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Massimo Cancellieri, après la défaite de Limoges dans le Clasico : \Il nous manque le killer instinct\
Samedi soir, Beaublanc a vibré mais a finalement vu le Limoges CSP s'incliner pour la seconde fois de la saison face à Pau (81-89). Réactions des deux camps après le 113e et passionnant Clasico.\n\nUne semaine après avoir enflammé son Palais des Sports grâce à sa victoire contre Monaco, le Limoges CSP est retombé dans ses travers et n'est pas arrivé à confirmer dans un des matches les plus importants de sa saison. Perdre lors de la réception de Pau est un affront, encore plus lorsque cette défaite est un frein dans la course aux playoffs. Les Limougeauds sont actuellement 10e de Betclic Elite, à deux victoires d'écart du dernier qualifié.\n\nAu cours d'un mano a mano qui a duré pendant trois quart-temps, Pau a réussi à trouver la faille pour prendre le meilleur sur un collectif limougeaud sous tension.\n\nLe dernier acte de la partie a connu son lot de coups durs pour le CSP : deux passages en force, une faute technique pour Massimo Cancellieri, la sortie prématuré de Wilfried Yeguete... tant de coups de sifflet qui ont fait perdre leurs moyens aux Limougeauds.\n\n\Je n’ai pas envie de mettre la défaite sur le compte de l'arbitrage\ Nicolas Lang\n\nSans solution en attaque, les équipiers de Nicolas Lang manquaient également leurs stops défensifs en envoyant quasiment à chaque fois les Palois sur la ligne des lancers-francs. Un trop plein pour le coach italien :\n\n\Honnêtement, 35 lancers-francs pour Pau à 21 pour nous, ça fait beaucoup, je n’ai pas compris du tout comment ils ont sifflé le match. C’était difficile de jouer le match avec des sifflets comme cela. Désolé mais c’est la vérité. C’était impossible de défendre.\\n\nSon capitaine Nicolas Lang a été plus mesuré lorsque la question de l'arbitrage a été posé sur la table.\n\n\Non il y a zéro problème. Si j'ai des trucs à leur dire (aux arbitres, ndlr), nous sommes des adultes, je leur en aurais parlé. Je ne suis pas là pour parler de la performance des arbitres en conférence de presse. J'ai essayé de garder tout le monde dedans, mais ce n’est pas simple. Je n’ai pas envie de mettre la défaite sur ce compte là. Les erreurs en sortie de temps-mort m’embêtent beaucoup plus.\\n\nHormis cet aspect fâcheux qui fait partie du jeu, Massimo Cancellieri a toutefois reconnu la grande part de responsabilité de ses joueurs sur la défaite de la soirée :\n\n\Il nous a manqué le « killer instinct », quand tu défends comme cela contre Pau, même si tactiquement nous étions prêt, ça ne passe pas. Je ne comprends pas pourquoi ils n’avaient pas la même attitude que contre Monaco. Est-ce que l'équipe choisit ses matches ? Je n’espère pas, mais j’ai un petit doute... j’espère que quelque chose va arriver ! Il y a une semaine on bat Monaco, avec la même ambiance et la même équipe... rien n’a changé.\\n\nNicolas Lang, meilleur marqueur de Limoges (15 points) et presque seul homme à tenir la barre d'un navire se noyant dans la soirée du 1er avril, notait la même incompréhension vis-à-vis de son groupe :\n\n\Contre Monaco, on avait réussi à faire les stops qu’il fallait à la fin pour se rapprocher d’eux. Au final, chaque fois que l’on s’est rapproché d’eux, on sortait du temps-morts on n’était pas ensemble. C’est des erreurs qui coûtent très chers.\\n\nPau sort gagnant, un élan vers le maintien ?\n\nSourire aux lèvres et \ouf\ de soulagement, il était difficile de trouver un homme plus heureux qu'Éric Bartecheky au coup de sifflet final. Cette victoire, Pau la doit à ses joueurs mais aussi et en grande partie grâce aux choix réalisés par son technicien en fin de rencontre. Avec un cinq physique qui pouvait switcher sur chaque limougeaud en défense et mettre l'agressivité nécessaire en attaque, l'EBPLO a posé bien des soucis aux locataires de Beaublanc.\n\nDans le money time, Éric Bartecheky a préféré Gérald Ayayi (21 ans) à l'expérimenté Michael Stockton pour mener le jeu de Pau et a rapidement eu gain de cause. Il s'est même permis de le garder juste qu'à la fin du match puisqu'aucun des trois Limougeauds positionnés sur lui n'a pu l'arrêter, dont un Jayvon Graves complètement dépassé.\n\n\On a fait quelques ajustements pour casser le rythme d’entrée même si on a laissé les rebonds en première mi-temps, quelques précipitations en attaque... En seconde période, on a été solide et on a pu aligner une ligne défensive beaucoup plus physique avec Gérald Ayayi en meneur de jeu, Giovan et CJ Williams sur les ailes et Markeith Cummongs et Vitalis Chikoko dans les bigs. Avec cette équipe là, on cherche tout le temps à trouver des solutions, ce n’est pas toujours simple, en défense et notamment dans le positionnement des lignes. À partir du moment où cela a marché, on a gardé ce cinq là même si on s’est posé beaucoup de questions au niveau du physique de nos joueurs. Mais j’avais encore mes trois temps-morts donc s’il ya eu un besoin de faire souffler, j’aurai pu les prendre. On est allé jusqu’au bout avec ça et ça a tenu.\\n\nMalgré ce coup de génie, l'entraîneur palois reste prudent. Si Pau est sorti de la zone de relégation ce samedi soir, grâce à sa victoire à Beaublanc et aux défaites de Nancy et Fos-sur-Mer, l'épilogue de la saison est loin d'être connu.\n\n\Une victoire dans le Clasico, cela fait plaisir mais ce qui me fait beaucoup plus plaisir c’est de gagner. Si ça avait été une autre équipe, ça aurait été pareil. C’est important dans notre situation de gagner des matches et couper la série que l’on avait en cours. C’est bon pour le moral de tout le monde. Ce qui me soulagerait le plus c’est d’avoir le maintien donc celle là elle contribue, elle sera un tournant à la fin à condition de gagner des matches dans les semaines qui viennent. Forcément elle peut s’avérer capitale. On est content mais on ne peut pas se permettre d’être euphorique. On sait que la route est longue derrière. Il va falloir se retrousser les manches, mais en tout cas on n’est pas mort. Tout est possible, il peut y avoir des retournements de situation jusqu’à la fin. Dans l’attitude, on a été présent et c’est quelque chose que l’on va essayer de garder.\\n\nGiovan Oniangue, star du 113e clasico\n\nAvec 21 points, Giovan Oniangue a terminé la rencontre avec la meilleure marque du match, à égalité avec son intérieur Vitalis Chikoko (21 points et 11 rebonds). Grâce à ses cinq tirs primés, dont 4 en seconde période, l'ailier palois a permis à son équipe de faire le break dans le troisième quart-temps avant de cadenasser la victoire acquise en équipe. Il n'a pas manqué de préciser cela après la rencontre, avec un hommage tout particulier à son jeune coéquipier Gerald Ayayi :\n\n\On a souvent craqué à la fin de nos derniers matches. Aujourd’hui, on a beaucoup communiqué ensemble pour dire « les gars on ne lâche pas ». On a vu une équipe motivée, déterminée. Tout le monde a eu sa part avec les fautes offensives provoquées, la défense collective. Ça a vraiment payé. On travaille tous les jours pour progresser, pour avoir ces matches là. Aujourd’hui, c’est tombé avec moi. Je tire mon chapeau à Gérald qui a joué au quatrième quart-temps à la mène, à qui on a fait confiance. Il a prouvé qu’il avait une valeur et qu’il pouvait aider l’équipe comme il pouvait. Le clasico ça rajoute un peu de piment. Je respecte énormément le Limoges CSP, c’est une super ambiance, un super club et ils font honneur à leur public. Aujourd’hui, ça a été un jour sans pour eux. Je leur souhaite le meilleur. Sortir de la zone rouge, cela fait du bien. On va essayer de faire match après match. On reçoit Monaco la semaine prochaine, un gros client. On ne se focalise pas sur les autres concurrents.\\n\nSorti sous la bronca de la foule, Giovan Oniangue a pu brandir le poing de la victoire.\n\n
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Les 6 infos de la semaine : Marine Johannès poursuit sa route en WNBA, déjà du mouvement à Limoges
Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 17 au 23 septembre.\n\n\nCe week-end, c’est la reprise de la Ligue Féminine !\n\nQuatre mois après le sacre de l’ASVEL contre Villeneuve-d’Ascq, la Ligue Féminine reprend ses droits ce weekend. La saison a bien été lancée dès la semaine dernière avec la victoire de Basket Landes contre l’ASVEL lors du Match des Champions mais c’est cette fois le championnat qui est de retour. Au programme : cinq rencontres ce samedi, avant de conclure la première journée par une jolie affiche entre Bourges et Basket Landes ce dimanche après-midi. En parallèle du sportif, la LFB compte d’ailleurs poursuivre son développement : avec des salaires, une couverture TV et une visibilité sur les réseaux sociaux en hausse, le championnat français a en tout cas pris le bon chemin.\n\nLigue Féminine : Une couverture TV et des salaires en hausse ! | Basket EuropeBasket Europe\n\n\nVictor Wembanyama se projette déjà sur les Jeux Olympiques\n\nGrand absent de la Coupe du Monde 2023 avec l’équipe de France, Victor Wembanyama se prépare actuellement à faire ses débuts en NBA dans un mois. Interrogé en conférence de presse alors que Canal+ s’apprête à diffuser un documentaire sur lui, Wemby a parlé des échéances qui l’attendent. Le numéro 1 de la Draft a confirmé son intention de participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024 et s’est livré sur ses ambitions : « Réussir les JO, ce serait une belle histoire. Et il n’y aura pas d’autre but que l’or. Je serai bien sûr présent aux JO. J’ai regardé la Coupe du monde et le résultat est très décevant. Pour autant, je ne suis pas inquiet. Je n’ai pas de jugement à porter, je n’étais pas dans l’équipe et celle-ci est entre les mains de joueurs de top niveau. Je sens que cela n’altère pas l’opportunité de faire quelque chose de grand à Paris l’an prochain« . Avant cela, le joueur formé à Nanterre sera attendu au tournant pour ses débuts sur les parquets américains.\n\nVictor Wembanyama : « Je serai présent aux Jeux Olympiques » | Basket EuropeBasket Europe\n\n\nUn tirage au sort abordable pour les Bleues en qualification de l’Euro 2025\n\nMédaillée de bronze à l’Euro cet été, l’équipe de France féminine est désormais fixée sur les adversaires qui se trouveront sur la route du prochain tournoi européen. Le tirage au sort des qualifications pour l’Euro 2025 – qui se déroulera en Allemagne, en Italie, en République Tchèque et en Grèce – a livré son verdict et s’est montré plutôt clément avec les Bleues. Protégée par son statut de tête de série, l’équipe entrainée par Jean-Aimé Toupane sera opposée à la Lettonie, à Israël et à l’Irlande. Ces matches de qualifications seront répartis sur trois fenêtres internationales, dont la première avec une rencontre à l’Arena Futuroscope de Poitiers en novembre prochain. Il faudra terminer à la première place ou parmi les quatre meilleurs deuxièmes (sur huit groupes) pour se qualifier pour l’Euro 2025.\n\nITW Sarah Michel : « Avec l’équipe de France, ce sera fini après les Jeux Olympiques de Paris » | Basket EuropeBasket Europe\n\n\nCa bouge déjà à Limoges, qui se sépare de Kristian Doolittle\n\nAlors que certaines équipes de Betclic Elite sont contraintes de revoir leurs plans à la suite de blessures, le Limoges CSP a de son côté déjà décidé de procéder à un réajustement de son effectif. Recruté cet été mais absent du groupe limougeaud pour la réception de Monaco à l’occasion de la première journée, Kristian Doolittle quitte la Haute-Vienne sans avoir disputé une seule minute en match officiel avec le CSP. Cette rupture de contrat précoce s’explique par « la survenance de comportements que le club ne peut tolérer », selon le communiqué publié mercredi. En quête d’un nouvel ailier-fort après ce départ, Limoges tentera de décrocher sa première victoire de la saison ce samedi en se rendant sur le parquet de Strasbourg, nouvelle équipe de Massimo Cancellieri.\n\n\nMarine Johannès et le New York Liberty poursuivent leur route en WNBA\n\nOn ne les arrête plus ! Après une saison régulière bouclée à première place de la Conférence Est, le New York Liberty de Marine Johannès a passé sans encombre les quarts de finale des playoffs en éliminant les Washington Mystics en deux manches. Si elle a été nommée parmi les candidates au titre de meilleure remplaçante de la saison – finalement remporté par l’ancienne de l’ASVEL Alysha Clark -, la Française s’est montrée discrète pour le moment en playoffs (0 point inscrit). La joueuse de 28 ans dispose tout de même d’une chance d’offrir un premier titre WNBA à sa franchise, aux côtés de Breanna Stewart et Sabrina Ionescu. Prochain obstacle sur la route de la gloire : la demi-finale contre le Connecticut Sun, qui vient d’éliminer les Minnesota Lynx en trois matches.\n\n\nSensation du Mondial 2023, Arturs Zagars signe à Fenerbahçe mais jouera en Lituanie cette saison\n\nInconnu et sans contrat au moment de faire ses débuts en Coupe du monde avec la Lettonie, Arturs Zagars est le tube de l’été. Le meneur, qui a fait du mal à la France et l’Espagne, s’est véritablement fait un nom de par ses prestations en Asie. De quoi attirer les convoitises de toute l’Europe, dont certains des meilleurs clubs du continent. Le meneur de 23 ans a finalement rejoint Fenerbahçe, avec qui il a signé pour trois ans. Mais il devra toutefois attendre avant d’évoluer sous le maillot du club turc, qui l’a l’envoyé en prêt au club lituanien du BC Wolves cette saison. Une saison de transition dans un club ambitieux, avec lequel Zagars va disputer l’Eurocup, avant de revenir plus fort à Istanbul l’été prochain.
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Les 6 infos de la semaine : Marine Johannès poursuit sa route en WNBA, déjà du mouvement à Limoges (Copy)
Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 17 au 23 septembre.\n\n\nCe week-end, c’est la reprise de la Ligue Féminine !\n\nQuatre mois après le sacre de l’ASVEL contre Villeneuve-d’Ascq, la Ligue Féminine reprend ses droits ce weekend. La saison a bien été lancée dès la semaine dernière avec la victoire de Basket Landes contre l’ASVEL lors du Match des Champions mais c’est cette fois le championnat qui est de retour. Au programme : cinq rencontres ce samedi, avant de conclure la première journée par une jolie affiche entre Bourges et Basket Landes ce dimanche après-midi. En parallèle du sportif, la LFB compte d’ailleurs poursuivre son développement : avec des salaires, une couverture TV et une visibilité sur les réseaux sociaux en hausse, le championnat français a en tout cas pris le bon chemin.\n\nLigue Féminine : Une couverture TV et des salaires en hausse ! | Basket EuropeBasket Europe\n\n\nVictor Wembanyama se projette déjà sur les Jeux Olympiques\n\nGrand absent de la Coupe du Monde 2023 avec l’équipe de France, Victor Wembanyama se prépare actuellement à faire ses débuts en NBA dans un mois. Interrogé en conférence de presse alors que Canal+ s’apprête à diffuser un documentaire sur lui, Wemby a parlé des échéances qui l’attendent. Le numéro 1 de la Draft a confirmé son intention de participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024 et s’est livré sur ses ambitions : « Réussir les JO, ce serait une belle histoire. Et il n’y aura pas d’autre but que l’or. Je serai bien sûr présent aux JO. J’ai regardé la Coupe du monde et le résultat est très décevant. Pour autant, je ne suis pas inquiet. Je n’ai pas de jugement à porter, je n’étais pas dans l’équipe et celle-ci est entre les mains de joueurs de top niveau. Je sens que cela n’altère pas l’opportunité de faire quelque chose de grand à Paris l’an prochain« . Avant cela, le joueur formé à Nanterre sera attendu au tournant pour ses débuts sur les parquets américains.\n\nVictor Wembanyama : « Je serai présent aux Jeux Olympiques » | Basket EuropeBasket Europe\n\n\nUn tirage au sort abordable pour les Bleues en qualification de l’Euro 2025\n\nMédaillée de bronze à l’Euro cet été, l’équipe de France féminine est désormais fixée sur les adversaires qui se trouveront sur la route du prochain tournoi européen. Le tirage au sort des qualifications pour l’Euro 2025 – qui se déroulera en Allemagne, en Italie, en République Tchèque et en Grèce – a livré son verdict et s’est montré plutôt clément avec les Bleues. Protégée par son statut de tête de série, l’équipe entrainée par Jean-Aimé Toupane sera opposée à la Lettonie, à Israël et à l’Irlande. Ces matches de qualifications seront répartis sur trois fenêtres internationales, dont la première avec une rencontre à l’Arena Futuroscope de Poitiers en novembre prochain. Il faudra terminer à la première place ou parmi les quatre meilleurs deuxièmes (sur huit groupes) pour se qualifier pour l’Euro 2025.\n\nITW Sarah Michel : « Avec l’équipe de France, ce sera fini après les Jeux Olympiques de Paris » | Basket EuropeBasket Europe\n\n\nCa bouge déjà à Limoges, qui se sépare de Kristian Doolittle\n\nAlors que certaines équipes de Betclic Elite sont contraintes de revoir leurs plans à la suite de blessures, le Limoges CSP a de son côté déjà décidé de procéder à un réajustement de son effectif. Recruté cet été mais absent du groupe limougeaud pour la réception de Monaco à l’occasion de la première journée, Kristian Doolittle quitte la Haute-Vienne sans avoir disputé une seule minute en match officiel avec le CSP. Cette rupture de contrat précoce s’explique par « la survenance de comportements que le club ne peut tolérer », selon le communiqué publié mercredi. En quête d’un nouvel ailier-fort après ce départ, Limoges tentera de décrocher sa première victoire de la saison ce samedi en se rendant sur le parquet de Strasbourg, nouvelle équipe de Massimo Cancellieri.\n\n\nMarine Johannès et le New York Liberty poursuivent leur route en WNBA\n\nOn ne les arrête plus ! Après une saison régulière bouclée à première place de la Conférence Est, le New York Liberty de Marine Johannès a passé sans encombre les quarts de finale des playoffs en éliminant les Washington Mystics en deux manches. Si elle a été nommée parmi les candidates au titre de meilleure remplaçante de la saison – finalement remporté par l’ancienne de l’ASVEL Alysha Clark -, la Française s’est montrée discrète pour le moment en playoffs (0 point inscrit). La joueuse de 28 ans dispose tout de même d’une chance d’offrir un premier titre WNBA à sa franchise, aux côtés de Breanna Stewart et Sabrina Ionescu. Prochain obstacle sur la route de la gloire : la demi-finale contre le Connecticut Sun, qui vient d’éliminer les Minnesota Lynx en trois matches.\n\n\nSensation du Mondial 2023, Arturs Zagars signe à Fenerbahçe mais jouera en Lituanie cette saison\n\nInconnu et sans contrat au moment de faire ses débuts en Coupe du monde avec la Lettonie, Arturs Zagars est le tube de l’été. Le meneur, qui a fait du mal à la France et l’Espagne, s’est véritablement fait un nom de par ses prestations en Asie. De quoi attirer les convoitises de toute l’Europe, dont certains des meilleurs clubs du continent. Le meneur de 23 ans a finalement rejoint Fenerbahçe, avec qui il a signé pour trois ans. Mais il devra toutefois attendre avant d’évoluer sous le maillot du club turc, qui l’a l’envoyé en prêt au club lituanien du BC Wolves cette saison. Une saison de transition dans un club ambitieux, avec lequel Zagars va disputer l’Eurocup, avant de revenir plus fort à Istanbul l’été prochain.
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BCL : Malaga, le tombeur du Real Madrid, en représentation ce soir au Mans
Le Mans reçoit ce soir à Antarès un cador de la Basketball Champions League, Unicaja Malaga, invaincu dans le groupe A (3-0) et qui vient de faire tomber le Real Madrid.\n\nTout baigne actuellement pour Unicaja, qui en liga ACB possède autant de victoires (7) que Valence, le Barça et Murcie, mais qui les dépasse au point-average, consolidant son objectif d’être tête de série de la Coupe du Roi qu’il organisera à la maison.Sa victoire sur le Real Madridce week-end (93-99), qui a mis un coup d’arrêt à une série de 19 victoires du champion d’Europe, a fait l’effet d’une bombe d’autant que Malaga a du remonter un retard de 21 points.\n\nL’ailier bosniaque Nihad Dedovic veut oublier cet exploit pour se concentrer sur le match contre le MSB.\n\n«Contre un grand adversaire nous avons joué un match presque parfait, mais cela est désormais oublié.Nous devons avoir la mémoire très courte.Après avoir gagné neuf matchs de suite, le prochain match est le plus important et cela doit être notre préparation.Nous ne pouvons pas nous concentrer sur les matchs que nous avons gagnés car cela ne sert à rien, nous devons jouer chaque match comme si c’était le dernier.Pour nous, il est très important de remporter la première place de notre groupe. Nous devons nous préparer pour un match très dur en France contre un adversaire qui joue bien, qui est solide, et nous devons nous y préparer. Ils ont sûrement plus de pression que nous, donc nous devons rester concentrés pendant quarante minutes, jouer notre jeu et essayer de profiter de nos chances de gagner»\n\nA l’aller, les Manceaux avaient bien résisté aux Espagnols mais leur deuxième quart-temps (25-11) avait été fatal dans le décompte final (83-74). L’ancien Villeurbannais Dylan Osetkowski avait été avec le Manceau D’Shawn Schwartz le meilleur marqueur du match avec 20 points.\n\n« Malaga a fait une grosse performance face au Real, c’est le grand favori de la BCL. Ils ont gagné l’Eurocup il y a quelques années(en 2017)avec sensiblement le même effectif qu’aujourd’hui,déclare de son côté Elric Delord, l’entraîneur du MSB, au Maine Libre.On a probablement une chance sur mille de les battre, mais on a quand même une chance, et moi, je suis persuadé que cette chance c’est ce mercredi soir. En tout cas, c’est dans cet état d’esprit qu’on doit aborder l’affiche. »
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
L'ASVEL féminin monte en puissance
L’ASVEL a dû attendre ce mercredi 22 novembre pour débloquer son compteur en Euroleague féminine, non sans quelques frayeurs face aux Polonaises de Lublin à l’Astroballe (73-72). Alexia Chéry et le coach David Gautier ont retrouvé le sourire et peuvent se projeter sereinement sur le choc face à Villeneuve d’Ascq ce dimanche en LFB.\n\nParait-il que l’ASVEL rembourserait les pacemakers de ses supporters. +19 dans le premier quart, -11 dans le troisième, +10 dans le quatrième, -1 à 15 secondes de la fin, game winner de Stefanie Dolson à cinq secondes du terme... La première victoire de la saison des Lyonnaises en Euroleague est le fruit des montagnes russes,face aux Polonaises de Lublin.\n\n«On ne fait pas exprès mais on joue un peu avec le feu, raconte Alexia Chéry (13 points à 6/13 aux tirs, 4 rebonds et 3 passes en 25 minutes).Pour l’instant, ça marche mais il faut qu’on progresse sur notre constance. On a quand même fait un grand pas en avantpar rapport au dernier matchparce qu’on a réussi à imposer notre rythme dès le début (23-4, 8e). Il faut qu’on arrive à garder ça le plus longtemps possible. Ça ne sera peut-être pas tout de suite 40 minutes mais c’est l’objectif. On a bien commencé le match mais une fois que le coach adverse a compris ce qu’on faisait, elles se sont adaptées et nous ont posé des problèmes. On a été trop gentilles. Mais tout ne peut pas être parfait d’un coup, nous ne sommes pas inquiètes. On a quand même des bases de l’année dernière assez solides. L’une de nos forces était de mettre en lumière la joueuse du soir et il faut qu’on arrive un peu à retrouver ça. Par exemple, on aurait pu impacter un peu plus dans la raquette ce soir. Si Héléna (Ciak) peut marquer 30 points ce soir et 2 le weekend prochain, ce n’est pas un problème. Il faut qu’on appuie là où ça fait mal et qu’on retrouve le rythme. Les joueuses qui viennent d’arriver ont un rôle important dans l’équipe, ça chamboule forcément un peu notre équipe. Mais déjà gagner, c’est déjà important et ça nous fait du bien. Ça nous garde en vie en Euroleague. Ce sont des équipes qu’on doit battre si on veut aller loin dans cette compétition.»\n\n\n“Quand on se relâche en défense, on sait qu’on perd du rythme en attaque”\n\nUn constat partagé par l’entraîneur David Gautier, soulagé d’avoir débloqué le compteur en Euroleague malgré l’irrégularité de ses joueuses :«On lance très bien le match, le départ est quasiment parfait avec beaucoup d’adresse(13/16 aux tirs au premier quart)et beaucoup d’intensité. L’alternance intérieur-extérieur nous a été très favorable. Après, on a été très permissifs en défense, on a perdu le rythme en attaque et on s’est fait peur. Quand on se relâche en défense, on sait qu’on perd du rythme en attaque. On a tendance à trop dépendre du tir à 3-points, et pas forcément que des bons tirs. C’est dans ces moments-là que l’adresse fuit, mais c’est logique car on a perdu le bon tempo du match. C’est un peu la caractéristique de l’équipe de l’année dernière, on le sait. Dans le même temps, on a aussi des tueuses. Quand on est dos au mur, elles élèvent le niveau. Mais quand on est un peu dans la facilité, on a tendance à se reposer un peu trop sur nos lauriers. C’est ça qu’il faut combattre, mais on va retrouver de la lucidité quand on aura récupéré plus de rotations.»\n\nDos au mur à 15 secondes du buzzer après le tir à 3-points de l’ancienne de Saint-Amand, Elin Gustavsson, le coach lyonnais a dessiné le système qui a valu à l’ASVEL de repasser devant in extremis grâce à Stefanie Dolson :«Il ne fallait pas jouer trop tôt l’action pour ne pas leur laisser trop de temps derrière. Le but était d’isoler dans l’axe Marine (Johannès) avec Stéfanie (Dolson) et créer autour de ça. Elles avaient deux fautes à donner, je pensais qu’elles allaient faire faute, j’avais dit à Marine de se mettre en position de shoot si besoin. Finalement, elle a trouvé Gabby qui a retrouvé Stefanie.»\n\n\nRéinstaller de la concurrence\n\nAvec une victoire en six matches, la route est encore très longue pour les Lyonnaises afin de décrocher une hypothétique place en playoffs d’Euroleague Women. Rappelons que Bourges était passé en quarts de finale avant 8 victoires et 6 défaites la saison dernière.\n\n«Il y aura un match important à Sepsi mercredi prochain. La priorité, c’est de gagner en Euroleague. Après, il faut du temps. Par manque de rotation, on tire beaucoup sur les extérieures. C’est vrai que Marine (Fauthoux) est quand même très fatiguée. Pour un retour, Gabby Williams joue déjà beaucoup (23 d’évalen 37 minutes contre Lublin). Ça fait des temps de jeu importants pour tout le monde. Il faut trouver le bon dosage et arriver à récupérer. Quand on se retrouvera à dix, la concurrence se réinstallera, les temps de jeu seront moins importants, ça permettra de garder l’intensité sur le terrain. Actuellement, peut-on tenir l’intensité déployée sur les cinq premières minutes ? Non. Mais personne ne triche, toutes les filles sont là pour gagner. C’est dans ces moments qu’il faut s’entraider et rester positif.»\n\nCe dimanche, l’ASVEL a rendez-vous au Palacium pour un remake de la dernière finale de LFB contre Villeneuve d’Ascq, dernière équipe invaincue en championnat. Un test qui doit servir de point de passage, alors que Lyon est 6e ex-aequo après 7 journées et qu’une cinquième défaite anéantirait déjà pratiquement tout espoir de terminer à la première place de saison régulière.\n\n«Sincèrement, on ne regarde même pas le classement, assure Alexia Chéry. On veut juste gagner le plus de matches. Si on veut aller loin, on sait qu’on doit battre des équipes comme Bourges, Villeneuve-d’Ascq, mais il faut aussi battre les équipes plus à notre portée. On ne se met pas de pression par rapport au début de saison. Peu importe l’équipe, il faut qu’on soit à fond. Je pense que c’est le bon moment pour jouer Villeneuve d’Ascq. Elles déroulent leur basket depuis le début de la saison. Ça peut rééquilibrer la balance si on parvient à les battre. Ce ne sera pas facile, elles sont très physiques, c’est leur force.»\n\nAlexia Chéry:«Ce début de saison (avec d’innombrables blessures) a été dur à vivre. Julie (Allemand) va revenir, ça va permettre à Marine (Fauthoux) de souffler parce qu’elle est partout, elle doit défendre les meneuses en face et gérer cette équipe qui ne doit pas être forcément facile à gérer. Juste (Joycte) devrait bientôt revenir aussi. Maintenant, il ne faut pas oublier ce qui s’est passé, tout n’est pas à jeter. On va essayer d’utiliser ça pour ne plus jamais revivre ça. On est un groupe solide qui croit les unes en les autres. En ce moment, je ne suis pas adroite et chacun de mes coéquipières me dit “on s’en fout, tu shootes”. (...) La trêve internationale m’a fait beaucoup de bien. J’ai pris le temps de faire ce que je n’ai jamais eu l’habitude de faire avec l’enchaînement club – équipe de France, c’est penser à moi, à mon corps et à mon basket. J’ai eu 4-5 jours de repos puis 12 jours de workouts. J’ai pu soigner mon genou et je suis progressivement rentrée dans le collectif. Ça fait du bien de couper quelques jours pour repartir au travail. Ça m’a fait du bien physiquement et moralement.»\n\nÀ Villeurbanne.
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Rétro - Pierre Galle raconte la saga de Berck, champion de France il y a 50 ans et deux fois demi-finaliste de la Coupe des Champions
L'ascension de l'AS Berck fut vertigineuse. Elle l'emmena à deux titres de champion de France (1973 et 74) et à deux demi-finales de la Coupe des Champions (1974 et 75), l'équivalent de l'Euroleague. Jean Galle était son coach, son frère Pierre son meneur de jeu. Il nous raconte cette épopée, qui fête ces jours-ci ses 50 ans.\n\n\Mes parents tenaient un commerce près de l'école Condé à Calais, et il y avait deux terrains de basket à vingt mètres. J'ai toujours été \double surclassé\ et en cadet, j'ai joué au BAC de Calais en Nationale 2, la Pro B de maintenant. Mon frère Jean (de neuf ans son ainé) m'entraînait au BAC et avant à l'Amicale Condé. J'ai joué deux ans à Calais et aussi à Grand-Fort Philippe, et après je suis parti au SA Lyon, car j'étais au Bataillon de Joinville et j'avais comme entraîneur André Buffière, qui était aussi celui du SA Lyon. J'ai travaillé chez Berliet. J'ai obtenu une médaille d'argent avec l'équipe de France juniors en 1964 et c'était complètement inattendu. À tel point que la fédé nous donnait à l'époque des \coqs\ pour qu'on les offre à nos adversaires, et elle ne nous avait donné que pour le tour préliminaire ! Il y avait eu une sacré sélection à Antibes : on était 140 au départ et on avait fini à 12. On aurait pu avoir Alain Gilles, mais il était déjà sélectionné en A. J'ai participé aussi au championnat du monde des moins de 1,80 m, qui n'a eu qu'une édition.\n\nAprès deux ans à Lyon, René Fiolet, qui était directeur sportif de l'AS Berck, m'a appelé. Comme je voulais me rapprocher de ma famille, je suis venu à Berck qui était en Nationale 3. J'avais aussi la mission d'entraîner. À l'époque, on s'entraînait au marché couvert, qui était pire que celui d'Orthez ! J'ai fait une ou deux séances, et j'ai dit à René Fiolet que ça serait mieux s'il pouvait faire venir mon frère. René Fiolet était chef d'entreprise dans le bâtiment, il était très proche du maire et passionné de basket. Il avait joué contre mon frère et c'est comme ça qu'ils se sont connus. Jean était à cette époque responsable de la sécurité à Usinor Dunkerque. René à résolu son problème professionnel en le faisant rentrer dans son entreprise, ce qui fait que l'on a commencé ensemble.\\n\n\nLa naissance d'une grande équipe\n\n\On a eu un coup de chance. Jan Racz (NDLR : décédé il y a quelques jours) était au Royal IV de Bruxelles, qui voulait deux Américains, et ainsi il s'était retrouvé sur le carreau. Une semaine avant la fin des mutations, on a eu vent de la possibilité de le recruter. C'était compliqué au niveau des papiers car il s'était sauvé de Hongrie. Je suis allé le chercher en Belgique dans la voiture de René Fiolet. Un joueur exceptionnel sans qui on ne se serait pas maintenu la première année en première division, car au début on n'avait le budget que pour un seul Américain, John Gidding. À cette époque, c'était une histoire de 2 000 francs par mois, sans charge (rires). On a fini septièmes la première année, l'aventure commençait.\n\nOn était en avance sur tout. Comme on n'était pas payé cher, on avait des avions privés en accord avec l'aéroport du Touquet. On avait deux caméras vidéos, on allait filmer les adversaires, même jusqu'à Varèse, on avait un sauna, on s'entraînait le midi et le soir, et pour déjeuner on allait chez un supporter, ça coûtait deux francs six sous. On était donc toujours ensemble, une équipe de copains, tous du même coin. Racz parlait français, Kenny Gardner l'a appris très vite. Bob Cheeks était un garçon très bien élevé, très consciencieux, un pion indispensable dans le système. On avait des possibilité de faire de la récupération dans les hôpitaux. Comme on était devenu un peu des idoles, toutes les portes étaient ouvertes. Et comme on avait des avions de 6-8 places, on atterrissait au Mans où notre kiné Alain Roux avait son cabinet, et on repartait avec. Il y avait une fiesta après chaque match, ambiance rugby. Et le lundi, c'était de nouveau travail !\n\nOn avait un gros collectif, on pouvait jouer les yeux fermés, avec très peu de pertes de balle. On jouait parfaitement sur la valeur de chacun. Lors du deuxième titre, on a eu 16 points d'avance sur le deuxième (26 victoires, 4 défaites) avec une nouvelle salle (5 000 places) qui avait été votée par 19 voix contre 18. Quand on a reçu le Real Madrid, on avait loué les 186 places de la tribune centrale à 100 balles. Cette recette de la tribune d'honneur correspondait aux recettes que l'on faisait dans la petite salle ! Pour ce match contre le Real Madrid, on a eu des demandes d'Angleterre !\n\nLa première année, à part Gidding et Racz, qui devaient avoir 2 000 ou 4 000 francs, les autres gagnaient 500 francs (NDLR : le salaire moyen en 1973 était d'un peu plus de 1 800 francs). On a doublé ensuite notre salaire mais ce n'était pas mirobolant. J'étais maître d'éducation physique à la mairie de Berck. Ensuite, je me suis retrouvé dans les entreprises de M. Renard, le président, qui tenait un abattoir et qui avait une surface financière importante. C'était quelqu'un très brut de décoffrage mais avec un gros cœur, qui s'intégrait bien dans notre façon de vivre mais il n'avait pas suffisamment de recul par rapport aux performances sportives. René Fiolet était plus psychologue, il connaissait mieux le basket. Au 1er janvier 1973, j'ai eu un poste à la fondation sportive du Touquet.\\n\n\nL'épopée en Coupe des Champions\n\n\Au match aller contre le Panathinaikos, on a joué dans une salle située sous la tribune du stade de foot. C'était un traquenard. Pour aller dans les vestiaires, il fallait fendre la foule, ils nous avaient crachés dessus, on avait été enfermés dans les vestiaires et la police avait dû intervenir. On était remonté comme des pendules, il y a eu une mobilisation, un tract a été réalisé par mon père, les Grecs ont été accueillis comme il le fallait à l'hôtel. Le match retour à été épique. Au premier entre-deux, Yves-Marie Verove et un Grec se mettent une pèche. L'arbitre vire les deux et ce furent les débuts de Didier Dobbels qui était tout gamin. On a gagné de 48 points, je crois... (102 à 57 en fait). Titre de Jacques Marchand dans L'Equipe : \on a inauguré un enfer\.\n\nMême avec le recul, cette grève fut surprenante (NDLR : voulant protester contre la radiation de Yves-Marie Verove et Patrick Plateau, prononcée par le président pour des raisons disciplinaires, Jean Caulier, Dider Dobbels, Jean-Pierre Sailly et Bob Cheeks refusèrent de jouer la demi-finale retour contre le Real Madrid en 1974, à la stupéfaction des téléspectateurs, le match étant diffusé sur la première chaîne nationale. Le coach Jean Galle, 39 ans, fut obligé de se mettre en short et marqua 8 points. Berck s'inclina de 46 points sur l'ensemble des deux manches). Ce que je veux dire, c'est que ces joueurs peuvent remercier mon frère. Jean a été convoqué le lendemain à la fédération avec René Fiolet, et avant de recevoir les grévistes, Busnel (le président de la FFBB) a posé la question : qu'est ce que je fais de ces gars-là ? Je résilie leur licence à vie ? Et Jean a dit, non, il ne faut pas. Il leur a sauvé leur peau. J'ai eu tellement de bons moments à Berck que je ne veux pas cracher sur cette mauvaise période.\n\nL'année suivante, on avait perdu les deux Américains, Yves-Marie Verove et Patrick Plateau, ce fut une saison difficile. On avait moins de rotations et je me souviens qu'on a pris 18 points à Villeurbanne alors qu'on se tenait à la mi-temps (Berck à terminé 7e de première division). Mais on fait un nouvel exploit en se requalifiant pour la demi-finale de Coupe d'Europe (Berck fut éliminé par Varèse de 20 points sur les deux manches).\\n\n.\n\n.\n\n\n\n\nInterview parue dans un Hors Série de Basket Hebdo en 2014.\n\nPhoto d'ouverture : l'AS Berck championne de France en 1973.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Wayne Hightower, la première étoile américaine du Real Madrid
\nL’idée de constituer une équipe de basket de haut standing au Real Madrid est venue de Raimundo Saporta qui avait l’oreille du président Santiago Bernabeu. Les deux hommes y voyaient la possibilité d’une diversification autour de la section football. Saporta savait aussi pouvoir s’appuyer sur un jeune entraîneur talentueux de petite taille, Pedro Ferrandiz.\n\nFerrandiz avait pris l’équipe en mains pour la saison 1958-59 et les deux saisons suivantes, le Real avait réussi le doublé coupe-championnat. Il avait même réussi à atteindre la demi-finale de la Coupe des Champions avec Emiliano Rodriguez, Carlos Sevillano et Lolo Sainz et un bon Américain, Travis Montgomery, venu de Trieste. Mais Ferrandiz en voulait davantage et il a obtenu de Saporta le feu vert pour recruter une véritable star. « La télévision faisait déjà son apparition dans les foyers et il était tentant de mettre un peu plus du Real Madrid dans chaque maison en Espagne, désormais conditionné sous forme de basket », écrit le journal El Pais.\n\n\nLe coup de pouce du proprio des Warriors\n\nQuelle meilleure destination que les Etats-Unis, territoire alors mystérieux mais déjà objet de tous les fantasmes ? Pedro Ferrandiz a pris l’avion, emportant dans sa poche un insigne du club en or et diamants, au cas où cela pourrait lui ouvrir une porte. Ne connaissant pas l'anglais et n'ayant aucun contact là-bas, il était accompagné de Carlos Pardo, un célèbre journaliste barcelonais, notamment correspondant en Espagne pour le quotidien L’Equipe, et qui avait son réseau aux Etats-Unis. En plus d'être journaliste, Carlos Pardo était organisateur d'événements, et il avait amené en Espagne des spectacles tels que Hollyday on Ice et les Harlem Globetrotters, deux attractions majeures à l’époque.\n\nFerrandiz s’est ainsi retrouvé à Philadelphie et il assista à une cérémonie ou était honoré la superstar des Boston Celtics d’origine française, Bob Cousy. « J’avais apporté avec moi un insigne d'or et de diamants de Madrid. J'ai dit que j'étais\n\nvenu de loin pour lui faire ce cadeau. Bien sûr, là-bas, tout le monde m'a regardé interrogatif. De plus, je pense que le lauréat lui-même n’a pas su qui j'étais, d'où je venais, où était l'Espagne ou le Real et qu'il a peut-être même vendu le cadeau », a raconté plus tard Pedro Ferrandiz.\n\nC’est grâce à Carlos Pardo que Ferrandiz avait pu s’introduire dans la soirée et qu’il se trouva en contact avec Eddie Gottlieb, propriétaire millionnaire des Philadelphia Warriors. C’est Gottlieb qui donna aussi un tuyau en or à l’Espagnol. « Il y a un bon joueur en ville nommé Wayne Hightower qui ne peut pas entrer en NBA parce qu'il n'a pas de diplôme universitaire. Il est grand, 2,03 m. Cela peut vous intéresser. Je pense qu'il s’est fiancé aux Globetrotters. Ce que je ne sais pas, c'est s'il a déjà signé ou non. »\n\n\nUn contrat de 6 000 dollars\n\nWayne Hightower avait fréquenté la même université que Wilt Chamberlain, celle Kansas, et c’était un as. Comme beaucoup de jeunes Noirs de l’époque d’extraction modeste, il souhaitait gagner au plus vite de l’argent. Il avait signé aux Pittsburgh Rens de l’American Basketball League mais son contrat fut annulé. Hightower déclara alors vouloir finir ses études à l’université de Waynesburg mais il n’a jamais suivi ce plan. Pas plus qu’il accepta l’offre de rejoindre les Easton Madisons de l’Eastern Professional Basketball League.\n\nWayne Hightower ne pouvait pas entrer de suite en NBA car il existait à l’époque la « règle des quatre ans » obligeant d’avoir 22 ans pour avoir cette liberté. C’est ainsi que Wilt Chamberlain séjourna un an aux Harlem Globe Trotters avant de signer aux Philadelphia Warriors. Hightower était à même de prendre la même voie que son aîné.\n\nPedro Ferrandiz décrocha son téléphone et obtint un rendez-vous avec le joueur américain qui, par chance, partageait son appartement avec un Portoricain qui put servir d’interprète. L’Espagnol avait un grand sens de la persuasion et il parvint à le convaincre de signer au Real pour 6 000 dollars sur un contrat qu’il avait préparé sans mettre au préalable de nom et de montant. Il a même eu l'idée de descendre dans la rue avec un ballon et de monter ensemble dans une imposante Cadillac décapotable pour que le Portoricain puisse les prendre en photo. Il utilisa ensuite abondamment le cliché en Espagne pour valoriser cette prise de choix.\n\nPeu de temps après son arrivée, le Real Madrid a disputé un tournoi international à Paris, qu'il a remporté avec une prodigieuse démonstration de l’Américain face à Bagnolet : 38 points en première mi-temps, 56 sur tout le match.\n\n\nLa colère d’Abe Saperstein\n\nSeulement, un homme était en colère, Abe Saperstein, le propriétaire des Harlem Globetrotters, qui prétextant un accord verbal de la part de Wayne Hightower, envoya une lettre salée à Santiago Bernabeu. Il y accusait le Real de « piraterie internationale » et l’homme qui l’avait perpétré s’appelait Pedro Ferrandiz. Saperstein ajouta que le jour où Ferrandiz reviendrait aux Etats-Unis, il serait arrêté dès sa descente d’avion. Soucieux de l’image du Real, Bernabeu convoqua Saporta et Ferrandiz, à qui il demanda de régler l’affaire pour éviter un scandale.\n\nNi une, ni deux, Pedro Ferrandiz prit un vol pour New York et il fut soulagé de constater que les flics ne l’attendaient pas à l'aéroport. Il se rendit à Philadelphie, se présenta à l'appartement de Gottlieb et lui montra une copie de la lettre. Gottlieb, qui s'était vraiment pris d'affection pour lui, appela Saperstein pour convenir d’un rendez-vous. Ferrándiz arriva en tremblant, mais la colère de Saperstein était passée et l'intervention de Gottlieb avait fini de l'apaiser. « Il a également pris goût à ce garçon qui se battait pour implanter un tel sport américain dans la vieille Europe. Il a déchiré la copie de la lettre et les a invités tous les deux à venir pêcher sur sa propriété du Vermont, » rapporte El Pais.\n\n\nLa NBA et l’ABA après le Real\n\nWayne Hightower ne demeura qu’une seule saison au Real Madrid, mais grâce à lui, l’équipe de Pedro Ferrandiz remporta le championnat espagnol de la saison 1961-62 et parvint en finale de la Coupe des Champions -l’Euroleague d’alors- qu’elle perdit face à au Dynamo Tbilissi à Genève. L’Américain fut le meilleur marqueur du championnat espagnol et de la finale de la Coupe d’Europe. Il prit aussi le temps de faire une année d’études à l’université de Complutense de Madrid. « Il s'est adapté difficilement », reconnu plus tard Ferrandiz. « Pour sa fête d'anniversaire, par exemple, il a offert un gâteau à ses équipiers et, sans dire un mot, il est retourné dans la chambre et il s'est endormi. Mais sa classe était infinie. Il n’est resté qu’une saison, mais s'il était resté davantage, on parlerait aujourd’hui d'un personnage inoubliable. »\n\nWayne Hightower avait beaucoup mieux à faire que poursuivre sa carrière en Espagne. Il a joué un total de cinq saisons en NBA avec les Warriors, les Baltimore Bullets et les Detroit Pistons et sa meilleure fut celle de 63-64 avec 13,2 points et 7,2 rebonds. Il se mit ensuite au service de l’ABA, la ligue qui cherchait alors à concurrencer la NBA, et lui a apporté une crédibilité certaine. Il s’est ainsi fendu de 18,1 points et 9,4 rebonds par match avec les Los Angeles Stars en 1970. Il fut aussi le vice-président du syndicat des joueurs, et toute sa carrière, il fut surnommé « Spain » en référence à son passage au Real Madrid.\n\nUne fois sa carrière de joueur terminée, en 1972, il s’engagea dans la Peace Corps et fut envoyé en Tunisie. Il s’intéressa à la mode masculine et ouvrit un magasin à Denver. Il entraîna ensuite des jeunes à Philadelphie, fut actif dans son Eglise, mais il souffrait à la fois de dépression et de problèmes cardiaques. Il est d’ailleurs décédé d’une crise cardiaque en 2002 à l’âge de 62 ans.\n\n\nPedro Ferrandiz, en avance sur son temps\n\nL’actuel président du Real Madrid, Florentino Perez a rendu un hommage vibrant à Pedro Ferrandiz, déclarant : « En tant que fan, j'ai eu la chance de vivre et d'apprécier l'incroyable révolution d'un homme en avance sur son temps, qui a guidé le Real Madrid depuis le banc, battant record après record et créant des émotions historiques. Une chose qui m'a particulièrement enthousiasmé était son audace. Il a été le premier entraîneur à avoir réussi à se rendre aux États-Unis et à faire venir la première grande star américaine en Europe. Le légendaire Hightower nous a aidés à atteindre la finale de la Coupe d'Europe, que nous n'avions jamais atteinte auparavant ».\n\nFerrandiz a été le coach du Real pendant 13 ans avec un appétit gargantuesque : 12 championnats d’Espagne, 11 coupes et 4 titres de champion d’Europe. Outre Hightower, il a fait venir dans la capitale espagnole d’autres Américains de légende, Bob Burgess, Clifford Luyk, Wayne Brabender et Walter Szczerbiak.\n\nIl a été aussi l’entraîneur de l’équipe d’Espagne au championnat d’Europe de 1965. Une fondation de basket-ball a été créée en son honneur en 1991 pour promouvoir le basket-ball, et à l'époque, héberger la plus grande bibliothèque de basket-ball au monde. Il a été introduit à la fois au Naismith Hall of Fame et à celui de la Fédération internationale. Il avait 93 ans au moment de son décès en juillet 2022.\n\nA lire demain : Clifford Luyk, L'Américain naturalisé providentiel du Real Madrid\n
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Clifford Luyk, l’Américain naturalisé providentiel du basket espagnol
La naturalisation express de Lorenzo Brown et sa réussite à l’EuroBasket 2022 en Allemagne ont fait jaser dans la sphère européenne du basket-ball. L’Espagne en n’est pas à son coup d’essai ni coup de maître en la matière. En remontant le temps, on trouve trace de Nikola Mirotic, Serge Ibaka, Chuck Kornegay, Johnny Rogers, Mike Smith, Jose Biriukov, Chicho Sibilio, Jean Domingo de la Cruz, Wayne Brabender, et à la source Clifford Luyk.\n\n\nDe profondes racines européennes\n\nLes parents de Clifford Luyk ont fait connaissance sur un bateau qui les menaient de l’Europe à la terre promise américaine. « Mon père était hollandais, de Rotterdam, cultivateur de tulipes. Ma mère, Suissesse, de Saint-Gall, horlogère, » raconte leur fils. « Ils se sont rencontrés sur un navire à destination des États-Unis fuyant la Première Guerre mondiale. Il y avait sept personnes de la famille de mon père et huit pour ma mère. Je veux dire par là que j'avais de profondes racines européennes bien que né à New York. J'étais l'Américain de la première génération. Quand je suis allé en Espagne, je savais où j'allais, même si mes amis des États-Unis m'ont demandé si j'y allais avec des ânes et des couvertures. Ils pensaient que l'Espagne était le Mexique ! Heureusement, j'ai eu une éducation très maison. Mes parents m'ont appris la géographie et l'histoire du monde, et ils m'ont beaucoup parlé de l'Europe. Mon père avait travaillé à Valence et à Barcelone et il adorait le football. Madrid était la plus grande équipe d'Europe, et il y avait une section de basket... ».\n\nClifford Luyk est né à Syracuse dans l’Etat de New York. Il a été formé à l’université de Florida de 1959 à 1962 avec une belle moyenne de 21,3 points en senior avec une pointe à 40 contre Tennessee, et un diplôme en mathématiques à la clé, à moins de 21 ans. Les New York Knicks vont le drafter mais l’estimer trop tendre pour le signer. C’est alors que l’entraîneur du Real Madrid, Pedro Ferrandiz, qui a déjà fait venir en Espagne, au culot, Wayne Hightower, entre en contact avec les Knicks, et parvient à décider Luyk et Bob Burgess, un pivot défensif de l’université de Marquette, de venir en Europe.\n\nClifford Luyk s’installe à l’hôtel de Victoria. Il apprécie de suite la compagnie des Espagnols, la sangria, la paëlla, le cordero asado, et au bout de six mois, il parle espagnol presque sans accent. « J'ai découvert le monde de la tauromachie. El Viti et les frères Lozano étaient à l'hôtel. J'allais beaucoup à Las Ventas. J'ai appris la langue dans une académie. Il y avait quelques couples mariés qui m'ont invité à dîner et j'ai apporté une bouteille de vin, je ne suis jamais allé chez McDonald's ou Burger King. J'étais européen. L'été, je suis retourné aux États-Unis et j'avais de moins en moins d'amis, et en Espagne, c'était l'inverse. »\n\nL’Américain pousse encore plus loin son assimilation en épousant Paquita Torres, ancienne Miss Espagne et Miss Europe avec qui il va avoir trois enfants dont Sergio, qui jouera en ACB et décèdera prématurément d’un cancer, et Estefania qui sera mannequin. Il devient une célébrité nationale. Des articles people sont consacrés à ce géant à qui on demande comment il fait pour dormir dans un lit de taille normale ou s’installer dans un siège de cinéma. A la naissance de Sergio, un magazine titre : « le plus gros bébé d’Espagne ».\n\nL'immersion est si profonde qu'en 1965, lors d'une tournée du Real Madrid en Amérique du Sud, traversant les Andes en avion entre Santiago et Montevideo, le vice-président Raimundo Saporta lui demande : « Garçon, pourquoi ne deviens-tu pas espagnol ? » « Cela ne m'était même pas venu à l'esprit, mais je lui ai immédiatement dit oui et après quatre mois, j’étais espagnol », expliqua Luyk. « La vérité est que lorsque je suis retourné aux États-Unis cet été-là, je me suis retrouvé totalement déplacé. Là où je me sentais vraiment à l'aise, c'était en Espagne, » compléta t-il dans une autre interview. Les formalités furent définitivement accomplies le 16 novembre 1965.\n\nCoïncidence, il effectua ses grands débuts sous le maillot espagnol... contre les Etats-Unis. « Lorsque les hymnes ont commencé, j'ai eu des sentiments mitigés », se souvient-il. Mais l’adaptation fut immédiate. « Les joueurs du Barça et de Joventut, avec qui j’étais adversaire m'ont accueilli chaleureusement en équipe nationale. »\n\n\nLe meilleur pivot d’Europe\n\nSon niveau de jeu ? L’entraîneur de l’équipe nationale Antonio Diaz-Miguel résuma : « Cliff nous est indispensable, même sur la touche. Il crée une auréole de confiance dans l’équipe. Même blessé, comme au Mundial de Porto-Rico, il s’avère indispensable. »\n\nLuyk est arrivé dans un basket européen où les défenses étaient disons faiblardes. « En Espagne, les pivots se consacraient pratiquement à prendre des rebonds pour jouer la contre-attaque », juge t-il. Avec sa taille, sa puissance, sa technique dont le bras roulé en suspension, et malgré une grave blessure au genou, Clifford Luyk va devenir le meilleur pivot en Europe, lui qui en NCAA opérait comme ailier-fort. « Il s’avère aussi bon que Burgess en défense et au rebond, ce qui surprend bon nombre de sceptiques. Il en fait plus encore : il monte la balle lui-même s’il le faut et ses passes, directes ou au sol, alimentent ses coéquipiers lorsqu’ils coupent vers le panier, » écrivit Vicente Salaner dans L’Equipe Basket Magazine.\n\nIl est si bon que les Knicks vont chercher à le récupérer. En route vers les Jeux Olympiques de Mexico, l’équipe d’Espagne joue un scrimmage face aux Indiana Pacers futurs champions ABA, la ligue concurrente de la NBA. Dans une défaite de 15 points, Luyk marque 26 points et prend 15 rebonds. A la fin du match, le general manager du club lui offre 50 000 dollars, une belle somme pour l’époque, mais le joueur du Real la refuse.\n\n\nDes trophées et des émules\n\nLe palmarès de Clifford Luyk est monumental. Dans la ligue espagnole, le Real n’a eu aucun rival d’autant que le Barça tomba un temps en deuxième division. « A l'exception de Buscató, nous avions peut-être les meilleurs nationaux : Emiliano, Sáinz, Sevillano, Descartín, Ramos... De plus, nous étions un groupe très uni, où nous avions tous les mêmes passe-temps et étions de formidables gagnants », certifie t-il.\n\nClifford Luyk a été 6 fois champion d’Europe des clubs, 14 fois champion d’Espagne de 1963 à 1977, il a gagné 10 fois la Coupe nationale, et avec l’équipe d’Espagne il a remporté la médaille d’argent à l’EuroBasket de 1973 et terminé 5e du championnat du Monde l’année suivante. Il a ensuite mené une carrière d’entraîneur avec deux titres de champion d’Espagne et une coupe, toujours avec le Real.\n\nLe nom de Clifford Luyk est associé à celui de Wayne Brabender, un autre Américain naturalisé, qui est arrivé au Real en 1967, qui fut naturalisé l’année suivante, et qui s’est forgé lui aussi un palmarès encyclopédique dont un trophée de MVP de l’EuroBasket en 1973.\n\nL’un des principaux mérites de Clifford Luyk est d’avoir fait des émules dans un basket espagnol qui était avant lui en pénurie de big men. Avec Rafael Rullan et Miguel Angel Estrada jusqu’aux frères Gasol, l’Espagne allait se doter de géants qui allaient faire bien des misères aux intérieurs du monde entier.\n\n
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Salaires Pro B 2022-23 – La Rochelle: Robert Turner, le sauveur?
Malgré des finances d’un niveau très correct, le Stade Rochelais lutte pour éviter la relégation. Il faut dire que rares sont les joueurs à se distinguer – et ceux-là ne sont pas les plus hauts salaires. Un couac dans le recrutement ?\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\nLa Rochelle – saison 2022-2023\nBudget : 2 379 000 euros (9e, NM1 l’an dernier)\nMasse salariale (brut) : 712 000 euros (9e)\nClassement après 19 journées : 15e (6-13)\n\nPour son accession en Pro B, le Stade Rochelais a mis les petits plats dans les grands, s’avançant sur la ligne de départ avec des moyens conséquents pour un promu. Parvenir à présenter les 9e budget et masse salariale de la division n’est pas à la portée de tous les nouveaux arrivants de l’étage inférieur – preuve en est Angers, l’autre équipe montée de NM1, qui dispose de la dernière masse salariale de l’antichambre de l’élite.\n\nMalgré cela, alors qu’Angers est en position d’accéder aux playoffs, La Rochelle se débat, elle, pour éviter la relégation. Les finances ne font pas tout, et l'adaptation à un nouveau niveau réserve toujours son lot de surprises.\n\n\nDes salaires moyens mais homogènes\n\nPour démarrer sa saison, le club des Charentes-Maritimes s’est appuyée sur quelques joueurs connaissant bien la Pro B, déjà présents au club en NM1 comme Ruphin Kayembe ou Gaëtan Clerc, ou arrivant de solides équipes de Pro B, comme Alexis Tanghe (Blois) et Jérôme Sanchez (Nantes).\n\nLe premier de ces nouveaux arrivants a accepté une baisse importante de ses revenus (environ 20 000 euros de moins qu’à Blois), le second voyant son salaire inchangé. Globalement, le Stade Rochelais n’a pas fait de folies, le salaire de ses joueurs majeurs étant compris dans une fourchette allant de 30 000 à 50 000 euros. Quant à Julien Cortey, le coach, il perçoit l'un des plus petits salaires de sa corporation.\n\n\nDéceptions en série\n\nMalheureusement, le rendement de bon nombre des joueurs rochelais n’est pas à la hauteur de leurs émoluments. Keith Wright se montrait productif (15,6 d’évaluation) mais décevait tout de même ses dirigeants, qui s’en sont séparés, tout comme de Henry Pwono, pas au niveau attendu.\n\nPar ailleurs, les trois joueurs les mieux payés, Alexis Tanghe, Jérôme Sanchez et Ruphin Kayembe, sont en-dessous de ce que l’on était en droit d’attendre de leur part. De son côté, la jeune garde française – Matthieu Robin, Victor Diallo, Louis Marnette (de retour de blessure) – n’a pas encore un apport comparable aux autres joueurs français des clubs comparables.\n\nEn fait, des joueurs ayant débuté l’exercice, seuls Gaëtan Clerc et Javon Masters sont au niveau attendu, malgré un salaire très moyen. Le Stade Rochelais va maintenant espérer que le remplaçant de Keith Wright, le dénommé Robert Turner III, continue sur la lancée de ses premières bonnes prestations (14,7 d’évaluation) et contribue à hisser le niveau de jeu du collectif. Il faudra bien cela pour arriver à décrocher le maintien.\n\n[table id=269 /]\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/premium-fr/630353/guide-pro-b-2022-23-la-rochelle-le-maintien-avant-tout/\n\n.\n\n.\n\nPhoto : Robert Turner III © Stade Rochelais (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Lille: Bastien Vautier fait sauter la banque
Après une saison 2021-22 maussade, le Lille Métropole Basket est reparti en campagne avec des moyens quasiment inchangés et une équipe profondément renouvelée. Avec à la clé une superbe première partie de saison, grâce notamment à un Bastien Vautier étincelant.\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\nLille – saison 2022-2023\nBudget : 1 670 000 euros (17e, -5 %)\nMasse salariale (brut) : 670 000 euros (11e, +3 %)\nClassement après 19 journées : 5e (12-7)\n\nLa saison dernière, le Lille Métropole Basket n'a décroché son maintien que sur un fil, terminant 16e et avec le même bilan de 14 victoires pour 20 défaites que Tours, le premier relégué. Il fallait donc réagir. Ce que le club n’a pas réellement fait au niveau de ses moyens financiers : son budget est même en baisse de près de 100 000 euros mais sa masse salariale a très légèrement augmenté, de 20 000 euros.\n\nDe quoi continuer dans les bas-fonds de la division ? Que nenni ! Grâce à leur recrutement avisé, les Red Giants font la course en haut de tableau, étant 5e avec trois victoires d’avance sur le premier non-qualifiable pour les playoffs. Tout cela en se payant le luxe de devancer des écuries bien mieux loties financièrement telles que Champagne Basket, Antibes ou Orléans.\n\n\nTrois salaires majeurs, et c’est tout\n\nDevant renouveler la quasi-totalité de son effectif, le LMB a su attirer des joueurs connaissant bien la division, comme Marcos Suka-Umu ou Lien Phillip, tout en restant très mesuré dans les salaires proposés.\n\nSi les trois joueurs les mieux payés figurent dans les 50 plus hauts revenus de la division, tous les autres figurent au-delà de la 120e place dans cette hiérarchie ! Avec notamment Vincent Golson, le deuxième joueur étranger le moins payé sur la saison après Michael Akuchie (Angers). Pour sa part, Maxime Bézin, le coach, a vu ses émoluments quelque peu augmenter, tout en restant dans la deuxième moitié de la hiérarchie salariale des entraîneurs de Pro B.\n\n\nVautier et Suka-Umu en fer de lance\n\nDans un effectif très stable (aucun joueur coupé, aucun pigiste), où seul Carl Ponsar a manqué quelques matches, deux joueurs ressortent d’un lot extrêmement homogène, Marcos Suka-Umu et, encore plus, Bastien Vautier, soit deux des trois plus hauts salaires de l’équipe. Le premier est le 3e passeur de la division, alors que Bastien Vautier, qui effectue sa première saison complète depuis sa rupture des ligaments croisés en 2021, explose les compteurs : 6e scoreur (17,6 points), 6e rebondeur (8,3 prises), 7e à l’adresse à deux-points (66,8 %), 14e contreur (0,7 par match) et surtout 1er à l’évaluation (21,8), loin devant le deuxième, Mathieu Boyer (19,9). Certains joueurs de Pro B gagnent le double en étant moins productifs !\n\nLe reste de l’équipe complète bien ce duo, offrant de 7,3 d’évaluation (Vincent Golson) à 11,5 (Lien Phillip) pour les joueurs majeurs. Gaëtan Meyniel se distingue dans ce lot : l’ancien du centre de formation de Roanne, qui n’avait jusque là évolué qu’en NM1, payé comme le jeune de 22 ans qu’il est, a supplanté Golson à la mène des Red Giants, produisant 9,3 d’évaluation en 22 minutes. Une belle affaire vu son salaire, sachant qu'il est sous contrat pluri-annuel ! Avec son collectif solide (2e aux passes décisives, 22,6 par match), Lille peut se permettre de rêver aux playoffs. Il n'y aura somme toute pas de lutte pour le maintien cette année.\n\n[table id=270 /]\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/premium-fr/630637/guide-pro-b-2022-23-lille-du-nouveau-pour-voir-plus-haut/\n\n.\n\n.\n\nPhoto : Bastien Vautier © Christophe Delrue (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Nantes: JaCori Payne intéressant
Club le mieux doté derrière les cinq cadors financiers du championnat, le Nantes Basket Hermine n’est pas encore dans la position qu’il souhaiterait. Mais rien n’est impossible pour une équipe homogène, avec en fer de lance l’excellent rapport qualité-prix de JaCori Payne.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nNantes – saison 2022-2023\nBudget : 3 028 000 euros (6e, +6 %)\nMasse salariale (brut) : 939 500 euros (6e, -3 %)\nClassement après 19 journées : 8e (10-9)\n\nLa saison 2021-22 de l’Hermine de Nantes n’a pas été à la hauteur des attentes et des moyens investis, loin s’en faut. Lorsqu’on s’avance en début de saison avec le 5e budget et la 4e masse salariale de Pro B, on vise autre chose qu’une très modeste 13e place et un bilan de 15 victoires pour 19 défaites.\n\nD’où un changement de philosophie : si le budget a cru d’environ 150 000 euros depuis la saison dernière, la masse salariale a quant à elle diminué d’un peu plus de 30 000 euros.\n\n\n\n\nDes salaires très hiérarchisés\n\nLe NBC a constitué un effectif clairement hiérarchisé, avec cinq joueurs dont le salaire figure entre la 8e et la 30e place des plus hauts revenus de Pro B, quatre autres payés 35 000 euros et moins et, au milieu, un meneur US peu référencé, JaCori Payne.\n\nDisposant de réserves financières sur sa masse salariale, le club en a profité pour faire venir tout dernièrement l’arrière canadien Malcolm Duvivier. Quant à Jean-Marc Dupraz, il fait partie des entraîneurs très bien payés de la division.\n\n\nStats en baisse, collectif en hausse\n\nÀ la lecture du tableau ci-dessous, on s’aperçoit qu’hormis Terry Smith – dans de toutes petites proportions – et Garry Chathuant (40 ans dans un mois !), tous les joueurs déjà présents en LNB la saison dernière ont été augmentés. Ce qui ne se traduit pas concrètement par une hausse des performances individuelles, au contraire. De Terry Smith à Harvey Gauthier, tous ont vu leur évaluation diminuer. Un fait mineur, puisque l’équipe fonctionne mieux que la précédente – le résultat collectif est tout de même plus important que les stats individuelles.\n\nLa bonne surprise vient de JaCori Payne, micro-meneur (1,75 m) au petit salaire mais meilleure évaluation de l’équipe (13,3). À l’opposé, Assane Ndoye, qui arrive de Betclic Élite (Limoges) pourrait sembler ne pas justifier son salaire, avec ses 6,7 d’évaluation – mais il s’agit principalement d’un joueur de l’ombre, un « glue guy ». À son exception, on constate que les cinq plus hauts salaires sont également les meilleures évaluations de l’équipe, entre 11 et 13,3, alors que les suppléants tournent à une évaluation comprise entre 2,0 et 7,4 pour l’inusable Garry Chathuant. La hiérarchie de l’équipe est donc clairement affirmée.\n\nAvec des joueurs talentueux associés à d’autres dédiés au collectif, Jean-Marc Dupraz a réussi à bâtir une équipe qui semble trouver sa vitesse de croisière après des débuts chaotiques : 7 défaites en 11 matchs pour débuter, 6 victoires pour 1 défaite depuis. Si la tendance se confirme, Nantes pourra redécouvrir les joies des playoffs pour la première fois depuis 2017.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Terry SmithUSA/ARM85 000 €202384 000 €Kevin DinalFRA65 000 €202480 000 €Assane NdoyeFRA55 000 €202470 000 €Ryan RhoomesUSA/JAM42 000 €202365 000 €Thomas Hieu-CourtoisFRA45 000 €202460 000 €JaCori PayneUSA-202345 000 €Jean-François KebeFRA/CIV12 000 € (4 mois)202335 000 €Garry ChathuantFRA45 000 €202335 000 €Arthur BoubaFRA-202420 000 €Harvey GauthierFRA18 000 €202420 000 €Jean-Marc Dupraz (coach)FRA35 000 € (5 mois)durée inconnue70 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : JaCori Payne © Hermine de Nantes - Gaëlle Louis (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Orléans: Tyran de Lattibeaudière bien seul
Subissant en première ligne le sauvetage in extremis de l'Élan Béarnais, l’Orléans Loiret Basket a dû se réorganiser en vitesse pour tenter de bâtir une équipe compétitive. À la mi-saison, la mayonnaise ne semble pas avoir encore pris au sein d’un effectif où seuls Tyran De Lattibeaudière et Junior Mbida tirent réellement leur épingle du jeu.\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\nOrléans – saison 2022-2023\nBudget : 4 001 000 euros (2e, Betclic Élite la saison passée)\nMasse salariale (brut) : 1 287 500 euros (2e)\nClassement après 19 journées : 11e (9-10)\n\nL'été dernier n'a ressemblé en rien à des vacances pour l'OLB. C'est tout un club qui est resté suspendu aux divers recours de l'Élan Béarnais - en cas de rétrogradation, Pau aurait laissé sa place en Betclic Elite à Orléans - pour un dénouement... fin juillet. Et une relégation du club orléanais confirmée. C'est ainsi : le staff de Germain Gastano fut contraint de passer après tout le monde. Et il fut logiquement le dernier à afficher complet - le dernier joueur de l'effectif, Jonathan Stark, est arrivé la semaine du 20 octobre, soit celle de la première journée de la saison régulière.\n\nToujours est-il que l'épisode a été douloureux et que les plaies ne sont pas encore totalement refermées. Même si Orléans a conservé un joli budget supérieur à 4 millions d'euros, un joli pactole à l'échelle de la deuxième division - seul Chalon affiche des finances supérieures -, la réduction de voilure (de 200 000 euros de budget et environ 80 000 euros de masse salariale) combinée au recrutement tardif a sérieusement mis à mal le début de saison.\n\nConséquence : l'OLB pointe à une insidieuse 11e place pour un bilan négatif (9 victoires pour 10 défaites) alors que la mi-saison est passée et que la nouvelle Arena (9 800 places, désormais plus grande enceinte de club de LNB) n'a pas encore exploité tout son potentiel. L’objectif initial de remontée immédiate risque de se révéler difficile à tenir.\n\n\nQue les gros salaires lèvent le doigt !\n\nAvec sa masse salariale replète, l’OLB s'est malgré tout offert cinq joueurs dont les revenus figurent parmi les 20 plus hauts salaires de la division, dont l’un s’installe à la deuxième place du classement et trois dans les quinze premiers. Notons par ailleurs que Germain Castano, bien qu'ayant réduit son salaire en étant retombé en deuxième division, figure sur le podium des techniciens les mieux rétribués de Pro B.\n\nCependant, on pourra noter que, en dehors de Tyran De Lattibeaudière, de Neftali Difuidi et de Jean-Fabrice Dossou – les deux derniers avec de petits salaires –, les joueurs évoluant la saison dernière en LNB ont connu une baisse de leurs émoluments, parfois de manière importante : de 20 000 euros pour Jean-Michel Mipoka et de 10 000 euros pour Jérémy Leloup, par exemple.\n\n\nJunior Mbida rentable, les autres moins\n\nCela dit, le rendement de certains joueurs cadres n’est pas à la hauteur des attentes. Certes, Orléans a dû commencer sa saison régulière avec un effectif d’autant plus réduit que le prometteur Jean-Fabrice Dossou s’est rapidement blessé pour une longue durée. Mais cela n’explique pas tout. Si Tyran De Lattibeaudière est exempt de tout reproche (18,1 d’évaluation après 19 journées), Toni Perkovic et Jonathan Stark sont moyennement performants pour leur confortable salaire. Le meneur Jarred Ogungbemi-Jackson, lui, est intrinsèquement rentable (16,1 d’évaluation), mais son équipe perd...\n\nEnfin, des quatre qui évoluaient à l’étage supérieur la saison passée - Jérémy Leloup, Malela Mutuale, Junior Mbida et Jean-Michel Mipoka -, seul l’intérieur camerounais Junior Mbida, avec ses 14,1 d’évaluation, se montre à son meilleur niveau, les trois autres ne fournissant qu'en partie ce dont on est en droit d’attendre de joueurs d’un tel pedigree. Peut-être sont-ils rattrapés par l’âge, eux qui affichent entre 32 et 37 ans ?\n\nEn bref, Orléans manque de régularité et peut-être de jeunesse. Sans modification - selon nos calculs, l'OLB garde encore une poire pour la soif -, accéder aux playoffs serait déjà une bonne nouvelle. Et qui sait quel est le plafond de verre de cette équipe, dont l'effectif reste très expérimenté ?\n\n[table id=272 /]\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/premium-fr/630822/guide-pro-b-2022-23-orleans-ne-pas-perdre-de-temps/\n\n.\n\n.\n\nPhoto : Tyran de Lattibeaudière © Tuan Nguyen (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Quimper: Digue Diawara et Ivan Vranes seuls au monde
\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nQuimper – saison 2022-2023\nBudget : 2 641 000 euros (8e, +4 %)\nMasse salariale (brut) : 665 500 euros (13e, -4 %)\nClassement après 19 journées : 13e (8-11)\n\nQuimper a terminé la saison 2020-21 de Pro B au sixième rang, avec 21 victoires pour 13 défaites. Un magnifique résultat pour une équipe dotée de ressources financières dans la partie basse de la division. Mais, depuis, alors que ses moyens ont peu évolué – le budget ayant tout de même gagné près de 500 000 euros depuis lors, à la différence de la masse salariale, augmentée de seulement 30 000 euros –, le club breton s’est enlisé dans la difficulté.\n\nQuinzième à la fin de la saison 2021-22 (14-20), il fait à peine mieux cette saison. Avec, pour le moment, un classement à la hauteur de sa masse salariale : 13e dans les deux cas. Le tout en regardant davantage derrière que devant.\n\n\n\n\nAucun joueur au-dessus des 55 000 euros\n\nDans la constitution de son effectif, Quimper n’a pas fait de folies. Hormis Lucas Bourhis qui a vu son salaire évoluer de 15 000 euros annuels après sa saison convaincante sur le plan personnel à Rouen, aucun autre joueur n’a bénéficié d’une importante augmentation. Au contraire, ils sont plusieurs à toucher moins cette saison que la précédente.\n\nDans l’ensemble, les Béliers de Kemper proposent à leurs joueurs des émoluments relativement similaires. Ils sont ainsi huit à percevoir entre 30 000 et 55 000 euros. Quant au coach Laurent Foirest, il a connu une petite augmentation, ce qui le positionne dans le top 5 des entraîneurs les mieux payés de Pro B. Il est d'ailleurs intrinsèquement le plus haut salaire de l'équipe.\n\n\nErreurs de casting et performances en baisse\n\nLa saison a mal commencé pour Quimper avec deux erreurs de casting qui ont coûté cher, T.J. Price et Wayne Martin. Qu’il a bien fallu remplacer, ce qu’ont fait Jessie Begarin et Ashley Hamilton, pour des salaires à peu près similaires sur une année. Parallèlement s’est posé le problème du rendement d’une bonne partie du contingent breton. Que ce soit Antoine Wallez, Jessie Begarin, Paul-Lou Duwiquet ou, surtout, Lucas Bourhis (de 14,1 d’évaluation en 2021-22 à 8,1 cette saison), tous ont subi une baisse de rendement. Théo Léon et Quentin Ruel sont en légère progression, pour leur part.\n\nMais les deux seuls joueurs à vraiment sortir du lot sont Ivan Vranes (de 10,3 à 17,5 d’évaluation) et Digue Diawara (de 13,6 à 18,6, de quoi retenter sa chance à l'échelon supérieur l'an prochain ?). Deux bonnes nouvelles, certes, mais ce n'est guère suffisant pour viser plus haut que le maintien. De surcroît, selon nos estimations, le club ne dispose plus vraiment de marge de manœuvre financière pour procéder à des retouches de son effectif. Si cela s’avère juste, Laurent Foirest va devoir faire avec les joueurs sous ses ordres actuellement, en faisant en sorte qu’ils élèvent leur niveau.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Lucas BourhisFRA40 000 €202455 000 €Jessie BegarinFRA80 000 €9 mois50 000 €Digué DiawaraFRA45 000 €202350 000 €Ivan VranesCRO57 000 €202347 000 €Théo LéonFRA40 000 €202340 000 €Paul-Lou DuwiquetFRA35 000 €202338 000 €Antoine WallezFRA38 000 €202435 000 €Ashley HamiltonGBR-7 mois30 000 €Quentin RuelFRA30 000 €202328 000 €T.J. PriceUSA-(6 mois)25 000 €Laurent Foirest (coach)FRA65 000 €202470 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Digué Diawara © Béliers de Kemper (montage Basket Europe)
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NBA : Kevin Durant transféré à Phoenix !
Coup de tonnerre dans le basket international, la star américaine Kevin Durant (2,08 m, 34 ans) rejoint les Phoenix Suns.\n\nAprès le transfert de Kyrie Irving à Dallas, les Brooklyn Nets continuent leur remanie-tout. La star de Team USA prend la direction de Phoenix. Il rejoint l’Arizona en compagnie de T.J. Warren, en échange de Mikal Bridges, Cam Johnson, Jae Crowder et quatre choix de Draft au premier tour.\n\nLes Suns ont désormais en leur possession un « big four » avec Chris Paul, Devin Booker, Kevin Durant et Deandre Ayton !\n\n\n\n\nRussell Westbrook aussi tradé\n\nConcernant les autres stars américaines, Russell Westbrook quitte les Los Angeles Lakers pour le Utah Jazz tandis que D’Angelo Russell et Malik Beasley partent du Minnesota pour la Californie et que Mike Conley passe du Jazz aux Timberwolves.\n\nL’Autrichien Jakob Poeltl quitte également les San Antonio Spurs pour retrouver les Toronto Raptors en échange de Khem Birch. Les franchises NBA ont jusqu’à jeudi soir (21h en France) pour s’échanger des joueurs.\n\nPhoto : Kevin Durant (FIBA)
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FIBA Europe Cup : Cholet bat Porto et affrontera Kiev en quarts de finale
Vainqueur de Porto mercredi soir à la Meilleraie, Cholet termine premier du groupe I de la FIBA Europe Cup. L’équipe de Laurent Vila défiera les Ukrainiens du Budivelnyk Kiev en quarts de finale.\n\nCela ne faisait plus de doute depuis déjà deux rencontres : Cholet Basket va voir les quarts de finale de la FIBA Europe Cup. En revanche, l’équipe des Mauges a dû finir le travail pour empocher la première place du groupe en battant Porto (95-83).\n\nMercredi soir, il n’y a pas eu photo. Les Choletais ont passé un 14-0 à des Portugais diminués dès le premier quart-temps et n’ont jamais été rattrapé, comptant jusqu’à 20 points d’avance dans le troisième acte. Notons que sept Choletais (Curier, Dallo, Patton, Ellis, Campbell, Artis et Robineau) ont dépassé les 10 points inscrits dans une partie résolument collective, la dernière du pigiste de Neal Sako, Darel Poirier (2 points, 4 rebonds en 14 minutes). \Le travail est fait\, a commenté le coach Laurent Vila.\n\n\n\n\nDirection... l’Italie pour défier Kiev en quarts de finale\n\nAinsi premiers de leur groupe, les Choletais affronteront le BK Budivelnyk Kiev en quarts de finale. Ils retrouveront des anciennes têtes de LNB, parmi lesquelles Johnny Berhanemeskel (troisième scoreur de Betclic Elite l’an dernier à Roanne) et Vyacheslav Bobrov (ex-Nanterre).\n\nLe match aller aura lieu le mercredi 8 mars à Veroli en Italie, ville où l’équipe ukrainienne évolue durant la guerre dans son pays. Le match retour se déroulera une semaine plus tard, le 15 mars, à la Meilleraie.\n\nBoxscore Cholet - Porto / Tableau quarts de finale\n\nPhoto : Justin Patton (FIBA)
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Coupe de France : Monaco - Boulogne-Levallois, le choc des huitièmes de finale
Mercredi 15 février, la terre du basket français va trembler sur le Rocher. L'armada monégasque accueille les Metropolitans 92 lors des huitièmes de finale de la Coupe de France. Une rencontre à suivre sur MCS Basket.\n\nC'est l'affiche à ne pas manquer de la soirée du mercredi 15 février ! Monaco et Boulogne-Levallois vont s'affronter pour la deuxième fois cette saison, après le succès de la Roca Team à Marcel Cerdan en décembre dernier (82-95, après prolongation). Ce match à élimination directe, digne d'un duel de dernier carré, offre toutefois la place au suspens.\n\nLeader de Betclic Elite et en route pour les playoffs d'Euroleague, Monaco a tout pour contrer les espérances de son dauphin en championnat, amputé de quelques absences significatives. Meilleure équipe au différentiel de points, la Roca Team est la formation la plus menaçante de l'élite française. Peut-elle alors être mise en difficulté ? Pour y parvenir, les Mets devront contenir la ligne arrière du Rocher. Elie Okobo, Mike James, Jordan Loyd et Matthew Strazel sont capables de créer pour eux comme pour les autres. De véritables métronomes dans l'effectif de Sasa Obradovic.\n\nDe leur côté, les Franciliens possèdent un atout majeur, que bien des franchises NBA rêvent d'acquérir dans moins de cinq mois. Le phénomène Victor Wembanyama est de passage sur la Principauté et, comme toutes ses apparitions publiques, il compte faire bonne impression ! Car, pour le compétiteur qu'est Wemby, ce match est un premier pas vers un nouveau trophée. Celui d'une Coupe de France à décrocher le 22 avril prochain à l'Accor Arena.\n\n\nUne rencontre à suivre sur MCS Basket\n\nMCS Basket, première plateforme de live-streaming du basket européen (championnats espagnol, italien, turque, NCAA...), diffusera le match des huitièmes de finale de la Coupe de France masculine entre Monaco et Boulogne-Levallois à 19h ainsi que l’intégralité du Top 8 Arena Loire, qui aura lieu les 18 et 19 mars prochains à Trélazé (49). Soit six matches en deux jours pour désigner les deux finalistes de la Coupe de France en avril prochain.\n\nBasketEurope et MCS Basket s'associent pour bénéficier des deux abonnements si vous optez pour l'abonnement annuel à 49€. Vous pouvez vous abonner directement sur BasketEurope.com/Abonnement ou sur MCSBasket.tv et vous aurez accès aux deux plateformes.\n\n\nL'oeil du consultant - Michael Mokongo\n\n\Au vu des matches que nous avons observé en Coupe de France, j'aurais tendance à dire que Monaco n'a pas l'air de donner une attention particulière à cette compétition. En contrepartie, je pense que les Metropolitans 92 joueront leur chance avec un bel effectif autour de la licorne Wembanyama.\nLors de leur première confrontation, le choc avait bien eu lieu. Boulogne-Levallois avait réalisé une première mi-temps impressionnante mais s'était fait rattraper par le banc monégasque. Matthew Strazel avait su dynamiser son équipe qui, au fur à mesure s'est mise au diapason à l'image d'un Elie Okobo à 28 points, 5 rebonds et 6 passes. Le match s'était alors terminé après prolongation, dans un silence de cathédrale à Marcel Cerdan (82-95).\nMercredi, les Mets ne pourront malheureusement pas compter sur leur chef d'orchestre Tremont Waters, ni sur leur scoreur Hugo Besson. Toutes ces absences rendent les choses difficiles au groupe de Vincent Collet. Qui plus est, j'ai bien peur que avec l'armada monégasque, qui reste du jamais vu dans le championnat en attaque comme en défense, soit clairement injouable. Un pronostic ? Je donne Monaco vainqueur. Je crains même que cela ne se termine comme une promenade de santé. Mais sur un match, tout est possible !\\n\nAncien joueur de Monaco, Michael Mokongo sera le commentateur de la rencontre sur MCS Basket\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/649914/tv-le-top-8-de-la-coupe-de-france-sur-mcs-basket/\n\nPhoto : Mike James (Thomas Savoja)
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Nenad Markovic (Dijon) après le succès renversant contre Holon : «Une victoire incroyable»
Privée de David Holston, la JDA Dijon s’est offert un succès de prestige, au finish, contre l’Hapoel Holon lors du top 16 de la Basketball Champions League mercredi soir (81-89).\n\nSans David Holston (doigt), avec Gavin Ware malade et Matt Mobley tout juste de retour et en plus avec la sortie du blessure prématurée du jeune Robin Ducoté après une tentative de dunk ratée, la JDA Dijon a dû s’employer pour l’emporter contre les Israéliens de l’Hapoel Holon.\n\nAprès avoir compté 14 points de retard dans le deuxième quart-temps (32-46), l’équipe de Nenad Markovic l’a finalement emporté au finish en passant un splendide 33-16 dans le dernier acte. Elle a notamment pu compter sur un excellent trio Jonathan Rousselle (18 points, 6 passes décisives) - David Brembly (22 points et 5 rebonds) - Matt Mobley (18 points). Renversant !\n\n« C’est une victoire incroyable. Dans le dernier quart, on a fait ce qu’on voulait faire exactement du début, a expliqué le coach dijonnais en conférence de presse. Longtemps pendant le match, on semblait avoir peur de quelque chose, on n’était pas assez rapide, pas assez agressif dans les duels, on était pas au rendez-vous, il fallait qu’on soit plus agressif. En plus on avait Matt (Mobley) qui avait une heure d’entraînement derrière lui, Gavin (Ware) qui était malade, et on n’était pas sûr qu’il puisse jouer, et Robin (Ducoté) qui se blesse. Je suis heureux pour des gars comme Jo (Rousselle) et David (Brembly) qui ont été très importants ce (mercredi) soir. Ils ont mis des gros shoots au moment où on en avait besoin. Quand Robin (Ducoté) se blesse, et que Jonathan (Rousselle) reste au sol, je me suis dit qu’on nous avait jeté un sort, mais Jonathan est revenu, il a du caractère et il a joué encore mieux après. »\n\n\n\n\n\n\n\nGrâce à cette victoire, Dijon recolle à Strasbourg et Jérusalem, trois équipes avec un bilan de 2-1 à mi-parcours du top 16 de BCL. Son adversaire du soir, l’Hapoël Holon, est lui bloqué à zéro victoire. La JDA reste ainsi en position favorable pour décrocher son ticket pour les quarts de finale, mais elle devra bien négocier son match retour face à Jérusalem le 14 mars prochain.\n\nEn attendant, un beau duel contre Boulogne-Levallois à l'extérieur attend les Dijonnais dès vendredi soir en championnat.\n\nBoxscore Dijon - Holon / Calendrier BCL / Classement BCL\n\nPhoto : Jonathan Rousselle (FIBA)
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ASVEL féminin : Dominique Malonga absente six semaines
Touchée au dos, la jeune intérieure de l’ASVEL Dominique Malonga (1,98 m, 17 ans) sera éloignée des terrains pendant un mois et demi.\n\nVictime de douleurs dorsales, la jeune internationale Dominique Malonga est arrêtée pour six semaines, a annoncé l’ASVEL féminin mercredi soir. La néo-internationale (une sélection) n'avait pas pris part à la victoire face à Villeneuve-d'Ascq ce samedi en Ligue Féminine (89-85).\n\nCette blessure l’empêchera de tenir son rang lors du quart de finale d’Eurocup contre Angers les 23 février et 2 mars prochains. En cas de qualification, Dominique Malonga retrouverait ses coéquipières approximativement lors de la demi-finale retour de la compétition européenne (16 et 23 mars). Cette saison, la fille d’Agathe N’Nindjem tourne à 6,4 points et 4 rebonds en 12 minutes de moyenne.\n\n\n\nPar ailleurs, le club lyonnais annonce le retour d’Alexia Chartereau, également absente (genou) lors de la dernière journée de Ligue Féminine et forfait cette semaine pour les deux matches de qualification des Bleues à l'Euro 2023. L'intérieure retrouvera les séances collectives la semaine prochaine.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/premium-fr/640540/portrait-dominique-malonga-la-nouvelle-star-du-basket-francais/\n\nPhoto : Dominique Malonga (FIBA)
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Eurocup : sans jouer, la JL Bourg qualifiée pour les playoffs
Avec la défaite de Cluj à Brescia mercredi soir, la JL Bourg est officiellement qualifiée pour le top 16 de l’Eurocup.\n\nComme Paris, Bourg-en-Bresse est d’ores et déjà assuré de disputer les playoffs de l’Eurocup à quatre journées de la fin de la saison régulière. Mercredi soir, la défaite des Roumains de Cluj-Napoca à Brescia a officiellement qualifié l’équipe de Freddy Fauthoux, dont la rencontre de la 14e journée face à Bursaspor a été reportée en raison du tremblement de terre en Turquie.\n\nActuellement troisième de son groupe (8-5), la JL Bourg va désormais tenter de figurer le plus haut possible pour avoir l’avantage du terrain au top 16. Pas une chose aisée au vu du calendrier avec des duels à venir contre Prometey, Badalone, Ulm et Bursaspor, les quatre autres candidats les plus dangereux pour le top 4 du groupe.\n\n\n\nPhoto : Frédéric Fauthoux / Axel Julien (Jacques Cormarèche)
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Euroleague : Sasha Vezenkov en mode record contre l’Alba Berlin
Mercredi soir, le leader de l’Euroleague, l’Olympiakos, n’a fait qu’une bouchée de la lanterne rouge, l’Alba Berlin (60-93). Sasha Vezenkov a sorti une perf' à 40 d’évaluation, avec son record de points de la saison à la clé.\n\nOn a coutume de dire que cette saison d’Euroleague est plus dense que jamais. Mais mercredi soir, il y a eu plusieurs classes d’écart entre le leader, l’Olympiakos, et l’Alba Berlin. En Allemagne, les Grecs ont plié l’affaire dès le premier acte (13-28), portant l’écart à +33 à l’extérieur. La grande classe.\n\nGrand favori pour le titre de MVP, le sportif bulgare de l'année Sasha Vezenkov a sorti le - très - grand jeu. Avec à la clé son record de points de la saison, 28 unités à 10/13 aux tirs dont 4/6 à 3-points, mais aussi 13 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 4 fautes provoquées et 1 perte de balle en 32 minutes. Une performance d’une propreté extrême à 40 d’évaluation, qui n’est pourtant pas un record (il avait réalisé 43 contre le Bayern en novembre dernier).\n\nPour l’anecdote, c’est aussi le deuxième joueur le plus rapide de l’histoire de l’Olympiakos à inscrire 200 tirs à 3-points en Euroleague. Il lui a fallu 146 rencontres contre 117 pour la légende Vassilis Spanoulis.\n\nBoxscore Alba Berlin - Olympiakos / Classement Euroleague\n\nPhoto : Sasha Vezenkov (Euroleague)
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Lorenzo Brown prolonge au Maccabi Tel Aviv jusqu’en 2026 !
Initialement sous contrat jusqu’en 2024, le champion d’Europe Américano-Espagnol Lorenzo Brown (1,96 m, 32 ans) vient de prolonger au Maccabi Tel Aviv de deux saisons supplémentaires, soit jusqu’en 2026.\n\nCiblé par de nombreuses écuries européennes dont le Real Madrid, le meneur américano-espagnol Lorenzo Brown a opté pour un contrat longue durée au Maccabi Tel Aviv. Il vient de parapher un contrat valant jusqu'en 2026. Selon le journaliste Omri Manhime, ce nouveau bail ne comprend pas de clause avant l'été 2025, date à laquelle le club pourra mettre fin au contrat s'il le souhaite.\n\nArrivé l’été dernier, champion d’Europe 2022 est une pièce maîtresse du jeu du club-nation israélien. Il tourne cette saison à 16,5 points à 45,7 % aux tirs dont 33,7 % à 3-points et 87,2 % aux lancers, 3,2 rebonds, 6,0 passes décisives, 0,9 interception et 17,0 d’évaluation (7e de la compétition) en Euroleague.\n\nAvec un bilan de 12 victoires et 11 défaites, le Maccabi est en ballotage relativement favorable pour atteindre les playoffs européens cette saison après deux tiers de la saison régulière. Il affronte ce jeudi soir l’Etoile Rouge de Belgrade (20h05).\n\n\n\nPhoto : Lorenzo Brown (Euroleague)
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Les 6 infos de la semaine : les Bleues valident leur billet pour l'Euro, Monaco remporte son duel contre l'ASVEL
Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 5 au 11 février.\n\nToute l’année, Basket Europe vous informe hebdomadairement de l’actualité du basket français et européen à travers la rubrique «les 6 infos de la semaine» en accès gratuit.\n\n\nL'équipe de France (F) qualifiée pour l'EuroBasket 2023\n\nL'équipe de France s'est qualifiée pour son 13e championnat d'Europe consécutif. En déplacement en Lituanie, les Bleues ont eu quelques frayeurs mais s'en sont remises à leurs leaders pour assurer l'essentiel. Les coéquipières de l'ASVEL Gabby Williams et Marine Johannes ont guidé le scoring de l'équipe de France, pendant qu'une certaine Juste Jocyte faisait des dégâts dans la défense française. La sélection de Jean-Aimé Toupane jouera un second match en Finlande ce dimanche, sans incidence en cas de défaite, qui fera office d'un bon test pour les jeunes françaises dans le dur jeudi dernier.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/651369/pauline-astier-lavenir-de-lequipe-de-france-conjugue-au-present/\n\n\nEuroleague : Monaco s'offre (encore) les Villeurbannais\n\nPour la quatrième fois de la saison, les Monégasques ont battu l'ASVEL. Au terme d'un match rempli de frustration, causée par l'arbitrage, la Roca Team a consolidé sa place dans le top 5 de l'Euroleague. Avec ses leaders au repos, l'effectif de TJ Parker a bien failli retourner la situation au retour des vestiaires, en vain. Dans les autres affiches, l'Etoile Rouge, Barcelone et le Partizan sont allés gagner à l'extérieur et le Zalgaris Kaunas a remporté son duel contre Baskonia.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/648863/salaires-2022-23-le-top-5-par-poste-monaco-et-lasvel-presque-seuls-au-monde/\n\n\nEurocup : Paris frappe fort, Bourg en playoffs sans jouer\n\nLe Paris Basketball s'est imposé largement face au Buducnost Podgorica mercredi soir à Carpentier. Les joueurs de Will Weaver ont empoché leur 9e victoire en 14 rencontres dans la compétition, de bonne augure pour avoir l'avantage du terrain en playoffs. De son côté, la JL Bourg n'a pas joué son match dans le club turc de Bursaspor en raison des tremblements de terre qui a touché le pays. Avec la défaite de Cluj à Brescia, les coéquipiers de Jordan Floyd sont déjà qualifiés pour les phases finales, malgré un match en moins.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/650392/a-la-decouverte-de-ladidas-arena-en-chantier-avance-pour-accueillir-le-paris-basketball/\n\n\nBCL : Dijon renversant, Limoges renversé\n\nLe bilan de la semaine en BCL est mitigé pour les trois clubs français engagés dans la compétition. Dans le même groupe, Dijon et Strasbourg se retrouvent à égalité, avec 2 victoires et 1 revers de chaque côté. En déplacement à Jérusalem, la SIG s'est faite rattrapée dans le moneytime et a perdu à la suite d'un tir au buzzer. Au contraire, Dijon s’est offert un succès de prestige contre l’Hapoel Holon. Quant à eux, les Limougeauds s'éloignent grandement d'une qualification pour les quarts-de-finale après leur défaite à Athènes.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/651542/fiba-europe-cup-cholet-bat-porto-et-affrontera-kiev-en-quarts-de-finale/\n\n\nNBA : la \trade deadline\ a encore fait des ravages !\n\nLa traditionnelle fin de la période des transferts en NBA a, comme un peu plus chaque année, bousculé toute une ligue. Avant d'entamer la derrière ligne droite de la saison, plusieurs modifications de rosters ont eu lieu au sein de franchises taillées pour le titre comme les Bucks, Clippers ou encore les Warriors. Mais c'est bien lors des heures qui ont précédé cette deadline que la NBA a davantage vibrée.\nEn bref, Kevin Durant a été transféré aux Suns, 48h après l'arrivée de Kyrie Irving aux Mavericks. Grand mouvement entre trois franchises, les Lakers se sont débarrés de Russell Westbrook pour récupérer - entre autres - un ancien de la maison, D'Angelo Russell. Mike Conley rejoint Rudy Gobert pendant que le Brodie attend d'être coupé par le Jazz. Bien que les Knicks ont été plutôt actifs sur le marché - avec l'arrivée de Josh Hart - Evan Fournier n'a pas été bougé de New York.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/etranger/649782/les-francais-des-etats-unis-rudy-gobert-sort-de-lombre-killian-hayes-dans-la-lumiere/\n\n\nCoupe de France : Le Mans ouvre le bal des huitièmes de finale\n\nMardi soir, les Manceaux se sont qualifiés pour les quarts-de-finale de la Coupe de France. Malgré l'absence de cinq de ses joueurs et avec l'aide de ses espoirs, Le Mans a créé la surprise à Nancy. Toutes les autres affiches de la compétition se disputeront le mercredi 15 février avec, entre autres, le duel Monaco contre Boulogne-Levallois et le derby ASVEL – Roanne.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/651597/boulogne-levallois-hugo-besson-opere-avec-succes/\n\n\nMais aussi...\n\n * [Abonnés] ITW Pape-Philippe Amagou : de 4 fois champion de France à consultant TV\n * [Abonnés] Top 20 Salaires Betclic Elite : Victor Wembanyama loin derrière les millionnaires\n * 564 000 spectateurs cumulés lors de la phase aller de Betclic Elite, un record !\n * Les Français de l’étranger : Rodrigue Beaubois impérial en Turquie\n * Dossier salaires Pro B 2022-23, c’est parti !\n * Paul Seignolle, président de Blois : « Il faut rajeunir les instances dirigeantes de la ligue »\n\n\n\n\n\n\n\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. 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Equipe de France féminine : Kendra Chéry en civil contre la Lituanie
Ce jeudi, l’équipe de France a l’occasion de valider son ticket pour l’EuroBasket 2023 contre la Lituanie (18h30). Ce sera sans la Landaise Kendra Chéry.\n\nAvec un groupe initial de 13 joueuses, Jean-Aimé Toupane devait faire un choix. Le sélectionneur et son staff ont décidé de se passer de l'ailière Kendra Chéry (Basket Landes) pour le match capital de cette fenêtre internationale contre la Lituanie. Une rencontre dont le vainqueur sera propulsé à l'EuroBasket 2023.\n\nLe groupe des 12 : Marine Fauthoux, Pauline Astier, Romane Bernies, Marine Johannès, Sarah Michel, Migna Touré, Gabby Williams, Valériane Vukosavljevic, Janelle Salaün, Marième Badiane, Iliana Rupert et Héléna Ciak.\n\n\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/651238/jean-aime-toupane-equipe-de-france-letat-desprit-un-critere-pour-porter-le-maillot-des-bleues/\n\nPhoto : Kendra Chery (FIBA)
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Boulogne-Levallois : Hugo Besson opéré avec succès
Le meneur des Metropolitans 92 Hugo Besson (1,95 m, 21 ans) a subi cette semaine une arthroscopie de la hanche.\n\nCes derniers jours, l’infirmerie des Metropolitans 92 est bien remplie. En ce qui concerne le cas Hugo Besson, son opération s’est bien passée, annonce le club. Souffrant de la hanche et absent depuis le 9 janvier dernier, le meneur-arrière a subi une arthroscopie qui l’éloignera des terrains plusieurs semaines.\n\nReste à savoir si l’ancien meilleur jeune de Pro B rejouera avec le club francilien, sachant qu’un accord entre le n°58 de la dernière Draft et Fuenlabrada a fuité en janvier dernier avant que le club espagnol ne se rétracte face à son état physique. Sa présence à Blois ce weekend indique qu’il reste un joueur des Metropolitans 92... pour l’instant !\n\n\n\nPhoto : Hugo Besson (Thomas Savoja)
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L'EuroBasket féminin 2023 dévoile ses mascottes
Alors que l'équipe de France a obtenu son ticket pour l'EuroBasket 2023 en battant la Lituanie jeudi soir, la FIBA a dévoilé les mascottes de la prochaine compétition européenne.\n\nElles se prénomment Isa et Sia et ont été présentés ce jeudi comme les mascottes officielles de l'EuroBasket féminin 2023 de la FIBA, du 15 au 25 juin prochain.\n\nReprésentant les pays hôtes, Israël et la Slovénie, les deux sœurs jumelles possèdent chacune \un ensemble unique de forces et de capacités\ et sont toutes deux \prêtes à réaliser des choses incroyables grâce à leur passion et leur unité\. En somme, des caractéristiques essentielles pour faire briller le collectif.\n\nCes deux mascottes ont des traits de personnalité qui leur sont propres. Isa adore l'océan et serait en train de frapper les vagues à Tel Aviv si elle n'était pas en mode entraînement. Quant à Sia, elle préfère les montagnes, qui lui procurent à la fois puissance et calme, qu'elle apporte ensuite sur le terrain à Ljubljana.
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Vidéo : le parcours de vie d’Yvonne Anderson
Dans un long entretien vidéo, Bourges raconte le parcours de vie de sa meneuse américano-serbe Yvonne Anderson (1,75 m, 32 ans).\n\nElle est la joueuse majeur des Tango Bourges cette saison. Dans le cadre de sa série #FiertéTango, le club dresse le portrait d'Yvonne Anderson, avec une interview de l'intéressée et de sa mère. On en apprend sur ses débuts dans le basket, sa sélection en équipe de Serbie ou encore sur son arrivée à Bourges.\n\nL'internationale serbe tourne cette saison à 13,7 points à 46,8 % aux tirs, 4,2 passes décisives et 3,8 rebonds pour 13,5 d’évaluation en 30 minutes en LFB et surtout à 17,4 points à 50,8 % aux tirs (à 38,6 % à 3-points), 4,8 rebonds, 3,8 passes décisives et 2,1 interceptions pour 17,3 d’évaluation en Euroleague.\n\nPhoto : Yvonne Anderson (FIBA)
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Salaires Pro B 2022-23 – Saint-Quentin: Mathis Dossou-Yovo ultra-rentable
Malgré des ressources financières de deuxième partie de tableau, le Saint-Quentin dirigé par Julien Mahé tient encore et toujours le haut du pavé en Pro B. Avec chaque saison une belle trouvaille, cette année un Mathis Dossou-Yovo qui s’impose comme l’un des meilleurs intérieurs de la division.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nSaint-Quentin – saison 2022-2023\nBudget : 2 114 000 euros (11e, +14 %)\nMasse salariale (brut) : 702 500 euros (10e, +13 %)\nClassement après 19 journées : 2e (13-5)\n\nIl y a eu l'effet de surprise en 2020-21. Malgré ses petits moyens, Saint-Quentin terminait la saison sur le podium de la Pro B. Et puis il y a eu la confirmation, avec une très jolie troisième place alors que ses ressources restaient modestes. A mi-parcours, nous pouvons dire que cette année est celle de l'affirmation. Le SQBB n’est devancé au classement par Chalon que par le fait que l’Élan a joué un match de plus, les deux clubs n’ayant concédé que cinq défaites. Alors, quels éléments de réponse apporter à cette formidable \anomalie\ ?\n\nÀ l’intersaison, la formation picarde a augmenté ses ressources dans de bonnes proportions, de 300 000 euros de budget et 80 000 de masse salariale. Mais elle reste toujours un club de deuxième partie de tableau, financièrement parlant. Pour arriver malgré cela à se distinguer en haut de classement, Saint-Quentin doit s’appuyer sur d'autres qualités. A savoir sa défense de fer et ses 70,9 points concédés (meilleure défense de Pro B, loin devant La Rochelle et ses 74,3 points encaissés).\n\n\n\n\nDes salaires très homogènes\n\nBien que disposant de plus de ressources pour payer son effectif, le club de l'Aisne n’a pas cassé sa tirelire, maximisant ses moyens. Ainsi, les sept joueurs majeurs sont rémunérés dans une fourchette allant de 40 000 à 55 000 euros, seuls les jeunes Lucas Boucaud et Melvin Ajinca se situant à un niveau inférieur.\n\nEt le club a surmonté sans trop de soucis la seule véritable erreur de casting, Emmanuel Wembi. Une preuve de la solidité du collectif picard.\n\n\nEt un collectif performant\n\nHormis ce couac, le SQBB a globalement bien réussi son recrutement. Terrell Gomez fait tourner la boutique sans provoquer d’étincelles (11,8 d’évaluation), William Pfister progresse d’année en année (12,7 d’évaluation), Lucas Boucaud s’affirme (5,5), Melvin Ajinca surprend agréablement (6,3) et, surtout, Mathis Dossou-Yovo explose. D’une saison à l’autre, il est passé de 10,9 à 18,2 d’évaluation et se retrouve meilleur rebondeur de la division (9,9 prises).\n\nDe fait, seuls Brandon Horvath, avec ses 8,5 d’évaluation et, plus encore, Jérémy Nzeulie (5,8), en instance de divorce, ne donnent pas entière satisfaction par rapport à leurs émoluments. Il serait donc étonnant que le SQBB ne participe pas aux playoffs de fin de saison, voire continue à fréquenter le podium du classement de la Pro B. On peut faire confiance à la « magie » de Julien Mahé, coach aux revenus inchangés.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Terrell GomezUSA/TNT-202355 000 €Jérémy NzeulieFRA/CAM42 000 € (7 mois)202355 000 €Mathis Dossou-YovoFRA48 000 €202350 000 €Brandon HorvathUSA-202350 000 €William PfisterFRA35 000 €202445 000 €Loïc SchwarzBEL30 000 € (5 mois)9 mois45 000 €Benoît GilletFRA38 000 €202340 000 €Jimmy DjimrabayeCAF30 000 €7 mois28 000 €Lucas BoucaudFRA20 000 €202325 000 €Melvin AjincaFRA-202320 000 €Emmanuel WembiRDC/USA-(4 mois)12 000 €Julien Mahé (coach)FRA60 000 €202360 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Mathis Dossou-Yovo © Grégory Portelette (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Saint-Chamond: le couac malgré Mathieu Boyer
Malgré des ressources financières en forte augmentation dues à la sortie de terre de l'Arena, Saint-Chamond est bien loin de réitérer sa campagne précédente, où le club avait touché du doigt la montée. Cette année, c’est du côté du maintien que regarde le club couramiaud. Et ce malgré un trio Mathieu Boyer - Josh Ajayi -Mathieu Guichard plutôt performant.\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\nSaint-Chamond – saison 2022-2023\nBudget : 2 818 000 euros (7e, +40 %)\nMasse salariale (brut) : 741 000 euros (8e, +13 %)\nClassement après 19 journées : 16e (6-13)\n\nQue se passe-t-il à Saint-Chamond ? Alors que le SCBVG inaugurait sa nouvelle Arena (4 200 places) lors de la première journée du championnat par une victoire et de belles promesses, le club ligérien a ensuite entamé une lente descente aux enfers, dont deux séries de quatre et cinq défaites consécutives, qui lui fait occuper aujourd’hui les bas-fonds du classement. Et craindre à une fin de saison difficile.\n\nPourtant, le club, qui avait lutté la saison passée jusqu’à la dernière journée pour l’accession directe à l’élite, a nettement renforcé ses moyens financiers, augmentant de plus de 800 000 euros son budget et de près de 100 000 euros les ressources dévolues à la masse salariale. Le problème tient en un seul mot : défense. Deuxième à l’évaluation collective en attaque, première aux passes décisives (23,2) et à l’adresse à deux-points (58,9 %), Saint-Chamond est également la 2e plus mauvaise défense de Pro B, avec 86,1 points encaissés.\n\n\nDans la moyenne haute\n\nAvec ses finances renforcées, Saint-Chamond en a profité pour augmenter de manière conséquente la plupart de ses joueurs ayant prolongé leur séjour en terres couramiaudes, seul l’arrivant de Nantes Josh Ajayi voyant ses émoluments baisser. Même le coach Alain Thinet a eu droit à son augmentation. Un choix de raison à la vue des résultats de la saison précédente, sachant qu'il a prolongé d'un an l'aventure en fin de saison dernière.\n\nGlobalement, le SCBVG est resté raisonnable sur les tarifs pratiqués. Le joueur le mieux payé de l’effectif, Mathieu Boyer, a connu une très belle - et logique - augmentation, d'environ 20 000 euros. Le pivot se classe désormais aux alentours de la 30e place dans la hiérarchie des salaires de Pro B. Et trois joueurs se situent vers la 35e position dans ce même classement.\n\n\nGuillaume Payen-Boucard à la peine\n\nQuatre joueurs de l’effectif se montrent des plus rentables : Josh Ajayi, passé de 9,2 d’évaluation à Nantes à 13,9, Mathieu Guichard, régulier aux alentours des 14 d’évaluation, Hasan Varence, encore au-dessus des 11 d’évaluation et, surtout, un Mathieu Boyer énorme, qui a encore haussé son niveau de jeu, passant de 16,8 à 19,9 d’évaluation (2e de Pro B). Mais cela ne suffit pas à faire de Saint-Chamond un club qui gagne, même si Kamel Ammour, Théo Magrit et le jeune Badr Moujib réalisent une bonne saison.\n\nCar plusieurs joueurs majeurs se trouent en cette première partie de saison. Jonathan Hoyaux a vu sa production chuter de 13,0 à 8,5 d’évaluation alors qu’il a été augmenté de 5 000 euros, Ilari Seppala justifie difficilement son salaire avec ses 6,9 d’évaluation et Guillaume Payen-Boucard, sérieusement augmenté vis-à-vis du précédent exercice à Denain, est passé de 11,8 d’évaluation à 6,9. De surcroît, le Canadien s’est fracturé le péroné et est out pour la fin de saison. Il va falloir voir ce que va donner son remplaçant, A.J. Hess, passé très furtivement par Aix-Maurienne (1 match de Leaders Cup) en 2020. Pour réussir à se maintenir, le SCBVG va devoir s'employer et monter le curseur en défense. Mais il restera toujours difficile de justifier cette dégringolade au vu des efforts financiers consentis par le club.\n\n[table id=274 /]\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/premium-fr/631101/guide-pro-b-2022-23-saint-chamond-poursuivre-le-beau-reve/\n\n.\n\n.\n\nPhoto : Mathieu Boyer et Josh Ajayi © SCBVG (montage Basket Europe)
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Espagne : Mehdy Ngouama rebondit à Fuenlabrada
Après sa pige à Gravelines, le meneur français Mehdy Ngouama (1,88 m, 27 ans) part à la conquête de l’Espagne. Direction Fuenlabrada.\n\nAlors que Fuenlabrada lorgnait sur Hugo Besson, le club espagnol a finalement mis la main sur un autre meneur français : Mehdy Ngouama. Le joueur formé au SLUC Nancy avait débuté la saison du côté de Gravelines-Dunkerque.\n\nPour sa quatrième saison consécutive dans l’élite du basket français, l’ancien meneur de Nanterre ou encore Le Portel tournait à 7,2 points, 2,6 passes décisives et 1,8 rebond pour 6,6 d’évaluation en 16 minutes de moyenne (12 rencontres). Il s’agira de sa deuxième expérience à l’étranger, après avoir évolué en Junior College aux Etats-Unis entre 2014 et 2016.\n\n\n\nPhoto : Mehdy Ngouama (Jacques Cormarèche)
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WNBA : Astou Ndour-Fall de retour au Chicago Sky
Le Chicago Sky a annoncé avoir signé Astou Ndour-Fall (1,96 m, 28 ans). L'internationale espagnole retrouve la franchise dans laquelle elle était devenue championne WNBA en 2021.\n\n\Nous sommes très heureux d'accueillir à nouveau Astou à Chicago\, a déclaré James Wade, le directeur général et entraîneur Franco-Américain du Sky. Astou Ndour-Fall a évolué dans l'Illinois à trois reprises, lors des étés 2018, 2019 et 2021. Lors de son dernier passage titré au Sky, la pivot tenait solidement sa raquette avec moyenne de 6,6 points, 4,8 rebonds en 17 minutes de jeu.\n\nAvant de retrouver la WNBA cet été, elle évolue cette saison pour le club italien de Schio, où elle tourne en moyenne à 12,9 points, 8,2 rebonds en 24 minutes en Ligue italienne et 11,3 points et 6,3 rebonds en 27 minutes en Euroleague.\n\nAvec le départ annoncé de Candace Parker la semaine passée vers les Las Vegas Aces, l'arrivée de la MVP de l'EuroBasket 2019 est une belle pioche pour le Sky, 2e de la Conférence Est lors de la saison régulière passée. Selon le spécialise Richard Cohen, la joueuse a signé un contrat d'un an, non protégé, de 115 000 dollars.\n\nPhoto : FIBA
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Cinq prospects français invités au Basketball Without Borders
La NBA et la FIBA ont annoncé ce jeudi le nom des 40 espoirs masculins qui se rendront à Salt Lake City en marge du NBA All-Star Game pour le Basketball Without Borders 2023. Parmi eux, cinq joueurs français.\n\nTraditionnellement, la NBA et la FIBA invitent les 40 meilleurs espoirs internationaux lors du Basketball Without Borders Global Camp. La septième édition, prévue du 17 au 19 février à Salt Lake City, réunira donc les meilleurs jeunes joueurs de la planète en marge du NBA All-Star weekend.\n\nParmi les 40 prospects, on retrouve cinq jeunes français : Ilane Fibleuil (INSEP), Pacome Dadiet (Ulm/OrangeAcademy, Allemagne), Killian Malwaya (Paris Basketball), Tidjane Salaun (Cholet) et le Franco-Malgache Mathias M'Madi (Chalon). On retrouve également un autre jeune joueur qui termine sa formation en France, à savoir l’Iranien Mohammad Amini (Monaco).\n\nParmi les prospects européens annoncés très haut dans les diverses Mock Draft, on retrouve par ailleurs Aday Mara (Espagne), Matas Buzelis (Lituanie), Alexandros Samodurav (Grèce), Miro Little (Finlande), Elliot Cadeau (Suède) ou encore Nikola Topic (Serbie).\n\nLa liste complète des 40 jeunes convoqués parmi 27 pays différents :\n\nNomPaysDylan BordonArgentinaJuan RespaudArgentinaKlairus AmirAustraliaEduardo Klafke*BrazilSamis Calderon*BrazilUlrich Kamka Chomche*CameroonChristian NituCanadaHudson WardCanadaFelix KossarasCanadaThierry Darlan*Central African RepublicJunjie Wang*ChinaQingfang PangChinaWei Lun ZhaoChinaRodrigo AybarDominican RepublicPaul Kabenga Mbiya*Democratic Republic of the CongoParby Kabamba Musongela*Democratic Republic of the CongoSeifeldinKaidar Ahmed Youssef Hendawy*EgyptMiro LittleFinlandIlaneFibleuilFrancePacome DadietFranceKillian MalwayaFranceTidjane SalaunFranceAlexandros SamodurovGreeceIbrahim SouareGuineaMohammad AminiIranTaiga OkadaJapanKarim RtailLebanonMatas BuzelisLithuaniaMotiejus KrivasLithuaniaMathias M'MadiMadagascarJesus Santi Ochoa*MexicoDontae Russo-NanceNew ZealandChurchill Abass*NigeriaRuben PreyPortugalOusmane N'DiayeSenegalModou Fall Thiam*SenegalBogoljub MarkovicSerbiaNikola TopicSerbiaAday MaraSpainElliot CadeauSweden\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/645690/itw-mohammad-amini-espoirs-monaco-je-veux-etre-le-deuxieme-iranien-a-jouer-en-nba-et-le-premier-en-euroleague/\n\nPhoto : Basketball Without Borders
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Vainqueur de la Lituanie, la France est qualifiée pour l'EuroBasket !
Privée d'éléments de base comme Sandrine Gruda, Alexia Chartereau ou Endy Miyem, l'équipe de France a vaincu ce jeudi soir la Lituanie (75-83), et s'est ainsi qualifiée pour l'EuroBasket 2023 en terminant première de son groupe.\n\nJean-Aimé Toupane a constitué son cinq de départ avec Marine Fauthoux, Marine Johannes, Gabby Williams, Valériane Vukosavljevic et Marième Badiane, dans la Jeep Arena de Vilnius bien remplie avec une entrée gratuite et bruyante. On a vu de suite que les Bleues avaient une supériorité physique et athlétique sur les Lituaniennes, mais aussi que chez elles, elles n'allaient pas se faire manger comme à l'aller à Villeneuve d'Ascq où elles avaient pris 27 points dans la vue (83-56).\n\nAprès un 0-4, la défense pressante des Françaises a mis dans les premières minutes la Lituanie dans la tourmente. Avec une Valériane Vukosavljevic en feu (10 points en 9'), elles ont mené 13-5, mais un manque d'attention leur a coûté leur avantage (14-13). Un nouvel effort défensif leur permettait de mener tout de même de trois points (17-20) à la fin de ce quart-temps initial.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nEgalité à la mi-temps\n\nLes Bleues protégeaient bien leur ligne à trois-points mais se faisaient percer à l'intérieur, ce qui permettait aux Baltes de s'offrir un 10/13 à deux-points avant la mi-temps et 18 lancers-francs -14 de transformés- contre seulement 4 aux Françaises. Jean-Aimé Toupane multipliait les changements sans parvenir à trouver la bonne alchimie et, malgré quelques beaux gestes de Marine Johannes (10 points en 15'), la France se faisait rejoindre par ses adversaires galvanisées par les \Lietuva ! Lietuva!\ qui descendaient des gradins, et qui trouvaient en Gintare Petronyte et Laura Juskaite des fers de lance offensifs. On en était ainsi à une égalité à 40 à la mi-temps.\n\n\nGabby Williams et Marine Johannes prennent les choses en mains\n\nA 46-42, Jean-Aimé Toupane commandait un temps-mort. Reçu 5/5. C'est en durcissant son jeu -à l'image de Gabby Williams, épatante en percussion, et avec Romy Bernies, l'appelée de la dernière heure, qui faisait un bon taf à la mène- que la France infligeait un 0-14 aux Lituaniennes qui étaient physiquement dans le rouge. Ainsi les Bleues perçaient pour la première fois le plafond de la dizaine de points d'avance (48-60).\n\nGabby Williams retournée sur le banc avec trois fautes, la France perdait de nouveau le fil du match. Illiana Rupert, qui portait un masque, et jusque là peu à son aise, se faisait mal au visage, et les Bleues commettaient toujours trop de fautes sanctionnées par des lancers-francs. Bilan : 63-62 à 6'43 de la fin. Après Kamile Nacickaite (20 points) et Gintare Petronyte (17 points et 10 rebonds), c'est l'assassin silencieuse de l'ASVEL, Juste Jocyte (15 points, 6 passes) qui faisait des dégâts.\n\nPour conclure, la France a bénéficié du retour en jeu de Gabby Williams (17 points), a bien contrôlé les Lituaniennes dans la peinture et a joué à fond la carte de Marine Johannes (21 points) qui, en solo, ou en jeu à deux avec Marianne Badiane (16 points, 9 rebonds), a mené les actions qui font mouche. Tout ceci s'est fait dans la douleur, mais la mission est remplie. Ce sera le 13e Eurobasket consécutif de l'équipe de France.\n\n\n\nDans l'autre match du groupe, l'Ukraine a battu la Finlande, 74-59. Il reste à l'équipe de France un dernier match à jouer, dimanche 12 février, à Helsinki contre la Finlande.\n\nL'EuroBasket 2023 se tiendra en Slovénie (Ljubljana) et Israël (Tel-Aviv) du 15 au 25 juin. Le tirage au sort aura lieu le 8 mars à Ljubljana.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nL’Équipe de France féminine à l’Euro en chiffres :\n-En 2023, la France participera à la phase finale de l’Euro féminin pour la 34ème fois de son histoire\n-La France n’a pas manqué la phase finale de l’Euro depuis 1997\n-Les Bleues sont montées sur le podium européen au cours des 7 dernières éditions\n\n-Palmarès de l’Équipe de France féminine à l’Euro :\n-Or : 2001, 2009\n-Argent : 1970, 1993, 1999, 2013, 2015, 2017, 2019, 2021\n-Bronze : 2011\n\nJean-Pierre Siutat (Président de la Fédération Française de BasketBall) : « Après la participation à la Coupe du Monde 2022 en Australie, la qualification à l’EuroBasket Women 2023 était un deuxième objectif important dans le cadre de la préparation des Jeux Olympiques de Paris 2024. Je tiens à féliciter le groupe animé par Jean-Aimé Toupane et son staff pour ce succès qui confirme également ceux de nos clubs en compétitions européennes »\n\nAlain Contensoux (Directeur Technique National) : « Je suis très heureux de cette qualification de l’Équipe de France féminine pour le prochain EuroBasket Women qui aura lieu en juin prochain. Bravo à Jean-Aimé Toupane, à l’ensemble de son staff, et à toutes les joueuses ayant pris part à l’ensemble de ces matches de qualification, avec de belles valeurs et un état d’esprit remarquable »\n\nJacques Commères (Directeur de la Performance et des Équipes de France) : « C’est une réelle satisfaction de valider cette première place du groupe et la participation de l’Équipe de France au prochain EuroBasket Women, rendez-vous majeur en 2023 qui précédera les Jeux Olympiques de Paris 2024. Il fallait retrouver, ce soir, les ressources nécessaires pour obtenir cette victoire décisive en Lituanie, face à un concurrent direct dans la course pour la qualification. C’est chose faite. Félicitations aux joueuses, à Jean-Aimé Toupane et à son staff pour cette victoire importante qui pérennise la présence de la France au niveau de compétition le plus élevé en Europe »\n\nPhoto d'ouverture : Marine Johannes (FIBA)
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EuroBasket féminin 2023 : la Serbie et la Belgique également qualifiées
Outre l’équipe de France féminine, la Belgique, la Grèce, le Monténégro, la Turquie et la Serbie, championne d’Europe en titre, ont validé leur ticket pour l’EuroBasket 2023 jeudi soir.\n\nOn connait 11 des 16 équipes qui disputeront l’EuroBasket 2023 en Slovénie et en Israël. Jeudi soir, six équipes ont validé leur qualification pour la compétition continentale, dont la France, vainqueur de la Lituanie.\n\nChampionne d'Europe en titre, la Serbie a validé son billet en battant très largement la Croatie (85-57). Un succès construit auteur du double-double de Jovana Nogic (21 points, 10 rebonds) et qui garantit la première place du groupe E.\n\nAutre nation européenne majeure : la Belgique s’est adjugée la première place du groupe A en battant l’Allemagne (44-69). Emmenées par une grande Emma Messeman (19 points), les Belgian Cats ne peuvent plus être rejointes.\n\n\nLe Monténégro, la Turquie et la Grèce premiers de leur groupe\n\nEn outre, le Monténégro termine premier du groupe F après sa victoire contre l’Autriche (65-48). L’ancien pays slave retourne ainsi à l’Euro pour la 7e fois consécutive.\n\nComble de la soirée, la Turquie a validé la première place du groupe D malgré une courte défaite en Pologne (76-72). De même que la Grèce, premier du groupe G malgré une défaite face au Portugal (66-60).\n\nCes six nations rejoignent ainsi l’Espagne, la Lettonie, l’Italie et les deux pays-hôtes, la Slovénie et Israël, toutes déjà qualifiées. L’ultime journée de qualification ce dimanche décidera des cinq derniers tickets en jeu, parmi lesquels figureront les quatre meilleurs deuxièmes.\n\nLes classements de groupe\n\nPhoto : Serbie (FIBA)
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Les Bleues qualifiées pour l’EuroBasket - Jean-Aimé Toupane : «Les joueuses ont montré du courage»
Vainqueur de la Lituanie ce jeudi soir à Vilnius (75-83), l’équipe de France féminine a officiellement validé son ticket pour l’EuroBasket 2023, qui se déroulera du 15 au 25 juin prochain à Ljubljana en Slovénie et Tel-Aviv en Israël. Réactions.\n\nLes Bleues, vice-championnes d’Europe en titre et médaillées de bronze aux derniers Jeux Olympiques, ont validé ce jeudi leur qualification pour l’Euro 2023. Les joueuses entraînées par Jean-Aimé Toupane, vainqueurs de la Lituanie (75-83), assurent ainsi la première place de leur poule, synonyme de qualification directe, avant même de défier la Finlande ce dimanche à Helsinki (14h, en direct sur BeIN Sports 1).\n\nJean-Aimé Toupane, sélectionneur de l'équipe de France, dans les colonnes de L’Equipe : « Les filles ont fait un super travail, on connaissait l'enjeu, ce n'était pas simple de venir jouer un match couperet dans un pareil contexte. Les joueuses ont montré du courage, c'est une étape qui va nous permettre de continuer à grandir. Notre identité, c'est la défense. Etre agressif, solidaire. Elles l'ont été, même si parfois ça n'est pas passé comme il faut. À la fin, il fallait solliciter les joueuses qui avaient été le plus efficaces. On est allé chercher cette qualification. »\n\nMarine Johannès, arrière de l'équipe de France, dans les colonnes de L’Equipe : « On s'attendait à ce genre de match, elles nous ont beaucoup bousculées, pas mal tapées. Désormais, quand on est bousculées, on a du répondant. Et on va jouer jusqu'au bout à chaque fois. Je suis sur une bonne dynamique cette saison, j'essaie de continuer parce que c'est mon jeu. Même quand je rate plusieurs tirs de suite, en plus de chercher d'autres solutions, je garde la tête haute. »\n\n\n\n\n\n\n\nJean-Pierre Siutat, président de la fédération française de basketball (FFBB) : « Après la participation à la Coupe du monde 2022 en Australie, la qualification à l’EuroBasket féminine 2023 était un deuxième objectif important dans le cadre de la préparation des Jeux Olympiques de Paris 2024. Je tiens à féliciter le groupe animé par Jean-Aimé Toupane et son staff pour ce succès qui confirme également ceux de nos clubs en compétitions européennes. »\n\nJacques Commères, directeur de la performance et des équipes de France : « C’est une réelle satisfaction de valider cette première place du groupe et la participation de l’équipe de France au prochain EuroBasket féminin, rendez-vous majeur en 2023 qui précédera les Jeux Olympiques de Paris 2024. Il fallait retrouver, ce soir, les ressources nécessaires pour obtenir cette victoire décisive en Lituanie, face à un concurrent direct dans la course pour la qualification. C’est chose faite. Félicitations aux joueuses, à Jean-Aimé Toupane et à son staff pour cette victoire importante qui pérennise la présence de la France au niveau de compétition le plus élevé en Europe. »\n\nL’équipe de France féminine à l’Euro en chiffres :\n- En 2023, la France participera à la phase finale de l’Euro féminin pour la 34e fois de son histoire\n- La France n’a pas manqué la phase finale de l’Euro depuis 1997\n- Les Bleues sont montées sur le podium européen au cours des 7 dernières éditions (Or : 2001, 2009, Argent : 1970, 1993, 1999, 2013, 2015, 2017, 2019, 2021, Bronze : 2011)\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/651743/eurobasket-feminin-2023-la-serbie-et-la-belgique-egalement-qualifiees/\n\nPhoto : Marine Johannès (FIBA)
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Euroleague : l’Etoile Rouge fait tomber la forteresse de Tel Aviv malgré le show Wade Baldwin
Jeudi soir en Euroleague, l’Etoile Rouge de Belgrade a fait tomber la forteresse du Maccabi Tel Aviv (86-89) malgré la soirée record de Wade Baldwin (38 points).\n\nC’est un fait : le Maccabi Tel Aviv est quasiment une forteresse imprenable à domicile, cette saison comme bien d’autres. Mais jeudi soir, l’Etoile Rouge de Belgrade était supérieure et a fait tomber le club-nation pour la deuxième fois de la saison à la Menora Mivtachim Arena.\n\nEmmené par un excellent Nemanja Nedovic, 28 points à 11/16 aux tirs et 2 passes décisives en 23 minutes, le Red Star a pris les devants dès le deuxième quart-temps pour ne jamais être rattrapé. L’ultime tentative de Wade Baldwin depuis le milieu de terrain a rebondi sur le cercle.\n\n\n\n\n\n\n\nEn l’absence de Lorenzo Brown, par ailleurs prolongé jusqu'en 2026, le meneur US s’est fendu de sa meilleure performance en carrière avec 38 points (son record) à 11/19 aux tirs dont 6/10 derrière l’arc et 10/15 aux lancers, 5 rebonds et 5 passes décisives mais aussi 6 pertes de balles pour 39 d’évaluation en 36 minutes.\n\nDans les autres matches de la soirée, le FC Barcelone a disposé facilement de la Virtus Bologne (92-75). Et le Partizan Belgrade fait son retour dans le top 8 grâce à un succès important sur le Bayern Munich (71-82).\n\nBoxscore Maccabi - Etoile Rouge / Classement Euroleague\n\nPhoto : Etoile Rouge (Euroleague)
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FIBA Intercontinental Cup : quatre prétendants, un titre
Durant trois jours, les quatre champions continentaux - Lenovo Tenerife (hôte), Rio Grande Valley Vipers, São Paulo et Monastir - vont s’affronter lors de la 32e édition de la FIBA Intercontinental Cup.\n\nC’est un classique. Du 10 au 12 février 2023, les champions des ligues continentales de clubs vont s’affronter à l’occasion de la FIBA Intercontinental Cup, aussi nommée Coupe du monde FIBA des clubs champions. L'événement se déroule au Pabellon Insular Santiago Martin de Tenerife, où s’était déjà disputée l'édition 2020, mais aussi la finale de la Coupe du monde féminine 2018 et le Final Four de la Basketball Champions League en 2017.\n\n« La FIBA Intercontinental Cup est au premier plan des efforts stratégiques de la FIBA visant à façonner le paysage des compétitions interclubs internationales pour le bien du jeu à l'échelle mondiale. Cette édition ne sera que le deuxième tournoi de clubs de l'histoire du basket à présenter des prétendants représentant quatre compétitions régionales différentes, en s'appuyant sur le succès de l'événement marquant de l'année dernière en Égypte, le premier jamais organisé en Afrique », a commenté le secrétaire général de la FIBA, Andreas Zagklis, lors de la présentation de l’événement.\n\n\n\n\nTenerife, hôte et favori du tournoi ?\n\nSur les cinq dernières éditions, on retrouve quatre vainqueurs européens. Sera-t-il encore le cas cette année ? L’année dernière au Caire, les Brésiliens de Flamengo avaient surpris les Espagnols de San Pablo Burgos en finale, devenant par ailleurs le premier club hors d'Europe et des États-Unis à remporter plusieurs titres.\n\nEn 2023, on retrouve le champion sortant de la BCL, Lenovo Tenerife, déjà vainqueur de la FIBA Intercontinental Cup en 2017 et 2020 et les Rio Grande Valley Vipers, champions de la NBA G-League 2022, deux équipes ayant déjà participé à cette compétition.\n\nParmi les novices, on retrouve l’US Monastir, vainqueur de la BAL 2022, qui est sur le point d'entrer dans l'histoire en tant que premier club tunisien - et seulement le deuxième club africain après l’Egyptien Zamalek -, à participer à la compétition. Les Brésiliens de Sao Paulo, vainqueurs de la BCL Americas 2022, complètent le tableau.\n\n\n\n\n\n\n\n\nUne compétition à suivre sur YouTube et Courtside 1891\n\nLe tirage au sort a placé Sao Paulo sur la route des Rio Grande Valley Vipers et Tenerife sur celle de l’US Monastir. La première demi-finale aura lieu ce vendredi 10 février à 19h heure française, et la deuxième à 22h heure française.\n\nLes vainqueurs des deux demi-finales s'affronteront lors de la finale le dimanche 12 février à 20h, le match pour la 3e place ayant lieu plus tôt dans la journée.\n\nTous les matches seront gratuits et à vivre en direct sur YouTube mais aussi Courtside 1891, la plateforme digitale de la FIBA.\n\nLe saviez-vous ?\nLe club le plus titré de l'histoire de la FIBA Intercontinental Cup est le Real Madrid. Le géant espagnol a remporté le trophée à cinq reprises (1976, 1977, 1978, 1981, 2015). A noter que jamais un club français n’a participé à la compétition, pas même Limoges (la compétition a disparu entre 1988 et 1995 et entre 1997 et 2012).\n\nPhoto : FIBA
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ASVEL : Charles Kahudi forfait, Nando De Colo et Retin Obasohan incertains contre Monaco
L’ASVEL et Monaco se retrouvent pour la quatrième fois de la saison ce vendredi soir à 19h en Euroleague. La Roca Team a remporté les trois premiers duels et les Villeurbannais se déplacent avec des incertitudes.\n\nC’est un classique. L’AS Monaco et l’ASVEL vont se retrouver vendredi soir sur le Rocher pour une quatrième confrontation de la saison. Un duel déséquilibré ? Battue en finale du championnat de France la saison dernière, la Roca Team reste en tout cas sur une belle série d’invincibilité face aux Villeurbannais depuis le début de la saison. Avec un dernier duel âpre remporté à l'Astroballe (63-72) il y a douze jours.\n\nAprès 23 journées d’Euroleague, l’ASM (14-9) compte par ailleurs deux victoires d’avance sur la huitième place synonyme de playoffs tandis que l’ASVEL stagne dans le wagon arrière (8-15, 17e). Le coach villeurbannais T.J. Parker connait la problématique. « Il faut que nous réglions des choses contre eux, comme le rebond et les balles perdues. C’est là que se sont joués les trois premiers matches. Dans ces conditions, face à une équipe aussi talentueuse, c’est difficile de gagner », indique-t-il au Progrès.\n\n\n\n\n\n\n\n\n« Monaco est important mais les deux matches qui arrivent contre Le Mans et Roanne sont ceux qu’il faut gagner »\n\nLa tache s’annonce difficile puisque l’entraîneur sera privé de Charles Kahudi (ischio-jambiers) et que Nando De Colo (aponévrose) et Retin Obasohan (cuisse) sont incertains. Seront-ils préservés pour le championnat et la Coupe de France ?\n\n« Le match contre Monaco est important mais les deux suivants contre Le Mans (dimanche à l’extérieur) et Roanne (mercredi à domicile en coupe de France) sont ceux qu’il faut gagner. Il faut que nous remontions en championnat, où nous ne sommes qu’à trois points de la deuxième place, que nous voulons aller chercher », a confié T.J. Parker, toujours au Progrès.\n\n\n\n\n\n\n\n\nYoan Makoundou également incertain\n\nCôté monégasque, tous les voyants sont au vert. Sauf pour Yoan Makoundou, touché à la cheville et resté en civil contre le Real Madrid et Paris, qui est incertain. En revanche, Yakuba Ouattara et Jordan Loyd seront bien là.\n\n« Contre l’ASVEL, c’est un match à prendre au sérieux, cela fait plusieurs fois qu’on les affronte, confie l’ancien Villeurbannais Elie Okobo sur le site officiel de Monaco. Connaissant leur esprit de compétiteur, ils vont tout faire pour nous poser des problèmes et venir gagner ici. C’est un combat à chaque fois. »\n\nL’entre-deux aura lieu à Gaston-Médecin à 19h. Une rencontre à suivre en live sur Skweek TV.\n\nLa citation - Chima Moneke, intérieur de Monaco\n« Je m’attends à ce que chaque match soit difficile. Lorsque je jouais à Orléans et que nous affrontions Monaco ou l’ASVEL, c’était toujours de grands matches, durs et intenses. Il fallait que je donne le maximum, et j’arrive avec le même état d’esprit. Désormais, je suis dans une équipe calibrée pour remporter tous ces matches, c’est différent pour moi. Chaque joueur doit donner le meilleur de lui-même.»\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/648665/salaires-2022-23-le-top-20-le-trust-de-monaco-et-villeurbanne/\n\nPhoto : Charles Kahudi (Infinity Nine Media)
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Vidéo : revivez la qualification des Bleues contre la Lituanie
Vainqueur de la Lituanie ce jeudi soir à Vilnius (75-83), l’équipe de France féminine a officiellement validé son ticket pour l’EuroBasket 2023, qui se déroulera du 15 au 25 juin prochain à Ljubljana en Slovénie et Tel-Aviv en Israël. Replongez dans la victoire salvatrice en résumé vidéo, avec les commentaires de BeIN Sports.\n\nPhoto : Marine Johannès (FIBA)
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Jean-Denys Choulet (Roanne) : «Avant, l’Europe payait plus que la G-League, maintenant, elle paye autant»
Interrogé sur les finances de son club, le doyen des coachs de l’élite Jean-Denys Choulet (Roanne) a livré un témoignage intéressant sur les difficultés des équipes françaises à recruter.\n\nDurant le mois de janvier, nous vous dévoilions les salaires de tous les joueurs et coachs des 18 équipes de Betclic Elite. Parmi elles, la Chorale de Roanne, actuellement 6e ex-aequo tout en ayant la 13e masse salariale du championnat. Quand Le Progrès lui demande sa recette, son coach Jean-Denys Choulet répond :\n\n« (Recruter malin ?) Je le fais depuis des années, oui, mais c’est de plus en plus compliqué. Avant, les joueurs avaient le choix entre l’Europe et la G-League aux Etats-Unis. L’Europe payait plus que la G-League. Maintenant, elle paye autant, c’est la grosse différence (...). En France, on est pénalisé comme jamais. On signe un joueur à 100 000 euros net la saison, d’accord ? Le joueur ne touche pas 100 000 euros net car il a le prélèvement à la source, ce qui n’est pas le cas ailleurs... Même s’il est possible d’aider le joueur ensuite, c’est un énorme frein aux premières négociations. »\n\n\n\n\n\n\n\nLe doyen des coachs se focalise également sur le trou qui est en train de se creuser entre les armadas européennes et le reste du championnat. Sans augmentation de masse salariale, le fossé ne fera que s’élargir.\n\n« Quand tu vois que notre plus gros salaire (Stefan Moody, 140 000 euros la saison), c’est le huitième salaire de Paris, que James (Monaco), c’est presque deux fois la masse salariale totale de la Chorale, heureusement qu’il n’y a pas que la finance ! Ce que les gens ne comprennent pas, c’est que cela ne pourra pas durer éternellement. C’est comme si Sochaux passait devant le PSG. Il faut impérativement augmenter notre masse salariale ! »\n\nEn attendant, la Chorale de Roanne dispute ce vendredi soir un match important contre la lanterne rouge, Fos-sur-Mer, afin de rester dans le top 8. Entre-deux à 20h à la Halle Vacheresse (diffusé sur LNB TV).\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/648534/salaires-2022-23-roanne-march-attaque/\n\nPhoto : Jean-Denys Choulet (Jacques Cormarèche)
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Turquie : Jan Vesely fait un don de 25 000 euros aux victimes du tremblement de terre
Le pivot tchèque du FC Barcelone, Jan Vesely (2,13 m, 32 ans), a fait don de 500 000 livres turques, soit près de 25 000 euros, aux victimes du tremblement de terre de Kahramanmaras.\n\nC’est la belle histoire du jour. Jan Vesely, ancien joueur de Fenerbahçe pendant huit saisons, a répondu à l’appel à l’aide de Shane Larkin. Il y a quelques jours, le meneur de l’Anadolu Efes avait lancé un appel aux dons via sa fondation afin de subvenir aux besoins des familles dont la vie a été secouée par le puissant séisme de magnitude 7,5 survenu ce lundi.\n\n\n\nAinsi, le pivot tchèque a fait un don de 25 000 euros. Ce à quoi Shane Larkin a répondu : « Merci pour ce don très généreux. Nous veillerons à ce que cela aide autant de personnes touchées que possible. C'est un grand moment. »\n\nSelon un dernier décompte officiel, le bilan du tremblement de terre fait état de 18 991 personnes tuées en Turquie et 3 377 personnes en Syrie, ce qui porte à 22 368 le nombre total de morts. On compte aussi 60 000 blessés rien qu’en Turquie.\n\n\n\nPhoto : Jan Vesely (Euroleague)
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La couverture TV de la Leaders Cup
Du vendredi 17 février au 19 février se tiendra la Leaders Cup, à l'Arena Métropole Saint-Etienne à Saint-Chamond. Voici la couverture TV qui en sera faite.\n\nQuarts de Finale\nVendredi 17 février 2023 à 13h00\nJDA Dijon - Limoges CSP\nEn direct sur LNB TV\n\nVendredi 17 février 2023 à 15h30\nAS Monaco Basket - JL Bourg-en-Bresse\nEn direct sur LNB TV\n\nVendredi 17 février 2023 à 18h30\nCholet Basket - Le Mans Sarthe Basket\nEn direct sur L'Equipe Live\n\nVendredi 17 février 2023 à 21h00\nBoulogne-Levallois Metropolitans 92 - LDLC ASVEL\nEn direct sur la Chaine L'Equipe\n\nDemi-finales\nSamedi 18 février 2023 à 18h30\nPremière demi-finale\nEn direct sur L'Equipe Live\n\nSamedi 18 février 2023 à 21h00\nSeconde demi-finale\nEn direct sur la Chaine L'Equipe\n\nFinale Leaders Cup PROB\nDimanche 19 février 2023 à 16h00\nEtoile Angers - Boulazac Basket Dordogne\nEn direct sur L'Equipe Live\n\nFinale Leaders Cup 2023\nDimanche 19 février 2023 à 18h30\nEn direct sur la Chaine L'Equipe et beIN SPORTS 3\n\nPhoto : Jordan Floyd (JL Bourg, Jacques Cormarèche)
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Euroleague : Monaco maîtrise l'ASVEL
Sans Nando De Colo et Charles Kahudi, l'ASVEL n'a pas pu réellement inquiéter l'AS Monaco, vainqueur 87-75.\n\nLes Villeurbannais ont été pénalisés d'entrée avec les deux fautes en deux minutes de leur pivot Youssoupha Fall. Ils ont subi l'intensité des Monégasques qui, avec une pluie de dunks, sur contre-attaques ou pas, ont creusé l'écart (12-5, 25-13), qui a été réduit dans les dernières secondes du premier quart-temps notamment grâce à un panier très longue distance au buzzer d'Antoine Diot (28-21).\n\nA l'image de Yves Pons à côté de ses baskets, l'ASVEL avait un mal fou à stopper l'attaque monégasque, même si les pourcentages de celles-ci ont un peu fléchi en fin de deuxième quart-temps pour se retrouver tout de même à 66,7% à deux points et 50% (4/8) à trois-points). Les jaillissements de Donta Hall (8 points et 3 rebonds en 11 minutes) étaient une fois encore impressionnants. L'écart montait jusqu'à 14 points (36-22), et les hommes de TJ Parker, qui étaient souvent repoussés loin du cercle, pouvaient s'estimer heureux d'avoir seulement 10 points de débours après 20 minutes (50-40).\n\n\n\n\nLes Villeurbannais s'énervent contre les arbitres\n\nUne quatrième faute rapidement infligée à Youssoupha Fall n'arrangeait pas le sort de l'ASVEL. Le match évoluait sur un faux rythme, et la Roca Team se contentait de ses 10-12 points d'avance. Mais elle gâchait quelques belles occasions, tel Elie Okobo à côté de la plaque, et sans avoir l'air d'y toucher, l'ASVEL grignotait son retard pour revenir à 67-63 à la 30e minute.\n\nPour prendre de nouveau leurs distances, les Monégasques se sont alors appuyés sur de très bons Jordan Loyd (16 points), Alpha Diallo (20 d'éval) et Donatas Motiejunas (12 points, 5 rebonds), jusqu'à ce que celui-ci reçoit un coup bas qui lui a fait perdre ses moyens. Le coupable était Antoine Diot qui sortait sur une technique doublée d'une antisportive.\n\nD'ailleurs les Villeurbannais s'énervaient après les arbitres. Retin Obasohan, David Lighty et Youssoupha Fall écopaient de quatre fautes. Surtout, ils ne trouvaient pas les shooteurs capables de les sortir de l'ornière, à l'image de Dee Bost qui loupait 8 de ses 10 shoots à trois-points. Jusque là peu efficace à la finition (2/9), Mike James réussissait un contre sur Jonah Mathews, lui piquait ensuite la balle pour aller conclure sur un superbe layup l'attaque suivante. Le symbole finalement d'une bonne soirée pour la Roca Team.\n\nAlors que l'AS Monaco est toujours très bien positionnée pour finir dans le top 8 et plus si affinités, l'ASVEL va recentrer ses objectifs sur le championnat, à commencer par un déplacement au Mans où l'attend un MSB très diminué. Il lui reste à jouer 10 matches d'Euroleague, et ça risque d'être longuet.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : Mike James (Euroleague)
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Salaires Pro B 2022-23 – Vichy-Clermont: la mitraillette Tray Boyd fait mouche
Au vu des faibles moyens financiers de la JA Vichy-Clermont Métropole, personne ne soupçonnait que l’équipe de Guillaume Vizade ferait une telle première partie de saison. Mais le club a réalisé quelques belles pioches avec Ivan Février et le shooteur fou Tray Boyd, alors que Léopold Delaunay s’améliore de jour en jour à petit prix.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nVichy-Clermont – saison 2022-2023\nBudget : 2 044 000 euros (12e, +7 %)\nMasse salariale (brut) : 608 000 euros (15e, -8 %)\nClassement après 20 journées : 4e (13-7)\n\nLa JA Vichy-Clermont Métropole est un club atypique. Déjà, elle joue avec un seul JNFL, Tray Boyd, après le calamiteux passage de Callum Lawson. Ensuite, si elle a augmenté son budget d’environ 100 000 euros, elle a abaissé le montant dévolu à sa masse salariale, d’environ 50 000 euros. Ce qui situe le club, sur ce critère, parmi les tout derniers de la division.\n\nDe quoi empêcher la JAV de se montrer performante ? Eh bien non ! Grâce à son attaque de feu, la deuxième de Pro B avec 86,4 points, et une forte présence aux rebonds, 38,0 par match, troisième meilleure moyenne, l’équipe de l’Allier a fait feu de tout bois, n’étant séparée de la tête du classement que par une seule petite défaite.\n\n\n\n\nLe pari jeunes\n\nL’une des forces de Vichy-Clermont est d’avoir su mêler harmonieusement joueurs confirmés, dont l’inusable Charles-Henri Bronchard (40 ans !), et jeunes pousses très prometteuses. Pour les premiers, le club a su les attirer à des tarifs très raisonnables, alors que les seconds touchent entre 20 000 et 30 000 euros.\n\nQuant au coach Guillaume Vizade, il a été légèrement augmenté, tout en ne faisant toujours pas partie des entraîneurs les mieux payés de la division.\n\n\nQue des bonnes pioches !\n\nEn outre, ces jeunes réalisent une saison de toute beauté : Noah Penda, du haut de ses 17 ans, produit 7,6 d’évaluation, Mamadou Guissé est aujourd’hui à 9,6 et Léopold Delaunay explose, générant 13,7 d’évaluation (contre 9,2 la saison dernière). Et même le plus petit salaire des 10 joueurs pros, Assemian Moulare, tire son épingle du jeu avec ses 4,8 d’évaluation.\n\nComme les joueurs plus expérimentés font eux aussi le job, avec un bon Ivan Février notamment, tout va pour le mieux. D’autant que Tray Boyd, pour qui un mauvais tir est un tir qu’il n’a pas pris, n’a pas molli en passant de Nouvelle-Zélande en Pro B, tentant ses 18 tirs par match, dont 8 à 34,6 % de réussite à trois-points.\n\nBien construite, très complémentaire et bénéficiant des progrès constants de ses jeunes joueurs, la JAV a tout pour réitérer son dernier exercice, où elle n’avait échoué qu’en demi-finale de playoffs face à Blois.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Ivan FévrierFRA65 000 €9 mois50 000 €Tray Boyd IIIUSA-202348 000 €Serge MourtalaNGR20 000 €202445 000 €Cédric BahCIV40 000 €202345 000 €Thomas VilleFRA40 000 €202345 000 €Charles-Henri BronchardFRA45 000 €202333 000 €Léopold DelaunayFRA21 000 €2023 (prêt)30 000 €Mamadou GuisséBEL/FRA16 000 €202430 000 €Noah PendaFRA-202424 000 €Assemian MoulareFRA/CIV-202420 000 €Callum LawsonGBR-(2 mois)7 000 €Guillaume Vizade (coach)FRA48 000 €202452 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Tray Boyd © JAV (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Saint-Vallier: Jazzmarr Ferguson se démène
La saison dernière, pour son retour en Pro B, le Saint-Vallier Basket Drôme et ses micro-moyens ont souffert jusqu’à la dernière journée. Guère mieux lotis cette saison, les Drômois tremblent encore, malgré la belle affaire Jazzmarr Ferguson.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nSaint-Vallier – saison 2022-2023\nBudget : 1 395 000 euros (18e, +3 %)\nMasse salariale (brut) : 622 500 euros (14e, +3 %)\nClassement après 20 journées : 17e (6-14)\n\nLe Saint-Vallier Basket Drôme a l’habitude, depuis la saison dernière – sa première à ce niveau depuis 2013-14 - de faire avec de faibles ressources et de trembler jusqu’au bout pour le maintien. Il en va de même cette saison, bien mal commencée – 1 victoire pour 6 défaites sur les 7 premiers matches – et guère mieux continuée – 2-8 sur les 10 dernières rencontres. Et ce alors que le club a réussi à améliorer ses finances, même si c’est dans de toutes petites proportions : de moins de 40 000 euros de budget en plus, 20 000 euros de masse salariale supplémentaire.\n\nLe problème, c’est que, si l’équipe comporte de bons joueurs d’attaque, elle ne défend pas : 88,9 points encaissés - dernière défense du championnat, en laissant ses adversaires offrir 22,3 passes, la plus mauvaise moyenne - et réaliser 107,8 d’évaluation : personne ne fait pire, et de loin (Aix-Maurienne, 17e sur ce critère, est à 100,6).\n\n\n\n\nDes salaires équilibrés\n\nSi Saint-Vallier n’a pas beaucoup d’argent, le club possède de bons talents de négociateur : quatre de ses neuf principaux joueurs ont signé ou prolongé pour une somme inférieure à celle perçue l’an passé. Et lorsqu’il y a eu augmentation, elle n’a pas dépassé 7 000 euros environ.\n\nAutant dire que le SVBD s’est démené pour constituer un effectif théoriquement cohérent et, hormis Xavier Forcada, payé à des tarifs très homogènes. Et Philippe Namyst, l'entraîneur, figure toujours parmi les moins payés de Pro B.\n\n\nDes joueurs majeurs en retrait\n\nS’il y a bien un motif de satisfaction du côté de Saint-Vallier, c’est au sujet de Jazzmarr Ferguson, signé à petit prix et très efficace (17,8 d’évaluation). Le souci, c’est que les autres joueurs majeurs de l’effectif se montrent moins performants que la saison dernière – Xavi Forcada est passé de 14,1 à 13,8 d’évaluation, Kentan Facey de 12,0 à 11,0, Fabien Paschal de 12,1 à 8,8.\n\nQuant aux joueurs de complément, c’est du côté d’Alexis Thomas que se situe la satisfaction : pour un salaire en légère baisse, il a haussé sa production de 6,9 à 9,1 d’évaluation. Mais, nous l’avons dit, le problème principal du SVBD ne se situe pas au niveau de performances individuelles mais bel et bien au niveau d’une cohésion défensive actuellement inexistante. Peut-être les arrivées récentes de Dwight Coleby et de Bangaly Fofana permettront d’améliorer ce secteur. Il faut l’espérer, car, pour Saint-Vallier, l’alternative est simple : défendre ou descendre.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Xavi ForcadaESP60 000 €202355 000 €Kentan FaceyUSA/JAM-202345 000 €Fabien PaschalFRA40 000 €202345 000 €Jazzmarr FergusonUSA-202340 000 €Charles NkaloulouCGO45 000 €202340 000 €Florent TortosaFRA37 000 €202340 000 €Fabien AtebaFRA38 000 €202336 000 €Vincent AtebaFRA26 000 €202333 000 €Alexis ThomasFRA34 000 €202330 000 €Nadyr LabouizeFRA-202325 000 €Dwight ColebyBAH-4 mois20 000 €Bangaly FofanaFRA30 000 €2 mois5 000 €Philippe NamystFRA40 000 €202345 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Jazzmarr Ferguson © SVBD (montage Basket Europe)
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La restauration du parquet du gymnase de la Rue de Trévise
Vous ne l’ignorez pas, le gymnase de la rue de Trévise est la plus ancienne salle de basket-ball répertoriée au monde*. L’Union Chrétienne des Jeunes Gens (UCJG-Paris), qui a fait construire le bâtiment en 1893, entreprend aujourd’hui une campagne de restauration.\n\nElle concerne notamment le gymnase et en particulier son parquet. Ledit parquet avait été acheminé spécialement par bateau des Etats-Unis pour être posé lors de la construction du bâtiment. Il va être entièrement restauré, lame par lame. Il est possible de s’impliquer dans le projet : https://adopteunelame.com/ et de participer ainsi à la sauvegarde d’un joyau du patrimoine mondial du basket-ball.\n\n(Photographie : YMCA Paris)\n\n(*) : Si toutefois vous l’ignorez, quelques articles peuvent vous éclairer sur le sujet : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/esprit-sport/esprit-sport-du-vendredi-17-septembre-2021-4857698 - https://www.nytimes.com/2017/04/17/sports/basketball/a-court-used-for-playing-hoops-since-1893-where-paris.html )\n\n...
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Lituanie : Juste Jocyte nommée basketteuse de l’année !
Alors qu’elle n’est pas encore majeure, la jeune prodige lituanienne de l’ASVEL, Juste Jocyte (1,88 m, 17 ans), a été nommée basketteuse de l’année 2022 en Lituanie.\n\nPlus jeune internationale de l’histoire tous sports collectifs confondus avec une première sélection à 13 ans, Juste Jocyte a encore fait tomber un record de précocité. La jeune lituanienne a été nommée meilleure basketteuse de l'année dans son pays à seulement 17 ans, battant le précédent record de Jonas Valanciunas, nommé à l’âge de 19 ans en 2011. Avec 2 474 voix, elle devance ses ainées Gintare Petronyte (1 523 voix) et Kamile Nacickaite (1 004 voix).\n\nCe prix récompense sa saison en club - finaliste de la Ligue Féminine avec l'ASVEL -, son rôle en sélection avec les A mais surtout sa magnifique campagne estivale à l’EuroBasket U18, qu’elle a remporté avec sa sélection en étant élue MVP de la compétition. « Je veux dire un grand merci à tous les Lituaniens qui ont pensé que j'étais digne de ce titre », a-t-elle réagi sur le site de la fédération lituanienne.\n\n\n\n\nUn rôle majeur face aux Bleues\n\nLa phénomène de l’ASVEL a reçu le prestigieux prix ce vendredi dans la municipalité de Vilnius pendant la fenêtre internationale. La veille, elle avait réalisé une excellente prestation contre l’équipe de France en compilant 15 points à 6/7 aux tirs, 6 passes décisives et 5 rebonds pour 21 d’évaluation en 23 minutes, l’une de ses meilleures en sélection.\n\nSi les Bleues ont sécurisé la première place et leur billet pour l’EuroBasket, la Lituanie garde un espoir de qualification en cas de victoire sur l’Ukraine ce dimanche (16h). Une compétition dont sont absentes les Lituaniennes depuis 2015.\n\nPour sa quatrième saison à Lyon, l'arrière-ailière tourne à 6,4 points, 2,9 rebonds et 1,5 passe décisive de moyenne en LFB et 4,4 points et 1,6 rebond en Eurocup dans le collectif dense de l’ASVEL. Avant de représenter la Lituanie aux championnats du monde U19 en Espagne cet été, nul doute que la pensionnaire de la Tony Parker Academy voudra continuer de remplir son armoire à trophées.\n\nÀ noter que chez les hommes, c’est le NBAer Domantas Sabonis qui a été nommé basketteur de l’année, et ce pour la quatrième fois de sa carrière.\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Juste Jocyte (LTU Basketball)
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Boulogne-Levallois/Dijon : La révélation Bilal Coulibaly
Sans David Holston et Robin Ducote, la JDA Dijon a bousculé Boulogne-Levallois, s'est fait rattraper puis dépasser pour s'incliner (93-86).\n\nA 17-37 au bout de 12 minute de jeu, on ne donnait pas cher de la peau des hommes de Vincent Collet. La paire Matt Mobley (26 points)-Markis McDuffie (23) régalaient. Mais comme souvent pareil avantage pique l'orgueil de la victime. Les Mets se sont réveillés et ont rejoint les Bourguignons (60-59, 27e minute) pour s'imposer dans le money time.\n\nVictor Wembanyama (29 points, 9 rebonds, 30 d'éval) a été naturellement essentiel, mais Bilal Coulibaly (14 points, 4/4 à deux-points, 2/2 à trois-points, 7 rebonds, 23 d'éval) a été un dynamiseur, tout comme DeVante Jones (17 points et 16 rebonds). Jusqu'ici, Bilal Coulibaly (1,99 m, 18 ans) était davantage habitué à jouer en U21 qu'avec les pros. Il avait établi son record de la saison la semaine dernière face à Fos avec 8 points et 5 rebonds. Vincent Collet a annoncé qu'il devrait désormais se consacrer à 100% à l'équipe professionnelle.\n\n« J’ai eu tellement peur en voyant notre début de match en termes de manque d’agressivité. Dijon jouait très bien mais les tirs étaient faciles, dans un fauteuil. Mobley, quand il en met en deuxième période, ils sont plus difficiles. Le premier qui se révolte un peu c’est Lahaou (Konaté), puis Devonte Jones et Bilal (Coulibaly). Victor (Wembanyama) dormait un peu au début de match. En deuxième Steeve Ho You Fat a été beaucoup plus présent, il a attaqué McDuffie, et ça a payé (...) Je les ai engueulés sur le 1er et le 2e temps mort, et on est miraculeusement revenu à la mi-temps. Mais je leur ait dit ''on a eu une chance, on en aura pas deux, » a commenté le coach des Mets, Vincent Collet a rapporté Le Bien Public.\n\nPhoto : Tuan Nguyen
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Vidéo : Le résumé de Monaco-Villeurbanne
L'AS Monaco a maîtrisé l'ASVEL lors de la 24e journée de l'Euroleague (87-75). Voici les meilleurs moments du match.\n\n\Je n'ai pas l'impression que nous ayons fait de notre mieux\, a admis l'arrière monégasque Jordan Loyd après le match. \Mais une victoire est une victoire; vous devez toujours être satisfait d'une victoire.\\n\nPhoto : Jordan Loyd (AS Monaco, Euroleague)
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Coupe intercontinentale : Une finale Tenerife-Sao Paulo
Déjà vainqueur du trophée en 2017 et 2020, Lenovo Tenerife se retrouve de nouveau en finale de la Coupe Intercontinentale face à Sao Paulo. Les Espagnols chercheront à rejoindre Varese et Akron Wingfoots en tant que triples vainqueurs de l'épreuve.\n\nLenovo Tenerife n'a pas fait de détails face à l'US Monastir : 112-42. Les Espagnols menaient déjà 25-6 à la fin du premier quart-temps.Tim Abromaitis a été le meilleur marqueur avec 20 points, Sasu Salin a planté cinq trois-points pour 15 points, tandis que Giorgi Shermadini n'a eu besoin que de 12 minutes pour marquer 10 points avant de retourner sur le banc pour se reposer pour la finale. Jerome Randle avec 14 points et Michael Roll, qui vient de faire une pige avec le Paris Basketball, avec 11 ont été les deux seuls joueurs de l'équipe tunisienne en double figure.\n\nDe son côté, Sao Paulo a battu les Rio Grande Valley Vipers de G-League, 91-70. Tulio Da Silva a terminé le match avec 19 points, 15 rebonds et 3 interceptions. Shawn Occeus a marqué 17 points pour les Vipers.\n\nPhoto : Tim Abromaitis (Tenerife, FIBA)
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Salaires Pro B 2022-23 – Top 20 : Antoine Eito reste en tête
D’une saison à l’autre, les plus hauts salaires de Pro B n’ont que peu évolué. Antoine Eito, déjà le joueur le mieux payé de deuxième division l’année passée, conserve son rang.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nPour les têtes d’affiche du championnat, la Pro B paye bien. Ils sont 24 à percevoir 70 000 euros et plus. Par rapport aux tarifs pratiqués en Betclic Élite, cela peut sembler peu mais ces joueurs figureraient parmi les 140 joueurs de l’élite les mieux rémunérés. Quant au plus haut salaire de Pro B, Antoine Eito, il se classerait aux alentours de la 85e place dans cette hiérarchie.\n\n\nPeu de variations par rapport à la saison dernière\n\nEn se concentrant sur l’antichambre de l’élite, on s’aperçoit qu’il y a peu de variations sur les meilleurs salaires pratiqués en 2021-22 et ceux de cette saison. En moyenne, le top 20 percevait 81 909 euros l'an dernier, celui de cette année 83 833 euros, soit moins de 2 000 euros d’écart. Il faut dire que la structure de ces top 20 est assez similaire : si l’on est passé de deux à trois joueurs touchant 100 000 euros et plus, sept joueurs touchaient 90 000 euros et plus l’année dernière comme l’actuelle.\n\n\n\nSeule « vraie » différence : le 20e gagnait 65 000 euros la saison dernière, 70 000 euros l’actuelle. En revanche, en haut du classement, aucun changement : Antoine Eito est toujours le joueur le mieux payé de Pro B avec un salaire inchangé de 120 000 euros.\n\n\nUn top 20 très concentré\n\nFait guère surprenant, les joueurs du top 20 de cette saison appartiennent à seulement six clubs : Chalon en aligne 7, Antibes et Orléans 5 chacun, Nantes 3, Boulazac et Champagne Basket 2. Rien que de logique, ces six clubs sont les six plus gros budgets et masses salariales de Pro B. En parlant de masse salariale, on notera que Chalon et Orléans disposent de moyens financiers qui les placeraient, sur ce critère, en 14e et 17e position en Betclic Élite.\n\nAutre caractéristique quasiment inchangée, sur les 24 salaires de ce Top 20 (cinq ex-aequo à 70 000 euros), 10 sont attribués à des joueurs JFL – contre 9 sur 22 la saison dernière.\n\nPour finir, il est à remarquer que trois joueurs figureraient dans ce top 20 si l’on projetait leur contrat, signé en cours de saison, sur un exercice entier. Le premier, Jonathan Stark, figure même dans ce top avec ses 80 000 euros sur 8 mois, ce qui représenterait 100 000 euros sur une saison. Pour leur part, Junior Mbida (60 000 euros sur 8,5 mois) et Nobel Boungou-Colo (45 000 euros sur 7 mois), gagneraient respectivement autour de 85 000 et 77 000 euros sur une saison complète.\n\nEn définitive, la Pro B permet à pas mal de joueurs de vivre très confortablement : ils sont une centaine à percevoir 45 000 euros et plus. Les jeunes sont quasi systématiquement sous cette barre, avec une exposition très intéressante et la possibilité de gonfler leur salaire au fil des ans.\n\n\n\nModifierClassementJoueursNatSalaire 22/23Equipe1Antoine EitoFRA120 000 €Chalon2Jarred Ogungbemi-JacksonCAN/JAM110 000 €Orléans3Mickael GelabaleFRA100 000 €Chalon4Jean-Marc PansaFRA95 000 €Antibes4Tim DerksenUSA/ITA95 000 €Antibes6Nic MooreUSA90 000 €Boulazac6Damien BouquetFRA90 000 €Chalon8Tayler PersonsUSA88 000 €Chalon9Terry SmithUSA/ARM84 000 €Nantes10Temidayo YussufUSA/NIG83 000 €Antibes11Grismay PaumierCUB82 000 €Champagne12Mattias MarkussonSUE80 000 €Chalon12Kevin DinalFRA80 000 €Nantes12Tyran De LattibeaudiereJAM80 000 €Orléans12Toni PerkovicCRO80 000 €Orléans12Jonathan StarkUSA80 000 € (8 mois)Orléans17Kevin HarleyFRA78 000 €Chalon18Jérémy LeloupFRA75 000 €Orléans19Xavier PollardUSA72 000 €Antibes20Ludovic NegrobarFRA70 000 €Antibes20Travis MunningsBAH/USA70 000 €Boulazac20Lionel GaudouxFRA70 000 €Chalon20Djordje MilosevicSRB70 000 €Champagne20Assane NdoyeFRA70 000 €Nantes\n\n\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\nPhoto : Antoine Eïto – Chalon © Enzo Geoffray / Jarred Ogungbemi-Jackson – Orléans © Tuan Nguyen / Michael Gelabale © Enzo Geoffray (montage Basket Europe)
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VTB League : Thomas Heurtel et Louis Labeyrie dans le Cinq de départ du All-Star Game
Thomas Heurtel (Zenit Saint-Petersbourg) et Louis Labeyrie (UNICS Kazan) ont été choisis pour débuter le All-Star Game de la VTB League, qui se tiendra le 19 février à la VTB Arena de Moscou.\n\nNew School : Justin Roberson (PARMA-PARI), Jaylen Barford (Lokomotiv Kuban), Daniil Kasatkine (MBA), Nenad Dimitrijevic (UNICS), Daryl Macon (UNICS), Samson Ruzhentsev (CSKA), Sergueï Karasev (Zenit), Anton Astapkovich (CSKA), Andrei Lopatine (MBA), Nikola Milutinov (CSKA), Andreï Martiuk (Lokomotiv Kuban), Malik Newman (Avtodor)\n\nOld School : Thomas Heurtel (Zenit), Ryan Boatwright (Avtodor/PARMA-PARI), Alexey Shved (CSKA), Evgenii Baburin (Pari Nizhny Novgorod), Evgeny Voronov (MBA), James Ennis (Samara), Nikita Kurbanov (CSKA) , Andreï Vorontsevich (UNICS), Jalen Reynolds (UNICS), Malik Dime (PARMA-PARI), Louis Labeyrie (UNICS), Casper Ware (CSKA)\n\nEn gras les Cinq de départ.\n\nPhoto : Thomas Heurtel (VTB League)
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Jean-Denys Choulet (Roanne) : \Je suis personnellement affecté ce soir pour différentes raisons\
Le coach de la Chorale de Roanne, Jean-Denys Choulet, a exprimé sa colère envers ses joueurs après la défaite, à domicile, face à la lanterne rouge, Fos-sur-mer (89-93).\n\n\Dokossi prend 9 rebonds offensifs. Presque autant que nous dans la totalité (NDLR: 11). C'est une bague (...) Je suis personnellement affecté ce soir pour différentes raisons. 1) Parce que je pense que l'on avait les moyens d'accrocher le wagon du haut, et que l'on montre aussi nos limites, dans la bêtise, les pertes de balle, et dans le non blocage au rebond. Je suis également meurtri et fâché parce que j'avais manoeuvré pour faire venir Dee Spencer et que j'espérais passer une bonne soirée avec lui après le match. Je ne la passerai pas la bonne soirée ! Je ne peux pas passer de bonnes soirées après des matches comme ça. 2) Ce soir, c'était les 43 ans de Pape Badiane. Ca m'aurait fait plaisir de pouvoir lui dédier ça (...) Cette équipe de Fos mérite 100 fois sa victoire ce soir. Ils ont joué à six et demi pendant 40 minutes et prolongation. On ne peut pas continuer en étant aussi \stupide\ dans le money time.\\n\nPhoto : Jacques Cormarèche
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L'ancien joueur de Pau et du Mans, Juan Aisa, à la tête de You First, près de 60 M€ de chiffre d'affaires
Outre le Real Madrid, Estudiantes Madrid et Orense, Juan Aisa, 51 ans, a joué pour Le Mans (1997-1998) et Pau (1998-1999). Il est aujourd'hui à la tête de la société de représentation sportive You First, que Forbes place comme numéro 10 mondial du secteur dans un classement où elle s'impose comme la seule entreprise européenne.\n\nJuan Aisa a fondé You First en 2002, avec Miguel Alfageme, alors directeur d'Adecco, sponsor d'Estudiantes, et l'agent des basketteurs Regino Lopez Olivares. Au quotidien El Pais, il insiste sur le fait qu'\en Europe, contrairement aux États-Unis, la connaissance des représentants s'est limitée à de nombreuses reprises aux marchés nationaux, et la négociation des contrats pour le compte du joueur n'a pas ajouté de services supplémentaires indispensables tels que la gestion de l'image, la fiscalité ou le patrimoine.\\n\nYou First s'est tout d'abord concentré sur le basket-ball et le football, mais maintenant elle a dans son portefeuille des athlètes olympiques ainsi que des influenceurs et d'autres personnalités extérieures au monde sportif. De même, depuis 2006, You First travaille avec les marques afin de « les aider à renforcer la relation avec leur public », d'abord par le biais de sponsoring avec des sportifs, des clubs ou des compétitions et, plus tard, en fonction des demandes du marché, par accords avec toutes sortes de personnalités publiques.\n\nAujourd'hui, l'entreprise représente 870 talents dans 14 pays, et Juan Aisa dirige une équipe de 280 personnes. L'actionnariat est complété, outre les salariés qui participent au capital, par une dizaine d'investisseurs. En 2022, le chiffre d'affaires a progressé pour atteindre un montant « proche de 60 millions », contre « près de 40 millions » en 2021. Et ses profits bruts ont également augmenté, se situant « entre 8,5 et 9 millions ».
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Nicolas Batum : \Si je devais choisir un endroit de rêve où jouer en Euroleague, ce serait le Maccabi\
Nicolas Batum suit de près l'Euroleague, en raison de ses fonctions de directeur des opérations basket à l'ASVEL, en tant qu'ancien participant, au Mans et à Nancy, et aussi tout bonnement par passion.\n\nDans une interview à Eurohoops, il révèle le nom de son équipe préférée quand il était jeune.\n\n\J'ai joué en Euroleague avant d'être drafté en tant que jeune pendant deux ans, puis pendant le lock-out, je suis revenu jouer en France. Je connais l'atmosphère de l'Euroleague et j'ai grandi en tant que fan du Maccabi et si jamais je devais choisir un endroit de rêve où jouer en Euroleague, ce serait le Maccabi\ a-t-il déclaré.\n\nA propos de la saison en cours, il a commenté :\n\n\L'Euroleague est difficile à prévoir en tant que ligue. Madrid est bon, Efes peut faire un triplé, et Barcelone, l'Olympiakos et Monaco seront dans la course. Six équipes peuvent être bonnes comme maintenant, l'Etoile Rouge peut revenir fort. On ne sait jamais à quoi s'attendre en Euroleague, et c'est pour ça que j'aime la regarder.\\n\nPhoto : FIBA
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Yoan Makoundou (Monaco ): «Je veux marquer mon sport de mon empreinte»
Yoan Makoundou se livre dans Monaco Matin, à propos de ses débuts dans le basket, de son adaptation à Monaco, la ville et le club et sur sa passion de l’automobile.\n\nA propos de ses débuts dans le basket, à 15 ans :\n\n« Pour être honnête, je ne m’y intéressais pas plus que ça. Le sport, ce n’était pas mon truc. Je trainais dehors avec des amis. Et puis avec ma croissance, mon frère est venu me voir un jour et m’a convaincu de faire du basket. Il était persuadé qu’il y avait quelque chose à faire. Quelques années après, je peux dire que je suis pleinement épanoui. Maintenant, le basket me passionne. Je regarde beaucoup le championnat de France et j’ai une petite préférence pour les Bulls de Chicago en NBA. »\n\nA propos de ses modèles :\n\n« Kevin Séraphin ! En NBA, c’était quelque chose. Et puis Mathias Lessort, qui m’a d’ailleurs dit beaucoup de bien de l’AS Monaco Basket. Ce sont deux supers joueurs et deux supers mecs. »\n\nA propos de son arrivée sur le Rocher :\n\n« Tout s’est parfaitement bien déroulé. J’ai été très bien accueilli par l’ensemble du personnel du club. J’ai rapidement pris conscience que j’arrivais dans un autre monde (sourire). Le niveau des joueurs, l’intensité des séances, le professionnalisme du staff... Sans décrédibiliser Cholet, ça n’a rien avoir avec ici. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais je me suis tout de suite dit « Yoan, tu ne t’es pas trompé. » Il y a tout ici pour s’épanouir et réussir. Dans le basket, mais pas que. La ville, c’est quelque chose. Je suis un grand passionné de voitures. Je peux vous dire que je suis servi tous les jours (sourire). Je passe souvent devant la vitrine de l’ACM (Automobile Club de Monaco). J’espère y entrer un jour. »\n\nEt à propos de son objectif ultime :\n\n« (Il réfléchit) Je veux marquer mon sport de mon empreinte... Oui, que l’on se souvienne de mon jeu et du basketteur que j’étais. »\n\nPhoto : AS Monaco
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Condamné pour diffamation, le Partizan Belgrade va verser des indemnités à l'Etoile Rouge
Nouvel épisode du conflit entre l'Etoile Rouge et le Partizan Belgrade. Dans un communiqué, l'Etoile Rouge annonce que le Partizan s'est vu condamner à verser des indemnités à plusieurs représentants du club rival pour diffamation.\n\n\KK Crvena zvezda informe le public que par l'arrêt de la Cour d'appel de Belgrade du 8 février 2023. Le KK Partizan est tenu de verser une compensation monétaire au président du club Nebojša Čović, à l'ancien directeur du club Filip Sunturlić, ainsi qu'à toutes les personnes qu'il a mentionnées (membres de la famille immédiate du président du KK Crvena zvezda), agressées et calomniées dans son article officiel communiqué publié le 09/02/2020. sur le site officiel de ce club, affirmant que \Crvena zvezda est une entreprise familiale qui vole la Serbie\ et a présenté de nombreuses insultes et contrevérités, qui ont reçu leur épilogue devant le tribunal jeudi.\\n\nVoilà. Mais l'Etoile Rouge ne peut pas s'empêcher, à la fin du communiqué, de décocher une nouvelle flèche empoisonnée :\n\n\L'Etoile Rouge rappelle que le club est une association de citoyens avec des structures et des organes clairement définis, ainsi que le club le plus transparent de la République de Serbie. En tant qu'association de citoyens, il remplit toutes ses obligations envers l'État - à commencer par les impôts , contrairement au Partizan.\\n\nPhoto : Nebojša Čović
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Qualifications EuroBasket féminin 2023 : Un point général avant le dernier acte
Il n'y a plus que cinq places à pourvoir pour l'EuroBasket féminin et tout va se jouer ce dimanche lors de la dernière journée des qualifications.\n\nSont éjà qualifiés : Slovénie (hôte), Israël (hôte), Belgique, Espagne, France, Grèce, Lettonie, Italie, Monténégro, Serbie, et Turquie.\n\nVoici un dernier aperçu de l'état des lieux entre les groupes :\n\nGROUPE A :\n\nDimanche 12 février\nMacédoine du Nord - Belgique\nBosnie-Herzégovine - Allemagne\n\n * La Belgique s'est déjà qualifiée pour le tour final ;\n * L'Allemagne pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés avec une victoire ;\n * La Bosnie-Herzégovine pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés si elle gagne par 40 points ou plus ;\n * La Macédoine du Nord a déjà été éliminée de la compétition.\n\nGROUPE B :\n\nDimanche 12 février\nFinlande - France\nUkraine - Lituanie\n\n * La France s'est déjà qualifiée pour le tour final ;\n * La Lituanie pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés avec une victoire ;\n * L'Ukraine pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés avec une victoire ;\n * La Finlande a déjà été éliminée de la compétition.\n\nGROUPE C :\n\nDimanche 12 février\nHongrie - Roumanie\nIslande - Espagne\n\n \n * L'Espagne s'est déjà qualifiée pour le tour final;\n \n \n * La Hongrie pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés avec une victoire ;\n \n \n * Ils pourraient également se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés avec une défaite en cas de victoire de l'Islande;\n \n \n \n \n * L'Islande a déjà été éliminée de la compétition ;\n \n \n * La Roumanie a déjà été éliminée de la compétition.\n \n\nGROUPE D :\n\nDimanche 12 février\nAlbanie - Turquie\nSlovénie - Pologne\n\n * La Turquie s'est déjà qualifiée pour le tour final ;\n * La Slovénie s'est déjà qualifiée pour le tour final en tant que co-hôte ;\n * La Pologne pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés avec une victoire;\n * L'Albanie a déjà été éliminée de la compétition.\n\nGROUPE E :\n\nDimanche 12 février\nBulgarie - Serbie\n\n * La Serbie s'est déjà qualifiée pour le tour final ;\n * La Croatie pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés ;\n * La Bulgarie a déjà été éliminée de la compétition.\n\n\n\n\n\n\n\nGROUPE F :\n\nDimanche 12 février\nMonténégro - Danemark\n\n * Le Monténégro s'est déjà qualifié pour le tour final ;\n * L'Autriche a déjà été éliminée de la compétition ;\n * Le Danemark a déjà été éliminé de la compétition.\n\nGROUPE G :\n\nDimanche 12 février\nGrande-Bretagne - Portugal\nEstonie - Grèce\n\n * La Grèce s'est déjà qualifiée pour le tour final ;\n * Le Portugal pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés avec une victoire ;\n * La Grande-Bretagne pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des finalistes les mieux classés avec une victoire;\n * L'Estonie a déjà été éliminée de la compétition.\n\nGROUPE H :\n\nDimanche 12 février\nSuisse - Italie\nSlovaquie - Luxembourg\n\n * L'Italie s'est déjà qualifiée pour le tour final ;\n * La Slovaquie pourrait se qualifier pour le tour final en tant que l'un des deuxièmes les mieux classés avec une victoire ;\n * Le Luxembourg a déjà été éliminé de la compétition ;\n * La Suisse a déjà été éliminée de la compétition.\n\nGROUPE I :\n\nDimanche 12 février\nRépublique tchèque - Pays-Bas\n\n * La République tchèque se qualifierait pour le tour final avec une victoire ou si elle perdait de 1 à 5 points ;\n * Les Pays-Bas se qualifieraient pour le tour final avec une victoire de 6 points ou plus ;\n * L'Irlande a déjà été éliminée de la compétition.\n\nGROUPE J :\n\nDimanche 12 février\nSuède - Lettonie\n\n * La Lettonie s'est déjà qualifiée pour le tour final ;\n * Israël s'est déjà qualifié pour le tour final en tant que coorganisateur ;\n * La Suède a déjà été éliminée de la compétition.\n\nClassement des équipes deuxièmes\n\nLes quatre meilleures équipes classées deuxièmes se qualifieront pour la phase finale. Comme la Slovénie et Israël sont déjà qualifiés en tant qu'hôtes, leur place reviendrait à la ou aux équipes les mieux classées suivantes si elles se trouvaient dans les quatre premières places.\n\nPhoto : Marième Badiane (FIBA)
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L'entraîneur finlandais : \Marine Johannes est probablement l'arrière la plus spectaculaire d'Europe\
Ce dimanche, à 15h, l'équipe de France va livrer face à la Finlande, à Helsinki, son dernier match de qualification pour l'EuroBasket 2023. Il est sans enjeu véritable.\n\nLes Françaises sont assurées de la première place du groupe et les Finlandaises de la dernière. Rappel : à l'aller, à Saint-Etienne, la Finlande s'était inclinée lourdement 103-77. De plus, pour ce match retour, elle est privée de sa meilleure joueuse Awak Kuier (1,94 m, 21 ans), blessée, qui tourne à 19,8 points et 10,3 rebonds dans cette compétition. Le coach des des Susiladies, Niko Hellman, complimente particulièrement trois Bleues.\n\n\Elles ont un esprit sportif extrême dans toutes les positions. Il y a aussi la taille et la compétence. Ne sont-elles pas l'une des meilleures équipes d'Europe, sinon la meilleure\, estime t-il.\n\nMarine Johannes : \Probablement l'arrière la plus spectaculaire d'Europe, qui veut surtout jouer de façon spectaculaire. C'est sa faiblesse et sa force à la fois. Pratiquement impossible à défendre quant elle est à son meilleur.\\n\nGabby Williams : \Williams ne fut pas pas impliquée dans notre rencontre précédente. C'est une athlète de classe vraiment coriace qui attaque le panier très fort et surtout avec sa main droite.\\n\nMarieme Badiane : \Une super joueuse athlétique qui est peut-être moins technique que les autres supers joueuses en France. Pourtant, elle semble être celle qui aide le plus l'équipe avec sa défense et sa gestion du terrain.\\n\n#NomAnnée de naissanceTailleClub4OLLILAINEN Kati2003175HBA-Märsky5PELANDRE Sofia1992190Brno (CZE)7KOSKIMAN Elina1996180Nördlingen (GER)10AARNISALO Elina2005177HBA-Märsky11TULONEN Perle1998189Le Mura Lucca (ITA)12LEHTORANTA Linda-Lotta1991178Keltern (Allemagne)15LEMILLE Elsa2005197Honka de Tapiola22VIITA Silja2001185 Forssa Alku24STERLING Anissa1992174Nördlingen (GER)25PIRTINNEN Veera1997180Bembibre (ESP)30VEHKA-AHO Lotta2000170Forssan Alku33KOSONEN Roosa2000183Forsann Alku\n\nPhoto : Marine Johannes (FIBA)
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En raison d'une grève, Le Mans-Villeurbanne reporté au 4 avril
En raison de la grève des contrôleurs sur les aéroports, le match Le Mans vs ASVEL a été reporté au mardi 4 avril.\n\nL'équipe de TJ Parker était ce vendredi soir à Monaco et devait rejoindre la Sarthe pour jouer ce dimanche, à 17h, à Antarès. Ce n'est pas forcément une mauvaise affaire pour le MSB qui est actuellement amputée de plusieurs joueurs, mais en revanche le public manceau ne reverra pas son ancien Américain Dee Spencer actuellement en France et qui était hier vendredi de passage à Roanne.\n\nA noter que que le match du MSB contre Limoges prévu initialement le 17 mars est également décalé, au 12 avril, car l'équipe d'Elric Delord participera le week-end du 18-19 mars au Top 8 Coupe de France à Trélazé.\n\nRéaction de Christophe Le Bouille, président du directoire du MSB :\n\n« Nous avons tout d’abord une pensée pour tous les supporters qui avaient coché la date du 12 février et se faisaient une fête d’assister à ce match de gala contre l’ASVEL. Notre objectif a été de clarifier la situation le plus rapidement possible afin d’informer tous les spectateurs, notamment ceux qui venaient de loin. Nous souhaitions avoir des garanties ce soir. L’ASVEL étant coincée à Nice, le principe de réalité l’a emporté. Nous donnons donc rendez-vous à tous le mardi 4 avril à 20h. Evidemment, pour ceux qui ne pourraient pas être présents, une procédure de remboursement sera mise en place. »\n\n\n\n\n\nPhoto : ASVEL (Euroleague)
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Un 9e guichets fermés pour le SLUC Nancy
A l'occasion de la venue de l'ESSM Le Portel, le SLUC Nancy va enregistrer ce samedi soir le 9e guichets fermés de la saison.\n\nA l'issue de la phase aller, le SLUC Nancy était numéro 1 des affluences à domicile de Betclic Elite, avec 5 763 spectateurs par match en moyenne avec un taux de remplissage de 96% pour une salle de 6 027 places.\n\nLe succès populaire ne se dément pas alors que l'équipe lorraine (15e, 20 victoires et 7 défaites) affronte l'ESSM Le Portel qui la devance au classement (13e, 8-12).\n\n\n\nPhoto : SLUC
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Amadou Sow (Blois) : \Ils ont été plus chanceux que nous\
L'ADA Blois est la seule équipe à avoir fait trébucher le BCM Gravelines-Dunkerque à Sportica. Les Nordistes ont rendu la monnaie de la pièce en remportant leur premier succès à l'extérieur de la saison dans le Loire-et-Cher (89-92).\n\nTout s'est joué dans le dernier quart-temps lorsque le BCM a pris 9 points d'avance (73-82). Kenny Boynton (25) et Justin Robinson (24) ont donc mis plus de la moitié de ses points avec un 9/15 à trois-points cumulé. Malgré tout, l'ADA est revenue à deux points (85-87) avec 36 secondes au chrono. Contrairement au match contre Boulogne-Levallois, Tyren Johnson n'est pas parvenu à égaliser alors qu'il était seul sur un double pas, et Blois concède une défaite qui alourdi son passif (14 défaites pour 7 victoires).\n\n« Sur la fin, on a encore une belle occasion d’égaliser alors qu’il ne restait plus que quarante secondes de jeu, a constaté Amadou Sow pour La Nouvelle République, lui qui a brillé offensivement avec 26 points et 31 d'évaluation. Il ne faut surtout pas en vouloir à un joueur, c’est le basket et cela peut arriver à n’importe qui. Ce n’est pas sur ce dernier tir qu’on laisse filer la victoire. On a fait d’autres erreurs pendant le match qui nous ont été préjudiciables. J’aurais volontiers laissé le fait d’avoir été le meilleur marqueur et d’avoir eu la meilleure évaluation pour un succès de mon équipe. La victoire est plus importante à mes yeux que la performance individuelle. Il ne nous manque pourtant pas grand-chose, seulement ils ont été plus chanceux que nous. »\n\nC'est donc un jour \historique\ pour le BCM salué par le coach Laurent Legname :\n\n« C’est une victoire très satisfaisante. On a été plutôt dominateur sur l’ensemble du match. On a quasiment toujours été devant même si l’écart n’est pas important. On a un peu paniqué face à leur zone press dans le troisième quart-temps, ce qui leur a permis de repasser devant. Mais, c’est ce que j’ai dit aux joueurs à la fin, je pense qu’il y a trois semaines, on aurait peut-être sombré vu notre dynamique à l’extérieur et là on a progressé parce qu’on a su laisser passer l’orage pour revenir et prendre un avantage dans le dernier quart. C’est une très belle victoire qui récompense le travail des joueurs. »\n\n\n\nPhoto : Amadou Sow (Tuan Nguyen)
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Strasbourg-Cholet : Et Marcus Keene rata son shoot...
Cholet Basket est définitivement une équipe coriace. Elle a mené l'essentiel du match à Strasbourg et résisté à la pression alsacienne à la fin pour s'imposer 90-92.\n\nLe tournant du match, cela aurait pu être les deux lancers-francs ratés de Dominic Artis à 16 secondes de la fin, alors que l'Américain en met généralement 4 sur 5, mais la SIG n'a pas su en profiter. Marcus Keene, auteur de 29 points (6/12 à trois-points) a raté le shoot de l'égalisation. Il laisse ainsi le titre honorifique de héros du match à Justin Patton (22 points, 10/13 aux shoots et 7 rebonds). Commentaires du coach Laurent Vila en conférence de presse via Ouest France :\n\n« C’est un match qui se joue sur la dernière possession et qui aurait pu basculer d’un côté comme de l’autre. Heureusement, on a réussi à faire ce qu’il fallait pour être devant une bonne partie du match. Avec sept points d’avance je pensais que c’était maîtrisé mais Strasbourg est bien revenu. Ce quatrième quart-temps, c’est dommage, car on s’est relâché en défense et cela a permis à la SIG de revenir rapidement. Mais il fallait venir s’imposer ici et nous sommes contents de l’avoir fait. On a donné beaucoup de points facile dans le premier quart-temps. Keene marque 29 points sur le match et c’est trop, il faut que l’on fasse mieux. Mais on a gardé notre sang-froid en deuxième mi-temps, la détermination et le mental étaient là et c’est très important.»\n\nPhoto : Marcus Keene (SIG, FIBA)
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Eric Girard (Le Portel) : \Je n'ai jamais vu autant d'incohérences au niveau de l'arbitrage\
Le coach de l'ESSM Le Portel, Eric Girard, a piqué une grosse colère contre l'arbitrage après la défaite des siens à Nancy (79-73).\n\n« Bravo à Nancy qui mérite son succès. Nous n'avons pas été bons, spécialement nos étrangers, a t-il dit en préliminaire face aux journalistes dont ceux de La Voix du Nord. Mais malgré tout, j'ai la sensation d'un match presque volé. Je n'ai jamais vu autant d'incohérences au niveau de l'arbitrage. Pendant les 19 premières minutes, Nancy, une équipe athlétique et qui joue dur, n'a que deux fautes. Alors forcément, ces dix points, on les traîne tout le match. De notre côté, on joue le même basket lors des deux mi-temps et on voit un rééquilibrage incroyable. Qu'on siffle tout ou qu'on laisse jouer, je m'en fiche mais que l'on soit cohérent et qu'on laisse les artistes que sont les joueurs, jouer. On a vu des mecs comme Benoît (Mangin) et Nadir (Hifi) qui ne disent jamais rien être hyper frustrés. Je suis désolé pour les 5000 personnes présentes qui ont vu un match de m... »\n\nOn peut noter que les deux meilleurs marqueurs portelois sont deux Français : Benoit Mangin avec 18 points et Nadir Hifi avec 17. Alors qu'à Nancy se sont les étrangers qui ont été les plus productifs : 18 points pour Ike Nwamu, 15 pour Mike Scott et 14 pour Caleb Walker.\n\nPhoto : Eric Girard (Le Portel)
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Desi Rodriguez (Limoges) : Un seul être vous manque...
Depuis que son intérieur Desi Rodriguez (1,96 m, 26 ans) est à l'infirmerie, la machine limougeaude est grippée.\n\nNon seulement le CSP a échoué ce samedi soir à Nanterre, mais dans les grandes largeurs (87-70), face à une équipe qui n'est pas au mieux cette année et qui s'était déjà imposée à Beaublanc. Il y a de multiples raisons à ce nouveau dérapage, notamment le fait que les Limougeauds ne sont pas armés pour livrer bataille sur deux fronts. D'ailleurs, ils sont toujours fanny dans le top 16 de la Basketball Champions League après trois journées.\n\nUn autre constat est clair : depuis que leur pivot Desi Rodriguez leur fait défaut, ils ont perdu 7 de leurs 9 matches.\n\n« Je déteste chercher des excuses. Mais depuis qu’il n’est plus là, nous sommes beaucoup plus prévisibles. Les équipes savent comment défendre face à nous. Tout est différent sans lui, » a lâché le coach Massimo Cancellieri après le match.\n\nDesi Rodriguez, c'était un ancrage à l'intérieur qui rapportait 12,5 points et 5,8 rebonds avec la meilleure évaluation de l'équipe (16,3). Le natif du Bronx souffre de l'estomac. Et le gros hic, c'est que la date de son retour n'est pas programmée. Le CSP va devoir faire avec ou sans lui s'il veut renouveler son bail en coupe d'Europe pour la prochaine saison.\n\nPhoto : Tuan Nguyen
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Turquie : Une internationale de 3x3 décède dans le tremblement de terre
Le corps de Nilai Aydogan, une basketteuse turque recherchée par les équipes de secours après le tremblement de terre en Turquie, a été retrouvé dimanche sous les décombres.\n\nLa joueuse de 30 ans jouait cette saison pour Cankaya et était internationale de 3x3. Les équipes de secours la recherchaient sous les décombres de la ville de Malatya. Son corps a été récupéré dans les ruines ainsi que celui de sa grand-mère à qui elle rendait visite au moment du tremblement de terre.\n\nLe dernier bilan fait état de 33 000 morts en Turquie et Syrie mais l'ONU a prévenu qu'il pourrait doubler.\n\n
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Face à Limoges, Nanterre se rassure
Mal en point, coté infirmerie et côté terrain, Nanterre vit une saison difficile. Après une série de trois défaites d’affilée, qui les laissaient flirter dangereusement avec la zone de relégation, les Franciliens se sont néanmoins rassurés en dominant Limoges (87-70) samedi soir. Rien n’est encore joué pour eux, mais la victoire, et la manière ont redonné un bon coup de booster à l’équipe de Pascal Donnadieu, dont le calendrier à venir, après la trêve internationale, n’est pas de tout repos.\n\nNanterre 92 reprendra en effet le chemin du parquet à Monaco, avant de recevoir l’ASVEL dans un match de prestige à La Défense Arena le 12 mars, puis de se rendre en voisin sur le parquet de Paris. Le match contre Limoges avait donc un caractère d’urgence, et c’est dans son palais des sports, chaud comme une baraque à frites et blindé jusqu’au cintres que Nanterre a relevé le défi. Face à un CSP, qui souffre de l’absence de Desi Rodriguez , et qui a concédé une sixième défaite en sept matches, toutes compétitions confondues, Nanterre a été globalement au contrôle tout le match. Après un début de match canon, porté par une magnifique adresse primée d’entrée de jeu (56% dans le premier quart, 52 % au final) et un Keith Hornsby déchaîné (14 points en 10 mn), Nanterre a bien connu une légère période de flottement , permettant à Limoges de revenir d’un déficit de -11 dans le deuxième quart (33-33, 16ème). Mais ce sera la dernière piqûre de rappel pour les Franciliens, qui mieux calés défensivement, et bien drivés par Ray McCallum, reprenaient la main sur le match, pour creuser l’écart régulièrement, et garder le contrôle de la partie jusqu’au bout.\n\n\nUne côte fêlée pour Halilovic, une cheville délicate pour Vanwijn, et une entorse pour Dussoulier\n\nC’était rude pour le CSP, dont le coach Massimo Cancellieri, fidèle à son discours direct ne se cachait pas derrière l’absence de Desi Rodriguez. « Ce n’est pas la première fois que nous avons des soucis comme ça. Reste a savoir combien de temps il nous faudra pour sortir de ça , pour jouer un autre basket. Quand tu joues comme une équipe moyenne , au moins tu dois être humble, très humble... Personne ne peut aller au cercle tout seul, tout joueur a besoin de l’équipe, et si l’équipe ne comprend pas ça ... » fustigeait-il.\n\nCôté francilien, c’était d’abord le soulagement qui s’imposait, après cette large victoire, acquise avec un effectif pourtant pas au top. Frappé par une incroyable scoumoune, et une litanie de blessés, Nanterre n’en a pas encore tout à fait fini avec ses éclopés. Ainsi samedi soir, on apprenait que Ben Sene, touché à un mollet ne s’était quasiment pas entraîné de la semaine, que Miralem Halilovic a joué avec une côté fêlée, que Hans Vanwjin avec une cheville délicate ; et Nanterre a également perdu pendant le match Lucas Dussoulier, victime d’une entorse d’une cheville.\n\n« Alors qu’on avait construit une équipe qui paraissait solide, on vit une saison cauchemardesque, » soulignait Pascal Donnadieu, qui appréciait donc à sa juste valeur une victoire « mathématiquement satisfaisante , et encore plus parce qu’après un bilan difficile à domicile de 7 victoires et 10 défaites, on a gagné à domicile, dans une salle qui était pleine, à guichets fermés deux jours avant le match. Même si on n’a pas une salle de 8 000 places, ça fait du bien de sentir le public qui répond. C’est une victoire énorme pour nous, une grosse bouffée d’oxygène ». Sorti d’une série de trois défaites, Nanterre (8v-13d) va donc pouvoir panser ses plaies pendant la trêve à venir, jusqu’au 4 mars. Mais, si rien n’est acquis – « je pense que le maintien se jouera à hauteur de 12 victoires, à 13 c’est sûr » estimait le coach francilien-, la soirée de samedi était porteuse de signaux positifs.\n\n\n9 000 places déjà vendues pour le match à La Défense\n\nA commencer par l’apport de joueurs comme Hamady Ndiaye dissuasif et déterminant par sa verticalité et sa présence sous le cercle (4 points, 3 rebonds, 3 contres et 3 passes décisives en 20mn), et Sadio Doucouré remarquable par son impact (6 points , 7 rebonds en 22 mn) des deux côtés du terrain. « On a bossé aux entraînements, on était conscients qu’il fallait qu’on trouve beaucoup plus que ce qu’on pouvait donner les semaines précédentes, » reconnaissait Doucouré. « Ça fait du bien de retrouver la victoire, surtout dans une salle aussi chaude, animée. On a été plus agressifs, plus consistants défensivement » »\n\nPascal Donnadieu, qui avait procédé pendant la semaine à une série d’entretiens individuels avec certains joueurs, dont Ray Mc Callum, y puisait d’autres motifs de satisfaction. « Je suis d’abord satisfait d’avoir pu trouver des solutions dans la semaine, puis de la victoire et enfin de la manière. On a modifié deux, trois choses en attaque, mais notre réussite offensive de ce soir est due aussi à l’enthousiasme et à l’envie de l’équipe. »\n\nVoilà qui est du meilleur augure pour le match prestigieux à venir, dans le cadre de l’Arena de La Défense, face à l’ASVEL, le 12 mars. Malgré une saison chaotique, le club dispose toujours d’un capital « populaire », et d’un public fidèle et motivé, qui continue à s’engager derrière son équipe. Frédéric Donnadieu, le président du club banlieusard, nous annonçait ainsi, qu’à un mois du coup d’envoi du grand match à La Défense, « on en est à 9 000 places vendues, et on pense passer le cap des 10 000 la semaine prochaine ». Et ça aussi, c’est du positif. \n\nA Nanterre\n\nx\n\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Benjamin Sene (Tuan Nguyen)
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Le Portel : Rudy Demahis-Ballou pour remplacer Ron Curry
Pour remplacer l'Américain Ron Curry, qui va être absent plusieurs semaines, l'ESSM Le Portel fait confiance à un Français de 21 ans, le meneur Rudy Demahis-Ballou (1,88m).\n\nFormé au Pôle France, Rudy Demahis-Ballou est passé par l'AS Monaco et il a fait une pige, il y a quelques semaines, à Fos/Mer obtenant 7,0 points et 2,2 passes en 5 matches.\n\n\Rudy est un guard intense en défense qui va parfaitement coller avec notre philosophie de cette année qui fait la part belle aux jeunes Français et de rester une des meilleures défenses du championnat de France, deuxième aujourd’hui derrière Villeurbanne, commente le coach Eric Girard. Rudy n’aura pas l’expérience de Ron, le pari est peut être osé mais son dynamisme, ses qualités défensives et son potentiel devraient nous aider dans notre objectif actuel... Rudy est arrivé au Portel afin de s’entrainer avec ses nouveaux coéquipiers et participer à la rencontre de Coupe de France à Pau mercredi si validation de son contrat par la LNB. Nous lui souhaitons la bienvenue et une rapide adaptation dans notre équipe ».\n\nPhoto : AS Monaco
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WNBA : Iliana Rupert rebondit au Atlanta Dream
Coupée il y a quelques jours par les Las Vegas Aces, Iliana Rupert (1,94 m, 21 ans) a signé avec l'Atlanta Dream, passant du champion en titre à une équipe classée 10e la saison dernière.\n\nIliana Rupert a été draftée par les Aces en 12e position en 2021 et elle a disputé sa première saison dans la ligue en 2022. Elle a tourné en moyenne à 3,8 points et 2,3 rebonds en 17 matches de saison régulière, et elle a disputé sept matchs en playoffs.\n\nAvec Virtus Segafredo Bologna en Italie cette saison, l'internationale a récolté en moyenne 13,1 points, 7,0 rebonds et 1,9 passe décisive en 22 matchs.\n\nLe Atlanta Dream est la franchise pour laquelle Céline Dumerc a joué à l'été 2014.\n\n\n\nPhoto : FIBA
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Qualifications Eurobasket féminin : Les Bleues étouffent la Finlande dans le 3e quart-temps
Dans un match sans enjeu, l'équipe de France a fait valoir sa puissance sur la Finlande, même s'il y a eu pas mal d'imperfections (46-82).\n\nSi l'équipe de France était privée de plusieurs joueuses dont Iliana Rupert, blessée au visage, et remplacée par Kendra Chery, la Finlande ne disposait pas de sa pièce maîtresse, Awak Kuier (1,94 m, 21 ans) et c'était beaucoup trop pour elle. C'est dans le troisième quart-temps que les Françaises ont mis le turbo pour décrocher irrémédiablement les Finlandaises courageuses mais sous-dimensionnées athlétiquement.\n\nLe coach Jean-Aimé Toupane a fait tourner son effectif. Les 12 joueuses ont passé au minimum 11 minutes sur le terrain. Et si Gabby Williams (18 points, 5 rebonds, 3 passes et 4 interceptions) et encore Helena Ciak (12 points à 100% et 8 rebonds) ont été fidèles à leur statut, ce match a aussi permis à Romane Bernies, appelée de la dernière heure à la mène, de prouver que son énergie était très appréciable.\n\nUn chiffre met en évidence la défense ardente des Françaises et la difficulté des Finlandaises à trouver des poches d'air dans celle-ci : leurs 34 balles perdues !\n\n\n\n\n20-17 pour la Finlande dans le 2e quart-temps\n\nAprès un tour de chauffe (4 balles perdues pour Valériane Vukosavljevic en 5 minutes !), les Bleues ont monté leur intensité défensive et les Finlandaises en ont perdu les pédales : 3/14 aux shoots pour se contenter de 6 points contre 20 à leurs adversaires dans le premier quart-temps.\n\nSeulement, les Françaises commettaient beaucoup de bévue offensives, aussi bien dans les passes, dans les dribbles, que dans la finition et se retrouvaient longtemps bloquées au score, au point que la Finlande est revenue à 22-17 (17e), ce qui était totalement imprévu. Malgré les 9 points et les 3 interceptions de Gabby Williams, la France perdait ainsi cette deuxième tranche de 10 minutes, 20-17 !\n\n\n\n\nEt 4-30 ans le 3e quart-temps\n\nSous la conduite de Romane Bernies et avec Gabby Williams indéfendable en percussion, la France a fait monter son avantage à + 17 (26-53) en quatre minutes trente. Les Finlandaises étaient étouffées par la puissance des Bleues et dénicher une ouverture relevait pour elles de la mission impossible. Avec un 3/4 à trois-points de Marine Johannes, l'équipe de France giflait les Nordiques dans ce troisième quart-temps, 4 à 30.\n\nSans ses joueuses de base sur le terrain, l'équipe de France a continué de maintenir une sérieuse pression défensive, mais avec pas mal de grumeaux en attaque, ce qui donna une fin de match décousue.\n\nL'EuroBasket 2023 se tiendra en Slovénie (Ljubljana) et Israël (Tel-Aviv) du 15 au 25 juin. Le tirage au sort aura lieu le 8 mars à Ljubljana.\n\nLa boxscore est ICI. Les classements des groupes sont ICI.\n\nPhoto d'ouverture : Janelle Salaun (FIBA)
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Le programme TV : C'est la semaine des Coupes nationales
Cette semaine, les coupes d'Europe font relâche. Place aux coupes nationales avec des matches à élimination directe. La Leaders Cup est sur le groupe L'Equipe, BeIN Sports et LNBTV. La Coupe de France -Monaco/Boulogne-Levallois-, d'Espagne et d'Italie en exclu sur MSC Basket.\n\nMercredi 15 février :\n\n19h00 - Monaco vs Mets - Coupe de France - MCS Basket (profitez de l'offre BasketEurope + MCSBasket pour un abonnement annuel à 49€)\n\nVendredi 17 février :\n13h00 - Dijon - Limoges - Leaders Cup - LNBTV\n15h30 - Monaco/Bourg - Leaders Cup - LNB TV\n18h30 - Cholet/Le Mans - Leaders Cup - L'Equipe Live\n21h00 - Boulogne-Levallois/ASVEL - Leaders Cup - La Chaîne L'Equipe\n\n\nSamedi 18 février :\n\n18h30 - Demi-finale - Leaders Cup - L'Equipe Live\n21h00 - Demi-finale - Leaders Cup - La Chaîne L'Equipe\n\nDimanche 19 février :\n\n16h00 - Angers/Boulazac - Finale Pro B Leaders Cup - L'Equipe Live\n18h15 - Angers/Bourges - LFB - Sport en France\n18h30 - Finale Leaders Cup - La Chaîne L'Equipe et beIN Sports 3\n\nLe programme de la semaine sur MCS Basket\nMercredi 15 février :\n19h00 - Monaco/Boulogne-Levallois - Coupe de France\nSamedi 18 février :\n18h00 - Demi-finale - Finale 8 - Italie\n18h30 - Demi-finale - Copa del Rey - Espagne\n20h45 - Demi-finale - Finale 8 - Italie\n21h30 - Demi-finale - Copa del Rey - Espagne\n22h00 - Baylor/Kansas - NCAA\nDimanche 19 février :\n18h00 - Finale - Finale 8 - Italie\n19h00 - Finale - Copa del Rey - Espagne\n\nMCS Basket, c'est chaque année plus de 600 matches de basketball en direct et à la demande.\n\nCOMMENT REGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON 2022-2023 :\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE :\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse, entre autres, l'affiche de la journée de Betclic Elite, les équipes de France et la NBA. Ses chaines sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52 - Canal Sat : canaux 66 à 68 - Free : canaux 31 à 33 - Orange : canaux 45 à 47 ou 176 à 178 - SFR : canaux 115 à 117).\nSTATIONS REGIONALES DE FRANCE 3\nChaque weekend, France 3 retransmet du basket sur ses antennes régionales (Betclic Elite, Ligue Féminine, Pro B). Ses chaînes sont accessibles gratuitement et localement sur la TNT. Elles sont également accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 301 à 324, Free : canaux 301 à 326, Canal : canaux 350 à 373, Orange : canaux 211 à 236, SFR : canaux 431 à 456).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite diffuse une affiche par journée de saison régulière plus les playoffs de Ligue Féminine. Plusieurs émissions spéciales durant l'année, disponibles en replay (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\nLA CHAINE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe diffuse 30 rencontres d'Euroleague en clair cette saison (dont 23 affiches de saison régulière et 7 rencontres de playoffs) en direct ou en léger différé. Disponible sur le canal 21 de la TNT.\n\nSUR INTERNET (OTT) :\nLNB TV - LA PLATEFORME DIGITALE OTT DE LA LNB\nLa plateforme diffuse l'ensemble des matches (*qui ne sont pas diffusés par BeIN Sports et France 3) de Betclic Elite et de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay et sont tous commentés. Trois façons d’y accéder : sur le site LNB, sur le site LNB TV ou en téléchargeant l’application LNB sur iOS ou Android.\nSKWEEK\nTous les matches d'Euroleague masculine et féminine et ceux des équipes françaises en Eurocup sont diffusés en live et en replay sur la plateforme skweek.tv. Des avant-matches et des émissions spéciales chaque semaine.\nMCS BASKET\nLes matches des championnats d'Espagne, Italie, Turquie et de NCAA ainsi que la Coupe de France, la Coupe d’Espagne, la Coupe de Turquie et la Coupe d’Italie sont disponibles sur la plateforme MCS Basket.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de la FFBB - commentaires en français -, de la Basketball Champions League, de la FIBA et de la FIBA 3x3 diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : respectivement Ligue Féminine, BCL, Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.\nTWITCH\nLa chaîne First Team diffuse des matches des Metropolitans 92 gratuitement et en direct sur sa chaîne Twitch et sur LNB TV.\n\nPhoto : Steeve Ho You Fat (Boulogne-Levallois, Thomas Savoja)
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Vidéo : Les meilleurs moments de Finlande-France
Voir ou revoir les highlights de Finlande-France, comptant pour la qualification à l'EuroBasket féminin 2023, avec au bout la victoire des Bleues, 46-82.\n\nPhoto : Migna Touré (FIBA)
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Tournoi Adidas Next Generation : L'ASVEL battue en finale
C'est la Joventud Badalone qui a remporté le Tournoi Adidas Next Generation organisé à Patras (Grèce), en battant l'ASVEL en finale, 71-56.\n\nAprès une première mi-temps partagée (37-35), La Penya a signé une seconde exceptionnelle en défense, laissant l'ASVEL marquer seulement 21 points. Rubén Prey a été l'homme du match avec 19 points et 15 rebonds, alors que du côté villeurbannais, c'est Félix De Almeida qui a été le meilleur marqueur avec 14 points.\n\nPour la finale pour la 3e place, Cholet a disposé de Patras, 94-64.\n\nRuben Prey s'est vu décerner le trophée de MVP. Le cinq all-stars a été complété par Ben Saraf (Team Patras), Johann Gruenloh (Vechta), Tidjane Salaun (Cholet) et Yohann Cissoko (ASVEL).\n\nPhoto : Mathis Courbon (ASVEL, Euroleague)
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Salaires Pro B 2022-23 – Les coachs : Savo Vucevic au sommet de la division
\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nAu même titre que les joueurs, quand un coach dépasse la barre des 100 000 euros en Pro B, ce n’est pas anecdotique. C’est le cas cette saison de Savo Vucevic à Chalon-sur-Saône. Plus gros budget de la division, l’Elan a misé sur un entraîneur référencé pour son objectif de remontée. Un choix pour le moment payant (leader après 20 journées). Il faut malgré tout préciser que l’entraîneur monténégrin gagnait bien davantage du temps de sa dernière saison à Bourg-en-Bresse, où il flirtait avec les 140 000 euros.\n\nDans la hiérarchie, les deux autres coachs les mieux rétribués de la division sont Germain Castano et Daniel Goethals. Le premier aurait franchi la barre des 100 000 euros - qu’il avait atteinte l’an dernier - si Orléans s’était maintenu en première division et le second est dans la suite logique de son contrat pluriannuel à Antibes. Si l’on excepte ce top 3, tous les entraîneurs de Pro B ont un contrat compris entre 36 000 et 70 000 euros, avec huit des dix-huit techniciens de la division entre 50 000 et 60 000 euros. Le salaire moyen de la division est d'ailleurs de 60 000 euros annuels, hors primes.\n\n\nPlus que quatre entraîneurs sous les 50 000 euros\n\nParmi tous les entraîneurs de Pro B déjà présents dans la division la saison dernière, aucun n’a fait exploser son salaire mais la majorité d’entre eux a obtenu une petite augmentation.\n\nNotons qu’il ne reste plus que quatre coachs sous les 50 000 euros (Philippe Namyst, Julien Cortey, Ali Bouziane et François Sence), preuve que le salaire moyen des coachs est en hausse, dans une proportion comparable à l’élite. Et que l’assistant le mieux rétribué de Pro B, l’Orléanais Emmanuel Coeuret, est mieux loti que le coach principal le moins bien payé (François Sence, 36 000 euros).\n\n\nJulien Mahé, coach le plus rentable après 20 journées\n\nQuant à la rentabilité pure vis-à-vis des résultats de leur équipe, soulignons l’impact de Julien Mahé, payé 60 000 euros, qui fait de Saint-Quentin l’outsider numéro 1 de Chalon pour la montée en Betclic Elite à la mi-saison dépassée. De même, nous ne pouvons passer sous silence l’excellent travail de Guillaume Vizade à Vichy-Clermont, de Maxime Bézin à Lille et d’Ali Bouziane à Angers. Trois entraîneurs dans la deuxième partie de tableau des salaires et dont leur équipe fait partie des prétendants aux playoffs.\n\nÀ noter que les clubs jouent cette année la carte de la stabilité. La saison dernière, quatre coachs avaient été remerciés à la même période de l’année - plus ou moins autour de la 20e journée - tandis que tous ceux du début de saison sont encore en poste.\n\n\n\nRangCoachsSalaires 21/22EquipeSalaire 22/231Savo Vucevic–Chalon110 000 €2Germain Castano100 000 €Orléans85 000 €3Daniel Goethals75 000 €Antibes80 000 €4Jean-Marc Dupraz35 000 € (5 mois)Nantes70 000 €5Laurent Foirest65 000 €Quimper70 000 €6Thomas Andrieux–Champagne65 000 €7Alexandre Ménard18 000 € (3,5 mois)Boulazac60 000 €8Julien Mahé60 000 €Saint-Quentin60 000 €9Julien Espinosa20 000 € (4 mois)ASA Basket55 000 €10Alain Thinet50 000 €Saint-Chamond55 000 €11Neno Asceric54 000 €Evreux54 000 €12Guillaume Vizade48 000 €Vichy-Clermont52 000 €13Emmanuel Schmitt48 000 €Aix-Maurienne50 000 €14Maxime Bézin45 000 €Lille50 000 €15Philippe Namyst40 000 €Saint-Vallier45 000 €16Julien Cortey–La Rochelle43 000 €17Ali Bouziane–Angers40 000 €18François Sence–Denain36 000 €Moyenne Pro B60 000 €\n\n\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.
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Coupe Intercontinentale : Un triplé pour Tenerife
Le club espagnol Lenovo Tenerife a remporté dimanche la Coupe Intercontinentale pour la troisième fois de son histoire après s'être imposé 89-68 contre les Brésiliens de Sao Paulo lors de la finale de la 32e édition de la compétition, dans l'arène Santiago Martin de Tenerife.\n\nTenerife avait déjà été vainqueur de l'épreuve en 2017 et 2020. Le Real Madrid est le club le plus titré de l'histoire de la Coupe Intercontinentale FIBA, ayant remporté le trophée à cinq reprises. Lenovo Tenerife rejoint désormais Varese (Italie) et Akron Goodyear Wingfoots (USA) en tant que seuls clubs à avoir remporté trois trophées. Le meneur de jeu urugayen Bruno Fitipaldo de Lenovo Tenerife, qui a obtenu 15 points et 6 passes décisives lors de la finale, a été élu MVP du tournoi.\n\nLors du match pour la troisième place, les Vipers de la NBA G League Rio Grande Valley ont battu les détenteurs du titre de la Basketball Africa League, les Tunisiens de l'US Monastir 107-84 grâce en grande partie aux 34 points de Jarrett Culver, auteur d'un 6 sur 8 au-delà de l'arc à trois points.\n\nPhoto : FIBA
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EuroBasket féminin 2023 : Les 16 équipes qualifiées
Les cinq dernières places pour l'EuroBasket féminin, qui se tiendra du 15 au 25 juin 2023 à Tel Aviv (Israël) et Ljubljana (Slovénie), ont été attribuées ce dimanche.\n\nLa Belgique, la République tchèque, la France, la Grèce, l'Italie, la Lettonie, le Monténégro, la Serbie, l'Espagne et la Turquie ont réservé leurs billets en tant que vainqueurs de leurs groupes respectifs, tandis que l'Allemagne, la Grande-Bretagne, la Hongrie et la Slovaquie sont les quatre deuxièmes à se qualifier. Israël et la Slovénie étaient qualifiés d'office en tant que pays organisateurs.\n\nOn remarque ainsi que l'Ukraine, qui a battu dimanche la Lituanie, ne figure pas dans ces meilleurs deuxièmes.\n\nLe classement des équipes ayant terminé à la 2e place de leur groupe :\n\n#ÉQUIPERESULTAT+/-1.Hongrie (Q)2-2+822.Slovaquie (Q)2-2+513.Grande-Bretagne (Q)2-2+234.Allemagne (Q)2-2+165.Israël2-2+96.Pologne2-2-77.Ukraine2-2-158.Croatie2-2-16\n\n\nLes équipes qualifiées connaîtront leurs adversaires du tour final le 8 mars lors du tirage au sort en Slovénie, qui les répartira en quatre groupes de quatre équipes chacun.\n\nLes équipes seront classées selon le ranking mondial féminin FIBA, qui sera mis à jour pour inclure les résultats de ces qualifications. Après la Coupe du Monde 2022, la France était classée 2e équipe européenne à ce ranking.\n\nLe tirage au sort sera diffusé en direct sur la chaîne YouTube de la FIBA.\n\nPhoto : Marine Fauthoux (FIBA)
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Pro B : Saint-Quentin boosté par son public
Saint-Quentin a remporté le derby du Nord face à Lille (65-59) et se félicite d'avoir en soutien un public ardent.\n\nSQBB est toujours la seule équipe de Pro B invaincue à domicile, mais il s'en est fallu de peu que les Lillois reviennent de Picardie avec un exploit. Terrell Gomez (21 points) et Mathis Dossou-Yovo (17 points et 13 rebonds) ont bien sûr été prépondérants dans cette victoire, mais aux dires des acteurs, les 3 370 spectateurs du Palais des sports Pierre-Ratte aussi.\n\n« Je suis vraiment très heureux de cette victoire. Elle a été longue à se dessiner, ça a été un match difficile. On a su trouver les ressources pour aller chercher la victoire, c’est le plus important. C’est très bien de gagner ce match. Un grand merci au public. Sans cet appui, je ne pense pas qu’on gagne », a déclaré le coach Julien Mahé dans L'Union. « On a vraiment l’impression d’être 6 sur le terrain. Le public est vraiment une grosse aide », a complété Mathis Dossou-Yovo.\n\nAvant la trêve, SQBB va se rendre jeudi à Evreux. En cas de victoire, il reprendrait à Chalon la première place.\n\nPhoto : SQBB
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Yakuba Ouattara (Monaco) : \Nous avons un peu joué comme des poulets sans tête\
Sans Mike James et Donatas Motiejunas, l'AS Monaco est tombée à Bourg (90-88). Un rappel à l'ordre sans conséquence.\n\nStatistiquement, on peut retenir les 20 points de Isiaha Mike, les 18 de Jordan Floyd et encore les 15 de Pierre Pelos et de l'autre côté les 16 points de Elie Okobo et les 11 points et 8 rebonds de Donta Hall. Et aussi ce commentaire de Yakuba Ouattara pour souligner que la Roca Team n'a pas joué avec son cerveau :\n\n\Nous avons laissé revenir Bourg dans le match en deuxième mi-temps à cause d’un manque de dureté, a t-il commenté rapporte Monaco Matin. Nous avons perdu nos duels en un contre un et nous avons déjoué offensivement. Nous n’avons plus déroulé nos systèmes et nous avons un peu joué comme des poulets sans tête. L’absence de Mike James a forcément un impact. Mais nous avions largement les qualités pour gagner ce match sans parler de lui.Avec ou sans Mike, si nous continuons à jouer comme ça, nous ne pourrons pas gagner.\\n\nCette victoire est naturellement profitable à la JL Bourg, mais pas vraiment dommageable pour l'AS Monaco, qui possède toujours deux victoires d'avance sur Boulogne-Levallois. Et les hommes de Sasa Obradovic vont avoir l'occasion de prendre leur revanche dès ce vendredi, contre le même adversaire, à la Leaders Cup.\n\nPhoto : Yakuba Ouattara (ESSM)
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Les Français de l'étranger : Mam Jaiteh et Mathias Lessort, les maîtres de la raquette
Une fois encore, nos intérieurs français se sont exprimés avec efficacité sur la scène européenne. Mam Jaiteh, Mathias Lessort, Guerschon Yabusele ou encore Moustapha Fall ont tous un point commun : ils occupent la raquette d'une équipe en tête de son championnat.\n\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Grèce à Israël en passant par la Turquie et l'Italie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\nEn l'absence d'Isaïa Cordinier, Mam Jaiteh continue de faire briller le contingent français de la Virtus Bologne. L'intérieur des Bleus s'est illustré avec un double-double ce week-end (13 points, 11 rebonds), avec la victoire en prime à Reggio Emilia (63-74). Son compatriote et rival de l'Olimpia Milan Timothé Luwawu-Cabarrot a de nouveau été essentiel sur les ailes de son équipe. Vainqueur avec huit points d'écart à Varèse, TLC a inscrit 16 points. Bologne et Milan se partagent encore et toujours la tête du championnat italien. Enfin, le duel entre Hugo Invernizzi et David Michineau a tourné à l'avantage du premier, fraîchement arrivé à Trévise.\n\nPlus à l'ouest, les Français du Real ont eu du mal à se défaire de l'UCAM Murcia. Finalement victorieux 80 à 88, Guerschon Yabusele (11 points) et ses coéquipiers gardent la place de coleader -avec le FC Barcelone-, de Liga Endesa.\n\nAndrew Albicy et Damien Inglis n'ont pas connu le même sort à Valence (82-76), malgré les 13 points du meneur de Gran Canaria. Une semaine noire pour la formation espagnole, qui s'était faite renverser quelques jours plus tôt par l'Hapoel Tel Aviv de Jaylen Hoard en Eurocup.\n\n\nMathias Lessort, l'homme fort de Belgrade\n\nToujours en tête de la ligue adriatique, Mathias Lessort a encore fait preuve de sa superbe contre le Borac Mozzart (114-84) avec 19 points inscrits. Une seconde performance la semaine passée qui succède à ses 16 points et 7 rebonds sur le terrain du Bayern Munich. Le Partizan Belgrade est remonté à la sixième place du classement de l'Euroleague. De nouveau appelé par Vincent Collet en équipe de France, Malcolm Cazalon a montré un beau visage ce week-end avant la trêve internationale. Il a marqué 16 points dans la victoire de Mega Mis au SC Derby.\n\nLui aussi ne connaît que le succès, et cela dure en Euroleague depuis le 10 janvier dernier. Bien qu'il possède légèrement moins de minutes qu'en début de saison, Moustapha Fall reste toujours un des hommes forts de l'Olympiakos. le groupe de Geórgios Bartzókas règne en maître sur ses deux compétitions. L'équipe du Pirée a maîtrisé Ionikos 100 à 68 avec 6 points et 3 rebonds en 10 minutes de l'international français.\n\n\nLE CINQ MAJEUR DE LA SEMAINE\n\n\nCOUPES D’EUROPE\n\nEUROLEAGUE\n\nMam Jaiteh (Virtus Bologne)\nDéfaite 75-92 contre Barcelone\n14 points à 55,6 % aux tirs, 5 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 6 pertes de balle pour 11 d’évaluation en 18 minutes\n\nIsaïa Cordinier (Virtus Bologne)\nBlessé.\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid)\nMatch reporté.\n\nVincent Poirier (Real Madrid)\nMatch reporté.\n\nFabien Causeur (Real Madrid)\nMatch reporté.\n\nPetr Cornelie (Real Madrid)\nMatch reporté.\n\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes)\nMatch reporté.\n\nAmath M'Baye (Anadolu Efes)\nMatch reporté.\n\nMoustapha Fall (Olympiakos)\nVictoire 60-93 à Berlin\n9 points à 100,0 % aux tirs, 1 passe décisive et 1 interception pour 10 d’évaluation en 11 minutes\n\nTimothé Luwawu-Cabarrot (Olimpia Milan)\nMatch reporté.\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade)\nVictoire 71-82 au Bayern Munich\n16 points à 55,6 % aux tirs, 7 rebonds et 2 pertes de balle pour 14 d’évaluation en 32 minutes\n\n\n\n\n\n\n\nEUROCUP\n\nAxel Bouteille (Turk Telekom Ankara)\nMatch reporté.\n\nAlpha Kaba (Buducnost Podgorica)\nDéfaite 103-87 à Paris\n2 points à 20,0 % aux tirs, 7 rebonds, 1 interception et 1 perte de balle pour 5 d’évaluation en 15 minutes\n\nDamien Inglis (Gran Canaria)\nDéfaite 92-70 à Hapoel Tel Aviv\n2 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 2 pertes de balle pour -4 d’évaluation en 13 minutes\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria)\nDéfaite 92-70 à Hapoel Tel Aviv\n5 points à 33,3 % aux tirs, 3 passes décisives et 1 rebond pour 5 d’évaluation en 18 minutes\n\nJaylen Hoard (Hapoel Tel-Aviv)\nVictoire 92-70 contre Gran Canaria\n6 points à 75,0 % aux tirs et 6 rebonds pour 11 d’évaluation en 14 minutes\n\nBCL\n\nJerry Boutsiele (Bahcesehir)\nMatch reporté.\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoël Holon)\nMatch reporté.\n\n\n\n\n\n\n\n\nCHAMPIONNATS ETRANGERS\n\nESPAGNE\n\nFabien Causeur (Real Madrid)\nVictoire 80-88 à UCAM Murcia\n3 points à 25,0 % aux tirs, 2 rebonds, 1 passe décisive 1 perte de balle pour 2 d'évaluation en 16 minutes\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid)\nVictoire 80-88 à UCAM Murcia\n11 points à 57,1 % aux tirs, 5 rebonds et 1 perte de balles pour 11 d'évaluation en 25 minutes\n\nVincent Poirier (Real Madrid)\nVictoire 80-88 à UCAM Murcia\n2 points à 0,0 % aux tirs, 3 rebonds, 1 perte de balle et 2 contres pour 4 d'évaluation en 11 minutes\n\nPetr Cornelie (Real Madrid)\nVictoire 80-88 à UCAM Murcia\n1 rebond pour 1 d’évaluation en 8 minutes\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria)\nDéfaite 82-76 à Valence\n13 points à 66,7 % aux tirs, 1 passe décisive, 2 rebonds, 1 interception et 1 perte de balle pour 11 d’évaluation en 21 minutes\n\nDamien Inglis (Gran Canaria)\nDéfaite 82-76 à Valence\n10 points à 62,5 % aux tirs, 6 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception et 2 pertes de balles pour 14 d’évaluation en 20 minutes\n\nLeo Westermann (Obradoiro)\nDéfaite 93-76 à Gérone\n3 points à 25,0 % aux tirs, 3 passes décisives, 2 rebonds et 4 pertes de balle pour 0 d'évaluation en 19 minutes\n\n\n\n\n\n\n\nTURQUIE\n\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes)\nMatch reporté.\n\nAmath M'Baye (Anadolu Efes)\nMatch reporté.\n\nAxel Bouteille (Turk Telekom)\nMatch reporté.\n\nJerry Boutsiele (Bahcesehir)\nMatch reporté.\n\nITALIE\n\nMouhammadou Jaiteh (Virtus Bologne)\nVictoire 63-74 à Reggio Emilia\n13 points à 60,0 % aux tirs, 11 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balle pour 18 d'évaluation en 22 minutes\n\nIsaïa Cordinier (Virtus Bologne)\nBlessé.\n\nDavid Michineau (Naples)\nDéfaite 85-82 à Trévise\n5 points à 11,1 % aux tirs, 4 rebonds et 3 passes décisives pour 4 d’évaluation en 34 minutes\n\nTimothé Luwawu-Cabarrot (Milan)\nVictoire 75-87 à Varèse\n16 points à 54,5 % aux tirs, 4 rebonds, 2 passes décisives et 4 pertes de balle pour 13 d'évaluation en 27 minutes\n\nHugo Invernizzi (Trévise)\nVictoire 85-82 contre Naples\n1 point et 3 rebonds pour 2 d'évaluation en 20 minutes\n\nGRECE\n\nMoustapha Fall (Olympiakos)\nVictoire 100-68 contre Ionikos\n6 points à 100,0 % aux tirs, 3 rebonds, 1 perte de balle et 1 contre pour 8 d'évaluation en 10 minutes\n\nSylvain Francisco (Peristeri)\nDéfaite 86-80 contre Karditsas\n13 points à 71,4 % aux tirs, 7 passes décisives, 2 rebonds et 3 pertes de balles pour 17 d'évaluation en 30 minutes\n\nLIGUE ADRIATIQUE\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade)\nVictoire 114-84 contre Borac Mozzart\n19 points à 87,5 % aux tirs, 2 rebonds, 3 interceptions, 1 perte de balle et 1 contre pour 22 d'évaluation en 19 minutes\n\nMalcolm Cazalon (Mega Mozzart)\nVictoire 83-103 au SC Derby\n16 points à 63,6 % aux tirs, 2 passes décisives, 3 interceptions et 2 pertes de balle pour 15 d'évaluation en 30 minutes\n\nAlpha Kaba (Buducnost Podgorica)\nVictoire 91-58 contre Igokea\n9 points à 42,9 % aux tirs et 14 rebonds en 20 minutes\n\nRUSSIE\n\nThomas Heurtel (Zenit Saint-Petersburg)\nN'a pas joué.\n\nAdrien Moerman (Zenit Saint-Petersburg)\nN'a pas joué.\n\nLouis Labeyrie (UNICS Kazan)\nN'a pas joué.\n\nLivio Jean-Charles (CSKA Moscou)\nVictoire 98-66 contre Lokomotiv\n14 points à 71,4 % aux tirs, 9 rebonds et 3 passes décisives pour 26 d'évaluation en 17 minutes\n\n\n\n\n\n\n\nISRAEL\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoël Holon)\nN'a pas joué.\n\nJaylen Hoard (Hapoël Tel Aviv)\nN'a pas joué.\n\nTidjan Keita (Hapoël Beer Sheva)\nN'a pas joué.\n\nLITUANIE\n\nDaryl Doualla (Nevezis)\nVictoire 91-83 contre Jonavos CBet\n14 points à 85,7 % aux tirs, 1 passe décisive et 1 perte de balle pour 13 d'évaluation en 15 minutes\n\nBNXT LEAGUE\n\nAlexandre Gavrilovic (Mons-Hainaut)\nDéfaite 114-110 contre Bruxelles\n20 points à 66,7 % aux tirs, 7 rebonds, 2 pertes de balle et 1 contre pour 23 d'évaluation en 26 minutes\n\nPOLOGNE\n\nAaron Cel (Torun)\nDéfaite 74-66 à Lancut\n9 points à 60,0 % aux tirs, 3 rebonds, 1 passe décisive et 1 perte de balles pour 10 d'évaluation en 25 minutes\n\nNBL\n\nRayan Rupert (New Zealand Breakers)\nVictoire 88-68 contre JackJumpers\n10 points, 5 rebonds et 2 passes décisives en 23 minutes\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Mam Jaiteh (Euroleague)
Parle moi en détail de :
Neal Sako (Cholet) : \Je pense que je suis plus fort qu'avant ma blessure\
De retour après avoir soigné une entorse à la cheville, le Choletais Neal Sacko (2,10 m, 24 ans) est revenu en piste samedi soir à Strasbourg, mettant ainsi fin à la pige médicale de Darel Poirier.\n\nDans la victoire de Cholet Basket, il a eu le temps d'apporter 4 points et 4 rebonds en 9 minutes.\n\n\Au départ, il y a toujours un petit peu d'appréhension car j'ai repris l'opposition il y a une semaine seulement. On peut toujours se blesser, il y a des choses que l'on peut contrôler, d'autres pas. Mais je n'avais pas envie de me prendre la tête par rapport à ça. Une fois sur le terrain, on n'a plus le temps d'y penser et j'ai essayé de lâcher les chevaux. Physiquement, j'ai eu de bonnes sensations\, a t-il confié à Ouest France.\n\nPour l'ancien pivot de Boulogne-Levallois et Châlons-Reims, cette interruption peut s'avérer bénéfique.\n\n\J'ai encore besoin de retrouver du rythme en match, mais c'est vrai que cela m'a permis de bien travailler différentes choses. Je me sens mieux et je pense que je suis plus fort qu'avant ma blessure. Pour mon premier match, j'étais focalisé sur des choses simples. Mettre de l'énergie, prendre des rebonds, faire des écrans et courir. Toutes ces choses qui font la base de mon jeu.\\n\nPhoto : FIBA
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Joseph Gomis fier de son fils Marcus, le meneur du Mans
L'ancien international Joseph Gomis, aujourd'hui dans le staff de l'ASVEL, est fier de son fils Marcus (1,84 m, 22 ans), qui évolue au Mans. C'est ce qu'il a déclaré à Ouest France.\n\nMarcus Gomis a été formé à l'ASVEL avant de passer deux ans en Pro B à Rouen. Il est arrivé au MSB l'été dernier et il a droit à un peu moins de 13 minutes par match pour 3,9 points et 1,2 passe.\n\n\Je suis fier de son parcours, dit le père. Ce n'est pas facile de vivre de sa passion, d'être professionnel, il a un pied dedans. Maintenant, c'est à lui de continuer à travailler dur pour être en confiance et suffisamment pour aider son équipe à gagner (...) Bien sûr, je regarde tous les matchs de Marcus, je suis en contact avec lui très régulièrement, chaque semaine. J'essaie un peu de l'aider. J'ai eu la chance de jouer, je connais le milieu. Je connais Terry (Tarpey) aussi, avec qui j'ai été cet été en équipe nationale. Je connais Elric (Delord) que j'ai côtoyé un an à l'Asvel. Je trouve que le MSB est vraiment une très belle équipe, ils ont bien été intégrés.\\n\n\n\nJoseph Gomis a évidemment un oeil de spécialiste quand il est appelé à analyser les axes de progression de son fils :\n\n\Déjà, qu'il continue à défendre fort. Qu'il continue à progresser dans la subtilité du jeu, pas juste défendre tout terrain mais comprendre, lire le joueur adverse, savoir ce qu'il fait exactement, être bon dans la défense collective, faire les bonnes rotations, faire les bonnes fautes. Après offensivement, savoir à quel moment jouer pour soi et jouer pour l'équipe, avoir un peu plus la balle en main et jouer un peu comme un meneur de jeu.\\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Féminines : Rachid Méziane, coach de la Belgique : \Pas à l'Euro pour y faire de la figuration\
Avec Jean-Aimé Toupane avec les Bleues, Rachid Méziane, à la tête de l'équipe de Belgique, sera le deuxième coach français présent à l'EuroBasket féminin en juin.\n\nLes Belgians Cats ont largement remporté leurs deux derniers matches de qualifications. En Allemagne (44-69) et en Macédoine du Nord (43-102) après avoir mené 0-23. Pour ce dernier match, Emma Meesseman a été une fois de plus irrésistible avec 17 points, 14 rebonds, 2 passes et 2 contres.\n\nLa Belgique peut aussi compter sur son contingent de joueuses de la ligue féminine (Kyara Linskens et Julie Vanloo de Lattes-Montpellier) et Hind Ben Abdelkader (Villeneuve d'Ascq) en attendant le retour de blessure de Julie Allemand (Lyon). Le tout coaché par Rachid Méziane.\n\n\ Bien sûr. L’ambition de cette équipe nationale est de participer tous les deux ans au Championnat d’Europe et pas que pour y faire de la figuration, a t-il commenté à la RTBF. Cette équipe nationale a les moyens de réaliser des belles performances à l’Euro. On l’a déjà démontré tout au long de cette campagne où, hormis lors du déplacement en Bosnie, nous avons remporté tous nos matches. Maintenant, le niveau sera nettement plus élevé à l’Euro mais je suis confiant. Je dispose d’un groupe exceptionnel qui a envie d’aller le plus loin possible \.\n\nA la question de savoir si les Cats ont déjà les JO de Paris 2024 en ligne de mire, le coach français répond :\n\n\ Ecoutez, on veut d’abord briller dans ce championnat d’Europe 2023. L’objectif sera de décrocher une médaille mais il ne faut pas perdre de vue que pour aller aux Jeux, il faudra passer par un TQO, un tournoi de qualification olympique. Cela signifie que nous devrons nous classer parmi les cinq ou six premiers de cet Euro. Nous en sommes bien conscients et on fera tout pour décrocher un ticket pour ce tournoi pré-olympique. Après une première expérience des Jeux à Tokyo, les joueuses rêvent des JO de Paris en 2024 mais pour cela, il faudra d’abord performer à l’Euro \.\n\nPhoto : FIBA
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Vidéo : L'aventure de Mohamed Diawara à l'Adidas Next Generation Tournament
Le joueur du Paris Basketball Mohamed Diawara (2,04 m, 17 ans) a participé, fin janvier, à Adidas Next Generation Tournament. Immersion dans son tournoi, sous la caméra de Nolan Fraval.\n\nLe vidéaste Nolan Fraval a suivi Mohamed Diawara lors de l'Adidas Next Generation Tournament de Munich du 20 au 22 janvier 2023. Avec l'équipe des U18 Next Generation Team Munich, l'ailier parisien a remporté la troisième place du tournoi avec un dernier en double-double (14 points et 10 rebonds) contre les U18 de l'ALBA Berlin.\n\nAux côtés d'Illan Piétrus (1,92 m, 17 ans), le joueur du Paris Basketball s'est illustré avec une moyenne de 11,2 points, 8,2 rebonds et 2,5 passes décisives de moyenne en cinq matches disputés.\n\nPour rappel, l'Adidas Next Generation Tournament est considéré comme l'Euroleague U18. Cette année, c'était sa 20e édition, qui réunit 32 équipes à travers quatre tournois. Ce week-end, l'ASVEL U18 s'est hissé en finale de l'ANGT de Patras mais a malheureusement perdu contre la Joventud Badalone.\n\nPhoto : Mohamed Diawara (Thomas Savoja)
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Royaume Uni : Ovie Soko en retrait des London Lions
Les London Lions annoncent que le capitaine de l'équipe Ovie Soko (2,01 m, 32 ans) va quitter le club afin de se remettre d'une blessure.\n\nOvie Soko était en-dessous de ses standards cette saison avec une moyenne de 11,4 points et 6,1 rebonds en Eurocup. Il s'est fait connaître en France avec ses passages à Boulazac et surtout au Mans où il s'était avéré l'un des meilleurs joueurs du championnat de la saison 2020-21, mais il avait dû l'interrompre en raison d'une blessure. Il a également fait des apparitions remarquées avec l'équipe de Grande-Bretagne.\n\nOvie Soko est par ailleurs consultant pour les matches NBA sur la BBC et il avait commenté son activité avec le match Chicago Bulls-Detroit Pistons, qui s'est tenu à Paris. Il s'était fait connaître au préalable lors d'une célèbre émission de télé-réalité britannique et, depuis, il est suivi par plus de deux millions de personnes sur les réseaux sociaux.\n\nhttps://www.basketeurope.com/livenews-fr/527106/en-direct-avec-ovie-soko-le-mans-le-n0-car-chaque-match-est-un-nouveau-depart/
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Frank Gaines, un renfort pour Fos/Mer
Le combo guard américain Frank Gaines (1,91 m, 32 ans) vient d'être signé par les BYers de Fos/Mer.\n\nFrank Gaines possède un long CV puisqu'il a joué en G-League, Italie, Allemagne, VTB League, Israël, Porto-Rico et Portugal. On peut notamment signaler sa présence à la Virtus Bologne en 2019-20. Il sort de 26 matches avec Trieste à 12,8 points (27,2% à trois-points) et 2,7 rebonds.\n\nFos ferme actuellement la marche de la Betclic Elite avec 6 victoires et 15 défaites.
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Vidéo : Les highlights de Chalon-La Rochelle
L'Elan Chalon occupe pour l'instant la tête de la Pro B. Ce week-end, il s'est défait de La Rochelle (67-62). Un résumé du match avec la caméra du club.\n\nPhoto : Antoine Eito (Elan Chalon)
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La liste des 11 joueurs pour la saison 2023-24 au Pôle France
Les entraîneurs du Pôle France ont dévoilé ce lundi la liste des 11 joueurs retenus pour la saison 2023-2024.\n\nNOMPrénomNaissancePosteTailleClubPôleMAHOPMatthis09/05/20081190Nanterre 92-CHAOUADMehdi15/01/20083-4199.5SPO RouenHaute NormandieGABRIEL DES BORDESNatéo27/01/20082191SMUC MarseilleProvenceVADOKény22/04/20085197Baie-MahaultGuadeloupeLE CARRERQuentin12/02/20082194CTC OrléansCentreMASDIEU-REYNAERTYaël07/03/20081185Limoges CSPLimousinSCHUKINSaveliy31/01/20085195MontpellierLanguedocPIERROTYanis12/05/20091177Les AbymesGuadeloupeELOUMAAchille-Junior26/01/20083190Touraine BCCentreDEFOUNDOUXSacha26/12/20083-4195CTC OrléansCentrePRELYPierre-Louis17/07/20085198STB Le HavreHaute Normandie\n\nConcernant le pôle féminin, la liste des nouvelles entrantes pour la saison prochaine sera dévoilée dans le courant du mois de mars, à l'issue des tests d'entrée qui se dérouleront dans les structures du Pôle France début mars.
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Pro B : Vers un record d'affluences, Boulazac N°1
Comme pour la Betclic Élite, la Pro B présente des chiffres records quant aux affluences à l’issue de la phase aller. Le trio de tête est constitué de Boulazac, Saint-Chamond et Chalon.\n\n306 000 spectateurs se sont rendus dans les salles de Pro B lors des 17 premières journées de la saison régulière. Cette fréquentation des salles pourrait ainsi permettre de faire tomber le record de spectateurs cumulés à l’issue de la saison régulière, qui est de 629 000 spectateurs lors de la saison 2015-2016. L’affluence moyenne dans les salles de PRO B s’élève à 2 016 spectateurs par match à la mi-saison, chiffre en avance par rapport à la moyenne record précédemment constatée à cette même période. Ainsi, l’affluence moyenne record de 2 054 spectateurs (toujours en 2015-2016) pourrait être battue.\n\nCes très bonnes affluences dans les salles permettent d’établir un nouveau record du taux de remplissage à mi-saison en Pro B : 71%. Pour rappel, le taux de remplissage le plus élevé sur la division à l’issue de la saison régulière est de 70%. Il pourrait donc être également dépassé cette saison.\n\nLes journées de Noël (J10, J11, J12 et J13) ont également connu un franc succès avec une affluence moyenne de 2 223 spectateurs par match, devenant ainsi l’affluence moyenne record en 11 éditions, et près d’une rencontre sur quatre disputée à guichets fermés.\n\nCe sont évidemment la capacité de leurs salles qui permettent à Boulazac (le Palio avec 5 200 places), Saint-Chamond (Arena avec 4 200 places) et Chalon (le Colisée avec 4 900 places) d'avoir les plus fortes affluences. A l'opposé, Saint-Vallier et l'ASA sont situés en-dessous du millier de spectateurs.\n\nLe record de spectateurs pour une rencontre de Pro B au cours d’une saison régulière s’élève à 6 016 spectateurs lors d’un Limoges-Boulazac le 12 février 2012. Ce record sera-t-il battu au printemps lors de la rencontre à domicile d’Orléans Loiret Basket délocalisée à la CO’Met ?\n\nLes données tiennent compte des rencontres délocalisées et par conséquent d’un calcul du taux de remplissage réalisé sur des capacités moyennes.\n\nPhoto : Palio à Boulazac (BBD)
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Salaires Pro B 2022-23 – Les Tops/Flops:Gaëtan Meyniel et Gavin Kensmil, super-pioches
Verser un bon salaire à un joueur n’implique pas forcément que ses performances soient à la hauteur de ses émoluments. À l’inverse, certains joueurs « cadeau » font plus que rentabiliser l’investissement consenti par le club. Voici donc les principaux « Tops » et « Flops », JFL et étrangers, de la Pro B 2022-23.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N'hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nLe recrutement, surtout de joueurs étrangers, est souvent un pari. Donner telle somme à tel joueur va-t-il se révéler rentable ? Ou, au contraire, le joueur va-t-il être un « flop » ? Il n’est pas toujours aisé de ranger ces basketteurs dans l’une (les « tops ») ou l’autre (les « flops ») de ces catégories. Cela étant, l’évaluation, cette statistique qui additionne les actions positives d’un joueur (points marqués, rebonds, passes, etc.) et en soustrait les négatives (balles perdues, tirs ratés...), est un bon indicateur de la production, au moins offensive (peu d’actions défensives – hors contres, interceptions et rebonds défensifs – sont pris en compte dans l’évaluation) d’un joueur. Mais cela ne suffit pas à établir sa « rentabilité » - autrement dit de savoir si son activité sur le parquet est a minima conforme avec le salaire qui lui est versé.\n\nC’est pour cela que, même si ce calcul a ses limites (il n’est pas question de +/-, ou évolution du score pendant que le joueur est sur le parquet, ni même de bilan victoires-défaites), nous nous sommes basés sur cette évaluation pour comparer la rentabilité de tous les joueurs de Pro B (statistiques relevées après la 19e journée). Pour mettre tout ce petit monde, payé dans un rapport proche de 1 à 10 selon les joueurs, nous avons retenu une formule de calcul permettant de déterminer l’évaluation d’un basketteur pour 100 000 euros : nous avons donc simplement divisé son évaluation par son salaire annuel et multiplié le résultat par 100 000. Plus le résultat de ce calcul est élevé, plus le joueur se montre rentable.\n\n\n\n\nGaëtan Meyniel et Léopold Delaunay au top de la rentabilité\n\nEn ce qui concerne les meilleures affaires au niveau des joueurs JFL, la palme revient sans conteste à Gaëtan Meyniel, le jeune (22 ans) meneur de Lille. Alors qu’il perçoit un salaire de joueur débutant, il s’est installé comme titulaire d’une équipe 5e actuellement du championnat, reléguant Vincent Golson, le meneur américain de Lille, sur le banc. Et avec 9,3 d’évaluation, le joueur formé à Roanne prouve qu’il a déjà le niveau.\n\nTout comme Léopold Delaunay, prêté par Cholet à Vichy-Clermont et qui, du haut de ses 21 ans, est la deuxième évaluation de son équipe, grâce notamment à une adresse chirurgicale (65,8 % à deux-points, 38,7 % à trois-points).\n\nPlus généralement, on peut remarquer que la plupart des membres de ce « Top 10 JFL des meilleures affaires » recense pas mal de jeunes joueurs, comme Shawn Tanner, Ilias Kamardine ou Kevin Marsillon-Noleo. Mais il faut aussi souligner la présence de joueurs un peu plus expérimentés – et au salaire plus élevé – qui se retrouvent dans cette liste par leurs superbes performances : Bastien Vautier (meilleure évaluation de Pro B), Digué Diawara ou Mathis Dossou-Yovo.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 22/23EquipeEvaluationRentabilitéGaëtan MeynielFRA18 000 €Lille9,351,7Léopold DelaunayFRA30 000 €Vichy-Clermont13,745,7Carl PonsarFRA25 000 €Lille10,642,4Shawn TannerFRA20 000 €Angers8,040,0Bastien VautierFRA55 000 €Lille21,839,6Ilias KamardineFRA25 000 €Evreux9,839,2Digué DiawaraFRA50 000 €Quimper18,637,2Kevin Marsillon-NoleoFRA14 000 €Denain5,237,1Badr MoujibFRA20 000 €Saint-Chamond7,437,0Mathis Dossou-YovoFRA50 000 €Saint-Quentin18,336,6\n\n\n\n\n\n\nGavin Kensmil et Jazzmarr Ferguson, les bons coups du recrutement JNFL\n\nDu côté des joueurs étrangers, on remarque que ce sont principalement les équipes les moins fortunées qui figurent dans cette hiérarchie des « meilleures affaires ». Une forme de logique, ces clubs devant faire des paris pour ne pas dépasser leurs petites enveloppes. Et croiser les doigts en espérant avoir trouvé la perle rare.\n\nC’est ce qu’a réussi Aix-Maurienne avec David Nichols et, surtout, Gavin Kensmil, un pivot rookie signé à tout petit tarif et tournant régulièrement aux alentours des 20 points-10 rebonds. Gros bémol : le club savoyard est bon dernier de Pro B...\n\nPour à peine plus cher que Kensmil, Saint-Vallier a recruté Jazzmarr Ferguson, un combo guard qui figure parmi les plus productifs de Pro B. Quant au shooteur fou Tray Boyd, s’il est payé un peu plus cher, il apporte lui aussi un gros volume statistique. En outre, son équipe gagne ! On notera par ailleurs que six joueurs de ce Top 10 sont des meneurs ou arrières, alors que l’évaluation privilégie généralement les intérieurs. L’Espagnol Marcos Suka-Umu montre aussi que, même avec un bon salaire, on peut faire figure de bonne affaire.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 22/23EquipeEvaluationRentabilitéGavin KensmilSUR38 000 €Aix-Maurienne18,849,5Jazzmarr FergusonUSA40 000 €Saint-Vallier17,844,5Ivan VranesCRO47 000 €Quimper17,537,2Tray Boyd IIIUSA48 000 €Vichy-Clermont17,837,1Akaemji WilliamsUSA40 000 €Angers14,436,0Shekinah MunangaRDC36 000 €Evreux11,933,1Christian LuteteUSA/RDC45 000 €Evreux14,331,8Marcos Suka-UmuESP50 000 €Lille15,531,0JaCori PayneUSA45 000 €Nantes13,429,8David NicholsUSA45 000 €Aix-Maurienne13,028,9\n\n\n\n\n\n\nDébut de saison difficile pour Kevin Harley\n\nDéterminer les « mauvaises affaires » est un exercice délicat, notamment parce qu’il est impossible pour certains joueurs très bien payés d’être « rentables ». Exemple-type, un Mickaël Gelabale, qui perçoit 100 000 euros par an, devrait produire près de 40 d’évaluation moyenne pour figurer dans le Top 10, alors que ses 10,0 de moyenne l’installeraient dans le « Flop 10 ». Pourtant, l’ancien international n’est évidemment pas une mauvaise affaire – il joue bien et son équipe est en tête de la division. C’est pour cela que les dix listés ci-dessous ne sont pas forcément les dix JFL les plus mal classés sur notre base de calcul, mais ceux dont on pourrait penser qu’ils apporteraient plus, quel que soit leur salaire.\n\nGlobalement, ce « Flop 10 » est constitué de deux groupes de joueurs : certains touchant des salaires modestes, en-dessous de 45 000 euros, et produisant peu, souvent parce qu’il s’agit de joueurs de complément ; l’autre partie englobe des joueurs mieux payés, jusqu’à 78 000 euros, mais au rendement décevant. Ce qui est le cas d’un Lamine Sambé, d’un Jean-Michel Mipoka ou, plus encore, d’un Kevin Harley en retrait du fait de la forte concurrence sur son poste à Chalon.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 22/23EquipeEvaluationRentabilitéKevin HarleyFRA78 000 €Chalon4,65,9Sullivan HernandezFRA45 000 €Antibes2,86,2Soriah BanguraFRA38 000 €Denain3,07,9Corentin CarneFRA35 000 €Aix-Maurienne3,08,6Lamine SambéSEN/FRA55 000 €Champagne4,98,9Jean-Michel MipokaFRA55 000 €Orléans5,29,5Assane NdoyeFRA70 000 €Nantes6,99,9Jean-François KébéFRA/CIV35 000 €Nantes3,510,0Alexis TangheFRA50 000 €La Rochelle5,210,4Malela MutualeFRA60 000 €Orléans6,310,5Jérémy NzeulieFRA/CAM55 000 €Saint-Quentin5,810,5\n\n\n\n\n\n\nDes recrutements NJFL pas complètement rentables\n\nLa remarque sur la difficulté à définir une mauvaise affaire vaut autant pour les joueurs étrangers que pour les JFL. Et même peut-être plus, les NJFL étant souvent mieux payés que leurs homologues nationaux.\n\nCela étant, un meneur américain comme Tayler Persons, prévu comme titulaire de l’armada chalonnaise, n’apporte pas autant que prévu, surtout au vu de son salaire, même s’il a l’excuse d’avoir été blessé. De son côté, Djoko Salic, payé 18 000 euros sur 6 mois (et donc projeté à 36 000 euros sur 12 mois pour calculer sa rentabilité) montre que nombre de joueurs issus d’Europe de l’Est on du mal à s’adapter au jeu pratiqué en Pro B.\n\nPlus généralement, il s’avère que la moitié des joueurs de ce « Flop 10 » évoluent dans de grosses équipes où ils sont souvent en concurrence avec d’autres forts joueurs. L’autre moitié joue pour des équipes moins fortunées et, sans bénéficier de salaires exorbitants, apportent moins que ce que l’on attendait d’eux. Il est du reste à noter que, hormis Salic, il s’agit de joueurs déjà connus en Pro B et se montrant moins performants que ce que l’on pouvait en attendre au vu de leurs productions passées.\n\nPour le reste, à l’instar d’un Gelabale chez les joueurs français, nous avons retiré de cette hiérarchie des « mauvaises affaires » un certain nombre de NJFL très bien payés pour la division (80 000 euros et plus), qui évoluent dans des équipes à l’effectif dense et qui, même en jouant bien, seraient dans le « Flop 10 » du fait de leurs émoluments. Tim Derksen (Antibes) affiche ainsi une rentabilité de 13,7 du fait de ses 95 000 euros, mais il assure tout de même 13,0 d’évaluation dans une équipe de haut de tableau.\n\n\n\nModifierJoueursNatSalaire 22/23EquipeEvaluationRentabilitéTayler PersonsUSA88 000 €Chalon6,77,6Djoko SalicSRB/BOS36 000 €* (18 000 € sur 6 mois)La Rochelle3,28,9Roger Moute a BidiasCAM44 000 €Antibes5,512,5Ilari SeppalaFIN50 000 €Saint-Chamond6,713,4Guillaume Payen-BoucardCAN50 000 €Saint-Chamond6,913,8Travis MunningsBAH/USA70 000 €Boulazac10,515,0Luka LapornikSLO55 000 €Chalon8,415,3Martin JunakovicCRO65 000 €Boulazac11,117,1Ruphin KayembeFRA/CNG50 000 €La Rochelle8,617,2Zimmy NwogboUSA/NIG60 000 €ASA Basket10,517,5\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou - 10 %.\n\nPhoto : Gavin Kensmil – Aix-Maurienne (© SCBVDG) / Gaëtan Meyniel – Lille (© LMB) / Léopold Delaunay – Vichy-Clermont (© JAV – A. Chenevière) (montage Basket Europe)
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8e de finale de Coupe de France : 6 matches cette semaine
Deuxième journée des 8e de finale de la Coupe de France avec Antibes-Dijon. Cinq autres matches sont programmés mercredi.\n\nMardi 14 février - 20h00\nAntibes (Pro B) - Dijon (Betclic Elite) - En live sur Youtube\n\nMercredi 15 février - 19h00\nMonaco (Betclic Elite) - Boulogne-Levallois (Betclic Elite) - En direct et en exclusivité sur MCS Basket (profitez de l'offre BasketEurope + MCSBasket pour un abonnement annuel à 49€)\nPau-Lacq-Orthez (Betclic Elite) - Le Portel (Betclic Elite) - En live sur Youtube\n\nMercredi 15 février - 20h00\nStrasbourg (Betclic Elite) - Boulazac (Pro B) - En live sur Youtube\nLimoges (Betclic Elite) - Bourg-en-Bresse (Betclic Elite) - En live sur Youtube\nLyon-Villeurbanne (Betclic Elite) - Roanne (Betclic Elite) - En live sur Youtube\n\nMardi 28 février - 20h30\nSaint Chamond (Pro B) - Cholet (Betclic Elite) - En live sur Youtube\n\nDéjà joué\nNancy (Betclic Elite) - Le Mans (Betclic Elite) : 78-86\n\nPhoto : Abdoulaye Loum (Dijon, Tuan Nguyen)
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Tony Parker va t-il vendre ses parts de l'ASVEL ?
Le président et actionnaire majoritaire, Tony Parker, serait amener à vendre ses parts de l'ASVEL, indique L'Equipe.\n\nTony Parker céderait ses parts à Serge Bueno, président de Smart Good Things, une société dont il est associé, qui est spécialisée dans la fabrication de boissons instantanées, et qui est elle-même entrée dans l'organigramme du club de Villeurbanne l'été dernier. L'ancien international pourrait conserver un rôle exécutif avance L'Equipe, qui évoque des rapports tendus entre l'ASVEL et l'Olympique Lyonnais depuis l'arrivée de l'Américain John Textor comme nouvel actionnaire majoritaire du club de foot.\n\nTony Parker est président et actionnaire majoritaire de l'ASVEL depuis 2014 et de Lyon-ASVEL depuis 2017.\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Infinity Nine Media
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Nationale 2 : Un joueur de la JALT Le Mans victime à son tour d'une insulte raciste
La mésaventure de Loïc Akono survenue lors d'un match de Nationale 2, Charleville-Mézière vs. Metz, n'est pas un cas isolé. Un homme a prononcé une insulte raciste à un joueur du club de Nationale 2 de la JALT Le Mans, Ryan Anibie, après un match perdu face à Poissy, samedi soir.\n\n« La tension est montée, d’autant que tous les joueurs étaient encore là. Nous avons dû intervenir pour protéger la personne qui avait proféré l’insulte, car il fallait des médiateurs », déclare un dirigeant du club au Maine Libre.\n\nRyan Anibie (1,98 m, 24 ans), un ancien espoir de Monaco, a porté plainte et les dirigeants de la JALT vont se réunir ce mercredi afin de prendre une décision à l'égard de la personne qui a insulté le joueur, qui est un ancien licencié du club, et qui vient toujours aux matches.\n\n\Selon nos informations, le mis en cause aurait présenté des excuses, mais la tension n’était pas assez retombée pour qu’elles soient entendues,\ écrit le quotidien manceau.\n\n\n\nPhoto : JALT
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Kyle Hines (Milan) : \La Coupe d'Italie est une étape fondamentale pour le club\
De ce mercredi et jusqu'à dimanche se tient la Coupe d'Italie, bâtie sur le même modèle que la Leaders Cup. Un trophée que l'Américain de Milan Kyle Hines (1,98 m, 36 ans) veut accrocher à son palmarès.\n\n\J'ai commencé ma carrière professionnelle en Italie et depuis la A2 j'ai regardé les grosses équipes s'affronter au Finale 8, a t-il déclaré à La Repubblica. Chaque victoire compte pour moi et augmente l'ambition de gagner à nouveau. Nous, joueurs, savons que c'est une étape fondamentale pour le club et son importance est encore plus grande cette année, compte tenu des difficultés que nous avons connues (NDLR : en Euroleague). Nous sommes tous très excités, pour ce que la coupe représente pour nous et dans l'histoire du basket italien. Nous avons remporté les deux dernières éditions, nous voulons défendre et soulever à nouveau le trophée, qui est l'un de nos objectifs pour la saison, et rehausser la gloire d'Olimpia ».\n\nKyle Hines a connu une riche carrière, jouant pour Olympiakos et longtemps pour le CSKA Moscou, et il sait qu'à son âge, la ligne d'arrivée est proche :\n\n« Je sais que j'arrive à la fin mais je vis dans le présent. En tant qu'ancien joueur, je ne tiens plus rien pour acquis comme lorsque j'étais jeune, mais j'essaie d'apprécier et de profiter de chaque instant, de partager chaque jour avec mes coéquipiers et le staff, d'apprécier chaque séance d'entraînement, de profiter de chaque match et de chaque arena, en essayant de donner le meilleur de moi-même parce que personne ne sait si ce sera la dernière chance. J'aimerais continuer à jouer au plus haut niveau aussi longtemps que possible et aider Armani à concourir pour gagner à chaque compétition. A la fin de la saison, je parlerai au club et à ma famille et nous prendrons la bonne décision.\\n\n\nLe calendrier du Final Eight\n\nMercredi 15 février :\n\n * 18h00 : EA7 Emporio Armani Milan – Germani Brescia\n * 20h45: Jambon Carpegna Pesaro – Openjobmetis Varese\n\nJeudi 16 février :\n\n * 18h00 : Virtus Segafredo Bologne – Umana Reyer Venise\n * 20h45 : Bertram Yachts Derthona Tortona – Dolomiti Energia Trentino Eleven Sports\n\nDEMI-FINALES\n\nsamedi 18 février\n\n * 18.00: Vincente Bologne - Venise / Vincente Tortona - Trente\n * 20h45 : Vincente Milan - Brescia / Vincente Pesaro - Varèse\n\nFINALE\n\ndimanche 19 février 2023\n\n * 18h00\n\nLes demi-finales et la finale sont à suivre sur MCS Basket (profitez de l’offre BasketEurope + MCSBasket pour un abonnement annuel à 49€).\n\nPhoto : Lega Basket
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DJ Stephens avoue avoir eu \un peu peur\ en dunkant par-dessus Frédéric Weis
Double vainqueur du concours de dunks du All-Star Game de la LNB, l'ancien Manceau DJ Stephens a révélé avoir eu de l'appréhension lorsqu'il est passé par-dessus les 2,18 m de Frédéric Weis en 2017.\n\nCe dunk était le remake de celui de Vince Carter lors des Jeux Olympiques de Sydney en 2000 lorsqu'il avait survolé ce même Fred Weis lors de France-Etats-Unis.\n\n\C'était un peu aléatoire, cependant. Parce que je n'aime pas sauter par-dessus les gens ou les choses pour les concours de dunk parce que ça me fait un peu peur\, a-t-il révélé à BasketNews . \A moins que ce ne soit dans le jeu, alors là ça se fait juste sur l'instant. On n'a pas beaucoup de temps pour y penser.\\n\nDJ Stephens, qui joue cette saison pour l'équipe ukrainienne de Prometey dans la ligue qui comprend des équipes de Lettonie et d'Estonie donne par ailleurs son avis d'expert sur sur la baisse de qualité du concours de dunks du All-Star Game NBA.\n\n\C'est juste difficile parce que c'est un événement qui dure depuis si longtemps. Et tant de gens ont fait tellement de dunks différents, il est donc difficile de continuer à réinventer de nouveaux dunks ou à sortir des choses que les gens n'ont jamais vues auparavant. Et les joueurs de la NBA, qui font des matches, s'entraînent et font tout ça tout le temps, n'ont pas beaucoup de temps pour se préparer à un concours de dunk. Il n'est donc pas toujours facile de proposer de nouveaux contenus, de proposer du nouveau matériel et être capable de donner un excellent spectacle.\
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Serbie : Des joueurs d'Euroleague retenus pour la prochaine fenêtre
Bien que les calendriers de l'Euroleague et de la fenêtre FIBA de février se chevauchent, le coach Svetislav Pesic a sélectionné des joueurs de l'Etoile Rouge et du Partizan et aussi d'autres clubs d'Euroleague comme Vasilije Micic d'Efes dans sa liste des 24.\n\nIl est très incertain que tous les joueurs d'Euroleague soient libérés par leurs clubs respectifs.\n\nAprès les victoires contre la Grande-Bretagne et la Turquie en novembre, les Serbes doivent jouer contre la Grèce à Athènes le vendredi 24 février, puis le lundi 27 février contre la Grande-Bretagne dans la salle Aleksandar Nikolić de Belgrade. Ils occupent la 2e place du Groupe I (5 victoires et 3 défaites) mais ne sont pas encore qualifiés mathématiquement pour la Coupe du Monde.\n\nLes pré-sélectionnés :\n\nDanilo Andušić, Aleksa Avramović, Dušan Beslać, Nemanja Dangubić, Dejan Davidovac, Ognjen Dobrić, Marko Gudurić, Nikola Đurišić, Marko Jagodić Kuridža, Ognjen Jaramaz, Marko Jeremic, Stefan Jović, Vasilije Micić, Dušan Miletic, Luka Mitrović, Nikola Netrović, Nikola Miltrović Nedović, Marko Pecarski, Filip Petrushev, Aleksa Radanov, Dušan Ristić, Boriša Simanić, Uroš Trifunović et Aleksa Uskoković.\n\nPhoto : Vasilije Micic (FIBA)
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Match reporté, le MSB offre 350 kilos de nourriture aux Restos du Coeur
Le match Le Mans-Villeurbanne prévu dimanche a été reporté en raison d'une grève des aiguilleurs des aéroports parisiens qui a empêché les hommes de TJ Parker, bloqués à l'aéroport de Nice, de rejoindre la Sarthe en temps et en heure.\n\nLa nourriture, prévue pour les VIP du match, a fait des heureux puisque le club a choisi d'en faire don à l'antenne sarthoise des Restos du Coeur.\n\n\Ce sont plus de 350 kilos de nourriture qui ont été distribués lors de la tournée du bus des Restos du Cœur, dont par exemple 800 boîtes chaudes et 80 pots de rillettes de la Maison Prunier\ indique le club.\n\nLe match de la 21 journée a été reporté au mardi 4 avril.\n\nPhoto : MSB
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Tony Parker a été honoré par le magazine espagnol Gigantes del Basket
Le 35e gala des Gigant Awards du magazine Gigantes del Basket a permis à Tony Parker de recevoir le trophée Gigante de Leyenda pour l'ensemble de son oeuvre.\n\n\C'est un grand honneur pour moi. J'ai vu la liste et c'est un honneur d'être en si bonne compagnie. C'est très spécial. Du fait aussi que cette année je suis nominé pour le Hall of Fame, cela me rend nostalgique, me souvenant des jours avec les Spurs. C'est très agréable. Merci beaucoup,\ a t-il déclaré.\n\nEvidemment, on lui a demandé d'évoquer ses souvenirs des confrontations avec l'équipe d'Espagne.\n\n\L'Espagne était l'équipe à battre pour nous. Nous avons eu de grandes batailles. L'un de mes meilleurs matchs pour la France a été contre l'Espagne en 2013, lorsque nous les avons finalement battus en demi-finale. Ensuite, nous avons remporté notre première médaille d'or (NDLR : A l'Eurobasket). J'ai toujours plaisanté avec Pau (Gasol), avec qui nous sommes très proches, que s'il n'était pas né, j'aurais beaucoup plus de médailles d'or avec l'équipe nationale. Nous avons joué contre la meilleure équipe espagnole de tous les temps, les années dorées, ils ont remporté de nombreuses médailles, des finales olympiques... L'une des meilleures équipes européennes de l'histoire. C'était incroyable. L'Espagne m'a rendu meilleur année après année. C'était une motivation pour arriver à l'été et essayer de les battre\.\n\nTony Parker a promis de mettre son prix dans sa salle des trophées à San Antonio.\n\nPhoto : Gigantes
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Féminines : Un record de spectateurs en Suède
9 425 fans ont vu la Suède affronter la Lettonie à l'Avicii Arena de Stockholm. C'est un record pour un match des qualifications à l'EuroBasket féminin\n\nIl s'agit également de la troisième affluence la plus élevée de tous les temps à un match de l'équipe nationale suédoise à domicile - hommes ou femmes. C'était la première fois que l'équipe nationale féminine suédoise jouait dans la plus grande salle du pays, l'Avicii Arena, qui peut accueillir plus de 14 000 spectateurs pour des matches de hockey sur glace.\n\nCe record pulvérise celui détenu par un match Roumanie-Turquie à Cluj-Napoca, en février 2016, avec 6 817 spectateurs.\n\nMalgré ce soutien, les 18 points de Amanda Zahui et les 16 points de Frida Eldebrink, la Suède a laissé s'échapper le victoire notamment en raison de la formidable prestation de la Berruyère Anete Steinberga (37 points, 9 rebonds, 38 d'évaluation).\n\nPhotos: Fédération suédoise
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Euroleague : Vers un record d'affluence pour la 19e saison de suite !
Créée en 2000, l'Euroleague bat chaque saison son record de moyenne de spectateurs. La saison 2022-23 ne devrait pas déroger à la règle.\n\nLa moyenne actuelle est de 8 632 spectateurs, à comparer avec les 3 262 de 2000-01. Un vrai succès populaire.\n\nA noter que les saisons impactées par les restrictions dues au Covid, ainsi que les matches à huis-clos, ne sont pas pris en compte.\n\nSource : Darius Garuolis\n\nPhoto : Partizan Belgrade
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Betclic Elite : Un sondage des GM fait un triomphe à Victor Wembanyama
Suivant le modèle de la NBA et de l'Euroleague, la Ligue Nationale de Basket a sondé à mi-saison les General Managers de Betclic Élite pour connaître leur avis sur le championnat.\n\nL'ensemble des GM des 18 clubs ont répondu à 14 questions, faisant ainsi le bilan à mi-saison, des joueurs et des équipes les plus remarquables. Plusieurs thématiques sont abordées, de l'équipe la plus surprenante de ce début de championnat au joueur le plus décisif, en passant bien sûr par le joueur que les GM rêveraient de faire signer dans leur équipe.\n\nNous découvrons donc que Monaco est unanimement considérée comme l'équipe favorite pour le titre de champion, en juin prochain. Victor Wembanyama est quant à lui considéré comme le meilleur jeune joueur et joueur le plus spectaculaire du championnat. Il est également celui que près de la moitié des clubs aimeraient signer.\n\nL'équipe la plus surprenante ? Cholet (83,3 %).\nL'adversaire le plus difficile à affronter ? Limoges (44,4 %).\nL'équipe la plus divertissante ? Boulogne-Levallois (44,4 %).\nLe favori pour le titre ? Monaco (100 %).\n\nLe joueur le plus spectaculaire ? Victor Wembanyama (Boulogne-Levallois, 72,2 %) devant Ronald March (Roanne, 11,1 %).\nLe joueur que vous aimeriez signer ? Victor Wembanyama (Boulogne-Levallois, 44,4 %) devant Élie Okobo (Monaco, 11,1 %).\nLe meilleur shooteur ? Nicolas Lang (Limoges, 61,1 %) devant Keith Hornsby (Nanterre, 16,6 %).\nLe meilleur passeur ? David Holston (Dijon, 44,4 %) devant Nando De Colo (Asvel, 33,3 %).\nLe meilleur défenseur ? Yakuba Ouattara (Monaco) et Victor Wembanyama (Boulogne-Levallois) avec 22,2 %.\n\nLe joueur le plus décisif ? David Holston (Dijon, 27,7 %) devant Mike James (Monaco, 22,2 %).\nLe joueur le plus complet ? Victor Wembanyama (Boulogne-Levallois, 94,4 %).\nLe meilleur jeune ? Victor Wembanyama (Boulogne-Levallois, 61,1 %) devant Nadir Hifi (Le Portel, 27,7 %).\nLa meilleure progression ? Nadir Hifi (Le Portel) devant Victor Wembanyama (Boulogne-Levallois, 27,7 %).\nLe meilleur coach ? Laurent Vila (Cholet, 38,8 %) devant Vincent Collet (Boulogne-Levallois, 22,2 %) et Sasa Obradovic (Monaco, 22,2 %).\n\nPhoto : Victor Wembanyama, Tuan Nguyen
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