Datasets:

mlabonne

/

medical-mqca-fr

like 1

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Une jeune femme âgée de 23 ans consulte aux urgences accompagnée de son petit ami. Celui-ci s’inquiète car depuis une quinzaine de jours elle lui dit qu’elle craint que ces collègues mettent des poisons dans son assiette le midi, de sorte qu’elle ne mange plus que dans son bureau des repas qu’elle a confectionné elle-même. Elle dit que sa patronne ricane en permanence en critiquant la qualité de son travail. La patiente vous dit « elle me dit ça derrière la porte, même quand je suis en congés à la maison ! ». Vous lui posez des questions sur son histoire, la patiente peine à vous écouter et vous fait répéter plusieurs fois. Son discours est marqué par une inquiétude, pourtant son visage est assez peu expressif, ce qui vous apparait comme assez « déroutant » Quel(s) élément(s) relevez-vous dans cette observation? a. idées délirantes à thématique de persécution b. hallucinations acoustico-verbales c. absence de symptômes négatifs d. troubles cognitifs e. syndrome catatonique

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Notez ici que qu’en dehors des symptômes les plus évidents (idées délirantes de persécution et d’empoisonnement, hallucinations acoustico verbales correspondant à la voix de la patronne) la patiente présente un déficit d’expression émotionnel correspondant à un symptôme négatif et des difficultés attentionnelles correspondant à un symptôme cognitif

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable,

Parmi les propositions suivantes concernant les hallucinations, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. Une hallucination est définie comme une perception sans objet. b. Les hallucinations cénesthésiques appartiennent au groupe des hallucinations intrapsychiques. c. Un patient peut avoir l’impression que ses émotions sont imposées par un tiers lorsqu’il présente un syndrome d’automatisme mental. d. Les 5 sens peuvent être le siège de phénomènes hallucinatoires. e. Les hallucinations cénesthésiques contre-indiquent l’instauration d’un antipsychotique atypique.

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable, Vraies : 1, 3 & 4. 2 : elles appartiennent au groupe des hallucinations sensorielles. 5 : aucune hallucination n’est une contre-indication à un traitement antipsychotique qu’il soit typique ou atypique.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Quelle(s) caractéristique(s) du syndrome dépressif est(sont) évocatrice(s) d’un trouble bipolaire ? a. âge entre 25 et 35 ans b. début en post-partum c. début progressif d. présence d’antécédents familiaux de trouble de l’humeur e. caractère saisonnier

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Les caractéristiques évocatrices d’un syndrome dépressif du trouble bipolaire sont : * syndrome dépressif dans le cadre d’un épisode dépressif caractérisé avant 25 ans, * en post-partum, * de début brutal, * un antécédent familial de trouble de l’humeur, * certaines caractéristiques cliniques de l’épisode : mélancolique et saisonnier.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Quelles perturbations psychoaffectives peuvent orienter vers un épisode maniaque ? a. Hypersyntonie b. Hyperprosexie c. Barrage d. Euphorie e. Irritabilité

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Humeur peut être euphorique ou irritable. Barrage et hyperprosexie sont des symptômes inhabituels pour syndrome maniaque.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Un patient arrive aux urgences pour une attaque de panique, votre conduite immédiate comprendra a. Attitude empathique b. Contrôle respiratoire afin de focaliser l’attention et d’éviter l’hyperventilation c. Mise en condition : installation au calme, suppression des éléments anxiogènes d. Pratiquer immédiatement les premiers examens complémentaires : ECG, ionogramme sanguin, glycémie capillaire, gaz du sang e. Réassurance du patient: insister sur l’absence de danger de mort, sur le caractère résolutif de la crise d’angoisse

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, les examens complémentaires se font après examen clinique et les gaz du sang ne font pas parti du bilan de première intention (sauf si point d’appel)

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Dans quelles situations cliniques les effets extra-pyramidaux peuvent ils être retrouvés? a. au cours d'un épisode maniaque b. durant une maladie de Parkinson c. lors d'une carence martiale d. suite à la prescription d'anticholinergiques e. suite à la prescription d'antipsychotiques

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Les symptômes extra-pyramidaux signent une atteinte de la transmission dopaminergique. La dégénérescence des neurones dopaminergiques (maladie de Parkinson) et le blocage des récepteurs D2 (antipsychotique) sont les cas les plus fréquents.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct,

Parmi les propositions suivantes concernant les antipsychotiques, lesquelles sont exactes ? a. Il est recommandé en première intention de prescrire les antipsychotiques de première génération dans le traitement de la schizophrénie. b. Les traitements antipsychotiques peuvent induire un diabète de type 2. c. La surveillance de la tolérance de la clozapine (antipsychotique atypique) impose la réalisation régulière d'une numération formule sanguine avec formule leucocytaire. d. Les antipsychotiques typiques peuvent donner lieu à des dystonies aiguës réversibles avec la prise de correcteurs anticholinergiques. e. Il est nécessaire de surveiller l’évolution pondérale des patients sous antipsychotiques.

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct, Vraies : 2, 3, 4 et 5 (notamment chez les atypiques). 1 : Les antipsychotiques atypique doivent être prescrit en première intention.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Les mécanismes du délire dans la schizophrénie : cochez les réponses justes a. hallucinatoire b. imaginatif c. interprétatif d. intuitif e. persécutoire

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, les 4 types de mécanisme à l’origine des idées délirantes dans la schizophrénie sont : interprétatif, hallucinatoire, intuitif et imaginatif. La réponse (e) est fausse car la persécution n’est pas un mécanisme, mais un thème du délire

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Parmi les propositions suivantes, laquelle/lesquelles est/sont un/des critère(s) diagnostique(s) du trouble panique ? a. Attaques de panique récurrentes et inattendues b. Fréquence des crises supérieure à 2 par semaine c. Anxiété anticipatoire d. Durée des troubles supérieure à 6 mois e. Crainte de ne pas pouvoir être secouru en cas d’attaque de panique

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Trouble panique = attaques de panique récurrentes et inattendues + sur une durée > 1 mois anxiété anticipatoire et/ou conduites d'évitement B : Il n’y a pas de critère de fréquence dans le diagnostic de trouble panique. Ce qui fait le diagnostic c’est les attaques de paniques répétées et inattendues ET pendant une durée de plus d’un mois l’anxiété anticipatoire et/ou les conduites d’évitement D : durée supérieure à un mois E : c’est un critère d’agoraphobie

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Quel(s) élément(s) fait/font partie du bilan pré-thérapeutique d’un traitement par antipsychotique atypique ? a. électroencéphalogramme b. électrocardiogramme c. poids d. scanner cérébral e. périmètre abdominal

A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, L’ECG doit être fait avant tout traitement par antipsychotique à la recherche d’un QT long. Le poids et le périmètre abdominal sont indispensables pour évaluer les effets secondaires de type syndrome métabolique. L’EEG et le scanner cérébral ne font pas partie du bilan pré-thérapeutique. Le scanner peut être réalisé dans le cadre du bilan étiologique d’un premier épisode psychotique.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Vous prenez en charge un patient pour un premier épisode maniaque. Vous avez introduit un traitement par lithium (Teralithe LP 400 mg) il y a 5 jours et récupérez ce jour une lithémie à 0.6 mEQ/L. Parmi les proposition suivantes, laquelle est (lesquelles sont) juste(s) ? a. il n'est pas nécessaire de modifier la posologie car le traitement est dans l'intervalle thérapeutique b. il est nécessaire de baisser la posologie car le traitement est surdosé c. vous avec choisi de mettre en place un traitement par théralithe car c'est le seul qui a l'AMM en première intention d. il est nécessaire de contrôler la fonction rénale et thyroidienne e. Des antécédents de tentatives de suicide graves ont pu vous conduire à choisir le lithium en première intention

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, La fourchette thérapeutique est entre 0,8 et 1,2 mEQ/l pour le Téralithe LP 400 mg. Une lithémie à 0.6 doit donc conduire à une augmentation de la posologie. Des anticonvulsivants tels le Divalprotate de Sodium (Depakote) et des antipsychotiques tels que l'Olanzapine (Zyprexa) ont l'AMM en premiere intention. En revanche, le risque suicidaire est un argument très en faveur du lithium qui a démontré un effet suicidolytique transnosographique.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Quelle(s) est (sont) la(les) thématique(s) du délire associé à un épisode dépressif caractérisé avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur ? a. culpabilité b. délire paranoïaque c. sentiment d’indignité d. idées de ruine e. automatisme mental

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les idées non congruentes correspondent à un contenu non en lien avec les thèmes de l'épisodes de l'humeur (dépression ou manie)

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Parmi les symptômes suivants, lequel(lesquels) caractérise(nt) le syndrome dépressif ? a. aboulie b. anhédonie c. bradyphémie d. tachypsychie e. echolalie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Parmi les symptômes dépressifs figurent: tristesse de l'humeur, sentiment de dévalorisation ou de culpabilité, anhédonie, ralentissement psychomoteur, (bradypsychie, bradyphémie, hypomimie, bradykinésie, aboulie), troubles du sommeil, perte d'énergie, asthénie, anorexie, troubles de la concentration, baisse de libido.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Quel(s) est(sont) le(s) facteur(s) de risque de survenue de trouble psychique de la grossesse et du post partum ? a. antécédents personnels de pathologie psychiatrique b. antécédents familiaux de pathologie psychiatrique c. age compris entre 25 et 30 ans d. suspicion de malformation fœtale e. abus dans l’enfance

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Les principaux facteurs de risque sont les ATCD de pathologie psychiatrique personnels et familiaux, les ATCD d’abus dans l’enfance, la primiparité, la précarité, la suspicion de malformation fœtale, l’accouchement dystocique, césarienne, grossesse aux âges extrêmes, célibat

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Le(s) facteur(s) de bon pronostic de la schizophrénie sont a. un début précoce b. une bonne conscience des troubles c. le sexe féminin d. un bon soutien familial e. un trouble de la personnalité comorbide

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Un début précoce est un facteur de mauvais pronostic du fait du retentissement important que cela entraine d’un point de vue social, professionnel et affectif. Par contre, le fait d’être une femme, d’avoir un bon soutien familial et d’avoir une bonne conscience des troubles sont des facteurs de bon pronostic. Le fait d’avoir un trouble de la personnalité n’est jamais un facteur de bon pronostic dans le cadre des troubles psychiatriques.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Devant une situation à risque de maltraitance, quelle est la conduite à tenir ? a. Signalement judiciaire b. Information préoccupante c. Inciter le mineur à porter plainte contre le parent maltraitant d. Informer la famille de la démarche administrative e. Placement de l'enfant en famille d'accueil sans attendre

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Distinguer " à risque" de maltraitance, ou il n'y a pas la notion d'urgence, qui nécessite une information préoccupante, de la situation de "danger" qui nécessite un signalement. C'est l'évaluation pluridisciplinaire et la celle de recueil d'informations préccupantes qui peuvent aider à la décision.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

parmi les caractéristiques suivantes quelles sont celles classiquement retrouvées dans le trouble anxieux généralisé a. Fuite des idées b. Présence des symptômes inférieure à 6 mois c. Sentiment de dépersonnalisation d. Troubles de la libido e. Troubles du sommeil

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, le A caractérise la schizophrénie ou l’épisode maniaque, les symptômes sont présent au moins pendant 6 mois, le C- est présent dans la crise d’anxiété aigue (attaque de panique)

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Dans le cadre d’une hyperphagie boulimique (accès hyperphagiques): a. Les patients ne sont pas perturbés par ces accès d’hyperphagie b. Il existe une perte de contrôle sur la prise alimentaire durant la crise c. Les patients ont des comportements compensateurs d. Les traitements psychothérapiques proposés ont pour but de faire maigrir e. Ce trouble du comportement alimentaire peut avoir un retentissement sur la vie du patient

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, La présence de comportements compensateurs oriente vers une boulimie Il existe comme dans tous les TCA une détresse autours des prises alimentaires excessive La prise en charge psychothérapeutique n’a que peu d’influence sur le poids des patients. Il convient donc d’associer si possible, une prise en charge nutritionnelle par un spécialiste formé dans la prise en charge des patients souffrant d’obésité.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Devant un trouble somatoforme (ou trouble à symptomatologie somatique et apparenté), vous devez rechercher un/des trouble(s) comorbide(s). Le(s)quel(s) ? a. un trouble dépressif caractérisé b. un trouble de l'adaptation c. un trouble anxieux d. un trouble de la personnalité e. un trouble délirant chronique

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les troubles somatoformes ont souvent des comorbidités dont tous ceux cités sauf le trouble délirant.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Concernant les troubles de l'humeur, quelle(s) affirmation(s) est(sont) vraie(s)? a. La prévalence vie entière du trouble dépressif caractérisé est de 22% chez les femmes b. Un épisode maniaque inaugural impose la mise en place d'un traitement thymorégulateur à visée préventive c. L'épisode hypomaniaque peut être accompagné de caractéristiques psychotiques ou de caractéristiques mixtes d. Toute symptomatologie dépressive justifie l'instauration d'un traitement antidépresseur e. Le trouble bipolaire fait partie de la liste des affections de longue durée (ALD30)

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, C. La présence de symptômes psychotiques est possible dans les épisodes maniaques mais pas hypomaniaques D. Un épisode dépressif caractérisé d’intensité légère n’st pas ue indication au traitement antidépresseur. De plus les antidépresseurs ne sont pas systématiques dans le cadre d’une dépression bipolaire. Enfin, « symptômes dépressifs » n’équivaut pas à « épisode dépressif caractérisé ».

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Parmi les affirmations suivantes concernant l'organisation de la prise en charge ambulatoire après une crise suicidaire, laquelle/lesquelles est/sont vraie(s) ? a. Un premier rendez-vous de suivi doit être programmé un mois après la sortie b. Le patient suicidant est l'individu qui exprime verbalement ou non verbalement des idées de suicides c. Une psychothérapie peut être indiquée lors du suivi ambulatoire de la post crise suicidaire d. Durant l'année qui suit une tentative de suicide, le risque de récidive est diminué car la crise est passée e. La continuité des soins doit être envisagée et organisée pendant la crise suicidaire

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, A. Un rendez-vous au bout de quelques jours (idéalement dans les 48 h) doit être organisé pour réévaluer la situation B. Le suicidant est l’individu survivant à sa tentative de suicide D. Durant l’année qui suit une tentative de suicide, le risque de récidive est important. E. La continuité des soins doit être envisagée et organisée dès le début de la prise en charge de la crise suicidaire. Les modalités proposées seront adaptées au stade évolutif de la crise, au moment de la prise en charge, au contexte dans lequel elle s’inscrit et aux professionnels ou intervenants sollicités.

Psychiatrie

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,

Les enfants souffrant d’un trouble du spectre de l’autisme a. Doivent avoir été évalués sur le plan de l’audition pour orienter le diagnostic b. Ne présentent pas de troubles du sommeil c. Souffrent systématiquement d’un handicap intellectuel d. Souffrent très rarement d’épilepsie e. Souffrent très rarement de troubles du langage

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, 20% des enfants autisme ne parlent pas, au moins 60% présentent un trouble du langage. Les troubles du sommeil sont une comorbidité fréquente. Le handicap intellectuel n’est pas systématique, mais présent dans 40% des cas. L’épilepsie est très fréquemment associée et doit faire l’objet d’un dépistage. Le bilan par un audiogramme ou des potentiels évoqués auditifs permet d’éliminer les diagnostique différentiel de surdité.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,

Quel(s) est(sont) le (les) élément(s) que vous pouvez considérer vrai(s) ? a. Les Unités Localisées pour l'Inclusion Scolaire (ULIS) sont des classes d'intégration localisées en milieu scolaire ordinaire. b. 90% des personnes avec troubles psychiatriques se suicideront. c. La tentative de suicide interrompue correspond à un tiers stoppant le passage à l'acte. d. Le TOP d'apparition tardif est de bon pronostic. Il a un potentiel évolutif vers un trouble des conduites. e. Une allongement du QT est une complication possible des traitements par antidépresseurs sérotoninergiques, par antihistaminiques, et par antipsychotiques.

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, A : Vrai. (définition) B : Faux, 90% des suicidés ont au moins un antécédent psychiatrique. C : Vrai (définition) D : Vrai (collège 2017/ cours "troubles externalisés") E : Vrai, d'où l'intérêt de surveiller ces associations ou de ne pas les prescrire...

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Parmi les effets secondaires suivants, lesquels constituent des effets exta-pyramidaux? a. akathisie b. akinésie c. constipation d. dystonies aigues e. tremblements

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, La constipation est un effet secondaire fréquent des antipsychotiques ( principaux traitements entrainant des symptômes extra-pyramidaux) mais qui est dû aux propriétés anticholinergiques ( et non antidopaminergiques ) de ces molécules

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Parmi les propositions suivantes concernant le trouble anxieux généralisé, laquelle (lesquelles) sont vraie(s) ? a. le trouble anxieux généralisé est un trouble anxieux chronique évoluant depuis plus de 6 mois b. le trouble anxieux généralisé est rare chez le sujet âgé c. le trouble anxieux généralisé touche autant les hommes que les femmes d. le traitement médicamenteux de première intention repose sur les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine e. l'épisode dépressif caractérisé est une complication fréquente du trouble anxieux généralisé

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, C'est le trouble anxieux le plus fréquent chez le sujet âgé Le TAG touche plus fréquement les femmes (2 femmes pour un homme)

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Après résolution d’une première décompensation schizophrénique, Sébastien vient à sa consultation de suivi. Il explique qu’il se sent mieux et qu’il n’a plus besoin de traitement. Combien de temps minimum devra-t-il poursuivre le traitement ? a. 1 an b. 2 ans c. 5 ans d. 6 mois e. A vie

A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Pour une première décompensation schizophrénique: au moins 2 ans Si deuxième épisode ou rechute: au moins 5 ans

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Concernant les complications à craindre devant un trouble de l’adaptation chez l’adolescent ? a. la complication principale est le trouble de personnalité b. la complication principale est le suicide c. près de 10% des adolescents souffrant d’un trouble de l’adaptation font des tentatives de suicide d. un trouble de l’adaptation à l’adolescence peut évoluer vers un trouble de l’humeur e. les troubles addictifs sont une complication très rare à l’adolescence

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, La complication principale est le suicide surtout pour les adolescents, avec près de 10 % de tentatives de suicides. Les troubles addictifs sont une complication fréquente, à tous les âges. Chez un adolescent, un trouble de l'adaptation peut évoluer vers divers troubles psychiatriques, notamment un trouble de l’humeur ou un trouble de personnalité.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct,

Quel(s) est(sont) le (les) élément(s) que vous pouvez considérer vrai(s) ? a. L'ADI-R est un questionnaire rempli par les parents d'enfants suspectés de trouble du spectre autistique. b. L'ADOS est un entretien standardisé, semi-structuré, filmé. Il est réalisé pour objectiver les signes d'autisme et les coter. c. Les signes psychosensoriels de l'attaque de panique tels la déréalisation et la dépersonnalisation sont normaux et physiologiques. d. Les dernières études internationales montrent une corrélation entre l'apparition d'un TSA et la vaccination contre la rubéole chez l'enfant. e. Le refus scolaire anxieux présente plusieurs pics de fréquence, notamment à l'âge d'entrée à l'école primaire et au collège. .

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct, A : Vrai (définition du collège.). B : Vrai.(définition du collège.). C : Vrai.(définition du collège.). D : Inacceptable. E : Vrai (cf cours sur les troubles internalisés)

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Vous recevez en consultation Éric, 29 ans. Vous le suivez depuis plusieurs années pour une schizophrénie. Pendant l’entretien, il vous explique « qu’ils sont de retour ». Hier lorsqu’il était dans la rue, "les aliens ont tenté de prendre le contrôle de ses pensées". " Je l’ai entendu, ils veulent récupérer mon allocation adulte handicapé pour renverser les illuminatis". Comment décririez-vous le délire ? a. congruent à l’humeur b. mécanisme hallucinatoire c. non systématisé d. paranoïaque e. thème mystique

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Dans la schizophrénie, le délire est paranoïde, c'est à dire non systématisé. Il s'oppose au délire paranoïaque, présent dans les troubles délirants persistants (schématiquement on peut croire un délire paranoïaque mais pas un délire paranoïde). Ce patient présente un délire à thème de persécution avec un mécanisme hallucinatoire (hallucination intrapsychique avec probable syndrome d'influence). Dans ce cas, il n'est pas possible d'évaluer si les idées délirantes sont congruentes à l'humeur (ce qui survient dans les épisodes maniaques avec caractéristiques psychotiques).

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable,

Concernant l’action des antipsychotiques, quelle(s) est/ sont la/ les réponse(s) vraie(s) ? a. Le blocage des récepteurs D2 au niveau de la voie dopaminergique nigrostriée participe à l’effet thérapeutique des antipsychotiques b. L’activation des récepteurs D2 au niveau de la voie dopaminergique mésolimbique participe à l’effet thérapeutique des antipsychotiques c. La voie dopaminergique tubéro-infundibulaire sous-tend les effets secondaires moteurs des neuroleptiques d. Les antipsychotiques de première génération majorent le fonctionnement de la voie dopaminergique mésocorticale e. Les antipsychotiques de deuxième génération ont des effets secondaires principalement métaboliques

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable, Les antipsychotiques de première génération ont des effets secondaires principalement moteurs liés à leur action sur la voie dopaminergique nigrostriée. Les effets secondaires des antipsychotiques de deuxième génération ont des effets secondaires métaboliques. L’effet thérapeutiques des antipsychotiques est en partie liée au blocage des récepteurs D2 au niveau de la voie mésolimbique (symptômes positifs)

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable,

Quel(s) est(sont) le (les) élément(s) que vous pouvez considérer vrai(s) ? a. L'adolescence est socio-culturellement longue dans les sociétés traditionelles. b. L'histoire pondérale, notamment sa décroissance rapide, est un critère d'hospitalisation potentiel pour les TSA. c. La psychothérapie est inefficace dans le trouble panique n'est pas à privilégier en première intention. d. Le stade sadique anal débute vers 36 mois de vie. e. La seconde cause de mortalité chez les 15-25 ans est le sucide.

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable, A : Faux, courte dans les sociétés traditonnelles (cours troubles externalisés) B : Faux, Troubles des comportements alimentaires C : Faut elle est à privilégier D : Faux 12 mois E : Vrai.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Concernant la schizophrénie, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) juste(s) ? a. Sa prévalence est d’environ 0,6 à 1% b. Elle débute classiquement entre 15 et 25 ans c. Les facteurs de risques sont uniquement de nature génétique d. Les facteurs de risques sont uniquement environnementaux e. Il existe une légère prédominance chez les femmes

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, A et B C et D : facteurs de risques à la fois génétiques et environnementaux E : légère prédominance masculine (x1,4)

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Quel(s) est(sont) le (les) élément(s) que vous pouvez considérer vrai(s) ? a. Un enfant de 14 ans présentant une dépression caractérisée avec hallucinations égo-dystoniques présente probablement un ami imaginaire. b. Les troubles du comportement alimentaire sont constituées par l'anorexie mentale, la boulimie. c. L'ostéoporose est une complication potentielle de la boulimie. d. La boulimie n'a pas de comorbidité de type troubles de l'humeur chez l'enfant. e. Une hyperthermie inexpliquée est un critère d'hospitalisation pour une patiente anorexique de 13 ans.

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, A : Faux, distracteur B : Vrai (cf collège 2017) C : Vrai (cf collège 2017) D : Faux...(cf collège 2017) E : Vrai (cf collège 2017)

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Mlle X., âgée de 20 ans, accompagne sa mère venue consulter pour des douleurs dentaires intenses. Alors qu’elle patiente en salle d’attente depuis 20 minutes, elle se lève brusquement en sueur, s’agite, dit que sa tête tourne, que ses mains tremblent, que son cœur lui fait mal, qu’elle a du mal à avaler « comme s’il y avait quelque chose qui coince » et qu’elle a l’impression qu’elle va mourir. Elle se met alors à pleurer bruyamment en expliquant qu’elle a le sentiment que tout ce qui l’entoure est faux, que rien ne lui semble réel. Elle est alors rapidement prise en charge : les constantes sont prises et montrent une tension artérielle normale, une tachycardie à 110 battements par minutes, une température à 36.8° et l’ECG est normal. L’examen clinique se révèle également normal et 20 minutes après le début de cet épisode, elle n’a plus de symptômes excepté une fatigue intense. Elle n’a pas d’antécédents médicaux particuliers et le bilan sanguin réalisé en urgence est sans particularité. Mlle X. vous apprend finalement qu’elle a déjà présenté ce type d’épisode (à une dizaine de reprises ces 2 derniers mois) bien que les symptômes d’aujourd’hui aient été plus intenses. Cela arrive d’autant plus qu’elle est dans un endroit très passant ou dans de grands espaces. C’est pourquoi elle a pris l’habitude de prendre avec elle, dans son sac à main, un mouchoir qui a appartenu à sa grand-mère décédée l’année dernière. Elle se sent rassurée avec, mais aujourd’hui, dans la précipitation de la venue aux urgences pour les douleurs dentaires de sa mère, elle l’a oublié chez cette dernière. Parmi les propositions ci-dessous, laquelle (lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. Le mouchoir que la patiente garde dans son sac à main et qui a appartenu à sa grand-mère est un objet philiphobique. b. Vous posez le diagnostic de trouble panique avec agoraphobie. c. Afin de réduire la symptomatologie de l’attaque de panique, vous conseillez à Mlle X. de respirer de façon ample et rapide. d. Réduire les consommations d’excitant (type coca et café), avoir un rythme de sommeil régulier et pratiquer une activité physique font partie des mesures hygiéno-diététiques accompagnant la prise en charge des attaques de panique. e. Dans l’hypothèse que vos conseils et le traitement médicamenteux « aigu » soient inefficaces, vous devrez proposer un traitement thymorégulateur couplé à une psychothérapie à Mlle X.

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Vraies : B, D. A : objet contraphobique. C : respirer de façon ample et lente. E : Vous devrez proposer un traitement antidépresseur couplé à une psychothérapie.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

le traitement d’un trouble obsessionnel compulsif peut associer en première intention (une ou plusieurs réponses correctes) a. Antipsychotique atypique à faibles doses b. Antipsychotique atypique à fortes doses c. Psychothérapie de type TCC d. Traitement antidépresseur de type ISRS à faibles doses e. Traitement antidépresseur de type ISRS à fortes doses

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, le traitement antipsychotique n’est pas indiqué en première intention dans le traitement des TOC

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Mr F. 20 est amené à votre consultation par ses parents car « depuis 2 semaines il délire ». Lors de l’entretien vous devez : a. Rechercher une symptomatologie thymique b. Ne surtout pas l’interroger sur son délire c. Rechercher une prise de toxique d. Interroger les parents en même temps que leur fils e. Lui dire qu’il est hors de la réalité

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Devant un délire aigu il faut essayer, dans la mesure du possible, d’explorer le délire pour mettre en évidence son thème, mécanisme, systématisation, adhésion et retentissement émotionnel et comportemental, pour pouvoir évaluer la sévérité et le retentissement. De plus, il faudra rechercher une symptomatologie thymique associée. La prise de toxique doit être recherchée devant tout état délirant aigu La réassurance est peu efficace dans ces circonstances et la confrontation à la non réalité du délire est parfois source d’angoisse voir d’agitation. L’entretien doit se faire en deux temps si cela est possible, tout d’abord le patient seul, puis ensuite un entretien avec les parents, soit en présence de leur fils si cela semble possible au vu de votre évaluation, soit seuls.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Une patiente vous décrit des compulsions irrépressibles et angoisses de faim qui la conduisent à manger de grosses quantités d’aliments hypercaloriques plusieurs fois par semaine. Vous suspectez la présence d’une boulimie. Quels symptômes vous permettront de confirmer le diagnostic ? a. Une perte de contrôle lors de la crise b. Une aménhorrée c. Un indice de masse corporelle inférieur à 17 d. Des crises répétées, au moins 2 fois par mois pendant 3 mois e. Un retentissement sur le fonctionnement

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, C. Généralement l’IMC est dans les normes. Un IMC inférieur à la norme orientera plutôt vers une anorexie D. La fréquence des crises doit être d’au moins une fois par semaine durant 3 mois

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles correspondant à des traits retrouvés dans la personnalité histrionique a. scrupulosité b. théâtralisme c. Suggestibilité d. Sentiment chronique de vide e. Labilité émotionnelle

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, La scrupulosité est un trait typique de la personnalité obsessionnelle. Le sentiment chronique de vide est un trait typique de la personnalité borderline.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) une(des) contre-indication(s) absolue(s) au traitement par sels de lithium ? a. Insuffisance rénale b. Hypernatrémie c. Diabète d. association aux diurétiques e. Insuffisance respiratoire

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les contre-indications absolues sont insuffisance rénale, l'insuffisance cardiaque instable, l'hyponatrénie et ses causes, l'association à des diurétiques

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Quel(s) élément(s) sémiologique(s) permet(tent) de diagnostiquer une anorexie mentale ? a. la peur intense de prendre du poids b. une phobie de la déglutition c. une influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l´estime de soi d. une restriction alimentaire e. des complusions de vérfication

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les critères DSM IV pour le diagnostic de l’anorexie mentale sont : 1) amaigrissement avec refus de maintenir le poids au dessus de la norme minimale 2) Peur intense de prendre du poids et de devenir gros, malgré une insuffisance pondérale 3) Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps 4) Un déni de la maigreur et de la gravité du trouble et/ou une influence excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi 5) Une aménorhée secondaire sur au moins 3 cycles consécutifs Rq : dans le DSM 5, le critère 1 est remplacé par la notion de restriction et le critère 5 disparaît.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Parmi les affirmations suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) vraie(s)? a. En France, la prévalence des tentatives de suicide est plus élevée chez les femmes que chez les hommes b. En France le taux de décès par suicide est plus élevée chez les hommes que chez les femmes c. Aborder les idées suicidaires en entretien augmente le risque de passage à l’acte d. Le risque de décès par suicide n’augmente pas après une première tentative de suicide e. L’épisode dépressif caractérisé est le seul trouble psychiatrique associé au suicide

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Il y a plus de tentatives de suicide chez les femmes que chez les hommes. Le sex-ratio F/H est compris aux alentours de 4. Le nombre de suicide est le plus élevé entre 35 et 54 ans. Le taux de suicide est maximal chez les hommes de 85 ans ou plus. Le risque suicidaire est particulièremenet élevé chez les patients souffrant de dépression mais également de troubles du comportement alimentaire de type anorexie ou de troubles psychotiques

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) caractérise(nt) le trouble panique ? a. attaques de panique récurrentes et inattendues b. obsessions et compulsions c. agoraphobie systématiquement associée d. désorientation temporo-spatiale e. anxiété anticipatoire

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, L'agoraphobie correspond à une peur ou une anxiété marquée par les situations suivantes: transports en commun, endroits ouverts, endroits clos, foule, être en extérieur et donne lieu à des comportements d'évitement. l'agoraphobie est diagnostiquée indépendamment du trouble panique mais les deux diagnostics peuvent être associés.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Parmi les symptômes suivants, lesquels sont évocateurs d’une attaque de panique a. acmé de la crise après une trentaine de minutes b. début progressif c. plateau puis diminution progressive de l’anxiété après l’acmé d. durée de la crise en moyenne de 20 à 30 minutes e. répétition des crises d’angoisse aigues

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, le début est bien plus volontiers brutal que progressif (proposition B fausse), l’acmé survient rapidement, après quelques minutes (et non une trentaine de minutes, proposition A fausse). La répétition des crises d’angoisse aigues définit le trouble panique

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Quel(s) est(sont) le (les) élément(s) que vous pouvez considérer vrai(s) ? a. Le syndrome de stress post-traumatique existe chez l'enfant mais le tableau clinique est souvent incomplet. b. L'hyperactivité neurovégétative du stress post-traumatique n'existe pas chez l'enfant souffrant d'un syndrome de stress post-traumatique. c. La position schizo-paranoïde de l'enfant intervient avant la première année de vie, elle est suivie par la position dépressive de l'enfant. Ces positions sont pathologiques. d. Les troubles conversifs chez l'enfant sont des manifestations de conflits intra-psychiques non mentalisables par l'enfant en théorie psychanalytique. e. L'acquisition de la marche est pathologique si elle arrive après 24mois de vie.

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, A : Vrai (cf cours "conduites internalisées") B : Faux, elle existe (cours "troubles internalisés"). C : Faux, physiologiques (cours "introduction et développement de l'enfant") D : Vrai (cours "conduites internalisées") E : Vrai (cours de pédiatrie)

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Parmi les symptômes suivants, quels sont ceux que l'on peut retrouver durant un état maniaque? a. discordance affective b. idées de grandeur c. hypersomnie d. logorrhée e. trouble du cours de la pensée

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, la discordance affective et les troubles du cours de la pensée sont des signes classiques de la dissociation, caractéristique de la schizophrénie .La logorrhée indique une accélération du débit verbal ( qui s'accompagne souvent d'une tachypsychie, accélération des pensées) alors que le trouble du cours de la pensée fait référence à la perte de l'agencement et des liens logiques entre les idées.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Les mécanismes du délire dans la schizophrénie : cochez les réponses justes a. cosmique b. Hallucinatoire c. interprétatif d. Intuitif e. Persécutoire

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, les 4 types de mécanisme à l’origine des idées délirantes dans la schizophrénie sont : interprétatif, hallucinatoire, intuitif et imaginatif. Les réponses (a) et(e) sont fausses car il ne s’agit pas de mécanismes, mais de thèmes du délire

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

A propos du trouble obsessionnel compulsif (TOC), quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s)? a. Les obsessions sont caractérisées par des irruptions de pensées ou d’images en désaccord avec la pensée consciente du sujet b. Les compulsions sont des comportements répétitifs que le sujet souhaite accomplir c. Les compulsions sont destinées à neutraliser ou diminuer le sentiment de détresse ou à empêcher un évènement ou une situation redoutés. d. La reconnaissance du caractère pathologique (excessif) des symptômes est systématique dans le TOC e. Un grand nombre de patients développent, pour limiter la survenue des obsessions et des compulsions, un comportement d’évitement vis-à-vis des situations favorisant l’émergence de ces symptômes.

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Les compulsions sont des comportements répétitifs que le sujet est pouusé à accomplir selon une maière inflexible. On parle de rituel si l'application de ces compulsions sont réalisées de manière très précise et stéréotypée. Les obsessions sont des irruptions de pensée mais perçues comme provenant de l'esprit (à la différence des pensée imposées de l'automatisme mentale rencontré principalement dans la schizophrénie). Les patuients reconnaissancent majoritairement le caractère pathologique du trouble mais 5 à 25%ont un insight faible, facteur de mauvais pronostic.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Concernant le syndrome catatonique, quelle(s) proposition(s) est/sont vraie(s) ? a. Il est plus fréquemment associé à la schizophrénie qu’aux troubles de l’humeur b. On peut retrouver un négativisme c. Il peut être associé à une agitation psychomotrice appelé catalepsie d. Il peut exister une écholalie e. Le traitement de référence est l’utilisation d’antipsychotiques à fortes doses

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, A. Plus fréquent dans les troubles de l’humeur, mais les étiologies non psychiatriques sont les plus fréquentes. C. La catalepsie, qui est un symptôme du syndrome catatonique, est le maintien de posture contre gravité imposée par l'examinateur. E. La prise en charge spécifique du syndrome repose sur l’utilisation de benzodiazépine fortes doses, d’electroconvulsivothérapie. Il faudra bien évidemment traiter l’étiologie sous jacente.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Dans la relation médecin-malade, lorsqu'un patient est réticent à un changement de comportement pourtant indispensable pour sa santé, il est souvent utile : a. D'informer le patient sur les risques encourus b. De légitimer la résistance au changement du patient c. D'expliquer au patient qu'il n'a pas le choix d. De proposer au patient un changement moins ambitieux e. De demander au patient de lister les avantages du comportement néfaste

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Pour optimiser la probabilité qu'un patient réticent au changement finisse néanmoins par mettre en place ce changement, il est souvent utile d'éviter tout jugement de valeur et d'aider le patient à établir sa propre balance décisionnelle, en pesant les pour et contre du changement et de l'absence de changement. Induire un état émotionnel négatif (peur, culpabilité) est souvent contre-productif. Proposer au patient un changement moins ambitieux est un moyen d'augmenter son sentiment d'efficacité personnelle et donc de le préparer un changement plus important (Référentiel p. 50-51)

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Parmi les propositions suivantes concernant les critères nécessaires au diagnostic de schizophrénie, lesquelles sont exactes ? a. Le diagnostic de schizophrénie est avant tout paraclinique. b. Les répercussions fonctionnelles sociales et/ou professionnelles sont nécessaires au diagnostic c. Les signes cliniques de la schizophrénie doivent évoluer depuis au moins 12 mois. d. Si les symptômes de la schizophrénie évoluent depuis moins d’un mois, on parle d’un trouble psychotique bref. e. Le syndrome positif (idées délirantes ou hallucinations) est indispensable pour poser le diagnostic de schizophrénie.

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Vraies : 2 et 4. 1 : avant tout clinique. 3 : depuis au moins 6 mois. 5 : la seule présence d’un syndrome négatif et de la désorganisation (donc sans syndrome positif) permet d’évoquer le diagnostic de schizophrénie

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Un homme de 25 ans, accompagné par son père, arrive aux urgences pour état délirant aigu . Vous décidez de faire une hospitalisation complète en SPDT devant l'urgence de la situation. De quel (s) document (s) avez-vous besoin? a. arrêté du représentant de l'État b. certificat médical d'un médecin de l'établissement c. demande de tiers d. deux certificats médicaux e. ordonnance de placement provisoire

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Contexte de SPDT en procédure d'urgence (article L3212-3 du Code de Santé Publique): un seul certificat médical d'un médecin pouvant exercer dans l'établissement et une demande de tiers. Ordonnance de placement provisoire réservée aux mineurs.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable,

Un homme de 77 ans vient vous consulter suite au décès de son épouse, survenu il y a 1 mois. Le choc initial passé, il se demande comment il va faire pour vivre sans elle. A quel stade du processus de deuil est-il ? a. figé b. comportementale c. choc d. réparation e. réorganisation

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, Il est classique de distinguer 3 phases dans le processus de deuil (qui ne se succèdent cependant pas forcément de manière chronologique et peuvent être entremêlées ou simultanées) : * la phase du choc de la perte avec souvent un état de sidération affective (parfois associée à des symptômes du syndrome dissociatif) et un abattement ; * l’état émotionnel douloureux relié à l’état de manque du défunt (tristesse, angoisse, colère, désespoir, culpabilité, etc.) ; * la réorganisation avec acceptation de la réalité de perte et adaptation à une vie quotidienne réinvestie dans un environnement où le défunt est absent.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Concernant l’état d’agitation, quelles propositions sont vraies ? a. Une étiologie psychiatrique doit être recherchée en priorité devant tout état d’agitation b. Un patient en état d’agitation doit recevoir en premier lieu un traitement injectable c. Un patient en état d’agitation doit recevoir en premier lieu un traitement administré per os d. Un patient en état d’agitation doit recevoir en premier lieu un traitement par benzodiazépines e. Un patient en état d’agitation doit être traité en priorité par un antipsychotique sédatif

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Un patient en état d’agitation doit recevoir en priorité un traitement par benzodiazépines administré per os. Tout état d’agitation doit faire recherché en priorité une étiologie organique ou une prise de toxiques.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Une patiente vous décrit des compulsions irrépressibles et angoisses de faim qui la conduisent à manger de grosses quantités d'aliments hypercaloriques plusieurs fois par semaine. Vous suspectez la présence d'une boulimie. Quel(s) est(sont) le(s) symptôme(s) que vous devez retrouver pour confirmer ce diagnostic? a. Une perte de contrôle lors de la crise b. Une aménorrhée c. Un indice de masse corporelle inférieur à 17 d. Des crises de fréquences bimensuelles e. Un retentissement sur le fonctionnement

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, B. Faux : l’aménorrhée n’est plus un critère diagnostique ni d’anorexie ni de boulimie C. Faux Généralement IMC dans les normes. Un IMC inferieur à la norme orientera plutôt vers une anorexie D. Faux. Pour porter le diagnostic, crises au moins une fois par semaine durant 3 mois

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Quelles sont les caractéristiques les plus fréquentes du délire dans un trouble délirant persistant ? a. adhésion totale b. mécanisme interprétatif c. participation affective faible d. systématisé e. thématiques multiples

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les troubles délirants persistants sont à thématique unique, systématisé avec un mécanisme le plus souvent interprétatif et/ou intuitif. La participation affective est forte en lien avec l'adhésion totale.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui sont considérées comme des phobies spécifiques ? a. Agoraphobie b. Phobie d’impulsion c. Phobie des serpents d. Phobie sociale e. Phobie des transports

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, une phobie spécifique se caractérise par une anxiété cliniquement significative, disproportionnée, provoquée par l'exposition à un objet ou une situation spécifique redoutée. Le DSM 5 décrit les phobies spécifiques, l’agoraphobie et l’anxiété sociale (phobie sociale) impliquant une distinction entre phobie spécifique, où l’objet ou la situation est spécifique, et l’agoraphobie et la phobie sociale, où les situations de déclenchement sont considérées comme peu spécifiques. La proposition B « phobie d’impulsion » est un faux-ami, bien qu’elle soit nommée phobie il s’agit de la crainte de réaliser impulsivement un acte immoral, dangereux, auto ou hétéro agressif. Ces pensées sont classées dans les troubles obsessionnel-compulsifs car le symptôme principal est une obsession portant sur son propre comportement (peur de ne pas pouvoir se contrôler). On peut retrouver également des phobies d’impulsion dans certains épisodes dépressifs caractérisés, notamment ceux survenant au cours de la période du post-partum (peur de blesser son enfant). L’acte redouté n’est jamais commis s’il n’est pas désiré par le patient.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Concernant le trouble dépressif récurrent, quelle(s) est/sont la/les proposition(s) vraies? a. Les traitements thymorégulateurs sont indiqués en première intention b. Les traitements antidépresseurs sont indiqués au long cours c. Ce trouble est caractérisé par des périodes sans symptômes dépressifs de 2 mois maximum d. Ce trouble est caractérisé par la succession d’au moins deux épisodes dépressifs caractérisés e. Ce trouble est caractérisé par la succession d’au moins trois épisodes dépressifs caractérisés

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, le trouble dépressif récurrent est défini par la présence d’au moins deux épisodes dépressifs caractérisés séparés d’une période sans symptômes d’au moins deux mois consécutifs.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Parmi les symptômes suivants, lequel(lesquels) caractérise(nt) le syndrome maniaque ? a. exaltation de l'humeur b. tachyphémie c. hypersyntonie d. insomnie e. athymormie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, le syndrome maniaque comprend une exaltation de l'humeur, une augmentation de l'estime de soi, un comportement ludique, une hypersyntonie, une accélération psychique (tachypsychie, coq à l'âne), une excitation psychomotrice (logorrhée, hypermimie, tachyphémie), une insomnie sans fatigue avec réduction du besoin de sommeil, une distractibilité. Ces signes sont associés à des achats pathologiques et à des comportements à risque (prise de toxiques, conduites sexuelles à risque).

Psychiatrie

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,

Chez le sujet jeune, quel (s) bilan (s) préthérapeutique (s) est (sont) indispensable (s) avant de prescrire un antidepresseur inhibiteur de la recapture de la sérotonine? a. Aucun b. Bilan rénal c. Bilan hépatique d. Numération formule sanguine e. TSHus

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, aucun bilan préthérapeutique n'est requis avant prescription d'un ISRS, sauf chez le sujet âgé où un dosage de natrémie est conseillé. Il conviendra par contre d'éliminer les étiologies organiques pouvant sous tendre une depression, et notamment doser la TSHus pour élminer une hypothyroidie.

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Concernant le syndrome d'influence, cochez la ou les réponses justes a. comprend les actions que le patient parvient à faire effectuer à d'autres b. peut être à l'origine d'actes auto ou hétéro-agressifs c. peut être secondaire à des hallucinations intra-psychiques d. s'accompagne fréquemment d'idées délirantes e. survient le plus souvent durant des épisodes maniaques

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Le syndrome d'influence se rencontre typiquement dans le cadre d'un épisode délirant aigu d'une schizophrénie

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Parmi les affirmations suivantes concernant l'évaluation RUD (risque-urgence-dangerosité) de la crise suicidaire laquelle(lesquelles) est(sont) vraie(s) ? a. L'évaluation de la dangerosité suicidaire se fait sur les antécédents personnels de tentative de suicide b. L'évaluation de l'urgence suicidaire se fait sur l'existence d'un scénario suicidaire et le délai de mise en oeuvre de ce projet c. Le fait d'avoir réalisé une tentative de suicide avortée est un facteur protecteur de passage à l'acte d. L'impulsivité-agressivité est un facteur de risque personnel de passage à l'acte e. La létalité potentielle et l'accessibilité du moyen considéré font partie de l'évaluation de l'urgence suicidaire

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, A. Les antécédents personnels de TS font partie de l’évaluation du risque et non de la dangerosité selon l’évaluation RUD C. Les antécédents personnels ou familiaux de TS (accomplie, avortée ou interrompue) sont des facteurs de risque de passage à l’acte suicidaire E. La dangerosité́ s’évalue selon la létalité́ potentielle et l’accessibilité́ du moyen considèré.

Psychiatrie

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,

Quelle(s) est/sont la/les affirmation(s) vraie(s) concernant le suicide? a. La crise suicidaire peut être une indication de soins sous contraintes b. Les personnes qui pensent au suicide sont obligatoirement atteintes de pathologie psychiatrique c. La crise suicidaire est spontanément résolutive d. Parler du suicide à quelqu'un peut l'inciter à le faire e. Les 3 paramètres à évaluer pour éidentifier la menace suicidaire sont : risque, utilité, dangerosité

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, A : altération du jugement et mise en danger donc vrai B : les idées suicidaires peuvent survenir en dehors d’un trouble psy, cependant, la grande majorité des gens qui se suicident présentent un trouble psychiatrique au moment du geste, il faut donc systématiquement évaluer la présence d’une pathologie mentale lors d’idées suicidaires, et inversement, systématiquement évaluer la présence d’idées suicidaire en présence d’une pathologie mentale ». C : Non D : Non, au contraire il faut toujours poser la question des idées suicidaires E : risque, urgence, dangerosité

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable,

Quel(s) est (sont) les thymorégulateurs de première intention dans le traitement de la phase aigüe de la décompensation maniaque d’un trouble bipolaire ? a. Antidépresseurs à forte dose par voie intra veineuse b. les antipsychotique de première génération c. Benzodiazépine per os d. Le lithium e. Neuroleptique sédatif : loxapine / cyamémazine

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable, Le lithium, le valproate et les antipsychotiques de seconde génération aussi appelés atypiques sont les traitement thymorégulateurs de première intention ayant l’AMM pour le traitement de l’épisode aigue de décompensation maniaque. Les benzopdiazépines ne sont pas des thymorégulateurs, les neuroleptiques sédatifs et de première génération non plus, ils peuvent cependant être utilisés pour sédater l’agitation des patients lors d’une décompensation maniaque. Les antidépresseurs sont contre indiqués.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Concernant les troubles somatoformes, quelle(s) est/sont la/les proposition(s) vraie(s) ? a. Un trouble somatoforme est marqué par la présence de lésions organiques objectivables b. Le trouble de somatisation concerne essentiellement la sphère neurologique c. Le trouble de conversion est marqué essentiellement par la présence de douleurs neurogènes d. Le diagnostic de trouble somatoforme doit être posé après la réalisation d’examens médicaux complémentaires permettant d’éliminer une autre étiologie e. Le syndrome du côlon irritable est un trouble somatoforme

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Le trouble de conversion est marqué par la survenue de symptômes d’allure neurologique (moteurs, sensitifs et sensoriels). Les troubles somatoformes ne sont pas expliqués par des lésions organiques et nécessitent la réalisation d’examens complémentaires afin d’éliminer toute étiologie organique.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Quel(s) élément(s) sémiologique(s) est/sont retrouvé(s) dans une attaque de panique ? a. Instauration progressive des symptômes physiques et psychiques b. Cognitions catastrophistes c. Déréalisation d. Désorganisation e. Idées de ruine

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, A) instauration brutale des symptômes (quelques secondes à quelques minutes) D) Désorganisation : dans la schizophrénie E) Les cognitions catastrophistes sont la peur de devenir fou, d’avoir un accident, de mourir. Les idées de ruine sont des idées délirantes retrouvées notamment dans la mélancolie délirante

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Vous voyez Mlle T, 30 ans, qui consulte car elle a un diagnostic de trouble bipolaire depuis de nombreuses années. Ces trois dernières années, elle avait arrêté son traitement et son suivi psychiatrique. Devant une labilité de l'humeur, elle souhaite reprendre un suivi et un traitement psychotrope de fond. Elle vous dit qu’elle a eu par le passé de l’acide valproïque qu’elle avait bien toléré. Elle n’a jamais eu d’autre traitement de fond. Par rapport à ce traitement par acide valproïque, quelle est la proposition juste ? a. vous prescrivez d’emblée l’acide valproïque puisqu’il a été efficace par le passé b. vous prescrivez d’abord un bilan préthérapeutique avant de réinstituer l’acide valproïque c. vous lui proposez un autre thymorégulateur, en prescrivant avant cela un bilan préthérapeutique d. vous ne prescrivez aucun traitement psychotrope. En effet, Mlle est probablement guérie de son trouble. e. ous préférez prescrire dans un 1er temps un traitement antidépresseur, avec un bilan préthérapeutique

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, nouvelle réglementation sur l'utilisation de l'acide valproïque chez les femmes en âge de procréer.

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,

Quel(s) est(sont) le (les) élément(s) que vous pouvez considérer vrai(s) ? a. Les effets anticholinergiques du méthylphénidate sont très marqués et sa demi-vie longue. b. Les centre éducatifs fermés sont une option pour les enfants à trouble des conduites si ils sont récalcitrants. Il s'agit d'une prise en charge punitive. c. Les ULIS sont des unités adaptés, elles accueillent principalement des enfants qui seraient en difficultés, sans aide, en milieu scolaire ordinaire. d. Il n'y a pas d'efficacité des psychothérapies TCC dans les troubles conversifs de l'enfant. e. L'enfant devenant adolescent effectue dans les sociétés traditionnelles un rituel de passage à symbolique atténuée.

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, A : Faux, demi-vie courte, peu d'effets anticholinergiques. B : Faux... C : Vrai. D : Faux, même si cela n'est pas efficace tout le temps il arrive que cela ait un intérêt. E : Faux, symbolique forte (cf cours "troubles externalisés").

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Concernant le suicide a. La crise suicidaire ne concerne que les grands enfants à partir de 12 ans b. Les crise suicidaire chez les enfants sont le plus souvent sans risque et ne doivent pas systématiquement faire l’objet d’une évaluation attentive c. On retrouve dans les facteurs de vulnérabilité chez l’enfant : l’isolement affectif, l’entrée au collège, les bouleversements familiaux d. Les adolescents passent le plus souvent à l’acte sous forme de pendaison/strangulation ou défenestration e. La crise suicidaire chez l’adolescent peut s’intégrer dans une crise psychique se manifestant par un attrait pour la marginalité et des prises de risque sexuelles

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, La crise suicidaire peut concerner des enfants à partir de 5 ans. Toute idées suicidaires doivent faire l’objet d’une évaluation minutieuse sans délai. Les adolescents passent le plus souvent à l’acte par intoxication médicamenteuse volontaire, les enfants préférentiellement par pendaison et défenestration

Psychiatrie

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,

Un secteur de psychiatrie est constitué d’une équipe pluridisciplinaire de psychiatrie publique qui a la responsabilité de l’organisation de l’offre de soins (ambulatoire intermédiaire, hospitalier) ainsi que de la mise en œuvre de toutes les actions de perception dans le secteur concerné. L’accès aux soins dans un secteur de psychiatrie publique est conditionnée par: a. le lieu d’habitation des patients b. le lieu de travail des patients c. la date de naissance des patients d. le lieu de naissance des patients e. les ressources financières des patients

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, Les secteurs de psychiatrie sont en charge d’une zone géographique délimitée (en moyenne 60 000 habitants par secteur)

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable,

Quel(s) est(sont) le (les) élément(s) que vous pouvez considérer vrai(s) ? a. L'égo-syntonie du ressenti des enfants présentant un TOC est responsable du risque suicidaire faible associé à ce trouble. b. Les antipsychotiques de première génération sont mieux tolérés d'un point de vue neurologique que ceux de seconde génération. c. Un adolescent avec trouble des conduites, retrouvé en squat inconscient, présentant une mydriase bilatérale, une bradypnée, un coma Glasgow 4/15, est possiblement en surdosage d'opiacés. d. L'enfant peut être hospitalisé par demande du représentant d'état. e. Le diagnostic clinique d'autisme est très difficile à réaliser avant l'âge scolaire.

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable, A : Faux, Risque suicidaire élevé et égo-dystonie du trouble. B : Faux,... moins bien tolérés. C : Faux, myosis et non mydriase ! D : Vrai... cf collège 2017 E : Faux, il est au contraire réalisable avant 36mois

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Vous voyez en consultation un patient de 35 ans, pour un épisode dépressif caractérisé sévère. Il n'a aucun antécédent médico-chirurgical ou psychiatrique. Vous décidez de prescrire un antidépresseur. Lequel (Lesquels) pouvez-vous prescrire? a. Clomipramine b. Fluoxétine c. Halopéridol d. Hydroxyzine e. Venlafaxine

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, En première intention prescrire un antidépresseur ISRS ou ISRSNA, ici fluoxétine ou venlafaxine. Clomipramine est un antidépresseur imipraminique. Hydroxyzine un anxiolytique antihistaminique. Halopéridol est un antipsychotique de première génération.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

En face d’un patient en détresse psychique majeure, le médecin doit (une ou plusieurs réponses possibles) : a. rechercher une urgence suicidaire b. identifier les souffrances actuelles c. attendre que le patient évoque ses pensées suicidaires d. se centrer sur les difficultés anciennes e. rechercher un danger suicidaire

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Devant une détresse psychique, il faut impérativement évaluer l’urgence c’est-à-dire le projet suicidaire (présence d’idées suicidaires, d’un scénario, d’une intentionnalité, etc.) et la dangerosité (létalité et accessibilité du moyen envisagé). Cette évaluation doit se faire par un questionnement direct du patient si celui-ci ne l’évoque pas spontanément. La réponse C n’est donc pas correcte. Le but est de prendre en charge de façon adaptée le patient à l’issue de la consultation et donc de se centrer sur la souffrance actuelle. La réponse D est donc fausse.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Parmi les thèmes suivants quels sont ceux qui sont fréquemment retrouvés dans les troubles obsessionnels compulsifs a. Accumulation (peur de perdre des objets dont on aurait besoin par la suite) b. Contamination (peur de microbes) c. Pensées interdites (peur de faire des actes répréhensibles ou ridicules, de provoquer une catastrophe) d. Symétrie (soucis d’ordre extrême, perfectionnisme) e. Superstition (peur que les superstitions se réalisent)

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les superstitions sont culturelles et très répandues dans la population générale, sans qu’il n’y ait de TOC associés

Psychiatrie

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,

Concernant les crises d’angoisse de l’enfant et l’adolescent (Cochez la ou les bonnes réponses) : a. L’attaque de panique se manifeste par trois types de symptômes : physiques, psychiques et comportementaux b. Les crises d’angoisse sont toujours en lien avec l’environnement familial c. Le traitement médicamenteux de référence est la classe des benzodiazépines d. Le traitement médicamenteux de référence est la classe des antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS) e. On estime qu’une personne sur dix fera une crise d’angoisse aiguë au cours de sa vie

A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, cd faux : le ttt de réf chez l'adulte sont les bzd mais il n'y a pas de ttt médicamenteux de réf chez l'enfant et l'ado. e faux : c'est plutôt une sur 20.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Quelle(s) est(sont) la(les) prise(s) en charge pouvant être proposée(s) dans la boulimie ? a. Thérapie cognitive et comportementale b. Conseils nutritionnels c. Renutrition parentérale d. Prise seule d'antidépresseurs ISRS (inhibiteurs selectifs de la recapture de la sérotonine) à dose anti-compulsive e. Prescription de médicaments coupe faim

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, C. La renutrition parenterale est proposée dans l’anorexie D La prescription d’ISRS est indiquée (type fluoxetine) mais ne doit pas être isolée E Le prescription de coupe faim est contre indiquée

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Dans la relation thérapeutique, le contre-transfert : a. est la principale cause de resistance du patient au changement b. peut avoir un impact sur la qualité de la relation thérapeutique c. désigne l'ensemble des réactions affectives conscientes et inconscientes ressenties par le patient à l'égard de son médecin d. peut être aussi bien positif que négatif e. correspond au fait d'adresser le patient à un confrère

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Le contre-transfert désigne l'ensemble des réactions affectives conscientes et inconscientes ressenties par le médecin à l'égard de son patient

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Quelles propositions concernent les modalités médico-légales d’une procédure classique d’admission en soins psychiatriques à la demande d’un tiers (SPDT) ? a. Un certificat médical b. Deux certificats médicaux c. Une demande manuscrite du tiers d. Un examen somatique facultatif à 24 heures e. Un certificat médical à 48 heures

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, un seul certificat médical concerne les admissions en SPDT d’urgence, en SPPI ou en SPDRE. Un arrêté préfectoral est prévu au vu du certificat médical lors d’une SPDRE. L’examen somatique est obligatoire à 24 heures et peut être réalisé par un interne. Il faut un certificat médical d’un psychiatre à 24 heures.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable,

Parmis les symptômes suivants, le (s) quel (s) peuvent être retrouvés chez un enfant souffrant de troubles du spectre autistique ? a. Hallucinations b. Idées délirantes c. Langage idiosynchrasique d. Ritualisation e. Stereotypies

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct et indispensable, les hallucinations et idées délirantes ne sont pas caractéristiques des troubles du spectre autistique chez l'enfant. Les stéréotypies motrices ou verbales (répétition de mouvements ou de sons sans but orienté) sont caractéristiques de l'autisme. Si l'enfant repète des mots entendus, on parle d'écholalie. La ritualisation et les difficultés de changement d'environnement sont également caractéristiques de l'autisme.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Quelle(s) est/sont la/les affirmation(s) vraie(s) concernant l'épisode maniaque? a. Une diminution de la libido est fréquemment retrouvée b. Le retentissement fonctionnel social, professionnel/personnel est majeur c. Une diminution de l'estime de soi est fréquemment retrouvée d. L'épisode peut être attribuable aux effets physiologiques directs d'une substance e. Il suffit au diagnostic de trouble bipolaire de type I

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, A. Au contraire une augmentation de la libido est fréquemment retrouvée. C. Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur D. L’épisode ne doit pas être attribuable aux effets physiologiques directs d’une substance.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,

Dans quelle(s) situation(s) peut-on qualifier les idées délirantes de systématisées ? a. lorsque les idées délirantes sont florides, sans lien logique entre elles b. en cas de délire de type paranoïde c. en cas de délire de type jalousie d. lorsque les idées délirantes sont logiques et cohérentes e. en cas de délire de type érotomaniaque

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, les idées délirantes sont dites systématisées lorsqu’elles se déroulent de façon logique et cohérente.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,

Quels sont les trois grands syndromes qui caractérisent la schizophrénie ? a. Syndrome confusionnel b. Syndrome catatonique c. Syndrome de désorganisation d. Syndrome positif e. Syndrome négatif

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, Ce sont les trois syndromes caractérisant la schizophrénie. Syndrome catatonique – syndrome psychomoteur non spécifique. Syndrome confusionnel – perturbation de la conscience.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

M. X, patient âgé de 45 ans, est hospitalisé dans votre unité de psychiatrie depuis bientôt 5 mois. Il y a été admis pour un épisode dépressif sévère et est traité par un antidépresseur à dose élevée. L’humeur de M. X est encore triste. Ses gestes sont ralentis. Il a perdu 5% de son poids depuis son admission. Depuis quelques jours, il ne se lave plus et il est difficile de le faire manger. En entretien, il vous explique les choses suivantes : « ils vont venir me chercher. Les gendarmes. A cause de tous ces crimes que j’ai faits. » Il présente un ralentissement psychomoteur important et il n’est pas rare de le retrouver figé dans une position pendant plusieurs minutes. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes ? a. M. X présente un épisode dépressif majeur avec caractéristiques mélancoliques. b. Les idées de culpabilité de M. X s’inscrivent dans un syndrome de Cotard. c. L’électro-convulsivothérapie est indiquée dans la forme d’épisode dépressif dont souffre le patient. d. Les troubles mnésiques sont l’un des principaux effets secondaires de l’électro-convulsivothérapie. e. Les positions figées décrites dans l’exposé sont appelées les « attitudes pernicieuses ».

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Vraies : 1.3.4. 2 : le syndrome de Cotard peut compliquer certaines mélancolies délirantes mais il se caractéristiques par des idées délirantes de négation d’organe, de pourrissement voire de négation du temps. 5 : les attitudes figées pourraient être des « attitudes cireuses » qui viennent de la « cire » que l’on peut modeler à répétition.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,

Concernant le syndrome maniaque, quelle(s) est/ sont la/ les réponse(s) vraie(s) ? a. Le syndrome maniaque est diagnostiqué au-delà d’une durée de 15 jours b. Un épisode maniaque unique est suffisant pour porter le diagnostic de trouble bipolaire de type 2 c. Un épisode hypomaniaque peut survenir chez un patient souffrant d’un trouble bipolaire de type 2 d. Un épisode maniaque peut être associé à des symptômes de mixité e. Au cours d’un épisode maniaque le patient peut présenter une tachyphémie, une logorrhée et une tachypsychie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, La survenue d’un épisode maniaque est suffisante pour porter le diagnostic de trouble bipolaire de type 1. Cet épisode peut être associé à des éléments de mixité. La tachyphémie est une accélération du discours, la tachypsychie est une accélération de la pensée.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,

De garde aux urgences, vous recevez un patient amené par les pompiers. Il présente une agitation psychomotrice importante. Quelle thérapeutique en urgence pouvez-vous utiliser pour l'apaiser ? a. diazepam b. escitalopram c. halopéridol d. Loxapine e. lévomépromazine

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, L'escitalopram est un antidépresseur qui n'aura aucun intérêt pour les agitations. L'halopéridol à forte dose peut permettre une sédation.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Les symptomes de l'état maniaque: cochez les reponses justes a. Humeur exaltée b. Hyperesthésie c. Hypersomnie d. Labilité emotinnelle e. Tachypsychie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, l'état maniaque se caractérise : - par une insomnie partielle ou totale -une perturbation des émotions dont hyperréactivité ou hyperesthésie (réponses emotionnelles disproportionnées par rapport aux stimuli émotionnels)

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Concernant les dysfonctions sexuelles chez l'adulte, quelle(s) est (sont) la(les) proposition(s) exacte(s)? a. Il peut s'agir d'un trouble du désir sexuel b. Une cause iatrogène est rarement suspectée c. Des facteurs psychologiques peuvent entretenir ces troubles d. Un bilan paraclinique est systématiquement programmé dès la première consultation e. Les troubles de l'érection concernent plus de 60% des hommes de plus de 50 ans

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, A. Les dysfonctions sexuelles peuvent toucher toutes les phases de la relation sexuelle dite « normale », et sont ainsi classées en troubles du désir sexuel, troubles de l’excitation, troubles de l’orgasme, et troubles sexuels avec douleurs. B. Les diagnostics différentiels non-psychiatriques sont à rechercher systématiquement par un examen clinique systématique (à l'entretien et l'examen physique à proprement parler). Une recherche notamment de tous les éléments pouvant atteindre les effecteurs périphériques ou le système nerveux central impliqués dans la sexualité sont à rechercher. Une cause iatrogène est ainsi à éliminer systématiquement : prises médicamenteuses (par ex : antihypertenseurs, anticholinergiques, antihistaminergiques, diurétiques, traitements hormonaux, psychotropes, contraceptifs oraux, chimiothérapie, agonistes dopaminergiques, anticholinergiques, sérotoninergiques, bêta-bloquants, etc.) ou encore antécédents de radiothérapie ou d’interventions chirurgicales pelvienne ou lombo-aortique. Pour rappel, les autres grandes catégories de diagnostics différentiels non psychiatriques à connaître et rechercher: cardiovasculaires, endocriniens, neurologiques, urologiques et gynécologiques. C. Il existe habituellement plusieurs facteurs de risques à ces dysfonctions, parmi lesquels les facteurs de risque psychologiques sont parmi les plus importants. Ils peuvent jouer un rôle déclencheur ou bien d'entretien des symptômes. A rechercher systématiquement à l'entretien : un trouble psychiatrique comorbide (mis en évidence dans 30% des cas) notamment trouble de l'humeur ou trouble anxieux, trouble de la personnalité, mais également reprendre et comprendre l'histoire personnelle du patient (représentations morales, sociales, et éducatives du patient, antécédents de traumatismes dont sexuels, qualité de la relation actuelle...) D.Un bilan paraclinique n'est pas réalisé systématiquement, mais seulement en fonction de l'examen clinique. De manière courante, peut être réalisé un bilan sanguin (NFS, ionogramme, glycémie, bilan lipidique, bilan hépatique, créatininémie, parfois bilan hormonal). Eventuellement, selon une hypothèse vasculaire (Doppler des membres inférieurs et des artères génitales, TDM ou IRM pelvienne), ou neurologique (EMG pour rechercher une neuropathie périphérique) E. Les troubles de l'érection sont classés dans les troubles de l'excitation chez l'homme, et concernent environ 30% des hommes de plus de 50 ans avec au moins un des trois symptômes suivants : difficultés à obtenir l’érection, difficultés à maintenir l’érection jusqu’à la fin de l’activité sexuelle, ou encore diminution de la rigidité érectile. Un trouble de l'orgasme est généralement comorbide. En faveur de l’étiologie psychiatrique du trouble : le maintien des érections matinales , la sélectivité pour un ou une partenaire ou encore le caractère occasionnel du trouble. Rappel important : un diagnostic différentiel non-psychiatrique est fréquent (environ 50 % après 50 ans) et doit être systématiquement éliminé avant de porter le diagnostic de trouble de l’érection.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

A propos du risque suicidaire (RS) et des tentatives de suicide (TS) chez l’adolescent, quelle(s) est(sont) la(les) propositions(s) exacte(s) ? a. le taux de récidive des TS dans les 6 mois est de 3% à 5% b. le RS est augmenté en cas d'antécédents de maltraitance ou d'abus sexuel c. toute TS de l’enfant ou de l’adolescent justifie une hospitalisation d. une TS nécessite une évaluation sociale e. un traitement antidépresseur est recommandé dans la majorité des cas

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Le taux de récidive varie de 10 à 40% selon les études.L'hospitalisation systématique est recommandée pour effectuer une évaluation somatique, psychologique et sociale. Parmi les facteurs de risque, il faut toujours penser, parmi les nombreuses facteurs possibles, à la maltraitance et l'abus sexuel. Aucun médicament n'a d'action spécifique sur le risque de récidive suicidaire

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct, E: Choix correct,

Dans la schizophrénie, le délire est le plus souvent a. non systématisé b. critiqué c. monothématique d. de mécanisme interprétatif e. de mécanisme hallucinatoire

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct, E: Choix correct, Dans la schizophrénie, les idées délirantes sont le plus souvent non systématisées, floues, sans logique avec des thèmes multiples et hétérogènes. L’adhésion au délire est le plus souvent élevée. Les mécanismes interprétatifs et hallucinatoires sont très fréquents dans la construction du délire paranoïde de la schizophrénie.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Quel(s) est(sont) le (les) élément(s) que vous pouvez considérer vrai(s) ? a. La psychothérapie du trouble oppositionnel avec provocation est cruciale. b. Une fillette de 10 ans qui s'agenouille toutes les 30 secondes en touchant le sol avec ses doigts par crainte importante que ses ongles ne tombent présente probablement un TOC avec éléments d'atypicité justifiant un avis pédopsychiatrique c. La prise en charge des enfants présentant un trouble oppositionnel avec provocation avec fort retentissement peut passer par une pharmacothérapie par risperidone ou par cyamémazine, en deuxième intention. d. Le trouble des conduites est traité de façon multimodale, sans oublier les comorbidités dépressives et les éléments de post-traumatisme fréquent chez ces enfants en souffrance. e. L'étiologie du TDAH est exclusivement environnementale

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, A : Vrai, surtout remédiation cognitive et renforcement de l'auto-inhibition. B : Vrai (cf cours sur les troubles internalisés), il s'agit d'ailleurs d'un cas clinique réel... C : Vrai (cf collège) D : Vrai + (cf cours sur les conduites externalisées/internalisées). E : Faux, multifactorielle.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,

Quelle(s) est/sont la/les affirmation(s) vraie(s) concernant l'anorexie mentale? a. Dans environ 2/3 des cas il existe une évolution vers l'aggravation ou le décès b. Un délai important avant la prise en charge est un facteur de mauvais pronostic c. La mortalité dans l'anorexie mentale est une des plus élevées des troubles mentaux d. La schizophrénie est une comorbidité fréquente e. Les sportifs de compétition sont moins à risque que la population générale

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, A.Dans environ 1/3 des cas il va exister une évolution vers l’aggravation ou le décès D. Dépression (60-80%) Trouble obsessionnels et compulsifs, phobie sociale, Trouble anxieux généralisé, addictions sont les plus fréquents E. C’est au contraire une population à risque et dans la recherche d’un idéal physique pour améliorer la performance.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Quel(s) est/sont le(s) critère(s) diagnostique(s) du trouble de personnalité paranoïaque? a. Hypertrophie du moi b. Hyper expressivité émotionnelle c. Rigidité d. Idées délirantes de persécution e. Méfiance généralisée vis-à-vis d’autrui

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, B : C’est au contraire une faible expression émotionnelle D : Pas d’idées délirantes de persécution dans le trouble de personnalité seul. C’est un critère de trouble délirant persistant si elles persistent plus d’un mois.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Concernant la communication non verbale, quels sont les items corrects ? a. Le pointage proto-impératif (instrumental) doit apparaitre avant 3 mois b. Le pointage proto-impératif (instrumental) doit apparaitre avant 6 mois c. Le pointage proto-déclaratif doit apparaitre avant 10 mois d. Le pointage proto-déclaratif doit apparaitre avant 15 mois e. Les gestes conventionnels (« au revoir », « bravo ») apparaissent vers l´âge de 24 mois

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Le pointage proto-impératif: montrer un verre d'eau en hauteur pour boire. Le pointage proto-déclaratif: pointer un chien qui passe pour attirer l'attention de l'adulte et partager l'intéret.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,

Parmis les symptomes suivants, lesquels sont caractéristiques de l'épisode maniaque? a. akathisie b. bradyphémie c. logorrhée d. tachyphémie e. tachypsychie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, La tachyphémie et tachypsychie, respectivement acceleration du discours et de la pensées, de même que la logorrhée (augmentation du débit verbal), sont des signes de manie. L'akathisie est l'impossibilité de tenir en place, c'est un effet secondaire des traitements neuroleptiques. La bradyphémie est un ralentissement du discours.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Concernant les mesures de soin sous contrainte, quelle(s) est/ sont la/ les réponse(s) vraie(s) ? a. Une mesure de soins sous contrainte est indiquée si le patient n’est pas en capacité à consentir aux soins b. Toute mesure de soins sous contrainte nécessite l’accord d’un tiers c. Une mesure de SDRE nécessite l’avis motivé du représentant de l’état d. Toute mesure d’hospitalisation sous contrainte doit faire l’objet d’un examen par le juge des libertés et de la détention dans les 3 jours suivant l’admission e. Une mesure de SDRE nécessite un certificat médical unique pouvant être rédigé par un médecin urgentiste de l’établissement d’accueil

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Une mesure de SDRE nécessite l’établissement d’un certificat médical unique rédigé par un médecin non psychiatre de l’établissement d’accueil. Une mesure de soins sous contrainte est indiquée lorsque l’état mental du patient nécessite des soins immédiats assortis d’une surveillance constante ou régulière et lorsque ce dernier n’est pas en capacité à consentir aux soins.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

La schizophrénie : cochez les réponses justes a. les altérations cognitives sont fréquentes b. il existe des formes à début précoce c. il existe des formes à début tardif d. la forme hébéphrénique évolue vers une forme déficitaire e. sa prévalence est estimée entre 3 et 5 %

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, prévalence entre 0,6 et 1% les altérations cognitives sont fréquentes : dans 70% des cas la forme désorganisée ou hébéphrénique est marquée par la prédominance du syndrome de désorganisation avec une évolution précoce vers une forme où le syndrome négatif (déficitaire) prédomine il existe des schizophrénies à début précoce avant 18 ans, même très précoce avant 13 ans et des formes à début tardif après 35 ans (longtemps appelées Psychoses Hallucinatoires Chroniques PHC)

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,

Le traitement de la schizophrénie : cochez les réponses justes a. la clozapine est un traitement de 1ère intention b. L’éducation thérapeutique est conseillée c. L’électro-convulsivo-thérapie est contre-indiquée d. L’objectif est la monothérapie antipsychotique e. La remédiation cognitive est souvent utile

A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, La clozapine doit être envisagée quand le patient a résisté à deux antipsychotiques de 2è génération à posologie et durée efficaces. L’électro-convulsivo-thérapie peut être utilisée dans les schizophrénies catatoniques, ou quand il y a un épisode thymique associé ou s’il persiste des symptômes positifs résistants Les altérations cognitives sont fréquentes, dans 70% des cas et peu accessibles au traitement pharmacologique. Elles expliquent une grande part du handicap psychique des patients

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Vous recevez aux urgences un patient qui présente un épisode dépressif caractérisé d’intensité sévère compliqué d’idées suicidaires avec velléités immédiates. Vous décidez avec le patient d’une hospitalisation. Vous appelez le service de psychiatrie de votre hôpital, et la secrétaire vous demande quel est son secteur. Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) suivante(s) juste(s) ? a. Son secteur de psychiatrie est défini par son adresse de domicile b. Son secteur de psychiatrie est défini par sa ville de naissance c. son secteur de psychiatrie est défini par sa région de naissance d. Son secteur de psychiatrie peut posséder des structures publiques et privées e. son secteur de psychiatrie peut proposer des soins hospitaliers et ambulatoires

A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Le secteur psychiatrique est une zone géographique délimitée au sein de laquelle une équipe multidisciplinaire de psychiatrie publique a la responsabilité de l’offre publique de soins psychiatriques et la mise en œuvre des actions de prévention.

Psychiatrie

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,

Devant un état dépressif, quels sont les éléments nécessaires à recueillir afin d'évoquer un trouble bipolaire? a. antécédents familiaux de troubles bipolaires b. antécédents personnels d'épisode thymique c. idées de culpabilité d. insomnie e. irritabilité

A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Distinguer une dépression dans le cadre d'un trouble bipolaire plutôt que dans le cadre d'un trouble dépressif récurrent ou d'un épisode dépressif isolé a des conséquences cruciales au niveau de la prise en charge et en particulier la prescription de traitement pharmacologiques. Face àune dépression, il faut donc rechercher systématiquement les antécédents de troubles maniaques personnels ou familiaux et les symptômes cliniques pouvant faire évoquer une manie.

Psychiatrie

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,

Concernant l’anorexie mentale a. C’est une maladie à physiopathologie uniquement psychodynamique b. La maladie débute principalement en période pré-pubert, avant les changements corporels c. La moitié des patientes ont une rémission complète des troubles. d. Les facteurs déclenchants sont souvent un évènement de vie majeur et un régime alimentaire e. Le sexe ratio est de 1 homme pour 3 femmes

A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, La maladie est multifactorielle, la prévalence est supérieure à la puberté, au moment des changements corporels. Le sexe ratio est de 1/8

Psychiatrie

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,

Vous recevez aux urgences M. D. pour un état d'agitation psychomotrice associé à une exaltation de l'humeur, une logorrhée, une tachypsychie. Il ne dort plus depuis une semaine. Il est habituellement suivi pour un trouble bipolaire mais est en rupture de soins depuis 3 mois. Quel(s) traitement(s) instaurez vous à court terme? a. clomipramine b. diazepam c. divalproate de sodium d. loxapine e. quetiapine

A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, divalproate de sodium et quetiapine à visée curative de l'accès maniaque diazepam et loxapine: traitement sédatif de l'agitation accès maniaque = arrêt des antidépresseurs