaffe (Boulazac) : « On est tombé dans le piège d'Angers, on a subi leur agressivité. Ça nous a perturbé. C'était une finale, et l'équipe n'a pas joué à hauteur de son potentiel, et on est tombés dans un sentiment de frustration. La fatigue est arrivée par la suite. On a tout donné pour les accrocher mais ils ont mis de gros shoots. Il n'y a pas eu de doute, Boulazac ne doute pas, on l'a vu sur certains matches où on était menés et on avait réussi à changer le cours du match. On était en mode rien à perdre. On savait sur quoi on devait travailler. On a essayé de faire les choses au mieux. L'adresse ? Aujourd'hui, ce n'est pas rentré. Contrairement au match contre Lille où on s'est qualifié grâce à notre adresse. On ne peut pas dire qu'on était victime de la pression, non, on voulait juste ramener le premier trophée au club, c'était plus du fun. Je n'ai pas senti l'équipe sous pression, ou en tout cas sous une bonne pression. On était motivés. Maintenant, il faut qu'on se concentre sur le reste de la saison, on a encore pas mal d'objectifs en tête. On a une semaine de vacances, on va se consacrer à bien travailler. »\n\nAlexandre Menard (coach Boulazac) : « Ce n'était pas un problème d'envie. Je n'ai rien à reprocher à mes joueurs de ce côté-là. Même quand c'était dur, tout le monde a essayé avec l'énergie du désespoir de renverser la situation. On est aussi tombé face à une très belle équipe d'Angers. Mais on a manqué de discipline. On peut mettre de l'énergie tant qu'on veut, si on ne met pas de discipline, on ne va pas bien faire les choses, on va perdre des balles. On n'a pas réussi à contrecarrer tout ça. Je ne sais pas si c'est un manque de lucidité ou de discipline mais il nous a manqué trop de choses. Je ne parle pas de l'agressivité défensive, mais on n'a pas été capable de travailler ensemble là-dessus, d'être plus discipliné d'avoir un jeu plus fluide. On perd 22 balles et on laisse 15 rebonds offensifs alors qu'on est une équipe qui aime jouer up-tempo. Bien sûr, Angers a une semaine pour se préparer, mais ne comptez pas sur moi pour en faire une excuse. La plus forte équipe a gagné. On a peut-être eu aussi un manque de lucidité, mais certains joueurs n'étaient pas au mieux. Baptiste Tchouaffe a joué avec une entorse, Clément Cavallo souffrait encore d'une béquille aux ischio-jambiers, Paul Billong d'une déchirure au mollet, et on est toujours en train d'intégrer Raijon Kelly. Tout ça n'était pas suffisant pour contrecarrer le jeu de cette équipe d'Angers. Maintenant, il faut nous régénérer et continuer à travailler. »\n\n\n\n\n\n\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653281/angers-remporte-la-leaders-cup-pro-b/\n\nPhoto : Ali Bouziane (Hervé Bellenger - LNB)
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L'ASVEL s'offre sa première Leaders Cup !
Dans sa large armoire à trophées, l'ASVEL ajoute une première Leaders Cup au côté notamment d'un trophée de la Semaine des As gagné en 2010. Elle a dominé la JL Bourg en finale (83-74)avec un Nando De Colo royal, qui a été élu MVP.\n\nLes Villeurbannais ont montré les crocs durant cette Leaders Cup et après avoir submergé Boulogne-Levallois et Le Mans, lourdement handicapés, ils n'ont laissé aucune chance à une équipe pleine et entière qui avait éliminé en amont Monaco, le favori, et Dijon, le tenant du trophée.\n\nC'est forcément frustrant d'avoir vécu une finale à sens unique, mais si les Burgiens ont été incapables de déployer leur jeu bien léché et de mettre en position leurs shooteurs, c'est sans doute un peu pour avoir succombé à la fameuse pression qui entoure ce type d'évènement, mais surtout à l'intensité made-in-Euroleague mise par l'ASVEL, qui a bénéficié d'un Nando De Colo cinq étoiles (20 points, 4 rebonds, 3 passes).\n\n\n\n\nLa Jeu perd pied\n\nIl n'y a pas eu de round d'observation et le premier quart-temps est passé très vite. L'ASVEL a fait savoir que son axe De Colo-Fall allait peser dans le match et qu'il allait tenir solidement le rebond. Ça fusait de toutes parts et les Villeurbannais, avec 61,5 % de réussite sur les dix premières minutes, se sont retrouvés rapidement avec un petit pécule en poche (17-10, 25-17).\n\nL'arbitrage énervait Freddy Fauthoux qui écopait d'une faute technique et deux pénétrations de Nando De Colo plus tard, la barre des dix points d'avance était largement perforée (35-21, 14e). Très clairement, l'ASVEL passait dans une dimension supérieure avec le magicien du Nord sur le terrain.\n\n\n\n\n\n\n\nLes Burgiens paraissaient crispés, et avec un missile longue portée de Dee Bost, puis un 2+1 de Jonah Mathews l'écart montait à +22 (45-23) suite à un 18 à 2 dévastateur. Alors que Charles Kahudi faisait preuve de ses dons d'ubiquité, la JL perdait complètement pied, incapable de jouer avec l'intensité requise et manquait des occasions... immanquables. Le bilan statistique à la mi-temps était forcément cruel pour les Burgiens. Outre les 20 points d'écart (25-45), il y avait la différence qui piquait les yeux à l'évaluation (58 à 20) et encore au rebond (21 à 13).\n\n\n\n\nSuper Kahudi\n\nÀ l'image de ce trois-points de James Palmer Jr, la JL Bourg sonnait la révolte, débutait enfin sa finale et se lançait dans une opération grignotage avec Jordan Floyd en figure de proue. Une 3e faute obligeait Nando De Colo à rejoindre le banc. L'ASVEL était davantage laxiste en défense et de l'autre côté Freddy Fauthoux multipliait les stratégies. C'est ainsi que la Jeu est revenu à 56-45 (27e), mais impossible d'en faire davantage. Revenu sur le terrain, De Colo contrôlait le tempo et nous gratifiait d'un superbe layup au buzzer du 3e quart-temps (64-47).\n\nLa machine verte - pardon noire - était repartie (73-50). Et si la Jeu a pu croire à un retour impossible avec un 0-11 infligé à son adversaire avec un très bon passage d'Hugo Benitez, pas question pour l'ASVEL de s'endormir. Nando De Colo ou Charles Kahudi, auteur d'un dunk surpuissant, étaient là pour dissiper le moindre doute. L'écart final ramené à neuf points est anecdotique. L'ASVEL était bien la meilleure équipe sur les trois jours de compétitions : elle peut savourer la première Leaders Cup de son histoire !\n\nBoxscore ASVEL - Bourg\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653311/nando-de-colo-mvp-de-la-leaders-cup-jessaie-de-montrer-lexemple-chaque-jour/ https://www.basketeurope.com/livenews-fr/653299/lasvel-savoure-sa-premiere-leaders-cup-t-j-parker-cest-le-seul-titre-qui-nous-manquait/ https://www.basketeurope.com/livenews-fr/653298/frederic-fauthoux-et-la-jl-bourg-battus-en-finale-de-la-leaders-cup-lasvel-a-cette-experience-que-lon-na-pas/\n\nPalmarès Leaders Cup\nSous l’appellation Tournoi des As\n1988 : Limoges CSP\n1989 : Mulhouse BC\n1990 : Limoges CSP\n1991 : EB Pau-Orthez\n1992 : EB Pau-Orthez\n1993 : EB Pau-Orthez\n\nSous l’appellation Semaine des As\n2003 : EB Pau-Orthez\n2004 : JDA Dijon\n2005 : SLUC Nancy\n2006 : Le Mans SB\n2007 : Chorale de Roanne\n2008 : Cholet Basket\n2009 : Le Mans SB\n2010 : ASVEL\n2011 : BCM Gravelines-Dunkerque\n2012 : Chalon-sur-Saône\n\nSous l’appellation Leaders Cup\n2013 : BCM Gravelines-Dunkerque\n2014 : Le Mans SB\n2015 : Strasbourg IG\n2016 : AS Monaco\n2017 : AS Monaco\n2018 : AS Monaco\n2019 : Strasbourg IG\n2020 : JDA Dijon\n2021 : Édition annulée (Covid-19)\n2022 : Édition annulée (problèmes économiques)\n2023 : ASVEL\n\nPhoto d'ouverture : Nando De Colo, Léo Morillon - LNB
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Frédéric Fauthoux et la JL Bourg battus en finale de la Leaders Cup : «L’ASVEL a cette expérience que l’on n’a pas»
Dimanche soir, l’ASVEL a privé la JL Bourg du premier titre de son histoire en Leaders Cup (83-74). Réactions du coach bressan Frédéric Fauthoux et des anciens Dijonnais Axel Julien et Alexandre Chassang.\n\nFrédéric Fauthoux, coach de la JL Bourg : « (Sur la puissance physique de l'ASVEL) On est d'accord avec ce jeu-là ou pas. On a joué cinq matches en une semaine avec ce match de Coupe de France au milieu, et on n'a pas supporté le défi physique de l'ASVEL. Je pense aussi que l'enjeu de cette finale a pesé sur mes joueurs, qui n'ont pas beaucoup vécu ça. L'ASVEL a des joueurs expérimentés sur ce point-là, elle a cette expérience que l’on n’a pas. Mais je remercie les gars pour ce qu'ils ont proposé, un basket qui peut nous faire avancer. On doit encore progresser sur le vice, sur les impacts qu'on doit absorber. Nous on se fait tamponner, et on veut résister. Ça me rappelle un classement dans Maxi Basket sur les joueurs les plus vicieux, les trois premiers du classement étaient aussi ceux qui avaient le plus de titres. Bravo à l'ASVEL, j'espère que le patron est content. Nous on y croyait, on ne l'a pas eu, mais on a passé un très bon weekend de basket, vous aussi j'espère. Sur le défi physique, l'approche de ces matches, il faut qu'on arrive à être plus conquérants. L'ASVEL est arrivée avec plus de fraîcheur physique. Mais il y a aussi d'autres choses. Ces dix lancers francs à zéro à la mi-temps, ce n'est pas rien... Eux, ils ont cette expérience. »\n\n\n\nAxel Julien, meneur de la JL Bourg : « On a été vite impactés par leur physique, ils nous ont clairement empêché de dérouler le basket qu'on avait proposé depuis deux semaines. On savait qu'il fallait jouer correctement pour l'emporter. Et en première mi-temps, on n’a fait que subir. On rentre au vestiaire avec 20 points de retard, c'est difficile de revenir. On a eu du mal à trouver des solutions, et notre début de match nous a fait perdre un peu confiance en nous. On a hésité, on n'a pas été assez agressif, on n'arrivait pas à être récompensé par des fautes. 23-8 dans le deuxième quart-temps, ça fait mal. Cette première mi-temps nous est restée en travers de la gorge. J'espère que tous ces matches vont nous servir. Contre Monaco et Dijon, on était dans le mieux qu'on puisse faire. Il aurait fallu que tout le monde mette la main à la pâte, ça a été compliqué, pour moi le premier. Il faut que tout ça nous serve pour les prochaines échéances. Que ça nous donne encore plus faim. »\n\n\n\n\n\n\n\nAlex Chassang, intérieur de la JL Bourg : « On n'est pas rentré dans ce match comme on a su rentrer dans les autres. Ils ont vite mis de l'intensité, c'est devenu difficile de résister. Même si, par moments, on a laissé un peu trop les choses se faire. C'est une équipe qui sait gagner, même si elle a changé, elle sait gagner des titres. À la fin, c'est toujours eux qui gagnent. On n'a pas fait le match qu'on aurait pu faire, par rapport à ce qu'on a montré en quart de finale et en demi-finale. Mais ce match est important pour nous parce qu'on sait qu'on va montrer un autre visage en deuxième partie de saison ».\n\nÀ Saint-Chamond, avec Liliane Trévisan.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653311/nando-de-colo-mvp-de-la-leaders-cup-jessaie-de-montrer-lexemple-chaque-jour/\n\nPhoto : Freddy Fauthoux (Hervé Bellenger - LNB)
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
L’ASVEL savoure sa première Leaders Cup - T.J. Parker : «C’est le seul titre qui nous manquait»
Dimanche soir, l’ASVEL a soulevé la première Leaders Cup de son histoire en battant la JL Bourg en finale (83-74). Si l’on excepte la dernière Coupe de France, l’équipe de T.J. Parker rafle tout depuis trois ans. Réactions.\n\nT.J. Parker, coach de l’ASVEL : « (Ce titre) passe surtout par la défense. On l’a vu déjà hier, on a fait la même chose aujourd’hui. Pourtant, ils étaient très fort offensivement avec 95 points de moyenne sur les cinq derniers matches en shootant à 52 % à 3-points. On a bien appliqué ce qu’on voulait faire, on n’a rien laissé passer. On a vraiment été dominants. C’était une très grosse prestation. L’expérience fait la différence sur ce genre de matches. On a des grands joueurs d’expérience, ils savent comment gagner des finales. Et ça montre aussi aux jeunes comment gagner, c’est bien. Charles (Kahudi) a été exemplaire. Il était touché un peu partout dans son corps avant le tournoi. Il a serré les dents, il a pris des anti-inflammatoires pendant trois jours, et derrière il sera off pendant une semaine. Son dunk ? J’ai été surpris (rires).\n\n\n\nC’est le seul titre, c’est le seul qui nous manquait. Il fait plaisir, et pour moi aussi. Le jour où je partirai de l’ASVEL, je pourrai dire que j’ai gagné les trois trophées majeurs du championnat de France. C’est une fierté. Bien sûr, quand tu as des joueurs qui donnent tant de sérieux, ça aide. Les joueurs qui signent à l’ASVEL, ils savent pourquoi ils viennent : c’est d’abord pour gagner des titres. La Leaders Cup, c’était un vrai objectif. En tout cas, je suis vraiment fier de faire ça pour le club de l’ASVEL. On va déjà apprécier celui-là, et se reposer car on n’a déjà fait beaucoup de matches depuis le début de saison. On va repartir de l’avant en Euroleague, puis en championnat et en Coupe de France. On verra le reste plus tard. »\n\n\n\n\n\n\n\nCharles Kahudi, capitaine de l’ASVEL : « Regagner un trophée, c’était un objectif qu’on avait. Les raisons ? C’est la culture de la gagne, c’est l’expérience, c’est la chance que l’on provoque. L’attitude, c’est super important. Après, on n’a encore eu des petits moments de lucidité dans le troisième quart-temps. Bon, on a réussi à lever la tête, c’est très bien, il faut construire dessus. J’espère qu’on a pris conscience de comment gagner. Ce titre, c’est le premier de la saison, c’est très bien. On s’est donné les moyens d’aller gagner cette victoire en faisant douter une équipe de Bourg qui joue un très bon basket en ce moment. Je suis confiant pour la suite. On va continuer à construire parce que les prochaines échéances arrivent vite. »\n\nÀ Saint-Chamond.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653311/nando-de-colo-mvp-de-la-leaders-cup-jessaie-de-montrer-lexemple-chaque-jour/\n\nPhoto : ASVEL (Hervé Bellenger - LNB)
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ITW Nando De Colo, MVP de la Leaders Cup : «J'essaie de montrer l'exemple chaque jour»
Leader spirituel de l’ASVEL durant les trois jours de compétition et encore en finale (20 points à 7/11 aux tirs, 4 rebonds, 3 passes), Nando De Colo (1,95 m, 35 ans) a logiquement été élu MVP de la Leaders Cup. Le Nordiste peut savourer son premier titre sous les couleurs villeurbannaises.\n\nL’ASVEL a tenu son rang de leader durant cette Leaders Cup...\n« Un rôle de leader, c’est un grand mot, je pense. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de personnes qui nous voyaient aller jusqu’au bout. On savait que c’était une compétition à part. Comme dit plus tôt par T.J., on a eu un début de saison très difficile mais on ne lâche pas. Pour ma part, j’essaie de montrer l’exemple chaque jour, d’être au contact de mes coéquipiers et du coaching staff pour que l’équipe s’améliorer de jour en jour. On s’était bien dit les choses avant cette compétition. On avait déjà eu un petit avant goût avec Roanne en Coupe de France. Ça n’avait rien à voir avec la Leaders Cup mais ça nous a mis dans le rythme des matches à élimination directe. Derrière, on était concentrés sur l’objectif qu’on voulait atteindre. Tout le monde veut faire des efforts pour le collectif, et c’est le plus important. »\n\nEst-ce la première fois que vous ressentez une alchimie au sein de cet effectif villeurbannais ?\n« On a déjà eu une alchimie cette saison, par moments. Mais on savait qu’il fallait de la consistance pour aller au bout de cette Leaders Cup et, surtout, qu’il fallait compter sur tous les joueurs. On sait à quel point c’est compliqué d’enchainer les matches. On a vraiment fait les efforts pour être concentrés du début à la fin et c’est ce qui a fait la différence. »\n\n\n\nQuel parallèle pouvez-vous faire avec la semaine des As que vous avez remporté en 2008 avec Cholet, en étant élu MVP ?\n« C’était un peu dans le même style, après un mois de janvier très compliqué à l’époque. Et sur une Semaine des As, on s’était vraiment retrouvé un collectif qui nous avait permis de finir la saison beaucoup mieux qu’elle n’avait commencé. Et de gagner la compétition bien sûr. Aujourd’hui, je ressens un peu la même chose avec l’ASVEL. La seule différence, c’est que j’étais reparti avec une médaille autour du cou... (rires) »\n\n\n« Tous les titres que j’ai pu avoir dans ma carrière, je ne les prends pas pour acquis »\n\nEt vous repartez avec ce trophée de MVP...\n« C’est très bien, mais c’est vraiment un détail pour moi, sans mettre de côté l’importance de ce titre. Tous les titres que j’ai pu avoir dans ma carrière, je ne les prends pas pour acquis. Mais ce qu’il faut retenir sur cette compétition, c’est à quel point on a été costauds collectivement des deux côtés du terrain. Chacun a fait sa part du boulot. »\n\nEn quoi la dureté de l’Euroleague peut-elle faire la différence dans une finale comme celle-ci ?\n« Je pense que c’est plus en fonction de l’expérience des uns et des autres plutôt que le fait de jouer l’Euroleague. Aujourd’hui, on a des joueurs comme Dee Bost, David (Lighty) ou Charles (Kahudi), qui ont plus d’expérience que d’autres. En début de saison, on était sur un groupe très jeune. On n’a pas changé beaucoup de joueurs mais on a su rééquilibrer un peu notre effectif. Sur cette compétition, tous les joueurs ont su faire ce qui était important pour faire gagner l’équipe. C’est sur ces détails qu’on voit l’expérience. »\n\n\n\nL’arrivée de Dee Bost a-t-elle changé l’équipe ?\n« Je suis tout à fait d’accord. Sans manquer de respect à personne, on était partis avec des joueurs très inexpérimentés. On en était tous conscients. On a essayé de faire les efforts. Sur certains, ça commence à fonctionner. Sur d’autres, ça a été beaucoup plus compliqué et on a dû réorganiser l’équipe. Et Dee Bost, c’est certes un joueur qui n’avait pas beaucoup joué en Euroleague mais qui avait plusieurs expériences à l’international donc c’est évidemment un plus. Dès le premier jour, on a su bien communiquer ensemble pour se dire clairement les choses et avancer dans le droit chemin. »\n\nÀ titre personnel, avez-vous dû réajuster votre rôle ?\n« Pas spécialement. J’étais toujours là pour dire aux gars quand il fallait bosser. Dans une saison, il faut être le plus constant possible. Ce n’est pas parce qu’on fait une série de cinq victoires qu’on a le droit de se relâcher le jour d’après. C’est comme ce soir, il faut en profiter mais dès le prochain entraînement, il faudra être prêt pour la suite. Quant à mon rôle, je le connais et je sais ce qu’on attend de moi. »\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nRegagner devant le public français, est-ce important pour vous ?\n« Je le répète à chaque fois. Avant tout, mes premières pensées vont à ma femme et mes filles. Ce sont mes premières supportrices. Il y avait mes parents dans la salle, en plus. Et je suis très content que notre groupe de fans ait pu faire le déplacement, même si on était pas loin de Lyon. C’est important de le souligner. En tout cas, je me concentre sur l’équipe. La victoire est belle et elle est méritée. »\n\nVous qui aviez vécu ça d’un oeil extérieur avant ce titre, comment situez-vous la domination de l’ASVEL depuis quelques années ?\n« Ce que l’ASVEL fait sur le terrain national, c’est quelque chose qu’aucune équipe n’a pu faire. C’est presque à moi de vous poser la question : est-ce que vous trouvez ça impressionnant, vous ? Ce qui est important, c’est que les joueurs viennent à l’ASVEL parce qu’ils connaissent le palmarès. Moi, je suis venu parce que je sais ce que j’ai envie. Et derrière, il faut être capable d’assumer ces responsabilités. »\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nVotre président Tony (Parker) a été très proche de l’équipe ces derniers jours. Ça pèse auprès du groupe ?\n« C’est une question qu’il faut poser aux autres joueurs, je pense. Est-ce que ça pèse ? Oui, sans doute. Je me vois arriver dans les couloirs de l’Astroballe où je vois sur le mur \ce qui me motive, c’est les titres\, signé Tony Parker. Et je le vois avant chaque match. Moi, c’est dans ma mentalité. Si je suis là 1h30 avant chaque entraînement, c’est parce que j’ai envie de faire le maximum pour l’équipe et d’aller chercher le plus de titres possibles. Après, on sait à quel point c’est difficile donc il faut respecter chaque victoire, prendre conscience de ce qu’on a fait et continuer d’avancer. Après, ce qui se passe à côté... On est assez sereins entre nous pour se dire les choses et se remettre en place quand il y a besoin. »\n\nCette compétition peut-elle vous permettre d’inverser la tendance avec Monaco sur la suite de la compétition ?\n« Chaque chose en son temps. Il faut prendre les choses les unes après les autres. Aujourd’hui, c’est profiter du moment. Ensuite, c’est se remettre en route après quelques jours off. Et puis il faudra se concentrer sur les prochaines échéances. On sait que Monaco a une équipe très complète avec des individualités très fortes. Quand ce sera le moment de les jouer, on essaiera de faire le maximum pour inverser la tendance (quatre défaites en quatre matches) ».\n\nÀ Saint-Chamond.\n\n\n\nLes MVP de la Leaders Cup - Palmarès\n2013 : Ludovic Vaty (Gravelines-Dunkerque)\n2014 : J.P. Batista (Le Mans)\n2015 : Antoine Diot (Strasbourg)\n2016 : Jamal Shuler (Monaco)\n2017 : Sergiy Gladyr (Monaco)\n2018 : D.J. Cooper (Monaco)\n2019 : Jarell Eddie (Strasbourg)\n2020 : Rasheed Sulaimon (Dijon)\n2023 : Nando De Colo (ASVEL)\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/653299/lasvel-savoure-sa-premiere-leaders-cup-t-j-parker-cest-le-seul-titre-qui-nous-manquait/\n\nPhoto : Nando De Colo (Hervé Bellenger - LNB)
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Lors de la saison 1969-70, la moyenne de spectateurs en première division était de... 495
Il y avait donc moins d'un demi-millier de spectateurs, en moyenne, en première division. Pour booster les affluences, cinq ans plus tard, le président de la fédération eut une excellente idée... qui n'est toujours pas appliquée.\n\nC'est Surlatouche qui a exhumé deux articles parus dans la presse de l'époque.\n\nDans le premier, on apprend que 20 353 spectateurs ont assisté à la saison 1969-70 de Nationale 1 -la Betclic Elite actuelle-, soit 495 de moyenne pour 12 équipes. Ce n'était pas beaucoup, même si curieusement n'étaient pas inclus les abonnés, mais pas sûr qu'il y en ait des centaines, et accessoirement les invitations.\n\nEn haut de la liste, on trouvait Tours et son palais des sports avec 1 850 spectateurs en moyenne, suivi de Villeurbanne (1 384) et de sa Maison des Sports et du Mans (1 325), qui au cours de cette saison-là passa de la Salle Gouloumès à la Rotonde qui, avec cinq milliers de places assises avait la plus forte capacité de la division. A l'autre bout de l'échelle, les deux clubs de Paris, le PUC (187) et le Racing (173) faisaient pâle figure.\n\nOn se garde bien de convertir les Francs des recettes de l'époque en Euros d'aujourd'hui.\n\nBonne nouvelle: les affluences de la saison suivante furent nettement supérieures; le Racing parvenant, par exemple, à atteindre plus ou moins la barre des 700.\n\nIl faut rappeler que les enceintes à l'époque étaient pour la plupart minuscules, et on apprend dans un autre article daté cette fois-ci de 1975 que le président de la fédération, Robert Busnel, envisageait de rendre obligatoire la mise à disposition d'une salle de 4 000 places pour jouer en 1ère division. Seule la moitié des équipes auraient alors été qualifiables.\n\nVisionnaire Busnel, sauf que ce plan ne fut jamais mis en oeuvre. Pire, 48 ans plus tard, la Ligue Nationale de Basket autorise toujours SEPT clubs (Blois, Boulogne-Levallois, Bourg, Gravelines, Fos, Le Portel, Nanterre) sur DIX-HUIT à évoluer dans des enceintes inférieures à 4 000 places.\n\nEn Espagne, aucune des arenas de la liga ACB fait moins de 5 000 places. Pas besoin de vous faire un dessin.\n\nPhoto : Palais des sports de Tours
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La mock draft des Bleus pour la Coupe du Monde. Vol. 2
Et si nous faisions de la liste des Bleus pour la Coupe du Monde de cet été un feuilleton digne d’une mock draft NBA ? 30 noms, une évolution de la liste tous les mois selon les performances des uns et des autres, des blessures, des déclarations, des commentaires, une hiérarchie sur les cinq postes ? Après l’épisode 1 en janvier, voici l’épisode 2, juste avant la sixième et dernière fenêtre de qualification.\n\nL’objectif et le mode d’emploi ? Voir se dessiner les futurs lottery picks, entendez les 14 joueurs qui composeront la liste finale, ramenée à 12 noms juste avant le début de la compétition. Notre liste de 30 noms accueille six joueurs pour chacune des cinq positions. Évidemment, la rédaction assume une certaine subjectivité.\n\nJoel Embiid ? Sur le talent pur et le passeport, il devrait être numéro 1. Encore faut-il qu’il ait envie de rejoindre l’équipe cet été. Adrien Moerman ? Il a annoncé sa retraite internationale. Fabien Causeur ? On a cru à un retour en 2022 mais finalement non. Rien n’indique qu’il pourrait revenir, Thomas Heurtel, Louis Labeyrie, Livio Jean-Charles ? Pour l’instant, leurs signatures en Russie les ont exclus du groupe, ce qui explique leurs absences de notre tableau.\n\nAprès vient la question des postes. Nando De Colo est-il un 2 ou un 1. Nous avons tranché, par rapport à dernière utilisation en Bleu, en 2021 à Tokyo. Et comme aucun autre titulaire ne se dégage clairement. Batum, poste 3 ou 4. Et Wembanyama ? Poste 1, 2, 3, 4 ou 5 ?\n\nAu final, une certitude. Jamais le réservoir français n’a été aussi profond. Il faut féliciter toute la filière de formation française, clubs, fédération, entraineurs. Le nouveau format de compétitions internationales avec des fenêtres de qualification régulière a également permis à des joueurs de faire leurs preuves sur le terrain, de se familiariser avec le système de Vincent Collet. Et régulièrement désormais, ces derniers viennent bousculer la hiérarchie supposée des joueurs en fonction de leur CV et de leur pedigree. Rendant le processus de sélection encore plus intéressant.\n\nDites-nous ce que vous en pensez !\n\n\nEpisode 2 – Février 2023\n\n\nNotre mock draft des Bleus\n\nRangJoueursPosteCommentaire1 (=)Rudy Gobert5Plus de 75% aux tirs en février et les Wolves en playoffs. Solide.2 (+1)Victor Wembanyama4-5Toujours plus surveillé par les défenses mais toujours efficace.3 (+1)Nando De Colo1-2Le meilleur scoreur de l’histoire des coupes d’Europe monte en régime.4 (-2)Evan Fournier2-3Il est bon quand il joue. Mais il ne joue pratiquement pas. Inquiétant?5 (+4)Joel Embiid5L’environnement des Bleus semble confiant qu’il joue. Dès 2023?6 (-1)Nicolas Batum3-4Sobre mais clutch avec les Clippers contre les Knicks. Taille patron.7 (-1)Guerschon Yabusele4L’ours danse à nouveau après sa blessure au genou de décembre.8 (+2)Elie Okobo2-1Il prouve avec Monaco qu’il est désormais un joueur de très haut niveau.9 (+3)Timothé Luwawu-Cabarrot3-2Depuis sa signature à Milan, il reprend des sensations.10 (-3)Andrew Albicy1Très solide et très en jambes avec Gran Canaria.11 (+2)Moustapha Fall5Le grand Mous réalise une très belle saison d’Euroleague.12 (+2)Sylvain Francisco1Eliminé contre Dijon en BCL mais patron. 33 points en demi-finale de coupe.13 (-5)Terry Tarpey3-2Revient de blessure. Épaule douloureuse qui diminue son rendement.14 (-3)Vincent Poirier5Trois évaluations négatives sur ses quatre derniers matches d’Euroleague. Dans le trou.15 (+7)Mathias Lessort5Dans les candidats pour le MVP d’Euroleague.16 (+2)Frank Ntilikina1-2Titularisé en raison des blessures. Atout? Il connait bien les Bleus.17 (=)Amath M’Baye4Il fait une bonne saison de championnat avec l'Anadolu Efes.18 (+3)Rodrigue Beaubois2Courtisé par Boris Diaw, d’après Alain Digbeu, en pleine bourre.19 (=)Mouhammatou Jaiteh5Solide avec Bologne, vraiment efficace à chaque entrée.20 (-4)Killian Hayes1-2Pas très convaincant depuis son passage raté à Paris.21 (-5)Isaïa Cordinier3-2Blessé ànouveau contre l’ASVEL au pied.Out pour plusieurs semaines.22 (+7)Juhann Begarin2Il montre chaque semaine qu’il est solide.23 (+1)Nicolas Lang2-3Un vrai patron pour Limoges dans la difficulté en ce moment.24 (+2)Damien Inglis4Super duo avec Albicy à Gran Canaria.25 (+2)Amine Noua4Intensité et tir extérieur pour compenser sa petite taille.26 (-6)Théo Maledon1-2Relégué en G-League. Et pourtant Charlotte ne joue rien cette saison.27 (-4)Yakuba Ouattara2-3Pas trop utilisé par son coach avec Monaco.28 (new)Jaylen Hoard4-38 points et 5 rebonds avec Tel Aviv. 30 d’éval en Eurocup fin janvier. Devant Petr Cornelie.29 (+1)Axel Toupane3Défenseur référencé. Physique de très haut niveau. Devant Axel Bouteille.30 (-5)William Howard3-4Toujours blessé, doit se faire opérer.\n\n*Actuellement en Russie, Thomas Heurtel, Louis Labeyrie, Livio Jean-Charles et Adrien Moerman n’ont pas été inclus dans ce top 30\n\n\n\n\n\n\n\n\nPar poste\n\n\nLes meneurs\n\nRangJoueursPosteCommentaire3 (+1)Nando De Colo1-2Le meilleur scoreur de l’histoire des coupes d’Europe monte en régime.10 (-3)Andrew Albicy1Très solide et très en jambes avec Gran Canaria.12 (+2)Sylvain Francisco1Eliminé contre Dijon en BCL mais patron. 33 points en demi-finale de coupe.16 (+2)Frank Ntilikina1-2Titularisé en raison des blessures. Atout? Il connait bien les Bleus.20 (-4)Killian Hayes1-2Pas très convaincant depuis son passage raté à Paris.26 (-6)Théo Maledon1-2Relégué en G-League. Et pourtant Charlotte ne joue rien cette saison.\n\n*Suspendu par la fédération, Thomas Heurtel n’a pas été inclus dans ce classement\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes arrières\n\nRangJoueursPosteCommentaire4 (-2)Evan Fournier2-3Il est bon quand il joue. Mais il ne joue pratiquement pas. Inquiétant?8 (+2)Elie Okobo2-1Il prouve avec Monaco qu’il est désormais un joueur de très haut niveau.18 (+3)Rodrigue Beaubois2Courtisé par Boris Diaw, d’après Alain Digbeu, en pleine bourre.22 (+7)Juhann Begarin2Il montre chaque semaine qu’il est solide.23 (+1)Nicolas Lang2-3Un vrai patron pour Limoges dans la difficulté en ce moment.27 (-4)Yakuba Ouattara2-3Pas trop utilisé par son coach avec Monaco.\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes ailiers\n\nRangJoueursPosteCommentaire6 (-1)Nicolas Batum3-4Sobre mais clutch avec les Clippers contre les Knicks. Taille patron.9 (+3)Timothé Luwawu-Cabarrot3-2Depuis sa signature à Milan, il reprend des sensations.13 (-5)Terry Tarpey3-2Revient de blessure. Épaule douloureuse qui diminue son rendement.21 (-5)Isaïa Cordinier3-2Blessé ànouveau contre l’ASVEL au pied.Out pour plusieurs semaines.29 (+1)Axel Toupane3Défenseur référencé. Physique de très haut niveau. Devant Axel Bouteille.30 (-5)William Howard3-4Toujours blessé, doit se faire opérer.\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes ailiers-forts\n\nRangJoueursPosteCommentaire2 (+1)Victor Wembanyama4-5Toujours plus surveillé par les défenses mais toujours efficace.7 (-1)Guerschon Yabusele4L’ours danse à nouveau après sa blessure au genou de décembre.17 (=)Amath M’Baye4Il fait une bonne saison de championnat avec l’Anadolu Efes.24 (+2)Damien Inglis4Super duo avec Albicy à Gran Canaria.25 (+2)Amine Noua4Intensité et tir extérieur pour compenser sa petite taille.28 (new)Jaylen Hoard4-38 points et 5 rebonds avec Tel Aviv. 30 d’éval en Eurocup fin janvier. Devant Petr Cornelie.\n\n*Actuellement en Russie, Louis Labeyrie, Livio Jean-Charles et Adrien Moerman n’ont pas été inclus dans ce top 30\n\n\n\n\n\n\n\n\nLes pivots\n\nRangJoueursPosteCommentaire1 (=)Rudy Gobert5Plus de 75% aux tirs en février et les Wolves en playoffs. Solide.5 (+4)Joel Embiid5L’environnement des Bleus semble confiant qu’il joue. Dès 2023?11 (+2)Moustapha Fall5Le grand Mous réalise une très belle saison d’Euroleague.14 (-3)Vincent Poirier5Trois évaluations négatives sur ses quatre derniers matches d’Euroleague. Dans le trou.15 (+7)Mathias Lessort5Dans les candidats pour le MVP d’Euroleague.19 (=)Mouhammatou Jaiteh5Solide avec Bologne, vraiment efficace à chaque entrée.\n\n\n\n\n\n\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/647628/la-mock-draft-des-bleus-pour-la-coupe-du-monde/\n\nPhoto d'ouverture : Nicolas Batum (FIBA)
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
VTB League : 8 500 spectateurs au All-Star Game
L'équipe Old School a battu l'équipe New School, 148-140, lors du All-Star Game de la VTB League, qui s'est tenu à Moscou.\n\nDans ce match où les défenses n'ont pas été... invités, Malik Dime de Parme pour les vainqueurs (30 points), qui a été élu MVP, et Andrei Martyuk du Lokomotiv-Kuban pour les perdants (34) ont été les plus productifs.\n\nBlessé, Thomas Heurtel n'y a pas participé tout comme Alexey Shved, et Nikola Milutinov, alors que Louis Labeyrie n'est entré en jeu que cinq minutes pour marquer trois points.\n\nDallas Moore a remporté le concours de tirs à trois-points, et son équipier au CSKA Samson Ruzhentsev celui du concours de dunks.\n\nLe premier All-Star Game de la VTB United League a eu lieu en 2017 à Sotchi, le second, en 2018 à Saint-Pétersbourg, et les autres éditions à la VTB Arena de Moscou.\n\n\Nous avons une salle à guichets fermés. Il y a environ huit mille cinq cents spectateurs dans les tribunes. Il y aurait pu en avoir plus, mais une scène a été érigée derrière un panneau, il n'y a pas de tribune\, a déclaré Ilona Korstine, la DG de la VTB League. \La ligue a gagné environ 14 millions roubles (NDLR : 180 000 euros) de la vente des billets. Je note que pour la première fois après la pandémie nous n'avons aucune restriction pendant, nous avons été autorisés à vendre des billets pour tous les sièges. Je suis heureuse que chaque année, l'intérêt pour le match des étoiles de la VTB United League soit très élevé et que les gens veuillent se rendre à notre événement. Les meilleurs billets ont été vendus presque immédiatement. De nombreux amis et connaissances m'ont écrit personnellement pour demander des billets. C'est formidable que le All-Star Game soit demandé et populaire, nous proposons quelque chose de nouveau chaque année pour surprendre les fans.\\n\nIlona Korstine, ancienne joueuse de Bourges, et internationale russe, a par ailleurs participé à un match des célébrités avec notamment le président de la fédération Andrei Kirilenko, d'autres anciens joueurs, des dirigeants de clubs et des hommes politiques.\n\nPhoto : Andrei Kirilenko, au milieu, et Ilona Korstine, à droite.\n\nPhoto d'ouverture : Malik Dime (VTB League)
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
WNBA : Brittney Griner jouera avec le Phoenix Mercury l'été prochain
Après avoir manqué la saison 2022 en raison de son incarcération en Russie, Brittney Griner (2,06 m, 32 ans) a signé un nouveau contrat avec le Phoenix Mercury.\n\nBrittney Griner a été condamnée à neuf ans de prison pour trafic de drogue et a effectué dix mois de détention avant d'être libérée en échange du marchand d'armes Viktor Bout.\n\nFree agent, l'Américaine avait prévenu qu'elle avait l'intention de rejouer avec le Mercury, son club depuis 2013 en WNBA. Le dernier match de la double championne olympique remonte à 2021, un été où elle avait cumulé 20,5 points et 9,5 rebonds de moyenne.\n\nA Phoenix, elle fera équipe avec Diana Taurasi, 40 ans, qui a également prolongé son contrat.
Expliquez les points forts de :
Europe : Les vainqueurs des Coupes nationales
Tout comme en France avec la Leaders Cup, c'était le week-end des coupes nationales dans les principales ligues européennes. En voici les résultats.\n\n\nALLEMAGNE\n\nQuatrième victoire en Coupe d'Allemagne pour le Bayern Munich face à Oldenbourg. Vladimir Lucic et Corey Walden ont marqué 18 points chacun mais c'est Nick Weiler Babb, qui a cumulé 14 points, trois passes décisives et deux interceptions, qui a été élu MVP.\n\nA Oldenbourg, ce sont Dewayne Russell avec 28 points et Trey Drechsel avec 21 points qui ont été les plus réalistes.\n\nDemi-finales\n\nEWE Baskets Oldenbourg – MHP Riesen Ludwigsburg : 92-86\nBayern Munich – ALBA Berlin : 83-77\n\nFinale\n\nEWE Baskets Oldenbourg – Bayern Munich : 78-90\n\n\nESPAGNE\n\nUne semaine parfaite pour Unicaja Malaga, qui après avoir éliminé Barcelone et le Real Madrid, a vaincu Tenerife en finale, et remporté la deuxième Copa del Rey de son histoire. Tyson Carter avec 17 points, tous marqués en seconde période, a été élu MVP du match, alors que Tenerife comme souvent a été mené par Marcelo Huertas avec 21 points, 10 passes décisives et 4 rebonds.\n\n\Ce qui ressort le plus dans cette équipe, c'est le manque d'ego. Nous plaçons tous l'équipe avant les individualités. Ce n'est pas mon mérite. C'est d'avoir trouvé les bonnes personnes et que tout concorde. Il y a beaucoup de travail dans la sélection des joueurs... et des personnes. Vous ne pouvez pas contrôler la façon dont les gens s'intégreront, mais ils se sont très bien intégrés. Que vous obteniez une bonne recette, si vous êtes un bon cuisinier, cela peut arriver, mais sans de bons produits, vous ne pouvez pas, a commenté le coach d'Unicaja, Ibon Navarro.\n\nhttps://www.youtube.com/embed/i6KX8A2xh10\n\nQuarts de finale\n\nReal Madrid – Valence : 86-85\nFC Barcelone – Unicaja Malaga : 87-89\nLenovo Tenerife – Gran Canaria : 89-73\nJoventut Badalona – Vitoria : 94-91\n\nDemi-finales\n\nReal Madrid – Unicaja Malaga : 82-93\nJoventut Badalona – Lenovo Tenerife : 72-73\n\nFinale\n\nUnicaja Malaga – Lenovo Tenerife : 83-80\n\n\nGRECE\n\nIl n'y a pas eu de miracle pour Peristeri, largement battu par le numéro 1 européen actuel, Olympiakos (85-57). C'est la 11e Coupe remportée par le club du Pirée qui a été dirigé par Alec Peters (26 points avec un 8/11 derrière la ligne à trois-points), MVP de la finale, et Sasha Vezenkov (20), lequel a été élu MVP de la compétition. Dimitris Moraitis a inscrit 16 points.\n\nCôté Français, Moustapha Fall a cumulé 13 points, 5 rebonds, 4 passes et 3 contres, alors que dans les rangs de Peristeri, Sylvain Francisco s'est contenté de 5 points à 2/9 aux shoots, lui qui avait totalisé 33 points en demi-finale.\n\n\L'Olympiakos est la meilleure équipe d'Europe, a résumé le coach de Peristeri, Vassilis Spanoulis. Nous avions dit de nous battre, nous nous étions préparés. Trois matchs en quatre jours, c'est quelque chose de très difficile. Nous n'y sommes pas habitués. Je suis très fier de mon équipe.\\n\n\C'est un très gros succès, a commenté Kostas Sloukas. \On est dans une bonne dynamique. C'est important qu'on ait un noyau qui s'est bien construit depuis l'an dernier. On a une bonne chimie, on apporte les résultats qu'il faut. Nous entrons dans chaque match pour gagner. Nous avons montré que nous pouvions tout accomplir, tant que nous sommes concentrés et que nous y mettons tout notre cœur.\\n\nhttps://www.youtube.com/embed/q579f89N3Lg\n\nQuarts de finale\n\nPanionios – AEK : 88-93\nPeristeri – PAOK : 77-64\nOlympiakos - Aris : 82-51\nPanathinaikos - Kolossos : 87-80\n\nDemi-finales\n\nAEK – Peristeri : 65-77\nOlympiakos – Panathinaikos : 81-65\n\nFinale\n\nPeristeri – Olympiakos : 57-85\n\n\nITALIE\n\nC'est la grosse surprise du week-end : Germani Brescia a remporté pour la première fois la Coupe d'Italie après des victoires sur Milan, Pesaro et la Virtus Bologne en finale.\n\nAmedeo Della Valle a été récompensé d'un trophée de MVP du match pour ses 26 points et 6 passes. John Petrucelli a quant à lui amené 13 points et 5 rebonds dans la besace.\n\nAvec 24 points en 23 minutes, Marco Belinelli a été le meilleur marqueur de la Virtus. Alors que Isaïa Cordinier était absent, Mam Jaiteh a été discret avec 2 points et 3 rebonds.\n\n\La mauvaise approche ?, s'est demandé le coach de la Virtus, Sergio Scariolo. Comme nous l'avons dit ces derniers jours, cela est arrivé à de nombreuses équipes favorites en cette semaine de coupes, en Europe et aussi en Italie : évidemment, le risque de ne pas savoir gérer ce type de pression est également présent chez les joueurs avec une grande expérience et un mental de qualité.\\n\nQuarts de finale\n\nMilan – Brescia : 72-75\n\nPesaro – Varèse : 84-80\n\nVirtus Bologne – Reyer Venezia : 82-68\n\nDerthona – Trente : 74-70\n\nDemi finales\n\nVirtus Bologne – Derthona : 90-65\n\nBrescia – Pesaro : 74-57\n\nFinale\n\nVirtus Bologne – Brescia : 76-84\n\n\nSERBIE\n\nAprès avoir éliminé le Partizan en demi-finale, l'Etoile Rouge n'a pas tremblé pour se défaire de Mega en finale : 96-79. Ognjen Dobric a mis 18 de ses 24 points dans le troisième quart-temps. Les autres principaux marqueurs ont été Nemanja Nedovic (20 points), Filip Petrusev (15) et Luka Mitrovic (14). C'est Malcolm Cazalon qui s'est révélé le top scoreur de Mega avec 15 points.\n\n\Je tiens à saluer l'ambiance, qui était phénoménale, et les supporters, qui ont encore une fois montré qu'ils sont nos piliers », a déclaré le coach de l'Etoile Rouge Dusko Ivanovic.\n\nQuarts de finale\n\nPartizan – Spartak Subotica: 91-64\nMega – Voïvodine 75-62\nEtoile Rouge – Borac :89-64\nFMP – Metalac : 91-76\n\nDemi-finales\n\nFMP – Méga 67-86\nPartizan – Etoile Rouge : 75-83\n\nFinale\n\nEtoile Rouge – Méga: 96-79\n\nPhoto : Germani Brescia
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Limoges : Pour son directeur sportif, l'équipe \ressent une certaine fatigue physique et mentale\
Dans un entretien au Populaire, le directeur sportif Kevin Anstett fait un bilan des premiers mois de compétition du Limoges CSP et assure que le poste de coach de Massimo Cancellieri n'est pas remis en question.\n\nSans victoire dans le top 16 de la Basketball Champions League, éliminé en Coupe de France, sorti sans gloire en quart-de-finale de la Leaders Cup et actuellement hors du top 8 du championnat national, le CSP traverse une mauvaise passe.\n\n\Elle est compliquée. Pour plusieurs raisons. Les blessures de Desi (Rodriguez), Bryce (Jones) et Malcolm (Miller) ont pas mal joué. On a aussi dû faire face à un calendrier un peu zin-zin (sic). Depuis le 3 janvier, on a déjà joué quinze rencontres avec une équipe qui n’est pas habituée à enchaîner les matches de haut niveau à ce rythme. On ressent une certaine fatigue physique et mentale. Pour gagner à Ludwigsbourg, on a dû s’arracher comme des forcenés. Après, cela ne fait qu’un mois que nous sommes dans le trou même si on a l’impression que ça fait trois mois. Parfois, je ressens la fatigue et je me dis que si j’étais joueur, je serais complètement lessivé.\n\nA Limoges, depuis des décennies, on a coupé tellement de coaches en cours de saison que la question mérite d'êre posé : l'Italien Massimo Cancellieri est-il menacé ?\n\n\Non pas du tout !, répond le directeur sportif. Ce n’est pas lui le problème. Si cela avait été le cas, les joueurs auraient montré un autre visage après son expulsion contre Bourg. Mais cela a été pareil avec Bulleri sur le banc. Le match contre Bourg-en-Bresse a été long à vivre mais je ne me suis jamais dit que les gars avaient lâché le coach. Et puis, je n’oublie pas qu’il y a un mois, on nous mettait sur le toit du monde. L’entraîneur n’est pas devenu le plus nul du monde depuis. Mais on a tous conscience que nous devons changer des choses pour repartir de l’avant.\\n\nPhoto: Massimo Cancellieri (FIBA)
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L'arrière Tim Frazier vers Strasbourg
Ce n'est pas encore officiel, mais suivant différentes sources, la SIG Strasbourg a signé l'arrière américain Tim Frazier (1,85 m, 32 ans).\n\nPour pallier à la blessure de son meneur Jean-Baptiste Maille, la SIG Strasbourg se penche sur l'ancien meneur de l'AEK Athènes, précédemment passé par la ligue américaine de 2015 à 2022. Cette saison, il cumulait 11,3 points, 5 passes décisives et 2,8 rebonds en championnat grec.\n\nPhoto : FIBA
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LFB : Villeneuve d'Ascq qui rit, Basket Landes qui pleure
Villeneuve d'Ascq marque les esprits. Après avoir éliminé Bourges de la Coupe de France, bien résisté à Lyon, les Nordistes ont passé Basket Landes à la moulinettes ce week-end, au Palacium (84-60).\n\nLes Nordistes ont toujours mené au score, gagné les quatre quart-temps et contraint les Landaises à se contenter de 9 points dans le troisième. Avec 17 points, Kennedy Burke a été la meilleure marqueuse de l'équipe de Rachid Méziane, et on remarque que 7 joueuses ont une évaluation au moins de 10, alors qu'elles ne sont que 2 Landaises à avoir atteint ce cap dont Céline Dumerc, meilleure marqueuse avec 13 points.\n\n« On mérite cet écart entre nos deux équipes, a concédé la coach Julie Barennes à Sud Ouest. Je ne pense pas que ce soit un bon match de notre part, avec ce qu’on a mis sur le terrain. Il y a trop de différences entre nos équipes actuellement pour trouver des excuses. Ça serait se mentir. Villeneuve-d’Ascq, c’est meilleur que nous et il faut juste l’accepter.»\n\nAvec seulement 2 victoires en 7 matches à l'extérieur, Basket Landes ne peut pas avoir de grandes ambitions. Actuellement 7e avec 5 victoires et 8 défaites, non seulement le top 4 est hors de portée, mais de plus, il n'est pas certain que l'équipe engagée cette saison en Euroleague évite les playdowns réservés aux clubs classés de 9 à 12.\n\nA l'inverse, Villeneuve d'Ascq (13-10) est solidement ancré dans le carré d'as et livrera, jeudi, un quart-de-finale aller d'Eurocup contre Saragosse plein de promesses.\n\nPhoto : Janelle Salaun (Villeneuve d'Ascq, FIBA)
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Vidéo : Les meilleurs moments de la victoire de l'ASVEL à la Leaders Cup
Huit minutes de résumé de la finale de la Leaders Cup, qui a vu la victoire de l'ASVEL face à la JL Bourg, 83-74.\n\nPhoto : David Lighty (ASVEL, Hervé Bellenger)
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Coupe de France féminine : Villeneuve d'Ascq-ASVEL et Basket Landes-Graffenstaden en demi-finales
Le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de France féminine s'est tenu ce lundi au siège de la FFBB. Résultat : Villeneuve d'Ascq accueillera l'ASVEL alors que Basket Landes recevra le petit poucet, Graffenstaden, une équipe de Ligue 2.\n\nLe programme des demi-finales :\n\nMercredi 8 mars 2023 à 20h00\nVilleneuve d’Ascq (LFB) – LDLC ASVEL Féminin (LFB)\nBasket Landes (LFB) – SI Graffenstaden (LF2)\n\nLa finale est programmée le samedi 22 avril à l’Accor Arena de Paris.\n\nPhoto : Gabby Williams (ASVEL, FIBA)
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Coupe de France : Les affiches du Top 8 sont dévoilées !
On connait les affiches des quarts-de-finale de la Coupe de France, même s'il reste encore le match Saint-Chamond -seul rescapé de Pro B- vs Cholet à jouer le mardi 28 février.\n\nPau, tenant du trophée tombe sur l'actuel leader de la Betclic Elite, Monaco. Les autres chocs sont a priori plus équilibrés.\n\nLes demi-finales et finale se tiendront à Trélazé, dans la banlieue d'Angers, dans l'Arena Loire d'une capacité de 5 000 places.\n\nLe top 8 de la Coupe de France sera en exclusivité sur MCS Basket. Profitez de l'offre BasketEurope + MCSBasket pour un abonnement annuel à 49€)\n\nPhoto : Arena Loire
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Qualif Coupe du Monde : La Lituanie procède à quelques changements
Dans l'optique de ses matches à venir face à la Hongrie (jeudi 23 février) et la France (dimanche 26 février), dans le cadre des qualifications à la Coupe du Monde, l'équipe lituanienne a retiré deux joueurs de sa liste et en a appelé un autre.\n\nL'ailier Donatas Tarolis a rejoint l'équipe et remplace Arnas Veličkas (ex-Champagne Basket) et Gytis Masiulis. La Lituanie, comme la France, est privée de ses joueurs NBA et d'Euroleague. On remarque également l'absence du pivot Martinas Echodas (2,06 m), qui était le seul à avoir joué les 8 matches de qualification. La figure la plus connue est l'ailier Mindaugas Kuzminskas (2,06 m, 33 ans), qui a tourné à 12,4 points et 3,2 rebonds en 5 matches.\n\nA l'aller, en Lituanie, l'équipe de France avait été dominante (65-90).\n\nJoueurclubDonatas TarolisOradea CSM (Roumanie)Eigirdas ŽukauskasAlytusEimantas BendžiusDinamo Sassari (Italie)Evaldas KairysVilniusGabriel MaldūnasLietkabelisGytis RadzeviciusVilniusKristupas ZemaitisAlytusMantas RubštavičiusLietkabelisMargiris NormantasVilniusMartin GebenManresa (Espagne)Matas JogelaKlaipėdaMindaugas KuzminskasPinar Karşiyaka (Turquie)Vaïdas KariniauskasRapid Bucarest (Roumanie)\n\nPhoto : Mindaugas Kuzminskas (FIBA)
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Vincent Collet à propos d’Evan Fournier: «Ce n’est pas neutre qu’un joueur qui a passé la trentaine ne joue pas du tout»
D'ores et déjà qualifiée pour la Coupe du monde 2023, l'équipe de France va jouer cette semaine ses deux dernières rencontres contre la République tchèque et la Lituanie. L'occasion pour Vincent Collet et Boris Diaw de faire le point sur l'actualité des Bleus, à six mois de la compétition.\n\nL’équipe de France va disputer la dernière fenêtre des qualifications à la Coupe du Monde 2023, jeudi en République Tchèque, et dimanche, à Trélazé, face à la Lituanie. Quels sont les enjeux ? Est-ce un bon banc d’essai pour Sylvain Francisco ? Où en est le dossier Joël Embiid ? Victor Wembanyama va-t-il faire la Coupe du Monde ? Pourquoi Nadir Hifi n’a-t-il pas été sélectionné ?... Et la sélection d’Evan Fournier, qui ne joue presque pas avec les New York Knicks cette saison, est-elle menacée ? Vincent Collet, le coach des Bleus, et Boris Diaw, le Manager Général, répondent à ces questions.\n\nQuel est l’intérêt de gagner les matches contre la République tchèque et la Lituanie dans l’optique de la Coupe du Monde ?\nVincent Collet : Il y a plusieurs aspects. Il y a le ranking mondial. Chaque match compte. Et en ce qui nous concerne, comme on est haut placé (NDLR : 5e derrière l’Espagne, les Etats-Unis, l’Australie et l’Argentine), une défaite a à chaque fois des conséquences fâcheuses sachant que ceux qui sont derrière nous sont assez proches. A l’inverse, si on continue à gagner on peut creuser un peu plus l’écart vis-à-vis des nations qui nous suivent de près. Au-delà de ça, il y a quelque chose sur lequel on insiste beaucoup avec Boris qui est la culture que l’on veut instiller dans cette équipe de France, qui est la culture de la gagne. On ne peut pas avoir ce discours-là en permanence avec les joueurs et considérer que ce sont des matches sans enjeu. Bien sûr, je ne vais pas vous mentir, même si on les perd, on est qualifié, on ira à la Coupe du Monde, mais malgré tout, on est vraiment déterminé à faire de bons matches. Il faut s’en servir aussi pour progresser et pour ça avoir une exigence forte. Ça passe par le fait de gagner mais aussi d’être performant. Plutôt que de se dire que l’on n’a pas de pression, on est plus sur le fait de vouloir, après avoir réussi la fenêtre de novembre, réussir celle-là, en s’améliorant encore.\n\nVous y comprenez quelque chose à ce ranking ? L’équipe de France a obtenu trois médailles de suite et pourtant, elle est derrière l’Australie ?\nVC : Vous avez raison, je peste systématiquement ! Une fois, on avait la Grèce devant nous alors qu’ils n’avaient pas fait une médaille depuis 2009. On en avait fait cinq et ils étaient devant nous. Là, l’Argentine a gagné la Coupe d’Amérique (AmeriCup) et ainsi nous est repassée devant. L’Australie joue contre des petits adversaires et donc gagne, et ça compte, alors qu’on les a battus lors de nos deux confrontations. C’est sûr que ce n’est pas normal, mais je crois que c’est un peu pareil au tennis avec le même système. C’est quand même alambiqué et l’un des principes du système, c’est que personne ne puisse vraiment comprendre pour que personne ne puisse réclamer quand tu as l’impression d’être lésé.\n\nBoris Diaw : C’est assez compliqué, mais sur le site de la FIBA, ils expliquent le mode de calcul sur les cinq dernières années en fonction des résultats. Mais comme tous les matches comptent, on se demande parfois si on voit vraiment la qualité des équipes les unes par rapport aux autres.\n\nExiste-t-il un risque que l’équipe de France ne soit pas dans le premier chapeau lors du tirage au sort des groupes de la Coupe du Monde ?\nVC : Même en perdant les deux matches, ce n’est pas sûr. Et en en gagnant un, c’est sûr que non.\n\nBD : Il y a huit groupes et il faudrait donc tomber à la 9e place pour ne pas être tête de série.\n\nVC : Mais, par exemple, au ranking, la Lituanie n’est pas loin derrière et donc le fait de les battre, c’est double avantage. Nous seulement on gagne mais on leur fait perdre un match. Au-lieu de nous rattraper et même nous dépasser, ils prennent du retard.\n\nBD : C’est sûr que pour le tirage au sort de cet été, tu restes tête de chapeau, mais c’est important de gagner pour les compétitions futures quand il y a moins d’équipes et moins de poules.\n\nEst-il difficile de scouter des équipes comme la Lituanie et la République Tchèque qui ont également des joueurs différents d’une compétition à l’autre ?\nVC : La République Tchèque n’aura évidemment pas (Jan) Vesely et (Tomas) Satoransky, qui n’avait pas joué déjà en août car il avait une entorse, et aussi (Jaromir) Bohacik, mais sinon c’est la même équipe, les autres sont là. La Lituanie, c’est similaire au mois de novembre. La Lituanie, c’est comme nous, l’équipe des fenêtres est très différente. Il y a quand même en moins (Domantas) Sabonis (Jonas) Valanciunas et les joueurs de Kaunas. Il n’y a que (Mindaugas) Kuzminskas des joueurs majeurs de l’été qui est dans la liste, plus deux ou trois qui n’avaient pas de rôle véritable au championnat d’Europe.\n\n\n« Aujourd’hui, on ne sait pas encore s’il (Joël Embiid) jouera avec la sélection de l’équipe de France pour la Coupe du Monde » Boris Diaw\n\nY a-t-il des places à prendre pour cet été et quel discours tenez-vous aux joueurs de cette fenêtre par rapport à ça ?\nVC : La revue d’effectif n’est pas très importante. L’équipe est presque la même qu’en novembre sachant que Terry Tarpey revient. Il avait été sélectionné en novembre mais il avait été blessé juste avant de faire la fenêtre. Les deux nouveaux sont Hugo Benitez et Pierre Pelos, qui remplace Alexandre Chassang. Le discours qui est tenu aux joueurs est toujours le même. Il n’y a pas de fausses promesses par rapport aux compétitions qui suivent, à la Coupe du Monde. Mais maintenant, on a un peu d’expérience, et on leur rappelle que lors de la Coupe du Monde précédente, cinq ou six joueurs qui ont disputé les fenêtres ont fini en Chine. Je ne suis pas du tout sûr que ça sera la même chose, mais il y aura probablement des joueurs -c’est probablement sûr- de l’équipe de cette semaine qui iront à la Coupe du Monde. Combien ? Je ne sais pas encore.\n\nQuels sont les axes de progression collective et demandez-vous à Victor Wembanyama des choses différentes qu’en club ?\nVC : On s’est réuni hier et vu les systèmes. Ce matin, on a fait une présentation des objectifs défensifs et après, on a fait un peu de 4x4 sur notre continuité de jeu. On est très modeste. On va s’entraîner ce soir, demain on part et on joue jeudi, donc on ne va pas pouvoir faire un travail de fond conséquent, ça serait une folie. On fait l’inverse. On essaye de simplifier nos valeurs et on compte sur notre culture, l’intensité, l’agressivité défensive, on essaye sur ce peu de temps imparti de mettre quelques règles qui nous permettent de jouer et après de se reposer sur le talent, la qualité des joueurs. Si on a des objectifs qui sont trop élevés par rapport au collectif, on va se fourvoyer. On n’en a pas la capacité en trois jours. Ça serait un fantasme. Pour Victor, simplement qu’il continue à bien faire ce qu’il sait faire, qu’il apporte lui aussi ses qualités, qu’il soit dans l’état d’esprit général. Il n’y a pas du tout de cas particulier Victor dans cette équipe de France. Il fait partie d’un groupe, il y a trouvé sa place aisément et il faut qu’il continue à le faire. C’est tout.\n\nQuel est le pourcentage de chances que Victor dispute la Coupe du Monde ? Lui affirme qu'il veut la jouer.\nBD : Il n’y a pas de pourcentages de chances. In fine, la décision lui revient. Ce n’est pas aujourd’hui que l’on se penche sur la sélection. Les décisions se feront plus tard. Peut-être qu’il veut aujourd’hui, moins dans un mois, ou dans deux mois. Je pense qu’il faut attendre et au moment de faire la sélection, il faudra des réponses fermes. Aujourd’hui, c’est bien d’avoir un sentiment et on discute avec tous les joueurs potentiellement sélectionnables mais on ne demande pas aux gens de se positionner fermement. On est encore loin de tout ça. D’autres paramètres peuvent entrer en ligne de compte d’ici là, ça dépend de la franchise dans laquelle il sera. Mais, de toutes façons, sa franchise ne pourrait pas l’empêcher de jouer s’il n’est pas blessé, s’il n’a pas de pépins physiques.\n\nOù en est le dossier Joël Embiid ? Jouera-t-il avec l’équipe de France à la Coupe du Monde ?\nBD : Je répondrai de la même façon que pour Victor. C’est aussi une question de timing. Aujourd’hui, on ne sait pas encore s’il jouera avec la sélection de l’équipe de France pour la Coupe du Monde. Ce n’est pas maintenant que l’on fait la sélection. Ça sera plus tard dans la saison qu’il faudra vraiment se positionner.\n\nVoulez-vous avoir une réponse rapide ou êtes-vous prêt à attendre jusqu’au dernier moment ?\nBD : On ne va pas évidemment attendre la veille du championnat. C’est la même chose pour Victor et les autres joueurs de l’équipe de France. A l’heure actuelle, aucun ne dit « c’est sûr, je serai là cet été » ou « c’est sûr, je n’y serai pas. » Donc, on peut encore attendre, c’est encore tôt.\n\nL’intégration éventuelle de Joël Embiid (1) et aussi celle de Victor Wembanyama avec la draft poseront t-elles ou pas des problèmes inédits en terme d’assurances ?\nBD : Ce sont des contrats élevés mais pas plus que Rudy (Gobert) et Evan (Fournier). C’est sûr que plus tu en as, et plus l’assureur est content. Ça ne pose pas de problèmes.\n\n\n« Je voulais sélectionner Nadir Hifi mais la structure juridique de la fédération m’a calmé. Il n’est pas sélectionnable pour l’instant. » Vincent Collet\n\nDu fait que Thomas Heurtel n’est plus sélectionnable, a priori, et à partir de ce que l’on a pu voir au championnat d’Europe, le poste de meneur de jeu n’est-il pas aujourd’hui celui qui est le plus ouvert pour la Coupe du Monde ?\nVC : Oui, on peut dire ça. Je ne sais pas si « ouvert » est le terme, mais c’est là où on le plus besoin de repenser, de réfléchir, pour trouver le bon équilibre. Je suis d’accord avec ça.\n\nDans cette optique, Sylvain Francisco joue une carte importante dans cette fenêtre ?\nVC : Bien sûr. Déjà au mois de novembre. Il la joue là, mais aussi avec son club. Les choses qu’il fait avec Peristeri sont observées. Très clairement. C’est pareil que pour Kilian Hayes quand il est venu jouer à Paris, il y a un mois, avec son équipe de Detroit contre les Bulls. Il fait aussi partie des réflexions et il y en a d’autres. Le fait que l’on n’ait pas de joueurs comme Thomas qui était indiscutable, ça rend encore plus ouverte la réflexion.\n\nSi Thomas Heurtel revenait dans un club européen fin mai, serait-il sélectionnable ?\nBD : La décision de sa « non-sélectionabilité » a été prise par le bureau fédéral et avant de le réintégrer ça passerait du coup par une décision de ce bureau fédéral.\n\nSuivez-vous la progression de Nadir Hifi ?\nVC : Je voulais le sélectionner mais la structure juridique de la fédération m’a calmé. Il n’est pas sélectionnable pour l’instant. Il a joué avec les -16 de l’Algérie. Il peut l’être (sélectionnable en équipe de France) puisque c’est avant 18 ans mais il y a un dossier à faire auprès de la FIBA pour changer sa nationalité basketball.\n\nComme, par exemple, Pape Philippe Amagou, qui avait joué en équipe de France jeune avant de rejoindre les séniors de la Côte d’Ivoire ?\nVC : Oui, comme n’importe quel jeune. Tu peux changer de nationalité de basket avant 18 ans sans avoir l’accord de la FIBA mais ce n’est pas automatique.\n\nBD : Il faut avoir l’accord de la fédération pour laquelle tu as joué.\n\nVC : On a des demandes dix fois par an de la part de pays africains (NDLR : Pour des joueurs qui ont joué en équipes de France jeunes).\n\nQue pensez-vous de son jeu et aussi de celui de Hugo Benitez qui est maintenant dans le groupe ?\nVC : Ce qui me plaît chez Nadir Hifi, c’est d’une part la consistance de ses performances depuis presque trois mois. Il a dû faire dix ou douze fois de suite 20 d’éval en Betclic Elite (2). Ce n’est pas neutre pour un joueur de cette âge-là. Et pour cette position-là où on est en recherche pour l’avenir, même à N+1, +2, +3, c’est là où il y a le moins de garantie. Il faisait franchement partie des joueurs que l’on souhaitait observer de plus près, et j’avais la volonté qu’il puisse faire cette fenêtre. Ça n’a pas été possible pour des raisons réglementaires. Ce qui me plaît, c’est son culot, sa dureté, c’est un joueur qui défend, qui s’engage, et qui en plus n’est pas maladroit, gaucher, il fait beaucoup de choses, il a beaucoup d’activité. Ce n’est pas un vrai meneur mais c’est un joueur moderne qui est quand même créateur capable de faire beaucoup de choses balles en mains. Quant à Hugo, il aurait déjà dû être là en novembre si on n’avait pas eu cette contrainte de la règle FIBA qui t’oblige à donner ta sélection un mois avant la fenêtre. On a fait la sélection de novembre au bout de quinze jours. Il avait mal commencé sur les deux ou trois premiers matches de championnat, mais au moment de faire la fenêtre, il était déjà bon. Je trouve aussi qu’il a progressé. Il est de plus en plus constant dans ses performances. Il est devenu un danger dans les tirs intermédiaires où il a une bonne adresse. Il a encore une marge de progression avec le tir à trois-points. Mais par contre, il fait bien jouer. C’est l’un des rares meneurs à l’ancienne. Il est dans la construction, il a des qualités intéressantes. C’est un jeune joueur, qui mérite, en particulier dans le cadre des fenêtres, cette sélection.\n\nEvan Fournier ne joue presque plus (3). Ça met sa sélection en danger ?\nVC : Votre avis ? Tout d’abord, il joue quand même quelques fois, pas souvent, je vous l’accorde. C’est un cas particulier. Mais au-delà de sa sélection, c’est quand même un problème. Ce n’est pas neutre qu’un joueur qui a passé la trentaine ne joue pas du tout. C’est comme quelqu’un qui serait blessé sur une saison. Il faudra faire un vrai travail spécifique, mais pour ça, je ne me fais pas de soucis avec Evan. C’est surtout de la remise en rythme. Je ne pense pas que ses qualités aient disparues. Ce sont les circonstances qui font ça. Un problème avec le coach certainement. Ce sont des choses dont on sait qu’elles arrivent dans le basket moderne. Ça arrivait même avant. Mais, non, ça ne remet pas sa sélection en cause.\n\n(1) Joël Embiid gagne 33,6 millions de dollars cette saison.\n\n(2) Sa moyenne à l’évaluation est passée de 6,3 à 15,3 sur une saison\n\n(3) 6,8 points en 18’ de moyenne sur 23 matches dont 7 dans le starting five. Lors de la saison précédente, il faisait partie systématiquement du starting five en 82 matches pour 14,1 points en moyenne.\n\nLes deux rencontres seront retransmises en direct sur France 4, sur France.tv et sur BeIN Sport. La France est actuellement 1ère du groupe K avec 8 victoires et 2 défaites. La sélection des 14 joueurs retenus pour ce rassemblement :\n\n\n\nNomPrénomNaissanceTaillePosteSélectionsPointsClubALBICYAndrew21/03/19901,78188230Gran Canaria CB (Espagne)BEGARINJuhann07/08/20021,962/3219Paris BasketballBENITEZHugo20/01/20011,8711-JL BourgCAZALONMalcolm27/08/20011,983--KK Mega (Serbie)FRANCISCOSylvain10/10/19971,791452Peristéri BC (Grèce)INGLISDamien20/05/19951,064226Gran Canaria CB (Espagne)KAMAGATEIsmaël17/01/20012,115212Paris BasketballLACOMBEPaul12/06/19901,932/134164SIG StrasbourgLANGNicolas01/05/19901,962/31049Limoges CSPMAKOUNDOUYoan09/08/20002,074/5212AS MonacoMASSABodian21/10/19972,085--SIG StrasbourgPELOSPierre16/08/19922,055--JL BourgTARPEYTerry02/03/19941,9632185Le Mans SB WEMBANYAMAVictor04/01/20042,214/5239Boulogne-Levallois\n\n\n\nCoach : Vincent Collet – Assistants : Pascal Donnadieu, Ruddy Nelhomme et Laurent Foirest.\n\nLa Coupe du monde 2023 aura lieu en Indonésie, au Japon et aux Philippines du 25 août au 10 septembre 2023.\n\n.\n\n.\n\n\n\n\n\nPhoto d'ouverture : Evan Fournier (FIBA)
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Le Mans et Brynton Lemar, c'est terminé
Blessé en début de saison, Brynton Lemar a eu du mal à s'intégrer dans l'effectif manceau à son retour. Il a tourné à 8,8 points, 1,4 rebond et 1,5 passe en 10 matches de championnat alors qu'il était le joueur le mieux payé de l'équipe. Le MSB et le joueur ont donc décidé de se séparer.\n\nAu mois de janvier, en raison d’une utilisation jugée insuffisante, Brynton Lemar (1,91 m, 28 ans) et son représentant avaient demandé au MSB l’autorisation de pouvoir obtenir un bon de sortie. Cette requête a été acceptée par toutes les parties en interne, dans l’attente d’une opportunité concrète pour l’arrière américain.\n\nToutefois, au regard des échéances importantes qui étaient à venir (derby à Cholet, coupe de France à Nancy, Leaders Cup), avec un effectif fortement amoindri par les blessures, le MSB ne pouvait de suite accéder à la demande. Conscient de ces contraintes, Brynton Lemar a accepté de différer son départ jusqu’à la fenêtre FIBA, en dépit d’une proposition en provenance de l’étranger. Il est annoncé à l'AEK Athènes.\n\n\Le MSB respecte donc logiquement son engagement et tient sa promesse en libérant le joueur, dont le professionnalisme et l’investissement au quotidien n’ont jamais été pris en défaut. Cette semaine et à compter de ce jour, le MSB va prioritairement s’attacher à prendre soin de ses quatre joueurs convalescents (Josh Carlton, Kaza Kajami-Keane, Williams Narace, Tres Tinkle), à définir les protocoles pour chacun d’entre eux et, au besoin, à explorer toutes les hypothèses dans l’éventualité d’un renfort médical,\ explique le club.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/en-france/lnb/645967/salaires-2022-23-le-mans-terry-tarpey-mini-prix-et-donne-le-maximum/\n\nPhoto : Hervé Bellenger
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Sergio Scariolo de la Virtus au Real ?
Selon un article du Corriere della Sera, Sergio Scariolo est le principal candidat pour occuper la place de coach du Real Madrid à partir de la prochaine saison.\n\nL'entraîneur italien de la Virtus Bologne, 61 ans, qui est aussi celui de l'équipe nationale espagnole, a été sur le banc du Real pendant trois ans de 1999 à 2002, remportant un championnat national en 2000.\n\nDans le même temps, les médias espagnols confirment la pression que Chus Mateo subit après avoir perdu la Copa del Rey... Le même constat est également à faire du côté de Sergio Scariolo puisque la Virtus s'est pris les pieds dans le tapis en finale de la Coupe d'Italie face à Brescia.\n\nToutefois, il faut souligner que Scariolo est sous contrat avec la Virtus jusqu'en 2024 et aussi jusqu'aux JO de Paris avec la fédération espagnole. Or, le règlement de l'ACB stipule que les entraîneurs de clubs ne peuvent pas combiner ce statut avec avec celui d'entraîneur de l'équipe nationale. Pour rejoindre le Real Madrid, Scariolo devrait donc démissionner du banc de l'équipe espagnole. Pas sûr que ça soit son objectif.\n\nPhoto : FIBA
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Le match amical Boulogne-Levallois vs Paris à guichets fermés
En plus de leur match de Betclic Elite face au SLUC Nancy, le 10 mars, les Mets vont jouer un match amical le mercredi 1er mars contre le Paris Basketball à guichets fermés.\n\nMême si le palais des sports Marcel-Cerdan de Levallois ne contient que 2 814 sièges, c'est bien la preuve que la hype autour de Victor Wembanyama, ne s'éteint pas. D'ordinaire, ce type de matches n'intéresse qu'une poignée de fidèles.\n\n\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Tuan Nguyen)
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\Victor (Wembanyama) rejette certaines offres riches d'un million de dollars en ce moment parce qu'il veut se concentrer sur le basket-ball\
ESPN est venu faire un reportage sur Victor Wembanyama à Paris. Dans l'article en accès libre, on trouve une foule d'informations dont certaines inédites. Voici trois extraits.\n\nA propos des sponsors :\n\n\Les marques se jettent sur Wembanyama, essayant d'établir des partenariats avant qu'il n'arrive dans la ligue. Il n'y a aucun moyen de savoir combien ces matchs contre l'Ignite (NDLR : l'équipe de G-League affrontée à Las Vegas) lui auront finalement rapporté, bien que ses agents pensent que cela pourrait éventuellement approcher les 100 millions de dollars. Mais c'est moins qu'il ne pourrait l'être car Wembanyama refuse la plupart des marques en ce moment. \Ce que nous essayons de faire, avant tout, c'est de rendre Victor rare\, a déclaré Bouna Ndiaye, l'agent de Wembanyama basé à Dallas qui a représenté de nombreuses stars françaises, dont Rudy Gobert, Nicolas Batum et Evan Fournier. \Nous ne voulons pas de lui partout. Nous ne voulons pas avoir 20 partenaires. Cela ne fait pas de lui un basketteur connu. Victor dit : 'Tu veux être le meilleur.' Quand vous voulez être le meilleur, vous devez vous concentrer sur le basket-ball. Et Victor rejette certaines offres riches d'un million de dollars en ce moment parce qu'il veut se concentrer sur le basket-ball.\\n\nA propos de son poids :\n\n\Wembanyama a une carrure légère, officiellement répertoriée à 230 livres (104 kilos), et c'est déjà un sujet de discussion pour les scouts qui l'ont observé de près. Pour certains, ce sera une réaction automatique d'insister sur le fait qu'il a besoin de plus de volume une fois arrivé en NBA. Mais ce ne sera pas une priorité, et c'est un élément non négociable pour le camp de Wembanyama. Il a été fortement soutenu après que Wembanyama a passé 10 jours à s'entraîner en Allemagne l'année dernière avec Holger Geschwindner, connu pour ses décennies de travail avec le futur Hall of Famer Dirk Nowitzki. Geschwindner a supplié l'adolescent français d'ignorer les appels à venir pour qu'il ajoute trop de poids car cela pourrait mettre sa carrière en danger (...) Wembanyama mange cinq fois par jour depuis cinq ans pour aider ses muscles à suivre ses os. Le plan est pour lui de prendre de la force mais pas nécessairement de prendre beaucoup de poids immédiatement.\\n\nA propos de ses passes-temps :\n\n\Quand il a quelques minutes de libre, il essaie de lire. Dans les chambres d'hôtel pendant les temps morts, il dessine, ce qu'il aime depuis qu'il est enfant. Lorsqu'il est venu à Dallas l'été dernier pour trois semaines d'entraînement lors de son premier voyage en Amérique, l'une des premières choses qu'il a demandées était de faire un crochet pour acheter des outils et des fournitures de dessin. \Parfois [je dessine] pendant cinq minutes, parfois pendant deux heures\, a déclaré Wembanyama. \Si j'étais une autre personne, je pense que j'aurais adoré aller à l'université [aux États-Unis].\ Ce n'est pas seulement une façade; ses coéquipiers et entraîneurs confirment que lorsqu'ils montent à bord d'autobus et de trains pour des matchs à l'extérieur, il passe plus de temps avec son livre qu'avec son téléphone. Il aime la musique classique et a étudié l'art (...)\\n\nPhoto : Hervé Bellenger (LNB)
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Espagne : 56 points, 33 rebonds et 5 contres à 13 ans... Mahamadou Landoure fait saliver le Real Madrid
Ce weekend, le jeune pivot malien du Real Madrid, Mahamadou Landoure (2,11 m, 13 ans), a livré une performance ahurissante en finale de la Mini Cup Endesa, un tournoi U14 rassemblant les meilleurs espoirs d’Espagne.\n\nL’Espagne tient-elle son nouveau phénomène ? Dimanche en finale de la Mini Cup Endesa, un tournoi U14 qui rassemble les meilleurs espoirs du pays et qui a notamment vu Luka Doncic ou Ricky Rubio briller dans le passé, un jeune basketteur du Real Madrid a livré une performance hallucinante.\n\nDu haut de ses 2,11 m - soit deux têtes de plus que tous ses adversaires - Mahamadou Landoure, un Malien de 13 ans, a compilé 56 points, 33 rebonds, 5 contres et 14 fautes provoqués pour 82 d’évaluation en 35 minutes ! Le tout quasiment exclusivement dans la raquette. Une performance qui a bien sûr permis au Real Madrid de l’emporter 84-74 et qui lui vaut le titre MVP du tournoi.\n\n\n\nReste à savoir comment la carrière de l’ancien barcelonais évoluera dans les années à venir. En attendant, les scouts de la planète se languissent d’avance, même si en Espagne, certains s’interrogent sur sa véritable date de naissance.\n\nPhoto : Mahamadou Landoure (Real Madrid)
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