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Destrées
Jacques Destrées (1700-1788), écrivain français ; Charles Destrées (1834-1904), diplomate français.
Rhagium
Rhagium est un genre d'insectes coléoptères de la famille des Cerambycidae, de la sous-famille des Lepturinae. Espèces rencontrées en Europe Sous-genre Hagrium Rhagium bifasciatum Fabricius, 1775 Sous-genre Megarhagium Rhagium mordax (De Geer, 1775) Rhagium sycophanta (Schrank, 1781) Sous-genre Rhagium Rhagium inquisitor (Linnaeus, 1758) Liste d'espèces Selon : Rhagium bifasciatum Rhagium caucasicum Rhagium elmaliense Rhagium fasciculatum Rhagium femorale Rhagium fortecostatum Rhagium heyrovskyi Rhagium inquisitor Rhagium iranum Rhagium japonicum Rhagium mordax Rhagium morrisonense Rhagium phrygium Rhagium pseudojaponicum Rhagium pygmaeum Rhagium qinghaiensis Rhagium sinense Rhagium sycophanta Rhagium syriacum Selon : Rhagium inquisitor (Linnaeus, 1758) Selon : Rhagium inquisitor Rhagium mordax Notes et références Liens externes Genre de Coléoptères (nom scientifique) Cerambycidae
Église Saint-Maur de Courmelois
L’église Courmelois est une église catholique paroissiale située à Val-de-Vesle, dans la Marne. Elle est classée au titre des monuments historiques depuis 1920 Description Bâtie sur un plan de croix latine, elle possède une tour clocher sur la croisée de transepts. Elle est entièrement voûtée. Son abside comporte des chapiteaux sculpté de figures et personnages. Des traces de peinture monumentale et des statues de moines et de saints. Annexes Articles connexes Liste des monuments historiques de la Marne. Notes et références Monument historique classé en 1920 Courmelois
Sébastien Dumez
Sébastien Dumez, né le à Raincy (Seine-Saint-Denis), est un pilote automobile français. Biographie En 1984, Sébastien commence sa carrière en France dans la discipline des monoplaces. Après avoir débuté en Formule Renault et Formule Ford, il dispute une saison complète en Championnat de France de Formule 3 en 1998, qu'il termine à la septième place du classement général (le vainqueur est son coéquipier David Saelens). Après d'autres apparitions dans diverses championnats de Formule 3 en 1999, il passe à la course GT en 2000. Durant l'année 2000, il termine second, derrière Christophe Bouchut au classement général de la Coupe Porsche Carrera France et l'année suivante, il est vainqueur au classement général du Championnat de France GT avec l'écurie Larbre Compétition. Des victoires globales dans la Carrera Cup nationale ont suivi en 2002 et 2003. En course GT internationale, Sébastien participe à l'European Le Mans Series puis aux 24 Heures du Mans à deux reprises et en 2001 aux 12 Heures de Sebring. À la fin de la saison 2015, Sébastien totalise , célébré quatre victoires au classement général, sept victoires de classe et un titre de Champion de France FFSA GT. Habitué à la conduite de Porsche 911, Sébastien effectue la saison 2016 sur Ligier JS P3, puis sur Porsche Cayman GT4 en 2017 avec le pilote Valentin Simonet et l'écurie Saintéloc Racing. Après cette saison passée en GT4, Sébastien effectue son retour sur une Porsche du Team Vendée 85 Bourgoin en Cup (championnat B) avec l'objectif de prendre un maximum de plaisir. Le meeting de Spa se termine par une victoire de classe dans la course 1 et une place dans la suivante. Loin de l'idée de vouloir reprendre un emploi de pilote à plein temps, Sébastien découvre l'année 2018 comme une saison coup de cœur en roulant dans la même équipe que le jeune Jean-Baptiste Simmenauer. Carrière et statistiques Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données Driver Database. Résultats du Mans Résultats de Sebring Notes et références Liens externes . Naissance en juin 1974 Pilote automobile français Pilote des 12 Heures de Sebring Pilote des 24 Heures du Mans
Lounge Act
est la de l'album du groupe Nirvana et dure 2 min 37. Selon M. Crisafulli, la ligne de basse tranchante que Novoselic utilise pour ouvrir cette chanson ne semble pas annoncer un morceau de jazz de bar ; mais le groupe avait l'habitude de dire en plaisantant que l'ambiance élastique du morceau avait le swing pâteux des groupes médiocres qui jouent des reprises dans les salons des hôtels. De là ce qui était au départ une jam sans paroles reçut un surnom (la musique de bar d'hôtel « Lounge Act ») qui lui resta. Lorsque Kurt Cobain eut écrit les paroles, peu de temps avant son enregistrement lors des sessions Smart, le texte de la chanson n'avait plus grand rapport avec son titre. Dans la chanson, Kurt Cobain revint sur le sentiment de déchirure entre amour et art. Même si la chanson ne manque pas de sympathie pour la personne à laquelle le chanteur s'adresse, celui-ci fulmine contre la sécurité étouffante d'une relation, qui coupe le couple du reste du monde quand la moitié de ce couple veut l'explorer de manière plus approfondie. Le morceau fait également référence d'une façon détournée aux membres de la scène d'Olympia qui ont pu inspirer Cobain et lui montrer qu'il était sur la bonne voie. L'amie qui apparait dans les paroles est , une connaissance de Cobain qui joua un rôle déterminant dans le mouvement riot grrrl qui prit dans le nord-ouest au début des années 1990. Sur Nevermind, Lounge Act se termine par une plaisanterie de studio. Le groupe, incapable de trouver une fin qui leur convenait, se contenta de ralentir progressivement la bande pour créer un decrescendo plaintif. Notes et références Chanson interprétée par Nirvana Chanson de 1991
(19656) Simpkins
(19656) Simpkins est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Description (19656) Simpkins est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Il fut découvert le à Socorro (Nouveau-Mexique) par le projet LINEAR. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 2,37 UA, une excentricité de 0,09 et une inclinaison de 6,0° par rapport à l'écliptique. Compléments Articles connexes Liste des planètes mineures (19001-20000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 1999 Astéroïde de la ceinture principale
Lignes Sarrebourg - Abreschviller et La Forge - Vallérysthal-Troisfontaines
Les lignes de Sarrebourg à Abreschviller et de La Forge à Vallérysthal-Troisfontaines sont deux anciennes lignes de chemin de fer françaises de la Moselle. Embranchements à voie normale unique de la grande ligne de Paris à Strasbourg, elles s'en détachaient un peu avant Sarrebourg, afin de desservir les premiers contreforts boisés du massif des Vosges. Elles ont eu un historique fortement lié. Elles constituaient les lignes du réseau ferré national. Dans l'ancienne nomenclature de la région Est de la SNCF, elles étaient numérotées « ligne 36 » et « ligne 36.3 » et désignées en tant que « Ligne Abreschviller – Sarrebourg (Réding) » et « Ligne La Forge - Vallérysthal ». Historique Les industriels de la région au sud de Sarrebourg ont, dès 1873, milité en faveur de la construction d'un embranchement à la grande ligne de Paris à Strasbourg, permettant de desservir tant la faïencerie de Niderviller que la cristallerie de Vallérysthal et la verrerie de Troisfontaines. Cette voie ferrée se serait, suivant les premières études, embranchée à la grande ligne entre les gares de Sarrebourg et de Réding. Cependant, le peu d'empressement mis par la Direction générale impériale des chemins de fer d'Alsace-Lorraine pour mener à bien les études de cette ligne reporte longtemps ce projet, jugé peu stratégique et peu rentable. En 1875, on envisage la construction d'une ligne de chemin de fer entre Sarrebourg - Réding - Niderviller et Vallérysthal. Le projet est finalement abandonné en 1880. Toutefois, à force de militantisme et grâce au développement de l'industrie forestière dans les forêts autour d'Abreschviller, avec notamment l'ouverture dès 1884 du chemin de fer forestier d'Abreschviller (à voie étroite), une loi est enfin publiée, le , qui « autorise les chemins de fer impériaux d'Alsace-Lorraine à acquérir par voie d'expropriation les terrains nécessaires à la construction du chemin de fer à voie normale de Sarrebourg à Abreschviller, avec embranchement de Hesse à Vallérysthal et déclare la construction de cette voie, une entreprise d'utilité publique et urgente ». Le est ouverte la ligne de Sarrebourg à Abreschviller (16,81 km), suivie rapidement, le , par la ligne de La Forge à Vallérysthal (9,81 km). À l'origine, 4 paires de trains marchandises-voyageurs desservent les lignes, avec des voitures de première et troisième classe ; toutefois, il semble que les fourgons, « la quatrième classe », ait également eu un certain succès auprès des habitants des vallées desservies lors des jours de marché à Sarrebourg. Le trafic reste limité à la desserte des industries locales (verrerie de Troisfontaines, cristalleries de Hartzviller et de Vallérysthal), au transport du bois d'Abreschviller, et anecdotiquement à des curistes ou touristes souhaitant visiter le massif du Donon. Dans les années 1930, les lignes étaient parcourues par des locomotives T5 et T7 tractant de petites voitures allemandes à essieux. En 1936, l'omnibus du dimanche est assuré par un autorail Renault VH. Les trains se scindaient ou fusionnaient à la bifurcation en gare de La Forge. Le pont sur le canal de la Marne au Rhin, à Hesse, est détruit par un bombardement en 1940. Il est remplacé par un nouveau pont de conception Eiffel, en mars 1941. Après la Seconde Guerre mondiale, on retrouve sur les lignes des locomotives 230 F, P 8 et 230 B. À partir de 1960, la desserte voyageurs est effectuée par des autorails Picasso. Les lignes sont fermées au service voyageurs le . Les gares de Nitting et Vasperviller - Saint-Quirin sont également fermées au service des marchandises à la même date. La gare de Barville-Bas est fermée à tout trafic en 1974. Les gares de Lorquin, Abreschviller, Hartzviller et Vallérysthal-Troisfontaines restent ouvertes au service des marchandises. Les dessertes sont réalisées par des BB 63000. Le 1985, pour les célébrations du centenaire du chemin de fer forestier d'Abreschviller, la SNCF autorise la circulation d'un autorail entre Sarrebourg et Abreschviller. L'autorail effectue deux aller-retours et les passages à niveau n°5, 11, 21 et 29 sont gardés par des agents SNCF afin de garantir la sécurité des voyages. La ligne de La Forge à Vallérysthal ferme au service marchandises le , le service Fercam de Fret SNCF se substitue à la desserte ferroviaire. La ligne est déclassée le 1991. Le , le dernier train au départ d'Abreschviller est composé de deux wagons expédiés par les scieries. La section Sarrebourg - La Forge est fermée au service marchandises le . Les barrières des passages à niveau des deux lignes sont enlevées le . La section La Forge - Abreschviller est déclassée le 1992. La section Sarrebourg - La Forge est déclassée le 1995. Les voies sont déposées quelques années plus tard. Aujourd'hui, la plate forme des anciennes lignes a été réaménagée en voie verte, les anciens bâtiments voyageurs existent toujours et ont été vendus à des particuliers à l'exception de celui de La Forge, démoli en 1987. Abreschviller est le point de départ du chemin de fer d'Abreschviller, exploitation touristique d'une partie de l'ancien chemin de fer forestier à voie étroite desservant le massif du Donon et la forêt domaniale de la commune. Il reste quelques morceaux des rails au sein de la verrerie de Troisfontaines. Description La ligne partait de la gare de Sarrebourg et longeait la ligne Paris - Strasbourg, en direction de Paris, jusqu'à Imling après quoi elle tournait vers la gauche et quittait la plate forme commune avec la grande ligne. Elle se séparait en deux à la gare de La Forge. Le centre de ravitaillement en essences de La Forge disposait d'un embranchement particulier. La ligne vers Abreschviller passait alors sous le pont-canal du canal de la Marne au Rhin et desservait les gares de Lorquin, Nitting, Barville-Bas, Vasperviller - Saint-Quirin et enfin Abreschviller. La ligne vers Vallérysthal suivait le canal de la Marne au Rhin jusqu'à la gare de Hesse puis franchissait le canal par le biais d'un pont métallique. Elle traversait ensuite Hartzviller puis arrivait à Vallérysthal-Troisfontaines. La plupart des gares étaient situées en dehors des villages. Des remises à locomotives se trouvaient à La Forge, Abreschviller et Troisfontaines. Galerie Sources Bibliographie Notes et références Voir aussi Articles connexes Chemin de fer d'Abreschviller Gare de Sarrebourg Liens externes Lignes Sarrebourg - Abreschviller/Vallérysthal sur le site Trains en voyage. Ligne Sarrebourg - Abreschviller sur le forum LR Presse (comportant des photos de la ligne lorsqu'elle était en activité). Ancienne ligne ferroviaire en Moselle
Kent-Sud
Kent-Sud ( Kent South) est une circonscription électorale provinciale du Nouveau-Brunswick, au Canada. Elle est représentée à l'Assemblée législative depuis 1974. Géographie La circonscription comprend: La ville de Bouctouche, Les villages de Saint-Antoine Les communautés de Cocagne, Notre-Dame, Sainte-Marie-de-Kent, Saint-Norbert, Balla Philip, West Branch, South Branch, Beersville, Harcourt, Hébert, Coal Branch, Saint-Paul et Clairville Liste des députés Résultats électoraux Références Élections N-B — Circonscriptions électorales provinciales Circonscription provinciale au Nouveau-Brunswick
How You Sell Soul to a Soulless People Who Sold Their Soul?
How You Sell Soul to a Soulless People Who Sold Their Soul? est le onzième album studio de Public Enemy, sorti le . Cet album marque le vingtième anniversaire du groupe. Liste des titres Notes et références Album de Public Enemy Album musical sorti en 2007
Patrick Fabian
Patrick Fabian est un acteur américain né le à Pittsburgh en Pennsylvanie. Patrick Fabian a deux filles:Abbey et Delilah. Biographie Filmographie Cinéma 1998 : Sour Grapes : Palmer 2004 : Clean : Bobby Frankin 2005 : La Main au collier : Donald 2006 : End Game : Brian Martin 2009 : Spring Breakdown : Kevin 2010 : Le Dernier Exorcisme : Cotton Marcus 2010 : The Land of the Astronauts : Russell 2011 : : un interne 2012 : Bad Ass : Officier Malark 2012 : Atlas Shrugged: Part II : James Taggart 2012 : Tales of Everyday Magic : Ryan Kilgore 2012 : My Greatest Teacher : Ryan Kilgore 2013 : Jimmy : Lee Mitchell 2014 : Bad Ass 2 : Officier Malark 2014 : My Eleventh : Eric 2015 : Underdog Kids : Ted Barret Télévision 1992 : Enquête privée : Scott Easton (1 épisode) 1992 : Les Dessous de Palm Beach : Ron Gerschak (1 épisode) 1993-1994 : Sauvés par le gong : Les Années lycée : Professeur Jeremiah Lasky (8 épisodes) 1994 : Arabesque : Larry Shields (1 épisode) 1995 : University Hospital : Kurt Palmer (1 épisode) 1995 : Melrose Place : Lowell (1 épisode) 1996 : Boston Common : Professeur Jack Reed (1 épisode) 1996 : Townies : Danny (1 épisode) 1997 : Star Trek: Voyager : Taymon (1 épisode) 1997 : Weapons of Mass Destruction : Brandon Joyner 1997 : Millennium : Ratfinkovich (1 épisode) 1998 : Xena, la guerrière : Rafe (1 épisode) 1998 : Friends : Dan (1 épisode) 1999 : Wasteland (1 épisode) 1999 : Love Therapy : Don Quichotte (1 épisode) 1999 : Les jumelles s'en mêlent : Alex Reardon (1 épisode) 1999 : Dharma et Greg : Doug (1 épisode) 1999-2000 : Sarah : Spencer Halloway (6 épisodes) 1999-2002 : Providence : Jerry Kaufman (7 épisodes) 2000 : Arliss : Jacques (1 épisode) 2000 : Freaky Links : Wayne (1 épisode) 2001 : Rude Awakening : Brian (2 épisodes) 2001 : Nash Bridges : Ethan (1 épisode) 2003 : FBI : Portés disparus (1 épisode) 2003 : Les Experts : Rhone Kinsey-Confer (1 épisode) 2003 : Voilà ! : Martin (1 épisode) 2003-2005 : Le Monde de Joan : Gavin Price (16 épisodes) 2004 : Preuve à l'appui : Buddy Holly (1 épisode) 2004 : 24 heures chrono : William Cole (2 épisodes) 2004 : Helter Skelter : Jay Sebring 2004 : Summerland : Ian Straub (1 épisode) 2004 : North Shore : Hôtel du Pacifique : Burtwhistle (1 épisode) 2004 : NIH : Alertes médicales : Gary Riesen (1 épisode) 2004 : Quintuplets : Coach Scales (1 épisode) 2004 : Will et Grace : Alan (1 épisode) 2005 : Blind Justice : Clay Simmons (1 épisode) 2005 : Eyes : Doug Taft (1 épisode) 2005 : Everwood : Henry Validor (1 épisode) 2005 : Les Experts : Miami : Ken Gannon (1 épisode) 2005 : Reba : Révérend Parks (1 épisode) 2005 : Des amours de sœurcières : Thantos 2006 : Shark : Charlie Bender (1 épisode) 2006 : Ugly Betty : le présentateur de télé (1 épisode) 2006-2007 : Veronica Mars : Professeur Hank Landry (8 épisodes) 2006-2007 : Juste cause : l'avocat de Veeder (2 épisodes) 2007 : Pushing Daisies : Mark Chase (1 épisode) 2007 : Des amours de sœurcières 2 : Thantos 2007 : Bones : Terry Stinson (1 épisode) 2007 : NCIS : Enquêtes spéciales : Ray Vincent (1 épisode) 2007 : Las Vegas : Ted Landros (1 épisode) 2008 : Boston Justice : Stanley Gould (1 épisode) 2008 : Burn Notice : Zeke (1 épisode) 2008 : The Cleaner : Tom D'Agostino (1 épisode) 2008-2009 : Valentine : Ray Howard (8 épisodes) 2009 : Life : Stanton (1 épisode) 2009 : Mentalist : Rand Faulk (1 épisode) 2009 : According to Jim : Daniel (1 épisode) 2009 : Drop Dead Diva : Kevin Hanson (1 épisode) 2009 : Crash : Jonas Dixon (2 épisodes) 2009-2010 : Big Love : Ted Price (9 épisodes) 2010 : : un notaire (1 épisode) 2010 : Rizzoli and Isles : Nate (1 épisode) 2010 : Les Experts : Manhattan : Charles Richmore (1 épisode) 2010-2011 : Gigantic : John Moore (13 épisodes) 2011 : Working Class : Rob Parker (8 épisodes) 2011 : Hot in Cleveland : Richard (1 épisode) 2011 : Private Practice : Robert Weston (1 épisode) 2012 : Desperate Housewives : Frank (2 épisodes) 2012 : Hawaii 5-0 : Tony Denis (1 épisode) 2012 : The Finder : Dwayne Anderson (2 épisodes) 2012 : Longmire : Dennis Nunn (1 épisode) 2012 : Esprits criminels : Barry Flynn (1 épisode) 2012 -2013 : The Newsroom : Tony Hart (2 épisodes) 2013 : Castle : Peter Monroe (1 épisode) 2013 : Une mère indigne : Scott 2013 : Scandal : Senateur Richard Meyers (1 épisode) 2014 : Cloud 9 : Richard Morgan 2014 : Franklin & Bash : Paul Levy (1 épisode) 2014 : Grey's Anatomy : Oliver Lebackes (2 épisodes) depuis 2015 : Better Call Saul : Howard Hamlin (20 épisodes, principal) 2015 : Scorpion : Capitaine Stephen Caine (1 épisode) 2016 : Grimm : Eugene Forbes (Episode: "Skin Deep") 2016 : Croire en ses rêves : Coach Willis 2017 : Elementary : Lars Vestergaard (1 épisode) 2017 : Lucifer : Reese Getty (1 épisode) 2018 : Marvel : Les Agents du SHIELD : Gaius Ponarian (2 épisodes) Notes et références Liens externes Naissance en décembre 1964 Naissance à Pittsburgh Acteur américain Étudiant de l'université d'État de Pennsylvanie Acteur de l'univers cinématographique Marvel
Jean Boyé
Jean Boyé, né à Lalinde (Dordogne), le et mort le à Cahors, est un artiste peintre français. Biographie Très jeune, la passion du dessin La passion du dessin est venue très jeune à Jean Boyé. Ainsi, dès l'âge de 17 ans il dessina et durant toute son existence, il s’y est consacré. Il n’était pas le premier artiste dans sa famille puisque son grand-père, Julien Mallet, était ferronnier d'art. Il réalisa notamment les grilles du château des Milandes. C'est sans doute de lui qu’il tenait certaines dispositions qui devinrent une véritable vocation. Une formation exigeante La formation de Jean Boyé fut approfondie et ses professeurs nombreux. À Périgueux, Il fut l'élève de Julien Saraben qui lui enseigna la technique, lui apprit la patience et lui donna le goût du labeur. Ensuite, il a travaillé avec Maurice Albe, son maître tant sur le plan du dessin que de la peinture. Leur rencontre se fit par hasard. Revenant de Périgueux en compagnie de son père, ils s’arrêtèrent à Saint-Félix de Reilhac pour faire quelques croquis de ce village. Arrivés à Sarlat, ils allèrent chez les parents d'Alain Carrier qui tenaient le Café du Palais près de la poste ; leur fils, affichiste, graphiste, était là, il regarda les esquisses de Jean Boyé et lui présenta Maurice Albe. Le Périgord Noir Pendant trois ans, il parcouru, avec Maurice Albe ce chantre de la société rurale du Périgord noir, routes de campagne et chemins creux, le chevalet sur l'épaule. Jean Boyé garda de ces pérégrinations dans le Périgord noir, le gout des toitures en triangle et en pierres, des collines couvertes de bois et des causses parsemés de ruines. Toute sa vie, il restera profondément attaché à ses racines dont l'écrivain américain Henry Miller, lui écrira en 1952, qu’il était « le berceau d'une race d'hommes qui devrait, qui doit renaître. Nous avons perdu tout depuis le Cro-Magnon ». L’arrivée à Paris En 1950, Jean Boyé décida, pour parfaire ses connaissances, de s’installer à Paris. Il commence par fréquenter les musées et les expositions du moment où il cherche des compléments indispensables pour parfaire sa culture artistique. Pendant ces mois de travail, il réalise notamment des nus. Il fait aussi des copies (antiquité, tableaux) au musée du Louvre. C’est à Paris aussi qu’il découvre les arts primitifs dont il se sent très proche, notamment celui de la Polynésie. Mais bientôt, admis à l'Académie Julian, il entre dans la classe de dessin du sculpteur Jacques Zwobada, disciple de Rodin, et dans celle de Jules Cavaillès pour la peinture. Il fréquente également l'atelier de croquis de la Grande-Chaumière. Une suite de nus au fusain provient de cette période. Au cours de l’année 1953, attiré par l'art antique et la peinture de la Renaissance italienne, il se rend à Rome. Il y reste deux mois, le temps de se familiariser avec le travail des artistes de cette époque. À son retour, Jean Boyé dessine au fusain de grands paysages inspirés par les vallées de la Beune, site typique du Périgord. Dans leur conception et leur réalisation, il intègre les principes essentiels acquis au cours des années précédentes. La rencontre avec Roger Bissière En , il découvre des peintures et des tapisseries de Roger Bissière, lors d'une exposition chez René Drouin place Vendôme, à Paris. Il est intensément séduit par son art novateur si bien qu'en août de la même année, il s'empresse de lui rendre visite à Boissiérette dans le Lot. Il le rencontrera plusieurs fois jusqu'en 1953. L'admiration pour le travail de l'artiste est alors complétée par l'amitié pour l'homme et pendant plusieurs années, il bénéficie de ses conseils. C’est ainsi que Bissière l’influencera. Il dira à ce propos : « on est toujours influencé par ceux qu'on rencontre et par les travaux successifs qu'on exécute ». Peu à peu, à partir de ses dessins très structurés et avec l'apport de la couleur, sa technique a pris de l'envol avec des horizons plus larges qui participent à la fois du figuratif et du non figuratif. À la même époque, Jacques Lassaigne, historien et critique d'art, originaire du Périgord, vivement intéressé par ses travaux, l'encourage et le fait exposer dans la galerie du Faubourg Saint-Honoré à Paris, chez Armand Drouant. Plus tard, son inspiration se nourrira également de la symbolique attentivement étudiée dans les églises romanes et dans l'architecture paysanne de sa région natale. Enfin, pour compléter ces années d'apprentissage, il s'inscrivit au cours supérieur d'arts et techniques graphiques de l'école Estienne et à celui de dessin animalier au Muséum national d'histoire naturelle à Paris. Formation École de dessin de Périgueux, élève de Julien Saraben et de Maurice Albe Académie Julian Paris, élève du sculpteur Jacques Zwobada pour le dessin et du peintre Jules Cavaillès Académie de la Grande-Chaumière Paris, atelier de croquis Rencontre en 1950 dans le Lot du peintre Roger Bissière dont il reçoit les conseils pendant quelques années Études d'art antique à Rome Copies au Musée du Louvre Copies des tapisseries de la Dame à la Licorne Cours de dessin animalier au Muséum national d'histoire naturelle à Paris Cours supérieur d'arts et de techniques graphiques École Estienne Paris Collaboration à l'atelier de lithographie du groupe Espace-demain Laurière Dordogne Quelques œuvres Zoom sur l'œuvre Un style éclectique Sur le plan technique, Jean Boyé a tout d'abord utilisé la mine de plomb, puis la pierre noire, la sanguine, le pastel, l'aquarelle et bien sûr la peinture à l'huile. Quant à sa méthode de travail elle était simple et normale. Il allait sur le motif faire une ébauche qui était ensuite construite et mûrie dans son atelier. Tous les jours, il dessinait, un peu comme un pianiste fait ses gammes quotidiennes, pour ne pas perdre la main et rester en contact permanent avec le métier. Au niveau des sujets, il a peint les pinèdes du Languedoc où il a aussi résidé. Les étangs, la mer et le Périgord étaient également au menu. Régulièrement, il revenait en Dordogne reproduire ses paysages principalement ceux du Sarladais. Dans son ouvrage consacré aux peintres du Périgord, Jean Michel Linfort écrit à propos des œuvres que Jean Boyé a consacré à la nature : « dans sa décantation de l’espace, Jean Boyé n’ausculte plus les conventions extrêmes » du paysage et « l’engloutissement habituel du décor dévoré par son reflet. Il spécule sur la fragmentation d’un paysage qu’il décrit dans des géométries nouvelles et allusives. Le rythme l’emporte ici sur la perspective ». Ce style s’enracine dans un terroir Sarladais mais en cherchant à le déstabiliser par la recherche de nouvelles formes. C’est ainsi que sous l’influence de son maître cubiste, Maurice Albe, Jean Boyé « simplifie la gamme pour toucher l’arbre dans ses parties vives. Les couleurs primaires, le bleu et le jaune travaillent plus dans le contraste que dans les mélanges. L’artiste créée une surface visuelle dont la profondeur est brouillée et la verdure traitée en quelques traces. Entre espace et matière, la couleur s’identifie au motif. » Dessinateur et pastelliste de talents, il souligne par une « ligne à peine ébauchée » l’impérialisme du contour « et son langage propre ». Dessin en main, « Boyé est l’homme de la réticence : coloriage limité », espace à mi-chemin de « la construction et de la déconstruction. La conception de l’espace reste dominée par la ligne, instrument d’une figuration où la couleur monochrome lui laisse le champ libre ». Il en résulte que la silhouette « garde sa prépondérance, lui accordant la solitude plutôt que la profusion. » Un homme de culture Son œuvre, essentiellement figurative, sera marquée par ses études classiques. Ainsi, si l'art abstrait l'attira un certain temps, notamment durant sa période Bissière, il revint vite au figuratif qui était sa véritable inclination. Néanmoins, il appréciait beaucoup le travail des cubistes. Il l’avait d’ailleurs traduit dans son travail souvent très géométrisé. Il était également passionné de cinéma, amateur notamment du néo-réalisme italien. Il affectionnait les images en noir et blanc dans le style des actualités de guerre. Il en aimait le gros grain comme s'il s'agissait d'un travail sur pierre lithographique ou au fusain. Presque à la même époque parait le très beau livre de photos de William Klein sur New-York, photos esthétiquement très proche de cette conception. Il s’intéressait également à la mise en page, la calligraphie. Pour se perfectionner, il suivra des cours à l'École Estienne. Ses amis artistes Enfin, il a bien connu François Augiéras, écrivain et peintre. Leur rencontre date de 1947 à Périgueux. Avec les peintres : Marcel Loth et Guy Célérier, l'écrivain Paul Placet et François Augiéras, ils formaient un petit groupe d’amis. Leurs rencontres furent marquées par l’apport de chacun, un enrichissement mutuel, mais également une vive effervescence sur le plan des idées Ce groupe se rencontra fréquemment en Périgord. L'art moderne, la musique, l’écriture sont l'objet de longues discussions où s’échafaudent leurs théories. Les discussions sont âpres car les esprits sont exigeants. Après quelques années, au gré des hasards de la vie, le groupe se désagrège, chacun choisissant sa voie ; cependant les longues et diverses correspondances, les rencontres en Dordogne permettent à chacun de conserver des relations privilégiées. L’idéal d’une humanité retrouvée Tout au long de ces années, tandis qu’avec ses amis, Jean Boyé s’évertuaient à commenter sensiblement les motivations des créateurs, il continua à peindre et à dessiner. Disparu maintenant, son œuvre forme une somme traçant, à travers la diversité des supports et des techniques, une ambition qui mêle à un paysage classique, une forme rigoureusement structurée et servant l’idéal d’une humanité retrouvée. Expositions et salons Expositions réalisées de 1947 à 1997 : Sociétaire du Salon des Artistes Indépendants Paris Salon d'Automne Paris Salon des Surindépendants Paris Salon de l'Île-de-France Bourg-la-Reine Biennale du Noir et Blanc la Garenne-Colombes Salon des Beaux-Arts de la Dordogne Périgueux Salon Art 24 Périgueux Salon National de peinture Souillac Lot Salon du Musée de Frontignan Hérault Salon International d'Arts plastiques Bédarieux Hérault Salon de peinture de Montélimar Drôme Salon Ville de Clairac Lot et Garonne Notes et références Liens externes Peintre français du XXe siècle Dessinateur français Naissance en juillet 1929 Décès en juin 1997 Décès à Cahors Naissance en Dordogne Décès à 67 ans
Bulbophyllum
Le genre Bulbophyllum est un genre d'orchidées originaire des régions sub-tropicales et tropicales d'Asie, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, de Nouvelle-Calédonie, d'Afrique et d'Amérique. La plupart sont des plantes épiphytes ou lithophytes. En nombre d'espèces, c'est le plus grand genre dans la famille des orchidées et l'un des plus grands du règne végétal. Il compte plus de 2000 espèces dans des biotopes variés. principales espèces On peut citer les espèces suivantes comme exemples de l'extrême variété des formes florales et végétatives que l'on peut trouver dans ce genre: Bulbophyllum beccarii Bulbophyllum barbigerum Bulbophyllum carunculatum Bulbophyllum echinolabium Bulbophyllum falcatum Bulbophyllum fletcherianum Bulbophyllum forrestii Bulbophyllum globuliforme Bulbophyllum macphersonii Bulbophyllum medusae Bulbophyllum minutissimum Bulbophyllum nocturnum Bulbophyllum nutans Bulbophyllum sarcophyllum Liens externes Référence Genre Bulbophyllum en Nouvelle-Calédonie (Association Endémia) Orchidaceae Genre d'Angiospermes (nom scientifique) Végétation tropicale
Chytridiomycota
Les Chytridiomycètes (Chytridiomycota) ou chytrides constituent un vaste groupe de champignons saprophytes ou parasites, majoritairement composés de Champignons aquatiques, présentant des caractères considérés comme ancestraux (les plus anciens fossiles de champignons, trouvés au Nord de la Russie dans des couches géologiques datées du Vendien, ressemblent aux Chytridiomycota contemporains (d'autres fossiles plus anciens qu'on a cru être des champignons, seraient en réalité des cyanobactéries). Ce sont aussi les seuls champignons dont les gamètes ont un flagelle leur permettant de nager. L'ensemble de ces caractéristiques laisse penser que ce groupe, mais aussi tous les champignons pourraient avoir une origine aquatique plutôt que terrestre. Un sous-groupe (Hyphochytrids) produit aussi de la cellulose, ce qui est unique au sein du règne fongique. Morphologie, écologie Elles varient considérablement selon les espèces ; Certains ne vivent qu'en eau douce ou en mer, les uns parasitent des plantes ou des diptères, tandis que d'autres colonisent des plantes en décomposition ou certains organes d'insectes. Certains sont unicellulaires, d'autres coenocytiques alors que d'autres encore produisent un mycélium comme le font d'autres champignons. Phylogénie Les chytrides sont aujourd'hui considérés par la phylogénie comme la base évolutive des champignons la plus ancienne, d'où ont émergé les Zygomycota puis les Ascomycota et Basidiomycota. La plupart sont aquatiques, et surtout présents dans les eaux douces. Ils sont saprophytes ou parasites, dégradant la chitine et la kératine. L'un de leurs points communs est de posséder des spores mobiles (zoospores) à un flagelle ; ce sont d'ailleurs les seuls organismes classés dans les mycètes à posséder ce type de spores. Le thalle ne forme pas un vrai mycélium. Certaines espèces sont unicellulaires. Taxonomie Dans la classification d'Alexopoulos les Chytridiomycota constituent une des quatre grandes divisions du règne fongique. Cette division regroupe les espèces à spores uniflagellées et paroi cellulaire chitineuse de l'ancienne division des Mastigomycota, qui chevauchait deux règnes, aujourd'hui séparée en Chytridiomycota (Fungi) et Chromista. Le nom fait référence au chytridium (du grec chytridion signifiant « petit pot »), la structure renfermant les spores. Dans les classifications antérieures, les chytrides (à l'exception des ordres récents des Neocallimastigales et des Spizellomycetales) étaient placés dans la classe des Mastigomycota (ou Phycomycetes, du grec « champignons algues »), appartenant elle-même à la sous-division des Myxomycophyta. Dans une acception plus ancienne et plus restreinte, le terme de « chytrides » faisait seulement référence à l'ordre des Chytridiales. La classification des Chytridiomycota a été, et est toujours, l'objet de nombreuses révisions. La classification la plus récente d'Hibbett (2007) a redéfini l'embranchement des Chytridiomycota comme un ensemble polyphylétique qui a été scindé en trois phylums : Chytridiomycota (deux classes : Chytridiomycetes et Monoblepharidomycetes) Neocallimastigomycota Blastocladiomycota Taxons subordonnés classe Chytridiomycetes ordre Chytridiales ordre Spizellomycetales ordre Rhizophydiales classe Monoblepharidomycetes ordre Monoblepharidales Pathogénicité Les Chytridiomycètes peuvent infecter des micro-organismes procaryotes ou eucaryotes (algues). Certains provoquent la verrue de la pomme de terre (Synchytrium endoboticum), d'autres sont des espèces modèles pour la recherche expérimentale (ex : Allomyces). Aucune pathogénicité pour l'Homme n'est connue. Une espèce en particulier, Batrachochytrium dendrobatidis, est connue pour causer la chytridiomycose, une maladie infectieuse émergente qui décime des amphibiens dans plusieurs régions du monde, en bloquant leurs organes respiratoires (phénomène reconnu depuis 1998, en Australie et à Panama). Des analyses génétiques ont montré que cette espèce a subi un accroissement récent de sa diversité phylogénétique profond, qui a précédé le déclin des amphibiens mondiaux observés ; les variants pathogènes de ce chytride semblent avoir été favorisés par la dégradation de l'environnement et de l'immunité des amphibiens). Microbiote intestinal Les Neocallimastigales font partie du microbiote anaérobie présents dans le rumen d'herbivores domestiques ou sauvages (renne par exemple) où ils contribuent à la dégradation du bol alimentaire. Notes et références Voir aussi Articles connexes Mastigomycota Champignon aquatique Batrachochytrium dendrobatidis Références externes Liens externes Bibliographie Gleason F.H, Mozley-Standridge S.E, Boyle D.G. & Hyatt A.D (2007). Preservation of Chytridiomycota in culture collections. Mycological research, 111(2), 129-136. Division de champignons (nom scientifique)
Jean-Yves Cousin
Jean-Yves Cousin, né le à Périers (Manche), est un homme politique français. Biographie Nommé inspecteur principal des impôts de la Manche en 1988, il est élu maire de Vire de 1989 à 2014. Il est élu conseiller régional de Basse-Normandie en 1998, et conseiller général du Calvados en 2001, mandat qu'il laisse pour l'Assemblée nationale, où il est élu le . Il est réélu en . Candidat à sa réélection en , il est battu par Alain Tourret, maire de Moult. Il est le fils de Léonord Cousin (1921-2007), résistant et ancien élu de Périers et de Millières et le frère d'Alain Cousin. Mandats Assemblée nationale Député de la sixième circonscription du Calvados de 2002 à 2012 Conseil régional de Basse-Normandie Conseiller régional de 1998 à 2001 Conseil général du Calvados Conseiller général du Canton de Vire de 1988 à 1994 et de à Communauté de communes de Vire Président de 2001 à 2014 Commune de Vire Maire de 1989 à 2014. Distinction Liens externes Naissance en février 1949 Naissance dans la Manche Personnalité du Rassemblement pour la République Personnalité de l'Union pour un mouvement populaire Député du Calvados Conseiller général du Calvados Maire du Calvados Maire membre du Rassemblement pour la République Maire membre de l'Union pour un mouvement populaire Chevalier de l'ordre national du Mérite Député de la XIIe législature de la Ve République Député de la XIIIe législature de la Ve République Candidat aux élections sénatoriales françaises de 1998 Candidat aux élections législatives françaises de 2012
Liste de films tournés en Guadeloupe
Un certain nombre d'œuvres cinématographiques et télévisuelles ont été tournés dans le département de La Guadeloupe. Voici une liste à compléter de films, téléfilms, feuilletons télévisés, films documentaires... tournés dans le département de La Guadeloupe, classés par commune, lieu de tournage et date de diffusion. Lieux a déterminer 1976 : Calmos de Bertrand Blier 1977 : La Soufrière (documentaire) de Werner Herzog 1997 : Rien ne va plus de Claude Chabrol 2005 : Nèg Maron de Jean-Claude Flamand Barny 2008 : Souvenirs encombrants d’une femme de ménage (documentaire) de Dani Kouyaté 2011 : Le Bonheur d'Elza de Mariette Monpierre 2011 : Le chevalier de Saint-George (documentaire) de Claude Ribbe 2013 : La smala s'en mêle 2014 : Dimanche de François Marthouret 2020 : Ils étaient dix de Pascal Laugier A Anse-Bertrand : 1998 : Le Radeau de La Méduse, long métrage d'Iradj Azimi B C D Deshaies 2011-2017 : série télévisée Meurtres au paradis E F G H I J K L M Marie-Galante : 2000 : Antilles sur Seine, long métrage de Pascal Légitimus. 2009 : Le Pays à l'envers (documentaire) de Sylvaine Dampierre. Morne-à-l'Eau : 1992 : Siméon de Euzhan Palcy N O P Petit-Canal: 2018: Mauvais Choix, moyen-métrage français de Kichena Pointe-à-Pitre: 2019: Mortenol, court-métrage français de Julien Silloray Q R S Sainte-Anne : 1992 : Siméon, long métrage français réalisé par Euzhan Palcy ( Section "Les Grands Fonds") Saint-François : 2014 : Villa Karayib, série-TV française réalisée par Philippe Giangreco et Gwendal Pointeau (Hameau de Sèze). 2020 : Capitaine Marleau `Saison 3, Épisode 6 : L'Arbre aux esclaves série télévisée de Josée Dayan T 2019 : Ti Moun Aw, court métrage français réalisé par Nelson Foix U V W X Y Z Notes et références Liens externes L2TC.com - Lieux de Tournage Cinématographique Quels films ou séries se sont tournés près de chez vous ? Cliquez sur votre région Guadeloupe Films Film se déroulant en Guadeloupe
Lehnert
Sœur Pasqualina Lehnert, née Joséphine Lehnert (1894 - 1983) Rudolf Lehnert, (1878 - 1948 ), un photographe. Patronyme allemand
Laurent Lecomte
Laurent Lecomte (né le à Paris en France) est un joueur professionnel de hockey sur glace. Biographie Carrière en club Laurent Lecomte commence sa carrière de joueur en jouant pour l'équipe sénior du club de l'OHC Viry-Essonne en 1982-1983. Il est alors sacré meilleur espoir de la Nationale A et remporte le trophée Jean-Pierre Graff du meilleur espoir de la saison. Il va y jouer jusqu'en 1987, année où le club est relégué en Nationale B et ce malgré la présence des deux meilleurs pointeurs de la saison : Guy Fournier et Alain Rioux. Il décide alors de jouer dans un autre club de la capitale française et rejoint les Français Volants. Lors de la seconde saison de Lecomte avec les Français Volants, il remporte le titre de champion de France 1988-1989. Il va jouer encore une saison à Paris avant de rejoindre le Hockey Club de Reims et y jouer deux nouvelles saisons. En 1992, il rejoint les Gothiques d'Amiens pour jouer aux côtés de Patrick Dunn et de Pierre Pousse. Il va jouer toute la fin de sa carrière avec les Gothiques remportant un nouveau titre de champion de France en 1998-1999. Il met fin à sa carrière en 2002 après une dernière saison pour le Hockey Club de Caen en française. Carrière internationale Il commence sa carrière internationale à quinze ans (au tournoi de Bellinzone), par la suite il dispute deux championnats d'Europe Juniors 16-18 ans et deux championnats du monde juniors 18-20 ans. Il joue sous le maillot de l'équipe de France séniors lors des championnats du monde de 1985,1986,1987, 1989, 1990 et 1997. Lors des premières éditions, l'équipe faisait partie du mondial B alors qu'en 1997, elle finit à la dixième place du tournoi du mondial A. Statistiques Pour les significations des abréviations, voir Statistiques du hockey sur glace. Statistiques en club Pour les significations des abréviations, voir statistiques du hockey sur glace. | 1982-1983 || OHC Viry-Essonne || France || || || || || || || || || || |- | 1983-1984 || OHC Viry-Essonne || France || || || || || || || || || || |- | 1984-1985 || OHC Viry-Essonne || France || || || || || || || || || || |- | 1985-1986 || OHC Viry-Essonne || France || || || || || || || || || || |- | 1986-1987 || OHC Viry-Essonne || France || || || || || || || || || || |- | 1987-1988 || Français Volants || France || || || || || || || || || || |- | 1988-1989 || Français Volants || France || 38 || 21 || 24 || 45 || 24 || 6 || 6 || 5 || 11 || 10 |- | 1989-1990 || Français Volants || Coupe Européenne || || || || || || || || || || |- | 1989-1990 || Français Volants || France || 32 || 19 || 18 || 37 || 43 || 4 || 1 || 1 || 2 || 2 |- | 1990-1991 || HC Reims || France || 26 || 13 || 25 || 38 || 20 || 3 || 2 || 4 || 6 || 0 |- | 1991-1992 || HC Reims || France || 26 || 12 || 20 || 32 || 26 || || || || || |- | 1992-1993 || Gothiques d'Amiens || France || 32 || 22 || 19 || 41 || 68 || || || || || |- | 1993-1994 || Gothiques d'Amiens || France || 20 || 18 || 26 || 44 || 36 || 12 || 2 || 9 || 11 || 14 |- | 1994-1995 || Gothiques d'Amiens || France || 28 || 11 || 17 || 28 || 18 || 8 || 3 || 6 || 9 || 2 |- | 1995-1996 || Gothiques d'Amiens || France || 28 || 12 || 17 || 29 || 14 || 12 || 0 || 0 || 0 || 10 |- | 1996-1997 || Gothiques d'Amiens || France || 30 || 14 || 18 || 32 || 48 || 10 || 8 || 6 || 14 || 8 |- | 1997-1998 || Gothiques d'Amiens || EHL || 6 || 1 || 0 || 1 || 0 || || || || || |- | 1997-1998 || Gothiques d'Amiens || France || 41 || 18 || 23 || 41 || 38 || || || || || |- | 1998-1999 || Gothiques d'Amiens || Continental Cup || || || || || || || || || || |- | 1998-1999 || Gothiques d'Amiens || France || 45 || 13 || 30 || 43 || 36 || || || || || |- | 1999-2000 || Gothiques d'Amiens || EHL || 5 || 0 || 0 || 0 || 2 || || || || || |- | 1999-2000 || Gothiques d'Amiens || France || 40 || 6 || 25 || 31 || 26 || || || || || |- | 2001-2002 || HC Caen || Division 3 || || || || || || || || || || Statistiques internationales | 1987 ||align="left"| ||align="left"| Championnat du monde || 1 || 0 || 0 || 0 || 2 ||align="left"|Douzième place |- | 1990 ||align="left"| ||align="left"| Championnat du monde || 5 || 0 || 0 || 0 || 2 ||align="left"|Quatrième place (groupe B) |- | 1997 ||align="left"| ||align="left"| Championnat du monde || 8 || 0 || 1 || 1 || 2 ||align="left"|Dixième place Références Voir aussi Naissance en août 1965 Joueur international français de hockey sur glace Attaquant de hockey sur glace Joueur du Hockey Club Amiens Somme Joueur des Français volants de Paris Joueur du Viry-Châtillon Essonne Hockey Joueur du Hockey Club de Reims Joueur du Hockey Club de Caen
Crésilas
Crésilas (en grec ancien / ) est un sculpteur grec du , contemporain de Phidias. Œuvre Originaire de la cité de Cydonia, en Crète, il effectue sa carrière à Athènes. On lui doit le portrait de Périclès dit « olympien » qui était placé sur l'Acropole. Cette statue en bronze, réalisée après la mort de l'homme d'État, le représentait debout dans une attitude proche de celle des bronzes de Riace. Elle a été reconnue dans plusieurs hermès romains inscrits, dont l'un aux musées du Vatican (voir ci-contre) et un autre au British Museum. On rapproche le style du Périclès olympien du type d'Athéna dit Pallas de Velletri, dont la statue éponyme est conservée au musée du Louvre et du type dit de Diomède à la lance, dont des exemplaires figurent à la glyptothèque de Munich (voir l'article Diomède) et au Louvre. Il est aussi l'auteur d'une Amazone blessée réalisée dans le cadre du concours organisé en - pour le temple d'Artémis à Éphèse et finalement remporté par Polyclète. Le type de l'Amazone blessée est connu par de nombreuses copies qu'il est difficile d'attribuer aux différents compétiteurs. On hésite généralement pour Crésilas entre le type du Capitole-Sôsiclès — exemplaires aux musées du Capitole, au Vatican et au Louvre — et le type Berlin-Lansdowne-Sciarra — exemplaire au Metropolitan Museum of Art. On lui attribue également une statue de blessé mourant décrite par Pline l'Ancien, peut-être la même que la « statue en bronze de Diitréphès, blessé par des flèches » que voit Pausanias sur l'Acropole au Une base datée de porte effectivement l'inscription : « Hermolycos, fils de Diitréphès, en dîme. Œuvre de Crésilas. » Nous avons également connaissance d'un Doryphore (porteur de lance) , d'une vache votive à Déméter Chthonia et d'un ex-voto à Athéna Tritogénie. « Cresilla » En 1804, Crésilas est pris par erreur pour une femme nommée « Cresilla » par , qui pensait qu'« elle » s'était classée troisième (après Polyclète et Phidias) lors d'une compétition pour sculpter sept Amazones pour le temple d'Artémis à Éphèse. En conséquence, Crésilas fut inclus par erreur parmi les de The Dinner Party, œuvre de l'artiste féministe Judy Chicago. Notes et références Bibliographie , p. 206 et 214. , 1071 à 1084. Gisela M.A. Richter, Sculpture and Sculptors of the Greeks, Yale University Press, 1970, p. 72 et suiv. Liens externes Sculpteur de la Grèce antique Éponyme d'un objet céleste Personne mentionnée sur The Dinner Party
Céline de Meaux
Sainte Céline (de Meaux) est contemporaine de sainte Geneviève. Ses riches parents voulaient la fiancer, mais elle refusa. Elle avait rencontré sainte Geneviève et comme elle, préféra prendre le voile des vierges consacrées, entre 465 et 480. Sources La fleur des saints - Omer Englebert - 1980 - Albin Michel - Imprimatur du 26-12-1979 - Le petit livre des saints - Rosa Giorgi - Larousse - 2006 - page 618 - Voir aussi Article connexe Sainte Céline (de Laon), mère de saint Rémi, fêtée aussi le . Liens externes Présentation de sainte Céline de Meaux sur le site Missel Sur le site Nominis Saint catholique et orthodoxe du Ve siècle Saint catholique et orthodoxe de France Personnalité du haut Moyen Âge par nom Moniale du haut Moyen Âge Sainte du haut Moyen Âge Vierge consacrée
Pro Bowl 2014
Le Pro Bowl 2014 est le match des étoiles de football américain de la pour la saison 2013. Il se joue à l'Aloha Stadium d'Honolulu, Hawaï le entre les meilleurs joueurs de la NFL répartis en deux équipes par deux légendes de la ligue Jerry Rice et Deion Sanders qui choisissent tour à tour leurs joueurs préférés. La rencontre est remportée sur le score de 22 à 21 par l'équipe Rice. Équipe Sanders C'est , entraîneur principal des Colts d'Indianapolis qui a dirigé l'équipe Sanders. Équipe Rice C'est Ron Rivera , entraîneur principal des Panthers de la Caroline qui dirigera l'équipe Rice. Joueurs sélectionnés n'ayant pas participé Notes : Le joueur doit accepter l'invitation à être remplaçant pour apparaître dans les listes. Celui qui refuse l'invitation n'est pas considéré comme Pro Bowler. Sélectionné comme remplaçant à la suite d'une blessure ou d'une place vacante. Blessé/joueur suspendu - sélectionné mais n'a pas participé. Sélectionné mais n'a pas joué car son équipe participait au Super Bowl XLVIII. Nombre de sélection par franchise Notes et références Références : Lien externe Site officiel du Pro Bowl 2014 Compétition de football américain à Hawaï Sport aux États-Unis en janvier 2014 Football américain aux États-Unis en 2014
Championnat du Liberia de football 2013-2014
La saison 2013-2014 du Championnat du Liberia de football est la du championnat de première division liberien. Les douze clubs engagés sont regroupés au sein d'une poule unique où ils s'affrontent à deux reprises, à domicile et à l'extérieur. En fin de saison, les trois derniers du classement sont relégués et remplacés par les trois meilleurs clubs de Second Division, la deuxième division nationale. C'est le tenant du titre, Barrack Young Controllers FC qui remporte à nouveau la compétition cette saison après avoir terminé en tête du classement final, avec un seul point d'avance sur LPRC Oilers et trois sur MC Breweries. C'est le deuxième titre de champion du Liberia de l'histoire du club. Participants Compétition Classement Le classement est basé sur le barème de points classique (victoire à 3 points, match nul à 1, défaite à 0). Pour départager les égalités, on tient d'abord compte de la différence de buts générale, puis du nombre de buts marqués, puis des confrontations directes. |width=50%| |} Matchs Bilan de la saison Voir aussi Articles connexes Championnat du Liberia de football Lien externe Résultats complets sur le site RSSSF 2013-2014 Liberia M1 2013 au Liberia 2014 au Liberia
Rambach
Rambach peut faire référence à : Alain Rambach, un microbiologiste français. Rambach, ou Rom, une rivière de Suisse et d'Italie. Anne Rambach, une romancière française. Marine Rambach, une éditrice française. Rambach, quartier de Wiesbaden (Allemagne). Rambach Agar, milieu de culture chromogène.
HETE
HETE peut désigner : Acide hydroxyeicosatétraénoïque molécule chimique HETE observatoire spatial de la NASA
Jacqui Cooper
Jacqui Cooper, née le , est une skieuse acrobatique australienne. S'illustrant dans la discipline du saut, la skieuse partait favorite de l'épreuve lors des Jeux olympiques d'hiver 2006 ; elle échoua cependant à la dernière place de la finale à cause d'une chute sur la réception d'un saut. Son palmarès n'en reste pas moins impressionnant avec trois victoires au classement général final de la Coupe du monde de ski acrobatique en 1999, 2000 et 2001 et un titre de championne du monde en 1999. Palmarès Jeux olympiques d'hiver Jeux olympiques de 1994 à Lillehammer (Norvège) : 16 sur l'épreuve du saut. Jeux olympiques de 1998 à Nagano (Japon) : 23 sur l'épreuve du saut. Jeux olympiques de 2006 à Turin (Italie) : 8 sur l'épreuve du saut. Jeux olympiques de 2010 à Vancouver (Canada) : 5 sur l'épreuve du saut. Championnats du monde Championnats du monde de 1999 à Meiringen-Hasliberg (Suisse) : Médaille d'or sur l'épreuve de saut. Championnats du monde de 2007 à Madonna di Campiglio (Italie) : Médaille de bronze sur l'épreuve de saut. Coupe du monde 3 gros globe de cristal : Vainqueur du classement général en 1999, 2000 et 2001. 5 petits globe de cristal : Vainqueur du classement sauts en 1999, 2000, 2001, 2007 et 2008. 39 podiums dont 24 victoires. Liens externes Naissance en janvier 1973 Naissance à Melbourne Skieuse acrobatique australienne Championne du monde de ski acrobatique Skieuse acrobatique aux Jeux olympiques d'hiver de 1994 Skieuse acrobatique aux Jeux olympiques d'hiver de 1998 Skieuse acrobatique aux Jeux olympiques d'hiver de 2006 Skieuse acrobatique aux Jeux olympiques d'hiver de 2010
Ahmed Bilal Shah
Ahmed Bilal Shah (décédé le 25 juin 2021) est un médecin zimbabwéen-pakistanais et une personnalité de la télévision, présentateur sur . Carrière et parcours Ahmed Bilal Shah est né au Pakistan. Il a déménagé au Zimbabwe en 1982 puis a commencé sa pratique médicale en 1987 en travaillant à l'hôpital Parirenyatwa. Il a ensuite travaillé dans les banlieues à forte densité de Harare et il a été le premier médecin étranger à travailler dans les zones à forte densité du pays. Pendant cette période, Ahmed Shah est allé dans les écoles pour donner des conférences sur les bonnes pratiques de santé. Au début des années 90, il a rencontré l'un des journalistes de la télévision zimbabwéenne, Reuben Barwe, qui a organisé sa première interview télévisée ZBC sur les questions de santé. À partir de là, une idée pour sa propre émission de télévision a émergé. Il a alors lancé le programme You and Your Health sur ZBC TV qui a été diffusé de 1992 à 2007. Dans son émission, il a interviewé de nombreux médecins, dont le chirurgien sud-africain Christiaan Barnard, qui a effectué la première transplantation cardiaque humaine au monde en 1967. Le Dr Ahmed Bilal Shah a également présenté le segment Good Morning Zimbabwe Health Is Wealth de ZBC qui était diffusé tous les jeudis matin. Décès Le 25 juin 2021, Ahmed Shah est décédé de la COVID-19 à l' de Harare, à l'âge de 67 ans. Références Mort de la maladie à coronavirus 2019 au Zimbabwe Décès en juin 2021 Naissance en 1954
Riviera Palace
Riviera Palace (Beausoleil) Hôtel Riviera-Palace (Menton)
Taqueuse
En règle générale, une taqueuse est un dispositif / appareil servant à rectifier les bords de piles de papier par vibration. Dans le secteur du façonnage du papier, un tel appareil est utilisé pour aligner les bords des rames à couper avant la coupe. Ceci s'effectue à l'aide d'une table avec deux butées latérales et une butée à l'arrière. Cette table est équipée d'un moteur de vibration. Pour aligner les bords de la rame, la table de la taqueuse s'incline vers la gauche ou vers la droite tout en vibrant durant ce processus. Parfois, cette machine est également équipée d'un rouleau compacteur qui élimine l'air entre les feuilles, ce qui améliore encore l'alignement des feuilles. Machine-outil Imprimerie
Fêtes et jours fériés au Portugal
Les fêtes et jours fériés au Portugal sont un mélange de célébrations religieuses (catholiques romaines) sélectionnées et de jours qui ont une signification historique ou culturelle nationale. Au Portugal, un jour férié (portugais : ) est une date calendaire, légalement reconnue et définie dans le Code du travail ainsi que dans le Concordat de 2004, à laquelle la plupart des entreprises et des services non essentiels sont fermés. À certaines de ces dates, des festivités commémoratives publiques sont traditionnellement organisées. Ces dates ont changé au fil du temps : actuellement, il y a 13 jours fériés obligatoires et un optionnel (Carnaval) qui doit être spécifiquement désigné comme jour de congé (tolérância de ponto) chaque année par décret gouvernemental. Des dates spécifiques peuvent également être observées uniquement au niveau régional ou municipal. Jours fériés En 2012, le gouvernement de coalition de Pedro Passos Coelho a révoqué de manière controversée quatre jours fériés . Cette décision a été effective à partir de 2013 et a été présentée comme une mesure visant à accroître la productivité, dans le contexte du plan de sauvetage de la Troïka 2011-2014 au Portugal (même si cette mesure n'a jamais été demandée par le protocole d'accord). Un débat public et une réévaluation étaient prévus en 2018 pour les fêtes religieuses. Les quatre jours fériés ont finalement été rétablis par le gouvernement d'António Costa, en janvier 2016. Jours fériés locaux Selon un décret du , les communes ont la possibilité de choisir un jour qui représente leurs fêtes traditionnelles. Notes et références Portugal
Marsch
Marsch (pl., marschen) désigne des marais asséchés et protégés par des digues. Les marschen couvrent environ à proximité et sur le littoral allemand de la mer du Nord. Ils sont de deux sortes : maritimes (Seemarschen) ou le long des grands fleuves (Flussmarschen) : Ems, Weser, Elbe. Constitués de fines alluvions riches en matières organiques, les marschen sont des terroirs agricoles fertiles, largement supérieurs aux terres de la Geest, situées en arrière. Il s’agit de régions agricoles riches où la lutte contre la mer est permanente. Les seemarschen sont le domaine de propriétés moyennes où se pratiquent une agriculture intensive (avoine, orge, betteraves, herbe) et un élevage bovin de grande qualité. En revanche, les flussmarschen se sont orientées, aux abords des grandes villes, vers les cultures légumières et fruitières. Articles connexes Marais maritime Marais Polder Geest Marais en Allemagne
Liste d'élections en 1953
Cet article recense les élections ayant eu lieu durant l'année 1953. Il inclut les élections législatives et présidentielles nationales dans les États souverains, ainsi que les référendums au niveau national. C'est la période de la Guerre froide. En Europe de l'est, les élections ont lieu à parti unique : aucune candidature d'opposition au régime communiste n'est possible. Néanmoins, la mort du dictateur soviétique Joseph Staline au mois de mars entraîne une politique de déstalinisation. En Hongrie, les élections du mois de mai portent au pouvoir Imre Nagy, qui entame une politique de réformes pour se défaire du stalinisme. Ailleurs en Europe, le Portugal demeure également une dictature à parti unique, d'inspiration fasciste et en s'appuyant sur l'Église catholique. Le semblant d'élections au mois de novembre y est conçu pour conforter la dictature. Une partie de l'Amérique latine demeure en proie à la violence et aux répressions. Le Paraguay est lui aussi une dictature à parti unique, de droite, où aucune opposition n'est tolérée ; l'élection présidentielle du mois de février est une pure façade, puisque le président sortant est le seul candidat autorisé. La Colombie est en pleine guerre civile lors de ses élections en mars, où seuls participent les conservateurs. Le Costa Rica en juillet connaît un retour partiel au multipartisme, mais deux des principaux partis d'opposition demeurent interdits. En Afrique du Sud ont lieu en avril les premières élections après l'instauration de la politique d'apartheid. Si la Cour suprême a bloqué pour la moment la tentative du gouvernement de restreindre plus fortement le droit de vote de la population dite coloured (ni blanche, ni noire), la minorité blanche constitue une majorité écrasante de l'électorat, et seuls les blancs peuvent être élus députés. Par mois Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre 1953
Karl-August Fagerholm
Karl-August Fagerholm, né le à Siuntio et mort le à Helsinki, est un homme d'État finlandais, membre du Parti social-démocrate de Finlande (SDP). Jeunesse Karl-August est le fils de Johan August Fagerholm et de Olga Serafina Worbs (auparavant Nordman). La famille Fagerholm est originaire de Siuntio et Inkoo, où le grand-père de Karl-August, Israël August Fagerholm, est un métayer du village de Sunnanvik. Le grand-père maternel de Karl-August déménage avec sa famille d'Ostrobotnie à Helsinki dans les années 1850. Johan August Fagerholm meurt de tuberculose en juin 1901, six mois avant la naissance de son plus jeune fils, après quoi sa veuve déménagera avec ses quatre jeunes enfants à Pasila, et de là quelques années plus tard à Lapinlahti. Élève de l'école primaire, Karl-August Fagerholm gagne de l'argent de poche entre autres en distribuant des magazines et des fleurs. Il obtient son premier emploi permanent au service du courrier de Hufvudstadsbladet et à partir de 1916, il travaille dans divers salons de coiffure à Helsinki. Carrière De 1920 à 1923, Karl-August Fagerholm travaille pour la direction de Syndicat des coiffeurs, À partir de 1923, il est rédacteur en chef d'. De 1930 à 1966, il est député SDP de la circonscription d'Uusimaa (du 21.10.1930 au 31.08.1933 et du 06.04.1945 au 28.03.1954), de la circonscription de Vaasa (du 01.09.1933 au 05.04.1945), de la circonscription d'Helsinki (du 29.03.1954 au 04.04.1966). Puis de 1937 à 1944 il est ministre des Affaires sociales des gouvernements Cajander III, Ryti I, Ryti II, Rangell, Linkomies et Urho Castrén. Puis il est Premier ministre des gouvernements Fagerholm I, Fagerholm II et Fagerholm III ainsi que ministre des affaires étrangères de ce dernier gouvernement. Guerres d'hiver et de continuation Au gouvernement, Karl-August Fagerholm ne cachait pas son attitude fortement négative, sa haine pure et simple de l'Allemagne nazie et de son chef, Adolf Hitler. Dans ses mémoires, Karl-August Fagerholm a ouvertement décrit Hitler comme «l'un des plus grands méchants de l'histoire du monde» et considérait comme épouvantable l'idée d'Hitler dirigeant l'Europe. L'ambassadeur d'Allemagne à Helsinki, Wipert von Blücher, a exprimé au ministre des Affaires étrangères Rudolf Holsti sa forte désapprobation de la nomination de Fagerholm au poste de ministre des Affaires sociales du gouvernement Cajander III en 1937 après que la Cour d'appel d'Helsinki ait infligé à Karl-August Fagerholm une amende de pour avoir insulté Hitler et von Blücher dans un entretien avec Elmer Diktonius dans l'Arbetarbladet. Pendant la guerre de continuation, l'internement de 68 000 réfugiés dans les camps de travail et le scandale d'Arno Anthoni, l'expulsion de huit juifs livrés à la Gestapo, ont poussé Fagerholm à presenter sa démission du gouvernement. Cette menace de démission a finalement conduit à la cessation de l'extradition des réfugiés de la Finlande vers l'Allemagne. Karl-August Fagerholm a également agacé les Allemands dans un de ses discours tenu à Stockholm en novembre 1942, dans lequel il souligne que la Finlande ne se battait pour aucune restructuration européenne et que «nous ne savons pas qui dicte les conditions de la paix». À l'automne 1943, Karl-August Fagerholm a finalement exaspéré l'Allemagne nazie en louant dans un discours les actions des résistants norvégiens contre les occupants allemands. Le discours a provoqué un grave incident dans les relations finlando-allemandes. L'Allemagne insiste alors très fortement pour l'expulsion de Fagerholm du gouvernement, menaçant la Finlande de couper une importante aide alimentaire. En décembre 1943, Karl-August Fagerholm est relevé de ses fonctions de ministre des Affaires sociales. Après guerres Il est Premier ministre du au , du au et du au . Notes et références Voir aussi Bibliographie Articles connexes Ministres des Affaires sociales et de la Santé Gouvernement Fagerholm I - Gouvernement Fagerholm II - Gouvernement Fagerholm III Liens externes Personnalité du Parti social-démocrate de Finlande Premier ministre de Finlande Ministre finlandais des Affaires étrangères Ministre des Affaires sociales et de la Santé en Finlande Président de l'Eduskunta Député de la 23e législature de l'Eduskunta Député de la 22e législature de l'Eduskunta Député de la 21e législature de l'Eduskunta Député de la 20e législature de l'Eduskunta Député de la 19e législature de l'Eduskunta Député de la 18e législature de l'Eduskunta Député de la 17e législature de l'Eduskunta Député de la 16e législature de l'Eduskunta Député de la 15e législature de l'Eduskunta Député de la 14e législature de l'Eduskunta Député de la 13e législature de l'Eduskunta Député de la 12e législature de l'Eduskunta Député de la 11e législature de l'Eduskunta Député de la 10e législature de l'Eduskunta Circonscription d'Helsinki Circonscription dans la région d'Uusimaa Conseiller municipal d'Helsinki Directeur général d'Alko Naissance en décembre 1901 Naissance dans le grand-duché de Finlande Décès en mai 1984 Décès à Helsinki Décès à 82 ans
Phare de Stawa Młyny
Le phare de Stawa Młyny – est une balise en forme de moulin à vent servant de phare situé sur le bras de mer Świna à Świnoujście (Voïvodie de Poméranie occidentale - Pologne). Ce phare est sous l'autorité du Bureau maritime régional (en polonais : ) de Szczecin. Description Ce repère maritime de , en forme de moulin à vent, a été construit en 1873-74, en bout du brise-lames ouest de la Świna, lors de la modernisation de l'embouchure. Il est peint en blanc et a un toit noir. Il agit comme signal maritime pour les navires entrant au port de Świnoujście. C'est un feu à occultations qui émet un éclat blanc de 2.5 secondes toutes les 10 secondes, visible jusqu'à 30 kilomètres. C'est le feu avant d'entrée de port qui est coordonné avec le feu arrière. Stawa Młyny est le symbole de la ville de Świnoujście, faisant partie du logo officiel de la ville. C'est une attraction touristique de la région. Identifiant : ARLHS : POL028 -Amirauté : C2670 - NGA : 6124 . Caractéristique du feu maritime Fréquence sur 10 secondes : Lumière : 2.5 secondes Obscurité : 7.5 secondes Notes et références Voir aussi Article connexe Liste des phares de Pologne Liens externes Liste ARLHS - Pologne Stawa Młyny Phare en Pologne Phare du XIXe siècle Voïvodie de Poméranie-Occidentale Phare de la mer Baltique
Ipil
Ipil est une ville de 1 classe, capitale de la province de Zamboanga Sibugay aux Philippines. Selon le recensement de 2010 elle est peuplée de habitants. Barangays Ipil est divisée en 28 barangays : Démographie Municipalité dans la province de Zamboanga Sibugay Fondation en 1949 Capitale provinciale aux Philippines
Oleg Kopaïev
Oleg Pavlovitch Kopaïev (en — né le à Ielets en Union soviétique et décédé le à Rostov-sur-le-Don en Russie) est un joueur et entraîneur de football soviétique (russe). Biographie Statistiques Liens externes Naissance en RSFS de Russie Naissance à Ielets Naissance en novembre 1937 Décès en avril 2010 Footballeur international soviétique Footballeur russe Joueur du CSKA Moscou (football) Joueur du SKA Rostov Entraîneur soviétique de football Entraîneur russe de football Décès à 72 ans
Gérard Lelièvre
Gérard Lelièvre est un athlète français, né le à Laval. Sa spécialité est la marche. Ses clubs successifs furent l'USM Mayenne de Laval (1966 à 1970), l'ALCL du Grand-Quevilly (1971 à 1985) (le CO d'Harfleur en 1973), et le CA Mayenne de Laval (à partir de 1986). Il est membre du Comité directeur de la Fédération française d'athlétisme, et entraîneur national des marcheurs. Il est également membre du GIFA (Groupement des Internationaux Français d'Athlétisme). Palmarès 58 sélections en équipe de France A 2 sélections en équipe de France Jeune Record du monde des 20 km, le (en 1 h 22 min 19,4 s) Record de France des 20 km, en 1979, et 1984 (en 1 h 22 min 14 s) Record de France des 50 km, en 1979, et 1983 (en 3 h 53 min 56 s) Record de France de l'heure en 1979, et 1984 à 2 reprises (dont 15,094 km) Record de France des 2 heures en 1979, avec 27,598 km Record de France vétérans (- 45 ans) des m marche depuis 1995 (23 min 14,6 s en 2006) Record de France vétérans (- 45 ans) de l'heure de marche depuis 1995 (13,438 km) Record de France vétérans (- 45 ans) des 30 km marche depuis 1996 (2 h 29 min 32 s) Champion du monde du 5 km marche en salle en 1985 en 19 min 06 s 22 Vainqueur du 20 km marche aux Jeux méditerranéens 1979 à Split, en 1983 à Casablanca 30 titres de champion de France, entre 1972 et 1984 Champion de France du 50 km marche, 10 titres : de 1973, 1974, 1975, 1976, 1977, 1979, 1980, 1981, 1982 et 1983 Champion de France du 20 km marche, 13 titres d'affilée : 1972, 1973, 1974, 1975, 1976, 1977, 1978, 1979, 1980, 1981, 1982, 1983 et 1984 Champion de France du 5 km marche en salle, 7 titres d'affilée : 1978, 1979, 1980, 1981, 1982, 1983 et 1984 Divers Vainqueur des 20 km de Banská Bystrica en 1973 Bibliographie . . Références Liens externes Naissance en novembre 1949 Marcheur français Champion du monde d'athlétisme en salle Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1976 Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1980 Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1984 Naissance à Laval (Mayenne)
Georges Serraz
Georges Serraz, né le à Is-sur-Tille et mort le dans le , est un peintre et sculpteur français, d'origine savoyarde. Il est le père de Michel Serraz. Biographie Georges Serraz fait ses études à l'École des Beaux Arts de Besançon, après avoir été peintre aux alentours de 1914, il devient sculpteur, plus particulièrement en art religieux puis commence sa carrière d'artiste de portraits. C'est en 1930 que Georges Sera acquiert une résidence à Villotte-sur-Ource où il travaille. Georges possède des ateliers à Dijon, puis à Paris. Il conçoit des statues monumentales comme la Vierge du Mas Rillier sur la commune de Miribel, la statue du Christ-Roi des Houches, le baptistère de Grancey-le-Château. Il meurt le et repose au cimetière de Villotte-sur-Ource avec ses deux épouses. Œuvres Sculpture de saint Joseph, sur le portail de l'église paroissiale Saint-Joseph de Villemeuve-la-Garenne. Sculpture de saint Jean Bosco, sur le portail de l'église Saint-Jean-Bosco à Paris. Relief : Chemin de Croix, église paroissiale Saint-Jean-Baptiste du Plateau à Ivry-sur-Seine. Diorama en 19 scènes sur la vie de Saint Jean-François Régis à Lalouvesc en Ardèche. Diorama sur la vie de sainte Marguerite-Marie Alacoque - au sanctuaire de Paray-le-Monial. Statue du Christ en façade de l'Abri des pèlerins du Sanctuaire de Paray-le-Monial. Statue du Christ bénissant, sur la façade de l'église du Christ-Roi de Wattrelos. Statue du Christ au tombeau, de l'église Saint-Yves de La Courneuve. Cette même œuvre figure sous le nom de "descente de croix" ou "pietà" dans deux églises parisiennes : Saint-André de l'Europe ( arrondissement) et Notre-Dame-du-Travail ( arrondissement). Elle a aussi été érigée sur sa tombe à Villotte-sur-Ource (Côte d'Or). L'original se trouve à Grancey-le-château. Statue de la Vierge à l’Enfant, datée des années 1930-1950, église Anastasis à Saint-Jacques-de-la-Lande. Monument aux morts de Morteau avec Louis Hertig. Statue de Saint-Louis sur la porte de la chapelle Saint-Louis d'Alfortville. Notes et références Voir aussi Articles connexes Vierge du Mas Rillier Michel Serraz Liens externes Sculpteur français du XXe siècle Sculpteur d'art sacré Naissance en janvier 1883 Naissance dans la Côte-d'Or Décès en juin 1964 Décès à 81 ans Personnalité du Châtillonnais
Football aux Jeux africains de 1973
Le tournoi de football aux Jeux africains de 1973 se déroule à Lagos et Ibadan au Nigeria et se conclut sur la victoire du pays hôte contre la Guinée en finale. L'Égypte termine à la troisième place. Qualifications Le Nigeria est exempt de ces qualifications en tant que pays organisateur. Tournoi final Premier tour Groupe 1 |} Groupe 2 |} Phase finale Demi-finales Match pour la troisième place Finale Notes et références Lien externe 1973 Jeux africains de 1973 Jeux africains de 1973 Jeux africains
AAAA
AAAA est un sigle qui peut désigner : American Association Against Acronyms (en français, Association américaine contre les acronymes) ; American Association of Advertising Agencies (en français, Association américaine des agences publicitaires) ; asynchronisme et adéquation algorithme architecture ; Association des astronomes amateurs d'Auvergne ; Association des amis des archives d'Anjou ; Association des amis d'Alphonse Allais (d) (A4) ; Aide amicale aux artistes, une association créée par Léon Zamaron et qui fonctionna de 1921 à 1931 ; annuaire artistes & artisans d'art ; Amicale azuréenne des amateurs d'alpine. AAAA peut aussi désigner : AAAA, un type de piles électriques de ; ce sont de petites piles en forme de bâtons (), utilisées notamment dans des pointeurs laser ou des tablettes graphiques mais bien moins répandues que les AAA ou AA ; elles sont également désignées sous le nom LR 61 ; AAAA, en informatique, un type d'enregistrement DNS qui associe une adresse IPv6 sur 128 bits à un nom de domaine ; aaaa, le format générique du millésime à quatre chiffres d'une année ; AAAA, une des classes de qualité des sites touristiques de Chine du ministère du tourisme chinois.
Kąkolewice (Grande-Pologne)
Kąkolewice (prononciation : ) est un village polonais de la gmina de Budzyń dans le powiat de Chodzież de la voïvodie de Grande-Pologne dans le centre-ouest de la Pologne. Il se situe à environ 4 kilomètres au nord-ouest de Budzyń (siège de la gmina), 9 kilomètres au sud-est de Chodzież (siège du powiat), et à 58 kilomètres au nord de Poznań (capitale de la Grande-Pologne). Histoire De 1975 à 1998, le village faisait partie du territoire de la voïvodie de Piła. Depuis 1999, Kąkolewice est situé dans la voïvodie de Grande-Pologne. Village dans la voïvodie de Grande-Pologne Powiat de Chodzież
Joely Richardson
Joely Richardson est une actrice anglaise, née le à Londres au sein d'une lignée du théâtre et du cinéma. Biographie Enfance et formation D'un milieu d'acteurs, elle est la fille du réalisateur Tony Richardson et de l'actrice Vanessa Redgrave (qui joue le rôle de sa mère dans la série Nip/Tuck). Elle est donc la petite-fille de l'acteur Michael Redgrave et de la comédienne Rachel Kempson, la nièce de l'actrice Lynn Redgrave et de l'acteur Corin Redgrave, la sœur de l'actrice Natasha Richardson et la belle-sœur du comédien Liam Neeson. Elle est aussi la demi-sœur de l'écrivain et cinéaste Carlo Nero et la belle-fille de l'acteur italien Franco Nero. Carrière Elle débute en 1984 avec un petit rôle dans le film L'Hôtel New Hampshire avec Jodie Foster, cependant elle fut longtemps cantonnée aux films de série B et aux seconds rôles. Elle ne devient célèbre qu'à partir de 2003 en interprétant jusqu'en 2010 Julia McNamara, l'épouse d'un des deux chirurgiens du feuilleton télévisé Nip/Tuck. Son interprétation lui permet de prétendre au Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée dramatique, deux années consécutives (2004-2005). En 2010, elle interprète la reine Catherine Parr dans les derniers épisodes de la dernière saison des Tudors, sur Showtime. Elle retrouve sa mère, Vanessa Redgrave, en 2011 dans le film Anonymous, où l'une joue le rôle d'Élisabeth d'Angleterre âgée et l'autre jeune. En 2019, elle est à l'affiche de la série de science-fiction The Rook, distribuée par la plateforme Starz. Vie privée En 1992, elle épouse le producteur Tim Bevan dont elle divorce en 2001. Ils ont une fille ensemble, . Filmographie Cinéma Court métrage 1999 : de Gaby Dellal : Camilla Longs métrages 1968 : La Charge de la brigade légère () de Tony Richardson : Extra 1984 : L'Hôtel New Hampshire () de Tony Richardson : Une serveuse 1985 : de David Hare : Jean Travers, jeune 1987 : de Bernard Rose : Dominique 1988 : Triple Assassinat dans le Suffolk () de Peter Greenaway : Cissie Colpitts 3 1989 : de Marco Leto : Giovanna Serafin alia Maria 1991 : (Ralph Super King) de David S. Ward : Princesse Anna 1992 : Une lueur dans la nuit () de David Seltzer : Margrete Von Eberstein 1992 : de Karl Francis : Rhiannon 1994 : La Petite star () de James L. Brooks : Cathy Breslow 1994 : de Nancy Meckler : Christine Papin 1996 : Loch Ness de John Henderson : Laura 1996 : Une vie normale () de Angela Pope : Hannah Wyatt 1996 : Les 101 Dalmatiens () de Stephen Herek : Anita 1997 : Event Horizon, le vaisseau de l'au-delà () de Paul W. S. Anderson : Lt. Starck 1998 : de Laurie Weltz : Claire 1998 : En attendant le paradis () de Meg Richman : Eleanor Dunston 1998 : de Stephen Poliakoff : Emily 2000 : Droit au cœur () de Bonnie Hunt : Elizabeth Rueland 2000 : Maybe Baby ou Comment les Anglais se reproduisent () de Ben Elton et Hugh Laurie : Lucy Bell 2000 : The Patriot, le chemin de la liberté () de Roland Emmerich : Charlotte Selton 2001 : L'Affaire du collier () de Charles Shyer : Marie-Antoinette 2003 : de Malcolm Needs : Butterfly 2004 : de Carlo Nero : Une femme à 30 ans 2007 : Mimzy, le messager du futur (The Last Mimzy) de Robert Shaye : Jo Wilder 2007 : Jonathan Toomey : Le Miracle de Noël () de Bill Clark : Susan McDowell 2011 : de Roland Emmerich : Elisabeth, jeune 2011 : Millénium : Les Hommes qui n'aimaient pas les femmes () de David Fincher : Anita Vanger 2012 : de Rodrigo Cortés : Monica Handsen 2012 : Sex Therapy de Stuart Blumberg : Katie 2014 : Vampire Academy de Mark Waters : la reine Tatiana Ivashkov 2014 : Un amour sans fin de Shana Feste : Anne Butterfield 2015 : Maggie de Henry Hobson : Caroline 2015 : The Messenger de David Blair : La psychiatre 2015 : Papa Hemingway in Cuba de Bob Yari : Mary Hemingway 2016 : Snowden d'Oliver Stone : Janine Gibson 2016 : Fallen de Scott Hicks : Ms Sophia 2017 : de Roger Goldby : Lucy 2017 : The Hatton Garden Job de Ronnie Thompson : Erzebet Zslondos 2018 : Red Sparrow de Francis Lawrence : Nina Egorova 2018 : La Part obscure (In Darkness) de Anthony Byrne : Alex 2018 : The Aspern Papers de Julien Landais : Miss Tina (également productrice exécutive) 2018 : Surviving Christmas with the Relatives de James Dearden : Lyla 2019 : Color Out of Space de Richard Stanley : Theresa Gardner 2020 : The Turning de Floria Sigismondi Télévision Séries télévisées 1987 : : Pamela (pilote non retenu) 1988 : Monstres et Merveilles () : La princesse (1 épisode) 1989 : : Serafina (mini-série, 4 épisodes) 1989 : Hercule Poirot () : Joanna Farley (1 épisode) 1990 : : Une princesse (1 épisode) 1990 : : Gussy (1 épisode) 1990 : : Janetta Wheatland (1 épisode) 1993 : Lady Chatterley : Lady Chatterley (mini-série, 4 épisodes) 1998 : : Amanda Powell (mini-série, 2 épisodes) 2003 - 2010 : Nip/Tuck : Julia McNamara (rôle principal - 100 épisodes) 2007 : : Rachel () 2009 : Le Jour des Triffides () : Jo Playton (mini-série, 2 épisodes) 2010 : Les Tudors : Catherine Parr (saison 4, 5 épisodes) 2012 : Titanic: Blood and Steel : Comtesse Markiewicz (mini-série, 1 épisode) 2017 : Emerald City : Glinda (7 épisodes) 2019 : The Rook : Lady Farrier (8 épisodes) 2020 : Blacklist (The Blacklist) : Cassandra Bianchi (saison 7, épisode 12) Téléfilms 2003 : La Villa des souvenirs () de Michael Switzer : Katherine Wentworth 2005 : Les Mensonges d'une mère () de Christian Duguay : Laren Sims 2005 : de David Moore : Wallis Simpson 2006 : Virus - Nouvelle menace () de Richard Pearce : Dr. Iris Varnack 2013 : Paganini, le violoniste du diable () de Bernard Rose : Ethel Langham Distinctions Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent de la base de données IMDb. Récompenses Festival international du film de Valladolid 1994 : meilleure actrice pour Sister My Sister Character and Morality in Entertainment Awards 2005 : Camie Award pour La Villa des souvenirs Nominations Film Independent's Spirit Awards 1999 : meilleure actrice dans un second rôle pour Under Heaven 61e cérémonie des Golden Globes 2004 : meilleure actrice dans une série télévisée dramatique pour Nip/Tuck Gold Derby Awards 2004 : meilleure actrice dans une série télévisée dramatique pour Nip/Tuck 9e cérémonie des Satellite Awards 2004 : meilleure actrice dans une série télévisée dramatique pour Nip/Tuck 62e cérémonie des Golden Globes 2005 : meilleure actrice dans une série télévisée dramatique pour Nip/Tuck 10e cérémonie des Satellite Awards 2005 : meilleure actrice dans une série télévisée dramatique pour Nip/Tuck Voix françaises Laurence Dourlens dans : Anonymous Red Sparrow La Villa des souvenirs Nip/Tuck Les Tudors Emerald City Color Out of Space Déborah Perret dans : Maybe Baby ou Comment les Anglais se reproduisent Mimzy, le messager du futur Red LightsMaggie et aussi Brigitte Aubry dans Les 101 DalmatiensCatherine Privat dans Event Horizon, le vaisseau de l'au-delàIsabelle Gardien dans The Patriot : Le Chemin de la libertéCécilia Paoli dans L'Affaire du collierMicky Sébastian dans Millénium : Les Hommes qui n'aimaient pas les femmesSylvie Santelli dans Sex TherapyCatherine Hamilty dans Vampire AcademyMaïté Monceau dans Paganini, le violoniste du diableFrançoise Cadol dans SnowdenNathalie Gazdik dans Pauline Brunel dans La Part obscure'' Notes et références Liens externes Naissance en janvier 1965 Naissance à Londres Actrice anglaise de cinéma Actrice anglaise de télévision Élève de la Royal Academy of Dramatic Art Lauréat du Theatre World Award
Wanderers de Montréal
Les Wanderers de Montréal sont une équipe de hockey sur glace professionnelle qui a évolué à Montréal, une ville du Québec, au Canada, dans différentes ligues du pays au début du . Ils débutent ainsi dans la Ligue fédérale amateur de hockey entre 1903 et 1905 avant de rejoindre lEastern Canada Amateur Hockey Association. En 1909, les Wanderers sont à la base de la création de l'Association nationale de hockey. Les Wanderers remportent dix fois la Coupe Stanley : deux fois en 1906, une fois en 1907, cinq fois en 1908 et deux fois en 1910. Ils décrochent également le championnat de la en 1907 et 1908, ainsi que celui de l'Association nationale de hockey en 1910. Ils jouent leur dernière saison en 1917-1918 lors de la saison inaugurale de la Ligue nationale de hockey. Ils ne jouent alors que six parties avant la destruction de leur patinoire, l'Aréna de Westmount, par le feu le . Historique Dans la Ligue fédérale amateur de hockey (1903-1905) Le , James Strachan annonce la création d'une nouvelle équipe de hockey pour la ville de Montréal. La nouvelle équipe prend le nom de , en français les vagabonds, en référence à plusieurs équipes ayant joué par le passé : il y a ainsi par exemple une équipe qui joue lors du Carnaval d'hiver de Montréal de 1884. Strachan souhaite que son équipe rejoigne la , la plus fameuse des ligues de hockey au Canada de l'époque mais il n'obtient l'accord des dirigeants de la CAHL. Il pousse alors à la création d'une nouvelle organisation : la Ligue fédérale amateur de hockey qui comprend, en plus des Wanderers, trois équipes évincées de la CAHL : le National de Montréal, une équipe de Cornwall et enfin les Capitals d'Ottawa. La première équipe de Strachan est composée majoritairement d'anciens joueurs de l'Association des athlètes amateurs de Montréal (MAAA), équipe championne de la Coupe Stanley en , tous anglophones. Ainsi, sur les neuf joueurs qui jouent au moins deux matchs de cette saison 1904, six viennent du MAAA : Jack Marshall, Jimmy Gardner, Cecil Blachford, Dickie Boon, Billy Bellingham et Billy Nicholson. Avec six victoires en autant de rencontres, les Wanderers se classent premiers de la nouvelle ligue. Début février, le Club de hockey d'Ottawa se fâche avec le reste de la CAHL et rejoint la Ligue fédérale amateur de hockey. Le club est le champion en titre de la Coupe Stanley depuis et un match est donc organisé entre les deux équipes. Ce match, joué le , se conclut sur le score de 5-5 après les 60 minutes de jeu. Mécontents de l'arbitrage, les joueurs de Wanderers refusent de joueur la prolongation. Les de la Coupe Stanley imposent deux nouvelles rencontres jouées à Ottawa pour décider de la série mais Montréal refuse de participer si une des deux rencontres n'a pas lieu dans leur patinoire. Après de nombreuses discussions, la série est finalement annulée et Ottawa sacré champion de la Coupe Stanley. Avant les débuts de la saison 1904-1905, Strachan fait une nouvelle demande pour jouer dans la CAHL. Cette dernière intègre deux nouvelles équipes mais refuse toujours d'accueillir les Wanderers. Ainsi, le club de hockey d'Ottawa et les Wanderers jouent la saison 1904-1905 dans la LFAH finissant aux deux premières places de la compétition avec une victoire de plus en faveur de l'équipe d'Ottawa. Strachan réussit enfin à intégrer la CAHL à sa troisième tentative : lors du congrès annuel de la ligue en , il est décidé de fusionner la CAHL avec certaines équipes de la LFAH pour former une nouvelle organisation : l'''Eastern Canada Amateur Hockey Association. Cette dernière est composée pour la première saison des équipes suivantes : le Club de hockey d'Ottawa, le Club de hockey de Québec ainsi que quatre équipes de Montréal : le Club de hockey de Montréal, les Shamrocks, les Victorias enfin les Wanderers. Dans l' (1906-1909) L'équipe 1906 de Montréal voit l'arrivée de plusieurs joueurs vedettes de l'époque : Ernie Russell, Ernest « Moose » Johnson et également Lester Patrick. Dix rencontres sont jouées par toutes les équipes en 1906, les Wanderers finissant en-tête à égalité avec Ottawa. Les deux formations doivent jouer une série de deux rencontres pour déterminer les vainqueurs. Les Wanderers s'imposent 9-1 lors de la première rencontre : quatre buts de Russell, trois de Frank Glass et deux par Johnson. Le deuxième match débute par un but de Montréal mais très vite Ottawa revient dans le jeu avec un premier but par Frank McGee puis un autre par Harry Smith. McGee inscrit un deuxième but avant la fin de la première mi-temps. De retour au jeu, Ottawa continue sa remontée avec quatre nouveaux buts de Smith et un autre par Rat Westwick. À dix minutes de la fin du match, les deux équipes sont à égalité 10-10 mais Lester Patrick inscrit deux buts pour Montréal. Avec un score cumulé de 12 buts à 10, les Wanderers sont sacrés champions de la Coupe Stanley 1906. L'équipe 1906 des Wanderers est menée par Henri Menard dans les buts, Russell et Patrick en attaque. Avant les débuts de la saison 1906-1907, Strachan fait une nouvelle fois parler de lui en demandant lors de la réunion annuelle de la ligue que les joueurs professionnels soient admis aussi bien que les joueurs amateurs. Seule l'Association des athlètes amateurs de Montréal vote contre et la proposition est retenue à condition que le statut de chaque joueur soit publié dans la presse. L'équipe recrute de nouveaux joueurs pour cette saison avec les arrivées de Riley Hern dans les buts et de Hod Stuart en défense. Ils en profitent également pour signer des contrats professionnels avec Glass, Johnson et Marshall. Dans le même temps, certains Wanderers souhaitent rester amateurs comme Patrick, Blachford ou encore Russell. Les joueurs de Montréal jouent trois séries de défis contre d'autres équipes en 1906-1907, remportant la première contre l'équipe de New Glasgow en avant de jouer en janvier contre les Thistles de Kenora. Ces deniers comptent dans leurs rangs des joueurs comme Silas Griffis, Art Ross ou encore Tom Phillips. Les deux matchs tournent à l'avantage des Thistles 4-2 puis 8-6. Vexés et désireux de pouvoir prendre leur revanche, les Wanderers finissent la saison régulière sans perdre une seule rencontre en enchaînant les victoires ; Russell inscrit 42 buts au cours des neuf matchs auxquels il participe. Les deux rencontres contre Kenora ont lieu en mars sur une patinoire de Winnipeg. Malgré les renforts de Alf Smith et de Rat Westwick, deux joueurs habituels du club d'Ottawa, les Wanderers s'imposent 12 buts à 8. Au cours de l'été 1907, l'équipe des Wanderers voit le départ de Stuart, lassé de la violence quotidienne du hockey. Il se tue fin juin en plongeant la tête la première dans la Baie de Quinte. Afin de lever des fonds pour la famille que Stuart laisse démunie, l'ECAHA décide d'organiser un match de bienfaisance regroupant les vedettes de la ligue ; il s'agit du premier match de la sorte organisé dans un sport. Environ assistent au qui se joue le . Décrite par le comme unique dans l'histoire du hockey à Montréal voire au Canada tout entier, la rencontre oppose l'ancienne équipe de Stuart, les Wanderers, à une sélection des meilleurs joueurs de l'ECAHA. L'Aréna de Westmount, la salle habituelle des Wanderers, accueille la rencontre gracieusement et tous les gains de la soirée, soit plus , sont intégralement reversés à la famille de Stuart. Pour déterminer les joueurs de l'équipe des vedettes, l'ECAHA organise un concours de popularité et deux places sont offertes aux supporteurs trouvant la bonne équipe. Les Wanderers étant habitués à jouer ensemble battent l'équipe d'étoiles sur le score de 10-7 après avoir mené 7-1 en première période. Les Wanderers se renforcent avec les arrivées d'Art Ross et de Bruce Stuart, le frère de Hod, pour la saison 1907-1908. Les joueurs des Wanderers continuent à dominer la ligue en remportant huit des dix matchs de la saison 1907-1908. En tant que champions de la Coupe Stanley en titre, ils doivent faire face à un premier défi lancé en janvier par les Victorias d'Ottawa de la Ligue fédérale amateur de hockey. Ils conservent leur titre en remportant les deux matchs 9-3, quatre buts de Russell, trois de Glass et deux de Ross, et 13-1. Au cours de cette victoire, Russell fait encore parler de lui en inscrivant 6 buts. Johnson en inscrit quatre et Blachford, Glass et Ross un chacun. Deux mois plus tard, ils sont une nouvelle fois victorieux, cette fois contre les Maple Leafs de Winnipeg sur un score cumulé de 20 à 8. Le défi suivant a lieu le , deux jours après la précédente victoire et Montréal bat 6-4 le Club de hockey professionnel de Toronto de lOntario Professional Hockey League. En 1908, l’ devient officiellement l’ avec l'arrêt des deux dernières équipes de joueurs amateurs du circuit : le MAAA et les Victorias. La rivalité entre Ottawa et Montréal est de retour cette saison, les deux équipes étant à égalité jusqu'à la dernière rencontre les opposants. Avec une victoire 8-3, les joueurs d'Ottawa, désormais connus sous le nom de Sénateurs'', remportent la Coupe Stanley. Avant de perdre la Coupe Stanley au classement général, les Wanderers résistent fin à un nouveau défi contre le Club de hockey d'Edmonton de l'Alberta avec un score cumulé de 13 à 10. La première rencontre se solde sur une victoire 7-3 des joueurs de Montréal, cinq buts étant inscrits par Harry Smith, qui joue désormais avec Montréal, et les deux derniers par Glass. Le second match tourne à l'avantage des Eskimos 7-6 avec une nouvelle fois deux buts par Glass. Dans l'Association nationale de hockey (1910-1917) Au cours de l'été 1909, les Wanderers sont achetés par Patrick J. Doran qui souhaite que sa nouvelle acquisition joue désormais dans l'Aréna Jubilée, dont il est propriétaire plutôt qu'à l'Aréna de Montréal. Ce déplacement réduit le nombre de places de moitié, passant de à ; ainsi, les revenus alloués par match aux équipes visiteuses sont réduits d'autant. Les propriétaires des autres équipes décident alors de dissoudre l'ECHA le et de former l'Association canadienne de hockey afin d'exclure Doran et son équipe. Dans le même temps, la famille O'Brien de Renfrew souhaite pouvoir jouer un défi pour la Coupe Stanley mais s'est vu refuser par deux fois le droit de tenter leur chance. Jimmy Gardner, représentant de Doran, et John Ambrose O'Brien se rencontrent à Montréal au même moment que l'ACH est créée. Ils décident ensemble de former une ligue concurrente : l'Association nationale de hockey. Après seulement quelques matchs, la nouvelle ACH est dissoute et deux de ses équipes rejoignent l'ANH pour la saison inaugurale, les Shamrocks de Montréal et les Sénateurs. Alors que les experts s'attendent à ce que le titre soit remporté par les Creamery Kings de Renfrew ou les Sénateurs, les Wanderers profitent de l'arrivée de Harry Hyland pour finir en-tête de la saison avec onze victoires et une seule défaite en douze rencontres. Ils remportent alors le tout nouveau trophée de la ligue, le Trophée O'Brien, et sont également récompensés par la Coupe Stanley. Le , les Dutchmen de Berlin lancent un défi aux Wanderers mais ils s'inclinent sur le score de 7-3. Au cours de l'été 1910, l'équipe des Wanderers change une nouvelle fois de propriétaire quand elle est achetée par Sam Lichtenhein. Pour la saison 1910-1911, il est décidé de diviser le temps de jeu en trois périodes de vingt minutes, les équipes ayant le droit de faire des changements au cours des deux premières périodes. La saison est plus compliquée pour les Wanderers qui se classent quatrièmes sur cinq avec sept victoires contre neuf défaites. Avec 18 buts, Russell est le huitième buteur du circuit, le meilleur de son équipe, alors que Marty Walsh d'Ottawa compte 35 filets. L'équipe 1911-1912 des Wanderers s'appuie sur Ernie Russell, troisième buteur de l'ANH, ainsi que sur le renfort d'Odie Cleghorn. Ils comptent neuf victoires et neuf défaites, comme Ottawa, mais avec une victoire de plus, Québec est sacré champion de l'ANH. La saison 1912-1913 voit l'arrivée de deux nouvelles équipes de Toronto : les Tecumsehs de Toronto et le Club de Hockey de Toronto. Les champions en titre continuent sur leur lancée et finissent encore premiers avec 16 victoires, 6 d'avances sur les Wanderers, deuxième meilleure équipe de l'ANH au cours d'une saison dont chaque équipe dispute 20 matchs. Le , l'équipe de Montréal bat les futurs champions sur le score de 10-6 avec 8 buts pour le seul Harry Hyland ; il finit troisième buteur de la saison. Malgré Gordon Roberts et Hyland, deuxième et troisième meilleurs buteurs de la saison 1913-1914 derrière Tommy Smith de Québec, les Wanderers finissent cinquièmes de l'ANH. Les Wanderers se reprennent lors de la saison 1914-1915 en finissant avec 14 victoires en 20 matchs, à égalité de victoires avec Ottawa. Ainsi, afin de déterminer la meilleure équipe de l'ANH, et donc le vainqueur du Trophée O'Brien, une série de deux rencontres est organisée. Les matchs ont lieu les 10 et et la première rencontre jouée à Ottawa tourner à l'avantage de l'équipe jouant à domicile 4-0. La deuxième joute a lieu à Montréal et malgré une victoire 1-0 des Wanderers, grâce à leur nouveau joueur Don Smith, l'équipe d'Ottawa est sacrée championne de l'ANH et de la Coupe Stanley. Dans le même temps, le monde est plongé dans la Première Guerre mondiale et de nombreux joueurs de l'ANH s'enrôlent dans l'armée du Canada alors que d'autres joueurs sont attirés par les salaires élevés de l'Association de hockey de la Côte du Pacifique de la côte Ouest. Les saisons 1915-1916 et 1916-1917 des Wanderers sont décevantes avec une avant-dernière et dernière place aux classements. Cette dernière saison est divisée en deux parties alors que le de Toronto arrête ses activités à la fin de la première partie. L'ANH se réunit pour décider du format de la seconde partie ; Eddie Livingstone insiste pour que les cinq équipes jouent les unes contre les autres mais les autres dirigeants préfèrent finir la saison avec quatre formations et excluent momentanément son équipe, les Blueshirts de Toronto, de la compétition. Dans la Ligue nationale de hockey (1917-1918) Lassés des conflits avec Livingstone, les présidents des autres équipes se réunissent à l'Hôtel Windsor le et décident de dissoudre l'Association et de créer une nouvelle structure sans lui : la Ligue nationale de hockey. Les Wanderers jouent donc dans une nouvelle ligue pour la quatrième fois de leur existence. Le premier match de la saison 1917-1918 pour l'équipe des Wanderers a lieu le dans l'Aréna de Westmount et seulement assistent à la victoire des locaux sur le score de 10 à 9, ceci malgré les billets gratuits offerts aux soldats en uniforme. La patinoire est extérieure et il n'y a qu'un point d'engagement situé au centre de la glace. Le , l'Aréna de Westmount , qui héberge les Canadiens et les Wanderers, est détruite à la suite d'un incendie. Sammy Lichtenhein, le président des Wanderers, reçoit une offre d'un aréna à Hamilton en Ontario pour y accueillir l'équipe pour la fin de la saison. Les Canadiens, quant à eux, décident de finir la saison dans l'Aréna Jubilée. Déjà confronté à un manque de joueurs de haut calibre, Lichtenhein demande alors aux autres équipes de lui vendre trois joueurs pour renforcer son effectif, mais ces dernières refusent. L'équipe des Wanderers a un match de prévu le et la LNH refuse dans un premier temps qu'ils déclarent forfait. Finalement, se rendant compte que l'équipe de Montréal ne peut pas se présenter au match, la LNH décide de suspendre l'équipe et de terminer la saison avec trois formations, les Wanderers stoppant leurs activités après six matchs joués. Personnalités de l'équipe Membres du temple de la renommée Champions de la Coupe Stanley Cette section présente la liste des joueurs et dirigeants de l'équipe lors des différentes victoires de la Coupe Stanley. : Joueurs : Cecil Blachford (capitaine), Billy Strachan, Rod Kennedy, Frank Glass, Lester Patrick, Josh Arnold, Ernest Johnson, Ernie Russell et Henri Menard Dirigeant : Dickie Boon (manager) : Joueurs : Cecil Blachford, Billy Strachan, Rod Kennedy, Frank Glass, Lester Patrick (capitaine), Ernest Johnson, Ernie Russell et Riley Hern Dirigeant : Dickie Boon (manager) : Joueurs : Cecil Blachford, Billy Strachan, Rod Kennedy, Hod Stuart, Frank Glass, Lester Patrick (capitaine), Ernest Johnson, Ernie Russell, Jack Marshall et Riley Hern Dirigeant : Dickie Boon (manager) 1907-1908 : Joueurs : Art Ross, Tom Hooper, Cecil Blachford (capitaine), Frank Glass, Ernie Liffiton, Bruce Stuart, Walter Smaill, Ernest Johnson, Larry Gilmour, Ernie Russell et Riley Hern Dirigeant : Dickie Boon (manager) 1910 : Joueurs : Cecil Blachford, Ernest Johnson, Frank Glass (capitaine), Jack Marshall, Jimmy Gardner, Ernie Russell, Harry Hyland et Riley Hern Dirigeant : Dickie Boon (manager) Statistiques Statistiques par saisons Pour les significations des abréviations, voir statistiques du hockey sur glace. Victoires de la Coupe Stanley : victoire 12-10 (9-1 et 3-9) contre le Club de hockey d'Ottawa en finale de l'ECAHA : victoire 17-5 (10-3 et 7-2) contre New Glasgow lors d'un défi : victoire 12-8 (7-2 et 5-6) contre Kenora lors d'un défi : victoire 22-4 (9-3 et 13-1) contre les Victorias d'Ottawa lors d'un défi : vainqueur de la Coupe Stanley en tant que champion de l'ECAHA : victoire 20-8 (11-5 et 9-3) contre Winnipeg lors d'un défi : victoire 6-4 contre le Club de hockey professionnel de Toronto lors d'un défi : victoire 13-10 (7-3 et 6-7) contre Edmonton lors d'un défi 1910 : vainqueur de la Coupe Stanley en tant que champion de l'ANH : victoire 7-3 contre Berlin lors d'un défi Notes et références Notes Références Voir aussi Bibliographie Montréal Club sportif fondé en 1903
Patrick Arnaud (sportif)
Patrick Arnaud est un biathlète français né le 31 janvier 1952 à Autrans-Méaudre-en-Vercors dont la carrière internationale s'étend des années 70 aux années 80. Il a notamment participé aux championnats du monde de biathlon à quatre reprises, en 1975 en Italie, en 1979 en Allemagne, en 1981 en Finlande et enfin en 1982 en Biélorussie. Il a également été sélectionné par l'équipe de France lors des Jeux Olympiques de 1976 à Innsbrück en Autriche. Biographie Né à Autrans, dans le massif du Vercors, Patrick Arnaud commence la pratique du ski de fond au sein du club de l'US Autrans. Il s'illustre lors de certaines courses de ski de fond et de biathlon dans le département du Dauphiné. Il remporte notamment les championnats du Dauphiné dans toutes les catégories dans lesquelles il concourt. Une fois en catégorie junior, Patrick Arnaud parvient à se classer troisième des championnats de France, ce qui lui permet d'être sélectionné dans l'équipe nationale et d'être recruté par l'EMHM en tant qu'athlète de haut-niveau. Dans ce cadre, il évolue au sein du Bataillon de Joinville. En 1972-1973, il est membre de l'équipe de France de ski de fond, puis faute de résultats, il s'en détache. L'EMHM lui donne alors deux ans pour se préparer à changer de discipline et devenir biathlète. En 1974, il parvient à rejoindre l'équipe de France de biathlon, il y restera jusqu'en 1983. Le biathlète représente alors la France lors de différentes compétitions internationales, participant aux championnats du monde à quatre reprises et étant même sélectionné pour les Jeux Olympique de 1976. À la suite de sa carrière sportive, Patrick Arnaud devient l'entraineur de l'équipe de France militaire de 1983 à 1993. À partir de 1993 et jusqu'en 2007, il dirige le poste militaire de montagne à Autrans en tant que sous-officier de l'Armée de terre. Palmarès Championnats du monde Jeux Olympiques d'hiver Distinctions Notes et références Naissance en janvier 1952 Biathlète français Fondeur français Biathlète aux Jeux olympiques d'hiver de 1976 Entraîneur sportif français
San Kamphaeng
San Kamphaeng ( (Thai: สันกำแพง, prononcer [sǎn kām.pʰɛ̄ːŋ])) est une ville de Thaïlande située dans la province de Chiang Mai, dans l'amphoe de San Kamphaeng. Elle se trouve au sud-est de la capitale provinciale Chiang Mai. Au recensement de 2005 elle comptait 13 686 habitants. Personnalités San Kamphaeng est le lieu de naissance de Yingluck Shinawatra, première femme Premier ministre de Thaïlande et de son frère Thaksin Shinawatra, Premier ministre de Thaïlande (2001-2006). Tourisme et géologie Les geysers et sources d'eau chaude de San Kamphaeng, se trouvent au cœur d'un parc très prisé des Thaïlandais. Ville en Thaïlande
Gustave Aimard
Gustave Aimard, dont le nom (par adoption) est Olivier Gloux, né le à Paris où il est mort le , est un écrivain français, auteur de romans d’aventures souvent publiés en feuilleton dans Le Moniteur, la Presse ou La Liberté. Biographie Gustave Aimard est né à Paris en 1818 de parents inconnus. Son nom officiel est Olivier Aimard, mais plus tard il se donnera lui-même le prénom de Gustave. Ce n’est qu’après sa mort que l’on découvrira que son père s’appelait Sébastiani, qui après avoir été général, fut ensuite ambassadeur et même ministre. Selon le du , sa mère se nommait Félicité de Faudoas, mariée avec Anne Jean Marie René Savary, duc de Rovigo. Abandonné par ses parents, il s’enfuit à 9 ans du domicile de sa famille adoptive, les Gloux, et s’engage comme mousse sur un bateau. Il débarque en Patagonie, puis se rend en Amérique du Nord où il mène une vie aventureuse, notamment comme chercheur d’or et trappeur. Il s’enrôle dans la marine en 1835 avant de déserter quatre ans plus tard lors d’une escale au Chili. Il épouse une Comanche, puis entame des voyages en Europe et dans le Caucase. En 1847, Aimard retourne de plus en France. En cette année, sa demi-sœur, Fanny Sebastiani de Praslin, est assassinée par son époux, le duc Théobald de Praslin. Théobald se suicide peu après. Pendant plusieurs mois, Henriette Desportes, la gouvernante de la famille, est interrogée à la Conciergerie, la prison pour femmes de Paris, au sujet de son éventuelle complicité : avait-elle incité Théobald à commettre cet acte cruel ? La justice ne pouvait rien prouver et Henriette a été remise en liberté. Avec l’aide d’un pasteur français, elle put partir en Amérique, où elle fut d’abord enseignante. Ensuite, elle s’est mariée avec un pasteur américain et elle tenait un cours littéraire dans un milieu presbytérien. Cette gouvernante a fait l’objet d’un film en 1940, intitulé L'Étrangère (All This, and Heaven Too), avec Bette Davis et Charles Boyer dans les rôles principaux. À travers l’œuvre d’Aimard, l’on trouve ses notes autobiographiques. Un grand nombre de notes traite de sa vie et de son périple sur le continent américain. À travers toutes les séries qu’il a écrites, comme un fil rouge, dans la plupart des cas par la voix de son alter ego, il témoigne de la recherche de sa famille biologique. Presque dans tous les livres, l’on trouve le thème de l’enfant abandonné ou adopté. Dans sa série parisienne, Les Invisibles de Paris, il fait allusion à la mort de quelqu’un à la prison du Luxembourg. Il s’agissait du duc, du mari et de l’assassin de sa demi-sœur. Dans Par mer et par terre, Le Corsaire et Le Batâr il raconte l’histoire du meurtre de sa demi-sœur. En 1851, on le retrouve au Mexique. Il fait partie d’un groupe de mineurs. Le chef du groupe, le comte Raousset-de-Boulbon (pour des raisons de sécurité, certains Bourbons s’appelaient Boulbon) n’a toutefois pas réussi à obtenir les permissions promises et a décidé de « libérer le pauvre peuple ». Les aspirants mineurs se transforment en « conquérants » et réussissent même à occuper la petite ville de Hermosillo dans la province de Sonora. Cette nuit, cependant, le comte tombe victime de diarrhée, ses soldats s’enfuient et les Mexicains reprennent la petite ville. De retour en France, en 1852, Aimard décrit cette « conquête » dans Curumilla. Dans l’épilogue, il commente le contexte de ce livre. Une historiographie contemporaine de 1856 et l’historiographie officielle de 1935, The French in Sonora ne laissent aucun doute qu’Aimard a participé à cette conquête de 1852. En 1854, Aimard est de retour à Paris. Il se marie avec Adèle Lucie Damoreau, « artiste lyrique », et commence à écrire. Sa spécialité : les récits consacrés à l’Ouest américain. Aussi populaire, en son temps, qu’Eugène Sue et Paul Féval, il a écrit une soixantaine de romans. Il est l’auteur, notamment, des Trappeurs de l’Arkansas en 1858 et des Bandits de l’Arizona en 1882. À partir de 1858, les feuilletons parus dans les journaux sont publiés sous forme de livre. La pression que les éditeurs exercent sur lui pour qu’il produise contribue largement à l’une des caractéristiques de son œuvre : l’auto-plagiat. Du fait de son manque d’instruction, il semble avoir eu des difficultés à jongler avec les différents rôles qu’il s’assigne (romancier, historien, anthropologue, etc.). Voici un exemple de ce qu’il écrit quand il change de rôle : à plusieurs reprises, Aimard interrompt le récit des aventures du héros pour défendre les Indiens, affirmant que, malgré ce que d'autres ont pu écrire à leur sujet, ils ne sont pas barbares, puis il reprend son récit en continuant à décrire ces mêmes Indiens comme des « diables rouges ». En 1870, il fait parler de lui à nouveau, parce qu’il attire l’attention d’une bande de journalistes et que pendant la guerre franco-prussienne il obtient son premier succès modeste. Cet événement se trouve aussi dans les livres d’histoire : l’affaire Bourget. Le livre qu’il produit sur cette guerre, Les Aventures de Michel Hartmann, a été censuré par le gouvernement français, qui dans le temps ne voulait pas plus de problèmes avec les Allemands. En 1879, paraît sous la double signature de Gustave Aimard et Jules Berlioz d’Auriac, Jim l’Indien, comme onze autres romans publiés chez l’éditeur Degorce-Cadot. Ces romans étaient pourtant parus une première fois chez l’éditeur Brunet, sous la seule signature de Jules Berlioz d’Auriac. Il y aurait donc eu accaparement des œuvres par Aimard, offrant en échange sa célébrité à un Jules Berlioz d’Auriac qui n’avait pas la sienne. Selon Simon Jeune, spécialiste de ces questions, les romans de Jules Berlioz d’Auriac seraient sans doute des traductions et des adaptations de dime novels peu connus d’auteurs américains. Ensuite, en 1879, il part pour Rio de Janeiro. Les journaux annoncent l’arrivée du célèbre Français. Il y loue une chambre et le « beau monde de presse » de Rio y défile. « J’étais heureux », écrit-il au sujet de la soirée de départ. L’un des invités de la réception d’adieu était Alfredo Escragnolle de Taunay, militaire, écrivain et ami de l’empereur Pedro II. Aimard rendait souvent visite à cet ami (Pedro II). D’après ce qu’il écrit, ce n’est pas tout à fait étrange. Cet empereur restait souvent à Paris, adorait la littérature, les sciences et la technologie, et connaissait bien certains membres de la Société des Gens de Lettres. Aimard a écrit un journal sur son voyage à Rio, soit Mon Dernier Voyage, Le Brésil Nouveau. À la fin, Aimard dit qu’il ira d’abord à Buenos Aires avant de se rendre à l’intérieur du pays. Le Museu Impériale de Petrópolis, au Brésil, a une copie d’une lettre qu’Aimard avait envoyée de Buenos Aires à l’empereur Pedro II. Il lui y donne un aperçu de ce qu’il a fait pour satisfaire à sa demande d’organiser une représentation de la Comédie française à Rio. Au début de ce récit, Aimard dit qu’il avait peur de devenir fou et qu’il devenait de moins en moins sociable (sa demi-sœur l’était aussi ; le duc n’était tout simplement plus capable de la supporter). À la fin de sa vie, 1883, à peine deux ans après son retour de l’Amérique latine, Aimard est devenu fou. Du moins, il a été admis à l’hôpital Sainte-Anne de Paris. Diagnostic : il avait non seulement un érysipèle et de l’eczéma (ce qui en soi est suffisamment affolant), mais encore la folie des grandeurs. Inhumé d’abord au cimetière d’Ivry, son corps fut transféré des années plus tard dans le caveau de la famille de sa femme (née Damoreau) au cimetière d'Écouen (Val d'Oise) où il repose toujours. Œuvres Les Compagnons de la nuit 1856-1857 - Feuilleton publié in La Revue Française à Les Trappeurs de l’Arkansas (Amyot 1858), Dentu, Paris, 1887, Fayard, Paris, 1 ; Le Grand Chef des Aucas (Amyot 1858) - (F. Roy 1880), Dentu, Fayard, Paris, 7 ; Le Chercheur de pistes (Amyot 1858), Dentu, Fayard, Paris, 8 ; Les Pirates des prairies (Amyot 1858), Dentu, Fayard, Paris, 9 ; La Loi de Lynch (Amyot 1859), Dentu Paris, F. Roy Paris (1891), Fayard, Paris, 10 ; L’Éclaireur (Amyot 1859), Dentu, Fayard, Paris, 17 ; Texte en ligne La Grande Flibuste (Amyot 1860), Dentu, F. Roy Paris (1892), Fayard, Paris, 11 ; La Fièvre d’or (Amyot 1860), Dentu, F. Roy Paris (1892),Fayard, Paris, 12 ; Curumilla (Amyot 1860), Dentu Paris, F. Roy Paris (1892), Fayard, Paris, 13 ; Balle franche (Amyot 1861), Dentu, Fayard, Paris, 16 ; Les Rôdeurs de frontières (Amyot 1861), Dentu, Fayard, Paris, 2 ; Les Francs-Tireurs (Amyot 1861), Dentu, Fayard, Paris, 3 ; Le Cœur-Loyal (Amyot 1861), Dentu, Fayard, Paris, 4 ; Valentin Guillois (Amyot 1862), Dentu Paris, F. Roy Paris (1892), Fayard, Paris, 14 ; La Main-Ferme (Amyot 1862), Dentu, Fayard, Paris, 42 ; L’Eau-qui-court (Amyot 1863), Dentu, Fayard, Paris, 43 ; Les Aventuriers (Amyot 1863), Dentu - (F.Roy, 1891 dans Vol. 1 Les Rois de l'océan), Fayard, Paris, ; Le Guaranis (Amyot 1864), Dentu, Fayard, Paris, () ; Texte en ligne Le Montonero suite du "Guaranis"(Amyot 1864), Dentu, Fayard, Paris, () ; Zeno Cabral suite et fin du "Montonero" (Amyot 1864), Dentu, Fayard, Paris, () ; Les Chasseurs d’abeilles (Amyot 1864), Dentu (?), Roy & Geffroy (1893), Fayard Paris, () ; Le Cœur de pierre (Amyot 1864) Dentu, Fayard, Paris, 21 ; Les Nuits mexicaines (Amyot 1864), Dentu, Fayard, Paris, 44 ; Texte en ligne L’Araucan, Cadot, Paris, 1864 réédité chez Cadot en 1879 sous le titre Le Fils du Soleil également publié avec ce titre en feuilleton du au dans La Patrie quotidien québécois (Texte en ligne sur le projet Gutenberg) Les Fils de la tortue, Cadot, Paris, 1864 ; Le Lion du désert, Cadot, Paris, 1864 ; Texte en ligne Les Flibustiers de la Sonore - Pièce en 5 actes écrite en collaboration avec Amédée Rolland - Michel Lévy 1864 ; La Castille d'or, (Amyot 1865), Dentu, (F.Roy, 1892, dans Vol.2 de Les Rois de l'océan), Fayard Paris ; Les Bohèmes de la mer, (Amyot 1865), Dentu, (F.Roy, 1892, dans Vol.2 de Les Rois de l'Océan), Fayard Paris (numéro|33); Un hiver parmi les indiens Chippewais (Nouvelle dans ouvrage collectif Les Plumes d’or, Dentu, Paris, 1865) ; Les Gambucinos, Amyot 1866, Dentu, Fayard Sacramenta, Amyot 1866, Dentu Paris, Fayard La Mas-Horca Amyot 1867, Fayard (numéro 30) Rosas, Amyot 1867, Fayard (numéro 31) Les Vaudoux, Amyot 1867, Fayard numéro 45 Une Vendetta Mexicaine, Alexandre Cadot 1866 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800 ?) Les Chasseurs Mexicains Degorce-Cadot 1867 Les Invisibles de Paris (5 volumes - 1/Les Compagnons de la lune, 2/Passe-Partout, 3/Le Comte de Warrens, 4/La Cigale, 5/Hermosa, écrits en collaboration avec Henri Crisafulli. (Amyot 1867) puis (Dentu, Paris, 1889) puis (Roy & Geffroy 1893) ; La Légende du saltimbanque, in Le Monde illustré au de septembre à Les Outlaws du Missouri, (Amyot 1868), Dentu, Fayard, Paris, ; Ourson Tête-de-Fer, (Amyot 1868), Dentu, (F.Roy, 1891, dans Vol.1 de Les Rois de l'océan), Fayard Paris ; Le Forestier, (Amyot 1869), Dentu, (F.Roy, 1892 dans Vol.2 de Les Rois de l'océan), Fayard, Paris ; Le Roi des placères d'or, (Amyot 1869), Dentu, Fayard Paris ; La Forêt vierge (3 volumes 1/Fanny Dayton, 2/Le Désert, 3/Le Vautour fauve) Dentu, Paris-1870, Roy & Geffroy (1893), Fayard Paris ; La Guerre sainte en Alsace, Dubuisson 1871 - Préoriginale dans le journal La Cloche Les Titans de la mer, (Amyot 1873), Dentu, (F.Roy, 1892, dans Vol.2 de "Les Rois de l'Ocean"), Fayard Paris ; Les Scalpeurs blancs, (2 volumes : Tome 1 : L'Énigme, Tome 2 Le Sacripant) - Dentu 1873 ; Aventures de Michel Hartmann. (2 volumes : Tome 1. Les Marquards, Tome 2. Le Chien noir) Dentu, Paris, 1873 - chez Degorce-Cadot sous le titre Le Baron Frédérick en 1878 . Également sous le titre Les Maîtres Espions chez Degorce-Cadot puis chez Librairie Mondaine successeurs de Degorce-Cadot. La Belle Rivière (2 volumes - 1/Le Fort Duquesne 2/ Le serpent de satin) Dentu 1874, Fayard numéro 5 Cardénio suivi de Un profil de bandit mexicain, Carmen Frederique Milher Dentu 1874, Fayard numéro 52 La Guérilla fantôme, Lachaud et Burdin 1874 Réédité chez Cadot en 1874 sous le titre Dona Flor Les Bois-brulés (3 volumes - 1/Le Voladero, 2/Le Capitaine Kild, 3/Le Saut de l’élan) Dentu, 1875-1876 - F. Roy 1892 - Fayard Paris, ; Le Chasseur de rats (2 volumes 1/L’Œil gris, 2/Le commandant Delgrès) Dentu, Paris, 1877 - Paru aussi sous le titre Les Révoltés et Le Rapt chez Degorce-Cadot (1879), Fayard, Paris, et 41 ; Les Bisons blancs, suivi de Le Pêcheur de perles, Marianita et Le Saut de Sabô - Dentu Paris 1876, Fayard Les Rois de l’océan (2 volumes - Tome 1 L’Olonnais, Tome 2 Vent-en-Panne) - Dentu, Paris, 1877 - (F. Roy 1891, dans Vol. 1 de Les Rois de l'océan)- Fayard Paris, et ; Les Vauriens du pont Neuf (3 volumes 1/Capitaine d'aventure, 2/La Vie d'estoc et de taille, 3/Diane de Saint-Hyrem) Dentu, Paris 1878 Une goutte de sang noir : épisode de la guerre civile aux États-Unis, Dubuisson, 1878 (paru en feuilleton dans le journal Le Télégraphe ; Les Coupeurs de routes 2 volumes Dentu, Paris 1879 - Fayard El platero de Urès, Fayard Une vengeance de Peau-Rouge Par mer et par terre (2 volumes - 1/ Le Corsaire, 2/ Le Bâtard) - Ollendorf 1879 ; Le Rancho du pont des lianes suivi de Les Chasseurs de minuit et Rosarita la pampera - (Dentu, Paris, 1881) - Fayard 47 ; Les Bandits de l’Arizona : Scènes de la vie sauvage, Blériot 1881, Ardant 1883 sous le titre Les Pirates de l'Arizona, puis Gautier 1889 - Gautier collection Blériot vers 1900/10 Cornelio d'Armor (2 volumes - Tome 1 L'Étudiant en théologie, tome 2 L'Homme-Tigre) Dentu 1882 - Fayard ; Le Souriquet 2 volumes 1/René de Vitré 2/ Michel Belhumeur Dentu 1882, Fayard numéro 6 Le Rastréador 2 volumes 1/Les Plateados 2/ Le Doigt de Dieu Dentu 1883, Fayard numéro 48 et 49 Mon dernier voyage, le Brésil nouveau, Dentu, Paris, 1886 ; Les Peaux-Rouges de Paris, (3 Volumes chez Dentu, Paris, 1888 ) ; Le Roi des Ténèbres Le Trouveur de sentiers, Dentu 1888 - Fayard ; Le Robinson des Alpes, Bleriot puis Gautier 1888, Flammarion vers 1900 ; L’Oiseau noir, histoire américaine, Dentu, Paris, 1893 ; plus 12 titres signés avec Jules Berlioz d'Auriac : L’Esprit blanc, Degorce-Cadot 1878 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) L’Aigle noir des Dacotahs, Degorce-Cadot, 1878 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Le Mangeur de poudre, Degorce-Cadot, 1878 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Les Pieds-Fourchus, Brunet Paris 1866, - Degorce-Cadot, 1878 -Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Rayon-de-Soleil, Degorce-Cadot 1878 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Le Scalpeur des Ottawas, Degorce-Cadot 1878 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Œil-de-Feu, Degorce-Cadot 1879 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Cœur-de-Panthère, Degorce-Cadot, 1879 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Les Terres d’or, Degorce-Cadot, 1879 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Texte en ligne Les Forestiers du Michigan, Degorce-Cadot 1879, Bardin, 1879 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Texte en ligne Jim l’Indien, Degorce-Cadot, 1879 ; Publié aussi sous le titre L'Œuvre infernale, Degorce-Cadot, 1884 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) La Caravane des sombreros, Degorce-Cadot, 1879 - Librairie Mondaine Joseph Ducher (fin 1800) Bibliographie Jean Bastaire, Sur la piste de Gustave Aimard trappeur quarante-huitard, Éditions Encrage, 2003 Les Trappeurs de l’Arkansas : et autres romans de l’Ouest, éd. établie et présentée par Matthieu Letourneux, Laffont, coll. Bouquins, 2001 Le Rocambole Numéro 13 Spécial Gustave Aimard - Hiver 2000 - Distribué en librairie par Les Belles Lettres. A. de la Chapelle, Le Comte de Raousset-Boulbon et l’expédition de la Sonore. Correspondance, souvenirs et œuvres inédites, E. Dentu, Paris, 1859. Eggermont-Molenaar, Mary. Om gek van te worden. Leven, werk en receptie van Gustave Aimard (1818-1883) [La vie l’a rendu fou la vie, l’œuvre et l’accueil de Gustave Aimard (1818-1883). En: Boekenpost. . Juli/august 2001. Mary Eggermont-Molenaar, Gustave Aimard: Feiten, Fictie, Frictie. Calgary: Special Snowflake Inc., 2009. R. Sieverling, Die Abenteurromane Gustave Aimard’s. Freiburg: Inaugural Dissertation, 1982. Maurice Soulié, The Wolf Cub, the Great Adventure of Count Gaston de Raousset-Boulbon in California and Sonora, 1850-1854.'' Tr. Farrell Symons. Indianapolis: The Bobbs-Merrill Company, 1927. Notes et références Liens externes Aventure, idéologie et représentation du monde indien chez Gustave Aimard (2003) par Emmanuel Dubosq. Œuvres de Gustave Aimard sur Gallica. Écrivain français du XIXe siècle Naissance en septembre 1818 Naissance à Paris Décès en juin 1883 Décès à 64 ans Décès à Paris
Kolë Idromeno
Nikolla « Kolë » Idromeno, né à Shkodër (Albanie) le , et mort le , est un artiste albanais d'une culture encyclopédique, à la fois peintre, sculpteur, architecte, ingénieur, musicien, photographe, également l'un des pionniers de la projection cinématographique dans son pays. Les années de formation À l'âge de , il se rend à Venise pour étudier la peinture à l'Académie des Beaux-Arts, qu'il quitte au bout de quelques mois à la suite d'un différend avec l'un de ses professeurs. Il travaille quelque temps avec un peintre italien, puis décide de retourner dans son pays. Un pionnier de la photographie et du cinéma En 1883 Idromeno monte à Shkodër un laboratoire qu'il nomme Driteshkronja Idromeno. À partir de 1908 il expose des photos et projette des films au centre culturel Gjuha Shqipe, là où il pratique ses activités. Il entretient en outre une correspondance avec les pionniers français du cinématographe, les frères Lumière. La Joconde albanaise En parallèle il continue à peindre, et c'est en 1883 qu'il réalise son œuvre la plus connue, Motra Tone (Notre sœur), parfois surnommée "la Joconde albanaise". Il s'agit du portrait de sa sœur aînée, très proche de lui, ici vêtue des habits traditionnels de la ville de Shkodër. D'abord conservé au sein de la famille, ce tableau ne sera exposé pour la première fois qu'en 1954, mais devient un véritable symbole de la culture albanaise. Il fera aussi partie d'une série de reproductions choisies par les Postes de Roumanie en 1971 pour honorer à travers une planche de timbres quelques grandes figures féminines des Balkans. Restauré au Centre de recherche et de restauration des Musées de France, le tableau est exposé en décembre 2005 au Musée d'Orsay à Paris, ce qui constitue une grande première pour une œuvre albanaise. Vers la reconnaissance internationale Parmi d'autres œuvres célèbres de l'artiste, mentionnons La Cour d'une maison de Shkodra, Les Noces à Shkodra ou Le Jugement dernier, ainsi qu'une série de paysages que l'on peut rattacher à l'école moderne de peinture albanaise, dont il est le chef de file. En 1923 il organise la première exposition de peinture à Shkodër et participe à 1931 à la première exposition nationale des arts. Ses œuvres sont également exposées à New York en 1939, l'année de sa mort. Notes Bibliographie Abaz Hoxha, 100 vjet kinema/100 Years Cinema (accompagné d'une histoire du cinéma albanais), Marin Barleti, 400 p. Liens externes Allocution de Ferit Hoxha, ambassadeur d'Albanie en France au Musée d'Orsay, 2005. L'hommage de Shkodra (sur le site de sa ville natale, quelques éléments biographiques, un portrait et une reproduction du tableau Motra Tone) Peintre albanais Photographe albanais Sculpteur albanais Architecte albanais Ingénieur albanais Musicien albanais Naissance en août 1860 Décès en décembre 1939 Naissance à Shkodër Décès à 79 ans
Mukta
Mukta est un groupe de musique créé en 1994 par le contrebassiste et compositeur Simon Mary avec la sitariste Brigitte Menon, le trompettiste Geoffroy Tamisier, le batteur Jean Chevalier et le percussionniste Bob Coke sous le nom de Languages, puis nommé Mukta par Brigitte Menon en 1996. « Mukta », entre autres, signifie perle en sanskrit. Le groupe a été nommé plusieurs fois aux Victoires de la musique classique et du jazz. Mukta s'est produit dans le monde entier (Inde, Afrique du Sud, Maroc, Burundi, Angleterre, Grèce, Canada...) dans de nombreux festivals (Jazz Yatra Bombay, les Eurockéennes, les Transmusicales, Montreux Jazz Festival, North Sea Festival South Africa, Festival d'Eté de Québec...). Composition du groupe Simon Mary, fondateur du groupe, (contrebasse). Geoffroy Tamisier (trompette, mélodica). Jean Chevalier (batterie, percussions, clarinette basse). Olivier Congar (percussion). Bob Coke (tablas, percussions). Il a quitté le groupe pour rejoindre Ben Harper. Brigitte Menon (sitar). Elle a quitté le groupe en 2003 pour se consacrer à la musique hindoustanie. Michel Guay (chant, sitar). Il rejoint le groupe en 2003. Pascal Vandenbulcke (flûte). Marc Delouya (batterie). Il rejoint le groupe en 2008. Discographie Liens externes Site officiel Chaine Youtube Libération BNF Info concert Rfi Zicline Discogs Télégramme Le temps.ch Voir.ca Groupe musical français Groupe de world music
Cornwerd
Cornwerd est un village de la commune néerlandaise de Súdwest-Fryslân, situé dans la province de Frise. Son nom en frison est Koarnwert. Géographie Cornwerd est situé à l'ouest de la province de Frise, au nord de Makkum. Placé à l'extrémité orientale de l'Afsluitdijk, le village est baigné par la rive de l'IJsselmeer. Histoire Cornwerd fait partie de la commune de Wûnseradiel jusqu'au , où celle-ci est supprimée et fusionnée avec Bolsward, Nijefurd, Sneek et Wymbritseradiel pour former la nouvelle commune de Súdwest-Fryslân. Démographie Le , le village comptait 85 habitants. Personnalités Le poète Obe Postma est né à Cornwerd. Références Súdwest-Fryslân Localité dans la province de Frise
Salomon Leclercq
Salomon Leclercq né Guillaume-Nicolas-Louis Leclercq (Boulogne-sur-Mer, - Paris, ) est un frère des écoles chrétiennes martyr lors des massacres de la Prison des Carmes et reconnu saint par l'Église catholique. Il est le premier saint de la Révolution française. Biographie Nicolas Leclercq voit le jour le à Boulogne-sur-Mer et il est baptisé le lendemain, , en l'église Saint-Nicolas de cette ville. Ses parents sont commerçants dans la basse ville de Boulogne. En 1710 Jean Baptiste de La Salle est appelé par l'évêque Pierre de Langle pour venir à Boulogne organiser les premières classes des Frères des Ecoles Chrétiennes. Connaissant quelques difficultés en 1728 l'école demande le soutien de l'échevinage, elle recevra en 1730 un hommage par l'Hôpital Général. Les Frères vont devenir la nouvelle référence de la ville et en 1744 ouvrent une classe spéciale commerciale pour couronner le cycle d'études, le cursus de Nicolas. Nicolas, après ses études à La Salle de Boulogne dans la ville basse, devient en 1761 pour peu de temps employé de commerce. Mais le port de Boulogne connait des difficultés liées à ses activités commerciales (la France est en guerre depuis 1758), et il change d'activité. Nicolas part en 1766 pour un séjour de trois mois à Paris, puis il rejoint l'Institut des Frères. Il entre au noviciat des Frères des Écoles Chrétiennes, situé à Saint-Yon près de Rouen, le , et prend le nom de frère Salomon, et fait sa prise d'habit le jour de l'Ascension, il enseigne à l'école Saint-Godard confiée aux frères à Rouen. La classe située à la base d'une ancienne tour du château de Philippe Auguste n'a pas de fenêtre et ne reçoit le jour que lorsque la porte reste ouverte. Le frère Salomon va gravir les échelons, commence son scolasticat à Maréville (Lorraine) le , puis fait sa profession religieuse le . À Maréville, il devient sous-directeur en , directeur en novembre 1773 puis procureur jusqu'en ; il fait alors son scolasticat supérieur à Saint-Yvon jusqu'en et devient professeur des jeunes frères à la maison-mère à Melun . En 1790, la constitution civile du clergé donne à l'État le contrôle sur l'Église de France. Les prêtres et les religieux doivent prêter serment de fidélité à la Constitution sous peine d'exil, d'emprisonnement et même de mort. La plupart des Frères refusent et doivent abandonner leurs écoles et leurs communautés et se cacher, l'institut des frères des écoles chrétiennes n'ayant plus de statut légal. Le frère Salomon était, depuis 1787, secrétaire du frère Agathon, supérieur général, après avoir été enseignant, directeur, économe. Il manifesta toujours un grand amour pour les âmes et un grand dévouement à ses tâches. Ayant refusé de prêter le serment, il vivait seul à Paris dans la clandestinité. Il nous reste de lui de nombreuses lettres qu'il écrivit à sa famille. La toute dernière est datée du . Ce même jour, il fut arrêté et enfermé au couvent des Carmes devenu prison, avec de nombreux évêques, prêtres et religieux. Le 2 septembre la presque totalité des prisonniers fut massacrée à coups d'épées dans les locaux et le jardin du couvent. En 2007, Maria Alejandra Hernandez est mordue par un serpent venimeux et les médecins estiment que ses chances de survie sont faibles. On prie alors frère Salomon dont une image orne la chapelle des sœurs qui hébergent l'enfant. En 2011, le diocèse de Caracas reconnaît la guérison inexpliquée de Maria. Béatification et canonisation Il fut béatifié le par le pape Pie XI, avec 190 de ses compagnons de martyre. Il fut le premier martyr et aussi le premier béatifié chez les frères des écoles chrétiennes. Sa fête est célébrée le 2 septembre. On y a joint celle des frères, martyrs des pontons de Rochefort, morts deux ou trois ans plus tard. Le est rendu public le décret de la congrégation pour les causes des saints reconnaissant un miracle dû à son intercession, ouvrant ainsi la voie à sa canonisation. Sa canonisation a été célébrée à Rome par le pape François, avec six autres saints, dont Elisabeth de la Trinité, le dimanche . Notes et références Annexes Liens externes Dossier sur le site des Frères des Écoles chrétiennes « Frère Salomon Leclercq, nouveau saint français », reportage de KTO Bibliographie anonyme, Une victime de la Révolution ou vie de Nicolas Leclercq, dit frère Salomon, instituteur congréganiste, Poussielgue frères, Paris, 1887. abbé Hyacinthe Chassagnon, Le Frère Salomon mort aux Carmes le . Quelques pages d'histoire sur l'institut des Frères des écoles chrétiennes au , Paris, Procure Générale des Frères, 1905. , Le Bienheureux Salomon, de l'institut des Frères des écoles Chrétiennes, Procure Générale des Frères, Paris, 1926. Georges Rigault, Un disciple de saint Jean-Baptiste de La Salle, le Bienheureux Salomon, martyrisé à Paris (prison des carmes) le , Procure Générale des Frères, Paris, 1926. Anonyme, Le Bienheureux Frère Salomon (de l'institut des Frères des écoles chrétiennes, mis à mort, en haine de la Foi, le 2 sept. 1792, à la prison des Carmes, à Paris), édition Sobeli, Bruxelles, 1926. Abbé G.Sepiéter, Quelques gloires de l'institut des Frères des écoles chrétiennes, Procure Générale des Frères - Paris, 1929 Frère Jean Huscenot, La Sainteté par l'école. Sept religieux-éducateurs lasalliens, éditions Guéniot, Langres, 1989. Marcel Guilhem, Nicolas Le Clercq : Frère Salomon : martyr de la Révolution française (1745-1792), Médiaspaul, 1990. . Christophe Carichon, Saint Salomon Le Clercq, Perpignan, Artège, 2016 Salomon Leclercq Salomon Leclercq Saint des Frères des écoles chrétiennes Béatification par le pape Pie XI Naissance en novembre 1745 Naissance à Boulogne-sur-Mer Prêtre réfractaire Décès en septembre 1792 Décès à Paris Bienheureux martyr des Carmes Décès à 46 ans Religieux catholique assassiné
Othon V de Brandebourg
Otton V (né vers 1245 et mort en 1298 ou en ), dit « le Long » (), ou (der Faule), fut margrave de Brandebourg de 1267 à sa mort et régent du royaume de Bohême de 1278 à 1283. Biographie Otton V est le deuxième fils d'Otton III de Brandebourg et de Béatrice (Božana en tchèque), fille du roi de Bohême Venceslas le Borgne. Il succède à son père en 1267 conjointement avec ses trois frères Jean III, Albert III et Otton VI le Petit. Il établit le centre de son pouvoir dans sa résidence de Cobourg. Pendant son règne Otton V passe une grande partie de son temps à Prague, à la cour de son oncle maternel le roi Ottokar II de Bohême. Quand Ottokar est vaincu et tué en 1278, Otton V dévient régent (Protektor) pour 5 ans du fils mineur et héritier de celui-ci Venceslas II, âgé de sept ans seulement à la mort de son père. Comme régent, Otton V doit faire face aux machinations de la veuve d'Ottokar II Cunégonde de Slavonie soutenue par une faction de nobles puissants parmi lesquels son futur époux Záviš de Falkenstein. Les chroniqueurs tchèques décrivent, la rigueur d'Otton V et les pillages de ses troupes et précisent que Venceslas est transféré dans la forteresse de Spandau et qu'il est obligé de lui céder ses droits sur la Haute Lusace avant qu'il ne puisse régner directement lui-même. Une assemblée réunie le , les délégués des villes des nobles et du clergé. Elle doit accepter les exigences financières d'Othon V qui pour mettre fin à sa régence et laisser Venceslas rentrer dans son pays réclame un versement de 20.000 mark d'argent. Venceslas n'est relâché que le . Le nouveau roi doit lui-même ensuite prendre des mesures contre la trop forte influence du puissant clan nobiliaire qui gravite autour de sa mère. Othon V défend également ses prétentions en Poméranie contre les empiétements des féodaux polonais. Union et postérité Otton V épouse le Judith de Henneberg († 1327) comtesse de Henneberg-Cobourg, dont : Béatrix (1270-1312/1316), héritière de la Lusace supérieure, épouse le Bolko Ier de Świdnica puis en 1309 Ladislas de Bytom (1280-1352) ; Jutta (1275/1286-1328), épouse vers 1303 Rodolphe de Saxe-Wittenberg ; Hermann (1280-1308) ; Mathilde (1270-1298), épouse d'Henri IV le Juste. Source Anthony Stokvis, Manuel d'histoire, de généalogie et de chronologie de tous les États du globe, depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, préf. H. F. Wijnman, Israël, 1966, volume III, chapitre VIII « Généalogie des Margraves de Brandebourg. Maison d'Ascanie » et tableau généalogique . Références Margrave de Brandebourg Décès en 1299 Maison d'Ascanie Date de naissance non renseignée (XIIIe siècle)
Larzac 2003
Larzac 2003 est une manifestation qui s'est déroulée du 8 au , sur le Larzac, près de Millau en France, pour les trente ans du premier rassemblement de 1973 de la lutte du Larzac. Ce fut un très grand rassemblement des altermondialistes, qui aurait réuni au moins , plus de selon les organisateurs. Des barrages ont été mis en place par les autorités officielles de l'État, pour arrêter l'arrivée de nouveaux manifestants trop nombreux pour la capacité d'accueil du lieu, évitant ainsi une potentielle catastrophe humaine. . Le but annoncé de cet événement, proposé en 2002, par la Confédération Paysanne et par l'altermondialiste José Bové et organisé par l'association Construire un Monde Solidaire (créée pour l'occasion et émanant du Comité de Soutien aux inculpés du démontage du McDonald's de Millau en 1999), était la préparation d'un contre-débat à la cinquième conférence ministérielle de l'OMC qui se tenait du 10 au à Cancún, Mexique. Le choix du causse du Larzac était hautement symbolique puisqu'il correspondait au d'une grande mobilisation de soutien à 103 paysans du Larzac opposés à l'expropriation de leurs terres pour l'extension du camp militaire du Larzac : le rassemblement qui s'était tenu en 1973 sur le site du Rajal Del Gorp. Qui plus est, l'incarcération de José Bové (condamné pour des actions de fauchage d'OGM), une des figures historiques de la Lutte du Larzac, a assuré une importante promotion à l'événement. José Bové a d'ailleurs été libéré quelque temps avant l'événement et a ainsi pu y participer. Les slogans (parmi d'autres) de l'événement étaient : « D'autres mondes sont possibles », et « Le monde n'est pas une marchandise ». La manifestation Pendant les trois jours, se succédaient débats, tables rondes, concerts petits et grands et tenue de nombreux stands représentant associations, mouvements social et politique. Différents élus et représentants de mouvements sociaux (politiques, syndicaux, associatifs) y étaient présents. De nombreux thèmes étaient abordés dans des débats et tables rondes : libéralisation des services ; privatisation de l'eau ; eau : pollution - conflits - alternatives ; OGM ; école et marchandisation, voir libéralisation de l'enseignement en France ; mondialisation ; décentralisation ; l'agriculture, l'accord de Marrakech, et les perspectives de Cancun ; politique culturelle des services publics et intermittents du spectacle ; réformes des retraites ; énergie et services publics ; marchandisation de la santé, et sécurité sociale ; gestion coloniale et guerrière de la planète ; commerce équitable ; l'agriculture biologique dans les rapports Nord-Sud. Des stands représentant différentes mouvances étaient présents : un stand sur le logiciel libre, où l'ordinateur était alimenté par des panneaux de cellules photovoltaïques ; un stand anarchiste où l'on pouvait notamment trouver le livre Les Anarchistes et Internet, dont un chapitre est consacré à Wikipédia. Les anarchistes s'occupaient d'autres secteurs de cette rencontre et particulièrement se sont attachés à nourrir les participants ainsi que d'autres actions plus « toniques » ; la Confédération paysanne ; le Réseau Sortir du nucléaire ; Amnesty International ; l'union syndicale G10 Solidaires (devenue depuis l'Union syndicale Solidaires) ; le CIRC et différents produits légaux dérivés du chanvre ; France-Amérique Latine parlant des problèmes de l'Amérique du Sud et de l'Amérique centrale après le Plan Condor, et les dictatures imposées par les États-Unis, les problèmes qui persistent, ainsi que les différents moyens que trouvent les populations de ces pays pour se sortir de leur calvaire ; un stand sur l'espéranto ; un stand sur l'énergie solaire ; des squatteurs de villages désertés ; accueil paysan ; Le stand du Parti socialiste a été démonté par des militants de No vox, anarchistes et d'extrême gauche qui estimaient la présence du PS inopportune en ce lieu. etc. La liste des stands, des actions revendicatives, des différents thèmes est impossible à énumérer ici. Une programmation musicale riche et variée : Durant toute la rencontre, sur trois scènes officielles et une multitude de mini scènes, des concerts étaient données en permanence, nuit et jour. Sur la gigantesque scène principale, des groupes très connus, particulièrement engagés étaient invités comme Asian Dub Fondation, le groupe de rap français La Rumeur, ou le chanteur Manu Chao... Et une radio... Une radio temporaire a émis pendant les trois journées du festival, RADIO LARZAC. Sous la coordination de Radio Saint-Affrique, elle a fédéré une quarantaine de radios associatives de toute la France. Elle a donné lieu à la création d'une radio pérenne cette fois : Radio Larzac qui s'est créée dans la suite du rassemblement en 2004. L’organisation Plus de six mois avant l'événement, une centaine de bénévoles se sont réunis régulièrement à Millau pour l'organisation. Ils étaient répartis en différentes commissions (stands, forums, restauration, musique, enfants, communication, parking, hébergement). Parallèlement, une équipe de régisseurs professionnels (Philippe Machemehl Direction technique, assisté de 3 régisseurs généraux Sébastien Paul, Jordi Castellano et Didier Collin et assistante de direction Elsa Mino) travaillait afin d'assurer la logistique générale, les autorisations, la sécurité du site et le montage financier. Des aller-retours se faisaient avec Paris pour organiser la mobilisation des associations, partis politiques et syndicats au niveau national. Les projections de mobilisation pour l'organisation se sont faites alors pour 100 000 personnes. Les organisateurs furent vite dépassés par le succès et l'ampleur de l'événement. Le soir du samedi, le préfet de Lozère (sous l'ordre du ministre de l'intérieur actuel : Nicolas Sarkozy) a décidé de fermer l'accès au site dans la mesure où il ne pouvait plus contenir de personnes supplémentaires : de nombreuses personnes n'ont jamais pu accéder au site du rassemblement : l'autoroute et les voies d'accès étant bloquées. L'une des autres difficultés fut d'assurer l'approvisionnement en eau, durant cet été particulièrement chaud et sec : ces conditions donnèrent lieu à des files d'attente de plusieurs heures devant les citernes mises à disposition. Néanmoins, pour le nombre de spectateur présent, nous avons eu à déplorer que quelles blessures légères (le plus grave un membre cassé) ce qui est exceptionnel pour ce type de rassemblement. Le démontage a été effectué en temps record, en laissant des prairies empruntés aux agriculteurs sans "un mégot par terre". Cette réussite a été l’œuvre de milliers de bénévoles citoyens qui ont permis la réussite de ce rassemblement. Filmographie Larzac 2003 : genèse et coulisses d'un rassemblement - Rassemblement contre la ministérielle de l'OMC - Un film documentaire de Grégory Auzuech - 2004 - France - 110 minutes Tous au Larzac - Un film documentaire de Christian Rouaud - 2011 - France - 1h58 Notes et références Voir aussi Article connexe Forum social mondial Lien externe Site officiel de la manifestation Manifestation altermondialiste Manifestation en France Manifestation en 2003 Larzac 2003 Millau Larzac Août 2003 en France
Conversion intersystème
L'IUPAC décrit la conversion intersystème comme: État singulet et état triplet Lorsque, dans une molécule, un électron est excité jusqu'à un niveau d'énergie supérieur (notamment par absorption d'un rayonnement), cela conduit selon les cas à un état singulet ou à un état triplet : Un état singulet correspond à une configuration électronique dans laquelle tous les électrons de spin opposés sont appariés deux à deux (ce qu'on représente par le diagramme ), y compris l'électron excité bien qu'il occupe un niveau d'énergie différent des électrons demeurés dans leur état fondamental. Un état triplet correspond à une configuration électronique dans laquelle l'électron excité a un spin parallèle () à l'électron avec lequel il était apparié à l'état fondamental. L'état singulet est toujours plus probable que l'état triplet car ce dernier implique un changement de spin par rapport au premier (). La conversion intersystème désigne la transition non radiative d'un état singulet vers un état triplet : le spin de l'électron excité est inversé. La probabilité de cette transition est accrue lorsque les états vibratoires des deux états excités se recouvrent, puisque cette transition s'effectue à énergie (presque) constante. Cela survient préférentiellement dans les molécules ayant des atomes lourds, contenant par exemple des atomes d'iode ou de brome, en raison du couplage spin-orbite plus important dans ces molécules, qui facilite l'inversion de spin. Le phénomène est favorisé par la présence d'espèces paramagnétiques en solution. La relaxation radiative d'un état triplet vers un état singulet (+hν) donne lieu au phénomène de phosphorescence ; la durée de cette transition est de l'ordre de 10−8 à 10−3 secondes, l'une des formes les plus lentes de relaxation. Références Articles connexes Multiplicité de spin Mécanique quantique
Euamblypygi
Les Euamblypygi sont un sous-ordre d'amblypyges. Il regroupe tous les amblypyges actuels sauf Paracharon caecus. Liste des familles Selon The World Spider Catalog (version 18.5, 2018) : Charinidae Quintero, 1986 Neoamblypygi Weygoldt, 1996 Charontidae Simon, 1892 Unidistitarsata Engel & Grimaldi, 2014 †Kronocharon Engel & Grimaldi, 2014 Phrynoidea Blanchard, 1852 Phrynichidae Simon, 1892 Phrynidae Blanchard, 1852 Publication originale Weygoldt, 1996 : Evolutionary morphology of whip spiders: towards a phylogenetic system (Chelicerata: Arachnida: Amblypygi). Journal of Zoological Systematics and Evolution Research, , . Liens externes Notes et références Amblypygi
Église Saint-James
Angleterre Église Saint-James (Handsworth) Église Saint-James (Paddington) à Londres Église Saint-James (Wetherby) Canada Église St Jax Montréal à Montréal Église unie Saint-James à Montréal Église Saint-James à Trois-Rivières France Église Saint-James à Gannat
Isabelle-Antoinette de Croÿ
Isabelle-Antoinette de Croÿ, née le au château de l'Hermitage à Condé-sur-l'Escaut et morte au château de Leutstetten, arrondissement de Starnberg, Land de Bavière le , est une princesse de Croÿ, devenue princesse de Bavière à la suite de son mariage avec François Marie Luitpold de Bavière. Biographie Famille Isabelle-Antoinette de Croÿ est le second enfant et la fille unique de Charles Alfred duc de Croÿ (1859-1906), chef de sa maison, et de son épouse Ludmilla princesse et duchesse d'Arenberg (1870-1953), fille d'Engelbert-Auguste d'Arenberg. Isabelle-Antoinette a trois frères : 1) Karl-Rudolph duc de Croÿ (1889-1974), 2) Engelbert (1891-1974) et 3) Anton (1893-1973). Sa tante Isabelle de Croÿ (1856-1931) a contracté, en 1878, un brillant mariage avec l'archiduc Frédéric de Teschen, neveu de la reine des Belges Marie-Henriette. Mariage et enfants Le , elle épouse, au château de Weilburg, François de Bavière (1875-1957), fils du roi Louis III de Bavière, avec qui elle a six enfants : Louis de Bavière (1913-2008), épouse en 1950 Irmingard princesse de Bavière (1923-2010) ; Maria Elisabeth de Bavière (1914-2011), épouse en 1937 au château de Nymphenburg Pedro Henrique d'Orléans-Bragance, prince d'Orléans et Bragance (1909-1981) ; Adelgunde de Bavière (1917-2004), épouse en 1948 à Leutstetten Zdenko baron von Hoenning O'Carroll (1906-1996) ; Éléonore de Bavière (1918-2009), épouse en 1951 à Leutstetten Konstantin comte von Waldburg zu Zeil und Trauchburg (1909-1972) ; Dorothée de Bavière (1920-2015), épouse en 1938 à Sárvár (Hongrie) Godefroy Marie de Habsbourg-Toscane (1902-1984) ; Rasso de Bavière (1926-2011), épouse en 1955 Thérèse de Habsbourg-Toscane (1931). Mort et funérailles Isabelle de Croÿ meurt, à l'âge de , le au château de Leutstetten. Elle est inhumée dans l'église Saint-Michel de Munich. Honneurs Isabelle est : Dame et grande-maîtresse de l'ordre de Sainte-Élisabeth (Royaume de Bavière). Dame d'honneur de l'ordre de Thérèse (Royaume de Bavière). Dame noble de l'ordre de la Croix étoilée, Autriche-Hongrie. Ascendance Notes et références Voir aussi Bibliographie Liens externes Maison de Croÿ Récipiendaire de l'ordre de Sainte-Élisabeth Récipiendaire de l'ordre de Thérèse Naissance en octobre 1890 Naissance à Condé-sur-l'Escaut Décès en mars 1982 Décès à Starnberg Décès à 91 ans Personnalité inhumée dans l'église Saint-Michel de Munich
Fornes (Troms)
Fornes est une localité du comté de Troms, en Norvège. Géographie Administrativement, Fornes fait partie de la kommune d'Ibestad. Annexes Liens internes Liste des localités du comté de Troms Localité de Troms
Tenerrdis
Technologies Énergies Nouvelles, Énergies Renouvelables, Rhône-Alpes, Drôme, Isère, Savoie et Haute-Savoie (Tenerrdis) est un pôle de compétitivité spécialisé dans la transition énergétique inauguré en 2005. En , Tenerrdis comptait 322 adhérents dont 44 % de TPE/PME. Historique Le dossier pour la formation du pôle de compétitivité a été déposé le à l’initiative de la Région Rhône-Alpes, du Conseil général de la Savoie, de l’Institut polytechnique de Grenoble et du CEA Grenoble, ainsi que du soutien de Grenoble Alpes Métropole. L'obtention du label « pôle de compétitivité » par le CIADT date du . Constitution de l’association le . Tenerrdis regroupe à sa création une centaine d'acteurs de la filière solaire française (dont le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) et 60 « PME innovantes »). En 2010 et 2011, Geneviève Fioraso, alors députée de l'Isère, vice-présidente de la communauté d'agglomération Grenoble-Alpes Métropole et administratrice du pôle Tenerrdis, incite le gouvernement à au moins tripler l'objectif annoncé de à l'horizon 2020, afin notamment de répondre aux objectifs du Grenelle de l'environnement. Elle appelle également les grands groupes à investir dans la filière en France en alertant sur les retards pris pour la seconde phase de l'Institut national de l'énergie solaire (INES) en raison de financements qui ont été bloqués. Selon Jean-Pierre Vial, sénateur UMP et vice-président du conseil général de la Savoie, coprésident de l'INES et administrateur du pôle Tenerrdis, si ces projets d'investissement sont bloqués et que les grands groupes l'investissement pas en France c'est également parce qu'il y a une responsabilité de la part de l'État qui ne s'est pas assez investi dans cette filière. Objectifs Favoriser la croissance d’activité durable et la création d’emplois pérennes dans les filières des nouvelles technologies de l’énergie, en cohérence avec les enjeux de la transition énergétique, en mobilisant l’ensemble des ressources (industrielles, institutionnelles, académiques et scientifiques). Les membres de Tenerrdis participent à labellisés bénéficiant d'un financement total de , visant à aider la France à rattraper son retard dans le domaine du solaire. Ce pôle travaille notamment sur l'amont de la filière, sur les équipements de production, les matériaux (silicium notamment), les cellules solaires, les panneaux PV et les systèmes électriques ( en France en 2010). Fin 2010, Tenerrdis a labellisé plus de de recherche et développement depuis sa création, dont 146 aidés à hauteur de (pour un budget global de ). En outre, de R&D ont concerné le solaire photovoltaïque (labellisés et financés). Six domaines d'activité stratégique Production d’énergie renouvelable et insertion dans le mix décarboné Allier les sources d’énergie pour créer un mix énergétique pertinent et économiquement viable Stockage et conversion d’énergie Stocker l’énergie, la transporter et la convertir en fonction des besoins Micro-réseaux multivecteurs Développer la flexibilité et l’autonomie grâce aux énergies renouvelables Efficacité énergétique – Bâtiment et Industrie Consommer moins, consommer mieux et optimiser le bilan énergétique Mobilité décarbonée Développer les infrastructures et sources d’énergie pour des transports décarbonés Intelligence et cybersécurité des systèmes énergétiques Optimiser et sécuriser les systèmes multiénergies grâce à l’apport du numérique Quelques acteurs concernés Air Liquide EDF Enedis Engie GRDF GE Hydro France Schneider Electric ATAWAY ER2I CNR Energy Pool Photowatt Eolya Groupe Streiff Sun'R CEA Grenoble INP INSA Lyon Université Savoie Mont-Blanc Grenoble Alpes Métropole Département de la Savoie Valence Romans Agglo Auvergne-Rhones-Alpes Énergie Environnement DIRECCTE Métropole de Lyon Cluster Eco-Energies GRTGaz Siemens Communauté de communes Entre Bièvre et Rhône Notes et références Voir aussi Articles connexes inovallée polygone scientifique Liens externes Site de Tenerrdis Économie dans la Drôme Économie en Isère Économie en Savoie Économie en Haute-Savoie Pôle de compétitivité en Auvergne-Rhône-Alpes Énergie renouvelable en France
Milena Miconi
Milena Miconi est une mannequin, présentatrice de télévision et actrice italienne, née le à Rome (Italie). Biographie Après avoir étudié l'art dramatique, au début des années 1990, Milena Miconi commence une carrière d'actrice de romans-photos et de mannequin. Elle commence au théâtre dans Atti Unici de Neil Simon sous la direction d'Antonio Serrano. En 1985, elle joue dans Se ne cadette o' Teatro réalisé par . En 1993, elle joue dans La voglia matta d'. En 1997, elle fait ses débuts au grand écran et participe à deux films : d' dans un petit rôle, et de Leonardo Pieraccioni dans le rôle de Virginia. C'est ensuite le tour de la télévision, avec la participation à un épisode d'Un posto al sole, dans le rôle d'une voleuse d'automobiles. En 1998, elle continue avec la série télé S.P.Q.R. réalisée par Claudio Risi et réalisée par Carlo Vanzina dans le rôle de Nadia. Elle continue sa carrière en alternant théâtre, télévision et cinéma. Elle partage sa vie avec l'auteur pour la télévision Mauro Graiani. Ils ont deux filles, les filles de Mauro, nées d'un précédent mariage. Elle est « témoin » de l'organisation caritative . Filmographie Cinéma 1997 : Finalmente soli de Umberto Marino 1997 : Fuochi d'artificio de Leonardo Pieraccioni 2010 : Il sottile fascino del peccato de Franco Salvia 2011 : Divino de Giovanni Bufalini (court métrage) 2011 : La strada di Paolo de Salvatore Nocita 2011 : Miss Wolf and the Lamb de Roberto Leoni (court métrage) 2012 : 100 metri dal paradiso de Raffaele Verzillo - Daniela 2013 : Il disordine del cuore de Edoardo Margheriti 2015 : Babbo Natale non viene da Nord de Maurizio Casagrande Télévision 1997 : Un posto al sole - feuilleton télévisé 1998 : S.P.Q.R., de Claudio Risi 1999 : Anni '50, mini-série de Carlo Vanzina - Nadia 2000 : Don Matteo, série d'Enrico Oldoini - épisode : Il fuoco della passione - Amante di Morabito 2000 : Tequila et Bonetti - épisode : Crimini d'estate - Luisa 2000 : La casa delle beffe, téléfilm de Pier Francesco Pingitore - Paola / rossana 2003-2004 : Carabinieri saison 2-3 de Raffaele Mertes - Claudia Morresi 2004 : Don Matteo 4, 24 épisodes de Giulio Base et Andrea Barzini - Laura Respighi 2005 : Edda, téléfilm de Giorgio Capitani - Nora Pessina 2005 : San Pietro, téléfilm de Giulio Base - Maria Maddalena 2005 : Una famiglia in giallo de Alberto Simone - Emma Caponero 2005-2006 : Don Matteo 5, 24 épisodes de Giulio Base, Carmine Elia, Elisabetta Marchetti - Laura Respighi 2007 : Gente di mare 2 de Giorgio Serafini - épisode : Una vita da salvare 2008 : Vita da paparazzo de Pier Francesco Pingitore - Giovanna 2008 : Terapia d'urgenza, saison 1 de Carmine Elia, Lucio Gaudino et Gianpaolo Tescari - Laura Costa 2009 : Il Commissario Manara série de Luca Ribuoli 2011 : Il delitto di Via Poma, téléfilm de Roberto Faenza - Journalist 2011 : Sarò sempre tuo padre, téléfilm de Lodovico Gasparini - Carlotta 2012 : La vita che corre, téléfilm de Fabrizio Costa - Elena 2012 : Rex, chien flic - saison 14 épisode 3 : Gioco sottobanco - Lisa Mantovani 2013 : Un medico in famiglia 8 - série TV. Notes et références Liens externes Fiche actrice sur closeupactors Actrice italienne de télévision Actrice italienne Naissance en décembre 1971 Naissance à Rome
Aquarium du port de Nagoya
L'Aquarium du port de Nagoya (japonais : 名古屋港水族館, Hepburn : nagoyakō suizokukan?) est un aquarium japonais situé dans la région du Chūbu, à Nagoya. C'est l'un des deux delphinariums japonais présentant des orques, avec le Kamogawa Seaworld. Il présente actuellement 13 grands dauphins, 6 bélugas, 3 orques et 3 dauphins à flancs blancs du Pacifique. Il est accessible près de la station Nagoyakō de la ligne de métro Meikō. Installations et faune présentée Orques Présentée à partir de 2003, était un prêt d'un autre aquarium, il y a vécu jusqu'à sa mort, le . En 2010, l'aquarium acquiert une orque nommée . Elle mourut peu de temps après son arrivée le . L'aquarium prévoit dès janvier/ de recevoir pour cinq ans deux orques, un mâle et une femelle, Bingo et Stella, prêtée par le Kamogawa Seaworld de la préfecture de Chiba. Les deux orques arrivent par bateau le . Leur fille, Ran 2, est arrivée par camion la veille. Le , Stella donne naissance à une femelle, prénommée Lynn. Bingo décède le , des suites d'une maladie. Il présente actuellement une troisième orque, Earth, fils de Lovey et Oscar, né en 2008. C'est la petite-fille de Stella et Bingo. Autres Voir aussi Port de Nagoya Références Liens externes Site officiel (Japonais) Site officiel (en anglais) Aquarium public au Japon
Landorthe
Landorthe est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Landorthais et Landorthaises. Géographie Localisation La commune de Landorthe se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Elle se situe à à vol d'oiseau de Toulouse, préfecture du département, et à de Saint-Gaudens, sous-préfecture. Les communes les plus proches sont : Savarthès (), Estancarbon (), Saint-Médard (), Latoue (), Labarthe-Inard (), Miramont-de-Comminges (), Sepx (), Pointis-Inard (). Sur le plan historique et culturel, Landorthe fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Landorthe est limitrophe de six autres communes. Géologie et relief La superficie de la commune est de ; son altitude varie de . Hydrographie La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par le Jô, le Soumès, le Rioumort et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de de longueur totale. Le Jô, d'une longueur totale de , prend sa source dans la commune de Saint-Gaudens et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Lestelle-de-Saint-Martory, après avoir traversé . Le Soumès, d'une longueur totale de , prend sa source dans la commune de Saint-Gaudens et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Beauchalot, après avoir traversé . Climat Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs. Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après. Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975 et qui se trouve à à vol d'oiseau, où la température moyenne annuelle est de et la hauteur de précipitations de pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à , la température moyenne annuelle évolue de pour la période 1971-2000, à pour 1981-2010, puis à pour 1991-2020. Milieux naturels et biodiversité L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de est recensée sur la commune : les « prairies humides et milieux riverains de la vallée du Jô » (), couvrant du département. Urbanisme Typologie Landorthe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de moins de . Occupation des sols L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,9 %), zones urbanisées (16,3 %), forêts (12,2 %), terres arables (11,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,4 %), prairies (3,2 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Voies de communication et transports Accès par l'autoroute A64 sortie et avec le réseau Arc-en-ciel. Toponymie Histoire Politique et administration Administration municipale Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et , le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze. Rattachements administratifs et électoraux Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Saint-Gaudens. Avant le , Landorthe faisait partie de la communauté de communes du Saint-Gaudinois. La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac. Tendances politiques et résultats Liste des maires Population et société Démographie Enseignement Landorthe fait partie de l'académie de Toulouse. L'éducation est assurée sur la commune par un groupe scolaire : maternelle et primaire. Culture et festivité Comité des fêtes, fête locale (fin juillet), Activités sportives Chasse, pétanque, Écologie et recyclage Économie Revenus En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte fiscaux, regroupant . La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de ( dans le département). Emploi En 2018, la population âgée de s'élève à , parmi lesquelles on compte 70,1 % d'actifs (62 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 29,9 % d'inactifs. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des est inférieur à celui de la France et du département. La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle. Elle compte en 2018, contre 266 en 2013 et 265 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 370, soit un indicateur de concentration d'emploi de 63,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,3 %. Sur ces 370 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 72 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants. Pour se rendre au travail, 93,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile). Activités hors agriculture Secteurs d'activités 56 établissements sont implantés à Landorthe au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,1 % du nombre total d'établissements de la commune (23 sur les 56 entreprises implantées à Landorthe), contre 25,9 % au niveau départemental. Entreprises et commerces Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont : Auto Services Saint Gaudens, activités des sociétés holding () SARL Rural 31, commerce de gros (commerce interentreprises) de matériel agricole () Landor, autres commerces de détail en magasin non spécialisé () SA Meubles Ferre, commerce de détail de meubles () Sba Coifexpand, centrales d'achat non alimentaires () Agriculture La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins. Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 20 lors du recensement agricole de 1988 à 21 en 2000 puis à 10 en 2010 et enfin à 10 en 2020, soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de en 1988 à en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 23 à . Culture locale et patrimoine Lieux et monuments Église Saint-Gaudens avec ses vitraux signés André Rapp. Chapelle Notre-Dame du Mont-Carmel. Personnalités liées à la commune Sens unique groupe de rock chrétien. Pour approfondir Bibliographie Articles connexes Liste des communes de la Haute-Garonne Panthéon pyrénéen Liens externes Landorthe sur le site de l'Institut géographique national Notes et références Notes et cartes Notes Cartes Références Site de l'Insee Autres sources Commune en Haute-Garonne Commune dans l'arrondissement de Saint-Gaudens Aire urbaine de Saint-Gaudens
Suffolk County Council
Le (« conseil du comté du Suffolk » en anglais) est l'autorité administrative chargée du comté non métropolitain du Suffolk, dans l'Est de l'Angleterre. Ses membres sont élus pour quatre ans. Histoire Le est fondé en 1974. Il est issu de la fusion du et du , deux conseils fondés en 1889 qui s'occupaient respectivement de la moitié orientale et occidentale du comté. À sa création, le conseil se réunit dans les anciens locaux du East Suffolk County Council, le , à Ipswich. Il déménage en 2004 dans un bâtiment plus moderne, , également situé à Ipswich. Composition Lors des élections locales britanniques de 2021, les 75 conseillers élus au scrutin uninominal majoritaire à un tour dans les 63 circonscription du comté (12 circonscriptions élisent 2 conseillers, les autres un seul) se répartissent de la manière suivante : 55 pour le Parti conservateur ; 9 pour le Parti vert ; 5 pour le Parti travailliste ; 4 pour les Libéraux-démocrates ; 2 indépendants. Références Liens externes Politique dans le Suffolk Organisme fondé en 1974
Liste de festivals de jazz
Cet article présente une liste de festivals de jazz. Cette liste non exhaustive est classée par continent, par pays et par mois (ordre alphabétique) : Afrique Amérique du Nord Amérique du Sud Asie Europe Océanie Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste de festivals de musique Jazz Festival Jazz de:Liste von Jazzfestivals in Deutschland, Österreich und der Schweiz
Keigo Higashi
est un footballeur japonais né le . Il évolue comme milieu de terrain au FC Tokyo. Biographie Liens externes Footballeur japonais Joueur de l'Oita Trinita Joueur de l'Omiya Ardija Joueur du FC Tokyo Footballeur aux Jeux olympiques d'été de 2012 Naissance à Kitakyūshū Naissance en juillet 1990
Performance du système d'information
La performance du système d'information est défini comme étant "l'adéquation entre le résultat des efforts consentis par cette organisation et les objectifs qu'elle s'était fixés". Son rôle est donc d’évaluer un système d’information selon certains critères (coûts, ressources stratégiques, valeur du SI) avec des outils de mesure. Modèle d'évaluation fonctionnelle (MEF) Afin d'améliorer un système d'information ainsi que sa performance, historiquement on s'est en premier lieu tourné vers les processus de production (optimisation du calcul des stocks, robotisation…). Désormais cette démarche se tourne de plus en plus sur les fonctions support des industriels. Les questions d’ordres financiers se voient également confrontées à des questions d’ordres stratégiques. Des remises en question sur l’intérêt d'externaliser apparaissent et le modèle MEF essaie d'y apporter une réponse. Son objectif est de réaliser une évaluation de la fonction système. Pour cela il s'appuie sur une structure simple, il se propose de juger à la fois les pôles activités, compétences, clients et organisation pour déterminer la performance globale de la fonction. Types d'évaluation de la fonction SI Évaluation des activités Toute activité est évaluée grâce à un tableau appelé la grille d’évaluation qui se représente comme ci-contre. Chaque activité est donc évaluée sur les critères de réalisation et de son importance pour l’entreprise. Les activités listées dans le tableau précédent sont ensuite comparées aux pratiques réelles dans les entreprises pour déterminer un taux d’activité. Pour aller plus loin, les activités sont jugées en fonction de leur réalisation et de leur importance par l'affectation d'un coefficient. Les taux d’activité sont ensuite regroupés par indicateurs ce qui crée le taux d’activité contingent. Le périmètre de la fonction système d’information peut être défini par cinq rubriques métiers déclinées en vingt pratiques métiers, ce qui représente un total de quatre-vingts activités. L’analyse de la fonction système d’information, à partir d’un référentiel théorique des activités, permet d’obtenir le taux d’activité et de mesurer ainsi l’écart entre le référentiel théorique et ce qui se pratique réellement. Évaluation des compétences La notion de compétence comprend trois types savoirs différents : le savoir technique, le savoir comportemental et le savoir métier. Le référentiel de compétences de la fonction système d’information comprend donc ces trois types de savoir. Ces savoirs regroupent donc des compétences que nous pouvons qualifier de techniques, comportementales et prospectives. Le questionnaire d’évaluation de ces compétences reprend alors celles-ci et utilise une notation de 1 à 4. Le taux de maitrise est donc calculé comme suit : somme des points aux différentes affirmations, divisée par le nombre d’affirmations puis multipliée par 100 (pour un affichage en pourcentage). Tout ceci permet d’envisager des actions de formation, de diagnostiquer la fonction en lui attribuant une configuration compétences et d’alimenter le deuxième axe de l’évaluation globale. Évaluation des ressources Le calcul d'un taux de support structurel constitue à lui seul un moyen d’évaluation des ressources structurelles de la fonction SI. Ce taux a pour fonction première de mesurer les manquements et les errements au sein du système afin de fournir des solutions adéquates. Pour cela il faut au préalable étudier des domaines tels que le fonctionnement, le positionnement ou encore les intérêts mis en jeu à travers la fonction système d'information. Évaluation de la satisfaction client La satisfaction du client se trouve être au centre de la démarche qualité du système et de sa bonne gestion qui en découle. L'examen de celle-ci permet de répondre au mieux aux expectatives et aux demandes du client. Pour cela il faut mettre en relation puis comparer des modes relationnels et des prestations avec des clients. Les outils mis à disposition pour mener à bien cette analyse peuvent être un questionnaire ou bien une échelle de satisfaction client. Notes et références Bibliographie David Autissier & Valérie Delaye (2008). Mesurer la performance du système d'information, Groupe Eyrolles Voir aussi Gouvernance des systèmes d'information
Trois Hommes dans un bateau (film, 1956)
Trois Hommes dans un bateau () est un film britannique réalisé par Ken Annakin, sorti en 1956, adaptation du roman de Jerome K. Jerome. Synopsis Trois amis entreprennent un voyage sur la Tamise... Fiche technique Titre : Trois Hommes dans un bateau Titre original : Réalisation : Ken Annakin Scénario : Hubert Gregg et Vernon Harris d'après le roman de Jerome K. Jerome Production : Jack Clayton Photographie : Eric Cross Montage : Ralph Kemplen Pays d'origine : Royaume-Uni Format : Couleurs - 2,35:1 - Mono - 35 mm Genre : Comédie Durée : 84 minutes Date de sortie : ; Distribution Laurence Harvey : George Jimmy Edwards : Harris David Tomlinson : J Shirley Eaton : Sophie Clutterbuck Lisa Gastoni : Primrose Porterhouse Jill Ireland : Bluebell Porterhouse Adrienne Corri : Clara Willis Martita Hunt : Mrs. Willis Ernest Thesiger : 3rd old gentleman Norman Rossington : Boy Lover Miles Malleson : Baskcomb Christian Duvaleix : Pianiste George Woodbridge : Policier Notes et références Liens externes Film britannique sorti en 1956 Comédie britannique Film réalisé par Ken Annakin Film avec une musique composée par John Addison Adaptation d'un roman britannique au cinéma
Gourdjaani
Gourdjaani est une ville de Géorgie habitants (2014). Monuments (Kvelatsminda) Musée Nato Vatchnadze Personnalités Nato Vatchnadze (Natalia Andronikova, 1904-1953), actrice (1918-2008), peintre (1974-), poétesse et journaliste Jumelages Haradok, Biélorussie Municipalité du district de Pakruojis, Lituanie Powiat de Piaseczno, Pologne Notes et références
Essaoute
Essaoute est un village du Sénégal situé en Basse-Casamance, à proximité de la frontière avec la Guinée-Bissau. Il fait partie de la communauté rurale de Santhiaba Manjacque, dans l'arrondissement de Kabrousse, le département d'Oussouye et la région de Ziguinchor. Lors du dernier recensement (2002), la localité comptait 424 habitants et 59 ménages. Notes et références Voir aussi Liens externes Plan local d'hydraulique et d'assainissement (PLHA) : Communauté rurale de Santhiaba Manjacque (PEPAM, ) Répertoire des villages officiels du Sénégal (PNDL) Village dans la région de Ziguinchor
Saccodon
Saccodon est un genre de poissons téléostéens de la famille des Parodontidae et de l'ordre des Characiformes. Les Saccodon se rencontrent dans la région de Tumbes Chocó Magdalena du Panama au nord-ouest du Pérou. Liste d'espèces Selon : Saccodon dariensis (Meek & Hildebrand, 1913) Saccodon terminalis (Eigenmann & Henn, 1914) Saccodon wagneri Kner, 1863 Notes et références Références taxinomiques Parodontidae Characiformes Characiformes (nom scientifique) Poisson d'aquarium
Les Corps tranquilles
Les Corps tranquilles est un roman de Jacques Laurent publié en 1948. Il conte les aventures entrecroisées de personnages que rien d'autre ne réunit que le hasard (ils ont été embauchés par petites annonces). Passé quasi-inaperçu lors de sa première publication, cet énorme roman expérimental a été tardivement reconnu, à partir des années 1970, comme une œuvre majeure de la littérature française. Genèse de l'ouvrage En 1941, Jacques Laurent, 22 ans, est mobilisé dans l'armée de l'armistice pour garder un point de contrôle isolé de la Ligne de démarcation, sur une route déserte près de Moulins. Afin de combattre l'ennui que lui inspire cette affectation et les nostalgies de Paris qui le tenaillent, il se lance dans la rédaction d'un texte évoquant des images de la capitale (un trajet en métro, les jeunes filles qu'on y rencontre, la gare Saint-Lazare...). À partir de ce mince argument, il va développer un récit foisonnant qui part dans toutes les directions en enchaînant au pas de charge toutes sortes de situations romanesques concevables. Au lendemain de la guerre, le livre reste inachevé, tandis que l'auteur multiplie sous pseudonymes les travaux « alimentaires ». L'un d'eux, Caroline chérie (1947) signé Cecil Saint-Laurent, obtient un énorme succès et met son auteur à l'abri du besoin. Jacques Laurent en profite pour terminer Les Corps tranquilles qui sera publié fin 1948 aux Éditions Jean Froissart. Résumé Un nouvellement fondé « Institut international de vigilance, de recherche et de lutte contre le suicide » recrute des collaborateurs et enquêteurs par annonces dans la presse. Se trouvent ainsi réunis une quinzaine d'individus, hommes et femmes, tous différents en âge, extraction, mentalité, chacun avec son tempérament, ses opinions politiques et ses manies. Le personnage central est le jeune Anne Coquet, jouisseur nonchalant et ironique qui veille à n'être jamais dupe de ce qu'il fait, et dans lequel Jacques Laurent a sûrement beaucoup projeté de lui-même. Un chaos loufoque préside à la mise en place de cet Institut sans utilité (son commanditaire, un énigmatique milliardaire, finira par se suicider, Dieu lui-même met fin à ses jours). Les personnages se rencontrent, s'aiment ou se heurtent en entraînant des réactions en chaîne, se lient à d'autres personnages, les intrigues collatérales se multiplient (ce grouillement hétéroclite, ou « unanimiste », peut faire penser à John Dos Passos, envers qui l'auteur a reconnu une certaine dette). Pendant ce temps, Anne Coquet, censé mener en province des enquêtes, est bien plus porté sur la conquête des jeunes filles, encore que certains indices (comme son prénom androgyne) le laissent supposer bisexuel. Ses déplacements sont l'occasion de visiter toutes sortes de milieux sociaux et de paysages de France. Cette trame polyphonique, entremêlée de satire sociale, comédie de mœurs, éléments de roman policier, séquences libertines, monologues intérieurs, pastiches humoristiques, énumérations burlesques, digressions philosophiques etc. fournit une matière romanesque capable de s'auto-engendrer à l'infini. Il est spécifié dans le roman que l'action se déroule en 1937-1938, mais de nombreux lecteurs tendent instinctivement à la situer dans l'après-guerre. 1939-1945, ses prodromes et ses séquelles, sont absents du récit, qui flotte dans une intemporalité où la guerre n'aura pas lieu ou n'a pas eu lieu. Le titre Bien que les rapports amoureux et sexuels tiennent une certaine place dans le roman, et contrairement à ce que suggèrent les illustrations de couverture des éditions en Livre de poche, les « corps tranquilles » dont il est question ne sont pas ceux des personnages en tant qu'acteurs sexués, mais désignent les substances faiblement réactives qui se trouvent dans les matériels de « chimie amusante » qu'on offre aux enfants, à quoi l'auteur compare ses personnages dont les interactions ne provoquent guère de drame majeur. Réception À sa parution, le livre a suscité l'admiration entre autres de François Mauriac et Paul Morand mais a été boudé par les critiques, déroutés par ce roman-fleuve qui ne ressemblait à rien de connu, sans doute rebutés aussi par les quelque mille pages de l'édition originale. De plus, l'éditeur aurait fait l'erreur de vouloir projeter la notoriété de Caroline chérie sur Jacques Laurent, l'excluant ainsi du champ de la littérature de qualité. L'audience du roman s'est longtemps limitée au cercle interne du public des Hussards. Le Prix Goncourt décerné en 1971 aux Bêtises a fait sortir de l'ombre le précédent grand roman de Jacques Laurent, celui qu'il a toujours considéré comme son préféré, et duquel selon lui procède le reste de son œuvre. Depuis lors disponible en Livre de poche, Les Corps tranquilles est devenu un classique. Notes et références Roman français paru en 1948
Médaille Kainz
La médaille Josef Kainz est une récompense instituée en 1958 à l'occasion du anniversaire de naissance de l'acteur autrichien Josef Kainz. Le prix est offert par la ville de Vienne. Ce prix a été remis chaque année jusqu'en 1999 aux acteurs, metteurs en scène et scénographes/décorateurs. Avec le Prix Nestroy et l'anneau de Raimund, elle est intégrée en 2000 au Prix du théâtre Nestroy nouvellement créé et qui est décerné annuellement. Années 1950 1958 : Albach-Retty Rosa - Une dame étrange ( Edna Savage) - Akademietheater Günther Haenel - Éclipse solaire (Rubashow) - Volkstheater Leopold Lindtberg - Weh die der lies (metteur en scène) - Burgtheater 1959 : Alma Seidler - Die Medaillen einer alten Dame ( Dowey) - Burgtheater Attila Hörbiger - Fast ein Poet (Cornelius Melody) - Burgtheater Kurt Horwitz - Le Misanthrope (metteur en scène) - Volkstheater Années 1960 1960 : Paula Wessely - Anatol (Gabriele) - Akademietheater Anton Edthofer - Der verborgene Strom (Daniel Monnerie) - Theater in der Josefstadt Ernst Lothar - Das weite Land (metteur en scène) - Akademietheater 1961 : Heidemarie Hatheyer - La toison d'or (Medea) - Burgtheater Hans Moser - La peur de l'enfer (Flickenschuster Pfriem) - Theater in der Josefstadt Josef Gielen - Was ihr wollt (metteur en scène) - Burgtheater. 1962 : Helene Thimig - C'est comme ça - c'est ça ? (Signora Frola) - Théâtre in der Josefstadt Ernst Deutsch - Nathan der Weise (Nathan) - Burgtheater Leon Epp - L'idiot, Frank der Fünfte et Andorra (direction) - Volkstheater 1963 : Dorothea Neff - Mère Courage et ses enfants (Mère Courage) et Musique (colonel Hühnerwadel) Josef Meinrad - Liliom (Liliom) et Les physiciens (Ernst Heinrich Ernesti) Heinrich Schnitzler - Die letzten Masken, Le temps des cerises et Train de nuit (direction) - Theater in der Josefstadt 1964 : Hilde Krahl Hans Holt Gustav Manker - Shakespeare Troilus and Cressida et Ferdinand Bruckner Les criminels (metteur en scène) 1965 : Kathe Gold - Les joyeuses épouses de Windsor ( Page) - Burgtheater Léopold Rudolf - Système Fabrizzi (Antonio Fabrizzi) - Theater in der Josefstadt Rudolf Steinböck - Nach dem Sündenfall (metteur en scène) - Burgtheater 1966 : Adrienne Gessner - Arsenic et vieilles dentelles (Abby Brewster) - Theater in der Josefstadt Curd Jürgens - Juge à part entière (Bill Maitland) - Theater in der Josefstadt Michael Kehlmann - Le dixième homme (metteur en scène) - Theater in der Josefstadt 1967 : Ursula Schult Heinrich Schweiger Fritz Kortner 1968 : Blanche Aubry Ewald Balser Otomar Krejča 1969 : Elfriede Ott Helmut Qualtinger - Contes de la forêt viennoise (Roi magique) et Le talisman (Titus Feuerfuchs) Hans Hollmann Prix de parrainage : Brigitte Swoboda - Magic Afternoon Années 1970 1970 : Susanne von Almassy Heinz Reincke Conny Hannes Meyer Zbynek Kolar 1971 : Erni Mangold Hugo Gottschlich Vaclav Hudecek 1972 : Vilma Degischer Herbert Propst Dieter Dorn Maxi Chunko Prix de parrainage pour le metteur en scène : Werner Prinz 1973 : Judith Holzmeister Michael Heltau - Le concert (Dr. Jura), Volkstheater Erwin Axer Georg Schmid 1974 : Gertraud Jesserer - Histoires des bois de Vienne (Marianne) Paul Hoffmann Hans Gratzer Prix de parrainage : Peter Gruber, Therese Affolter 1975 : Christine Ostermayer Norbert Kappen Hermann Kutscher Ezio Frigerio 1976 : Kitty Speiser Johannes Schauer Prix de promotion : Sonja Sutter 1977 : Annemarie Düringer Heinz Moog Peter Wood Matthias Kralj 1978 : Erika Pluhar Fritz Muliar - L'Opéra de quat'sous (Peachum) Angelika Hurwicz Bert Kistner Prix de parrainage : Fritz Holy 1979 : Hortense Raky Joachim Bissmeier Rolf Langenfass Prix de parrainage : Maria Bill Années 1980 1980 : Josefin Platt Helmuth Lohner Achim Benning - Sommergäste (metteur en scène) Wolfgang Mai 1981 : Romuald Pekny Elizabeth Orth Erwin Piplits Pantelis Dessyllas 1982 : Maria Bill Benno Besson Wilfried Baasner Ezio Toffolutti Prix de promotion : Helmut Wiesner, Ottwald John, Lena Iglisonis et Nika Brettschneider 1983 : Hilde Krahl Peter Gruber Herbert Kapplmüller Prix de promotion : Ulrike Kaufmann, Hans Piesbergen 1984 : Günther Einbrodt Gerhard Jax Prix de promotion : Andrea Jaufer, Wolfgang Böck et Hubert Kramar 1985 : Franz Morak Tatja Seibt Yuri Lyubimov Carlo Tommasi - Der Traum ein Leben (scénographie) Prix de promotion : Beatrice Frey 1986 : Karlheinz Hackl Susanne Lothar Fritz Zecha Matthias Krahlj Prix de promotion : Otto Clemens - Michael Kramer (Arnold) - Theater in der Josefstadt 1987 : Gert Voss Elisabeth Rath Achim Freyer Claus Peymann (non accepté) Prix de parrainage : Klaus Fischer, Katharina Manker, Torsten Fischer et Sabina Kellner 1988 : Michael Degen Angelica Domröse George Tabori Karl Ernst Herrmann Prix de promotion : Stephan Bruckmeier et Vincenzo Baviera 1989 : Wolfgang Gasser Ursula Höpfner Peter Zadek Wolfgang Bauer aucun prix à un créateur de costumes ou de théâtre Années 1990 1990 : Ignaz Kirchner Rosel Zech Claus Peymann Peter Pabst Prix de promotion : Cornelia Lippert et Thomas Evertz 1991 : Martin Schwab Birgit Doll Cesare Lievi Daniele Lievi (à titre posthume) Prix de promotion : Kurt Palm et Katrin Thurm 1992 : Johann Adam Oest Andrea Clausen Thomas Langhoff - The Tower (metteur en scène) aucun prix attribué à un créateur de costumes ou de théâtre Prix de parrainage : Susanne Thomasberger 1993 : Hans-Michael Rehberg Kirsten Dene Hans Neuenfels Hans Schavernoch Récompense : Josef Hader Prix de promotion : Ursula Hübner, Wolf Bachofner 1994 : Ulrich Mühe Elisabeth Trissenaar Ruth Berghaus Erich Wonder Prix de promotion : Dario Lindes 1995 : Anne Bennent - Yvonne, Princesse de Bourgogne (Yvonne) - Akademieatheater Il n'y a pas de prix attribué pour le meilleur acteur. Ariane Mnouchkine - Le Tartuffe (Directrice) - Wiener Festwochen & Théâtre du Soleil @ Museumsquartier Peter Schulz - Zur schönen Aussicht (équipement) - Volkstheater Prix de promotion I : Christian Banzhaf - Strafmündig (Ted Merschroth) - Theater der Jugend au Theater im Zentrum Förderungspreis II : Theresa Hübchen - Arcadia (Thomasina Coverly) - Théâtre in der Josefstadt Förderpreis III : Karin Henkel - Chasse aux sorcières et Die Ausgesperrten (les deux metteur en scènes) - Akademietheater et Vestibül du Burgtheater Prix de parrainage IV : Philippe Arlaud - Angels in America et Aux yeux d'un étranger (chaque décor) - Schauspielhaus 1996 : Angela Winkler - Le verger de cerisiers (Lyubov Andreyevna Ryevskaya) - Théâtre de l'Académie Josef Bierbichler - Le cerisier (Jermolai Alexeyevich) - Akademietheater Peter Zadek - The Cherry Orchard (metteur en scène) - Akademietheater Philippe Arlaud - Quai West (metteur en scène de la scénographie et de l'éclairage) - Schauspielhaus Prix de promotion I : Sebastian Blomberg - (Performance globale de l'acteur) - Schauspielhaus Récompense II : Gabriela Hütter - La mer et les vagues de l'amour (héros) et La fantaisie liée (Fantaisie poétique) - Théâtre Gruppe 80 Förderpreis III : Stefan Bachmann - Skizzenbuch (metteur en scène) - Schauspielhaus Förderpreis IV : Christoph Speich - Tu devrais me donner des petits-enfants (scénographie) - Schauspielhaus 1997 : Andrea Eckert - Cours de maître - Maria Callas (Maria) - Volkstheater Sieghardt Rupp - L'affaire Furtwängler (Wilhelm Furtwängler) - Rabenhof Helmut Wiesner - À propos des villages (metteur en scène) - Theater Gruppe 80 Ulrike Kaufmann - Xanadu (équipement) - Odéon Prix de parrainage I : Christoph Müller - Dysmorphomania (G., géologue) - Schauspielhaus Förderungspreis II : Franziska Sztavjanik - Le sentier solitaire (Johanna) - Volkstheater Förderpreis III : Christian Stückl - Dysmorphomanie (metteur en scène) - Schauspielhaus Prix IV : Christian Sedelmayer - Dysmorphomania (équipement) - Schauspielhaus 1998 : Dörte Lyssewski - Scènes d'un mariage (Marianne) et Le semblable (Magda / Odile) - Akademietheater et Theater in der Josefstadt Nicholas Ofczarek - Krähwinkelfreiheit (Eberhard Ultra) - Burgtheater Einar Schleef - Une pièce de sport (metteur en scène) - Burgtheater Bert Neumann - Krähwinkelfreiheit (équipement) - Burgtheater Förderungspreis I : Wolfram Rupperti - (Performance d'ensemble de l'acteur) - Schauspielhaus Prix II : Meriam Abbas - Faust (Gretchen) et L'illusion (Malibea, Isabelle & Hippolyta) - Schauspielhaus Förderpreis III : Philip Tiedemann - Public abuse (metteur en scène) - Akademietheater Prix IV : John Lloyd Davies - Popcourn (design d'intérieur) - Rabenhof 1999 : Maria Happel - Les Aborigènes (Irmi) et Minna von Barnhelm (Franziska) - Académie et Burgtheater Robert Meyer - (Performance d'ensemble de l'acteur) - Burg and Akademietheater Klaus Fischer - Die Schwärmer (metteur en scène) - Theater Gruppe 80 Maria-Elena Amos - Les indigènes (équipement) Prix de promotion I : Rupert Henning - L'Ouest solitaire (Valene Connor) - Théâtre Drachengasse Förderungspreis II : Claudia Sabitzer - (Performance d'ensemble de l'acteur) - Schauspielhaus Förderpreis III : Stephanie Mohr - Knives in Hens (metteur en scène) - Volkstheater, Am Plafon Förderpreis IV : Étienne Plüss - Claus Peymann achète un pantalon et dîne avec moi (décoration intérieure) - Akademietheater Notes et références Distinction fondée en 1958 Récompense de théâtre Médaille Prix artistique en Autriche Pages avec des traductions non relues
Féminisme en Italie
Le féminisme en Italie naît pendant la période de la Renaissance italienne, à partir de la fin du . Des écrivaines italiennes comme Christine de Pizan, Moderata Fonte, ou encore Lucrezia Marinella, développent les idées théoriques à la base de l’égalité des sexes. Contrairement aux mouvements féministes présents en France et au Royaume-Uni qui visent à l’intégration totale des femmes dans la société (par exemple avec le droit de vote), les premières défenseuses des droits des femmes en Italie insistent surtout sur l’importance du droit à l’éducation et de l’amélioration des conditions sociales des femmes. Le féminisme italien subit un revers sous le gouvernement fasciste de Benito Mussolini dans la première moitié du , dont l’idéologie définit la procréation comme étant le devoir principal de la femme. Pendant la période d’après-guerre, les mouvements féministes grandissent, portés par un fort militantisme public sur les questions telles que le divorce et l’avortement dans les années 1970. Le féminisme italien est a pris de l’ampleur ces dernières années, en particulier sous l'administration de l’ex-président du Conseil des ministres d'Italie Silvio Berlusconi, avec une attention particulière sur la non-objectification des femmes dans les programmes de la télévision nationale et dans la politique. Histoire La Renaissance et les premières féministes Les penseurs de la Renaissance ont régulièrement défié les idées reçues du Moyen Âge et des temps plus anciens. L’humanisme devient une nouvelle façon de voir la politique, les sciences, les arts, l’éducation, et d’autres domaines de la connaissance. Il met de côté le concept chrétien médiéval d’un ordre social hiérarchique qui place les citoyens ordinaires dans une position servile par rapport aux membres du clergé. L’homme universel de la Renaissance devient bientôt l’idéal à imiter. Alors que les hommes de la Renaissance sont pour la plupart enclins à l’antiféminisme, un petit nombre de femmes instruites ont la motivation nécessaire pour contester l’hypothèse selon laquelle les femmes devraient être soumises aux hommes. Dans son livre La Cité des dames de 1404, Christine de Pizan décrit le genre féminin comme n’ayant aucune infériorité innée par rapport aux hommes : . Elle atténue cependant cette affirmation en écrivant également que les hommes auraient été créés pour gouverner et les femmes pour les suivre. L’Italie de la Renaissance voit le développement de l’enseignement supérieur, notamment la création de plusieurs universités, dans lesquelles les femmes ne sont pas admises. Celles qui en ont les moyens ont la possibilité de suivre leur propre formation, d’autres ont un père qui les autorise à être éduquées par un tuteur. Les rares hommes de la Renaissance qui soutiennent l’éducation des femmes y voient un moyen d’améliorer leurs vertus et de les rendre plus obéissantes envers leur maris. L’instruction orientée vers la fabrication des vêtements est vue comme une perte de temps pour les femmes. Certaines femmes notables ont cependant pu laisser leur trace à la Renaissance. En dehors des couvents, où elles avaient été confinées tout au long de l’ère médiévale, des femmes instruites commencent à émerger dans l’arène intellectuelle séculière. À partir de la Renaissance et jusqu’au début de l’ère moderne apparaissent des salons littéraires, où hommes et femmes intellectuels se rencontrent et discutent littérature, politique, et autres sujets. À partir du et au début du , les écrivaines s’intègrent à la culture de leurs contemporains et sont acceptées comme partenaires égaux dans ces salons familiaux. À la fin de la Renaissance, les Italiennes instruites écrivent À une époque où la plupart des femmes appartiennent à la classe paysanne, la plupart d’entre elles sont analphabètes ; les femmes instruites qui savent lire et écrire sur divers aspects du féminisme se trouvent dans une position isolée. Il est nécessaire, pour obtenir des soutiens aux causes féministes, de faire appel à des femmes appartenant à tous les niveaux de la société. À partir du milieu du , certaines femmes entreprenantes commencent à toucher les femmes de la classe moyenne grâce aux nouveaux médias : presse, livres grand public, et périodiques. La loi Casati de 1859 instaure un système de formation pour les jeunes femmes comme enseignantes dans les écoles publiques ; les femmes finissent ainsi par devenir la base du système éducatif italien, et forment des associations pour défendre leurs intérêts, tels que salaires et conditions de travail. L’enseignement devient rapidement la carrière la plus accessible pour les femmes. Anna Maria Mozzoni déclence un mouvement de femmes largement répandu en Italie avec la publication de La femme et ses rapports sociaux à l’occasion de la révision du code italien en 1864. Il fait écho au mécontentement des femmes qui avaient participé aux luttes pour l’unification du pays lors du Risorgimento à la vue des inégalités contenus dans le nouveau code de droit civil. Le livre de Mozzoni sensibilise le public aux injustices présentes dans le Droit de la famille, discriminatoires à l’égard des femmes ; il en est de même avec la campagne de Mozoni contre la réglementation de la prostitution par l’État. Elle traduit ensuite l’essai de John Stuart Mill sur La Servitude des femmes puis, pour promouvoir le suffrage féminin, fonde la Ligue pour la promotion des intérêts des femmes à Milan en 1881. Le Codice civile de 1865 instaure la majorité légale des femmes célibataires, le droit égal d’hériter, et, pour les femmes mariées, l’autorisation de devenir les tuteurs légaux de leurs enfants et de leurs biens si elles étaient abandonnées par leur mari. En 1868, Alaide Gualberta Beccari fonde le journal (« La Femme »), à l’âge de . Beccari passe la majeure partie des années 1870 et 1880 à travailler pour diffuser des informations sur le féminisme. Le périodique couvre les luttes internationales des femmes, telles que les réalisations politiques et sociales des femmes en France, aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Les législateurs hommes font partie de son nombre croissant de lecteurs, et, en 1877, une série d’articles sur des sujets favorables à la réforme poussent à signer une pétition en faveur du suffrage des femmes. Les femmes sont admises dans les universités italiennes en 1876 et deviennent capables de témoigner pour des actes juridiques l’année d’après. Le premier congrès national féministe d’Italie est organisé par (« Pour la Femme ») en 1911. Les intervenantes y demandent le droit de divorce pour les femmes et le droit de fréquenter des écoles non religieuses. En 1919, les femmes mariées se voient accorder des droits économiques distincts, tandis que les postes publics aux niveaux inférieurs sont ouverts aux femmes. Jusqu’à presque l’avènement du fascisme, Guglielmina Ronconi et d’autres pratiquent le « féminisme social » : l’objectif est de former les femmes des classes sociales les plus défavorisées au travers d’organisations entièrement féminines qui ne s’adressent qu'aux femmes de la périphérie urbaine. Les femmes dans l’Italie fasciste (1922-1945) Le mouvement féministe est durement touché en 1922, lorsque Mussolini arrive au pouvoir et que le fascisme prend de l’ampleur dans le pays. Cette période était de manière générale antiféministe : l’idéologie fasciste définit la procréation comme étant le devoir principal de la femme. Les femmes obtiennent tout de même le droit de vote en 1925, même si celui-ci se limite aux élections locales. Ce n’est qu’en 1945 qu’elles obtiennent le droit total. Le féminisme italien de l’après-guerre Comme dans d’autres pays, les premiers groupes féministes organisés se développent en Italie au début des années 1970, dans le cadre de la deuxième vague féministe. En 1970, Carla Lonzi fonde la revue à Rome et à Milan avec la publication d’un manifeste. Deux des plus grands succès du féminisme italien au cours de cette décennie sont les promulgations d’une loi sur le divorce en 1970, et d’une autre réglementant l’avortement en 1978. En 1975, le droit de la famille est réformé afin d’éliminer l’adultère des infractions pénales passibles de poursuites, ainsi que de rendre partenaires masculins et féminins d'un mariage égaux devant la loi. En particulier, la loi prévoit l’égalité des sexes dans le mariage, supprimant ainsi le domaine juridique du mari. Ces réformes juridiques suppriment également la discrimination à l’égard des enfants nés en dehors de l'institution matrimoniale. En 1981, la loi qui prévoyait une peine atténuée en cas de crime d'honneur est abrogée. Années 1990 En 1992, à Rome, un instructeur d’auto-école de est accusé de viol sur une jeune fille de qui prenait sa première leçon de conduite avec lui. L’instructeur est reconnu coupable mais la Cour de cassation annule la peine en 1998, au motif que la victime portait un jeans moulant. Elle soutient qu’un jeans moulant demande la collaboration active de la personne qui le porte pour être enlevé, et donc qu’il s’agissait d’un rapport sexuel consensuel. Cette décision déclenche une protestation féministe généralisée. Le lendemain de la décision, les femmes présentes au Parlement italien protestent en portant des jeans et en portant des pancartes . En signe de soutien, le Sénat californien fait de même. Patricia Giggans, directrice exécutive de la commission de Los Angeles contre les agressions contre les femmes (aujourd’hui ) crée l’évènement « », qui a lieu tous les ans depuis 1999. En 2008, la décision de la Cour de cassation est définitivement annulée. En 1996, l’Italie modifie la loi sur le viol en augmentant la peine pour agression sexuelle et en la reclassant d’un crime contre la moralité à un crime contre la personne. Le , la loi sur les est promulguée, à la suite de cas médiatisés d’infibulation pratiqués par des médecins au sein de la communauté africaine en Italie. Elle entre en vigueur le 28 janvier de la même année. L’article 6 de la loi ajoute les articles 583-bis et 583-ter au code pénal italien, qui punissent toute pratique de mutilation génitale féminine avec une peine d’emprisonnement de quatre à douze ans. La peine peut être réduite si le dommage causé est faible mais peut également être augmentée si la victime est mineure ou si le crime a été commis pour le profit. La loi s’applique à toute personne résidant en Italie, et exige que tout médecin reconnu coupable voit sa licence médicale révoquée pour une durée minimale de six à dix ans. Le féminisme italien a pris plus d’importance sous l'administration de l’ex-président du Conseil des ministres d'Italie Silvio Berlusconi, avec une attention particulière sur la non-objectification des femmes dans les programmes de la télévision nationale et dans la politique. Situation actuelle Bibliographie Références Crédit d’auteurs Voir aussi Articles connexes Histoire du féminisme (CNDI) Rosa Genoni Droits de l'homme en Italie
Cabela's Dangerous Hunts 2
Cabela's Dangerous Hunts 2 est un jeu vidéo d'action développé par Sand Grain Studios et édité par Activision, sorti en 2005 sur Windows, GameCube, PlayStation 2 et Xbox. Système de jeu Accueil IGN : 6,3/10 Notes et références Article connexe Liste de jeux vidéo Cabela's Jeu vidéo sorti en 2005 Jeu Windows Jeu GameCube Jeu PlayStation 2 Jeu Xbox Jeu d'action Jeu vidéo de chasse Jeu vidéo développé en Roumanie Jeu Activision
Tokyo Necro
est un visual novel d'horreur cyberpunk de type eroge créé par Nitroplus. Le scénario original a été écrit par Makoto Fukami. Synopsis Les protagonistes, Kibanohara Ethica et Nagaoka Souun, sont de jeunes "Private Special Living Dead Stalkers", une unité spéciale privée luttant contre un fléau nommé "Nécromancie". En pratiquant un type spécial d'art martial appelé "Close Quarter Armed Martial Arts" (Arts martiaux en combat rapproché), tous deux sont des agents expérimentés. Un jour, en mission, Souun s'engage dans une bataille féroce et rencontre une jeune fille. Ne se souvenant que de son nom, "Hougyou Ilia", est devenue la cible d'un mystérieux groupe de nécromanciens. Commence alors une bataille contre la nécromancie dans un Tokyo gelé en plein hiver nucléaire rongé par les crimes et la cybernétique. Explication du titre L'écriture de est normalement . Le caractère , jouant sur la similarité du caractère , insiste sur l'univers du jeu se déroulant pendant un hiver nucléaire au Japon dans un Tokyo dévasté par la glace. Notes et références Visual novel Jeu vidéo sorti en 2016 Jeu Windows Jeu vidéo développé au Japon Eroge Jeu vidéo avec fins alternatives Jeu vidéo cyberpunk Jeu vidéo d'horreur
Gerabronn
Gerabronn est une ville de Bade-Wurtemberg (Allemagne), située dans l'arrondissement de Schwäbisch Hall, dans la région de Heilbronn-Franconie, dans le district de Stuttgart. Ville en Bade-Wurtemberg
Theodor Drexel
Theodor Drexel était un bibliographe allemand du , auteur d'une bibliographie de livres de gastronomie incluant des travaux en anglais, portugais, allemand, français, néerlandais, italien, espagnol, hongrois, polonais, russe, et suédois. Il s'agit d'un catalogue d'une des principales collections gastronomiques du . Plus de qui furent légués à la bibliothèque de Berlin et qui disparurent lors de l'incendie de cette institution. Publications Catalog der Kochbücher-Sammlung, Francfort-sur-le-Main, 1885-1891 ; Bruxelles, 1989 ; Mansfield, Martino, 1990 ; Martino Publishing, 2000. Édition rassemblée du catalogue individuellement publié et de ses suppléments de la collection des livres de cuisine de formée par Drexel incluant des travaux en allemand (1-123), français (124-188), anglais (189-216), latin, italien, espagnol (217-242), néerlandais et suédois (243-258). Écrivain allemand du XIXe siècle Bibliographe allemand Auteur culinaire Écrivain de langue allemande Date de naissance non renseignée (XIXe siècle)
Championnat du monde masculin de course à l'américaine
Le Championnat du monde de course à l'américaine masculin est le championnat du monde de course à l'américaine organisé annuellement par l'UCI dans le cadre des Championnats du monde de cyclisme sur piste. Depuis 2017, un championnat du monde féminin est organisé. Historique Elle est intégrée au programme des championnats du monde de cyclisme sur piste depuis 1995. L'Espagnol Joan Llaneras le Français Morgan Kneisky, le Britannique Mark Cavendish et le Danois Michael Mørkøv avec trois titres détiennent le record de victoires. Palmarès Bilan Classement individuel Classement par pays Notes et références Voir aussi Article connexe Course à l'américaine Championnat du monde de course à l'américaine féminin Lien externe Palmarès de la course à l'américaine sur memoire-du-cyclisme.net Américaine
Fredy (football, 1990)
Alfredo Kulembe Gomes Ribeiro, dit Fredy, né le à Luanda, est un footballeur international angolais évoluant au poste de milieu offensif droit. Biographie En club Fredy joue 67 matchs en première division portugaise, inscrivant trois buts, et 64 matchs en deuxième division portugaise, marquant 12 buts, avec le CF Belenenses. Il participe à la Ligue des champions d'Afrique avec le club angolais du Desportivo Libolo. En sélection Il joue son premier match en équipe d'Angola le , en amical contre le Mozambique (1-1). Il inscrit son premier but le , en amical contre l'Éthiopie (victoire 1-0). Il marque un deuxième but le , contre la RD Congo, lors des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations 2017 (défaite 2-1). Palmarès Desportivo Libolo Champion d'Angola en 2012 et 2015. CF Belenenses Champion du Portugal de D2 en 2013. Références Liens externes Footballeur international angolais Joueur du CF Belenenses Joueur de l'Excelsior Rotterdam Joueur de l'Antalyaspor Naissance en mars 1990 Naissance à Luanda
Fatima Najjam
Fatima Najjam (en ) est une athlète marocaine. Biographie Fatima Najjam remporte la médaille de bronze du relais 4 x 400 mètres aux championnats d'Afrique d'athlétisme 1988 à Annaba. Elle est également championne du Maroc du 400 mètres haies en 1986, 1987 et 1988. Palmarès Notes et références Hurdleuse marocaine Coureuse de 400 mètres haies Relayeuse (athlétisme)
Helsinki Shipyard
Helsinki Shipyard (en ) est une entreprise finlandaise de construction navale basée au chantier naval de Hietalahti à Helsinki en Finlande. Histoire L'entreprise a été fondée en 2019 pour poursuivre les activités de construction navale d' en Finlande. L'entreprise était devenue un fardeau financier pour ses propriétaires russes après que l'Union européenne et les États-Unis ont imposé des sanctions économiques à sa société mère, United Shipbuilding Corporation (USC), propriété de l' État russe, en réponse à l'implication russe dans les manifestations au printemps 2014 en Ukraine. Début 2018, il est signalé qu'USC recherchait un nouveau propriétaire majoritaire pour le chantier naval Arctech d'Helsinki, qui cumulait de lourdes pertes et n'avait pas été en mesure d'attirer de nouvelles commandes depuis 2016. En avril 2019, le gouvernement russe a finalement autorisé la vente du chantier naval. La vente des activités de construction navale en Finlande est annoncée le 15 mai 2019. En préparation de la transaction, une nouvelle société de construction navale Helsinki Shipyard est créée pour reprendre les actifs et les opérations d'Arctech Helsinki Shipyard au chantier naval de Hietalahti. Cette société sera vendue à Algador Holdings, une société russe privée détenue par Rishat Bagautdinov et Vladimir Kasyanenko tandis qu'Arctech resterait une filiale de la United Shipbuilding Corporation et poursuivrait ses activités de construction navale en Russie en tant qu'actionnaire de Nevsky Shipyard basée à Saint-Pétersbourg. Victor Olerskiy, ancien vice-ministre russe des Transports et ancien chef de l', est nommé président du conseil d'administration de la nouvelle société. Commandes Peu de temps après le changement de propriétaire, les nouveaux propriétaires ont laissé entendre que la première commande de construction navale pour la nouvelle société serait annoncée dans le mois suivant sa fondation. Fin mai 2019, Hufvudstadsbladet a indiqué que le chantier naval avait signé une lettre d'intention pour la construction de deux navires de croisière d'expédition de 150 à 160 passagers à un acheteur dont le nom n'a pas été divulgué. Selon Kommersant, les navires seraient construits pour la compagnie maritime russe Vodohod, qui appartient aux mêmes personnes qui possèdent désormais le chantier naval d'Helsinki. Le 27 juin 2019, le chantier naval a confirmé une commande de deux navires de croisière de 110 mètres d'une capacité de 148 passagers et 110 membres d'équipage pour Vodohod. Les navires de seront livrés en août 2021 et janvier 2022. Le 28 juin 2019, il a été révélé que le chantier naval d'Helsinki avait également fait une offre pour un nouveau brise-glace de recherche allemand. Références Voir aussi Liens externes Articles annexes Entreprise ayant son siège à Helsinki Entreprise de fabrication ayant son siège en Finlande Transport fluvial et maritime en Finlande Entreprise de construction navale ayant son siège en Finlande Länsisatama
Stylus phantasticus
Le stylus phantasticus est un style musical du baroque allemand. Sous l'influence de la musique pour clavier des italiens Claudio Merulo et Girolamo Frescobaldi, certains organistes et clavecinistes du , en particulier Johann Jakob Froberger (élève de Frescobaldi) adoptent un jeu caractérisé par la virtuosité, l'invention et l'improvisation, et sans fil mélodique. Les épisodes d'une même pièce se succèdent sans continuité de tempo et de rythme, de tonalité, d'affect. L'érudit Athanasius Kircher est sans doute le premier à utiliser le terme de stylus phantasticus qu'il définit ainsi : Johann Mattheson reprend et précise cette définition en 1739 : Mattheson a lu la Musurgia universalis de Kircher et il adapte la définition à la musique de son temps. Mais il est difficile de savoir exactement à quoi pensait Kircher en donnant sa définition du stylus phantasticus : Les pièces écrites dans le stylus phantasticus sont plutôt des pièces aussi libres que l'est la prose par rapport au vers, elles ne sont pas follement débridées et fantasques. Par ailleurs, il semble qu'il y ait un lien entre stylus phantasticus et l'indication de jeu « se joue avec discrétion », con discrezione, que l'on trouve beaucoup chez Froberger : Le stylus phantasticus est pratiqué par la plupart des musiciens germaniques aux XVII et XVIII siècles, Jean-Sébastien Bach étant le dernier compositeur notable à l'illustrer. Compositeurs utilisant le stylus phantasticus dans un ordre chronologique : Girolamo Frescobaldi (1583-1643) Antonio Bertali (1605-1669) Matthias Weckmann (1616?-1674) Johann Heinrich Schmelzer (1623-1680) Giovanni Antonio Pandolfi Mealli (1624-1669) Pavel Josef Vejvanovský (1633/1639-1693) Dietrich Buxtehude (1637-1707) Johann Adam Reinken (1643-1722) Heinrich Biber (1644-1704) Johann Pachelbel (1653-1706) Vincent Lübeck (1654-1740) Georg Böhm (1661-1733) Nicolaus Bruhns (1665-1697) Jean-Sébastien Bach (1685-1750) Notes et références Bibliographie . . Musique baroque
Liste des résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies adoptées en 2019
Les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies sont les décisions qui sont votées par le Conseil de sécurité des Nations unies. Une telle résolution est acceptée si au moins neuf des quinze membres (depuis le , 11 membres avant cette date) votent en sa faveur et si aucun des membres permanents qui sont la Chine, les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Russie n'émet de vote contre (qui est désigné couramment comme un veto). Résolutions 2452 à 2459 Résolution 2452 : La situation au Moyen-Orient (adoptée le ) Résolution 2453 : La situation à Chypre (adoptée le ) Résolution 2454 : La situation en République centrafricaine (adoptée le ) Résolution 2455 : Rapports du Secrétaire général sur le Soudan et le Soudan du Sude (adoptée le ) Résolution 2456 : La situation au Moyen-Orient (adoptée le ) Résolution 2457 : Coopération entre l’Organisation des Nations unies et les organisations régionales et sous-régionales aux fins du maintien de la paix et de la sécurité internationales - Faire taire les armes en Afrique (adoptée le ) Résolution 2458 : La situation en Guinée-Bissau (adoptée le ) Résolution 2459 : Rapports du Secrétaire général sur le Soudan et le Soudan du Sude (adoptée le ) Résolutions 2460 à 2469 Résolution 2460 : La situation en Afghanistan (adoptée le ) Résolution 2461 : La situation en Somalie (adoptée le ) Résolution 2462 : Menaces contre la paix et la sécurité internationales résultant d’actes de terrorisme: Prévention et lutte contre le financement du terrorisme (adoptée le ) Résolution 2463 : La situation concernant la République démocratique du Congo (adoptée le ) Résolution 2464 : Non-prolifération : République populaire démocratique de Corée (adoptée le ) Résolution 2465 : Rapports du Secrétaire général sur le Soudan et le Soudan du Sud (adoptée le ) Résolution 2466 : La question concernant Haïti (adoptée le ) Résolution 2467 : Les femmes et la paix et la sécurité - Violences sexuelles en période de conflit (adoptée le ) Résolution 2468 : La situation concernant le Sahara occidental (adoptée le ) Résolution 2469 : Rapports du Secrétaire général sur le Soudan et le Soudan du Sud (adoptée le ) Résolutions 2470 à 2479 Résolution 2470 : La situation concernant l’Iraq (adoptée le ) Résolution 2471 : Rapports du Secrétaire général sur le Soudan et le Soudan du Sude (adoptée le ) Résolution 2472 : La situation en Somalie (adoptée le ) Résolution 2473 : La situation en Libye (adoptée le ) Résolution 2474 : Protection des civils en période de conflit armé - Personnes disparues en période de conflit armé (adoptée le ) Résolution 2475 : Protection des civils en période de conflit armé (adoptée le ) Résolution 2476 : La question concernant Haïti (adoptée le ) Résolution 2477 : La situation au Moyen-Orient (adoptée le ) Résolution 2478 : La situation concernant la République démocratique du Congo (adoptée le ) Résolution 2479 : Rapports du Secrétaire général sur le Soudan et le Soudan du Sude (adoptée le ) Résolutions 2480 à 2489 Résolution 2480 : La situation au Mali (adoptée le ) Résolution 2481 : La situation au Moyen-Orient (adoptée le ) Résolution 2482 : Menaces contre la paix et la sécurité internationales (adoptée le ) Résolution 2483 : La situation à Chypre (adoptée le ) Résolution 2484 : La situation au Mali (adoptée le ) Résolution 2485 : La situation au Moyen-Orient (adoptée le ) Résolution 2486 : La situation en Libye (adoptée le ) Résolution 2487 : Lettres identiques datées du , adressées au Secrétaire général et au Président du Conseil de sécurité par la Représentante permanente de la Colombie auprès de l'Organisation des Nations unies (S/2016/53) (adoptée le ) Résolution 2488 : La situation en République centrafricaine (adoptée le ) Résolution 2489 : La situation en Afghanistan (adoptée le ) Résolutions 2490 à 2499 Résolution 2490 : Menaces contre la paix et la sécurité internationales (adoptée le ) Résolution 2491 : Menaces contre la paix et la sécurité internationales (adoptée le ) Résolution 2492 : Rapports du Secrétaire général sur le Soudan et le Soudan du Sud (adoptée le ) Résolution 2493 : Les femmes et la paix et la sécurité (adoptée le ) Résolution 2494 : La situation concernant le Sahara occidental (adoptée le ) Résolution 2495 : Rapports du Secrétaire général sur le Soudan et le Soudan du Sud (adoptée le ) Résolution 2496 : Bosnie-Herzégovine (adoptée le ) Résolution 2497 : La situation à Abyei (adoptée le ) Résolution 2498 : La situation en Somalie (adoptée le ) Résolution 2499 : la situation en République centrafricaine (adoptée le ) Résolutions 2500 à 2503 Résolution 2500 : La situation en Somalie (adoptée le ) Résolution 2501 : Menaces contre la paix et la sécurité internationales résultant d'actes de terrorisme (adoptée le ) Résolution 2502 : La situation concernant la République démocratique du Congo (adoptée le ) Résolution 2503 : La situation au Moyen-Orient (adoptée le ) Articles connexes Organisation des Nations unies Conseil de sécurité des Nations unies Résolution du Conseil de sécurité des Nations unies Résolution de l'Assemblée générale des Nations unies Liste des résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies par pays Liens externes Toutes les résolutions du Conseil de sécurité par années, sur le site de l'ONU (au format PDF) Wikisource:Résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU Références 2019
Horizons « Arts Nature » en Sancy
Horizons, « Arts Nature » en Sancy est un événement d'art contemporain ayant lieu depuis dans les paysages du Massif de Sancy, organisé par l'Office de tourisme du Sancy. Cet événement consiste à exposer plusieurs œuvres créées par des artistes sélectionnés par un jury sélectif en pleine nature, tout en respectant son cadre. Chaque année, ce sont des centaines de candidatures qui sont envoyées, provenant des quatre coin du monde. Les artistes se déplacent ensuite eux-mêmes dans le Massif du Sancy : repérages des sites, montages des œuvres etc. Le festival réunit plusieurs objectifs : promouvoir le territoire du Sancy, sa richesse naturelle et sa population (agriculteurs, prestataires touristiques, artisans etc), mais également de donner aux visiteurs la possibilité de découvrir la nature autrement. Chaque œuvre alerte à sa manière sur le dérèglement climatique, appelant les visiteurs à protéger et respecter la nature en se concentrant sur l'essentiel : regarder, écouter, sentir. La 14ème édition a lieu du 11 juillet 2020 au 1er novembre 2020, et compte neuf œuvres au lieu de dix. En effet, l'artiste Thiago Antonio est confiné au Brésil depuis le début de la crise sanitaire et n'est donc pas en mesure de présenter son œuvre. Rétrospective 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 Notes et références Voir aussi Articles de médias , , , , , , . Liens externes Site officiel de l'évènement Exposition d'art contemporain en France Culture dans le Puy-de-Dôme
Alenquer (DOC)
L'alenquer est un appellation d'origine (DOC) portugaise, dans l'Extramadura, dont les vins proviennent des vignobles d'Alenquer, situés sur les rives du Tage dans le centre du Portugal. Encépagement Le vin rouge est élaboré avec les cépages rouges tinta roriz, castelão, tinta miúda, touriga nacional et trincadeira. Le vin blanc assemble : arinto (pedernã), Fernão Pires (Maria Gomes), Rabo de Ovelha, seara nova et Vital. Notes et références Bibliographie Voir aussi Lien interne Viticulture au Portugal Lien externe Vignoble au Portugal Vin portugais
Pierre Bernard Milius
Pierre Bernard Milius (Bordeaux - Bourbonne-les-Bains ) est un marin français qui participa à l'expédition vers les Terres australes conduite par Nicolas Baudin, fut gouverneur de La Réunion puis administrateur de la Guyane et s'illustra à la bataille de Navarin. Biographie Il s'embarqua à l'âge de 14 ans comme pilotin sur un bâtiment de commerce dont son père était l'armateur, et fit plusieurs voyages aux Antilles de 1787 à 1793. La guerre éclata entre la France et l'Angleterre et il entra donc dans la marine de la République, servant successivement comme chef de timonerie à bord des frégates l'Andromaque et la Fraternité. Nommé aspirant de première classe en 1794, il passa sur la frégate la Précieuse qui faisait partie de l'armée navale aux ordres de l'amiral de Villaret-Joyeuse. Missions diverses Au combat que cette armée soutint le contre l'amiral Howe, Milius chargé d'aller dans un canot porter, sous le feu de l'ennemi, une remorque a un bateau complètement démâté. Il remplit sa mission avec tant d'intelligence et d'intrépidité qu'il obtint en récompense le grade d'enseigne de vaisseau. À la fin 1794, il s'embarqua sur la Virginie et assista aux brillants combats que cette frégate soutint contre les Anglais. En , il se trouvait à la bataille de Groix, où il rendit les plus grands services et obtient le grade de lieutenant de vaisseau le . Il s'embarqua comme lieutenant de pied chargé du détail sur la Révolution et fit sur ce bateau l'infructueuse bataille d'Irlande. Il passa ensuite sur la frégate l'Immortalité, à bord de laquelle il participa aux trois combats qu'elle soutint sur les côtes d'Irlande. Dans le dernier, la frégate tomba aux mains des Anglais et Milius fut retenu prisonnier. De retour, il s'embarqua sur la frégate le Dix-Août. L'expédition Baudin Pierre Bernard Milius participa à l'expédition conduite par Nicolas Baudin en tant que lieutenant de vaisseau à bord du Naturaliste en 1800 en tant que second, où il devient l'ami de Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent. De fait, dans son Voyage dans les quatre principales îles des mers d'Afrique paru en 1804, ce dernier le présente comme un marin confirmé qui joint amabilité et talents. Malade durant une partie du voyage, il abandonne l'expédition à Port Jackson, le , et parvient à rejoindre l'île de France en via la Chine par d'autres moyens. Il prend le le commandement du Géographe (qui arrive à l'île de France le ) à cause de la mort (de phtisie) de Nicolas Baudin, le . Cette nomination est mal acceptée par le second Freycinet, l'état-major et l'équipe des naturalistes. Milius mène le navire à bon port qui fait son entrée à Lorient le . Le gouvernement de Bourbon Milius est gouverneur de Bourbon du au , date à laquelle il quitte l'île après avoir demandé son rappel, écœuré qu'il était du peu de reconnaissance des habitants de Bourbon pour ses réalisations. Celles-ci furent particulièrement nombreuses dans le domaine de l'éducation. Ainsi, le , il décide de fonder à Saint-Denis le collège Royal de Bourbon, qu'il place sous la direction du colonel Maingard lorsqu'il ouvre en 1819. Cette même année, il fonde par ailleurs la Société philotechnique de Bourbon afin d'entretenir le goût des arts, des lettres et des sciences dans la colonie. En matière d'aménagement, Milius se révèle également un homme d'action. Il sillonne l'île, dresse de nombreux rapports pour les autorités ministérielles et donne de l'impulsion à plusieurs projets hors du champ de l'instruction qu'il contribue à développer. Ainsi, il préconise le développement de la petite culture et fait construire une jetée au Barachois pour l'embarquement et le débarquement des marchandises. C'est également sous son gouvernement que sont conduits les travaux du canal sur la Rivière Saint-Étienne qui devait approvisionner Saint-Pierre en eau. Par ailleurs, si l'on en croit Louis Héry, il fut à l'origine de la découverte par le botaniste Nicolas Bréon des sources thermales de Cilaos pour l'avoir envoyé les chercher avec l'aide d'un médecin appelé Sénac. Il doit sa déconvenue à la poigne qu'il manifesta en utilisant les pouvoirs de commandant et d'ordonnateur de La Réunion que le gouvernement royal avait concentrés en ses mains en tentant de tirer les leçons de la précédente administration, celle d'Hilaire Urbain de Laffite du Courteil. Elle lui créa de nombreux problèmes avec une partie de la population qui l'accusa de despotisme et en fit l'objet de sombres cabales. Gouverneur de la Guyane Milius se retrouve administrateur de la Guyane de 1823 à 1825. Durant ce séjour, il fait remplacer l'ancienne église de Cayenne, l'église Saint-Nicolas, en lançant la construction de la cathédrale Saint-Sauveur qui n'est achevée qu'en 1833, soit bien après son départ. La bataille de Navarin Menée dans le cadre de la Guerre d'indépendance grecque, la bataille de Navarin voit la participation de Milius. À la tête d'un vaisseau de ligne de 80 canons, le Scipion, il s'y illustre. Postérité Une rue de Saint-Denis de La Réunion perpendiculaire à la Rivière Saint-Denis porte actuellement le nom de Pierre Bernard Milius. Une espèce de gecko, Underwoodisaurus milii, est nommée en son honneur. Références Notes Sources Dossier de Légion d'honneur du capitaine de vaisseau Milius. Bibliographie Pierre-Bernard Milius, Récit du voyage aux Terres australes par Pierre--Bernard Milius, second sur le Naturaliste, édité par Jacqueline Bonnemains & P. Hauguel, Le Havre, Société havraise d'études diverses, 1987. Pierre-Bernard Milius, Voyage aux Terres australes. Un officier de marine de l'expédition Baudin découvre l'Australie et la Tasmanie : 1800-1804, Besançon, La Lanterne magique, 2009 Liens externes Navigateur français Membre de l'expédition Baudin Gouverneur de La Réunion Gouverneur de la Guyane française Ordonnateur de La Réunion Naissance en janvier 1773 Décès en août 1829 Naissance à Bordeaux Décès à Bourbonne-les-Bains Décès à 56 ans
Hors collection
Hors collection est une maison d'édition française fondée en 1992. Elle publie des livres sur la musique et le cinéma, des beaux livres, des recueils humoristiques et des bandes dessinées. Au départ collection de Presses de la Cité elle appartient à Place des éditeurs, filiale du groupe Editis-Vivendi. Historique En 1988, Jean-Louis Fetjaine, nègre littéraire aux Presses de la Cité, créé la collection « Hors collection », qui devient une maison d'édition en 1991. Entre 1988 et 1992, Hors collection publie la série The Far Side de Gary Larson présentée par François Cavanna sous le titre L'univers impitoyable de Gary Larson. Entre 1991 et 2005, l'éditeur publie l'intégrale de Calvin et Hobbes de Bill Watterson en 24 volumes. Cette édition est suivie d'une autre intégrale parue entre 2005 et 2008 en 12 volumes doubles, puis d'un coffret intégral en 2013. Notes et références Liens externes Entreprise fondée en 1992 Maison d'édition ayant son siège en France
Thomas Bareiß
Thomas Bareiß (né le à Albstadt) est un homme politique allemand et membre du CDU. Liens externes Naissance à Albstadt Naissance en février 1975 Personnalité de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne Député de la seizième législature du Bundestag Député de la dix-septième législature du Bundestag Député de la dix-huitième législature du Bundestag Député de la dix-neuvième législature du Bundestag
Jonathan Wyatt
Jonathan Craig Wyatt (né le à Lower Hutt en Nouvelle-Zélande) est un athlète néo-zélandais spécialiste des courses de fond et de la course en montagne. Il est sextuple champion du monde de course en montagne, champion du monde de course en montagne longue distance 2007 et a remporté 8 Grand Prix WMRA. Il est le mari d'Antonella Confortola et le président de l'Association mondiale de course en montagne entre 2017 et 2022. Biographie Né à Lower Hutt de parents sportifs, Jonathan s'essaie à divers disciplines dont le tennis et le football. N'étant pas particulièrement doué dans ces sports, il suit les traces de son père et se met à l'athlétisme avec ses frères et sœurs. Il étudie à l'université Victoria de Wellington où il obtient un bachelor en architecture. Il rencontre Antonella Confortola à l'occasion du Trophée mondial de course en montagne 2002 à Innsbruck. Il s'installe avec elle en Italie à Ziano di Fiemme puis l'épouse en 2009. En 2015, il rejoint le département de recherche et développement de l'équipementier sportif italien La Sportiva en mettant à profit son expérience des sports de montagne. Le , il est élu président de la World Mountain Running Association. Le , il termine son mandat et ne se représente pas à la présidence, cédant sa place au Slovène Tomo Šarf. Ses nombreux succès et records lui valent le statut de légende vivante de la course en montagne. Il inspire de nombreux athlètes à s'engager dans la discipline, tels Robbie Simpson ou Jacob Adkin. Certains font également appel à ses conseils pour se lancer dans les sports de montagne. Carrière sportive 1991-1997 : débuts sur piste Il prouve ses bonnes aptitudes en course de fond en courant le en à 17 ans. Il remporte ses premiers succès en 1990 en devant champion junior de Nouvelle-Zélande de cross-country et champion U18 de Nouvelle-Zélande de . Il prend part aux championnats du monde de cross-country 1991 en junior où il termine . En 1994, il termine sixième du en lors des Jeux du Commonwealth à Victoria. Il participe aux Jeux olympiques d'été de 1996 à Atlanta sur où il court en semi-finale. Il se rend aux championnats du monde d'athlétisme 1997 à Athènes, toujours pour courir la distance du . Malade, il prend tout de même le départ mais abandonne. 1998-2005 : les grands succès en course en montagne À la suite de cet échec, il perd sa motivation pour les courses sur piste où il ne fait que « tourner en rond ». Son ami Aaron Strong lui suggère alors d'essayer la course en montagne. Le , il prend part aux championnats de Nouvelle-Zélande de course en montagne et remporte le titre. Il est sélectionné pour le Trophée mondial de course en montagne à Entre-Deux où il remporte le titre à la surprise générale. Il participe aux championnats du monde de semi-marathon à Zurich où il se classe . Profitant de se trouver en Europe, il demande à s'inscrire à la course de montagne du Hochfelln qui a lieu une semaine après les championnats afin de s'essayer à une course de montagne classique. Bibi Anfang, l'organisateur de la course, décide de l'inviter. Jonathan termine deuxième de la course derrière Antonio Molinari. C'est une révélation pour Jonathan qui tombe amoureux de la discipline. Il se classe seulement septième au Trophée mondial de course en montagne 1999 à Kota Kinabalu sur un parcours en montée et descente, après avoir lutté en tête avec Marco De Gasperi. Ce type de parcours ne lui convient pas, notamment en raison des descentes sur lesquelles il ne souhaite pas courir pour éviter de se blesser. Il se spécialise dans les épreuves avec montée uniquement, tandis que son rival Marco De Gasperi fait l'inverse. Cette année, il remporte son premier Grand Prix WMRA en décrochant un podium à Schlickeralm et deux victoires au Challenge Stellina et au Hochfelln. Il prouve qu'il est doué pour les parcours en « montée » seulement en remportant son second titre de champion du monde de course en montagne à Bergen en 2000, sur le parcours légèrement modifié de la course de montagne du Hochfelln. En 2001, il s'essaie au marathon. Il remporte celui de Rotorua puis termine à Berlin. Il s'attaque à la mythique course Sierre-Zinal et termine troisième. Il bat le record de Nouvelle-Zélande du semi-marathon en à Christchurch le . Il termine sixième du marathon aux Jeux du Commonwealth à Manchester avec un temps de . Il s'impose à Sierre-Zinal mais sur un parcours raccourci par la neige. Il remporte son troisième titre mondial de course en montagne à Innsbruck en dominant la course. Il s'impose avec plus de trois minutes d'avance sur Raymond Fontaine malgré la météo maussade. Il s'impose au marathon de Munich le . Il remporte son deuxième Grand Prix WMRA avec un score parfait de 300 points, ayant remporté les trois dernières courses de la saison. Le il termine septième du marathon de Hambourg en établissant son record personnel en et obtient sa qualification pour le marathon des Jeux olympiques d'été de 2004. Le , il remporte enfin Sierre-Zinal sur le parcours complet et avec la manière. Il établit le record en . Kílian Jornet le battra en 2019. Il court également son premier marathon de montagne, celui de la Jungfrau, le , qu'il remporte en établissant le record du parcours en . Il domine la saison 2003 du Grand Prix WMRA en remportant les cinq épreuves où il se présente. Il décroche le score parfait de 400 points. En 2004, au lieu de se préparer spécifiquement pour le marathon des Jeux olympiques, il continue sa saison de course en montagne. Il bat successivement les records à la montée du Grand Ballon (en devenant le premier athlète à rallier l'arrivée en moins d'une heure), à la course du Mont Washington, au marathon des Grisons et à la course de montagne du Grossglockner. Une semaine avant de courir le marathon olympique, il remporte la victoire au Challenge Stellina en établissant le record du parcours en . Il termine du marathon des Jeux olympiques à Athènes en le . Une semaine après, il décroche son quatrième titre mondial de course en montagne à Sauze d'Oulx. Ses principaux favoris, les Italiens Marco Gaiardo et Marco De Gasperi, ne parviennent pas à suivre le rythme et c'est l'Érythréen Tesfayohannes Mesfin qui lui donne du fil à retordre avant de s'incliner. Le , il remporte la victoire à Morat-Fribourg en battant le record du parcours en . Depuis, un seul homme l'a battu, Abraham Kipyatich en 2014. Il remporte son quatrième Grand Prix WMRA avec à nouveau score parfait de 400 points et cinq victoires sur six courses. Il prend part au marathon lors des championnats du monde d'athlétisme à Helsinki. Il se classe en . Le Trophée mondial de course en montagne 2005 a lieu à Wellington en Nouvelle-Zélande. Bien que ce soit cette fois un parcours « montée et descente », Jonathan a à cœur de briller à domicile. Il prend les commandes et impose un rythme soutenu et termine avec plus de deux minutes d'avance sur les Italiens Gabriele Abate et Davide Chicco. Il s'impose et devient le premier athlète à remporter le titre sur les deux types de tracés. Il remporte son cinquième Grand Prix WMRA en ayant remporté les trois courses où il a participé. 2006-2010 : blessure et retour au sommet Durant l'année 2006, il bat à nouveau une série de records aux courses Neirivue-Moléson, du Grintovec, du Feuerkogel et du Kaisermarathon lors de sa première édition. Deux jours avant le Trophée mondial à Bursa, alors qu'il effectue une reconnaissance du parcours, il est attaqué et mordu par des chiens. Il reçoit un traitement contre la rage. Bien qu'il ne soit pas en grande forme, il prend quand même le départ. Le Colombien Rolando Ortiz en profite et prend l'avantage pour aller s'offrir le titre. Jonathan tient jusqu'au bout pour terminer sur la deuxième marche du podium. Il remporte la finale du Grand Prix WMRA 2006 au rocher de Gibraltar et décroche son sixième succès, ayant remporté les cinq courses où il a pris le départ. Il signe un score parfait de 430 points. Il se blesse lors d'un accident de ski à la fin de l'année 2006. C'est sa première blessure sérieuse. Après cinq mois de convalescence, il effectue son retour à la compétition en , en terminant deuxième de la course de montagne Schenna-Meran 2000 puis en remportant à nouveau la course du Mont Washington. Le , il remporte à nouveau le marathon de la Jungfrau, comptant alors comme Challenge mondial de course en montagne longue distance. C'est le premier athlète à remporter les titres de champion du monde de course en montagne sur les parcours classique et de longue distance. Le , il remporte son sixième titre mondial à Crans-Montana. Laissant partir ses adversaires en début de course, il fait la différence lorsque la pente devient plus raide et s'impose devant Martin Toroitich. Bien qu'il ne termine que quatrième lors de la finale à Šmarna Gora, il remporte son septième Grand Prix WMRA avec quatre victoires durant la saison. Il connaît sa première grosse contre-performance en terminant seulement quatorzième de la course de montagne du Ranch Obudu où il souffre de la chaleur alors qu'il est annoncé comme grand favori. En 2009 se fait battre par Marc Lauenstein au Kaisermarathon comptant comme Challenge mondial de course en montagne longue distance et par Wilson Kipkosgei Chemweno aux championnats du Commonwealth de course en montagne à Keswick sur l'épreuve de course en montagne « montée ». Il remporte son dernier Grand Prix WMRA avec deux victoires et deux podiums. Il s'essaie à la compétition de raquette à neige durant l'hiver 2009-2010. Il remporte la Ciaspolada puis décroche la médaille de bronze aux championnats du monde au mont Grouse. Il profite d'une visite chez ses parents à Motueka au printemps 2010 pour remporter son quatrième titre national de course en montagne. Aux championnats du monde de course en montagne à Kamnik, il ne termine que huitième. Il termine deuxième du Grand Prix WMRA avec seulement deux podiums. Il essaie de se tester à l'ultra-trail. Il s'inscrit au North Face Endurance Challenge 2010. Cependant, un mois auparavant, il est victime de douleurs aux muscles ischio-jambiers durant le Trailrun Worldmasters à Dortmund. Il abandonne et décide de faire une pause pour éviter de se blesser sérieusement. 2011-2017 : courir pour le plaisir À son retour à la compétition en 2011, Il décide de laisser tomber les championnats, ayant annoncé que ceux de 2010 étaient les derniers. Il préfère alors courir pour se faire plaisir en se lançant de nouveaux défis personnels. Le , il bat le record du Cross du Mont-Blanc en . Il s'essaie à d'autres épreuves plus exotiques. Il remporte ensuite la course du Mont Fuji et termine troisième au K42 Adventure Marathon en Patagonie argentine. Le , il court le marathon de la Grande Muraille de Chine. Terminant main dans la main avec l'Américain Jorge Maravilla et le Grec Dimitris Theodorakakos, les trois hommes établissent un nouveau record du parcours en . En juin, il court enfin un ultra-trail, le Ötscher Ultramarathon de en deux étapes qu'il remporte en . Il le remporte à nouveau l'année suivante. En 2016, il participe pour la première fois à l'ascension de Pikes Peak. Il termine onzième en et premier de la catégorie des 40-44 ans. Palmarès Piste Route/cross Course en montagne Marathon de montagne Raquette à neige Records personnels Records de course en montagne Notes et références Notes Références Liens externes Site officiel Coureur de fond néo-zélandais Coureur de cross-country Marathonien Coureur de 10 000 mètres Coureur de 5 000 mètres Coureur en montagne Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 1996 Athlète (homme) aux Jeux olympiques d'été de 2004 Champion du monde de course en montagne Naissance en décembre 1972 Naissance à Lower Hutt Étudiant de l'université Victoria de Wellington Dirigeant d'athlétisme
WMF
Le sigle WMF peut désigner : , format d'image numérique spécifique aux systèmes Windows ; , association sans but lucratif ; (ou Fonds mondial pour les monuments), qui comprend un observatoire des monuments mondiaux ; , célèbre fabricant d'articles de table argent/argenterie.
Vaincre les maladies lysosomales
L’association Vaincre les Maladies Lysosomales est l'association des patients enfants et adultes et de leurs familles et amis confrontés aux maladies lysosomales, maladies génétiques rares. Elle a été créée le par des parents d’enfants malades qui ont souhaité se regrouper pour faire avancer ensemble le combat social et scientifique auxquels ils étaient confrontés. Des malades et parents qui sont toujours, au cœur du conseil d'administration, les moteurs de VML. Ils sont par ailleurs garants des valeurs de solidarité, d'engagement et de transparence. Association loi de 1901, VML est reconnue d'utilité publique par décret du . En 2010, elle a obtenu le label IDEAS et en 2012 celui du Comité de la Charte du Don en confiance. VML, c'est une présence nationale et locale au travers 18 antennes régionales de proximité. Par ailleurs, VML est membre fondateur de l'Alliance Maladies Rares et partenaires des associations internationales. Objectifs Depuis 1990, date de sa création, VML s’inscrit dans une lutte pour la vie qui se conjugue en actions en faveur de la recherche scientifique et médicale et en actions d’aide et de soutien auprès des familles douloureusement touchées par la maladie. VML a été créée par des parents d’enfants frappés par ces maladies lysosomales, avec pour objectif ultime : la guérison des personnes atteintes par ces maladies extrêmement graves et lourdes de conséquences. Dans une démarche proactive, VML s’est fixé trois missions : un programme d’aide et de soutien aux malades et leur famille qui propose des séjours de vacances, des rencontres entre familles et une aide aux démarches administratives ; une action médicale par la diffusion et la collecte d’informations dans un but de perfectionnement des connaissances et d’amélioration des pratiques de diagnostics et de soins ; une mission de recherche qui consiste au financement de programmes validés par un Conseil scientifique et à l’organisation de manifestations médicales. Des compétences aux côtés des adhérents Au quotidien, une équipe professionnelle offre aux adhérents de l'association des compétences fortes. Une psychologue et une assistante sociale composent le pôle social aux services des adhérents et familles. Une scientifique répond aux questions des adhérents et fait le lien avec le monde médical et scientifique. Enfin une composante administrative et communication assure la gestion et la promotion de notre combat. Les Parrains engagés aux côtés des malades Acteurs, sportifs… leur rencontre avec l'association VML leur a donné envie de s'engager aux côtés des malades et de leurs familles pour porter ensemble ce combat. Chacun à sa manière soutient et s'engage auprès de VML. Amanda Scott, journaliste et présentatrice TV Sophie Jovillard, journaliste et animatrice TV Jimmy Colas, champion de France 2012 de boxe super-welters. Bertrand Delesne, navigateur solidaire sur des courses au large. Les maladies lysosomales Fiches descriptives des maladies lysosomales. Lipidoses Austin Fabry Farber Gaucher (type , et ) Gangliosidose à GM1 (Landing) Krabbe Leucodystrophie métachromatique Niemann-Pick (A/B et C) Schindler Tay-Sachs Wolman Glycogénose Glycogénose Type 2 (Maladie de Pompe) Oligosaccharidoses et glycoprotéinoses Aspartylglucosaminurie Fucosidose Mannosidoses alpha et bêta Mucolipidose type ( Cell) Mucolipidose type (pseudo Hurler) Mucolipidose type Galactosialidoses Anomalies du transfert lysosomal Cystinose Danon Salla (Surcharge en acide sialique libre) Mucopolysaccharidoses (MPS) MPS (Hurler - Scheie) MPS (Hunter) MPS (Sanfilippo A/B/C et D) MPS (Morquio A et B) MPS (Maroteaux-Lamy) MPS (Sly) MPS Pycnodysostose Céroïdes lipofuscinoses Syndrome de Papillon - Lefèvre Syndrome de Chediak - Higashi Notes et références Liens externes Site internet de l'association VML Association ou organisme lié à la santé en France Lysosome Organisme labellisé IDEAS
Kanda matsuri
Le ou festival Kanda, est un des trois grands festivals shinto du Japon avec Gion matsuri et Tenjin matsuri, et l'un des trois plus grands de Tokyo, avec le Fukagawa matsuri et le Sannō matsuri. Le festival commence au début du en célébration de la victoire décisive de Tokugawa Ieyasu à la bataille de Sekigahara et se prolonge comme une manifestation de la prospérité du shogunat Tokugawa durant l'époque d'Edo. Par ailleurs, sous sa forme actuelle, le festival est également organisé en l'honneur du kami du Kanda-myōjin. Le festival a lieu le samedi et le dimanche les plus proches du , mais comme il alterne avec le Sannō matsuri, il n'est organisé que les années impaires. Ces années-là, le festival se tient au Kanda-myōjin dans le quartier Kanda de Tokyo ainsi que dans les arrondissements autour du centre de Tokyo. Ses défilés importants concernent environ plus de deux cents mikoshi, en plus de musiciens, de danseurs et de chars. Notes et références Voir aussi Articles connexes Calendrier japonais Culture japonaise Festivals japonais Festivals à Tokyo Lien externe . Festival shinto
Marcel Büchel
Marcel Büchel, né le à Feldkirch en Autriche, est un footballeur international liechtensteinois. Il évolue au poste de milieu de terrain au Ascoli Calcio 1898 FC. Carrière Après être passé par les classes jeunes du FC Saint-Gall en Suisse, il rejoint les rangs de l'AC Sienne. Il ne reste qu'une saison au club sans jamais joué en équipe première avant de rejoindre la Juventus Turin. Lors de sa première saison dans le club turinois, il prend part à deux rencontres de Ligue Europa. Lors des deux saisons suivantes, il est prêté à l'AS Gubbio qui évolue en seconde division puis à l'US Cremonese qui évolue en troisième division. Malgré le temps de jeu lors des deux saisons en prêt, il enchaîne de nouveau les prêts en seconde division, d'abord au SS Virtus Lanciano puis au Bologna FC, avec qui il est promu en Série A. Lors de la saison 2015-2016, il est prêté au Empoli FC puis transféré définitivement durant l'été 2016 pour un montant estimé à un peu plus d'un million d'euro. Après avoir joué avec l'équipe autrichienne des moins de 19 ans, il débute en sélection du Liechtenstein en . Statistiques Références Liens externes Footballeur international liechtensteinois Footballeur autrichien Joueur de la Juventus FC Joueur de l'AS Gubbio 1910 Joueur de l'US Cremonese Joueur du Virtus Lanciano Joueur du Bologne FC 1909 Joueur de l'Empoli FC Joueur de l'Hellas Vérone Joueur de la SS Juve Stabia Joueur de l'Ascoli Calcio 1898 Naissance en mars 1991 Naissance à Feldkirch (Vorarlberg)
Ecover (IMOCA)
Ecover est un voilier monocoque de course au large de classe IMOCA mis à l'eau en 2003. Historique Pour sa première compétition ses skipper Mike Golding et Brian Thompson l'engagent dans la Transat Jacques-Vabre 2003 qu'il termine troisième en catégorie monocoques de 60 pieds en 17 jours 22 heures et vingt-huit minutes. En 2004, il participe à la 1000' de Calais pour obtenir sa qualification pour le Transat anglaise. Une fois qualifié, il participe et gagne cette transat en 12 jours 15 heures 18 minutes. À la fin de l'année, il prend le départ Vendée Globe qu'il finit en troisième position en 88 jours 15 heures 15 minutes doit avec un retard de 1 jour et 4 heures de retard sur le vainqueur Vincent Riou. En 2005, le duo Mike Golding et Dominique Wavre s'engage dans la Transat Jacques-Vabre qu'ils terminent à la quatrième place en catégorie IMOCA (et au classement général). Palmarès 2003 : de la Transat Jacques-Vabre en classe IMOCA barré par Mike Golding et Brian Thompson du Défi Atlantique barré par Mike Golding 2004 : de la 1000' de Calais barré par Mike Golding dans la Transat anglaise barré par Mike Golding 2005 : du Vendée Globe barré par Mike Golding de la Calais Round Britain Race barré par Mike Golding barré par Mike Golding et Dominique Wavre du Tour de l'Ile de Wight Tour de l'Ile de Wight de la Transat Jacques-Vabre en IMOCA Références Nom de bateau 60 pieds IMOCA Voilier Bateau britannique Bateau lancé en 2003 Voilier du Vendée Globe
Allika (Hiiumaa)
Allika est un village de la commune de Hiiumaa, situé dans le comté de Hiiu en Estonie. Géographie Le village est situé dans le sud de l'île d'Hiiumaa, au nord de Käina. Histoire Avant la réforme administrative d'octobre 2017, Allika faisait partie de la commune de Käina, fusionnée à cette date avec les autres communes de l'île pour former celle de Hiiumaa. Village en Estonie Hiiumaa
Lambis crocata
Lambis crocata est une espèce de mollusques gastéropodes de la famille des Strombidae. Philatélie Ce coquillage figure sur une émission de Wallis-et-Futuna de 1984 (valeur faciale : 22 F). Liens externes Espèce de gastéropodes (nom scientifique) Strombidae
Yakuza: Dead Souls
est un jeu vidéo d'action-aventure développé par Sega sur la console PlayStation 3. Le jeu diffère des autres épisodes de la série puisqu'en plus d'être un jeu d'action, il incorpore une grande partie fantastique par le biais des zombies, ce qui le rapproche du genre survival horror. Synopsis Le quartier de Kabukichô est en proie à une épidémie inconnu transformant peu à peu ses habitants en morts-vivants . Les forces d'autodéfense mettent en quarantaine le quartier. Les membres des mafias locaux s'allient pour lutter contre les Zombies. Le joueur assume toujours le contrôle des principaux personnages de la série Yakuza, comme Kazuma Kiryu et Goro Majima. Système de jeu Le gameplay met en avant les armes à feu, contrairement aux autre opus qui avaient davantage d'armes de mêlée et se concentrai sur le corps à corps. Il est possible d'améliorer ces armes (changer la capacité de coups par exemple ). Il est toujours possible d'utiliser les éléments du décor contre les ennemis. Commercialisation Une édition collector du jeu, intitulée DX Pack, a été commercialisée au Japon. Celle-ci comprend : un CD (Karaoke Best Selection) contenant une sélection de 16 musiques un thermos en métal orné d'un dragon (représentation du tatouage de Kazuma Kiryu) et d'un oni (représentation du tatouage de Majima Goro) une planche d'autocollants un exemplaire du jeu Notes et références Jeu PlayStation 3 Jeu vidéo sorti en 2011 Jeu d'action-aventure Jeu vidéo développé au Japon Jeu vidéo de zombie Spin-off de jeu vidéo Jeu vidéo sur le crime organisé Jeu vidéo de science-fiction Jeu vidéo Yakuza
Liste des gouvernements régionaux de Thuringe
La liste suivante présente les gouvernements régionaux du Land de Thuringe depuis la Réunification allemande, survenue le . Le premier exécutif autonome depuis le a pris ses fonctions peu après, le . Thuringe Liste en rapport avec l'Allemagne
Lionel Cranfield (1er comte de Middlesex)
Lionel Cranfield, comte de Middlesex (1575 - ) est un marchand et homme politique anglais. Il siège à la Chambre des communes entre 1614 et 1622 lorsqu'il est élevé à la pairie en tant que baron Cranfield . Biographie Il est le deuxième fils de Thomas Cranfield, mercier à Londres, et de sa femme Martha Randill, fille et héritière de Vincent Randill de Sutton-at-Hone, Kent. Il est apprenti chez Richard Sheppard, un mercier à Londres et s'associe avec lui vers 1599. Il est présenté au roi roi Jacques d'Angleterre et d'Écosse par Lord Northampton et entre au service royal en 1605. En 1613, il est fait chevalier et nommé arpenteur général des douanes. Il est élu député de Hythe en 1614. En 1616, il devient l'un des maîtres des requêtes, brièvement en 1618 gardien de la grande garde-robe et en 1619 maître de la cour des quartiers et des livrées et commissaire en chef de la marine. En tant que gardien de la garde-robe, il supervise les dépenses de 20 000 £ pour les funérailles d'Anne de Danemark et fait l'inventaire de ses bijoux . Il est élu député d'Arundel en 1621. Cranfield est responsable de nombreuses économies dans la fonction publique, et son sens des affaires est très utile au roi. Il prend part à l'attaque de Lord St Alban en 1621, et bien que, contrairement aux attentes générales, il ne lui succède pas comme Lord Chancelier, il est créé baron Cranfield, de Cranfield dans le comté de Bedford, en juillet de la même année. En 1621, il devient également Lord grand trésorier et en septembre 1622 est créé comte de Middlesex. Cranfield perd ses positions et son influence peu de temps après parce qu'il s'oppose à la guerre projetée avec l'Espagne et encourt l'hostilité du prince de Galles et du duc de Buckingham. Mis en accusation par la Chambre des communes pour corruption, il est reconnu coupable par la Chambre des lords en mai 1624 et est condamné à perdre toutes ses charges, à payer une lourde amende et à être emprisonné selon le bon plaisir du roi. Cependant, il est libéré de prison en quelques jours, est gracié l'année suivante et rétabli dans son siège à la Chambre des Lords en 1640. Middlesex meurt le 6 août 1645. Les maisons de Cranfield comprennent Chelsea House, qu'il achète en 1619 et améliore en utilisant les services d'Inigo Jones et Nicholas Stone, et Copthall dans l'Essex. Le mobilier est fourni par les tapissiers Oliver Browne et John Baker qui fournissent également la cour royale et la garde-robe, et peint et doré par Thomas Capp. Ceux-ci comprennent une suite de meubles pour la «couchette» d'Anne Brett à Chelsea en 1621 avec un berceau avec un auvent de damas cramoisi pour James Cranfield en 1621. Les meubles de Copthall sont emmenés à Knole en 1701. Famille Cranfield épouse Elizabeth, la fille de Richard Sheppard, en 1599. Il se remarie à Anne Brett (morte en 1670), une cousine de la mère de Buckingham, qu'il épouse à contrecœur en 1621 afin de s'assurer le soutien de Buckingham . Il laisse un fils, James Cranfield, comte de Middlesex (1621 - 1651), qui lui succède en tant que comte et est partisan du parti parlementaire pendant la guerre civile anglaise. Le comte est remplacé par son frère, Lionel, qui est mort sans descendance en octobre 1674, par la suite le comté de Middlesex et la baronnie de Cranfield se sont éteints. La plus jeune fille survivante du comte, Frances, épouse Richard Sackville (5e comte de Dorset), et leur fils aîné, Charles, alors Lord Buckhurst, est créé comte de Middlesex en 1675. Deux ans plus tard, il devient comte de Dorset, et ce comté de Middlesex est détenu par les comtes puis les ducs de Dorset jusqu'en 1843, date à laquelle il s'est éteint. Enfants de sa première épouse Elizabeth Sheppard (décédée en 1617) : Martha Cranfield, comtesse de Monmouth (née en 1601) Elizabeth Cranfield, Lady Sheffield comtesse de Mulgrave (née en 1608) Mary Cranfield (1610-1636) Les enfants de sa seconde épouse, Anne Brett (d. 1670): James Cranfield, comte de Middlesex (1621-1651) Frances Cranfield, comtesse de Dorset (1622-1687) Lionel Cranfield, comte de Middlesex (1625-1674) Edward Cranfield (av. 1628) Susanna Cranfield (vers 1631-1636) Son mémorial se trouve dans la chapelle de Saint-Benoît à l'Abbaye de Westminster . Références Liens externes Personnalité inhumée à l'abbaye de Westminster Comte de la pairie d'Angleterre Décès en août 1645 Naissance en 1575
Stenay
Stenay (prononcé ) est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Ses habitants sont les Stenaisiens. Géographie Situation Stenay est situé dans la partie nord de la plaine de la Woëvre et est traversé par la Meuse et par le canal de l'Est. La Wiseppe se jette dans la Meuse à Stenay. Accès Le bourg de Stenay est en grande partie installé sur la rive droite de la Meuse. Deux grands axes s'y croisent : la route D 947 : Reims ( au sud-ouest) - Luxembourg ( à l'est) et la route D 964 : Sedan ( au nord-ouest) - Verdun ( au sud). Lieux-dits et écarts Au nord de la ville : faubourg de Cervisy. Au nord-est de la ville : le château de Bronelle. Communes limitrophes Hydrographie La Meuse La Wiseppe Le ruisseau de Baâlon le canal de l'Est. Urbanisme Typologie Stenay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Elle appartient à l'unité urbaine de Stenay, une agglomération intra-départementale regroupant et en 2017, dont elle est ville-centre. La commune est en outre hors attraction des villes. Occupation des sols L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,2 %), prairies (29,5 %), forêts (12,7 %), zones urbanisées (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %). L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Toponymie D'après une tradition peu fondée, on voyait au un temple dédié à Saturne (Sadorn), d'où l'on croit que dérive le nom de Stenay. Anciennes mentions : Sathanagium, Sathonagium (714) ; Astenidum (877) ; Astanid (888) ; Satenaium () ; Sathaniacum () ; Sathinidium (1036) ; Sathanacum (1069) ; Setunia () ; Sathanacum villam (1079) ; Satiniacum, Sathiniacum (1086) ; Sathanaco (1108) ; Sathanacensi (1157) ; Sathaniaco (1159) ; Sathanai (1173) ; Sethenac (1208) ; Settenai (1243) ; Sethenai (1264) ; Sathenay (1276, 1399, 1463, 1483, 1549, 1558, 1585) ; Sathanay (1284) ; Satenay (1399) ; Astenæum (1580) ; Satanagus (1630) ; Satanay, Sthenay (1643) ; Stenay (1793). Histoire Avant de s'appeler Stenay, la ville porta longtemps le nom de Sathenay. Le héraut Vermandois, dans son armorial des années 1275-1285, signale un chevalier nommé «Lermite de Sathenay», dont le blason est : palé d'argent et de gueules de 6 pièces … En 1552, dans ses commentaires des "dernières guerres en la Gaule Belgique", François de Rabutin parle aussi de «la ville de Sathenay (autrement par le langage corrompu appelée Astenay)»… "Sathenay où il n'y avait ni artillerie ni munitions, soldats ni garnison aucune pour le roi que les habitants et un capitaine"… Il signale l'importance de son pont sur la Meuse. 1591. Turenne prend par surprise Stenay que Charles III tente vainement de reconquérir lors de deux sièges successifs. Une fois la paix signée (traité de Folembray, 1595), la ville sera restituée aux Lorrains, au début de 1596. 1608-1632. Construction de la citadelle de Stenay, « une des plus belles et des plus régulières de la frontière, » sous le gouvernement de Simon II de Pouilly. 1632. Louis XIII, à Liverdun, contraint le duc Charles IV de Lorraine à signer un traité donnant pour 4 quatre ans Stenay à la France, ainsi que les places fortes, toutes proches, de Dun et Jametz. En fait, la ville restera occupée pour toujours par les Français… avec, comme premier gouverneur, le comte de Lambertye, puis, en 1634, le comte de Charost. 1641. Traité de Saint-Germain : le duc de Lorraine, Charles IV, cède à la France Clermont, Jametz, Dun et Stenay (ces trois dernières villes, situées en lisière d’Argonne, seront données en apanage à Condé en 1648, ainsi que tout le Clermontois). 1654 : 28 juin. Au bout de 32 jours de siège par l’armée française, dirigé par Abraham de Fabert d'Esternay (Vauban y fait ses premières armes, et y sera blessé deux fois ), Stenay sera reprise par Louis XIV à Condé, révolté de la Fronde. 1659. Par le traité des Pyrénées, Louis XIV redonne à Condé ses titres et ses biens : le Clermontois confisqué retourne au prince, ainsi que Stenay. "M. de La Moussaye avait acheté la belle terre de Quintin en Bretagne du duc de La Trémoille son beau-frère, dont son fils porta le nom, qui était frère aîné de M. de La Moussaye, lieutenant général et attaché à M. le Prince, dans le parti duquel il mourut gouverneur de Stenay sans avoir été marié." Mémoires de Saint Simon, Tome 2 Chapitre 5, 1697. Chef-lieu de district de 1790 à 1795, la ville fut conquise par François Sébastien de Croix de Clerfayt en 1792. Première Guerre mondiale Le , elle est la dernière ville reprise par les Alliés lorsque la d'infanterie américaine du général la délivre quelques heures avant que l'armistice entre en vigueur. Cette division perd 365 hommes en majorité sous le feu de l’artillerie de l'armée impériale allemande. La raison invoquée par Wright pour l'attaque était que Politique et administration Tendances politiques et résultats Liste des maires |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Jumelages , Münnerstadt, en Bavière, à environ . Population et société Démographie Évolution démographique Pyramide des âges La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (32,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à est de 35,3 % la même année, alors qu'il est de 29,6 % au niveau départemental. En 2018, la commune comptait pour , soit un taux de 52,38 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,49 %). Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit. Enseignement La ville compte une cité scolaire nommée Alfred Kastler, associant collège, lycée général et lycée professionnel, ainsi qu'une section BTS. Une inspection de l'Éducation nationale est également présente. Une MFR établissement de formation en alternance. De la 4e au bac pro. 2 filières professionnelles: agricole et commerce. Économie La est le principal employeur de la ville (205 salariés). Elle compte également parmi les établissements importants Terrea, concessionnaire de machines agricoles. La société de transports routiers Transalliance y est également implantée. Stenay est un pôle commercial d'équilibre, qui a vu la grande distribution se développer sur la Zone d'Activités au sud de la Ville, tout en gardant un centre-ville historique proposant commerces et services. Stenay est un centre administratif de proximité, comptant des services déconcentrés du conseil départemental de la Meuse (UTAS - CMS), Agence départementale d'aménagement Stenay est un pôle d'enseignement qui compte écoles maternelle et primaire publique et privée, une cité scolaire (collège, lycée général, lycée technologique - BTS) et de nombreux services liés à l'accompagnement de l'enfance et de la jeunesse. La Ville compte un important EHPAD (maison de retraite) de 152 lits. Une association de développement économique et une pépinière d'entreprises accueillent les porteurs de projets. La Belgique et dans une moindre mesure le Luxembourg offrent également des emplois aux résidents de la région. Tourisme La Ville dispose d'un office de tourisme ouvert toute l'année. Un port de plaisance accueille les bateaux de plaisance de passage sur la branche Nord du canal de l'Est. L'aire de camping cars sur une presqu'île est prisée. Le musée Européen de la Bière y est installé. Culture locale et patrimoine Lieux et monuments Édifices civils Musée de la Bière et du pays de Stenay. L'ancien magasin aux vivres fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le . Ancien hôtel du gouverneur, - Galeries marchandes, Atelier monétaire, Hôtel de ville. Château de Bronnelle Château de Cervisy Château des Tilleuls , construit en 1876/1877, partiellement détruit en 1940, rasé au lendemain de la Libération et reconstruit plus modestement. Immeuble, 30 rue de la Citadelle, inscrit en 1981 pour sa tourelle d'escalier . Édifices religieux Église Saint-Joseph de Cervisy. Église Saint-Grégoire, construite dans les années 1830. Chapelle du Sacré-Cœur. Chapelle de l'ancien hospice Saint-Antoine. Chapelle au Château de Bronelle. Ancien couvent des Minimes, actuellement école. Les ruines de la Chapelle Saint-Lambert de Cervisy . Arbres remarquables Un séquoia géant visible de la route Carignan-Vouziers. Un Ginkgo biloba dans le parc de la Forge. Trois tulipiers dans le parc de la Forge. Personnalités liées à la commune Godefroy de Bouillon, qui a possédé le château de Stenay avant de le vendre à l'évêque de Verdun. Dagobert II, roi mérovingien du royaume d'Austrasie assassiné le dans la forêt de la Woëvre, près de Stenay. Isaac Mercier, héros de L'Escalade à Genève en 1602. Louis Paul de Beffroy (1737-1802), général de brigade de la Révolution française, né à Germont, mort à Stenay. Mathieu Pierre Paul Saignes (1749-1830), général français de la Révolution et de l’Empire, mort à Stenay. Anne-Gédéon de La Fitte de Pelleport, marquis de Pelleport, né à Stenay en 1754, décédé à Liège en 1807, pamphlétaire et aventurier français. Étienne Radet, général de Napoléon Ier, né à Stenay en 1762 et mort à Varennes en 1825. François Nouviaire (1805-1837), né à Stenay, artiste peintre, élève d'Ingres. Il a peint un tableau pour l'église de Stenay : "Saint Grégoire le Grand donnant ses dernières instructions à saint Augustin de Cantorbery, chef d'une mission envoyée en Angleterre". Lucien Rapeaud (1880-1967), industriel, commandeur du Mérite, Administrateur des Papeteries de Stenay et de Pouilly. Jacques Vallet, né à Stenay en 1939, écrivain, journaliste, créateur de la revue Le Fou parle. Hubert Jappelle, né à Stenay en 1938, homme de théâtre, fondateur de la compagnie et du Théâtre de l'Usine àCergy-Pontoise, décédé le 18 novembre 2020. Daniel Vassart, né à Stenay en 1935, artiste peintre, vitralliste, décédé à Tournon (Ardèche) en 1989. Anny Poursinoff, née à Stenay en 1951, infirmière et femme politique française, Héraldique Voir aussi Bibliographie Sylvie Bucher, Reflets de la vie gallo-romaine dans le nord de la Meuse : le témoignage de la sculpture. Collections des musées de Stenay et de Verdun, Université de Metz, Centre de recherche histoire et civilisation, 1999, 93 p. Jean Maillard, Stenay, hier, 1, Des origines à la Révolution, Office central de la coopération à l'école, Bar-le-Duc, 1985, 52 p. Constant Vigneron (abbé), Grandes heures de l'histoire de Stenay, Aincreville, C. Vigneron, 1978, 155 p. Hélène et Philippe Voluer, Promenade dans Stenay, Librairie Menge, Stenay, 1975, 33 p. Philippe Voluer, Stenay, le musée européen de la bière : l'ancien magasin aux vivres de Steynay, ancienne malterie, Citédis, Paris, 1997 Philippe Voluer, La bière en Lorraine à l'époque des Lumières : l'exemple de Nancy et de Stenay, Éd. Serpenoise, Metz, 2005, 142 p. Philippe Voluer, La guerre de 14 au pays de Stenay : la vie des civils sous l'occupation, Les Amis de Montserrat, Beaufort-en-Argonne, 2006, 108 p. Articles connexes Liste des communes de la Meuse Cantons de la Meuse Liste des nécropoles militaires en Lorraine Liste des monuments historiques de la Meuse Liens externes Site de la mairie Notes et références Notes Références Ancien chef-lieu de district Bâtiment de Sébastien Le Prestre de Vauban Localité sur la Meuse en France Ville décorée de la croix de guerre 1914-1918
Emma Leclercq
Emma Leclercq, née à Saint-Josse-ten-Noode le 15 août 1851 et morte à Geel le 24 avril 1933, est une spécialiste des sciences naturelles belge. Elle est une des premières femmes à entrer à l'université en Belgique, la première femme à obtenir un doctorat de l'Université de Gand et une des deux premières à obtenir un diplôme universitaire en Belgique. Biographie Emma Leclercq est née le 15 août 1851 à Saint-Josse-ten-Noode, son père, Jules Leclercq, est sculpteur et graveur et sa mère femme au foyer. La famille appartient sans doute à la classe moyenne ou supérieure aisée qui envoie ses filles à l’école primaire et secondaire. Emma Leclercq a commencé sa carrière en tant qu'institutrice à Bruxelles au collège de filles Gatti de Gamond, du nom de la féministe et pédagogue belge qui l'avait créé. En 1878, elle tente de s'inscrire à la Faculté des sciences de l'Université libre de Bruxelles. Elle est la première femme à demander l'inscription. Finalement la loi relative à l'enseignement supérieur, adoptée en 1876 autorise « toute personne » à accéder à l'enseignement supérieur mais s'en remet au gouvernement pour fixer les conditions d'accès des femmes. Avec une loi aussi sujette à interprétation, l'Université libre de Bruxelles est embarrassée par la demande d'Emma Leclercq. La plupart des universités belges n'ont jamais été confrontées à une demande d'inscription d'une femme. Seule l'Université catholique de Louvain a déjà reçu - et refusé - une candidature féminine en 1873, celle d'Isala van Diest. Aucune des universités, à l'exception de celle de Liège, ne souhaite alors admettre des femmes. A Bruxelles, la question divise les facultés : les facultés de Droit et de Philosophie et Lettres refusent l'admission, les facultés des Sciences et de Médecine et l’École polytechnique demandent de la conditionner à la possession d'un certificat d’humanités. Finalement le conseil d’administration de l’université donne un avis négatif à la requête d'Emma Leclercq le 24 juin 1879 alors que l'année académique est déjà terminée. L’année suivante, Emma Leclercq passe l'examen du Jury central qui devrait lui permettre l'accès à l'université. La Commission de cet organe prend d'ailleurs position pour l'admission des femmes à l'université sur base de la loi de 1876. Lorsqu'elle fait une nouvelle tentative pour l'année académique 1880-1881, la faculté des Sciences accepte de l'inscrire. À ce moment, elle a 29 ans. La voie est ouverte : en même temps qu'Emma Leclercq, deux autres jeunes femmes s’inscrivent à la faculté des Sciences de Bruxelles pour l’année académique 1880-1881 : Marie Destrée et Louise Popelin. Elle obtient son baccalauréat en 1883 et poursuit ses études à l'Université de Gand, où, en 1885, elle est la première femme à obtenir un doctorat en sciences naturelles. Avant elle, en 1882, l'institutrice gantoise Sidonie Verhelst a été étudiante à l'université de Gand mais l'a quittée après la deuxième année de candidature. Elle est aussi, avec Jeanne Rademackers qui a terminé ses études de pharmacie à l’Université de Liège, l’une des deux premières femmes à remporter un diplôme universitaire belge. Après ces pionnières, des dizaines de jeunes femmes font le pas vers des études supérieures. Mais l'inscription d'étudiantes soulève de nombreuses critiques prétextant, par exemple, une baisse du niveau de l'enseignement. Une nouvelle loi en 1890, soumet l'admission à l'université à la possession d'un diplôme des sciences humaines classiques. Comme il n'y a toujours pas d'enseignement secondaire à part entière pour les filles, elles ne peuvent à nouveau plus s'inscrire à l'université. Isabelle Gatti de Gamond organise alors un cycle de cours de trois ans à Bruxelles en 1892 pour permettre aux femmes de se présenter devant un jury central et, ainsi, remplir les conditions d'inscription. Carrière Après ses études, Emma Leclercq travaille au Collège de France à Paris avec l’embryologiste française Édouard-Gérard Balbiani. Elle y fait des recherches sur la spermatogenèse, centrées sur le rôle du Nebenkem ou corpuscule accessoire dans les cellules dans la mitose, au sein de son laboratoire d’embryogénie. À partir de 1890, elle effectue des recherches au laboratoire d'histologie de Charles van Bambeke à l'université de Gand. Les résultats de cette recherche sont publiés en 1890 dans le Bulletin de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. Ses recherches sur les micro-organismes paraissent la même année. Emma Leclercq travaille aussi quelque temps à l’Université libre de Bruxelles. À partir du 30 novembre 1885, Emma Leclercq est membre active, et seule femme, de la Société belge de microscopie – sous le parrainage de François Crépin et Elie Marchal. Bien qu'elle ait ensuite commencé à travailler en tant qu'inspectrice des écoles ménagères, elle reste en contact avec le milieu universitaire bruxellois. À partir de 1893, elle donne des conférences à l’Œuvre des conférences féministes, une initiative de la Ligue belge du droit des femmes. Ces conférences traitaient de l’économie domestique et de sujets similaires. C’est vers cette époque qu’elle renonça aussi à son affiliation à la Société belge de microscopie. Emma Leclercq décède le 24 février 1933, à l'âge de 81 ans, à Geel près d'Anvers. Le lieu de sa sépulture est inconnu. Bibliographie Leclercq Emma (1851-1933) in Dictionnaire des femmes belges et siècles, Bruxelles : Éditions Racine, 2006, . Notes et références Liens externes Leclercq Emma dans Bestor - Ressources en ligne de la science et de la technologie en Belgique. Université de Gand Naissance à Saint-Josse-ten-Noode Décès à Geel Décès en avril 1933 Féministe belge Naturaliste belge Étudiant de l'université de Gand Étudiant de l'université libre de Bruxelles Place des femmes dans les sciences Femme biologiste Naissance en août 1851 Décès à 81 ans
Les Capuchons noirs
Les Capuchons noirs est un film muet français réalisé par Louis Feuillade et sorti en 1911. Synopsis Fiche technique Réalisation et scénario : Louis Feuillade Photographie : Albert Sorgius Société de production : Société des Établissements L. Gaumont Société de distribution : Comptoir Ciné-Location Pays d'origine : Langue originale : français Format : Muet - Noir et blanc Durée : inconnue Date de sortie : - Distribution Maurice Vinot Edmond Bréon Luitz-Morat Renée Carl Liens externes Film français sorti en 1911 Court métrage français Film réalisé par Louis Feuillade Film en français Film muet français Film français en noir et blanc Film de Gaumont
Carmine Infantino
Carmine Infantino (né le à Brooklyn, mort le à Manhattan) est un dessinateur, scénariste et éditeur américain de comics. C'est un dessinateur de l'Âge d'argent des comics, il a créé des personnages pour DC Comics comme Captain Cold, Black Canary, Wally West, Barry Allen, Animal Man... Biographie Son père Pasquale "Patrick" Infantino, musicien de formation (Saxophone, clarinette et violon), joue dans le groupe de Harry Warren. Après la Grande Dépression il devient plombier. Sa mère Angela Rosa DellaBadia est une immigrée venue de la ville de Calitri en Italie. À l'âge de 14 ans il étudie au High School of Art and Design de Manhattan. Il rencontre Harry "A" Chesler qui l'engage comme assistant dans son studio. Encouragé par les artistes qui travaillent pour Chesler, il suit, en plus de ses études, des cours du soir à l'. Puis il fait de l'encrage avec Frank Giacoia pour Marvel. En 1956, il participe à la relance du super-héros Flash dans le quatrième numéro du comic book , daté de septembre 1956, inspirant ainsi d'autres personnages à faire de même (Green Lantern, Hawkman, etc.). Il dessine les premières aventures de ce nouveau personnage sur un scénario de Robert Kanigher. En 1968 il est éditeur en chef de DC Comics. Il crée cette même année le personnage de Deadman en collaboration avec Neal Adams. En 1976, il est remplacé par Jenette Kahn, pour le poste d'éditeur. Le musicien Jim Infantino du groupe "Jim's Big Ego" est son neveu. Bibliographie Adam Strange Batman Flash Charlie Chan Green Lantern Green Arrow Superman Wonder Woman Strange Tales Kamandi Vampire Tales Nova Spider-Woman Super Friends (série tv) Detective Comics, U.S.A. Comics, Mystery in Space, Strange Adventures Créations Animal Man Captain Cold Deadman (cocréateur Arnold Drake) Flash (DC comics) Barry Allen Black Canary, Trigger Twins, Danger Trail, King Faraday, Blue Lantern (cocréateur Robert Kanigher) Blackout (cocréateur Marv Wolfman & Tom Palmer) Cluemaster (cocréateur Gardner Fox) Colonel Computron Christopher King Walt & Wayne Trigger Les Jumeaux Trigger The Human Target (cocréateur Len Wein) Cocréateur avec John Broome : Captain Comet, Elongated Man, Phantom Stranger, Wally West, Professeur Zoom, Gorilla Grodd, Sue Dibny, Kid Flash, Captain Boomerang, Weather Wizard, Tommy Moon, Roscoe Dillon (The Top)... Prix et récompenses 1958 : Prix du comic book de la National Cartoonists Society 1962 : Prix Alley du meilleur numéro (avec Gardner Fox) et de la meilleure couverture pour The Flash n°123 ; de la meilleure histoire pour « Flash of Two Worlds » dans The Flash n°123 (avec Gardner Fox) ; et du meilleur dessinateur 1963 : Prix Alley de la meilleure histoire longue pour « The Planet that Came to a Standstill! » dans n°75 (avec Gardner Fox) ; et du meilleur dessinateur 1964 : Prix Alley du meilleur dessinateur 1965 : Prix Alley de la meilleure histoire courte pour « Doorway to the Unknown » dans The Flash n°146 (avec John Broome) ; de la meilleure couverture de comic book pour Detective Comics n°329 (avec Murphy Anderson) ; et du meilleur dessinateur 1970 : Prix Alley spécial 1998 : Temple de la renommée Jack Kirby 2000 : Temple de la renommée Will Eisner Prix Inkpot Postérité Lors de l'épisode 22 de la saison 3 de Flash, le nom de la rue où Iris est "tuée" par Savitar est Infantino Street. Notes et références Notes Références Références bibliographiques Autres références Ouvrages source utilisée pour la rédaction de cet article Liens externes Biographie de l'artiste sur le site batman-legend.com Dessinateur américain de bande dessinée Dessinateur de comic book Naissance en mai 1925 Naissance à Brooklyn Éditeur de bande dessinée Décès en avril 2013 Décès à Manhattan Lauréat du prix Alley Lauréat du prix Inkpot Lauréat du prix du comic book de la National Cartoonists Society Membre du temple de la renommée Jack Kirby Membre du temple de la renommée Will Eisner Étudiant de l'Art Students League of New York Décès à 87 ans