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Cordillère de Patagonie | La cordillère de Patagonie, aussi appelée Andes australes ou parfois Andes de Patagonie et cordillère patagonienne, en ou , est une chaîne de montagnes d'Argentine et du Chili qui constitue l'extrémité méridionale de la cordillère des Andes.
Géographie
Bordée à l'ouest par l'océan Pacifique et à l'est par les plateaux et plaines de Patagonie, sa limite septentrionale est la même que celle de la Patagonie, soit la latitude approximative du Seno de Reloncaví, un golfe chilien, tandis que sa limite méridionale est le détroit de Magellan. D'une longueur d'environ pour une largeur d'environ , ce massif culmine au Monte San Valentin à d'altitude. Comportant les deux seules calottes glaciaires d'Amérique du Sud, le champ de glace Sud et le champ de glace Nord de Patagonie, cette cordillère se prolonge au sud par la Terre de Feu qui comporte quelques montagnes comme la cordillère Darwin.
Notes et références
Articles connexes
Cordillère des Andes
Andes fuégiennes
Patagonie
Patagonie
Patagonie |
Tuenti | Tuenti est un site de réseautage social basé à Madrid (Espagne) lancé en 2006 et considéré comme l'un des sites web les plus visités en Espagne selon Alexa Internet.
Le site est accessible seulement aux membres ; l'inscription est gratuite et possible pour tous. Le site propose aux internautes des outils tels que le partage de photos et de vidéos, un espace d'écriture blog, un moteur de recherche (par nom ou adresse électronique, etc), et un système de notation et de tagging des photos.
Histoire
Tuenti fut créé en 2006 par Zaryn Dentzel, Félix Ruiz, Joaquin Ayuso, Adejemy et Kenny Bentley. Dentzel visita l'Espagne lors d'un échange, qui l’amena à Cabeza del Buey (Badajoz). Quelques années plus tard est née Tuenti. Au début, il était réservé aux universitaires et à quelques privilégiés.
Plus tard, de par son succès, les créateurs de ce site permirent l'entrée à plus d'usagers, sous la condition d'y être invité par quelques membres de Tuenti. Actuellement, Tuenti a 10,7 millions d'usagers, la plupart d'entre eux sont des étudiants entre 10 et 20 ans.
L'entreprise compte actuellement plus de 209 employés de 17 nationalités différentes.
Selon Dentzel, le nom Tuenti lui est apparu à cause de la nécessité de trouver un nom comportant tù y ti (toi et toi). Pour trouver un nom les membres du départements de marketing y passèrent beaucoup de temps; mais finalement ils choisirent Tuenti, car cela ressemble a "twenty" (vingt, en référence à l'âge moyenne des utilisateurs).
L'actionnaire majoritaire de Tuenti est Movistar, qui acheta les 85 % de l'entreprise le 4 aout 2010, pour un chiffre approximatif de 72 millions d'euros. Movistar a l'intention à moyen-long terme d'étendre Tuenti sur d'autres pays (majoritairement d'Amérique latine et d'Europe)
Fonction
Tuenti est un site de résautage, d'accès restreint seulement à ceux qui sont invités par un autre membre déjà inscrit. Ce système, selon l'entreprise, garantit en principe que tout usager, récemment arrivé, ait déjà un lien avec une autre personne, et de ce fait qu'il puisse commencer à établir de nouvelles relations avec le reste des membres.
Les usagers peuvent créer des profils avec des photos, informations sur les contacts ou autre informations personnelles. Les usagers peuvent communiquer avec d'autres membres, et avec leurs amis. Pour pouvoir garder un caractères privé, Tuenti permet aux membres de choisir les configurations, pour savoir qui peut voir quoi.
On peut par exemple bloquer des personnes ou limiter certaines options, tel qu'être étiqueté sur des photos choisies.
Mon profil
Chaque membre dispose, dans le site, d'une page de profil qui peut être vue par tous les usagers, mais on peut la sécuriser en faisant en sorte que seuls les amis des usagers puissent la voir où même, les amis des amis. À l'intérieur, on peut voir des informations personnelles comme son genre, son âge ou même sa date d'anniversaire.
La colonne centrale de "Mon Profil" est divisée en deux blocs : le blog et "Mon Mur". La partie blog permet à l'usager d'écrire des textes ou inclure des vidéos, ordonnés en mode chronologique inverse, tout cela visible seulement par les personnes autorisées. "Mon Mur" est un espace dans lequel les autres membres peuvent laisser des messages personnalisés, où on peut également voir l'historique des modifications. Le nouvel historique contient les actualisations des profils qu'a faites la personne récemment. Tout ça peut être synchronisé optionnellement avec Twitter.
Recherche
Tuenti dispose d'un programme de recherche qui permet de localiser les membres du site, par le nom réel. Pour réduire les résultats, il existe plusieurs filtres tels que le sexe, le centre d'études, l'emploi ou le lieu de résidence. On peut également trouver, grâce à ce programme, des jeux, vidéos ou d'autres pages dans tout le site Tuenti.
Événements
Tuenti ajouta en novembre 2007 la fonction d'événements, qui permet d'organiser, facilement, des événements en mettant la date et le lieu et le nombre de personnes qui viendront. Cette fonction fut créée dans l'intention de permettre aux membres d'organiser des fêtes, des réunions ou autres. Mais actuellement, la plupart des usagers l'utilisent pour diffuser des publicités, quelquefois malhonnêtes.
Chat
La fonction chat de Tuenti, fit ses débuts en septembre 2009, on y ajouta en août 2010 l'option videochat. Elle offre la possibilité de bloquer les contacts avec qui on ne veut pas établir une conversation. On peut aussi participer à des jeux avec des amis depuis le chat.
Jeux
Lors de la matinée du 2 juin 2010, on ajouta une autre fonction appelée Tuenti Juegos, une fonction qui permet de jouer en temps réel. Les jeux sont fournis par Metrogames, en utilisant Adobe Flash Player.
Notes et références
Liens externes
Site de l’entreprise
Site de réseautage social
Telefónica |
Dott (entreprise) | Dott est un opérateur de trottinettes électriques en libre-service () franco-néerlandais.
Initialement déployée à Paris, Lyon, Milan et Bruxelles, sa flotte est présente, en 2021, dans une quinzaine de villes européennes, en France, Italie, Belgique et Allemagne.
Création
Fondée en 2018 à Amsterdam par d'anciens cadres d'Ofo, dont deux entrepreneurs français, Maxim Romain et Henri Moissinac, la start-up Dott exerce dans le secteur des mobilités partagées. La même année, l'entreprise lève 20 millions d'euros.
Elle est à l'origine établie en France sous la raison sociale emTransit.
Le , Dott annonce avoir levé 30 millions d'euros (série A) auprès de EQT Ventures et Naspers Ventures. Cette levée de fonds doit permettre à l'entreprise de poursuivre son développement en Allemagne, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas et de lancer un vélo à assistance électrique.
Le , Dott annonce avoir réalisé une seconde levée de fonds (série B) de 70 millions d'euros. Ce tour de table a largement été bouclé par Sofina, déjà présent au capital de Vinted ou Postmates. Certains investisseurs historiques, comme EQT Ventures, ont également participé à cette série B.
Déploiement
France
Dott est l'un des 10 acteurs présents à Paris sur le marché des trottinettes électriques en 2020. L'entreprise démarre son déploiement en France par l'incubateur de start-ups Station F à Paris. Après l'appel d'offres lancé par la Mairie de Paris, Dott fait partie des 3 acteurs autorisés à opérer dans la capitale, aux côtés de Lime et Tier.
Belgique
Dott compte 2 000 trottinettes électriques en Belgique, un niveau comparable à son principal concurrent dans le pays, Lime.
En 2019, en complément des trottinettes, l'entreprise souhaite déployer une flotte de 10 000 vélos en libre-service au niveau européen.
Modèle de fonctionnement
Parmi ses principes, Dott se distingue d'autres opérateurs par l'idée d'internaliser les tâches de recharge et de réparation des trottinettes, plutôt que de les déléguer à des auto-entrepreneurs. Aussi, elle revendique n'avoir eu à jeter pratiquement aucun véhicule, en faisant un usage intensif des pièces de rechange. Elle dispose d'ateliers à Villeurbanne et à Rungis (Wissous).
Matériel
Dott a développé son propre matériel en interne. En 2019, les véhicules sont importés de Chine, par le train.
Références
Entreprise de micromobilité
Entreprise de transport ayant son siège en France |
Jaworzyna Śląska | Jaworzyna Śląska ), est une ville du powiat de Świdnica, situé dans la voïvodie de Basse-Silésie, en Pologne.
Histoire
Guerre de Sept Ans : le camp de Bunzelwitz
Pendant la guerre de Sept Ans, en août-septembre 1761, Frédéric II de Prusse établit un grand camp retranché en Silésie sur le plateau de Bunzelwitz pour faire face à la jonction des deux armées adverses, celle du maréchal autrichien Ernst Gideon von Laudon et celle du maréchal russe Boutourline. Les Austro-Russes totalisent contre selon Ploetz, contre selon L.H.C. Vauvilliers. Le camp, centré sur le mamelon de Wurben, est défendu par des marécages, des fossés profonds, plusieurs lignes de palissades, ainsi que par 460 canons et 182 mines. Les villages de Bunzelwitz (aujourd'hui : Bolesławice) et Jauernick (aujourd'hui : Jaworzyna) forment deux citadelles annexes. Les Austro-Russes encerclent tout le camp, sauf une chaussée qui le relie à Schweidnitz, mais, après quelques tentatives contre les deux villages, se querellent entre eux et lèvent le siège au bout de sans avoir donné l'assaut : Laudon insiste pour mener une attaque qui les rendrait maîtres de la Silésie tandis que les Russes craignent, non sans raisons, que leurs alliés autrichiens ne leur laissent subir l'essentiel des pertes. C'est également au camp de Bunzelwitz que Frédéric II reçoit l'ambassadeur ottoman Ahmed Resmî Efendi et lui propose une alliance contre les Autrichiens.
Le camp de Bunzelwitz a été cité par les stratèges comme un exemple de victoire par choix d'une position défensive supérieure, notamment par Karl Ludwig von Phull, général prussien au service d'Alexandre en 1812.
Au , Bunzelwitz devient un nœud important des chemins de fer prussiens. Après la mise en service de la voie ferrée reliant Breslau (aujourd’hui Wrocław) et Fribourg-en-Silésie (aujourd’hui Świebodzice) en 1843, une liaison transversale est construite pour relier les villes de Striegau (aujourd’hui Strzegom) et de Schweidnitz (aujourd’hui Świdnica), situées à une dizaine de kilomètres de la voie principale près du village de Bunzelwitz (aujourd’hui Bolesławice). Une gare est construite, rapidement complétée par une colonie ferroviaire. Cette colonie reçoit le nom de Königszelt (« Tente royale »), en souvenir du campement de Frédéric II. En 1853, la voie de Fribourg est prolongée jusqu'à Waldenburg (aujourd’hui Wałbrzych) ; celle de Schweidnitz se poursuit jusqu'à Reichenbach im Eulengebirge (aujourd’hui Dzierżoniów) en 1855, et jusqu’à Neisse (aujourd’hui Nysa) en 1863. La voie de Striegau atteint Legnica, via Jawor, en 1856. Profitant de l'excellente desserte ferroviaire, la fabrique de porcelaine de Königszelt est construite en 1863. En 1929, elle est absorbée par la Lorenz Hutschenreuther AG.
Jusqu'en 1945, Königszelt appartient au comté de Schweidnitz, en Allemagne. Après la Seconde Guerre mondiale, en 1945, la Conférence de Potsdam attribue la ville, comme la quasi-totalité de la Silésie, à la Pologne. Königszelt est renommée Jaworzyna Śląska et la population allemande est expulsée. La manufacture de porcelaine est agrandie et devient une des trois plus importantes sociétés du genre en Silésie. Durant l'existence de la République populaire de Pologne, la plus grande partie de sa production est écoulée à l'exportation.
En 1954, Jaworzyna Śląska reçoit le statut de ville et la superficie de la municipalité augmente de à près de . Entre 1975 et 1998, Jaworzyna Śląska appartenait à la voïvodie de Wałbrzych.
Démographie
Jumelages
Jaworzyna Śląska est jumelée avec Peyremale (département du Gard, région Occitanie, ), Pfeffenhausen (), Ostritz (), et Teplice ().
Gmina
Jaworzyna Śląska est le chef-lieu de la gmina du même nom. Celle-ci comporte douze lieux-dits :
Le numéro d'identification de la communauté (GUS) est le 0219043. La gmina de Jaworzyna Śląska a une densité de population de .
Transports
Jaworzyna Śląska est sur les lignes ferroviaires Wrocław-Glowny Świebodzki-Wałbrzych et Świdnica-Legnica. Elle est également reliée par des voies ferrées d'importance secondaire à Strzegom et Kamieniec Ząbkowicki.
La ville est située sur la route Wrocław–Jelenia Góra. L'aéroport international le plus proche est celui de Wrocław.
Géographie
Jaworzyna Śląska se trouve à mi-chemin entre Strzegom et Świdnica, située à au sud. La capitale régionale, Wrocław, est à au nord-est.
L'altitude maixmale de la commune est au-dessus du niveau de la mer.
Sites touristiques
Le principal intérêt touristique de Jaworzyna Śląska est le musée industriel et ferroviaire, avec l'exposition en plein air d'une collection de locomotives à vapeur. Le lac de la commune est utilisé pour la baignade par les habitants, durant les chauds mois d'été.
Économie
De sa fondation jusqu'en 1863, c'est le chemin de fer qui est le moteur de la croissance économique de Jaworzyna Śląska. À partir de cette date, c'est la manufacture de porcelaine qui prend le relais. Une distillerie de molasses exerce également son activité jusque dans les années 1870. Le premier quart du voit l'établissement de sablières et de gravières. D'importants investissements sont effectués dans la modernisation de l'infrastructure ferroviaire, notamment la construction d'une gare de manœuvre et de triage de locomotives, d'un château d'eau, d'une deuxième gare ferroviaire, etc., ainsi que l'électrification de la ligne Wroclaw-Jaworzyna Śląska-Jelenia.
Au , le principal employeur est la fabrique de porcelaine « Karolina ».
Sport
Le club municipal des sports « Karolina » de Jaworzyna Śląska a deux sections : cyclisme et football.
Tourisme
Il y a un hôtel à Jaworzyna Śląska, le Agroturystyka Milikowice.
Notes et références
Hugo Weczerka, Handbuch der historischen Stätten Schlesien, Stuttgart, 1977, , .
T. Bartkowski, Kemy na Przedgórzu Sudeckim w okolicy Jaworzyny Śląskiej, Spraw. PTPN, 1966.
.
.
Friedrich August von Retzow, Nouveaux mémoires historiques sur la Guerre de Sept Ans, Volume 2, 1803
L.H.C. Vauvilliers, Recherches historiques sur le rôle et l'influence de la fortification, Paris, 1845
Curtis Cate, La Campagne de Russie - 1812, Tallandier, 2006.
Voir aussi
Villes de Pologne
Liens externes
Prévisions météorologiques.
Bureau polonais de la statistique.
Ville dans la voïvodie de Basse-Silésie
Powiat de Świdnica |
Olumide Oyedeji | Olumide Oyedeji (né le à Ibadan, au Nigeria) est un joueur nigérian de basket-ball, évoluant au poste de pivot.
Biographie
Palmarès
Médaille d'or du Championnat d'Afrique 2015
Médaille d'or aux Jeux africains de 2011
Médaille de bronze du Championnat d'Afrique 2011
Médaille de bronze aux Jeux africains de 2007
Médaille de bronze aux Jeux africains de 2015
Médaille de bronze du Championnat d'Afrique 2005
Notes et références
Liens externes
Photos de Olumide Oyedeji
Naissance en mai 1981
Joueur international nigérian de basket-ball
Naissance à Ibadan
Joueur drafté par les SuperSonics de Seattle
Joueur du Magic d'Orlando
Joueur des SuperSonics de Seattle
Joueur du MBK Dynamo Moscou
Joueur de l'Union Olimpija
Joueur des Beijing Ducks
Joueur de Cangrejeros de Santurce
Joueur des Liaoning Hunters
Joueur de la Juve Caserta Basket
Joueur du CB Granada
Joueur des Hawks d'Atlanta
Joueur de basket-ball aux Jeux olympiques d'été de 2012
Joueur des Changwon LG Sakers
Médaillé d'or aux Jeux africains |
Tournoi de tennis de Munich (ATP 1990) | Le tournoi de tennis de Munich est un tournoi de tennis professionnel masculin. L'édition 1990, classée en catégorie World Series, se dispute du au .
Karel Nováček remporte le simple messieurs. En finale, il bat Thomas Muster.
L'épreuve de double voit quant à elle s'imposer Udo Riglewski et Michael Stich.
Résultats en simple
Parcours
Tableau
Résultats en double
Parcours
Tableau
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
Tournoi de tennis de Munich
Saison 1990 de l'ATP
Liens externes
Site officiel du tournoi
Navigation
ATP 1990
Munich
Sport en Allemagne en 1990
Tennis féminin en 1990
Tennis en avril 1990
Tennis en mai 1990 |
Magnus Samuelsson | Magnus Samuelsson, né le à Kisa, est un homme fort suédois et un participant au World's Strongest Man. Magnus a aussi été aussi le meilleur lutteur de bras de fer d'Europe. Dans un célèbre match, il cassa le bras du catcheur Nathan Jones en deux points.
Carrière
C'est l'un des hommes forts les plus titrés, vu son palmarès en compétitions nationales et internationales. À peine quatre ans après avoir commencé sa carrière de compétiteur professionnel, il remportait, en 1998, le titre de l'Homme le plus fort du Monde. Et depuis, malgré une série de blessures, il est resté dominant. Entre 1995 et 2001 il a participé à quarante compétitions internationales, en a remporté vingt, est monté trente-cinq fois sur le podium, un exploit sans précédent.
Magnus Samuelsson a été dix fois finaliste du World's Strongest Man. Il a été huit fois parmi les cinq premiers et est monté sur cinq podiums. Il a été de toutes les finales de 1997 à 2004, puis est revenu en 2007. Qui plus est, il a remporté à sept reprises le titre de l'Homme le plus fort de Suède.
En 2009, il participe et remporte la édition de Let's Dance, la version suédoise de Danse avec les stars.
Sur l'origine de ses performances, il déclare :
Lui et son frère cadet, Torbjörn, rêvaient de compétitions de force en voyant leur idole, Jon Pall Sigmarsson, devenir célèbre grâce à la télévision. En 1998, au Maroc, Magnus est couronné « Homme le plus fort du Monde » alors qu'au même moment, Torbjörn remporte le titre de l'Homme le plus fort de Suède. Quatre ans plus tard, à Kuala Lumpur, en Malaisie, les deux frères se retrouvent au World's Strongest Man en présence de leurs parents.
Palmarès de compétition
Magnus a souvent obtenu de bonnes places en compétition. Il détient le record du plus grand nombre de qualifications en finale du World's Strongest (dix fois). Aucun autre homme fort n'a obtenu autant de titres intercontinentaux que lui ; il détient plus de titres GP que n'importe quel autre athlète en vie. Parmi toutes les compétitions auxquelles il a participé, il n'a seulement été que cinq fois en dehors du podium.
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
Finaliste The World's Strongest Man (Malaisie)
2003
2004
2005
vainqueur Sveriges Starkaste Man
2007
The World's Strongest Man
Profil
Taille (cm) : 201
Poids (kg) : 156
Tour de poitrine (cm) : 149
Tour de taille (cm) : 105
Tour de biceps (cm) : 60
Pointure : 47
Pourcentage de graisse : 17-20 %
Couleur de cheveux : blond
Couleur des yeux : bleus
Liens externes
Official web site
Magnus arm wrestling Nathan Jones
Naissance en décembre 1969
Naissance à Kisa
Sportif suédois
Homme le plus fort du Monde |
Césane | Césane (en italien ) est une commune italienne d'un peu plus de , située dans la ville métropolitaine de Turin, dans la région Piémont, dans le nord-ouest de l'Italie.
C'est l'un des sites des Jeux olympiques d'hiver de 2006, qui a accueilli les épreuves de biathlon, de bobsleigh, de luge et de skeleton.
Toponymie
En français : Césane
En italien : Cesana Torinese
En occitan : Cesana
En piémontais : Cesan-a
Géographie
La ville se situe dans la partie haute du val de Suse au pied du col du Montgenèvre et du sommet du Chaberton.
Histoire
Césane se trouve sur les traces d'une voie romaine allant de la plaine du Pô à ce qui était alors la Gaule. Durant le haut Moyen Âge, cette voie perdit de son importance pour le commerce mais la conserva au niveau de l'utilisation militaire. Le village fut propriété des dauphins de Viennois, d'ancienne et prestigieuse noblesse du Dauphiné, jusqu'à la fin du lorsqu'ils vendirent l'ensemble de leurs domaines à Philippe VI de France à la condition que l'héritier de la couronne de France soit appelé le dauphin. En 1155, le dauphin Guigues V d'Albon obtint de l'empereur germanique Frédéric Barberousse l'autorisation de battre monnaie à Cézanne; en 1281, la monnaie porte le portrait du dauphin.
Avec la concession des dauphins de Viennois en 1343 naquit la République des Escartons, sur un territoire qui est actuellement à cheval entre l'Italie et la France. Cézanne se trouvera dans l'Escarton d'Oulx jusqu'à la fin de 1713, quand elle fut cédée à la Savoie par le traité d'Utrecht. Entre le et le , le village souffrit directement et indirectement des guerres de religion entre les catholiques et les protestants (l'Église vaudoise dans les vallées de Pragela).
En 1928, on a uni à Césane des communes jusqu'alors autonomes : Bousson, Fenils, Mollieres, Solomiac et Thures.
Économie
L'économie du village repose actuellement surtout sur le tourisme, et en particulier celui des sports d'hiver. En effet, Césane possède une station de ski faisant partie du domaine skiable alpin de la Via Lattea.
Cesana Alta (Césane le Haut) est, avec Saint-Véran, dans le département français des Hautes-Alpes, l'un des villages les plus hauts d'Europe. Composé de chalets se trouvant au milieu de forêts de pins (altitude m) et sur le plateau du Colle Bercia (altitude m), l'endroit est relié au chef-lieu par des télésièges et cabines avec vues panoramiques. Enfin, Cesana Alta est doté de grands pâturages utilisés par les troupeaux.
Culture
Monuments et patrimoine
L'église de Saint Jean-Baptiste a encore trois absides ainsi qu'un clocher de construction romane (). Le portail est de 1518. Le plafond, en bois, du . À côté de l'église, il y a une fontaine du .
Transports
Oulx est située sur la ligne du Fréjus qui relie Turin à la frontière française. Elle est desservie entre autres par les TGV qui vont de Paris à Milan.
Sport
Entre 1961 et nos jours, est organisée la Course de côte Cesana - Sestrières, ayant compté près de vingt fois pour le Championnat d'Europe de la montagne.
La commune fait partie du domaine skiable franco-italien de la Voie lactée (Via lattea). Elle possède une piste de luge, bobsleigh et de skeleton : la Cesana Pariol. Cette piste fut utilisée à l'occasion des Jeux olympiques d'hiver de 2006.
Un trail se court chaque année depuis 1964 le premier dimanche d'août. L'épreuve réunit les meilleurs athlètes de la discipline et relie Cesana à Montgenèvre en passant par le sommet du mont Chaberton à .
Administration
Hameaux
Autagne, Balbières, Bousson, Champlas Seguin, Colombières, Désertes, Fenils, Mollières, Montechiaro, Pra Claud, San Sicario Alto, San Sicario Borgo, Solomiac, Thures (Chabaud, Lause, Rhuilles, Thuras, Thures, Thures-Gorlier, Rif-la-Chenal, Champ-Quartier).
Bousson, Désertes, Fenils, Solomiac et Thures étaient, avant la période fasciste, des communes à part entière.
Communes limitrophes
Abriès (FR-05), Cervières (FR-05), Clavières, Montgenèvre (FR-05), Névache (FR-05), Oulx, Sauze de Césane, Sestrières
Évolution démographique
Jumelage
Articles connexes
Patata di montagna di Cesana
San Sicario
Notes et références
Commune dans la province de Turin
Communauté de l'escarton d'Oulx
Commune de langue occitane (province de Turin)
Station de sports d'hiver au Piémont
Site des Jeux olympiques d'hiver de 2006
Histoire des vaudois |
Skarszewek | Skarszewek est une localité polonaise de la gmina de Żelazków, située dans le powiat de Kalisz en voïvodie de Grande-Pologne.
Notes et références
Village dans la voïvodie de Grande-Pologne
Powiat de Kalisz |
Więcemierz | Więcemierz est une localité polonaise de la gmina mixte de Bobolice, située dans le powiat de Koszalin en voïvodie de Poméranie-Occidentale. Elle se situe à environ au sud-est de la ville de Koszalin et à l'est de la capitale régionale Szczecin.
Géographie
Notes et références
Village dans la voïvodie de Poméranie-Occidentale
Powiat de Koszalin |
Daïra de Khemis Miliana | La daïra de Khemis Miliana est une circonscription administrative algérienne située dans la wilaya d'Aïn Defla. Son chef-lieu est situé sur la commune éponyme de Khemis Miliana.
Communes
La daïra regroupe les deux communes de Khemis Miliana et Sidi Lakhdar.
Notes et références
Voir aussi
Khemis Miliana |
Casa-museo Boschi Di Stefano | La Casa-museo Boschi Di Stefano est une demeure historique milanaise, située au second étage d'un immeuble Art déco conçu par l'architecte Piero Portaluppi, dans la via Giorgio Jan et à proximité du Corso Buenos Aires. Il propose une sélection de plus de deux cents œuvres représentatives de l'art moderne italien acquises par Antonio Boschi (1896-1988) et son épouse Marieda Di Stefano (1901-1968).
Musée à Milan
Musée d'art moderne |
Daïra de Charef | La daïra de Charef est une circonscription administrative algérienne située dans la wilaya de Djelfa. Son chef-lieu est situé sur la commune éponyme de Charef.
La daïra regroupe les trois communes:
Charef
El Guedid
Beni Yagoub
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
Daïras de la wilaya de Djelfa
Communes de la wilaya de Djelfa
Liens externes
Wilaya de Djelfa
Charef |
Trace | De manière générale, une trace est l'influence d'un événement sur son environnement. Toutes les conséquences d’un événement peuvent donc être considérées en tant que trace.
Le terme trace est parfois considéré comme synonyme des termes « marque », « empreinte », « indice ». Néanmoins, peuvent être considérées en tant que « marque », les traces associées à une notion d'identification, en tant qu'« empreinte », les traces associées à une modification durable de matière et en tant qu'« indice », les traces associées la volonté de reconstitution d'un évènement passé pour lequel est posé l'hypothèse d'un scénario probable.
Science
Archéologie
L'archéologie est une science où les chercheurs travaillent à reconstituer le passé des humains à partir de traces matérielles. Pour l'archéologue, tout objet jusqu'à présent non répertorié comme ayant été utilisé dans une époque éloignée dans le temps apparait comme précieux pour reconstituer les usages de l' humain à travers son histoire.
Astronomie
TRACE est un télescope spatial de la NASA.
Chimie
Une trace désigne un composé présent en très faible quantité ;
telle une trace radioisotopique.
Informatique
La trace d'un programme est une représentation de l’exécution de ce même programme ;
La trace numérique désigne les informations qu'un dispositif numérique enregistre sur l'activité ou l'identité de ses utilisateurs.
Mathématiques
La trace est une caractéristique d'un endomorphisme (fonction d'un espace vectoriel dans lui-même), d'une matrice carrée ;
Une forme trace est un concept associé à la théorie de Galois et à la théorie algébrique des nombres.
La trace d'un ensemble sur un autre est l'intersection de ces deux ensembles.
Météorologie
Une « trace » de précipitations, comme de la pluie ou de la neige, est une quantité supérieure à zéro, mais qui est plus petite que la plus petite quantité mesurable par les appareils standards de mesure comme le pluviomètre. Ceci est important à la fois pour les prévisions météorologiques et à des fins climatologiques, car même des quantités de précipitations trop faibles pour être mesurées peuvent avoir des impacts sociaux importants.
Trace est également utilisé dans les rapports météorologique pour signaler une couverture nuageuse de moins d'un dixième, ou moins qu'un octa, du ciel.
Paléontologie
Les traces fossiles d'anciennes formes de vie (paléoenvironnement) sont étudiées par la Paléoichnologie.
Police scientifique
En matière de police scientifique, un indice est une catégorie de trace que l’interprétant associe à la possibilité de reconstitution d’un méfait qui en serait la cause. Cette définition se retrouve dans la majorité des ouvrages en sciences humaines.
Sciences de l'information et de la communication
L'analyse des logiques d'utilisation du terme "trace" dans "Traçabilité et réseaux" (Hermès, Merzeau et Arnaud, 2009) et L'Homme trace (Galinon-Mélénec, 2011), qui regroupent des articles et chapitres de chercheurs français en sciences de l'information et de la communication spécialisés dans le domaine montre l'existence de deux courants de pensée : celui qui considère que la trace est une donnée numérique subie qu'il faut apprendre à gérer ; l'autre qui s'intéresse à la dimension épistémologique et sémiotique et analyse le processus qui unit le signe et la trace (d'où la proposition terminologique de "signe-trace" par Galinon-Mélénec).
Sports
En alpinisme, en ski de randonnée et en randonnée pédestre, la trace désigne le cheminement réalisé à pied ou à ski par les montagnards dans un champ de neige vierge ou sur un glacier pour atteindre un sommet. Contrairement au sentier, la trace disparaît avec les intempéries (vent, neige). Son cheminement peut varier d'une année à l'autre, en fonction de la configuration du terrain, de l'enneigement, du déplacement des glaciers ou des dangers objectifs (chutes de pierres, éboulement de séracs, etc.).
Culture et loisirs
Cinéma
Jeux vidéo
Dans Metroid Prime Hunters, Trace est un chasseur de primes convoitant la "puissance suprême" des Alimbics ;
Musique
Trace, un groupe de rock progressif hollandais
Traces, album de Jean-Jacques Goldman (1989)
Télévision
Alliance Trace Media est le groupe français créé en 2001 dont quelques produits sont:
Trace Urban est une chaine de télévision française qui se consacre principalement au rap américain et reggaeton ;
Trace Tropical est une chaîne de télévision musicale consacrée aux musiques et cultures tropicaux.
Trace Africa est une chaine de télévision consacrée aux musiques africaines.
Trace.FM est une chaine radio émettant en Martinique, Guadeloupe et en Guyane (depuis août 2009).
Trace Mobile est une offre de téléphonie mobile aux Antilles-Guyane, en Océan Indien et en Afrique réservée aux 12-25 ans.
Titres de journaux ou périodiques
Traces, magazine mensuel français de Communion et Libération.
Autres
Dans les systèmes d'information, les traces numériques représentent les informations relatives à l'activité des personnes qui sont enregistrées (typiquement dans des fichiers de log) lors de l'utilisation de plateformes numériques.
Trace (TRAnsports de Colmar et Environs) est la société exploitant le réseau de bus de Colmar.
TRACES est un réseau vétérinaire européen.
TRACES ("Travaux et Recherches Archéologiques sur les Cultures, les Espaces et les Sociétés") est le laboratoire de l'UMR 5608 du CNRS, de l’université Toulouse II Jean-Jaurès et du Ministère de la culture et de la communication.
RIGHT ("Research International Group Human Traces) est un réseau fondé en 2011 par les laboratoires UMR IDEES 6266/Le Havre du CNRS et LITIS/Le Havre de Normandie université. En 2014, Il a été labellisé en tant que "e. laboratory On Human Trace Unitwin campus digital des systèmes complexes".
Notes et références |
Hatoyama |
Patronyme
Famille Hatoyama
Ichirō Hatoyama (1883-1959), homme d'État japonais
Iichirō Hatoyama (1918-1993), homme politique japonais
Ikuko Hatoyama (née en 1968), auteure de manga japonaise
Kazuo Hatoyama (1856-1911), héritier d'une lignée de samouraï, un avocat, un universitaire et un homme politique japonais
Kunio Hatoyama (1948-2016), homme politique japonais
Miyuki Hatoyama (née en 1943), actrice japonaise
Yukio Hatoyama (né en 1947), homme d'État japonais
Toponyme
Hatoyama (Saitama), une commune du Japon
Voir aussi
Gouvernement Hatoyama |
Saut à ski aux Jeux olympiques de 1976 | Les épreuves de saut à ski aux Jeux olympiques d'hiver de 1976 ont lieu les 7 et au tremplin de Bergisel (grand tremplin) et au tremplin Toni Seelos (petit tremplin).
Podiums
Résultats
Petit tremplin
Grand tremplin
Tableau des médailles
Notes et références
1976
Épreuve aux Jeux olympiques d'hiver de 1976
Compétition de ski nordique à Innsbruck
Ski en 1976 |
Élysée | Élysée est un nom propre associé à plusieurs lieux imaginaires ou réels dont :
Mythologie et imaginaire
L'Élysée ou les champs Élysées, dans la mythologie grecque, font partie des Enfers.
Les Élysées sont un plan extérieur dans le jeu de rôle Donjons et Dragons.
Toponymes
France
Paris
Le palais de l'Élysée, la résidence du président de la République française.
L’Élysée désigne communément, par métonymie, la présidence de la République.
L’Élysée Montmartre, une salle de spectacle parisienne.
Élysées La Défense, une station de la ligne 1 du métro de Paris, esquissée dans les années 1970 et abandonnée depuis.
Lyon, France
Théâtre de l'Élysée, un théâtre du de Lyon, au 14, rue Basse-Combalot.
Suisse
Le musée de l'Élysée, un musée de Lausanne consacré à la photographie et situé dans la maison homonyme.
La maison de l'Élysée, également appelée Petite-Élysée, un domaine du situé dans la commune de Céligny, dans le canton de Genève.
Voir aussi .
Arts
Élysée République, une série de bande dessinée de Rémy Le Gall (scénario) et Frisco (dessin).
Autres
Traité de l'Élysée, traité d'amitié franco-allemand signé en 1963 au palais de l'Élysée,
Citroën Elysée, modèle de la marque automobile Citroën.
Voir aussi
L'Élysette, nom familier du siège du gouvernement wallon à Namur en Belgique.
Élisyques, peuple antique occupant l'actuel Languedoc jusqu'au
Elyseum musée consacré à l'énergie situé à Göteborg (Suède).
Elysium film de science fiction. |
Galeodes anatoliae | Galeodes anatoliae est une espèce de solifuges de la famille des Galeodidae.
Distribution
Cette espèce est endémique de Turquie. Elle se rencontre vers le lac Tuz.
Étymologie
Son nom d'espèce lui a été donné en référence au lieu de sa découverte, l'Anatolie.
Publication originale
Turk, 1960 : On some sundry species of solifugids in the collection of the Hebrew University of Jerusalem. Proceedings of the Zoological Society of London, , .
Liens externes
Notes et références
Galeodidae
Espèce de solifuges (nom scientifique)
Faune endémique de Turquie |
TT10 | La tombe thébaine TT 10 est située à Deir el-Médineh, dans la nécropole thébaine, sur la rive ouest du Nil, face à Louxor en Égypte.
C'est la sépulture de Penbuy, serviteur dans la Place de Vérité durant la . Penbuy partage sa tombe avec Kasa, également serviteur dans la Place de Vérité. Sur une stèle de Turin (N. 50037) Kasa est dit être le fils de Penbuy.
Description
Sur le côté gauche de la chapelle plusieurs scènes montrent des personnes faisant des offrandes aux couples assis ; la plupart des noms sont illisibles. Sur le côté droit de la chapelle une scène montre Kasa et son épouse Boukhanef avec une fille. Dans un autre registre de la tombe, quatre momies et un cortège funèbre sont représentés. Les momies semblent être Kasa, son fils Nebamentet, sa femme Boukhanef et une dame de la maison nommée Hathor. Un fils nommé Néferemsenout et une fille nommée Cheritrê sont représentés debout devant les momies.
Dans une autre scène un fils de Kasa nommé Ptahmosé est mentionné. La femme est nommée Ptahmosé Cheritrê.
Sur le plafond de la chapelle des inscriptions permettent à nouveau d'identifier Kasa et son épouse Boukhanef, tandis qu'une autre mentionne Penbuy et son épouse Amentet-Ousret.
Dans le naos Penbuy et son frère Penchenabou sont présents devant , Ahmès-Néfertary et les pharaons , et Horemheb. Dans une scène à proximité, et le vizir Paser présentent des offrandes à Ptah et Hathor.
Notes et références
Liens externes
Bibliographie concernant TT10 sur Theban Mapping Project
Index égyptologique
Tombe thébaine de la XIXe dynastie égyptienne |
Dmytro Zajciw | Dmytro Zajciw( Ukr: Дмитро Зайців;17 février 1897- décembre 1976) était un entomologiste ukrainien et brésilien, remarquable pour sa collection, et avec ses nombreuses découvertes de coleopteres tropical. Il est né à Velyka Mykhailivka, Ukraine et mort à Rio de Janeiro, Brésil. Il était un écrivain sur deux races et espèces nouveaux de longicornes néotropicaux( Coleoptera Cerambycidae), 1957, Contribution à l'étude des longicornes de Rio de Janeiro (Coleoptera Cerambycidae), 1958, et fut le premier à décrivent les genres Adesmoides et Pseudogrammopsis, ainsi que les espèces Beraba angusticollis et Mionochroma subaurosum, parmi beaucoup d'autres.
Références
Liens externes
Зайців Дмитро Варфоломійович
[材採編] ハセガワトラカミキリ
Entomologiste brésilien
Naissance en 1897
Décès en 1976 |
Motte castrale de Bailleul | La motte castrale de Bailleul est un ancien château à motte situé sur la commune de Bailleul, dans le département de l'Orne, région Normandie.
Localisation
La motte est située au lieudit le Vieux Château.
Histoire
La motte est datée du mais le lieu est attesté comme pagus dès le .
La motte castrale est inscrite comme monument historique le .
Description
La motte comporte la motte et également la basse-cour.
Articles connexes
Liste des monuments historiques de l'Orne
Liste des mottes castrales et châteaux à mottes
Liens externes
Notes et références
Bailleul
Bailleul
Orne au Moyen Âge
Normandie au XIe siècle
Bailleul
Monument historique dans l'Orne
Monument historique inscrit en 1989 |
Cranford (homonymie) | Kenneth R. Cranford (1857-1936), peintre impressionniste américain
Cranford, deuxième œuvre de la romancière et nouvelliste anglaise Elizabeth Gaskell
Cranford, série télévisée britannique |
Nazaire de Milan | Nazaire de Milan ou saint Nazaire est né à Rome au premier siècle de l’ère chrétienne. Son père était un haut fonctionnaire de l’administration de l’armée romaine d'origine africaine ; sa mère – que l’Église considère comme sainte appelée « sainte Perpétue » – était une romaine disciple de saint Pierre. Le nom Nazaire a une étymologie hébraïque, nazîr signifiant « consacré ».
Exécuté sous le règne de Néron vers 56 ou en 64 durant la persécution, Il est reconnu comme un saint chrétien, fêté le 28 juillet par l'Église catholique avec Celse, et le 14 octobre par l'Église orthodoxe avec Celse, Gervais et Protais
Hagiographie
Après avoir été baptisé par le futur pape Lin selon le souhait de sa mère, Nazaire développa sa foi chrétienne au point d'abandonner ses biens et d’aller prêcher l’Évangile en Gaule. Quand il arriva à Cemenelum, cité gallo-romaine de la province des Alpes maritimes, aujourd'hui Cimiez, quartier résidentiel de la ville de Nice, il rencontra une chrétienne qui lui confia son fils de 9 ans pour qu’il devienne son disciple. Dès lors, il ne se sépareront plus.
Mais le zèle apostolique de Nazaire va indisposer le gouverneur de Cimiez, qui les fit jeter tous deux en prison, et ils auraient sans doute payés de leur vie sans l’intervention de sa femme. Chassés de la ville, Nazaire a repris son bâton de prêcheur et c'est avec son nouveau compagnon qu'il continua sa route. L’enfant Celse suivit le fervent chrétien apprenant de lui à chaque village alpin rencontré, et ils bravèrent ensemble rigueur du climat et altitude. L’enthousiasme à propager la foi le gagna et ils atteignirent Embrun, ou Nazaire établit une première communauté de chrétiens. Puis ils continuèrent ainsi sans doute en longeant l’Isère par la vallée du Grésivaudan jusqu’à Genève, poursuivant jusqu’à Autun et même jusqu'à Trèves, siège du prétoire de la Gaule Belgique, dont les habitants connaissaient fort peu Jésus-Christ.
La prédication et l'établissement d'un oratoire par Nazaire va lui attirer les foudres de Cornélius, le gouverneur de la ville, qui prit la décision de l’emprisonner. Celse le suivit très ému, ne voulant ni rester seul ni l’abandonner, et il partagea sa captivité. Au bout de quelques jours, le préfet ordonna qu'ils soient sommés de renier leur foi et après diverses procédés et quelques sévices, voyant qu’ils restaient paisibles, résolus et même rayonnant pour Nazaire, ils furent condamnés à la déportation par ordre de Néron qui demanda qu’ils soient jetés en mer Tyrrhénienne.
Arrivés au large de la ville de Civitavecchia, les gardes les précipitèrent par-dessus bord mais au même moment un vent aussi impressionnant qu’inattendu menaça gravement de faire chavirer leur embarcation. Voyant les condamnés s’en sortir aisément et revenir vers eux avec au même moment le vent qui se calmait, ils furent enclin à se convertir. Il n’était plus question de s’en remettre aux autorités romaines. Le petit groupe continua sa navigation en remontant vers le Nord.
Un jour, Nazaire aperçut de loin un temple sur une colline, et il ressentit l’intuition qu’il devait s’y rendre. Après avoir renversé avec Celse les statues païennes du lieu consacré au dieu des morts Hadès, ils commencèrent à prêcher au village voisin d’Albaro qui est aujourd’hui un quartier résidentiel de la ville de Gênes. Bon nombre de baptêmes suivirent sans représailles, et le village devint l’un des tout premier d’Italie à célébrer des messes. Puis d'Albaro, ils continuèrent leur apostolat à Gênes.
Porté par un tel succès, c’est tout naturellement que Nazaire eut souhait de rejoindre Milan. Malheureusement à cette époque, elle était gouvernée par le préfet Anolin qui se montrait plutôt intraitable avec les chrétiens. Ayant appris que Nazaire et Celse ne cessaient de prêcher, il les fit emprisonner, les jugea rapidement et les tourmenta, condamnant l’un et l’autre à être décapités.
À la fin du premier siècle, en mémoire des saints martyrs, les chrétiens d’Albaro érigèrent une chapelle non loin du temple romain où ils avaient débarqués. Une église, plusieurs fois rebâtie, subsista jusqu’en 1912.
Les reliques, invention et vénération
En 395, Ambroise de Milan, évêque de la ville, aurait eu la révélation du lieu où les deux saints avaient été inhumés : c’était dans un jardin hors de la cité. Les corps auraient été exhumés et retrouvés parfaitement conservés. Ambroise aurait transporté celui de Nazaire dans la basilique qu'il dédia aux apôtres (basilica Apostolicum) autrement baptisée basilique Saint-Nazaire de Brolo. C'est Paulin de Nole qui le raconte dans sa Vita Ambrosii. Le pape Damase envoya un coffret en argent à l’évêque Ambroise pour y mettre les reliques des apôtres.
Venerio, Marolo, Glicerio et Lazarro quatre des cinq évêques de Milan de la première moitié du se sont fait ensevelir dans la basilique à proximité du corps de Nazaire installé dans un sarcophage sous le maître-autel. Dans la continuité, des reliques furent envoyées à diverses églises d'abord dans plusieurs villes d’Italie y compris en Sardaigne à des évêques d’origine nord-africaine, puis à Constantinople, et en France, notamment à Carcassonne et à l'abbaye de Lorsch. Pourtant, ce n'est qu'à partir du que son nom se diffusera pour se confirmer dans le courant du à l'instauration de la fête des deux martyrs milanais.
En 1579, Charles Borromée procéda à une élévation des reliques et découvrit le coffret en argent du pape Damase et quatre cassettes en plomb abritant les ossements des évêques. Puis il reposa le tout dans le sarcophage. En 1894, les reliques de saint Nazaire furent déposées dans une nouvelle châsse, un fac-similé du précédent coffret, qui lui est désormais exposé au musée diocésain de Milan depuis 2007.
Références
Voir aussi
Articles connexes
Celse de Milan
Gervais et Protais
Liste des évêques et archevêques de Milan
Liens externes
Les saints Nazaire et Celse dans La Légende dorée de Jacques de Voragine
Saint Nazaire dans l'Année liturgique de Dom Guéranger
Hagiographie des saints Nazaire et Celse
Nazaire
Chrétien martyr dans l'Italie antique |
Mise en demeure | La mise en demeure (du latin mora, retard) est un moyen pour un créancier de constituer un débiteur en demeure, généralement en lui envoyant une lettre. La mise en demeure se distingue par rapport à la demeure de plein droit, qui a lieu automatiquement à la survenance d'un événement.
Droit par pays
Droit allemand
Une (mise en demeure) est, en droit allemand, une sommation formelle d'une personne à une autre, d'abandonner à l'avenir un comportement précis. En Allemagne, elle est expressément prévue dans le § 314 al. 2 BGB, comme condition de la résiliation pour justes motifs de contrats à durée indéterminée.
Droit américain
Une lettre de demande (anglais : letter of demand) est utilisée dans les pays de common law pour demander une restitution d'un montant ou l'exécution d'une obligation.
Une ordonnance de cessation et d’abstention () est un terme juridique américain. Il est employé pour demander à une personne ou une organisation de cesser de manière permanente de faire quelque chose.
Droit français
En droit français, le régime de la mise en demeure est inclus dans le code civil, dans le code monétaire et financier et dans le code des procédures civiles d'exécution (pour le recouvrement amiable des créances).
Les principaux articles concernés du code civil, dans sa version modifiée au , sont les 1231, 1231-5, 1344, 1344-1, 1344-2.
Une mise en demeure abusive peut engendrer la condamnation à des dommages-intérêts.
Droit québécois (Canada)
En droit québécois, les articles 1594 à 1600 du Code civil du Québec sont les principales dispositions concernant la constitution en demeure d'un débiteur.
Références
Voir aussi
Lien externe
Jurisprudence de la Cour de cassation
Procédure civile |
Mulhussey | Mulhussey (en irlandais, Maol Hosae, le sommet d'Hussey) est un townland et un village dans le comté de Meath, en Irlande.
Le village possède son école, son château et un cimetière tout proche, une chapelle (appelée la petite chapelle), en bordure de la paroisse de Kilcock et une source patrimoniale religieuse, St Bridgid's Well, située à Calgath, près de Mulhussey.
Histoire
Les premiers habitants de Mulhussey furent les Husseys, une noble famille normande, au .
Le seigneur de Trim envoya à l'époque les Husseys dans une zone à l'extérieur de Maynooth qui était très importante, en raison du grand château normand, propriété des Fitzgerald du Comté de Kildare.
Une maison-tour et un manoir devaient être construits et habités par les Hussey pour s'occuper du terrain et le protéger au bénéfice de la famille De Lacy de Trim.
La légende raconte que vers la fin du , le dernier habitant de la maison-tour et du manoir « ou château de Mulhussey » comme on l'appelle aujourd'hui, était une femme chauve. La traduction littérale de Maol Hosae est « Sommet de Hussey », mais le folklore fournit une deuxième traduction. Combinant le mot irlandais pour chauve et le nom irlandais pour Hussey (« Maol et Hosae»), la terre protégée par la famille Hussey s'appelait Maol Hosae, anglicisée en Mulhussey.
Géographie
Mulhussey est situé tout au sud du comté de Meath dans la paroisse de Kilcloon, avec les villes voisines de Jenkinstown, Longtown, Kimmins Mill, Pagestown, Kilclone, Collistown et Rodanstown. An Post livre le courrier aux habitants de Mulhussey depuis le bureau de poste de Kilcock à Kildare, ce qui porte certaines personnes à croire que Mulhussey se trouve dans le comté de Kildare, mais c'est uniquement pour des raisons d'affranchissement.
Les villes et villages les plus proches de Mulhussey sont Kilcock et Maynooth, respectivement à au sud, Dunboyne à à l'est, Sumerhill à au nord et Dunshaughlin à au nord.
Un affluent de la rivière Tolka traverse les banlieues de Muhussey et de Kilclone.
Sports
Les habitants de Mulhussey peuvent rejoindre le club local, les Blackhall Gaels GAA de la Gaelic Athletic Association.
Les terrains d'entraînement sont situés à Pagestown et Batterstown - tous deux avec des clubs et des salles de sport modernes.
Le club comprend des équipes en football gaélique masculin et féminin, avec aussi la pratique du hurling et du camogie.
Développement
La région de Mulhussey a connu un déclin de sa population depuis 1991. Les relevés de recensement du Central Statistics Office indiquent qu'en 1991, le secteur de recensement de Kilcloon comptait , descendu à 309 en 2002, en 2016, la population était de 280 habitants.
Le château de Mulhussey, ou donjon, se dresse encore aujourd'hui sur la route de Kilcock. La Mulhussey Graveyard Restoration Society a entrepris des travaux de restauration du cimetière de Mulhussey à côté du château.
L'école nationale St Joseph à Mulhussey (située sur la route de Summerhill) a été créée en 1964, elle comptait 74 élèves en 2013, passant à 81 au début de 2020.
Voir aussi
List of towns and villages in Ireland
Références
Localité dans le comté de Meath |
Norma Torres | Norma Torres, née le à Escuintla au Guatemala, est une femme politique américaine, maire de la ville de Pomona (Californie) de 2006 à 2008 et représentante démocrate à la Chambre des représentants des États-Unis depuis 2015.
Origines et famille
Norma Torres est née Norma Barillas le dans la ferme familiale d'El Salto, au Guatemala, dans la région d'Escuintla. Elle émigre aux États-Unis à l'âge de 5 ans, ses parents lui faisant croire qu'elle partait simplement en vacances. Arrivée en Californie, elle vit alors chez son oncle à Whittier. Elle acquiert la nationalité américaine en 1992.
Elle se marie à un chicano, Luis Torres, avec qui elle a trois garçons.
Carrière professionnelle
Norma Barillas devient dans un premier temps membre d'une équipe de nuit du service de secours de Los Angeles comme ambulancière et éducatrice dans la communauté hispanique, et participe comme volontaire à divers programmes sociaux luttant contre le suicide ou la prostitution.
Carrière politique
Élue de Pomona
Elle décide de s'engager politiquement en participant aux élections municipales de sa ville de Pomona en 2000, auxquelles elle est élue conseillère municipale à une large majorité. De 2006 à 2008, elle est maire de la ville.
Torres fit des conditions de vie et l'esthétique de la ville ses priorités. Ses premières mesures furent d'entreprendre des rénovations visant à la réhabilitation des quartiers défavorisés de Pomona.
Elle instaura ensuite le « Most Beautiful Yard Contest », un concours récompensant les citoyens propriétaires des jardins les mieux entretenus.
Ensuite, elle prit des mesures en faveur de la jeunesse (très importante dans cette ville) :
après quelques rencontres à la mairie avec des urbanistes et des représentants de la jeunesse de la ville, elle fit construire un skate park ainsi qu'un Teen Center (équivalent d'une grande MJC) ;
elle développa aussi les transports en commun de la ville permettant aux étudiants dont l'école se trouve à Los Angeles d'y voyager plus rapidement avec des horaires plus réguliers. Cette mesure concerna aussi les voyages extra-scolaires.
La lutte contre la délinquance et la préservation des services de Pomona sont aussi des aspects majeurs de sa politique :
elle instaura une politique de répression envers les délinquants sexuels ainsi qu'envers les violents membres de gangs. Elle opta, toutefois, pour une politique de prévention concernant les membres moins influents ainsi que les jeunes des quartiers pauvres de Pomona, confrontés au gangstérisme ;
elle lutta pour le maintien de la Police et des Pompiers dans sa ville alors qu'un projet gouvernemental les mettaient en péril.
Élue de Californie
Elle siège à l'Assemblée de l'État de Californie de 2008 à 2013. Elle y représente le .
En , à l'occasion d'une élection partielle, elle est élue au Sénat de l'État de Californie. La sénatrice sortante du sénatorial, Gloria Negrete McLeod, avait démissionné en raison de son élection à la Chambre des représentants des États-Unis. Dans un district acquis aux démocrates, Torres remporte 59,4 % des voix contre le maire républicain d'Ontario, Paul Leon.
Représentante des États-Unis
Lors des élections de 2014, elle se présente à la succession de Gloria Negrete McLeod à Chambre des représentants des États-Unis, dans le de Californie. Le district recouvre les villes d'Ontario, Pomona et Rialto. En juin, elle remporte la primaire avec près de deux tiers des voix. En , elle est élue avec 63,5 % des voix face à une autre démocrate, Christina Gagnier.
Notes et références
Voir aussi
Article connexe
Liste des représentants de Californie
Liens externes
Site officiel de Norma Torres
Site officiel de la ville de Pomona
Naissance en avril 1965
Femme politique de Californie
Personnalité du Parti démocrate en Californie
Représentante des États-Unis
Personnalité américaine née d'un parent guatémaltèque |
Dorothy Christy | Dorothea J. Seltzer — née le à Reading (Pennsylvanie), morte le à Santa Monica (Californie) — est une actrice américaine, connue comme Dorothy Christy (du nom de son premier mari).
Biographie
Au cinéma, Dorothy Christy contribue à une centaine de films américains, depuis le court métrage C'est ma femme de Lloyd French (1929, avec Laurel et Hardy) jusqu'à Mon grand de Robert Wise (1953, avec Jane Wyman et Sterling Hayden), après lequel elle se retire définitivement.
Entretemps, citons Buster se marie d'Edward Sedgwick (1931, avec Buster Keaton et Edward Sedgwick), Les Compagnons de la nouba de William A. Seiter (1933, avec Laurel et Hardy) et Junior Miss de George Seaton (1945, avec Peggy Ann Garner et Allyn Joslyn).
Filmographie partielle
1929 : C'est ma femme (That's My Wife) de Lloyd French (court métrage)
1930 : Extravagance de Phil Rosen : Esther Hamilton
1930 : Playboy of Paris de Ludwig Berger : Bérengère
1931 : The Devil Plays de Richard Thorpe : Dolores Quincy
1931 : King of the Wild de B. Reeves Eason et Richard Thorpe (serial) : LaSalle
1931 : Buster se marie (Parlor, Bedroom and Bath) d'Edward Sedgwick : Angelica Embrey
1931 : Grief Street de Richard Thorpe : Alvin Merle / Ethel Wynn
1931 : de Lloyd Bacon : Mabel Guthrie
1932 : Forbidden Company de Richard Thorpe : Louelle Fenwick
1932 : Le Démon du sous-marin (Devil and the Deep) de Marion Gering : Crimp
1932 : Slightly Married de Richard Thorpe : Marjorie
1933 : Une nuit seulement (Only Yesterday) de John M. Stahl : Rena
1933 : Les Compagnons de la nouba (Sons of the Desert) de William A. Seiter : Betty Laurel
1934 : La Fine Équipe () de Lloyd Bacon : Mabel St. Clair
1934 : Shirley aviatrice (Bright Eyes) de David Butler : Anita Smythe
1934 : Entrée de service (Servant's Entrance) de Frank Lloyd : Knut Johnson
1934 : Kiss and Make-Up d'Harlan Thompson et Jean Negulesco : Greta
1935 : L'Empire des fantômes (The Phantom Empire) d'Otto Brower et B. Reeves Eason (serial) : la reine Tika
1935 : The Daring Young Man de William A. Seiter : Helen Kay
1937 : Le Dernier Négrier (Slave Ship) de Tay Garnett : la blonde
1937 : Le Couple invisible (Topper) de Norman Z. McLeod : une infirmière
1938 : Patrouille en mer (Submarine Patrol) de John Ford : l'amie de McPeek
1942 : The Affairs of Jimmy Valentine de Bernard Vorhaus : Updyke
1944 : Cowboy and the Senorita de Joseph Kane : Lulubelle
1945 : Junior Miss de George Seaton : Cummings
1945 : La Belle de San Francisco (Flame of Barbary Coast) de Joseph Kane : la mère Bronson
1946 : Deux nigauds vendeurs (Little Giant) de William A. Seiter : l'épouse de Jim
1947 : L'Infidèle (The Unfaithful) de Vincent Sherman : Freedley
1947 : Scared to Death de Christy Cabanne : Williams
1947 : Le Miracle sur la (Miracle on 34th Street) de George Seaton : une secrétaire
1949 : Le Rebelle (The Fountainhead) de King Vidor : une femme de la société
1953 : Mon grand (So Big) de Robert Wise : la veuve Paarlenberg
Galerie photos
Liens externes
Actrice américaine de cinéma
Naissance en mai 1906
Naissance à Reading (Pennsylvanie)
Décès en mai 1977
Décès à 70 ans
Décès à Santa Monica
Article dont des informations diffèrent sur Wikidata |
World Be Gone | World Be Gone est le titre du album studio original du groupe britannique Erasure, sorti le au Royaume-Uni.
Il s'agit d'un album de 10 plages sorti sous quatre formats différents : en version dématérialisée à télécharger, en CD simple, en vinyle classique, en vinyle orange et en cassette. L'album est auto-produit par Erasure et mixé par Matty Green.
Initialement envisagé comme une suite à l'album atmosphérique Erasure de 1995, World Be Gone s'orientera finalement vers des balades plus conventionnelles et place surtout en avant la voix du chanteur Andy Bell (assurant lui-même les chœurs) accompagnée des arrangements, plutôt discrets, de Vince Clarke.
Pour la première fois depuis longtemps dans un album d'Erasure, les paroles des chansons lancent quelques invectives à l'encontre du contexte politique de l'époque : le , le traitement des migrants, l'arrivée au pouvoir et la politique extérieure de Donald Trump.
Peinture réalisée par l'artiste britannique Louise Hendy (directrice artistique de l'entreprise Blue Ink Creative), la pochette de l'album représente la figure de proue d'un navire dans la tourmente d'une mer tempétueuse. Le mât brisé, ainsi que l'ampleur des vagues, laisse présumer que le reste du bateau est déjà submergé et en train de sombrer. Néanmoins, tourné vers un coin de ciel lumineux, le visage féminin en tête de proue apporte une lueur d'espoir dans ce naufrage apocalyptique. L'ensemble du tableau résume le propos des quelques chansons politiques de l'album : un constat pessimiste sur l'état actuel du monde, avec malgré tout quelques raisons d'espérer encore.
Les personnes qui avaient pré-commandé cet album avant l'échéance du , ont pu voir leur nom figurer parmi les crédits du livret de l'album, listant en très petits caractères des milliers de noms de fans sur 16 des 22 pages que compte ce livret.
À l'instar des précédents albums d'Erasure des années 2010, les classements honorables de la semaine de sortie du disque au Royaume-Uni (), en Suède () ou en Allemagne () ne furent pas transformés en succès populaires les semaines suivantes ; ce qui fait que l'audience de l'album World Be Gone restera confinée aux fans habituels du groupe qui, généralement, achètent lors de la semaine de sortie. Quoiqu'à un niveau très modeste (), on notera la réapparition d'Erasure dans le classement des meilleures ventes d'albums en Suisse, pour la première fois depuis 1994.
Le , Erasure sort World Beyond un album de réenregistrement complet des chansons de World Be Gone par Andy Bell accompagné d'une formation de musiciens classiques, le groupe belge Echo Collective. Ainsi, World Beyond reproduit à la fois la démarche orchestrale de The Two-Ring Circus (1987) et celle des versions acoustiques de Union Street (2006).
Classement parmi les ventes d'albums
Liste des plages
Love You to the Sky
Be Careful What You Wish For!
World Be Gone
A Bitter Parting
Still it's not Over
Take Me out of Myself
Sweet Summer Loving
Oh What a World
Lousy Sum of Nothing
Just a Little Love
Notes et références
Album d'Erasure
Album publié par Mute Records
Album musical sorti en 2017 |
Galactocérébroside | Un galactocérébroside, ou galactosylcéramide, est un cérébroside constitué d'une unité céramide liée à un résidu galactose. Ce galactose peut être clivé par la galactosylcéramidase ().
Les galactocérébrosides sont un marqueur pour les oligodendrocytes du cerveau, qu'ils produisent ou non de la myéline.
Références
Sphingolipide
Glycolipide |
Organiste louis-d'or | L'Organiste louis-d'or (Euphonia musica) est une espèce d'oiseaux de la famille des Fringillidae.
Sous-espèces
Cet oiseau est représenté par 3 sous-espèces :
Euphonia musica musica — Hispaniola ;
Euphonia musica sclateri — Puerto Rico ;
Euphonia musica flavifrons — Petites Antilles.
Liens externes
Fringillidae |
Aéroport international de Trivandrum | L'aéroport international de Trivandrum est situé à au sud de Thiruvananthapuram. Cet aéroport est l'un des plus importants du Kerala, le huitième de l'Inde.
Usage
L'aéroport de Trivandrum est aussi utilisé par la Force aérienne indienne et les garde-côtes.
Situation
Statistiques
Compagnies aériennes
Passagers
Édité le 19/04/2019
Cargo
Projet
Galerie
Lien externe
Notes et références
Trivandrum
Trivandrum
Thiruvananthapuram |
Rue Paganini | La rue Paganini est une voie du de Paris, en France.
Situation et accès
La rue Paganini est une voie publique située dans le de Paris. Elle débute au 46, boulevard Davout et se termine rue Maryse-Hilsz.
Origine du nom
Cette voie publique porte le nom de Niccolò Paganini, un violoniste altiste, guitariste et compositeur italien, né à Gênes (république de Gênes) le , et mort à Nice (royaume de Sardaigne) le .
Historique
Cette voie publique a été ouverte sous sa dénomination actuelle par la ville de Paris par un arrêté du sur l'emplacement du bastion de l’enceinte de Thiers.
Elle était jadis connectée à l'actuelle rue de la République à Montreuil, connexion qui fut interrompue par l'aménagement du boulevard périphérique de Paris. Sur son ancienne emprise se situe de nos jours le stade du centre sportif Maryse Hilsz.
Références
Annexes
Articles connexes
Liste des voies du 20e arrondissement de Paris
Liens externes
.
Paganini
Niccolò Paganini
Paganini |
Recueil d'Arras | Le Recueil d'Arras est le titre donné à un manuscrit conservé à la bibliothèque municipale d'Arras et contenant une collection de portraits dessinés dans le troisième quart du .
Présentation
Le manuscrit (ms. 944.2) de la bibliothèque municipale d'Arras est un manuscrit en papier de 41 cm de haut et de 28 cm de large contenant 293 feuillets reliés au parchemin. Sur 289 de ces feuillets, on a collé des portraits de personnages célèbres, réalisés à la sanguine (128/289), à la mine de plomb (147/289), aux deux crayons ou à la sanguine et à l'encre. Neuf de ces portraits ont disparu, non sans laisser une empreinte (estampage), souvent assez lisible, sur la page d'en face. Ce dernier détail révèle d'ailleurs que l'ordre de certains feuillets a été modifié.
Les tables et les inscriptions de la plupart des portraits sont rédigées dans une écriture cursive gothique du , qui semble être de trois mains différentes. Une quatrième écriture, datable du , se retrouve sur certains feuillets.
Recopiés d'après des tableaux (quelquefois avec des indications de couleurs), dessins, gravures, monuments funéraires ou vitraux, ces portraits présentent un grand intérêt pour les historiens et historiens de l'art. Dans la plupart des cas, ils témoignent d’œuvres perdues, à quelques exceptions notables, comme le portait de Baudouin de Lannoy, copie directe du tableau de Van Eyck.
Si les personnages représentés dans cet album appartiennent surtout à la noblesse du Nord de l'Europe ou à l’Église, on trouve aussi quelques autres célébrités du Moyen Âge tardif et de la première moitié du , dont plusieurs peintres et écrivains. Parmi les nobles, une grande part des portraits concerne des chevaliers de l'ordre de la Toison d'or et des membres des grandes familles du Hainaut.
Ces deux derniers points appuient l'attribution de la majorité des dessins du recueil à l'artiste hainuyer Jacques Le Boucq, actif à Valenciennes entre 1548 et 1573, roi d'armes de la Toison d'or en 1559-1560 et auteur d'un manuscrit sur les fêtes et chapitres de cet ordre. Le Boucq pourrait avoir constitué ce corpus en tant que livre de modèles, pour son propre usage.
Il est possible que le manuscrit ait ensuite été déplacé de Valenciennes à Arras, peut-être par Dom Lepez, religieux érudit de l'abbaye Saint-Vaast au début du . La bibliothèque d'Arras l'a acquis entre 1826 et 1839.
Publié intégralement pour la première fois en 2007, le manuscrit a été numérisé et mis en ligne en .
Liste des portraits
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
Henri Bouchot, Les Portraits aux crayons des s conservés à la Bibliothèque nationale, 1525-1646, Paris, 1884, (consultable en ligne sur Gallica).
Lorne Campbell, « The Authorship of the Recueil d'Arras », Journal of the Warburg and Courtauld Institutes, vol. 40, 1977, .
.
Louis Quarré-Reybourbon, Trois recueils de portraits aux crayons ou à la plume représentant des souverains et des personnages de la France et des Pays-Bas, Lille, 1900, (consultable en ligne sur Gallica).
Liens externes
Numérisation intégrale du Recueil d'Arras consultable en ligne dans la Bibliothèque virtuelle des manuscrits médiévaux (BVMM).
Présentation du recueil sur le site de l'IRHT (consulté le ).
Manuscrit du XVIe siècle
Dessin de la Renaissance
Arras |
Liste des écoles d'art aux Pays-Bas | Cette liste d'écoles d'art aux Pays-Bas n'est pas exhaustive et est avant tout informative.
Voir aussi
Articles connexes
Liste des écoles d'art en Belgique
Liste des écoles d'art en France
Liste des écoles d'art en Italie
Liste des écoles d'art en Suisse
Pays-Bas
Ecoles d'art |
Avonmouth | est une ville portuaire située dans la banlieue de Bristol, au sud-ouest de l'Angleterre. Elle tient son nom de sa position à la confluence de la rivière Avon dans la Severn. En 2011, sa population était de .
Source de la traduction
Ville portuaire en Angleterre
Bristol |
Le Diable par la queue | Le Diable par la queue est un film franco-italien sorti en 1969 et réalisé par Philippe de Broca.
Synopsis
Dans un château délabré du , propriété d'une famille de nobles désargentés, on attire les touristes avec la complicité du garagiste local. Jusqu'au jour où arrivent un séduisant gangster et ses deux complices qui transportent le butin de leur dernier méfait. La famille de châtelains n'a aucunement l'intention de laisser passer une pareille aubaine et le gangster est-il vraiment si pressé de partir.
Fiche technique
Réalisation : Philippe de Broca
assistant réalisateur : Claude Miller
Scénario : Daniel Boulanger et Philippe de Broca (non crédité)
Adaptation et dialogues : Daniel Boulanger et Claude Sautet
Décors : Dominique André
Costumes : Jacques Fonteray
Photographie : Jean Penzer
Son : Jean Labussière
Montage : Françoise Javet
Musique : Georges Delerue
Scripte : Suzanne Durrenberger
Production : Michelle de Broca, Philippe de Broca et Alberto Grimaldi
Sociétés de production :
Les Productions Artistes Associés, Fildebroc Productions
Produzioni Europee Associati, Produzioni Associate Delphos
Sociétés de distribution : United Artists (France), Lopert Pictures Corporation (USA)
Pays d'origine : ,
Langue originale : français
Format : couleur (Eastmancolor) — 35 mm — 1,37:1 — son Mono
Genre : comédie
Durée : 98 minutes
Date de sortie : France :
Distribution
Madeleine Renaud : la marquise de Coustines
Jean Rochefort : Georges, comte de Coustines
Maria Schell : Diane, comtesse de Coustines
Marthe Keller : Amélie, baronne de Coustines
Clotilde Joano : la comtesse Jeanne, la cousine pianiste
Xavier Gélin : Charly, le petit garagiste
Claude Piéplu : Monsieur Patin, le client assidu
Jean-Pierre Marielle : Jean-Jacques Leroy-Martin, le "play-boy"
Tanya Lopert : Cookie, la minette
Yves Montand : le "baron" César Maricorne
Jacques Balutin : Max, un gangster
Pierre Tornade : Schwartz, un gangster
Janine Berdin : Madame Passereau
Charles Mallet : le commissaire
Non crédités
Eddy Roos : Monsieur Passereau
Michèle Moyenin : une passante à la recherche du baron César
Philippe de Broca : un touriste suédois
Nadine Alari : doublage de la voix de Marthe Keller sur certaines scènes
Autour du film
L'atmosphère de ce film tient à la période du tournage (été 1968), au lieu de tournage (le château de Fléchères dans le département de l'Ain), à la musique de Georges Delerue, à la distribution, mais aussi au fait que le réalisateur venait juste de rencontrer Marthe Keller, qui traverse le film en minijupe et pieds nus.
Plusieurs thèmes musicaux accompagnent l'histoire. Le plus connu, le "thème de Jeanne", apporte une sérénité au récit, mais également une mélancolie particulière. Cette comédie alterne en effet les scènes burlesques rappelant le théâtre de boulevard, et des instants plus graves et poétiques. Le "thème de César", plus dansant, est également adapté pour la scène de la messe en un kyrie grégorien. Lors de cette même scène, on peut également entendre le adoro te devote de Saint Thomas d'Aquin.
Liens externes
Film français sorti en 1969
Film italien sorti en 1969
Comédie française
Comédie italienne
Film réalisé par Philippe de Broca
Film scénarisé par Daniel Boulanger
Film avec une musique composée par Georges Delerue
Film tourné dans l'Ain
Film distribué par United Artists
Film en français
Film italien tourné en français
Film se déroulant dans un château |
Bemidji | Bemidji (en anglais ) est une ville américaine, siège du comté de Beltrami, dans le Minnesota. La population de la ville était en 2010 de . Bemidji se trouve au sud-ouest du lac Bemidji, point le plus au nord du Mississippi. Le nom de la ville provient du mot ojibwé « Bay-may-ji-ga-maug », ce qui signifie « le lac qui traverse une autre surface aquatique ».
Etymologie
Son nom dérive de la langue amérindienne ojibwé Buh-mid-ji-ga-maug (orthographe à double voyelle : bemijigamaag), qui signifie "un lac aux eaux qui se croisent". À l'occasion, en Ojibwe, la ville de Bemidji s'appelle Wabigamaang ("au niveau du chenal du lac / de l'étroit"), car une partie de la ville est située sur le détroit entre le lac Bemidji et le lac Irving, au sud du lac Bemidji, et s'étend sur la rive est du lac Irving. Certaines sources attribuent également ce nom au chef Bemidji, un chef ojibwé.
Démographie
En 2010, la population amérindienne est largement composée d'Ojibwés.
Selon l', pour la période 2011-2015, 96,14 % de la population âgée de plus de déclare parler anglais à la maison, alors que 2,00 % déclare parler l'ojibwé, 0,63 % l'allemand et 1,23 % une autre langue.
Transports
Bemidji possède un aéroport (Bemidji-Beltrami County Airport, code AITA : BJI).
Le Nymore Bridge, pont piéton et cycliste sur le Mississippi, est inscrit au Registre national des lieux historiques.
Personnalités liées à la ville
Jane Russell, actrice, est née à Bemidji ;
Pete Fenson, joueur de curling, est né à Bemidji.
Dans la culture populaire
L'intrigue de la série télévisée Fargo, notamment lors de la , se déroule en partie à Bemidji.
Source
Liens externes
Ville au Minnesota
Comté de Beltrami
Siège de comté au Minnesota
Ville universitaire aux États-Unis |
Lesula | Le Lesula (Cercopithecus lomamiensis) est une espèce de cercopithèques découverte en République démocratique du Congo en 2007 et dont l'existence a été confirmée en 2012. Son nom spécifique vient de la rivière Lomami, un affluent du Congo.
Répartition et habitat
Le Lesula est endémique de la République démocratique du Congo. Il vit dans la forêt tropicale humide de basse altitude. Son aire de répartition, d'environ , est délimitée par les rivières Tshuapa et Lomami. Ces barrières biogéographiques ont pu contribuer à l'isolation et la spéciation du Lesula.
Répartition
Ce primate se nourrit principalement de feuilles, fruits et fleurs des plantes de la famille des Marantacées.
Publication originale
Notes et références
Liens externes
Cercopithecidae
Faune endémique de la république démocratique du Congo |
Mahanama d'Anuradhapura | Mahanama est un roi du Royaume d'Anuradhapura, dans l'actuel Sri Lanka.
Biographie
Références
Source historique
Culavamsa, récits en pali de l'histoire du Sri Lanka du à la chute du Royaume de Kandy en .
Roi du Sri Lanka |
1944 chez Disney |
Événements
Janvier
, Sortie du court métrage Le Pélican et la Bécasse (The Pelican and the Snipe)
Février
, Sortie du Donald Duck Donald joue du trombone
Mars
, Sortie du Dingo Le Golf (How to Play Golf)
, Sortie du Donald Duck Donald et le Gorille
Avril
, Sortie du Donald Duck L'Œuf du condor géant
Mai
Juin
, Sortie du Pluto Le Printemps de Pluto
Juillet
Août
Septembre
, Sortie du Donald Duck Inventions nouvelles (The Plastics Inventor)
, Sortie du Dingo Dingo joue au football (How to Play Football)
, Sortie du Pluto Premiers Secours
Octobre
Novembre
Décembre
, Sortie du Donald Duck Donald est de sortie
, Première mondiale du film Les Trois Caballeros au Mexique
Références
Chronologie Disney
1944 |
Branko Damljanović | Branko Damljanović est un joueur d'échecs serbe né le à Novi Sad. Grand maître international depuis 1989, il a remporté le championnat d'échecs de Yougoslavie en 1991 et 2001 et le championnat de Serbie en 2006 (après un match de départage). Il a fini deuxième du championnat yougoslave en 1989 et remporté les tournois de Belgrade en 1992 (tournoi k.o.), 1995 et 2000 (mémorial Novak Nikolic). Il s'est qualifié pour le tournoi interzonal de Manille en 1990.
Au décembre 2014, Branko Damljanović est le cinquième joueur serbe avec un classement Elo de 2 562.
Compétitions par équipe
Damljanović a représenté la Yougoslavie ou la Serbie lors de sept olympiades de 1990 à 2004. Il termina cinquième de l'olympiade d'échecs de 1990.
Lors du championnat du monde d'échecs par équipe de 1989, l'équipe de Yougoslavie finit deuxième.
Lors du championnat d'Europe d'échecs des nations 2013 à Varsovie, il marqua 5 points sur 7 et remporta la médaille d'argent individuelle au troisième échiquier de la Serbie.
Notes et références
Bibliographie
Naissance en juin 1961
Naissance à Novi Sad
Joueur d'échecs serbe
Joueur d'échecs yougoslave
Grand maître international |
Alexandre le Grand (film) | Le film Alexandre le Grand peut renvoyer à plusieurs films dont :
Alexandre le Grand de Robert Rossen sorti en 1956 ;
Alexandre le Grand de Nestora Matsa sorti en 1977 ;
Alexandre le Grand de Theo Angelopoulos sorti en 1980.
Voir aussi |
The Lost Bladesman | The Lost Bladesman (, Guan yun chang) est un film hongkongais réalisé par Alan Mak et Felix Chong, sorti en 2011.
Le film, intrerprété notamment par Donnie Yen décrit la vie du général Guan Yu selon le Roman des Trois Royaumes.
Synopsis
Dernières années de la dynastie Han. Afin d'unifier le pays, le général Cao Cao, véritable détenteur du pouvoir derrière l'Empereur, décide d'enrôler le plus fort des guerriers, Guan Yu. Mais ce dernier est loyal ami de l'ennemi juré de Cao Cao : le chef militaire Liu Bei. Afin de forcer Guan Yu à le rejoindre, Cao Cao projette d'enlever Qi Lan, la concubine de Liu Bei, dont Guan Yu est secrètement amoureux. Après avoir mené les forces de Cao Cao vers la victoire, Guan Yu retrouve Qi Lan. Mais Cao Cao considère désormais Guan Yu comme une menace et envoie son armée pour l'anéantir.
Fiche technique
Titre international : The Lost Bladesman
Titre en chinois Traditionnel : 關雲長
Titre en chinois Simplifié : 关云长
Titre en Pinyin : Guān Yúncháng
Musique : Henry Lai
Producteur : Leung Ting
Distribution initiale en salles : Edko Films, Easternlight Films
Langue : Chinoise
Date de sortie :
Distribution
Donnie Yen : Guan Yu (關羽), général chinois de la fin de la dynastie Han et du début de la période des Trois Royaumes
Jiang Wen : Cao Cao (曹操), Premier ministre du dernier empereur de la dynastie Han
Alex Fong : Liu Bei (劉備), Il fonda avec l'aide du stratège Zhuge Liang le royaume de Shu dont il se proclama empereur en 221
Chin Siu-ho : Yan Liang (顏良), général de Yuan Shao, il est abattu durant la bataille de Guandu, par le général Guan Yu
Betty Sun : Qilan (綺蘭), concubine de Liu Bei et celle dont Guan Yu est secrètement amoureux
Andy On : Kong Xiu (孔秀), officier du Wei chargé de la Porte de Dong Ling
Shao Bing : Zhang Liao (張遼), un des officiers de Lü Bu, mais travaillant pour le seigneur Dong Zhuo, ami de Guan Yu
Calvin Li : Qin Qi (秦琪), archer qui tente de tuer Guan Yu dans la foret
Wang Po-chieh : Empereur Han Xiandi (漢獻帝), souverain nominal de la dynastie Han
Wang Xuebing : Wang Zhi (王植), officier responsable de Xingyang
Chen Hong : Lady Gan (甘夫人), première femme de Liu Bei
Zhao Ke : Lady Mi (糜夫人), deuxième femme de Liu Bei
Dong Yong : Xun You (荀攸), conseiller de Cao Cao
Nie Yuan : Han Fu (韓福), un forgeron à Luoyang, qui est un vieil ami de Guan Yu
Heizi : Meng Tan (孟坦), Frère d'arme de Han Fu
Yu Ailei : Bian Xi (卞喜), le général défendant la passe de Yishui
Sang Ping : Xu Chu (許褚), général sous Cao Cao
Zhou Bo : Pujing (普淨), un moine qui guérit Guan Yu
Liens externes
Film hongkongais sorti en 2011
Film biographique hongkongais
Film d'action hongkongais
Film dramatique hongkongais |
11e parallèle | Homonymie en géographie
Le est le parallèle joignant les points de la surface de la Terre dont la latitude est égale à 11 degrés :
le nord, dans l'hémisphère nord ;
le sud, dans l'hémisphère sud.
Lorsque l'expression « parallèle » est utilisée sans précision, l'hémisphère concerné dépend du contexte. |
Lee Ho | Lee Ho, né le 22 octobre 1984 à Hanja (Corée du Sud), est un footballeur sud-coréen. Il joue au poste de milieu de terrain avec l'équipe de Corée du Sud et le club du Ulsan Hyundai.
Carrière
Lee Ho commence sa carrière dans son pays natal au Ulsan Hyundai Horang'I avec lequel il décroche le titre de champion de Corée du Sud en 2005. L'année suivante, il est avec Kim Dong-Jin dans les valises de Dick Advocaat qui part au Zénith Saint-Pétersbourg. Les deux Sud-coréens débarquent en Russie où ils évoluent toujours. Le il remporte avec son club la Coupe de l'UEFA, bien qu'il n'ai pas disputé le match.
En équipe nationale
Il a eu sa première cape le 12 octobre 2005 à l'occasion d'un match contre l'équipe d'Iran.
Il participe à la coupe du monde 2006 avec l'équipe de Corée du Sud et y a joué trois matchs.
Palmarès
Coupe de l'UEFA :
Vainqueur : 2008 (Zénith Saint-Pétersbourg)
Supercoupe de l'UEFA :
Vainqueur : 2008 (Zénith Saint-Pétersbourg)
Ligue des champions de l'AFC :
Vainqueur : 2012 (Ulsan Hyundai)
Champion de Corée du Sud :
Champion: 2005 (Ulsan Hyundai)
Championnat de Russie :
Champion: 2007 (Zénith Saint-Pétersbourg)
Supercoupe de Russie :
Vainqueur : 2008 (Zénith Saint-Pétersbourg)
Liens externes
Footballeur international sud-coréen
Naissance en octobre 1984
Naissance à Séoul
Joueur de l'Ulsan Hyundai FC
Joueur du Zénith Saint-Pétersbourg
Joueur du Seongnam FC
Joueur d'Al-Aïn FC
Joueur de l'Omiya Ardija
Joueur du Sangju Sangmu FC
Joueur du Jeonbuk Hyundai Motors
Joueur du Muangthong United |
Gorytina | Gorytina est une sous-tribu d'hyménoptères de la famille des crabronidés. Elle comprend les genres suivants :
Afrogorytes
Allogorytes
Arigorytes
Aroliagorytes
Austrogorytes
†Biamogorytes
Eogorytes
Epigorytes
Gorytes (synonymes : Pseudoplisus, Leiogorytes)
Hapalomellinus
Harpactostigma
Harpactus
Hoplisoides
Lestiphorus
Leurogorytes
Liogorytes
Megistommum
Oryttus
Psammaecius
Psammaletes
Sagenista
Saygorytes
Stenogorytes (synonyme : Neoplisus)
Stethogorytes
Tretogorytes
Xerogorytes
Lien externe
Crabronidae |
Bourassa |
Patronyme
Carmen Bourassa (1942-2021), productrice de télévision québécoise ;
François Bourassa (1813-1898), homme politique québécois ;
François Bourassa (1959-), musicien québécois ;
Gustave Bourassa (1860-1904), secrétaire de l'Université Laval et prêtre ;
Henri Bourassa (1868-1952), homme politique québécois ;
Jocelyne Bourassa (1947-2021), golfeuse québécoise ;
Joseph Boutin Bourassa (1853-1943), homme politique canadien ;
Napoléon Bourassa (1827-1916), architecte québécois ;
Robert Bourassa (1933-1996), homme politique québécois, premier ministre du Québec de 1970 à 1976 et de 1985 à 1994.
Toponyme
Bourassa, circonscription électorale fédérale canadienne, formée en 1976, anciennement nommée Montréal-Bourassa ;
Bourassa, ancienne circonscription électorale provinciale du Québec ;
Bourassa-Sauvé, circonscription électorale provinciale du Québec formée en 2003 ;
Centrale Robert-Bourassa, centrale hydroélectrique située sur la Grande rivière au Québec, anciennement LG2 ;
Réservoir Robert-Bourassa, réservoir situé dans la région administrative du Nord-du-Québec ;
Autoroute Robert-Bourassa, anciennement autoroute du Vallon, à Québec.
Homonymie de patronyme |
Énergie en Ouzbékistan | Le secteur de l'énergie en Ouzbékistan est caractérisé par une consommation par habitant faible : environ 1,18 tep par an et par habitant, inférieure de 36 % à la moyenne mondiale. Ses gisements de charbon, pétrole et gaz naturel couvrent les besoins du pays, mais les exportations sont modestes. La production d'uranium de l'Ouzbékistan se classait en 2017 au mondial avec 4 % de la production mondiale.
La production d'électricité, qui couvre 15 % de la consommation finale d'énergie, repose surtout sur le gaz naturel (75 %) et l'hydroélectricité (20 %). Le gouvernement prévoit un développement important de l'énergie solaire et la construction d'une centrale nucléaire.
Production d'énergie fossile
Uzbekneftegaz est la compagnie pétrolière et gazière nationale.
Pétrole
Les réserves prouvées de pétrole de l'Ouzbékistan sont estimées par BP à fin 2018 (), soit 25 années de production au rythme de 2018. Ces réserves représentent seulement 0,03 % du total mondial.
En 2018, l'Ouzbékistan a produit (millions de tonnes) de pétrole, soit (milliers de barils par jour), en hausse de 5 % en 2018 mais en recul de 37 % depuis 2008. Cette production représente seulement 0,1 % de la production mondiale.
Le pays a consommé (millions de tonnes) de pétrole en 2018, soit (milliers de barils par jour), en recul de 4 % en 2018 et de 44 % depuis 2008. Cela représente 0,1 % de la consommation mondiale. L'Ouzbékistan consomme 81 % de sa production.
Gaz naturel
Les réserves prouvées de gaz naturel de l'Ouzbékistan sont estimées par BP à fin 2018 (), soit 21 années de production au rythme de 2018. Ces réserves représentent 0,6 % du total mondial.
En 2018, l'Ouzbékistan a produit de gaz naturel, soit (millions de tonnes équivalent pétrole), en progression de 6,1 % en 2018 mais en recul de 7 % depuis 2008. Cela représente 1,5 % de la production mondiale.
Le pays a consommé de gaz naturel en 2018, soit (millions de tonnes équivalent pétrole), en recul de 1,2 % en 2018 et de 3 % depuis 2008. Cette consommation représente 1,1 % de la consommation mondiale. Elle absorbe 75 % de la production du pays.
En 2018, les exportations de gaz naturel ouzbèkes par gazoduc ont atteint , soit 1,1 % des exportations mondiales. Ces exportations ont été destinées surtout à la Chine : , à la Russie : et au Kazakhstan : .
Le gazoduc d'Asie centrale - Chine est utilisé pour exporter vers la Chine le gaz ouzbèke ainsi que celui du Turkménistan.
Charbon
Les réserves prouvées récupérables de charbon de l'Ouzbékistan étaient estimées par BP à fin 2018, soit 125 ans de production au rythme de 2018. Ces réserves représentent 0,1 % du total mondial.
En 2018, la production de charbon de l'Ouzbékistan atteignait , soit 0,1 % du total mondial ; elle a reculé de 11 % en 2018 mais a triplé depuis 2008. Le pays consomme la totalité de sa production de charbon.
La mine d'Angren est une mine à ciel ouvert de charbon située dans la province de Tachkent.
Uranium
L'Ouzbékistan est au mondial pour ses réserves d'uranium : de réserves prouvées récupérables en 2017, soit 2 % des réserves mondiales, très loin derrière l'Australie (30 %) et le Kazakhstan (14 %).
Le Combinat minier et métallurgique de Navoï exploite ces gisements.
La production d'uranium de l'Ouzbékistan se classait en 2017 au mondial avec d'uranium, soit 4 % de la production mondiale, loin derrière le Kazakhstan ( d'uranium métal) et le Canada ( d'uranium métal).
Secteur aval
En 2018, les raffineries de l'Ouzbékistan ont produit (milliers de barils par jour) de produits pétroliers, en hausse de 19 % en 2018 mais en recul de 25 % depuis 2008. Cette production représente 0,1 % de la production mondiale.
Consommation d'énergie primaire
La consommation d'énergie primaire par habitant était en 2016 de , inférieure de 36 % à la moyenne mondiale () ; la France était à , la Russie à , les États-Unis à .
Secteur électrique
L'électricité représente 15,1 % de la consommation finale d'énergie du pays en 2016.
La consommation d'électricité du pays atteignait par habitant en 2016, inférieure de 48 % à la moyenne mondiale (/hab) et de 87 % à celle des États-Unis (/hab).
Production d'électricité
Centrales thermiques
La centrale thermique de Syrdarya (), construite de 1972 à 1981, a le gaz naturel pour combustible.
Hydroélectricité
Les centrales hydroélectriques de l'Ouzbékistan atteignent fin 2018 une puissance installée de et ont produit en 2018. UzbekHydroEnergo a des projets pour développer de nouvelles centrales et moderniser les centrales existantes, dont la plupart ont 30 à 80 ans.
Solaire photovoltaïque
Les capacités annuelles de l’énergie solaire en Ouzbékistan, avec plus de 320 jours d’ensoleillement par an, dépassent 51 milliards de tonnes d’équivalent pétrole (Mtep). Dès les années 1980, un centre de recherche expérimentale et de production, appelé « Physique du Soleil » a été construit non loin de Tachkent par l’Académie des sciences de la République d’Ouzbékistan, avec le four solaire de Parkent et une centrale solaire thermodynamique de , permettant d’assurer la production de matériaux purs destiné à l’industrie spatiale, de faire de la recherche et des essais thermiques. Début , l’Ouzbékistan a inauguré une centrale solaire de , la plus grande de toute la Communauté des États indépendants (CEI) ; elle a été construite avec l’aide de la compagnie émiratie Enesol pour fournir de l’électricité au gisement gazier et aux infrastructures de la compagnie russe Lukoil, implantée dans le district de Kandym, dans la région de Boukhara. La construction d’une centrale photovoltaïque de dans la région de Samarcande avait été actée en 2013 grâce à un crédit de la Banque asiatique de développement. Alors que cela devait être le projet phare de la réalisation de la stratégie gouvernementale en matière solaire, sa réalisation semble être toujours au point mort en 2018. Selon la « Stratégie de développement bas carbone de la République d’Ouzbékistan », les capacités des centrales solaires dans le pays devront atteindre d’ici 2030, ce qui assurera la production de d’énergie électrique.
Projet de centrale nucléaire
Le ministre de l’énergie ouzbek Alicher Soultanov annonce en que la future centrale nucléaire du pays sera construite près du lac Tuskan et sera dimensionnée pour accueillir 4 réacteurs. La première unité devrait sortir de terre en 2028, suivie par une seconde unité en 2030. La Russie et l’Ouzbékistan ont signé en 2018 un accord de partenariat dans le domaine du nucléaire civil et Rosatom a remporté le contrat contre les candidats américain, français et chinois. Les réacteurs de la future centrale seront des VVER-1200, réacteurs à eau pressurisée de troisième génération de .
Réseaux électriques
L'interconnexion avec le Tadjikistan a été restaurée en 2018, et le projet d'interconnexion CASA 1000 prévoit d'interconnecter le Kirghizistan, le Tadjikistan, l'Afghanistan et le Pakistan.
Émissions de gaz à effet de serre
Les émissions de liées à l'énergie en Ouzbékistan ont atteint en 2016, soit de par habitant (moyenne mondiale : ; États-Unis : ; Russie : ; France : ).
Références
BP Statistical Review of World Energy 2019 - édition, BP, et BP Statistical Review of world energy - all data, (séries plus longues : 1965-2018).
Autres références :
Voir aussi
Articles connexes
Économie de l'Ouzbékistan
Ressources et consommation énergétiques mondiales |
Cocke | Cocke est le patronyme de :
John Cocke, informaticien et chercheur américain
Emmanuel Cocke, romancier, journaliste et critique de cinéma montréalais d'origine française
Cocke est aussi le nom d'un comté du Tennessee : le Comté de Cocke. |
John Bloomfield (2e baron Bloomfield) | John Arthur Douglas Bloomfield, baron Bloomfield GCB PC DL ( - ) est un pair et diplomate britannique.
Biographie
Bloomfield est le fils aîné de Benjamin Bloomfield (1er baron Bloomfield) et de sa femme Hariott, la fille aînée de Thomas Douglas, de Grantham .
À partir de 1824, Bloomfield est attaché à Lisbonne et est transféré comme secrétaire de légation à Stuttgart l'année suivante . Il est envoyé à Stockholm en 1826 et devient secrétaire d'ambassade à Saint-Pétersbourg en 1839 . Cinq ans plus tard, il est promu émissaire . En 1846, il succède à son père comme baron et en 1848, il est fait compagnon de l'Ordre du Bain (CB) .
Bloomfield est nommé ambassadeur à Berlin en 1851 et à cette occasion est promu chevalier commandeur (KCB). En 1858, il est fait chevalier grand-croix (GCB) . Il atteint son plus haut poste d'ambassadeur à Vienne en 1860 et est admis au Conseil privé. Il représente la Grande-Bretagne à de nombreuses fonctions officielles, aide à organiser des conférences internationales et rassemble des informations sur l'Autriche-Hongrie, la Prusse et les petites nations voisines, envoyant des rapports quotidiens à Londres. Il soutient la politique britannique de non-implication et considère l'empereur comme essentiel à l'équilibre des pouvoirs et à la stabilité en Europe continentale . À sa retraite en 1871, il est créé baron Bloomfield, de Ciamaltha dans le comté de Tipperary, cette fois dans la pairie du Royaume-Uni, ce qui lui permet d'occuper un siège à la Chambre des lords . Il est lieutenant adjoint du comté de Tipperary .
Mariage et famille
Le 4 septembre 1845, Bloomfield épouse l'hon. Georgiana Liddell, et plus jeune enfant de Thomas Liddell (1er baron Ravensworth) et ancienne demoiselle d'honneur de la reine Victoria . Le couple n'a pas d'enfants. Lord Bloomfield a une fille illégitime nommée Thecla née en 1833 par l'actrice suédoise Emilie Högquist, et un fils Albert dont la date de naissance est inconnue. Albert n'est pas mentionné après qu'Emilie Högquist soit passée sous la protection du roi Oscar de Suède .
John Arthur Douglas, Lord Bloomfield est décédé sans héritier légitime en 1879 à son domicile, Ciamhaltha, près de Newport, dans le comté de Tipperary et ses titres se sont éteints . Il est enterré dans le caveau de sa famille à l'église paroissiale de Borrisnafarney, à côté de Loughton Demense et Moneygall, dans le comté d'Offaly. Un impressionnant mémorial existe dans l'église en sa mémoire.
Références
Liens externes
Membre du Conseil privé du Royaume-Uni
Chevalier grand-croix de l'ordre du Bain
Baron de la pairie du Royaume-Uni
Baron de la pairie d'Irlande
Ambassadeur du Royaume-Uni en Russie
Décès en août 1879
Naissance en novembre 1802 |
Georges Touroude | Georges Touroude (Thouars, - Royan, 2001) est un résistant et un romancier français.
Biographie
Fils unique d'une famille de cheminots, il passa sa jeunesse au Havre et fit ses études à l'École normale de Rouen et fut violoniste jusqu'à la guerre de 1939. Engagé politiquement dans les rangs communistes, il devint un ardent résistant, sous le nom du lieutenant Barthélemy, échappa plusieurs fois à la dénonciation et fut décoré à titre universitaire de l'Ordre national du Mérite.
Le terrible bombardement du Havre obligea sa famille à se replier sur La Rochelle où son père travailla jusqu'à sa retraite. C'est là qu'il connut Robert Chamboulan qu'il admirait beaucoup, car lui-même rêvait de journalisme et d'écriture, sa femme, Germaine Pelletan et leur fille aînée Gisèle, qu'il épousa à Royan le .
La famille Chamboulan était revenue dans son lieu d'origine, Robert était adjoint au maire et avait repris l'écriture de romans avec sa femme, Gisèle avait ouvert en 1946 l'école de musique Albert Roussel, Mireille, la , faisait des études musicales à Montry.
Il fit sa carrière d'instituteur dans la région puis à Royan jusqu'à sa retraite. Il abandonna le communisme mais, restant d'idées de gauche, milita pour toutes les causes humaines et fut membre de la Ligue des droits de l'homme jusqu'à sa mort où il termina comme président d'honneur et conférencier.
Son premier roman, Les Pavés de la haine, parle de la Commune de Paris (1871) et fut suivi de plusieurs autres. Ce fut surtout un historien éclairé et un conférencier recherché. Il créa, avec Paul Baquiast, l'Association des Amis d'Eugène et de Camille Pelletan (AECP), qui organisa deux colloques internationaux à Saint-Georges-de-Didonne en 1998 et en 1999 sur la période du Second Empire et de la Troisième République et leurs grandes figures.
Il mourut à Royan en 2001 à son domicile, entouré de sa famille.
Liens externes
Hommage à Georges Touroude sur le site de l'AECP
Résistant français
Écrivain français du XXe siècle
Chevalier de l'ordre national du Mérite
Personnalité de la Ligue française pour la défense des droits de l'homme et du citoyen
Naissance en septembre 1925
Naissance à Thouars
Décès en août 2001
Décès à Royan
Décès à 76 ans |
Festival du film francophone de Dinard | Le Festival du film francophone de Dinard, originellement dénommé Festival International du Film d'expression française, est un festival de cinéma d'expression française créé en 1969 à Dinard.
Bibliographie
Henry Fermin, Claude Lagrée, La belle époque de l'hôtel royal du grand casino, une histoire du cinéma à Dinard, Saint-Malo, Diazo, 2002.
Notes et références
Festival international de cinéma
Festival de cinéma disparu
Festival de cinéma en France |
Sasserotte | Sasserotte est un hameau de la commune belge de Theux située en Région wallonne dans la province de Liège. Avant la fusion des communes de 1977, le hameau faisait déjà partie de la commune de Theux.
Situation
Sasserotte se situe sur le versant nord et la rive droite de la Hoëgne à de Sassor, à du centre de Theux et à du château de Franchimont.
Description
Petit hameau ardennais assez concentré, Sasserotte est principalement composé de fermettes bâties en moellons de grès. Certaines sont toujours occupées par des exploitations agricoles.
Notes et références
Liens externes
Hameau ou lieu-dit dans la province de Liège
Theux |
Traryd | Traryd est une localité de Suède dans la commune de Markaryd située dans le comté de Kronoberg.
Sa population était de en 2019.
Notes et références
Localité dans le comté de Kronoberg |
Anna Beresneva | Anna Beresneva, née le 14 septembre 1987, est une handballeuse moldave.
Palmarès
En club
Vainqueur du Championnat de Biélorussie en 2008
Liens externes
Handballeuse moldave
Naissance en septembre 1987
Joueuse d'Angoulême Charente handball |
Charles Jean Harel | Charles Jean Harel, né le à Rouen et mort le à Paris, est un dramaturge, un journaliste et directeur de théâtre français.
Biographie
Auditeur au Conseil d’État dès l’âge de vingt ans, puis secrétaire de Cambacérès, il devint successivement membre de l’administration du contentieux, inspecteur général des Ponts et Chaussées, puis secrétaire général du conseil des substances.
Nommé sous-préfet avec les pouvoirs de préfet à Soissons en 1814, il se montra dans ses fonctions, pendant toute la durée du siège de cette ville contre les armées alliées, plein d’énergie et de dévouement et fut, au commencement des Cent-Jours, appelé, en récompense de ses services, à la préfecture du département des Landes, qu’il administra jusqu’au retour des Bourbons, époque à laquelle il se vit condamné à quitter pour plusieurs années le sol de la patrie.
Homme de beaucoup d’esprit et dont l’imagination était féconde en ressources, Harel songea, en digne neveu du dramaturge Luce de Lancival, à faire usage de sa plume, à son retour en France en 1820. Bientôt lancé dans la polémique d’actualité, il fonda un journal intitulé le Miroir. Il devint l’un des collaborateurs de la Minerve Française et dirigea Le Nain jaune.
À la Restauration, il obtint de Charles X le privilège du Théâtre de l'Odéon en 1829. Il le conserva jusqu’en 1831. Il se consacra ensuite à la direction du théâtre de la Porte-Saint-Martin du au . En 1837, il fait représenter à ce théâtre la Guerre des Servantes, drame en cinq actes et en prose, écrit en collaboration avec Théaulon et Alboize de Pujol où Mademoiselle George remplissait le principal rôle. Il composa seul deux autres pièces ayant pour titres Le Succès, comédie en deux actes et en prose, représentée à l’Odéon, le , les Grands et les petits, comédie en cinq actes et en prose, représentée au Théâtre-Français en 1843.
C’est à la Porte-Saint-Martin qu’Harel a monté les drames romantiques les plus retentissants : La Tour de Nesle, Lucrèce Borgia, Marie Tudor, Richard Darlington. C’est sous sa direction que George et Frédérick Lemaître connurent leurs plus beaux succès.
Harel avait connu Mademoiselle George à Bruxelles, alors qu’il y était réfugié comme proscrit, après Waterloo. Lorsque George y vint donner des représentations, il devint bientôt son amant et cette liaison dura jusqu’à sa mort. Causeur d’un esprit étincelant, il avait, comme directeur, des habiletés invraisemblables pour préparer le succès d’une pièce, pour emprunter de l’argent, pour faire patienter ses créanciers.
Il était également d’une saleté proverbiale. Dumas raconte dans ses Mémoires qu’il avait fini par installer dans son appartement à lui, dans la maison qu’habitait George, un cochon qu’il avait nommé Piaf-Piaf. Il avait pour ce cochon une tendresse incroyable et l’embrassait du matin au soir. Quand George et son entourage, Janin, Dumas et autres, décidèrent la mort de Piaf-Piaf, ils le firent égorger pendant une absence d’Harel. Celui-ci se montra d’abord inconsolable et se répandit en lamentations. Mais son appétit, qui était de premier ordre, finit par l’emporter et il mangea sans remords une partie des côtelettes et des boudins qu’on avait préparés avec les débris funèbres de Piaf-Piaf.
Un jour qu’il était, avec Frédérick Lemaitre, dans son cabinet directorial à la Porte-Saint-Martin, il reçut la visite du marquis de Custine, qui voulait faire représenter un drame. Harel obtient des sommes relativement élevées pour les décors, les costumes, se faisant faire des avances pour payer son personnel et ses créanciers. Voulant être joué à tout prix, le marquis de Custine consentit à tout. Enfin Harel ne trouva plus rien à demander, et le marquis ouvrait la porte pour se retirer lorsque Harel se précipite, et veut le remercier. Frédérick lui saisit alors le bras et le retint en lui disant avec cette voix et ce geste qui n’appartenaient qu’à lui : « Malheureux ! vous le laissez partir ! Et il a encore sa montre ! »
Les autres ouvrages de Harel sont La Féodalité comparée à la liberté, in-8°, Petit Almanach législatif, ou la Vérité en riant sur nos députés, Paris, 1820, in-12, avec Cauchois-Lemaire et Saint-Ange, Pièces officielles et inédites sur les affaires de Naples, Paris, 1820, in-8°, Dictionnaire théâtral ; ou, Douze cent trente-trois vérités sur les directeurs, régisseurs, acteurs, actrices et employés des divers théâtres ; confidences sur les procédés de l’illusion ; examen du vocabulaire dramatique coup d’œil sur le matériel et le moral des spectacles, Paris, 1824, in-12, Discours sur Voltaire qui lui valut un prix décerné par l’Académie française en 1844.
Harel mourut des suites d’une maladie de langueur. Ses obsèques eurent lieu le à Saint-Roch. Il repose au Père-Lachaise dans le caveau de Mademoiselle George, , chemin du Père Eternel. Il a laissé un fils, Louis-Marie, dit Tom Harel, né à Bordeaux, qui, après avoir été directeur de théâtre, puis attaché au chemin de fer du Nord, est mort à Paris, 32, rue Saint-Paul, le , à quatre-vingt-trois ans. On trouve de nombreuses anecdotes sur Harel dans les dix volumes des Mémoires d’Alexandre Dumas. Il avait écrit autrefois un éloge de Voltaire.
Publications
Dictionnaire théâtral ; ou, Douze cent trente-trois vérités sur les directeurs, régisseurs, acteurs, actrices et employés des divers théâtres ; confidences sur les procédés de l’illusion ; examen du vocabulaire dramatique coup d’œil sur le matériel et le moral des spectacles, Paris, J.-N. Barba, 1824.
Pièces officielles et inédites sur les affaires de Naples, précédées de réflexions, Paris, P. Mongie aîné, 1820.
Les Grands et les Petits : comédie en cinq actes et en prose, Paris, C. Marchant, 1843.
Discours sur Voltaire, qui a remporté le prix d’éloquence décerné par l’Académie française, , Paris, F. Didot frères, 1844.
La Féodalité comparée à la liberté, Paris, L’Huillier, 1818.
Le Succès, comédie en 2 actes, en prose, Paris, Marchant, 1843.
Notes
Sources
Théodore-Éloi Lebreton, Biographie rouennaise, Rouen, Le Brument, 1865, 179-80
Mémoires inédits de mademoiselle George, éd. Paul Arthur Chéramy, Paris, Plon-Nourrit et , 1908, 286-7.
Liens externes
Acteur français de théâtre
Dramaturge français du XIXe siècle
Dramaturge normand
Journaliste français du XIXe siècle
Sous-préfet
Naissance en novembre 1790
Naissance à Rouen
Naissance dans la province de Normandie
Décès en août 1846
Décès à Paris
Décès à 55 ans
Personnalité inhumée au cimetière du Père-Lachaise (division 9) |
Nombre remarquable | En mathématiques, certains nombres se distinguent des autres, jouent un rôle clef, ou apparaissent curieusement dans beaucoup de formules. Ces nombres, considérés comme importants, sont appelés nombres remarquables et portent un nom, qui est parfois celui d'un mathématicien, d'une figure géométrique... Certains les appellent des constantes mathématiques, bien que constante ne corresponde pas en mathématiques à une quantité ou un nombre, mais à une fonction constante. Il faut donc interpréter une constante mathématique comme un nombre particulier.
Beaucoup de nombres en mathématiques ont une signification particulière et apparaissent dans différents contextes. Par exemple, dans le théorème suivant :
il existe une unique fonction holomorphe telle que
Le nombre est alors e le nombre exponentiel de un. De plus est une fonction périodique, de période , un autre nombre remarquable.
Les nombres remarquables sont typiquement des éléments du corps des nombres réels ou des complexes. En tous cas, ces nombres particuliers sont toujours définissables, et ceux existant actuellement ont une (ou plusieurs) définition rigoureuse. D'autre part, ils sont presque toujours calculables. Mais il existe des nombres remarquables pour lesquels seules des valeurs approchées grossières sont connues.
Certains nombres réels remarquables, peuvent être classés en fonction de leur représentation sous forme de fraction continue.
Entiers remarquables
0 : élément neutre du groupe additif Z, remarquable pour son histoire ;
1 : élément neutre du monoïde multiplicatif Z, première quantité identifiée ;
2 : le seul nombre premier pair ;
les nombres premiers ;
en 2019, le plus grand nombre premier connu était un nombre premier de Mersenne, 282 589 933 – 1 ;
le plus grand couple de nombres premiers jumeaux connu (fin 2019) est × 2 ± 1 ; ils possèdent chiffres en écriture décimale ;
les nombres parfaits, qui sont égaux à la somme de leurs diviseurs entiers naturels sauf eux-mêmes. On en connaît 48, dont huit inférieurs à 10 :
6 ;
28 ;
496 ;
8 128 ;
33 550 336 ;
8 589 869 056 ;
137 438 691 328 ;
2 305 843 008 139 952 128 ;
le gogol, 10 est supérieur au nombre d'atomes dans l'Univers ;
le nombre de Shannon, 10, est une estimation de la complexité du jeu d'échecs ;
le nombre de Graham est connu pour avoir été longtemps le plus grand entier apparaissant dans une démonstration mathématique. Ses dix derniers chiffres sont 2 464 195 387.
Nombres rationnels remarquables
Les nombres décimaux possèdent un développement décimal limité.
Nombres algébriques remarquables
La racine carrée de deux, est un nombre irrationnel, solution de l'équation . C'est peut-être le premier irrationnel à avoir été mis en évidence par les Grecs ; il est égal à la longueur de la diagonale d'un carré de côté un ; il intervient dans les formules donnant les volumes du tétraèdre et de l'octaèdre ;
appelé nombre i, solution de l'équation ; à la base de la droite des imaginaires et de la définition des nombres complexes ;
le nombre d'or, souvent noté φ, égal à ;
fait partie des nombres irrationnels qui possèdent un développement en fraction continue périodique pur.
Nombres algébriques non constructibles
L'heptagone n'est pas constructible à la règle et au compas parce que n'est pas un nombre constructible. Le réel x est cependant algébrique, puisqu'il est racine de .
Nombres transcendants
π (d'après Ferdinand von Lindemann, 1882) ;
e (d'après Charles Hermite, 1873) ;
Au moins l'un des nombres et est transcendant ;
la constante de Prouhet-Thue-Morse .
Nombres transcendants non calculables
La constante Oméga de Chaitin Ω est bien définie mais n'est pas calculable.
Nombres normaux
Le nombre de Champernowne
0,1234567891011121314151617...
qui contient dans son développement décimal la concaténation de tous les nombres naturels, est normal en base 10 mais il ne l'est pas dans certaines autres bases.
La constante de Copeland-Erdős
0,2357111317192329313741...
obtenue en concaténant les nombres premiers est connue comme étant un nombre normal en base 10.
On ne sait pas si √2, π, ln(2) ou e sont normaux.
Nombres complexes remarquables
Selon l'hypothèse de Riemann, les zéros non triviaux de la fonction zêta de Riemann ont tous pour partie réelle 1/2. Cette conjecture constitue l'un des problèmes non résolus les plus importants des mathématiques actuelles.
Nombres réels au statut indéterminé
La constante d'Euler-Mascheroni γ ;
la constante de Khintchine ;
la constante de Catalan ;
les nombres de Feigenbaum : probablement transcendants ;
le nombre de Dottie.
Notes et références
Bibliographie
.
Articles connexes
Table de constantes mathématiques
Paradoxe des nombres intéressants
Liens externes
Des constantes mathématiques
Constante dans Wolfram |
Sosigène | Sosigène est un sophiste et homme politique grec de la seconde moitié du .
Sosigène d'Alexandrie est un astronome grec du milieu du .
Sosigène, cratère lunaire. |
(8588) Avosetta | (8588) Avosetta est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes.
Description
(8588) Avosetta est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Il fut découvert le à l'Observatoire du Mont Palomar par Cornelis Johannes van Houten, Ingrid van Houten-Groeneveld et Tom Gehrels. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 2,21 UA, une excentricité de 0,07 et une inclinaison de 7,5° par rapport à l'écliptique.
Compléments
Articles connexes
Liste des planètes mineures (8001-9000)
Ceinture d'astéroïdes
Références
Objet céleste découvert en 1960
Astéroïde de la ceinture principale |
Aristídis Baltás | Aristídis Baltás (), né le à Corfou, est un philosophe et homme politique grec.
Biographie
Aristídis Baltás est diplômé de l'université polytechnique nationale d'Athènes en ingénierie électrique et mécanique (1962-1967). Il obtient ensuite un doctorat de physique théorique à l'université Paris-XI en 1971 avec une thèse sur La neutrino-production des résonances baryoniques dans le modèle des quarks, sous la direction de François Lurçat.
Engagement politique
Membre de SYRIZA, il est nommé, le , ministre de la Culture, de l’Éducation et de la Religion dans le gouvernement Tsípras I.
Publications
Peeling Potatoes or Grinding Lenses: Spinoza and Young Wittgenstein Converse on Immanence and Its Logic, University of Pittsburgh Press, 2012
Notes et références
Liens externes
Fiche sur le site de l'université de Pittsburgh
Philosophe grec
Philosophe du XXe siècle
Philosophe du XXIe siècle
Ministre grec de la Culture
Ministre grec de l'Éducation
Député du 17e Parlement de la troisième République hellénique |
Safari | Le mot safari (mot swahili signifiant « long voyage », issu de l'arabe سافر safara, qui signifie « il a voyagé ») désigne habituellement une excursion touristique à caractère sportif ou culturel.
Évolution du mot
Un safari était à l'origine une expédition d'exploration terrestre. Plus tard, le mot safari a désigné des voyages de chasse au grand gibier d'Afrique, aussi appelée chasse aux trophées. De nos jours, le terme safari est le plus souvent utilisé pour décrire des séjours touristiques dans les parcs nationaux d'Afrique de l'Est (Ouganda, Kenya, Tanzanie) ou d'Afrique australe (Zambie, Zimbabwe, Mozambique, Namibie, Botswana, Afrique du Sud) pour un safari photo ou chasser les animaux sauvages.
Par extension, le terme de safari est aussi utilisé pour désigner une certaine forme de zoo, où les animaux vivent en semi-liberté et sont approchés et observés à travers un circuit en automobile ou en autobus ; On parle ainsi maintenant de safari photo.
Des écosafaris ont récemment été mis en place, dans le prolongement de la mode du tourisme éthique ou écologique.
Des visites à caractère semi-sportif de cavités souterraines aménagées sont également qualifiées de safaris souterrains.
Voir aussi
Articles connexes
Big five (chasse)
Parc safari
Activité touristique
Chasse |
Gerhard Bohner | Gerhard Bohner, né le à Karlsruhe (Allemagne) et mort le à Berlin (Allemagne), est un danseur et chorégraphe allemand.
Il est considéré comme l'un des pionniers du théâtre de danse allemand.
Biographie
Gerhard Bohner est formé comme danseur à Karlsruhe. Il travaille à Mannheim et à Francfort puis, en 1961, il est membre du Deutsche Oper de Berlin, qui se consacrait à la danse classique. En 1964, il commence à développer son propre style chorégraphique, privilégiant constamment la nouvelle musique pour ses œuvres. En 1969, Bohner prend la deuxième place au concours chorégraphique de l'Académie de danse d'été de Cologne avec les œuvres Frustration - Aggression et Spannen – Abschlaffen (Tension - Relâchement). Les rencontres humaines avec la mort, ainsi que la coercition et la discipline jusqu'à la torture, sont des sujets qui l'occuperont encore et encore dans sa carrière artistique.
À partir de 1970, il chorégraphie pour divers commanditaires, notamment Carmina Burana et Catulli Carmina, créés en 1970 pour les théâtres de Cologne, Die Tortungen der Beatrice Cenci et Und so weiter pour l'Académie des Arts de Berlin, Malade imaginaire pour le studio de danse Folkwang et Machen = Opfern avec des danseurs à l' Opéra d'État de Hambourg en 1971. Die Folterungen der Beatrice Cenci avec l'utilisation de techniques de danse classique est sa pièce la plus réussie, suivi par Lilith (1972), qui est dédiée à la première femme d'Adam (selon le Talmud), faite de terre et plus tard diabolisée parce qu'elle ne se soumet pas. Pour Bohner, c'est « l'incarnation d'une idée de liberté » qu'il laisse pénétrer dans une famille bourgeoise.
Gerhard Bohner meurt à Berlin en 1992, à l'âge de 56 ans. Sa tombe est au cimetière Heerstraße à Berlin-Westend (Feld 4-A-20).
Récompenses
1972 : Prix de la critique allemande
1992 : Prix de la critique allemande
Bibliographie
Dirk Scheper, Gerhard Bohner, Gerhard Bohner – Tänzer und Choreograph, Hentrich, 1991,
Jochen Schmidt, Tanztheater in Deutschland, Verlag, 1992,
Notes et références
Liens externes
Gerhard Bohner Archive dans les archives de l'Académie des Arts de Berlin
Danseur allemand du XXe siècle
Chorégraphe allemand
Naissance en juin 1936
Naissance à Karlsruhe
Décès en juillet 1992
Décès à Berlin
Décès à 56 ans |
Ministère des Affaires religieuses du Reich | Le ministère des Affaires religieuses du Reich (, ou Reichskirchenministerium) était un ministère du Reich allemand créé en 1933 par le régime nazi.
Ludwig Müller, titré évêque du Reich (« Reichsbischof ») en fut un des personnages importants.
Histoire
De 1935 à 1941, le ministre est Hanns Kerrl ; de 1941 à 1945, il s'agit de Hermann Muhs.
Articles connexes
Église catholique d'Allemagne face au nazisme
Églises protestantes d'Allemagne face au nazisme
Religion
Histoire religieuse de l'Allemagne
Organisation nazie sous le Troisième Reich
Organisme fondé en 1933
Organisme disparu en 1945 |
Pizzo del Diavolo di Tenda | Le est une montagne qui s'élève à d'altitude dans les Alpes bergamasques en Italie.
Notes et références
Sommet des Alpes italiennes
Montagne en Lombardie
Province de Bergame
Province de Sondrio |
Liste des titres musicaux numéro un en France en 1960 | Voici la liste des titres musicaux numéro un en France en 1960 selon le hit-parade créé par le site Infodisc, tenant compte des ventes de disques et des passages en radio.
Classement des singles
Voir aussi
1960 en musique
Top singles français physique
Références
1960
1960 en France
1960 en musique |
Psiloceras | Psiloceras désigne un genre éteint de mollusques céphalopodes, appartenant à la sous-classe des ammonites et ayant vécu au début du Jurassique inférieur. Il est très largement répandu dans le monde (Europe, Amériques, Asie, Océanie).
Description
Contrairement à la plupart des ammonites plus anciennes, la coquille de Psiloceras est lisse (sans ornementation).
L'espèce P. planorbis, marque la base de l'Hettangien et donc de la période du Jurassique.
Liste des espèces
P. planorbis (J.C. Sowerby, 1824)
P. becki
P. brevicellatum
P. calliphylloides
P. calliphyllum (Neumayr, 1879)
P. costosum
P. distinctum
P. erugatum
P. hagenowi
P. marcouxi (Guex, Taylor, Rakus & Bucher, 1998)
P. minillaensis (von Hillebrandt, 2000)
P. naumanni
P. pacificum (Guex, 1980)
P. polymorphum (Guex, 1980)
P. plicatulum (Quenstedt, 1883)
P. primocostatum (von Hillebrandt, 2000)
P. psilonotum
P. sampsoni
P. spelae (Guex, Taylor, Rakus & Bucher, 1998)
P. spelae tirolicum (von Hillebrandt & Krystyn, 2009)
P. tenerum
P. tibeticum (Yin , 2007)
P. tilmanni (Lange, 1925)
Notes et références
Annexes
Articles connexes
Ammonite
Hettangien
Liste de genres d'ammonites
Liens externes
Genre d'ammonites (nom scientifique)
Mollusque du Jurassique
Taxon fossile décrit en 1867 |
Anse du Gros Ventre | L'anse du Gros Ventre – il existe une autre « anse du Gros Ventre » aux Kerguelen, notée III (dans le golfe du Morbihan – est une baie située à l'extrémité sud de la péninsule Rallier du Baty dans les îles Kerguelen. Elle abrite la plage de la Possession qui est le lieu historique de la prise de possession par le royaume de France des « îles de la Désolation » en 1772.
Géographie
L'anse du Gros Ventre est située au milieu de la côte méridionale de la péninsule Rallier du Baty dans laquelle se déversent différentes rivières alimentées par les glaciers du massif Rallier du Baty dont la principale est la rivière des Sables.
Petite baie relativement fermée et protégée des vents dominants, elle accueille en son fond la plage de la Possession, une plage de sable noir qui, située pratiquement sur le parallèle sud, présente la particularité d'être la plage la plus méridionale du territoire français.
Histoire
Le , au lendemain de la découverte de l'archipel par l'expédition menée par Yves Joseph de Kerguelen de Trémarec, l'équipage du Gros Ventre, commandé par Louis Aleno de Saint-Aloüarn, mouille dans l'anse et met la chaloupe La Mouche à la mer, sous les ordres de l'enseigne de vaisseau Charles du Boisguehenneuc qui débarque à terre – sur la future plage de la Possession – pour effectuer la prise de possession des « îles de la Désolation » au nom du roi de France, Louis XV. L'anse prend le nom du navire dès 1772 sur la carte dite « de Rosily ».
En 2015, François Garde et quatre compagnons entreprennent la seconde traversée nord-sud de l'archipel, partant de la baie de l'Oiseau pour arriver à l'anse du Gros Ventre sur la plage de la Possession.
Notes et références
Gros ventre
Péninsule Rallier du Baty |
Arrondissement de Novi | L'arrondissement de Novi est un ancien arrondissement du département de Gênes, créé dans le cadre de la nouvelle organisation administrative mise en place par Napoléon en Italie.
Composition
L'arrondissement de Novi comprenait les cantons de Gavi, Novi, Ovada, Rotchetta Ronco, Savignone et Serravalle.
Il fut supprimé en 1814, immédiatement après la chute de l'Empire.
Liens
http://www.napoleon-series.org/research/almanac/c_chapter10.html
Novi
Histoire du Piémont
Histoire de la Ligurie
Province d'Alexandrie
Ville métropolitaine de Gênes |
Supermercados Gigante | (littéralement : Supermarchés Géant) est une ancienne grande chaîne de supermarchés du Mexique, également établie aux États-Unis. Fondée en 1962, elle a été rachetée en par sa concurrente Soriana.
Lien externe
Grupo Gigante
Entreprise de grande distribution ayant son siège au Mexique
Entreprise fondée en 1962
Entreprise disparue en 2008 |
Aire (Ardennes) | Aire est une commune française située dans le département des Ardennes, en région Grand Est.
Géographie
Aire est située à 15 km de Rethel, à 4 km d'Asfeld et à 37 km de Reims. Ce petit coin de verdure, à 67 m d'altitude, arpente une colline qui culmine à 100 m. Le hameau de Bellevue, qui jouxte le village voisin de Blanzy-la-Salonnaise est situé sur le territoire de la commune.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Aire est une commune rurale. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de à moins de .
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (77 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), forêts (6,6 %), zones urbanisées (0,6 %), prairies (0,1 %).
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Toponymie
Le terme Aire vient vraisemblablement de l'aire, en latin aera, qui désigne soit l'emplacement de battage des céréales, soit l'aira, ou canche, qui est une graminée fréquente sur les sols marneux et sablonneux.
Histoire
Le village souffre des combats pendant les guerres de Religion entre les ligueurs et les calvinistes, dans le prolongement de la tuerie de Gomont, de l'autre côté de l'Aisne, en .
Il subit également des incendies qui ravagent une bonne partie du village, en 1770 et 1780.
Le , les habitants de la commune, rattachée au bailliage de Reims, rédigent un cahier de doléances. Le bourg compte alors 98 feux. À travers les préoccupations citées dans ce cahier de doléances, quelques activités sont mises en exergue, dont la vigne et la culture du chanvre que les villageois souhaitent rouir dans la rivière, sans être inquiétés.
Politique et administration
Liste des maires
Isabelle Henry était également présidente de la communauté de communes l'Asfeldois, depuis sa création en 2002.
Démographie
Économie
Agriculture
Il existe en effet trois exploitations (EARL) dont le siège est à Aire, mais de nombreux ménages sont des agriculteurs à la retraite, ou des agriculteurs en activité, mais dont le siège de l'exploitation est dans un village voisin. Donc les agriculteurs, anciens agriculteurs et leur famille occupent une part importante, quoique non majoritaire, de la population de Aire.
L'activité d'élevage reste également significative.
Industries et services
Il n'existe pas d'industrie à Aire.
La commune de Aire est assez peu desservie en service : la commune est très petite et les services sont déjà assez complets à Asfeld, à quatre kilomètres.
Sont présents à Aire un garage, un couvreur, une entreprise de menuiserie.
Le reste vient de l'extérieur : les autres services proviennent d'Asfeld ou de plus loin.
En dehors des agriculteurs et des artisans travaillant sur place ou dans les environs, l'emploi à Aire est essentiellement polarisé par les villes de Rethel et de Reims, via des migrations pendulaires.
Deux gites proposent des hébergements sur l'étang d'Aire.
Vie locale
L'association Les Fous volants d'Aire rassemble une quinzaine de passionnés d'aéromodélisme, avec notamment un terrain d'aviation de 250 mètres sur 30 mètres.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église avec tribune peinte.
Étang d'Aire.
Aire est une étape de la Route du Porcien.
Personnalités liées à la commune
Edmond Louis Marie Wagrez (1815-1882), artiste peintre né à Aire. Le musée de Douai en conserve quelques tableaux. Il est le père de Jacques Clément Wagrez, connu pour avoir illustré les œuvres d'Honoré de Balzac.
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liste des communes des Ardennes
Liens externes
Aire sur le site de l'Institut géographique national
Aire sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
Références
Aire
Ville décorée de la croix de guerre 1914-1918
Aire urbaine de Reims |
Jules Gheude | Jules Gheude, né à Braine-l'Alleud le , est un écrivain belge et militant wallon prônant le rattachisme.
Biographie
Après une adolescence passée à Paris, où son père travaille à l’Agence commerciale de la SNCB, il poursuit des études de langues germaniques et commence sa carrière dans l’enseignement à Namur (1969-1974).
En 1973, il adhère au Rassemblement wallon et rejoint, un an plus tard, le cabinet de François Perin, ministre de la Réforme des Institutions. Il se spécialise notamment dans la presse flamande.
À la suite de la crise survenue au sein du Rassemblement wallon en 1976, il suit la mouvance Perin-Gol-Knoops et contribue à la fondation du PRLw (Parti des Réformes et de la Liberté, wallon). Il devient ainsi cosecrétaire de la Fédération namuroise de la nouvelle formation.
Proche collaborateur des présidents du PRL Jean Gol (1980) et Louis Michel (1982), il joue un rôle actif au niveau des relations publiques.
De 1983 à 2011, il exerce les fonctions de Directeur au Commissariat général aux Relations internationales de la Communauté française de Belgique (aujourd'hui Wallonie-Bruxelles International).
Le , il lance le « Manifeste pour la convocation des États généraux de Wallonie ». Après une année de préparation, des États Généraux de Wallonie se sont tenus dans les locaux de l'université de Liège, le , et ont pu rassembler 150 personnes. Ils se sont clôturés par un vote : 74,4 % des participants se sont prononcés pour la réunion de la Wallonie à la France, 16,2 % pour un État wallon indépendant, 9,4 % pour un État Wallonie-Bruxelles.
Depuis , Jules Gheude coordonne les travaux du Gewif (Groupe d'études pour la Wallonie intégrée à la France).
Son intérêt marqué pour la problématique communautaire belge l’a amené à écrire plusieurs ouvrages.
Jules Gheude est resté fort proche de François Perin, qui lui a remis la totalité de ses archives personnelles et qui a préfacé son essai Lettre à un ami français - De la disparition de la Belgique (2013).
Publications
François Perin, espoirs et désillusions d’un non-conformiste, Liège, Georges Thone, 1981.
Les Belges… tels quels, histoire d’un problème communautaire en tableaux et plus de 150 caricatures, Bruxelles : Rossel, 1984.
Simenon et la femme, parue dans « Simenon, un autre regard », Lausanne : Luce Wilquin, 1988.
Fourons, de l’erreur à l’erreur, Bruxelles : Les Éperonniers, 1989.
François Perin, écrits et mémoires, Gerpinnes : Quorum, 1998.
L’Incurable Mal belge sous le scalpel de François Perin, préface de Xavier Mabille, président du Crisp, Wavre : Mols, 2007. Ce livre a figuré parmi les trois finalistes pour le prix du Livre politique du Parlement de la communauté française 2007.
Le Choix de la Wallonie – Pour la convocation de ses États-Généraux, préfaces de Jean Beaufays et Pascal Delwit, Wavre : Mols, 2008.
Quand les Wallons s'éveilleront..., Wavre : Mols, 2009.
Le Petit Guide de l'après-Belgique, Wavre : Mols, 2010.
On l'appelait Belgique, Paris : Mon petit éditeur, 2011.
Lettre à un ami français - De la disparition de la Belgique, préface de François Perin, Mon Petit Editeur, 2013.
François Perin - Une Plume, L'oeuvre écrite, préface de Michel Hermans, Editions de la Province de Liège, 2015,
François Perin - Biographie, Editions Le Cri, 2015
Un Testament wallon - Les vérités dérangeantes, Mon Petit Editeur, 2016
Waals testament - Ongemakkelijke waarheden over de toekomst van België , inleiding door Bart Maddens,, Doorbraak, 2017
La Wallonie, demain - La solution de survie à l'incurable mal belge, préface de Pierre Verjans, Editions Mols, 2019.
François Perin, Le dictionnaire de l'imagination créatrice, publié sur le site du Gewif : http://gewif.net/WP3gewif/2019/08/29/les-idees-phares-de-francois-perin/
"Lettre ouverte à Monsieur le Président de la République française", publiée sur le site du "Vif/L'Express" : https://www.levif.be/actualite/belgique/lettre-ouverte-a-monsieur-le-president-de-la-republique-francaise/article-opinion-1188327.html
Notes et références
Liens externes
https://www.levif.be/actualite/auteurs/jules-gheude-249.html?show=opinions
https://www.knack.be/nieuws/auteurs/jules-gheude-669.html?show=opinions
Écrivain belge francophone
Naissance en novembre 1946
Naissance à Braine-l'Alleud
Écrivain belge du XXe siècle
Écrivain belge du XXIe siècle
Militant wallon |
Francavilla Marittima | Francavilla Marittima est une commune italienne de la province de Cosenza dans la région Calabre en Italie.
Administration
Hameaux
Communes limitrophes
Cassano allo Ionio, Cerchiara di Calabria, Civita
Notes et références
Liens externes
Commune dans la province de Cosenza |
Liane Berkowitz | Liane Berkowitz, née le à Berlin et exécutée le à la prison de Plötzensee dans la même ville, est une résistante allemande d'origine russe contre le national-socialisme qui fut proche de l'Orchestre rouge, guillotinée à Berlin à la veille de ses vingt ans.
Biographie
Liane Berkowitz est la fille du premier violon et chef d'orchestre Victor Vassiliev et de sa femme, professeur de chant. La famille a fui en 1923 la Russie bolchévique jusqu'à Berlin, où Liane voit le jour. Peu après la mort de son père, sa mère épouse Henry Berkowitz qui adopte aussitôt Liane. Berkowitz l'inscrit en 1941 dans un lycée privé en cours du soir afin qu'elle prépare le baccalauréat.
Elle se rapproche d'un cercle d'amis autour de sa camarade de classe Eva Rittmeister et de son mari le docteur John Rittmeister, auquel appartiennent également Ursula Goetze, Otto Gollnow, Fritz Thiel et Friedrich Rehmer. Sous l'impulsion de Rittmeister, ce cercle d'amis évolue en un groupe d'opposants au Troisième Reich, qui travaillera plus tard avec Harro Schulze-Boysen (membre de l'Orchestre rouge) contre le régime nazi. Liane tombe amoureuse de Friedrich Rehmer ; elle est enceinte de lui lors de son arrestation.
Avec Otto Gollnow, Liane Berkowitz colle le soir du une centaine d'affiches entre Kurfürstendamm et la Uhlandstraße à Berlin. Sur ces affiches on pouvait lire : . Il s'agit ainsi de protester contre l'exposition Das Sowjet-Paradies organisée par le Reichspropagandaleitung der NSDAP et de démontrer qu'une résistance anti-nationale-socialiste était encore active en Allemagne.
Liane Berkowitz est emprisonnée et mise en accusation le . Friedrich Rehmer, qui était soigné à l'hôpital de Britz à Berlin d'une grave blessure de guerre sur le front de l'est, est sorti de l'hôpital et mis en prison le . Le , la deuxième chambre du Tribunal de guerre du Reich condamne Liane Berkowitz, Rehmer, ainsi que d'autres participants au collage d'affiches . Irina, la fille de Berkowitz, naît le à la prison pour femmes de la rue Barnim. À partir de , Irina a été élevée par sa grand-mère.
Liane Berkowitz est guillotinée le à la prison de Plötzensee ; Friedrich Rehmer l'a été le . Leur fille Irina est morte en à l'hôpital d'Eberswalde dans des circonstances troubles.
Liane Berkowitz habitait dans le quartier de Schöneberg, au numéro 1 de la place Viktoria-Luise, où une plaque célèbre son souvenir. Le , une place Liane-Berkowitz a été inaugurée entre le Südwestkorso, la rue Wilhelmshöher et la rue Rheingau, dans le quartier de Friedenau.
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Liste de résistants allemands au nazisme
Lien externe
L'orchestre rouge - Fac-similé du rejet du recours en grâce
Naissance en août 1923
Naissance à Berlin
Résistant allemand au nazisme
Femme dans la Résistance
Orchestre rouge
Condamné à mort guillotiné
Condamné à mort exécuté en Allemagne
Personnalité exécutée par le Troisième Reich
Personnalité allemande née d'un parent russe
Décès en octobre 1943
Décès à 19 ans
Décès à Berlin-Plötzensee |
Église Saint-Gervais-Saint-Protais de Gisors | Léglise Saint-Gervais-Saint-Protais de Gisors est une église catholique paroissiale située à Gisors, dans l'Eure, en France. Sa partie la plus ancienne est la tour centrale qui s'élève au-dessus de la croisée du transept. Elle date du dernier quart du . Le chœur a été édifié pendant la première moitié du dans le style gothique de l'Île-de-France. Entre la fin du et le milieu du , l'église est agrandie et en partie reconstruite dans le style gothique flamboyant. Les deuxièmes collatéraux du chœur, le pseudo-déambulatoire, les chapelles du chevet, les croisillons du transept, la nef, ses doubles bas-côtés et la tour à gauche de la façade datent de cette époque. La grosse tour à l'angle sud-ouest est mise en chantier en 1541, suivie par la façade occidentale de la nef. En rupture avec les parties antérieures, elles affichent le style de la Renaissance. Mais les fonds se faisant rares, le chantier connaît une interruption entre 1542 et 1558 environ, puis se poursuit avec une grande lenteur jusqu'à la fin du siècle. L'église, et plus particulièrement la grosse tour, demeure ainsi inachevée. Nonobstant, ses proportions impressionnantes la font parfois comparer à certaines cathédrales du nord de la France : longue de , avec une nef haute de , elle a sensiblement les mêmes dimensions que la cathédrale Notre-Dame de Senlis. En tant que monument à l'architecture tout à fait remarquable, l'église a été classée au titre des monuments historiques par liste de 1840.
Histoire
À peine consacrée en 1119 par le pape Calixte II, le sanctuaire subit l'incendie qui détruisit la ville en 1124.
Les travaux de reconstruction de la nef ravagée ne commencèrent pourtant que sous Louis VII le Jeune vers 1160.
Grâce au financement de la reine Blanche de Castille, un chœur gothique est finalement consacré en 1249.
Les confréries religieuses et guildes marchandes aux XVe et XVIe siècles ont largement contribué, par leurs donations, à son embellissement.
L'église connaît alors de nombreuses transformations. On assiste notamment à la reconstruction de la nef, à l'ajout de chapelles dans les bas-côtés et d'un déambulatoire à chapelles rayonnantes autour du chœur. Les travaux confiés aux Grappin, une famille d'architectes du Vexin, se poursuivirent jusqu'au dans le style gothique flamboyant finissant.
Description
Aperçu général
L'édifice adopte un plan cruciforme. La nef compte six travées, et s'accompagne de doubles bas-côtés, à l'exemple des quatre basiliques majeures situées à Rome.
L'ensemble de l'édifice mesure près de de long. La hauteur de la nef est de sous le sommet des voûtes, comme dans la cathédrale Notre-Dame de Senlis.
Intérieur
Nef et bas-côtés
Dans la nef reconstruite à partir du dans le style gothique flamboyant, on assiste à la disparition du triforium. Afin d'éviter la nudité des murs aveugles au-dessus des grandes arcades, les fenêtres hautes sont visuellement allongées en faisant descendre leurs meneaux en dessous du seuil. Ils butent sur un bandeau de deux assises au-dessus des grandes arcades. Marquant une véritable rupture avec le chœur, cette élévation sans discontinuité sur deux niveaux, et sans chapiteaux, est caractéristique de l’art flamboyant normand, comme à l'abbaye Saint-Ouen à Rouen.
Dans les bas-côtés de la nef, achevés au début du , on dénote le style Louis XII. Les chapelles latérales présentent de vastes baies munies de vitraux aux tonalités claires.
Dans le bas-côté sud de la nef, se trouvent trois beaux piliers sculptés : le pilier des dauphins marqué de fleurs de lys et du dauphin, symbole du Roi de France Saint Louis, le pilier Saint-Jacques avec des coquilles reliées par un cordon et le pilier Saint-Claude représentant le travail des tanneurs et la vie du saint.
Grosse tour
La base de la grosse tour (1542-1590), appelée également tour du Rosaire, présente un superbe arbre de Jessé en bas-relief, portant la date de 1593, évoquant la généalogie des ancêtres de Jésus-Christ.
Un escalier hélicoïdal de style Renaissance, qui rappelle l’escalier du château de Blois (Loir-et-Cher), permet d’accéder aux orgues.
Transept
Le transept présente, dans sa partie sud, une galerie décorative ornée de belles frises végétales. Le croisillon nord est couvert de voûtes à liernes et tiercerons à losange central, sans ogives à proprement parler. Dans la première travée, des nervures courbes dessinent quatre pétales, et dans la deuxième travée, les nervures forment une étoile à quatre branches. Les clés de voûte sont pendantes.
Chœur
Le chœur consacré en 1249 est terminé par un chevet plat comme en Angleterre. Élevé selon le modèle de Notre-Dame de Paris, il comporte une élévation sur trois niveaux : grandes arcades, triforium et fenêtres hautes composées de deux lancettes simples surmontées d'un oculus. Des chapelles y ont été ajoutées par la suite.
Extérieur
À l’extérieur, la puissante façade occidentale mêlant les styles gothique et Renaissance est encadrée par deux tours. Elle se développe dans une architecture en filigrane avec un portail central en forme d'arc de triomphe.
Au sud, la Grosse Tour (1542-1590), appelée également tour du Rosaire est restée inachevée faute de financements. Elle alterne les ordres monumentaux dorique et ionique dans un profusion de sculptures évoquant le style baroque.
La façade nord du transept présente encore des portes en bois finement sculptées, qui restent les premiers exemples d’emploi de motifs Renaissance dans l’église.
Après d'importantes destructions le , elle est toujours en restauration.
Mobilier
Monuments funéraires
Dans le bas-côté sud, dans la chapelle Saint-Cler, un transi sculpté en haut-relief est encastré dans le mur. Datée de 1530, cette allégorie délivre un message qui invite à la réflexion : .
Vitraux
Dans la partie sud du chœur, la chapelle de la Vierge présente un vitrail en grisaille consacré à la Vie de la Vierge. C’est une peinture sur verre réalisée durant la Renaissance par des artistes de l'école de Fontainebleau. Datée de 1545, son décor figuré de style maniériste rappelle les vitraux de la galerie de Psyché du château d’Écouen (Val d’Oise) avec ses costumes à l’Antique, son paysage tourmenté et son décor de ruine. Sa réalisation reprend la technique de la grisaille avec l'utilisation du jaune d’argent, de la sanguine et de l’émail bleu posés directement sur du verre blanc.
Dans le côté nord de la nef, se trouve la chapelle de l'Assomption, dédiée à la Vierge. Sa construction a été financée par une confrérie royale créée en 1360 par Charles V. Un grand bas-relief présente en couleurs vives (fond bleu et fleurs de lys dorées) le Roi, la Reine, suivis par les trois ordres en procession : noblesse, clergé et peuple.au sud, la chapelle de la Vierge. Celle-ci abrite une peinture sur verre de style maniériste datée de 1545, réalisée par des artistes de l'Ecole de Fontainebleau.
Dans la troisième chapelle nord de la nef, un beau vitrail consacré à Saint-Crépin et Saint-Crépinien est encore visible. Réalisé en 1530 par l'artiste de Beauvais Nicolas le Prince. Se développant sur trois registres, les quatre scènes évoquent le martyre des saints patrons des cordonniers. L'une d'elles les représente, d’une manière très réaliste, plongés dans un chaudron d’eau bouillante, dont le contenu se déverse sur leurs bourreaux.
Notes et références
Annexes
Bibliographie
E. Veuclin, Les grandes orgues de Saint-Gervais et Saint-Protais de Gisors, leur buffet et la maitrise de cette église en 1629, , Réunion des sociétés savantes des départements à la Sorbonne. Section des beaux-arts, Ministère de l'instruction publique, 1907 (lire en ligne)
;
Liens internes
Liste des monuments historiques de l'Eure (A-I)
Liens externes
Ville de Gisors : L'église Saint-Gervais-Saint-Protais
Gervais protais gisors
Monument historique classé en 1840
Gisors Saint-Gervais-Saint-Protais
Gisors, collegiale
Gisors, collegiale
Gisors
Eure au Moyen Âge
Normandie au XIIe siècle |
Léon Vanderkelen | Eugène Léon Vanderkelen, né le à Louvain et y décédé le fut un homme politique libéral belge.
Vanderkelen fut commerçant, échevin de Louvain et sénateur de l'arrondissement de Louvain.
Généalogie
Il est un des fils de Leopold Vander Kelen, bourgmestre de Louvain (1813-95) et Maria Mertens.
Sources
Liberaal Archief
Sénateur belge
Personnalité libérale belge
Naissance en mai 1856
Naissance à Louvain
Décès en août 1915
Décès à Louvain
Décès à 59 ans |
Grand Prix Colli Rovescalesi | Le Grand Prix Colli Rovescalesi (en italien : Gran Premio Colli Rovescalesi) est une course cycliste italienne qui se déroule au mois d'août à Rovescala, en Lombardie. Créée en 1948, elle est organisée par l'ASD Rovescalese.
L'épreuve fait partie du calendrier national de la Fédération cycliste italienne. Elle est réservée aux coureurs espoirs (moins de 23 ans) ainsi qu'aux élites amateurs.
Palmarès
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| 1948
| Franco Aureggi
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| 1949
| Raffaele Cattaneo
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| 1950
| Fernando Brandolini
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|-
| 1951
| A. Zucca
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|-
| 1952
| Bruno Lodigiani
|
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|-
| 1953
|
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|-
| 1954
|
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|-
| 1955
| Gianni Alini
| Luigi Rapaccioli
| Bruno Lodigiani
|-
| 1956
| Giovanni Metra
|
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|-
| 1957
| Graziano Pertusi
|
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|-
| 1958
| Benito Trioli
|
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|-
| 1959
| A. Braghi
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|-
| 1960
| Luigi Baretta
|
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|-
| 1961
| Adriano Durante
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|-
| 1962
| Clay Santini
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|-
| 1963
| Ambrogio Portalupi
|
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|-
| 1964
| B. Stangalini
|
|
|-
| 1965
| Tommaso Giroli
|
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|-
|
| align=center colspan=4| Pas de course
|-
| 1967
| Felice Salina
|
|
|-
| 1968
| L. Barbieri
|
|
|-
| 1969
| Paolo Zini
|
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|-
| 1970
| Giovanni Varini
|
|
|-
| 1971
| Antonio Ottaviano
|
|
|-
| 1972
| Antonio Tavola
|
|
|-
| 1973
| V. Vanoni
|
|
|-
|
| align=center colspan=4| Pas de course
|-
| 1975
| Walter Tabai
|
|
|-
| 1976
| Mario Gualdi
|
|
|-
| 1977
| Bruno Leali
|
|
|-
| 1978
| Luigi Gritti
|
|
|-
|
| align=center colspan=4| Pas de course
|-
| 1980
| Benedetto Patellaro
|
|
|-
| 1981
| Tullio Cortinovis
|
|
|-
| 1982
| Maurizio Viotto
|
|
|-
| 1983
| Fiorenzo Bressan
|
|
|-
| 1984
| C. Antonelli
|
|
|-
| 1985
| R. Elli
|
|
|-
| 1986
| Stefano Tomasini
|
|
|-
| 1987
|
|
|
|-
| 1988
| Gianluca Tarocco
|
|
|-
| 1989
| Learco Filippini
|
|
|-
| 1990
| Davide Perona
|
|
|-
| 1991
| Dino Rinaldi
|
|
|-
| 1992
| Luca Prada
|
|
|-
| 1993
| R. Bergognini
|
|
|-
| 1994
| Gianluca Tonetti
|
|
|-
| 1995
| Stefano Faustini
|
|
|-
| 1996
| Paul Bertino
|
|
|-
| 1997
| Andrea Tonti
|
|
|-
| 1998
| Claudio Lucchini
|
|
|-
| 1999
| Marius Sabaliauskas
|
|
|-
| 2000
| Luca Solari
|
|
|-
| 2001
| Marco Marzano
|
|
|-
| 2002
| Luca Solari
|
|
|-
| 2003
| Giancarlo Ginestri
|
|
|-
| 2004
| Mirko Allegrini
| Moisés Aldape
| Drasutis Stundzia
|-
| 2005
| Miguel Ángel Rubiano
| Michael Schär
| Denis Shkarpeta
|-
|
| align=center colspan=4| Pas de course
|-
| 2007
| Aristide Ratti
| Marco Cattaneo
| Andriy Buchko
|-
| 2008
| Egor Silin
| Sacha Modolo
| Maurizio Andalone
|-
| 2009
| Alberto Contoli
| Sacha Modolo
| Diego Ulissi
|-
| 2010
| Stefano Agostini
| Federico Rocchetti
| Daniele Aldegheri
|-
| 2011
| Marco Canola
| Luigi Miletta
| Sonny Colbrelli
|-
| 2012
| Oleksandr Polivoda
| Ilya Gorodnichev
| Matteo Mammini
|-
| 2013
| Andrea Zordan
| Niccolò Bonifazio
| Paolo Colonna
|-
| 2014
| Mirko Trosino
| Mirco Maestri
| Simone Andreetta
|-
| 2015
| Pierpaolo Ficara
| Simone Velasco
| Matteo Pozzoli
|-
| 2016
| Paolo Totò
| Andrea Vendrame
| Umberto Orsini
|-
| 2017
| Andrea Garosio
| Matteo Moschetti
| Andrea Toniatti
|-
| 2018
| Andrea Cacciotti
| Jalel Duranti
| Samuele Zoccarato
|-
| 2019
| Julian Mertens
| Filippo Fiorelli
| Emanuele Barison
|}
Notes et références
Liens externes
Compétition cycliste en Italie
Compétition fondée en 1948
Cyclisme en Lombardie
Province de Pavie |
Butch James | Andrew David James dit « Butch James », né le à Johannesburg, est un ancien joueur de rugby à XV international sud-africain évoluant comme demi d'ouverture, parfois comme centre (1,85 m pour 98 kg). Il met un terme à sa carrière fin 2013.
Ce joueur réputé pour ses qualités défensives, est connu pour avoir été le demi d'ouverture de l'équipe d'Afrique du Sud qui a remporté la Coupe du monde 2007. En raison de sa réputation et de nombreuses blessures aux genoux, sa carrière est en dents de scie, notamment avec la sélection nationale dont il est écarté entre 2002 et 2006. Néanmoins, il revient en forme en 2007 avec une finale en Super 14 et une victoire en Coupe du monde avec les .
Biographie
Andrew David James commence sa carrière professionnelle de haut niveau avec disputant la Currie Cup avec la province des Natal Sharks en 2000. Il doit son surnom Butch à sa grand-mère qui le lui a donné quand il était enfant. En 2001, il parvient à se hisser en finale du Super 12 avec les Sharks contre les Brumbies. James ratera quatre pénalités et son équipe perdra 36 à 6 contre la province australienne. La même année, il honore sa première sélection avec les contre la France (défaite 32-23) à l'Ellis Park. Lors de sa deuxième sélection, contre la même équipe, il s'illustre doublement, tout d'abord, en inscrivant 5 pénalités qui contribuent à la victoire des , puis, en étant sanctionné sur un geste dangereux sur le Français David Bory. Ce type de geste va lui donner une réputation qui le suit pendant un temps dans sa carrière. Butch James se taille une réputation de défenseur "brutal" et de joueur agressif.
À partir de 2002, il connaît de nombreuses blessures qui remettent en question sa carrière professionnelle et mettent entre parenthèses sa carrière internationale. En 2004, alors qu'il pense réintégrer la sélection sud-africaine après une bonne saison où il a joué tous les matchs avec les Sharks, il se blesse aux ligaments croisés du genou lors du dernier match du Super 12, à douze minutes de la fin. Ce n'est qu'en 2006 qu'il renoue avec la sélection lors du Tri-nations. En 2007, il profite de la blessure d'Andre Pretorius, mais aussi du parcours des Sharks en Super 14 (finaliste) pour revenir au premier plan et devenir le titulaire au poste de demi d'ouverture chez les pour la Coupe du monde en France. Il joue six des sept rencontres de la compétition et remporte le titre mondial avec sa sélection nationale.
Après la coupe du monde, il a rejoint le club anglais de Bath avec qui il remporte le Challenge européen en 2008. Il reste titulaire avec son équipe nationale pendant l'année 2008, participant notamment au Tri-nations. Juste après le tournoi, il perd sa place de titulaire au profit du jeune Morné Steyn qui vient de réaliser une très grande saison avec les Blue Bulls en Currie Cup et les Bulls en Super 14. Il ne fait son retour en sélection qu'en juin 2010, après près de deux ans d'absence. Il est même retenu pour la Coupe du monde de rugby 2011 dans un rôle de doublure. Malgré cela, Butch James est le qui détient le record de titularisations au poste de demi d'ouverture (32), devant le légendaire Naas Botha, avant d'être rattrapé et devancé en août 2012 par Morné Steyn.
En mai 2011, il quitte Bath pour signer chez les Lions qui disputent le Super Rugby. Début 2013, il retourne aux Sharks.
Palmarès
Vainqueur de la Coupe du monde 2007 avec l'Afrique du Sud
Vainqueur du Challenge européen en 2008 avec Bath
Vainqueur de la Currie Cup en 2011 avec les Golden Lions et 2013 avec les Natal Sharks
Finaliste de la Currie Cup en 2001 et 2003 avec les Natal Sharks
Finaliste du Super 12 en 2001 et du Super 14 en 2007 avec les Sharks
Statistiques en équipe nationale
42 sélections (35 fois titulaire, 7 fois remplaçant)
154 points (3 essais, 26 transformations, 28 pénalités, 1 drop)
sélections par année : 6 en 2001, 3 en 2002, 5 en 2006, 12 en 2007, 9 en 2008, 5 en 2010, 2 en 2011
Tri-nations disputés : 2001, 2006, 2007, 2008, 2010, 2011
En Coupe du monde :
2007 : Champion du monde, 6 sélections (Samoa, Angleterre, États-Unis, Fidji, Argentine, Angleterre)
2011 : 1 sélection (pays de Galles)
Style de jeu
Butch James est longtemps considéré comme un joueur essentiellement physique, brutal notamment à cause de la violence de ses plaquages. Plaquant haut, avec les bras en bas, il est présenté comme une « terreur » des terrains, un joueur peu technique et peu fair-play. Cette réputation est néanmoins largement médiatisée. Même si James reste un joueur très agressif en défense, il a fait valoir durant sa carrière de nombreuses qualités plus propres au jeu d'un demi d'ouverture. L'ancien joueur Joel Stransky a pointé le fait que James était un joueur capable de prendre rapidement des décisions, de jouer près de la ligne d'avantage et possédant un excellent jeu au pied. James a souvent aussi démontré qu'il possédait de réelles qualités techniques dans le jeu à la main et dans ses passes. Lors de la Coupe du monde de rugby 2007, il se distingue surtout par la qualité de son jeu au pied.
Notes et références
Liens externes
Joueur international sud-africain de rugby à XV
Joueur des Natal Sharks
Joueur des Sharks
Joueur de Bath Rugby
Joueur des Golden Lions
Joueur des Lions
Demi d'ouverture (rugby à XV)
Centre (rugby à XV)
Naissance en janvier 1979
Naissance à Johannesbourg |
Carbon Motors E7 | La Carbon Motors E7 est une voiture de la marque Carbon Motors Corporation qui s’occupe de construire des voitures interceptor pour la police américaine.
Leur modèle le plus récent est la E7.
Notes et références
Modèle d'automobile
en:Carbon Motors E7 |
Walerianów (Grande-Pologne) | Walerianów (prononciation : ) est un village polonais de la gmina de Koźmin Wielkopolski dans le powiat de Krotoszyn de la voïvodie de Grande-Pologne dans le centre-ouest de la Pologne.
Il se situe à environ au nord-ouest de Koźmin Wielkopolski (siège de la gmina), à au nord-ouest de Krotoszyn (siège du powiat) et à au sud-est de Poznań (capitale régionale).
Histoire
De 1975 à 1998, le village faisait partie du territoire de la voïvodie de Kalisz.
Depuis 1999, Walerianów est situé dans la voïvodie de Grande-Pologne.
Références
Village dans la voïvodie de Grande-Pologne
Powiat de Krotoszyn |
Madame Gelot-Sandoz | Madame Gelot-Sandoz, née Charlotte Sandoz (Nîmes, 1803-Paris, 1846), est une photographe primitive française, brièvement active au milieu des années 1840 à Paris. Elle est l'une des toutes premières femmes daguerréotypistes en France.
Biographie
Madame Gelot-Sandoz naît le 27 décembre 1803, sous le nom de Charlotte Sandoz, à Nîmes. Elle est la fille de Jean-Jacques Sandoz, fabricant d’indiennes, et de Charlotte Virchaud, tous deux nés en Suisse, dans le canton de Neuchâtel, et mariés en 1792 à Bourgoin-Jallieu.
En 1827, elle épouse à Lyon Antoine Gelot, dessinateur, établi place Sathonay comme fabricant de dessins pour étoffes. Elle donne naissance dans la même ville à un fils en 1831 et une première fille en 1835. Spécialisé dans le commerce de châles, Antoine Gelot fonde divers sociétés qui connaissent un certain succès. Leur seconde fille naît à Paris, en 1838, où le couple s'est probablement établi.
C'est sous le nom de Madame Gelot-Sandoz que la photographe apparaît, dans les éditions 1844 à 1846 de l’Annuaire général du commerce, à la rubrique « Daguerréotypes ». Installée 2 boulevard Poissonnière, elle propose des Elle est l'une des rares femmes daguerréotypistes à posséder son propre studio, avec Amélie Guillot-Saguez.
Charlotte Sandoz meurt prématurément à Paris en 1846.
Collections
Beinecke Rare Book and Manuscript Library Repository, Julia Driver collection of women in photography
Musée français de la photographie
Musée Nicéphore-Niépce
Expositions
26 mars 2010 - 30 avril 2010. Dessins de photographes, Paris, galerie Françoise-Paviot
12 février 2011 - 26 mars 2011. Un bon mouvement.. vite !, Paris, galerie Françoise-Paviot
10 novembre - 22 décembre 2012. Small is Beautiful Part II, Paris, galerie Françoise-Paviot, dans le cadre du Mois de la photo 2012
4 octobre 2015 - 24 janvier 2016. Qui a peur des femmes photographes ? Paris, musée d'Orsay, musée de l'Orangerie
27 janvier 2018 - 24 mars 2018. Ce qui [nous*] vous manque à tous (*after Man Ray), First part : Twenty Excellent Vintage Works : 1843/1898, Paris, galerie Françoise-Paviot
Notes et références
Notes
Références
Liens externes
Photographe du XIXe siècle
Naissance en décembre 1803
Décès en août 1846
Décès dans l'ancien 3e arrondissement de Paris
Naissance à Nîmes
Photographe française
Pionnier de la photographie
Décès à 42 ans |
(32615) 2001 QU277 | est un astéroïde troyen de Jupiter de de diamètre découvert en 2001.
Description
a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR).
Caractéristiques orbitales
L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,03 et une inclinaison de 17,54° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 4,6 et et un périhélie inférieur à , il est classé, selon la , astéroïde troyen de Jupiter du camp troyen. Il est situé au point de Lagrange du système Soleil-Jupiter.
Caractéristiques physiques
a une magnitude absolue (H) de 11,0 et un albédo estimé à 0,065, ce qui permet de calculer un diamètre de . Ces résultats ont été obtenus grâce aux observations du Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE), un télescope spatial américain mis en orbite en 2009 et observant l'ensemble du ciel dans l'infrarouge, et publiés en 2012 dans un article regroupant les caractéristiques de .
Voir aussi
Articles connexes
Liste des planètes mineures (32001-33000)
Astéroïdes troyens de Jupiter
Liens externes
Références
Objet céleste découvert en 2001
Astéroïde troyen de Jupiter
Objet céleste découvert par LINEAR
Objet céleste découvert à l'observatoire Magdalena Ridge |
Dorno | Dorno est une commune italienne de la province de Pavie dans la région Lombardie en Italie.
Administration
Hameaux
Communes limitrophes
Alagna, Garlasco, Gropello Cairoli, Pieve Albignola, Sannazzaro de' Burgondi, Scaldasole, Valeggio, Zinasco
Notes et références
Commune dans la province de Pavie |
Église de la Madeleine de Verneuil-sur-Avre | Léglise de la Madeleine est située à Verneuil-sur-Avre (Eure). Sa tour de de haut, visible des kilomètres alentour, est devenue le symbole de la ville.
L'église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862.
Histoire
L'édifice est consacré à sainte Marie-Madeleine.
La construction commence au début du , en même temps que la fondation et le développement de la ville. La tour est édifiée à la fin du mais le manque de moyens interrompt le chantier durant 30 ans. C'est grâce à la générosité de l'évêque de Senlis, Artus Fillon, natif de Verneuil, qu'elle est achevée vers 1525. La richesse de sa décoration sculptée la fait justement comparer à la Tour de Beurre de la cathédrale Notre-Dame et à la tour-lanterne de l'abbatiale Saint-Ouen, toutes deux à Rouen.
Mobilier
Le grand orgue est l'œuvre du facteur rouennais Jean-Baptiste Lefebvre (1778).
Une remarquable Mise au tombeau du met en scène des personnages polychromes.
David d'Angers livre en 1826 un cénotaphe à la mémoire de Louis de Frotté et des sept autres officiers qui furent fusillés à Verneuil le , alors que leurs cendres sont transférées dans la crypte en 1814.
Galerie d'images
Bibliographie
Bernard Lizot, Les statues de la Tour de La Madeleine. Verneuil-sur-Avre, ASEVE, 2008.
Notes et références
Liens externes
Verneuil-sur-Avre
madeleine
Monument historique classé en 1862
Verneuil-sur-Avre}
Verneuil-sur-Avre
Eure au Moyen Âge
Normandie au XVe siècle |
Conclave de 1455 | Le conclave de 1455 se déroule à Rome, du au , juste après la mort du pape Nicolas V et aboutit à l'élection du cardinal Alonso de Borja i Llançol qui devient le pape Calixte III.
Contexte de l'élection
Cardinaux-électeurs
Élection et choix de Calixte III
Source
Ivan Cloulas : Les Borgia
Henri Pigaillem : La splendeur des Borgia
Notes et références
1455
Élection au XVe siècle
1455
XVe siècle |
Graphe hexacontaédrique trapézoïdal | Le graphe hexacontaédrique trapézoïdal est, en théorie des graphes, un graphe possédant 62 sommets et 120 arêtes. C'est le squelette du hexacontaèdre trapézoïdal, un polyèdre à 60 faces.
Propriétés
Propriétés générales
Il existe treize graphes correspondant aux squelettes des treize solides de Catalan, les polyèdres duaux des solides d'Archimède. Le graphe hexacontaédrique trapézoïdal est l'un d'eux. Les douze autres sont le graphe icositétraédrique trapézoïdal, le graphe hexakioctaédrique, le graphe hexaki-icosaédrique, le graphe hexacontaédrique pentagonal, le graphe icositétraédrique pentagonal, le graphe pentakidodécaédrique, le graphe dodécaédrique rhombique, le graphe triacontaédrique rhombique, le graphe triakioctaédrique, le graphe tétrakihexaédrique, le graphe triaki-icosaédrique et le graphe triakitétraédrique.
Le diamètre du graphe hexacontaédrique trapézoïdal, l'excentricité maximale de ses sommets, est 8, son rayon, l'excentricité minimale de ses sommets, est 6 et sa maille, la longueur de son plus court cycle, est 4. Il s'agit d'un graphe 3-sommet-connexe et d'un graphe 3-arête-connexe, c'est-à-dire qu'il est connexe et que pour le rendre déconnecté il faut le priver au minimum de 3 sommets ou de 3 arêtes.
Coloration
Le nombre chromatique du graphe hexacontaédrique trapézoïdal est 2. C'est-à-dire qu'il est possible de le colorer avec 2 couleurs de telle façon que deux sommets reliés par une arête soient toujours de couleurs différentes. Ce nombre est minimal.
L'indice chromatique du graphe hexacontaédrique trapézoïdal est 5. Il existe donc une 5-coloration des arêtes du graphe telle que deux arêtes incidentes à un même sommet soient toujours de couleurs différentes. Ce nombre est minimal.
Propriétés algébriques
Le groupe d'automorphismes du graphe hexacontaédrique trapézoïdal est d'ordre 120.
Le polynôme caractéristique de la matrice d'adjacence du graphe hexacontaédrique trapézoïdal est : .
Voir aussi
Liens internes
Théorie des graphes
Liens externes
Eric W. Weisstein, Deltoidal Hexecontahedral Graph (MathWorld)
Références
Hexacontaedrique trapezoidal |
Formigliana | Formigliana est une commune de la province de Verceil dans le Piémont en Italie.
Administration
Hameaux
Communes limitrophes
Balocco, Carisio, Casanova Elvo, Santhià, Villarboit
Notes et références
Commune dans la province de Verceil |
Árpád Feszty | Árpád Feszty ( - ) est un peintre hongrois.
Biographie
Natif de la ville d'Ógyalla (en Hongrie à l'époque mais actuelle Hurbanovo en Slovaquie), les ancêtres de Feszty sont des colons allemands (leur nom de famille d'origine était Rehrenbeck). Il est le cinquième enfant de Silvester Rehrenbeck (1819–1910), un riche propriétaire terrien d'Ógyalla, et de sa femme Jozefa (Linzmayer). Silvester avait été anobli par l'empereur le , et la famille prit ensuite le nom de Martosi Feszty (ou, en allemand : Feszty von Martos). Feszty a surtout peint dans sa carrière des scènes de l'histoire hongroise et religieuses.
Il étudie à Munich à partir de 1874, puis plus tard (1880–81) à Vienne. De retour en Hongrie, il devient célèbre grâce à deux œuvres intitulées Golgota (« Calvaire ») et Bányaszerencsétlenség (« Accident à la mine »). Il peint son tableau le plus connu, le monumental L'arrivée des Hongrois, représentant la conquête magyare de la Hongrie en 896, pour le anniversaire de la conquête, avec l'aide de beaucoup d'autres peintres, tels que Jenő Barcsay, et László Mednyánszky. Ce tableau est gravement endommagé durant la Seconde Guerre mondiale (la peinture, un cyclorama d'environ 120m de circonférence et 15m de haut, pour une surface de 1800m2, fut découpée en morceaux de 8m de long, qui furent enroulés et stockés dans divers musées). Ce n'est qu'en 1995 qu'elle est restaurée et exposée au en Hongrie.
Feszty vécut à Florence de 1899 à 1902. De retour en Hongrie, il peint des peintures plus petites et connait des difficultés financières.
Son art mélange les tendances académiques et naturalistes. Plusieurs de ses œuvres sont la propriété de la Galerie nationale hongroise à Budapest.
Ses frères Adolf et Gyula Feszty sont tous les deux des architectes reconnus et sa fille, Masa (Mária) Feszty, est aussi devenue peintre renommée de paysages, de portraits et de scènes religieuses. Son portrait du sculpteur hongrois est d'ailleurs exposé à la Galerie nationale hongroise.
Références
Liens externes
Tableaux d'Árpád Feszty
Naissance en décembre 1856
Décès en juin 1914
Peintre hongrois
Décès à 57 ans |
Ferrari F2007 | La Ferrari F2007 est la monoplace de Formule 1 engagée par la Scuderia Ferrari dans le Championnat du monde 2007. C'était le modèle de Formule 1 conçu par Ferrari. En interne, elle porte le nom de projet 658. Elle a permis à la Scuderia Ferrari de remporter le titre mondial des constructeurs, et au Finlandais Kimi Räikkönen d'être sacré chez les pilotes.
Pilotes
Felipe Massa (numéro 5)
Kimi Räikkönen (numéro 6)
Luca Badoer (pilote d'essai)
Marc Gené (pilote d'essai)
Historique
La Ferrari F2007 est présentée le dimanche à Maranello en Italie. C'est la seconde Formule 1 de 2007 à être présentée après la Toyota TF107, dévoilée la même semaine à Cologne. Seules des photos officielles, prises dans les ateliers de Ferrari au siège de Maranello et fournies par l'écurie, ont été diffusées à la presse. Dans une robe rouge vif, les logos blanc et noir du cigarettier Marlboro qui s'affiche traditionnellement sur ses flancs sont remplacés par des « codes-barres ». En accord avec la législation européenne réglementant la publicité pour le tabac, les courses disputées dans l'Union européenne en 2007 verront Ferrari arborer cette livrée. Le rapport entre la coloration de la voiture et la marque phare de Philip Morris sera donc dû à la seule association d'idées. La Ferrari F2007 est la seule Formule 1 de 2007 à toujours arborer les logos d'un cigarettier. En effet, Mild Seven, propriété de Japan Tobacco, est remplacé chez Renault par l'institution financière néerlandaise ING; McLaren a signé un contrat avec le groupe de télécommunication anglais Vodafone pour suppléer à la marque West des Allemands d'Imperial Tobacco, disparue de ses flancs depuis le milieu de la saison 2005 ; et Lucky Strike, branche de BAT, disparaît des pontons des Honda. Par rapport à la livrée de la 248 F1 de 2006, les ailerons avant et arrière passent du blanc au rouge, revêtant la monoplace d'une robe intégralement rouge. Un rouge plus flashy que précédemment. Ces ailerons sont encore, à ce moment de la saison, ceux qui équipaient la 248 F1.
Le lendemain, le Brésilien Felipe Massa baptise la monoplace sur la piste privée de Ferrari à Fiorano. Dans un brouillard hivernal humide, il prend la piste à 9 h 30 en pneus intermédiaires, sous les yeux du septuple champion du monde Michael Schumacher. Felipe Massa effectue un second roulage ce même aux alentours de midi. Quelques VIP invités par Ferrari assistent à cet essai à huis clos. Les journalistes, photographes et cadreurs sont relégués sur la route de Modène adjacente et suivent la F2007 à travers les grillages du circuit. Felipe Massa ressort encore pour plusieurs séries de tours durant l'après-midi alors que Luca di Montezemolo, président de Ferrari, et Jean Todt, administrateur délégué et directeur général de la gestion sportive, apparaissent dans le box. Kimi Räikkönen est également présent, assis sur une caisse de matériel, et plaisante avec l'essayeur « historique » Luca Badoer. Michael Schumacher apparaît très concentré et à l'écoute de Massa. À la fin de sa session, Felipe Massa confie sa satisfaction. La nouvelle suspension avant est un pas en avant : la voiture est bien plus stable. Il boucle son tour le plus rapide en 58 secondes 3. Assez loin du record de la piste, qui date de l'époque des V10. Loin également des temps de 2006 en raison des nouvelles gommes Bridgestone.
Le premier véritable test de la F2007 est accompli la semaine suivante, à Vallelunga. Ces tests étaient initialement prévu dans le nord, au Mugello, mais la neige et le froid en Toscane ont empêché la Scuderia Ferrari de s'y rendre. Les rouges ont donc préféré le circuit des alentours de Rome. Felipe Massa y pilote une F2007 durant trois jours, du mardi au jeudi . Kimi Räikkönen se contente lui d'une « vieille » 248F1 de 2006. Dans des conditions assez difficiles le premier jour, Massa a bouclé 74 tours dont le plus rapide en 1 min 14 s 493. Pas plus de chance le lendemain : la pluie, et même la grêle, retardent le programme de Ferrari. Massa est ainsi près de 4 secondes plus lent que la veille, en 1 min 18 s 767. Pour rattraper le retard accumulé, Ferrari décide de prolonger ces essais jusqu'au vendredi 26 au lieu du jeudi 25 initialement prévu. Le jour suivant, toujours pas d'embellie, ou presque, dans le ciel romain. Entre les averses, Massa boucle 86 tours, dont le plus rapide en 1 min 13 s 029. Les temps de la F2007 s'améliorent donc, malgré la météo calamiteuse.
Philosophie de conception
Châssis
La Ferrari F2007 se situe dans la continuité de la Ferrari 248 F1 de 2006, elle est conçue par une équipe d'ingénieurs à la tête de laquelle se trouvent l'Italien Aldo Costa (directeur technique), l'Italien Mario Almondo (directeur technique) et le Grec Nikolas Tombazis (chef designer). Selon Aldo Costa, le responsable du développement châssis chez Ferrari, l'aérodynamique de cette monoplace a été particulièrement soignée et revue par rapport à l'année précédente. Principalement à l'entrée des pontons, où se greffent de nombreux appendices, et autour des suspensions avant. On observe entre autres une lamelle double fixée sur l'arceau de sécurité et deux déflecteurs en demi-lunes greffés sur chacune des entrées d'air. Les rétroviseurs sont fixés sur les entrées d'air et non pas contre le baquet du pilote. Cela les éloigne assez fort de ce dernier mais les empêchent de perturber le flux d'air qui s'écoule le long du capot moteur. Curieusement, la Ferrari F2007 ne présente aucune cheminée sur le haut de ses entrées d'air, contrairement à la BMW Sauber F1.07 ou à la McLaren MP4-22. Sans doute le capot moteur spécifique aux conditions caniculaires viendra-t-il corriger cette absence.
Un énorme travail a été effectué sur la coque en nids d'abeille en fibre de carbone afin de la renforcer pour qu'elle puisse passer le crash test imposé par la FIA pour en vérifier la solidité. Et pour qu'elle puisse résister aux nouvelles exigences de ces tests frontaux et latéraux, la Ferrari F2007 affiche 10 kg de plus par rapport à sa devancière.
À l'arrière, cette coque est refermée pour épouser les formes plus étroites de la nouvelle boîte de vitesses. Elle s'arrête relativement haut au-dessus de la suspension, comme c'est désormais la norme sur les F1 modernes. Enfin, l'empattement de la voiture est plus long qu'en 2006. Les ailerons avant et arrière présents sur la monoplace lors de sa présentation étaient ceux de la 248 F1, de nouveaux ailerons restant à développer avant le premier Grand Prix de la saison à Melbourne le .
Boîte de vitesses
La boîte de vitesses semi-automatique séquentielle à contrôle électronique a été développée dans les ateliers de Ferrari à Maranello. C'est une boîte longitudinale à sept rapports et une marche arrière. Elle bénéficie d'un "quick shift", un dispositif à changements rapides, permettant de perdre un minimum de temps entre deux changements de rapport. Ce système annule le temps d'attente et fonctionne sur tous les rapports et dans toutes les conditions.
Moteur
Le moteur de la Ferrari F2007 est un V8 à 90°. Il est presque similaire au bloc 056 de 2006 car le règlement FIA de 2007 impose désormais un gel des moteurs sur toute la saison, empêchant son évolution depuis le Grand Prix de Chine 2006 à Shanghai. Ce pour des raisons d'économie des coûts de développement. Il se nomme donc toujours 056. Malgré cela, le responsable du département moteur de Ferrari, Gilles Simon, a noté certaines modifications, notamment pour adapter le régime limité aux par minute autorisés par la FIA. Ainsi, la chambre de combustion, les soupapes, les arbres à cames et les conduits d'aspiration et de sortie ont été retravaillés. Autre difficulté : l'intégration du "vieux" bloc 056 au nouveau châssis F2007. Ainsi, les entrées et sortie des fluides (eau et huile), les pistons, les jets de refroidissement de ces pistons et le positionnement de certains accessoires ont été modifiés pour faciliter l'intégration du bloc au train arrière très compact, dû à la boîte de vitesses réduite. Le développement du bloc 056 sera gelé sur la F2007 le comme sur toutes les autres Formules 1 du Championnat du Monde FIA 2007. Mais certains accessoires resteront modifiables, comme l'amélioration des lubrifiants. Ce bloc 056 équipe aussi les monoplaces des écuries Scuderia Toro Rosso et Spyker.
Résultats en championnat du monde de Formule 1
Saison 2007 :
Départs en Grands Prix : 17
Abandons : 4
2: Kimi Räikkönen: Espagne (Électrique), Europe (Hydraulique)
2: Felipe Massa: Canada (Drapeau Noir), Italie (Suspension)
Victoire(s) : 9
6: Kimi Räikkönen: Australie, France, Royaume-Uni, Belgique, Chine, Brésil
3: Felipe Massa: Bahreïn, Espagne, Turquie
Podium(s) : 22
12: Kimi Räikkönen: Australie, Malaisie, Bahreïn, France, Royaume-Uni, Hongrie, Turquie, Italie, Belgique, Japon, Chine, Brésil
10: Felipe Massa: Bahreïn, Espagne, Monaco, USA, France, Europe, Turquie, Belgique, Chine, Brésil
Pole Position(s) : 9
6: Felipe Massa: Malaisie, Bahreïn, Espagne, France, Turquie, Brésil
3: Kimi Räikkönen: Australie, Europe, Belgique
Meilleure Qualification : Malaisie, Australie, Bahreïn, Espagne, France, Europe, Belgique, Brésil
Felipe Massa: 1
Kimi Räikkönen: 1
Meilleurs tours en course : 12
6: Felipe Massa: Bahreïn, Espagne, France, Europe, Belgique, Chine
6: Kimi Räikkönen: Australie, USA, Royaume-Uni, Hongrie, Turquie, Brésil
Comparatif Qualifications : Felipe Massa 9 - 8 Kimi Räikkönen
Comparatif Course : Felipe Massa 6 - 11 Kimi Räikkönen
Positions aux Championnats du Monde : 1 devant BMW (92 points)
Pilotes :
Felipe Massa : 4 94 points
Kimi Räikkönen : 1 110 points
Constructeurs : Champion 204 points
Lien externe
F2007
Automobile des années 2000
Sport en Italie en 2007
Formule 1 en 2007 |
L'Étudiant (film, 2012) | L'Étudiant (kazakh : , Student) est un film kazakh de Darezhan Omirbaev sorti en 2012. Il est une adaptation du roman Crime et Châtiment de l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski.
Présenté dans le cadre de la sélection Un certain regard du festival de Cannes 2012, il a été projeté pour la première fois le .
Synopsis
Fiche technique
Titre : L'Étudiant
Titre original : (Student)
Réalisation : Darezhan Omirbaev d'après le roman Crime et Châtiment et Fiodor Dostoïevski
Scénario : Darezhan Omirbaev
Musique : Bauyrzhan Kuanyshev
Photographie : Boris Troshev
Production : Limara Zjeksembajeva
Société de production : Kazakhfilm Studios
Société de distribution : Les Acacias (France)
Pays :
Genre : Drame
Durée : 90 minutes
Dates de sortie :
: (festival de Cannes),
Distribution
Nurlan Bajtasov : l'étudiant
Edige Bolysbaev : l'écrivain
Darezhan Omirbaev : Nariman Turebaev
Asel Sagatova : l'actrice
Arushan Sain : la maître de conférence
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
Liens externes
Film kazakh sorti en 2012
Film dramatique kazakh
Crime et Châtiment
Adaptation d'un roman russe au cinéma
Film tiré d'une œuvre de Fiodor Dostoïevski
Film se déroulant au Kazakhstan
Film en kazakh
Film en russe |
Say | Say peut faire référence à :
Patronymes
Thomas Say (1787-1834), un naturaliste et zoologiste américain,
Fazil Say (né en 1970), pianiste et compositeur turc,
Famille Say.
Jean-Baptiste Say (1767-1832), économiste français,
Horace Émile Say (1794-1860), fils de Jean-Baptiste Say, économiste français,
Léon Say (1826-1896), fils de Horace Émile Say, économiste et homme politique français,
Louis Say (1774-1840), frère de Jean-Baptiste Say, créateur de la première raffinerie de sucre de betterave en 1812,
Marie Say (1857-1943), riche héritière et petite-fille de Louis Say,
Paronyme
René Resciniti de Says, militant nationaliste français.
Toponymes
Say, une ville du Niger,
Say, un département du Niger.
Divers
Loi de Say, ou loi des débouchés, énoncée par Jean-Baptiste Say,
Béghin-Say, une marque du groupe Tereos, première marque de sucre en France,
Say est un album de Cat Power dans son album de 1998 Moon Power.
Say est une chanteuse japonaise de R&B, née dans la Préfecture de Nagano.
Say (All I Need) est une chanson du groupe de rock/pop OneRepublic (2008).
Code
SAY, sigle composé des trois lettres S, A et Y, peut faire référence à :
Sienne, selon la liste des codes AITA des aéroports/S,
Scot Airways, selon la liste des codes OACI des compagnies aériennes.
''Sakuranbo Television, une station de télévision japonais à Yamagata |
Berlinale 1952 | La Berlinale 1952 est la du festival du film de Berlin, qui s'est déroulée du au . L'un des principaux invités d'honneur fut le cinéaste américain Billy Wilder. Gina Lollobrigida est la vedette de ce festival, durant lequel elle est présente dans deux films en compétition : Une femme pour une nuit, et Fanfan la Tulipe. De 1952 à 1955, les prix sont décernés à la suite d'un vote du public, chaque spectateur pouvant noter de un à quatre un film à l'issue de la projection.
Sélection officielle
La sélection officielle en compétition se compose de 28 films.
12 juin
Le Puits (The Well) de Leo C. Popkin et Russell Rouse (États-Unis)
13 juin
Miracle à Milan (Miracolo a Milano) de Vittorio De Sica (Italie)
Postlagernd Turteltaube de Gerhard T. Buchholz (Allemagne)
Valse dans la nuit (Unter den tausend Laternen) d'Erich Engel (Allemagne-France)
14 juin
Le Banquet des fraudeurs de Henri Storck (Belgique)
Le Noceur (Balarrasa) de José Antonio Nieves Conde (Espagne)
15 juin
La Vérité sur Bébé Donge de Henri Decoin (France)
White Corridors de Pat Jackson (Royaume-Uni)
L'Île au trésor (États-Unis)
16 juin
Yhden yön hinta de Edvin Laine (Finlande)
Bellissima de Luchino Visconti (Italie)
17 juin
La Boîte magique (The Magic Box) de John Boulting (Royaume-Uni)
Le Fleuve (The River) de Jean Renoir (France-Inde-USA)
18 juin
Lola, la piconera de Luis Lucia Mingarro (Espagne)
Rashômon d'Akira Kurosawa (Japon)
Une femme pour une nuit (Moglie per una notte) de Mario Camerini (Italie)
19 juin
Elle n'a dansé qu'un seul été (Hon dansade en sommar) de Arne Mattsson (Suède)
Un grand patron de Yves Ciampi (France)
20 juin
Histoires interdites (Tre storie proibite) d'Augusto Genina
Agence matrimoniale de Jean-Paul Le Chanois
21 juin
Fanfan la Tulipe de Christian-Jaque (France-Italie)
Pleure, ô pays bien-aimé (Cry, the Beloved Country) de Zoltan Korda (Grande-Bretagne)
22 juin
Mains criminelles (En la palma de tu mano) de Roberto Gavaldón (Mexique)
Sensualité (Sensualità) de Clemente Fracassi (Italie)
23 juin
Frånskild de Gustaf Molander (Suède)
Zeinab de Mohammed Karim (Égypte)
25 juin
Umberto D. de Vittorio De Sica (Italie)
Trois femmes d'André Michel (France)
Palmarès
Ours d'or
Elle n'a dansé qu'un seul été de Arne Mattsson
Fanfan la Tulipe de Christian-Jaque
Ours d'argent (Grand prix du jury)
Fanfan la Tulipe de Christian-Jaque
Meilleur acteur pour Fanfan la Tulipe
Meilleure actrice pour Fanfan la Tulipe
Meilleur réalisateur pour Fanfan la Tulipe
Ours de bronze
'''Pleure, ô pays bien-aimé de Zoltan Korda
Fanfan la Tulipe de Christian-Jaque
Notes et références
Liens externes
Édition 1952 sur le site officiel de la Berlinale
1952 en Allemagne
1952 au cinéma
1952
Festival de cinéma en 1952
Juin 1952 |
Chansons pour l'élite | Chansons pour l'élite est un album de Plume Latraverse, sorti en 1979.
Liste des titres
Album de Plume Latraverse
Album musical sorti en 1979 |
Micheline Coulombe Saint-Marcoux | Micheline Coulombe Saint-Marcoux (, Notre-Dame-de-la-Doré, Québec, Canada - , Montréal, Canada à l'âge de 46 ans) était une compositrice de musique électroacoustique.
Biographie
Micheline Coulombe Saint-Marcoux est née à Notre-Dame-de-la-Doré, dans la région du Lac Saint-Jean, au Québec, le . Son enfance tout près de la nature, et la maison familiale où l'on chantait toujours, vont marquer sa manière d'explorer la voix (Arksalalartôq) et d'évoquer les paysages naturels (Moustières) dans ses dernières œuvres électroacoustiques.
Venue à Montréal poursuivre sa formation musicale, elle étudie d'abord à l'Institut Cardinal-Léger avec Yvonne Hubert (piano), ensuite à l'École Vincent-d'Indy où elle continue le piano avec Claude Champagne. Gilles Tremblay, Françoise Aubut et surtout Clermont Pépin lui permettront d'atteindre une maîtrise peu commune chez une jeune compositeure.
En 1967, le Conservatoire de musique du Québec lui décerne un premier prix de composition pour Modulaire, œuvre pour grand orchestre et ondes Martenot, et l'Académie de musique de Québec lui attribue son Prix d'Europe. En 1965, elle effectue un stage à l'Académie internationale d'été de Nice, au cours duquel elle travaille avec Tony Aubin. En 1968, à la suggestion de Iannis Xenakis, elle se rend à Paris pour se familiariser avec le Groupe de recherches musicales de l'ORTF et y travaille avec François Bayle, Guy Reibel et Bernard Parmegiani. En 1969, elle participe à plusieurs festivals internationaux et fonde avec cinq jeunes compositeurs le Groupe international de musique électroacoustique de Paris (GIMEP), qui donne plusieurs concerts en Europe, en Amérique du Sud et au Canada entre 1969 et 1973.
À son retour au Québec en 1971, en plus d'enseigner au Conservatoire de Montréal, «elle s'impliquera complètement dans le milieu musical québécois et canadien tout en gardant le contact avec l'Europe. Une succession d'œuvres suivra, pour petits ensembles, ou des commandes pour les grands orchestres canadiens, des compositions aux titres étranges, évocateurs des climats qu'elle créait: Trakadie, Arksalalartôq, Makazoti, Alchera, Ishuma, Genesis; des consonances déroutantes comme pour mieux nous faire basculer dans son univers si particulier.» (Liliane Blanc)
Micheline Coulombe Saint-Marcoux, qui est décédée prématurément le d'une tumeur au cerveau, estimait que «le véritable créateur se définit par son refus de perpétuer les expériences passées qui étaient alors le reflet de ces époques, par sa volonté de s'intégrer au monde actuel, de faire le présent et continuer cette projection (...), cet élan que d'autres reprendront dans le futur.»
Discographie
Impulsion (empreintes DIGITALes, IMED 0159, 2001)
Liste d'œuvres
Alchera (1972-73), mezzo-soprano, flûte (piccolo), clarinette, trombone, violon, violoncelle, clavecin (orgue Hammond), bande et lumières
Arksalalartôq (1970-71)
Arksalalartôq (1970-71, 76), voix, interprète et bande
Bernavir (1970)
Chut (1969)
Comment Wang-Fô fut sauvé (1982-83), musique de scène; flûte, cor, violocelle, piano, percussions, ondes Martenot et bande
Constellation I (1981)
Contrastances (1971)
Miroirs (1975), clavecin et bande
Moustières (1971)
Regards (1978), hautbois, clarinette, trombone, harpe, piano, percussions, alto, violoncelle, contrebasse et bande
Tel qu'en Lemieux (1973), bande sonore pour le film documentaire de Guy Robert (OFQ #7829)
Trakadie (1970), percussions et bande
Transit (1984), mezzo-soprano, soprano, quatuor vocal, flûte, trombone, percussions, violoncelle, ondes Martenot et bande
Zones (1971-72)
Liens externes
Sa biographie sur electrocd.com
Notes et références
Musique électroacoustique
Compositrice canadienne de musique classique de la période contemporaine
Compositrice québécoise
Naissance au Saguenay–Lac-Saint-Jean
Naissance en août 1938
Décès à Montréal
Décès en février 1985
Décès à 46 ans
Élève du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris |
5e régiment de tirailleurs de la Garde impériale | Le de la garde est un régiment français des guerres napoléoniennes. Il fait partie de la Jeune Garde.
Historique du régiment
1811 - Créé et nommé de tirailleurs de la Garde impériale
1814 - Dissout.
1815 - Reformé de tirailleurs de la Garde impériale
Chef de corps
1811 : Jean-François Hennequin
1814 : Louis-André Dupré
1815 : Edmé-Charles-Louis Lepaige-Dorsenne
Batailles
Ce sont les batailles principales où fut engagé très activement le régiment. Il participa évidemment à plusieurs autres batailles, surtout en 1814.
1812 : Krasnoé, Borisow, La Bérézina, Smorgoni, Wilna et Kowno
1813 : Dresde, Leipzig, Eisenach et Frabcfort
1814 : Bar-sur-Aube, Brienne, La Rothière, Rosnay, Montmirail, Arcis-sur-Aube et Paris
1815 : Waterloo
Voir aussi
Liste des unités de la Garde impériale (Premier Empire)
Tirailleur |
Jūzō Megure | Jūzō Maigret (目暮 十三, Megure Jūzō) est un personnage du manga Détective Conan.
Voix japonaise : Chafurin
Voix françaises : Emmanuel Liénart (série), Cyrille Monge (films)
est un inspecteur de la police qui arrive très souvent sur les lieux d'un crime. Portant un gros imperméable orange et chapeau, c'est un homme droit et sérieux qui a du respect pour Shinichi, et moins pour Kogoro Mouri, mais son estime augmente depuis que ce dernier « résout » des affaires avec brio. Le nom de Megure est fondé sur celui du Commissaire Maigret. Ce nom fut d'ailleurs utilisé dans les débuts de la version française, avant de revenir à la transposition du japonais. Il n'enlève jamais son chapeau, car sinon cela lui rappelle une triste cicatrice d'une affaire du passé, les circonstances où il a rencontré son épouse Midori (tomes 28-29). En effet, Midori était dans sa jeunesse une femme au style furyo, qui voulut piéger par elle-même un tueur en série qui fonçait volontairement avec sa voiture sur des furyo, en jouant l'appât, contre l'avis de Megure qui l'avait rencontrée et avertie à ce moment-là. Mais alors que Midori désobéit un jour, souhaitant se venger de celui qui avait tué sa meilleure amie, Megure se jeta sur la route et ils furent tous deux renversés par la voiture du tueur. Lui s'en tira avec une grosse cicatrice sur le crâne, tandis que Midori était entre la vie et la mort. Elle survécut finalement et épousa Megure, chacun ayant une cicatrice au visage, que Midori cache avec ses cheveux, et Megure avec son chapeau.
Personnage
Inspecteur de la police de Tokyo, il est souvent appelé sur les lieux d'un crime où se trouve Conan. Portant constamment un gros imperméable orange et un chapeau, il respecte beaucoup l'esprit de déduction de Shinichi. En revanche, il a au début un profond mépris pour Kogoro Mōri, ne voyant en lui qu'un ancien policier alcoolique. Mais son estime pour lui augmente depuis que ce dernier "résout" des affaires avec talent, et n'hésite pas à faire appel à lui pour certaines affaires délicates. Kogoro Mōri et Megure étaient d'anciens co-officiers au Département de la Police Métropolitaine de Tokyo.
On apprendra plus tard la raison pour laquelle il ne quitte jamais son chapeau : sur son front se trouve une grande cicatrice faite après avoir poursuivi un agresseur de jeunes filles. L'une de ces jeunes filles propose de tendre un piège à l'agresseur, c'est à l'inspecteur Megure de surveiller celle-ci. L'agresseur, qui avait l'habitude de renverser ses victimes en voiture, tente d'écraser la jeune fille volontaire : elle est sauvée par Megure. Plus tard, cette jeune fille se marie avec l'inspecteur et devient sa femme. C'est pour éviter de raconter cette histoire privée qu'il dissimule son front sous un chapeau.
Origine du nom
Le nom de Megure est basé, comme beaucoup de noms dans le manga, sur celui d'un auteur ou d'un personnage célèbre de romans policiers. Ici, il s'agit de Jules Maigret, le héros de Georges Simenon. Le prénom est un jeu de mots sur le chiffre japonais 13.
Notes et références
Personnage de Détective Conan
Policier de fiction
Personnage de fiction japonais
Personnage de fiction créé en 1994 |
Éole fils d'Hellen | Dans la mythologie grecque, Éole (en grec ancien / ), fils d'Hellen et de la nymphe Orséis (et par conséquent petit-fils de Deucalion ou Zeus suivant les versions), est le héros éponyme des Éoliens.
Il avait deux frères : Xouthos et Doros. Il régnait en Thessalie et en Magnésie et épousa Énarété, fille de Déimaque, dont il eut sept fils : Sisyphe, Athamas, Créthée, Salmonée, Magnès, Périérès et Déion, auxquels s'ajoutent selon les traditions Éthlios et Mimas. S'y ajoutent de plus cinq filles qui sont : Alcyone, Pisidicé, Calycé, Canacé, et Périmède. Selon certains auteurs, Tanagra et Arné sont aussi ses filles.
Notes et références
Roi mythique de Thessalie
Progéniture divine dans la mythologie grecque |
Silent Alarm Remixed | Peu de temps après la sortie de leur premier album Silent Alarm, Bloc Party ressort un album totalement remixé du nom de Silent Alarm Remixed.
Liste des chansons
Like Eating Glass (Ladytron Zapatista Mix)
Helicopter (Whitey version)
Positive Tension (Jason Clark of Pretty Girls Make Graves Remix)
Banquet (Phones Disco Edit)
Blue Light (Engineers 'Anti Gravity' Mix)
She's Hearing Voices (Erol Alkan's Calling Your Dub)
This Modern Love (Dave Pianka's Making Time Remix)
The Pioneers (M83 Remix)
Price of Gasoline (Automato Remix)
So Here We Are (Fourtet Remix)
Luno (Bloc Party Vs Death From Above 1979)
Plans (Replanned by Mogwaï)
Compliments (Shibuyaaka Remix by Nick Zinner)
Album de remix
Album de Bloc Party
Album musical sorti en 2005
Album produit par Paul Epworth |
Chronologie du cinéma de science-fiction de 1900 à 1949 | Cet article est une liste chronologique de films de science-fiction. La nationalité des films non-américains est précisée.
De 1895 à 1909
1895
La Charcuterie mécanique de Louis Lumière
1896
La Fée aux choux, court métrage français réalisé par Alice Guy. Il est transposé en en 1900.
1897
Gugusse et l'Automate de Georges Méliès
The X-Rays de George Albert Smith
1898
La Lune à un mètre réalisé par Georges Méliès
1898
Les Rayons X de Georges Méliès
1900
Coppelia : La Poupée animée de Georges Méliès
1902
Le Voyage dans la Lune, un court métrage français de Georges Méliès
1904
Le Voyage à travers l'impossible, un court métrage français de Georges Méliès
The ? Motorist, un court métrage britannique de Walter R. Booth
1906
Voyage autour d'une étoile, un court métrage franco-italien de Gaston Velle
1907
20000 lieues sous les mers, un court métrage français de Georges Méliès (adaptation du roman Vingt mille lieues sous les mers (1869) de Jules Verne)
L'Éclipse du soleil en pleine lune de Georges Méliès,
1908
Hôtel électrique de Segundo de Chomón
Excursion dans la Lune de Segundo de Chomón
Au clair de la lune ou Pierrot malheureux de Georges Méliès
1909
La Guerre aérienne du futur (The Airship Destroyer), un court métrage britannique de Walter R. Booth
Le Voyage sur Jupiter de Segundo de Chomón
De 1910 à 1919
1910
A Trip to Mars, un court métrage d'Ashley Miller
Frankenstein de J. Searle Dawley
Voyage au centre de la Terre de Segundo de Chomón
Un mariage interplanétaire, un court métrage italien d'Enrico Novelli
1911
Aerial Anarchists, un court métrage britannique de Walter R. Booth
The Automatic Motorist de Walter R. Booth
1912
À la conquête du pôle de Georges Méliès
1913
Der Herr der Welt de Rudolf del Zopp.
A Message from Mars de J. Wallett Waller
Le Voyage en ballon (titre original : Amerika - Europa im Luftschiff) d'Alfred Lind
Les aventures extraordinaires de Saturnin Farandoul (Le avventure straordinarissime di Saturnino Farandola) de Marcel Fabre
1915
La Folie du docteur Tube de Abel Gance
Filibus de Mario Roncoroni
1916
20000 lieues sous les mers (20,000 Leagues Under the Sea), un film de Stuart Paton (adaptation du roman Vingt mille lieues sous les mers (1869) de Jules Verne, en 1907 par Georges Méliès)
Homunculus d'Otto Rippert
La Fin du monde de August Blom
Verdens Undergang, un film danois d'August Blom
1918
Alraune, un film hongrois de Michael Curtiz et Edmund Fritz (adaptation du roman Alraune de Hanns Heinz Ewers (1911))
Alraune, die Henkerstochter, genannt die rote Hanne, un film allemand d'Eugen Illés et Josef Klein
Le Vaisseau du ciel de Holger-Madsen
1919
Die Arche, un film allemand de Richard Oswald
Les Premiers Hommes dans la Lune (The First Men in the Moon), un film britannique de Bruce Gordon et J.L.V. Leigh
La Maîtresse du monde (Die Herrin der Welt) de Joe May, Josef Klein, Uwe Jens Krafft et Karl Gerhardt
De 1920 à 1929
1920
Algol. Eine Tragödie der Macht, un film allemand de Hans Werckmeister
The Invisible Ray de Harry A. Pollard
The Master Mystery de Harry Grossman et Burton L. King
1921
L'Homme mécanique (l'Uomo Meccanico) d'André Deed
1922
L'Homme de l'au-delà (), un film de Burton L. King
1923
The Unknown Purple, un film de Roland West
1924
Aelita (Аэлита), un film soviétique de Yakov Protazanov
La Cité foudroyée, un film français de Luitz-Morat
L'Inhumaine de Marcel L'Herbier
Interplanetary Revolution de Zenon Komissarenko, Nikolai Khodataev et Juri Merkulow
The Last Man on Earth, un film de John G. Blystone (adaptation du roman The Last Man (1823) de Mary Shelley)
Les Mains d'Orlac, un film germano-autrichien de Robert Wiene (adaptation du roman Les Mains d'Orlac (1921) de Maurice Renard)
1925
Le Monde perdu de Harry O. Hoyt
Les merveilles de la création, un film allemand de Hanns Walter Kornblum
Le Rayon de la mort (Луч смерти), un film soviétique de Lev Koulechov
The Power God de Ben F. Wilson et Francis Ford
Paris qui dort, un film français de René Clair
Wunder der Schöpfung de Hanns Walter Kornblum, Rudolf Biebrach et Johannes Meyer
1927
Metropolis, un film allemand de Fritz Lang
1928
Alraune, un film allemand de Henrik Galeen (adaptation du roman Alraune de Hanns Heinz Ewers (1911), en 1918 par Michael Curtiz et Edmund Fritz)
1929
Point ne tueras (High Treason), un film britannique de Maurice Elvey
L'Île mystérieuse de Lucien Hubbard
La Femme sur la Lune (Frau im Mond), un film allemand de Fritz Lang
De 1930 à 1939
1930
L'Amour en l'an 2000 (Just Imagine) de David Butler.
Alraune, un film allemand de Richard Oswald (adaptation du roman Alraune de Hanns Heinz Ewers (1911), en 1918 par Michael Curtiz et Edmund Fritz)
The Voice from the Sky de Ben F. Wilson
1931
Frankenstein (1931), un film de James Whale NFR (adaptation du roman Frankenstein or The Modern Prometheus (1818) de Mary Shelley)
La fin du monde, un film français d'Abel Gance
À nous la liberté de René Clair
1932
L'Atlantide de Georg Wilhelm Pabst
Six Hours to Live de William Dieterle
L’Île du docteur Moreau d'Erle C. Kenton
1933
It's Great to Be Alive d'Alfred L. Werker
Deluge, un film de Felix E. Feist
Men Must Fight d'Edgar Selwyn
L'homme invisible (The Invisible Man), un film de James Whale
IF1 ne répond plus de Karl Hartl
King Kong de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack
Le tunnel, un film allemand de Curtis Bernhardt
1934
L'Or de Karl Hartl et Serge de Poligny
Le Maitre du Monde (Der Herr der Welt) de Harry Piel
The Vanishing Shadow de Lew Landers
Le monde sans masque (Die Welt ohne Maske) de Harry Piel
1935
L’Empire fantôme (The Phantom Empire) d'Otto Brower et B. Reeves Eason
La Fiancée de Frankenstein, un film de James Whale NFR (suite du film Frankenstein (1931) du même réalisateur)
Once in a New Moon de Anthony Kimmins
Air Hawks d'Albert Rogell
Mort d'une sensation d'Alexandr Andriyevsky
The Lost City de Sherman S. Krellberg
1936
Le Rayon invisible de Lambert Hillyer
Flash Gordon de Frederick Stephani et Ray Taylor
Le Mort qui marche de Michael Curtiz
Cerveaux de rechange de Robert Stevenson
Les Mondes futurs de William Cameron Menzies (adaptation du roman The Shape of Things to Come (1933) de H. G. Wells)
Le Voyage cosmique (Космический рейс), un film soviétique de Vassili Jouravlev
Undersea Kingdom de B. Reeves Eason et Joseph Kane
Ghost Patrol de Sam Newfield
1937
Bulldog Drummond at Bay, un film de Norman Lee
1938
Mars Attacks the World, un film de Ford Beebe et Robert F. Hill
1939
Buck Rogers, un film de Ford Beebe et Saul A. Goodkind
Mille chilometri al minuto, un film italien de Mario Matolli
Le monde tremblera, un film français de Richard Pottier
De 1940 à 1949
1940
Docteur Cyclope, un film d'Ernest B. Schoedsack
La Femme invisible, un film de A. Edward Sutherland
Murder in the Air de Lewis Seiler
Weltraumschiff I startet d'Anton Kutter
The Ape, connu en français sous le nom Le Singe Tueur, un film de William Nigh
1942
Croisières sidérales, un film français d'André Zwobada
L'Agent invisible contre la Gestapo, un film d'Edwin L. Marin
1943
The Ape Man, un film de William Beaudine
L'Agent secret de Seymour Kneitel
1944
La Vengeance de l'homme invisible, un film de Ford Beebe
1946
Le Pays sans étoiles de Georges Lacombe
L'Ennemi sans visage de Robert-Paul Dagan et Maurice Cammage
1947
Meteory, un film soviétique de Pavel Klouchantsev
1949
N'oubliez pas la formule de Charles Barton
Notes et références
XXe siècle au cinéma
Chronologie du cinéma de science-fiction |
Nathanaël Hulleu | Nathanaël Hulleu, né le à Carcassonne, est un joueur français de rugby à XV qui évolue au poste d'ailier à l'Union Bordeaux Bègles.
Biographie
Hulleu est né à Carcassonne.
Il commence le rugby au RC Le Môle à Bonneville avant de jouer pour RC Faucigny Sallanches Mont-Blanc. À 15 ans, il rejoint le FC Grenoble avec lequel il devient champion de France juniors Crabos en 2018 en s'imposant contre le castres olympique (20-13).
Révélation du FC Grenoble avec 4 essais en 4 titularisations, il est très vite convoité par le Lyon OU et l'Union Bordeaux Bègles.
Encore en convention avec le centre de formation du FC Grenoble, il s'engage à l'Union Bordeaux Bègles pour 3 ans. Sa signature crée une polémique car il aurait été démarché pendant le Tournoi des Six Nations des moins de 20 ans 2020 sans que le club en soit informé d'après le président du FC Grenoble, Nicolas Cuynat.
Carrière
En club
RC Le Môle
RC Faucigny Sallanches Mont-Blanc
FC Grenoble
Union Bordeaux Bègles
En sélection
Il fait ses débuts en équipe de France des moins de 20 ans le « à domicile » au Stade des Alpes, alors qu'il évolue au FCG.
Palmarès
Champion de France Crabos avec le FC Grenoble
Notes et références
Liens externes
Joueur français de rugby à XV
Joueur du FC Grenoble
Joueur de l'Union Bordeaux Bègles
Ailier (rugby à XV)
Naissance en mai 2000
Naissance à Carcassonne |
Déclaration de Bréda | Pour les traités portant le nom de Breda, Traité de Breda.
La Déclaration de Breda (datée du 4 avril 1660) était une proclamation de Charles II d'Angleterre dans laquelle il promettait un pardon général pour les crimes commis pendant la guerre civile anglaise et l'interrègne pour tous ceux qui reconnaissaient Charles comme le roi légitime ; la conservation par les propriétaires actuels des biens achetés pendant la même période ; la tolérance religieuse ; et le paiement des arriérés aux membres de l'armée, et que l'armée serait remise en service sous la couronne. En outre, en ce qui concerne les deux derniers points, le Parlement se voit confier l'autorité de juger les litiges relatifs à la propriété et la responsabilité du paiement de l'armée. Les trois premiers engagements étaient tous susceptibles d'être modifiés par des lois du parlement[1].
La déclaration a été rédigée en réponse à un message secret envoyé par le général George Monck,[2] qui contrôlait alors efficacement l'Angleterre. Le mai 1660, le contenu de la déclaration et des lettres qui l'accompagnent est rendu public. Le lendemain, le Parlement adopte une résolution selon laquelle "le gouvernement doit être assuré par le roi, les lords et les communes" et Charles est invité en Angleterre pour recevoir sa couronne. Le 8 mai, Charles est proclamé roi. Sur les conseils de Monck, les Communes rejettent une résolution proposée par le juriste Matthew Hale (membre du Gloucestershire) pour qu'un comité soit formé afin d'examiner les concessions offertes par Charles et de négocier avec le Roi des conditions telles que celles proposées à son père dans le traité de Newport[3][4].
La déclaration porte le nom de la ville de Breda, aux Pays-Bas. Elle a en fait été rédigée dans les Pays-Bas espagnols, où Charles résidait depuis mars 1656 ; cependant, au moment de la rédaction, l'Angleterre était en guerre avec l'Espagne depuis 1655. Pour surmonter les difficultés, tant pratiques qu'en termes de relations publiques, qu'un futur roi d'Angleterre s'adresse à ses sujets depuis un territoire ennemi, Monck conseille à Charles de s'installer aux Pays-Bas et de dater ses lettres comme si elles étaient postées depuis Breda. Charles quitte Bruxelles, sa dernière résidence dans les Pays-Bas espagnols, et en passant par Anvers, arrive à Breda le 4 avril, où il réside jusqu'au 14 mai. Il se rendit ensuite à La Haye, où il fut reçu par les États généraux des Pays-Bas comme un roi d'Angleterre et reçut une réception grandiose. Il quitta Scheveningen pour l'Angleterre le 2 juin sur le HMS Royal Charles, l'ancien Naseby qui fut rebaptisé à son arrivée sur la côte néerlandaise. La déclaration, cependant (en fait plusieurs lettres, adressées à Monck, aux Chambres du Parlement et à la Cité de Londres), fut envoyée dès que Charles eut franchi la frontière de la République néerlandaise, et fut datée du 4 avril (OS)/14 avril (NS).
La déclaration a été rédigée par Charles et ses trois principaux conseillers, Edward Hyde, James Butler et Nicholas Monck[a], afin d'énoncer les termes par lesquels Charles espérait prendre "la possession de ce droit que Dieu et la nature nous ont rendu dû"[5].
La déclaration promettait un "pardon libre et général" à tous les anciens ennemis de Charles et de son père qui reconnaissaient Charles II comme leur monarque légitime, "à l'exception seulement des personnes qui seront par la suite exceptées par le parlement". Cependant, Charles s'était toujours attendu, ou du moins son chancelier, Edward Hyde (plus tard comte de Clarendon), à ce que tous ceux qui avaient été immédiatement impliqués dans la mort de son père soient punis,[6] et même s'il était désavantagé, tout en professant le pardon et la faveur à l'égard de beaucoup de gens, il avait constamment excepté les régicides.[7] Une fois Charles rétabli sur le trône, Hyde a fait passer en son nom l'Acte d'Indemnité et d'Oblivion au Parlement. Cette loi pardonnait la plupart de ceux qui s'étaient rangés du côté du Parlement pendant la guerre civile, mais excluait les régicides, deux républicains impénitents de premier plan, John Lambert et Henry Vane le Jeune, et une vingtaine d'autres se voyaient interdire toute fonction publique ou tout siège au Parlement[8].
Dans la déclaration, Charles promettait la tolérance religieuse dans les domaines où elle ne troublait pas la paix du royaume,[9] et un acte du Parlement pour "l'octroi de cette indulgence". Cependant, le Parlement choisit d'interpréter la menace pour la paix du royaume comme incluant l'exercice de fonctions publiques par des non-anglicans. Entre 1660 et 1665, le Parlement cavalier adopte quatre lois connues sous le nom de Code de Clarendon. Ceux-ci limitaient sévèrement les droits des catholiques romains et des non-conformistes, tels que les puritains qui avaient atteint le zénith de leur influence sous le Commonwealth, les excluant de fait de la politique nationale et locale[10].
La déclaration s'engage à régler les arriérés de paiement des soldats du général Monck. Les classes terriennes sont rassurées par le fait que l'établissement de la justice des concessions et des achats de domaines contestés qui avaient été faits "dans les distractions continues de tant d'années et de tant de grandes révolutions" devait être déterminé par le Parlement. Charles II semblait avoir "offert quelque chose à tout le monde dans ses conditions de reprise du gouvernement"[11].
Des copies de la Déclaration ont été remises aux deux chambres du Parlement de la Convention par John Grenville. D'autres copies, accompagnées de lettres d'accompagnement distinctes, ont été remises au Lord Général George Monck pour être communiquées au Lord Président du Conseil d'État et aux officiers de l'armée sous son commandement, ainsi qu'aux généraux de la "Marine en mer" et au Lord Maire de Londres[12].
Plusieurs navires de guerre de la Royal Navy seront plus tard nommés HMS Breda après la déclaration.
Notes
Nicholas Monck était un ecclésiastique et le frère du général George Monck, qui portait les lettres entre son frère et Charles II.
Citations
Lister 1838, p. 501
Hutton 2000, p. 130
Lister 1838, pp. 508,509
Hostettler 2002, p. 73
Voir le Droit Divin des Rois, sur lequel les Stuarts insistaient.
Hallam 1859, p. 406 citant Life of Clarendon, p. 69.
Hallam 1859, p. 406 cite Clar. State Papers, iii., 427, 529.
Hallam 1859, p. 408
"une liberté de conscience, et que personne ne soit inquiété ou mis en cause pour des différences d'opinion en matière de religion qui ne troublent pas la paix du royaume".
Citoyenneté britannique : Religious minorities, The National Archives, consulté le 1er juillet 2010.
Encyclopædia Britannica 15ème édition Volume 3 p. 64
Lister 1838, p.500
Références
Lister, Thomas Henry (1838). Life and administration of Edward, first Earl of Clarendon : with original correspondence, and authentic papers never before published. Longman, Orme, Brown, Green et Longmans.
Hostettler, John (2002). The Red Gown : The Life and Works of Sir Matthew Hale. Chichester : Barry Rose Law Publishers. .
Hallam, Henry (1859). The constitutional history of England, from the accession of Henry VII. to the death of George II. Harper.
Hutton, Ronald (2000). La République britannique 1649-1660. édition Macmillan. .
Liens externes
Wikisource a le texte original lié à cet article :
Déclaration de Breda
4 avril 1660. Ancienne histoire parlementaire, xxii. 238. Voir Masson's Life of Milton, v. 697.
La Déclaration de Breda, telle qu'imprimée dans les Journaux de la Chambre des Lords, Volume 11, p. 7-8.
Les Archives parlementaires détiennent l'original de ce document historique
Angleterre au XVIIe siècle |