![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/anaelle-dutat-3.jpg\")
Lorsqu'elles ont mené 66-55 à la 34e minute grâce à un 6-0, les Françaises ont pu croire tenir le bon bout, mais le réveil des Canadiennes a été brutal. Elles leur ont infligées un 0-12 et c'est tout juste si les Bleuettes ont pu arracher une prolongation. 68-68. Au démarrage de celle-ci, elles ont mené 73-77 avant de lâcher prise. Il n'aurait pas fallu grand chose pour renverser la situation. Par exemple, si la tentative à trois-points de Manoé Cissé était rentrée au lieu de rouler sur le cercle... Mais le momentum était canadien.
10-2. Le Canada avait tout de suite fait connaissance avec la défense française, se contentant de 2 points en 5 minutes 50 ! La ligne arrière des Bleuettes étaient très agressive et si Leila Lacan a tenu son rôle de chef d'orchestre mais avec peu de réussite offensive (4/17), si Anaëlle Dutat a réussi une fois encore une incroyable moisson au rebond (17 dont 9 offensifs), la palme revient aux deux mini-gabarits Daniela Dibanzilua (1,72 m, 17 points), Manoë Cissé (1,62 m, 14 points, 4 interceptions), qui ont laissé longtemps croire que la France pouvait ramener une deuxième médaille dans la catégorie après celle de 2013.
Les Bleuettes ont longtemps mené au score contrôlant parfaitement la star canadienne Toby Fournier (4 points et 4 rebonds à la mi-temps), mais celle-ci s'est réveillée dans le money time, et le Canada a pu compter aussi sur une XXL Syla Swords (26 points dont 17 en première mi-temps).
La boxscore est ICI.
Photo : Leila Lacan (FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6b2", "plaintext":"Les Françaises ont laissé s'échapper la médaille de bronze en prolongation face au Canada (80-73). Cruel.\n\nLorsqu'elles ont mené 66-55 à la 34e minute grâce à un 6-0, les Françaises ont pu croire tenir le bon bout, mais le réveil des Canadiennes a été brutal. Elles leur ont infligées un 0-12 et c'est tout juste si les Bleuettes ont pu arracher une prolongation. 68-68. Au démarrage de celle-ci, elles ont mené 73-77 avant de lâcher prise. Il n'aurait pas fallu grand chose pour renverser la situation. Par exemple, si la tentative à trois-points de Manoé Cissé était rentrée au lieu de rouler sur le cercle... Mais le momentum était canadien.\n\n\nLes Françaises mènent l'essentiel du match\n\n10-2. Le Canada avait tout de suite fait connaissance avec la défense française, se contentant de 2 points en 5 minutes 50 ! La ligne arrière des Bleuettes étaient très agressive et si Leila Lacan a tenu son rôle de chef d'orchestre mais avec peu de réussite offensive (4/17), si Anaëlle Dutat a réussi une fois encore une incroyable moisson au rebond (17 dont 9 offensifs), la palme revient aux deux mini-gabarits Daniela Dibanzilua (1,72 m, 17 points), Manoë Cissé (1,62 m, 14 points, 4 interceptions), qui ont laissé longtemps croire que la France pouvait ramener une deuxième médaille dans la catégorie après celle de 2013.\n\nLes Bleuettes ont longtemps mené au score contrôlant parfaitement la star canadienne Toby Fournier (4 points et 4 rebonds à la mi-temps), mais celle-ci s'est réveillée dans le money time, et le Canada a pu compter aussi sur une XXL Syla Swords (26 points dont 17 en première mi-temps).\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : Leila Lacan (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/leila-lacan-2.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-23T18:48:59.000Z", "updated_at":"2023-07-23T18:48:59.000Z", "published_at":"2023-07-23T18:48:59.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a03", "uuid":"558ca670-8e3d-470f-b59e-08215d09038a", "title":"EuroBasket U18 : La France double la mise face à Israël", "slug":"eurobasket-u18-la-france-double-la-mise-face-a-israel", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/europe/u18/2023/game/2307/France-Israel#|tab=boxscore\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L'équipe de France a obtenu un deuxième succès en deux journées, cette fois contre Israël, 83-70\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après leur promenade de santé face à la Suède, les Français ont été cueillis à froid, 0-9, par la paire Ofri Naveh-Omar Mayer. Avec une défense plus agressive, ils ont pu effacer très vite leur ardoise, lancer leur match (14-13) et mener 25-18 à la fin du quart-temps.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Leur puissance athlétique, leur capacité à enchaîner contres/contre-attaques leur a permis d'avoir une bonne avance 35-25 (15e), mais ils ont alterné temps forts et temps faibles, au point d'encaisser un 0-10, puis de repartir de plus belle et de compter 14 points de marge à la mi-temps (50-36) avec 11 points et 6 rebonds de Maxim Logue.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On retrouvé ensuite ces variations dans le scoring avec un pic à 56-36 et une descente à 59-50. Le danger a été toutefois vite écarté : 66-52 (30e), 77-56, pour finir à 83-70.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Statistiquement, Maxim Logue a obtenu la meilleure évaluation (21) grâce à ses 11 points et 9 rebonds, alors que c'est Ilian Pietrus qui est le meilleur marqueur français avec 17 points. Le chiffre collectif le plus impressionnant est celui du rebond : 58 à... 25 !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La boxscore est \"],[0,[0],1,\"ICI\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Maxim Logué (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Après leur promenade de santé face à la Suède, les Français ont été cueillis à froid, 0-9, par la paire Ofri Naveh-Omar Mayer. Avec une défense plus agressive, ils ont pu effacer très vite leur ardoise, lancer leur match (14-13) et mener 25-18 à la fin du quart-temps.
Leur puissance athlétique, leur capacité à enchaîner contres/contre-attaques leur a permis d'avoir une bonne avance 35-25 (15e), mais ils ont alterné temps forts et temps faibles, au point d'encaisser un 0-10, puis de repartir de plus belle et de compter 14 points de marge à la mi-temps (50-36) avec 11 points et 6 rebonds de Maxim Logue.
On retrouvé ensuite ces variations dans le scoring avec un pic à 56-36 et une descente à 59-50. Le danger a été toutefois vite écarté : 66-52 (30e), 77-56, pour finir à 83-70.
Statistiquement, Maxim Logue a obtenu la meilleure évaluation (21) grâce à ses 11 points et 9 rebonds, alors que c'est Ilian Pietrus qui est le meilleur marqueur français avec 17 points. Le chiffre collectif le plus impressionnant est celui du rebond : 58 à... 25 !
La boxscore est ICI.
Photo : Maxim Logué (FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6b3", "plaintext":"L'équipe de France a obtenu un deuxième succès en deux journées, cette fois contre Israël, 83-70\n\nAprès leur promenade de santé face à la Suède, les Français ont été cueillis à froid, 0-9, par la paire Ofri Naveh-Omar Mayer. Avec une défense plus agressive, ils ont pu effacer très vite leur ardoise, lancer leur match (14-13) et mener 25-18 à la fin du quart-temps.\n\nLeur puissance athlétique, leur capacité à enchaîner contres/contre-attaques leur a permis d'avoir une bonne avance 35-25 (15e), mais ils ont alterné temps forts et temps faibles, au point d'encaisser un 0-10, puis de repartir de plus belle et de compter 14 points de marge à la mi-temps (50-36) avec 11 points et 6 rebonds de Maxim Logue.\n\nOn retrouvé ensuite ces variations dans le scoring avec un pic à 56-36 et une descente à 59-50. Le danger a été toutefois vite écarté : 66-52 (30e), 77-56, pour finir à 83-70.\n\nStatistiquement, Maxim Logue a obtenu la meilleure évaluation (21) grâce à ses 11 points et 9 rebonds, alors que c'est Ilian Pietrus qui est le meilleur marqueur français avec 17 points. Le chiffre collectif le plus impressionnant est celui du rebond : 58 à... 25 !\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : Maxim Logué (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/maxim-logue.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-23T17:49:11.000Z", "updated_at":"2023-07-23T17:49:11.000Z", "published_at":"2023-07-23T17:49:11.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a04", "uuid":"7987ce92-ea40-49a3-9382-19574098c609", "title":"Coupe du monde U19 féminine : Un 10e titre pour les Etats-Unis... d'un souffle", "slug":"coupe-du-monde-u19-feminine-un-10e-titre-pour-les-etats-unis-dun-souffle", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/tcBWAfP0mcQ?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/world/u19women/2023/game/2307/Spain-USA#tab=boxscore\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"A Madrid, devant 7 000 spectateurs acquis à la cause de l'Espagne, les États-Unis ont remporté un 10e titre dans la catégorie, \"],[0,[0],1,\"69-66\"],[0,[],0,\", au terme d'un match palpitant.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Iyana Martin Carrion (19 points et 22 d'évaluation) et Elena Buenavida (16 points) ont tout fait pour apporter à l'Espagne un premier titre mondial, mais Cotie McMahon (16 points à 6/8), Chloe Kitts (15 points et 9 rebonds) et leurs coéquipières ont finalement fait concéder au pays hôte sa seule défaite du tournoi.\"]]],[1,\"h4\",[[0,[],0,\"Classement final :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1. États-Unis ; 2. Espagne ; 3. Canada ; 4. France ; 5. Mali ; 6. Japon ; 7. République tchèque ; 8. Lituanie ; 9. Australie ; 10. Allemagne ; 11. Italie ; 12. Égypte ; 13. Chine ; 14. Brésil ; 15. Taiwan ; 16. Argentine\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Iyana Martin Carrion (19 points et 22 d'évaluation) et Elena Buenavida (16 points) ont tout fait pour apporter à l'Espagne un premier titre mondial, mais Cotie McMahon (16 points à 6/8), Chloe Kitts (15 points et 9 rebonds) et leurs coéquipières ont finalement fait concéder au pays hôte sa seule défaite du tournoi.
1. États-Unis ; 2. Espagne ; 3. Canada ; 4. France ; 5. Mali ; 6. Japon ; 7. République tchèque ; 8. Lituanie ; 9. Australie ; 10. Allemagne ; 11. Italie ; 12. Égypte ; 13. Chine ; 14. Brésil ; 15. Taiwan ; 16. Argentine
Photo : FIBA
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Leila Lacan a fait preuve d'un grand leadership pour les Bleuettes et elle a verrouillé sa place dans le Cinq après avoir récolté 17,1 points, 3,7 rebonds, 3,0 interceptions et 2,9 passes décisives par match.
Photo : FIBA
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Autre point remarquable : Anaëlle Dutat a débuté le tournoi en douceur : 7 rebonds contre l'Argentine, 10 contre l'Espagne et 7 contre l'Australie. Et c'est dans la phase finale qu'elle a passé la surmultiplié : 16 contre l'Allemagne, 18 contre le Japon, 13 contre les Etats-Unis, et 17 contre le Canada !
Une anecdote : avant de rejoindre l'université de Rhode Island -où elle prend davantage de rebonds qu'elle ne marque de points-, Anaëlle Dutat a été formée à Mondeville et elle a fait partie de l'équipe de N3 qui a passé un 139-36 à Saint-Michel-sur-Orge. Elle avait 17 ans. Sa moisson ce jour-là : 41 points, 14 rebonds et... 14 interceptions pour... 73 d'évaluation.
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\"Avec les efforts et le soutien de toutes les parties impliquées, Li Kaier a obtenu sa citoyenneté chinoise et a rencontré le président Yao Ming\", a déclaré la fédération dans le communiqué.
Né dans le New Jersey, drafé en 30e position par les San Antonio Spurs en 2014, Anderson a obtenu en moyenne 9,4 points, 5,3 rebonds et 4,9 passes décisives en 69 matchs au cours de la saison 2022-23 dans sa neuvième saison en NBA.
En 2018, Anderson et sa mère Suzanne ont visité le nouveau village de Xinmu dans la métropole du sud de Shenzhen, dans la province du Guangdong, pour rechercher les racines familiales de sa mère. Leurs parents chinois perdus de vue depuis longtemps les ont accueillis avec un spectacle de pétards, des expériences culturelles traditionnelles et un immense banquet.
Selon les médias chinois, Anderson devrait s'envoler pour l'Europe pour rejoindre l'équipe nationale entraînée par le Serbe Aleksandar Djordjevic. L'équipe chinoise se prépare pour sa campagne de Coupe du Monde en disputant des matchs de préparation contre des équipes européennes telles que la Croatie et la Slovénie. Anderson devrait faire ses débuts en Chine avec l'équipe nationale en août à Shenzhen, la ville natale de la famille chinoise de sa mère.
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6b7", "plaintext":"L'ailier des Minnesota Timberwolves Kyle Anderson (2,06 m, 29 ans) a conclu une procédure de naturalisation et a acquis la nationalité chinoise pour pouvoir jouer pour le pays d'origine de sa mère sur la scène internationale et donc à la Coupe du monde.\n\nLa fédération chinoise de basket-ball a confirmé la nouvelle sur son compte officiel Weibo lundi matin, environ 24 heures après qu'Anderson, désormais connu sous le nom de \"Li Kaier\" en Chine, ait atterri à Shanghai pour finaliser le processus de naturalisation.\n\n\"Avec les efforts et le soutien de toutes les parties impliquées, Li Kaier a obtenu sa citoyenneté chinoise et a rencontré le président Yao Ming\", a déclaré la fédération dans le communiqué.\n\nNé dans le New Jersey, drafé en 30e position par les San Antonio Spurs en 2014, Anderson a obtenu en moyenne 9,4 points, 5,3 rebonds et 4,9 passes décisives en 69 matchs au cours de la saison 2022-23 dans sa neuvième saison en NBA.\n\nEn 2018, Anderson et sa mère Suzanne ont visité le nouveau village de Xinmu dans la métropole du sud de Shenzhen, dans la province du Guangdong, pour rechercher les racines familiales de sa mère. Leurs parents chinois perdus de vue depuis longtemps les ont accueillis avec un spectacle de pétards, des expériences culturelles traditionnelles et un immense banquet.\n\nSelon les médias chinois, Anderson devrait s'envoler pour l'Europe pour rejoindre l'équipe nationale entraînée par le Serbe Aleksandar Djordjevic. L'équipe chinoise se prépare pour sa campagne de Coupe du Monde en disputant des matchs de préparation contre des équipes européennes telles que la Croatie et la Slovénie. Anderson devrait faire ses débuts en Chine avec l'équipe nationale en août à Shenzhen, la ville natale de la famille chinoise de sa mère.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/kyle-anderson-scaled.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-24T06:40:36.000Z", "updated_at":"2023-07-24T06:40:36.000Z", "published_at":"2023-07-24T06:40:36.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a08", "uuid":"33c9d6c2-b630-415f-80b5-404367dcd36d", "title":"Zeljko Rebraca (Serbie) : \"Je préfère finir neuvième plutôt qu'un étranger nous apporte l'or\"", "slug":"zeljko-rebraca-serbie-je-prefere-finir-neuvieme-plutot-quun-etranger-nous-apporte-lor", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Plusieurs internationaux serbes, dont Vladimir Stimac, manifestent leur réprobation à l'idée que leur équipe nationale puisse faire appel aux services d'un (Américain) naturalisé. C'est au tour de Zeljko Rebraca, MVP du Championnat du monde en 1998 d'affirmer cette position.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lorsqu'on lui a demandé si l'équipe nationale serbe avait besoin d'un naturalisée, Rebreca a répondu fermement :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"\\\"Non. Ce n'est pas un club. L'équipe nationale est à nous, une équipe des meilleurs joueurs du pays et je préfère finir neuvième plutôt qu'un étranger nous apporte l'or.\"],[0,[],0,\" \"],[0,[0],1,\"La sélection de l'équipe nationale suppose des joueurs qui sont nés ici, tout le reste n'est que philosophie et une image irréaliste du basket. Nous avons des perspectives, mais nous devons travailler et arrêter de chercher des raccourcis vers le succès, car il n'y en a pas.\\\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Si l'équipe masculine est pour l'instant réfractaire à l'intégration d'un naturalisé, on notera que l'équipe nationale féminine serbe n'a pas la même stratégie.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Lorsqu'on lui a demandé si l'équipe nationale serbe avait besoin d'un naturalisée, Rebreca a répondu fermement :
\"Non. Ce n'est pas un club. L'équipe nationale est à nous, une équipe des meilleurs joueurs du pays et je préfère finir neuvième plutôt qu'un étranger nous apporte l'or. La sélection de l'équipe nationale suppose des joueurs qui sont nés ici, tout le reste n'est que philosophie et une image irréaliste du basket. Nous avons des perspectives, mais nous devons travailler et arrêter de chercher des raccourcis vers le succès, car il n'y en a pas.\"
Si l'équipe masculine est pour l'instant réfractaire à l'intégration d'un naturalisé, on notera que l'équipe nationale féminine serbe n'a pas la même stratégie.
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6b8", "plaintext":"Plusieurs internationaux serbes, dont Vladimir Stimac, manifestent leur réprobation à l'idée que leur équipe nationale puisse faire appel aux services d'un (Américain) naturalisé. C'est au tour de Zeljko Rebraca, MVP du Championnat du monde en 1998 d'affirmer cette position.\n\nLorsqu'on lui a demandé si l'équipe nationale serbe avait besoin d'un naturalisée, Rebreca a répondu fermement :\n\n\"Non. Ce n'est pas un club. L'équipe nationale est à nous, une équipe des meilleurs joueurs du pays et je préfère finir neuvième plutôt qu'un étranger nous apporte l'or. La sélection de l'équipe nationale suppose des joueurs qui sont nés ici, tout le reste n'est que philosophie et une image irréaliste du basket. Nous avons des perspectives, mais nous devons travailler et arrêter de chercher des raccourcis vers le succès, car il n'y en a pas.\"\n\nSi l'équipe masculine est pour l'instant réfractaire à l'intégration d'un naturalisé, on notera que l'équipe nationale féminine serbe n'a pas la même stratégie.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/zeljko-rebraca.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-24T10:47:00.000Z", "updated_at":"2023-07-24T10:47:00.000Z", "published_at":"2023-07-24T10:47:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a09", "uuid":"640ac78b-84f1-44fc-94c9-fcdca5139a10", "title":"U15 : La France remporte le Tournoi de l'Amitié chez les garçons et se classe 2e chez les filles", "slug":"u15-la-france-remporte-le-tournoi-de-lamitie-chez-les-garcons-et-se-classe-2e-chez-les-filles", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"http://www.ffbb.com/equipes-de-france-jeunes/tournoi-de-lamitie-entame-parfaite-pour-les-u15f\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"A Heraklion (Grèce), l’Équipe de France masculine a remporté le Tournoi de l’Amitié et les filles ont pris la deuxième place. L'Espagne était les deux fois son adversaire en finale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Déjà vainqueurs des trois dernières éditions, les Bleuets ont battu la Grèce, l’Italie et l’Espagne. Face aux Espagnols, Aaron Towo-Nansi s’est fendu de 17 points, 5 rebonds, 5 passes, 3 interceptions et 2 contres.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« La génération de cette année a évolué sans Hugo Yimga-Moukouri, Cameron Houindo et Nathan Soliman, laissés à la disposition des U16. Elle fait naître de beaux espoirs à un an du championnat d’Europe U16 » a déclaré le coach Stanislas Hacquard.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les filles ont pris le dessus sur la Grèce et l'Italie, mais ont été battues par l'Espagne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Garçons :\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"19 juillet : France bat Grèce 83-53\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"20 juillet : France bat Italie 87-67\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"21 juillet : France bat Espagne 78-75\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Filles :\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"9 juillet - France bat Grèce : 74-48\"],[1,[],0,3],[0,[1],1,\"20 juillet - France bat Italie : 63-52\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"21 juillet : Espagne bat France 56-50\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Déjà vainqueurs des trois dernières éditions, les Bleuets ont battu la Grèce, l’Italie et l’Espagne. Face aux Espagnols, Aaron Towo-Nansi s’est fendu de 17 points, 5 rebonds, 5 passes, 3 interceptions et 2 contres.
« La génération de cette année a évolué sans Hugo Yimga-Moukouri, Cameron Houindo et Nathan Soliman, laissés à la disposition des U16. Elle fait naître de beaux espoirs à un an du championnat d’Europe U16 » a déclaré le coach Stanislas Hacquard.
Les filles ont pris le dessus sur la Grèce et l'Italie, mais ont été battues par l'Espagne.
Garçons :
19 juillet : France bat Grèce 83-53
20 juillet : France bat Italie 87-67
21 juillet : France bat Espagne 78-75
Filles :
9 juillet - France bat Grèce : 74-48
20 juillet - France bat Italie : 63-52
21 juillet : Espagne bat France 56-50
Il y avait eu des affrontements au corps à corps entre supporters et aussi avec la police et des dégradations dans la salle. En première instance, l'AEK avait été condamnée à jouer l'ensemble de ses matches à huis clos. Après appel auprès du Tribunal Arbitral du Sport, le club grec aura finalement droit d'ouvrir ses portes à des abonnements nominatifs, ce qui représente 20% de la capacité de la salle. L'amende de 50 000 € prononcée par le juge de première instance a été maintenue.
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6ba", "plaintext":"En appel, l'AEK Athènes a obtenu une réduction de la sanction initiale concernant les incidents survenu la saison dernière lors du match de Basketball Champions League contre l'Hapoël Jérusalem\n\nIl y avait eu des affrontements au corps à corps entre supporters et aussi avec la police et des dégradations dans la salle. En première instance, l'AEK avait été condamnée à jouer l'ensemble de ses matches à huis clos. Après appel auprès du Tribunal Arbitral du Sport, le club grec aura finalement droit d'ouvrir ses portes à des abonnements nominatifs, ce qui représente 20% de la capacité de la salle. L'amende de 50 000 € prononcée par le juge de première instance a été maintenue.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/04/aek.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-24T14:50:00.000Z", "updated_at":"2023-07-24T14:50:00.000Z", "published_at":"2023-07-24T14:50:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a0b", "uuid":"793e2ff4-1838-4eee-ac91-4003c5966f34", "title":"EuroBasket U18 : Première de son groupe, la France affrontera la Pologne en huitième de finale", "slug":"eurobasket-u18-premiere-de-son-groupe-la-france-affrontera-la-pologne-en-huitieme-de-finale", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"\\n\\n\\n\\n\\n\\n\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/europe/u18/2023/game/2407/France-Lithuania#tab=overview\",\"rel\",\"noopener\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"En tête du groupe A après leur large victoire contre la Lituanie 92 à 69, les Bleuets donnent rendez-vous à la Pologne lors du huitième de finale du championnat d'Europe U18 2023.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Trois victoires en autant de rencontres pour les Bleuets. L'équipe de France U18 a réussi son entrée dans la compétition européenne et s'offre ainsi la première place du groupe, synonyme d'un premier tour à élimination directe davantage abordable. Elle s'opposera justement mercredi à la Pologne quatrième de son groupe après sa défaite contre la Croatie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Grâce à une belle adresse extérieure, ses leaders Illan Pietrus et Mohamed Diawara mettaient la France sur de bons rails. Egalement sérieux en défense, les hommes de Frédéric Caprez n'encaissaient que 15 points dans le premier quart-temps et prenaient une légère avance de 5 points après ces 10 premières minutes, sans parvenir à creuser encore l'écart. Chose rapidement faite dès le deuxième acte par de nombreuses séquences de jeu rapide du côté français. À la 15e minute, Tidjane Salaun concluait parfaitement une contre-attaque pour permettre à ses coéquipiers de mener de 11 points (32-21). Dispersés en fin de première mi-temps dans leur élan, les Français parvenaient à faire le break avant de rentrer aux vestiaires (44-29, 20e).\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après la pause, la sélection française poursuivait sur sa lancée. Un temps embêtée par les Lituaniens, elle reprenait ses esprits en dominant physiquement son adversaire. Preuve en est avec le dunk rageur de Mohamed Diawara (53-38, 25e). Théo Pichard à la passe, Killian Malwaya derrière l'arc, Maxime Logue au poste bas, c'est tout le groupe France qui participait à la belle prestation face au pays balte (63-45, 30e).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans le Sports Centre Cair de Nis (Serbie), le scénario de la rencontre restait inchangé pour les dix dernières minutes. Une fin de partie aux allures de garbage time - mais essentielle avant d'attaquer les phases finales - durant laquelle Amael L'Etang et Nolan Traoré se mettaient aussi en lumière. Premiers à l'issue de la phase de poule, les Bleuets font donc le plein de confiance avant leur prochain match contre la Pologne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"La feuille de match de France - Lituanie \"],[0,[1],1,\"ici\"],[0,[],1,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Trois victoires en autant de rencontres pour les Bleuets. L'équipe de France U18 a réussi son entrée dans la compétition européenne et s'offre ainsi la première place du groupe, synonyme d'un premier tour à élimination directe davantage abordable. Elle s'opposera justement mercredi à la Pologne quatrième de son groupe après sa défaite contre la Croatie.
Grâce à une belle adresse extérieure, ses leaders Illan Pietrus et Mohamed Diawara mettaient la France sur de bons rails. Egalement sérieux en défense, les hommes de Frédéric Caprez n'encaissaient que 15 points dans le premier quart-temps et prenaient une légère avance de 5 points après ces 10 premières minutes, sans parvenir à creuser encore l'écart. Chose rapidement faite dès le deuxième acte par de nombreuses séquences de jeu rapide du côté français. À la 15e minute, Tidjane Salaun concluait parfaitement une contre-attaque pour permettre à ses coéquipiers de mener de 11 points (32-21). Dispersés en fin de première mi-temps dans leur élan, les Français parvenaient à faire le break avant de rentrer aux vestiaires (44-29, 20e).
\n\n\n\n\n\nAprès la pause, la sélection française poursuivait sur sa lancée. Un temps embêtée par les Lituaniens, elle reprenait ses esprits en dominant physiquement son adversaire. Preuve en est avec le dunk rageur de Mohamed Diawara (53-38, 25e). Théo Pichard à la passe, Killian Malwaya derrière l'arc, Maxime Logue au poste bas, c'est tout le groupe France qui participait à la belle prestation face au pays balte (63-45, 30e).
Dans le Sports Centre Cair de Nis (Serbie), le scénario de la rencontre restait inchangé pour les dix dernières minutes. Une fin de partie aux allures de garbage time - mais essentielle avant d'attaquer les phases finales - durant laquelle Amael L'Etang et Nolan Traoré se mettaient aussi en lumière. Premiers à l'issue de la phase de poule, les Bleuets font donc le plein de confiance avant leur prochain match contre la Pologne.
La feuille de match de France - Lituanie ici.
Photo : FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6bb", "plaintext":"En tête du groupe A après leur large victoire contre la Lituanie 92 à 69, les Bleuets donnent rendez-vous à la Pologne lors du huitième de finale du championnat d'Europe U18 2023.\n\nTrois victoires en autant de rencontres pour les Bleuets. L'équipe de France U18 a réussi son entrée dans la compétition européenne et s'offre ainsi la première place du groupe, synonyme d'un premier tour à élimination directe davantage abordable. Elle s'opposera justement mercredi à la Pologne quatrième de son groupe après sa défaite contre la Croatie.\n\nGrâce à une belle adresse extérieure, ses leaders Illan Pietrus et Mohamed Diawara mettaient la France sur de bons rails. Egalement sérieux en défense, les hommes de Frédéric Caprez n'encaissaient que 15 points dans le premier quart-temps et prenaient une légère avance de 5 points après ces 10 premières minutes, sans parvenir à creuser encore l'écart. Chose rapidement faite dès le deuxième acte par de nombreuses séquences de jeu rapide du côté français. À la 15e minute, Tidjane Salaun concluait parfaitement une contre-attaque pour permettre à ses coéquipiers de mener de 11 points (32-21). Dispersés en fin de première mi-temps dans leur élan, les Français parvenaient à faire le break avant de rentrer aux vestiaires (44-29, 20e).\n\n\n\n\n\n\n\nAprès la pause, la sélection française poursuivait sur sa lancée. Un temps embêtée par les Lituaniens, elle reprenait ses esprits en dominant physiquement son adversaire. Preuve en est avec le dunk rageur de Mohamed Diawara (53-38, 25e). Théo Pichard à la passe, Killian Malwaya derrière l'arc, Maxime Logue au poste bas, c'est tout le groupe France qui participait à la belle prestation face au pays balte (63-45, 30e).\n\nDans le Sports Centre Cair de Nis (Serbie), le scénario de la rencontre restait inchangé pour les dix dernières minutes. Une fin de partie aux allures de garbage time - mais essentielle avant d'attaquer les phases finales - durant laquelle Amael L'Etang et Nolan Traoré se mettaient aussi en lumière. Premiers à l'issue de la phase de poule, les Bleuets font donc le plein de confiance avant leur prochain match contre la Pologne.\n\nLa feuille de match de France - Lituanie ici.\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/tidjane-salaun.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-24T17:44:33.000Z", "updated_at":"2023-07-24T17:44:33.000Z", "published_at":"2023-07-24T17:44:33.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a0c", "uuid":"94627285-5a03-402c-9789-1d861dddcaa4", "title":"Les joueuses enchantées par le terrain LED révolutionnaire inauguré à la Coupe du monde féminine U19", "slug":"les-joueuses-enchantees-par-le-terrain-led-revolutionnaire-inaugure-a-la-coupe-du-monde-feminine-u19", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/terrain-led.jpg\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Coloré, magnifique, grandiose... Le terrain LED que la FIBA a inauguré à Madrid pour la Coupe du Monde U19 féminine a fait visuellement l'unanimité. Et surtout les joueuses ont adoré.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce terrain révolutionnaire a été réalisé via la technologie LumiFlex produite par ASB GlassFloor et mérite la médaille d'or de l'innovation. L'hebdomadaire Gigantes a rassemblé quelques témoignages.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"J'ai envoyé des photos et des vidéos à la maison et ils ont halluciné. C'est quelque chose d'indescriptible, d'incroyable\\\", a déclaré l'Américaine Grace Vanslooten.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"Il m'a porté chance quand même, je vais le demander à mon club\\\" a plaisanté Leila Laca. 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\"Il m'a porté chance quand même, je vais le demander à mon club\" a plaisanté Leila Laca. Anaëlle Dutat s'est déclarée heureuse \"de vivre cette belle expérience\".
Le Canadien Jasmin Boscoe a rigolé : \"C'est comme jouer sur un écran de télévision géant.\"
L'Espagnole Awa Fam a confié que \"nous n'avons pas arrêté de prendre des photos dans la présentation qu'ils nous ont faite, c'est incroyable. Tellement\".
\"Quand on l'a vu pour la première fois on n'arrêtait pas de sourire, c'était comme quand on ouvre un emballage cadeau\", a savouré la Japonaise Haru Owaki.
OK pour le visuel, mais pour la pratique ?
\"Je m'attendais à quelque chose de différent, vraiment, mais le feeling est le même\", a déclaré la Tchèque Dominika Paurova. \"L'adhérence des chaussures est la même\", a ajouté la Malienne Maimouna Haidara.
\"Et quand on joue, c'est comme un autre terrain, mais en plus beau\", a souligné Leïla Lacan.
\"Sans aucun doute, cela valorise notre sport et nous donne beaucoup de visibilité, nous en sommes donc très reconnaissants\", a reconnu l'Espagnole Martín Carrión.
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Photos : FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6bc", "plaintext":"Coloré, magnifique, grandiose... Le terrain LED que la FIBA a inauguré à Madrid pour la Coupe du Monde U19 féminine a fait visuellement l'unanimité. Et surtout les joueuses ont adoré.\n\nCe terrain révolutionnaire a été réalisé via la technologie LumiFlex produite par ASB GlassFloor et mérite la médaille d'or de l'innovation. L'hebdomadaire Gigantes a rassemblé quelques témoignages.\n\n\"J'ai envoyé des photos et des vidéos à la maison et ils ont halluciné. C'est quelque chose d'indescriptible, d'incroyable\", a déclaré l'Américaine Grace Vanslooten.\n\n\"Il m'a porté chance quand même, je vais le demander à mon club\" a plaisanté Leila Laca. Anaëlle Dutat s'est déclarée heureuse \"de vivre cette belle expérience\".\n\nLe Canadien Jasmin Boscoe a rigolé : \"C'est comme jouer sur un écran de télévision géant.\"\n\nL'Espagnole Awa Fam a confié que \"nous n'avons pas arrêté de prendre des photos dans la présentation qu'ils nous ont faite, c'est incroyable. Tellement\".\n\n\"Quand on l'a vu pour la première fois on n'arrêtait pas de sourire, c'était comme quand on ouvre un emballage cadeau\", a savouré la Japonaise Haru Owaki.\n\nOK pour le visuel, mais pour la pratique ?\n\n\"Je m'attendais à quelque chose de différent, vraiment, mais le feeling est le même\", a déclaré la Tchèque Dominika Paurova. \"L'adhérence des chaussures est la même\", a ajouté la Malienne Maimouna Haidara.\n\n\"Et quand on joue, c'est comme un autre terrain, mais en plus beau\", a souligné Leïla Lacan.\n\n\"Sans aucun doute, cela valorise notre sport et nous donne beaucoup de visibilité, nous en sommes donc très reconnaissants\", a reconnu l'Espagnole Martín Carrión.\n\nPhotos : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/terrain-led-2.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-25T05:12:00.000Z", "updated_at":"2023-07-25T05:12:00.000Z", "published_at":"2023-07-25T05:12:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a0d", "uuid":"219f2b3f-f88d-4a49-b7bc-9c3203e63f92", "title":"Italie : Pas de Nico Mannion à la Coupe du monde", "slug":"italie-pas-de-nico-mannion-a-la-coupe-du-monde", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L'Italie a démarré sa préparation à la Coupe du monde sans son meneur \"],[0,[0],1,\"Nico Mannion,\"],[0,[],0,\" qui a été autorisé à ne pas rejoindre l'équipe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[1],1,\"Cet été, Nico Mannion ne fera pas partie de l'équipe, a commenté le coach Gianmarco Pozzecco. Ce fut une décision douloureuse mais partagée par les deux parties. Au cours des deux dernières années, Nico a été le protagoniste absolu de l'équipe nationale, démontrant un fort attachement à l'Azzurro et un grand professionnalisme. Pour ce faire, il a toutefois mis son corps à rude épreuve et nous avons convenu, d'un commun accord, qu'il convenait de ne pas l'inclure dans le roster des joueurs qui prépareront la Coupe du monde à partir d'aujourd'hui. Un long voyage commence que nous avons hâte d'entreprendre. L'enthousiasme avec lequel les garçons se sont présentés au rendez-vous est le fil conducteur qui nous reconnectera aux bonnes choses faites lors des sorties précédentes ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Seul NBAer de l'équipe, Simone Fontecchio sera disponible pour l'entraînement à partir du vendredi 28 juillet.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"« Cet été, Nico Mannion ne fera pas partie de l'équipe, a commenté le coach Gianmarco Pozzecco. Ce fut une décision douloureuse mais partagée par les deux parties. Au cours des deux dernières années, Nico a été le protagoniste absolu de l'équipe nationale, démontrant un fort attachement à l'Azzurro et un grand professionnalisme. Pour ce faire, il a toutefois mis son corps à rude épreuve et nous avons convenu, d'un commun accord, qu'il convenait de ne pas l'inclure dans le roster des joueurs qui prépareront la Coupe du monde à partir d'aujourd'hui. Un long voyage commence que nous avons hâte d'entreprendre. L'enthousiasme avec lequel les garçons se sont présentés au rendez-vous est le fil conducteur qui nous reconnectera aux bonnes choses faites lors des sorties précédentes ».
Seul NBAer de l'équipe, Simone Fontecchio sera disponible pour l'entraînement à partir du vendredi 28 juillet.
Photo : FIBA
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\"Lucic était déjà blessé, Kalinic nous a informé qu'il ne serait pas prêt, Mitrovic nous a demandé de l'épargner cet été car il aimerait soigner toutes ses blessures et si nous avons besoin de lui pendant la \"fenêtre\", il se rendra disponible, a déclaré le coach. Le prochain qui n'est pas sur la liste, c'est Vasilije Micić avec qui nous avons longuement parlé. Il a demandé à faire l'impasse cette année, il a eu une saison difficile avec beaucoup de blessures, il n'a même pas joué toute la saison, seulement à la fin, il a signé un nouveau contrat et par chance ou malheur, il a dû rester à Las Vegas pendant trois semaines pour l'entraînement avec son nouveau club. Il a aggravé sa blessure à l'épaule, il suit une thérapie, donc son état n'est pas bon et nous ne pouvons pas compter sur lui.\"
Le coach a ensuite abordé à part le cas de Nikola Jokic.
\"J'ai eu plusieurs conversations avec Jokić, les meilleures que j'ai eues avec des joueurs qui, pour une raison quelconque, ne peuvent pas accepter l'invitation. Il n'est pas en bonne forme physique et il est mentalement épuisé et il n'est pas prêt à assumer la responsabilité qui est attendue de lui. Nous avons reçu une réponse négative aujourd'hui avant midi. J'ai une excellente coopération avec lui, c'est tout.\"
L'autre sujet brûlant en Serbie, l'emploi d'un naturalisé en équipe nationale, a été de nouveau sur le tapis.
\"Quant aux étrangers, je me répète. En ce moment, il n'y a pas besoin d'étrangers, car il n'y a pas de joueurs aux postes où nous aurions besoin de joueurs. Un jour il y en aura, quand ? Je ne sais pas. Cela arrivera certainement dans l'équipe nationale serbe. Je ne serai certainement pas là en tant qu'entraîneur. Je serai toujours dans le basket serbe. Je n'ai aucun problème avec les étrangers dans l'équipe nationale. S'ils répondent à certains critères, identification au pays, etc. Nous ne sommes pas seuls au monde, tous les pays voisins jouent avec des étrangers, certains ont changé cinq ou six d'étrangers. Tous, même les Espagnols, qui sont les meilleurs en termes de résultats. Le basket est un sport mondial, tout est possible. Nous n'en avons pas trouvé pour le moment.\"
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Photo : Nikola Jokic (FIBA)
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Depuis l’annonce du groupe le 28 juin dernier, le staff technique a dû ajuster sa liste des partenaires d’entraînements à la suite de deux forfaits. Yves Pons (1,98 m, 24 ans, ASVEL) et Mathew Strazel (1,82 m, 20 ans, Monaco) ont été appelés en remplacement de Jaylen Hoard et Ousmane Dieng, tous les deux indisponibles sur blessure.
Les Bleus commenceront les entraînements à partir du vendredi 28 juillet au Palais des Sports de Pau.
Photo : Yves Pons (Jade Avet L'Oiseau)
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Kevin Samuel s'est taillé une grosse réputation de défenseur en NCAA, étant élu Défenseur de l'Année dans l'Atlantic Sun et dans la Sun Belt. Avec les South Alabama Jaguars, il a totalisé 10,3 points et 9,1 rebonds et 2,5 contres en senior.
« Kevin est un joueur avec de très grosses qualités athlétiques, qui possède un gros impact défensif et qui est performant en contre. Son arrivée et celle de Mathias vont nous permettre de posséder un côté dissuasif dans la raquette et nous aider ainsi à avoir un meilleur contrôle de l’espace aérien. J’attends de lui qu’il apporte son impact athlétique et défensif le plus vite possible. Cependant, je ne doute pas qu’il puisse s’adapter rapidement avec ses qualités en Pro B, commente le coach Emmanuel Schmitt. »
Photo : Kevin Samuel
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Il est certain que la présence d’Antoine a facilité sa venue puisqu’il l’avait côtoyé à Challans où il avait fait des étincelles en étant le meilleur marqueur de la division à l’époque.Il formera avec Harvey, Mike et Mattéo une ligne arrière prometteuse, pleine de jeunesse et de qualités, . »\n\nKevin Samuel s'est taillé une grosse réputation de défenseur en NCAA, étant élu Défenseur de l'Année dans l'Atlantic Sun et dans la Sun Belt. Avec les South Alabama Jaguars, il a totalisé 10,3 points et 9,1 rebonds et 2,5 contres en senior.\n\n« Kevin est un joueur avec de très grosses qualités athlétiques, qui possède un gros impact défensif et qui est performant en contre. Son arrivée et celle de Mathias vont nous permettre de posséder un côté dissuasif dans la raquette et nous aider ainsi à avoir un meilleur contrôle de l’espace aérien. J’attends de lui qu’il apporte son impact athlétique et défensif le plus vite possible. 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« Nous avons l'absence de Giannis Antetokounmpo, du moins pour le premier rassemblement, car il a subi une opération qui va prendre du temps. Nous allons évidemment suivre sa convalescence avec les Bucks, à qui il appartient, pour voir sa situation. Dans 10 jours, nous aurons une image plus claire. Thanasis Antetokounmpo est free agent, il sera avec nous à partir de demain et nous verrons quel sera son parcours. Ioannis Papapetrou est là, il fait son traitement, il a un problème à l'épaule, mais je pense que vers la fin de la semaine que nous traversons, il sera normalement avec l'équipe. \"
Le coach grec a évoqué également l'absence actée de plusieurs joueurs majeurs.
\"Kostas Sloukas fait partie des équipes nationales depuis près de 20 ans. Il voulait que son corps soit aussi bon que possible pour l'effort avec l'équipe dans laquelle il sera la saison prochaine (NDLR : le Panathinaikos) et cela est absolument respecté. Il nous a informés à temps, nous avons essayé de le convaincre, mais ce qu'il a décidé est totalement respecté. Sur la même longueur d'onde était l'absence de Nick Calathes, avec un problème qu'il a eu à l'épaule vers la fin de la saison du Fener. Il voulait aussi qu'il soit dans la meilleure forme possible pour la nouvelle saison. Et Nick a fait partie de l'équipe nationale pendant de nombreux étés. Tyler Dorsey a un problème familial, il aimerait être aux côtés de sa compagne dans sa grossesse, alors qu'en même temps il avait quelques soucis au milieu qu'il voulait régler pour pouvoir être présent dans la prochaine étape de sa carrière. Leonidas Kaselakis s'est fait opérer, il était aussi présent à de nombreuses invitations de l'équipe nationale, mais il ne pourrait pas aider \".
Dimitris Itoudis se veut néanmoins ambitieux pour son équipe.
\"C'est un grand honneur pour la Grèce d'être dans une autre Coupe du monde. Nous avons célébré la qualification en Belgique et maintenant nous commençons notre effort avec un grand appétit, pleinement conscients que nous créons des attentes. Nous voulons aussi donner le meilleur de nous-mêmes, mais nous n'en sommes qu'au premier jour, avec quelques absences, mais aussi des apparitions chancelantes et surtout avec un appétit de travail\" .
Photo : FIBA
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Ioannis Papapetrou est là, il fait son traitement, il a un problème à l'épaule, mais je pense que vers la fin de la semaine que nous traversons, il sera normalement avec l'équipe. \"\n\nLe coach grec a évoqué également l'absence actée de plusieurs joueurs majeurs.\n\n\"Kostas Sloukas fait partie des équipes nationales depuis près de 20 ans. Il voulait que son corps soit aussi bon que possible pour l'effort avec l'équipe dans laquelle il sera la saison prochaine (NDLR : le Panathinaikos) et cela est absolument respecté. Il nous a informés à temps, nous avons essayé de le convaincre, mais ce qu'il a décidé est totalement respecté. Sur la même longueur d'onde était l'absence de Nick Calathes, avec un problème qu'il a eu à l'épaule vers la fin de la saison du Fener. Il voulait aussi qu'il soit dans la meilleure forme possible pour la nouvelle saison. Et Nick a fait partie de l'équipe nationale pendant de nombreux étés. Tyler Dorsey a un problème familial, il aimerait être aux côtés de sa compagne dans sa grossesse, alors qu'en même temps il avait quelques soucis au milieu qu'il voulait régler pour pouvoir être présent dans la prochaine étape de sa carrière. Leonidas Kaselakis s'est fait opérer, il était aussi présent à de nombreuses invitations de l'équipe nationale, mais il ne pourrait pas aider \".\n\nDimitris Itoudis se veut néanmoins ambitieux pour son équipe.\n\n\"C'est un grand honneur pour la Grèce d'être dans une autre Coupe du monde. Nous avons célébré la qualification en Belgique et maintenant nous commençons notre effort avec un grand appétit, pleinement conscients que nous créons des attentes. 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L'ancien joueur d'Anadolu Efes en partance pour les Philadephia Sixers est bien arrivé sain et sauf à Belgrade, mais lui et sa petite amie, Tiana Sumakovic ont vécu une aventure éprouvante en Grèce au milieu des incendies de forêt qui ont fait rage sur l'île. Sur Instagram, Tiana a raconté que le couple a été livré à lui-même.
\"A dix kilomètres du feu sur la plage, nous nous sommes retrouvés étouffés par l'épaisse fumée, complètement abandonnés à nous-mêmes. Puis nous sommes arrivés dans un autre hôtel, où nous étions censés être en sécurité et attendre que quelqu'un vienne nous chercher. Personne n'est venu nous chercher à l'hôtel. Le feu s'est approché si près que nous avons dû fuir aussi loin que nous le pouvions. Alors on a continué à pied, l'électricité était coupée, et on a juste marché le plus loin possible du feu, parce qu'on ne savait pas où aller. Après quatre heures d'agonie supplémentaire, on a marché, puis en van, puis encore à pied, et enfin par pure chance on a réussi à trouver un bus. Plus de 20 000 personnes ont été évacuées\".
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\"Je ne vais pas être stupide, mais mes décisions ne seront pas basées principalement sur l'argent. J'ai mis beaucoup plus de choses dans la balance. L'argent est un facteur, mais pas le principal. C'est comme ça que ça s'est passé. Je me sens chez moi à Madrid, j'ai beaucoup de choses liées au Real Madrid -sur et en dehors du terrain-, et j'ai senti que c'était l'endroit où je devais essayer d'être. J'avais d'autres offres, mais je pense que dans la balance, il y avait des choses plus positives à propos de Madrid. Au final, je n'en ai pas douté une seconde.\"
A propos des objectifs à venir :
\"Quand on parle de Madrid, on a toujours de grandes attentes, le meilleur. Essayer d'être dans la bataille qui vous fait gagner la Coupe d'Europe, la Super Coupe, la Copa del Rey ou la Ligue. Allez-y et gagnez. C'est la responsabilité et la pression de jouer pour Madrid. Ce ne sera pas une exception. Ils viennent de gagner l'Euroleague, mais quand une saison commence on se fixe le même objectif que la précédente. Je me sens super motivé, anxieux et j'ai envie d'être là. Le processus d'adaptation ne sera pas difficile.\"
A propos de l'absence de l'Argentine à la Coupe du monde :
\"C'était un coup très dur. C'était un match (contre la République dominicaine) que nous devions gagner pour nous qualifier. C'était une finale pour nous à cause de la façon dont tout s'est passé. Après le match, c'était dur. Je devais partir avec l'Etoile Rouge deux jours plus tard et c'était un peu difficile pour moi de suivre, de m'entraîner, de changer de puce. Cela ne m'est jamais arrivé. Cette douleur sera toujours là. Cela doit être notre carburant pour ce qui est à venir.\"
A propos de son expérience en NBA :
\"C'est un autre basket qui est joué par rapport à celui qui a été joué il y a cinq ou dix ans. Tu joues différemment et tu cherches d'autres types de joueurs, athlétiques, avec beaucoup d'envergure, qui occupent de la place en défense et en attaque, qui peuvent porter le ballon au numéro 5... […] Je dis aussi que, même si tu ne joues pas, tu progresses beaucoup. Regarder ou s'entraîner, pour le développement individuel, c'est ce qu'il y a de mieux. J'ai essayé d'en profiter au maximum. Les meilleurs joueurs d'Europe veulent jouer en NBA et c'est un peu pour ça.\"
Photo : Euroleague
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Je devais partir avec l'Etoile Rouge deux jours plus tard et c'était un peu difficile pour moi de suivre, de m'entraîner, de changer de puce. Cela ne m'est jamais arrivé. Cette douleur sera toujours là. Cela doit être notre carburant pour ce qui est à venir.\"\n\nA propos de son expérience en NBA :\n\n\"C'est un autre basket qui est joué par rapport à celui qui a été joué il y a cinq ou dix ans. Tu joues différemment et tu cherches d'autres types de joueurs, athlétiques, avec beaucoup d'envergure, qui occupent de la place en défense et en attaque, qui peuvent porter le ballon au numéro 5... […] Je dis aussi que, même si tu ne joues pas, tu progresses beaucoup. Regarder ou s'entraîner, pour le développement individuel, c'est ce qu'il y a de mieux. J'ai essayé d'en profiter au maximum. 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Je pense que (Simone) Fontecchio et (Nicolo) Melli sont des joueurs de haut niveau au niveau international, ils seront nos références. Je suis confiant, je vois beaucoup de joueurs qui ont grandi et se sont imposés dans leurs clubs. Il leur faut désormais passer de la phase d'audace à celle de prise de conscience de leur rôle et de leur valeur au sein de cette équipe qui reste incomplète en raison de l'absence atavique d'un gros physique pour s'opposer aux géants des adversaires les mieux nantis. Il va falloir savoir s'adapter, comme Melli l'a souvent bien fait, être créatif dans notre nature atypique. Maintenant, nous devons apprendre à nous connaître, grandir pour tirer le meilleur parti une fois à Manille. Les erreurs du passé ne doivent pas nous alourdir\\\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Datome profite à fond de chaque instant avec l'équipe nationale avant de quitter le basket professionnel en tant que joueur :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"Aujourd'hui, je ne compte pas les jours qui me séparent de la retraite. Je veux juste profiter de chaque instant de ma dernière aventure, saisir la plus belle. Au Championnat d'Europe à Berlin, je n'avais pas encore décidé d'arrêter. Cette fois, ce sera différent.\\\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"\"C'était mon rêve d'enfant, c'est l'épilogue le plus beau et le plus gratifiant pour moi. J'ai joué dans de nombreuses équipes importantes au niveau des clubs, qui ont marqué l'histoire, mais le maillot de l'équipe nationale est celui avec lequel j'ai le meilleur feeling, celui qui me représente le mieux en tant que sportif et en tant qu'homme,\" déclare t-il.
Et Gigi Datome croit dans l'étoile de l'équipe italienne pour cette Coupe du monde.
\"Le noyau dur qui nous a menés aux Jeux de Tokyo puis au Championnat d'Europe à Berlin jusqu'à la Coupe du monde est resté intact. Il y a un groupe de jeunes qui progressent et qui vont se battre pour une place parmi les 12 qui joueront aux Jeux Olympiques. L'équipe n'a pas d'étoiles ? Je pense que (Simone) Fontecchio et (Nicolo) Melli sont des joueurs de haut niveau au niveau international, ils seront nos références. Je suis confiant, je vois beaucoup de joueurs qui ont grandi et se sont imposés dans leurs clubs. Il leur faut désormais passer de la phase d'audace à celle de prise de conscience de leur rôle et de leur valeur au sein de cette équipe qui reste incomplète en raison de l'absence atavique d'un gros physique pour s'opposer aux géants des adversaires les mieux nantis. Il va falloir savoir s'adapter, comme Melli l'a souvent bien fait, être créatif dans notre nature atypique. Maintenant, nous devons apprendre à nous connaître, grandir pour tirer le meilleur parti une fois à Manille. Les erreurs du passé ne doivent pas nous alourdir\".
Datome profite à fond de chaque instant avec l'équipe nationale avant de quitter le basket professionnel en tant que joueur :
\"Aujourd'hui, je ne compte pas les jours qui me séparent de la retraite. Je veux juste profiter de chaque instant de ma dernière aventure, saisir la plus belle. Au Championnat d'Europe à Berlin, je n'avais pas encore décidé d'arrêter. Cette fois, ce sera différent.\"
Photo : FIBA
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Je pense que (Simone) Fontecchio et (Nicolo) Melli sont des joueurs de haut niveau au niveau international, ils seront nos références. Je suis confiant, je vois beaucoup de joueurs qui ont grandi et se sont imposés dans leurs clubs. Il leur faut désormais passer de la phase d'audace à celle de prise de conscience de leur rôle et de leur valeur au sein de cette équipe qui reste incomplète en raison de l'absence atavique d'un gros physique pour s'opposer aux géants des adversaires les mieux nantis. Il va falloir savoir s'adapter, comme Melli l'a souvent bien fait, être créatif dans notre nature atypique. Maintenant, nous devons apprendre à nous connaître, grandir pour tirer le meilleur parti une fois à Manille. Les erreurs du passé ne doivent pas nous alourdir\".\n\nDatome profite à fond de chaque instant avec l'équipe nationale avant de quitter le basket professionnel en tant que joueur :\n\n\"Aujourd'hui, je ne compte pas les jours qui me séparent de la retraite. 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L’Open de France Juniorleague débutera le mardi 25 juillet, avec les matchs de poule, à partir de 16h00 et jusqu’à 23h00. Les équipes enchaîneront les matchs, et les 2 premières équipes de chaque poules seront qualifiées pour la phase finale du lendemain. Le lendemain, mercredi 26 juillet, les quarts de finales débuteront à partir de 15h30 et le reste de la compétition s’enchaînera jusqu’à ce que le vainqueur soit désigné, vers 23h30.
À partir du vendredi 28 juillet commencera l’Open de France Superleague, avec les phases de poules de 14h45 jusqu'à 23h30. Pour la première fois cette année, 16 équipes au lieu de 12 seront présentes, plus de matchs pour plus de plaisir. Les deux premières équipes de chaque poule continueront le lendemain avec les phases finales de la compétition.
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Vous pourrez suivre l'Open de France sur la chaîne Youtube FFBB et la chaîne l’Équipe. Découvrez la programmation TV complète ici.
En marge de ces compétitions, les spectateurs présents pourront déambuler dans le village des partenaires où ils retrouveront différents stands et animations. Toutes les informations sur les animations sont à retrouver ici.
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Originaire de Géorgie, passé en Floride au lycée (avec trois titres de l’Etat au compteur), c’est dans le Minnesota que Nate a vécu ses quatre années universitaires. Dans la très compétitive conférence Big Ten, il est sorti en 2018 avec des statistiques consistantes (16,6pts à 39.1% à 3pts) et, déjà, un ratio passes-décisives/balles perdues qui forçait le respect et sera sa marque de fabrique partout où il évoluera.
En G-League d’abord (15,6pts-7,2pds en 2020), en Russie ensuite (14,8pts-6,1pds en 2021), il performe suffisamment pour répondre à l’appel lucratif de la Chine. Pendant deux ans, Nate permet à son même club de bien figurer (8ème et 9ème de saison régulière), tout en continuant à s’illustrer (16,8pts à 38.7% à 3pts en 2023). Et chaque été, il brille avec la franchise de San German en étant finaliste en 2022 et demi-finaliste en 2023.
Habitué à diriger le jeu comme à terminer les actions aux côtés d’autres créateurs, Nate est un combo qui aime assumer les responsabilités offensives. Shooteur à 3pts en progrès au fil du temps et redoutable sur les pull up, efficace sur ses percussions grâce à des changements de rythme et de direction, pas frileux à l’idée d’aller finir vers le cercle au contact des intérieurs adverses, il possède la panoplie complète de l’arrière profilé pour réussir en Betclic Élite comme en BCL. A la distribution, il se distingue par sa clairvoyance et, plus encore, par le soin porté à ne pas perdre les ballons, alors même qu’il en fait un usage important.
Nate Mason (JNFL) est, avec Léopold Delaunay (JFL), DeVante’ Jones (JNFL), Matt Lewis (JNFL), Selom Mawugbe (COT), Williams Narace (JFL), Abdoulaye Ndoye (JFL), D’Shawn Schwartz (JNFL) et Wilfried Yeguete (JFL), le neuvième élément professionnel du MSB pour la saison prochaine. Les Espoirs stagiaires Raphaël Djasrambaye (2003) et Loïs Grasshoff (2003) seront intégrés au groupe.
Les jeunes Ugo Doumbia (2003) et Mathias van den Beemt (2001), tous deux sous contrat professionnel, sont respectivement prêtés en Pro B à Châlons-Reims et à Aix-Maurienne. L’international U20 Hugo Miénandi (2003), lui stagiaire, est prêté à Angers après l’avoir déjà été à Evreux, toujours en Pro B, la saison passée.
« Nate vient avec pour objectif de nous faire passer à tous une étape. Joueur complet, il est aussi bien performant dans le scoring qu’à la création, tout en ayant une certaine « grinta » qui devrait plaire aux supporters. Enfin, c’est un compétiteur qui fait tout ce qui est nécessaire pour aider son équipe à gagner le plus de matchs possible », commente le coach Elric Delord
Repères
Clubs : Minnesota (NCAA) de 2015 à 2018. Texas Legends (G-League) en 2019. Texas Legends (G-League) et Hapoel Eilat (Israël) en 2020. Avtodor Saratov (VTB) en 2021. Guangzhou Long-Lions (Chine) et Atleticos de San German (Porto-Rico) en 2022. Guangzhou Long Lions (Chine) et Atleticos de San German (Porto-Rico) en 2023.
Statistiques 2023 (Porto-Rico) : 20,9pts à 49.8% aux tirs, dont 69/166 à 3pts (41.6%) et 82.3% aux lancers-francs, 6,1pds, 4,0rbds, 1,1int et 22,1 d’évaluation en 28 matches (35 min/m).
Distinctions individuelles : All-Star de la VTB en 2021. Meilleur cinq de la conférence Big Ten en 2017.
Palmarès : Finaliste de la ligue BSL (Porto-Rico) en 2022.
Formé au sein du mythique Olimpija Ljubljana, Aleks Lazic fait d’abord ses armes en première et deuxième division slovène avant de partir en Serbie pour évoluer dans l'Adriatic League (7.5pts et 5.7rbds de moyenne). En 2018 il revient à domicile pour évoluer à nouveau sous les couleurs de Ljubljana et connaitre sa première saison en Basketball Champions League (7.0pts + 6.2rbds). Dans la lignée de sa saison européenne, il s’engage dans la foulée avec Primorska (première division slovène) et réalisera sa meilleure saison individuelle en carrière avec 12.7pts et 6.1rbds pour 15.8 d’évaluation moyenne. Une saison qui lui permettra de retrouver l’Europe, cette fois avec l’Eurocup et le club monténégrin de Mornar Bar pour deux saisons, puis avec le club de la capitale du Buducnost Podgorica pour remporter le dernier titre de champion national.
International bosnien depuis les équipes jeunes qui a déjà connu le coaching de Nenad Markovic en sélection.
Fabien Romeyer, directeur sportif : « Aleks Lazic est notre dernière recrue pour la saison à venir et il viendra former un duo avec Allan Dokossi sur le Poste 4. Nous recherchions une bonne complémentarité sur ce poste de jeu avec deux joueurs qui seront responsabilisés et dont nous sommes persuadés qu’ils seront en mesure d’élever leur niveau de jeu pour aider l’équipe à performer. Nous sommes heureux d’accueillir Aleks, un joueur combatif à l’état d’esprit irréprochable et qui sera précieux dans notre organisation défensive tout en nous apportant de l’adresse extérieure. International bosnien, déterminant avec l’équipe nationale sur les postes 4 et 3 sur les dernières saisons et coaché par Nenad Markovic en sélection jeune, il nous rejoindra mi-aout après un nouvel été sous les couleurs du maillot national.»
Aleksandar Lazic : « Je suis vraiment heureux et fier de rejoindre un club qui a une riche histoire et une grande tradition et je suis persuadé que nous allons pouvoir faire de belles choses tous ensemble. Par le passé, j’ai toujours eu l’envie de venir jouer en France, j’ai toujours suivi de loin les résultats des équipes françaises donc le choix a vraiment été facile pour moi de rejoindre le projet de la JDA Bourgogne Dijon. Je suis pressé de rejoindre mes coéquipiers et de rencontrer le staff qui va nous driver tout au long de la saison ! »
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Le vainqueur du concours de dunks du All-Star Game de la LNB 2022 a vécu une saison frustrante à Villeurbanne, conclue en Betclic Elite par 5,8 points et 2,6 rebonds en 16 minutes de moyenne sur 28 matches et 3,7 points, 1,8 rebond en 14 minutes en Euroleague.
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\"Cet été est très important pour moi et pour l'équipe nationale, donc je voulais être ici un peu plus tôt et me préparer mentalement et physiquement pour tout ce qui s'en vient cet été. Comme je l'ai déjà dit, je veux être prêt et concentré à chaque instant. J'ai fait beaucoup de travail\", a confié Morgan aux médias slovènes.
Alors qui va choisir Aleksandar Sekulić entre les deux Américains ?
\"Nous en avons parlé avec le sélectionneur, c'est tout ce que je peux dire à ce sujet pour le moment. Nous verrons\", a déclaré le nouveau membre du Lokomotiv Kouban, qui a fait six apparitions officielles pour la Slovénie jusqu'à présent. \"Pour être honnête, j'essaie de penser le moins possible au fait que Mike et moi serons là. La préparation a à peine commencé, je me concentre sur chaque jour ici. En fin de compte, ce n'est pas moi qui prendrai cette décision, heureusement ce n'est pas mon travail. Je fais de mon mieux chaque jour, et ensuite nous verrons ce qui se passera. C'est dans ma nature, peu importe qui fait partie de l'équipe et qui est ici.\"
A propos de son déménagement en Russie, au Lokomotiv Kouban, Jordan Morgan explique :
\"Cela fait quelques années que je n'ai pas joué en Russie avec Unics, mais les circonstances sont similaires maintenant. J'ai hâte de jouer et de relever un nouveau défi, de revenir dans le championnat russe et de jouer dans un grand club. La situation actuelle avec les clubs russes est ce qu'elle est, j'ai dû me renseigner un peu plus sur la situation là-bas. Je ne serais pas honnête si je ne disais pas que j'avais des inquiétudes, mais en fin de compte, les conversations avec l'entraîneur et certains des basketteurs qui y jouent, est la raison pour laquelle je me sens à l'aise et en sécurité.\"
Devinez qui Jordan Morgan aura comme coach au Lokomotiv Kouban... Réponse : Aleksandar Sekulić.
Photo : Jordan Morgan (FIBA)
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Vana Dundov est impliquée dans les affaires du club croate de Zadar depuis plus de 30 ans, alors qu'elle a récemment été nommée au poste de directrice par intérim de ce club. De nombreux médias croates ont affirmé qu'elle était une femme très ingénieuse qui se donne toujours à cent pour cent dans son travail, et elle a réussi à obtenir des résultats positifs avec Zadar, qui est devenu champion de Croatie et grâce à cela elle a été surnommée \"la première dame du basket de Zadar\".
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Le Paris Basketball reconstruit dans la capitale, pierre par pierre, l'équipe du Telekom Baskets Bonn. Ainsi, après le coach finlandais Tuomas lisalo, Michael Kessens, Leon Kratzer et Tyson Ward, voici donc Collin Malcolm, qui vient de passer une saison dans le club allemand à 9,2 points, 3,9 rebonds et 1,6 passe. Il a donc gagné avec le Telekom la Basketball Champions League.
Auparavant, l'Américain était passé par trois petites ligues (Géorgie, Finlande et Chypre).
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Photo : FIBA
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\"Un certain nombre de joueurs et de membres de délégations de six équipes présentent des symptômes d'infection virale. Les équipes concernées sont la Finlande, la Grèce, la Lituanie, la Slovénie, l'Espagne et la Turquie. La cause exacte de la maladie et un diagnostic n'ont pas encore été établis.
Toutes les personnes touchées sont surveillées en permanence par les médecins de l'équipe et les autorités sanitaires locales.
La FIBA, la Fédération serbe de basketball et les organisateurs locaux continueront de surveiller la situation et partageront toute mise à jour, y compris une éventuelle décision concernant le calendrier des matchs, avec toutes les parties concernées.
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Photo : L'équipe turque (FIBA)
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Les membres du staff technique de l’époque seront également présents puisque Vincent Collet qui dirigeait déjà les Bleus était assisté de Ruddy Nelhomme et Jacky Commères, actuel Directeur de la performance et des Équipes de France à la FFBB. Ils seront tous les trois accompagnés de l’ancien Général Manager et Directeur Technique National de la FFBB, Patrick Beesley.
Le Trophée de Champions d’Europe 2013 sera présenté au public de Pau, sur le parquet du Palais des Sports.
Photo : FIBA
Nikola Jokic prétexte une saison NBA éprouvante pour ne pas rejoindre l'équipe nationale serbe, ce qui ne convainc pas Dusko Vujosevic comme il l'a déclaré à TV Nova.
\"Le culte de l'équipe nationale est menacé depuis longtemps. Il faut faire la distinction entre ceux qui ne veulent pas et ceux qui ne peuvent pas. Ces choses doivent être connues\" a t-il commencé par dire. \"Je n'ai pas entraîné Jokić, je l'ai à peine suivi, mais ses succès m'ont interpellé cette année... Je l'ai regardé, je l'ai encouragé, j'ai gagné de la sympathie pour lui, c'est un homme familier, il aime les chevaux, mais un l'homme a aussi une obligation envers le pays dans lequel il est né. Le succès est contraignant, la renommée est difficile. Il est moins connecté à l'équipe nationale, mais tout le pays était en feu, son succès sensationnel et sa première place en NBA avec une équipe qui n'appartient pas aux grands clubs et aux favoris... Je sais que les temps ont changé, que les joueurs sont exploités avec un grand nombre de matches, c'est un gros gâchis, pourtant il n'y a pas d'excuse. Surtout pour le meilleur, et il est le meilleur. Et quand le meilleur apparaît, je ne sais pas combien d'autres auraient le culot de ne pas apparaître, à part les blessés.\"
L'ancien coach de Limoges et du Partizan a fait une comparaison avec le tennisman Novak Djokovic.
\"Je sais qu'il est fatigué, il aurait fait un grand geste s'il était venu jouer pour l'équipe nationale dans ces conditions. Souvenons-nous de Novak, quand il jouait aussi bien en simple qu'en double aux Jeux olympiques... Il doit avoir quelque chose de romantique en lui, pas seulement de rationnel.\"
Photo : FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6ce", "plaintext":"Dusko Vujosevic dont la parole est toujours écoutée en Serbie a critiqué la star Nikola Jokic qui a déclaré forfait pour la Coupe du monde.\n\nNikola Jokic prétexte une saison NBA éprouvante pour ne pas rejoindre l'équipe nationale serbe, ce qui ne convainc pas Dusko Vujosevic comme il l'a déclaré à TV Nova.\n\n\"Le culte de l'équipe nationale est menacé depuis longtemps. Il faut faire la distinction entre ceux qui ne veulent pas et ceux qui ne peuvent pas. Ces choses doivent être connues\" a t-il commencé par dire. \"Je n'ai pas entraîné Jokić, je l'ai à peine suivi, mais ses succès m'ont interpellé cette année... Je l'ai regardé, je l'ai encouragé, j'ai gagné de la sympathie pour lui, c'est un homme familier, il aime les chevaux, mais un l'homme a aussi une obligation envers le pays dans lequel il est né. Le succès est contraignant, la renommée est difficile. Il est moins connecté à l'équipe nationale, mais tout le pays était en feu, son succès sensationnel et sa première place en NBA avec une équipe qui n'appartient pas aux grands clubs et aux favoris... Je sais que les temps ont changé, que les joueurs sont exploités avec un grand nombre de matches, c'est un gros gâchis, pourtant il n'y a pas d'excuse. Surtout pour le meilleur, et il est le meilleur. Et quand le meilleur apparaît, je ne sais pas combien d'autres auraient le culot de ne pas apparaître, à part les blessés.\"\n\nL'ancien coach de Limoges et du Partizan a fait une comparaison avec le tennisman Novak Djokovic.\n\n\"Je sais qu'il est fatigué, il aurait fait un grand geste s'il était venu jouer pour l'équipe nationale dans ces conditions. Souvenons-nous de Novak, quand il jouait aussi bien en simple qu'en double aux Jeux olympiques... Il doit avoir quelque chose de romantique en lui, pas seulement de rationnel.\"\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/image-52.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-26T05:48:24.000Z", "updated_at":"2023-07-26T05:48:24.000Z", "published_at":"2023-07-26T05:48:24.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a1f", "uuid":"d60e8c39-2cc9-4a29-8321-6ab76a17831d", "title":"Le Lituanien Arturas Gudaitis choisit le Japon comme prochaine destination", "slug":"le-lituanien-arturas-gudaitis-choisit-le-japon-comme-prochaine-destination", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Arturas Gudaitis (2,08 m, 30 ans), qui sort d'une saison au Panathinaikos, est un nouveau joueur de l'Alvark Tokyo, a annoncé l'équipe japonaise.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec le Panathinaikos, le Lituanien a tourné à 7,6 points et 4,3 rebonds par match entre le championnat grec et l'Euroleague. Il avait auparavant fréquenté plusieurs clubs de renom : Zalgiris Kaunas, Milan, et Zenit Saint-Petersbourg.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Gudaitis jouera pour l'ancien joueur de Gravelines et coach de la sélection lituanienne Dainius Adomaitis, qui est l'entraîneur du club japonais depuis juillet 2022.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Avec le Panathinaikos, le Lituanien a tourné à 7,6 points et 4,3 rebonds par match entre le championnat grec et l'Euroleague. Il avait auparavant fréquenté plusieurs clubs de renom : Zalgiris Kaunas, Milan, et Zenit Saint-Petersbourg.
Gudaitis jouera pour l'ancien joueur de Gravelines et coach de la sélection lituanienne Dainius Adomaitis, qui est l'entraîneur du club japonais depuis juillet 2022.
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Le paradoxe, c'est que Sabrina Ionescu qui a ébloui le monde entier avec sa performance au concours de tirs à trois-points du All-Star Game, a raté 12 de ses 14 shoots lors de ce match contre le Storm. C'est donc davantage la joueuse très complète qui s'est mise en évidence cette nuit.
Avec 17 victoires pour 5 défaites, le Liberty est classé 2e derrière les Las Vegas Aces (22-2).
Jewell Loyd a marqué 22 de ses 32 points en première mi-temps pour Seattle qui a perdu 10 matchs consécutifs, le pire résultat de l'histoire de la franchise. Gabby Williams n'a pas été non plus adroite (2/10 aux shoots pour 5 points), mais elle a ajouté 5 rebonds et 4 passes en 35 minutes).
Le record de 5 triple double en WNBA est détenu par la joueuse du Connecticut Sun Alyssa Thomas.
Les triple double de Sabrina Ionescu :
18/5/2021 vs Minnesota Lynx (26pts-10reb-12as) 12/6/2022 vs Chicago Sky (27pts-13reb-12as) 7/7/2022 vs Las Vegas Aces (30pts-13reb-10as) 25/7/2023 vs Seattle Storm (12pts-12reb-12as)
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« Nous avons résisté aux États-Unis. C'est un signe que le basket européen et, plus précisément, le basket espagnol continue de croître. On se rapproche de plus en plus des Américaines », a estimé Bernat Canut rapporte As. \"Nous espérons que cela aidera beaucoup de filles à avoir de nouveaux modèles féminins, pour qu'il y ait de plus en plus de filles qui osent franchir le pas pour jouer.\"
« Nous avons montré que le basket féminin méritait d'avoir plus de visibilité. C'est incroyable qu'autant de personnes puissent venir nous soutenir. On montre aux petites filles qu'elles peuvent aller aussi loin qu'elles le veulent », a ajouté Awa Fam, pivot de l'équipe nationale. « Cette Coupe du monde est un succès pour le basket féminin », a déclaré Alba Torrens, légende de l'équipe nationale et médaillée d'argent à l'Eurobasket en juin, qui était présente dès les quarts de finale au WiZink de Madrid en compagnie de Raquel Carrera et Laura Quevedo.
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Le meneur américain avait jusqu'au 25 juillet pour quitter l'AS Monaco au profit d'un contrat garanti en NBA. Mike James, Kemba Walker, Jordan Loyd, Elie Okobo, Matthew Strazel et Yakuba Ouattara -qui doit signer une prolongation de contrat- formeront ainsi une ligne arrière juste extraordinaire.
Selon le site BasketNews, le club de la Principauté était dans la course pour acquérir l'ancien joueur de Barcelone, Nikola Mirotic, \"mais à ce stade, il ne semble pas que le plus grand free agent de l'Euroleague soit susceptible de rejoindre le club monégasque.\"
Photo : Euroleague
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En collaboration avec le Paris Basketball, les billets pour l'événement seront disponibles à l'achat en ligne à partir du 21 août ou sur place le jour du match à la billetterie de la Halle Georges-Carpentier. Il y aura trois types de billets allant de 10 à 30 €.
Photo : Dawn Staley (FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6d3", "plaintext":"Anciennes championnes NCAA féminin et sélectionnées parmi les 10 premières équipes de pré-saison, les universités de Notre Dame et de South Carolina entreront dans l'histoire en jouant le tout premier match de saison régulière du championnat à Paris, à la Halle Georges-Carpentier, le lundi 6 novembre prochain.\n\nLes deux équipes arriveront à Paris plusieurs jours avant le match avec la possibilité de s'entraîner quotidiennement sur place. Chaque équipe aura l'occasion de visiter Le Louvre et de faire un dîner-croisière sur la Seine. En collaboration avec Under Armour, les équipes organiseront un clinic de basket-ball pour les jeunes samedi après-midi avant le coup d'envoi de lundi et un retour aux États-Unis le mardi.\n\n\"C'est vraiment indescriptible de voir le basketball universitaire féminin être présenté dans le monde entier, et je suis ravie que notre équipe fasse partie de cet effort\", a déclaré la coach de South Carolina, Dawn Staley, qui a joué pour Tarbes (saison 1994-95) et qui a eu la direction de l'équipe nationale américaine.\n\n\"Nous sommes ravis de cette opportunité unique de jouer à Paris, et nous ne remercierons jamais assez la ville pour les efforts qu'elle a déployés pour rendre cela possible\", a déclaré de son côté le coach de Notre Dame, Niele Ivey. \"Pouvoir jouer dans un lieu historique tout en ayant le match présenté à la maison sur ESPN est un autre pas dans la bonne direction pour le basket-ball féminin, car il continue de croître aux États-Unis et dans le monde entier.\"\n\nEn collaboration avec le Paris Basketball, les billets pour l'événement seront disponibles à l'achat en ligne à partir du 21 août ou sur place le jour du match à la billetterie de la Halle Georges-Carpentier. Il y aura trois types de billets allant de 10 à 30 €.\n\nPhoto : Dawn Staley (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/dawn-staley-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-26T09:50:17.000Z", "updated_at":"2023-07-26T09:50:17.000Z", "published_at":"2023-07-26T09:50:17.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a24", "uuid":"9a8059da-9ce7-4ab6-8d7d-a42fe1dcd7dd", "title":"Direction Gérone pour Yves Pons (ex-ASVEL)", "slug":"direction-gerone-pour-yves-pons-ex-asvel", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Après avoir été libéré de Villeurbanne, Yves Pons (2,00 m, 24 ans) a choisi l'Espagne et le Basketball Girona pour la saison 2023-24.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La carrière de Yves Pons comprend un séjour aux Tennessee Volunteers, en NCAA, puis 12 matches avec les Memphis Grizzlies, combinés avec les Memphis Hustle de la G-League.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Gérone a assuré la saison dernière son maintien dans la liga ACB pour sa première année dans le championnat. C'est le club dont le propriétaire et pivot est Marc Gasol.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Conséquence directe : Yves Pons ne pourra pas défendre son titre de meilleur dunkeur lors du prochain All-Star Game de la LNB. Il est actuellement avec l'équipe de France comme partenaire d'entraînement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"https://www.basketeurope.com/livenews-fr/661739/portrait-yves-pons-plus-quun-athlete/\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : FFBB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"La carrière de Yves Pons comprend un séjour aux Tennessee Volunteers, en NCAA, puis 12 matches avec les Memphis Grizzlies, combinés avec les Memphis Hustle de la G-League.
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Photo : FFBB
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| 00 | Rodion Kurucs | 1998 | 207 | 3/4 | Strasbourg (FRA) | 10 | 50 |
| 5. | Marek Meyers | 1991 | 207 | 4. | Hapoël Jérusalem (ISR) | 101 | 466 |
| 6. | Kristaps Porzingis | 1995 | 221 | 5. | Washigton Wizards (NBA) | 12 | 274 |
| 8. | Davis Bertans | 1992 | 207 | 3/4 | Dallas Mavericks (NBA) | 51 | 461 |
| 9. | Dairis Bertans | 1989 | 193 | 2. | Real Betis (ESP) | 130 | 1246 |
| 10. | Janis Timma | 1992 | 201 | 3. | 58 | 541 | |
| 11. | Roland Schmidt | 1995 | 207 | 4. | Žalgiris Kaunas(LTU) | 36 | 202 |
| 12. | Artūrs Strautiņš | 1998 | 198 | 3. | Reggio Emilia (ITA) | 14 | 62 |
| 18. | Klaav Chavar | 1996 | 205 | 5. | Start Lublin (POL) | 26 | 145 |
| 21. | Aigars Škele | 1992 | 193 | 1./2. | Stal BM (POL) | 46 | 295 |
| 24. | Andrejs Gražulis | 1993 | 202 | 4. | Aquila Trente (ITA) | 45 | 285 |
| 32. | Andrzej Pasechnik | 1995 | 216 | 5. | Real Betis (ESP) | 22 | 170 |
| 44. | Tom Leimanis | 1994 | 188 | 1. | Étudiantes Madrid (ESP) | dix | 58 |
| 47. | Artūrs Kurucs | 2000 | 192 | 1./2. | Baskonia Vitoria(ESP) | 13 | 73 |
| 55. | Arthur Zagar | 2000 | 190 | 1. | Névezis (LTU) | 7 | 41 |
| 66. | Krister Zorik | 1998 | 195 | 1. | VEF Riga | 19 | 136 |
| Luka Banki | L'entraîneur en chef |
| Jānis Gailītis | Entraîneur |
| Artūrs Visockis-Rubénis | Entraîneur |
| Oscar Ernst | Préparateur physique |
| Mārtiņš Pulveris | Médecin/Chef du personnel médical |
| Massimo Simonette | Kinésithérapeute/chef de service de kinésithérapie |
| Ansis Biedris | Physiothérapeute |
L'équipe de Lettonie est coachée par l'ancien entraîneur de la SIG Strasbourg, Luca Banchi, qui a notamment retenu son ancien joueur Rodions Kurucs. Davis Bertans est l'autre NBAer du groupe.
| N° | Nom | Naiss. | Taille | Pos. | Club' 2022/2023 | Sel. | Pts. |
| 00 | Rodion Kurucs | 1998 | 207 | 3/4 | Strasbourg (FRA) | 10 | 50 |
| 5. | Marek Meyers | 1991 | 207 | 4. | Hapoël Jérusalem (ISR) | 101 | 466 |
| 6. | Kristaps Porzingis | 1995 | 221 | 5. | Washigton Wizards (NBA) | 12 | 274 |
| 8. | Davis Bertans | 1992 | 207 | 3/4 | Dallas Mavericks (NBA) | 51 | 461 |
| 9. | Dairis Bertans | 1989 | 193 | 2. | Real Betis (ESP) | 130 | 1246 |
| 10. | Janis Timma | 1992 | 201 | 3. | 58 | 541 | |
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| 12. | Artūrs Strautiņš | 1998 | 198 | 3. | Reggio Emilia (ITA) | 14 | 62 |
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| 44. | Tom Leimanis | 1994 | 188 | 1. | Étudiantes Madrid (ESP) | dix | 58 |
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| 55. | Arthur Zagar | 2000 | 190 | 1. | Névezis (LTU) | 7 | 41 |
| 66. | Krister Zorik | 1998 | 195 | 1. | VEF Riga | 19 | 136 |
Gestion d'équipe
| Luka Banki | L'entraîneur en chef |
| Jānis Gailītis | Entraîneur |
| Artūrs Visockis-Rubénis | Entraîneur |
| Oscar Ernst | Préparateur physique |
| Mārtiņš Pulveris | Médecin/Chef du personnel médical |
| Massimo Simonette | Kinésithérapeute/chef de service de kinésithérapie |
| Ansis Biedris | Physiothérapeute |
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/lettonie.jpg\")
Photo : Kristaps Porzingis (FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6d5", "plaintext":"Le nouveau pivot des Boston Celtics Kristaps Porzingis (2,21 m, 27 ans) et 15 autres joueurs figurent dans la pré-sélection de l'équipe de Lettonie, qui sera dans le groupe de la France à la Coupe du monde avec également le Canada et le Liban.\n\nL'équipe de Lettonie est coachée par l'ancien entraîneur de la SIG Strasbourg, Luca Banchi, qui a notamment retenu son ancien joueur Rodions Kurucs. Davis Bertans est l'autre NBAer du groupe.\n\nN°Nom Naiss.TaillePos.Club' 2022/2023Sel.Pts.00Rodion Kurucs19982073/4Strasbourg (FRA)10505.Marek Meyers19912074.Hapoël Jérusalem (ISR)1014666.Kristaps Porzingis19952215.Washigton Wizards (NBA)122748.Davis Bertans19922073/4Dallas Mavericks (NBA)514619.Dairis Bertans19891932.Real Betis (ESP)130124610.Janis Timma19922013.5854111.Roland Schmidt19952074.Žalgiris Kaunas(LTU)3620212.Artūrs Strautiņš19981983.Reggio Emilia (ITA)146218.Klaav Chavar19962055.Start Lublin (POL)2614521.Aigars Škele19921931./2.Stal BM (POL)4629524.Andrejs Gražulis19932024.Aquila Trente (ITA)4528532.Andrzej Pasechnik19952165.Real Betis (ESP)2217044.Tom Leimanis19941881.Étudiantes Madrid (ESP)dix5847.Artūrs Kurucs20001921./2.Baskonia Vitoria(ESP)137355.Arthur Zagar20001901.Névezis (LTU)74166.Krister Zorik19981951.VEF Riga19136\n\nGestion d'équipe\n\nLuka BankiL'entraîneur en chefJānis GailītisEntraîneurArtūrs Visockis-RubénisEntraîneurOscar ErnstPréparateur physiqueMārtiņš PulverisMédecin/Chef du personnel médicalMassimo SimonetteKinésithérapeute/chef de service de kinésithérapieAnsis BiedrisPhysiothérapeute\n\n * \n\nPhoto : Kristaps Porzingis (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/porzingis.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-26T11:37:30.000Z", "updated_at":"2023-07-26T11:37:30.000Z", "published_at":"2023-07-26T11:37:30.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a26", "uuid":"f6be48e3-b8df-4c5d-a146-ecd2dcf19055", "title":"Officiel : Yvonne Anderson (ex-Bourges) à Fenerbahçe", "slug":"officiel-yvonne-anderson-ex-bourges-a-fenerbahce", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/fbkadinbasket/status/1684137893688668160\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Après une brillante saison à Bourges, la meneuse américano-serbe Yvonne Anderson (1,75 m, 33 ans) rejoint le Fenerbahçe Istanbul, champion d'Europe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec Bourges, en Ligue féminine, Yvonne Anderson a cumulé 15, points, 4,0 rebonds, 5,0 passes et 1,2 interception. Elle a été incluse dans le cinq majeur de la saison de la LFB.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Avec Bourges, en Ligue féminine, Yvonne Anderson a cumulé 15, points, 4,0 rebonds, 5,0 passes et 1,2 interception. Elle a été incluse dans le cinq majeur de la saison de la LFB.
Photo : FIBA
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Alors que le club grec avait précédemment refusé de payer un montant élevé à Gran Canaria pour le joueur, l'équipe a apparemment changé d'avis à la dernière minute. Selon Georgios Zakkas de SDNA, le Panathinaikos a finalement accepté de payer la somme de 500 000 euros à l'équipe espagnole.
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Cette saison, Amine Noua a tourné à 9 points et 3,4 rebonds par match en 18 minutes, une ligne statistique plutôt faible par rapport à ce qu'il avait pu montrer de 2017 à 2021 à Lyon-Villeurbanne. Celui qui n'a pas encore vécu une expérience épanouissante à l'étranger pourrait donc se laisser tenter pour une nouvelle aventure, loin de la France et de l'Euroleague.
\n\n\n\n\n\nPhoto : © Hervé Bellenger
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6d8", "plaintext":"L'ailier de Lyon-Villeurbanne Amine Noua (2,02 m, 26 ans) est dans les papiers du club israélien de l'Hapoel Holon pour la saison prochaine.\n\nSelon le média Walla Sport, puis repris par Sportando, Amine Noua intéresse le club israélien de l'Hapoel Holon, également engagé en Champions League (BCL) la saison prochaine. Bien que sous contrat avec le club rhodanien jusqu'en 2024, l'ailier-fort pourrait - tout comme Yves Pons - quitter dès cet été l'ASVEL.\n\nCette saison, Amine Noua a tourné à 9 points et 3,4 rebonds par match en 18 minutes, une ligne statistique plutôt faible par rapport à ce qu'il avait pu montrer de 2017 à 2021 à Lyon-Villeurbanne. Celui qui n'a pas encore vécu une expérience épanouissante à l'étranger pourrait donc se laisser tenter pour une nouvelle aventure, loin de la France et de l'Euroleague.\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : © Hervé Bellenger", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/03/noua-amine-bellenger-ffbb-scaled.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-26T14:02:59.000Z", "updated_at":"2023-07-26T14:02:59.000Z", "published_at":"2023-07-26T14:02:59.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a29", "uuid":"62b31131-8574-4d30-9e20-dcd372767b74", "title":"EuroBasket U18 : Les Bleuets éliminent la Pologne et filent en quart de finale !", "slug":"eurobasket-u18-les-bleuets-eliminent-la-pologne-et-filent-en-quart-de-finale", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/theo-pichard.jpg\",\"width\":241,\"height\":161,\"caption\":\"Théo Pichard © FIBA\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/europe/u18/2023/game/2607/France-Poland/#tab=boxscore\",\"rel\",\"noopener\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L'équipe de France U18 poursuit son aventure européenne grâce à sa large victoire sur la Pologne \"],[0,[0],1,\"94 à 54\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le groupe de Frédéric Caprez débute parfaitement les phases finales de l'EuroBasket U18. Sortis premiers de leur poule, ils montent en puissance à Nis, en Serbie. Les Français affronteront le vainqueur de Slovénie - Italie en quart de finale demain à 18h.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après un début de match brouillon, l'équipe de France a rapidement pris la tête de la rencontre. Grâce à son banc et l'entrée de l'organisateur et meneur Théo Pichard et du scoreur Noa Essengue - qui marquait 10 points à lui seul dès le premier quart-temps - les Bleuets menaient 26-13 après 10 minutes de jeu. Un écart qu'ils ont su garder durant le deuxième acte en repartant aux vestiaires sur le score de 49-36. Physiques et très agressifs dans la raquette polonaise, les jeunes Français confirmaient leur domination du début de compétition.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après la pause, les Bleuets ont gardé ce même haut tempo, caractéristique de leur équipe, pour s'envoler au score. Véritable homme du match, Noa Essengue (20 points et 8 rebonds) continuait son festival en contre-attaque pendant que les Polonais baissaient petit à petit en réalisme. 19 à 6 dans le troisième quart-temps puis 26 à 12 dans le dernier. Avec une belle répartition des points pour se mettre en confiance et une victoire française à l'arrivée.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le laborieux parcours de la Pologne s'arrête dès son premier match des phases finales. La sélection polonaise a évolué sans un de ses meilleurs joueurs durant une grande partie de la compétition. L'intérieur Jakub Szumert ayant connu des problèmes respiratoires, l'obligeant à stopper son EuroBasket et à retourner en Pologne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : © FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le groupe de Frédéric Caprez débute parfaitement les phases finales de l'EuroBasket U18. Sortis premiers de leur poule, ils montent en puissance à Nis, en Serbie. Les Français affronteront le vainqueur de Slovénie - Italie en quart de finale demain à 18h.
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Après un début de match brouillon, l'équipe de France a rapidement pris la tête de la rencontre. Grâce à son banc et l'entrée de l'organisateur et meneur Théo Pichard et du scoreur Noa Essengue - qui marquait 10 points à lui seul dès le premier quart-temps - les Bleuets menaient 26-13 après 10 minutes de jeu. Un écart qu'ils ont su garder durant le deuxième acte en repartant aux vestiaires sur le score de 49-36. Physiques et très agressifs dans la raquette polonaise, les jeunes Français confirmaient leur domination du début de compétition.
Après la pause, les Bleuets ont gardé ce même haut tempo, caractéristique de leur équipe, pour s'envoler au score. Véritable homme du match, Noa Essengue (20 points et 8 rebonds) continuait son festival en contre-attaque pendant que les Polonais baissaient petit à petit en réalisme. 19 à 6 dans le troisième quart-temps puis 26 à 12 dans le dernier. Avec une belle répartition des points pour se mettre en confiance et une victoire française à l'arrivée.
Le laborieux parcours de la Pologne s'arrête dès son premier match des phases finales. La sélection polonaise a évolué sans un de ses meilleurs joueurs durant une grande partie de la compétition. L'intérieur Jakub Szumert ayant connu des problèmes respiratoires, l'obligeant à stopper son EuroBasket et à retourner en Pologne.
Photo : © FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6d9", "plaintext":"L'équipe de France U18 poursuit son aventure européenne grâce à sa large victoire sur la Pologne 94 à 54.\n\nLe groupe de Frédéric Caprez débute parfaitement les phases finales de l'EuroBasket U18. Sortis premiers de leur poule, ils montent en puissance à Nis, en Serbie. Les Français affronteront le vainqueur de Slovénie - Italie en quart de finale demain à 18h.\n\nAprès un début de match brouillon, l'équipe de France a rapidement pris la tête de la rencontre. Grâce à son banc et l'entrée de l'organisateur et meneur Théo Pichard et du scoreur Noa Essengue - qui marquait 10 points à lui seul dès le premier quart-temps - les Bleuets menaient 26-13 après 10 minutes de jeu. Un écart qu'ils ont su garder durant le deuxième acte en repartant aux vestiaires sur le score de 49-36. Physiques et très agressifs dans la raquette polonaise, les jeunes Français confirmaient leur domination du début de compétition.\n\nAprès la pause, les Bleuets ont gardé ce même haut tempo, caractéristique de leur équipe, pour s'envoler au score. Véritable homme du match, Noa Essengue (20 points et 8 rebonds) continuait son festival en contre-attaque pendant que les Polonais baissaient petit à petit en réalisme. 19 à 6 dans le troisième quart-temps puis 26 à 12 dans le dernier. Avec une belle répartition des points pour se mettre en confiance et une victoire française à l'arrivée.\n\nLe laborieux parcours de la Pologne s'arrête dès son premier match des phases finales. La sélection polonaise a évolué sans un de ses meilleurs joueurs durant une grande partie de la compétition. L'intérieur Jakub Szumert ayant connu des problèmes respiratoires, l'obligeant à stopper son EuroBasket et à retourner en Pologne.\n\nPhoto : © FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/noa-essengue.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-26T17:41:03.000Z", "updated_at":"2023-07-26T17:41:03.000Z", "published_at":"2023-07-26T17:41:03.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a2a", "uuid":"2dfac1ff-2508-4087-bd95-0c53bc5ea23b", "title":"Betclic Elite : Mikael Jantunen renforce la raquette du Paris Basketball", "slug":"betclic-elite-mikael-jantunen-renforce-la-raquette-du-paris-basketball", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/ParisBasketball/status/1684223946999099395?s=20\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le Paris Basketball a annoncé l'arrivée de l'intérieur finlandais Mikael Jantunen (2,04 m, 23 ans) en provenance de l’Universo Treviso Basket.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les nouvelles recrues défilent et les mouvements s'accélèrent dans le club parisien. Depuis plusieurs semaines et l'arrivée du coach Tuomas Iisalo, le Paris Basketball nous avait habitué aux joueurs en provenance de Bonn. Cette fois, le nouveau nom signé est un ancien joueur du Filou Ostende (Belgique) et de Trévise. International finlandais, Mikael Jantunen a également participé au dernier EuroBasket et à la qualification de la Finlande pour la prochaine Coupe du monde.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L'année passée dans la région de Vénétie, l’ailier fort a occupé une place de titulaire. Il a terminé la saison avec des moyennes de 8,2 points, 4,9 rebonds, 1 interception, 50% au tir, dont 38% derrière l’arc. Désormais, c’est sous le maillot du Paris Basketball que Mikael Jantunen entend confirmer son ascension européenne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mikael Jantunen vient de jouer la Summer League avec les Golden State Warriors. Très adroit de près et de loin, le natif d’Helsinki est une valeur en hausse du basket européen. Et un nouveau renfort de poids pour un Paris Basketball bien décidé à poursuivre sa montée en puissance la saison prochaine.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"«Mikael est un joueur que nous suivons depuis un long moment. Cet été était le bon moment pour les deux parties et je suis très heureux qu’il nous ait choisis parmi de nombreuses autres belles opportunités. Son poste de prédilection, c’est ailier fort, mais il a la rapidité, la force et la dureté pour défendre sur différents postes. Il combine un grand QI basket avec de bons instincts naturels. Une combinaison rare, surtout pour un jeune joueur en développement. Son expérience du haut niveau est un gros plus, ce n’est pas nouveau pour lui.»\"],[1,[],0,0],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Tuomas Iisalo, coach du Paris Basketball\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : © FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Les nouvelles recrues défilent et les mouvements s'accélèrent dans le club parisien. Depuis plusieurs semaines et l'arrivée du coach Tuomas Iisalo, le Paris Basketball nous avait habitué aux joueurs en provenance de Bonn. Cette fois, le nouveau nom signé est un ancien joueur du Filou Ostende (Belgique) et de Trévise. International finlandais, Mikael Jantunen a également participé au dernier EuroBasket et à la qualification de la Finlande pour la prochaine Coupe du monde.
L'année passée dans la région de Vénétie, l’ailier fort a occupé une place de titulaire. Il a terminé la saison avec des moyennes de 8,2 points, 4,9 rebonds, 1 interception, 50% au tir, dont 38% derrière l’arc. Désormais, c’est sous le maillot du Paris Basketball que Mikael Jantunen entend confirmer son ascension européenne.
Mikael Jantunen vient de jouer la Summer League avec les Golden State Warriors. Très adroit de près et de loin, le natif d’Helsinki est une valeur en hausse du basket européen. Et un nouveau renfort de poids pour un Paris Basketball bien décidé à poursuivre sa montée en puissance la saison prochaine.
«Mikael est un joueur que nous suivons depuis un long moment. Cet été était le bon moment pour les deux parties et je suis très heureux qu’il nous ait choisis parmi de nombreuses autres belles opportunités. Son poste de prédilection, c’est ailier fort, mais il a la rapidité, la force et la dureté pour défendre sur différents postes. Il combine un grand QI basket avec de bons instincts naturels. Une combinaison rare, surtout pour un jeune joueur en développement. Son expérience du haut niveau est un gros plus, ce n’est pas nouveau pour lui.»
Tuomas Iisalo, coach du Paris Basketball
Photo : © FIBA
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Rappelons que c'est l'arrière-grand-père maternel de Li Kaier qui était chinois. Anderson a été mis au courant de cette lignée en 2018 lorsque sa mère a commencé à se plonger dans l'arbre généalogique de la famille. Leurs ancêtres étaient originaires des environs de la ville de Shenzhen.
Kyle Anderson, a récolté en moyenne 9,4 points, 5,3 rebonds et 4,9 passes décisives en 28 minutes la saison dernière avec les Timberwolves.
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6dc", "plaintext":"Tout s'achète, y compris la naturalisation d'un NBAer. Selon les médias chinois, Kyle Anderson (2,06 m, 29 ans) a demandé un million de dollars pour défendre les couleurs de son nouveau pays.\n\nCet argent a été versé par des sponsors au joueur des Minnesota Timberwolves, qui a également bénéficié d'un contrat avec l'équipementier Nike. Kyle Anderson, qui s'appelle désormais Li Kaier, est sur un contrat de deux ans avec les Wolves pour 18M€ qu'il a obtenu l'année dernière.\n\nRappelons que c'est l'arrière-grand-père maternel de Li Kaier qui était chinois. Anderson a été mis au courant de cette lignée en 2018 lorsque sa mère a commencé à se plonger dans l'arbre généalogique de la famille. Leurs ancêtres étaient originaires des environs de la ville de Shenzhen.\n\nKyle Anderson, a récolté en moyenne 9,4 points, 5,3 rebonds et 4,9 passes décisives en 28 minutes la saison dernière avec les Timberwolves.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/04/kyle-anderson.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-27T06:30:00.000Z", "updated_at":"2023-07-27T06:30:00.000Z", "published_at":"2023-07-27T06:30:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a2d", "uuid":"844de9e3-fad8-4978-a961-c31037cf432b", "title":"Pro B : L’international congolais Christian Lutete à Nantes", "slug":"pro-b-linternational-congolais-christian-lutete-a-nantes", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L’Américano-congolais Christian Lutete (1,96 m, 26 ans) est la nouvelle recrue du Nantes Basket Hermine pour la saison 2023-24 en tant que poste 3.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Christian Lutete était la saison dernière à l’ALM Évreux, pour 16,9 points, 4 rebonds et 13,4 d’évaluation en 30 minutes par match. Natif de Washington DC aux Etats-Unis, et passé par la NCAA, il a joué dans les championnats roumain, finlandais et kosovar. Il a fini meilleur marqueur du championnat finlandais en 2021-22 avec le club du Lapuan Korikobrat.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« \"],[0,[1],1,\"Christian est un poste 3 élégant, gaucher et avec une grande qualité sur le tir extérieur qu’il est capable de se créer lui-même. Il sort d’une grosse saison avec Evreux où il a démontré toute sa capacité à scorer, mais aussi à aider son équipe sur le rebond. C’est un excellent coéquipier qui pourra aider nos non JFL sur la découverte du championnat Pro B\"],[0,[],0,\", \"],[0,[1],1,\"»\"],[0,[],0,\" commente le coach Laurent Pluvy.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo : ALM Evreux\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Christian Lutete était la saison dernière à l’ALM Évreux, pour 16,9 points, 4 rebonds et 13,4 d’évaluation en 30 minutes par match. Natif de Washington DC aux Etats-Unis, et passé par la NCAA, il a joué dans les championnats roumain, finlandais et kosovar. Il a fini meilleur marqueur du championnat finlandais en 2021-22 avec le club du Lapuan Korikobrat.
« Christian est un poste 3 élégant, gaucher et avec une grande qualité sur le tir extérieur qu’il est capable de se créer lui-même. Il sort d’une grosse saison avec Evreux où il a démontré toute sa capacité à scorer, mais aussi à aider son équipe sur le rebond. C’est un excellent coéquipier qui pourra aider nos non JFL sur la découverte du championnat Pro B, » commente le coach Laurent Pluvy.
Photo : ALM Evreux
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Juancho a été médaillé d'or à la Coupe du monde 2019 et à l'Eurobasket 2022.
Photo : FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6de", "plaintext":"L'ailier espagnol Juancho Hernangomez (2,06 m, 27 ans) est un nouveau joueur du Panathinaikos pour deux deux ans a officialisé le club grec dans la matinée.\n\nL'incroyable moisson de l'intersaison du Panathinaikos, moribond la saison dernière, continue avec l'international espagnol, frère de Willy qui a opté pour Barcelone. A sa sortie d'Estudiantes Madrid, Juancho a embrassé une carrière en NBA qui l'a mené dans six franchises. Sa meilleure production est à relever aux Minnesota Timberwolves en 2020-21 avec 12,9 points et 7,3 rebonds en 14 matches. Il a été coupé des Toronto Raptors en février dernier après 49 matches et 2,9 points en moyenne.\n\nJuancho a été médaillé d'or à la Coupe du monde 2019 et à l'Eurobasket 2022.\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/juancho-hernangomez-3.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-27T05:21:18.000Z", "updated_at":"2023-07-27T05:21:18.000Z", "published_at":"2023-07-27T05:21:18.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a2f", "uuid":"d2e14ab5-c1d7-4068-81b9-666e1f543fc1", "title":"Coupe du monde : Karl-Anthony Towns, Al Horford et Chris Duarte dans la pré-sélection de la République Dominicaine", "slug":"coupe-du-monde-karl-anthony-towns-al-horford-et-chris-duarte-dans-la-pre-selection-de-la-republique-dominicaine", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/republique-dominicaine.jpg\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Karl-Anthony Towns (2,13 m, 27 ans, Minnesota Timberwoves), Al Horford (2,06 m, 37 ans, Boston Celtics) et aussi Chris Duarte (1,96 m, 26 ans, Sacramento Kings) font partie de la pré-sélection de 30 joueurs pour la Coupe du monde de la République Dominicaine.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Alors qu'il n'a pas porté le maillot de l'équipe nationale depuis dix ans, Rafael Uribe, le président de la Fédération, a affirmé qu'il y a 90% de chance que Karl-Anthony Towns soit présent en Asie. Celui-ci a apporté cette saison en moyenne 20,8 points et 8,1 rebonds aux Wolves.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La République Dominicaine se retrouve dans un groupe à Manille avec l'Angola, les Philippines et l'Italie.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Karl Anthony Towns (NBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Alors qu'il n'a pas porté le maillot de l'équipe nationale depuis dix ans, Rafael Uribe, le président de la Fédération, a affirmé qu'il y a 90% de chance que Karl-Anthony Towns soit présent en Asie. Celui-ci a apporté cette saison en moyenne 20,8 points et 8,1 rebonds aux Wolves.
La République Dominicaine se retrouve dans un groupe à Manille avec l'Angola, les Philippines et l'Italie.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/republique-dominicaine.jpg\")
Photo : Karl Anthony Towns (NBA)
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Ancien joueur de haut niveau avec notamment un passage à Saint-Brieuc lors de la saison 2008-09, l'Italo-Brésilien Bruno Savignani a déjà travaillé avec Coach Cancellieri lors de la saison 2020-21 à Ravenna. Il a été également coach au Brésil et assistant à Pesaro lors des deux dernières saisons où il a été notamment l’assistant de... Luca Banchi. Bruno Savignani est également assistant coach pour la sélection nationale du Brésil. Il rejoindra la SIG Strasbourg à l’issue de la Coupe du monde.
Massimo Cancellieri : « Avec Nicola (NDLR : Alberani, le directeur sportif), nous avons voulu constituer un staff avec deux assistants partageant les mêmes valeurs et qui auront des niveaux de responsabilités équivalentes. Je connais Bruno depuis plusieurs années. Nous avons déjà travaillé ensemble et j’ai confiance en lui. Thomas était le premier nom sur ma liste d’assistants il y a deux ans et je suis heureux que cette année nous ayons trouvé un accord afin de travailler ensemble ».", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6e0", "plaintext":"Thomas Drouot (40 ans) et Bruno Savignani (41 ans) sont les nouveaux assistants-coaches pour deux ans de la SIG Strasbourg.\n\nThomas Drouault fut entraîneur des Espoirs puis assistant en équipe première à Levallois, coach principal au Havre, assistant et coach à Orléans puis coach à Tours en NM1.\n\nAncien joueur de haut niveau avec notamment un passage à Saint-Brieuc lors de la saison 2008-09, l'Italo-Brésilien Bruno Savignani a déjà travaillé avec Coach Cancellieri lors de la saison 2020-21 à Ravenna. Il a été également coach au Brésil et assistant à Pesaro lors des deux dernières saisons où il a été notamment l’assistant de... Luca Banchi. Bruno Savignani est également assistant coach pour la sélection nationale du Brésil. Il rejoindra la SIG Strasbourg à l’issue de la Coupe du monde.\n\nMassimo Cancellieri : « Avec Nicola (NDLR : Alberani, le directeur sportif), nous avons voulu constituer un staff avec deux assistants partageant les mêmes valeurs et qui auront des niveaux de responsabilités équivalentes. Je connais Bruno depuis plusieurs années. Nous avons déjà travaillé ensemble et j’ai confiance en lui. Thomas était le premier nom sur ma liste d’assistants il y a deux ans et je suis heureux que cette année nous ayons trouvé un accord afin de travailler ensemble ».", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/staff-sig.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-27T07:45:13.000Z", "updated_at":"2023-07-27T07:45:13.000Z", "published_at":"2023-07-27T07:45:13.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a31", "uuid":"fcda82e9-8453-412b-acd2-f1696f261a0a", "title":"Groupe de Préparation Olympique 3x3 : Eve Wembanyama remplace Marie-Michelle Milapie", "slug":"groupe-de-preparation-olympique-3x3-eve-wembanyama-remplace-marie-michelle-milapie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"Marie-Michelle Milapie n’intégrera pas le groupe de préparation olympique 3x3 en septembre prochain. Elle est remplacée par Eve Wembanyama\"],[0,[],0,\", \"],[0,[0],1,\"qui est la soeur de Victor.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"D’un commun accord avec la FFBB, Marie-Michelle Milapie (1,91 m, 27 ans) n’intégrera pas le groupe de préparation olympique 3x3 au 1er septembre 2023. L’ex-joueuse de la Magnolia Basket Campobasso (Italie) a souhaité accepter une proposition d’un club étranger pour la saison 2023-24.\"],[1,[],0,0],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Dans le même temps, une proposition à été formulée à Eve Wembanyama (1,85 m, 21 ans) afin d’intégrer le groupe de préparation olympique et se consacrer intégralement au 3x3 jusqu’aux Jeux Olympiques de Paris 2024, proposition acceptée par la joueuse. Celle qui évoluait au Monaco Basket Association (LF2) la saison passée connaît bien la discipline puisqu’elle a fait ses premiers pas sur le circuit international féminin 3x3 lors des Women’s Series la semaine dernière à Bordeaux et a décroché la médaille d’argent avec l’Équipe de France U21 lors de la Nations League 3x3 2022.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Marie-Michelle Milapie reste néanmoins sélectionnable en Équipe de France.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : FFBB\"],[1,[],0,2]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
D’un commun accord avec la FFBB, Marie-Michelle Milapie (1,91 m, 27 ans) n’intégrera pas le groupe de préparation olympique 3x3 au 1er septembre 2023. L’ex-joueuse de la Magnolia Basket Campobasso (Italie) a souhaité accepter une proposition d’un club étranger pour la saison 2023-24.
Dans le même temps, une proposition à été formulée à Eve Wembanyama (1,85 m, 21 ans) afin d’intégrer le groupe de préparation olympique et se consacrer intégralement au 3x3 jusqu’aux Jeux Olympiques de Paris 2024, proposition acceptée par la joueuse. Celle qui évoluait au Monaco Basket Association (LF2) la saison passée connaît bien la discipline puisqu’elle a fait ses premiers pas sur le circuit international féminin 3x3 lors des Women’s Series la semaine dernière à Bordeaux et a décroché la médaille d’argent avec l’Équipe de France U21 lors de la Nations League 3x3 2022.
Marie-Michelle Milapie reste néanmoins sélectionnable en Équipe de France.
Photo : FFBB
Après quatre ans au Centre Fédéral, Naoll Balfourier était depuis deux saisons à Cholet Basket. Avec les Espoirs, il a affiché 8,6 points (58,2%) et 5,7 rebonds.
Il est le troisième Choletais qui fait l'objet d'un prêt après Lucas Dufeal à Vichy-Clermont et Mathéo Leray à La Rochelle.
Photo : FIBA
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Photo : Béliers de Quimper
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Jours de match : 27, 29 septembre et 1er octobre 2023
Match de pré-qualification (24 septembre - 19h00 CET) : Fribourg Olympic (SUI) vs Caledonia Gladiators (GBR)
Jours de match : 26, 28 & 30 septembre 2023
Les trois vainqueurs des tournois du tour de qualification se qualifieront pour la saison régulière, rejoignant les 29 équipes directement qualifiées dont Dijon et Le Mans.
Photo : Neal Sacko (Cholet, FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6e4", "plaintext":"Antalya, en Turquie, a été choisie comme ville hôte des tours de qualification de la BasketBall Champion League. Cholet et Strasbourg sont concernés.\n\n\nTournoi de qualification 1\n(le vainqueur va dans le groupe G)\n\nJours de match : 25, 27 & 29 septembre 2023\n\n * Quart de finale 1 (13h00 CET) : Bakken Bears (DEN) contre KB Peja (KOS)\n * Quart de finale 2 (15h30 CET) : Kalev/Cramo (EST) contre Norrköping Dolphins (SWE)\n * Quart de finale 3 (18h00 CET) : SL Benfica (POR) vs TSU Tbilissi (GEO)\n * Quart de finale 4 (20h30 CET) : Patrioti Levice (SVK) contre Petrolina AEK Larnaca (CYP)\n\n * Demi-finale 1 (17h30 CET) : Vainqueur QF1 vs Vainqueur QF2\n * Demi-finale 2 (20h00 CET) : Vainqueur QF3 vs Vainqueur QF4\n\n * Finale (20h00 CET) : Vainqueur SF1 contre Vainqueur SF2\n\n\nTournoi de qualification 2\n(le vainqueur va dans le groupe C)\n\nJours de match : 27, 29 septembre et 1er octobre 2023\n\n * Quart de finale 1 (13h00 CET) : Cholet Basket (FRA) vs Telenet Giants Anvers (BEL)\n * Quart de finale 2 (15h30 CET) : FMP Soccerbet (SRB) contre Pallacanestro Varese (ITA)\n * Quart de finale 3 (18h00 CET) : Happy Casa Brindisi (ITA) contre CSM CSU Oradea (ROU)\n * Quart de finale 4 (20h30 CET) : Heroes Den Bosch (NED) vs BG Göttingen (GER)\n\n * Demi-finale 1 (15h00 CET) : Vainqueur QF1 vs Vainqueur QF2\n * Demi-finale 2 (17h30 CET) : Vainqueur QF3 vs Vainqueur QF4\n\n * Finale (17h30 CET) : Vainqueur SF1 contre Vainqueur SF2\n\n\nTournoi de qualification 3\n(le vainqueur va dans le groupe E)\n\nMatch de pré-qualification (24 septembre - 19h00 CET) : Fribourg Olympic (SUI) vs Caledonia Gladiators (GBR)\n\nJours de match : 26, 28 & 30 septembre 2023\n\n * Quart de finale 1 (13h00 CET) : SIG Strasbourg (FRA) vs Jonava CBet (LTU)\n * Quart de finale 2 (15h30 CET) : Karhu Basket (FIN) contre Ironi Hay Motors Ness Ziona (ISR)\n * Quart de finale 3 (18h00 CET) : Legia Warszawa (POL) vs Winner Pre-Qualifier match (Fribourg/Gladiators)\n * Quart de finale 4 (20h30 CET) : Mornar Barsko Zlato (MNE) contre Monbus Obradoiro (ESP)\n\n * Demi-finale 1 (17h30 CET) : Vainqueur QF1 vs Vainqueur QF2\n * Demi-finale 2 (20h00 CET) : Vainqueur QF3 vs Vainqueur QF4\n\n * Finale (19h00 CET) : Vainqueur SF1 contre Vainqueur SF2\n\nLes trois vainqueurs des tournois du tour de qualification se qualifieront pour la saison régulière, rejoignant les 29 équipes directement qualifiées dont Dijon et Le Mans.\n\nPhoto : Neal Sacko (Cholet, FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/02/neal-sacko.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-28T05:11:00.000Z", "updated_at":"2023-07-28T05:11:00.000Z", "published_at":"2023-07-28T05:11:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a35", "uuid":"7186448d-6d7f-4166-a738-93bae4601baa", "title":"Coupe du monde : Rondae Hollis-Jefferson, un Américain naturalisé dans les tuyaux pour la Jordanie", "slug":"coupe-du-monde-rondae-hollis-jefferson-un-americain-naturalise-dans-les-tuyaux-pour-la-jordanie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La Jordanie est en passe de naturaliser un ancien NBAer, l'ailier Rondae Hollis-Jefferson (1,98 m, 28 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme l'a annoncé la fédération du pays, Rondae Hollis-Jefferson suit actuellement la préparation de l'équipe nationale jordanienne en Lituanie et attend que les démarches soient bouclées pour pouvoir les accompagner à Manille.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En six saisons de NBA avec les Brooklyn Nets, les Toronto Raptors et les Portland Trail Blazers, Rondae Hollis-Jefferson a obtenu en moyenne 9 points, 5,5 rebonds, 1,9 passes décisives. Il a également joué à Porto-Rico et en Turquie (Besiktas).\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Comme l'a annoncé la fédération du pays, Rondae Hollis-Jefferson suit actuellement la préparation de l'équipe nationale jordanienne en Lituanie et attend que les démarches soient bouclées pour pouvoir les accompagner à Manille.
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Le coach Sylvain Lautié : \"Nous sommes très heureux d’accueillir Tyren au SLUC. Parmi la short-list de poste 4 que nous avions, son recrutement nous est apparu comme une évidence.
Il posséde une solidité mentale, il a de l’expérience, il est une menace extérieure, mais également sous le cercle, il a un rôle fédérateur et remplit toutes les cases sportives que nous recherchions. Il va être un parfait complément de Clément (Frisch) mais aussi une parfaite association avec nos postes 5 !\"
Laurent Eisenbach, membre du Directoire : \"Avec son expérience, son QI basket et ses qualités humaines, nous savons que Tyren va apporter énormément au groupe. Il était également cette saison l’un des postes 4 du championnat qui scorait le plus à 3 points, ce qui correspond au profil recherché. Il sera très complémentaire de Clément sur ce poste et pourra lui faire bénéficier de toute son expérience.\"
Photo : Tuan Nguyen
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Les Slovènes sont parvenus à vite recoller au score à la fin du premier quart-temps (20-20), faisant complètement déjouer des jeunes Français perdus en attaque, entre les nombreuses fautes commises (9 au 1er QT) par leurs adversaires et leurs pertes de balle à répétition (5 en 10 minutes).\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le scénario s'est répété dans le deuxième quart-temps. Partis pour prendre le large à trois minutes de la pause (37-30), les hommes de Frédéric Crapez ont été repris à quatre points contre un collectif combattif slovène (38-34, 20e). Entre manque de lucidité et adresse déplorable derrière l'arc (2/12 à trois-points à la pause), les Bleuets tardaient à se mettre dans le rythme qui les avaient fait gagner de 40 points la veille contre la Pologne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au retour des vestiaires, les Français retrouvaient enfin leur bonne méthode. Grâce à leur pression défensive, Illan Pietrus et ses équipiers paralysaient les offensives slovènes et s'offraient, en suivant, de fructueuses contre-attaques. 22 à 10 dans le seul troisième quart (60-44, 30e) et un grand pas vers la victoire. Libérés, les Bleuets s'épanouissaient enfin sur leurs phases offensives en début de quatrième acte avant de se relâcher en fin de rencontre, sans conséquence sur le scénario final.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : © FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Grand ouf de soulagement et qualification réussie pour la suite de leur compétition ! Les jeunes Français ont joué des gros bras contre la Slovénie pour remporter leur quart et atteindre le dernier carré de l'EuroBasket U18. Prochaine étape pour assurer une médaille : affronter le rival espagnol en demi-finale samedi à 18h, avec ses redoutables Hugo Gonzalez et Aday Mara qui ont éliminé la Turquie 75-67 lors de leur quart de finale.
Dans leur quart de finale, les Bleuets ont eu besoin de cinq bonnes minutes et d'un dunk en contre-attaque de Tidjane Salaun (16-9, 5e) pour réaliser un premier écart face à la Slovénie. Un break qui leur permettait lors des précédentes rencontres de s'envoler vers d'autres cieux... mais pas cette fois. Les Slovènes sont parvenus à vite recoller au score à la fin du premier quart-temps (20-20), faisant complètement déjouer des jeunes Français perdus en attaque, entre les nombreuses fautes commises (9 au 1er QT) par leurs adversaires et leurs pertes de balle à répétition (5 en 10 minutes).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/wilson-jacques.jpg\")
Le scénario s'est répété dans le deuxième quart-temps. Partis pour prendre le large à trois minutes de la pause (37-30), les hommes de Frédéric Crapez ont été repris à quatre points contre un collectif combattif slovène (38-34, 20e). Entre manque de lucidité et adresse déplorable derrière l'arc (2/12 à trois-points à la pause), les Bleuets tardaient à se mettre dans le rythme qui les avaient fait gagner de 40 points la veille contre la Pologne.
Au retour des vestiaires, les Français retrouvaient enfin leur bonne méthode. Grâce à leur pression défensive, Illan Pietrus et ses équipiers paralysaient les offensives slovènes et s'offraient, en suivant, de fructueuses contre-attaques. 22 à 10 dans le seul troisième quart (60-44, 30e) et un grand pas vers la victoire. Libérés, les Bleuets s'épanouissaient enfin sur leurs phases offensives en début de quatrième acte avant de se relâcher en fin de rencontre, sans conséquence sur le scénario final.
Photo : © FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6e7", "plaintext":"L'équipe de France U18 a davantage souffert dans son quart mais l'emporte finalement avec la manière contre la Slovénie 81-62. Elle s'opposera à l'Espagne samedi à 18h en demi-finale de son championnat d'Europe.\n\nGrand ouf de soulagement et qualification réussie pour la suite de leur compétition ! Les jeunes Français ont joué des gros bras contre la Slovénie pour remporter leur quart et atteindre le dernier carré de l'EuroBasket U18. Prochaine étape pour assurer une médaille : affronter le rival espagnol en demi-finale samedi à 18h, avec ses redoutables Hugo Gonzalez et Aday Mara qui ont éliminé la Turquie 75-67 lors de leur quart de finale.\n\nDans leur quart de finale, les Bleuets ont eu besoin de cinq bonnes minutes et d'un dunk en contre-attaque de Tidjane Salaun (16-9, 5e) pour réaliser un premier écart face à la Slovénie. Un break qui leur permettait lors des précédentes rencontres de s'envoler vers d'autres cieux... mais pas cette fois. Les Slovènes sont parvenus à vite recoller au score à la fin du premier quart-temps (20-20), faisant complètement déjouer des jeunes Français perdus en attaque, entre les nombreuses fautes commises (9 au 1er QT) par leurs adversaires et leurs pertes de balle à répétition (5 en 10 minutes).\n\nLe scénario s'est répété dans le deuxième quart-temps. Partis pour prendre le large à trois minutes de la pause (37-30), les hommes de Frédéric Crapez ont été repris à quatre points contre un collectif combattif slovène (38-34, 20e). Entre manque de lucidité et adresse déplorable derrière l'arc (2/12 à trois-points à la pause), les Bleuets tardaient à se mettre dans le rythme qui les avaient fait gagner de 40 points la veille contre la Pologne.\n\nAu retour des vestiaires, les Français retrouvaient enfin leur bonne méthode. Grâce à leur pression défensive, Illan Pietrus et ses équipiers paralysaient les offensives slovènes et s'offraient, en suivant, de fructueuses contre-attaques. 22 à 10 dans le seul troisième quart (60-44, 30e) et un grand pas vers la victoire. 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C'est le 5e joueur du Telekom Basket Bonn a rejoindre le club de la capitale en plus du coach. Du jamais vu...\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il est né au Chili, précisément à Vitacura, à la périphérie de Santiago, la capitale. Mais il est, côté basketball, un talent largement \"],[0,[1],1,\"made in Germany\"],[0,[],0,\", le pays de sa mère, même si son père, basketteur de haut niveau au Chili, a pu être une source d’inspiration dès l’enfance, explique le club dans un communiqué. Malgré un départ pour l’Europe dès l’adolescence, le lien avec la terre natale n’a jamais été rompu : depuis 2016, le néo-Parisien est un joueur de l’équipe du Chili. Sous le maillot de sa sélection nationale, il affiche 26 sélections pour une moyenne de 10,2 points par match, assortie de 4,4 rebonds et 2,5 passes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après des premiers pays au pays, au CD Universidad Catolica de Chile, Sebastian Herrera s’envole pour l’Europe lors de la saison 2014-2015 pour s’engager avec le TBB Trier, alors en Bundesliga. Alors âgé de seulement 17 ans, il fait ses classes en équipe réserve et chez les U19 d’un TBB qui, suite à des difficultés financières, renaît sous le nom des Gladiators Tiers à partir de 2015.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En 2017, le Germano-Chilien rejoint les Crailsheim Merlins, autre formation de ProA, la 2\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" division allemande. Sebastian y livre une première saison accomplie avec 38 matchs et une moyenne qui monte à 8,1 points. 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Sous les ordres du Finlandais, Sebastian retrouve des couleurs et de l’impact, en particulier la saison dernière, à la fois individuellement (9,6 points, 2 rebonds, 41% au tir, dont 39% à 3 points, et 78% de réussite aux lancers francs) et collectivement, avec un titre européen en Champions League et une finale de playoffs en Bundesliga.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le coach Tuomas Iisalo, Michael Kessens, Leon Kratzer, Tyson Ward, et Collin Malcolm sont les autres anciens membre de l'équipe de Bonn qui ont rejoint le Paris Basketball.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"« C’est avec beaucoup d\"],[0,[],0,\"’\"],[0,[1],1,\"excitation que je m’apprête à découvrir un nouveau championnat, un nouveau pays et la ville extraordinaire que représente Paris, \"],[0,[],0,\"a réagi Sebastian Herrera, après la signature de son contrat.\"],[0,[1],1,\" Lors des discussions qui ont précédé ma venue, j’ai senti un club très ambitieux, dont je connais très bien le nouvel entraîneur. Le Paris Basketball porte un super projet et va encore grandir en devenant bientôt le résident de l’adidas Arena, dont on m\"],[0,[],0,\"’\"],[0,[1],1,\"a dit qu’elle serait magnifique ! »\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"« Seba est un grand combo guard qui peut porter la balle et shooter. Il excelle à 3 points, peut créer pour les autres mais aussi finir dans la raquette. C’est un joueur vraiment dur et qui, très jeune, a commencé à traverser le monde, du Chili à l’Allemagne, pour y mener sa carrière professionnelle. On a une longue histoire ensemble, il était mon plus jeune capitaine, à l’âge de 21 ans. Cela en dit beaucoup sur ses qualités en tant que coéquipier et comme leader. »\"],[0,[],0,\" \"],[0,[1],1,\"Tuomas Iisalo, coach du Paris Basketball\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Il est né au Chili, précisément à Vitacura, à la périphérie de Santiago, la capitale. Mais il est, côté basketball, un talent largement made in Germany, le pays de sa mère, même si son père, basketteur de haut niveau au Chili, a pu être une source d’inspiration dès l’enfance, explique le club dans un communiqué. Malgré un départ pour l’Europe dès l’adolescence, le lien avec la terre natale n’a jamais été rompu : depuis 2016, le néo-Parisien est un joueur de l’équipe du Chili. Sous le maillot de sa sélection nationale, il affiche 26 sélections pour une moyenne de 10,2 points par match, assortie de 4,4 rebonds et 2,5 passes.
Après des premiers pays au pays, au CD Universidad Catolica de Chile, Sebastian Herrera s’envole pour l’Europe lors de la saison 2014-2015 pour s’engager avec le TBB Trier, alors en Bundesliga. Alors âgé de seulement 17 ans, il fait ses classes en équipe réserve et chez les U19 d’un TBB qui, suite à des difficultés financières, renaît sous le nom des Gladiators Tiers à partir de 2015.
En 2017, le Germano-Chilien rejoint les Crailsheim Merlins, autre formation de ProA, la 2e division allemande. Sebastian y livre une première saison accomplie avec 38 matchs et une moyenne qui monte à 8,1 points. Surtout, au bout de cet exercice 2017-2018, son équipe termine à la 2e place de son championnat et décroche son pass pour la Bundesliga.
Le baptême dans l’élite se voudra en demi-teinte pour des Merlins qui arrachent leur maintien lors de la dernière journée de l’exercice 2018-2019. Changement de ton la saison suivante, avec des stats qui décollent : 25 minutes par match, 14,4 points, 3,5 rebonds, 2,8 passes et 48% de réussite au tir.
En 2020, Sebastian Herrera rejoint un autre club de Basketball Bundesliga, l’EWE Baskets Oldenburg. Même s’il y affole un peu moins les compteurs, son potentiel et son profil tapent dans l’œil du coach d’un autre club de l’élite d’Outre-Rhin, un certain Tuomas Iisalo, alors en poste à Bonn. Sous les ordres du Finlandais, Sebastian retrouve des couleurs et de l’impact, en particulier la saison dernière, à la fois individuellement (9,6 points, 2 rebonds, 41% au tir, dont 39% à 3 points, et 78% de réussite aux lancers francs) et collectivement, avec un titre européen en Champions League et une finale de playoffs en Bundesliga.
Le coach Tuomas Iisalo, Michael Kessens, Leon Kratzer, Tyson Ward, et Collin Malcolm sont les autres anciens membre de l'équipe de Bonn qui ont rejoint le Paris Basketball.
« C’est avec beaucoup d’excitation que je m’apprête à découvrir un nouveau championnat, un nouveau pays et la ville extraordinaire que représente Paris, a réagi Sebastian Herrera, après la signature de son contrat. Lors des discussions qui ont précédé ma venue, j’ai senti un club très ambitieux, dont je connais très bien le nouvel entraîneur. Le Paris Basketball porte un super projet et va encore grandir en devenant bientôt le résident de l’adidas Arena, dont on m’a dit qu’elle serait magnifique ! »
« Seba est un grand combo guard qui peut porter la balle et shooter. Il excelle à 3 points, peut créer pour les autres mais aussi finir dans la raquette. C’est un joueur vraiment dur et qui, très jeune, a commencé à traverser le monde, du Chili à l’Allemagne, pour y mener sa carrière professionnelle. On a une longue histoire ensemble, il était mon plus jeune capitaine, à l’âge de 21 ans. Cela en dit beaucoup sur ses qualités en tant que coéquipier et comme leader. » Tuomas Iisalo, coach du Paris Basketball
Photo : FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6e8", "plaintext":"L’arrière germano-chilien Sebastian Herrera (1,93 m, 25 ans) est engagé jusqu'en 2025 par le Paris Basketball. C'est le 5e joueur du Telekom Basket Bonn a rejoindre le club de la capitale en plus du coach. Du jamais vu...\n\nIl est né au Chili, précisément à Vitacura, à la périphérie de Santiago, la capitale. Mais il est, côté basketball, un talent largement made in Germany, le pays de sa mère, même si son père, basketteur de haut niveau au Chili, a pu être une source d’inspiration dès l’enfance, explique le club dans un communiqué. Malgré un départ pour l’Europe dès l’adolescence, le lien avec la terre natale n’a jamais été rompu : depuis 2016, le néo-Parisien est un joueur de l’équipe du Chili. Sous le maillot de sa sélection nationale, il affiche 26 sélections pour une moyenne de 10,2 points par match, assortie de 4,4 rebonds et 2,5 passes.\n\nAprès des premiers pays au pays, au CD Universidad Catolica de Chile, Sebastian Herrera s’envole pour l’Europe lors de la saison 2014-2015 pour s’engager avec le TBB Trier, alors en Bundesliga. Alors âgé de seulement 17 ans, il fait ses classes en équipe réserve et chez les U19 d’un TBB qui, suite à des difficultés financières, renaît sous le nom des Gladiators Tiers à partir de 2015.\n\nEn 2017, le Germano-Chilien rejoint les Crailsheim Merlins, autre formation de ProA, la 2e division allemande. Sebastian y livre une première saison accomplie avec 38 matchs et une moyenne qui monte à 8,1 points. Surtout, au bout de cet exercice 2017-2018, son équipe termine à la 2e place de son championnat et décroche son pass pour la Bundesliga.\n\nLe baptême dans l’élite se voudra en demi-teinte pour des Merlins qui arrachent leur maintien lors de la dernière journée de l’exercice 2018-2019. Changement de ton la saison suivante, avec des stats qui décollent : 25 minutes par match, 14,4 points, 3,5 rebonds, 2,8 passes et 48% de réussite au tir.\n\nEn 2020, Sebastian Herrera rejoint un autre club de Basketball Bundesliga, l’EWE Baskets Oldenburg. Même s’il y affole un peu moins les compteurs, son potentiel et son profil tapent dans l’œil du coach d’un autre club de l’élite d’Outre-Rhin, un certain Tuomas Iisalo, alors en poste à Bonn. Sous les ordres du Finlandais, Sebastian retrouve des couleurs et de l’impact, en particulier la saison dernière, à la fois individuellement (9,6 points, 2 rebonds, 41% au tir, dont 39% à 3 points, et 78% de réussite aux lancers francs) et collectivement, avec un titre européen en Champions League et une finale de playoffs en Bundesliga.\n\nLe coach Tuomas Iisalo, Michael Kessens, Leon Kratzer, Tyson Ward, et Collin Malcolm sont les autres anciens membre de l'équipe de Bonn qui ont rejoint le Paris Basketball.\n\n« C’est avec beaucoup d’excitation que je m’apprête à découvrir un nouveau championnat, un nouveau pays et la ville extraordinaire que représente Paris, a réagi Sebastian Herrera, après la signature de son contrat. Lors des discussions qui ont précédé ma venue, j’ai senti un club très ambitieux, dont je connais très bien le nouvel entraîneur. Le Paris Basketball porte un super projet et va encore grandir en devenant bientôt le résident de l’adidas Arena, dont on m’a dit qu’elle serait magnifique ! »\n\n« Seba est un grand combo guard qui peut porter la balle et shooter. Il excelle à 3 points, peut créer pour les autres mais aussi finir dans la raquette. C’est un joueur vraiment dur et qui, très jeune, a commencé à traverser le monde, du Chili à l’Allemagne, pour y mener sa carrière professionnelle. On a une longue histoire ensemble, il était mon plus jeune capitaine, à l’âge de 21 ans. 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Le General Manager Thomas Lotz : « Suite au départ de Sofiane chez nos amis de la SIG, nous avons cherché un joueur au profil de combo (poste 2 et 1) qui puisse mener et jouer à côté des meneurs. Yohan est exactement ce profil. Il possède toutes les qualités pour devenir un joueur majeur en Pro B et certainement pour aller au niveau du dessus. Malgré son jeune âge, il possède déjà l’expérience du très haut niveau avec Pau et Monaco, mais également de la Pro B et de sa rudesse. Il sort d’une saison aboutie avec Angers. C’est un garçon qui fait aussi l’unanimité humainement. Il a côtoyé Candice à Monaco et Zimmy à Lille. Il revient de blessure, il sera opérationnel seulement à la mi-septembre. Je suis convaincu qu’il fera une belle saison chez nous. »
Le coach Julien Espinosa : « Yohan est un joueur qui possède un talent défensif rare. Il sait mettre l'adversaire sous pression, tenir les meilleurs arrières du championnat et c'est un point fort qui a poussé notre staff à l'engager. Il aura avant tout l'objectif d'exprimer ses qualités pour booster le niveau d'énergie de l'équipe par son engagement exemplaire. Le club met chaque année davantage de moyens dans le développement des infrastructures de travail afin d'accompagner de jeunes joueurs talentueux dans leur accomplissement. Yohan a le profil idéal en termes de mentalité et de potentiel pour bénéficier de ces efforts engagés par l'ASA. En tant que coach, je suis ravi de pouvoir compter sur un jeune aussi engagé et motivé que Yohan et je trouve moi-même une grande motivation à soutenir des joueurs à un moment de leur carrière où le potentiel doit se convertir en excellence. »
Photo : Hervé Bellenger (LNB)
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Malgré son jeune âge, il possède déjà l’expérience du très haut niveau avec Pau et Monaco, mais également de la Pro B et de sa rudesse. Il sort d’une saison aboutie avec Angers. C’est un garçon qui fait aussi l’unanimité humainement. Il a côtoyé Candice à Monaco et Zimmy à Lille. Il revient de blessure, il sera opérationnel seulement à la mi-septembre. Je suis convaincu qu’il fera une belle saison chez nous. »\n\nLe coach Julien Espinosa : « Yohan est un joueur qui possède un talent défensif rare. Il sait mettre l'adversaire sous pression, tenir les meilleurs arrières du championnat et c'est un point fort qui a poussé notre staff à l'engager. Il aura avant tout l'objectif d'exprimer ses qualités pour booster le niveau d'énergie de l'équipe par son engagement exemplaire. Le club met chaque année davantage de moyens dans le développement des infrastructures de travail afin d'accompagner de jeunes joueurs talentueux dans leur accomplissement. Yohan a le profil idéal en termes de mentalité et de potentiel pour bénéficier de ces efforts engagés par l'ASA. 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Les As ont publié une déclaration reconnaissant l'arrestation de Williams et disant qu'elle est « empêchée de participer aux activités de l'équipe ».
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Depuis qu'il a été lâché par le FC Barcelone, le transfert à venir de Nikola Mirotic est le feuilleton journalier du basket européen. Le Partizan, le Panathinaikos et Monaco ont été cités tour à tour comme possibles destinations.
Photo : Euroleague
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6ec", "plaintext":"D'après le Corriere della Sera, Armani Milan a fait une offre d'un contrat de deux ans (+ un) à l'ailier-fort hispano-monténégrin Nikola Mirotic (2,08 m, 32 ans) pour 2,5 millions d'euros la saison.\n\n\"Il y a encore des concurrents potentiels : le Real lui-même tout juste battu par Mirotic en finale du championnat d'Espagne, ou d'éventuelles propositions de retour en NBA. L'accord entre Milan (qui propose un mix d'ambition et de qualité de vie) et Mirotic pourrait être trouvé sur la base de 2,5 millions par saison pendant deux ans (plus un)\" écrit le quotidien italien.\n\nDepuis qu'il a été lâché par le FC Barcelone, le transfert à venir de Nikola Mirotic est le feuilleton journalier du basket européen. Le Partizan, le Panathinaikos et Monaco ont été cités tour à tour comme possibles destinations.\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/05/nikola-mirotic.webp", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-28T07:38:01.000Z", "updated_at":"2023-07-28T07:38:01.000Z", "published_at":"2023-07-28T07:38:01.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a3d", "uuid":"666f5d13-c223-4e24-992e-580bd2ba66eb", "title":"Pro B : Radoslav Pekovic, un pivot de 2,16 m à Saint-Chamond", "slug":"pro-b-radoslav-pekovic-un-pivot-de-216-m-a-saint-chamond", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/oRyTjJAmP3M?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le SCBVG a fait signer pour une saison le poste 5 serbe \"],[0,[0],1,\"Radoslav P\"],[0,[],0,\"ekovic (2,16 m, 29 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La saison dernière celui-ci a évolué en 2e division de Turquie à Balikesir ainsi qu’au BC Siauliai en Lituanie pour 6,8 points (64,5% à deux-points) et 2,5 rebonds. Au cours de sa carrière, il a également joué dans les championnats allemand, russe, et esto-letton et slovène.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"“\"],[0,[1],1,\"Nous sommes heureux d’accueillir Radoslav pour la saison à venir. Il vient compléter l’effectif 2023-2024, commente le coach Maxime Nelaton. C’est un joueur intérieur très bon finisseur des deux mains et doté d’un beau QI basket. Il est capable de générer de l’attaque et d’être un deuxième meneur sur le terrain avec une qualité de passe au dessus de la moyenne pour un poste 5. Il possède également une mobilité et une coordination intéressante pour un joueur de 2m16, ce qui lui confère une palette défensive assez large pour s’adapter aux demandes athlétiques de la ProB et fait de lui un rempart au cercle. J’ai de plus ressenti de la motivation et de l’enthousiasme chez lui lors de nos prises de contact.\"],[0,[],0,\"“\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"La saison dernière celui-ci a évolué en 2e division de Turquie à Balikesir ainsi qu’au BC Siauliai en Lituanie pour 6,8 points (64,5% à deux-points) et 2,5 rebonds. Au cours de sa carrière, il a également joué dans les championnats allemand, russe, et esto-letton et slovène.
“Nous sommes heureux d’accueillir Radoslav pour la saison à venir. Il vient compléter l’effectif 2023-2024, commente le coach Maxime Nelaton. C’est un joueur intérieur très bon finisseur des deux mains et doté d’un beau QI basket. Il est capable de générer de l’attaque et d’être un deuxième meneur sur le terrain avec une qualité de passe au dessus de la moyenne pour un poste 5. Il possède également une mobilité et une coordination intéressante pour un joueur de 2m16, ce qui lui confère une palette défensive assez large pour s’adapter aux demandes athlétiques de la ProB et fait de lui un rempart au cercle. J’ai de plus ressenti de la motivation et de l’enthousiasme chez lui lors de nos prises de contact.“
Formé aux Etats-Unis, Ibrahim Djambo était depuis quatre saisons en NM1 à Angers, Toulouse et Lorient après un passage en N2 à Calais. Il pointait la saison dernière à 11,7 points (39,7 % à trois-points) et 4,8 rebonds.
Le coach Guillaume Vizade : « Joueur qui a fait ses classes aux États Unis et s’est bien affirmé comme un joueur leader en NM1 ces dernières années, Ibrahim possède de la polyvalence avec son tir extérieur mais aussi beaucoup de longueur pour poser des problèmes près du cercle, dans les finitions tout comme dans la dissuasion. Avec l’ajout d’Ibrahim, notre effectif pour la saison 2023-24 est quasi-bouclé. Il manque simplement un joueur poste 5 (pivot) en tant que pigiste médical de Serge Mourtala actuellement blessé ».
Photo : FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6ee", "plaintext":"L'ailier-fort Ibrahim Djambo (2,08 m), qui possède une double nationalité, malienne-américaine, arrive à Vichy-Clermont.\n\nFormé aux Etats-Unis, Ibrahim Djambo était depuis quatre saisons en NM1 à Angers, Toulouse et Lorient après un passage en N2 à Calais. Il pointait la saison dernière à 11,7 points (39,7 % à trois-points) et 4,8 rebonds.\n\nLe coach Guillaume Vizade : « Joueur qui a fait ses classes aux États Unis et s’est bien affirmé comme un joueur leader en NM1 ces dernières années, Ibrahim possède de la polyvalence avec son tir extérieur mais aussi beaucoup de longueur pour poser des problèmes près du cercle, dans les finitions tout comme dans la dissuasion. Avec l’ajout d’Ibrahim, notre effectif pour la saison 2023-24 est quasi-bouclé. Il manque simplement un joueur poste 5 (pivot) en tant que pigiste médical de Serge Mourtala actuellement blessé ».\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/ibrahim-djambo-e1690539144768.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-28T10:13:10.000Z", "updated_at":"2023-07-28T10:13:10.000Z", "published_at":"2023-07-28T10:13:10.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a3f", "uuid":"cc0f0279-45d3-4c2f-b21b-9346d7e8c2f7", "title":"Coupe du monde : Luka Doncic s'entraîne avec la Slovénie", "slug":"coupe-du-monde-luka-doncic-sentraine-avec-la-slovenie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/jason-kidd.jpg\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"L'équipe slovène est entrée dans le deuxième cycle de préparation à la Coupe du monde et Luka Doncic (Dallas Mavericks) s'entraîne désormais avec le groupe\"],[0,[],0,\" \"],[0,[0],1,\"alors que Vlatko Cancar (Denver Nuggets) va le rejoindre demain samedi.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Luka Donic a abordé cet été un peu différemment des autres années en s'entraînant intensivement à Ljubljana, le matin avec un coach de fitness et l'après-midi à la salle. Par ailleurs, son coach à Dallas, Jason Kidd, est passé le voir, et les fans de basket de la capitale slovène ont publié des photos et des vidéos avec lui sur les réseaux sociaux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L'Américain naturalisé Mike Tobey, qui s'entraîne individuellement aux États-Unis, devrait arriver quant à lui en Slovénie le 7 août.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après un match mardi avec la Chine, le prochain test pour les Slovènes sera le mercredi 2 août, lorsqu'ils affronteront les Grecs dans la salle du Stožice à guichets fermés. Ils joueront face au même adversaire deux jours plus tard à Athènes. De Grèce, l'équipe nationale retournera à Stožice, où elle rencontrera la Croatie le 8 août, suivie d'une participation au tournoi de Malaga où l'équipe d'Aleksandar Sekulić affrontera les États-Unis. Les Slovènes termineront leur préparation à Tokyo, avec un match contre le Japon le 19 août.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A la Coupe du monde, la Slovénie a été placée dans le même groupe que le Venezuela, la Géorgie et le Cap-Vert.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo : Une fan slovène avec Jason Kidd.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Luka Doncic (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Luka Donic a abordé cet été un peu différemment des autres années en s'entraînant intensivement à Ljubljana, le matin avec un coach de fitness et l'après-midi à la salle. Par ailleurs, son coach à Dallas, Jason Kidd, est passé le voir, et les fans de basket de la capitale slovène ont publié des photos et des vidéos avec lui sur les réseaux sociaux.
L'Américain naturalisé Mike Tobey, qui s'entraîne individuellement aux États-Unis, devrait arriver quant à lui en Slovénie le 7 août.
Après un match mardi avec la Chine, le prochain test pour les Slovènes sera le mercredi 2 août, lorsqu'ils affronteront les Grecs dans la salle du Stožice à guichets fermés. Ils joueront face au même adversaire deux jours plus tard à Athènes. De Grèce, l'équipe nationale retournera à Stožice, où elle rencontrera la Croatie le 8 août, suivie d'une participation au tournoi de Malaga où l'équipe d'Aleksandar Sekulić affrontera les États-Unis. Les Slovènes termineront leur préparation à Tokyo, avec un match contre le Japon le 19 août.
A la Coupe du monde, la Slovénie a été placée dans le même groupe que le Venezuela, la Géorgie et le Cap-Vert.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/jason-kidd.jpg\")
Photo : Une fan slovène avec Jason Kidd.
Photo : Luka Doncic (FIBA)
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\"Le club a répondu favorablement aux requêtes insistantes de Pierre Pelos par la voix de son représentant de quitter la JL Bourg à effet immédiat, afin de rejoindre l’équipe vainqueur de l’Eurocup, Dreamland Gran Canaria. Malgré des clauses contractuelles expirées, le club a accepté ces requêtes moyennant une indemnité de transfert qui fait l’objet d’un accord de confidentialité. Tout en regrettant ce départ tardif et subi, la JL Bourg s’active d’ores et déjà pour renforcer l’effectif de la saison à venir afin de poursuivre sur sa dynamique positive. Nous vous tiendrons informés dès la finalisation de nos recherches, et assurons l’environnement du club de nos efforts et de notre combativité afin de protéger les intérêts et le rayonnement de la JL Bourg, et l’objectif de continuité de sa réussite.\"
Formé à Pau, Pierre Pelos a connu une progression constante qui l'a amené de la N1 à Tarbes-Lourdes à l'équipe de France pour les fenêtres internationales en passant par la Pro B à Fos. A Gran Canaria, il formera équipe avec Andrew Albicy.
Photo : Jacques Cormarèche
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Nous vous tiendrons informés dès la finalisation de nos recherches, et assurons l’environnement du club de nos efforts et de notre combativité afin de protéger les intérêts et le rayonnement de la JL Bourg, et l’objectif de continuité de sa réussite.\"\n\nFormé à Pau, Pierre Pelos a connu une progression constante qui l'a amené de la N1 à Tarbes-Lourdes à l'équipe de France pour les fenêtres internationales en passant par la Pro B à Fos. A Gran Canaria, il formera équipe avec Andrew Albicy.\n\n\n\nPhoto : Jacques Cormarèche", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/01/pierre-pelos-julien-jacques-cormareche.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-28T12:04:08.000Z", "updated_at":"2023-07-28T12:04:08.000Z", "published_at":"2023-07-28T12:04:08.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a41", "uuid":"d013974f-aba6-4962-a24b-a33f128d48d8", "title":"Spécial Coupe du monde - Le basket aux Philippines, l'incroyable ferveur", "slug":"special-coupe-du-monde-le-basket-aux-philippines-lincroyable-ferveur", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/philippnes-playgrounds-4.jpg\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/philippines-playgrounds-6.jpg\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/philippines-playgroud.jpg\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/philipines-playgrounds-8.jpg\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/philippines-arena.jpg\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"],[\"sup\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0,1],2,\"Les Philippins, qui vont accueillir la Coupe du monde, sont complètement dingues de basket comme probablement nulle part ailleurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Selon les statistiques, les Philippins sont avec leur taille moyenne de 1,64 m les hommes les plus petits d’Asie après les Indonésiens. Malgré l’absence de centimètres, cette denrée si prisée au basket-ball, ils ont fait de ce sport le numéro un lui vouant un culte quasi religieux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans son ouvrage \"],[0,[1],1,\"« Big Game, small World »\"],[0,[],0,\", le journaliste américain Alexander Wolff, qui a parcouru la planète, raconte qu’il n’a pas vu un espace de libre dans ce pays. \"],[0,[1],1,\"« Sur les sommets des toits, le bord des routes, les ruelles, sur les sols carrelés de bâtiments à moitié abandonnés, les Manillais construisent des terrains de basket-ball avec leur imagination fertile. »\"],[0,[],0,\" Chaque quartier, chaque village possède son panneau de basket même s’il est souvent confectionné avec des ustensiles de fortune. Ce sport transcende les âges, les sexes, les classes sociales. Beaucoup de Philippins arborent des maillots et des shorts de joueurs NBA mais au lieu de \"],[0,[1],1,\"Nike\"],[0,[],0,\" ou \"],[0,[1],1,\"d’Adidas\"],[0,[],0,\", une majorité de joueurs sont en claquettes ou carrément pieds nus. Aucun n’a l’air de se soucier de la présence de tout-petits, de lavandières, de poulets ou de l’imposant trafic de deux et quatre roues. Un jour, Alexander Wolff s’est retrouvé dans une rue complètement envahie par des gosses qui faisaient un pick up game, ce qui interdisait toute circulation. \"],[0,[1],1,\"« Dans ces cas-là que fait le police ? »\"],[0,[],0,\", demanda-t-il médusé à son interlocuteur. Celui-ci se fendit d’un sourire et lui répondit : \"],[0,[1],1,\"« les arbitres ! »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Aux Philippines, 40 millions de personnes – soit 40% de la population de cet archipel de plus de sept mille îles – jouent ou ont joué au basket. D’après une étude réalisée en 2008, 81% de la population urbaine déclare être fan de ce jeu et près de la moitié des Philippins précisent qu’ils sont carrément addicts. Le basket est le sport numéro 1 en pratiquants et en téléspectateurs avec 99% des gens qui affirment connaître la NBA. Plus fort que l’Indiana et la Lituanie ? Dans l’exubérance, sûrement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Des images ont marqué les esprits. Le typhon Haiyan avait violemment frappé le pays entraînant la mort et la disparition de plus de sept mille personnes, ainsi que des dégâts matériels considérables. On y voyait des jeunes jouant au basket à Tacloban au milieu de décombres et même parfois dans l’eau pas encore évacuée. Le basket-ball était pour eux le meilleur remède pour oublier quelques instants leur infortune.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pas étonnant que la balle orange soit présente dans toutes les strates de la société, qu’elle soit aussi un phénomène commercial. Les joueurs sont utilisés pour des spots publicitaires pour des marques sportives comme de boissons. Les politiciens s’en servent dans leurs campagnes, soit en sponsorisant un tournoi dans un quartier ou en faisant un don pour réparer un panneau déglingué. Plusieurs joueurs locaux sont entrés ensuite dans le showbiz et ont assuré leur promotion sociale grâce à leur popularité, même si en dehors de l’archipel Benjie Paras, Jimmy Santos et James Yap sont de parfaits inconnus. Les deux premiers sont désormais acteurs alors que le troisième, alias « King James », s’est marié avec Kris Aquino, la « Reine de tous les Médias », fille de Corazon Aquinio, l’ancienne présidente du pays.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le cas le plus spectaculaire est celui de Manny Pacquiao, seul boxeur à avoir obtenu des titres de champion du monde majeurs dans huit catégories différentes. Alors qu’il n’avait pas encore raccroché les gants, celui qui est également député, acteur et prédicateur, devint propriétaire d’un club professionnel puis entraîneur-joueur des Kia Carnivals, une équipe de la Philippine Basketball Association. C’est Manny Pacquiao qui était le véritable centre d’attention du match inaugural de la 40\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" saison de cette ligue pro qui rassembla 52 612 spectateurs dans la Philippine Arena de Manille, un record alors pour un match indoor hors États-Unis.\"]]],[10,0],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"La forte influence américaine\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les rapports entre les Philippins et la NBA ne remontent pas au dernier typhon. La ligue avait envoyé la légende des Knicks Walt Frazier dans l’archipel dès 1975. Quatre ans plus tard, huit membres des Washington Bullets, champions en titre, avaient visité le pays. Plus récemment, en 1999, Shaquille O’Neal a conduit une délégation de dunkeurs. En 2011, c’est une collection de All-Stars, incluant Kobe Bryant, Chris Paul, Derrick Rose, Kevin Durant et James Harden, qui a fait le voyage. En août 2015, LeBron James y est venu fracasser quelques dunks et inaugurer un terrain très typé réalisé dans un garage aux couleurs de son équipementier \"],[0,[1],1,\"Nike\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"« Ils vous considèrent comme si vous étiez un Dieu », \"],[0,[],0,\"se remémore Gilbert Arenas qui a atterri au Nonoy Aquino International Airport, en 2008, pour une campagne de promo pour sa nouvelle ligne de sneakers. Des hordes de journalistes et de caméras l’ont suivi pendant ses trois jours à Manille. Pour l’accompagner dans la visite des magasins \"],[0,[1],1,\"Adidas\"],[0,[],0,\", il était entouré de trois motos de police, des chiens renifleurs inspectaient les lieux, des barricades avaient été érigées pour le protéger de la frénésie des fans avec un imposant service de sécurité. \"],[0,[1],1,\"« J’avais déjà vu des fans dingues partout dans le monde, mais pas comme ceux-là »,\"],[0,[],0,\" commenta Arenas en se permettant de donner un conseil à ses collègues : \"],[0,[1],1,\"« si vous êtes dans un jour sombre ou dans une mauvaise passe dans votre carrière, allez à Manille, ils vont vous redonner le moral ! »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette dévorante passion des Philippins pour le basket trouve évidemment sa source dans le lien qui l’unit aux États-Unis. Après trois siècles d’occupation espagnole, ils ont considéré les Américains comme des libérateurs. \"],[0,[1],0,\"« Je ne sais pas si c’est une bonne chose ou pas, mais si vous demandiez aux Philippins s’ils aimeraient être le 51\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],1,\" état des États-Unis, ils répondraient probablement oui »\"],[0,[],0,\", assurait, à Alexandre Wolff, Joey Concepcion, propriétaire des Pop Cola, une équipe de la Philippine Basketball Association. Le basket a été introduit là-bas seulement dix-neuf ans après son invention. Il fut tout de suite intégré dans les programmes d’éducation physique des écoles et eut la préférence d’un peuple qui estima que le baseball était un sport bien trop lent et beaucoup moins excitant. La pyramide du sport philippin s’est fortement inspirée de l’américaine et les championnats universitaires sont les plus populaires dans le pays. L’un d’eux créé en 1924 a d’ailleurs pris le nom de National Collegiate Athletic Association, la NCAA, comme aux États-Unis.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Faut-il s’étonner alors que la Philippines Basket-Ball Association fut dès 1975 la première ligue de basket professionnelle hors États-Unis ? La PBA décida d’appliquer la règle des 24 secondes quand elle était de 30 pour la Fiba, d’interdire la défense en zone, fit un copier/coller des lignes de lancers-francs et de trois-points de la NBA tout en respectant quelques règles internationales. La ligue est composée de douze franchises sponsorisées par des grandes entreprises comme \"],[0,[1],1,\"San Miguel\"],[0,[],0,\", \"],[0,[1],1,\"Powerade\"],[0,[],0,\" ou \"],[0,[1],1,\"Talk ‘n Text\"],[0,[],0,\", qui n’ont pas de salle ni même de ville attitrées. Aux yeux d’un Européen, la formule de la compétition est assez obscure et il n’y a pas au bout de « champion » de désigné. Les matches se déroulent parfois dans une passion intense. Une édition du clasico entre Crispa et Toyota provoqua une bataille de rue qui entraîna l’arrestation et l’incarcération pour une nuit de plusieurs joueurs des deux clubs au camp militaire de Fort Bonifacio. Aucune charge ne fut retenue contre eux. On leur imposa seulement d’assister à des conférences où on y louangeait la « nouvelle société » disciplinée du dictateur Ferdinand Marcos.\"]]],[10,2],[10,3],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : LeBron James en visite aux Philippines.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Battus deux fois par la Chine\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La maîtrise des fondamentaux orchestrée par les Américains permit aux Philippines de présenter une équipe nationale très compétitive aux Jeux de Berlin en 1936. En fait, les joueurs asiatiques n’échouèrent que face aux grands maîtres américains et s’ils ne se classèrent que cinquièmes c’est à cause d’une formule de compétition bizarre qui les empêcha de jouer pour une médaille. D’ailleurs, jusqu’à l’aube des années soixante, il fallut compter avec leur ardeur. Au championnat du monde de 1954, ils conquirent une prestigieuse médaille de bronze suite à une victoire, 66-60, sur la France ! Jamais équipe asiatique n’a fait aussi bien depuis. Avec 16,5 points en moyenne Carlos Loyzagase se classa 3\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" meilleur marqueur de la compétition et fut élu dans le cinq idéal par un panel de 48 journalistes. 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En lui étant préférée par la Fiba pour l’organisation de la Coupe du Monde 2019 – Manny Pacquiao, 1,66 m, avait défendu son dossier face à Yao Ming, soixante-trois centimètres plus grand ! – et en lui confisquant au championnat d’Asie la médaille d’or et le seul billet directement qualificatif pour Rio (67-78 en finale). Les Philippins allaient prendre leur revanche quatre ans plus tard en organisant à leur tour l’évènement planétaire conjointement avec le Japon et l’Indonésie.\"]]],[10,4],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Une salle gigantesque mal desservie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En janvier dernier, à la Philippine Arena de Manille, le match 7 de la finale de la Coupe des Commissioners de la PBA, opposant Ginebra à Bay Aera, a fait exploser le box office : 54 589 spectateurs. Record astronomique de tous les temps de la ligue qui était de 54 086 spectateurs depuis octobre 2017. 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Dans son ouvrage « Big Game, small World », le journaliste américain Alexander Wolff, qui a parcouru la planète, raconte qu’il n’a pas vu un espace de libre dans ce pays. « Sur les sommets des toits, le bord des routes, les ruelles, sur les sols carrelés de bâtiments à moitié abandonnés, les Manillais construisent des terrains de basket-ball avec leur imagination fertile. » Chaque quartier, chaque village possède son panneau de basket même s’il est souvent confectionné avec des ustensiles de fortune. Ce sport transcende les âges, les sexes, les classes sociales. Beaucoup de Philippins arborent des maillots et des shorts de joueurs NBA mais au lieu de Nike ou d’Adidas, une majorité de joueurs sont en claquettes ou carrément pieds nus. Aucun n’a l’air de se soucier de la présence de tout-petits, de lavandières, de poulets ou de l’imposant trafic de deux et quatre roues. Un jour, Alexander Wolff s’est retrouvé dans une rue complètement envahie par des gosses qui faisaient un pick up game, ce qui interdisait toute circulation. « Dans ces cas-là que fait le police ? », demanda-t-il médusé à son interlocuteur. Celui-ci se fendit d’un sourire et lui répondit : « les arbitres ! »
Aux Philippines, 40 millions de personnes – soit 40% de la population de cet archipel de plus de sept mille îles – jouent ou ont joué au basket. D’après une étude réalisée en 2008, 81% de la population urbaine déclare être fan de ce jeu et près de la moitié des Philippins précisent qu’ils sont carrément addicts. Le basket est le sport numéro 1 en pratiquants et en téléspectateurs avec 99% des gens qui affirment connaître la NBA. Plus fort que l’Indiana et la Lituanie ? Dans l’exubérance, sûrement.
Des images ont marqué les esprits. Le typhon Haiyan avait violemment frappé le pays entraînant la mort et la disparition de plus de sept mille personnes, ainsi que des dégâts matériels considérables. On y voyait des jeunes jouant au basket à Tacloban au milieu de décombres et même parfois dans l’eau pas encore évacuée. Le basket-ball était pour eux le meilleur remède pour oublier quelques instants leur infortune.
Pas étonnant que la balle orange soit présente dans toutes les strates de la société, qu’elle soit aussi un phénomène commercial. Les joueurs sont utilisés pour des spots publicitaires pour des marques sportives comme de boissons. Les politiciens s’en servent dans leurs campagnes, soit en sponsorisant un tournoi dans un quartier ou en faisant un don pour réparer un panneau déglingué. Plusieurs joueurs locaux sont entrés ensuite dans le showbiz et ont assuré leur promotion sociale grâce à leur popularité, même si en dehors de l’archipel Benjie Paras, Jimmy Santos et James Yap sont de parfaits inconnus. Les deux premiers sont désormais acteurs alors que le troisième, alias « King James », s’est marié avec Kris Aquino, la « Reine de tous les Médias », fille de Corazon Aquinio, l’ancienne présidente du pays.
Le cas le plus spectaculaire est celui de Manny Pacquiao, seul boxeur à avoir obtenu des titres de champion du monde majeurs dans huit catégories différentes. Alors qu’il n’avait pas encore raccroché les gants, celui qui est également député, acteur et prédicateur, devint propriétaire d’un club professionnel puis entraîneur-joueur des Kia Carnivals, une équipe de la Philippine Basketball Association. C’est Manny Pacquiao qui était le véritable centre d’attention du match inaugural de la 40e saison de cette ligue pro qui rassembla 52 612 spectateurs dans la Philippine Arena de Manille, un record alors pour un match indoor hors États-Unis.
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Les rapports entre les Philippins et la NBA ne remontent pas au dernier typhon. La ligue avait envoyé la légende des Knicks Walt Frazier dans l’archipel dès 1975. Quatre ans plus tard, huit membres des Washington Bullets, champions en titre, avaient visité le pays. Plus récemment, en 1999, Shaquille O’Neal a conduit une délégation de dunkeurs. En 2011, c’est une collection de All-Stars, incluant Kobe Bryant, Chris Paul, Derrick Rose, Kevin Durant et James Harden, qui a fait le voyage. En août 2015, LeBron James y est venu fracasser quelques dunks et inaugurer un terrain très typé réalisé dans un garage aux couleurs de son équipementier Nike.
« Ils vous considèrent comme si vous étiez un Dieu », se remémore Gilbert Arenas qui a atterri au Nonoy Aquino International Airport, en 2008, pour une campagne de promo pour sa nouvelle ligne de sneakers. Des hordes de journalistes et de caméras l’ont suivi pendant ses trois jours à Manille. Pour l’accompagner dans la visite des magasins Adidas, il était entouré de trois motos de police, des chiens renifleurs inspectaient les lieux, des barricades avaient été érigées pour le protéger de la frénésie des fans avec un imposant service de sécurité. « J’avais déjà vu des fans dingues partout dans le monde, mais pas comme ceux-là », commenta Arenas en se permettant de donner un conseil à ses collègues : « si vous êtes dans un jour sombre ou dans une mauvaise passe dans votre carrière, allez à Manille, ils vont vous redonner le moral ! »
Cette dévorante passion des Philippins pour le basket trouve évidemment sa source dans le lien qui l’unit aux États-Unis. Après trois siècles d’occupation espagnole, ils ont considéré les Américains comme des libérateurs. « Je ne sais pas si c’est une bonne chose ou pas, mais si vous demandiez aux Philippins s’ils aimeraient être le 51e état des États-Unis, ils répondraient probablement oui », assurait, à Alexandre Wolff, Joey Concepcion, propriétaire des Pop Cola, une équipe de la Philippine Basketball Association. Le basket a été introduit là-bas seulement dix-neuf ans après son invention. Il fut tout de suite intégré dans les programmes d’éducation physique des écoles et eut la préférence d’un peuple qui estima que le baseball était un sport bien trop lent et beaucoup moins excitant. La pyramide du sport philippin s’est fortement inspirée de l’américaine et les championnats universitaires sont les plus populaires dans le pays. L’un d’eux créé en 1924 a d’ailleurs pris le nom de National Collegiate Athletic Association, la NCAA, comme aux États-Unis.
Faut-il s’étonner alors que la Philippines Basket-Ball Association fut dès 1975 la première ligue de basket professionnelle hors États-Unis ? La PBA décida d’appliquer la règle des 24 secondes quand elle était de 30 pour la Fiba, d’interdire la défense en zone, fit un copier/coller des lignes de lancers-francs et de trois-points de la NBA tout en respectant quelques règles internationales. La ligue est composée de douze franchises sponsorisées par des grandes entreprises comme San Miguel, Powerade ou Talk ‘n Text, qui n’ont pas de salle ni même de ville attitrées. Aux yeux d’un Européen, la formule de la compétition est assez obscure et il n’y a pas au bout de « champion » de désigné. Les matches se déroulent parfois dans une passion intense. Une édition du clasico entre Crispa et Toyota provoqua une bataille de rue qui entraîna l’arrestation et l’incarcération pour une nuit de plusieurs joueurs des deux clubs au camp militaire de Fort Bonifacio. Aucune charge ne fut retenue contre eux. On leur imposa seulement d’assister à des conférences où on y louangeait la « nouvelle société » disciplinée du dictateur Ferdinand Marcos.
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/philipines-playgrounds-8.jpg\")
Photo : LeBron James en visite aux Philippines.
La maîtrise des fondamentaux orchestrée par les Américains permit aux Philippines de présenter une équipe nationale très compétitive aux Jeux de Berlin en 1936. En fait, les joueurs asiatiques n’échouèrent que face aux grands maîtres américains et s’ils ne se classèrent que cinquièmes c’est à cause d’une formule de compétition bizarre qui les empêcha de jouer pour une médaille. D’ailleurs, jusqu’à l’aube des années soixante, il fallut compter avec leur ardeur. Au championnat du monde de 1954, ils conquirent une prestigieuse médaille de bronze suite à une victoire, 66-60, sur la France ! Jamais équipe asiatique n’a fait aussi bien depuis. Avec 16,5 points en moyenne Carlos Loyzagase se classa 3e meilleur marqueur de la compétition et fut élu dans le cinq idéal par un panel de 48 journalistes. Une légende.
Seulement, les Philippines firent après cet âge d’or une terrible chute dans la hiérarchie mondiale, laissant le leaderphip asiatique aux Chinois. « Le problème vient beaucoup de leur penchant pour le jeu de un-contre-un dicté par l’influence de la NBA et leur obéissance à cette trinité de créativité, action et effet de surprise », a écrit Alexander Wolff. « Les Coréens et les Japonais n’ont pas les aptitudes individuelles des Philippins mais quand ils sont rassemblés en équipes ils peuvent construire des modèles sophistiqués et prospérer. La présence dominante de la PBA pose un autre obstacle. Avec sa formule des trois conférences, elle occupe quasiment toute l’année, laissant très peu de temps à l’équipe nationale pour s’entraîner et trouver une cohésion. » Pas question pour les sponsors qui payent de bons salaires de mettre trop longtemps à disposition leurs joueurs même pour la gloire du pays. Les internationaux philippins n’ont ainsi avant chaque compétition que quelques séances pour assimiler d’autres subtilités défensives que l’individuelle. « Les Philippins adorent improviser », a analysé il y a quelques années Amando Doronila journaliste au Manila Chronicle. « Ils détestent l’ennui dû à la longueur des entraînements et leur discipline, et… le basket-ball exprime nos réserves pour les préparations longues, méthodiques et approfondies. »
Ces critiques sont-elles encore vraiment d’actualité ? La Coupe du Monde 2014 a marqué après trente-six ans de traversée du désert le retour des Philippines sur l’échiquier international sachant que c’est à Manille que se tint l’édition de 1978. Et pas pour faire de la figuration. En naturalisant l’Américain Andray Blatche (2,11 m), les Asiatiques importèrent la taille et la force qu’ils ne fabriquent pas naturellement. L’ancien membre de la NBA fit une entrée tonitruante dans le concert mondial avec 21,2 points, 13,8 rebonds et 1,6 interception en cinq matches. Dans l’ordre de leurs apparitions, les Philippins ont concédé une défaite de seulement 3 points en prolongation face à la Croatie, de 12 face à la Grèce, et de 4 face à l’Argentine et Porto-Rico, avant de s’imposer de 2 face au Sénégal en prolongation.
Des performances qui firent naître bien des espoirs olympiques. Seulement la vieille rivale chinoise ne s’est pas privée d’asperger deux fois les Philippines avec une douche froide. En lui étant préférée par la Fiba pour l’organisation de la Coupe du Monde 2019 – Manny Pacquiao, 1,66 m, avait défendu son dossier face à Yao Ming, soixante-trois centimètres plus grand ! – et en lui confisquant au championnat d’Asie la médaille d’or et le seul billet directement qualificatif pour Rio (67-78 en finale). Les Philippins allaient prendre leur revanche quatre ans plus tard en organisant à leur tour l’évènement planétaire conjointement avec le Japon et l’Indonésie.
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En janvier dernier, à la Philippine Arena de Manille, le match 7 de la finale de la Coupe des Commissioners de la PBA, opposant Ginebra à Bay Aera, a fait exploser le box office : 54 589 spectateurs. Record astronomique de tous les temps de la ligue qui était de 54 086 spectateurs depuis octobre 2017. Seul le All-Star Game NBA 2010 au Cowboys Stadium de Dallas avec une foule de 108 713 fans a fait encore davantage dans la démesure pour un match de basket-ball indoor.
La possibilité de jouer des matches à la Philippine Arena a pesé lourd dans le dossier de candidature victorieux des Philippins. Sauf que les plans de la FIBA ont été bousculés quand on a appris, fin avril, à quelques semaines donc de l’évènement, que les matches se tiendront finalement à la Mall Of Asia Arena de seulement 15 000 places. La raison : située à 30 kilomètres du centre-ville, la Philippine Arena est très difficilement accessible sans transports en commun adéquats. N’était-ce pas possible de s’en apercevoir bien avant ?
L’organisation a malgré tout maintenu deux matchs de la journée d’ouverture à la Philippine Arena dont celui entre les Philippines et la République Dominicaine afin de battre le record de spectateurs pour un match de Coupe du monde établi en 1994 entre les Etats-Unis et la Russie, au SkyDome de Toronto, avec 32 616 spectateurs*. A cette occasion 400 bus seront affrétés gratuitement pour le public, des cadeaux seront distribués aux détenteurs de billets, et plusieurs stars locales assureront un show.
L’autre évènement, plus heureux, aux Philippines est la participation de Jordan Clarkson à cette Coupe du monde. Cet arrière du Utah Jazz, qui est considéré comme un « naturalisé FIBA » vient de conclure sa meilleure saison en carrière en NBA avec une moyenne de 20,8 points, 4,4 passes et 4,0 rebonds. Gilas Pilipinas -le surnom de l’équipe nationale- compte sur sa polyvalence pour booster son rendement.
L’Américain mais aussi l’ensemble de ses coéquipiers vont devoir s’acclimater au style de jeu international différent de celui de la PBA. C’est ce qui ressort des commentaires du coach Chot Reyes après les premiers matches de préparation de son équipe. « Nous devons examiner nos protocoles d’échauffement et aussi notre starting five car il faut s’habituer au rythme de la FIBA car nous sommes toujours dans le rythme de départ de la PBA, c’est pourquoi ces matches sont aussi précieux pour nous. »
Si les Philippines vont devoir se familiariser à un jeu différent, leurs adversaires auront besoin de leur côté de tenir le choc face à une température chaude et humide et au vacarme dans la salle d’un peuple qui brûle de passion pour le basket.
*Avec 332 616 spectateurs, l’édition de 1994, à Toronto, au Canada, avait battu le record d’affluence pour une Coupe du monde. L’ancien datait de 1986 en Espagne (209 865). Le record sur un match y avait également été mis à mal au SkyDome. Le 12 août, il avait accueilli 27 083 spectateurs payants en soirée (Grèce-Croatie et USA-Russie) puis deux jours plus tard, 32 616 spectateurs payants pour les finales. Mieux qu’à Rio-de-Janeiro (27 990 spectateurs) pour la finale du Championnat du monde de 1963.
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Le point d'orgue de la campagne 2023 de la Superleague 3x3 - la ligue estivale de la FFBB - était à la fête à Rennes. Installé sur l'esplanade Charles de Gaulle et devant plus de 1 700 spectateurs, les 32 meilleures équipes du circuit - 16 chez les hommes comme chez les femmes - ont rendu leur dernière bataille de la saison française. Un tournoi qui s'est déroulé entre les nuages et le soleil de Rennes et sous une ambiance chaleureuse des fans bretons comme des supporters des diverses équipes de l'Open.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/team-tchaff-rueil.jpg\")
Animée par le speaker officiel de la discipline en France, Vincent Royet, la fête du 3x3 a donc vu Tchaff Rueil remporter le titre chez les femmes. L'équipe composée des internationales françaises Sixtine Macquet, Camille Droguet, Anna Ngo Ndjock et Coline Franchelin a pris le meilleur des locales de l'étape Rennes URB (18-13). Une fin de compétition à l'image de son Open de France, où Tchaff Rueil a terrassé chaque équipe présentée sur son passage. Premier en sortie de phase de poule, le quatuor champion du monde U23 en 2022 s'adjugeait aisément la Team Rocket en quart de finale (21-5) puis les Lilleuses en demi-finale et à huit clos (21-5) avant de triompher en beauté sur le terrain central - et sec après une interruption pour cause de pluie - contre Rennes.
Chez les hommes, c'est la Team Versailles qui repart avec le trophée. Composée de Lucas Dussoulier, Timothé Vergiat - champion en 2021 - Hugo Suhard et du professionnel 3x3 Jules Rambaut, l'équipe Versailles a respecté son standing. Rien n'a été simple dans son Open de France mais la victoire est au bout après avoir éliminé Tchaff Rueil en quart et la Team Next Step de l'ancien international Raphaël Wilson. En finale, Versailles a mis au tapis l'équipe sensation de l'Open de France (19-16). La très jeune formation de Next Gen Sud et de ses joueurs champions du monde U18.
Habituée au récompense individuelle, Anna Ngo Ndjock est proclamée MVP chez les femmes pour son deuxième Open de France. Lucas Dussoulier obtient la même statuette chez les hommes au terme d'une grande finale du Nanterrien. Après l'édition rennaise, la destination pour l'Open de France 2024 - année des Jeux olympiques - reste pour l'heure inconnue.
À Rennes.
Photo : © Julien Bacot / FFBB
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L'équipe composée des internationales françaises Sixtine Macquet, Camille Droguet, Anna Ngo Ndjock et Coline Franchelin a pris le meilleur des locales de l'étape Rennes URB (18-13). Une fin de compétition à l'image de son Open de France, où Tchaff Rueil a terrassé chaque équipe présentée sur son passage. Premier en sortie de phase de poule, le quatuor champion du monde U23 en 2022 s'adjugeait aisément la Team Rocket en quart de finale (21-5) puis les Lilleuses en demi-finale et à huit clos (21-5) avant de triompher en beauté sur le terrain central - et sec après une interruption pour cause de pluie - contre Rennes.\n\nChez les hommes, c'est la Team Versailles qui repart avec le trophée. Composée de Lucas Dussoulier, Timothé Vergiat - champion en 2021 - Hugo Suhard et du professionnel 3x3 Jules Rambaut, l'équipe Versailles a respecté son standing. Rien n'a été simple dans son Open de France mais la victoire est au bout après avoir éliminé Tchaff Rueil en quart et la Team Next Step de l'ancien international Raphaël Wilson. En finale, Versailles a mis au tapis l'équipe sensation de l'Open de France (19-16). La très jeune formation de Next Gen Sud et de ses joueurs champions du monde U18.\n\nHabituée au récompense individuelle, Anna Ngo Ndjock est proclamée MVP chez les femmes pour son deuxième Open de France. Lucas Dussoulier obtient la même statuette chez les hommes au terme d'une grande finale du Nanterrien. Après l'édition rennaise, la destination pour l'Open de France 2024 - année des Jeux olympiques - reste pour l'heure inconnue.\n\n\n\nÀ Rennes.\n\nPhoto : © Julien Bacot / FFBB", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/team-versailles-scaled.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-29T20:55:07.000Z", "updated_at":"2023-07-29T20:55:07.000Z", "published_at":"2023-07-29T20:55:07.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a43", "uuid":"cb8d2a92-6ccb-4c1a-bf4c-3846d7ca0576", "title":"Euroleague : Une 17e saison d'affilée pour Branko Lazic à l'Etoile Rouge de Belgrade", "slug":"euroleague-une-17e-saison-daffilee-pour-branko-lazic-a-letoile-rouge-de-belgrade", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[1,[],0,0],[0,[],0,\"Branko Lazic (1,95 m, 34 ans) a renouvelé son contrat avec l'Etoile Rouge, ce sera sa 17e avec le club de la capitale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lazic joue pour l'Etoile Rouge depuis 2007. 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\"Notre Branko Lazić est le détenteur du record du club dans littéralement tous les paramètres statistiques. Pendant des années, il a été l'un des meilleurs défenseurs d'Europe et le meilleur de la Ligue ABA (choisi deux fois meilleur défenseur de la ligue régionale), il a disputé 756 matchs sous le maillot rouge et blanc, remporté 22 trophées (6 ligues ABA, 8 Titres de champion de Serbie, 7 Coupes de Serbie et Super Coupe de la Ligue ABA) a joué le plus de matchs européens, 258, et a marqué 3 351 points au cours de sa carrière sous le maillot rouge et blanc. Il est le joueur avec le plus grand nombre de derbies éternels joués - jusqu'à 86 (NDLR : contre le Partizan). Outre les succès en club, Branko Lazić est également médaillé d'argent au Championnat d'Europe 2017 avec la sélection A de l'équipe nationale serbe. KK Crvena Zvezda souhaite à son capitaine beaucoup de santé, de bonheur et de réussite sportive pour la prochaine saison, qu'il passera à nouveau en tant que capitaine de notre Star\", écrit le club reconnaissant dans un communiqué.
Photo : Euroleague
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| DEBROISE | Ines | 17/09/2003 | 168 | 1 | Rhode Island (NCAA) |
| DIARISSO | Oumou | 01/05/2003 | 189 | 5 | C'Chartres (LF2) |
| HATTAB | Ilona | 28/03/2003 | 180 | 3 | Landerneau |
| JEROME | Lucile | 27/11/2003 | 175 | 2-1 | Ifs (NF1) |
| KAPINGA | Leya | 08/06/2003 | 176 | 2 | Trith (NF1) |
| LEITE | Carla | 16/04/2004 | 175 | 1 | Tarbes GB |
| LE SEYEC | Rosanne | 05/03/2004 | 198 | 5 | Champagne (LF2) |
| MARMILLOD | Jade | 08/11/2003 | 190 | 3 | Lattes Montpellier |
| MAVUANGA | Stella | 06/06/2004 | 168 | 1 | Limoges ABC (NF1) |
| MONTOUT | Amali | 01/01/2004 | 183 | 3 | Feytiat Basket 87 |
| MBU | Palmire | 12/05/2003 | 185 | 3-4 | Montbrison (LF2) |
| MERCERON | Axelle | 25/04/2003 | 189 | 3-4 | Angers UFB 49 |
| MOREL | Fleur | 22/06/2005 | 183 | 3 | Pole France |
| PICAULT | Eva | 16/04/2003 | 180 | 2 | Angers UFB 49 |
| PRENEAU | Louise | 27/11/2003 | 178 | 3-2 | Roche Vendée |
| RIVIERE | Celia | 06/08/2003 | 185 | 4-5 | Northwest Florida State (JuCo) |
| ROUMY | Sara | 07/11/2003 | 180 | 2 | Basket Landes |
| SALAHY | Inès | 13/10/2005 | 169 | 1 | Pôle France Basket |
| SEILLY | Nina | 07/11/2003 | 189 | 5 | SIG Strasbourg (LF2) |
| SENE | Sophie | 25/04/2003 | 187 | 5 | Rhode Island (NCAA) |
Les Françaises sont privées de Maïa Hirsch (1,96 m), draftée en WNBA et devenue un élément important de Villeneuve d’Ascq, et le groupe est composée de joueuses de LFB, LF2, NF1, NCAA et Junior College, avec comme leader présumée la Tarbaise Carla Leite, élue Meilleure Jeune de la saison LFB 2022-23.
\"Ce n’est pas une génération énormément fournie. Et c’est la génération qui a le plus souffert du Covid. Quand je discutais avec Guillaume Vizade (le coach des U20 masculins), il me disait qu’il avait répertorié 66 noms de son côté. Moi j’en étais à 20 !\", raconte la coach Elise Prodhomme.
| NOM | Prénom | Naissance | Taille | Poste | Club |
| DEBROISE | Ines | 17/09/2003 | 168 | 1 | Rhode Island (NCAA) |
| DIARISSO | Oumou | 01/05/2003 | 189 | 5 | C'Chartres (LF2) |
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| RIVIERE | Celia | 06/08/2003 | 185 | 4-5 | Northwest Florida State (JuCo) |
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| SENE | Sophie | 25/04/2003 | 187 | 5 | Rhode Island (NCAA) |
En gras les joueuses non retenues.
Entraîneur : Elise Prodhomme
Assistants : Romain Leroy, Fabien Frydryszak
Assistant vidéo : Quentin Boullet
Préparateur physique ; Hugo Lambart
Championnat d'Europe Klaipèda-Vilnius (Lituanie) du 29 juillet-6 août :
29 juillet à 19h30 : Phase de poule - France-Finlande
30 juillet à 17h00 : Phase de poule - France-Lituanie
1er août à 12h00: Phase de poule - France-Hongrie
Photo : Rosanne Le Seyec (FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6f5", "plaintext":"L’Equipe de France U20 entame aujourd'hui samedi, à 19h30, sa campagne 2023 contre la Finlande.\n\nLes Françaises sont privées de Maïa Hirsch (1,96 m), draftée en WNBA et devenue un élément important de Villeneuve d’Ascq, et le groupe est composée de joueuses de LFB, LF2, NF1, NCAA et Junior College, avec comme leader présumée la Tarbaise Carla Leite, élue Meilleure Jeune de la saison LFB 2022-23.\n\n\"Ce n’est pas une génération énormément fournie. Et c’est la génération qui a le plus souffert du Covid. Quand je discutais avec Guillaume Vizade (le coach des U20 masculins), il me disait qu’il avait répertorié 66 noms de son côté. Moi j’en étais à 20 !\", raconte la coach Elise Prodhomme.\n\n\nNOMPrénomNaissanceTaillePosteClubDEBROISEInes17/09/20031681Rhode Island (NCAA)DIARISSOOumou01/05/20031895C'Chartres (LF2) HATTABIlona28/03/20031803LanderneauJEROMELucile27/11/20031752-1Ifs (NF1)KAPINGALeya08/06/20031762Trith (NF1)LEITECarla16/04/20041751Tarbes GBLE SEYECRosanne05/03/20041985Champagne (LF2)MARMILLODJade08/11/20031903Lattes MontpellierMAVUANGAStella06/06/20041681Limoges ABC (NF1)MONTOUTAmali01/01/20041833Feytiat Basket 87MBUPalmire12/05/20031853-4Montbrison (LF2)MERCERONAxelle25/04/20031893-4Angers UFB 49MORELFleur22/06/20051833Pole FrancePICAULTEva16/04/20031802Angers UFB 49PRENEAULouise27/11/20031783-2Roche VendéeRIVIERECelia06/08/20031854-5Northwest Florida State (JuCo)ROUMYSara07/11/20031802Basket LandesSALAHYInès13/10/20051691Pôle France BasketSEILLYNina07/11/20031895SIG Strasbourg (LF2)SENESophie25/04/20031875Rhode Island (NCAA)\n\nEn gras les joueuses non retenues.\n\nEntraîneur : Elise Prodhomme\nAssistants : Romain Leroy, Fabien Frydryszak\nAssistant vidéo : Quentin Boullet\nPréparateur physique ; Hugo Lambart\n\nChampionnat d'Europe Klaipèda-Vilnius (Lituanie) du 29 juillet-6 août :\n29 juillet à 19h30 : Phase de poule - France-Finlande\n30 juillet à 17h00 : Phase de poule - France-Lituanie\n1er août à 12h00: Phase de poule - France-Hongrie\n\nPhoto : Rosanne Le Seyec (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/rosanne-le-seyec.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-29T05:31:39.000Z", "updated_at":"2023-07-29T05:31:39.000Z", "published_at":"2023-07-29T05:31:39.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a46", "uuid":"534196ad-7507-4627-aee8-211d04a4a21f", "title":"Un millier de privilégiés à Pau pour voir les Bleus à l'entraînement", "slug":"un-millier-de-privilegies-a-pau-pour-voir-les-bleus-a-lentrainement", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Demain samedi, l’entraînement de l’équipe de France sera ouvert au public, de 17h à 19h, mais seulement un millier de personnes pourra y accéder.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Alors qu'elle a publié la première photo des 12 joueurs et du staff qui partiront pour l'Indonésie et la Coupe du monde, la FFBB a fait savoir que pour des questions d'organisation seulement un millier de fans pourra pénétrer dans l'enceinte du palais des sports, par ordre d'arrivée. Il y aura des déçus puisqu'il y a déjà eu jusqu'à 2 500 personnes pour cette rencontre privilégiée avec les joueurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cependant, le public béarnais pourra assister lundi, à 20h30, au premier match de préparation des Bleus face à la Tunisie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : FFBB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Alors qu'elle a publié la première photo des 12 joueurs et du staff qui partiront pour l'Indonésie et la Coupe du monde, la FFBB a fait savoir que pour des questions d'organisation seulement un millier de fans pourra pénétrer dans l'enceinte du palais des sports, par ordre d'arrivée. Il y aura des déçus puisqu'il y a déjà eu jusqu'à 2 500 personnes pour cette rencontre privilégiée avec les joueurs.
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/pana.jpg\")
Photo : FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6f7", "plaintext":"Le Panathinaikos Basketball Club annonce l'acquisition de l'international polonais Alexander Balcerowski (2,16 m, 22 ans) pour les deux prochaines saisons\n\nAlexander Balcerowski est un pur produit de Gran Canaria avec qui il a remporté l'Eurocup 2023 avec une moyenne de 8,6 points, 3,8 rebonds et 1 contre, avec d'excellents taux de réussite aux shoots : 71% sur ses shoots à deux-points et 41% sur ses tentatives à trois-points. Il a été élu Meilleur Espoir (Rising Star) de la compétition les deux dernières saisons.\n\n\nLes 11 recrues du Panathinaikos :\n\n * Kostas Sloukas (Olympiakos)\n * Jerian Grant (Turk Telekom)\n * Dimitris Moraïtis (Peristeri)\n * Luca Vildoza (Etoile Rouge)\n * Kyle Guy (Badalona)\n * Ioannis Papapetrou (Partizan)\n * Juancho Hernangomez (Toronto Raptors)\n * Dinos Mitoglou (Free Agent)\n * Mathias Lessort (Partizan)\n * Olek Balcerowski (Gran Canaria)\n * Kostas Antetokounmpo (Fenerbahçe)\n * \n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/balcerowski-obst-pologne-allemagne-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-29T04:53:00.000Z", "updated_at":"2023-07-29T04:53:00.000Z", "published_at":"2023-07-29T04:53:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a48", "uuid":"27904bdb-8545-4cd3-9ef9-63f479234592", "title":"Coupe du Monde : Porto-Rico avec Tremont Waters (ex-Boulogne-Levallois) et sans José Alvarado (New Orleans)", "slug":"coupe-du-monde-porto-rico-avec-tremont-waters-ex-boulogne-levallois-et-sans-jose-alvarado-new-orleans", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/porto-rico.jpg\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/brouille-avec-les-metropolitans-92-tremont-waters-retourne-a-porto-rico/\"]],[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L'équipe de Porto Rico participera pour la quinzième fois à la Coupe du monde avec notamment dans ses rangs Tremont Waters (1,78 m, 25 ans), vu aux Metropolitans 92 la saison dernière aussi talentueux qu'individualiste et qui \"],[0,[0],1,\"a quitté le club des Hauts-de-Seine avant la fin de l'exercice\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La préparation de l'équipe portoricaine débutera le vendredi 4 août lorsqu'elle recevra la République dominicaine au Puerto Rico Coliseum. Le lendemain, elle partira pour Las Vegas pour affronter les États-Unis. La tournée de préparation se poursuivra en Italie et en Serbie, avec des matches contre leurs équipes respectives, et à Taïwan, où elle jouera contre la Lituanie et la Lettonie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Porto Rico fera ses débuts à la Coupe du monde le samedi 26 contre le Soudan du Sud avant d'affronter la Serbie et la Chine.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le meneur José Alvarado\"],[0,[1],1,\" \"],[0,[],0,\"des New Orleans Pelicans, qui a porté le maillot national pour la première fois lors de la fenêtre des qualifications de l'été dernier, ne sera pas du voyage en raison d'une blessure au tibia qui l'a empêché de terminer la saison dernière.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je sais que nos fans étaient très excités de revoir José Alvarado porter notre uniforme. Malheureusement, sa précédente blessure n'a pas guéri à temps et son équipe a décidé de donner la priorité à sa santé. Ceci dit, nous continuons avec toute la confiance en notre équipe en vue d'une grande Coupe du Monde, » a commenté le directeur général de la sélection, Carlos Arroyo.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : Tremont Waters (Thomas Savoja)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"La préparation de l'équipe portoricaine débutera le vendredi 4 août lorsqu'elle recevra la République dominicaine au Puerto Rico Coliseum. Le lendemain, elle partira pour Las Vegas pour affronter les États-Unis. La tournée de préparation se poursuivra en Italie et en Serbie, avec des matches contre leurs équipes respectives, et à Taïwan, où elle jouera contre la Lituanie et la Lettonie.
Porto Rico fera ses débuts à la Coupe du monde le samedi 26 contre le Soudan du Sud avant d'affronter la Serbie et la Chine.
Le meneur José Alvarado des New Orleans Pelicans, qui a porté le maillot national pour la première fois lors de la fenêtre des qualifications de l'été dernier, ne sera pas du voyage en raison d'une blessure au tibia qui l'a empêché de terminer la saison dernière.
« Je sais que nos fans étaient très excités de revoir José Alvarado porter notre uniforme. Malheureusement, sa précédente blessure n'a pas guéri à temps et son équipe a décidé de donner la priorité à sa santé. Ceci dit, nous continuons avec toute la confiance en notre équipe en vue d'une grande Coupe du Monde, » a commenté le directeur général de la sélection, Carlos Arroyo.
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Photo : Tremont Waters (Thomas Savoja)
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« Timothé était un gros prospect de sa génération, qui avait été très responsabilisé en N1 lorsqu’il était à l’Insep et qui a signé à Limoges derrière. A 18 ans, il jouait déjà une dizaine de minutes par match au CSP, en Eurocup notamment., rappelle le coach Rémi Giuitta. Quand on connaît la pression qui règne autour de ce club, ça prouve que le potentiel est là. Il était encore là-bas il y a deux ans sous les ordres de Massimo Cancellieri, où il a quand même joué 22 minutes par match dans une équipe qui a terminé 5e du championnat. Et cette saison, il était meneur titulaire chez le finaliste des playoffs d’accession de Pro B, à Châlons-Reims. C’est un joueur plutôt complet, assez physique pour un meneur de jeu, bon défenseur et qui possède un très bon QI basket. Un joueur qui, pour moi, a encore une marge de progression, même s’il montre déjà beaucoup de maturité dans son jeu, dans son intelligence, ses lectures, il peut encore franchir des paliers. On va essayer de le faire encore grandir pour qu’il atteigne son plein potentiel. Il y aura un travail d’accompagnement, de confiance à faire avec lui. Mais c’est un joueur déjà opérationnel et dont on espère qu’il poursuivra son ascension chez nous ».
Photo : Thomas Savoja
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Il s'agit d'un départ temporaire et Laurent Foirest sera de retour pour la préparation aux Jeux Olympiques de Paris.
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Sa commotion cérébrale n'est visiblement plus qu'un mauvais souvenir. L'internationale Gabby Williams (1,80 m, 26 ans) a mené son équipe vers ce succès avec 17 points, 6 rebonds, 4 passes et 1 interception avec une bonne adresse (7/14), elle qui avait pêché dans ce domaine depuis sa reprise en WNBA (8/31 en 4 matches).
Avec 5 victoires et 19 défaites, le Storm occupe toujours la 12e et dernière place de la ligue.
Photo : WNBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6fc", "plaintext":"Le Seattle Storm a mis fin à une séquence de 10 défaites avec une victoire, 83-74, sur le Chicago Sky et Gabby Williams a été reconnue comme la Player of the Game.\n\nSa commotion cérébrale n'est visiblement plus qu'un mauvais souvenir. L'internationale Gabby Williams (1,80 m, 26 ans) a mené son équipe vers ce succès avec 17 points, 6 rebonds, 4 passes et 1 interception avec une bonne adresse (7/14), elle qui avait pêché dans ce domaine depuis sa reprise en WNBA (8/31 en 4 matches).\n\nAvec 5 victoires et 19 défaites, le Storm occupe toujours la 12e et dernière place de la ligue.\n\n\n\n\n\nPhoto : WNBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/gabby-williams.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-29T07:34:56.000Z", "updated_at":"2023-07-29T07:34:56.000Z", "published_at":"2023-07-29T07:34:56.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a4d", "uuid":"3877712a-fd1b-4775-aed8-63a35e2f6475", "title":"La demi-finale de l'Euro U18, France-Espagne, à suivre ce samedi, à 18h, sur YouTube", "slug":"la-demi-finale-de-leuro-u18-france-espagne-a-suivre-ce-samedi-a-18h-sur-youtube", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/pXcjONl0UBA?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Comme pour toutes les compétitions estivales des équipes nationale de jeunes, la demi-finale de l'Euro U18, France-Espagne, est à suivre sur le YouTube de la FIBA, ce samedi à 18h.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A l'instar de la France, qui a remporté l'ensemble de ses matches par une marge moyenne de 26,6 points, l'Espagne est invaincue jusqu'ici dans la compétition avec des marges réduites face à l'Italie (78-72) et la Turquie (75-67). Son leader est le géant Aday Mara (2,20 m), qui est à la fois son meilleur marqueur (15,4 points), rebondeur (8,8), contreur (3,6) et aussi 3e passeur (2,0). Aday Mara veut poursuivre sa route à UCLA mais son club de Saragosse s'y oppose.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L'autre demi-finale opposera la Serbie à l'Allemagne à 20h30.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Aday Mara (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"A l'instar de la France, qui a remporté l'ensemble de ses matches par une marge moyenne de 26,6 points, l'Espagne est invaincue jusqu'ici dans la compétition avec des marges réduites face à l'Italie (78-72) et la Turquie (75-67). Son leader est le géant Aday Mara (2,20 m), qui est à la fois son meilleur marqueur (15,4 points), rebondeur (8,8), contreur (3,6) et aussi 3e passeur (2,0). Aday Mara veut poursuivre sa route à UCLA mais son club de Saragosse s'y oppose.
L'autre demi-finale opposera la Serbie à l'Allemagne à 20h30.
Photo : Aday Mara (FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6fd", "plaintext":"Comme pour toutes les compétitions estivales des équipes nationale de jeunes, la demi-finale de l'Euro U18, France-Espagne, est à suivre sur le YouTube de la FIBA, ce samedi à 18h.\n\nA l'instar de la France, qui a remporté l'ensemble de ses matches par une marge moyenne de 26,6 points, l'Espagne est invaincue jusqu'ici dans la compétition avec des marges réduites face à l'Italie (78-72) et la Turquie (75-67). Son leader est le géant Aday Mara (2,20 m), qui est à la fois son meilleur marqueur (15,4 points), rebondeur (8,8), contreur (3,6) et aussi 3e passeur (2,0). Aday Mara veut poursuivre sa route à UCLA mais son club de Saragosse s'y oppose.\n\nL'autre demi-finale opposera la Serbie à l'Allemagne à 20h30.\n\nPhoto : Aday Mara (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/aday-mara.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-29T13:49:00.000Z", "updated_at":"2023-07-29T13:49:00.000Z", "published_at":"2023-07-29T13:49:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a4e", "uuid":"51dac93f-7b1f-4354-b4dd-582813039d10", "title":"Mathias Lessort ne va pas participer aux deux premiers matches de préparation de l'équipe de France", "slug":"mathias-lessort-ne-va-pas-participer-aux-deux-premiers-matches-de-preparation-de-lequipe-de-france", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"Via un communiqué, la FFBB fait savoir que Mathias Lessort (2,06 m, 27 ans) ne participera pas à la rencontre face à la Tunisie ce lundi à Pau et face au Monténégro mercredi à Montpellier.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’intérieur des Bleus est pour l’instant ménagé et n’a pris part à aucun entraînement avec l’Équipe de France depuis son arrivée à Pau. Les traditionnels examens médicaux, qui précèdent le début des séances collectives, ont confirmé une gêne à une cheville qui nécessite des soins et du repos. Mathias Lessort sera réévalué par le staff médical à l’occasion du stage d’Orléans qui débutera dimanche 6 août, après avoir suivi un protocole établi en concertation avec son club du Panathinaikos.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un partenaire d'entraînement, qui sera déterminé ultérieurement, complètera l'effectif lors de la rencontre face à la Tunisie lundi à Pau et à Montpellier mercredi.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"L’intérieur des Bleus est pour l’instant ménagé et n’a pris part à aucun entraînement avec l’Équipe de France depuis son arrivée à Pau. Les traditionnels examens médicaux, qui précèdent le début des séances collectives, ont confirmé une gêne à une cheville qui nécessite des soins et du repos. Mathias Lessort sera réévalué par le staff médical à l’occasion du stage d’Orléans qui débutera dimanche 6 août, après avoir suivi un protocole établi en concertation avec son club du Panathinaikos.
Un partenaire d'entraînement, qui sera déterminé ultérieurement, complètera l'effectif lors de la rencontre face à la Tunisie lundi à Pau et à Montpellier mercredi.
Photo : FIBA
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Les stats de la Lyonnaise doivent s'apprécier dans le contexte d'une équipe qui est la numéro 2 au classement. Avec 19 minutes en moyenne, elle a droit au 6e temps de jeu du Liberty et son style plaît énormément dans la ligue.
Gabby Williams (Seattle Storm) : 7,0 points (28,8% aux shoots), 3,8 rebonds, 3,2 passes et 1,2 interception
Suite à sa commotion cérébrale subie en fin de saison avec Lyon, la Franco-Américaine n'a joué que 6 matches dans une équipe à la traîne, mais elle a très vite retrouvée sa place dans le Cinq de départ malgré un pourcentage de réussite aux shoots très faible. Sa dernière sortie est prometteuse.
Iliana Rupert (Atlanta Dream) 2,8 points (42,9%) et 3,2 rebonds
Comme Marine Johannes et Gabby Williams, elle a pris la saison WNBA en cours de route mais dans une équipe différente après son année ponctuée d'un titre avec Las Vegas. Malheureusement, ses responsabilités sont encore plus réduites dans une équipe pointée à la 5e place.
\n\n\n\n\n\nKadi Sissoko (Phoenix Mercury) 0,9 point (28,1%)
Pour son année de rookie, l'ailière de 1,88 m et 24 ans, qui a transité à Southern California, en 24e position à la dernière draft, a le 10e temps de jeu de son équipe. Inquiétant.
Lou Lopez Sénéchal (Dallas Wings) Non entrée en jeu
Le 5e choix de la draft 2023 est toujours immobilisée en raison d'une opération au genou.
Bria Hartley -
Après avoir été victime victime d’une rupture des ligaments croisés des deux genoux, la Franco-Américaine n'a toujours pas retrouvée sa place en WNBA. Son plan de relance passe par l'Espagne et Salamanque.
Photo : Kadi Sissoko (WNBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f6ff", "plaintext":"Quatre Françaises sont actives en WNBA. Deux sont dans la salle d'attente.\n\nMarine Johannes (New York Liberty) : 7,3 points (33,7% à trois-points) et 1,9 passe.\n\nLes stats de la Lyonnaise doivent s'apprécier dans le contexte d'une équipe qui est la numéro 2 au classement. Avec 19 minutes en moyenne, elle a droit au 6e temps de jeu du Liberty et son style plaît énormément dans la ligue.\n\nGabby Williams (Seattle Storm) : 7,0 points (28,8% aux shoots), 3,8 rebonds, 3,2 passes et 1,2 interception\n\nSuite à sa commotion cérébrale subie en fin de saison avec Lyon, la Franco-Américaine n'a joué que 6 matches dans une équipe à la traîne, mais elle a très vite retrouvée sa place dans le Cinq de départ malgré un pourcentage de réussite aux shoots très faible. Sa dernière sortie est prometteuse.\n\nIliana Rupert (Atlanta Dream) 2,8 points (42,9%) et 3,2 rebonds\n\nComme Marine Johannes et Gabby Williams, elle a pris la saison WNBA en cours de route mais dans une équipe différente après son année ponctuée d'un titre avec Las Vegas. Malheureusement, ses responsabilités sont encore plus réduites dans une équipe pointée à la 5e place.\n\n\n\n\n\n\n\nKadi Sissoko (Phoenix Mercury) 0,9 point (28,1%)\n\nPour son année de rookie, l'ailière de 1,88 m et 24 ans, qui a transité à Southern California, en 24e position à la dernière draft, a le 10e temps de jeu de son équipe. Inquiétant.\n\nLou Lopez Sénéchal (Dallas Wings) Non entrée en jeu\n\nLe 5e choix de la draft 2023 est toujours immobilisée en raison d'une opération au genou.\n\nBria Hartley -\n\nAprès avoir été victime victime d’une rupture des ligaments croisés des deux genoux, la Franco-Américaine n'a toujours pas retrouvée sa place en WNBA. Son plan de relance passe par l'Espagne et Salamanque.\n\nPhoto : Kadi Sissoko (WNBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/kadi-sissoko.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-30T06:39:00.000Z", "updated_at":"2023-07-30T06:39:00.000Z", "published_at":"2023-07-30T06:39:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a50", "uuid":"446d9e27-cf71-4af7-a8cd-4c29934bfa49", "title":"Le Letton Rodions Kurucs (ex-Strasbourg) file à Murcie", "slug":"le-letton-rodions-kurucs-ex-strasbourg-file-a-murcie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L'UCAM Murcie a annoncé le recrutement de l'ailier Rodions Kurucs (2,06 m, 25 ans) pour la saison à venir.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors de l'exercice écoulé, Radions Kurucs a affiché en moyenne 10,8 points et 4,3 rebonds en Basketball Champions League et 10,6 points et 4,8 rebonds en Betclic Elite avec la SIG Strasbourg.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auparavant, l'international letton avait notamment joué pour Barcelone, les Brooklyn Nets, les Houston Rockets, les Milwaukee Bucks, le Partizan Belgrade et Séville.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : FFBB/Hervé Bellenger\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Lors de l'exercice écoulé, Radions Kurucs a affiché en moyenne 10,8 points et 4,3 rebonds en Basketball Champions League et 10,6 points et 4,8 rebonds en Betclic Elite avec la SIG Strasbourg.
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Photo : FFBB/Hervé Bellenger
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Willy confie que plusieurs équipes européennes l'ont sollicité, mais, lui le Madrilène, a donc fini par opter pour le rival éternel, le Barça.
« J'ai été surpris pour de bon par le nombre de personnes qui m'ont soutenu et compris. Je cherchais un endroit où j'aurais l'opportunité de jouer au basket. Barcelone a été une opportunité dès le premier instant et j'en suis très heureux. Je dois être reconnaissant au Real Madrid. Il m'a signé dans les rangs des jeunes, il m'a donné l'opportunité de faire mes débuts en ACB et en Euroleague. Mais je suis aussi très reconnaissant envers Cajasol Sevilla, les Knicks, Charlotte, New Orleans... J'ai fait partie de nombreuses équipes et je cherchais la possibilité de jouer et d'être heureux. Le Barça m'a apprécié et j'en suis heureux.\"
Photo : FIBA
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f702", "plaintext":"Willy (2,11 m, 29 ans) et Juancho Hernangomez (2,06 m, 27 ans) ont quitté la NBA, l'un pour le FC Barcelone et l'autre pour le Panathinaikos. Ils sont actuellement tous les deux dans le groupe de joueurs espagnols qui préparent la Coupe du monde, et Willy a livré ses impressions au quotidien As.\n\n\"Je suis heureux que de nombreuses équipes de NBA et d'Europe s'intéressent à mon frère. Il a pris la meilleure décision pour sa vie et pour son avenir. J'aimerais jouer avec lui. Cela n'a pas été possible pour la saison prochaine, mais il nous reste beaucoup d'essence dans le réservoir et il y aura sûrement plus d'opportunités. Si nous jouons l'un contre l'autre, ce qui nous est arrivé en NBA et en ACB, nous jouerons et ensuite nous irons dîner et porter un toast à la vie.\"\n\nWilly confie que plusieurs équipes européennes l'ont sollicité, mais, lui le Madrilène, a donc fini par opter pour le rival éternel, le Barça.\n\n« J'ai été surpris pour de bon par le nombre de personnes qui m'ont soutenu et compris. Je cherchais un endroit où j'aurais l'opportunité de jouer au basket. Barcelone a été une opportunité dès le premier instant et j'en suis très heureux. Je dois être reconnaissant au Real Madrid. Il m'a signé dans les rangs des jeunes, il m'a donné l'opportunité de faire mes débuts en ACB et en Euroleague. Mais je suis aussi très reconnaissant envers Cajasol Sevilla, les Knicks, Charlotte, New Orleans... J'ai fait partie de nombreuses équipes et je cherchais la possibilité de jouer et d'être heureux. Le Barça m'a apprécié et j'en suis heureux.\"\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/06/willy-hernangomez.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-30T04:39:00.000Z", "updated_at":"2023-07-30T04:39:00.000Z", "published_at":"2023-07-30T04:39:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a53", "uuid":"c572a4c6-9852-45e7-b1b7-a980b18db202", "title":"Luka Doncic et la Coupe du monde : \"Je veux gagner toutes les compétitions\"", "slug":"luka-doncic-et-la-coupe-du-monde-je-veux-gagner-toutes-les-competitions", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/kzs_si/status/1684857353055719424\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Luka Doncic (2,01 m, 24 ans) a rejoint l'équipe nationale slovène en ayant visiblement perdu du poids. Il a été nommé capitaine et à ce titre il a donné une première conférence de presse.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"Je suis honoré d'être le capitaine. On en a parlé avec le coach et les joueurs, j'en suis honoré. Jouer pour l'équipe nationale est un plaisir pour moi, c'est toujours agréable de jouer pour l'équipe nationale'', a t-il affirmé avant de revenir sur la défaite face à la Pologne en quart-de-finale de l'EuroBasket 2022 : \\\"Ce genre de match arrive. Elle n'était ni la première ni la dernière que nous avons perdues. Maintenant, une autre équipe jouera à la Coupe du monde. Certains joueurs sont les mêmes, d'autres sont différents, nous avons de nouveaux entraîneurs adjoints. Nous nous concentrons sur cette année, pas sur l'année dernière.\\\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il n'y a pas de surprise dans la réponse à la question de savoir quelles sont ses ambitions pour cette Coupe du monde :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"'Elles sont toujours les mêmes pour moi. Je veux gagner toutes les compétitions. La façon dont cela se déroule après c'est autre chose.\\\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un autre NBAer, Vlatko Cancar (2,03 m, 26 ans), qui a remporté le titre de champion NBA avec les Denver Nuggets, a rejoint également la sélection.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"Je suis content d'être ici. Les vacances d'été sont terminées, il est maintenant temps d'y aller à plein régime. Je vais disputer la Coupe du monde pour la première fois. Nous sommes tous suffisamment motivés. Nous n'avons pas besoin de nous souvenir de ce qui s'est passé l'année dernière à l'EuroBasket, vous nous avez déjà dit que nous étions une honte...\\\" a t-il lancé aux journalistes présents.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo : Fédération slovène\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
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Il n'y a pas de surprise dans la réponse à la question de savoir quelles sont ses ambitions pour cette Coupe du monde :
'Elles sont toujours les mêmes pour moi. Je veux gagner toutes les compétitions. La façon dont cela se déroule après c'est autre chose.\"
Un autre NBAer, Vlatko Cancar (2,03 m, 26 ans), qui a remporté le titre de champion NBA avec les Denver Nuggets, a rejoint également la sélection.
\"Je suis content d'être ici. Les vacances d'été sont terminées, il est maintenant temps d'y aller à plein régime. Je vais disputer la Coupe du monde pour la première fois. Nous sommes tous suffisamment motivés. Nous n'avons pas besoin de nous souvenir de ce qui s'est passé l'année dernière à l'EuroBasket, vous nous avez déjà dit que nous étions une honte...\" a t-il lancé aux journalistes présents.
Photo : Fédération slovène
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La tradition remonte à 2009 et les joueurs ont une fois fait preuve de beaucoup de disponibilité pour la séance de dédicaces de posters et de maillots et de selfies de plus d'une demi-heure.
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Comme l'indique le journaliste de La République des Pyrénées, Jean Fauret, certains étaient présents devant les grilles depuis 13h.\n\nLa tradition remonte à 2009 et les joueurs ont une fois fait preuve de beaucoup de disponibilité pour la séance de dédicaces de posters et de maillots et de selfies de plus d'une demi-heure.\n\nLe match de lundi soir contre la Tunisie, qui sera le premier de l'équipe de France dans l'optique de la Coupe du monde, devrait faire le plein du Palais.\n\n\n\n\n\nPhoto : Elie Okobo avec Joseph Gomis (FFBB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/elie-okobo-scaled-e1690657484785.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-30T04:28:00.000Z", "updated_at":"2023-07-30T04:28:00.000Z", "published_at":"2023-07-30T04:28:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a55", "uuid":"efdd0750-c1a8-424d-ac99-122c1d614233", "title":"EuroBasket U18 : Pas de finale pour la France, l'Espagne est encore passée par là !", "slug":"eurobasket-u18-pas-de-finale-pour-la-france-lespagne-est-encore-passee-par-la", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"\\n\\n\\n\\n\\n\\n\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/NextGenHoops/status/1685321748944732160\",\"html\":\"\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/mohamed-diawara.jpg\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/aday-mara-wilson-jacques.jpg\"}],[\"html\",{\"html\":\"\\n\\n\\n\\n\\n\\n\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/europe/u18/2023/game/2907/France-Spain#|tab=boxscore\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L'équipe de France s'est inclinée face à l'Espagne en demi-finale de l'Euro U18 (58-70). 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Ceux-ci avaient un avantage de +7 à 11-4 sur un magnifique trois-points après step back de Tidjane Salaun et encore 14-5 à la 10e minute via un autre panier primé, de Romain Domon cette fois. Surréaliste.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Mohamed Diawara (FIBA)\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"La zone espagnole trouble les Français\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Par l'emploi d'une zone les Espagnols parvenaient à dérégler l'ordonnancement des Français et cela leur donnait conjointement confiance en attaque. Et en moins de trois minutes, l'avantage était inversé : 14-17 avec 7 points de Lucas Langarita. La France se figeait face à cette défense et connaissait un inquiétant surplace, qui va l'amener à concéder un 2 à 16 en 5'15 alors que Aday Mara montait quelque peu en puissance. C'est ainsi que l'écart va se maintenir autour de la demi-douzaine de points (16-21 puis 24-31 à la mi-temps). 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Même si elle a chopé 13 rebonds, la star espagnole Aday Mara (2,20 m) a été bien contenue en se contentant de 9 points au lieu des 15,4 habituels. Les 215cm de Wilson Jacques et Amael L'Etang se sont montrés très utiles, tout comme l'énergie de ses équipiers plus petits. D'ailleurs défensivement, les Français ont été irréprochables. Seulement, ils ont butté invariablement sur la zone espagnole comme en atteste leur faible adresse générale à 33,3% dont un 6/22 à trois-points. On connaît le fort QI basket des Espagnols.
Si l'écart final de 12 points ne reflète pas avec exactitude la différence de niveau des deux équipes, Aday Amaya a pu compter sur ses équipiers Lucas Langarita (19 points) et Hugo Gonzalez (13) pour alimenter la marque. Finalement, statiquement, seul Tidjane Salaun (13 points, 7 rebonds, 3 passes et 3 interceptions) s'en tire très honorablement côté français.
L'autre demi-finale opposera à 20h30 la Serbie et l'Allemagne. Une médaille de bronze est toujours possible.
\n\n\n\n\n\nLe moins que l'on puisse écrire c'est que cette demi-finale fut placée d'emblée sous le signe de la défense à l'image de ce contre de Lucas Mari sur Tidjane Salaun. Les Espagnols ont mis 5 minutes et 20 secondes pour marquer leurs premiers points après cinq tirs ratés et deux balles perdues. La France menait ainsi 6-2. Et la disette espagnole se poursuivait tout au long du premier quart-temps avec un mélange de tirs ouverts loupés, de malchance et bien sûr de défense oppressante des Bleuets. Ceux-ci avaient un avantage de +7 à 11-4 sur un magnifique trois-points après step back de Tidjane Salaun et encore 14-5 à la 10e minute via un autre panier primé, de Romain Domon cette fois. Surréaliste.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/mohamed-diawara.jpg\")
Photo : Mohamed Diawara (FIBA)
Par l'emploi d'une zone les Espagnols parvenaient à dérégler l'ordonnancement des Français et cela leur donnait conjointement confiance en attaque. Et en moins de trois minutes, l'avantage était inversé : 14-17 avec 7 points de Lucas Langarita. La France se figeait face à cette défense et connaissait un inquiétant surplace, qui va l'amener à concéder un 2 à 16 en 5'15 alors que Aday Mara montait quelque peu en puissance. C'est ainsi que l'écart va se maintenir autour de la demi-douzaine de points (16-21 puis 24-31 à la mi-temps). Son gâchis aux lancers-francs (3/8) n'arrangeait pas les affaires de la France.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/aday-mara-wilson-jacques.jpg\")
Photo : Aday Mara et Wilson Jacques
Les Français se montraient plus agressifs à l'attaque de la deuxième mi-temps et cela payait de suite : 36-33. L'Espagne ne changeait pas pour autant de stratégie défensive. Les garçons du coach Frédéric Crapez livraient une belle bataille au rebond offensif et leur défense constipait de nouveau les Espagnols. De quoi leur offrir un court et éphémère avantage à 40-35 avec Tidjane Salaun comme principal responsable. C'était un match de séquences et celle de la fin du quart-temps était très favorable à l'Espagne, les Bleuets perdant de nouveau les pédales face à la zone. C'est ainsi qu'ils ont encaissé un violent 1-12 pour se retrouver à 41-47 à la 30e minute.
\n\n\n\n\n\nLa France va pointer à 41-49 et revenir à 49-51 grâce à deux paniers primés à 6'35 de la fin. Les Espagnols donnaient davantage la balle à Aday Mara pour faire pencher la balance et celle-ci s'inclinait de fait dangereusement de leur côté. 49-58. Leur défense y compris en individuelle était excellente et les Bleuets n'avaient pas d'espaces pour leurs shoots. Les Français cédaient (53-63) et cette fois c'était définitif. La différence terminale est tout de même bien sévère.
La boxscore est ICI.
Photo : Hugo Gonzalez et Nolan Traoré (FIBA)
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Finalement, statiquement, seul Tidjane Salaun (13 points, 7 rebonds, 3 passes et 3 interceptions) s'en tire très honorablement côté français.\n\nL'autre demi-finale opposera à 20h30 la Serbie et l'Allemagne. Une médaille de bronze est toujours possible.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n5 points en 10 minutes pour l'Espagne\n\nLe moins que l'on puisse écrire c'est que cette demi-finale fut placée d'emblée sous le signe de la défense à l'image de ce contre de Lucas Mari sur Tidjane Salaun. Les Espagnols ont mis 5 minutes et 20 secondes pour marquer leurs premiers points après cinq tirs ratés et deux balles perdues. La France menait ainsi 6-2. Et la disette espagnole se poursuivait tout au long du premier quart-temps avec un mélange de tirs ouverts loupés, de malchance et bien sûr de défense oppressante des Bleuets. Ceux-ci avaient un avantage de +7 à 11-4 sur un magnifique trois-points après step back de Tidjane Salaun et encore 14-5 à la 10e minute via un autre panier primé, de Romain Domon cette fois. Surréaliste.\n\nPhoto : Mohamed Diawara (FIBA)\n\n\nLa zone espagnole trouble les Français\n\nPar l'emploi d'une zone les Espagnols parvenaient à dérégler l'ordonnancement des Français et cela leur donnait conjointement confiance en attaque. Et en moins de trois minutes, l'avantage était inversé : 14-17 avec 7 points de Lucas Langarita. La France se figeait face à cette défense et connaissait un inquiétant surplace, qui va l'amener à concéder un 2 à 16 en 5'15 alors que Aday Mara montait quelque peu en puissance. C'est ainsi que l'écart va se maintenir autour de la demi-douzaine de points (16-21 puis 24-31 à la mi-temps). Son gâchis aux lancers-francs (3/8) n'arrangeait pas les affaires de la France.\n\nPhoto : Aday Mara et Wilson Jacques\n\n\nUn match de séquences\n\nLes Français se montraient plus agressifs à l'attaque de la deuxième mi-temps et cela payait de suite : 36-33. L'Espagne ne changeait pas pour autant de stratégie défensive. Les garçons du coach Frédéric Crapez livraient une belle bataille au rebond offensif et leur défense constipait de nouveau les Espagnols. De quoi leur offrir un court et éphémère avantage à 40-35 avec Tidjane Salaun comme principal responsable. C'était un match de séquences et celle de la fin du quart-temps était très favorable à l'Espagne, les Bleuets perdant de nouveau les pédales face à la zone. C'est ainsi qu'ils ont encaissé un violent 1-12 pour se retrouver à 41-47 à la 30e minute.\n\n\n\n\n\n\n\n\nUn quatrième quart-temps espagnol\n\nLa France va pointer à 41-49 et revenir à 49-51 grâce à deux paniers primés à 6'35 de la fin. Les Espagnols donnaient davantage la balle à Aday Mara pour faire pencher la balance et celle-ci s'inclinait de fait dangereusement de leur côté. 49-58. Leur défense y compris en individuelle était excellente et les Bleuets n'avaient pas d'espaces pour leurs shoots. Les Français cédaient (53-63) et cette fois c'était définitif. 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Avec 14 points Carla Leite a été la meilleure marqueuse des Bleuettes alors que Oumou Diarisso (10 points et 9 rebonds en 17 minutes) et Axelle Merceron (9 points et 8 rebonds en 18 minutes) ont frôlé le double double dans un temps de jeu limité.
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La boxscore est ICI.
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Vaidas Kariniauskas (18 points), Mindaugas Kuzminskas (16 points) et Eimantas Bendzius (16 points) ont été les meilleurs marqueurs lituaniens. Ignas Brazdeikis, Rokas Jokubaitis et Jonas Valanciunas étaient absents. Pour l'Ukraine, Oleksandr Kovliar a marqué 16 points.
\"Nous avons à la fois Jonas Valanciunas et Donatas, donc je ne pense pas que d'autres équipes auront des big men de ce niveau qui jouent assez bien sous le panier. Donatas a rejoint le groupe dès le premier jour et, comme je l'ai déjà mentionné, ses yeux brûlent le plus d'envie, ce qui est fun\", a commenté le coach lituanien Kazys Maksvytis.
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Photo : Thomas Savoja
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Par ailleurs, les joueurs vont bénéficier d'un vestiaire plus grand et avec des casiers qui va prendre la place de celui qui était réservé jusqu'ici aux arbitres et officiels. Tandis que des sièges avec dossiers ont été aménagés aux premiers rangs de la tribune centrale; ils seront à destination des partenaires du club.
Cela fait trente ans que SQBB n'a pas mis ses baskets dans l'élite du basket français et c'était déjà à Pierre-Ratte.
![](\"https://lh3.googleusercontent.com/a/AAcHTteSV3nTCw5bfy-3ssgmzIR0854TtWbTHPFVZBbywQLa7A=s40-p\")
Les Allemands étaient invaincus avant de s'attaquer à la Serbie, chez elle, en demi-finale. Ils ont été battus dans les trois premiers quarts-temps et on notera le faible score du 4e (8-9) qui a amené la victoire des Serbes (65-54). Les deux joueurs majeurs sont Ivan Kharchenkov (1,98 m), qui n'a que 16 ans, et qui tourne à 18,2 points et 5 rebonds et Johann Grunloh (2,09 m), qui en est à 9 points et 7,5 rebonds dans le tournoi.
La finale Espagne-Serbie sera à suivre à 20h30.
Photo : Tidjane Salaun (FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f709", "plaintext":"Battue par l'Espagne (58-70), l'équipe de France se retrouve confrontée à l'Allemagne pour décrocher une médaille de bronze.\n\nLes Allemands étaient invaincus avant de s'attaquer à la Serbie, chez elle, en demi-finale. Ils ont été battus dans les trois premiers quarts-temps et on notera le faible score du 4e (8-9) qui a amené la victoire des Serbes (65-54). Les deux joueurs majeurs sont Ivan Kharchenkov (1,98 m), qui n'a que 16 ans, et qui tourne à 18,2 points et 5 rebonds et Johann Grunloh (2,09 m), qui en est à 9 points et 7,5 rebonds dans le tournoi.\n\nLa finale Espagne-Serbie sera à suivre à 20h30.\n\nPhoto : Tidjane Salaun (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/tidjane-salaun-2.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-30T11:49:00.000Z", "updated_at":"2023-07-30T11:49:00.000Z", "published_at":"2023-07-30T11:49:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a5a", "uuid":"1a745a94-a105-4f9f-a069-137935fc44f3", "title":"Le programme TV : L'équipe de France en préparation sur France 4 et BeIN Sports", "slug":"le-programme-tv-lequipe-de-france-en-preparation-sur-france-4-et-bein-sports", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"\\n\\n\\n\\n\\n\\n\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://app.skweek.tv/home\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://76xj.mj.am/lnk/AWUAAADG9h8AAcpEjpQAAG4txYEAAV3BCgcAJMDsAAr1qwBjQC0L9JeOMPMURlSTxd63F2LzjQADpj4/2/6uQnyOMtbNg9fHv0H3iT5A/aHR0cHM6Ly93d3cubG5iLmZyLw\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://76xj.mj.am/lnk/AWUAAADG9h8AAcpEjpQAAG4txYEAAV3BCgcAJMDsAAr1qwBjQC0L9JeOMPMURlSTxd63F2LzjQADpj4/3/UYHsrlTDW3wDiIlNDb26Ig/aHR0cHM6Ly93d3cubG5iLnR2Lw\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://76xj.mj.am/lnk/AWUAAADG9h8AAcpEjpQAAG4txYEAAV3BCgcAJMDsAAr1qwBjQC0L9JeOMPMURlSTxd63F2LzjQADpj4/4/lTj1EpBxDF2CeBhMmQGvVQ/aHR0cHM6Ly9hcHBzLmFwcGxlLmNvbS9mci9hcHAvbG5iL2lkMTU2NjM4MjEzMj91dG1fc291cmNlPXNlbmRpbmJsdWUmdXRtX2NhbXBhaWduPUxlYWRlcnMlMjBDdXAlMjBQUk9CJTIwLSUyMEpvdXJuZSUyMDImdXRtX21lZGl1bT1lbWFpbA\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://76xj.mj.am/lnk/AWUAAADG9h8AAcpEjpQAAG4txYEAAV3BCgcAJMDsAAr1qwBjQC0L9JeOMPMURlSTxd63F2LzjQADpj4/5/NQuvLjraAmEYDQuzfVPNow/aHR0cHM6Ly9wbGF5Lmdvb2dsZS5jb20vc3RvcmUvYXBwcy9kZXRhaWxzP2lkPWNvbS5sbmIucHVibGljX2FwcCZ1dG1fc291cmNlPXNlbmRpbmJsdWUmdXRtX2NhbXBhaWduPUxlYWRlcnMlMjBDdXAlMjBQUk9CJTIwLSUyMEpvdXJuZSUyMDImdXRtX21lZGl1bT1lbWFpbA\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://www.youtube.com/@FFBB_officiel/streams\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://www.youtube.com/@BasketballCL\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://www.youtube.com/@FIBA/streams\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://www.youtube.com/@FIBA3x3/streams\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"C'est reparti pour le basket à la TV ! 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20h30 - France/Tunisie - Préparation Coupe du monde - France 4 et BeIN Sports 1
Mercredi 2 août
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Lundi 7 août
20h30 - France/Venezuela - Préparation Coupe du monde - BeIN Sports 2
REGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON 2023-2024 :
À LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE :
BEIN SPORTS
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LA CHAINE L'EQUIPE
La Chaîne L'Equipe diffuse un match de Betclic Elite chaque dimanche. Disponible sur le canal 21 de la TNT.
SPORT EN FRANCE
La chaîne gratuite diffuse une affiche par journée de saison régulière plus les playoffs de Ligue Féminine. Plusieurs émissions spéciales durant l'année, disponibles en replay (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).
SUR INTERNET :
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Tous les matches de Betclic Elite et d'Euroleague masculine et ceux des équipes françaises en Eurocup ainsi que les équipes françaises dans les compétitions européennes féminines sont diffusés en live et en replay sur la plateforme skweek.tv. Des avant-matches et des émissions spéciales chaque semaine.
LNB TV La plateforme digitale (OTT) de la LNB diffuse l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay et sont tous commentés. Trois façons d’y accéder : sur le site LNB, sur le site LNB TV ou en téléchargeant l’application LNB sur iOS ou Android.
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Les chaînes YouTube de la FFBB - commentaires en français -, de la Basketball Champions League, de la FIBA et de la FIBA 3x3 - commentaires en anglais - diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : respectivement Ligue Féminine, BCL, Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.
Photo : Evan Fournier (FIBA)
", "comment_id":"655f6402b3d359ef41b3f70a", "plaintext":"C'est reparti pour le basket à la TV ! Et place à l'équipe de France qui va jouer plusieurs matches de préparation à la Coupe du monde. BeIN Sports va assurer la retransmission de l'ensemble et France 4 plusieurs fois. Voici le programme de la semaine.\n\nLundi 31 juillet\n\n20h30 - France/Tunisie - Préparation Coupe du monde - France 4 et BeIN Sports 1\n\nMercredi 2 août\n\n20h30 - France/Monténégro - Préparation Coupe du monde - France 4 et BeIN Sports 2\n\nLundi 7 août\n\n20h30 - France/Venezuela - Préparation Coupe du monde - BeIN Sports 2\n\nREGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON 2023-2024 :\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE :\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse, entre autres, les équipes de France et la NBA. Ses chaines sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 45 à 47 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).\nLA CHAINE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe diffuse un match de Betclic Elite chaque dimanche. Disponible sur le canal 21 de la TNT.\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite diffuse une affiche par journée de saison régulière plus les playoffs de Ligue Féminine. Plusieurs émissions spéciales durant l'année, disponibles en replay (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\n\nSUR INTERNET :\nSKWEEK\nTous les matches de Betclic Elite et d'Euroleague masculine et ceux des équipes françaises en Eurocup ainsi que les équipes françaises dans les compétitions européennes féminines sont diffusés en live et en replay sur la plateforme skweek.tv. Des avant-matches et des émissions spéciales chaque semaine.\nLNB TV La plateforme digitale (OTT) de la LNB diffuse l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay et sont tous commentés. Trois façons d’y accéder : sur le site LNB, sur le site LNB TV ou en téléchargeant l’application LNB sur iOS ou Android.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de la FFBB - commentaires en français -, de la Basketball Champions League, de la FIBA et de la FIBA 3x3 - commentaires en anglais - diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : respectivement Ligue Féminine, BCL, Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.\n\n\n\n\n\n\n\n\nPhoto : Evan Fournier (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/fournier-france-demi-finale-euro-2022-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-31T05:34:00.000Z", "updated_at":"2023-07-31T05:34:00.000Z", "published_at":"2023-07-31T05:34:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a5b", "uuid":"11ff8f57-1b62-41ff-91fd-16131e5410fc", "title":"Rudy Gobert se dit en pleine forme et vise la médaille d'or à la Coupe du monde", "slug":"rudy-gobert-se-dit-en-pleine-forme-et-vise-la-medaille-dor-a-la-coupe-du-monde", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"\\n\\n\\n\\n\\n\\n\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Rudy-gobert-l-objectif-la-medaille-d-or-a-la-coupe-du-monde-avec-les-bleus/1410927\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le pivot des Bleus, Rudy Gobert (2,16 m, 31 ans), ne déroge pas à ses habitudes : il affirme avoir comme ambition de monter sur la plus haute marche du podium de la compétition à venir, cette fois la Coupe du monde.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Alors qu'après sa saison NBA avec les Minnesota Timbervolwes, il avait laissé planer le doute sur sa participation à la Coupe du monde, Rudy Gobert a rechargé depuis ses batteries comme il l'a expliqué, hier à Pau, à \"],[0,[0],1,\"L'Equipe\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"En tant que joueur professionnel, je dois aussi réfléchir à ma santé, ma récupération physique et plein de choses qui peuvent être dur à comprendre pour ceux qui ne connaissent pas le quotidien d'un sportif de haut niveau, d'un joueur NBA. 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\"En tant que joueur professionnel, je dois aussi réfléchir à ma santé, ma récupération physique et plein de choses qui peuvent être dur à comprendre pour ceux qui ne connaissent pas le quotidien d'un sportif de haut niveau, d'un joueur NBA. La coupure après la fin de saison (défaite 1-4 au premier tour des play-offs contre Denver, futur champion) n'en était pas une, je me suis beaucoup entraîné en juin et en juillet, je me sens bien et c'est aussi pour ça que je suis là (sourire).\"
Et donc, après les médailles d'argent et de bronze, c'est l'autre métal qui l'intéresse :
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Photo : FIBA
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Durant deux jours à Rennes, l’esplanade Charles-de-Gaulle a accueilli les meilleures équipes du circuit français pour l’épilogue de la saison de Superleague FFBB. Un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte pour une discipline qui poursuit sa montée en puissance à un an des Jeux olympiques. Retour complet sur l’Open de France 2023.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Organisé une semaine de 3x3, défi réussi à Rennes. Ville importante et active du circuit français depuis plusieurs années, la cité bretonne a eu l’honneur de clôturer la saison de Juniorleague puis celle de la Superleague devant plus de 1 700 spectateurs. Un événement passionnant, qui succédait à ceux de Reims en 2022 et Lille en 2021 et qui ne cesse de réunir de plus en plus de monde, allant des simples curieux attirés par l’ambiance aux désormais fans et grands suiveurs de la discipline.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et même si la pluie - quasiment inévitable, cliché oblige - a du mettre sur pause cette fête pendant trois heures le samedi après-midi, le grand final a bien eu lieu dans la nuit rennaise. Pendant que les dernières demi-finales se jouaient à huit clos dans une salle à deux pas du lieu de l'événement pour rattraper le temps perdu durant les intempéries, les speakers remettaient de la chaleur à Rennes. Après s'être occupés à coup de crêpes au caramel au beurre salé et de danses festives dans le village, les fans regagnaient le terrain central sur les coups de 21h et sous l'animation de Vincent Royet, maître en la matière.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Les têtes d’affiche couronnées à Rennes\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour cette douzième édition de l’Open de France, les têtes de série de la saison de Superleague ne sont pas reparties avec les trophées, enlevés par les favoris annoncés avant l’événement. À Rennes, c’est la dure loi du plus fort qui a finalement régné en maître. Celle qui a vu les quatre internationales françaises de l'équipe Tchaff Rueil remporter haut la main la compétition féminine contre les locales de l'étape, Rennes URB, en finale (18-13).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le quatuor \\\"de copines\\\" composé d'Anna Ngo Ndjock - MVP de l'Open de France - Camille Droguet, Sixtine Macquet et Coline Franchelin a joint l'utile à l'agréable, la victoire au plaisir de se retrouver sur le terrain central de Rennes, 10 mois après avoir gagné le titre de championne du monde U23. Premières de leur poule, Camille Droguet et ses coéquipières avaient sorti tour à tour la Team Rocket en quart, puis les Lilleuses en demi-finale et à huit clos. En finale, il ne restait plus qu'à finir en beauté contre l'équipe championne en 2021 et qui vivait le nouvel événement devant son public, Rennes URB. Malgré les efforts de la bande d'Aurore Pautou, les Tricolores de Tchaff Rueil s'adjugeaient la victoire.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"On a pris du plaisir tout au long de l’Open, on y est allé step by step sans se faire et c’est monté en puissance pour finir par l’emporter. Un peu galère avec les conditions particulières, surtout la demi-finale sans public, sans rien. Mais c’était dur de se remettre dedans. Au début, nous avions peur de glisser car c’était un peu mouillé puis au final on s’est remis dedans donc trop bien. J’ai l’habitude de faire du 3x3 avec l’équipe de France, un peu moins en dehors. Cela fait du bien de sortir du contexte équipe de France, qui est un peu plus carré et où là on connaît tout le monde, il y a tous les copains et une super ambiance donc c’est aussi ça que l’on vient chercher quand on vient à l’Open. Il y a trois équipes qui étaient vraiment au-dessus, Bordeaux, Rennes et nous. C’étaient les meilleures et celles qui pourraient performer sur un Women’s Series.\\\"\"],[1,[],0,0],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Camille Droguet, internationale français et victorieuse de l'Open de France 2023\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Chez les hommes, le tournoi était davantage ouvert et pourtant le scénario qu'a connue la compétition féminine s'est répété. Malmenée en phase de poule, la lumière a frappé la Team Versailles pour ses phases finales. D'abord en prenant le meilleur sur les masculins Tchaff Rueil en quart de finale, puis en s'imposant en demi-finale contre la Team Next Step de Raphaël Wilson à l'abris des regards. De retour à l'extérieur, il a fallu se remettre dans le bain et ne pas reproduire les mêmes erreurs que l'année passée pour Lucas Dussoulier et Hugo Suhard, finalistes malheureux en 2022 contre Bordeaux Ballistik. Cette fois, ils s'opposaient à Team Next Gen Sud, l'équipe sensation de l'édition 2023 avec ses joueurs champions du monde U18 de la discipline. À l'expérience, Versailles a eu le mot de la fin (19-16)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La seule équipe invitée par une Wildcard de la fédération sur l'Open de France 2023 s'offrait alors le titre majeur. Habitués des grands rendez-vous internationaux de 3x3 depuis plusieurs étés, aucun n'avait pu participer à la trentaine d'Open Plus organisés en France pour cette dernière campagne. Déterminés et avec la certitude d'être une cible à abattre, le MVP de la compétition Lucas Dussoulier et ses hommes ont répondu à leur standing :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"Il y a avait beaucoup d’équipes relevées et nous n’avons pas eu de matchs faciles. Nous sommes très contents de ce que l’on a fait, il y a eu des intempéries et ce n’était pas évident toute la journée. En finale, nous avions un plan de jeu et nous l’avons respecté comme on le voulait. C’est top ! Une deuxième victoire à l’Open de France, ça a toujours le même goût. Gagner, c’est toujours génial. L’Open de France, c’est dur à gagner même si l’on participe au World Tour. Il ne faut pas croire que lorsqu’on y participe, on se dit d’avance que cela va être facile. C’est un des tournois que je redoute le plus parce que les équipes sont très très fortes. C’est la consécration du travail que l’on a fait depuis fin mai.\\\"\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec cette prestigieuse victoire à l'Open de France, Team Versailles obtient ainsi un ticket pour le Masters de Lausanne, les 18 et 19 août prochains. Mais d'ici là, ses représentants auront obligatoirement changé. S'il a exceptionnellement évolué pour l'Open de France avec Versailles, Jules Rambaut retrouvera 3x3 Paris sur le World Tour. Quant aux trois autres joueurs, ils pourraient être embêtés par la reprise de la saison de 5x5. \\\"\"],[0,[1],1,\"Honnêtement je ne sais pas avec quels joueurs on ira, mais on va s’adapter, envoyer la meilleure équipe possible pour représenter au mieux la France. On veut y aller avec une équipe très compétitive en ayant l’ambition de faire un résultat là-bas\"],[0,[],0,\"\\\" nous communiquait Lucas Dussoulier après la victoire.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"L’évolution du 3x3 : plus vite que la musique, plus forte que la pluie !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Une fois de plus, un événement 3x3 a passionné les foules françaises. La discipline s'y habitue et s'y accommode même plutôt bien. Avec la première équipe professionnelle de Paris, les très nombreux Challengers, Masters et Women's Series du World Tour organisés en France et la Superleague qui continue sa progression dans son niveau de jeu proposé, plus que jamais, l'été basket rime avec le 3x3. Et à un an des Jeux olympiques, le basket français, ses acteurs et sa Fédération ne comptent pas s'arrêter en si bon chemin.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans un futur proche, il est difficile d'imaginer une deuxième équipe française devenir professionnelle comme l'est depuis un an la Team Paris de Franck Seguela et Alex Vialaret. De la même manière, un circuit professionnel mondial comme le World Tour n'existe pas encore chez le parallèle féminin. Les Women's Series démarrent en mai et se terminent en septembre, pendant la période estivale avec une grande majorité de joueuses doublant en 5x5. La réalisation d'un tel produit pour le 3x3 féminin n'a jamais semblé aussi possible qu'à l'heure actuelle. Pour préparer au mieux Paris 2024, la FFBB va prendre en charge huit joueuses qui se consacreront à la discipline. Un projet qui existe déjà au Canada ou en Chine, où l'avant JO est synonyme de \"],[0,[1],1,\"\\\"course à l'armement pour toutes les nations\\\"\"],[0,[],0,\" comme nous l'avait témoigné le sélectionneur de l'équipe de France féminine Yann Julien, \"],[0,[2],1,\"en juin dernier\"],[0,[],0,\".\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"MVP de l'Open de France, Anna Ngo Ndjock accompagnera Laëtitia Guapo, Marie-Eve Paget ou encore Myriam Djekoundadé dans ce projet olympique. Elle quittera alors Landerneau et le 5x5 pour poursuivre son évolution au sein d'une discipline dans laquelle elle excelle : \"],[0,[1],1,\"\\\"J’ai hâte que le projet olympique commence. Je vais retrouver des filles avec qui je joue chaque été, avec qui je m’entends bien. C’est une expérience comme nous n’en avons pas beaucoup dans une carrière. C’est les Jeux olympiques quand même !\\\"\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L'évolution du 3x3 passe également par sa médiatisation. Rapide, spectaculaire et se jouant à l'extérieur, l'objet 3x3 est attractif à l'image, surtout sur les réseaux sociaux. Sur la trentaine de journalistes accrédités pour l'Open de France, la très grande majorité se positionnait autour des terrains, caméra et appareil photo entre les mains, pour capter les plus beaux instants du tournoi. Une popularisation facile et dans l'ère du temps que les acteurs français de la discipline ont très bien compris.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette année, l'Open de France a aussi connu une couverture médiatique extrêmement complète. Gratuit pour accéder au site de Rennes, l'événement était diffusé en intégralité sur la chaîne YouTube de la FFBB durant les deux jours et sur la plateforme Live de l'Equipe le samedi. Aux commentaires de l'édition 2023 : l'olympienne Ana Filip, Raphaël Desroses, Joris Larignon et celui qui fait \"],[0,[1],1,\"\\\"partie des meubles\\\"\"],[0,[],0,\", l'indéboulonnable \"],[0,[3],1,\"Lukas Nicot\"],[0,[],0,\". Rencontré durant de l'événement à un moment de pause où il ne courait pas entre tous les terrains micro en main, le journaliste aux 7 Opens de France déjà couverts est revenu sur cette popularisation exponentielle. Et le rôle des médias y est pour quelque chose :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"Personnellement, j’essaie d’apporter ma patte, mon ton, et de commenter comme je le fais au 5x5 dans une ambiance similaire avec les codes du 3x3. Le dispositif de cette année est un peu nouveau car on essaie de raconter une histoire avec ce multiplex sur toute l’esplanade Charles-de-Gaulle. On voulait montrer tous les matches, si possible, mais aussi l’ambiance d’un Open de France. On ne peut pas tout couvrir mais on essaie de voir les meilleures affiches, les meilleures confrontations. Il y a des petites histoires entre certaines équipes. Par exemple, l’équipe dont tout le monde parle c’est les Drag’s de Poitiers. Comme cela on se dit que sur le 5x5 ils sont personne, mais sur le 3x3 ils sont en train de prendre en notoriété en finissant premiers de la saison régulière. Ce sont des mecs funs, une bande de potes, ils ne se prennent pas la tête. Ils sont supers attachants puis ils jouent bien au basket avec un jeu sans ballon extrêmement bien huilé. Il y a encore trois-quatre ans, des gens découvraient complètement la discipline quand ils venaient à l’Open de France. Désormais, on est sur une phase un peu différente. Les Jeux Olympiques ont passé le cap de la discipline nouvelle. Elle commence à avoir sa petite notoriété et cela prend de l’ampleur. Puis cela se passe pendant l’été, les gens prennent le temps de découvrir le village, à se prendre au jeu avec ce sport si rapide, aux très belles actions. Il y a cette touche spectacle au 3x3. C’est cela qui soude les sportifs entre eux, qui sortent de la saison 5x5. C'est une petite communauté. Le lieu de l'Open de France 2024 n'est pas encore connu mais j'aimerais bien que ce soit à Paris si le calendrier le permet. Justement pour promouvoir la discipline en amont des JO. En tout cas, le tournoi olympique avec l'arène à la Concorde sera magnifique.\\\"\"]]],[10,5],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"\\\"Le 3x3 a bien pris. Il y a de plus en plus de moyens, des événements de plus en plus gros. Mais pour être professionnel, il faut une force de frappe financière importante.\\\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Hormis le développement médiatique de la discipline, l'Open de France 2023 a bien montré que le 3x3 français avait augmenté d'un cran son niveau de jeu. Certes, les favoris présumés sont repartis de Rennes avec le trophée, mais les combats ont été au rendez-vous. Entre les joueurs expérimentés en 3x3, les professionnels de 5x5 venus se tester sur un autre format et les jeunes formations en progression d'une année sur l'autre, la Superleague FFBB offre ce qu'il se fait de mieux dans le 3x3 français. Et ce n'est pas pour déplaire à Karim Souchu, sélectionneur de l'équipe de France masculine qui profite de la compétition comme d'un outil de détection \\\"grandeur nature\\\". C'était d'ailleurs lors d'un Open de France qu'il avait découvert l'international et professionnel 3x3 avec Jeddah Dominique Gentil, partageait-il au confrère de \"],[0,[4],1,\"Ouest France\"],[0,[],0,\".\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Présent depuis 2016 sur les Opens de France, Eddy Steiner a à 32 tout connu - ou presque - sur le circuit 3x3 français. Sacré l'année passée à Reims et demi-finaliste malheureux à Rennes, le leader de Bordeaux Ballistik fait partie des pionniers de la discipline en Gironde avec son ancien coéquipier Alex Vialaret. S'il évolue encore aujourd'hui dans le 5x5 aux JSA Bordeaux Métropole Basket, Eddy Steiner rêve aussi de rejoindre son ami dans le univers du 3x3 professionnel :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"Pour préparer l'été, nous avons fait des tournois en Superleague, des tournois en Espagne, au Luxembourg et des Challengers sur le circuit mondial. On aime bien prendre des bons gars, avoir des affinités. On fait les trajets, on est ensemble aux hôtels, on déconne donc c’est avant tout des potes. Les événements ont évolué. Il y a de plus en plus de moyens, de plus en plus gros mais il faut une force de frappe financière importante pour être professionnel. Il n’y a pas beaucoup de tournois en France, pour voyager toute l’année cela demande beaucoup d’argent. La Team Paris c’est quelque chose que l’on cherchait à faire depuis le début et aujourd'hui ce sont encore les seuls qui existent avec le soutien de la Fédération. Avec Bordeaux Ballistik, on n’est pas vraiment professionnel de 3x3, seulement l’été mais pour performer sur le circuit professionnel il faudrait faire cela tout le temps. Mais on ne fait pas que cela. On organise des tournois à la maison, des événements, on a monté notre association, on a créé des clubs amateurs. On essaie de se faire kiffer autrement que simplement jouer les compétitions l’été.\\\"\"]]],[10,7],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour la Team bordelaise, comme pour la quasi-intégralité des équipes de la Superleague, le 3x3 rime avec période estivale. Une temporalité qui réduit obligatoirement l'évolution de la discipline. Mais cela devrait très rapidement changer. Passé sous les radars en septembre 2022, la Fédération avait communiqué sur l'arrivée prochaine d'un circuit 3x3 professionnel français en 5 étapes organisé durant la période hivernale et composé de 12 équipes chez les hommes et 8 pour les femmes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Portant le nom de circuit Madness, le projet de l'organisation CheckBall provoque un vif intérêt au sein de la petite famille du 3x3 tricolore. Eddy Steiner en premier lieu, approché pour en faire partie avec Bordeaux Ballistik. À quelques mois de Paris 2024, le circuit Madness est aussi l'opportunité de regarder plus loin que la simple échéance olympique. Chez les hommes comme chez les femmes, cela pourrait bien être une révolution pour le 3x3 français, sans compromettre la Superleague durant l'été.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\\\"On a déposé le dossier auprès de la FFBB et on attend que cela parte. On regarde aussi en terme de logistique, humainement, financièrement si cela est possible. Nous avons envie de faire du 3x3 pendant l’année donc j’ai hâte de voir à quoi cela ressemblera. Après l’été, il y aura la saison 5x5 qui commencera mais mon club est plutôt conciliant avec ma pratique du 3x3. Ce sont des échéances à moyen-long terme donc j’aurais le temps d’y penser plus tard. Le 3x3 a bien pris, je ne suis pas trop inquiet pour la suite. Je ne serais peut-être pas dans l’équipe Bordeaux Ballistik dans la Madness mais il y en aura une sur ce nouveau circuit, c’est sûr.\\\"\"]]],[10,8],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[1,[],0,2]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : © Julien Bacot / FFBB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Organisé une semaine de 3x3, défi réussi à Rennes. Ville importante et active du circuit français depuis plusieurs années, la cité bretonne a eu l’honneur de clôturer la saison de Juniorleague puis celle de la Superleague devant plus de 1 700 spectateurs. Un événement passionnant, qui succédait à ceux de Reims en 2022 et Lille en 2021 et qui ne cesse de réunir de plus en plus de monde, allant des simples curieux attirés par l’ambiance aux désormais fans et grands suiveurs de la discipline.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/open-de-france-rennes.jpg\")
Et même si la pluie - quasiment inévitable, cliché oblige - a du mettre sur pause cette fête pendant trois heures le samedi après-midi, le grand final a bien eu lieu dans la nuit rennaise. Pendant que les dernières demi-finales se jouaient à huit clos dans une salle à deux pas du lieu de l'événement pour rattraper le temps perdu durant les intempéries, les speakers remettaient de la chaleur à Rennes. Après s'être occupés à coup de crêpes au caramel au beurre salé et de danses festives dans le village, les fans regagnaient le terrain central sur les coups de 21h et sous l'animation de Vincent Royet, maître en la matière.
Pour cette douzième édition de l’Open de France, les têtes de série de la saison de Superleague ne sont pas reparties avec les trophées, enlevés par les favoris annoncés avant l’événement. À Rennes, c’est la dure loi du plus fort qui a finalement régné en maître. Celle qui a vu les quatre internationales françaises de l'équipe Tchaff Rueil remporter haut la main la compétition féminine contre les locales de l'étape, Rennes URB, en finale (18-13).
Le quatuor \"de copines\" composé d'Anna Ngo Ndjock - MVP de l'Open de France - Camille Droguet, Sixtine Macquet et Coline Franchelin a joint l'utile à l'agréable, la victoire au plaisir de se retrouver sur le terrain central de Rennes, 10 mois après avoir gagné le titre de championne du monde U23. Premières de leur poule, Camille Droguet et ses coéquipières avaient sorti tour à tour la Team Rocket en quart, puis les Lilleuses en demi-finale et à huit clos. En finale, il ne restait plus qu'à finir en beauté contre l'équipe championne en 2021 et qui vivait le nouvel événement devant son public, Rennes URB. Malgré les efforts de la bande d'Aurore Pautou, les Tricolores de Tchaff Rueil s'adjugeaient la victoire.
\"On a pris du plaisir tout au long de l’Open, on y est allé step by step sans se faire et c’est monté en puissance pour finir par l’emporter. Un peu galère avec les conditions particulières, surtout la demi-finale sans public, sans rien. Mais c’était dur de se remettre dedans. Au début, nous avions peur de glisser car c’était un peu mouillé puis au final on s’est remis dedans donc trop bien. J’ai l’habitude de faire du 3x3 avec l’équipe de France, un peu moins en dehors. Cela fait du bien de sortir du contexte équipe de France, qui est un peu plus carré et où là on connaît tout le monde, il y a tous les copains et une super ambiance donc c’est aussi ça que l’on vient chercher quand on vient à l’Open. Il y a trois équipes qui étaient vraiment au-dessus, Bordeaux, Rennes et nous. C’étaient les meilleures et celles qui pourraient performer sur un Women’s Series.\"
Camille Droguet, internationale français et victorieuse de l'Open de France 2023
Chez les hommes, le tournoi était davantage ouvert et pourtant le scénario qu'a connue la compétition féminine s'est répété. Malmenée en phase de poule, la lumière a frappé la Team Versailles pour ses phases finales. D'abord en prenant le meilleur sur les masculins Tchaff Rueil en quart de finale, puis en s'imposant en demi-finale contre la Team Next Step de Raphaël Wilson à l'abris des regards. De retour à l'extérieur, il a fallu se remettre dans le bain et ne pas reproduire les mêmes erreurs que l'année passée pour Lucas Dussoulier et Hugo Suhard, finalistes malheureux en 2022 contre Bordeaux Ballistik. Cette fois, ils s'opposaient à Team Next Gen Sud, l'équipe sensation de l'édition 2023 avec ses joueurs champions du monde U18 de la discipline. À l'expérience, Versailles a eu le mot de la fin (19-16)
La seule équipe invitée par une Wildcard de la fédération sur l'Open de France 2023 s'offrait alors le titre majeur. Habitués des grands rendez-vous internationaux de 3x3 depuis plusieurs étés, aucun n'avait pu participer à la trentaine d'Open Plus organisés en France pour cette dernière campagne. Déterminés et avec la certitude d'être une cible à abattre, le MVP de la compétition Lucas Dussoulier et ses hommes ont répondu à leur standing :
\"Il y a avait beaucoup d’équipes relevées et nous n’avons pas eu de matchs faciles. Nous sommes très contents de ce que l’on a fait, il y a eu des intempéries et ce n’était pas évident toute la journée. En finale, nous avions un plan de jeu et nous l’avons respecté comme on le voulait. C’est top ! Une deuxième victoire à l’Open de France, ça a toujours le même goût. Gagner, c’est toujours génial. L’Open de France, c’est dur à gagner même si l’on participe au World Tour. Il ne faut pas croire que lorsqu’on y participe, on se dit d’avance que cela va être facile. C’est un des tournois que je redoute le plus parce que les équipes sont très très fortes. C’est la consécration du travail que l’on a fait depuis fin mai.\"
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/lucas-dussoulier.jpg\")
Avec cette prestigieuse victoire à l'Open de France, Team Versailles obtient ainsi un ticket pour le Masters de Lausanne, les 18 et 19 août prochains. Mais d'ici là, ses représentants auront obligatoirement changé. S'il a exceptionnellement évolué pour l'Open de France avec Versailles, Jules Rambaut retrouvera 3x3 Paris sur le World Tour. Quant aux trois autres joueurs, ils pourraient être embêtés par la reprise de la saison de 5x5. \"Honnêtement je ne sais pas avec quels joueurs on ira, mais on va s’adapter, envoyer la meilleure équipe possible pour représenter au mieux la France. On veut y aller avec une équipe très compétitive en ayant l’ambition de faire un résultat là-bas\" nous communiquait Lucas Dussoulier après la victoire.
Une fois de plus, un événement 3x3 a passionné les foules françaises. La discipline s'y habitue et s'y accommode même plutôt bien. Avec la première équipe professionnelle de Paris, les très nombreux Challengers, Masters et Women's Series du World Tour organisés en France et la Superleague qui continue sa progression dans son niveau de jeu proposé, plus que jamais, l'été basket rime avec le 3x3. Et à un an des Jeux olympiques, le basket français, ses acteurs et sa Fédération ne comptent pas s'arrêter en si bon chemin.
Dans un futur proche, il est difficile d'imaginer une deuxième équipe française devenir professionnelle comme l'est depuis un an la Team Paris de Franck Seguela et Alex Vialaret. De la même manière, un circuit professionnel mondial comme le World Tour n'existe pas encore chez le parallèle féminin. Les Women's Series démarrent en mai et se terminent en septembre, pendant la période estivale avec une grande majorité de joueuses doublant en 5x5. La réalisation d'un tel produit pour le 3x3 féminin n'a jamais semblé aussi possible qu'à l'heure actuelle. Pour préparer au mieux Paris 2024, la FFBB va prendre en charge huit joueuses qui se consacreront à la discipline. Un projet qui existe déjà au Canada ou en Chine, où l'avant JO est synonyme de \"course à l'armement pour toutes les nations\" comme nous l'avait témoigné le sélectionneur de l'équipe de France féminine Yann Julien, en juin dernier.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/tchaff-rueil-open-de-france-2023.jpg\")
MVP de l'Open de France, Anna Ngo Ndjock accompagnera Laëtitia Guapo, Marie-Eve Paget ou encore Myriam Djekoundadé dans ce projet olympique. Elle quittera alors Landerneau et le 5x5 pour poursuivre son évolution au sein d'une discipline dans laquelle elle excelle : \"J’ai hâte que le projet olympique commence. Je vais retrouver des filles avec qui je joue chaque été, avec qui je m’entends bien. C’est une expérience comme nous n’en avons pas beaucoup dans une carrière. C’est les Jeux olympiques quand même !\"
L'évolution du 3x3 passe également par sa médiatisation. Rapide, spectaculaire et se jouant à l'extérieur, l'objet 3x3 est attractif à l'image, surtout sur les réseaux sociaux. Sur la trentaine de journalistes accrédités pour l'Open de France, la très grande majorité se positionnait autour des terrains, caméra et appareil photo entre les mains, pour capter les plus beaux instants du tournoi. Une popularisation facile et dans l'ère du temps que les acteurs français de la discipline ont très bien compris.
Cette année, l'Open de France a aussi connu une couverture médiatique extrêmement complète. Gratuit pour accéder au site de Rennes, l'événement était diffusé en intégralité sur la chaîne YouTube de la FFBB durant les deux jours et sur la plateforme Live de l'Equipe le samedi. Aux commentaires de l'édition 2023 : l'olympienne Ana Filip, Raphaël Desroses, Joris Larignon et celui qui fait \"partie des meubles\", l'indéboulonnable Lukas Nicot. Rencontré durant de l'événement à un moment de pause où il ne courait pas entre tous les terrains micro en main, le journaliste aux 7 Opens de France déjà couverts est revenu sur cette popularisation exponentielle. Et le rôle des médias y est pour quelque chose :
\"Personnellement, j’essaie d’apporter ma patte, mon ton, et de commenter comme je le fais au 5x5 dans une ambiance similaire avec les codes du 3x3. Le dispositif de cette année est un peu nouveau car on essaie de raconter une histoire avec ce multiplex sur toute l’esplanade Charles-de-Gaulle. On voulait montrer tous les matches, si possible, mais aussi l’ambiance d’un Open de France. On ne peut pas tout couvrir mais on essaie de voir les meilleures affiches, les meilleures confrontations. Il y a des petites histoires entre certaines équipes. Par exemple, l’équipe dont tout le monde parle c’est les Drag’s de Poitiers. Comme cela on se dit que sur le 5x5 ils sont personne, mais sur le 3x3 ils sont en train de prendre en notoriété en finissant premiers de la saison régulière. Ce sont des mecs funs, une bande de potes, ils ne se prennent pas la tête. Ils sont supers attachants puis ils jouent bien au basket avec un jeu sans ballon extrêmement bien huilé. Il y a encore trois-quatre ans, des gens découvraient complètement la discipline quand ils venaient à l’Open de France. Désormais, on est sur une phase un peu différente. Les Jeux Olympiques ont passé le cap de la discipline nouvelle. Elle commence à avoir sa petite notoriété et cela prend de l’ampleur. Puis cela se passe pendant l’été, les gens prennent le temps de découvrir le village, à se prendre au jeu avec ce sport si rapide, aux très belles actions. Il y a cette touche spectacle au 3x3. C’est cela qui soude les sportifs entre eux, qui sortent de la saison 5x5. C'est une petite communauté. Le lieu de l'Open de France 2024 n'est pas encore connu mais j'aimerais bien que ce soit à Paris si le calendrier le permet. Justement pour promouvoir la discipline en amont des JO. En tout cas, le tournoi olympique avec l'arène à la Concorde sera magnifique.\"
Hormis le développement médiatique de la discipline, l'Open de France 2023 a bien montré que le 3x3 français avait augmenté d'un cran son niveau de jeu. Certes, les favoris présumés sont repartis de Rennes avec le trophée, mais les combats ont été au rendez-vous. Entre les joueurs expérimentés en 3x3, les professionnels de 5x5 venus se tester sur un autre format et les jeunes formations en progression d'une année sur l'autre, la Superleague FFBB offre ce qu'il se fait de mieux dans le 3x3 français. Et ce n'est pas pour déplaire à Karim Souchu, sélectionneur de l'équipe de France masculine qui profite de la compétition comme d'un outil de détection \"grandeur nature\". C'était d'ailleurs lors d'un Open de France qu'il avait découvert l'international et professionnel 3x3 avec Jeddah Dominique Gentil, partageait-il au confrère de Ouest France.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/eddy-steiner.jpg\")
Présent depuis 2016 sur les Opens de France, Eddy Steiner a à 32 tout connu - ou presque - sur le circuit 3x3 français. Sacré l'année passée à Reims et demi-finaliste malheureux à Rennes, le leader de Bordeaux Ballistik fait partie des pionniers de la discipline en Gironde avec son ancien coéquipier Alex Vialaret. S'il évolue encore aujourd'hui dans le 5x5 aux JSA Bordeaux Métropole Basket, Eddy Steiner rêve aussi de rejoindre son ami dans le univers du 3x3 professionnel :
\"Pour préparer l'été, nous avons fait des tournois en Superleague, des tournois en Espagne, au Luxembourg et des Challengers sur le circuit mondial. On aime bien prendre des bons gars, avoir des affinités. On fait les trajets, on est ensemble aux hôtels, on déconne donc c’est avant tout des potes. Les événements ont évolué. Il y a de plus en plus de moyens, de plus en plus gros mais il faut une force de frappe financière importante pour être professionnel. Il n’y a pas beaucoup de tournois en France, pour voyager toute l’année cela demande beaucoup d’argent. La Team Paris c’est quelque chose que l’on cherchait à faire depuis le début et aujourd'hui ce sont encore les seuls qui existent avec le soutien de la Fédération. Avec Bordeaux Ballistik, on n’est pas vraiment professionnel de 3x3, seulement l’été mais pour performer sur le circuit professionnel il faudrait faire cela tout le temps. Mais on ne fait pas que cela. On organise des tournois à la maison, des événements, on a monté notre association, on a créé des clubs amateurs. On essaie de se faire kiffer autrement que simplement jouer les compétitions l’été.\"
Pour la Team bordelaise, comme pour la quasi-intégralité des équipes de la Superleague, le 3x3 rime avec période estivale. Une temporalité qui réduit obligatoirement l'évolution de la discipline. Mais cela devrait très rapidement changer. Passé sous les radars en septembre 2022, la Fédération avait communiqué sur l'arrivée prochaine d'un circuit 3x3 professionnel français en 5 étapes organisé durant la période hivernale et composé de 12 équipes chez les hommes et 8 pour les femmes.
Portant le nom de circuit Madness, le projet de l'organisation CheckBall provoque un vif intérêt au sein de la petite famille du 3x3 tricolore. Eddy Steiner en premier lieu, approché pour en faire partie avec Bordeaux Ballistik. À quelques mois de Paris 2024, le circuit Madness est aussi l'opportunité de regarder plus loin que la simple échéance olympique. Chez les hommes comme chez les femmes, cela pourrait bien être une révolution pour le 3x3 français, sans compromettre la Superleague durant l'été.
\"On a déposé le dossier auprès de la FFBB et on attend que cela parte. On regarde aussi en terme de logistique, humainement, financièrement si cela est possible. Nous avons envie de faire du 3x3 pendant l’année donc j’ai hâte de voir à quoi cela ressemblera. Après l’été, il y aura la saison 5x5 qui commencera mais mon club est plutôt conciliant avec ma pratique du 3x3. Ce sont des échéances à moyen-long terme donc j’aurais le temps d’y penser plus tard. Le 3x3 a bien pris, je ne suis pas trop inquiet pour la suite. Je ne serais peut-être pas dans l’équipe Bordeaux Ballistik dans la Madness mais il y en aura une sur ce nouveau circuit, c’est sûr.\"
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Photo : © Julien Bacot / FFBB
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Un événement passionnant, qui succédait à ceux de Reims en 2022 et Lille en 2021 et qui ne cesse de réunir de plus en plus de monde, allant des simples curieux attirés par l’ambiance aux désormais fans et grands suiveurs de la discipline.\n\nEt même si la pluie - quasiment inévitable, cliché oblige - a du mettre sur pause cette fête pendant trois heures le samedi après-midi, le grand final a bien eu lieu dans la nuit rennaise. Pendant que les dernières demi-finales se jouaient à huit clos dans une salle à deux pas du lieu de l'événement pour rattraper le temps perdu durant les intempéries, les speakers remettaient de la chaleur à Rennes. Après s'être occupés à coup de crêpes au caramel au beurre salé et de danses festives dans le village, les fans regagnaient le terrain central sur les coups de 21h et sous l'animation de Vincent Royet, maître en la matière.\n\n\nLes têtes d’affiche couronnées à Rennes\n\nPour cette douzième édition de l’Open de France, les têtes de série de la saison de Superleague ne sont pas reparties avec les trophées, enlevés par les favoris annoncés avant l’événement. À Rennes, c’est la dure loi du plus fort qui a finalement régné en maître. Celle qui a vu les quatre internationales françaises de l'équipe Tchaff Rueil remporter haut la main la compétition féminine contre les locales de l'étape, Rennes URB, en finale (18-13).\n\nLe quatuor \"de copines\" composé d'Anna Ngo Ndjock - MVP de l'Open de France - Camille Droguet, Sixtine Macquet et Coline Franchelin a joint l'utile à l'agréable, la victoire au plaisir de se retrouver sur le terrain central de Rennes, 10 mois après avoir gagné le titre de championne du monde U23. Premières de leur poule, Camille Droguet et ses coéquipières avaient sorti tour à tour la Team Rocket en quart, puis les Lilleuses en demi-finale et à huit clos. En finale, il ne restait plus qu'à finir en beauté contre l'équipe championne en 2021 et qui vivait le nouvel événement devant son public, Rennes URB. Malgré les efforts de la bande d'Aurore Pautou, les Tricolores de Tchaff Rueil s'adjugeaient la victoire.\n\n\"On a pris du plaisir tout au long de l’Open, on y est allé step by step sans se faire et c’est monté en puissance pour finir par l’emporter. Un peu galère avec les conditions particulières, surtout la demi-finale sans public, sans rien. Mais c’était dur de se remettre dedans. Au début, nous avions peur de glisser car c’était un peu mouillé puis au final on s’est remis dedans donc trop bien. J’ai l’habitude de faire du 3x3 avec l’équipe de France, un peu moins en dehors. Cela fait du bien de sortir du contexte équipe de France, qui est un peu plus carré et où là on connaît tout le monde, il y a tous les copains et une super ambiance donc c’est aussi ça que l’on vient chercher quand on vient à l’Open. Il y a trois équipes qui étaient vraiment au-dessus, Bordeaux, Rennes et nous. C’étaient les meilleures et celles qui pourraient performer sur un Women’s Series.\"\n\nCamille Droguet, internationale français et victorieuse de l'Open de France 2023\n\nChez les hommes, le tournoi était davantage ouvert et pourtant le scénario qu'a connue la compétition féminine s'est répété. Malmenée en phase de poule, la lumière a frappé la Team Versailles pour ses phases finales. D'abord en prenant le meilleur sur les masculins Tchaff Rueil en quart de finale, puis en s'imposant en demi-finale contre la Team Next Step de Raphaël Wilson à l'abris des regards. De retour à l'extérieur, il a fallu se remettre dans le bain et ne pas reproduire les mêmes erreurs que l'année passée pour Lucas Dussoulier et Hugo Suhard, finalistes malheureux en 2022 contre Bordeaux Ballistik. Cette fois, ils s'opposaient à Team Next Gen Sud, l'équipe sensation de l'édition 2023 avec ses joueurs champions du monde U18 de la discipline. À l'expérience, Versailles a eu le mot de la fin (19-16)\n\nLa seule équipe invitée par une Wildcard de la fédération sur l'Open de France 2023 s'offrait alors le titre majeur. Habitués des grands rendez-vous internationaux de 3x3 depuis plusieurs étés, aucun n'avait pu participer à la trentaine d'Open Plus organisés en France pour cette dernière campagne. Déterminés et avec la certitude d'être une cible à abattre, le MVP de la compétition Lucas Dussoulier et ses hommes ont répondu à leur standing :\n\n\"Il y a avait beaucoup d’équipes relevées et nous n’avons pas eu de matchs faciles. Nous sommes très contents de ce que l’on a fait, il y a eu des intempéries et ce n’était pas évident toute la journée. En finale, nous avions un plan de jeu et nous l’avons respecté comme on le voulait. C’est top ! Une deuxième victoire à l’Open de France, ça a toujours le même goût. Gagner, c’est toujours génial. L’Open de France, c’est dur à gagner même si l’on participe au World Tour. Il ne faut pas croire que lorsqu’on y participe, on se dit d’avance que cela va être facile. C’est un des tournois que je redoute le plus parce que les équipes sont très très fortes. C’est la consécration du travail que l’on a fait depuis fin mai.\"\n\nAvec cette prestigieuse victoire à l'Open de France, Team Versailles obtient ainsi un ticket pour le Masters de Lausanne, les 18 et 19 août prochains. Mais d'ici là, ses représentants auront obligatoirement changé. S'il a exceptionnellement évolué pour l'Open de France avec Versailles, Jules Rambaut retrouvera 3x3 Paris sur le World Tour. Quant aux trois autres joueurs, ils pourraient être embêtés par la reprise de la saison de 5x5. \"Honnêtement je ne sais pas avec quels joueurs on ira, mais on va s’adapter, envoyer la meilleure équipe possible pour représenter au mieux la France. 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De la même manière, un circuit professionnel mondial comme le World Tour n'existe pas encore chez le parallèle féminin. Les Women's Series démarrent en mai et se terminent en septembre, pendant la période estivale avec une grande majorité de joueuses doublant en 5x5. La réalisation d'un tel produit pour le 3x3 féminin n'a jamais semblé aussi possible qu'à l'heure actuelle. Pour préparer au mieux Paris 2024, la FFBB va prendre en charge huit joueuses qui se consacreront à la discipline. Un projet qui existe déjà au Canada ou en Chine, où l'avant JO est synonyme de \"course à l'armement pour toutes les nations\" comme nous l'avait témoigné le sélectionneur de l'équipe de France féminine Yann Julien, en juin dernier.\n\nMVP de l'Open de France, Anna Ngo Ndjock accompagnera Laëtitia Guapo, Marie-Eve Paget ou encore Myriam Djekoundadé dans ce projet olympique. Elle quittera alors Landerneau et le 5x5 pour poursuivre son évolution au sein d'une discipline dans laquelle elle excelle : \"J’ai hâte que le projet olympique commence. Je vais retrouver des filles avec qui je joue chaque été, avec qui je m’entends bien. C’est une expérience comme nous n’en avons pas beaucoup dans une carrière. C’est les Jeux olympiques quand même !\"\n\nL'évolution du 3x3 passe également par sa médiatisation. Rapide, spectaculaire et se jouant à l'extérieur, l'objet 3x3 est attractif à l'image, surtout sur les réseaux sociaux. Sur la trentaine de journalistes accrédités pour l'Open de France, la très grande majorité se positionnait autour des terrains, caméra et appareil photo entre les mains, pour capter les plus beaux instants du tournoi. Une popularisation facile et dans l'ère du temps que les acteurs français de la discipline ont très bien compris.\n\nCette année, l'Open de France a aussi connu une couverture médiatique extrêmement complète. Gratuit pour accéder au site de Rennes, l'événement était diffusé en intégralité sur la chaîne YouTube de la FFBB durant les deux jours et sur la plateforme Live de l'Equipe le samedi. Aux commentaires de l'édition 2023 : l'olympienne Ana Filip, Raphaël Desroses, Joris Larignon et celui qui fait \"partie des meubles\", l'indéboulonnable Lukas Nicot. Rencontré durant de l'événement à un moment de pause où il ne courait pas entre tous les terrains micro en main, le journaliste aux 7 Opens de France déjà couverts est revenu sur cette popularisation exponentielle. Et le rôle des médias y est pour quelque chose :\n\n\"Personnellement, j’essaie d’apporter ma patte, mon ton, et de commenter comme je le fais au 5x5 dans une ambiance similaire avec les codes du 3x3. Le dispositif de cette année est un peu nouveau car on essaie de raconter une histoire avec ce multiplex sur toute l’esplanade Charles-de-Gaulle. On voulait montrer tous les matches, si possible, mais aussi l’ambiance d’un Open de France. On ne peut pas tout couvrir mais on essaie de voir les meilleures affiches, les meilleures confrontations. Il y a des petites histoires entre certaines équipes. Par exemple, l’équipe dont tout le monde parle c’est les Drag’s de Poitiers. Comme cela on se dit que sur le 5x5 ils sont personne, mais sur le 3x3 ils sont en train de prendre en notoriété en finissant premiers de la saison régulière. Ce sont des mecs funs, une bande de potes, ils ne se prennent pas la tête. Ils sont supers attachants puis ils jouent bien au basket avec un jeu sans ballon extrêmement bien huilé. Il y a encore trois-quatre ans, des gens découvraient complètement la discipline quand ils venaient à l’Open de France. Désormais, on est sur une phase un peu différente. Les Jeux Olympiques ont passé le cap de la discipline nouvelle. Elle commence à avoir sa petite notoriété et cela prend de l’ampleur. Puis cela se passe pendant l’été, les gens prennent le temps de découvrir le village, à se prendre au jeu avec ce sport si rapide, aux très belles actions. Il y a cette touche spectacle au 3x3. C’est cela qui soude les sportifs entre eux, qui sortent de la saison 5x5. C'est une petite communauté. Le lieu de l'Open de France 2024 n'est pas encore connu mais j'aimerais bien que ce soit à Paris si le calendrier le permet. Justement pour promouvoir la discipline en amont des JO. En tout cas, le tournoi olympique avec l'arène à la Concorde sera magnifique.\"\n\n\n\"Le 3x3 a bien pris. Il y a de plus en plus de moyens, des événements de plus en plus gros. Mais pour être professionnel, il faut une force de frappe financière importante.\"\n\nHormis le développement médiatique de la discipline, l'Open de France 2023 a bien montré que le 3x3 français avait augmenté d'un cran son niveau de jeu. Certes, les favoris présumés sont repartis de Rennes avec le trophée, mais les combats ont été au rendez-vous. Entre les joueurs expérimentés en 3x3, les professionnels de 5x5 venus se tester sur un autre format et les jeunes formations en progression d'une année sur l'autre, la Superleague FFBB offre ce qu'il se fait de mieux dans le 3x3 français. Et ce n'est pas pour déplaire à Karim Souchu, sélectionneur de l'équipe de France masculine qui profite de la compétition comme d'un outil de détection \"grandeur nature\". C'était d'ailleurs lors d'un Open de France qu'il avait découvert l'international et professionnel 3x3 avec Jeddah Dominique Gentil, partageait-il au confrère de Ouest France.\n\nPrésent depuis 2016 sur les Opens de France, Eddy Steiner a à 32 tout connu - ou presque - sur le circuit 3x3 français. Sacré l'année passée à Reims et demi-finaliste malheureux à Rennes, le leader de Bordeaux Ballistik fait partie des pionniers de la discipline en Gironde avec son ancien coéquipier Alex Vialaret. S'il évolue encore aujourd'hui dans le 5x5 aux JSA Bordeaux Métropole Basket, Eddy Steiner rêve aussi de rejoindre son ami dans le univers du 3x3 professionnel :\n\n\"Pour préparer l'été, nous avons fait des tournois en Superleague, des tournois en Espagne, au Luxembourg et des Challengers sur le circuit mondial. On aime bien prendre des bons gars, avoir des affinités. On fait les trajets, on est ensemble aux hôtels, on déconne donc c’est avant tout des potes. Les événements ont évolué. Il y a de plus en plus de moyens, de plus en plus gros mais il faut une force de frappe financière importante pour être professionnel. Il n’y a pas beaucoup de tournois en France, pour voyager toute l’année cela demande beaucoup d’argent. La Team Paris c’est quelque chose que l’on cherchait à faire depuis le début et aujourd'hui ce sont encore les seuls qui existent avec le soutien de la Fédération. Avec Bordeaux Ballistik, on n’est pas vraiment professionnel de 3x3, seulement l’été mais pour performer sur le circuit professionnel il faudrait faire cela tout le temps. Mais on ne fait pas que cela. On organise des tournois à la maison, des événements, on a monté notre association, on a créé des clubs amateurs. On essaie de se faire kiffer autrement que simplement jouer les compétitions l’été.\"\n\nPour la Team bordelaise, comme pour la quasi-intégralité des équipes de la Superleague, le 3x3 rime avec période estivale. Une temporalité qui réduit obligatoirement l'évolution de la discipline. Mais cela devrait très rapidement changer. Passé sous les radars en septembre 2022, la Fédération avait communiqué sur l'arrivée prochaine d'un circuit 3x3 professionnel français en 5 étapes organisé durant la période hivernale et composé de 12 équipes chez les hommes et 8 pour les femmes.\n\nPortant le nom de circuit Madness, le projet de l'organisation CheckBall provoque un vif intérêt au sein de la petite famille du 3x3 tricolore. Eddy Steiner en premier lieu, approché pour en faire partie avec Bordeaux Ballistik. À quelques mois de Paris 2024, le circuit Madness est aussi l'opportunité de regarder plus loin que la simple échéance olympique. Chez les hommes comme chez les femmes, cela pourrait bien être une révolution pour le 3x3 français, sans compromettre la Superleague durant l'été.\n\n\"On a déposé le dossier auprès de la FFBB et on attend que cela parte. On regarde aussi en terme de logistique, humainement, financièrement si cela est possible. Nous avons envie de faire du 3x3 pendant l’année donc j’ai hâte de voir à quoi cela ressemblera. Après l’été, il y aura la saison 5x5 qui commencera mais mon club est plutôt conciliant avec ma pratique du 3x3. Ce sont des échéances à moyen-long terme donc j’aurais le temps d’y penser plus tard. Le 3x3 a bien pris, je ne suis pas trop inquiet pour la suite. Je ne serais peut-être pas dans l’équipe Bordeaux Ballistik dans la Madness mais il y en aura une sur ce nouveau circuit, c’est sûr.\"\n\n.\n\n.\n\n\n\n\nPhoto : © Julien Bacot / FFBB", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/vainqueurs-open-de-france-3x3-2023-scaled.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"paid", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2023-07-31T04:53:00.000Z", "updated_at":"2023-07-31T04:53:00.000Z", "published_at":"2023-07-31T04:53:00.000Z", "custom_excerpt":null, "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"655f78451ff96b0001d03a5d", "uuid":"dc1e27c4-f9ab-4820-878f-d830154c76db", "title":"Euroleague : Nikola Mirotic aurait accepté l'offre de Milan", "slug":"euroleague-nikola-mirotic-aurait-accepte-loffre-de-milan", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"\"],[0,[],0,\"Selon les informations de La Prealpina, les négociations entre le club milanais et Nikola Mirotic, monténégrin au passeport espagnol, ont abouti même si le joueur n'a pas encore signé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nikola Mirotic (2,08 m, 32 ans) aurait ainsi choisi le club milanais après le rejet de la proposition présentée par le Partizan Belgrade il y a quelques jours. 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Les Françaises ont changé de dizaine de points d'avance à 17-6, 40-18, 51-20 et 77-36. Ce qui est encore plus impressionnant que le score final, c'est la différence à l'évaluation : 112 à 8 ! A se demander si la Lituanie n'a pas aligné son équipe cadette à cet Euro U20. Anecdote : pour évacuer leur frustration, les Lituaniennes sautaient parfois de joie comme si elles marquaient un but au football !
La coach Elise Prod'homme a bien entendu fait largement appel à tout son banc et dans ce contexte, ce sont Carla Leite et Sara Roumy qui ont totalisé le plus de points, 19 pour la première et 12 pour la deuxième.
Les Bleuettes joueront leur dernier match du premier tour mardi, à 12h, contre la Hongrie également invaincue. Ce sera probablement plus... intéressant.
\n\n\n\n\n\n![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2023/07/fauthoux-jocyte.jpg\")
Photo : Les Lyonnaises Juste Jocyte et Marine Fauthoux présentes au match (FIBA)
La boxscore est ICI.
Photo : (FIBA)
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Les Français avaient pour habitude de monter en régime en fil du match mais après une entame catastrophique, il ne s'est pas passé le retour tant espéré. Derrière un 0-8 pris d'entrée de jeu, les Bleuets attendaient la quatrième minute pour ouvrir le score. Maladroits en attaque et s'oubliant en défense, ils se corrigeaient en fin premier quart-temps (14-22). Un visage loin de leur standard. Dès le deuxième acte, Théo Pichard et ses équipiers se mettaient en ordre de marche. Plus agressifs sur leurs phases offensives, ils recollaient au score avant la mi-temps grâce à un Tidjane Salaun autoritaire (31-35, 20e).
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Revenu à l’ASVEL en mars dernier dans l’optique d’y disputer les playoffs et tenter le back to back, Casper Ware fait aujourd’hui son retour au sein du Melbourne United, en Australie.
Sur son site, la formation australienne annonce le retour du Californien pour la saison 2017/18 qui conclut ainsi le recrutement du club. Passé par Bologne, Philadelphie ou encore Oldenbourg, le MVP des finales de Pro A 2016 va donc vivre sa deuxième saison en Australie et le champion de France n’a pas caché son plaisir.
« Je suis très excité à l’idée de revenir dans un endroit où j’adore jouer. Je me sens très bien à l’idée de faire mon retour ici et le fait que j’ai déjà joué ici a beaucoup pesé dans la balance. Être entouré des fans et de cette organisation, ça me donne juste l’impression d’être comme à la maison. Je suis concentré à l’idée de reprendre ce que nous avions commencé la saison dernière. Nous avons vécu beaucoup de bons moments l’année dernière mais j’espère que ça durera toute la saison cette fois et non pas que deux ou trois semaines de temps en temps. »
La saison dernière, Casper Ware compilait en moyenne 22 points et 4,5 passes décisives en première division australienne et 10,4 points et 3,7 assists pour une évaluation de 7,6 avec Lyon-Villeurbanne.
Photo : asvelbasket.com
", "comment_id":"406539", "plaintext":"Revenu à l’ASVEL en mars dernier dans l’optique d’y disputer les playoffs et tenter le back to back, Casper Ware fait aujourd’hui son retour au sein du Melbourne United, en Australie.\n\nSur son site, la formation australienne annonce le retour du Californien pour la saison 2017/18 qui conclut ainsi le recrutement du club. Passé par Bologne, Philadelphie ou encore Oldenbourg, le MVP des finales de Pro A 2016 va donc vivre sa deuxième saison en Australie et le champion de France n’a pas caché son plaisir.\n\n« Je suis très excité à l’idée de revenir dans un endroit où j’adore jouer. Je me sens très bien à l’idée de faire mon retour ici et le fait que j’ai déjà joué ici a beaucoup pesé dans la balance. Être entouré des fans et de cette organisation, ça me donne juste l’impression d’être comme à la maison. Je suis concentré à l’idée de reprendre ce que nous avions commencé la saison dernière. Nous avons vécu beaucoup de bons moments l’année dernière mais j’espère que ça durera toute la saison cette fois et non pas que deux ou trois semaines de temps en temps. »\n\nLa saison dernière, Casper Ware compilait en moyenne 22 points et 4,5 passes décisives en première division australienne et 10,4 points et 3,7 assists pour une évaluation de 7,6 avec Lyon-Villeurbanne.\n\nPhoto : asvelbasket.com", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-22T10:55:15.000Z", "updated_at":"2017-08-22T10:57:18.000Z", "published_at":"2017-08-22T10:55:15.000Z", "custom_excerpt":"Revenu à l’ASVEL en mars dernier dans l’optique d’y disputer les playoffs et tenter le back to back, Casper Ware fait aujourd’hui son retour au sein du Melbourne United, en Australie.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd3c", "uuid":"2429fc96-009c-4208-8106-5c847d063aba", "title":"Strasbourg engage Jerel McNeal", "slug":"strasbourg-engage-jerel-mcneal", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/jerel-mcneal-brose-bamberg-eb16.jpg\",\"width\":800,\"height\":558}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Alors que la SIG a déjà repris l’entraînement et même disputé un premier match de préparation face à Souffle, la formation strasbourgeoise enregistre la signature de sa dernière recrue, Jerel McNeal (30 ans, 1,91m).
A Bamberg la saison dernière pour la deuxième partie de saison, le natif de Chicago a lancé sa carrière professionnelle en Belgique à Mons-Hainaut en 2009 et est depuis passé par la D-League, l’Italie et plus récemment la Grèce en 2015/16 à Salonique et donc l’Allemagne. Meilleur marqueur du championnat grec la saison dernière, l’ancien pensionnaire de Marquette va retrouver un ancien coéquipier de l’université à Strasbourg en la personne de Chris Otule qu’il a côtoyés en 2008/09.
La saison dernière avec Bamberg aux côtés de Fabien Causeur, Jerel McNeal compilait en moyenne 9 points et 3,3 rebonds en Bundesliga et 3,9 points et 1,9 rebond en Euroleague.
Entraîneur de la SIG, Vincent Collet s’est exprimé sur cette nouvelle arrivée sur le site du club.
« Le profil de McNeal offre une belle complémentarité avec David Logan et Michael Dixon qui sont eux des shooteurs référencés, alors que lui est surtout connu pour son côté all arround, mais remarquable de par sa force de percussion. C’est un joueur qui va très fort au panier et c’est également un excellent défenseur. C’est un grand voleur de ballons, il a des mains rapides et a toujours été reconnu dans ce secteur. Nous avons aujourd’hui sur les joueurs extérieurs un cocktail vraiment intéressant avec beaucoup de qualités complémentaires. Je suis vraiment content de cette signature. Ça fait plusieurs semaines qu’on essayait de le convaincre. Entre temps bien sur nous avons étudié d’autres pistes mais aucune n’était aussi intéressante à mes yeux. Donc c’est une vraie satisfaction de pouvoir finir l’équipe comme ça. »
Photo : Euroleague
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Voici un précieux document: les meilleures actions du Choletais Killian Hayes à l’EuroBasket U16. L’arrière français a été élu MVP du tournoi et il sait vraiment tout faire. Sa ligne de statistiques l’a démontré: 16,6 points à 51,9 aux shoots, 82,8% aux lancers, 7,0 rebonds et 5,1 passes, 2,7 interceptions, 0,4 contre, 3,0 balles perdues pour 22,6 d’évaluation.
Il est rapide (vous pourrez apprécier ses coast to coast), doté d’une excellente technique et d’un bon jump, fait preuve d’un remarquable sens de l’anticipation et d’une étonnante maturité pour un jeune homme de seize ans.
La classe mondiale.
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Pour remplacer Jean-Baptiste Maille victime d’une rupture des ligaments croisés, le Limoges CSP ne fait pas appel à un joueur formé localement (JFL) mais à un Américain chevronné disposant d’un passeport camerounais, Danny Gibson (1,78m, 33 ans).
Ce meneur qui peut également opérer comme arrière, originaire de l’Indiana, a fréquenté plusieurs ligues mineures en Europe avec un succès certain : MVP au Danemark en 2010, champion de Pologne en 2014 et encore champion et MVP en Bulgarie la saison dernière avec Lukoil Academic après avoir marqué 30 points avec un 7/10 à trois points lors du match 4 décisif.
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A 36 ans, Astou Traoré (1,85m) est encore une sacrée gâchette. Après trois matches, la Sénégalaise est la top scoreuse de l’AfroBasket qui se déroule actuellement au Mali avec une moyenne de 24,7 points (plus 5,3 rebonds).
« C’est un plaisir absolu pour moi d’être encore un membre de l’équipe et de contribuer de façon importante à nos objectifs. Nous avons quelques jeunes joueuses dans l’équipe comme Aicha Sidibe qui arrivent et je suis heureuse de les aider, » a t-elle déclaré au site de la FIBA. « C’est très important car nous avons une cible dans notre dos. Comme ancienne, c’est important d’être présente dans ces matches car ainsi les jeunes peuvent prendre exemple. »
Avant même cette nouvelle édition de l’AfroBasket, Astou Traoré était la meilleure marqueuse de l’histoire de la compétition avec 541 points en cinq participations et un titre continental en 2015. Son parcours en club est un peu spécial puisqu’en arrivant de son Sénégal natal, elle avait commencé sa carrière professionnelle en Nationale 2, à Châteauroux. Après une longue période en Espagne, elle avait rejoint Saint-Amand en 2013-14 pour devenir meilleure marqueuse de la Ligue Féminine.
Photo: FIBA
", "comment_id":"406504", "plaintext":"A 36 ans, Astou Traoré (1,85m) est encore une sacrée gâchette. Après trois matches, la Sénégalaise est la top scoreuse de l’AfroBasket qui se déroule actuellement au Mali avec une moyenne de 24,7 points (plus 5,3 rebonds).\n\n« C’est un plaisir absolu pour moi d’être encore un membre de l’équipe et de contribuer de façon importante à nos objectifs. Nous avons quelques jeunes joueuses dans l’équipe comme Aicha Sidibe qui arrivent et je suis heureuse de les aider, » a t-elle déclaré au site de la FIBA. « C’est très important car nous avons une cible dans notre dos. Comme ancienne, c’est important d’être présente dans ces matches car ainsi les jeunes peuvent prendre exemple. »\n\nAvant même cette nouvelle édition de l’AfroBasket, Astou Traoré était la meilleure marqueuse de l’histoire de la compétition avec 541 points en cinq participations et un titre continental en 2015. Son parcours en club est un peu spécial puisqu’en arrivant de son Sénégal natal, elle avait commencé sa carrière professionnelle en Nationale 2, à Châteauroux. Après une longue période en Espagne, elle avait rejoint Saint-Amand en 2013-14 pour devenir meilleure marqueuse de la Ligue Féminine.\n\nPhoto: FIBA", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-22T07:25:10.000Z", "updated_at":"2017-08-22T07:53:48.000Z", "published_at":"2017-08-22T07:25:10.000Z", "custom_excerpt":"A 36 ans, Astou Traoré (1,85m) est encore une sacrée gâchette. Après trois matches, la Sénégalaise est la top scoreuse de l’AfroBasket qui se déroule actuellement au Mali avec une moyenne de 24,7 points (plus 5,3 rebonds).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd40", "uuid":"13eb2b76-137c-4b17-a442-57182c853ccd", "title":"Entre deux stages de l’équipe de France, Laurent Foirest a fait un stop à Quimper", "slug":"entre-deux-stages-de-lequipe-de-france-laurent-foirest-a-fait-un-stop-a-quimper", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"http://s682549048.onlinehome.fr/wp-content/uploads/2017/08/Laurent-Foirest.jpg\",\"width\":400,\"height\":326}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"http://www.letelegramme.fr/basket/pro-b-c-est-reparti-pour-l-ujap-21-08-2017-11636234.php?utm_source=rss_telegramme&utm_medium=rss&utm_campaign=rss&xtor=RSS-35\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Après le tournoi de Toulouse et avant de rejoindre Nanterre, le nouvel assistant de Vincent Collet en équipe de France, Laurent Foirest, a fait un stop à Quimper qu’il a emmené en Pro B. Il a ainsi dirigé la première séance de l’UJAP.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est son assistant Sébastien Auffret qui dirigera ensuite la préparation et ce jusqu’à la fin de l’EuroBasket.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« J’ai toute confiance en Sébastien qui va faire du bon boulot. Et avec la vidéo, il y a moyen de voir ce qui se passe à distance, » a expliqué au \"],[0,[1],1,\"Télégramme\"],[0,[],0,\" l’ancien international.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec un budget passé de 1 150 000 à 1 450 000 euros, ce qui en fait l’un des plus faibles de la division, et six nouveaux joueurs, l’UJAP vise le maintien.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"http://s682549048.onlinehome.fr/wp-content/uploads/2017/08/Laurent-Foirest.jpg\")
Après le tournoi de Toulouse et avant de rejoindre Nanterre, le nouvel assistant de Vincent Collet en équipe de France, Laurent Foirest, a fait un stop à Quimper qu’il a emmené en Pro B. Il a ainsi dirigé la première séance de l’UJAP.
C’est son assistant Sébastien Auffret qui dirigera ensuite la préparation et ce jusqu’à la fin de l’EuroBasket.
« J’ai toute confiance en Sébastien qui va faire du bon boulot. Et avec la vidéo, il y a moyen de voir ce qui se passe à distance, » a expliqué au Télégramme l’ancien international.
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Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.
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– Encore dans l’attente de réponses positives en début de semaine, Alexis Louvet a enregistré les arrivées de plusieurs joueuses. Outre la delloise… Lire la suite.
![\"logo-le-progres\"](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/logo-le-progres.jpg\"){kind=logo}
– Le physique va être mis à l’épreuve cette semaine, ce qui n’est pas pour déplaire à Alexis Tanghe, déjà affûté et vu à son avantage hier… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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– Les basketteurs du Saint-Chamond basket vallée du Gier ont démarré depuis jeudi la préparation de la nouvelle saison de Pro B qui débutera le vendredi… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
![\"Le_Populaire_logo\"](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/le_populaire_logo.png\"){kind=logo}
– Avant de se retrouver à deux reprises cette saison en NF1, Limoges et Feytiat se rencontrent ce soir à la salle Mu (20 heures) pour avancer dans leur préparation… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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– On l’attendait en Allemagne puisqu’il s’entraînait, depuis quelque temps déjà, au Bayern Munich. C’est finalement dans le championnat espagnol que Nobel Boungou-colo … Lire la suite.
![\"L'Alsace\"](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/lalsace.jpg\")
– Après une saison honorable ponctuée d’une 6e de Régionale 2 à la clé et l’intégration de six joueurs de moins de 18 ans, l’ASCA Riedisheim aimerait… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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– Deux mois et demi après son accession en Pro B à l’issue de play-offs victorieux, l’Ujap Quimper a remis le moteur en marche avec six nouveaux joueurs et un entraîneur présent mais … Lire la suite.
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", "comment_id":"406495", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nValentigney tient ses recrues\n\n– Encore dans l’attente de réponses positives en début de semaine, Alexis Louvet a enregistré les arrivées de plusieurs joueuses. Outre la delloise… Lire la suite.\n\n\nLa semaine s’annonce musclée\n\n– Le physique va être mis à l’épreuve cette semaine, ce qui n’est pas pour déplaire à Alexis Tanghe, déjà affûté et vu à son avantage hier… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nSaint-Chamond lance sa campagne d’abonnement\n\n– Les basketteurs du Saint-Chamond basket vallée du Gier ont démarré depuis jeudi la préparation de la nouvelle saison de Pro B qui débutera le vendredi… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLimoges et Feytiat pour se jauger\n\n– Avant de se retrouver à deux reprises cette saison en NF1, Limoges et Feytiat se rencontrent ce soir à la salle Mu (20 heures) pour avancer dans leur préparation… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nBoungou-colo signe au Betis Séville\n\n– On l’attendait en Allemagne puisqu’il s’entraînait, depuis quelque temps déjà, au Bayern Munich. C’est finalement dans le championnat espagnol que Nobel Boungou-colo … Lire la suite.\n\n\nRiedisheim veut franchir un cap\n\n– Après une saison honorable ponctuée d’une 6e de Régionale 2 à la clé et l’intégration de six joueurs de moins de 18 ans, l’ASCA Riedisheim aimerait… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nPro B. C’est reparti pour l’Ujap !\n\n– Deux mois et demi après son accession en Pro B à l’issue de play-offs victorieux, l’Ujap Quimper a remis le moteur en marche avec six nouveaux joueurs et un entraîneur présent mais … Lire la suite.\n\n[/arm_restrict_content][arm_setup id= »10″ hide_title= »true »]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-22T06:30:38.000Z", "updated_at":"2017-08-22T05:23:48.000Z", "published_at":"2017-08-22T06:30:38.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd42", "uuid":"dead6f79-9b56-4020-b1d8-ad55aeecfab5", "title":"Reportage en Finlande: Dans la tanière des loups", "slug":"reportage-en-finlande-dans-la-taniere-des-loups", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-2-e1499086082847.jpg\",\"width\":800,\"height\":447}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-6.jpg\",\"width\":800,\"height\":522}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-8-e1499086757593.jpg\",\"width\":400,\"height\":533}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-1-e1499086214239.jpg\",\"width\":400,\"height\":618}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-12-e1499086671709.jpg\",\"width\":400,\"height\":533}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-4-e1499086297607.jpg\",\"width\":400,\"height\":541}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-7.jpg\",\"width\":500,\"height\":281}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"],[\"sup\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0,1],2,\"L’équipe de France disputera la première phase de l’EuroBasket 2017 en Finlande. Il y a deux ans, elle s’était déjà rendu dans ce pays où le basket est devenue une affaire si sérieuse que l’équipe nationale, les Susijengi, est suivie à\"],[0,[],0,\" \"],[0,[0,1],2,\"l’étranger par des milliers de supporters. Les Bleus s’étaient inclinés à Tampere et avaient pu constater que Petteri Koponen et compagnie d’agneaux se sont métamorphosés en loups et qu’ils méritent ainsi parfaitement leur surnom.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Plus une chambre de disponible en ville. Vingt-quatre mille personnes assistent dans le stade de foot au concert de Nightwish, un groupe de métal symphonique finlandais réputé, et dans la région se tient le célèbre rallye automobile des 1 000 lacs qui rassemblent 100 000 spectateurs. Surtout, à Tampere, se joue sur trois jours le traditionnel Delphin Basket Tournament, réservé aux juniors, garçons et filles, avec 270 équipes et 3 000 joueurs de sept pays. Un record. Cerise sur le gâteau pour les 7 282 privilégiés du Hakametsän Jäähali, deux matches de préparation entre Finlandais et Français en route pour leur EuroBasket respectif, celui des U16 –victoire des Bleus 67-51- et celui des adultes, qui est retransmis en direct sur \"],[0,[1],1,\"TV1\"],[0,[],0,\", la chaîne principale du pays.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’enceinte a servi à l’EuroBasket de 1967, mais son atmosphère est 100% hockey-sur-glace et 100% américaine avec effluves de popcorn, échoppes, restaurants, bars, dont le \"],[0,[1],1,\"Hemingway’s\"],[0,[],0,\" qui donne sur le terrain, loges à l’ancienne, photos encadrées de stars du hockey, et bannières des titres nationaux des deux équipes de la ville, les Tappara et les Ilves, toujours très actives en Hockey League.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"D’ailleurs, le hockey-sur-glace est le sport national finlandais, même s’il n’y a que 100 000 licenciés contre 130 000 au football. \"],[0,[1],1,\"« Pour les médias, c’est comme le football américain aux Etats-Unis. Le football est le numéro deux. Nous avons ensuite le ski de fond, le saut à ski, le hockey en salle et probablement le basket après ça »,\"],[0,[],0,\" témoigne Mika Mäkelä, le directeur de l’équipe nationale finlandaise de basket-ball. Il y a une demi-douzaine d’années, un sondage a démontré que le basket n’était que le 28\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" sport préféré des Finlandais -il ne recense que 17 000 licenciés contre 660 000 en France, douze fois plus peuplée- mais il est passé récemment en 6\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" position quant à la popularité. Gloire à son équipe nationale !\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Le plan de Henrik Dettmann\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A l’inverse de leurs voisins baltes, les Finlandais n’ont jamais appartenu aux VIP européens. Conseiller de presse auprès de l’ambassade à Paris, Marko Ruonala a potassé son dossier et en ancien pratiquant savoure le fait que les basketteurs furent les premiers de tous les sports de balle du pays à se qualifier pour les Jeux Olympiques ; c’était à Tokyo en 1964. \"],[0,[1],1,\"« On a gagné au championnat d’Europe en 1977 contre la France et on a été ensuite absents du haut niveau pendant dix-huit ans »,\"],[0,[],0,\" ajoute t-il.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’homme de la reconstruction, la référence du basket finlandais, c’est Henrik Dettmann, aperçu sporadiquement à Dijon (NDLR: puis au début de la saison 2016-17 à Strasbourg) qui était déjà coach de l’équipe nationale il y a vingt-trois ans avant un intermède en Allemagne. \"],[0,[1],1,\"« Il est revenu à la tête de l’équipe nationale en 2006 et c’est grâce à lui qu’il y a eu ce succès sportif »,\"],[0,[],0,\" tranche Mika Mäkelä. Dettmann a mis en place une véritable stratégie en associant étroitement les juniors aux séniors. Une académie du basket liée à un lycée a été créée et c’est là-bas que professe Hanno Möttölä, véritable icône locale, sur lequel s’est appuyé longtemps sur le terrain le coach –ainsi que sur Teemu Rannikko- et qui était encore présent à 38 ans à la Coupe du Monde 2014 en Espagne. Avant le retour de Dettmann, la Finlande se morfondait en division B et à la 33\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" place du ranking européen.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme chez les Baltes, le shoot longue distance est le poison mortel des Finlandais. D’ailleurs les juniors se rendent annuellement en Lituanie pour un stage de dix jours et les séniors ont comme sparing-partners privilégiés les Lituaniens et… les Français.\"],[0,[1],1,\"« Henrik Dettmann a établi un style de jeu commun pour l’ensemble des équipes nationales. C’est devenu plus facile ainsi d’intégrer des joueurs de l’équipe junior. Nous prenons beaucoup de risques en défense car nous sommes plus petits que tous les autres et nous shootons à trois points ! Nous avons pas mal de shooteurs et nous sommes capables de lancer des contre-attaques quand nous contrôlons le rebond », \"],[0,[],0,\"confirme Mika Mäkelä, qui se félicite que quatre joueurs à 2,10m figurent désormais dans le roster des juniors, ce qui est tout à fait exceptionnel car la Finlande ne possède pas le vivier de géants des Lituaniens.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’équipe nationale bénéficie aussi de l’apport de plusieurs fils d’Américains installés en Finlande. C’est ainsi que Gerald Lee Sr, meilleur marqueur de tous les temps de la ligue nationale, a donné au pays son fils Gerald Lee Jr, un intérieur de 2,08m qui jouait la saison écoulée à Murcie. Shawn Huff, un arrière-ailier de 1,98m, est de la même origine puisque son père Leon Huff s’est marié avec une Finlandaise.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les deux cas qui concernent de près la France sont ceux de Erik Murphy et Jamar Wilson. Erik Murphy est le fils de Jay qui a porté le maillot de l’ASVEL et du Paris Basket et c’est ainsi qu’il est né il y a presque vingt-cinq ans à Lyon. Sa mère aussi est finlandaise. Suivant l’exemple du paternel, Erik a disputé quelques matches en NBA, 24 aux Bulls en 2013-14 (NDLR: il était lors de la saison 2016-17 à Strasbourg et il a signé à Nanterre pour celle-ci). Jamar Wilson va lui jouer cette saison à Rouen (NDLR: il est depuis au Partizan Belgrade). Il a obtenu le passeport finlandais après s’est marié avec une fille du pays, eut un enfant, et il a passé avec succès le test de langue finnoise, ce qui n’est pas une sinécure. Avant de l’intégrer, il s’entraînait avec l’équipe nationale chaque été depuis cinq ans. \"],[0,[1],1,\"« C’était la première fois ce soir que je portais le maillot de la Finlande. C’était une incroyable expérience. J’étais super excité d’entendre l’hymne national. C’était fou, un moment spécial »,\"],[0,[],0,\" disait-il sincèrement ému après la victoire sur les Français.\"]]],[10,3],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Un phénomène est né\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Finlande a cumulé les exploits, battant en préparation ou en compétition, France (en 2009, en qualification pour le championnat d’Europe), Italie, Israël, et encore Serbie. Du 33\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" rang européen, elle a grimpé au 8\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\". Lorsque la meute de loups a vaincu la Serbie, en 2008, c’était devant un peu plus d’un millier de spectateurs et les journaux s’étaient contentés d’articles faméliques. C’est la participation à l’Euro 2011 qui a servi de détonateur. Un millier de supporters a fait le déplacement en Lituanie où la Finlande s’est qualifiée pour le deuxième tour. Le meilleur était à venir deux ans plus tard en Slovénie. Placés dans un groupe mortel, les Finlandais ont décapité la Suède –ce qui était attendu-, la Turquie, la Grèce et la Russie après deux prolongations –ce qui l’était beaucoup moins-, n’achoppant que face à la seule Italie. « \"],[0,[1],1,\"Et là, les médias sont devenus fous », \"],[0,[],0,\"sourit Mika Mäkelä.\"],[0,[1],1,\" « Ils ont écris que nous étions des tueurs de géants ». \"],[0,[],0,\"Ce n’est qu’au point-average particulier défavorable vis à vis de l’Espagne que la Finlande fut interdite de quarts de finale.\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Fédération Internationale avait jeté un pavé dans la mare en accordant quatre wild cards (invitations) pour la Coupe du Monde 2014, surtout que parmi les bienheureux figuraient la Finlande au détriment de la Russie, de la Chine, de l’Italie ou encore de l’Allemagne. Trois raisons à cela. L’une peu avouable : \"],[0,[1],1,\"Rovio\"],[0,[],0,\" est une entreprise finlandaise de développement de jeux vidéo qui a créé Angry Birds lequel a connu un succès universel, et c’est un partenaire de la FIBA. Deuxio, les résultats sportifs en hausse de l’équipe nationale, et tertio sa capacité à rameuter un nombre considérable de fans en déplacement. Et là, personne n’a été déçu. Les Finlandais ont battu un record d’Europe en convoyant près de 10 000 fans à Bilbao, réservant plus de 40 avions, sans compter les voyages individuels. \"],[0,[1],0,\"« \"],[0,[],1,\"Il y avait beaucoup de famille, de femmes, de petits enfants. C’était surprenant. Jamais autant de supporters finlandais ne sont allés à l’étranger pour un événement sportif sauf pour la formule 1 où il y a eu 25-30 000 Finlandais en Hongrie mais c’était essentiellement des hommes »,\"],[0,[],0,\" confirme Mika Mäkelä.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les fans finlandais ont beaucoup apprécié la… déroute face à l’équipe américaine (55-114). \"],[0,[1],1,\"« Je n’oublierai jamais l’atmosphère lorsque nous avons pénétré sur le parquet pour la première fois. J’en ai encore des frissons en y pensant. Les fans étaient incroyables. Même quand nous étions menés de quarante points, ils nous encourageaient. C’était un honneur de jouer contre l’équipe américaine »,\"],[0,[],0,\" résume l’ailier international Tuukka Kotti. \"],[0,[1],1,\"« Il y a davantage d’intérêt pour le basket aujourd’hui. Les gens comprennent aussi mieux le jeu. Après l’EuroBasket 2013, des fans me reconnaissaient et me disaient bonjour dans la rue. Cela n’arrivait jamais avant en Finlande. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au-delà de ce match de gala face aux Etats-Unis, le peuple finlandais a pu constater que les Susijengi avaient acquis un véritable statut international. La qualification pour le deuxième tour s’est jouée à un rien. Menés à un moment de vingt-deux points par la Nouvell-Zélande, les Finlandais sont revenus à deux unités à quatre seconde du buzzer. Le meneur étoilé Petteri Koponen a tenté un panier au buzzer mais la pression des Tall Blacks était trop intense pour qu’il réussisse dans son entreprise.\"]]],[10,5],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Bienvenue à Montpellier !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les joyeux supporters finlandais vont venir en masse à Montpellier et seront eux-mêmes des attractions de cet EuroBasket. Un regret : ils n’ont obtenu que 3 200 billets pour le match d’ouverture contre la France du fait que la Park&Suite Arena ne peut recevoir qu’une dizaine de milliers de spectateurs et qu’il faut privilégier les fans français. La métropole montpelliéraine tient à les recevoir avec soin. Des indications en finnois seront portées sur des documents et sur les vitrines des magasins arborant le macaron de l’EuroBasket. Une course camarguaise sera organisée sur la commune de Baillargues afin de faire découvrir une tradition locale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour encourager leurs supporters à venir en famille, et alors que la rentrée scolaire au pays se fait à la mi-août, la fédération finlandaise va mettre sur pied, à la Maison des Relations Internationales de Montpellier, du 7 au 10 septembre, une sorte d’école itinérante intitulée Pikkusudet-koulu, soit l’école des petits loups. Vingt à trente enfants y seront conviés gratuitement dans une classe mixte et bénéficieront des cours d’une enseignante finlandaise. Une initiative totalement inédite.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Par contre, Mika Mäkelä n’est pas très optimiste quant à la possibilité de voir ces fans suivre leurs héros à Lille en cas de qualification aux huitièmes de finale. \"],[0,[1],1,\"« Suivant l’exemple de ce qui s’est passé en Lituanie et Slovénie, il n’y en aura que quelques centaines. Les gens réservent uniquement une semaine de vacances et après retournent au travail. » \"],[0,[],0,\"Dommage car leurs joueurs ont toutes les chances de rallier le stade Pierre-Mauroy et le top 16 européen.\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Article paru dans BasketHebdo en 2015.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Plus une chambre de disponible en ville. Vingt-quatre mille personnes assistent dans le stade de foot au concert de Nightwish, un groupe de métal symphonique finlandais réputé, et dans la région se tient le célèbre rallye automobile des 1 000 lacs qui rassemblent 100 000 spectateurs. Surtout, à Tampere, se joue sur trois jours le traditionnel Delphin Basket Tournament, réservé aux juniors, garçons et filles, avec 270 équipes et 3 000 joueurs de sept pays. Un record. Cerise sur le gâteau pour les 7 282 privilégiés du Hakametsän Jäähali, deux matches de préparation entre Finlandais et Français en route pour leur EuroBasket respectif, celui des U16 –victoire des Bleus 67-51- et celui des adultes, qui est retransmis en direct sur \"],[0,[1],1,\"TV1\"],[0,[],0,\", la chaîne principale du pays.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’enceinte a servi à l’EuroBasket de 1967, mais son atmosphère est 100% hockey-sur-glace et 100% américaine avec effluves de popcorn, échoppes, restaurants, bars, dont le \"],[0,[1],1,\"Hemingway’s\"],[0,[],0,\" qui donne sur le terrain, loges à l’ancienne, photos encadrées de stars du hockey, et bannières des titres nationaux des deux équipes de la ville, les Tappara et les Ilves, toujours très actives en Hockey League.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"D’ailleurs, le hockey-sur-glace est le sport national finlandais, même s’il n’y a que 100 000 licenciés contre 130 000 au football. \"],[0,[1],1,\"« Pour les médias, c’est comme le football américain aux Etats-Unis. Le football est le numéro deux. Nous avons ensuite le ski de fond, le saut à ski, le hockey en salle et probablement le basket après ça »,\"],[0,[],0,\" témoigne Mika Mäkelä, le directeur de l’équipe nationale finlandaise de basket-ball. Il y a une demi-douzaine d’années, un sondage a démontré que le basket n’était que le 28\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" sport préféré des Finlandais -il ne recense que 17 000 licenciés contre 660 000 en France, douze fois plus peuplée- mais il est passé récemment en 6\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" position quant à la popularité. Gloire à son équipe nationale !\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Le plan de Henrik Dettmann\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A l’inverse de leurs voisins baltes, les Finlandais n’ont jamais appartenu aux VIP européens. Conseiller de presse auprès de l’ambassade à Paris, Marko Ruonala a potassé son dossier et en ancien pratiquant savoure le fait que les basketteurs furent les premiers de tous les sports de balle du pays à se qualifier pour les Jeux Olympiques ; c’était à Tokyo en 1964. \"],[0,[1],1,\"« On a gagné au championnat d’Europe en 1977 contre la France et on a été ensuite absents du haut niveau pendant dix-huit ans »,\"],[0,[],0,\" ajoute t-il.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’homme de la reconstruction, la référence du basket finlandais, c’est Henrik Dettmann, aperçu sporadiquement à Dijon (NDLR: puis au début de la saison 2016-17 à Strasbourg) qui était déjà coach de l’équipe nationale il y a vingt-trois ans avant un intermède en Allemagne. \"],[0,[1],1,\"« Il est revenu à la tête de l’équipe nationale en 2006 et c’est grâce à lui qu’il y a eu ce succès sportif »,\"],[0,[],0,\" tranche Mika Mäkelä. Dettmann a mis en place une véritable stratégie en associant étroitement les juniors aux séniors. Une académie du basket liée à un lycée a été créée et c’est là-bas que professe Hanno Möttölä, véritable icône locale, sur lequel s’est appuyé longtemps sur le terrain le coach –ainsi que sur Teemu Rannikko- et qui était encore présent à 38 ans à la Coupe du Monde 2014 en Espagne. Avant le retour de Dettmann, la Finlande se morfondait en division B et à la 33\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" place du ranking européen.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-2-e1499086082847.jpg\")
L’équipe de France disputera la première phase de l’EuroBasket 2017 en Finlande. Il y a deux ans, elle s’était déjà rendu dans ce pays où le basket est devenue une affaire si sérieuse que l’équipe nationale, les Susijengi, est suivie à l’étranger par des milliers de supporters. Les Bleus s’étaient inclinés à Tampere et avaient pu constater que Petteri Koponen et compagnie d’agneaux se sont métamorphosés en loups et qu’ils méritent ainsi parfaitement leur surnom.
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Plus une chambre de disponible en ville. Vingt-quatre mille personnes assistent dans le stade de foot au concert de Nightwish, un groupe de métal symphonique finlandais réputé, et dans la région se tient le célèbre rallye automobile des 1 000 lacs qui rassemblent 100 000 spectateurs. Surtout, à Tampere, se joue sur trois jours le traditionnel Delphin Basket Tournament, réservé aux juniors, garçons et filles, avec 270 équipes et 3 000 joueurs de sept pays. Un record. Cerise sur le gâteau pour les 7 282 privilégiés du Hakametsän Jäähali, deux matches de préparation entre Finlandais et Français en route pour leur EuroBasket respectif, celui des U16 –victoire des Bleus 67-51- et celui des adultes, qui est retransmis en direct sur TV1, la chaîne principale du pays.
L’enceinte a servi à l’EuroBasket de 1967, mais son atmosphère est 100% hockey-sur-glace et 100% américaine avec effluves de popcorn, échoppes, restaurants, bars, dont le Hemingway’s qui donne sur le terrain, loges à l’ancienne, photos encadrées de stars du hockey, et bannières des titres nationaux des deux équipes de la ville, les Tappara et les Ilves, toujours très actives en Hockey League.
D’ailleurs, le hockey-sur-glace est le sport national finlandais, même s’il n’y a que 100 000 licenciés contre 130 000 au football. « Pour les médias, c’est comme le football américain aux Etats-Unis. Le football est le numéro deux. Nous avons ensuite le ski de fond, le saut à ski, le hockey en salle et probablement le basket après ça », témoigne Mika Mäkelä, le directeur de l’équipe nationale finlandaise de basket-ball. Il y a une demi-douzaine d’années, un sondage a démontré que le basket n’était que le 28e sport préféré des Finlandais -il ne recense que 17 000 licenciés contre 660 000 en France, douze fois plus peuplée- mais il est passé récemment en 6e position quant à la popularité. Gloire à son équipe nationale !
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-6.jpg\")
A l’inverse de leurs voisins baltes, les Finlandais n’ont jamais appartenu aux VIP européens. Conseiller de presse auprès de l’ambassade à Paris, Marko Ruonala a potassé son dossier et en ancien pratiquant savoure le fait que les basketteurs furent les premiers de tous les sports de balle du pays à se qualifier pour les Jeux Olympiques ; c’était à Tokyo en 1964. « On a gagné au championnat d’Europe en 1977 contre la France et on a été ensuite absents du haut niveau pendant dix-huit ans », ajoute t-il.
L’homme de la reconstruction, la référence du basket finlandais, c’est Henrik Dettmann, aperçu sporadiquement à Dijon (NDLR: puis au début de la saison 2016-17 à Strasbourg) qui était déjà coach de l’équipe nationale il y a vingt-trois ans avant un intermède en Allemagne. « Il est revenu à la tête de l’équipe nationale en 2006 et c’est grâce à lui qu’il y a eu ce succès sportif », tranche Mika Mäkelä. Dettmann a mis en place une véritable stratégie en associant étroitement les juniors aux séniors. Une académie du basket liée à un lycée a été créée et c’est là-bas que professe Hanno Möttölä, véritable icône locale, sur lequel s’est appuyé longtemps sur le terrain le coach –ainsi que sur Teemu Rannikko- et qui était encore présent à 38 ans à la Coupe du Monde 2014 en Espagne. Avant le retour de Dettmann, la Finlande se morfondait en division B et à la 33e place du ranking européen.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-8-e1499086757593.jpg\")
Comme chez les Baltes, le shoot longue distance est le poison mortel des Finlandais. D’ailleurs les juniors se rendent annuellement en Lituanie pour un stage de dix jours et les séniors ont comme sparing-partners privilégiés les Lituaniens et… les Français.« Henrik Dettmann a établi un style de jeu commun pour l’ensemble des équipes nationales. C’est devenu plus facile ainsi d’intégrer des joueurs de l’équipe junior. Nous prenons beaucoup de risques en défense car nous sommes plus petits que tous les autres et nous shootons à trois points ! Nous avons pas mal de shooteurs et nous sommes capables de lancer des contre-attaques quand nous contrôlons le rebond », confirme Mika Mäkelä, qui se félicite que quatre joueurs à 2,10m figurent désormais dans le roster des juniors, ce qui est tout à fait exceptionnel car la Finlande ne possède pas le vivier de géants des Lituaniens.
L’équipe nationale bénéficie aussi de l’apport de plusieurs fils d’Américains installés en Finlande. C’est ainsi que Gerald Lee Sr, meilleur marqueur de tous les temps de la ligue nationale, a donné au pays son fils Gerald Lee Jr, un intérieur de 2,08m qui jouait la saison écoulée à Murcie. Shawn Huff, un arrière-ailier de 1,98m, est de la même origine puisque son père Leon Huff s’est marié avec une Finlandaise.
Les deux cas qui concernent de près la France sont ceux de Erik Murphy et Jamar Wilson. Erik Murphy est le fils de Jay qui a porté le maillot de l’ASVEL et du Paris Basket et c’est ainsi qu’il est né il y a presque vingt-cinq ans à Lyon. Sa mère aussi est finlandaise. Suivant l’exemple du paternel, Erik a disputé quelques matches en NBA, 24 aux Bulls en 2013-14 (NDLR: il était lors de la saison 2016-17 à Strasbourg et il a signé à Nanterre pour celle-ci). Jamar Wilson va lui jouer cette saison à Rouen (NDLR: il est depuis au Partizan Belgrade). Il a obtenu le passeport finlandais après s’est marié avec une fille du pays, eut un enfant, et il a passé avec succès le test de langue finnoise, ce qui n’est pas une sinécure. Avant de l’intégrer, il s’entraînait avec l’équipe nationale chaque été depuis cinq ans. « C’était la première fois ce soir que je portais le maillot de la Finlande. C’était une incroyable expérience. J’étais super excité d’entendre l’hymne national. C’était fou, un moment spécial », disait-il sincèrement ému après la victoire sur les Français.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-1-e1499086214239.jpg\")
La Finlande a cumulé les exploits, battant en préparation ou en compétition, France (en 2009, en qualification pour le championnat d’Europe), Italie, Israël, et encore Serbie. Du 33e rang européen, elle a grimpé au 8e. Lorsque la meute de loups a vaincu la Serbie, en 2008, c’était devant un peu plus d’un millier de spectateurs et les journaux s’étaient contentés d’articles faméliques. C’est la participation à l’Euro 2011 qui a servi de détonateur. Un millier de supporters a fait le déplacement en Lituanie où la Finlande s’est qualifiée pour le deuxième tour. Le meilleur était à venir deux ans plus tard en Slovénie. Placés dans un groupe mortel, les Finlandais ont décapité la Suède –ce qui était attendu-, la Turquie, la Grèce et la Russie après deux prolongations –ce qui l’était beaucoup moins-, n’achoppant que face à la seule Italie. « Et là, les médias sont devenus fous », sourit Mika Mäkelä. « Ils ont écris que nous étions des tueurs de géants ». Ce n’est qu’au point-average particulier défavorable vis à vis de l’Espagne que la Finlande fut interdite de quarts de finale.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-12-e1499086671709.jpg\")
La Fédération Internationale avait jeté un pavé dans la mare en accordant quatre wild cards (invitations) pour la Coupe du Monde 2014, surtout que parmi les bienheureux figuraient la Finlande au détriment de la Russie, de la Chine, de l’Italie ou encore de l’Allemagne. Trois raisons à cela. L’une peu avouable : Rovio est une entreprise finlandaise de développement de jeux vidéo qui a créé Angry Birds lequel a connu un succès universel, et c’est un partenaire de la FIBA. Deuxio, les résultats sportifs en hausse de l’équipe nationale, et tertio sa capacité à rameuter un nombre considérable de fans en déplacement. Et là, personne n’a été déçu. Les Finlandais ont battu un record d’Europe en convoyant près de 10 000 fans à Bilbao, réservant plus de 40 avions, sans compter les voyages individuels. « Il y avait beaucoup de famille, de femmes, de petits enfants. C’était surprenant. Jamais autant de supporters finlandais ne sont allés à l’étranger pour un événement sportif sauf pour la formule 1 où il y a eu 25-30 000 Finlandais en Hongrie mais c’était essentiellement des hommes », confirme Mika Mäkelä.
Les fans finlandais ont beaucoup apprécié la… déroute face à l’équipe américaine (55-114). « Je n’oublierai jamais l’atmosphère lorsque nous avons pénétré sur le parquet pour la première fois. J’en ai encore des frissons en y pensant. Les fans étaient incroyables. Même quand nous étions menés de quarante points, ils nous encourageaient. C’était un honneur de jouer contre l’équipe américaine », résume l’ailier international Tuukka Kotti. « Il y a davantage d’intérêt pour le basket aujourd’hui. Les gens comprennent aussi mieux le jeu. Après l’EuroBasket 2013, des fans me reconnaissaient et me disaient bonjour dans la rue. Cela n’arrivait jamais avant en Finlande. »
Au-delà de ce match de gala face aux Etats-Unis, le peuple finlandais a pu constater que les Susijengi avaient acquis un véritable statut international. La qualification pour le deuxième tour s’est jouée à un rien. Menés à un moment de vingt-deux points par la Nouvell-Zélande, les Finlandais sont revenus à deux unités à quatre seconde du buzzer. Le meneur étoilé Petteri Koponen a tenté un panier au buzzer mais la pression des Tall Blacks était trop intense pour qu’il réussisse dans son entreprise.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-4-e1499086297607.jpg\")
Les joyeux supporters finlandais vont venir en masse à Montpellier et seront eux-mêmes des attractions de cet EuroBasket. Un regret : ils n’ont obtenu que 3 200 billets pour le match d’ouverture contre la France du fait que la Park&Suite Arena ne peut recevoir qu’une dizaine de milliers de spectateurs et qu’il faut privilégier les fans français. La métropole montpelliéraine tient à les recevoir avec soin. Des indications en finnois seront portées sur des documents et sur les vitrines des magasins arborant le macaron de l’EuroBasket. Une course camarguaise sera organisée sur la commune de Baillargues afin de faire découvrir une tradition locale.
Pour encourager leurs supporters à venir en famille, et alors que la rentrée scolaire au pays se fait à la mi-août, la fédération finlandaise va mettre sur pied, à la Maison des Relations Internationales de Montpellier, du 7 au 10 septembre, une sorte d’école itinérante intitulée Pikkusudet-koulu, soit l’école des petits loups. Vingt à trente enfants y seront conviés gratuitement dans une classe mixte et bénéficieront des cours d’une enseignante finlandaise. Une initiative totalement inédite.
Par contre, Mika Mäkelä n’est pas très optimiste quant à la possibilité de voir ces fans suivre leurs héros à Lille en cas de qualification aux huitièmes de finale. « Suivant l’exemple de ce qui s’est passé en Lituanie et Slovénie, il n’y en aura que quelques centaines. Les gens réservent uniquement une semaine de vacances et après retournent au travail. » Dommage car leurs joueurs ont toutes les chances de rallier le stade Pierre-Mauroy et le top 16 européen.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/photo-7.jpg\")
[armelse]
Article paru dans BasketHebdo en 2015.
Plus une chambre de disponible en ville. Vingt-quatre mille personnes assistent dans le stade de foot au concert de Nightwish, un groupe de métal symphonique finlandais réputé, et dans la région se tient le célèbre rallye automobile des 1 000 lacs qui rassemblent 100 000 spectateurs. Surtout, à Tampere, se joue sur trois jours le traditionnel Delphin Basket Tournament, réservé aux juniors, garçons et filles, avec 270 équipes et 3 000 joueurs de sept pays. Un record. Cerise sur le gâteau pour les 7 282 privilégiés du Hakametsän Jäähali, deux matches de préparation entre Finlandais et Français en route pour leur EuroBasket respectif, celui des U16 –victoire des Bleus 67-51- et celui des adultes, qui est retransmis en direct sur TV1, la chaîne principale du pays.
L’enceinte a servi à l’EuroBasket de 1967, mais son atmosphère est 100% hockey-sur-glace et 100% américaine avec effluves de popcorn, échoppes, restaurants, bars, dont le Hemingway’s qui donne sur le terrain, loges à l’ancienne, photos encadrées de stars du hockey, et bannières des titres nationaux des deux équipes de la ville, les Tappara et les Ilves, toujours très actives en Hockey League.
D’ailleurs, le hockey-sur-glace est le sport national finlandais, même s’il n’y a que 100 000 licenciés contre 130 000 au football. « Pour les médias, c’est comme le football américain aux Etats-Unis. Le football est le numéro deux. Nous avons ensuite le ski de fond, le saut à ski, le hockey en salle et probablement le basket après ça », témoigne Mika Mäkelä, le directeur de l’équipe nationale finlandaise de basket-ball. Il y a une demi-douzaine d’années, un sondage a démontré que le basket n’était que le 28e sport préféré des Finlandais -il ne recense que 17 000 licenciés contre 660 000 en France, douze fois plus peuplée- mais il est passé récemment en 6e position quant à la popularité. Gloire à son équipe nationale !
A l’inverse de leurs voisins baltes, les Finlandais n’ont jamais appartenu aux VIP européens. Conseiller de presse auprès de l’ambassade à Paris, Marko Ruonala a potassé son dossier et en ancien pratiquant savoure le fait que les basketteurs furent les premiers de tous les sports de balle du pays à se qualifier pour les Jeux Olympiques ; c’était à Tokyo en 1964. « On a gagné au championnat d’Europe en 1977 contre la France et on a été ensuite absents du haut niveau pendant dix-huit ans », ajoute t-il.
L’homme de la reconstruction, la référence du basket finlandais, c’est Henrik Dettmann, aperçu sporadiquement à Dijon (NDLR: puis au début de la saison 2016-17 à Strasbourg) qui était déjà coach de l’équipe nationale il y a vingt-trois ans avant un intermède en Allemagne. « Il est revenu à la tête de l’équipe nationale en 2006 et c’est grâce à lui qu’il y a eu ce succès sportif », tranche Mika Mäkelä. Dettmann a mis en place une véritable stratégie en associant étroitement les juniors aux séniors. Une académie du basket liée à un lycée a été créée et c’est là-bas que professe Hanno Möttölä, véritable icône locale, sur lequel s’est appuyé longtemps sur le terrain le coach –ainsi que sur Teemu Rannikko- et qui était encore présent à 38 ans à la Coupe du Monde 2014 en Espagne. Avant le retour de Dettmann, la Finlande se morfondait en division B et à la 33e place du ranking européen.
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Surtout, à Tampere, se joue sur trois jours le traditionnel Delphin Basket Tournament, réservé aux juniors, garçons et filles, avec 270 équipes et 3 000 joueurs de sept pays. Un record. Cerise sur le gâteau pour les 7 282 privilégiés du Hakametsän Jäähali, deux matches de préparation entre Finlandais et Français en route pour leur EuroBasket respectif, celui des U16 –victoire des Bleus 67-51- et celui des adultes, qui est retransmis en direct sur TV1, la chaîne principale du pays.\n\nL’enceinte a servi à l’EuroBasket de 1967, mais son atmosphère est 100% hockey-sur-glace et 100% américaine avec effluves de popcorn, échoppes, restaurants, bars, dont le Hemingway’s qui donne sur le terrain, loges à l’ancienne, photos encadrées de stars du hockey, et bannières des titres nationaux des deux équipes de la ville, les Tappara et les Ilves, toujours très actives en Hockey League.\n\nD’ailleurs, le hockey-sur-glace est le sport national finlandais, même s’il n’y a que 100 000 licenciés contre 130 000 au football. « Pour les médias, c’est comme le football américain aux Etats-Unis. Le football est le numéro deux. Nous avons ensuite le ski de fond, le saut à ski, le hockey en salle et probablement le basket après ça », témoigne Mika Mäkelä, le directeur de l’équipe nationale finlandaise de basket-ball. Il y a une demi-douzaine d’années, un sondage a démontré que le basket n’était que le 28e sport préféré des Finlandais -il ne recense que 17 000 licenciés contre 660 000 en France, douze fois plus peuplée- mais il est passé récemment en 6e position quant à la popularité. Gloire à son équipe nationale !\n\n\nLe plan de Henrik Dettmann\n\nA l’inverse de leurs voisins baltes, les Finlandais n’ont jamais appartenu aux VIP européens. Conseiller de presse auprès de l’ambassade à Paris, Marko Ruonala a potassé son dossier et en ancien pratiquant savoure le fait que les basketteurs furent les premiers de tous les sports de balle du pays à se qualifier pour les Jeux Olympiques ; c’était à Tokyo en 1964. « On a gagné au championnat d’Europe en 1977 contre la France et on a été ensuite absents du haut niveau pendant dix-huit ans », ajoute t-il.\n\nL’homme de la reconstruction, la référence du basket finlandais, c’est Henrik Dettmann, aperçu sporadiquement à Dijon (NDLR: puis au début de la saison 2016-17 à Strasbourg) qui était déjà coach de l’équipe nationale il y a vingt-trois ans avant un intermède en Allemagne. « Il est revenu à la tête de l’équipe nationale en 2006 et c’est grâce à lui qu’il y a eu ce succès sportif », tranche Mika Mäkelä. Dettmann a mis en place une véritable stratégie en associant étroitement les juniors aux séniors. Une académie du basket liée à un lycée a été créée et c’est là-bas que professe Hanno Möttölä, véritable icône locale, sur lequel s’est appuyé longtemps sur le terrain le coach –ainsi que sur Teemu Rannikko- et qui était encore présent à 38 ans à la Coupe du Monde 2014 en Espagne. Avant le retour de Dettmann, la Finlande se morfondait en division B et à la 33e place du ranking européen.\n\nComme chez les Baltes, le shoot longue distance est le poison mortel des Finlandais. D’ailleurs les juniors se rendent annuellement en Lituanie pour un stage de dix jours et les séniors ont comme sparing-partners privilégiés les Lituaniens et… les Français.« Henrik Dettmann a établi un style de jeu commun pour l’ensemble des équipes nationales. C’est devenu plus facile ainsi d’intégrer des joueurs de l’équipe junior. Nous prenons beaucoup de risques en défense car nous sommes plus petits que tous les autres et nous shootons à trois points ! Nous avons pas mal de shooteurs et nous sommes capables de lancer des contre-attaques quand nous contrôlons le rebond », confirme Mika Mäkelä, qui se félicite que quatre joueurs à 2,10m figurent désormais dans le roster des juniors, ce qui est tout à fait exceptionnel car la Finlande ne possède pas le vivier de géants des Lituaniens.\n\nL’équipe nationale bénéficie aussi de l’apport de plusieurs fils d’Américains installés en Finlande. C’est ainsi que Gerald Lee Sr, meilleur marqueur de tous les temps de la ligue nationale, a donné au pays son fils Gerald Lee Jr, un intérieur de 2,08m qui jouait la saison écoulée à Murcie. Shawn Huff, un arrière-ailier de 1,98m, est de la même origine puisque son père Leon Huff s’est marié avec une Finlandaise.\n\nLes deux cas qui concernent de près la France sont ceux de Erik Murphy et Jamar Wilson. Erik Murphy est le fils de Jay qui a porté le maillot de l’ASVEL et du Paris Basket et c’est ainsi qu’il est né il y a presque vingt-cinq ans à Lyon. Sa mère aussi est finlandaise. Suivant l’exemple du paternel, Erik a disputé quelques matches en NBA, 24 aux Bulls en 2013-14 (NDLR: il était lors de la saison 2016-17 à Strasbourg et il a signé à Nanterre pour celle-ci). Jamar Wilson va lui jouer cette saison à Rouen (NDLR: il est depuis au Partizan Belgrade). Il a obtenu le passeport finlandais après s’est marié avec une fille du pays, eut un enfant, et il a passé avec succès le test de langue finnoise, ce qui n’est pas une sinécure. Avant de l’intégrer, il s’entraînait avec l’équipe nationale chaque été depuis cinq ans. « C’était la première fois ce soir que je portais le maillot de la Finlande. C’était une incroyable expérience. J’étais super excité d’entendre l’hymne national. C’était fou, un moment spécial », disait-il sincèrement ému après la victoire sur les Français.\n\n\nUn phénomène est né\n\nLa Finlande a cumulé les exploits, battant en préparation ou en compétition, France (en 2009, en qualification pour le championnat d’Europe), Italie, Israël, et encore Serbie. Du 33e rang européen, elle a grimpé au 8e. Lorsque la meute de loups a vaincu la Serbie, en 2008, c’était devant un peu plus d’un millier de spectateurs et les journaux s’étaient contentés d’articles faméliques. C’est la participation à l’Euro 2011 qui a servi de détonateur. Un millier de supporters a fait le déplacement en Lituanie où la Finlande s’est qualifiée pour le deuxième tour. Le meilleur était à venir deux ans plus tard en Slovénie. Placés dans un groupe mortel, les Finlandais ont décapité la Suède –ce qui était attendu-, la Turquie, la Grèce et la Russie après deux prolongations –ce qui l’était beaucoup moins-, n’achoppant que face à la seule Italie. « Et là, les médias sont devenus fous », sourit Mika Mäkelä. « Ils ont écris que nous étions des tueurs de géants ». Ce n’est qu’au point-average particulier défavorable vis à vis de l’Espagne que la Finlande fut interdite de quarts de finale.\n\nLa Fédération Internationale avait jeté un pavé dans la mare en accordant quatre wild cards (invitations) pour la Coupe du Monde 2014, surtout que parmi les bienheureux figuraient la Finlande au détriment de la Russie, de la Chine, de l’Italie ou encore de l’Allemagne. Trois raisons à cela. L’une peu avouable : Rovio est une entreprise finlandaise de développement de jeux vidéo qui a créé Angry Birds lequel a connu un succès universel, et c’est un partenaire de la FIBA. Deuxio, les résultats sportifs en hausse de l’équipe nationale, et tertio sa capacité à rameuter un nombre considérable de fans en déplacement. Et là, personne n’a été déçu. Les Finlandais ont battu un record d’Europe en convoyant près de 10 000 fans à Bilbao, réservant plus de 40 avions, sans compter les voyages individuels. « Il y avait beaucoup de famille, de femmes, de petits enfants. C’était surprenant. Jamais autant de supporters finlandais ne sont allés à l’étranger pour un événement sportif sauf pour la formule 1 où il y a eu 25-30 000 Finlandais en Hongrie mais c’était essentiellement des hommes », confirme Mika Mäkelä.\n\nLes fans finlandais ont beaucoup apprécié la… déroute face à l’équipe américaine (55-114). « Je n’oublierai jamais l’atmosphère lorsque nous avons pénétré sur le parquet pour la première fois. J’en ai encore des frissons en y pensant. Les fans étaient incroyables. Même quand nous étions menés de quarante points, ils nous encourageaient. C’était un honneur de jouer contre l’équipe américaine », résume l’ailier international Tuukka Kotti. « Il y a davantage d’intérêt pour le basket aujourd’hui. Les gens comprennent aussi mieux le jeu. Après l’EuroBasket 2013, des fans me reconnaissaient et me disaient bonjour dans la rue. Cela n’arrivait jamais avant en Finlande. »\n\nAu-delà de ce match de gala face aux Etats-Unis, le peuple finlandais a pu constater que les Susijengi avaient acquis un véritable statut international. La qualification pour le deuxième tour s’est jouée à un rien. Menés à un moment de vingt-deux points par la Nouvell-Zélande, les Finlandais sont revenus à deux unités à quatre seconde du buzzer. Le meneur étoilé Petteri Koponen a tenté un panier au buzzer mais la pression des Tall Blacks était trop intense pour qu’il réussisse dans son entreprise.\n\n\nBienvenue à Montpellier !\n\nLes joyeux supporters finlandais vont venir en masse à Montpellier et seront eux-mêmes des attractions de cet EuroBasket. Un regret : ils n’ont obtenu que 3 200 billets pour le match d’ouverture contre la France du fait que la Park&Suite Arena ne peut recevoir qu’une dizaine de milliers de spectateurs et qu’il faut privilégier les fans français. La métropole montpelliéraine tient à les recevoir avec soin. Des indications en finnois seront portées sur des documents et sur les vitrines des magasins arborant le macaron de l’EuroBasket. Une course camarguaise sera organisée sur la commune de Baillargues afin de faire découvrir une tradition locale.\n\nPour encourager leurs supporters à venir en famille, et alors que la rentrée scolaire au pays se fait à la mi-août, la fédération finlandaise va mettre sur pied, à la Maison des Relations Internationales de Montpellier, du 7 au 10 septembre, une sorte d’école itinérante intitulée Pikkusudet-koulu, soit l’école des petits loups. Vingt à trente enfants y seront conviés gratuitement dans une classe mixte et bénéficieront des cours d’une enseignante finlandaise. Une initiative totalement inédite.\n\nPar contre, Mika Mäkelä n’est pas très optimiste quant à la possibilité de voir ces fans suivre leurs héros à Lille en cas de qualification aux huitièmes de finale. « Suivant l’exemple de ce qui s’est passé en Lituanie et Slovénie, il n’y en aura que quelques centaines. Les gens réservent uniquement une semaine de vacances et après retournent au travail. » Dommage car leurs joueurs ont toutes les chances de rallier le stade Pierre-Mauroy et le top 16 européen.\n\n[armelse]\n\nArticle paru dans BasketHebdo en 2015.\n\nPlus une chambre de disponible en ville. Vingt-quatre mille personnes assistent dans le stade de foot au concert de Nightwish, un groupe de métal symphonique finlandais réputé, et dans la région se tient le célèbre rallye automobile des 1 000 lacs qui rassemblent 100 000 spectateurs. Surtout, à Tampere, se joue sur trois jours le traditionnel Delphin Basket Tournament, réservé aux juniors, garçons et filles, avec 270 équipes et 3 000 joueurs de sept pays. Un record. Cerise sur le gâteau pour les 7 282 privilégiés du Hakametsän Jäähali, deux matches de préparation entre Finlandais et Français en route pour leur EuroBasket respectif, celui des U16 –victoire des Bleus 67-51- et celui des adultes, qui est retransmis en direct sur TV1, la chaîne principale du pays.\n\nL’enceinte a servi à l’EuroBasket de 1967, mais son atmosphère est 100% hockey-sur-glace et 100% américaine avec effluves de popcorn, échoppes, restaurants, bars, dont le Hemingway’s qui donne sur le terrain, loges à l’ancienne, photos encadrées de stars du hockey, et bannières des titres nationaux des deux équipes de la ville, les Tappara et les Ilves, toujours très actives en Hockey League.\n\nD’ailleurs, le hockey-sur-glace est le sport national finlandais, même s’il n’y a que 100 000 licenciés contre 130 000 au football. « Pour les médias, c’est comme le football américain aux Etats-Unis. Le football est le numéro deux. Nous avons ensuite le ski de fond, le saut à ski, le hockey en salle et probablement le basket après ça », témoigne Mika Mäkelä, le directeur de l’équipe nationale finlandaise de basket-ball. Il y a une demi-douzaine d’années, un sondage a démontré que le basket n’était que le 28e sport préféré des Finlandais -il ne recense que 17 000 licenciés contre 660 000 en France, douze fois plus peuplée- mais il est passé récemment en 6e position quant à la popularité. Gloire à son équipe nationale !\n\n\nLe plan de Henrik Dettmann\n\nA l’inverse de leurs voisins baltes, les Finlandais n’ont jamais appartenu aux VIP européens. Conseiller de presse auprès de l’ambassade à Paris, Marko Ruonala a potassé son dossier et en ancien pratiquant savoure le fait que les basketteurs furent les premiers de tous les sports de balle du pays à se qualifier pour les Jeux Olympiques ; c’était à Tokyo en 1964. « On a gagné au championnat d’Europe en 1977 contre la France et on a été ensuite absents du haut niveau pendant dix-huit ans », ajoute t-il.\n\nL’homme de la reconstruction, la référence du basket finlandais, c’est Henrik Dettmann, aperçu sporadiquement à Dijon (NDLR: puis au début de la saison 2016-17 à Strasbourg) qui était déjà coach de l’équipe nationale il y a vingt-trois ans avant un intermède en Allemagne. « Il est revenu à la tête de l’équipe nationale en 2006 et c’est grâce à lui qu’il y a eu ce succès sportif », tranche Mika Mäkelä. Dettmann a mis en place une véritable stratégie en associant étroitement les juniors aux séniors. Une académie du basket liée à un lycée a été créée et c’est là-bas que professe Hanno Möttölä, véritable icône locale, sur lequel s’est appuyé longtemps sur le terrain le coach –ainsi que sur Teemu Rannikko- et qui était encore présent à 38 ans à la Coupe du Monde 2014 en Espagne. Avant le retour de Dettmann, la Finlande se morfondait en division B et à la 33e place du ranking européen.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-22T06:22:25.000Z", "updated_at":"2017-08-31T14:54:52.000Z", "published_at":"2017-08-22T06:22:25.000Z", "custom_excerpt":"L’équipe de France disputera la première phase de l’EuroBasket 2017 en Finlande. 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Après deux saisons à Monaco, Jamal Shuler fait son retour à Nanterre 92 (1,91m, 31 ans) cette saison.
Véritable figure du championnat de France (165 matchs de Pro A), Jamal Shuler va retrouver un club dans lequel il s’était particulièrement plu lors de son premier passage en 2014-2015. Cette saison là à Nanterre, il avait remporté le Match des Champions en début d’exercice, mais surtout l’Eurochallenge dont il avait même été nommé MVP du Final 4.
Parti ensuite à Monaco, il réalise d’abord une excellente première saison individuelle avant de vivre une deuxième année plus compliquée marquée par des petites blessures. Il y remporte néanmoins la Leaders Cup à deux reprises.
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Photo : BCL
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Au Besiktas cette saison aux côtés de l’ancien Palois Michael Thompson et de l’ancien Strasbourgeois Kyle Weems, Vladimir Stimac aurait donné son accord pour rejoindre l’Andalou Efes pour deux saisons dont une en option.
Selon Eurohoops, le deal devrait être officialisé dans les prochains jours tandis que David Pick rajoute que le montant de son contrat serait de 550 000$. Passé par Kaunas, l’Etoile Rouge, Malaga ou encore Munich, le natif de Belgrade retrouvera l’Euroleague à la rentrée après avoir passé une saison au sein de la nouvelle Champions League de la FIBA. Actuellement avec sa sélection, le champion de Ligue Adriatique en 2016 avec la Crvena Zvezda fait partie des éléments forts de l’équipe serbe en témoignent ses 20 points inscrits face à l’Allemagne dimanche.
Avec le Besiktas, Vladimir Stimac sort d’une saison très réussie monnayant 14,3 points et 9,6 rebonds championnat et 13,3 points et 9,5 rebonds pour une évaluation de 19,9 en BCL.
Photo : BCL
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Photo : FIBA
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Dernier joueur ayant annoncé son forfait pour l’Eurobasket, Milos Teodosic ajoute son nom à une liste déjà bien garnie. Du côté serbe, Nikola Jokic, Nikola Milutinov, Miroslav Raduljica et Marko Simonovic ont également renoncé à la compétition.
Sur Facebook, l’ancien joueur du CSKA Moscou, qui n’a pas manqué une échéance avec sa sélection depuis ses débuts internationaux en 2007, s’est exprimé pour justifier son forfait.
« C’était une décision très difficile à prendre après toutes ces années passées sous le maillot de la Serbie. Après avoir consulté un médecin des Los Angeles Clippers et le sélectionneur Sasha Djordjevic, je me suis rendu compte que je n’allais pas être capable d’aider mes coéquipiers, même si mon désir d’être présent est toujours grand. Ma blessure au mollet est plus sérieuse que je le pensais. Je croyais pouvoir jouer même si le pronostic du médecin était différent.
Aujourd’hui, le plus important c’est de soutenir les gars qui vont se rendre à Istanbul et que les gens ne parlent que d’eux. Pas de nous, les blessés. L’atmosphère est excellente, la qualité est toujours là et il n’y a aucune raison de ne pas leur apporter votre soutien, qu’ils justifieront certainement. »
\nEuro 2017, l’équipe des absents :
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-Teodosic, Llull
-Fernandez, Batum, Antetokounmpo, Gallinari
-Mirotic, Ibaka, Jokic, Gobert
Snif…— Yann Casseville (@Kasvilovic) 20 août 2017
Photo : FIBA
", "comment_id":"406474", "plaintext":"Dernier joueur ayant annoncé son forfait pour l’Eurobasket, Milos Teodosic ajoute son nom à une liste déjà bien garnie. Du côté serbe, Nikola Jokic, Nikola Milutinov, Miroslav Raduljica et Marko Simonovic ont également renoncé à la compétition.\n\nSur Facebook, l’ancien joueur du CSKA Moscou, qui n’a pas manqué une échéance avec sa sélection depuis ses débuts internationaux en 2007, s’est exprimé pour justifier son forfait.\n\n« C’était une décision très difficile à prendre après toutes ces années passées sous le maillot de la Serbie. Après avoir consulté un médecin des Los Angeles Clippers et le sélectionneur Sasha Djordjevic, je me suis rendu compte que je n’allais pas être capable d’aider mes coéquipiers, même si mon désir d’être présent est toujours grand. Ma blessure au mollet est plus sérieuse que je le pensais. Je croyais pouvoir jouer même si le pronostic du médecin était différent.\n\nAujourd’hui, le plus important c’est de soutenir les gars qui vont se rendre à Istanbul et que les gens ne parlent que d’eux. Pas de nous, les blessés. L’atmosphère est excellente, la qualité est toujours là et il n’y a aucune raison de ne pas leur apporter votre soutien, qu’ils justifieront certainement. »\n\n\n\n\nEuro 2017, l’équipe des absents :\n-Teodosic, Llull\n-Fernandez, Batum, Antetokounmpo, Gallinari\n-Mirotic, Ibaka, Jokic, Gobert\nSnif…\n\n\n— Yann Casseville (@Kasvilovic) 20 août 2017\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-21T16:38:34.000Z", "updated_at":"2017-08-21T16:38:34.000Z", "published_at":"2017-08-21T16:38:34.000Z", "custom_excerpt":"Dernier joueur ayant annoncé son forfait pour l’Eurobasket, Milos Teodosic ajoute son nom à une liste déjà bien garnie. Du côté serbe, Nikola Jokic, Nikola Milutinov, Miroslav Raduljica et Marko Simonovic ont également renoncé à la compétition.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd46", "uuid":"961e06fd-e640-4815-8565-2c98912e99bb", "title":"Nobel Boungou-colo à Séville, 9e Français en Espagne", "slug":"nobel-boungou-colo-a-seville-9e-francais-en-espagne", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/nobel-boungou-colo.jpg\",\"width\":640,\"height\":320}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/nobel-boungou-colo-a-lessai-au-bayern-munich/\",\"rel\",\"noopener noreferrer\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Nobel Boungou-colo (2,02m, 29 ans) vient de s’engager pour une saison en faveur du Betis Séville.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’ancien Limougeaud avait été laissé libre par son dernier employeur, le Khimki Moscou avec lequel il a tourné à 9,3 points avec un excellent 58,5% de réussite et 3,2 rebonds en Eurocup.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En fin de semaine dernière, il se voyait offrir la possibilité d’\"],[0,[1],1,\"effectuer la pré-saison du Bayern Munich\"],[0,[],0,\", mais NBC a préféré ne pas rejoindre la Bavière et s’est engagé avec le Betis Séville. Il ne sera d’ailleurs pas le seul Français à Séville puisque le jeune Anthony da Silva, récent champion d’Europe U16, va intégrer le groupe professionnel du club andalou.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En signant à Séville, Nobel Boungou-colo chute dans la hiérarchie européenne puisque le Betis a terminé 16e du dernier championnat espagnol avec 9 victoires et 23 défaites et a été repêché. Le club est en première division sans discontinuer depuis 1989.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le natif de Brazzaville rejoint un important contingent de joueurs français en Liga Endesa : Antoine Diot (Valence), Thomas Heurtel, Adrien Moerman et Kevin Séraphin (Barcelone), Fabien Causeur (Real Madrid), Vincent Poirier et Rodrigue Beaubois (Vitoria) et Andrew Abicy (Andorre). Sans donc prendre en compte le fils de Philippe da Silva, Anthony.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/nobel-boungou-colo.jpg\")
Nobel Boungou-colo (2,02m, 29 ans) vient de s’engager pour une saison en faveur du Betis Séville.
L’ancien Limougeaud avait été laissé libre par son dernier employeur, le Khimki Moscou avec lequel il a tourné à 9,3 points avec un excellent 58,5% de réussite et 3,2 rebonds en Eurocup.
En fin de semaine dernière, il se voyait offrir la possibilité d’effectuer la pré-saison du Bayern Munich, mais NBC a préféré ne pas rejoindre la Bavière et s’est engagé avec le Betis Séville. Il ne sera d’ailleurs pas le seul Français à Séville puisque le jeune Anthony da Silva, récent champion d’Europe U16, va intégrer le groupe professionnel du club andalou.
En signant à Séville, Nobel Boungou-colo chute dans la hiérarchie européenne puisque le Betis a terminé 16e du dernier championnat espagnol avec 9 victoires et 23 défaites et a été repêché. Le club est en première division sans discontinuer depuis 1989.
Le natif de Brazzaville rejoint un important contingent de joueurs français en Liga Endesa : Antoine Diot (Valence), Thomas Heurtel, Adrien Moerman et Kevin Séraphin (Barcelone), Fabien Causeur (Real Madrid), Vincent Poirier et Rodrigue Beaubois (Vitoria) et Andrew Abicy (Andorre). Sans donc prendre en compte le fils de Philippe da Silva, Anthony.
", "comment_id":"406461", "plaintext":"Nobel Boungou-colo (2,02m, 29 ans) vient de s’engager pour une saison en faveur du Betis Séville.\n\nL’ancien Limougeaud avait été laissé libre par son dernier employeur, le Khimki Moscou avec lequel il a tourné à 9,3 points avec un excellent 58,5% de réussite et 3,2 rebonds en Eurocup.\n\nEn fin de semaine dernière, il se voyait offrir la possibilité d’effectuer la pré-saison du Bayern Munich, mais NBC a préféré ne pas rejoindre la Bavière et s’est engagé avec le Betis Séville. Il ne sera d’ailleurs pas le seul Français à Séville puisque le jeune Anthony da Silva, récent champion d’Europe U16, va intégrer le groupe professionnel du club andalou.\n\nEn signant à Séville, Nobel Boungou-colo chute dans la hiérarchie européenne puisque le Betis a terminé 16e du dernier championnat espagnol avec 9 victoires et 23 défaites et a été repêché. Le club est en première division sans discontinuer depuis 1989.\n\nLe natif de Brazzaville rejoint un important contingent de joueurs français en Liga Endesa : Antoine Diot (Valence), Thomas Heurtel, Adrien Moerman et Kevin Séraphin (Barcelone), Fabien Causeur (Real Madrid), Vincent Poirier et Rodrigue Beaubois (Vitoria) et Andrew Abicy (Andorre). Sans donc prendre en compte le fils de Philippe da Silva, Anthony.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-21T16:03:34.000Z", "updated_at":"2017-08-21T16:09:19.000Z", "published_at":"2017-08-21T16:03:34.000Z", "custom_excerpt":"Nobel Boungou-colo (2,02m, 29 ans) vient de s’engager pour une saison en faveur du Betis Séville.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd47", "uuid":"f85d766b-de7b-4d4a-9339-0e17b9b9f531", "title":"Ligue Féminine: Le programme de tous les matches amicaux", "slug":"ligue-feminine-le-programme-de-tous-les-matches-amicaux", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/lfb.png\",\"width\":500,\"height\":217}],[\"html\",{\"html\":\"| \\n | \\n | \\n | \\n | \\n | \\n |
| Pré-Open de l’Aube – JustOneLife Procup (St-Julien-les-Villas) | \\n|||||
| 22/09 | \\n18h00 | \\nLattes Montpellier | \\nNantes Rezé | \\nGymnase F. Ganne | \\n\\n |
| \\n | 21h00 | \\nBourges | \\nTarbes | \\nGymnase F. Ganne | \\n\\n |
| 23/09 | \\n18h00 | \\nMatch pour la 3ème place | \\nGymnase F. Ganne | \\n\\n | |
| \\n | 21h00 | \\nFinale | \\nGymnase F. Ganne | \\n\\n | |
| \\n | \\n | \\n | \\n | \\n | \\n |
| Pré-Open d’Indre-et-Loire – U Express Tours Europe (Tours) | \\n|||||
| 23/09 | \\n17h30 | \\nMondeville | \\nNice | \\nHalle Monconseil | \\n\\n |
| \\n | 20h00 | \\nVilleneuve d’Ascq | \\nRoche Vendée | \\nHalle Monconseil | \\n\\n |
| 24/09 | \\n14h00 | \\nMatch pour la 3ème place | \\nHalle Monconseil | \\n\\n | |
| \\n | 16h30 | \\nFinale | \\nHalle Monconseil | \\n\\n | |
| \\n | \\n | \\n | \\n | \\n | \\n |
| Pré-Open d’Aquitaine (Boé) | \\n|||||
| 23/09 | \\n19h00 | \\nASVEL Lyon | \\nHainaut Basket | \\nCO J. Clouché | \\n\\n |
| \\n | 21h00 | \\nBasket Landes | \\nCharleville-Mézières | \\nCO J. Clouché | \\n\\n |
| 24/09 | \\n11h15 | \\nMatch pour la 3ème place | \\nCO J. Clouché | \\n\\n | |
| \\n | 16h00 | \\nFinale | \\nCO J. Clouché | \\n
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/lfb.png\")
La Ligue Féminine a publié l’ensemble des matches de préparation de la saison 2017-18. Voir ici.
Les trois coups seront donnés le 31 août avec le remake de la finale des playoffs 2017 entre Lattes-Montpellier et Villeneuve d’Ascq, à Voiron.
Cette saison, en amont du traditionnel Open de Paris, se tiendra un Pré-Open sur trois sites qui concernera les 12 clubs de la Ligue.
| \n | \n | \n | \n | \n | \n |
| Pré-Open de l’Aube – JustOneLife Procup (St-Julien-les-Villas) | \n|||||
| 22/09 | \n18h00 | \nLattes Montpellier | \nNantes Rezé | \nGymnase F. Ganne | \n\n |
| \n | 21h00 | \nBourges | \nTarbes | \nGymnase F. Ganne | \n\n |
| 23/09 | \n18h00 | \nMatch pour la 3ème place | \nGymnase F. Ganne | \n\n | |
| \n | 21h00 | \nFinale | \nGymnase F. Ganne | \n\n | |
| \n | \n | \n | \n | \n | \n |
| Pré-Open d’Indre-et-Loire – U Express Tours Europe (Tours) | \n|||||
| 23/09 | \n17h30 | \nMondeville | \nNice | \nHalle Monconseil | \n\n |
| \n | 20h00 | \nVilleneuve d’Ascq | \nRoche Vendée | \nHalle Monconseil | \n\n |
| 24/09 | \n14h00 | \nMatch pour la 3ème place | \nHalle Monconseil | \n\n | |
| \n | 16h30 | \nFinale | \nHalle Monconseil | \n\n | |
| \n | \n | \n | \n | \n | \n |
| Pré-Open d’Aquitaine (Boé) | \n|||||
| 23/09 | \n19h00 | \nASVEL Lyon | \nHainaut Basket | \nCO J. Clouché | \n\n |
| \n | 21h00 | \nBasket Landes | \nCharleville-Mézières | \nCO J. Clouché | \n\n |
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\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) August 21, 2017
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/deividas-gailius.jpg\")
L’arrière-ailier lituanien Deividas Gailius (2,01m, 29 ans) ne participera pas à l’EuroBasket, non pas suite à une blessure ou la pression de son club NBA -il jouait au Lietuvos rytas Vilnius et vient de rejoindre Burgos en ACB. Il a été victime d’une intoxication alimentaire lors du Tournoi d’Orléans, indique le journaliste Donatas Urbonas !
Deividas Gailius avait contribué à la médaille d’argent obtenue par la Lituanie à l’EuroBasket 2015 mais de façon mineure (1,8 pt et 0,8 rbd) et n’avait pas été retenu pour les JO de Rio.
\nGailius OUT from Eurobasket due to food poisoning in friendly tournament in France, Orleans. 14 players left in Lithuania National Team camp
\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) August 21, 2017
Photo : Basketinbelgium
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La Dernière Heure a profité du Tournoi de Toulouse avec la présence des Belgian Lions pour réaliser un reportage sur Serge Crevecoeur, le nouveau coach de Pau.
« J’ai vraiment eu un choc !”, avoue le technicien belge quand il se remémore le coup de fil de Didier Gadou, le directeur exécutif de l’Elan Béarnais qui lui indiquait qu’il était intéressé par son profil.
Serge Crevecoeur est un cas à part dans le basket belge, le pendant de Pascal Donnadieu puisqu’il a passé neuf saisons au Brussels, l’amenant de la D3 à la finale des playoffs de première division au cours de laquelle son équipe a fait très bonne figure face à Ostende.
D’ailleurs le coach béarnais a eu droit à un coup de pouce de son confrère de Nanterre.
“C’est lui qui a parlé de moi à un de ses amis, un agent bien implanté en France. Quand celui-ci a appris que l’Elan était à la recherche de ce genre de profil pour coacher mais aussi et surtout mettre en place un plan sur deux ou trois saisons pour restructurer le club, il a glissé mon nom.”
Serge Crevecoeur se dit impressionné par les installations de l’Elan, qui dispose d’un budget quatre fois supérieur à celui du Brussels, et le vivier du centre de formation. Et aussi par l’environnement.
“L’accueil des gens à Pau a été génial, on a trouvé une chouette villa dans un petit village avec une école renommée, le tout à dix minutes de la ville. »
Photo : Basketinbelgium
", "comment_id":"406428", "plaintext":"La Dernière Heure a profité du Tournoi de Toulouse avec la présence des Belgian Lions pour réaliser un reportage sur Serge Crevecoeur, le nouveau coach de Pau.\n\n« J’ai vraiment eu un choc !”, avoue le technicien belge quand il se remémore le coup de fil de Didier Gadou, le directeur exécutif de l’Elan Béarnais qui lui indiquait qu’il était intéressé par son profil.\n\nSerge Crevecoeur est un cas à part dans le basket belge, le pendant de Pascal Donnadieu puisqu’il a passé neuf saisons au Brussels, l’amenant de la D3 à la finale des playoffs de première division au cours de laquelle son équipe a fait très bonne figure face à Ostende.\n\nD’ailleurs le coach béarnais a eu droit à un coup de pouce de son confrère de Nanterre.\n\n“C’est lui qui a parlé de moi à un de ses amis, un agent bien implanté en France. Quand celui-ci a appris que l’Elan était à la recherche de ce genre de profil pour coacher mais aussi et surtout mettre en place un plan sur deux ou trois saisons pour restructurer le club, il a glissé mon nom.”\n\nSerge Crevecoeur se dit impressionné par les installations de l’Elan, qui dispose d’un budget quatre fois supérieur à celui du Brussels, et le vivier du centre de formation. Et aussi par l’environnement.\n\n“L’accueil des gens à Pau a été génial, on a trouvé une chouette villa dans un petit village avec une école renommée, le tout à dix minutes de la ville. »\n\nPhoto : Basketinbelgium", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-21T09:45:23.000Z", "updated_at":"2017-08-21T09:52:10.000Z", "published_at":"2017-08-21T09:45:23.000Z", "custom_excerpt":"La Dernière Heure a profité du Tournoi de Toulouse avec la présence des Belgian Lions pour réaliser un reportage sur Serge Crevecoeur, le nouveau coach de Pau.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd4a", "uuid":"3473fea6-a649-402f-be17-23f4c3dad2d9", "title":"Giordan Watson ne jouera finalement pas l’Eurobasket avec la Roumanie", "slug":"giordan-watson-ne-jouera-finalement-pas-leurobasket-avec-la-roumanie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/giordan-watson.jpg\",\"width\":730,\"height\":485}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Basketball CL
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Pour sa première participation à l’Eurobasket depuis 1987, et qui plus est à domicile à Cluj-Napoca, la Roumanie espérait compter sur un meneur américain. Mais ça ne sera finalement pas possible.
Ce joueur américain aurait du être Giordan Watson (1,75m, 31 ans). Le meneur qui jouait au Mans la saison dernière connait bien la Roumanie pour y avoir évolué plusieurs saisons et y retourner la saison prochaine. Mais les « formalités d’obtention de passeport roumain pour ce joueur sont compliquées » annonce le site 24secunde. Giordan Watson avait pourtant porté le maillot roumain lors des matchs de préparation. En 8 matchs, il tournait à 12,1 points et 3,9 passes en 30,8 minutes. Le joueur est donc retourné dans son club pour préparer la prochaine saison.
La Roumanie devra donc faire uniquement avec des joueurs locaux.
Photo : Basketball CL
", "comment_id":"406427", "plaintext":"Pour sa première participation à l’Eurobasket depuis 1987, et qui plus est à domicile à Cluj-Napoca, la Roumanie espérait compter sur un meneur américain. Mais ça ne sera finalement pas possible.\n\nCe joueur américain aurait du être Giordan Watson (1,75m, 31 ans). Le meneur qui jouait au Mans la saison dernière connait bien la Roumanie pour y avoir évolué plusieurs saisons et y retourner la saison prochaine. Mais les « formalités d’obtention de passeport roumain pour ce joueur sont compliquées » annonce le site 24secunde. Giordan Watson avait pourtant porté le maillot roumain lors des matchs de préparation. En 8 matchs, il tournait à 12,1 points et 3,9 passes en 30,8 minutes. Le joueur est donc retourné dans son club pour préparer la prochaine saison.\n\nLa Roumanie devra donc faire uniquement avec des joueurs locaux.\n\nPhoto : Basketball CL", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-21T09:26:34.000Z", "updated_at":"2017-08-21T09:47:45.000Z", "published_at":"2017-08-21T09:26:34.000Z", "custom_excerpt":"Pour sa première participation à l’Eurobasket depuis 1987, et qui plus est à domicile à Cluj-Napoca, la Roumanie espérait compter sur un meneur américain. Mais ça ne sera finalement pas possible.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd4b", "uuid":"506b442f-61b6-4180-a67c-47f274390a41", "title":"Nancy: opéré du tendon d’Achille, Gary Florimont est de retour aux affaires", "slug":"nancy-opere-du-tendon-dachille-gary-florimont-est-de-retour-aux-affaires", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/florimond.jpg\",\"width\":468,\"height\":288}],[\"html\",{\"html\":\"Photo: CCRB
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Victime d’une rupture du tendon d’Achille le 23 décembre dernier, Gary Florimont (2,03m, 30 ans) vient de rejouer avec ses nouveaux équipiers, lui qui est le seul survivant de l’équipe qui a amené le SLUC en Pro B.
« Même si je connais le club depuis mon arrivée il y a un an, je n’ai joué que 14 matchs officiels. J’ai chassé de ma mémoire mon accident, je ne pense qu’à la saison qui vient avec une nouvelle équipe et un nouveau staff. J’ai un moral d’enfer », a confié le Guadeloupéen à l’Est Républicain.
Gary Florimont a compilé 4,3 points et 4,1 rebonds sous le maillot du SLUC et n’a donc pas encore été coaché par Greg Beugnot. Formé à Cholet, il a accompli la majorité de sa carrière en Pro B (242 matches contre 86 en Pro A).
Photo: CCRB
", "comment_id":"406420", "plaintext":"Victime d’une rupture du tendon d’Achille le 23 décembre dernier, Gary Florimont (2,03m, 30 ans) vient de rejouer avec ses nouveaux équipiers, lui qui est le seul survivant de l’équipe qui a amené le SLUC en Pro B.\n\n« Même si je connais le club depuis mon arrivée il y a un an, je n’ai joué que 14 matchs officiels. J’ai chassé de ma mémoire mon accident, je ne pense qu’à la saison qui vient avec une nouvelle équipe et un nouveau staff. J’ai un moral d’enfer », a confié le Guadeloupéen à l’Est Républicain.\n\nGary Florimont a compilé 4,3 points et 4,1 rebonds sous le maillot du SLUC et n’a donc pas encore été coaché par Greg Beugnot. Formé à Cholet, il a accompli la majorité de sa carrière en Pro B (242 matches contre 86 en Pro A).\n\nPhoto: CCRB", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-21T06:50:13.000Z", "updated_at":"2017-08-21T08:34:36.000Z", "published_at":"2017-08-21T06:50:13.000Z", "custom_excerpt":"Victime d’une rupture du tendon d’Achille le 23 décembre dernier, Gary Florimont (2,03m, 30 ans) vient de rejouer avec ses nouveaux équipiers, lui qui est le seul survivant de l’équipe qui a amené le SLUC en Pro B.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd4c", "uuid":"1bc099a4-d5e6-4897-abbf-f9d89208c77b", "title":"Revue de presse du 21 août 2017", "slug":"revue-de-presse-du-21-aout-2017", 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– Tariq Kirksay (1,98 m, 38 ans en septembre), qui a joué au SLUC Nancy trois ans entre 2004 et 2007, amenant le club lorrain trois fois en finale du… Lire la suite.
– Après la victoire de son équipe contre l’Italie (88-63), la troisième à Toulouse, Vincent Collet a annoncé qu’il ne conservait pas le Lyonnais Yakuba… Lire la suite.
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– Gravement blessé la saison dernière (rupture du tendon d’Achille), le pivot guadeloupéen du SLUC a rejoué à Vittel son premier cinq-cinq après sept… Lire la suite.
– Face à une formation de Wittenheim hiérarchiquement inférieure et incomplète, les joueuses de Pierre Bilbeau, en rodage, se sont imposées, 48-38… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Le CSSL Rixheim a gagné hier le tournoi organisé tout le week-end à la Cité des Sports en dominant la SIG II (63-59) en finale… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Après la victoire contre l’Italie, hier à Toulouse, Vincent Collet a annoncé qu’il ne conservait pas le Lyonnais. L’Alsacien sera à l’Euro, le dernier… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– L’affront est lavé. Après leur défaite concédée à Villeurbanne, le BCMF a bien vite redressé le tir hier après-midi à Cherblanc. Devant une salle bien… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Après la victoire contre l’Italie (88-63), Vincent Collet a annoncé qu’il retenait l’Alsacien mais pas le Lyonnais… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Le Poinçonnet (NF1) – Brive (NF1) : 69-57 Coup terrible lors du premier match amical du Poinçonnet. Grâce Mbaïkoua a subi une rupture totale du tendon d’Achille, sa saison est fortement compromise… Lire la suite.
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", "comment_id":"406417", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nTariq Kirksay (1,98 m, 38 ans en septembre), qui a joué au SLUC Nancy trois ans entre 2004 et 2007, …\n\n– Tariq Kirksay (1,98 m, 38 ans en septembre), qui a joué au SLUC Nancy trois ans entre 2004 et 2007, amenant le club lorrain trois fois en finale du… Lire la suite.\n\n\nOuattara écarté, Westermann récompensé\n\n– Après la victoire de son équipe contre l’Italie (88-63), la troisième à Toulouse, Vincent Collet a annoncé qu’il ne conservait pas le Lyonnais Yakuba… Lire la suite.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nGary Florimont (SLUC), sept mois et demi après\n\n– Gravement blessé la saison dernière (rupture du tendon d’Achille), le pivot guadeloupéen du SLUC a rejoué à Vittel son premier cinq-cinq après sept… Lire la suite.\n\n\nPremière indications\n\n– Face à une formation de Wittenheim hiérarchiquement inférieure et incomplète, les joueuses de Pierre Bilbeau, en rodage, se sont imposées, 48-38… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSans-faute pour Rixheim\n\n– Le CSSL Rixheim a gagné hier le tournoi organisé tout le week-end à la Cité des Sports en dominant la SIG II (63-59) en finale… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nFrance : Ouattara écarté, Westermann récompensé\n\n– Après la victoire contre l’Italie, hier à Toulouse, Vincent Collet a annoncé qu’il ne conservait pas le Lyonnais. L’Alsacien sera à l’Euro, le dernier… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLe BCMF retrouve sa salle et son jeu\n\n– L’affront est lavé. Après leur défaite concédée à Villeurbanne, le BCMF a bien vite redressé le tir hier après-midi à Cherblanc. Devant une salle bien… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nTournoi de Toulouse: Westermann récompensé, pas Ouattara\n\n– Après la victoire contre l’Italie (88-63), Vincent Collet a annoncé qu’il retenait l’Alsacien mais pas le Lyonnais… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nMbaïkoua blessée : le coup de Grâce\n\n– Le Poinçonnet (NF1) – Brive (NF1) : 69-57 Coup terrible lors du premier match amical du Poinçonnet. Grâce Mbaïkoua a subi une rupture totale du tendon d’Achille, sa saison est fortement compromise… Lire la suite.\n\n[/arm_restrict_content][arm_setup id= »10″ hide_title= »true »]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-21T06:30:33.000Z", "updated_at":"2017-08-21T06:17:47.000Z", "published_at":"2017-08-21T06:30:33.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd4d", "uuid":"b126e057-1af2-4d4b-95ff-4ecaecc1272b", "title":"Vidéo: Hommage à Arvidas Sabonis, le supergéant lituanien", "slug":"video-hommage-a-arvidas-sabonis-le-supergeant-lituanien", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/arvydas-sabonis-in-a-classic-image-against-vladimir-tkatchenko.jpg\",\"width\":500,\"height\":256}],[\"html\",{\"html\":\"Photo: Euroleague
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A quelques jours de l’EuroBasket, voici un hommage à celui qui remporta l’épreuve en 1985 en laissant une impression extraordinaire à ceux qui eurent le privilège de le voir à l’oeuvre.
Arvidas Sabonis (2,20m, né en 1964), actuel président de la fédération lituanienne de basket, fut à vingt ans le plus formidable pivot -sinon basketteur- jamais vu dans le monde, Américains compris. Malheureusement, une hygiène de vie déplorable et une très grave blessure au tendon d’Achille ont brisé sa carrière même si elle fut longue et fructueuse tant le talent du joueur était immense.
Cette vidéo propose des commentaires de personnalités (en anglais) et surtout des images, sous le maillot du Zalgiris Kaunas et de l’équipe nationale d’URSS qui fournissent un échantillon de ce que pouvait faire ce supergéant à la force herculéenne, et aussi aux mains d’or et au QI basket très élevé, sur un terrain. C’est à dire, absolument tout.
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\"}],[\"html\",{\"html\":\"Photos: FFBB et BasketUSA
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Mous’, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu jouer mais je sais que c’est un fort joueur. Dans le basket actuel, plus ça va et plus ça devient petit. Je fais 2,10m, Vincent (Poirier) est même plus grand que moi (2,13m), on n’a pas une équipe qui est petite. On verra, il y a moyen jouer différemment. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En revanche, ce même Tournoi de Toulouse n’aura pas permis de savoir si son association avec Kevin Séraphin, temporairement blessé, est hautement performante et où se situe le périmètre de chacun.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Si j’ai le choix je préfère jouer au poste 4, j’ai plus d’avantages physiques qu’au poste 5 mais honnêtement je m’en fiche un petit peu. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Est-ce parce qu’il a joué dans quatre pays européens différents (France, Espagne, Serbie, Russie), qu’il n’a pas des moyens athlétiques surnaturels, ou tout autant du fait que dans ses déclarations il apparaît qu’il n’est pas obnubilé par la NBA, Joffrey Lauvergne est probablement davantage profilé pour l’Europe que pour le championnat américain.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Le jeu est différent. Mais ça reste du basket, mettre la balle dans le panier, mettre plus de points que l’autre équipe. J’ai longtemps joué en Europe, en équipe de France et j’ai l’habitude de ces petits changements. Au niveau de la mentalité, je me sens plus à l’aise ici mais je me suis bien adapté au style de jeu NBA. Je suis content d’être en équipe de France tous les étés. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On va dire que Joffrey est le plus Européen des NBAers français, mais aussi que ses 153 matches à Denver, Oklahoma et Chicago lui ont apporté une dimension incontestablement supérieure. Et avoir à l’avenir Gregg Popovich comme coach va certainement encore le bonifier.\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Une sacrée filiation\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Stéphane Lauvergne, 1,98m, fut un bon joueur de Pro A connu pour sa défense, son jeu sans ballon, son abnégation. Un battant. Sorti de Clermont, il a fréquenté des clubs réputés : Nantes, Cholet, Mulhouse, Paris, Levallois, Toulouse, Villeurbanne. 21 sélections sur la période allant de 1988 à 1995 lorsque l’équipe de France se faisait discrète.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et la maman ?\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Elle fait 1,75m, 1,76m. Elle faisait de la natation. Elle a commencé à jouer au basket quand elle avait 40 ans », répond le fiston.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La première conséquence de cette filiation, c’est la taille. 2,10m demeure une mensuration exceptionnelle. De plus, Joffrey est tout sauf pataud. \"],[0,[0],1,\"« Lauvergne, c’est un volcan »\"],[0,[],0,\" ferait un excellent slogan. C’est un geyser d’énergie. Comme papa et à la dimension supérieure. Atavisme ou mimétisme ?\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Il m’a éduqué et inculqué quelques valeurs, ça en fait partie, mais je n’essaye pas spécialement de lui ressembler. Si je lui ressemble par certains aspects c’est que ce sont des choses naturelles. Bien sûr, il m’a beaucoup conseillé et entraîné quand j’étais plus jeune. Il a beaucoup à faire dans ma réussite. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Outre ses parents, Joffrey a bénéficié d’un entourage familial sportif. Un de ses oncles fut international de judo avec le père d’Evan Fournier, un autre champion de France de boxe anglaise. Son grand-père était cycliste et deux de ses grands-parents ont eux-mêmes joué en première division de basket. Ne pas oublier non plus que son père et Jean-Aimé Toupane était équipiers et que, gamins, Joffrey et Axel, tous les deux nés à Mulhouse, à un an d’intervalle, étaient déjà proches à Toulouse comme à Clermont.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Autre caractéristique, Joffrey s’est initié à plusieurs sports de contact : judo, karaté, hockey-sur-glace. Cet été, il a fait un peu de tennis et surtout beaucoup de boxe et de muscu.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce qui est également marquant chez Joffrey Lauvergne, c’est sa franchise. Certainement du mimétisme, il le reconnaît. \"],[0,[0],1,\"« Ça vient de l’éducation ».\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« On a passé un deal avec Joffrey », confiait il y a quelques années Stéphane à Maxi-Basket. « Je lui donne toujours mon avis sans langue de bois. Après, Joffrey prend la décision finale parce que c’est lui qui doit l’assumer. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Alors, forcément, à l’heure des communiqués de presse indolore, des réponses sans saveur toutes droit sorties de media training, le néo-Spur est du pain béni pour les journalistes. C’est avec une totale franchise qu’il répond à notre interrogation quand on lui demande s’il est frustré par les forfaits de deux joueurs du starting five, Nicolas Batum et Rudy Gobert, qui oblitèrent les chances de la France d’être compétitive pour la médaille d’or.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Non, ça ne me frustre pas. J’aurais aimé qu’ils soient là car avec eux on aurait été plus forts. Je comprends que lors de certains moments de ta carrière ou de ta vie t’as peut-être envie ou besoin de faire autre chose. Dans le basket, comme pour les autres sports, il y a une part de « comment on se sent dans la tête » et ça impacte directement le jeu. Le seul truc, c’est qu’il n’y a pas besoin de faire attendre pendant six mois pour créer une espèce de buzz sur le truc. Tu n’as pas envie de venir, tu ne viens pas, c’est tout. » Il ajoute, après réflexion : « Peut-être qu’ils ne savaient pas s’ils allaient venir ou pas. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mais Joffrey Lauvergne ne fait pas de déclarations brutes de décoffrage. Au contraire. Son analyse du milieu de la NBA, auquel il appartient mais avec énormément de retenue, est pleine de finesse. A \"],[0,[0],1,\"Basket-Hebdo\"],[0,[],0,\" qui lui demandait il y a quelque temps s’il comprenait comment 60% des joueurs NBA pouvaient être ruinés après la fin de leur carrière, il répondait sans détours :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Oui, je la comprends bien. Très, très bien. Je commence à savoir pourquoi. Les mecs… Ils sont incroyables ! Ils achètent des montres à 20 000 $ comme toi tu achètes tes t-shirts ; ils ont trois enfants – et encore je suis gentil – avec trois femmes différentes donc à chaque fois ils payent ; ils ont toujours des cousins, des amis, des machins à la maison et tout le monde mène le grand train de vie. Quand tu te déplaces dans des villes sympas, leurs potes voyagent avec eux, sont dans les mêmes avions que nous, et tout ça, c’est le joueur qui paye. Donc ça va vite, l’argent part vite. Et puis surtout, c’est la culture. En France, quand tu as de l’argent, tu es pudique, tu ne le montres pas trop. Ici, c’est l’inverse, quand tu as de l’argent il faut le montrer. C’est une histoire de réussite. »\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Partizan, je t’ai tatoué sur ma peau\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Joffrey en a physiquement bavé et c’est pourquoi le démarrage de sa carrière fut poussif. Il a beaucoup manqué de l’apprentissage en cadets là où l’on apprend le jeu à deux, à trois, le positionnement sur le terrain… La faute à un trou dans l’articulation du pied. Dans une interview au mensuel \"],[0,[0],1,\"Basket\"],[0,[],0,\", il remercie Lucien Legrand, qui l’a toujours soutenu à l’INSEP lui qui n’était pas un as dans sa scolarité. Une opération appropriée l’a mis sur la bonne voie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Deuxième étape : Chalon. Trois saisons d’apprentissage et… sept matches pour la saison 2011-12.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je n’arrivais plus à avancer avec tout ce que j’avais sur le cœur, je n’en pouvais plus », a-t-il révélé à \"],[0,[0],1,\"Basket\"],[0,[],0,\". « C’était : soit vous me laissez partir, je ne vous demande rien, on se sépare bons amis, soit je ne vais plus jouer, vous mettre aux Prud’hommes, et je gagnerai. D’un côté je m’entendais super bien avec le président (Dominique Juillot), les gens du club, j’étais même proche d’eux – je suis revenu récemment à Chalon pour faire un entre-deux, j’ai été super-content de revoir des gens du club. D’un autre côté, Beugnot, je ne le supportais plus, mais eux avaient besoin de lui, c’était leur coach. Donc ils m’ont laissé partir. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un transit à Valence et le voici au Partizan Belgrade. L’amour fou. Avec le club, son coach Duško Vujošević, ses supporters fanatiques.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Au Partizan, je n’étais pas payé, je n’avais pas d’argent, c’est mon père qui m’en avait avancé. Je n’ai dit à personne que j’allais avoir une fille parce que tout le monde allait associer ça au fait que j’allais partir, et je ne voulais pas que les gens, les coéquipiers, pensent que j’allais lâcher. Si je n’avais pas eu de fille, je serais resté un an de plus, j’en avais besoin pour passer encore un cap. Mais je n’avais pas un rond donc j’avais besoin de partir. Je leur ai laissé tout l’argent qu’ils me devaient », dit-il également à \"],[0,[0],1,\"Basket\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Joffrey est tellement fier d’avoir joué pour le club de la capitale serbe qu’il s’est fait faire un tatouage le logo du club sur le biceps.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A l’inverse, si son séjour au Khimki Moscou fut lucratif, il regrette d’être tombé dans une atmosphère si peu passionnée.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"https://www.youtube.com/watch?v=pfmnarUMx7E\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Le tour des popotes en NBA\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En trois ans, Joffrey Lauvergne a déjà fait le tour des popotes en NBA. 83 matches à Denver, 50 à Oklahoma City, 20 à Chicago. 6,1 points et 4,0 rebonds en moyenne générale.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« La dernière fois, on en parlait avec Edwin [Jackson] et on rigolait. Sur les cinq dernières années, j’ai changé de club huit fois ! 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La paye sera bonne pour celui qui a longtemps vécu chichement (1 524 305$ l’année) même si pas excessive. Bref, Joffrey devrait se plaire dans le Texas. Impossible de résister.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« J’ai 25 ans et j’ai encore du temps devant moi. L’Europe, j’ai déjà fait. Et je pourrai toujours l’avoir après. Pour l’instant, je veux voir jusqu’où peut m’amener la NBA. Denver, ça ne m’avait pas vraiment plu. Chicago, ça ne m’a pas plu, même si je n’y suis resté que deux mois. Mais Chicago, je ne voulais même pas y aller car je commençais seulement à me sentir bien à Oklahoma. Ça n’a pas été parfait [avec le Thunder] mais ça me plaisait plutôt bien. Maintenant, San Antonio, c’est parmi ce qui se fait de mieux au niveau du jeu. Ils ne sont plus vraiment en finale chaque année ces deux dernières années mais ils se battent encore pour les finales de conférence. Ce n’est pas rien ! Au niveau de l’organisation, c’est le top. L’avenir nous dira si j’ai bien fait d’être patient. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"https://www.youtube.com/watch?v=splimr5zxVE\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Poste 4 ou poste 5\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le Tournoi de Toulouse aura démontré –si besoin était- que Joffrey Lauvergne est indispensable. Même si ce n’est pas un géant ou du moins un super géant.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A ce propos, quand on lui demande si c’est un grave préjudice de ne pas avoir un pivot à 2,15/2,18m, le néo Spur balaye d’un revers de main les possibles méfaits dus à l’absence de Rudy Gobert et Moustapha Fall.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Rudy, c’est Rudy. Mous, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu jouer mais je sais que c’est un fort joueur. Dans le basket actuel, plus ça va et plus ça devient petit. Je fais 2,10m, Vincent (Poirier) est même plus grand que moi (2,13m), on n’a pas une équipe qui est petite. 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J’ai longtemps joué en Europe, en équipe de France et j’ai l’habitude de ces petits changements. Au niveau de la mentalité, je me sens plus à l’aise ici mais je me suis bien adapté au style de jeu NBA. Je suis content d’être en équipe de France tous les étés. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[10,3],[10,4]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/euromasculin2015huitiemedefi-e1503137220125.jpg\")
En quatre points, ce qu’il faut absolument savoir sur Joffrey Lauvergne (2,10m, 100kg, 25 ans) qui avec l’absence de Rudy Gobert sera notre pivot numéro 1 à l’EuroBasket.
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Le Tournoi de Toulouse aura démontré –si besoin était- que Joffrey Lauvergne est indispensable. Même si ce n’est pas un géant ou du moins un super géant.
A ce propos, quand on lui demande si c’est un grave préjudice de ne pas avoir en bleu un pivot à 2,15/2,18m, le néo Spur balaye d’un revers de main les possibles méfaits dus à l’absence de Rudy Gobert et Moustapha Fall.
« Rudy, c’est Rudy. Mous’, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu jouer mais je sais que c’est un fort joueur. Dans le basket actuel, plus ça va et plus ça devient petit. Je fais 2,10m, Vincent (Poirier) est même plus grand que moi (2,13m), on n’a pas une équipe qui est petite. On verra, il y a moyen jouer différemment. »
En revanche, ce même Tournoi de Toulouse n’aura pas permis de savoir si son association avec Kevin Séraphin, temporairement blessé, est hautement performante et où se situe le périmètre de chacun.
« Si j’ai le choix je préfère jouer au poste 4, j’ai plus d’avantages physiques qu’au poste 5 mais honnêtement je m’en fiche un petit peu. »
Est-ce parce qu’il a joué dans quatre pays européens différents (France, Espagne, Serbie, Russie), qu’il n’a pas des moyens athlétiques surnaturels, ou tout autant du fait que dans ses déclarations il apparaît qu’il n’est pas obnubilé par la NBA, Joffrey Lauvergne est probablement davantage profilé pour l’Europe que pour le championnat américain.
« Le jeu est différent. Mais ça reste du basket, mettre la balle dans le panier, mettre plus de points que l’autre équipe. J’ai longtemps joué en Europe, en équipe de France et j’ai l’habitude de ces petits changements. Au niveau de la mentalité, je me sens plus à l’aise ici mais je me suis bien adapté au style de jeu NBA. Je suis content d’être en équipe de France tous les étés. »
On va dire que Joffrey est le plus Européen des NBAers français, mais aussi que ses 153 matches à Denver, Oklahoma et Chicago lui ont apporté une dimension incontestablement supérieure. Et avoir à l’avenir Gregg Popovich comme coach va certainement encore le bonifier.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/pierce-lauvergne.jpg\")
Stéphane Lauvergne, 1,98m, fut un bon joueur de Pro A connu pour sa défense, son jeu sans ballon, son abnégation. Un battant. Sorti de Clermont, il a fréquenté des clubs réputés : Nantes, Cholet, Mulhouse, Paris, Levallois, Toulouse, Villeurbanne. 21 sélections sur la période allant de 1988 à 1995 lorsque l’équipe de France se faisait discrète.
Et la maman ?
« Elle fait 1,75m, 1,76m. Elle faisait de la natation. Elle a commencé à jouer au basket quand elle avait 40 ans », répond le fiston.
La première conséquence de cette filiation, c’est la taille. 2,10m demeure une mensuration exceptionnelle. De plus, Joffrey est tout sauf pataud. « Lauvergne, c’est un volcan » ferait un excellent slogan. C’est un geyser d’énergie. Comme papa et à la dimension supérieure. Atavisme ou mimétisme ?
« Il m’a éduqué et inculqué quelques valeurs, ça en fait partie, mais je n’essaye pas spécialement de lui ressembler. Si je lui ressemble par certains aspects c’est que ce sont des choses naturelles. Bien sûr, il m’a beaucoup conseillé et entraîné quand j’étais plus jeune. Il a beaucoup à faire dans ma réussite. »
Outre ses parents, Joffrey a bénéficié d’un entourage familial sportif. Un de ses oncles fut international de judo avec le père d’Evan Fournier, un autre champion de France de boxe anglaise. Son grand-père était cycliste et deux de ses grands-parents ont eux-mêmes joué en première division de basket. Ne pas oublier non plus que son père et Jean-Aimé Toupane était équipiers et que, gamins, Joffrey et Axel, tous les deux nés à Mulhouse, à un an d’intervalle, étaient déjà proches à Toulouse comme à Clermont.
Autre caractéristique, Joffrey s’est initié à plusieurs sports de contact : judo, karaté, hockey-sur-glace. Cet été, il a fait un peu de tennis et surtout beaucoup de boxe et de muscu.
Ce qui est également marquant chez Joffrey Lauvergne, c’est sa franchise. Certainement du mimétisme, il le reconnaît. « Ça vient de l’éducation ».
« On a passé un deal avec Joffrey », confiait il y a quelques années Stéphane à Maxi-Basket. « Je lui donne toujours mon avis sans langue de bois. Après, Joffrey prend la décision finale parce que c’est lui qui doit l’assumer. »
Alors, forcément, à l’heure des communiqués de presse indolore, des réponses sans saveur toutes droit sorties de media training, le néo-Spur est du pain béni pour les journalistes. C’est avec une totale franchise qu’il répond à notre interrogation quand on lui demande s’il est frustré par les forfaits de deux joueurs du starting five, Nicolas Batum et Rudy Gobert, qui oblitèrent les chances de la France d’être compétitive pour la médaille d’or.
« Non, ça ne me frustre pas. J’aurais aimé qu’ils soient là car avec eux on aurait été plus forts. Je comprends que lors de certains moments de ta carrière ou de ta vie t’as peut-être envie ou besoin de faire autre chose. Dans le basket, comme pour les autres sports, il y a une part de « comment on se sent dans la tête » et ça impacte directement le jeu. Le seul truc, c’est qu’il n’y a pas besoin de faire attendre pendant six mois pour créer une espèce de buzz sur le truc. Tu n’as pas envie de venir, tu ne viens pas, c’est tout. » Il ajoute, après réflexion : « Peut-être qu’ils ne savaient pas s’ils allaient venir ou pas. »
Mais Joffrey Lauvergne ne fait pas de déclarations brutes de décoffrage. Au contraire. Son analyse du milieu de la NBA, auquel il appartient mais avec énormément de retenue, est pleine de finesse. A Basket-Hebdo qui lui demandait il y a quelque temps s’il comprenait comment 60% des joueurs NBA pouvaient être ruinés après la fin de leur carrière, il répondait sans détours :
« Oui, je la comprends bien. Très, très bien. Je commence à savoir pourquoi. Les mecs… Ils sont incroyables ! Ils achètent des montres à 20 000 $ comme toi tu achètes tes t-shirts ; ils ont trois enfants – et encore je suis gentil – avec trois femmes différentes donc à chaque fois ils payent ; ils ont toujours des cousins, des amis, des machins à la maison et tout le monde mène le grand train de vie. Quand tu te déplaces dans des villes sympas, leurs potes voyagent avec eux, sont dans les mêmes avions que nous, et tout ça, c’est le joueur qui paye. Donc ça va vite, l’argent part vite. Et puis surtout, c’est la culture. En France, quand tu as de l’argent, tu es pudique, tu ne le montres pas trop. Ici, c’est l’inverse, quand tu as de l’argent il faut le montrer. C’est une histoire de réussite. »
Joffrey en a physiquement bavé et c’est pourquoi le démarrage de sa carrière fut poussif. Il a beaucoup manqué de l’apprentissage en cadets là où l’on apprend le jeu à deux, à trois, le positionnement sur le terrain… La faute à un trou dans l’articulation du pied. Dans une interview au mensuel Basket, il remercie Lucien Legrand, qui l’a toujours soutenu à l’INSEP lui qui n’était pas un as dans sa scolarité. Une opération appropriée l’a mis sur la bonne voie.
Deuxième étape : Chalon. Trois saisons d’apprentissage et… sept matches pour la saison 2011-12.
« Je n’arrivais plus à avancer avec tout ce que j’avais sur le cœur, je n’en pouvais plus », a-t-il révélé à Basket. « C’était : soit vous me laissez partir, je ne vous demande rien, on se sépare bons amis, soit je ne vais plus jouer, vous mettre aux Prud’hommes, et je gagnerai. D’un côté je m’entendais super bien avec le président (Dominique Juillot), les gens du club, j’étais même proche d’eux – je suis revenu récemment à Chalon pour faire un entre-deux, j’ai été super-content de revoir des gens du club. D’un autre côté, Beugnot, je ne le supportais plus, mais eux avaient besoin de lui, c’était leur coach. Donc ils m’ont laissé partir. »
Un transit à Valence et le voici au Partizan Belgrade. L’amour fou. Avec le club, son coach Duško Vujošević, ses supporters fanatiques.
« Au Partizan, je n’étais pas payé, je n’avais pas d’argent, c’est mon père qui m’en avait avancé. Je n’ai dit à personne que j’allais avoir une fille parce que tout le monde allait associer ça au fait que j’allais partir, et je ne voulais pas que les gens, les coéquipiers, pensent que j’allais lâcher. Si je n’avais pas eu de fille, je serais resté un an de plus, j’en avais besoin pour passer encore un cap. Mais je n’avais pas un rond donc j’avais besoin de partir. Je leur ai laissé tout l’argent qu’ils me devaient », dit-il également à Basket.
Joffrey est tellement fier d’avoir joué pour le club de la capitale serbe qu’il s’est fait faire un tatouage le logo du club sur le biceps.
A l’inverse, si son séjour au Khimki Moscou fut lucratif, il regrette d’être tombé dans une atmosphère si peu passionnée.
https://www.youtube.com/watch?v=pfmnarUMx7E
En trois ans, Joffrey Lauvergne a déjà fait le tour des popotes en NBA. 83 matches à Denver, 50 à Oklahoma City, 20 à Chicago. 6,1 points et 4,0 rebonds en moyenne générale.
« La dernière fois, on en parlait avec Edwin [Jackson] et on rigolait. Sur les cinq dernières années, j’ai changé de club huit fois ! Quand on voit ça de loin, on pourrait se dire que je n’en ai rien à faire, mais ça me dérange un peu quand même ! En Europe, je changeais de clubs parce que c’étaient des étapes obligatoires, des caps à passer. Mais en NBA, c’est parce que je n’étais pas maître de mon destin, » a-t-il commenté à Basket USA.
Cet été, le CSKA et Fenerbahçe, soit les deux clubs les plus riches d’Europe se sont intéressés à son cas. Il est évident que Joffrey est le type d’intérieur absolument parfait pour le jeu FIBA. Seulement San Antonio lui a fait signe de venir et les Spurs, c’est à la fois les avantages de la ligue américaine, une équipe compétitive pour le titre avec des préceptes de jeu très européens et un coach, Gregg Popovich, au-dessus de tous soupçons, qui l’a appelé directement pour le recruter. Une grande première dans sa carrière. Il y a aussi la présence rassurante de Tony Parker. La paye sera bonne pour celui qui a longtemps vécu chichement (1 524 305$ l’année) même si pas excessive. Bref, Joffrey devrait se plaire dans le Texas. Impossible de résister.
« J’ai 25 ans et j’ai encore du temps devant moi. L’Europe, j’ai déjà fait. Et je pourrai toujours l’avoir après. Pour l’instant, je veux voir jusqu’où peut m’amener la NBA. Denver, ça ne m’avait pas vraiment plu. Chicago, ça ne m’a pas plu, même si je n’y suis resté que deux mois. Mais Chicago, je ne voulais même pas y aller car je commençais seulement à me sentir bien à Oklahoma. Ça n’a pas été parfait [avec le Thunder] mais ça me plaisait plutôt bien. Maintenant, San Antonio, c’est parmi ce qui se fait de mieux au niveau du jeu. Ils ne sont plus vraiment en finale chaque année ces deux dernières années mais ils se battent encore pour les finales de conférence. Ce n’est pas rien ! Au niveau de l’organisation, c’est le top. L’avenir nous dira si j’ai bien fait d’être patient. »
https://www.youtube.com/watch?v=splimr5zxVE
[armelse]
Le Tournoi de Toulouse aura démontré –si besoin était- que Joffrey Lauvergne est indispensable. Même si ce n’est pas un géant ou du moins un super géant.
A ce propos, quand on lui demande si c’est un grave préjudice de ne pas avoir un pivot à 2,15/2,18m, le néo Spur balaye d’un revers de main les possibles méfaits dus à l’absence de Rudy Gobert et Moustapha Fall.
« Rudy, c’est Rudy. Mous, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu jouer mais je sais que c’est un fort joueur. Dans le basket actuel, plus ça va et plus ça devient petit. Je fais 2,10m, Vincent (Poirier) est même plus grand que moi (2,13m), on n’a pas une équipe qui est petite. On verra, il y a moyen jouer différemment. »
En revanche, ce même Tournoi de Toulouse n’aura pas permis de savoir si son association avec Kevin Séraphin, temporairement blessé, est hautement performante et où se situe le périmètre de chacun.
« Si j’ai le choix je préfère jouer au poste 4, j’ai plus d’avantages physiques qu’au poste 5 mais honnêtement je m’en fiche un petit peu. »
Est-ce parce qu’il a joué dans quatre pays européens différents (France, Espagne, Serbie, Russie), qu’il n’a pas des moyens athlétiques surnaturels, ou tout autant du fait que dans ses déclarations il apparaît qu’il n’est pas obnubilé par la NBA, Joffrey Lauvergne est probablement davantage profilé pour l’Europe que pour le championnat américain.
« Le jeu est différent. Mais ça reste du basket, mettre la balle dans le panier, mettre plus de points que l’autre équipe. J’ai longtemps joué en Europe, en équipe de France et j’ai l’habitude de ces petits changements. Au niveau de la mentalité, je me sens plus à l’aise ici mais je me suis bien adapté au style de jeu NBA. Je suis content d’être en équipe de France tous les étés. »
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Propos recueillis par Cyril Camacho à Orléans.
Photos: FFBB et BasketUSA
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On verra, il y a moyen jouer différemment. »\n\nEn revanche, ce même Tournoi de Toulouse n’aura pas permis de savoir si son association avec Kevin Séraphin, temporairement blessé, est hautement performante et où se situe le périmètre de chacun.\n\n« Si j’ai le choix je préfère jouer au poste 4, j’ai plus d’avantages physiques qu’au poste 5 mais honnêtement je m’en fiche un petit peu. »\n\nEst-ce parce qu’il a joué dans quatre pays européens différents (France, Espagne, Serbie, Russie), qu’il n’a pas des moyens athlétiques surnaturels, ou tout autant du fait que dans ses déclarations il apparaît qu’il n’est pas obnubilé par la NBA, Joffrey Lauvergne est probablement davantage profilé pour l’Europe que pour le championnat américain.\n\n« Le jeu est différent. Mais ça reste du basket, mettre la balle dans le panier, mettre plus de points que l’autre équipe. J’ai longtemps joué en Europe, en équipe de France et j’ai l’habitude de ces petits changements. Au niveau de la mentalité, je me sens plus à l’aise ici mais je me suis bien adapté au style de jeu NBA. Je suis content d’être en équipe de France tous les étés. »\n\nOn va dire que Joffrey est le plus Européen des NBAers français, mais aussi que ses 153 matches à Denver, Oklahoma et Chicago lui ont apporté une dimension incontestablement supérieure. Et avoir à l’avenir Gregg Popovich comme coach va certainement encore le bonifier.\n\n\nUne sacrée filiation\n\nStéphane Lauvergne, 1,98m, fut un bon joueur de Pro A connu pour sa défense, son jeu sans ballon, son abnégation. Un battant. Sorti de Clermont, il a fréquenté des clubs réputés : Nantes, Cholet, Mulhouse, Paris, Levallois, Toulouse, Villeurbanne. 21 sélections sur la période allant de 1988 à 1995 lorsque l’équipe de France se faisait discrète.\n\nEt la maman ?\n\n« Elle fait 1,75m, 1,76m. Elle faisait de la natation. Elle a commencé à jouer au basket quand elle avait 40 ans », répond le fiston.\n\nLa première conséquence de cette filiation, c’est la taille. 2,10m demeure une mensuration exceptionnelle. De plus, Joffrey est tout sauf pataud. « Lauvergne, c’est un volcan » ferait un excellent slogan. C’est un geyser d’énergie. Comme papa et à la dimension supérieure. Atavisme ou mimétisme ?\n\n« Il m’a éduqué et inculqué quelques valeurs, ça en fait partie, mais je n’essaye pas spécialement de lui ressembler. Si je lui ressemble par certains aspects c’est que ce sont des choses naturelles. Bien sûr, il m’a beaucoup conseillé et entraîné quand j’étais plus jeune. Il a beaucoup à faire dans ma réussite. »\n\nOutre ses parents, Joffrey a bénéficié d’un entourage familial sportif. Un de ses oncles fut international de judo avec le père d’Evan Fournier, un autre champion de France de boxe anglaise. Son grand-père était cycliste et deux de ses grands-parents ont eux-mêmes joué en première division de basket. Ne pas oublier non plus que son père et Jean-Aimé Toupane était équipiers et que, gamins, Joffrey et Axel, tous les deux nés à Mulhouse, à un an d’intervalle, étaient déjà proches à Toulouse comme à Clermont.\n\nAutre caractéristique, Joffrey s’est initié à plusieurs sports de contact : judo, karaté, hockey-sur-glace. Cet été, il a fait un peu de tennis et surtout beaucoup de boxe et de muscu.\n\nCe qui est également marquant chez Joffrey Lauvergne, c’est sa franchise. Certainement du mimétisme, il le reconnaît. « Ça vient de l’éducation ».\n\n« On a passé un deal avec Joffrey », confiait il y a quelques années Stéphane à Maxi-Basket. « Je lui donne toujours mon avis sans langue de bois. Après, Joffrey prend la décision finale parce que c’est lui qui doit l’assumer. »\n\nAlors, forcément, à l’heure des communiqués de presse indolore, des réponses sans saveur toutes droit sorties de media training, le néo-Spur est du pain béni pour les journalistes. C’est avec une totale franchise qu’il répond à notre interrogation quand on lui demande s’il est frustré par les forfaits de deux joueurs du starting five, Nicolas Batum et Rudy Gobert, qui oblitèrent les chances de la France d’être compétitive pour la médaille d’or.\n\n« Non, ça ne me frustre pas. J’aurais aimé qu’ils soient là car avec eux on aurait été plus forts. Je comprends que lors de certains moments de ta carrière ou de ta vie t’as peut-être envie ou besoin de faire autre chose. Dans le basket, comme pour les autres sports, il y a une part de « comment on se sent dans la tête » et ça impacte directement le jeu. Le seul truc, c’est qu’il n’y a pas besoin de faire attendre pendant six mois pour créer une espèce de buzz sur le truc. Tu n’as pas envie de venir, tu ne viens pas, c’est tout. » Il ajoute, après réflexion : « Peut-être qu’ils ne savaient pas s’ils allaient venir ou pas. »\n\nMais Joffrey Lauvergne ne fait pas de déclarations brutes de décoffrage. Au contraire. Son analyse du milieu de la NBA, auquel il appartient mais avec énormément de retenue, est pleine de finesse. A Basket-Hebdo qui lui demandait il y a quelque temps s’il comprenait comment 60% des joueurs NBA pouvaient être ruinés après la fin de leur carrière, il répondait sans détours :\n\n« Oui, je la comprends bien. Très, très bien. Je commence à savoir pourquoi. Les mecs… Ils sont incroyables ! Ils achètent des montres à 20 000 $ comme toi tu achètes tes t-shirts ; ils ont trois enfants – et encore je suis gentil – avec trois femmes différentes donc à chaque fois ils payent ; ils ont toujours des cousins, des amis, des machins à la maison et tout le monde mène le grand train de vie. Quand tu te déplaces dans des villes sympas, leurs potes voyagent avec eux, sont dans les mêmes avions que nous, et tout ça, c’est le joueur qui paye. Donc ça va vite, l’argent part vite. Et puis surtout, c’est la culture. En France, quand tu as de l’argent, tu es pudique, tu ne le montres pas trop. Ici, c’est l’inverse, quand tu as de l’argent il faut le montrer. C’est une histoire de réussite. »\n\n\nPartizan, je t’ai tatoué sur ma peau\n\nJoffrey en a physiquement bavé et c’est pourquoi le démarrage de sa carrière fut poussif. Il a beaucoup manqué de l’apprentissage en cadets là où l’on apprend le jeu à deux, à trois, le positionnement sur le terrain… La faute à un trou dans l’articulation du pied. Dans une interview au mensuel Basket, il remercie Lucien Legrand, qui l’a toujours soutenu à l’INSEP lui qui n’était pas un as dans sa scolarité. Une opération appropriée l’a mis sur la bonne voie.\n\nDeuxième étape : Chalon. Trois saisons d’apprentissage et… sept matches pour la saison 2011-12.\n\n« Je n’arrivais plus à avancer avec tout ce que j’avais sur le cœur, je n’en pouvais plus », a-t-il révélé à Basket. « C’était : soit vous me laissez partir, je ne vous demande rien, on se sépare bons amis, soit je ne vais plus jouer, vous mettre aux Prud’hommes, et je gagnerai. D’un côté je m’entendais super bien avec le président (Dominique Juillot), les gens du club, j’étais même proche d’eux – je suis revenu récemment à Chalon pour faire un entre-deux, j’ai été super-content de revoir des gens du club. D’un autre côté, Beugnot, je ne le supportais plus, mais eux avaient besoin de lui, c’était leur coach. Donc ils m’ont laissé partir. »\n\nUn transit à Valence et le voici au Partizan Belgrade. L’amour fou. Avec le club, son coach Duško Vujošević, ses supporters fanatiques.\n\n« Au Partizan, je n’étais pas payé, je n’avais pas d’argent, c’est mon père qui m’en avait avancé. Je n’ai dit à personne que j’allais avoir une fille parce que tout le monde allait associer ça au fait que j’allais partir, et je ne voulais pas que les gens, les coéquipiers, pensent que j’allais lâcher. Si je n’avais pas eu de fille, je serais resté un an de plus, j’en avais besoin pour passer encore un cap. Mais je n’avais pas un rond donc j’avais besoin de partir. Je leur ai laissé tout l’argent qu’ils me devaient », dit-il également à Basket.\n\nJoffrey est tellement fier d’avoir joué pour le club de la capitale serbe qu’il s’est fait faire un tatouage le logo du club sur le biceps.\n\nA l’inverse, si son séjour au Khimki Moscou fut lucratif, il regrette d’être tombé dans une atmosphère si peu passionnée.\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=pfmnarUMx7E\n\n\nLe tour des popotes en NBA\n\nEn trois ans, Joffrey Lauvergne a déjà fait le tour des popotes en NBA. 83 matches à Denver, 50 à Oklahoma City, 20 à Chicago. 6,1 points et 4,0 rebonds en moyenne générale.\n\n« La dernière fois, on en parlait avec Edwin [Jackson] et on rigolait. Sur les cinq dernières années, j’ai changé de club huit fois ! Quand on voit ça de loin, on pourrait se dire que je n’en ai rien à faire, mais ça me dérange un peu quand même ! En Europe, je changeais de clubs parce que c’étaient des étapes obligatoires, des caps à passer. Mais en NBA, c’est parce que je n’étais pas maître de mon destin, » a-t-il commenté à Basket USA.\n\nCet été, le CSKA et Fenerbahçe, soit les deux clubs les plus riches d’Europe se sont intéressés à son cas. Il est évident que Joffrey est le type d’intérieur absolument parfait pour le jeu FIBA. Seulement San Antonio lui a fait signe de venir et les Spurs, c’est à la fois les avantages de la ligue américaine, une équipe compétitive pour le titre avec des préceptes de jeu très européens et un coach, Gregg Popovich, au-dessus de tous soupçons, qui l’a appelé directement pour le recruter. Une grande première dans sa carrière. Il y a aussi la présence rassurante de Tony Parker. La paye sera bonne pour celui qui a longtemps vécu chichement (1 524 305$ l’année) même si pas excessive. Bref, Joffrey devrait se plaire dans le Texas. Impossible de résister.\n\n« J’ai 25 ans et j’ai encore du temps devant moi. L’Europe, j’ai déjà fait. Et je pourrai toujours l’avoir après. Pour l’instant, je veux voir jusqu’où peut m’amener la NBA. Denver, ça ne m’avait pas vraiment plu. Chicago, ça ne m’a pas plu, même si je n’y suis resté que deux mois. Mais Chicago, je ne voulais même pas y aller car je commençais seulement à me sentir bien à Oklahoma. Ça n’a pas été parfait [avec le Thunder] mais ça me plaisait plutôt bien. Maintenant, San Antonio, c’est parmi ce qui se fait de mieux au niveau du jeu. Ils ne sont plus vraiment en finale chaque année ces deux dernières années mais ils se battent encore pour les finales de conférence. Ce n’est pas rien ! Au niveau de l’organisation, c’est le top. L’avenir nous dira si j’ai bien fait d’être patient. »\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=splimr5zxVE\n\n[armelse]\n\n\nPoste 4 ou poste 5\n\nLe Tournoi de Toulouse aura démontré –si besoin était- que Joffrey Lauvergne est indispensable. Même si ce n’est pas un géant ou du moins un super géant.\n\nA ce propos, quand on lui demande si c’est un grave préjudice de ne pas avoir un pivot à 2,15/2,18m, le néo Spur balaye d’un revers de main les possibles méfaits dus à l’absence de Rudy Gobert et Moustapha Fall.\n\n« Rudy, c’est Rudy. Mous, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu jouer mais je sais que c’est un fort joueur. Dans le basket actuel, plus ça va et plus ça devient petit. Je fais 2,10m, Vincent (Poirier) est même plus grand que moi (2,13m), on n’a pas une équipe qui est petite. On verra, il y a moyen jouer différemment. »\n\nEn revanche, ce même Tournoi de Toulouse n’aura pas permis de savoir si son association avec Kevin Séraphin, temporairement blessé, est hautement performante et où se situe le périmètre de chacun.\n\n« Si j’ai le choix je préfère jouer au poste 4, j’ai plus d’avantages physiques qu’au poste 5 mais honnêtement je m’en fiche un petit peu. »\n\nEst-ce parce qu’il a joué dans quatre pays européens différents (France, Espagne, Serbie, Russie), qu’il n’a pas des moyens athlétiques surnaturels, ou tout autant du fait que dans ses déclarations il apparaît qu’il n’est pas obnubilé par la NBA, Joffrey Lauvergne est probablement davantage profilé pour l’Europe que pour le championnat américain.\n\n« Le jeu est différent. Mais ça reste du basket, mettre la balle dans le panier, mettre plus de points que l’autre équipe. J’ai longtemps joué en Europe, en équipe de France et j’ai l’habitude de ces petits changements. Au niveau de la mentalité, je me sens plus à l’aise ici mais je me suis bien adapté au style de jeu NBA. Je suis content d’être en équipe de France tous les étés. »\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPropos recueillis par Cyril Camacho à Orléans.\n\n Photos: FFBB et BasketUSA", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-21T05:37:23.000Z", "updated_at":"2021-12-02T11:59:24.000Z", "published_at":"2017-08-21T05:37:23.000Z", "custom_excerpt":"En quatre points, ce qu’il faut absolument savoir sur Joffrey Lauvergne (2,10m, 100kg, 25 ans) qui avec l’absence de Rudy Gobert sera notre pivot numéro 1 à l’EuroBasket.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd4f", "uuid":"7bc273f5-7f8c-4cf4-8330-43baa58f1c19", "title":"Préparation EuroBasket: Yakuba Ouattara quitte le groupe France", "slug":"preparation-eurobasket-yakuba-ouattara-quitte-le-groupe-france", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/billy.jpg\",\"width\":333,\"height\":500}],[\"embed\",{\"url\":\"https://t.co/vuC3oLUh4v\",\"html\":\"\\n\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comme on pouvait s’y attendre au vu de la configuration de l’équipe, l’ancien Monégasque Yakuba Ouattara (1,92m, 25 ans) n’est pas retenu pour l’EuroBasket par le coach Vincent Collet à l’issue du tournoi de Toulouse.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cependant, avec l’ajout de Kevin Seraphin, forfait pour ce tournoi à cause d’une légère blessure, et Antoine Diot, qui a dû retourner chez lui en raison d’un deuil familial, les Bleus sont encore treize. 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Comme on pouvait s’y attendre au vu de la configuration de l’équipe, l’ancien Monégasque Yakuba Ouattara (1,92m, 25 ans) n’est pas retenu pour l’EuroBasket par le coach Vincent Collet à l’issue du tournoi de Toulouse.
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L’équipe de France a réalisé le grand chelem au Tournoi de Toulouse et battu l’Italie pour la cinquième fois de suite (88-63). Vingt-cinq points, c’est le plus gros écart depuis un match d’anthologie en 2003 à Lulea.
Remis de ses petits soucis aux adducteurs, Evan Fournier était introduit dans le cinq de départ et a tout de suite rassuré sur son état de santé (17 points au final). Mise en miettes la veille par la Belgique, l’Italie attaquait le match férocement avec un Paul Biligha dynamique et deux trois-points de Nicolo Melli, l’intérieur de Bamberg qui passe au Fenerbahçe. Léo Westermann et Kim Tillie étaient rapidement mis en jeu puis, dans une deuxième vague, Louis Labeyrie et Axel Toupane; Vincent Collet voulait avoir une idée définitive sur l’utilité de les emmener en Finlande. Les Français avaient quand même encaissé beaucoup de points en un quart-temps, 27.
Sur le bord de touche, Ettore Messina, le coach italien était nerveux même si ses joueurs étaient beaucoup plus concernés que lors des deux matches précédents. L’arrière-ailier des Hawks, Marco Belinelli plantait deux paniers du bout de la terre comme il en a le secret. Seulement en face, Thomas Heurtel (4 passes) était très créatif et Joffrey Lauvergne faisait preuve d’une activité débordante face à un jeu intérieur italien faible: 15 points à 4/5 aux shoots ! 47-41 à la mi-temps pour les Bleus qui avaient converti 55% de leurs shoots.
Seul Yakuba Ouattara n’était pas entré en jeu au cours de cette première mi-temps, ce qui était évidemment un signe fort et négatif pour lui en ce qui concerne la suite des événements. L’ancien Monégasque aura droit à une poignée de secondes en toute fin de match.
Avec une meilleure adresse à trois-points, les Français auraient déjà pris le large mais le cap des dix points d’écart (59-48) était tout de même franchi à la 26e minute. On revoyait Evan Fournier dans la lumière et sur une alley oop entre Nando De Colo et Vincent Poirier le score montait à 64-48. Imaginé sur le papier, le talent offensif des Bleus se concrétisait sur le terrain. 71-53 après trente minutes. Et Vincent Poirier (8 points et 3 rebonds en 13′), il y a deux ans encore au Centre Fédéral, était franchement épatant. Plus aucun doute sur sa sélection à l’Euro.
La marge se maintenait autour de la vingtaine de points et grimpait même en fin de match. L’Italie ne devrait pas nourrir trop d’ambitions pour cet Euro et si Marco Belinelli (15 points) a fait le job, le vainqueur de l’Euroleague Luigi Datome (2/12) n’a pas été digne de sa réputation.
Reste à l’équipe de France un dernier match de préparation le dimanche 27 à Berlin contre l’Allemagne, une ultime occasion de présenter l’équipe type avec Antoine Diot et Kevin Seraphin. Elle débutera l’EuroBasket le jeudi 31 face à la Finlande.
La boxscore est ici.
Les statistiques cumulées des Bleus en préparation sont ici.
https://twitter.com/SFR_Sport/status/899357295104151552
Photo : FFBB.
", "comment_id":"406381", "plaintext":"L’équipe de France a réalisé le grand chelem au Tournoi de Toulouse et battu l’Italie pour la cinquième fois de suite (88-63). Vingt-cinq points, c’est le plus gros écart depuis un match d’anthologie en 2003 à Lulea.\n\nRemis de ses petits soucis aux adducteurs, Evan Fournier était introduit dans le cinq de départ et a tout de suite rassuré sur son état de santé (17 points au final). Mise en miettes la veille par la Belgique, l’Italie attaquait le match férocement avec un Paul Biligha dynamique et deux trois-points de Nicolo Melli, l’intérieur de Bamberg qui passe au Fenerbahçe. Léo Westermann et Kim Tillie étaient rapidement mis en jeu puis, dans une deuxième vague, Louis Labeyrie et Axel Toupane; Vincent Collet voulait avoir une idée définitive sur l’utilité de les emmener en Finlande. Les Français avaient quand même encaissé beaucoup de points en un quart-temps, 27.\n\nSur le bord de touche, Ettore Messina, le coach italien était nerveux même si ses joueurs étaient beaucoup plus concernés que lors des deux matches précédents. L’arrière-ailier des Hawks, Marco Belinelli plantait deux paniers du bout de la terre comme il en a le secret. Seulement en face, Thomas Heurtel (4 passes) était très créatif et Joffrey Lauvergne faisait preuve d’une activité débordante face à un jeu intérieur italien faible: 15 points à 4/5 aux shoots ! 47-41 à la mi-temps pour les Bleus qui avaient converti 55% de leurs shoots.\n\nSeul Yakuba Ouattara n’était pas entré en jeu au cours de cette première mi-temps, ce qui était évidemment un signe fort et négatif pour lui en ce qui concerne la suite des événements. L’ancien Monégasque aura droit à une poignée de secondes en toute fin de match.\n\n\nVincent Poirier confirme\n\nAvec une meilleure adresse à trois-points, les Français auraient déjà pris le large mais le cap des dix points d’écart (59-48) était tout de même franchi à la 26e minute. On revoyait Evan Fournier dans la lumière et sur une alley oop entre Nando De Colo et Vincent Poirier le score montait à 64-48. Imaginé sur le papier, le talent offensif des Bleus se concrétisait sur le terrain. 71-53 après trente minutes. Et Vincent Poirier (8 points et 3 rebonds en 13′), il y a deux ans encore au Centre Fédéral, était franchement épatant. Plus aucun doute sur sa sélection à l’Euro.\n\nLa marge se maintenait autour de la vingtaine de points et grimpait même en fin de match. L’Italie ne devrait pas nourrir trop d’ambitions pour cet Euro et si Marco Belinelli (15 points) a fait le job, le vainqueur de l’Euroleague Luigi Datome (2/12) n’a pas été digne de sa réputation.\n\nReste à l’équipe de France un dernier match de préparation le dimanche 27 à Berlin contre l’Allemagne, une ultime occasion de présenter l’équipe type avec Antoine Diot et Kevin Seraphin. Elle débutera l’EuroBasket le jeudi 31 face à la Finlande.\n\nLa boxscore est ici.\n\nLes statistiques cumulées des Bleus en préparation sont ici.\n\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/899357295104151552\n\nPhoto : FFBB.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-20T20:23:54.000Z", "updated_at":"2017-08-21T05:37:52.000Z", "published_at":"2017-08-20T20:23:54.000Z", "custom_excerpt":"L’équipe de France a réalisé le grand chelem au Tournoi de Toulouse et battu l’Italie pour la cinquième fois de suite (88-63). Vingt-cinq points, c’est le plus gros écart depuis un match d’anthologie en 2003 à Lulea.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd51", "uuid":"06370ec0-581c-4344-ad3e-5e4aec8fd12b", "title":"L’Australie l’emporte facilement face à l’Iran et monte sur le toit de l’Asie", "slug":"laustralie-lemporte-facilement-face-a-liran-et-monte-sur-le-toit-de-lasie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/mitch-creek.jpg\",\"width\":1000,\"height\":667}],[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/FIBAAsiaCup2017?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\\n\"}],[\"html\",{\"html\":\"The #FIBAAsiaCup2017 Champions! 🇦🇺 🏆 🇦🇺!#GoBoomers pic.twitter.com/KF7YXlWeUl
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Photo : Mitch Creek (Australie) – FIBA
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Au terme d’une rencontre dominée de bout en bout, l’Australie est devenue championne d’Asie ce soir à Beyrouth au Liban en s’imposant (79-56) face à l’Iran.
Pour sa première participation en tant que pays asiatique, l’Australie l’emporte de manière relativement facile. Lors de la compétition, les joueurs de l’île continent ont remporté chacun de leur match d’une marge de 29 points en moyenne.
La finale face à l’Iran n’a pas dérogé à la règle puisque c’est par 23 points d’écart que les Australiens ont clôt leur récital. Avec ses 18 points (7/10 au shoot), l’expérimenté Brad Newley a rapidement mis son équipe sur les bons rails. Les intérieurs Daniel Kickert (14 points, 6 rebonds) et Angus Brandt (10 points, 8 rebonds) ont eux aussi réalisé un match solide. Côté iranien, le duo d’intérieurs Hamed Haddadi-Arsalan Kazemi n’aura malheureusement pas suffi (27 points, 17 rebonds).
Alors qu’il était resté cloué sur le banc lors du quart et de la demie, le Franco-Iranien Navid Niktash a joué 3’29, le temps pour lui de manquer son unique tentative et de prendre un rebond.
Victorieuse de la Nouvelle-Zélande (80-71) un peu plus tôt dans la journée, la Corée du Sud complète le podium.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, aucun Australien ne fait partie du 5 majeur de la compétition ou n’a été nommé MVP. Le MVP de la compétition est Hamed Haddadi.
Le 5 majeur du tournoi est composé de :
\nThe #FIBAAsiaCup2017 Champions! 🇦🇺 🏆 🇦🇺!#GoBoomers pic.twitter.com/KF7YXlWeUl
\n— Basketball Australia (@BasketballAus) August 20, 2017
Photo : Mitch Creek (Australie) – FIBA
", "comment_id":"406386", "plaintext":"Au terme d’une rencontre dominée de bout en bout, l’Australie est devenue championne d’Asie ce soir à Beyrouth au Liban en s’imposant (79-56) face à l’Iran.\n\nPour sa première participation en tant que pays asiatique, l’Australie l’emporte de manière relativement facile. Lors de la compétition, les joueurs de l’île continent ont remporté chacun de leur match d’une marge de 29 points en moyenne.\n\nLa finale face à l’Iran n’a pas dérogé à la règle puisque c’est par 23 points d’écart que les Australiens ont clôt leur récital. Avec ses 18 points (7/10 au shoot), l’expérimenté Brad Newley a rapidement mis son équipe sur les bons rails. Les intérieurs Daniel Kickert (14 points, 6 rebonds) et Angus Brandt (10 points, 8 rebonds) ont eux aussi réalisé un match solide. Côté iranien, le duo d’intérieurs Hamed Haddadi-Arsalan Kazemi n’aura malheureusement pas suffi (27 points, 17 rebonds).\n\nAlors qu’il était resté cloué sur le banc lors du quart et de la demie, le Franco-Iranien Navid Niktash a joué 3’29, le temps pour lui de manquer son unique tentative et de prendre un rebond.\n\nVictorieuse de la Nouvelle-Zélande (80-71) un peu plus tôt dans la journée, la Corée du Sud complète le podium.\n\nAussi bizarre que cela puisse paraître, aucun Australien ne fait partie du 5 majeur de la compétition ou n’a été nommé MVP. Le MVP de la compétition est Hamed Haddadi.\n\nLe 5 majeur du tournoi est composé de :\n\n * Shea Ili (Nouvelle-Zélande) : 15,4 points, 2,2 rebonds et 5,8 passes en 26,9 minutes\n * Mohammed Jamshidi (Iran) : 16,0 points, 3,7 rebonds et 4,8 passes en 33,3 minutes\n * Fadi El Khatib (Liban) : 25,9 points, 5,9 rebonds et 4,6 passes en 35,4 minutes\n * Sekeun Oh (Corée du Sud) : 16,0 points, 5,7 rebonds et 1,7 passe en 26,3 minutes\n * Hamed Haddadi (Iran) : 16,2 points, 10,8 rebonds et 6,5 passes en 33,5 minutes\n\n\n\n\nThe #FIBAAsiaCup2017 Champions! 🇦🇺 🏆 🇦🇺!#GoBoomers pic.twitter.com/KF7YXlWeUl\n\n\n— Basketball Australia (@BasketballAus) August 20, 2017\n\nPhoto : Mitch Creek (Australie) – FIBA", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-20T20:14:26.000Z", "updated_at":"2017-08-20T20:16:54.000Z", "published_at":"2017-08-20T20:14:26.000Z", "custom_excerpt":"Au terme d’une rencontre dominée de bout en bout, l’Australie est devenue championne d’Asie ce soir à Beyrouth au Liban en s’imposant (79-56) face à l’Iran.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd52", "uuid":"66dd5472-9561-4265-af15-72748721af59", "title":"Eurobasket : au tour de Milos Teodosic de déclarer forfait", "slug":"eurobasket-au-tour-de-milos-teodosic-de-declarer-forfait", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/teodosic.jpg\",\"width\":800,\"height\":534}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : FIBA
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Gros coup dur pour la Serbie : son meneur Milos Teodosic (1,95m, 30 ans) va manquer l’Eurobasket. C’est Eurohoops qui l’annonce.
Décidément c’est une hécatombe qui s’abat sur cet Eurobasket. Après l’Espagnol Sergio Llull, l’Italien Danilo Gallinari, les Français Nicolas Batum et Rudy Gobert ou le Grec Giannis Antetokounmpo, c’est une autre star du basket européen qui doit renoncer : le Serbe Milos Teodosic. La fédération serbe justifie ce forfait comme suit :
« La blessure chronique de Teodosic, à cause de laquelle il a manqué une partie du camp d’entraînement et les matchs de préparation, l’empêche d’être en pleine possession de ses moyens au début de la compétition. Aleksandar Djordjevic et Milos Teodosic, après avoir consulté l’équipe médicale de notre équipe nationale et les Clippers, ont conjointement pris cette décision. »
https://twitter.com/loupaya/status/899320211165372417
Photo : FIBA
", "comment_id":"406377", "plaintext":"Gros coup dur pour la Serbie : son meneur Milos Teodosic (1,95m, 30 ans) va manquer l’Eurobasket. C’est Eurohoops qui l’annonce.\n\nDécidément c’est une hécatombe qui s’abat sur cet Eurobasket. Après l’Espagnol Sergio Llull, l’Italien Danilo Gallinari, les Français Nicolas Batum et Rudy Gobert ou le Grec Giannis Antetokounmpo, c’est une autre star du basket européen qui doit renoncer : le Serbe Milos Teodosic. La fédération serbe justifie ce forfait comme suit :\n\n« La blessure chronique de Teodosic, à cause de laquelle il a manqué une partie du camp d’entraînement et les matchs de préparation, l’empêche d’être en pleine possession de ses moyens au début de la compétition. Aleksandar Djordjevic et Milos Teodosic, après avoir consulté l’équipe médicale de notre équipe nationale et les Clippers, ont conjointement pris cette décision. »\n\nhttps://twitter.com/loupaya/status/899320211165372417\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-20T17:24:01.000Z", "updated_at":"2017-08-20T17:41:23.000Z", "published_at":"2017-08-20T17:24:01.000Z", "custom_excerpt":"Gros coup dur pour la Serbie : son meneur Milos Teodosic (1,95m, 30 ans) va manquer l’Eurobasket. C’est Eurohoops qui l’annonce.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd53", "uuid":"3d7d1462-1e11-4a34-a60f-44ecb60342ff", "title":"Préparation Eurobasket : la Serbie surclasse l’Allemagne", "slug":"preparation-eurobasket-la-serbie-surclasse-lallemagne", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/stefanbircevic-e1503245634819.jpg\",\"width\":800,\"height\":534}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Stefan Bircevic / FIBA
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Amputée par les absences de Nikola Jokic, Nikola Milutinov, Marko Simonovic, Nemanja Nedovic et Miroslav Raduljica, la Serbie s’est largement imposée face à l’Allemagne en match amical ce dimanche à Hambourg.
Portés par Stefan Bircevic et Vladimir Stimac auteurs de 21 et 20 points, les Serbes n’ont laissé aucune chance aux compatriotes de Dirk Nowitzki qui a pris sa retraite internationale en début d’année 2016. Au final, les coéquipiers du néo Madrilène Ognjen Kuzmic (10 points) l’ont emporté 87-56 contre les Allemands de Dennis Schroder qui a enregistré 16 points et 6 passes décisives.
Photo : Stefan Bircevic / FIBA
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\\n\"}],[\"html\",{\"html\":\"Happy to announce signing our #ulsm client Navid Niktash to Iranian power house Petrochimi Bander Imam #ultimateloyaltysports #fiba #nba pic.twitter.com/ZQAWG1Soth
\\n— Aydin Dianat (@AydinDianat) August 20, 2017
Photo : FIBA
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Alors qu’il va disputer ce soir la finale de la Coupe d’Asie contre l’Australie, le Franco-Iranien Navid Niktash (2,03m, 26 ans) a signé chez le double champion d’Iran en titre, Petrochimi.
Que de chemin parcouru par le natif du Mans ! Encore en NM3 il y a à peine trois ans, Navid Niktash évoluera la saison prochaine chez l’un des plus gros clubs du championnat iranien. Sa saison réussie avec les London Lions lui a en effet permis de signer à Petrochimi, comme l’annonce sur Twitter son agent. Situé dans la ville de Bandar-e Mahshahr aux confins du Golfe Persique, ce club a remporté 4 des 5 derniers championnats nationaux. Il aura pour coéquipier Mirza Begic, international slovène passé notamment par le Zalgiris Kaunas, le Real Madrid et Vitoria.
\nHappy to announce signing our #ulsm client Navid Niktash to Iranian power house Petrochimi Bander Imam #ultimateloyaltysports #fiba #nba pic.twitter.com/ZQAWG1Soth
\n— Aydin Dianat (@AydinDianat) August 20, 2017
Mais avant de se lancer dans cette nouvelle aventure, l’ancien espoir du Mans et de Hyères-Toulon disputera ce soir à 20h la finale de la Coupe d’Asie contre l’Australie de David Andersen (ex Strasbourg et ASVEL). En 7,9 minutes par match, il y inscrit en moyenne 2,0 points et 2,3 rebonds.
Photo : FIBA
", "comment_id":"406365", "plaintext":"Alors qu’il va disputer ce soir la finale de la Coupe d’Asie contre l’Australie, le Franco-Iranien Navid Niktash (2,03m, 26 ans) a signé chez le double champion d’Iran en titre, Petrochimi.\n\nQue de chemin parcouru par le natif du Mans ! Encore en NM3 il y a à peine trois ans, Navid Niktash évoluera la saison prochaine chez l’un des plus gros clubs du championnat iranien. Sa saison réussie avec les London Lions lui a en effet permis de signer à Petrochimi, comme l’annonce sur Twitter son agent. Situé dans la ville de Bandar-e Mahshahr aux confins du Golfe Persique, ce club a remporté 4 des 5 derniers championnats nationaux. Il aura pour coéquipier Mirza Begic, international slovène passé notamment par le Zalgiris Kaunas, le Real Madrid et Vitoria.\n\n\n\n\nHappy to announce signing our #ulsm client Navid Niktash to Iranian power house Petrochimi Bander Imam #ultimateloyaltysports #fiba #nba pic.twitter.com/ZQAWG1Soth\n\n\n— Aydin Dianat (@AydinDianat) August 20, 2017\n\nMais avant de se lancer dans cette nouvelle aventure, l’ancien espoir du Mans et de Hyères-Toulon disputera ce soir à 20h la finale de la Coupe d’Asie contre l’Australie de David Andersen (ex Strasbourg et ASVEL). En 7,9 minutes par match, il y inscrit en moyenne 2,0 points et 2,3 rebonds.\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-20T15:18:33.000Z", "updated_at":"2017-08-20T15:19:50.000Z", "published_at":"2017-08-20T15:18:33.000Z", "custom_excerpt":"Alors qu’il va disputer ce soir la finale de la Coupe d’Asie contre l’Australie, le Franco-Iranien Navid Niktash (2,03m, 26 ans) a signé chez le double champion d’Iran en titre, Petrochimi.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd56", "uuid":"07f8d2f5-359e-4cc7-9d84-c7af2098b18a", "title":"Serbie: Finalement, Nemanja Nedovic pourrait être apte à jouer l’Euro", "slug":"serbie-finalement-nemanja-nedovic-pourrait-etre-apte-a-jouer-leuro", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/nedovic.jpg\",\"width\":500,\"height\":334}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"http://sportklub.rs/Kosarka/Eurobasket/a181718-Nedovic-ipak-dobro-prikljucuje-se-Orlovima-u-Atini.html\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Alors qu’il y a une semaine, une blessure à la clavicule, qui pouvait même nécessiter une opération, semblait éloigner des terrains Nemanja Nedovic (1,92m, 26 ans) pour un bout de temps, celui-ci pourrait finalement être opérationnel pour le championnat d’Europe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le meneur serbe a été examiné par le staff médical de Unicaja Malaga et d’après \"],[0,[0],1,\"Sportklub\"],[0,[],0,\", il pourrait rejoindre son équipe nationale pour le Tournoi de l’Acropole à la fin de la semaine.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nemanja Nedovic a apporté 5,6 points et 1,6 passe lors des Jeux de Rio à l’issue desquels la Serbie a remporté la médaille d’argent.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/nedovic.jpg\")
Alors qu’il y a une semaine, une blessure à la clavicule, qui pouvait même nécessiter une opération, semblait éloigner des terrains Nemanja Nedovic (1,92m, 26 ans) pour un bout de temps, celui-ci pourrait finalement être opérationnel pour le championnat d’Europe.
Le meneur serbe a été examiné par le staff médical de Unicaja Malaga et d’après Sportklub, il pourrait rejoindre son équipe nationale pour le Tournoi de l’Acropole à la fin de la semaine.
Nemanja Nedovic a apporté 5,6 points et 1,6 passe lors des Jeux de Rio à l’issue desquels la Serbie a remporté la médaille d’argent.
Photo: FIBA
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Annoncé en partance pour la NBA ou proche du Fenerbahce, Brad Wanamaker va finalement continuer l’aventure avec le Dacka Dogus à la rentrée.
Le natif de Philadelphie a confié à David Pick qu’il a décidé de rester au sein de la formation menée par David Blatt. Une formation qui lui offre en échange 1,5 million de dollars sur la saison mais avec laquelle il disputera l’Eurocup et non l’Euroleague.
La saison dernière, Bradley Wanamaker compilait en moyenne 16,7 points, 4,6 passes décisives et 3,1 rebonds en C1.
Photo : Euroleague
", "comment_id":"406347", "plaintext":"Annoncé en partance pour la NBA ou proche du Fenerbahce, Brad Wanamaker va finalement continuer l’aventure avec le Dacka Dogus à la rentrée.\n\nLe natif de Philadelphie a confié à David Pick qu’il a décidé de rester au sein de la formation menée par David Blatt. Une formation qui lui offre en échange 1,5 million de dollars sur la saison mais avec laquelle il disputera l’Eurocup et non l’Euroleague.\n\nLa saison dernière, Bradley Wanamaker compilait en moyenne 16,7 points, 4,6 passes décisives et 3,1 rebonds en C1.\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-20T12:11:33.000Z", "updated_at":"2017-08-20T13:06:06.000Z", "published_at":"2017-08-20T12:11:33.000Z", "custom_excerpt":"Annoncé en partance pour la NBA ou proche du Fenerbahce, Brad Wanamaker va finalement continuer l’aventure avec le Dacka Dogus à la rentrée.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd58", "uuid":"07704245-afbf-400e-8efb-93aa226ef620", "title":"La Turquie s’impose face à la Slovénie", "slug":"tel-aviv-la-turquie-simpose-a-la-slovenie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/cedi-osman.jpg\",\"width\":500,\"height\":397}],[\"html\",{\"html\":\"Photo: Cedi Osman
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Lors d’un tournoi amical à Tel-Aviv, la Turquie a vaincu la Slovénie, 86-84.
Les ailiers Melih Mahmutoglu (1,93m, 27 ans, Fenerbaçe) et Cedi Osman (2,04m, 22 ans, Anadolou Efes) ont scoré 20 points du côté des vainqueurs tandis que l’étoile du Real Madrid Goran Dragic (1,90m, 21 ans) et le néo-Parisien Klemen Prepelic (1,91m, 25 ans) ont marqué respectivement 22 et 19 points pour les Slovènes.
Photo: Cedi Osman
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Souffelweyersheim a remporté, dans le gymnase des Sept-Arpents, le derby strasbourgeois de pré-saison face à la SIG sous les yeux de Frank Ntilikina (66-65).
A souligner que le finaliste des playoffs de Pro A n’avait que cinq pros à disposition et était coaché par l’adjointe de Vincent Collet, Lauriane Dolt.
Olivier Cortale s’est mis en évidence avec 18 points et 14 rebonds.
", "comment_id":"406321", "plaintext":"Souffelweyersheim a remporté, dans le gymnase des Sept-Arpents, le derby strasbourgeois de pré-saison face à la SIG sous les yeux de Frank Ntilikina (66-65).\n\nA souligner que le finaliste des playoffs de Pro A n’avait que cinq pros à disposition et était coaché par l’adjointe de Vincent Collet, Lauriane Dolt.\n\nOlivier Cortale s’est mis en évidence avec 18 points et 14 rebonds.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-20T06:54:25.000Z", "updated_at":"2017-08-20T09:15:53.000Z", "published_at":"2017-08-20T06:54:25.000Z", "custom_excerpt":"Souffelweyersheim a remporté, dans le gymnase des Sept-Arpents, le derby strasbourgeois de pré-saison face à la SIG sous les yeux de Frank Ntilikina (66-65).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd5a", "uuid":"96019a34-7e9a-4a08-b521-533e773f76bf", "title":"Qualifications Coupe du Monde 2019: 8 pays rejoignent les 24 déjà qualifiés", "slug":"qualifications-coupe-du-monde-2019-8-pays-rejoignent-les-24-deja-qualifies", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/tirage-e1503211290352.jpg\",\"width\":800,\"height\":457}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Huit pays se sont qualifiés pour la zone européenne de qualifications pour la Coupe du Monde 2019 et qui comportera un total de trente-deux équipes. Ce sont :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Autriche, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Estonie, Kosovo, Pays-Bas et Suède.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un tirage au sort va répartir ces huit équipes dans les différents groupes. La France est dans le groupe E avec la Belgique et la Russie qui accueillera ainsi une de ces huit équipes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ces qualifications se joueront à travers quatre fenêtres et débuteront le 23 novembre pour se conclure le 25 février 2019. Douze équipes européennes seront qualifiées pour la Coupe du Monde 2019 en Chine.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/tirage-e1503211290352.jpg\")
Huit pays se sont qualifiés pour la zone européenne de qualifications pour la Coupe du Monde 2019 et qui comportera un total de trente-deux équipes. Ce sont :
Autriche, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Estonie, Kosovo, Pays-Bas et Suède.
Un tirage au sort va répartir ces huit équipes dans les différents groupes. La France est dans le groupe E avec la Belgique et la Russie qui accueillera ainsi une de ces huit équipes.
Ces qualifications se joueront à travers quatre fenêtres et débuteront le 23 novembre pour se conclure le 25 février 2019. Douze équipes européennes seront qualifiées pour la Coupe du Monde 2019 en Chine.
", "comment_id":"406317", "plaintext":"Huit pays se sont qualifiés pour la zone européenne de qualifications pour la Coupe du Monde 2019 et qui comportera un total de trente-deux équipes. Ce sont :\n\nAutriche, Biélorussie, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Estonie, Kosovo, Pays-Bas et Suède.\n\nUn tirage au sort va répartir ces huit équipes dans les différents groupes. La France est dans le groupe E avec la Belgique et la Russie qui accueillera ainsi une de ces huit équipes.\n\nCes qualifications se joueront à travers quatre fenêtres et débuteront le 23 novembre pour se conclure le 25 février 2019. 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– Emmenée par un exceptionnel Nando De Colo, mais aussi par les excellents Thomas Heurtel et Léo Westermann, l’équipe de France a broyé le Monténégro… Lire la suite.
– Avec un effectif largement modifié cet été, les Bisontines, qui viennent de reprendre l’entraînement, comptent bien assurer leur pérennité en N3 cette… Lire la suite.
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– Une semaine après un premier affrontement à Pfastatt (N2) remporté d’une courte tête (78-77) par le BesAC, les deux formations avaient rendez-vous… Lire la suite.
– L’un des joueurs-vedette de la Grèce Giannis Antetokounmpo se retrouve au cœur d’un imbroglio après l’annonce ce samedi de son forfait pour… Lire la suite.
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– Le Classique de pré-saison entre le BCS et la SIG a tourné, hier soir, à l’avantage des Souffelois. Darion Atkins et Zack Wright sont à créditer de… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– « C’est une victoire de prestige, mais ça reste un match de préparation et la SIG n’était qu’à cinq pros (…). C’est bien, parce qu’on s’est accroché… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Ce dimanche à 15 heures, la bande à Benintendi retrouvera sa salle et son public pour son deuxième match de préparation de la saison… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
![\"ouest](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/ouest-france.jpg\")
– L’équipe de France monte en régime. Vingt-quatre heures après sa large victoire face à la Belgique (85-60), les Bleus ont offert un récital offensif contre le Monténégro (100-70), samedi à … Lire la suite.
– Après avoir connu trois victoires lors de ses trois premiers matchs amicaux, l’UTBM a connu sa première défaite… amicale à Angers (74-70). Mais Pierre Tavano, pourtant très … Lire la suite.
– L’équipe de France monte en régime. Vingt-quatre heures après sa large victoire face à la Belgique (85-60), les Bleus ont offert un récital offensif contre le Monténégro (100-70), hier à … Lire la suite.
– Le classique amical de pré-saison entre le BCS et la SIG a tourné, hier soir, à l’avantage des Souffelois (66-65). Darion Atkins et Zack Wright sont à… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Arrivé en Alsace cet été, Darion Atkins ne tarit pas d’éloges sur la SIG et son environnement. Le jeune et ambitieux intérieur américain veut aider le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les basketteurs de Dessenheim ont débité leur préparation au début du mois d’août sous la direction de leur nouveau coach, Lionel Usché et avec leur… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Bleus ont offert un récital offensif contre le Monténégro (100-70), hier à Toulouse à moins de deux semaines du début du Championnat d’Europe… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Le CSSL Rixheim a battu hier soir Weitbruch (71-54) dans sa salle de la Cité des Sports et affrontera cet après-midi la SIG II en finale du tournoi… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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Darion Atkins et Zack Wright sont à créditer de… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\n« C’est une victoire de prestige, mais ça reste un match de préparation et la SIG n’était qu’à cinq …\n\n– « C’est une victoire de prestige, mais ça reste un match de préparation et la SIG n’était qu’à cinq pros (…). C’est bien, parce qu’on s’est accroché… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nRetrouvailles à Cherblanc pour le BCMF\n\n– Ce dimanche à 15 heures, la bande à Benintendi retrouvera sa salle et son public pour son deuxième match de préparation de la saison… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nBasket-ball. La France enchaîne face au Monténégro\n\n– L’équipe de France monte en régime. Vingt-quatre heures après sa large victoire face à la Belgique (85-60), les Bleus ont offert un récital offensif contre le Monténégro (100-70), samedi à … Lire la suite.\n\n\nBASKET L’UTBM battue à Angers\n\n– Après avoir connu trois victoires lors de ses trois premiers matchs amicaux, l’UTBM a connu sa première défaite… amicale à Angers (74-70). Mais Pierre Tavano, pourtant très … Lire la suite.\n\n\nLes Français confirment en surclassant le Monténégro\n\n– L’équipe de France monte en régime. Vingt-quatre heures après sa large victoire face à la Belgique (85-60), les Bleus ont offert un récital offensif contre le Monténégro (100-70), hier à … Lire la suite.\n\n\nPlutôt encourageant\n\n– Le classique amical de pré-saison entre le BCS et la SIG a tourné, hier soir, à l’avantage des Souffelois (66-65). Darion Atkins et Zack Wright sont à… Lire la suite. 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Qui a dit que la formation @ffbasketball était une Bérézina ? pic.twitter.com/rFF6eTrFPn
\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) August 19, 2017
Photo: FIBA Europe
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Après le triomphe de l’Équipe de France U16 qui est devenu Championne d’Europe ce samedi à Podgorica au Monténégro après avoir battu, en finale, l’hôte de la compétition, 75 à 68, le président de la Fédération, Jean-Pierre Siutat et le Directeur Technique Nationale, Patrick Beesley, ont exprimé leur satisfaction. C’est la première fois de l’histoire du basket français que les U16 remportent en masculin et en féminin un championnat d’Europe la même année.
« Après l’Équipe de France féminine U16 c’est au tour des garçons de briller et de rapporter une médaille d’or à la France. Une fois de plus le travail de formation réalisé par la FFBB et par l’ensemble des comités, des ligues et des clubs français est à l’honneur », insiste Jean-Pierre Siutat. » Je suis fier de compter une nouvelle équipe sur le podium, cela fait 6 équipes au total depuis le début du mois de juin avec l’Équipe de France féminine A et A’ (Argent à l’Euro et Or lors des Jeux de la Francophonie) et les Équipes de France jeunes (U16 filles et garçons, U18 féminine et U20 masculin). Comme pour les féminines, souhaitons que certains d’entre eux puissent représenter la France aux Jeux Olympiques de 2024, que nous espérons à Paris. »
« Quelle belle génération de 2001 nous avons là, aussi bien chez les filles que chez les garçons ! », s’enthousiasme Patrick Beesley. « Bravo tout d’abord à Bernard Faure et son staff pour le travail effectué. Les joueurs ont montré de très belles qualités tout au long de la compétition et ont fait honneur à la formation française. C’est un bilan très satisfaisant pour l’ensemble de nos équipes de France jeunes. Ce résultat nous oblige à encore plus de travail à l’avenir pour mettre en avant notre formation réalisée aussi bien dans les clubs qu’au Centre Fédéral (CFBB – Insep). »
\nAprès le doublé U18 F&M en 2016, c'est un doublé inédit U16 en 2017. Qui a dit que la formation @ffbasketball était une Bérézina ? pic.twitter.com/rFF6eTrFPn
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Photo: FIBA Europe
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Photo: FIBA Europe
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Deux Monténégrins ont été élus dans le Cinq All-Star de l’Euro U16 -le tournoi s’est tenu à Podgoricia- mais c’est bien Killian Hayes qui a été désigné MVP.
Le Choletais a réussi une moyenne assez incroyable de 16,7 points à 51,9% de réussite aux tirs, 7,0 rebonds, 5,1 passes et 2,7 interceptions pour 22,6 d’évaluation. Il rejoint notamment au palmarès Antoine Diot (2004) et Killian Tillie (2014).
Cinq All-Star: Killian Hayes (France), Bojan Tomasevic et Stefan Vlahovic (Monténégro) Matej Rudan (Croatie) et Djordje Pazin (Serbie).
\n21 PTS on 9 FGA for Hayes in final. May be best long-term INTL prospect I've seen this summer. All the ingredients. https://t.co/OEh1CCEyZZ
\n— Mike Schmitz (@Mike_Schmitz) August 19, 2017
Photo: FIBA Europe
", "comment_id":"406299", "plaintext":"Deux Monténégrins ont été élus dans le Cinq All-Star de l’Euro U16 -le tournoi s’est tenu à Podgoricia- mais c’est bien Killian Hayes qui a été désigné MVP.\n\nLe Choletais a réussi une moyenne assez incroyable de 16,7 points à 51,9% de réussite aux tirs, 7,0 rebonds, 5,1 passes et 2,7 interceptions pour 22,6 d’évaluation. Il rejoint notamment au palmarès Antoine Diot (2004) et Killian Tillie (2014).\n\nCinq All-Star: Killian Hayes (France), Bojan Tomasevic et Stefan Vlahovic (Monténégro) Matej Rudan (Croatie) et Djordje Pazin (Serbie).\n\n\n\n\n21 PTS on 9 FGA for Hayes in final. May be best long-term INTL prospect I've seen this summer. All the ingredients. https://t.co/OEh1CCEyZZ\n\n\n— Mike Schmitz (@Mike_Schmitz) August 19, 2017\n\nPhoto: FIBA Europe", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-19T20:54:36.000Z", "updated_at":"2017-08-20T09:17:22.000Z", "published_at":"2017-08-19T20:54:36.000Z", "custom_excerpt":"Deux Monténégrins ont été élus dans le Cinq All-Star de l’Euro U16 -le tournoi s’est tenu à Podgoricia- mais c’est bien Killian Hayes qui a été désigné MVP.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd5e", "uuid":"f20dacfd-1950-47ac-90a9-5463f3395413", "title":"Euro U16M : les Bleuets champions d’Europe !", "slug":"euro-u16m-les-bleuets-champions-deurope", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/edf-u16-e1503173737163.jpg\",\"width\":800,\"height\":566}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/MW2e4pYP9AU?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"html\",{\"html\":\"\"}],[\"html\",{\"html\":\"
Photo : FIBA
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Comme les filles sacrées championnes d’Europe il y a quelques jours, les garçons ont raflé le trophée en U16. Ils ont réussi l’exploit de terrasser, 75 à 68, le Monténégro qui avait pourtant l’avantage du terrain, à Podgorica.
Après un début de match parfait sous l’impulsion de l’inévitable Killian Hayes, leader de cette sélection, les Bleuets comptaient déjà quatorze points d’avance après 10 minutes de jeu (28-14). De retour sur le terrain, les Monténégrins rentrent dans leur match et tentent de refaire leur retard et s’imposent 20-17 dans la période. Score à la mi-temps : 45-34 pour les Français.
Hésitants au retour des vestiaires, les joueurs de Bernard Faure laissent leurs adversaires revenir à leur hauteur et parviennent à garder un peu d’avance grâce à deux shoots à trois points d’Anthony Da Silva et Timothe Crusol. Après trente minutes, la France est, malgré tout, toujours en tête mais voit le Monténégro revenir dangereusement, 56-52.
De retour pour les dix dernières minutes de cette compétition, les Bleuets se remettent dans le rythme en passant par les leaders Théo Maledon au lay-up, Killian Hayes au contre, encore une fois Maledon mais cette fois-ci à trois points et enfin Essome Miyem avec le hook shot avant que Mladen Ostojic prenne un temps mort (64-56). Relancés dans ce match, les coéquipiers de Théo Maledon remportent finalement cette rencontre sur le score de 75-68 après s’être fait quelques frayeurs dans les dernières minutes.
Meilleur joueur de la rencontre et MVP du tournoi, Killian Hayes a compilé 21 points, 8 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 26 en 33 minutes de jeu.
Seulement quelques jours après les filles, les U16 masculin s’imposent donc en finale de cet Euro et décrochent la médaille d’or après un superbe tournoi.
https://twitter.com/jguerineau/status/899004034564194305
Photo : FIBA
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\\n— Arnaud Lecomte (@ArnoLecomte) August 19, 2017
Photo: FFBB
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C’était le premier France-Monténégro de l’histoire -ce pays de l’ex-Yougoslavie de 660 000 habitants n’a que onze ans d’âge- et il aura donné lieu à une première mi-temps flamboyante des Bleus auteurs de 61 points avec un sublime Nando De Colo (20 points à 7/8 aux tirs, 5 passes, 26 d’évaluation durant la période). Le score final (100 à 70) est presque anecdotique.
Pour fêter sa 150e sélection – il est désormais le 18e dans l’ordre national de tous les temps-, Nando De Colo illuminait le jeu dès les premières minutes, aussi bien par sa créativité, sa finition et son sens de l’anticipation (9 points, 13 d’évaluation en moins de 6 minutes). Comme prévu, les Monténégrins proposaient un solide jeu intérieur avec Nikola Vucevic, neveu de Savo, le coach de Bourg-en-Bresse, en double double avec le Orlando Magic (14,6 points et 10,3 rebonds), et le barbu Bojan Dubljevic, champion d’Espagne avec le Valence d’Antoine Diot et MVP des finales espagnoles. Un moment victime d’une échappée des Français, les hommes de Bogdan Tanjevic, 70 ans, ancien coach de Limoges et Villeurbanne, infligeaient -grâce à une bonne adresse (9/15)- un 9-2 aux Français pour revenir à égalité à 23 (10e).
Naturellement, Vincent Collet procédait à une complète revue d’effectif afin d’évacuer ses derniers doutes pour la sélection définitive pour l’Euro. Pas facile car chacun mettait le paquet pour gagner son ticket. La présence ou non de Nando De Colo sur le terrain changeait la face du match, mais Thomas Heurtel (10 points, 4 passes) aussi était inspiré et, pour compléter l’effet ligne d’arrières, Léo Westermann (8 points, 6 passes) apportait son écot. Kim Tillie reprenait confiance en faisant du bon taf et rebattait lui aussi les cartes.
On voyait du très beau jeu collectif offensif et un retour aux valeurs nationales en défense, et cela se traduisait par une volée de bois vert: 16 à 2 en deux minutes trente, 38 à 12 dans le deuxième quart-temps, 61-35 sur vingt minutes! Le Monténégo était a-to-mi-sé.
Avec un tel écart, le match perdait de son sel. Les Monténégrins paraissaient démobilisés. Thomas Heurtel était en mode all-star game avec une cargaison de passes dans le dos. Comme il souffrait d’une petite contracture à l’aine, Evan Fournier restait sur le banc, ce qui permettait aux réservistes à son poste d’avoir davantage de temps de jeu.
Bien discret durant l’orage de la première mi-temps, le meneur américain de Barcelone Tyrese Rice scorait 14 points mais cela ne signifiait pas grand chose. Les titulaires français assurés de leur place à l’Euro étaient sur le touche.
Le 100e point des Français était inscrit sur un dunk de Louis Labeyrie. Sinon Evan Fournier et Boris Diaw, chaque Français a passé un minimum de 15 minutes sur le terrain.
Vincent Collet va avoir des maux de tête pour savoir quels joueurs il va éliminer après le dernier match à Toulouse, demain face à l’Italie.
La boxscore est ici.
https://twitter.com/SFR_Sport/status/898984911234891776
\nPlus grosse attaque France sur 1/4 temps (38) et mi-temps (61) de l'ère Collet et possiblement du 21e siècle
\n— Arnaud Lecomte (@ArnoLecomte) August 19, 2017
Photo: FFBB
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Un moment victime d’une échappée des Français, les hommes de Bogdan Tanjevic, 70 ans, ancien coach de Limoges et Villeurbanne, infligeaient -grâce à une bonne adresse (9/15)- un 9-2 aux Français pour revenir à égalité à 23 (10e).\n\nNaturellement, Vincent Collet procédait à une complète revue d’effectif afin d’évacuer ses derniers doutes pour la sélection définitive pour l’Euro. Pas facile car chacun mettait le paquet pour gagner son ticket. La présence ou non de Nando De Colo sur le terrain changeait la face du match, mais Thomas Heurtel (10 points, 4 passes) aussi était inspiré et, pour compléter l’effet ligne d’arrières, Léo Westermann (8 points, 6 passes) apportait son écot. Kim Tillie reprenait confiance en faisant du bon taf et rebattait lui aussi les cartes.\n\nOn voyait du très beau jeu collectif offensif et un retour aux valeurs nationales en défense, et cela se traduisait par une volée de bois vert: 16 à 2 en deux minutes trente, 38 à 12 dans le deuxième quart-temps, 61-35 sur vingt minutes! Le Monténégo était a-to-mi-sé.\n\n\nUn temps de jeu très réparti\n\nAvec un tel écart, le match perdait de son sel. Les Monténégrins paraissaient démobilisés. Thomas Heurtel était en mode all-star game avec une cargaison de passes dans le dos. Comme il souffrait d’une petite contracture à l’aine, Evan Fournier restait sur le banc, ce qui permettait aux réservistes à son poste d’avoir davantage de temps de jeu.\n\nBien discret durant l’orage de la première mi-temps, le meneur américain de Barcelone Tyrese Rice scorait 14 points mais cela ne signifiait pas grand chose. 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L’international a informé la Fédération de ce forfait de Chine, où il effectue actuellement une tournée promotionnelle.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« L’absence d’Antetokounmpo ne nous surprend pas. Nous étions inquiets depuis l’arrivée de Giannis en Grèce et, dès le début de notre camp d’entraînement de l’équipe nationale, nous avons eu la conviction d’un projet organisé et bien organisé par les Bucks empêchant Giannis Antetokounmpo de jouer à Eurobasket. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un nouvel épisode des relations électriques entre les fédérations nationales et les franchises NBA qui rechignent à mettre leurs joueurs « à disposition » pour les équipes nationales.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo: FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/giannis-antetokounmpo.jpg\")
Dans un communiqué, la Fédération grecque accuse les Milwaukee Bucks d’avoir fomenté une cabale afin que Giannis Antetokounmpo déclare forfait pour le prochain Eurobasket. L’international a informé la Fédération de ce forfait de Chine, où il effectue actuellement une tournée promotionnelle.
« L’absence d’Antetokounmpo ne nous surprend pas. Nous étions inquiets depuis l’arrivée de Giannis en Grèce et, dès le début de notre camp d’entraînement de l’équipe nationale, nous avons eu la conviction d’un projet organisé et bien organisé par les Bucks empêchant Giannis Antetokounmpo de jouer à Eurobasket. »
Un nouvel épisode des relations électriques entre les fédérations nationales et les franchises NBA qui rechignent à mettre leurs joueurs « à disposition » pour les équipes nationales.
Photo: FIBA
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Photo : BCL
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Nancéien le temps des quinze premiers matchs de Pro A la saison dernière, Thaddeus McFadden avait ensuite pris la direction de la Grèce et rejoint le PAOK.
Après avoir disputé 26 rencontres avec la formation grecque entre le championnat et la Champions League, le natif de Flint dans le Michigan s’est engagé, selon Sportando, avec le finaliste de la première division macédonienne, le Karpos Sokoli. Une première pour l’ancien pensionnaire de Fairmont State qui est déjà passé par la République tchèque, l’Allemagne, Chypre, la Grèce et donc la France.
La saison dernière à Thessalonique, Thaddeus McFadden compilait en moyenne 10 points, 2,1 rebonds et 1,7 passe décisive en championnat et 16,1 points, 3,3 rebonds et 1,9 assist pour une évaluation de 12 en BCL.
Photo : BCL
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La Grèce va devoir se passer de sa star Giannis Antetokounmpo (2,11m, 22 ans) pour l’Eurobasket.
« Je veux que tout le monde soit informé par moi-même que je ne pourrai pas jouer pour l’équipe nationale grecque au prochain Eurobasket », annoncé la star des Milwaukee Bucks (22,9 points et 8,8 rebonds la saison passée) et de l’équipe nationale grecque dans un communiqué.
Giánnis Antetokoúnmpo ressentait depuis quelques jours une douleur au genou et les examens effectués par le staff médical des Bucks, qui s’est déplacé spécialement en Chine où il effectue une tournée de promotion pour son équipementier Nike, ont confirme que son état de santé n’est pas compatible avec la compétition.
« L’été dernier, j’ai eu l’option de «geler» l’accord pour l’extension de mon contrat. Cette année, je n’ai pas le choix. Je suis blessé, je ressens de la douleur et je dois guérir », explique t-il ajoutant: « C’est de loin la plus grande déception que j’ai ressenti jusqu’ici dans ma carrière. Je veux souhaiter le meilleur du fond de mon cœur à mes coéquipiers et entraîneurs. L’équipe nationale est mon équipe préférée et, à l’avenir, je prouverai avec mes coéquipiers que nous pourrons atteindre des objectifs élevés et rendre heureux tous les Grecs. »
Il s’agit évidemment d’un coup de bambou sur la tête des Grecs quand on connaît les qualités de celui qui devait être leur leader et aussi… le soulagement de leurs futurs adversaires dont la France qui est dans le même groupe de l’EuroBasket à Helsinki.
Photo: FIBA
", "comment_id":"406261", "plaintext":"La Grèce va devoir se passer de sa star Giannis Antetokounmpo (2,11m, 22 ans) pour l’Eurobasket.\n\n« Je veux que tout le monde soit informé par moi-même que je ne pourrai pas jouer pour l’équipe nationale grecque au prochain Eurobasket », annoncé la star des Milwaukee Bucks (22,9 points et 8,8 rebonds la saison passée) et de l’équipe nationale grecque dans un communiqué.\n\nGiánnis Antetokoúnmpo ressentait depuis quelques jours une douleur au genou et les examens effectués par le staff médical des Bucks, qui s’est déplacé spécialement en Chine où il effectue une tournée de promotion pour son équipementier Nike, ont confirme que son état de santé n’est pas compatible avec la compétition.\n\n« L’été dernier, j’ai eu l’option de «geler» l’accord pour l’extension de mon contrat. Cette année, je n’ai pas le choix. Je suis blessé, je ressens de la douleur et je dois guérir », explique t-il ajoutant: « C’est de loin la plus grande déception que j’ai ressenti jusqu’ici dans ma carrière. Je veux souhaiter le meilleur du fond de mon cœur à mes coéquipiers et entraîneurs. L’équipe nationale est mon équipe préférée et, à l’avenir, je prouverai avec mes coéquipiers que nous pourrons atteindre des objectifs élevés et rendre heureux tous les Grecs. »\n\nIl s’agit évidemment d’un coup de bambou sur la tête des Grecs quand on connaît les qualités de celui qui devait être leur leader et aussi… le soulagement de leurs futurs adversaires dont la France qui est dans le même groupe de l’EuroBasket à Helsinki.\n\nPhoto: FIBA", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-19T16:13:51.000Z", "updated_at":"2017-08-19T16:23:58.000Z", "published_at":"2017-08-19T16:13:51.000Z", "custom_excerpt":"La Grèce va devoir se passer de sa star Giannis Antetokounmpo (2,11m, 22 ans) pour l’Eurobasket.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd64", "uuid":"6ad2777d-0b7a-4426-bff3-5dd755cd3059", "title":"EuroBasket U16: La finale France-Monténégro à suivre en direct sur YouTube", "slug":"eurobasket-u16-la-finale-france-montenegro-a-suivre-en-direct-sur-youtube", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/killian-hayes-2.jpg\",\"width\":500,\"height\":369}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/MW2e4pYP9AU?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/maine-et-loire/avec-le-fils-les-hayes-font-la-paire-4805139\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://www.fiba.basketball/europe/u16/2017/France/#tab=overview,average_statistics\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La FIBA propose sur YouTube l’ensemble des matches des championnats européens de jeunes de cet été dont, ce soir à 20h30, la finale des U16 entre la France et le Monténégro. Coïncidence, les deux équipes nationales A s’affrontent à la même heure à Toulouse.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cet Euro se tient à Podgorica, 145 000 habitants, la capitale du Montenegro et l’ambiance s’annonce suffocante pour nos Bleuets.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Jusqu’ici les Français sont invaincus alors que le Montenegro a bizarrement perdu face à la Lettonie (66-80) mais a accroché à son tableau de chasse l’Espagne (77-76) et la Serbie (73-66), un pays auquel il fut rattaché jusqu’en juin 2006.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’équipe de France est menée par Killian Hayes (1,92m, Cholet) qui affiche de remarquables statistiques: 15,8 points (48,6% de réussite), 6,8 rebonds, 5,7 passes et 3,2 interceptions.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Killian et le fils de DeRon (1,96m, 24 ans), un Américain naturalisé français, qui a fait une très longue carrière en pro et qui à 47 ans joue encore en RM1 à Cholet. A lire ce très intéressant portrait des deux joueurs dans\"],[0,[1],1,\" Ouest France\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les statistiques de la France sont \"],[0,[2],1,\"ici\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La France a déjà été deux fois championne d’Europe cadets, en 2004 (Nicolas Batum, Antoine Diot, Alexis Ajinça, Adrien Moerman…) et 2014 (Killian Tillie, Frank Ntilikina, Bathiste Tchouaffé…).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo: Killian Hayes (FIBA)\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/killian-hayes-2.jpg\")
La FIBA propose sur YouTube l’ensemble des matches des championnats européens de jeunes de cet été dont, ce soir à 20h30, la finale des U16 entre la France et le Monténégro. Coïncidence, les deux équipes nationales A s’affrontent à la même heure à Toulouse.
Cet Euro se tient à Podgorica, 145 000 habitants, la capitale du Montenegro et l’ambiance s’annonce suffocante pour nos Bleuets.
Jusqu’ici les Français sont invaincus alors que le Montenegro a bizarrement perdu face à la Lettonie (66-80) mais a accroché à son tableau de chasse l’Espagne (77-76) et la Serbie (73-66), un pays auquel il fut rattaché jusqu’en juin 2006.
L’équipe de France est menée par Killian Hayes (1,92m, Cholet) qui affiche de remarquables statistiques: 15,8 points (48,6% de réussite), 6,8 rebonds, 5,7 passes et 3,2 interceptions.
Killian et le fils de DeRon (1,96m, 24 ans), un Américain naturalisé français, qui a fait une très longue carrière en pro et qui à 47 ans joue encore en RM1 à Cholet. A lire ce très intéressant portrait des deux joueurs dans Ouest France.
Les statistiques de la France sont ici.
La France a déjà été deux fois championne d’Europe cadets, en 2004 (Nicolas Batum, Antoine Diot, Alexis Ajinça, Adrien Moerman…) et 2014 (Killian Tillie, Frank Ntilikina, Bathiste Tchouaffé…).
Photo: Killian Hayes (FIBA)
\\n\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"En attendant la rencontre de ce soir, à 20h30 (SFR SPORTS 2) face au Monténégro, voici les highlights du premier match de l’équipe de France au tournoi de Toulouse face à la Belgique.\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Les highlights de France-Belgique, pour patienter jusqu'au match de ce soir contre le Monténégro 20h30 sur @SFR_Sport 2#TeamFranceBasket pic.twitter.com/8Q21gYtYOc
\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) August 19, 2017
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/france-belgiquepreparationeu-e1503155135785.jpg\")
En attendant la rencontre de ce soir, à 20h30 (SFR SPORTS 2) face au Monténégro, voici les highlights du premier match de l’équipe de France au tournoi de Toulouse face à la Belgique.
\nLes highlights de France-Belgique, pour patienter jusqu'au match de ce soir contre le Monténégro 20h30 sur @SFR_Sport 2#TeamFranceBasket pic.twitter.com/8Q21gYtYOc
\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) August 19, 2017
Photo : LNB
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Denain en finit avec son recrutement en faisant signer Lance Goulbourne (2,03 m, 28 ans). L’arrière américain Yunio Barrueta (1,98m, 24 ans) rejoint lui aussi l’ASC.
Lance Goulbourne arrive à Denain en provenance du Portel où il a participé à la magnifique saison de l’ESSM en Pro A. Là-bas, il affichait 7,3 points et 4,2 rebonds par match. Il a déjà évolué en Pro B. C’était en 2015-2016 avec Boulogne sur Mer (16,6 points et 9,4 rebonds).
Yunio Barrueta est lui un arrière scoreur. Pour sa première saison professionnelle après sa sortie de l’Université de Barry, il affichait 11,9 points et 3,6 rebonds avec le club d’Okapi Aalstar en Belgique.
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\\n— Baloncesto España (@BaloncestoESP) August 18, 2017
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/espagne.jpg\")
Le match Espagne-Sénégal a naturellement débuté par une minute de silence en hommage aux victimes de l’attaque terroriste de Barcelone.
Les Sénégalais ont résisté toute une mi-temps face aux champions d’Europe en titre (41-38) avant de céder du terrain en deuxième mi-temps (80-69).
Une fois encore Paul Gasol a été le maître de la peinture avec 9 points, 13 rebonds et 3 passes pendant que Ricky Rubio assurait 14 points.
Dans le camp sénégalais, l’ailier des New York Knicks Maurice Ndour (2,06m, 25 ans) a frôlé le double double avec 20 points et 9 rebonds.
La boxscore est ici.
\nMinuto de silencio pic.twitter.com/kPekEyY9RB
\n— Baloncesto España (@BaloncestoESP) August 18, 2017
Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.
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– Les Panthères Mulhouse (Nationale 2) disputent ce dimanche leur premier match de préparation dans la salle de l’US Wittenheim (Nationale 3)… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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", "comment_id":"406213", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nValentigney, le maintien en tête\n\n– Après avoir perdu deux de leurs meilleures joueuses cet été, les Boroillottes ont repris le chemin de l’entraînement avec une conviction : elles ont… Lire la suite.\n\n\nLes Français se rassurent\n\n– Vaincue par la Lituanie voici trois jours, l’équipe de France a remis la marche avant en venant à bout, largement, de la Belgique (85-60), ce vendredi… Lire la suite.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nAtkins, l’enthousiaste\n\n– Arrivé en Alsace cet été, Darion Atkins ne tarit pas d’éloges sur la SIG et son environnement. Le jeune – et ambitieux – intérieur américain veut… Lire la suite. 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Le début de la … Lire la suite.\n\n\n« Une saison importante pour moi »\n\n– L’arrière-ailier canadien Jevohn Shepherd (31 ans) a été le dernier arrivé au Colisée, lundi. Il nous confie ses impressions après sa première semaine… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nL’ADA découvre le Jeu de Paume\n\n– Les basketteurs blésois ont repris l’entraînement hier, dans leur toute nouvelle salle du Jeu de Paume. L’effectif est au grand complet… Lire la suite.\n\n\nL’UTBM diminuée\n\n– Angers – UTBM. Les Tourangeaux disputent, ce samedi, leur quatrième match de préparation. 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[CONTENU PAYANT]\n\n\nPremier test pour les Panthères\n\n– Les Panthères Mulhouse (Nationale 2) disputent ce dimanche leur premier match de préparation dans la salle de l’US Wittenheim (Nationale 3)… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n[/arm_restrict_content][arm_setup id= »10″ hide_title= »true »]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-19T06:30:50.000Z", "updated_at":"2017-08-19T06:15:13.000Z", "published_at":"2017-08-19T06:30:50.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd69", "uuid":"9717dda9-08d9-48e0-a7eb-28d0d788f357", "title":"Cinquante joueurs et coaches passés par la LNB à l’EuroBasket", "slug":"cinquante-joueurs-passes-par-la-lnb-a-leurobasket", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/erik-murphy-aj-slaughter.jpg\",\"width\":780,\"height\":564}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/michael-dixon-1.jpg\",\"width\":700,\"height\":477}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/jamar-wilson.jpg\",\"width\":689,\"height\":431}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/ainars-bagatskis.jpg\",\"width\":647,\"height\":358}],[\"html\",{\"html\":\"Photos : SIG Strasbourg – FIBA Europe
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Il retrouvera son ancien coéquipier à Strasbourg \"],[0,[1],1,\"Erik Murphy\"],[0,[],0,\" (2,08m, 26 ans, Nanterre) qui évoluera à domicile sous le maillot finlandais. Enfin deux autres représentants de la Pro A batailleront à Helsinki : le néo Choletais \"],[0,[1],1,\"Haukur Palsson\"],[0,[],0,\" (1,98m, 25 ans) et le néo Châlonnais \"],[0,[1],1,\"Martin Hermannsson\"],[0,[],0,\" (1,90, 22 ans), tout deux Islandais.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans les autres groupes, nous retrouverons l’arrière belge de Gravelines-Dunkerque \"],[0,[1],1,\"Quentin Serron\"],[0,[],0,\" (1,93m, 27 ans) et son compatriote \"],[0,[1],1,\"Pierre-Antoine Gillet\"],[0,[],0,\" (2,03m, 26 ans), futur joueur de Chalon. 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Les supporters du BCM se rappellent d’ailleurs très bien du passage de \"],[0,[1],1,\"Dainius Adomaitis\"],[0,[],0,\" (43 ans), désormais sélectionneur de la Lituanie, dans le Nord au début des années 2000. Autre sélectionneur d’une équipe balte à être passé par la France : le Letton \"],[0,[1],1,\"Ainars Bagatskis\"],[0,[],0,\" (50 ans) à Dijon lors de la saison 2000-2001.\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A la tête de la Géorgie depuis l’année dernière, le Grec \"],[0,[1],1,\"Ilias Zouros\"],[0,[],0,\" (51 ans) sera lui aussi du rendez-vous accompagné de son assistant croate \"],[0,[1],1,\"Jurica Golemac\"],[0,[],0,\" (40 ans). Les deux hommes avaient déjà travaillé ensemble au Paris-Levallois lors de la saison 2007-2008, l’un comme coach et l’autre comme joueur -Zouros était déjà à Paris en 2006-2007. On retrouve également l’ancien arrière de l’ASVEL \"],[0,[1],1,\"Zakhar Pashutin\"],[0,[],0,\" (43 ans), désormais assistant du sélectionneur russe, et chez le voisin ukrainien dans le même rôle l’ancien intérieur du SLUC Nancy \"],[0,[1],1,\"Alexander Lokhmanchuk\"],[0,[],0,\" (44 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Issu longue lignée des coachs du CSP Limoges venant d’ex-Yougoslavie, \"],[0,[1],1,\"Bogdan Tanjevic\"],[0,[],0,\" (70 ans) sera à la tête de sa sélection du Monténégro. Il avait aussi mené l’ASVEL au titre de champion de France en 2002. Enfin chez nos voisins belges, l’ancien meneur de l’ASVEL \"],[0,[1],1,\"Roel Moors\"],[0,[],0,\" (38 ans), assistera Eddy Casteels.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Ils joueront en Pro A la saison prochaine\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Pro A comptera neuf ambassadeurs à l’Eurobasket -hors Français-. 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Du 31 août au 17 septembre, l’Eurobasket rassemblera les meilleurs joueurs des meilleures nations du Vieux Continent. Et en principe ce sont pas moins de 50 joueurs et entraîneurs évoluant ou ayant évolué en Ligue Nationale de Basket ou NM1 qui prendront part à la compétition.
La Pro A comptera neuf ambassadeurs à l’Eurobasket -hors Français-. Joueur de Levallois la saison prochaine après une bonne saison à Limoges, Klemen Prepelic (1,91m, 24 ans) devrait jouer un rôle important au sein de l’équipe de Slovénie que la France retrouvera au premier tour. Autre adversaire des Bleus au premier tour, la Pologne compte dans ses rangs A.J. Slaughter (1,91m, 30 ans, ASVEL). Il retrouvera son ancien coéquipier à Strasbourg Erik Murphy (2,08m, 26 ans, Nanterre) qui évoluera à domicile sous le maillot finlandais. Enfin deux autres représentants de la Pro A batailleront à Helsinki : le néo Choletais Haukur Palsson (1,98m, 25 ans) et le néo Châlonnais Martin Hermannsson (1,90, 22 ans), tout deux Islandais.
Dans les autres groupes, nous retrouverons l’arrière belge de Gravelines-Dunkerque Quentin Serron (1,93m, 27 ans) et son compatriote Pierre-Antoine Gillet (2,03m, 26 ans), futur joueur de Chalon. A Cholet depuis le printemps, l’intérieur monténégrin Ivan Maras (2,08m, 31 ans) sera lui aussi de la partie tout comme le futur meneur de Strasbourg, l’Américano-Géorgien Michael Dixon (1,86m, 26 ans).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/michael-dixon-1.jpg\")
Principal outsider la compétition, la Serbie compte dans ses rangs Marko Simonovic (2,02m, 31 ans), ailier passé par l’Elan Béarnais lors de la saison 2014-2015. Autre prétendant au titre la Turquie fera une nouvelle fois confiance à Bobby Dixon (1,78m, 34 ans), ou plutôt Ali Muhammad, ancien joueur de Saint-Etienne en Pro B, puis de Gravelines-Dunkerque, Le Mans, ASVEL et Dijon en Pro A.
Du côté de la Finlande et de la Grande-Bretagne, on retrouve de chaque côté trois anciens visages connus de la Pro A : Shawn Huff (1,98m, 33 ans) et Gerald Lee Jr (2,08m, 29 ans), éphémères joueurs du Portel et du Mans la saison dernière, ainsi que Jamar Wilson (1,85m, 33 ans) qui a joué à Rouen côté scandinave, et le meneur vu à Châlons-Reims cette saison Andrew Lawrence (1,85m, 27 ans), Gabe Olaseni (2,10m, 25 ans) qui a fini la saison à Orléans et Eric Boateng (2,08m, 31 ans) passé par Pau-Orthez en Pro A, Blois en Pro B et Mulhouse en NM1 -il jouera à Saint-Vallier en NM1 la saison prochaine-, côté britannique. Pour son premier Eurobasket depuis 1987, la Roumanie comptera deux anciens de Pro A : l’intérieur Vlad Moldoveanu (2,06m, 29 ans, ex Le Havre) et le meneur Giordan Watson (1,75m, 31 ans, ex Le Mans) tout juste naturalisé.
Le Géorgien George Tsintsadze (1,92m, 31 ans, ex Gravelines-Dunkerque et Rouen) et le Franco-Polonais Aaron Cel (2,03m, 30 ans) seront également de la partie. Ce dernier compte même une sacrée expérience en LNB puisqu’il a défendu les couleurs du Mans, de Monaco et de Gravelines-Dunkerque en Pro A et celles de Brest, de Boulazac et de Nantes en Pro B.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/jamar-wilson.jpg\")
D’autres joueurs n’ayant jamais joué en Pro A, mais passés par la Pro B voire la NM1 seront également présents à l’Eurobasket. Parmi eux, deux Finlandais : Matti Nuutinen (2,00m, 27 ans) qui jouait à Roanne la saison dernière et Tuukka Kotti (2,05m, 26 ans) passé par Brest en Pro B.
Enfin, deux champions nationaux seront eux aussi présents : le Tchèque Tomas Kyzlink (1,95m, 23 ans) qui a fini la saison avec la JL Bourg en Pro B, et l’intérieur ukrainien Vyacheslav Bobrov (2,02m, 25 ans) qui jouait à Quimper en NM1.
Sans surprise, chacun des 12 joueurs français a joué à un moment ou un autre de sa carrière en LNB.
Du côté des coaching staffs aussi on retrouve des visages connus du basket français, à commencer bien évidemment par Vincent Collet (54 ans, Strasbourg) et ses assistants Ruddy Nelhomme (45 ans, Poitiers), Pascal Donnadieu (53 ans, Nanterre) et Laurent Foirest (43 ans, entraîneur de Quimper en NM1, et emblématique joueur d’Antibes, Pau-Orthez et ASVEL). Henrik Dettmann (59 ans), qui avait tenté de succéder à Vincent Collet à Strasbourg la saison dernière après un passage à Dijon en 2010, sera une fois de plus à la tête de l’équipe de Finlande, et sera assisté dans sa tâche de Lassi Tuovi (30 ans), son fidèle assistant qu’il avait emmené avec lui en Alsace et qui officiera la saison prochaine à Gravelines-Dunkerque. Les supporters du BCM se rappellent d’ailleurs très bien du passage de Dainius Adomaitis (43 ans), désormais sélectionneur de la Lituanie, dans le Nord au début des années 2000. Autre sélectionneur d’une équipe balte à être passé par la France : le Letton Ainars Bagatskis (50 ans) à Dijon lors de la saison 2000-2001.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/ainars-bagatskis.jpg\")
A la tête de la Géorgie depuis l’année dernière, le Grec Ilias Zouros (51 ans) sera lui aussi du rendez-vous accompagné de son assistant croate Jurica Golemac (40 ans). Les deux hommes avaient déjà travaillé ensemble au Paris-Levallois lors de la saison 2007-2008, l’un comme coach et l’autre comme joueur -Zouros était déjà à Paris en 2006-2007. On retrouve également l’ancien arrière de l’ASVEL Zakhar Pashutin (43 ans), désormais assistant du sélectionneur russe, et chez le voisin ukrainien dans le même rôle l’ancien intérieur du SLUC Nancy Alexander Lokhmanchuk (44 ans).
Issu longue lignée des coachs du CSP Limoges venant d’ex-Yougoslavie, Bogdan Tanjevic (70 ans) sera à la tête de sa sélection du Monténégro. Il avait aussi mené l’ASVEL au titre de champion de France en 2002. Enfin chez nos voisins belges, l’ancien meneur de l’ASVEL Roel Moors (38 ans), assistera Eddy Casteels.
[armelse]
La Pro A comptera neuf ambassadeurs à l’Eurobasket -hors Français-. Joueur de Levallois la saison prochaine après une bonne saison à Limoges, Klemen Prepelic (1,91m, 24 ans) devrait jouer un rôle important au sein de l’équipe de Slovénie que la France retrouvera au premier tour. Autre adversaire des Bleus au premier tour, la Pologne compte dans ses rangs A.J. Slaughter (1,91m, 30 ans, ASVEL). Il retrouvera son ancien coéquipier à Strasbourg Erik Murphy (2,08m, 26 ans, Nanterre) qui évoluera à domicile sous le maillot finlandais. Enfin deux autres représentants de la Pro A batailleront à Helsinki : le néo Choletais Haukur Palsson (1,98m, 25 ans) et le néo Châlonnais Martin Hermannsson (1,90, 22 ans), tout deux Islandais.
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Photos : SIG Strasbourg – FIBA Europe
", "comment_id":"406067", "plaintext":"Du 31 août au 17 septembre, l’Eurobasket rassemblera les meilleurs joueurs des meilleures nations du Vieux Continent. Et en principe ce sont pas moins de 50 joueurs et entraîneurs évoluant ou ayant évolué en Ligue Nationale de Basket ou NM1 qui prendront part à la compétition.\n\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nIls joueront en Pro A la saison prochaine\n\nLa Pro A comptera neuf ambassadeurs à l’Eurobasket -hors Français-. Joueur de Levallois la saison prochaine après une bonne saison à Limoges, Klemen Prepelic (1,91m, 24 ans) devrait jouer un rôle important au sein de l’équipe de Slovénie que la France retrouvera au premier tour. Autre adversaire des Bleus au premier tour, la Pologne compte dans ses rangs A.J. Slaughter (1,91m, 30 ans, ASVEL). Il retrouvera son ancien coéquipier à Strasbourg Erik Murphy (2,08m, 26 ans, Nanterre) qui évoluera à domicile sous le maillot finlandais. Enfin deux autres représentants de la Pro A batailleront à Helsinki : le néo Choletais Haukur Palsson (1,98m, 25 ans) et le néo Châlonnais Martin Hermannsson (1,90, 22 ans), tout deux Islandais.\n\nDans les autres groupes, nous retrouverons l’arrière belge de Gravelines-Dunkerque Quentin Serron (1,93m, 27 ans) et son compatriote Pierre-Antoine Gillet (2,03m, 26 ans), futur joueur de Chalon. A Cholet depuis le printemps, l’intérieur monténégrin Ivan Maras (2,08m, 31 ans) sera lui aussi de la partie tout comme le futur meneur de Strasbourg, l’Américano-Géorgien Michael Dixon (1,86m, 26 ans).\n\n\nIls ont joué en Pro A\n\nPrincipal outsider la compétition, la Serbie compte dans ses rangs Marko Simonovic (2,02m, 31 ans), ailier passé par l’Elan Béarnais lors de la saison 2014-2015. Autre prétendant au titre la Turquie fera une nouvelle fois confiance à Bobby Dixon (1,78m, 34 ans), ou plutôt Ali Muhammad, ancien joueur de Saint-Etienne en Pro B, puis de Gravelines-Dunkerque, Le Mans, ASVEL et Dijon en Pro A.\n\nDu côté de la Finlande et de la Grande-Bretagne, on retrouve de chaque côté trois anciens visages connus de la Pro A : Shawn Huff (1,98m, 33 ans) et Gerald Lee Jr (2,08m, 29 ans), éphémères joueurs du Portel et du Mans la saison dernière, ainsi que Jamar Wilson (1,85m, 33 ans) qui a joué à Rouen côté scandinave, et le meneur vu à Châlons-Reims cette saison Andrew Lawrence (1,85m, 27 ans), Gabe Olaseni (2,10m, 25 ans) qui a fini la saison à Orléans et Eric Boateng (2,08m, 31 ans) passé par Pau-Orthez en Pro A, Blois en Pro B et Mulhouse en NM1 -il jouera à Saint-Vallier en NM1 la saison prochaine-, côté britannique. Pour son premier Eurobasket depuis 1987, la Roumanie comptera deux anciens de Pro A : l’intérieur Vlad Moldoveanu (2,06m, 29 ans, ex Le Havre) et le meneur Giordan Watson (1,75m, 31 ans, ex Le Mans) tout juste naturalisé.\n\nLe Géorgien George Tsintsadze (1,92m, 31 ans, ex Gravelines-Dunkerque et Rouen) et le Franco-Polonais Aaron Cel (2,03m, 30 ans) seront également de la partie. Ce dernier compte même une sacrée expérience en LNB puisqu’il a défendu les couleurs du Mans, de Monaco et de Gravelines-Dunkerque en Pro A et celles de Brest, de Boulazac et de Nantes en Pro B.\n\n\nEux aussi ont joué en France\n\nD’autres joueurs n’ayant jamais joué en Pro A, mais passés par la Pro B voire la NM1 seront également présents à l’Eurobasket. Parmi eux, deux Finlandais : Matti Nuutinen (2,00m, 27 ans) qui jouait à Roanne la saison dernière et Tuukka Kotti (2,05m, 26 ans) passé par Brest en Pro B.\n\nEnfin, deux champions nationaux seront eux aussi présents : le Tchèque Tomas Kyzlink (1,95m, 23 ans) qui a fini la saison avec la JL Bourg en Pro B, et l’intérieur ukrainien Vyacheslav Bobrov (2,02m, 25 ans) qui jouait à Quimper en NM1.\n\n\nLe 100% des Français\n\nSans surprise, chacun des 12 joueurs français a joué à un moment ou un autre de sa carrière en LNB.\n\n * Antoine Diot (Le Mans, Paris-Levallois, Strasbourg)\n * Thomas Heurtel (Pau-Orthez, Strasbourg)\n * Léo Westermann (ASVEL, Limoges)\n * Nando De Colo (Cholet)\n * Evan Fournier (Nanterre en Pro B, Poitiers en Pro A)\n * Edwin Jackson (Nanterre en Pro B, Rouen et ASVEL en Pro A)\n * Axel Toupane (Strasbourg)\n * Yakuba Ouattara (Chalon et Monaco en Pro A, Denain en Pro B)\n * Boris Diaw (Pau-Orthez en Pro A, Bordeaux en Pro B)\n * Louis Labeyrie (Fos-sur-Mer en NM1 et Pro B, Hyères-Toulon et Paris-Levallois en Pro A -jouera à Strasbourg la saison prochaine)\n * Joffrey Lauvergne (Chalon)\n * Vincent Poirier (Paris-Levallois en Pro A, Hyères-Toulon en Pro B)\n * Kevin Séraphin (Cholet)\n * Kim Tillie (ASVEL)\n\n\nChez les coachs aussi\n\nDu côté des coaching staffs aussi on retrouve des visages connus du basket français, à commencer bien évidemment par Vincent Collet (54 ans, Strasbourg) et ses assistants Ruddy Nelhomme (45 ans, Poitiers), Pascal Donnadieu (53 ans, Nanterre) et Laurent Foirest (43 ans, entraîneur de Quimper en NM1, et emblématique joueur d’Antibes, Pau-Orthez et ASVEL). Henrik Dettmann (59 ans), qui avait tenté de succéder à Vincent Collet à Strasbourg la saison dernière après un passage à Dijon en 2010, sera une fois de plus à la tête de l’équipe de Finlande, et sera assisté dans sa tâche de Lassi Tuovi (30 ans), son fidèle assistant qu’il avait emmené avec lui en Alsace et qui officiera la saison prochaine à Gravelines-Dunkerque. Les supporters du BCM se rappellent d’ailleurs très bien du passage de Dainius Adomaitis (43 ans), désormais sélectionneur de la Lituanie, dans le Nord au début des années 2000. Autre sélectionneur d’une équipe balte à être passé par la France : le Letton Ainars Bagatskis (50 ans) à Dijon lors de la saison 2000-2001.\n\nA la tête de la Géorgie depuis l’année dernière, le Grec Ilias Zouros (51 ans) sera lui aussi du rendez-vous accompagné de son assistant croate Jurica Golemac (40 ans). Les deux hommes avaient déjà travaillé ensemble au Paris-Levallois lors de la saison 2007-2008, l’un comme coach et l’autre comme joueur -Zouros était déjà à Paris en 2006-2007. On retrouve également l’ancien arrière de l’ASVEL Zakhar Pashutin (43 ans), désormais assistant du sélectionneur russe, et chez le voisin ukrainien dans le même rôle l’ancien intérieur du SLUC Nancy Alexander Lokhmanchuk (44 ans).\n\nIssu longue lignée des coachs du CSP Limoges venant d’ex-Yougoslavie, Bogdan Tanjevic (70 ans) sera à la tête de sa sélection du Monténégro. Il avait aussi mené l’ASVEL au titre de champion de France en 2002. Enfin chez nos voisins belges, l’ancien meneur de l’ASVEL Roel Moors (38 ans), assistera Eddy Casteels.\n\n[armelse]\n\n\nIls joueront en Pro A la saison prochaine\n\nLa Pro A comptera neuf ambassadeurs à l’Eurobasket -hors Français-. Joueur de Levallois la saison prochaine après une bonne saison à Limoges, Klemen Prepelic (1,91m, 24 ans) devrait jouer un rôle important au sein de l’équipe de Slovénie que la France retrouvera au premier tour. Autre adversaire des Bleus au premier tour, la Pologne compte dans ses rangs A.J. Slaughter (1,91m, 30 ans, ASVEL). Il retrouvera son ancien coéquipier à Strasbourg Erik Murphy (2,08m, 26 ans, Nanterre) qui évoluera à domicile sous le maillot finlandais. Enfin deux autres représentants de la Pro A batailleront à Helsinki : le néo Choletais Haukur Palsson (1,98m, 25 ans) et le néo Châlonnais Martin Hermannsson (1,90, 22 ans), tout deux Islandais.\n\n[/arm_restrict_content][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »]\n\nPhotos : SIG Strasbourg – FIBA Europe", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-19T06:26:21.000Z", "updated_at":"2017-08-19T20:19:58.000Z", "published_at":"2017-08-19T06:26:21.000Z", "custom_excerpt":"Du 31 août au 17 septembre, l’Eurobasket rassemblera les meilleurs joueurs des meilleures nations du Vieux Continent. 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Pour son premier match depuis deux ans avec l’équipe d’Allemagne, la star montante de la NBA, Dennis Schröder (1,85m, 23 ans) a brillé hier soir face à la Russie et emmené son équipe à la victoire (79-76).
Le meneur des Hawks a inscrit 16 points dans le dernier quart-temps pour un total de 28. Au total, il a transformé 10 de ses 15 tirs du champ.
Du côté russe, Andrey Vorontsevich (2,07m, 30 ans) a scoré 22 points et Timofey Mozgov (2,16m, 31 ans) a compilé 10 points et 9 rebonds.
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Dominateurs à l’intérieur avec la paire Joffrey Lauvergne (13 points à 5/6 aux tirs, 6 rebonds), Vincent Poirier (6 points, 6 rebonds, 2 passes), les Bleus ont donné le tournis aux Belgian Lions, 85-60. Quand la défense est là, tout va.
Vincent Collet est contraint d’avoir une équipe de France à géométrie variable puisqu’en plus des forfaits initiaux, de ceux qui sont survenus au début du rassemblement, il y a les aléas de la préparation. Le secteur intérieur, dont la compétitivité est déjà à l’origine un mystère, est le plus perturbé. C’est au moment où Stéphane Lauvergne et Vincent Poirier sont de nouveau d’aplomb que Kevin Séraphin est mis en réserve pour toute la durée de ce tournoi de Toulouse à cause de douleurs au genou gauche. Autre absence, celle d’Antoine Diot, le meneur puncheur, pour un tout autre motif: un décès dans sa famille.
L’équipe de France créative des premiers échanges, qui trouve Joffrey Lauvergne à l’intérieur, et qui prive les Belges de panier pendant trois minutes n’était qu’illusion. Le jeu français devient très vite brouillon. D’ailleurs, Vincent Collet hurle à un temps-mort: « Absence de rigueur! On mène 5-0 et on pense que le match est terminé ». Après un dunk raté de Evan Fournier, la France encaisse un 1-10 et est menée 8-13. En déficit à l’intérieur, les Belges jouent très large et concrétisent la moitié de leurs tirs (8/16). Léo Westermann paraît perdu. Et c’est ainsi que les Bleus ont un large déficit après dix minutes, 13-21.
Après encore du surplace, huit balles perdues et Nando De Colo cloué sur le banc avec deux fautes, la France se réveille sur cinq points successifs de Boris Diaw. Surtout la pression défensive monte et les Belges paraissent subitement suffoquer. La rentrée de Vincent Poirier qui se montre incisif, à l’aise comme s’il jouait en équipe de France depuis cinq ans alors que c’est un rookie, franchement dominateur sur certaines séquences, est très bénéfique. En 8 minutes, c’est 6 points, 5 rebonds, et la meilleure évaluation des deux équipes, 12. On ne peut pas se passer de big men dans le plus haut concert européen et les Belges, bien démunis à ce niveau, en payent le prix fort. Bref, les Bleus ont renversé la table, 35-27 (29e).
Quatre minutes et trente secondes plus tard et avec son cinq de base (Heurtel, De Colo, Fournier, Diaw, Lauvergne), la France a creusé le trou, 51-34. Joffrey Lauvergne bien remis de ses pépins physiques passagers se joue de ses vis à vis à l’intérieur et bien lancé, Evan Fournier (15 points, définitivement LE scoreur de l’équipe) est juste extraordinaire en contre-attaque. A ce niveau de jeu, la France est inabordable pour la Belgique, incapable de profiter de ses points forts dont le shoot à trois-points (3/17 en 30′). L’écart maximal est de 21 points pour des Français qui ont marqué 31 points dans le quart-temps.
La dernière période est celui des essais. De joueurs et de systèmes. Léo Westermann retrouve des couleurs. Kim Tillie est en retrait vis à vis de l’ancienne paire du PL, Vincent Poirier-Louis Labeyrie. Cela va t-il lui coûter sa place, lui qui est beaucoup plus expérimenté?
Belle production du Gravelinois Quentin Serron très complet (7 points, 4 rebonds, 3 passes). Le néo-Chalonnais Pierre-Antoine Gillet (6 points) a été plus discret.
La boxscore est ici.
https://twitter.com/SFR_Sport/status/898623179224174594
https://twitter.com/SFR_Sport/status/898624273224486912
Photo : Vincent Poirier (FFBB)
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Le bel été français des sélections de jeunes se poursuit. Les U16 masculins se sont qualifiés aujourd’hui pour la finale de leur Championnat d’Europe en battant la Croatie (83-60).
Malgré la perte du premier quart-temps, les jeunes Français ne sont pas affolés et grâce à une montée en régime en défense, ils passaient un 25-9 dans la deuxième période. A la mi-temps, les Bleus comptaient 14 points d’avance. Si Théo Maledon (19 points) a été l’homme de la première mi-temps, c’est Killian Hayes (en photo, 20 points, 8 rebonds, 5 passes) qui a pris son relais en deuxième mi-temps pour continuer à creuser l’écart. Côté croate, seul l’ailier Matej Rudan a fait bonne figure avec 25 points et 8 rebonds.
Rendez-vous dimanche à 20h30 pour la finale face au Monténégro ou à la Serbie.
La boxscore est disponible ici.
Photo : FIBA Europe
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Touché au genou gauche, Kevin Séraphin ne participera pas au tournoi de Toulouse avec l’Equipe de France.
Par mesure de précaution, le staff des Bleus a décidé de mettre au repos l’intérieur barcelonais qui a passé des examens dans la matinée. De retour la semaine prochaine lors du rassemblement à Nanterre, l’ancien joueur des Washington Wizards ne disputera donc pas les matchs face à la Belgique, le Monténégro et l’Italie.
Depuis le début de la préparation, Kevin Séraphin compile en moyenne 8,8 points et 5,5 rebonds pour une évaluation de 11.
Pour rappel, la rencontre face à la Belgique sera diffusée sur SFR Sport 2 ce vendredi à partir de 20h20 et sera précédée par le match entre l’Italie et le Monténégro à 18h.
", "comment_id":"406176", "plaintext":"Touché au genou gauche, Kevin Séraphin ne participera pas au tournoi de Toulouse avec l’Equipe de France.\n\nPar mesure de précaution, le staff des Bleus a décidé de mettre au repos l’intérieur barcelonais qui a passé des examens dans la matinée. De retour la semaine prochaine lors du rassemblement à Nanterre, l’ancien joueur des Washington Wizards ne disputera donc pas les matchs face à la Belgique, le Monténégro et l’Italie.\n\nDepuis le début de la préparation, Kevin Séraphin compile en moyenne 8,8 points et 5,5 rebonds pour une évaluation de 11.\n\nPour rappel, la rencontre face à la Belgique sera diffusée sur SFR Sport 2 ce vendredi à partir de 20h20 et sera précédée par le match entre l’Italie et le Monténégro à 18h.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-18T14:27:53.000Z", "updated_at":"2017-08-18T14:34:32.000Z", "published_at":"2017-08-18T14:27:53.000Z", "custom_excerpt":"Touché au genou gauche, Kevin Séraphin ne participera pas au tournoi de Toulouse avec l’Equipe de France.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd6e", "uuid":"aaf81680-8daf-4860-b925-e4a15fda41ce", "title":"Le roi du rebond Luc-Arthur Vebobe met fin à sa carrière professionnelle", "slug":"le-roi-du-rebond-luc-arthur-vebobe-met-fin-a-sa-carriere-professionnelle", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/bleu-vebobe.jpg\",\"width\":500,\"height\":334}],[\"html\",{\"html\":\"Photo: Chorale de Roanne
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Luc-Arthur Vebobe stoppe sa carrière de joueur professionnel à 37 ans, annonce le syndicat des joueurs sur son site.
Fils de l’ancien international Saint-Ange Vebobe, formé aux Etats-Unis, Luca a réalisé 14 saisons professionnelles dont un passage en Espagne. Malgré une taille réduite (2,02m), il s’est distingué comme une machine au rebond (8 fois il a pris au moins 17 rebonds sur un match).
Ses plus belles saisons (2010-13) furent accomplies sous le maillot de Cholet, quand il faisait équipe avec Randal Falker à l’époque d’Erman Kunter. Il était à 2,6 points et 3,1 rebonds la saison dernière à Fos-sur-Mer en Pro B.
« Hors du terrain, Luca a aussi gardé la tête sur les épaules en s’impliquant dans la création d’un label muscial (https://www.facebook.com/Den-Bas-Fondation-141815755875028/) et en s’associant à la création de Space Jump où il a pris en charge le développement de la structure avec ses amis de toujours », rappelle le SNB
« Très franchement, j’ai l’impression que ces 14 saisons sont passées à une vitesse incroyable. Je pense que j’aurais pu faire mieux car je reste un compétiteur dans l’âme, j’ai eu des hauts et des bas, mais je suis plutôt satisfait de moi au final. Aujourd’hui j’ai d’autres projets dans lesquels je suis déjà impliqué depuis un certain temps notamment Space Jump. Ce projet que l’on a monté entre amis d’enfance me tient vraiment à coeur. Aujourd’hui ça fonctionne au delà de nos attentes, du coup je vais mettre toute l’énergie que j’avais sur le terrain pour aider au développement de notre structure. »
Luca Vebobe va continuer à jouer au basket en Nationale 2.
Photo: Chorale de Roanne
", "comment_id":"406167", "plaintext":"Luc-Arthur Vebobe stoppe sa carrière de joueur professionnel à 37 ans, annonce le syndicat des joueurs sur son site.\n\nFils de l’ancien international Saint-Ange Vebobe, formé aux Etats-Unis, Luca a réalisé 14 saisons professionnelles dont un passage en Espagne. Malgré une taille réduite (2,02m), il s’est distingué comme une machine au rebond (8 fois il a pris au moins 17 rebonds sur un match).\n\nSes plus belles saisons (2010-13) furent accomplies sous le maillot de Cholet, quand il faisait équipe avec Randal Falker à l’époque d’Erman Kunter. Il était à 2,6 points et 3,1 rebonds la saison dernière à Fos-sur-Mer en Pro B.\n\n« Hors du terrain, Luca a aussi gardé la tête sur les épaules en s’impliquant dans la création d’un label muscial (https://www.facebook.com/Den-Bas-Fondation-141815755875028/) et en s’associant à la création de Space Jump où il a pris en charge le développement de la structure avec ses amis de toujours », rappelle le SNB\n\n« Très franchement, j’ai l’impression que ces 14 saisons sont passées à une vitesse incroyable. Je pense que j’aurais pu faire mieux car je reste un compétiteur dans l’âme, j’ai eu des hauts et des bas, mais je suis plutôt satisfait de moi au final. Aujourd’hui j’ai d’autres projets dans lesquels je suis déjà impliqué depuis un certain temps notamment Space Jump. Ce projet que l’on a monté entre amis d’enfance me tient vraiment à coeur. Aujourd’hui ça fonctionne au delà de nos attentes, du coup je vais mettre toute l’énergie que j’avais sur le terrain pour aider au développement de notre structure. »\n\nLuca Vebobe va continuer à jouer au basket en Nationale 2.\n\nPhoto: Chorale de Roanne", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-18T13:44:38.000Z", "updated_at":"2017-08-18T13:57:39.000Z", "published_at":"2017-08-18T13:44:38.000Z", "custom_excerpt":"Luc-Arthur Vebobe stoppe sa carrière de joueur professionnel à 37 ans, annonce le syndicat des joueurs sur son site.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd6f", "uuid":"06419334-bd15-4fcb-8f9b-925c42cade1d", "title":"Eurobasket : la Grande Bretagne coupe quatre joueurs", "slug":"eurobasket-la-grande-bretagne-coupe-quatre-joueurs", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/ben-gordon.jpg\",\"width\":800,\"height\":533}]],\"markups\":[],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans le groupe D de l’Eurobasket avec la Russie, la Serbie, la Lettonie, la Turquie et la Belgique, la Grande Bretagne continue sa préparation.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sélectionneur depuis 2013, Joe Prunty vient de couper quatre nouveaux joueurs. Il s’agit de l’ancien gravelinois Myles Hesson, de l’ancien boulazacois Ovie Soko, de l’ancienne star NBA Ben Gordon et de Justin Sears. Aujourd’hui la sélection britannique compte encore 15 joueurs dont le nouveau joueur de Saint-Vallier Eric Boateng, Andrew Lawrence du CCRB et Gabe Olaseni d’Orléans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Kieron Achara, Kavell Bigby-Williams, Eric Boateng, Dan Clark, Jules Dang Akodo, Kyle Johnson, Kofi Josephs, Sacha Killeya-Jones, Andrew Lawrence, Ben Mockford, Gareth Murray, Luke Nelson, Teddy Okereafor, Gabe Olaseni, Carl Wheatle.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/ben-gordon.jpg\")
Dans le groupe D de l’Eurobasket avec la Russie, la Serbie, la Lettonie, la Turquie et la Belgique, la Grande Bretagne continue sa préparation.
Sélectionneur depuis 2013, Joe Prunty vient de couper quatre nouveaux joueurs. Il s’agit de l’ancien gravelinois Myles Hesson, de l’ancien boulazacois Ovie Soko, de l’ancienne star NBA Ben Gordon et de Justin Sears. Aujourd’hui la sélection britannique compte encore 15 joueurs dont le nouveau joueur de Saint-Vallier Eric Boateng, Andrew Lawrence du CCRB et Gabe Olaseni d’Orléans.
Kieron Achara, Kavell Bigby-Williams, Eric Boateng, Dan Clark, Jules Dang Akodo, Kyle Johnson, Kofi Josephs, Sacha Killeya-Jones, Andrew Lawrence, Ben Mockford, Gareth Murray, Luke Nelson, Teddy Okereafor, Gabe Olaseni, Carl Wheatle.
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Joueur du centre de formation de l’Elan Chalon entre 2011 et 2015, Axel Louissaint (21 ans, 1,98m) va rejoindre Saint-Chamond, au moins pour la pré-saison.
Après avoir fait ses classes en Bourgogne, cet ailier suisse est rentré dans son pays natal pour y lancer sa carrière professionnelle aux Lugano Tigers. Selon nos informations, le natif de Yverdon-les-Bains va participer à la préparation d’avant-saison avec Saint-Chamond dans l’optique d’obtenir un spot dans l’équipe. Annoncé il y a quelques jours par le club de Vevey, le compatriote de Thabo Sefolosha et Clint Capela, tous les deux également passés par Chalon, possède une option pour signer dans un club français avant le début du championnat suisse.
Cette saison en LNA, Axel Louissaint a disputé 32 matchs et a été titulaire à 18 reprises. En 24 minutes de jeu, Axel Louissaint compilait en moyenne 5,9 points, 3,4 rebonds et 1 passe décisive.
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\\n— Yugobasket (@yugobasket) August 18, 2017
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/vujo.jpg\")
Le coach de la Bosnie-Herzégovine Dusko Vujosevic, 58 ans, a été transféré hier d’urgence de Bratislava à Belgrade pour être hospitalisé dans un hôpital de la capitale serbe. Sa jambe gauche nécessite un traitement approprié afin que son état de santé ne se détériore pas encore davantage.
Il y a un an, alors coach de Limoges, le Serbo-Monténégrin avait expliqué au Populaire qu’il souffrait de diabète et qu’il avait déjà dû être hospitalisé.
« Ma maladie a été un problème important cet été. J’ai dû passer du temps à l’hôpital pour me préparer aux dialyses. À ma surprise, ma santé s’est sérieusement dégradée la saison dernière. Ne pas avoir de réussite et surtout le fait que les joueurs n’ont pas accepté ma manière de travailler m’a beaucoup coûté émotionnellement. Je pense que tout ça m’a conduit à faire des dialyses. »
Alors qu’il n’a pas pu réussir en Pro A la même qualité de travail qu’au Partizan Belgrade, Dule Vujosevic avait pris en mains l’équipe nationale de Bosnie qui participe actuellement aux qualifications pour les éliminatoires de la Coupe du Monde 2019. Mercredi, la Bosnie s’est imposée à la Slovaquie, 90-74. Vujosevic ne pourra naturellement pas être présent samedi en Arménie où aura lieu un match décisif. C’est son adjoint Mensur Bajramovic qui va prendre sa place sur le banc.
\nDue to health problems, Vujošević will not lead BiH NT in last game of World Cup pre-qualifyers. He was transferred to hospital in Belgrade. pic.twitter.com/e5d4cRJaLM
\n— Yugobasket (@yugobasket) August 18, 2017
Moins d’un mois avant le départ pour la Finlande et Helsinki pour y disputer le premier tour de l’Eurobasket. Pour l’occasion, la FFBB nous propose six épisodes pour suivre notre sélection dans sa préparation. Quatrième épisode, retour sur le voyage à Kaunas pour le deuxième match de préparation face à la Lituanie.
Photo: Vincent Poirier (FFBB)
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Ce soir à 20h30, à Toulouse et sur SFR Sports 2, l’équipe de France se mesure à la Belgique qui est montée en puissance depuis quelques années. Intéressant dans la perspective du prochain Euro et aussi des qualifications pour la Coupe du Monde 2019 puisque les deux pays ont été versés dans le même groupe E avec la Russie et une quatrième équipe qui sortira des groupes de pré-qualifications.
Vincent Collet pourra compter sur les 2,13m de Vincent Poirier qui, après une première sélection face à la Tunisie, avait dû déclarer forfait pour les matches suivants en raison d’une élongation à un mollet. Le coach des Bleus, en manque de big men, n’a pas exclu de le sélectionner à l’EuroBasket. En revanche, Antoine Diot, qui s’est rendu auprès de sa famille suite à un deuil, ne sera pas présent, ce qui va permettre à Léo Westermann, dont la sélection est toujours en ballotage, d’avoir des minutes à disposition.
Pierre-Antoine Gillet (Chalon) et Quentin Serron (Gravelines), dont vous pouvez lire l’interview, seront de la partie du côté des Belgian Lions ainsi que Sam Van Rossom -l’ex-arrière de Valence et équipier d’Antoine Diot- après deux ans d’absence et deux opérations au genou.
“Maintenant, il faut qu’il retrouve ses marques, prenne du rythme. J’attends beaucoup de lui car Sam est quelqu’un de très important dans cette équipe. Sur le terrain où il se donne toujours à 100 % mais, en dehors aussi, par l’exemple qu’il donne aux jeunes et la bonne humeur qu’il insuffle », a indiqué le coach Eddy Castels dans La Dernière Heure.
Demain, les Belgian Lions seront opposés à l’Italie et dimanche au Monténégro. Le 23 août, ils disputeront à Forest National et face à l’Espagne qu’ils ont battu à Tenerife leur seul match de préparation sur le territoire belge.
Photo: Vincent Poirier (FFBB)
", "comment_id":"406117", "plaintext":"Ce soir à 20h30, à Toulouse et sur SFR Sports 2, l’équipe de France se mesure à la Belgique qui est montée en puissance depuis quelques années. Intéressant dans la perspective du prochain Euro et aussi des qualifications pour la Coupe du Monde 2019 puisque les deux pays ont été versés dans le même groupe E avec la Russie et une quatrième équipe qui sortira des groupes de pré-qualifications.\n\nVincent Collet pourra compter sur les 2,13m de Vincent Poirier qui, après une première sélection face à la Tunisie, avait dû déclarer forfait pour les matches suivants en raison d’une élongation à un mollet. Le coach des Bleus, en manque de big men, n’a pas exclu de le sélectionner à l’EuroBasket. En revanche, Antoine Diot, qui s’est rendu auprès de sa famille suite à un deuil, ne sera pas présent, ce qui va permettre à Léo Westermann, dont la sélection est toujours en ballotage, d’avoir des minutes à disposition.\n\nPierre-Antoine Gillet (Chalon) et Quentin Serron (Gravelines), dont vous pouvez lire l’interview, seront de la partie du côté des Belgian Lions ainsi que Sam Van Rossom -l’ex-arrière de Valence et équipier d’Antoine Diot- après deux ans d’absence et deux opérations au genou.\n\n“Maintenant, il faut qu’il retrouve ses marques, prenne du rythme. J’attends beaucoup de lui car Sam est quelqu’un de très important dans cette équipe. Sur le terrain où il se donne toujours à 100 % mais, en dehors aussi, par l’exemple qu’il donne aux jeunes et la bonne humeur qu’il insuffle », a indiqué le coach Eddy Castels dans La Dernière Heure.\n\nDemain, les Belgian Lions seront opposés à l’Italie et dimanche au Monténégro. Le 23 août, ils disputeront à Forest National et face à l’Espagne qu’ils ont battu à Tenerife leur seul match de préparation sur le territoire belge.\n\nPhoto: Vincent Poirier (FFBB)", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-18T09:48:29.000Z", "updated_at":"2017-08-18T20:21:53.000Z", "published_at":"2017-08-18T09:48:29.000Z", "custom_excerpt":"Ce soir à 20h30, à Toulouse et sur SFR Sports 2, l’équipe de France se mesure à la Belgique qui est montée en puissance depuis quelques années. Intéressant dans la perspective du prochain Euro et aussi des qualifications pour la Coupe du Monde 2019 puisque les deux pays ont été versés dans le même g", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd74", "uuid":"922b0e45-d07f-4e62-be15-6e111fc3e6ec", "title":"Nicolas de Jong à Vitoria pour faire le nombre", "slug":"nicolas-de-jong-a-vitoria-pour-faire-le-nombre", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/nicolas-de-jong.jpg\",\"width\":800,\"height\":532}],[\"embed\",{\"url\":\"https://t.co/iCemAd06pU\",\"html\":\"\\n\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/nobel-boungou-colo-a-lessai-au-bayern-munich/\",\"rel\",\"noopener noreferrer\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/landing-sane-va-participer-au-camp-dentrainement-de-reggio-emilia/\",\"rel\",\"noopener noreferrer\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Meilleur marqueur français de Pro A la saison dernière, Nicolas de Jong (2,10m, 29 ans) rejoint Vitoria pour compenser les absences dues à l’Eurobasket.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après avoir inscrit 13,5 points (à 59%) la saison dernière avec Châlons-Reims, Nicolas de Jong pensait trouver un contrat sans problème pour le prochain exercice. Et pourtant, alors que les équipes reprennent une à une le chemin de l’entraînement, le pivot international néerlandais est toujours sans contrat.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Profitant de l’absence des Pays-Bas à l’Eurobasket, il va donc participer à la pré-saison de Baskonia. Le club basque est en effet privé de tout ses intérieurs qui participent actuellement à la préparation du Championnat d’Europe (Tornike Shengelia avec la Géorgie, Johannes Voigtmann avec l’Allemagne et Vincent Poirier avec la France). Le club basque a d’ailleurs également fait appel à Carlos Delfino (1,98m, 34 ans) pour remplir la même mission que le Tourangeau.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nicolas de Jong est le troisième français en quelques jours à être mis à l’essai par un club étranger après \"],[0,[0],1,\"Nobel Boungou Colo au Bayern Munich\"],[0,[],0,\" et \"],[0,[1],1,\"Landing Sané à Reggio Emilia\"],[0,[],0,\".\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"PRESEASON | New member for the preseason. The Dutch-French center Nicolas De Jong joins us next monday.
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Meilleur marqueur français de Pro A la saison dernière, Nicolas de Jong (2,10m, 29 ans) rejoint Vitoria pour compenser les absences dues à l’Eurobasket.
Après avoir inscrit 13,5 points (à 59%) la saison dernière avec Châlons-Reims, Nicolas de Jong pensait trouver un contrat sans problème pour le prochain exercice. Et pourtant, alors que les équipes reprennent une à une le chemin de l’entraînement, le pivot international néerlandais est toujours sans contrat.
Profitant de l’absence des Pays-Bas à l’Eurobasket, il va donc participer à la pré-saison de Baskonia. Le club basque est en effet privé de tout ses intérieurs qui participent actuellement à la préparation du Championnat d’Europe (Tornike Shengelia avec la Géorgie, Johannes Voigtmann avec l’Allemagne et Vincent Poirier avec la France). Le club basque a d’ailleurs également fait appel à Carlos Delfino (1,98m, 34 ans) pour remplir la même mission que le Tourangeau.
Nicolas de Jong est le troisième français en quelques jours à être mis à l’essai par un club étranger après Nobel Boungou Colo au Bayern Munich et Landing Sané à Reggio Emilia.
\nPRESEASON | New member for the preseason. The Dutch-French center Nicolas De Jong joins us next monday.
\n📰 https://t.co/iCemAd06pU pic.twitter.com/pyQUoXZ1Mq
\n— Baskonia (@Baskonia) August 18, 2017
Photo: BasketUSA
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Isaia Cordinier (1,96m, 20 ans) va t-il se faire opérer du genou ? C’est l’interrogation posée ce matin dans Nice Matin.
Les Sharks d’Antibes auraient bien aimé re-signer celui qui, après sa draft au 2e tour par les Atlanta Hawks et des débuts laborieux en Pro A, a pris des couleurs en fin de saison dernière pour finir à 4,9 points et 4,6 d’évaluation.
« On aurait aimé repartir avec lui », confirme le coach Julien Espinosa dans le quotidien de la Côte d’Aur. « Mais Isaia suit un protocole pour son genou qui repousse sa date de prise de décision jusqu’au 23 août. On ne pouvait pas attendre jusque là pour boucler l’effectif. »
Si le joueur choisissait de se faire opérer, il serait contraint de tirer un trait sur la saison à venir.
Les Sharks sont par ailleurs en attente de la venue d’un intérieur américain pour remplacer Chris Otule qui a pris la direction de Strasbourg.
Photo: BasketUSA
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A partir d’aujourd’hui et jusqu’au dimanche 27, se tient au Mali l’AfroBasket féminin avec 12 équipes.
Plusieurs joueuses du championnat de France y participent comme les Maliennes Naignouma Coulibaly (Nice) et Astan Dabo (Tarbes) ou encore la Sénégalaise Mame Marie Sy Diop (Villeneuve d’Ascq).
La FIBA propose une présentation complète de l’événement en français.
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Photo: Mame-Marie Sy Diop (FIBA)
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Boris Diaw raconte dans cette courte vidéo comment il se ressource après une saison NBA. Au coeur de la nature. Ce qui en fait un joueur un peu à part dans ce milieu de millionaires… Même si les vacances d’Evan Fournier obéissent à la même philosophie.
« Certains joueurs vont plutôt vouloir aller dans des endroits où il y a du monde où ils peuvent se décontracter en lâchant prise, plutôt en faisant la fête, moi c’est plutôt pour retrouver le calme qui me fait aérer la tête. »
L’international nous fait découvrir un lieu magique dans le Nevada très loin de toute pollution lumineuse « où l’on peut voir les étoiles et où la nuit est magnifique. »
Vous pouvez en profiter pour voir ou revoir ce reportage très complet sur l’ancien Spur.
Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.
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– Absent lors de la reprise du 1er août puis non convoqué pour les deux premiers matches amicaux. Sidi Diarra savait que son avenir à Lons s’inscrivait… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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– UTBM – Fougères : 84-80 Dans leur salle de la halle Monconseil, les Tourangeaux ont gagné de justesse, après prolongation. Mais c’est bon pour le moral… Lire la suite.
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– Suite au déplacement en Lituanie mardi, Vincent Collet a décidé de réduire son groupe à quatorze joueurs (pour douze places à l’Euro). Venu momentanément en renfort alors que … Lire la suite.
– Après son revers face à Besançon, Pfastatt a décroché sa première victoire face au WOSB (80-70), mercredi à la salle polyvalente… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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– Le tirage au sort des 64e de finale de la Coupe de France n’a pas été tendre avec le Saint-Vallier-Basket-Drôme (Nationale 1) qui accueillera une… Lire la suite.
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– Après avoir passé la traditionnelle visite médicale mercredi, les dix joueurs du Saint-Quentin Basket-ball ont reçu le feu vert pour s’entraîner jeudi. En réalité, ils étaient douze à fouler le … Lire la suite.
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", "comment_id":"406088", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nEn défense, c’est le chantier\n\n– L’équipe de France, concassée par la Lituanie mardi soir, doit profiter du tournoi de Toulouse, qui débute ce vendredi, pour progresser dans le… Lire la suite.\n\n\nTrois matchs en trois jours pour « monter en puissance »\n\n– À moins de quinze jours du début de l’Euro, les basketteurs français continuent leur préparation par un tournoi à Toulouse où, d’aujourd’hui à… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nUn effectif expérimenté à Roanne\n\n– Ambiance détendue hier en fin d’après-midi à la Halle Vacheresse où les joueurs présents ont retrouvé le staff pour une première rencontre, Alexis… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSaint-Chamond sans ses Américains\n\n– À Saint-Chamond, c’est un groupe presque au complet qui a entamé la préparation de la nouvelle saison de Pro B sous la conduite d’Alain Thinet. Les «… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLes Pink Ladies se préparent pour la NF1\n\n– Exit la saison passée, les Roannaises ont repris avec deux entraînements par jour, afin d’être prêtes pour le début de championnat. Après une année… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSidi Diarra (ALL) à Saint-Dizier\n\n– Absent lors de la reprise du 1er août puis non convoqué pour les deux premiers matches amicaux. Sidi Diarra savait que son avenir à Lons s’inscrivait… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nChalon rajeuni mais ambitieux\n\n– Le centre de formation de l’Elan aimerait renouer avec son récent passé de dénicheur de pépites. Et visera, cette année encore, le Top 8… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nUne victoire au long cours\n\n– UTBM – Fougères : 84-80 Dans leur salle de la halle Monconseil, les Tourangeaux ont gagné de justesse, après prolongation. Mais c’est bon pour le moral… Lire la suite.\n\n\nThouars Basket 79, un nouveau départ\n\n– Reléguée en Nationale 2 après six ans passés à l’étage supérieur, l’équipe féminine du Thouars Basket 79, qui a repris hier soir le chemin de l’entraînement sous la conduite de son nouvel … Lire la suite.\n\n\nTrois matchs en trois jours pour » monter en puissance «\n\n– A moins de quinze jours du début de l’Euro, les basketteurs français continuent leur préparation par un tournoi à Toulouse. De vendredi à dimanche, ils affronteront la Belgique, le … Lire la suite.\n\n\nDeux joueurs écartés\n\n– Suite au déplacement en Lituanie mardi, Vincent Collet a décidé de réduire son groupe à quatorze joueurs (pour douze places à l’Euro). Venu momentanément en renfort alors que … Lire la suite.\n\n\nPfastatt ouvre son compteur\n\n– Après son revers face à Besançon, Pfastatt a décroché sa première victoire face au WOSB (80-70), mercredi à la salle polyvalente… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nAix-Maurienne (Pro B) et Sorgues (N1) pour le SVBD et Aubenas (N1)\n\n– Le tirage au sort des 64e de finale de la Coupe de France n’a pas été tendre avec le Saint-Vallier-Basket-Drôme (Nationale 1) qui accueillera une… Lire la suite.\n\n\nSaint-Quentin prend un nouveau départ\n\n– Après avoir passé la traditionnelle visite médicale mercredi, les dix joueurs du Saint-Quentin Basket-ball ont reçu le feu vert pour s’entraîner jeudi. En réalité, ils étaient douze à fouler le … Lire la suite.\n\n[/arm_restrict_content][arm_setup id= »10″ hide_title= »true »]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-18T06:30:36.000Z", "updated_at":"2017-08-18T05:54:57.000Z", "published_at":"2017-08-18T06:30:36.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd79", "uuid":"e3821fe2-2e2a-4e6e-bb7a-3038c2651cef", "title":"Evan Fournier, Edwin Jackson, Pascal Donnadieu : Comme on se retrouve !", "slug":"equipe-de-france-les-retrouvailles-inesperees", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/edwinjackson_pascaldonnadieu_evanfournier.png\",\"width\":1120,\"height\":568}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/basket104481.jpg\",\"width\":455,\"height\":377}],[\"html\",{\"html\":\"Photos : FFBB – Nanterre 92
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C’est quelqu’un que j’ai toujours remercié, que j’ai toujours mentionné dans ma réussite professionnelle et je suis très content qu’il soit là. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »hide »]\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"[arm_setup id= »2″ hide_title= »true »]\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[10,2]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/edwinjackson_pascaldonnadieu_evanfournier.png\")
En plus d’enfiler de nouveau le maillot bleu cet été, Evan Fournier (2,01m, 24 ans) retrouve également l’entraîneur de ses débuts professionnels à Nanterre, Pascal Donnadieu (53 ans). Le même qui avait permis à Edwin Jackson (1,90m, 27 ans) de lancer sa carrière en 2008.
[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]En 2008, l’ASVEL envoie le jeune Edwin Jackson s’aguerrir en Pro B à Nanterre. A l’époque la JSF est encore loin d’être ce qu’elle est désormais. Une année auparavant, le club avait atteint à la surprise générale la finale de la Coupe de France à Bercy. Lors de la saison 2007-2008, c’est un autre futur international qui fait ses classes au pied des tours de La Défense. Si bien que lorsque le fils de Skeeter Jackson débarque au Palais des Sports Maurice-Thorez, Pascal Donnadieu se promet de polir ce diamant.Le coach historique de la JSF réussit son pari. Son jeune joueur compile 13 points par match et permet à l’équipe de se maintenir sans peur en Pro B. Et huit ans après avoir quitté les Hauts-de-Seine, Edwin Jackson se réjouit de retrouver Pascal Donnadieu :
« Ça fait très plaisir de le retrouver. On s’est connus en Pro B et on a eu des trajectoires différentes. Se retrouver dans l’élite du basket européen, que ce soit dans le coaching staff ou dans les joueurs, c’est une fierté. […] Il n’avait pas encore eu les succès qu’il a connu par la suite donc c’est clair que voir tout le chemin parcouru et les succès qu’on a pu avoir individuellement, c’est une vraie satisfaction. C’est quelqu’un que j’ai toujours remercié, que j’ai toujours mentionné dans ma réussite professionnelle et je suis très content qu’il soit là. »
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Un an plus tard, c’est un autre prospect du basket français qui décide de lancer sa carrière professionnelle sous les ordres de Pascal Donnadieu. Evan Fournier débarque à Nanterre à seulement 16 ans après deux saisons au Centre Fédéral. Après un début de saison placé sous le signe de l’apprentissage, le natif de Saint-Maurice s’installe dans la rotation nanterrienne. Et si son impact sur le terrain est moindre que celui d’Edwin Jackson, celui qui évolue désormais en NBA est surtout admiratif du parcours réalisé par son mentor :
« Si on prend l’histoire de Pascal depuis ses débuts en tant qu’entraîneur, c’est une histoire assez incroyable quand même. Il a débuté au plus bas niveau possible et il se retrouve adjoint en équipe de France. C’est beau ! »
Il est vrai qu’à l’inverse des deux arrières, rien ne prédestinait Pascal Donnadieu à intégrer un jour le staff de l’équipe de France. Et c’est dans la grande humilité qui le caractérise que le nouvel assistant de Vincent Collet souligne l’apport de ses deux anciens élèves pour Nanterre :
« Ce sont des joueurs qui ont beaucoup compté pour Nanterre et quand je les vois sous le maillot tricolore c’est forcément sympa, et d’autant plus que j’ai la chance d’être avec eux. A Nanterre, ils étaient déjà très talentueux et très ambitieux. »
Joueur emblématique de la JSF Nanterre, Jérémy Nzeulie (26 ans) a déuté sa carrière en même temps que les deux internationaux français. Pour BasketEurope, il revient sur cette période.
Quels souvenirs gardez-vous d’Edwin Jackson et Evan Fournier à Nanterre ?
Edwin n’a pas changé, c’était déjà un gros compétiteur. Il avait un très bon shoot à deux points, et aussi à trois points. C’était un joueur qui avait de grosses qualités athlétiques mais qui ne s’en servait jamais . Beaucoup de personnes ne sont même pas au courant du jump qu’il a. Avec Evan et Antoine Gomis, on pouvait rester au vestiaires jusqu’à 20h-20h30 faciles. On était là, on parlait, on était fatigués donc on avait la flemme de bouger et on restait là à parler parfois même jusqu’à 21h.
On sait que vous êtes particulièrement proches d’Evan Fournier, qu’en est-il avec Edwin Jackson ?
Il m’avait un peu pris sous son aile et m’avait donné beaucoup de choses. A l’époque ça m’avait vraiment aidé. Il m’avait laissé des vêtements et des chaussures que j’ai gardés pendant très longtemps.
Comment étaient-ils sur le terrain ?
Evan était comme aujourd’hui. C’est quelqu’un de très compétiteur. Quand il avait un but en tête, il se donnait les moyens de l’atteindre. Edwin, lui, était un peu plus fou que maintenant. Il surfait sur sa confiance, une fois qu’il prenait confiance, il était inarrettable. Il pouvait marquer n’importe quel genre de tir. Il était un peu moins sur le contrôle qu’Evan.
Etaient-ils à l’écoute des joueurs plus expérimentés ?
Evan a faim d’apprendre donc s’il pense qu’un conseil peut être intéressant il va le prendre et comme il est très travailleur il le mettait en pratique. Il prenait tout ce qu’on pouvait lui donner. Pour Edwin, je ne sais pas trop. J’étais moins avec le groupe donc je le voyais moins.
Comment était leur relation avec Pascal Donnadieu ?
Quand Edwin était à Nanterre, je n’ai fait que les deux premiers mois avec eux et ensuite je n’étais avec le groupe qu’occasionnellement donc je n’ai rien vu de spécial entre Edwin et Pascal. En ce qui concerne Evan, au début il était dans un rôle difficile. Il rentrait pour quelques minutes, et dès qu’il faisait une ou deux erreurs il sortait. A un moment donné il avait réussi à sortir un peu de ça, mais malheureusement il y avait des joueurs plus forts et expérimentés. Je pense que Pascal n’avait pas totalement confiance en lui.
[armelse]
En 2008, l’ASVEL envoie le jeune Edwin Jackson s’aguerrir en Pro B à Nanterre. A l’époque la JSF est encore loin d’être ce qu’elle est désormais. Une année auparavant, le club avait atteint à la surprise générale la finale de la Coupe de France à Bercy. Lors de la saison 2007-2008, c’est un autre futur international qui fait ses classes au pied des tours de La Défense. Si bien que lorsque le fils de Skeeter Jackson débarque au Palais des Sports Maurice-Thorez, Pascal Donnadieu se promet de polir ce diamant.Le coach historique de la JSF réussit son pari. Son jeune joueur compile 13 points par match et permet à l’équipe de se maintenir sans peur en Pro B. Et huit ans après avoir quitté les Hauts-de-Seine, Edwin Jackson se réjouit de retrouver Pascal Donnadieu :
« Ça fait très plaisir de le retrouver. On s’est connus en Pro B et on a eu des trajectoires différentes. Se retrouver dans l’élite du basket européen, que ce soit dans le coaching staff ou dans les joueurs, c’est une fierté. […] Il n’avait pas encore eu les succès qu’il a connu par la suite donc c’est clair que voir tout le chemin parcouru et les succès qu’on a pu avoir individuellement, c’est une vraie satisfaction. C’est quelqu’un que j’ai toujours remercié, que j’ai toujours mentionné dans ma réussite professionnelle et je suis très content qu’il soit là. »
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Photos : FFBB – Nanterre 92
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Son jeune joueur compile 13 points par match et permet à l’équipe de se maintenir sans peur en Pro B. Et huit ans après avoir quitté les Hauts-de-Seine, Edwin Jackson se réjouit de retrouver Pascal Donnadieu :\n\n« Ça fait très plaisir de le retrouver. On s’est connus en Pro B et on a eu des trajectoires différentes. Se retrouver dans l’élite du basket européen, que ce soit dans le coaching staff ou dans les joueurs, c’est une fierté. […] Il n’avait pas encore eu les succès qu’il a connu par la suite donc c’est clair que voir tout le chemin parcouru et les succès qu’on a pu avoir individuellement, c’est une vraie satisfaction. C’est quelqu’un que j’ai toujours remercié, que j’ai toujours mentionné dans ma réussite professionnelle et je suis très content qu’il soit là. »\n\nUn an plus tard, c’est un autre prospect du basket français qui décide de lancer sa carrière professionnelle sous les ordres de Pascal Donnadieu. Evan Fournier débarque à Nanterre à seulement 16 ans après deux saisons au Centre Fédéral. Après un début de saison placé sous le signe de l’apprentissage, le natif de Saint-Maurice s’installe dans la rotation nanterrienne. Et si son impact sur le terrain est moindre que celui d’Edwin Jackson, celui qui évolue désormais en NBA est surtout admiratif du parcours réalisé par son mentor :\n\n« Si on prend l’histoire de Pascal depuis ses débuts en tant qu’entraîneur, c’est une histoire assez incroyable quand même. Il a débuté au plus bas niveau possible et il se retrouve adjoint en équipe de France. C’est beau ! »\n\nIl est vrai qu’à l’inverse des deux arrières, rien ne prédestinait Pascal Donnadieu à intégrer un jour le staff de l’équipe de France. Et c’est dans la grande humilité qui le caractérise que le nouvel assistant de Vincent Collet souligne l’apport de ses deux anciens élèves pour Nanterre :\n\n« Ce sont des joueurs qui ont beaucoup compté pour Nanterre et quand je les vois sous le maillot tricolore c’est forcément sympa, et d’autant plus que j’ai la chance d’être avec eux. A Nanterre, ils étaient déjà très talentueux et très ambitieux. »\n\n\nLE TEMOIN : JEREMY NZEULIE\n\nJoueur emblématique de la JSF Nanterre, Jérémy Nzeulie (26 ans) a déuté sa carrière en même temps que les deux internationaux français. Pour BasketEurope, il revient sur cette période.\n\nQuels souvenirs gardez-vous d’Edwin Jackson et Evan Fournier à Nanterre ?\n\nEdwin n’a pas changé, c’était déjà un gros compétiteur. Il avait un très bon shoot à deux points, et aussi à trois points. C’était un joueur qui avait de grosses qualités athlétiques mais qui ne s’en servait jamais . Beaucoup de personnes ne sont même pas au courant du jump qu’il a. Avec Evan et Antoine Gomis, on pouvait rester au vestiaires jusqu’à 20h-20h30 faciles. On était là, on parlait, on était fatigués donc on avait la flemme de bouger et on restait là à parler parfois même jusqu’à 21h.\n\nOn sait que vous êtes particulièrement proches d’Evan Fournier, qu’en est-il avec Edwin Jackson ?\n\nIl m’avait un peu pris sous son aile et m’avait donné beaucoup de choses. A l’époque ça m’avait vraiment aidé. Il m’avait laissé des vêtements et des chaussures que j’ai gardés pendant très longtemps.\n\nComment étaient-ils sur le terrain ?\n\nEvan était comme aujourd’hui. C’est quelqu’un de très compétiteur. Quand il avait un but en tête, il se donnait les moyens de l’atteindre. Edwin, lui, était un peu plus fou que maintenant. Il surfait sur sa confiance, une fois qu’il prenait confiance, il était inarrettable. Il pouvait marquer n’importe quel genre de tir. Il était un peu moins sur le contrôle qu’Evan.\n\nEtaient-ils à l’écoute des joueurs plus expérimentés ?\n\nEvan a faim d’apprendre donc s’il pense qu’un conseil peut être intéressant il va le prendre et comme il est très travailleur il le mettait en pratique. Il prenait tout ce qu’on pouvait lui donner. Pour Edwin, je ne sais pas trop. J’étais moins avec le groupe donc je le voyais moins.\n\nComment était leur relation avec Pascal Donnadieu ?\n\nQuand Edwin était à Nanterre, je n’ai fait que les deux premiers mois avec eux et ensuite je n’étais avec le groupe qu’occasionnellement donc je n’ai rien vu de spécial entre Edwin et Pascal. En ce qui concerne Evan, au début il était dans un rôle difficile. Il rentrait pour quelques minutes, et dès qu’il faisait une ou deux erreurs il sortait. A un moment donné il avait réussi à sortir un peu de ça, mais malheureusement il y avait des joueurs plus forts et expérimentés. Je pense que Pascal n’avait pas totalement confiance en lui.\n\n[armelse]\n\nEn 2008, l’ASVEL envoie le jeune Edwin Jackson s’aguerrir en Pro B à Nanterre. A l’époque la JSF est encore loin d’être ce qu’elle est désormais. Une année auparavant, le club avait atteint à la surprise générale la finale de la Coupe de France à Bercy. Lors de la saison 2007-2008, c’est un autre futur international qui fait ses classes au pied des tours de La Défense. Si bien que lorsque le fils de Skeeter Jackson débarque au Palais des Sports Maurice-Thorez, Pascal Donnadieu se promet de polir ce diamant.Le coach historique de la JSF réussit son pari. Son jeune joueur compile 13 points par match et permet à l’équipe de se maintenir sans peur en Pro B. Et huit ans après avoir quitté les Hauts-de-Seine, Edwin Jackson se réjouit de retrouver Pascal Donnadieu :\n\n« Ça fait très plaisir de le retrouver. On s’est connus en Pro B et on a eu des trajectoires différentes. Se retrouver dans l’élite du basket européen, que ce soit dans le coaching staff ou dans les joueurs, c’est une fierté. […] Il n’avait pas encore eu les succès qu’il a connu par la suite donc c’est clair que voir tout le chemin parcouru et les succès qu’on a pu avoir individuellement, c’est une vraie satisfaction. C’est quelqu’un que j’ai toujours remercié, que j’ai toujours mentionné dans ma réussite professionnelle et je suis très content qu’il soit là. »\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »hide »]\n[arm_setup id= »2″ hide_title= »true »]\n[/arm_restrict_content]\n\nPhotos : FFBB – Nanterre 92", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-18T06:09:02.000Z", "updated_at":"2017-08-18T06:09:02.000Z", "published_at":"2017-08-18T06:09:02.000Z", "custom_excerpt":"En plus d’enfiler de nouveau le maillot bleu cet été, Evan Fournier (2,01m, 24 ans) retrouve également l’entraîneur de ses débuts professionnels à Nanterre, Pascal Donnadieu (53 ans). 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Stay strong my spanish friends !!
\\n— edwin jackson (@edjacks) August 17, 2017
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\\n— Pau Gasol (@paugasol) August 17, 2017
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/edwin.jpg\")
Parmi les témoignages de sympathie à l’égard de la ville de Barcelone et aux victimes de l’attaque terroriste sur la Rambla qui a fait 13 morts et une centaine de blessés, celui d’Edwin Jackson, qui a porté le maillot du Barça en 2014-15.
« J’ai joué seulement quelques mois à Barcelone mais j’aime beaucoup cette ville et je suis vraiment triste de voir ce qui est arrivé. Soyez forts mes amis espagnols!! »
\nI played only a few months in barcelona but i love this city so much and trully sad to see what happened. Stay strong my spanish friends !!
\n— edwin jackson (@edjacks) August 17, 2017
Les internationaux espagnols font évidemment partie de ceux qui ont exprimé leurs émotions, à commencer par Pau Gasol, qui a fait ses classes au Barça.
\nDestrozado por lo ocurrido en las #Ramblas de #Barcelona.Todo mi apoyo a las víctimas, heridos y familiares en estos momentos tan difíciles.
\n— Pau Gasol (@paugasol) August 17, 2017
Photo : Eurocup
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Arrivé la saison dernière après une saison à Strasbourg, Mardy Collins vient de prolonger son bail avec le Lokomotiv Kuban, annonce le club sur son site.
Passé par la NBA à New York et Los Angeles, le natif de Philadelphie continue donc l’aventure en VTB League, championnat qu’il a découvert cette saison à Krasnodar aux côtés d’un autre pensionnaire de Pro A, Taylor Rochestie. Nommé dans le meilleur cinq de l’Eurocup pour la deuxième fois d’affilée, l’ancien joueur de l’Olympiakos retrouvera un club français en C2 à la rentrée puisque son équipe et le CSP Limoges sont engagé dans le groupe C de la compétition.
Cette saison avec le Loko Kuban, Mardy Collins compilait en moyenne 12,2 points, 4,9 rebonds et 3,6 passes décisives pour une évaluation de 13,6 en championnat et 10,8 points, 5,5 rebonds et 3,6 assists pour une évaluation de 12,1 sur la scène européenne.
Photo : Eurocup
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\\n— Sportando (@Sportando) August 17, 2017
Photo : Claire Macel
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Toujours sans contrat en vue de la saison prochaine, Landing ‘Ada’ Sané (2,07m, 26 ans) va tenter de se faire une place au sein de l’effectif de Reggio Emilia en participant à son camp d’entraînement d’après Sportando.
Cette saison l’intérieur né à Ermont a été l’un des éléments clé de la bonne saison du PL en compilant 5,2 points et 2,5 rebonds en 15 minutes par match en saison régulière, puis 9,0 points et 5,0 rebonds en 21 minutes lors des playoffs.
De son côté le club italien qui participera à l’Eurocup la saison prochaine compte déjà l’international albanais Mike Moser (2,03m, 26 ans) et le pivot de la Squadra Azzura Riccardo Cervi (2,14m, 26 ans) dans son secteur intérieur.
Rappelons également que Yann Bonato avait évolué au Pallacanestro Reggiana lors de la saison 1998-1999.
\nLanding Sane is joining Pallacanestro Reggiana training camp
\n— Sportando (@Sportando) August 17, 2017
Photo : Claire Macel
", "comment_id":"406057", "plaintext":"Toujours sans contrat en vue de la saison prochaine, Landing ‘Ada’ Sané (2,07m, 26 ans) va tenter de se faire une place au sein de l’effectif de Reggio Emilia en participant à son camp d’entraînement d’après Sportando.\n\nCette saison l’intérieur né à Ermont a été l’un des éléments clé de la bonne saison du PL en compilant 5,2 points et 2,5 rebonds en 15 minutes par match en saison régulière, puis 9,0 points et 5,0 rebonds en 21 minutes lors des playoffs.\n\nDe son côté le club italien qui participera à l’Eurocup la saison prochaine compte déjà l’international albanais Mike Moser (2,03m, 26 ans) et le pivot de la Squadra Azzura Riccardo Cervi (2,14m, 26 ans) dans son secteur intérieur.\n\nRappelons également que Yann Bonato avait évolué au Pallacanestro Reggiana lors de la saison 1998-1999.\n\n\n\n\nLanding Sane is joining Pallacanestro Reggiana training camp\n\n\n— Sportando (@Sportando) August 17, 2017\n\nPhoto : Claire Macel", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-17T15:43:09.000Z", "updated_at":"2017-08-17T15:44:32.000Z", "published_at":"2017-08-17T15:43:09.000Z", "custom_excerpt":"Toujours sans contrat en vue de la saison prochaine, Landing ‘Ada’ Sané (2,07m, 26 ans) va tenter de se faire une place au sein de l’effectif de Reggio Emilia en participant à son camp d’entraînement d’après Sportando.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd7d", "uuid":"83d6b77b-f658-433e-9c2d-ac6339a54e77", "title":"Eurobasket : Miroslav Raudljica forfait pour la Serbie, Nedovic incertain", "slug":"eurobasket-miroslav-raudljica-forfait-pour-la-serbie-nedovic-incertain", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/miroslav-raduljica-fiba-e1502983844828.jpg\",\"width\":800,\"height\":534}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : FIBA
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L’avalanche de forfait continue donc de s’abattre sur l’Eurobasket et la Serbie ne sera pas épargnée. Après Nikola Jokic, Nikola Milutinov, Nemanja Bjelica et Marko Simonovic, c’est Miroslav Raduljica qui déclare forfait.
Blessé au genou, le pivot milanais n’a eu d’autre choix que de faire l’impasse sur la compétition, comme le rapporte Eurohoops. En plus de perdre l’ancien joueur des Milwaukee Bucks, Sasha Djordjevic doit également faire face au cas Nemanja Nedovic. Touché à la clavicule, le vainqueur de l’Eurocup 2017 pourrait lui aussi manquer l’Euro. L’ancien joueur de Valence va faire un aller-retour à Malaga pour y passer des examens et en savoir plus sur les détails de sa blessure.
Photo : FIBA
", "comment_id":"406055", "plaintext":"L’avalanche de forfait continue donc de s’abattre sur l’Eurobasket et la Serbie ne sera pas épargnée. Après Nikola Jokic, Nikola Milutinov, Nemanja Bjelica et Marko Simonovic, c’est Miroslav Raduljica qui déclare forfait.\n\nBlessé au genou, le pivot milanais n’a eu d’autre choix que de faire l’impasse sur la compétition, comme le rapporte Eurohoops. En plus de perdre l’ancien joueur des Milwaukee Bucks, Sasha Djordjevic doit également faire face au cas Nemanja Nedovic. Touché à la clavicule, le vainqueur de l’Eurocup 2017 pourrait lui aussi manquer l’Euro. L’ancien joueur de Valence va faire un aller-retour à Malaga pour y passer des examens et en savoir plus sur les détails de sa blessure.\n\nPour rappel, Nicolas Batum, Rudy Gobert, Rudy Fernandez, Danilo Gallinari, Kosta Koufos ou encore Jan Vesely seront absents lors de l’Eurobasket.\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-17T15:34:25.000Z", "updated_at":"2017-08-17T15:34:25.000Z", "published_at":"2017-08-17T15:34:25.000Z", "custom_excerpt":"L’avalanche de forfait continue donc de s’abattre sur l’Eurobasket et la Serbie ne sera pas épargnée. Après Nikola Jokic, Nikola Milutinov, Nemanja Bjelica et Marko Simonovic, c’est Miroslav Raduljica qui déclare forfait.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd7e", "uuid":"86296e6f-99e8-4bfa-9a45-5e72cb0df1c3", "title":"AfroBasket: Mohamed Hachad (Le Portel) avec la pré-sélection du Maroc", "slug":"afrobasket-mohamed-hachad-le-portel-avec-la-pre-selection-du-maroc", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/acb_pro_a_hachad.jpg\",\"width\":190,\"height\":250}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/communique-cc-81-16-08-17-001-745x1024-e1502977170660.jpg\",\"width\":500,\"height\":687}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le Portelois Mohamed Hachad (1,94m, 34 ans), né à Casablanca, ainsi que l’espoir de Rouen Mohamed Aboussalam (1,98m, 21 ans) ont été appelés avec seize autres joueurs dans la pré-sélection du Maroc pour l’AfroBasket.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mohamed Hachad a déjà disputé les éditions de 2009 et 2011.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’AfroBasket se tiendra du 8 au 17 septembre en Tunisie et au Sénégal.\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/acb_pro_a_hachad.jpg\")
Le Portelois Mohamed Hachad (1,94m, 34 ans), né à Casablanca, ainsi que l’espoir de Rouen Mohamed Aboussalam (1,98m, 21 ans) ont été appelés avec seize autres joueurs dans la pré-sélection du Maroc pour l’AfroBasket.
Mohamed Hachad a déjà disputé les éditions de 2009 et 2011.
L’AfroBasket se tiendra du 8 au 17 septembre en Tunisie et au Sénégal.
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/fiba-logo-e1502970653308.png\"){kind=logo}
A partir du 1er octobre 2017, la règle du marcher sera la même dans le basket FIBA que dans le basket NBA.
C’est une petite révolution qui va se produire dans le basket international tant le marcher est une règle qui fait parler sur sa tolérance en NBA. C’est dans le but « d’avoir la même règle dans le monde entier qui reflète mieux ce qui se passe sur le terrain » que le bureau central de la FIBA s’est réuni courant juillet pour effectuer quelques ajustements sur le règlement, dont celui-ci.
Pour mieux comprendre cette règle un peu spéciale, vous pouvez également vous rendre sur ce lien. Article paru sur Basket USA à l’époque où la NBA a « légalisé » le marcher.
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\\n— Yugobasket (@yugobasket) August 17, 2017
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/anthony-randolph-1.jpg\")
Comme par enchantement, Anthony Randolph (2,11m, 28 ans) vient de recevoir son passeport slovène à moins de deux semaines de l’EuroBasket.
L’ailier du Real Madrid rejoint ainsi la cohorte des basketteurs américains qui obtiennent la nationalité d’un pays européen sans posséder une filiation et même sans jamais y avoir séjourné.
Avant l’Espagne, Randolph a uniquement fréquenté la NBA et la Russie.
A lire à ce sujet notre billet de la journée avec notamment l’avis d’Evan Fournier.
\nAnthony Randolph is now officially a Slovenian. pic.twitter.com/3iZTBOShE5
\n— Yugobasket (@yugobasket) August 17, 2017
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\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) August 17, 2017
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/nobel-boungou-colo-khimki-moscow-region-ec16-photo-khimki.jpg\")
Après une saison en Russie à Khimki, Nobel Boungou Colo (2,02m, 29 ans) va tenter de se faire une place au Bayern Munich. L’ancien Limougeaud va participer à la pré-saison avec le club bavarois.
La saison dernière, pour sa première expérience à l’étranger, NBC tournait à 8,3 points et 3,2 rebonds en Eurocup et 7,3 points et 3,4 rebonds en VTB League.
Cet été, le natif de Brazzaville a reçu des offres de la part du Betis Séville et de Reggio Emilia, mais a préféré les décliner.
Le Bayern Munich est le club qui monte en Allemagne depuis quelques années. Bénéficiant d’investissements conséquents, le club bavarois aurait notamment proposé à Fabien Causeur un salaire supérieur à celui que l’arrière touchera au Real Madrid.
\nNobel Boungou Colo will make preseason with Bayern Múnich looking for a spot on the team. He had offers from Betis and Reggio Emilia
\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) August 17, 2017
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/20170810_165936_1024.jpg\")
Basket Europe vous propose aujourd’hui une nouvelle rubrique, “l’œil du collectionneur”. Dans ce nouveau rendez-vous nous vous faisons découvrir un club et ses partenaires à travers le spectre de son maillot actuel ou passé. Aujourd’hui, pour le premier numéro de la rubrique voici le maillot 2016-2017 du Darüşşafaka Istanbul.
Club d’Adrien Moerman, Scottie Wilbekin et Brad Wanamaker cette saison qui, pour la première fois a atteint les playoffs de l’Euroligue : le Darüşşafaka Istanbul est un club stambouliote situé à Maslak. Lors de sa fondation en 1914, le club de sport du Darüşşafaka Istanbul repris les couleurs et le logo de l’institution éducative du même nom qui l’avait précédé. En effet, cette institution profondément ancrée dans le paysage stambouliote avait pour but de fournir une éducation de qualité aux orphelins de la ville. C’est donc un club avec une histoire particulière et des racines profondes dont nous parlons là. Malgré un double titre de championne de Turquie dans les années soixante, le club a connu la deuxième division turque pour ensuite retrouver l’élite lors de la saison 2014-2015. Le club de Maslak est un des premiers clubs européens à être équipé par Under Armour.
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La marque qui conçoit les modèles signature Stephen Curry équipe le club depuis 2015. On peut d’ailleurs apercevoir le logo de la marque de Baltimore en haut à droite du maillot, en dessous du logo du club. Le logo du club, parlons-en. Rond, vert et noir, on y retrouve le symbole du club au centre. Une panthère marquée de la date 1914, année de fondation du club. Pourquoi une panthère ? La panthère du Darüşşafaka représente la force et l’agilité. Autour de cette panthère on retrouve le nom du club Darüşşafaka Doğuş Istanbul, pour cause naming (dénomination publicitaire d’une enceinte ou d’un club de sport). Le nom Doğuş désigne Doğuş Holding, un groupe turc qui avait signé un accord de coopération sur le long terme avec la fondation Darüşşafaka. Doğuş Group est présent dans de nombreux secteurs comme le BTP, la finance, l’automobile, la construction, le tourisme et les médias. Dans ce portefeuille, on retrouve notamment la banque Garanti ou encore des concessions Volkswagen. D’ailleurs le Daka évolue à la Volkswagen Arena d’Istanbul.
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Enfin, au niveau des sponsors présents sur le maillot du club, on retrouve SEAT et Garanti. La première est une marque de voiture de tourisme (comme son nom l’indique Sociedad Española de Automóviles de Turismo) espagnole à l’origine, rachetée par Volkswagen en 1982 et 1986. Une marque bien présente en Turquie notamment par le biais d’une certaine proximité germano-turque et les larges investissements de Doğuş Group dans les concessions de la marque allemande. Enfin Garanti, présent sur le maillot du Daka Doğuş est une banque turque qui n’est pas inconnue dans le monde du basketball européen et notamment turc puisque la sélection turque arbore le logo de la banque sur son maillot depuis quelques années.
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Le Darüşşafaka Istanbul évoluera l’année prochaine en Eurocup puisque sa wildcard en Euroleague ne lui a pas été renouvelée. Malgré la perte de nombreux joueurs importants au sein de son effectif comme les anciens Limougeauds Adrien Moerman ou Bradley Wanamaker, l’équipe fera tout de même figure de sérieux prétendant au titre dans la seconde compétition continentale gérée par l’Euroleague.
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Cette éventuelle victoire permettrait notamment de retrouver le plus grand échelon continental. Dont le logo figure sur le côté gauche du maillot, au niveau du cœur. Avec One Team, le programme de Responsabilité Sociétale de l’Euroleague en dessous. Et on compte sur les hommes de David Blatt (qui a failli quitter le club cet été) pour prouver au Doguş Group (un des partenaires principaux de l’Euroleague) qu’ils auraient dû rester chez les verts et noirs plutôt que de devenir le sponsor majeur du Fenerbahçe.
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Malgré un double titre de championne de Turquie dans les années soixante, le club a connu la deuxième division turque pour ensuite retrouver l’élite lors de la saison 2014-2015. Le club de Maslak est un des premiers clubs européens à être équipé par Under Armour.\n\nLa marque qui conçoit les modèles signature Stephen Curry équipe le club depuis 2015. On peut d’ailleurs apercevoir le logo de la marque de Baltimore en haut à droite du maillot, en dessous du logo du club. Le logo du club, parlons-en. Rond, vert et noir, on y retrouve le symbole du club au centre. Une panthère marquée de la date 1914, année de fondation du club. Pourquoi une panthère ? La panthère du Darüşşafaka représente la force et l’agilité. Autour de cette panthère on retrouve le nom du club Darüşşafaka Doğuş Istanbul, pour cause naming (dénomination publicitaire d’une enceinte ou d’un club de sport). Le nom Doğuş désigne Doğuş Holding, un groupe turc qui avait signé un accord de coopération sur le long terme avec la fondation Darüşşafaka. Doğuş Group est présent dans de nombreux secteurs comme le BTP, la finance, l’automobile, la construction, le tourisme et les médias. Dans ce portefeuille, on retrouve notamment la banque Garanti ou encore des concessions Volkswagen. D’ailleurs le Daka évolue à la Volkswagen Arena d’Istanbul.\n\nEnfin, au niveau des sponsors présents sur le maillot du club, on retrouve SEAT et Garanti. La première est une marque de voiture de tourisme (comme son nom l’indique Sociedad Española de Automóviles de Turismo) espagnole à l’origine, rachetée par Volkswagen en 1982 et 1986. Une marque bien présente en Turquie notamment par le biais d’une certaine proximité germano-turque et les larges investissements de Doğuş Group dans les concessions de la marque allemande. Enfin Garanti, présent sur le maillot du Daka Doğuş est une banque turque qui n’est pas inconnue dans le monde du basketball européen et notamment turc puisque la sélection turque arbore le logo de la banque sur son maillot depuis quelques années.\n\nLe Darüşşafaka Istanbul évoluera l’année prochaine en Eurocup puisque sa wildcard en Euroleague ne lui a pas été renouvelée. Malgré la perte de nombreux joueurs importants au sein de son effectif comme les anciens Limougeauds Adrien Moerman ou Bradley Wanamaker, l’équipe fera tout de même figure de sérieux prétendant au titre dans la seconde compétition continentale gérée par l’Euroleague.\n\nCette éventuelle victoire permettrait notamment de retrouver le plus grand échelon continental. Dont le logo figure sur le côté gauche du maillot, au niveau du cœur. Avec One Team, le programme de Responsabilité Sociétale de l’Euroleague en dessous. 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– Gregor Beugnot a programmé une semaine chargée à Vittel pour travailler à la fois la capacité et la puissance. Ça bosse fort. Et personne ne rechigne… Lire la suite.
– Dans une séance de shoots ludique où tous les joueurs nancéiens se sont rencontrés en un contre un sur une série, le jeune américain au passeport… Lire la suite.
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– Coup dur pour le Limoges CSP. Son nouveau joueur Jean-Baptiste Maille a été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou… Lire la suite.
– Les Vinoliens ont repris la direction du gymnase hier avec leur nouvel entraîneur, Benoît Groisil. L’équipe n’a quasiment pas bougé et sera ambitieuse… Lire la suite.
– UTBM Fougères L’Union Tours Basket Métropole est en plein dans la préparation de sa saison 2017-2018 de Nationale 2. Un niveau où elle est citée comme l’une des équipes favorites pour … Lire la suite.
– L’heure de la reprise a sonné hier soir pour le Réveil bressuirais et un retour qui sera progressif pour l’effectif de nationale 3 féminine. Un groupe qui attend pour se fixer des objectifs … Lire la suite.
– Sacré champion d’Europe U16 avec l’équipe de France de basket dont il est entraîneur adjoint, le responsable du pole féminin du Creps de Poitiers et ex-coach du Stade … Lire la suite.
– Les basketteurs de l’ADA Blois reprendront l’entraînement, ce vendredi 18 août, et ils auraient dû disputer leur premier match amical, vendredi 25 à Châtellerault, face à Poitiers (Pro B). Les … Lire la suite.
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– Luc-Primaube Basket va accueillir son premier centre Génération basket, du 21 au 25 août, organisé en partenariat avec la Fédération française de basket-ball et GRDF. Le principe de ce … Lire la suite.
– Longueau est resté sur sa faim en avril dernier, après avoir manqué de peu la montée en Nationale2. Cette saison sera-t-elle la bonne? « C’est ce qu’on espère, répond l’entraîneur Liam … Lire la suite.
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Finaliste de Pro B il y a quelques semaines, l’Hermine de Nantes a un nouveau coach, le Serbo-autrichien Neno Asceric qui a pris la place de Franck Collineau avec Jean-Baptiste Lecrosnier, qui avait assuré un très bon intérim en fin de saison dernière, et sept nouveaux joueurs, mais conservé de hautes ambitions.
« Le projet est en place depuis trois ans pour une accession en 2018, » a confirmé le responsable de la communication du club Thierry Cabannes à Ouest France.
Neno Asceric, qui arrive de Lille, assume la mission:
« Il ne faut pas le cacher, je suis ici pour pouvoir faire jouer l’équipe en Pro A, a expliqué l’ex-Lillois. Je suis content du recrutement, confiant aussi, mais notre progression passera par la patience et la prudence. La chance également, qu’il faudra mériter. Maintenant, on a dix matches pour préparer le championnat. »
Ce sera la 23e saison de l’Hermine en Pro B. Un record mais une série que les Nantais voudraient briser en accédant à la super élite nationale.
", "comment_id":"405987", "plaintext":"Finaliste de Pro B il y a quelques semaines, l’Hermine de Nantes a un nouveau coach, le Serbo-autrichien Neno Asceric qui a pris la place de Franck Collineau avec Jean-Baptiste Lecrosnier, qui avait assuré un très bon intérim en fin de saison dernière, et sept nouveaux joueurs, mais conservé de hautes ambitions.\n\n« Le projet est en place depuis trois ans pour une accession en 2018, » a confirmé le responsable de la communication du club Thierry Cabannes à Ouest France.\n\nNeno Asceric, qui arrive de Lille, assume la mission:\n\n« Il ne faut pas le cacher, je suis ici pour pouvoir faire jouer l’équipe en Pro A, a expliqué l’ex-Lillois. Je suis content du recrutement, confiant aussi, mais notre progression passera par la patience et la prudence. La chance également, qu’il faudra mériter. Maintenant, on a dix matches pour préparer le championnat. »\n\nCe sera la 23e saison de l’Hermine en Pro B. Un record mais une série que les Nantais voudraient briser en accédant à la super élite nationale.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-17T06:26:23.000Z", "updated_at":"2017-08-17T07:53:14.000Z", "published_at":"2017-08-17T06:26:23.000Z", "custom_excerpt":"Finaliste de Pro B il y a quelques semaines, l’Hermine de Nantes a un nouveau coach, le Serbo-autrichien Neno Asceric qui a pris la place de Franck Collineau avec Jean-Baptiste Lecrosnier, qui avait assuré un très bon intérim en fin de saison dernière, et sept nouveaux joueurs, mais conservé de haut", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd86", "uuid":"d7f828d3-d952-4818-88f5-a102a57e867f", "title":"Finlande: Petteri Koponen de retour avec l’équipe nationale", "slug":"finlande-petteri-koponen-de-retour-avec-lequipe-nationale", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/koponen.jpg\",\"width\":730,\"height\":404}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La figure emblématique de la Finlande, Petteri Koponen (1,94m, 29 ans), a obtenu l’accord des médecins pour rejoindre l’équipe nationale actuellement en préparation. Il sera demain à la disposition du coach Henrik Dettman pour un match face à la République Tchèque.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le joueur du FC Barcelone souffre depuis le printemps d’une blessure à la main droite et lutte contre le temps pour être prêt pour cet EuroBasket que la Finlande va co-organiser en accueillant à Helsinki un groupe préliminaire avec la France.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Jusqu’à présent, la remise en état de ma main a progressé selon le calendrier prévu. Espérons que cela continue d’aller de mieux en mieux et qu’il n’ait pas de rechute. Il y a encore quelques jours avant le championnat d’Europe », a déclaré le meneur de jeu de l’équipe nationale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En septembre dernier, Petteri Koponen avait été blessé à la tête dans un accident de taxi. Cette saison avec le Barça il a assuré 10,1 points à 46,2% de réussite à trois-points et 1,9 passe en Euroleague.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/koponen.jpg\")
La figure emblématique de la Finlande, Petteri Koponen (1,94m, 29 ans), a obtenu l’accord des médecins pour rejoindre l’équipe nationale actuellement en préparation. Il sera demain à la disposition du coach Henrik Dettman pour un match face à la République Tchèque.
Le joueur du FC Barcelone souffre depuis le printemps d’une blessure à la main droite et lutte contre le temps pour être prêt pour cet EuroBasket que la Finlande va co-organiser en accueillant à Helsinki un groupe préliminaire avec la France.
« Jusqu’à présent, la remise en état de ma main a progressé selon le calendrier prévu. Espérons que cela continue d’aller de mieux en mieux et qu’il n’ait pas de rechute. Il y a encore quelques jours avant le championnat d’Europe », a déclaré le meneur de jeu de l’équipe nationale.
En septembre dernier, Petteri Koponen avait été blessé à la tête dans un accident de taxi. Cette saison avec le Barça il a assuré 10,1 points à 46,2% de réussite à trois-points et 1,9 passe en Euroleague.
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Ce sont de véritables imposteurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On ne parle pas du meneur Jamar Wilson, qui est marié à une ancienne internationale finlandaise, Laura Sario, et qui a dû obtenir un certificat prouvant qu’il maîtrise une langue très subtile tout en attendant cinq ans après avoir manifesté son désir d’embrasser la nationalité du pays pour se voir remettre le précieux passeport.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"D’autres cas sont spécifiques comme celui de Rosco Allen, dont le père Daniel est américain mais dont la mère Brigitta est hongroise. Rosco est né à Budapest, sa première langue fut le hongrois, et ce n’est qu’à l’adolescence qu’il s’est rendu aux Etats-Unis, en high school puis à l’université de Stanford.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On veut bien reconnaître également la légitimité de la citoyenneté turque de Bobby Dixon, passé par Saint-Etienne, Gravelines, Le Mans, Villeurbanne et Dijon quand il était proposé à un prix abordable pour la Pro A. Ali Muhammed -c’est son nom de conversion- a désormais à son compteur cinq saisons dans des clubs turcs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’empressement de l’ex-Manceau Giordan Watson à obtenir la nationalité roumaine juste avant l’Euro nous paraît suspect mais au moins connait-il le pays –il a porté deux saisons le maillot de Energia Targu-Jiu et sera à la rentrée dans l’effectif du champion national, Cluj.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mais que dire du Slovène Anthony Randolph, du Monténégrin Tyrese Rice, du Polonais de Villeurbanne A.J. Slaugher et du Georgien de Strasbourg Mike Dixon, lesquels n’ont jamais séjourné dans leur pays d’adoption respectif avant de revêtir le maillot national ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a d’ailleurs des cas hautement comiques comme celui de… D.J. Cooper, qui a obtenu le passeport bosniaque en juin 2014, qui \"],[0,[1],1,\"a fait un training camp avec la sélection du pays\"],[0,[],0,\", \"],[0,[2],1,\"et qui aurait été contacté pour faire l’Euro avec la Roumanie !\"],[0,[],0,\" C’est sûr que vu d’Amérique, tous ces pays se rassemblent ! Le MVP de la Pro A est bien mieux là où il se trouve actuellement : au Sportica pour préparer la saison 2017-18.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A ce propos, il n’a échappé à personne que le Strasbourgeois Zack Wright est bosniaque et le Manceau Romeo Travis macédonien. Et ce ne sont pas les seuls à avoir succombé aux pays des Balkans. Passons.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[10,1],[1,\"blockquote\",[[0,[3,0],2,\"« C’est vrai qu’il y avait à une époque ce que l’on appelait la « période d’attente de trois ans » afin d’éviter les naturalisations hâtives ou faites pour une compétition précise. On a opté pour l’élimination de cette clause sous recommandation de juristes. » Patrick Baummann, secrétaire-général de la FIBA\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Naturaliser des joueurs américains pour s’en servir comme autochtone est une vieille tradition en Europe et la France n’y a pas échappé dans les années 70, 80. D’ailleurs plusieurs joueurs qui avaient fait des mariages blancs à ce dessein… sont toujours en France près de quarante ans plus tard !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’un des cas qui avait fait beaucoup jaser est celui de Becky Hammon, devenue une icône pour avoir été la première femme assistant coach en NBA, aux San Antonio Spurs, mais qui auparavant avec obtenu le passeport russe afin de participer aux Jeux de Pekin. Son nom russifié étant Ребекка Линн Хаммон. Anne Donavan, la coach des Etats-Unis avait jugé cette démarche anti-patriotique.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ces « naturalisé(e)s » apporte un bonus considérable aux sélections nationales qui les débauchent. Jamais la Russie ne serait devenue championne d’Europe en 2007 sans le meneur américain J.R. Holden qui avait acquis le précieux sésame grâce au président Vladimir Poutine lui-même.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Je saigne en rouge, blanc et bleu. Je suis Américain dans tout ce que je fais, sauf quand je joue au basket-ball », avait commenté J.R. Holden. « Mais voir les gens pleurer parce qu’ils ont la chance de jouer pour leur pays vous fait réaliser que c’est un honneur de représenter la Russie, pas seulement comme un joueur, mais aussi comme une personne. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Jamais la Macédoine ne se serait hissée jusqu’aux demi-finales de l’Euro 2011 sans Bo McCalebb élu dans le 5 idéal du tournoi avec ses 21,4 points, 3,1 rebonds, and 3,7 passes par match en plus de 34 minutes en moyenne sur le terrain.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il ne s’en faut que d’une règle pour que le basket évite la pantalonnade survenue au handball lors de la Coupe du Monde 2015 lorsque le Qatar atteignit la finale avec une troupe de mercenaires dont le Français Bertrand Roiné, qui avait été sacré avec la France quatre ans auparavant ! Une règle salvatrice, l’interdiction d’avoir plus d’un naturalisé par équipe. Une règle que l’Espagne aurait aimé faire sauter afin d’aligner ensemble le Congolais Serge Ibaka et le Monténégrin Nikola Mirotic. L’Espagne qui est une spécialiste du recrutement de joueurs/joueuses africain(e)s à des dessins purement mercantiles.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"De ce poison mortel, nous nous étions entretenus avec Patrick Baumann, secrétaire-général de la Fédération internationale, pour l’hebdomadaire \"],[0,[0],1,\"BasketNews\"],[0,[],0,\". C’était justement après la performance de Bo McCalebb avec la Macédoine et on avait fait remarquer à Patrick Baumann qu’auparavant un naturalisé devait patienter trois ans avant de pouvoir jouer avec son équipe nationale et on lui avait demandé si la FIBA n’avez jamais été attaqué pour cette « discrimination ».\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0,3],1,\"« \"],[0,[],1,\"C’est vrai qu’il y avait à une époque ce que l’on appelait la « période d’attente de trois ans » afin d’éviter les naturalisations hâtives ou faites pour une compétition précise. On a opté pour l’élimination de cette clause sous recommandation de juristes. Un joueur, aussi bien qu’il puisse être, ne peut pas vous faire gagner durant neuf matches de suite pendant deux semaines. A deux, ils peuvent vous faire 40-50 points et vous auriez un changement immédiat dans la hiérarchie du sport qui ne serait pas acceptable. Pour un petit pays comme celui que vous mentionnez, on peut comprendre ce choix. Un, la règle l’autorise, deux vous essayez d’aller avec lui au niveau suivant. La FYROM (le nom donné par la FIBA à la Macédoine) a profité des capacités de ce joueur, cela a provoqué de l’engouement. Par contre on peut questionner le choix de certains pays de plusieurs millions d’habitants de la nécessité d’utiliser cette règle. Chacun doit faire son examen de conscience. Est-ce bon de prendre un naturalisé ? »\"]]],[10,2],[1,\"blockquote\",[[0,[0,3],2,\"« Ce que je dénonce, ce sont les passeports qui sont donnés à la dernière minute. On te file un chèque. Je trouve ça honteux. » Evan Fournier\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En France, plusieurs personnalités dont Valérie Garnier, coach de l’équipe de France féminine –le phénomène est tout aussi prégnant dans le basket féminin international- \"],[0,[4],1,\"ont déjà pris position contre cet afflux de naturalisations frelatées\"],[0,[],0,\". Et quand il s’agit d’un NBAer comme Evan Fournier, cela prend du poids.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Je trouve que c’est honteux ! », nous a-t-il confié l’autre jour à l’INSEP avant de prendre le temps pour peser ses mots. « C’est un sujet assez délicat et c’est du cas par cas. Si tu es Américain et que ta femme est d’un pays et que tes enfants grandissent dans ce pays, il n’y a pas de soucis. Ce que je dénonce, ce sont les passeports qui sont donnés à la dernière minute. On te file un chèque. Je trouve ça honteux. Comme pour un joueur que je connais très bien, Randolph, qui va jouer avec la Slovénie. Ridicule, honteux. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Evan Fournier connaît bien le dossier Anthony Randolph puisqu’il a fréquenté l’actuel joueur du Real Madrid aux Denver Nuggets. Et encore une fois, il ne s’agit pas de mettre dans le même sac ces cas fortement douteux avec la naturalisation de Blake Schilb dont la femme est tchèque –il a lui-même joué à Nymburk.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Ca a plus de sens », estime l’international français d’Orlando. « Encore une fois ce que je dénonce, c’est que l’on vienne recruter un joueur avec une enveloppe pour lui donner un passeport et tu vas jouer pour nous alors que tu ne sais même pas dire bonjour ! Avec Randolph, je ne suis plus trop en contact avec lui. On se verra du coup ! (rire). Je ne parle pas des autres sports. Je sais que dans le rugby, c’est quelque chose qui se fait. Pas de soucis. C’est comme Serge (Ibaka) et Mirotic, il faut arrêter, ils ne sont pas espagnols. Serge est resté en Espagne six mois, il a eu son passeport. Si tu lui demandes d’où il vient, il te dit que c’est un congolais. »\"]]],[10,3],[1,\"blockquote\",[[0,[0,3],2,\"« Votre pouvoir de négociation monte en flèche si vous pouvez être signé en tant qu’Européen Je ne me soucie pas de quel pays il est, si je peux trouver un endroit pour m’établir et y rester pendant un certain temps. » Darryl Bryant\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Seulement, il faut avoir conscience que cette appréciation n’est pas partagée par tout le monde. \"],[0,[5],1,\"L’intervention sur BasketEurope.com \"],[0,[],0,\"du coach de la sélection polonaise, Mike Taylor, est bien fraîche dans les mémoires :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Nous ne sommes pas la première équipe à faire ça et je pense que nous ne serons pas non plus la dernière à le faire. Ça fait partie du jeu, si vous ne mettez pas toutes les chances de votre côté pour être aussi forts que vous le pouvez, vous n’allez pas dans le bon sens. A.J. est une addition fantastique pour notre équipe, en tant que joueur mais également en tant que personne. Les fans français le connaissent bien pour ce qu’il a fait à Strasbourg. C’est évidemment un très bon joueur, mais c’est également une très bonne personne. Nous pensions que nous avions besoin d’améliorer notre équipe au poste 2 puisque nous n’avions que Lukasz Koszarek depuis plusieurs années et A.J. est arrivé et a été fantastique. Je ne peux pas me permettre de parler pour les autres pays pour savoir ce qu’ils pensent de ça mais je pense que, d’abord, ce n’est pas illégal, ça fait partie des règles, ça fait partie du jeu et que tout ce que l’on essaye de faire c’est d’avoir la meilleure équipe possible. Naturaliser des joueurs fait partie du processus pour rendre votre équipe meilleure. Beaucoup d’équipes n’ont pas la chance d’avoir autant de joueurs en NBA que la France et d’avoir autant de joueurs à un aussi haut niveau. Actuellement les règles nous autorisent à avoir un joueur naturalisé et je pense que nous avons tiré le jackpot avec A.J. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Une appréciation partagée, par exemple, par Darryl Bryant, un guard qui a bourlingué dans pas mal de pays, et qui expliquait récemment son cas avec candeur au site \"],[0,[6],1,\"Ozy.com\"],[0,[],0,\" :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Avoir un deuxième passeport est énorme pour les Américains. Énorme. Votre pouvoir de négociation monte en flèche si vous pouvez être signé en tant qu’européen. Je ne me soucie pas de quel pays il est, si je peux trouver un endroit pour m’établir et y rester pendant un certain temps. Je suis en train de sauter d’un pays à l’autre et ça rend impossible la vie de famille. Ma fille a vécu avec moi en Autriche, mais elle n’est pas revenue depuis. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[7],1,\"La démarche de l’Azerbaïdjan\"],[0,[],0,\", qui a déjà offert un passeport à Spencer Nelson, Jaycee Carroll ou Nik Caner-Medley est encore plus scandaleuse puisqu’elle concerne Jordan Davis, un jeune de 20 ans qui n’a jamais quitté son Amérique natale !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Business is business. Peu importe le pays, son histoire, ses us et coutumes, ses habitants. Une philosophie que nous ne partageons pas. Ces gens oublient le caractère sacré, n’ayons pas peur de ce mot, d’une nationalité. Et nous n’hésitons pas à crier notre honte aux joueurs, aux agents, aux coaches et aux pays qui pour le fric corrompent ces « valeurs ».\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0,3],2,\"« Il fallait que je choisisse et comme je suis patriote jusqu’au bout des ongles, ma fille et moi, nous sommes Lituaniennes. » Lina Brazdeikyte\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il nous revient en tête ce que nous avait expliqué pour \"],[0,[6],1,\"BasketHebdo\"],[0,[],0,\" Lina Brazdeikyte, une ancienne internationale lituanienne, qui après avoir joué dans six clubs de Ligue Féminine avait prolongé son séjour en France comme assistante coach. Etes-vous française, lui avions-nous demandé ?\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Non. En Lituanie, on n’a pas le droit malheureusement à la double nationalité. Il fallait que je choisisse et comme je suis patriote jusqu’au bout des ongles, ma fille et moi, nous sommes lituaniennes. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est sûr que si l’administration américaine retirait leur passeport US aux joueurs qui optent pour une autre nationalité, ils y réfléchiraient à deux fois…\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On ne parle pas du meneur Jamar Wilson, qui est marié à une ancienne internationale finlandaise, Laura Sario, et qui a dû obtenir un certificat prouvant qu’il maîtrise une langue très subtile tout en attendant cinq ans après avoir manifesté son désir d’embrasser la nationalité du pays pour se voir remettre le précieux passeport.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"D’autres cas sont spécifiques comme celui de Rosco Allen, dont le père Daniel est américain mais dont la mère Brigitta est hongroise. Rosco est né à Budapest, sa première langue fut le hongrois, et ce n’est qu’à l’adolescence qu’il s’est rendu aux Etats-Unis, en high school puis à l’université de Stanford.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On veut bien reconnaître également la légitimité de la citoyenneté turque de Bobby Dixon, passé par Saint-Etienne, Gravelines, Le Mans, Villeurbanne et Dijon quand il était proposé à un prix abordable pour la Pro A. Ali Muhammed -c’est son nom de conversion- a désormais à son compteur cinq saisons dans des clubs turcs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’empressement de l’ex-Manceau Giordan Watson à obtenir la nationalité roumaine juste avant l’Euro nous paraît suspect mais au moins connait-il le pays –il a porté deux saisons le maillot de Energia Targu-Jiu et sera à la rentrée dans l’effectif du champion national, Cluj.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mais que dire du Slovène Anthony Randolph, du Monténégrin Tyrese Rice, du Polonais de Villeurbanne A.J. 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C’est désormais une constance : l’EuroBasket est truffé d’«Américains naturalisés » qui tels de véritables mercenaires viennent renforcer certaines équipes –très généralement des anciens pays de l’est- moyennant un passeport qui leur permet par ailleurs de se valoriser durant la saison en club. Ce sont de véritables imposteurs.
On ne parle pas du meneur Jamar Wilson, qui est marié à une ancienne internationale finlandaise, Laura Sario, et qui a dû obtenir un certificat prouvant qu’il maîtrise une langue très subtile tout en attendant cinq ans après avoir manifesté son désir d’embrasser la nationalité du pays pour se voir remettre le précieux passeport.
D’autres cas sont spécifiques comme celui de Rosco Allen, dont le père Daniel est américain mais dont la mère Brigitta est hongroise. Rosco est né à Budapest, sa première langue fut le hongrois, et ce n’est qu’à l’adolescence qu’il s’est rendu aux Etats-Unis, en high school puis à l’université de Stanford.
On veut bien reconnaître également la légitimité de la citoyenneté turque de Bobby Dixon, passé par Saint-Etienne, Gravelines, Le Mans, Villeurbanne et Dijon quand il était proposé à un prix abordable pour la Pro A. Ali Muhammed -c’est son nom de conversion- a désormais à son compteur cinq saisons dans des clubs turcs.
L’empressement de l’ex-Manceau Giordan Watson à obtenir la nationalité roumaine juste avant l’Euro nous paraît suspect mais au moins connait-il le pays –il a porté deux saisons le maillot de Energia Targu-Jiu et sera à la rentrée dans l’effectif du champion national, Cluj.
Mais que dire du Slovène Anthony Randolph, du Monténégrin Tyrese Rice, du Polonais de Villeurbanne A.J. Slaugher et du Georgien de Strasbourg Mike Dixon, lesquels n’ont jamais séjourné dans leur pays d’adoption respectif avant de revêtir le maillot national ?
Il y a d’ailleurs des cas hautement comiques comme celui de… D.J. Cooper, qui a obtenu le passeport bosniaque en juin 2014, qui a fait un training camp avec la sélection du pays, et qui aurait été contacté pour faire l’Euro avec la Roumanie ! C’est sûr que vu d’Amérique, tous ces pays se rassemblent ! Le MVP de la Pro A est bien mieux là où il se trouve actuellement : au Sportica pour préparer la saison 2017-18.
A ce propos, il n’a échappé à personne que le Strasbourgeois Zack Wright est bosniaque et le Manceau Romeo Travis macédonien. Et ce ne sont pas les seuls à avoir succombé aux pays des Balkans. Passons.
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« C’est vrai qu’il y avait à une époque ce que l’on appelait la « période d’attente de trois ans » afin d’éviter les naturalisations hâtives ou faites pour une compétition précise. On a opté pour l’élimination de cette clause sous recommandation de juristes. » Patrick Baummann, secrétaire-général de la FIBA
Naturaliser des joueurs américains pour s’en servir comme autochtone est une vieille tradition en Europe et la France n’y a pas échappé dans les années 70, 80. D’ailleurs plusieurs joueurs qui avaient fait des mariages blancs à ce dessein… sont toujours en France près de quarante ans plus tard !
L’un des cas qui avait fait beaucoup jaser est celui de Becky Hammon, devenue une icône pour avoir été la première femme assistant coach en NBA, aux San Antonio Spurs, mais qui auparavant avec obtenu le passeport russe afin de participer aux Jeux de Pekin. Son nom russifié étant Ребекка Линн Хаммон. Anne Donavan, la coach des Etats-Unis avait jugé cette démarche anti-patriotique.
Ces « naturalisé(e)s » apporte un bonus considérable aux sélections nationales qui les débauchent. Jamais la Russie ne serait devenue championne d’Europe en 2007 sans le meneur américain J.R. Holden qui avait acquis le précieux sésame grâce au président Vladimir Poutine lui-même.
« Je saigne en rouge, blanc et bleu. Je suis Américain dans tout ce que je fais, sauf quand je joue au basket-ball », avait commenté J.R. Holden. « Mais voir les gens pleurer parce qu’ils ont la chance de jouer pour leur pays vous fait réaliser que c’est un honneur de représenter la Russie, pas seulement comme un joueur, mais aussi comme une personne. »
Jamais la Macédoine ne se serait hissée jusqu’aux demi-finales de l’Euro 2011 sans Bo McCalebb élu dans le 5 idéal du tournoi avec ses 21,4 points, 3,1 rebonds, and 3,7 passes par match en plus de 34 minutes en moyenne sur le terrain.
Il ne s’en faut que d’une règle pour que le basket évite la pantalonnade survenue au handball lors de la Coupe du Monde 2015 lorsque le Qatar atteignit la finale avec une troupe de mercenaires dont le Français Bertrand Roiné, qui avait été sacré avec la France quatre ans auparavant ! Une règle salvatrice, l’interdiction d’avoir plus d’un naturalisé par équipe. Une règle que l’Espagne aurait aimé faire sauter afin d’aligner ensemble le Congolais Serge Ibaka et le Monténégrin Nikola Mirotic. L’Espagne qui est une spécialiste du recrutement de joueurs/joueuses africain(e)s à des dessins purement mercantiles.
De ce poison mortel, nous nous étions entretenus avec Patrick Baumann, secrétaire-général de la Fédération internationale, pour l’hebdomadaire BasketNews. C’était justement après la performance de Bo McCalebb avec la Macédoine et on avait fait remarquer à Patrick Baumann qu’auparavant un naturalisé devait patienter trois ans avant de pouvoir jouer avec son équipe nationale et on lui avait demandé si la FIBA n’avez jamais été attaqué pour cette « discrimination ».
« C’est vrai qu’il y avait à une époque ce que l’on appelait la « période d’attente de trois ans » afin d’éviter les naturalisations hâtives ou faites pour une compétition précise. On a opté pour l’élimination de cette clause sous recommandation de juristes. Un joueur, aussi bien qu’il puisse être, ne peut pas vous faire gagner durant neuf matches de suite pendant deux semaines. A deux, ils peuvent vous faire 40-50 points et vous auriez un changement immédiat dans la hiérarchie du sport qui ne serait pas acceptable. Pour un petit pays comme celui que vous mentionnez, on peut comprendre ce choix. Un, la règle l’autorise, deux vous essayez d’aller avec lui au niveau suivant. La FYROM (le nom donné par la FIBA à la Macédoine) a profité des capacités de ce joueur, cela a provoqué de l’engouement. Par contre on peut questionner le choix de certains pays de plusieurs millions d’habitants de la nécessité d’utiliser cette règle. Chacun doit faire son examen de conscience. Est-ce bon de prendre un naturalisé ? »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/becky-hammon.jpg\")
« Ce que je dénonce, ce sont les passeports qui sont donnés à la dernière minute. On te file un chèque. Je trouve ça honteux. » Evan Fournier
En France, plusieurs personnalités dont Valérie Garnier, coach de l’équipe de France féminine –le phénomène est tout aussi prégnant dans le basket féminin international- ont déjà pris position contre cet afflux de naturalisations frelatées. Et quand il s’agit d’un NBAer comme Evan Fournier, cela prend du poids.
« Je trouve que c’est honteux ! », nous a-t-il confié l’autre jour à l’INSEP avant de prendre le temps pour peser ses mots. « C’est un sujet assez délicat et c’est du cas par cas. Si tu es Américain et que ta femme est d’un pays et que tes enfants grandissent dans ce pays, il n’y a pas de soucis. Ce que je dénonce, ce sont les passeports qui sont donnés à la dernière minute. On te file un chèque. Je trouve ça honteux. Comme pour un joueur que je connais très bien, Randolph, qui va jouer avec la Slovénie. Ridicule, honteux. »
Evan Fournier connaît bien le dossier Anthony Randolph puisqu’il a fréquenté l’actuel joueur du Real Madrid aux Denver Nuggets. Et encore une fois, il ne s’agit pas de mettre dans le même sac ces cas fortement douteux avec la naturalisation de Blake Schilb dont la femme est tchèque –il a lui-même joué à Nymburk.
« Ca a plus de sens », estime l’international français d’Orlando. « Encore une fois ce que je dénonce, c’est que l’on vienne recruter un joueur avec une enveloppe pour lui donner un passeport et tu vas jouer pour nous alors que tu ne sais même pas dire bonjour ! Avec Randolph, je ne suis plus trop en contact avec lui. On se verra du coup ! (rire). Je ne parle pas des autres sports. Je sais que dans le rugby, c’est quelque chose qui se fait. Pas de soucis. C’est comme Serge (Ibaka) et Mirotic, il faut arrêter, ils ne sont pas espagnols. Serge est resté en Espagne six mois, il a eu son passeport. Si tu lui demandes d’où il vient, il te dit que c’est un congolais. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/aj-slaughter-e1502829579330.jpg\")
« Votre pouvoir de négociation monte en flèche si vous pouvez être signé en tant qu’Européen Je ne me soucie pas de quel pays il est, si je peux trouver un endroit pour m’établir et y rester pendant un certain temps. » Darryl Bryant
Seulement, il faut avoir conscience que cette appréciation n’est pas partagée par tout le monde. L’intervention sur BasketEurope.com du coach de la sélection polonaise, Mike Taylor, est bien fraîche dans les mémoires :
« Nous ne sommes pas la première équipe à faire ça et je pense que nous ne serons pas non plus la dernière à le faire. Ça fait partie du jeu, si vous ne mettez pas toutes les chances de votre côté pour être aussi forts que vous le pouvez, vous n’allez pas dans le bon sens. A.J. est une addition fantastique pour notre équipe, en tant que joueur mais également en tant que personne. Les fans français le connaissent bien pour ce qu’il a fait à Strasbourg. C’est évidemment un très bon joueur, mais c’est également une très bonne personne. Nous pensions que nous avions besoin d’améliorer notre équipe au poste 2 puisque nous n’avions que Lukasz Koszarek depuis plusieurs années et A.J. est arrivé et a été fantastique. Je ne peux pas me permettre de parler pour les autres pays pour savoir ce qu’ils pensent de ça mais je pense que, d’abord, ce n’est pas illégal, ça fait partie des règles, ça fait partie du jeu et que tout ce que l’on essaye de faire c’est d’avoir la meilleure équipe possible. Naturaliser des joueurs fait partie du processus pour rendre votre équipe meilleure. Beaucoup d’équipes n’ont pas la chance d’avoir autant de joueurs en NBA que la France et d’avoir autant de joueurs à un aussi haut niveau. Actuellement les règles nous autorisent à avoir un joueur naturalisé et je pense que nous avons tiré le jackpot avec A.J. »
Une appréciation partagée, par exemple, par Darryl Bryant, un guard qui a bourlingué dans pas mal de pays, et qui expliquait récemment son cas avec candeur au site Ozy.com :
« Avoir un deuxième passeport est énorme pour les Américains. Énorme. Votre pouvoir de négociation monte en flèche si vous pouvez être signé en tant qu’européen. Je ne me soucie pas de quel pays il est, si je peux trouver un endroit pour m’établir et y rester pendant un certain temps. Je suis en train de sauter d’un pays à l’autre et ça rend impossible la vie de famille. Ma fille a vécu avec moi en Autriche, mais elle n’est pas revenue depuis. »
La démarche de l’Azerbaïdjan, qui a déjà offert un passeport à Spencer Nelson, Jaycee Carroll ou Nik Caner-Medley est encore plus scandaleuse puisqu’elle concerne Jordan Davis, un jeune de 20 ans qui n’a jamais quitté son Amérique natale !
Business is business. Peu importe le pays, son histoire, ses us et coutumes, ses habitants. Une philosophie que nous ne partageons pas. Ces gens oublient le caractère sacré, n’ayons pas peur de ce mot, d’une nationalité. Et nous n’hésitons pas à crier notre honte aux joueurs, aux agents, aux coaches et aux pays qui pour le fric corrompent ces « valeurs ».
« Il fallait que je choisisse et comme je suis patriote jusqu’au bout des ongles, ma fille et moi, nous sommes Lituaniennes. » Lina Brazdeikyte
Il nous revient en tête ce que nous avait expliqué pour BasketHebdo Lina Brazdeikyte, une ancienne internationale lituanienne, qui après avoir joué dans six clubs de Ligue Féminine avait prolongé son séjour en France comme assistante coach. Etes-vous française, lui avions-nous demandé ?
« Non. En Lituanie, on n’a pas le droit malheureusement à la double nationalité. Il fallait que je choisisse et comme je suis patriote jusqu’au bout des ongles, ma fille et moi, nous sommes lituaniennes. »
C’est sûr que si l’administration américaine retirait leur passeport US aux joueurs qui optent pour une autre nationalité, ils y réfléchiraient à deux fois…
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/tyrese-rice.jpg\")
[armelse]
On ne parle pas du meneur Jamar Wilson, qui est marié à une ancienne internationale finlandaise, Laura Sario, et qui a dû obtenir un certificat prouvant qu’il maîtrise une langue très subtile tout en attendant cinq ans après avoir manifesté son désir d’embrasser la nationalité du pays pour se voir remettre le précieux passeport.
D’autres cas sont spécifiques comme celui de Rosco Allen, dont le père Daniel est américain mais dont la mère Brigitta est hongroise. Rosco est né à Budapest, sa première langue fut le hongrois, et ce n’est qu’à l’adolescence qu’il s’est rendu aux Etats-Unis, en high school puis à l’université de Stanford.
On veut bien reconnaître également la légitimité de la citoyenneté turque de Bobby Dixon, passé par Saint-Etienne, Gravelines, Le Mans, Villeurbanne et Dijon quand il était proposé à un prix abordable pour la Pro A. Ali Muhammed -c’est son nom de conversion- a désormais à son compteur cinq saisons dans des clubs turcs.
L’empressement de l’ex-Manceau Giordan Watson à obtenir la nationalité roumaine juste avant l’Euro nous paraît suspect mais au moins connait-il le pays –il a porté deux saisons le maillot de Energia Targu-Jiu et sera à la rentrée dans l’effectif du champion national, Cluj.
Mais que dire du Slovène Anthony Randolph, du Monténégrin Tyrese Rice, du Polonais de Villeurbanne A.J. Slaugher et du Georgien de Strasbourg Mike Dixon, lesquels n’ont jamais séjourné dans leur pays d’adoption respectif avant de revêtir le maillot national ?
Il y a d’ailleurs des cas hautement comiques comme celui de… D.J. Cooper, qui a obtenu le passeport bosniaque en juin 2014, qui a fait un training camp avec la sélection du pays, et qui aurait été contacté pour faire l’Euro avec la Roumanie ! C’est sûr que vu d’Amérique, tous ces pays se rassemblent ! Le MVP de la Pro A est bien mieux là où il se trouve actuellement : au Sportica pour préparer la saison 2017-18.
A ce propos, il n’a échappé à personne que le Strasbourgeois Zack Wright est bosniaque et le Manceau Romeo Travis macédonien. Et ce ne sont pas les seuls à avoir succombé aux pays des Balkans. Passons.
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Photos: FFBB
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Rosco est né à Budapest, sa première langue fut le hongrois, et ce n’est qu’à l’adolescence qu’il s’est rendu aux Etats-Unis, en high school puis à l’université de Stanford.\n\nOn veut bien reconnaître également la légitimité de la citoyenneté turque de Bobby Dixon, passé par Saint-Etienne, Gravelines, Le Mans, Villeurbanne et Dijon quand il était proposé à un prix abordable pour la Pro A. Ali Muhammed -c’est son nom de conversion- a désormais à son compteur cinq saisons dans des clubs turcs.\n\nL’empressement de l’ex-Manceau Giordan Watson à obtenir la nationalité roumaine juste avant l’Euro nous paraît suspect mais au moins connait-il le pays –il a porté deux saisons le maillot de Energia Targu-Jiu et sera à la rentrée dans l’effectif du champion national, Cluj.\n\nMais que dire du Slovène Anthony Randolph, du Monténégrin Tyrese Rice, du Polonais de Villeurbanne A.J. Slaugher et du Georgien de Strasbourg Mike Dixon, lesquels n’ont jamais séjourné dans leur pays d’adoption respectif avant de revêtir le maillot national ?\n\nIl y a d’ailleurs des cas hautement comiques comme celui de… D.J. Cooper, qui a obtenu le passeport bosniaque en juin 2014, qui a fait un training camp avec la sélection du pays, et qui aurait été contacté pour faire l’Euro avec la Roumanie ! C’est sûr que vu d’Amérique, tous ces pays se rassemblent ! Le MVP de la Pro A est bien mieux là où il se trouve actuellement : au Sportica pour préparer la saison 2017-18.\n\nA ce propos, il n’a échappé à personne que le Strasbourgeois Zack Wright est bosniaque et le Manceau Romeo Travis macédonien. Et ce ne sont pas les seuls à avoir succombé aux pays des Balkans. 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Anne Donavan, la coach des Etats-Unis avait jugé cette démarche anti-patriotique.\n\nCes « naturalisé(e)s » apporte un bonus considérable aux sélections nationales qui les débauchent. Jamais la Russie ne serait devenue championne d’Europe en 2007 sans le meneur américain J.R. Holden qui avait acquis le précieux sésame grâce au président Vladimir Poutine lui-même.\n\n« Je saigne en rouge, blanc et bleu. Je suis Américain dans tout ce que je fais, sauf quand je joue au basket-ball », avait commenté J.R. 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L’Espagne qui est une spécialiste du recrutement de joueurs/joueuses africain(e)s à des dessins purement mercantiles.\n\nDe ce poison mortel, nous nous étions entretenus avec Patrick Baumann, secrétaire-général de la Fédération internationale, pour l’hebdomadaire BasketNews. C’était justement après la performance de Bo McCalebb avec la Macédoine et on avait fait remarquer à Patrick Baumann qu’auparavant un naturalisé devait patienter trois ans avant de pouvoir jouer avec son équipe nationale et on lui avait demandé si la FIBA n’avez jamais été attaqué pour cette « discrimination ».\n\n« C’est vrai qu’il y avait à une époque ce que l’on appelait la « période d’attente de trois ans » afin d’éviter les naturalisations hâtives ou faites pour une compétition précise. On a opté pour l’élimination de cette clause sous recommandation de juristes. Un joueur, aussi bien qu’il puisse être, ne peut pas vous faire gagner durant neuf matches de suite pendant deux semaines. A deux, ils peuvent vous faire 40-50 points et vous auriez un changement immédiat dans la hiérarchie du sport qui ne serait pas acceptable. Pour un petit pays comme celui que vous mentionnez, on peut comprendre ce choix. Un, la règle l’autorise, deux vous essayez d’aller avec lui au niveau suivant. La FYROM (le nom donné par la FIBA à la Macédoine) a profité des capacités de ce joueur, cela a provoqué de l’engouement. Par contre on peut questionner le choix de certains pays de plusieurs millions d’habitants de la nécessité d’utiliser cette règle. Chacun doit faire son examen de conscience. Est-ce bon de prendre un naturalisé ? »\n\n« Ce que je dénonce, ce sont les passeports qui sont donnés à la dernière minute. On te file un chèque. Je trouve ça honteux. » Evan Fournier\n\nEn France, plusieurs personnalités dont Valérie Garnier, coach de l’équipe de France féminine –le phénomène est tout aussi prégnant dans le basket féminin international- ont déjà pris position contre cet afflux de naturalisations frelatées. Et quand il s’agit d’un NBAer comme Evan Fournier, cela prend du poids.\n\n« Je trouve que c’est honteux ! », nous a-t-il confié l’autre jour à l’INSEP avant de prendre le temps pour peser ses mots. « C’est un sujet assez délicat et c’est du cas par cas. Si tu es Américain et que ta femme est d’un pays et que tes enfants grandissent dans ce pays, il n’y a pas de soucis. Ce que je dénonce, ce sont les passeports qui sont donnés à la dernière minute. On te file un chèque. Je trouve ça honteux. Comme pour un joueur que je connais très bien, Randolph, qui va jouer avec la Slovénie. Ridicule, honteux. »\n\nEvan Fournier connaît bien le dossier Anthony Randolph puisqu’il a fréquenté l’actuel joueur du Real Madrid aux Denver Nuggets. Et encore une fois, il ne s’agit pas de mettre dans le même sac ces cas fortement douteux avec la naturalisation de Blake Schilb dont la femme est tchèque –il a lui-même joué à Nymburk.\n\n« Ca a plus de sens », estime l’international français d’Orlando. « Encore une fois ce que je dénonce, c’est que l’on vienne recruter un joueur avec une enveloppe pour lui donner un passeport et tu vas jouer pour nous alors que tu ne sais même pas dire bonjour ! Avec Randolph, je ne suis plus trop en contact avec lui. On se verra du coup ! (rire). Je ne parle pas des autres sports. Je sais que dans le rugby, c’est quelque chose qui se fait. Pas de soucis. C’est comme Serge (Ibaka) et Mirotic, il faut arrêter, ils ne sont pas espagnols. Serge est resté en Espagne six mois, il a eu son passeport. Si tu lui demandes d’où il vient, il te dit que c’est un congolais. »\n\n« Votre pouvoir de négociation monte en flèche si vous pouvez être signé en tant qu’Européen Je ne me soucie pas de quel pays il est, si je peux trouver un endroit pour m’établir et y rester pendant un certain temps. » Darryl Bryant\n\nSeulement, il faut avoir conscience que cette appréciation n’est pas partagée par tout le monde. L’intervention sur BasketEurope.com du coach de la sélection polonaise, Mike Taylor, est bien fraîche dans les mémoires :\n\n« Nous ne sommes pas la première équipe à faire ça et je pense que nous ne serons pas non plus la dernière à le faire. Ça fait partie du jeu, si vous ne mettez pas toutes les chances de votre côté pour être aussi forts que vous le pouvez, vous n’allez pas dans le bon sens. A.J. est une addition fantastique pour notre équipe, en tant que joueur mais également en tant que personne. Les fans français le connaissent bien pour ce qu’il a fait à Strasbourg. C’est évidemment un très bon joueur, mais c’est également une très bonne personne. Nous pensions que nous avions besoin d’améliorer notre équipe au poste 2 puisque nous n’avions que Lukasz Koszarek depuis plusieurs années et A.J. est arrivé et a été fantastique. Je ne peux pas me permettre de parler pour les autres pays pour savoir ce qu’ils pensent de ça mais je pense que, d’abord, ce n’est pas illégal, ça fait partie des règles, ça fait partie du jeu et que tout ce que l’on essaye de faire c’est d’avoir la meilleure équipe possible. Naturaliser des joueurs fait partie du processus pour rendre votre équipe meilleure. Beaucoup d’équipes n’ont pas la chance d’avoir autant de joueurs en NBA que la France et d’avoir autant de joueurs à un aussi haut niveau. Actuellement les règles nous autorisent à avoir un joueur naturalisé et je pense que nous avons tiré le jackpot avec A.J. »\n\nUne appréciation partagée, par exemple, par Darryl Bryant, un guard qui a bourlingué dans pas mal de pays, et qui expliquait récemment son cas avec candeur au site Ozy.com :\n\n« Avoir un deuxième passeport est énorme pour les Américains. Énorme. Votre pouvoir de négociation monte en flèche si vous pouvez être signé en tant qu’européen. Je ne me soucie pas de quel pays il est, si je peux trouver un endroit pour m’établir et y rester pendant un certain temps. Je suis en train de sauter d’un pays à l’autre et ça rend impossible la vie de famille. Ma fille a vécu avec moi en Autriche, mais elle n’est pas revenue depuis. »\n\nLa démarche de l’Azerbaïdjan, qui a déjà offert un passeport à Spencer Nelson, Jaycee Carroll ou Nik Caner-Medley est encore plus scandaleuse puisqu’elle concerne Jordan Davis, un jeune de 20 ans qui n’a jamais quitté son Amérique natale !\n\nBusiness is business. Peu importe le pays, son histoire, ses us et coutumes, ses habitants. Une philosophie que nous ne partageons pas. Ces gens oublient le caractère sacré, n’ayons pas peur de ce mot, d’une nationalité. 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En fin de contrat avec l’Andalou Efes, Jayson Granger quitte la Turquie et prend la direction du Pays basque.
Passé par l’Estudiantines Madrid et Malaga, l’Uruguayen va donc retrouver le championnat espagnol la saison prochaine. Au Baskonia, avec qui il s’est engagé pour trois saisons, il évoluera aux côtés de deux Français, Rodrigue Beaubois et Vincent Poirier.
Cette saison à Istanbul avec Thomas Heurtel, Jayson Granger compilait en moyenne 9,4 points, 2,7 rebonds et 4,9 passes décisives en championnat et 9,7 points, 2,7 rebonds et 3,9 assists pour une évaluation de 10,3 en Euroleague.
Photo : Euroleague
", "comment_id":"405968", "plaintext":"En fin de contrat avec l’Andalou Efes, Jayson Granger quitte la Turquie et prend la direction du Pays basque.\n\nPassé par l’Estudiantines Madrid et Malaga, l’Uruguayen va donc retrouver le championnat espagnol la saison prochaine. Au Baskonia, avec qui il s’est engagé pour trois saisons, il évoluera aux côtés de deux Français, Rodrigue Beaubois et Vincent Poirier.\n\nCette saison à Istanbul avec Thomas Heurtel, Jayson Granger compilait en moyenne 9,4 points, 2,7 rebonds et 4,9 passes décisives en championnat et 9,7 points, 2,7 rebonds et 3,9 assists pour une évaluation de 10,3 en Euroleague.\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-16T18:14:35.000Z", "updated_at":"2017-08-16T18:14:35.000Z", "published_at":"2017-08-16T18:14:35.000Z", "custom_excerpt":"En fin de contrat avec l’Andalou Efes, Jayson Granger quitte la Turquie et prend la direction du Pays basque.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd89", "uuid":"40e65642-ba80-4d93-9360-f8f738d0f9aa", "title":"EuroBasket U16 : les Bleuets écartent la Turquie et filent en demi-finale", "slug":"eurobasket-u16-les-bleuets-ecartent-la-turquie-et-filent-en-demi-finale", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/theo-maledon-1.jpg\",\"width\":1000,\"height\":771}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : FIBA Europe
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Au terme d’un match accroché, les Bleuets ont battu la Turquie (80-76) et s’envolent vers les demi-finale.
Contrairement à hier contre la Suède, les jeunes français ont parfaitement débuté leur match aujourd’hui : + 9 après 10 minutes, + 13 à la mi-temps. Et contrairement à hier où Théo Maledon (photo) n’a jamais réussi à rentrer dans son match, le jeune meneur de l’ASVEL est le meilleur joueur de ce quart de finale contre la Turquie avec 18 points, 9 rebonds et 7 passes, bien secondé par Killian Hayes (12 points et 9 rebonds). Mais en deuxième mi-temps, les Turcs se réveillent sous l’impulsion de l’arrière Arda Cete (26 points) pour finalement échouer à 4 petits points de la victoire.
Les Bleuets joueront leur demi-finale vendredi contre la Croatie à 20h30.
La boxscore est disponible ici.
Photo : FIBA Europe
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Au sein de l’équipe de Belgique qui va affronter la France ce vendredi au tournoi de Toulouse, neuf joueurs ont déjà pris part à un EuroBasket, preuve que le coach Eddy Castels aime la continuité. Sam Van Rossom, finalement d’aplomb après deux mois et demi de réhabilitation de son genou, et Jonathan Tabu, participeront même à leur quatrième Euro.
Si Matt Lojeski (tendon d’Achille) et Retin Obasohan (genou) n’avaient pas eu de problèmes physiques, le coach aurait eu à sa disposition la meilleure équipe possible sur le papier. La possibilité d’un retour de dernière minutes de ces deux-là est faible.
“Il passera vendredi un nouvel examen pour son genou blessé. S’il est positif, il rentrerait encore en ligne de compte… en cas de blessure d’un arrière, ” a indiqué le manager des Belgium Lions Jaques Stas à La Dernière heure à propos de Retin Obasohan (1,85m, 24 ans).
Le cas de l’Américain Matt Lojeski (1,98m, 32 ans), deux fois MVP du championnat de Belgique, et qui vient d’être transféré de l’Olympikos au Panathinaikos est encore plus problématique. Il passera vendredi des tests médicaux dans son nouveau club mais d’après la presse belge il n’est toujours pas en mesure de s’entraîner en cinq contre cinq et le temps joue contre un retour express en équipe nationale.
Photo: Matt Lojeski
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Au lendemain de la lourde défaite subie en Lituanie, Vincent Collet a décidé de réduire son groupe à 14 joueurs en écartant Livio Jean-Charles (2,06m, 23 ans) et Mathias Lessort (2,05m, 21 ans).
Livio Jean-Charles faisait partie du groupe France depuis le début de la préparation. Il en a profité pour fêter ses trois premières sélections en Bleu -il n’est pas rentré en jeu contre la Croatie-, au cours desquelles il a inscrit 4 points et pris 4 rebonds en ayant passé en moyenne 8 minutes par match sur le parquet.
Mathias Lessort avait lui été appelé en renfort en fin de semaine dernière pour palier aux indisponibilités de Joffrey Lauvergne et Vincent Poirier. Le Martiniquais a honoré sa première cape hier contre la Lituanie en passant 1’15 » sur le parquet de Kaunas.
Préservé hier, Antoine Diot manquera également le tournoi de Toulouse en fin de semaine à cause d’un décès dans sa famille.
Vincent Collet ne dispose maintenant plus que de 14 joueurs.
Meneurs : Antoine Diot (Valence), Thomas Heurtel (Barcelone), Léo Westermann (CSKA Moscou)
Arrières-ailiers : Nando De Colo (CSKA Moscou), Evan Fournier (Orlando), Edwin Jackson (Guangdong), Axel Toupane (Zalgiris Kaunas), Yakuba Ouattara (Brooklyn)
Intérieurs : Boris Diaw (sans contrat), Louis Labeyrie (Strasbourg), Joffrey Lauvergne (San Antonio), Vincent Poirier (Vitoria), Kevin Séraphin (Barcelone), Kim Tillie (Olympiakos)
Photo : FFBB
", "comment_id":"405947", "plaintext":"Au lendemain de la lourde défaite subie en Lituanie, Vincent Collet a décidé de réduire son groupe à 14 joueurs en écartant Livio Jean-Charles (2,06m, 23 ans) et Mathias Lessort (2,05m, 21 ans).\n\nLivio Jean-Charles faisait partie du groupe France depuis le début de la préparation. Il en a profité pour fêter ses trois premières sélections en Bleu -il n’est pas rentré en jeu contre la Croatie-, au cours desquelles il a inscrit 4 points et pris 4 rebonds en ayant passé en moyenne 8 minutes par match sur le parquet.\n\nMathias Lessort avait lui été appelé en renfort en fin de semaine dernière pour palier aux indisponibilités de Joffrey Lauvergne et Vincent Poirier. Le Martiniquais a honoré sa première cape hier contre la Lituanie en passant 1’15 » sur le parquet de Kaunas.\n\nPréservé hier, Antoine Diot manquera également le tournoi de Toulouse en fin de semaine à cause d’un décès dans sa famille.\n\nVincent Collet ne dispose maintenant plus que de 14 joueurs.\n\nMeneurs : Antoine Diot (Valence), Thomas Heurtel (Barcelone), Léo Westermann (CSKA Moscou)\nArrières-ailiers : Nando De Colo (CSKA Moscou), Evan Fournier (Orlando), Edwin Jackson (Guangdong), Axel Toupane (Zalgiris Kaunas), Yakuba Ouattara (Brooklyn)\nIntérieurs : Boris Diaw (sans contrat), Louis Labeyrie (Strasbourg), Joffrey Lauvergne (San Antonio), Vincent Poirier (Vitoria), Kevin Séraphin (Barcelone), Kim Tillie (Olympiakos)\n\nPhoto : FFBB", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-16T16:05:01.000Z", "updated_at":"2017-08-16T16:19:11.000Z", "published_at":"2017-08-16T16:05:01.000Z", "custom_excerpt":"Au lendemain de la lourde défaite subie en Lituanie, Vincent Collet a décidé de réduire son groupe à 14 joueurs en écartant Livio Jean-Charles (2,06m, 23 ans) et Mathias Lessort (2,05m, 21 ans).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd8c", "uuid":"fee4bd17-1b9c-4a83-969b-632f9fc2221d", "title":"Limoges : Jean-Baptiste Maille victime d’une rupture des ligaments croisés", "slug":"limoges-jean-baptiste-maille-victime-dune-rupture-des-ligaments-croises", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/maillejb.jpg\",\"width\":800,\"height\":531}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Philippe Clauzon
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Gros coup dur pour le CSP, Jean-Baptiste Maille sera absent pour une durée comprise entre 7 et 9 mois.
Victime d’une rupture des ligaments croisés à l’entrainement, le natif du Mans voit sa saison quasiment se terminer avant même qu’elle ait pu commencer. Sorti de sa meilleure saison en Pro B avec Fos compilant 4,5 points, 2,9 rebonds et 4,1 passes décisives, l’ancien joueur du Portel avait attiré l’oeil du CSP qui allait lui offrir la chance de connaitre sa première expérience en Pro A. La formation limougeaude est d’ores et déjà à la recherche de son remplaçant.
Directeur sportif du club, Olivier Bourgain s’est exprimé sur le site du club.
« C’est une terrible injustice pour JB qui s’était entraîné tout l’été pour arriver au top de sa forme. Il était comme un mort de faim, c’est un joueur qui va nous manquer car on savait très bien ce qu’il allait nous apporter dans la dureté, le combat. Mais c’est un fort caractère et je suis persuadé qu’il reviendra plus fort encore. Nous allons nous réunir avec les coachs pour trouver rapidement un remplaçant au profil similaire. Nous ne nous mettons aucune frontière, le joueur sera soit JFL, soit il aura un passeport Bosman/Cotonou. »
Photo : Philippe Clauzon
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Vainqueur de la Champions League avec Tenerife en avril dernier, Tariq Kirskay va faire son retour en France à la rentrée puisqu’il s’est engagé avec Fos-sur-Mer.
Passé par Besançon, Rueil, Bourg-en-Bresse et Nancy entre 2001 et 2007, le All Star LNB 2005 naturalisé français va donc faire, à 37 ans, son retour en Pro B dans le Sud de la France, annonce le club sur son site. Egalement passé par la Russie, l’Espagne, l’Italie ou encore l’Argentine et l’Angola, le natif du Bronx compte 29 sélections en Equipe de France entre 2007 et 2008. L’occasion pour vous de lire ou relire notre interview de l’ancien international publiée en mai dernier dans laquelle il évoquait notamment son envie de rejouer en France et d’y remporter un titre.
Cette saison sur les Iles Canaries, l’éternel Tariq Kirskay compilait en moyenne 6,7 points et 3,7 rebonds en ACB et 2,2 points et 2,3 rebonds pour une évaluation de 3,8 en Champions League. En mars, il avait inscrit 16 points et capté 7 rebonds face à son ancien club de l’Estudiantes.
Photo : BCL
", "comment_id":"405930", "plaintext":"Vainqueur de la Champions League avec Tenerife en avril dernier, Tariq Kirskay va faire son retour en France à la rentrée puisqu’il s’est engagé avec Fos-sur-Mer.\n\nPassé par Besançon, Rueil, Bourg-en-Bresse et Nancy entre 2001 et 2007, le All Star LNB 2005 naturalisé français va donc faire, à 37 ans, son retour en Pro B dans le Sud de la France, annonce le club sur son site. Egalement passé par la Russie, l’Espagne, l’Italie ou encore l’Argentine et l’Angola, le natif du Bronx compte 29 sélections en Equipe de France entre 2007 et 2008. L’occasion pour vous de lire ou relire notre interview de l’ancien international publiée en mai dernier dans laquelle il évoquait notamment son envie de rejouer en France et d’y remporter un titre.\n\nCette saison sur les Iles Canaries, l’éternel Tariq Kirskay compilait en moyenne 6,7 points et 3,7 rebonds en ACB et 2,2 points et 2,3 rebonds pour une évaluation de 3,8 en Champions League. En mars, il avait inscrit 16 points et capté 7 rebonds face à son ancien club de l’Estudiantes.\n\nPhoto : BCL", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-16T15:24:58.000Z", "updated_at":"2020-08-20T07:32:21.000Z", "published_at":"2017-08-16T15:24:58.000Z", "custom_excerpt":"Vainqueur de la Champions League avec Tenerife en avril dernier, Tariq Kirskay va faire son retour en France à la rentrée puisqu’il s’est engagé avec Fos-sur-Mer.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd8e", "uuid":"b1f1a62b-cde4-483c-a557-f34748a6ea25", "title":"Le Syndicat des basketteurs organise son camp à la Hoops Factory", "slug":"le-syndicat-des-basketteurs-organise-son-camp-a-la-hoops-factory", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/snb-hoops.jpg\",\"width\":720,\"height\":360}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"http://www.snbasket.com/fr/news/150-un-camp-pour-les-joueurs-sans-club-organise-sur-paris-en-partenariat-avec-hoops-factory\",\"rel\",\"noopener noreferrer\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeyFRcAV_Ggw30wuyTuEPTnbVquW0ohyEM0kY4HxLvrRt9pxg/viewform\",\"rel\",\"noopener noreferrer\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/pro-a-pro-b-le-point-sur-les-transferts-et-les-joueurs-sans-clubs/\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Chaque année, le SNB (Syndicat National des Basketteurs) organisait à Limoges son camp de basket destiné aux joueurs toujours sans club à la reprise. Cette année, \"],[0,[0],1,\"ce camp se tiendra à la Hoops Factory d’Aubervilliers\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors de la première semaine de septembre (à partir du 4 septembre), tous les joueurs à la recherche d’un club, inscrits via \"],[0,[1],1,\"ce lien\"],[0,[],0,\", auront donc rendez-vous aux portes de Paris pour un stage encadré par deux coachs également à la recherche d’un poste, Antoine Michon et Miguel Calero.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Président du SNB depuis 2014, Johan Passave-Ducteil confie que ce déménagement en région parisienne est une très bonne nouvelle pour les joueurs.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Pendant plusieurs saisons nous avons fait un camp à Limoges au mois d’Août. En faisant le bilan, il s’est avéré que cela ne répondait pas totalement aux attentes des joueurs et du SNB. Nous avons donc décidé de changer et de nous installer à Paris. Le partenariat avec Hoops Factory était pour nous une évidence car beaucoup de basketteurs s’y entraînent pendant l’été. En plus il y a des salles de réunions que nous allons pouvoir utiliser le matin pour nos ateliers et notre partenariat avec le groupe ACCOR, nous permet d’avoir un hébergement de qualité à proximité. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour rappel, le SNB \"],[0,[2],1,\"recense tous les joueurs professionnels (Pro A, Pro B et NM1) toujours sans club\"],[0,[],0,\" et cette liste compte pas moins de 72 noms.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/snb-hoops.jpg\")
Chaque année, le SNB (Syndicat National des Basketteurs) organisait à Limoges son camp de basket destiné aux joueurs toujours sans club à la reprise. Cette année, ce camp se tiendra à la Hoops Factory d’Aubervilliers.
Lors de la première semaine de septembre (à partir du 4 septembre), tous les joueurs à la recherche d’un club, inscrits via ce lien, auront donc rendez-vous aux portes de Paris pour un stage encadré par deux coachs également à la recherche d’un poste, Antoine Michon et Miguel Calero.
Président du SNB depuis 2014, Johan Passave-Ducteil confie que ce déménagement en région parisienne est une très bonne nouvelle pour les joueurs.
« Pendant plusieurs saisons nous avons fait un camp à Limoges au mois d’Août. En faisant le bilan, il s’est avéré que cela ne répondait pas totalement aux attentes des joueurs et du SNB. Nous avons donc décidé de changer et de nous installer à Paris. Le partenariat avec Hoops Factory était pour nous une évidence car beaucoup de basketteurs s’y entraînent pendant l’été. En plus il y a des salles de réunions que nous allons pouvoir utiliser le matin pour nos ateliers et notre partenariat avec le groupe ACCOR, nous permet d’avoir un hébergement de qualité à proximité. »
Pour rappel, le SNB recense tous les joueurs professionnels (Pro A, Pro B et NM1) toujours sans club et cette liste compte pas moins de 72 noms.
", "comment_id":"405923", "plaintext":"Chaque année, le SNB (Syndicat National des Basketteurs) organisait à Limoges son camp de basket destiné aux joueurs toujours sans club à la reprise. Cette année, ce camp se tiendra à la Hoops Factory d’Aubervilliers.\n\nLors de la première semaine de septembre (à partir du 4 septembre), tous les joueurs à la recherche d’un club, inscrits via ce lien, auront donc rendez-vous aux portes de Paris pour un stage encadré par deux coachs également à la recherche d’un poste, Antoine Michon et Miguel Calero.\n\nPrésident du SNB depuis 2014, Johan Passave-Ducteil confie que ce déménagement en région parisienne est une très bonne nouvelle pour les joueurs.\n\n« Pendant plusieurs saisons nous avons fait un camp à Limoges au mois d’Août. En faisant le bilan, il s’est avéré que cela ne répondait pas totalement aux attentes des joueurs et du SNB. Nous avons donc décidé de changer et de nous installer à Paris. Le partenariat avec Hoops Factory était pour nous une évidence car beaucoup de basketteurs s’y entraînent pendant l’été. En plus il y a des salles de réunions que nous allons pouvoir utiliser le matin pour nos ateliers et notre partenariat avec le groupe ACCOR, nous permet d’avoir un hébergement de qualité à proximité. »\n\nPour rappel, le SNB recense tous les joueurs professionnels (Pro A, Pro B et NM1) toujours sans club et cette liste compte pas moins de 72 noms.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-16T14:24:51.000Z", "updated_at":"2017-08-16T14:27:55.000Z", "published_at":"2017-08-16T14:24:51.000Z", "custom_excerpt":"Chaque année, le SNB (Syndicat National des Basketteurs) organisait à Limoges son camp de basket destiné aux joueurs toujours sans club à la reprise. Cette année, ce camp se tiendra à la Hoops Factory d’Aubervilliers.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd8f", "uuid":"e3901362-07fe-4c3a-b9dc-0ea8f5bf2778", "title":"Vidéo : « Tu préfères » avec Léo Westermann", "slug":"video-tu-preferes-avec-leo-westermann", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/GLJG9IgOyk8?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"De Colo ou Teodosic, CSP ou SIG, Serbie ou Lituanie ? Une minute pour tout savoir sur Léo Westermann.\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"De Colo ou Teodosic, CSP ou SIG, Serbie ou Lituanie ? Une minute pour tout savoir sur Léo Westermann.
Promu en Pro B, le Caen Basket Calvados continue de se renforcer et enregistre donc la signature de l’ancien pensionnaire de Murray State. Passé par la Pologne (Wroclaw) et la Turquie (Bursa) lors de ses deux premières saisons de basketteur professionnel, ce poste 4 américain va donc rester en France et vivre sa deuxième saison dans l’Hexagone, toujours en deuxième division, annonce le CBC sur son site.
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A Boulazac la saison dernière, Jarvis Williams a fait partie des grands artisans de la montée en Pro A du BBD.
Promu en Pro B, le Caen Basket Calvados continue de se renforcer et enregistre donc la signature de l’ancien pensionnaire de Murray State. Passé par la Pologne (Wroclaw) et la Turquie (Bursa) lors de ses deux premières saisons de basketteur professionnel, ce poste 4 américain va donc rester en France et vivre sa deuxième saison dans l’Hexagone, toujours en deuxième division, annonce le CBC sur son site.
Cette saison sous les couleurs du BBD, Jarvis Williams compilait en moyenne 16,7 points et 6,9 rebonds pour une évaluation de 19,6 en championnat et 11,5 points et 6 rebonds (14,1 d’éval) en playoffs.
Photo : Boulazac Basket Dordogne
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\\n— Sergio Llull (@23Llull) 15 août 2017
Photo : Real Madrid
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Vainqueurs face au FC Barcelone lors du match aller de la Supercoupe d’Espagne, les footballeurs du Real Madrid, qui viennent de lancer leur saison, ont tenu à adresser un message de soutien à leur collègue basketteur Sergio Llull.
Victime d’une rupture des ligaments croisés du genou droit, le meneur de jeu espagnol sera indisponible entre 6 et 9 mois et est également logiquement forfait pour l’Eurobasket qui démarre le 28 août. Sur Twitter, le Real Madrid version football a tweeté une photo de tous les joueurs réunis à l’entraînement avec au centre Marcelo et Sergio Ramos qui tiennent un maillot de foot et de basket arborant le numéro 23 -celui de Llull- et sur lesquels il est inscrit « Animo Llull » que l’on pourrait traduire par « Reviens vite Llull ».
\nGrandes!! Muchas gracias a todos!! A rematar mañana la Supercopa! 😜💪🏻#HalaMadrid https://t.co/Ycnj0LNrYj
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Photo : Real Madrid
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Cela ne semblait être qu’une question de temps avant que le club officialise la nouvelle et c’est maintenant chose faite, Norris Cole sera le meneur de jeu de luxe du Maccabi Tel-Aviv la saison prochaine.
Annoncé proche d’Israël il y a quelques jours, le double champion NBA s’est engagé une saison avec le champion d’Euroleague 2014, annonce le club sur son site. Au Maccabi, l’ancien joueur du Miami Heat découvrira le jeu européen et l’Euroleague. Selon David Pick, le club aurait proposé un contrat de 700 000$ à l’ancien pensionnaire de Cleveland State.
Cette saison entre la Chine et la NBA, Norris Cole compilait en moyenne 19,1 points, 2,5 rebonds et 4,3 passes décisives en neuf matchs en CBA et 3,3 points et 1 assist en 19 rencontres avec OKC.
", "comment_id":"405890", "plaintext":"Cela ne semblait être qu’une question de temps avant que le club officialise la nouvelle et c’est maintenant chose faite, Norris Cole sera le meneur de jeu de luxe du Maccabi Tel-Aviv la saison prochaine.\n\nAnnoncé proche d’Israël il y a quelques jours, le double champion NBA s’est engagé une saison avec le champion d’Euroleague 2014, annonce le club sur son site. Au Maccabi, l’ancien joueur du Miami Heat découvrira le jeu européen et l’Euroleague. Selon David Pick, le club aurait proposé un contrat de 700 000$ à l’ancien pensionnaire de Cleveland State.\n\nCette saison entre la Chine et la NBA, Norris Cole compilait en moyenne 19,1 points, 2,5 rebonds et 4,3 passes décisives en neuf matchs en CBA et 3,3 points et 1 assist en 19 rencontres avec OKC.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-16T10:01:42.000Z", "updated_at":"2017-08-16T10:01:56.000Z", "published_at":"2017-08-16T10:01:42.000Z", "custom_excerpt":"Cela ne semblait être qu’une question de temps avant que le club officialise la nouvelle et c’est maintenant chose faite, Norris Cole sera le meneur de jeu de luxe du Maccabi Tel-Aviv la saison prochaine.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd93", "uuid":"54aa07f0-dddf-4c8f-8408-c4b3907f6112", "title":"Marcus Slaughter (ex Nancy) à Bologne", "slug":"marcus-slaughter-ex-nancy-a-bologne", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/marcus-slaughter-darussafaka-dogus-istanbul-media-day-2016-eb16-7bdvq48gq5994gjb-e1502876194325.jpg\",\"width\":800,\"height\":295}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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A Istanbul depuis deux saisons, Marcus Slaughter quitte le Darussafaka pour rejoindre l’Italie.
Passé par Gravelines, Le Havre et Nancy entre 2008 et 2010, l’ancien pensionnaire de San Diego State s’est engagé une saison avec la Virtus Bologne, annonce le club sur son site. Champion d’Euroleague en 2015 avec le Real Madrid, le Californien évoluera aux côtés d’Alessandro Gentile à Bologne où il vivra sa première expérience italienne.
Cette saison en Turquie, Marcus Slaughter a enregistré en moyenne 3,2 points et 2,6 rebonds pour une évaluation de 3,5 en 13 matchs d’Euroleague.
Photo : Euroleague
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Tyler Harvey (1,93m, 24 ans) est le nouvel arrière des Sharks d’Antibes, il l’a annoncé lui-même sur Facebook.
Meilleur marqueur de la NCAA en 2015 avec 23,1 points pour sa troisième saison sur le campus d’Eastern Washington, Tyler Harvey est drafté la même année en 51e position par Orlando. Il débute ensuite sa carrière professionnelle en D-League, chez les Erie BayHawks. L’été dernier, il rejoint le Pallacanestro Torino en Italie. De l’autre côté des Alpes, il affiche 11,3 points, 2,1 rebonds et 1,8 passe par match. Le nouvel arrière d’Antibes a passé un été studieux puisqu’il a participé à la Summer League de Las Vegas.
https://www.facebook.com/TylerHarveyOfficial/photos/a.1373411726089306.1073741830.804567682973716/1373411739422638/?type=3&theater
Photo : Pallacanestro Torino
", "comment_id":"405869", "plaintext":"Tyler Harvey (1,93m, 24 ans) est le nouvel arrière des Sharks d’Antibes, il l’a annoncé lui-même sur Facebook.\n\nMeilleur marqueur de la NCAA en 2015 avec 23,1 points pour sa troisième saison sur le campus d’Eastern Washington, Tyler Harvey est drafté la même année en 51e position par Orlando. Il débute ensuite sa carrière professionnelle en D-League, chez les Erie BayHawks. L’été dernier, il rejoint le Pallacanestro Torino en Italie. De l’autre côté des Alpes, il affiche 11,3 points, 2,1 rebonds et 1,8 passe par match. Le nouvel arrière d’Antibes a passé un été studieux puisqu’il a participé à la Summer League de Las Vegas.\n\nhttps://www.facebook.com/TylerHarveyOfficial/photos/a.1373411726089306.1073741830.804567682973716/1373411739422638/?type=3&theater\n\nPhoto : Pallacanestro Torino", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-08-16T09:00:45.000Z", "updated_at":"2017-08-16T09:00:45.000Z", "published_at":"2017-08-16T09:00:45.000Z", "custom_excerpt":"Tyler Harvey (1,93m, 24 ans) est le nouvel arrière des Sharks d’Antibes, il l’a annoncé lui-même sur Facebook.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014acd95", "uuid":"5528a941-9cad-4fee-b30b-6d49e49cf131", "title":"Tournoi de Toulouse : 9 000 spectateurs attendus dans une ville qui a vu le premier France-Espagne de l’histoire", "slug":"tournoi-de-toulouse-9-000-spectateurs-attendus-dans-une-ville-qui-a-vu-le-premier-france-espagne-de-lhistoire", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/08/1943-jean-etienne-roland.jpg\",\"width\":383,\"height\":598}],[\"html\",{\"html\":\"Photo: Jean-Roland Etienne, l’un des meilleurs joueurs d’Europe des années 30.
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L’équipe de France est arrivée à Toulouse où l’attendent trois matches de préparation, au palais des sports, face à la Belgique (vendredi), au Monténégro (samedi) et à l’Italie (dimanche).
Cela fait cinq ans que la Ville Rose n’a pas accueilli les Bleus, elle qui est privée de club professionnel depuis la disparition des Spacer’s coachés par Jean-Aimé Toupane, le père d’Axel. La Haute-Garonne demeure néanmoins un département à forte pratique avec 10 600 licenciés et sur les dix plus gros clubs de la zone Midi-Pyrénées, six se situent en couronne toulousaine.
D’après La Dépêche, 9 000 spectateurs sont attendus sur l’ensemble des trois journées dans une salle qui peut contenir 4 000 personnes par rencontre. A ce jour, 6 500 billets ont été réservés.
A découvrir le remarquable site de Frank Cambus sur le basket toulousain, Hoop Diary, avec un nombre considérable d’informations, d’anecdotes.
Hoop Diary rappelle notamment que c’est à Toulouse, le 7 mars 1943, donc en pleine deuxième guerre mondiale, qu’eut lieu le premier France-Espagne de l’histoire.
« Mais déplacer des joueurs français pendant l’occupation n’est pas non plus une mince affaire », conte Frank Cambus. « En raison d’ordres et de contre-ordres liés aux événements et au renforcement des contrôles, des internationaux comme Emile Frézot ont raté le train les menant à Toulouse! Ceux-ci ne pourront pas rejoindre la délégation française à Toulouse, logée dans une maison close réquisitionnée pour l’occasion… Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, Jean Nichill, joueur du Toulouse Université Club (TUC) sera convoqué pour pallier aux absences. Il honorera sa seule cape internationale, sans rentrer en jeu malgré l’insistance du public. Le public est justement venu en masse pour assister à cette rencontre amicale jouée en plein air: on dénombre près de 7 000 spectateurs massés dans les tribunes et autour du terrain du stade des Minimes. Les spectateurs plus habitués aux rebonds aléatoires de la balle ovale ont semble-t-il apprécié la partie, incertaine jusqu’au bout. Cette rencontre très disputée verra la France s’imposer d’un point, 25 à 24, sur un tir de Lesmayoux. C’est le début d’une longue et grande rivalité qui naquit à Toulouse. »
Voir ici le résumé du match sur l’INA.
Photo: Jean-Roland Etienne, l’un des meilleurs joueurs d’Europe des années 30.
", "comment_id":"405858", "plaintext":"L’équipe de France est arrivée à Toulouse où l’attendent trois matches de préparation, au palais des sports, face à la Belgique (vendredi), au Monténégro (samedi) et à l’Italie (dimanche).\n\nCela fait cinq ans que la Ville Rose n’a pas accueilli les Bleus, elle qui est privée de club professionnel depuis la disparition des Spacer’s coachés par Jean-Aimé Toupane, le père d’Axel. La Haute-Garonne demeure néanmoins un département à forte pratique avec 10 600 licenciés et sur les dix plus gros clubs de la zone Midi-Pyrénées, six se situent en couronne toulousaine.\n\nD’après La Dépêche, 9 000 spectateurs sont attendus sur l’ensemble des trois journées dans une salle qui peut contenir 4 000 personnes par rencontre. A ce jour, 6 500 billets ont été réservés.\n\nA découvrir le remarquable site de Frank Cambus sur le basket toulousain, Hoop Diary, avec un nombre considérable d’informations, d’anecdotes.\n\nHoop Diary rappelle notamment que c’est à Toulouse, le 7 mars 1943, donc en pleine deuxième guerre mondiale, qu’eut lieu le premier France-Espagne de l’histoire.\n\n« Mais déplacer des joueurs français pendant l’occupation n’est pas non plus une mince affaire », conte Frank Cambus. « En raison d’ordres et de contre-ordres liés aux événements et au renforcement des contrôles, des internationaux comme Emile Frézot ont raté le train les menant à Toulouse! Ceux-ci ne pourront pas rejoindre la délégation française à Toulouse, logée dans une maison close réquisitionnée pour l’occasion… Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, Jean Nichill, joueur du Toulouse Université Club (TUC) sera convoqué pour pallier aux absences. Il honorera sa seule cape internationale, sans rentrer en jeu malgré l’insistance du public. Le public est justement venu en masse pour assister à cette rencontre amicale jouée en plein air: on dénombre près de 7 000 spectateurs massés dans les tribunes et autour du terrain du stade des Minimes. Les spectateurs plus habitués aux rebonds aléatoires de la balle ovale ont semble-t-il apprécié la partie, incertaine jusqu’au bout. Cette rencontre très disputée verra la France s’imposer d’un point, 25 à 24, sur un tir de Lesmayoux. 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matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Les Pink Ladies retrouvent les parquets\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les saisons de basket vont bientôt reprendre et les Roannaises ont, elles, repris le chemin des terrains, mardi. Les joueuses ont débuté leur… \"],[0,[1],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Les Lédoniennes changent de cap\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les féminines de l’AL Lons, qui ont repris ce lundi, intègrent la poule G, celle du quart Nord-Est de l’Hexagone, au sein de la… \"],[0,[2],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La revanche lituanienne face aux Bleus\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– La préparation à l’Euro basket emmenait les Bleus en Lituanie ce mardi. Après les avoir battus à Orléans, il y a quatre jours, les Français ont cette… \"],[0,[3],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La Lituanie avant le tryptique de Toulouse\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les basketteurs français continuent leur préparation pour l’Euro par une rencontre face à la Lituanie, ce soir à Kaunas (19h30), sorte de match retour quelques jours après leur large victoire à Orléans. Jeudi, les Bleus avaient montré un visage séduisant et facilement dominé (98-77) les Baltes, vice-champions d’Europe en titre et de nouveau candidat au podium de l’édition 2017, qui commencera pour la France en Finlande le 31 août et se… \"],[0,[4],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Villefranche-de-Rouergue. Le Landais Didier Mascella prend les rênes du BBV 12\"]]],[10,5],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Didier Mascella est le nouveau directeur technique du Basket-ball villefranchois 12 qui va amorcer sa saison en 3e division. Rencontre avec ce tacticien. À la veille de la reprise des entraînements des équipiers du BBV 12, nous avons rencontré Didier Mascella, nouveau directeur technique. Didier est né, voici bientôt 50 ans, à Mont-de-Marsan. Il a passé son enfance près d’Aire-sur-Adour et fait ses premiers pas de basketteur à Barcelone-du… \"],[0,[5],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Castelnaudary. Le Chaurien Rémy Berrabah s’ouvre les portes du monde\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"–\"],[0,[],0,\"Rémy Berrabah est ce jeune Chaurien prodige du basket-ball, formé jusqu’en minimes au club de la ville puis parti évoluer sur les parquets de Toulon, Toulouse et dont on reçoit régulièrement des bonnes nouvelles. Il y a deux ans, il a rejoint le prestigieux Real Madrid, et cette année il poursuit sa route de sportif d’élite puisqu’il vient de signer un double contrat professionnel à Pampelune, en Navarre, pour la saison régulière, et au Pérou… \"],[0,[6],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Les Bleus montent le son\"]]],[10,7],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les Français sont montés en régime pour remporter face à la Lituanie la première victoire probante de leur préparation à l’Euro, hier à Orléans (98-77). Les Bleus ont montré un bien meilleur visage que mardi lors de la défaite contre la Croatie (87-92) ou que samedi lors du succès contre la Tunisie (67-53). Face aux vice-champions d’Europe en titre, Evan Fournier et Nando De Colo ont été les meilleurs marqueurs français avec 17 points chacun… \"],[0,[7],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Lavardac. La nouvelle saison se prépare activement\"]]],[10,8],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– C’est la fin de la période estivale, pour les basketteurs du Val d’Albret Basket. Laurent Ruesgas, entraîneur et son assistant Aziz El Hajji réunissent au rythme de quatre fois par semaine, depuis le début du mois, anciens et nouvelles recrues qui formeront l’équipe senior 1. Parfaire la condition physique, disputer tournois et rencontres amicales, sont au menu de cette préparation d’avant championnat, historique pour le club, il évoluera pour… \"],[0,[8],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Toulouse. La France à Toulouse la semaine prochaine\"]]],[10,9],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– L’EuroBasket 2017 se déroulera à Cluj-Napoca (Roumanie), Helsinki (Finlande), Istanbul (Turquie) et Tel Aviv (Israël) du 31 août au 17 septembre. Lors du premier tour, dans le groupe A, la France affrontera la Finlande, la Grèce, l’Islande, la Pologne et la Slovénie. Commencée à Pau la semaine dernière, la préparation des Tricolores, qui sont actuellement à Orléans, passera par le palais des sports de Toulouse où ils auront pour adversaires… \"],[0,[9],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Lavaur. De nombreux changements d’entraîneurs pour le basket\"]]],[10,10],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– La reprise des entraînements au club de basket est programmée pour la semaine du 15 août. Les différentes formations reprenant progressivement. Pour cette nouvelle saison 2017-2018, les changements les plus significatifs sont au niveau de l’encadrement. En tout premier, l’équipe masculine qui évolue en Prénationale sera dirigée par le duo Cheddabi-Bernard, lequel aura la lourde tâche de mener cette formation le plus haut possible dans le… \"],[0,[10],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La Croatie surprend les Bleus\"]]],[10,11],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les Français ont reçu un premier avertissement en s’inclinant face à la Croatie (87-92) dès leur deuxième match de préparation au championnat d’Europe, hier à Orléans. Vainqueurs de la faible Tunisie samedi (67-53), les Bleus ont payé les lacunes défensives déjà montrées à Pau. Les belles séquences d’attaque, particulièrement celles d’Evan Fournier, auteur de 24 points, son record en sélection, n’ont pas suffi face à une équipe croate qui… \"],[0,[11],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Bleus : déjà deux premiers tests\"]]],[10,12],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les basketteurs français passent leurs deux premiers tests de la préparation à l’Euro face à la Croatie ce soir (20 h 30, sur SFR 2) et à la Lituanie jeudi (20 h 30) à Orléans après un début un peu poussif. Les Bleus se sont imposés largement 67 à 53 face à la Tunisie samedi à Pau, mais l’entraîneur Vincent Collet n’a pas caché que l’équipe était encore «loin du compte», notamment en défense. «Inacceptable», c’est le mot qu’il a lâché pour… \"],[0,[12],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Lavaur. Un bilan positif pour la saison du club de basket\"]]],[10,13],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Lors de l’assemblée générale du 30 juin, en présence de M. Dalla Riva, maire adjoint aux sports, le Basket Club a tiré un bilan positif de la saison écoulée malgré un léger déficit financier et des efforts importants de gestion. Le club des présidents Claude Bernard et Joël Boutibou a augmenté le nombre de licences pour atteindre la barre des 220. Le club travaille chez les jeunes à partir des U13 en collaboration avec Verfeil et les résultats… \"],[0,[13],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Cugnaux. En Nationale 3, les basketteuses vont voyager\"]]],[10,14],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Promues au niveau supérieur, pour avoir remporté la poule de championnat Pré-National à l’issue de la saison dernière, les féminines de la JS Cugnalaise Basket, vont pouvoir s’exercer à un grand écart géographique qui les mènera de la banlieue de Perpignan à celle de Bayonne en passant par le Gers, le Béarn et les Landes. Les futurs adversaires Versées dans la poule B du championnat NF3, en compagnies des deux autres équipes promues, Perpignan… \"],[0,[14],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Vicdessos. Le club de basket prend un nouveau départ\"]]],[10,15],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Au terme de sa troisième année d’existence, le club de basket de la vallée d’Auzat et du Vicdessos prend un nouveau départ. Exit le président et fondateur Pierre-Louis Pittoni, qui s’envole vers un nouvel horizon. Le club est désormais présidé par Matthieu Baty. Les ambitions et les valeurs du Montcalm Basket Avalanches restent inchangées, à savoir maintenir un sport collectif dans la vallée du Vicdessos tout en respectant un esprit de jeu… \"],[0,[15],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Entre renouvellement et ambitions\"]]],[10,16],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– L’équipe de France entre dans une «nouvelle ère» avec l’Euro-2017, première compétition depuis la retraite de Tony Parker, mais «les ambitions demeurent élevées» avec le podium comme objectif, a estimé hier son sélectionneur Vincent Collet. Les 17 Bleus de la pré-sélection pour l’Euro-2017 (31 août-17 septembre, à Helsinki et Istanbul) sont réunis à l’Insep pour une préparation d’un mois, orphelins de «TP», Mickaël Gélabale et Florent Pietrus… \"],[0,[16],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"N2 et N3 : les poules des clubs gersois\"]]],[10,17],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– La Fédération française de basket-ball a dévoilé, hier, la composition des poules des championnats de France. En Nationale 2, Valence-Condom évoluera dans une poule à forte dominance régionale et retrouvera l’ouest pour les déplacements les plus lointains. Les garçons du VCGB se mesureront à leurs voisins lot-et-garonnais que sont le Val d’Albret, le Garonne BC et le BB Marmande. Toulouse, promu en N1 et qui a refusé la montée est également… \"],[0,[17],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Cahors. Le Lotois Enzo Goudou-Sinha médaille de bronze de l’Euro U20\"]]],[10,18],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Après sa 7e place lors des Mondiaux (U.19) en Égypte, Enzo Goudou-Sinha continuait son bel été en bleu avec, cette fois-ci, l’équipe de France des moins de 20 ans qui disputait l’Euro en Crète et en Grèce. Tous se passa très bien pour Enzo et ses coéquipiers, sous les ordres de coach Jean Aimé Toupane, jusqu’en 1/4 finale ou ils écrasèrent la Serbie. Un 1/4 de finale maîtrisé dans le 4e 1/4 temps avec une défense de fer qui étouffa… \"],[0,[18],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le FC Mulhouse finit en trombe\"]]],[10,19],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– En match amical, le FCM basket a battu Lons-le-Saunier 84-68, hier soir, grâce à un tonitruant final… \"],[0,[19],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"« Nous sommes sur de bons rails »\"]]],[10,20],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les Panthères Mulhouse ont repris l’entraînement hier sous la direction de Pierre Bilbeau, serein à quelques semaines d’entamer une quatrième saison… \"],[0,[20],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"On prend les mêmes… et on recommence\"]]],[10,21],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Olivier Parmentier rempile pour une saison supplémentaire à la tête d’une équipe de l’US Wittenheim (NF3) pratiquement inchangée par rapport à celle… \"],[0,[21],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Nord Sundgau face à un nouveau challenge\"]]],[10,22],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les Sundgauviennes évolueront en NF3 pour la première fois de leur histoire après une saison 2016-2017 durant laquelle elles n’ont concédé que deux… \"],[0,[22],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Mercier : « Raisonnablement confiant »\"]]],[10,23],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Berrwiller/Staffelfelden a pour objectif de se maintenir dans la première partie du tableau… \"],[0,[23],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Labeyrie : « Une autre étape »\"]]],[10,24],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Il est l’une de recrues majeures de l’intersaison. Élu meilleur sixième homme de Pro A la saison dernière, Louis Labeyrie entend poursuivre sa… \"],[0,[24],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le FCM enchaîne\"]]],[10,25],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Le FC Mulhouse va disputer son deuxième match de préparation ce soir (20 h) à Berrwiller face à Besançon, une autre équipe de Nationale 2… \"],[0,[25],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Une page s’est tournée\"]]],[10,26],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Avec les départs, cet été, des emblématiques Paul Lacombe et Matt Howard, la SIG est partie sur un nouveau cycle. Le premier chapitre de cette… \"],[0,[26],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Kaysersberg maître à domicile\"]]],[10,27],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Toujours redoutable à domicile, le Kaysersberg ABCA a dominé le FC Mulhouse dans un match assez plaisant, hier à la salle Théo Faller, pour ce qui… \"],[0,[27],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Ateliers instructifs à Hégenheim\"]]],[10,28],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Plusieurs jeunes de 8 à 12 ans ont participé, cette semaine au Cosec de Hégenheim, aux sessions d’entraînement de basket-ball animées par Frédérick… \"],[0,[28],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Courte défaite de Pfastatt\"]]],[10,29],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Les Pfastattois ont entamé leur saison par une défaite face au Besançon AC, hier à la salle polyvalente (77-78)… \"],[0,[29],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"SIG : l’effectif 2017-2018\"]]],[10,30],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Départs : Matt Howard (Hapoel Tel Aviv, Israël), Paul Lacombe (Monaco), Frank Ntilikina (New York Knicks, NBA), AJ Slaughter (ASVEL), Romeo Travis (Le… \"],[0,[30],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Premières indications pour KB et le FCM\"]]],[10,31],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Kaysersberg et le FC Mulhouse (N2) disputent leur premier match amical aujourd’hui (18 h) à la salle Théo Faller… \"],[0,[31],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". 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[CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La reprise de l’Elan Chalon en images\"]]],[10,51],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Avant la première séance ouverte au public programmée lundi après-midi (16h30) au Colisée, retrouvez les meilleures images du premier entraînement s’étant déroulé lundi matin au complet, à l’exception de Pierre-Antoine Gillet (en préparation pour l’Euro avec la Belgique) et Jevohn Shepherd qui arrivera dans l’après-midi à Chalon… \"],[0,[51],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L’Elan Chalon reprend du service\"]]],[10,52],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– C’est aujourd’hui à partir de 16 h 30 au Colisée que les supporters chalonnais découvriront les nouvelles têtes de l’Elan Chalon qui tenteront de… \"],[0,[52],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"« Impatient de jouer en France »\"]]],[10,53],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Actuellement avec la sélection belge qui disputera l’Euro, Pierre-Antoine Gillet manquera le début de la préparation avec Chalon. Ce qui ne l’a pas… \"],[0,[53],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\". [CONTENU PAYANT]\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Les Bleus n’ont pas tenu le choc\"]]],[10,54],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Lituanie : 96 France : 71 Cinq jours après l’avoir balayée, l’équipe de France a violemment subi la revanche de la Lituanie, hier à Kaunas. Jeudi, après le large succès des Bleus à Orléans (98-77), Vincent Collet s’attendait à un match retour ardu : « La défense lituanienne sera bien plus féroce, on sera attendus. » Le coach des Bleus… \"],[0,[54],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"» Venu pour faire gagner l’UTBM «\"]]],[10,55],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Aziz Dia, le nouveau pensionnaire de la raquette tourangelle évoluait à la Rochelle la saison dernière. Le natif de l’Eure, qui a fait ses classes du coté d’Evreux et de Rouen, avait déjà pas mal baroudé dans l’Hexagone avant de poser ses baskets sur la côte Atlantique pendant 4 saisons. « J’avais envie de changer d’air au bout… \"],[0,[55],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Un bon match de travail\"]]],[10,56],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– UTBM – Laval : 81-75 Face à une opposition intéressante, les Tourangeaux, toujours en réglages, ont dû s’employer pour l’emporter…. \"],[0,[56],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content][arm_setup id= »10″ hide_title= »true »]\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.
– Les saisons de basket vont bientôt reprendre et les Roannaises ont, elles, repris le chemin des terrains, mardi. Les joueuses ont débuté leur… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les féminines de l’AL Lons, qui ont repris ce lundi, intègrent la poule G, celle du quart Nord-Est de l’Hexagone, au sein de la… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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– La préparation à l’Euro basket emmenait les Bleus en Lituanie ce mardi. Après les avoir battus à Orléans, il y a quatre jours, les Français ont cette… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les basketteurs français continuent leur préparation pour l’Euro par une rencontre face à la Lituanie, ce soir à Kaunas (19h30), sorte de match retour quelques jours après leur large victoire à Orléans. Jeudi, les Bleus avaient montré un visage séduisant et facilement dominé (98-77) les Baltes, vice-champions d’Europe en titre et de nouveau candidat au podium de l’édition 2017, qui commencera pour la France en Finlande le 31 août et se… Lire la suite.
– Didier Mascella est le nouveau directeur technique du Basket-ball villefranchois 12 qui va amorcer sa saison en 3e division. Rencontre avec ce tacticien. À la veille de la reprise des entraînements des équipiers du BBV 12, nous avons rencontré Didier Mascella, nouveau directeur technique. Didier est né, voici bientôt 50 ans, à Mont-de-Marsan. Il a passé son enfance près d’Aire-sur-Adour et fait ses premiers pas de basketteur à Barcelone-du… Lire la suite.
–Rémy Berrabah est ce jeune Chaurien prodige du basket-ball, formé jusqu’en minimes au club de la ville puis parti évoluer sur les parquets de Toulon, Toulouse et dont on reçoit régulièrement des bonnes nouvelles. Il y a deux ans, il a rejoint le prestigieux Real Madrid, et cette année il poursuit sa route de sportif d’élite puisqu’il vient de signer un double contrat professionnel à Pampelune, en Navarre, pour la saison régulière, et au Pérou… Lire la suite.
– Les Français sont montés en régime pour remporter face à la Lituanie la première victoire probante de leur préparation à l’Euro, hier à Orléans (98-77). Les Bleus ont montré un bien meilleur visage que mardi lors de la défaite contre la Croatie (87-92) ou que samedi lors du succès contre la Tunisie (67-53). Face aux vice-champions d’Europe en titre, Evan Fournier et Nando De Colo ont été les meilleurs marqueurs français avec 17 points chacun… Lire la suite.
– C’est la fin de la période estivale, pour les basketteurs du Val d’Albret Basket. Laurent Ruesgas, entraîneur et son assistant Aziz El Hajji réunissent au rythme de quatre fois par semaine, depuis le début du mois, anciens et nouvelles recrues qui formeront l’équipe senior 1. Parfaire la condition physique, disputer tournois et rencontres amicales, sont au menu de cette préparation d’avant championnat, historique pour le club, il évoluera pour… Lire la suite.
– L’EuroBasket 2017 se déroulera à Cluj-Napoca (Roumanie), Helsinki (Finlande), Istanbul (Turquie) et Tel Aviv (Israël) du 31 août au 17 septembre. Lors du premier tour, dans le groupe A, la France affrontera la Finlande, la Grèce, l’Islande, la Pologne et la Slovénie. Commencée à Pau la semaine dernière, la préparation des Tricolores, qui sont actuellement à Orléans, passera par le palais des sports de Toulouse où ils auront pour adversaires… Lire la suite.
– La reprise des entraînements au club de basket est programmée pour la semaine du 15 août. Les différentes formations reprenant progressivement. Pour cette nouvelle saison 2017-2018, les changements les plus significatifs sont au niveau de l’encadrement. En tout premier, l’équipe masculine qui évolue en Prénationale sera dirigée par le duo Cheddabi-Bernard, lequel aura la lourde tâche de mener cette formation le plus haut possible dans le… Lire la suite.
– Les Français ont reçu un premier avertissement en s’inclinant face à la Croatie (87-92) dès leur deuxième match de préparation au championnat d’Europe, hier à Orléans. Vainqueurs de la faible Tunisie samedi (67-53), les Bleus ont payé les lacunes défensives déjà montrées à Pau. Les belles séquences d’attaque, particulièrement celles d’Evan Fournier, auteur de 24 points, son record en sélection, n’ont pas suffi face à une équipe croate qui… Lire la suite.
– Les basketteurs français passent leurs deux premiers tests de la préparation à l’Euro face à la Croatie ce soir (20 h 30, sur SFR 2) et à la Lituanie jeudi (20 h 30) à Orléans après un début un peu poussif. Les Bleus se sont imposés largement 67 à 53 face à la Tunisie samedi à Pau, mais l’entraîneur Vincent Collet n’a pas caché que l’équipe était encore «loin du compte», notamment en défense. «Inacceptable», c’est le mot qu’il a lâché pour… Lire la suite.
– Lors de l’assemblée générale du 30 juin, en présence de M. Dalla Riva, maire adjoint aux sports, le Basket Club a tiré un bilan positif de la saison écoulée malgré un léger déficit financier et des efforts importants de gestion. Le club des présidents Claude Bernard et Joël Boutibou a augmenté le nombre de licences pour atteindre la barre des 220. Le club travaille chez les jeunes à partir des U13 en collaboration avec Verfeil et les résultats… Lire la suite.
– Promues au niveau supérieur, pour avoir remporté la poule de championnat Pré-National à l’issue de la saison dernière, les féminines de la JS Cugnalaise Basket, vont pouvoir s’exercer à un grand écart géographique qui les mènera de la banlieue de Perpignan à celle de Bayonne en passant par le Gers, le Béarn et les Landes. Les futurs adversaires Versées dans la poule B du championnat NF3, en compagnies des deux autres équipes promues, Perpignan… Lire la suite.
– Au terme de sa troisième année d’existence, le club de basket de la vallée d’Auzat et du Vicdessos prend un nouveau départ. Exit le président et fondateur Pierre-Louis Pittoni, qui s’envole vers un nouvel horizon. Le club est désormais présidé par Matthieu Baty. Les ambitions et les valeurs du Montcalm Basket Avalanches restent inchangées, à savoir maintenir un sport collectif dans la vallée du Vicdessos tout en respectant un esprit de jeu… Lire la suite.
– L’équipe de France entre dans une «nouvelle ère» avec l’Euro-2017, première compétition depuis la retraite de Tony Parker, mais «les ambitions demeurent élevées» avec le podium comme objectif, a estimé hier son sélectionneur Vincent Collet. Les 17 Bleus de la pré-sélection pour l’Euro-2017 (31 août-17 septembre, à Helsinki et Istanbul) sont réunis à l’Insep pour une préparation d’un mois, orphelins de «TP», Mickaël Gélabale et Florent Pietrus… Lire la suite.
– La Fédération française de basket-ball a dévoilé, hier, la composition des poules des championnats de France. En Nationale 2, Valence-Condom évoluera dans une poule à forte dominance régionale et retrouvera l’ouest pour les déplacements les plus lointains. Les garçons du VCGB se mesureront à leurs voisins lot-et-garonnais que sont le Val d’Albret, le Garonne BC et le BB Marmande. Toulouse, promu en N1 et qui a refusé la montée est également… Lire la suite.
– Après sa 7e place lors des Mondiaux (U.19) en Égypte, Enzo Goudou-Sinha continuait son bel été en bleu avec, cette fois-ci, l’équipe de France des moins de 20 ans qui disputait l’Euro en Crète et en Grèce. Tous se passa très bien pour Enzo et ses coéquipiers, sous les ordres de coach Jean Aimé Toupane, jusqu’en 1/4 finale ou ils écrasèrent la Serbie. Un 1/4 de finale maîtrisé dans le 4e 1/4 temps avec une défense de fer qui étouffa… Lire la suite.
– En match amical, le FCM basket a battu Lons-le-Saunier 84-68, hier soir, grâce à un tonitruant final… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Panthères Mulhouse ont repris l’entraînement hier sous la direction de Pierre Bilbeau, serein à quelques semaines d’entamer une quatrième saison… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Olivier Parmentier rempile pour une saison supplémentaire à la tête d’une équipe de l’US Wittenheim (NF3) pratiquement inchangée par rapport à celle… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Sundgauviennes évolueront en NF3 pour la première fois de leur histoire après une saison 2016-2017 durant laquelle elles n’ont concédé que deux… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Berrwiller/Staffelfelden a pour objectif de se maintenir dans la première partie du tableau… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Il est l’une de recrues majeures de l’intersaison. Élu meilleur sixième homme de Pro A la saison dernière, Louis Labeyrie entend poursuivre sa… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Le FC Mulhouse va disputer son deuxième match de préparation ce soir (20 h) à Berrwiller face à Besançon, une autre équipe de Nationale 2… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Avec les départs, cet été, des emblématiques Paul Lacombe et Matt Howard, la SIG est partie sur un nouveau cycle. Le premier chapitre de cette… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Toujours redoutable à domicile, le Kaysersberg ABCA a dominé le FC Mulhouse dans un match assez plaisant, hier à la salle Théo Faller, pour ce qui… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Plusieurs jeunes de 8 à 12 ans ont participé, cette semaine au Cosec de Hégenheim, aux sessions d’entraînement de basket-ball animées par Frédérick… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Pfastattois ont entamé leur saison par une défaite face au Besançon AC, hier à la salle polyvalente (77-78)… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Départs : Matt Howard (Hapoel Tel Aviv, Israël), Paul Lacombe (Monaco), Frank Ntilikina (New York Knicks, NBA), AJ Slaughter (ASVEL), Romeo Travis (Le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Kaysersberg et le FC Mulhouse (N2) disputent leur premier match amical aujourd’hui (18 h) à la salle Théo Faller… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Pfastattois entament leur préparation par la réception de Besançon AC, aujourd’hui (17 h) à la salle polyvalente… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Bleus ont signé hier soir à Orléans leur deuxième victoire en trois matches de préparation à l’Euro. Après la Tunisie samedi, c’est la Lituanie… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les joueurs de Cédric Garnier ont repris l’entraînement lundi soir au gymnase Saint-Jean. L’entraîneur, qui dispose d’un effectif plus fourni que… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les basketteurs français ont reçu un premier avertissement en s’inclinant face à la Croatie 92-87 dès leur deuxième match de préparation à l’Euro… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Français ont subi la revanche de la Lituanie dans les grandes largeurs, 96-71, mardi à Kaunas, six jours après avoir battu les Baltes à Orléans… Lire la suite.
– Les hommes de Nicolas Faure accueillaient lundi, au gymnase Saint-Claude, le Get Vosges, pensionnaire de Nationale 1, pour leur 3e match de… Lire la suite.
– Le jour et la nuit. Après un premier match de préparation compliqué à Lons-le-Saunier mardi soir, le BesAC a affiché un tout autre visage samedi soir… Lire la suite.
– En attendant de retrouver le SLUC Espoirs qu’il coachera suite au départ de Pierre Verdière qui est devenu assistant des pros, David Morabito a… Lire la suite.
– Limoges a bouclé son recrutement avec l’arrivée de l’ailier fort américain Josh Carter en provenance de Sassari (Italie). Un renfort qui peut jouer… Lire la suite.
– Elu meilleur entraîneur de centre de formation après le doublé championnat – Trophée du Futur avec les espoirs, Pierre Verdière est le nouvel… Lire la suite.
– Cette saison, le Besançon BC n’aura pas d’autre ambition que de se maintenir. Et ce serait probablement déjà un petit exploit si au printemps prochain… Lire la suite.
– Entraîneur des espoirs du SLUC depuis 2003, Pierre Verdière a eu l’occasion de côtoyer des centaines de jeunes pousses qui évoluent aujourd’hui en Pro… Lire la suite.
– Battu 66-79 à Lons-le-Saunier (N2) mercredi pour sa première sortie amicale, le BesAC poursuivra sa préparation cet après-midi à Pfastatt (19 h), une… Lire la suite.
– Mathias Lessort, qui prépare l’Euro avec les Bleus, s’est engagé pour trois saisons avec l’Etoile rouge de Belgrade. Le pivot de 21 ans (2,05 m) reste… Lire la suite.
– Après avoir assisté aux obsèques du président Marc Barbé hier matin (voir par ci-dessus), les Nancéiens avaient rendez-vous hier après-midi à Gentilly… Lire la suite.
– Une foule recueillie est venue rendre un dernier hommage à Marc Barbé. Parmi elle, le Président de la Ligue nationale de basket, toute l’équipe du… Lire la suite.
– Il était temps. Les basketteurs français sont montés en régime pour remporter face à la Lituanie, 98 à 77, la première victoire probante de leur… Lire la suite.
– L’Elan a repris officiellement l’entraînement, hier au Colisée. Comme il y a un an, l’Elan Chalon a fait peau neuve à l’intersaison pour essayer de… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Très tôt la saison dernière, Jean-Denys Choulet a su qu’il ne garderait pas John Roberson. « Nous n’avions pas les moyens financiers de le garder »… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Avant la première séance ouverte au public programmée lundi après-midi (16h30) au Colisée, retrouvez les meilleures images du premier entraînement s’étant déroulé lundi matin au complet, à l’exception de Pierre-Antoine Gillet (en préparation pour l’Euro avec la Belgique) et Jevohn Shepherd qui arrivera dans l’après-midi à Chalon… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– C’est aujourd’hui à partir de 16 h 30 au Colisée que les supporters chalonnais découvriront les nouvelles têtes de l’Elan Chalon qui tenteront de… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Actuellement avec la sélection belge qui disputera l’Euro, Pierre-Antoine Gillet manquera le début de la préparation avec Chalon. Ce qui ne l’a pas… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Lituanie : 96 France : 71 Cinq jours après l’avoir balayée, l’équipe de France a violemment subi la revanche de la Lituanie, hier à Kaunas. Jeudi, après le large succès des Bleus à Orléans (98-77), Vincent Collet s’attendait à un match retour ardu : « La défense lituanienne sera bien plus féroce, on sera attendus. » Le coach des Bleus… Lire la suite.
– Aziz Dia, le nouveau pensionnaire de la raquette tourangelle évoluait à la Rochelle la saison dernière. Le natif de l’Eure, qui a fait ses classes du coté d’Evreux et de Rouen, avait déjà pas mal baroudé dans l’Hexagone avant de poser ses baskets sur la côte Atlantique pendant 4 saisons. « J’avais envie de changer d’air au bout… Lire la suite.
– UTBM – Laval : 81-75 Face à une opposition intéressante, les Tourangeaux, toujours en réglages, ont dû s’employer pour l’emporter…. Lire la suite.
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", "comment_id":"405851", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nLes Pink Ladies retrouvent les parquets\n\n– Les saisons de basket vont bientôt reprendre et les Roannaises ont, elles, repris le chemin des terrains, mardi. Les joueuses ont débuté leur… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLes Lédoniennes changent de cap\n\n– Les féminines de l’AL Lons, qui ont repris ce lundi, intègrent la poule G, celle du quart Nord-Est de l’Hexagone, au sein de la… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nLa revanche lituanienne face aux Bleus\n\n– La préparation à l’Euro basket emmenait les Bleus en Lituanie ce mardi. Après les avoir battus à Orléans, il y a quatre jours, les Français ont cette… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLa Lituanie avant le tryptique de Toulouse\n\n– Les basketteurs français continuent leur préparation pour l’Euro par une rencontre face à la Lituanie, ce soir à Kaunas (19h30), sorte de match retour quelques jours après leur large victoire à Orléans. Jeudi, les Bleus avaient montré un visage séduisant et facilement dominé (98-77) les Baltes, vice-champions d’Europe en titre et de nouveau candidat au podium de l’édition 2017, qui commencera pour la France en Finlande le 31 août et se… Lire la suite.\n\n\nVillefranche-de-Rouergue. Le Landais Didier Mascella prend les rênes du BBV 12\n\n– Didier Mascella est le nouveau directeur technique du Basket-ball villefranchois 12 qui va amorcer sa saison en 3e division. Rencontre avec ce tacticien. À la veille de la reprise des entraînements des équipiers du BBV 12, nous avons rencontré Didier Mascella, nouveau directeur technique. Didier est né, voici bientôt 50 ans, à Mont-de-Marsan. Il a passé son enfance près d’Aire-sur-Adour et fait ses premiers pas de basketteur à Barcelone-du… Lire la suite.\n\n\nCastelnaudary. Le Chaurien Rémy Berrabah s’ouvre les portes du monde\n\n–Rémy Berrabah est ce jeune Chaurien prodige du basket-ball, formé jusqu’en minimes au club de la ville puis parti évoluer sur les parquets de Toulon, Toulouse et dont on reçoit régulièrement des bonnes nouvelles. Il y a deux ans, il a rejoint le prestigieux Real Madrid, et cette année il poursuit sa route de sportif d’élite puisqu’il vient de signer un double contrat professionnel à Pampelune, en Navarre, pour la saison régulière, et au Pérou… Lire la suite.\n\n\nLes Bleus montent le son\n\n– Les Français sont montés en régime pour remporter face à la Lituanie la première victoire probante de leur préparation à l’Euro, hier à Orléans (98-77). Les Bleus ont montré un bien meilleur visage que mardi lors de la défaite contre la Croatie (87-92) ou que samedi lors du succès contre la Tunisie (67-53). Face aux vice-champions d’Europe en titre, Evan Fournier et Nando De Colo ont été les meilleurs marqueurs français avec 17 points chacun… Lire la suite.\n\n\nLavardac. La nouvelle saison se prépare activement\n\n– C’est la fin de la période estivale, pour les basketteurs du Val d’Albret Basket. Laurent Ruesgas, entraîneur et son assistant Aziz El Hajji réunissent au rythme de quatre fois par semaine, depuis le début du mois, anciens et nouvelles recrues qui formeront l’équipe senior 1. Parfaire la condition physique, disputer tournois et rencontres amicales, sont au menu de cette préparation d’avant championnat, historique pour le club, il évoluera pour… Lire la suite.\n\n\nToulouse. La France à Toulouse la semaine prochaine\n\n– L’EuroBasket 2017 se déroulera à Cluj-Napoca (Roumanie), Helsinki (Finlande), Istanbul (Turquie) et Tel Aviv (Israël) du 31 août au 17 septembre. Lors du premier tour, dans le groupe A, la France affrontera la Finlande, la Grèce, l’Islande, la Pologne et la Slovénie. Commencée à Pau la semaine dernière, la préparation des Tricolores, qui sont actuellement à Orléans, passera par le palais des sports de Toulouse où ils auront pour adversaires… Lire la suite.\n\n\nLavaur. De nombreux changements d’entraîneurs pour le basket\n\n– La reprise des entraînements au club de basket est programmée pour la semaine du 15 août. Les différentes formations reprenant progressivement. Pour cette nouvelle saison 2017-2018, les changements les plus significatifs sont au niveau de l’encadrement. En tout premier, l’équipe masculine qui évolue en Prénationale sera dirigée par le duo Cheddabi-Bernard, lequel aura la lourde tâche de mener cette formation le plus haut possible dans le… Lire la suite.\n\n\nLa Croatie surprend les Bleus\n\n– Les Français ont reçu un premier avertissement en s’inclinant face à la Croatie (87-92) dès leur deuxième match de préparation au championnat d’Europe, hier à Orléans. Vainqueurs de la faible Tunisie samedi (67-53), les Bleus ont payé les lacunes défensives déjà montrées à Pau. Les belles séquences d’attaque, particulièrement celles d’Evan Fournier, auteur de 24 points, son record en sélection, n’ont pas suffi face à une équipe croate qui… Lire la suite.\n\n\nBleus : déjà deux premiers tests\n\n– Les basketteurs français passent leurs deux premiers tests de la préparation à l’Euro face à la Croatie ce soir (20 h 30, sur SFR 2) et à la Lituanie jeudi (20 h 30) à Orléans après un début un peu poussif. Les Bleus se sont imposés largement 67 à 53 face à la Tunisie samedi à Pau, mais l’entraîneur Vincent Collet n’a pas caché que l’équipe était encore «loin du compte», notamment en défense. «Inacceptable», c’est le mot qu’il a lâché pour… Lire la suite.\n\n\nLavaur. Un bilan positif pour la saison du club de basket\n\n– Lors de l’assemblée générale du 30 juin, en présence de M. Dalla Riva, maire adjoint aux sports, le Basket Club a tiré un bilan positif de la saison écoulée malgré un léger déficit financier et des efforts importants de gestion. Le club des présidents Claude Bernard et Joël Boutibou a augmenté le nombre de licences pour atteindre la barre des 220. Le club travaille chez les jeunes à partir des U13 en collaboration avec Verfeil et les résultats… Lire la suite.\n\n\nCugnaux. En Nationale 3, les basketteuses vont voyager\n\n– Promues au niveau supérieur, pour avoir remporté la poule de championnat Pré-National à l’issue de la saison dernière, les féminines de la JS Cugnalaise Basket, vont pouvoir s’exercer à un grand écart géographique qui les mènera de la banlieue de Perpignan à celle de Bayonne en passant par le Gers, le Béarn et les Landes. Les futurs adversaires Versées dans la poule B du championnat NF3, en compagnies des deux autres équipes promues, Perpignan… Lire la suite.\n\n\nVicdessos. Le club de basket prend un nouveau départ\n\n– Au terme de sa troisième année d’existence, le club de basket de la vallée d’Auzat et du Vicdessos prend un nouveau départ. Exit le président et fondateur Pierre-Louis Pittoni, qui s’envole vers un nouvel horizon. Le club est désormais présidé par Matthieu Baty. Les ambitions et les valeurs du Montcalm Basket Avalanches restent inchangées, à savoir maintenir un sport collectif dans la vallée du Vicdessos tout en respectant un esprit de jeu… Lire la suite.\n\n\nEntre renouvellement et ambitions\n\n– L’équipe de France entre dans une «nouvelle ère» avec l’Euro-2017, première compétition depuis la retraite de Tony Parker, mais «les ambitions demeurent élevées» avec le podium comme objectif, a estimé hier son sélectionneur Vincent Collet. Les 17 Bleus de la pré-sélection pour l’Euro-2017 (31 août-17 septembre, à Helsinki et Istanbul) sont réunis à l’Insep pour une préparation d’un mois, orphelins de «TP», Mickaël Gélabale et Florent Pietrus… Lire la suite.\n\n\nN2 et N3 : les poules des clubs gersois\n\n– La Fédération française de basket-ball a dévoilé, hier, la composition des poules des championnats de France. En Nationale 2, Valence-Condom évoluera dans une poule à forte dominance régionale et retrouvera l’ouest pour les déplacements les plus lointains. Les garçons du VCGB se mesureront à leurs voisins lot-et-garonnais que sont le Val d’Albret, le Garonne BC et le BB Marmande. Toulouse, promu en N1 et qui a refusé la montée est également… Lire la suite.\n\n\nCahors. Le Lotois Enzo Goudou-Sinha médaille de bronze de l’Euro U20\n\n– Après sa 7e place lors des Mondiaux (U.19) en Égypte, Enzo Goudou-Sinha continuait son bel été en bleu avec, cette fois-ci, l’équipe de France des moins de 20 ans qui disputait l’Euro en Crète et en Grèce. Tous se passa très bien pour Enzo et ses coéquipiers, sous les ordres de coach Jean Aimé Toupane, jusqu’en 1/4 finale ou ils écrasèrent la Serbie. Un 1/4 de finale maîtrisé dans le 4e 1/4 temps avec une défense de fer qui étouffa… Lire la suite.\n\n\nLe FC Mulhouse finit en trombe\n\n– En match amical, le FCM basket a battu Lons-le-Saunier 84-68, hier soir, grâce à un tonitruant final… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\n« Nous sommes sur de bons rails »\n\n– Les Panthères Mulhouse ont repris l’entraînement hier sous la direction de Pierre Bilbeau, serein à quelques semaines d’entamer une quatrième saison… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nOn prend les mêmes… et on recommence\n\n– Olivier Parmentier rempile pour une saison supplémentaire à la tête d’une équipe de l’US Wittenheim (NF3) pratiquement inchangée par rapport à celle… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nNord Sundgau face à un nouveau challenge\n\n– Les Sundgauviennes évolueront en NF3 pour la première fois de leur histoire après une saison 2016-2017 durant laquelle elles n’ont concédé que deux… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nMercier : « Raisonnablement confiant »\n\n– Berrwiller/Staffelfelden a pour objectif de se maintenir dans la première partie du tableau… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLabeyrie : « Une autre étape »\n\n– Il est l’une de recrues majeures de l’intersaison. Élu meilleur sixième homme de Pro A la saison dernière, Louis Labeyrie entend poursuivre sa… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLe FCM enchaîne\n\n– Le FC Mulhouse va disputer son deuxième match de préparation ce soir (20 h) à Berrwiller face à Besançon, une autre équipe de Nationale 2… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nUne page s’est tournée\n\n– Avec les départs, cet été, des emblématiques Paul Lacombe et Matt Howard, la SIG est partie sur un nouveau cycle. Le premier chapitre de cette… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nKaysersberg maître à domicile\n\n– Toujours redoutable à domicile, le Kaysersberg ABCA a dominé le FC Mulhouse dans un match assez plaisant, hier à la salle Théo Faller, pour ce qui… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nAteliers instructifs à Hégenheim\n\n– Plusieurs jeunes de 8 à 12 ans ont participé, cette semaine au Cosec de Hégenheim, aux sessions d’entraînement de basket-ball animées par Frédérick… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nCourte défaite de Pfastatt\n\n– Les Pfastattois ont entamé leur saison par une défaite face au Besançon AC, hier à la salle polyvalente (77-78)… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSIG : l’effectif 2017-2018\n\n– Départs : Matt Howard (Hapoel Tel Aviv, Israël), Paul Lacombe (Monaco), Frank Ntilikina (New York Knicks, NBA), AJ Slaughter (ASVEL), Romeo Travis (Le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nPremières indications pour KB et le FCM\n\n– Kaysersberg et le FC Mulhouse (N2) disputent leur premier match amical aujourd’hui (18 h) à la salle Théo Faller… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nPfastatt passe au révélateur\n\n– Les Pfastattois entament leur préparation par la réception de Besançon AC, aujourd’hui (17 h) à la salle polyvalente… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLes Bleus montent en régime\n\n– Les Bleus ont signé hier soir à Orléans leur deuxième victoire en trois matches de préparation à l’Euro. Après la Tunisie samedi, c’est la Lituanie… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLe CSSL Rixheim sans pression\n\n– Les joueurs de Cédric Garnier ont repris l’entraînement lundi soir au gymnase Saint-Jean. L’entraîneur, qui dispose d’un effectif plus fourni que… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nUn premier avertissement pour les Bleus\n\n– Les basketteurs français ont reçu un premier avertissement en s’inclinant face à la Croatie 92-87 dès leur deuxième match de préparation à l’Euro… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLes Bleus coulent\n\n– Les Français ont subi la revanche de la Lituanie dans les grandes largeurs, 96-71, mardi à Kaunas, six jours après avoir battu les Baltes à Orléans… Lire la suite.\n\n\nEncore quelques ajustements\n\n– Les hommes de Nicolas Faure accueillaient lundi, au gymnase Saint-Claude, le Get Vosges, pensionnaire de Nationale 1, pour leur 3e match de… Lire la suite.\n\n\n(Amical) : C’est déjà beaucoup mieux…\n\n– Le jour et la nuit. Après un premier match de préparation compliqué à Lons-le-Saunier mardi soir, le BesAC a affiché un tout autre visage samedi soir… Lire la suite.\n\n\nMorabito champion d’europe avec les bleuettes\n\n– En attendant de retrouver le SLUC Espoirs qu’il coachera suite au départ de Pierre Verdière qui est devenu assistant des pros, David Morabito a… Lire la suite.\n\n\nLimoges boucle son recrutement avec Carter\n\n– Limoges a bouclé son recrutement avec l’arrivée de l’ailier fort américain Josh Carter en provenance de Sassari (Italie). Un renfort qui peut jouer… Lire la suite.\n\n\n« Le danger ne m’a jamais effrayé »\n\n– Elu meilleur entraîneur de centre de formation après le doublé championnat – Trophée du Futur avec les espoirs, Pierre Verdière est le nouvel… Lire la suite.\n\n\nLe BBC fait profil bas\n\n– Cette saison, le Besançon BC n’aura pas d’autre ambition que de se maintenir. 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[CONTENU PAYANT]\n\n\nAdam Smith, une nouvelle perle dénichée par Choulet ?\n\n– Très tôt la saison dernière, Jean-Denys Choulet a su qu’il ne garderait pas John Roberson. « Nous n’avions pas les moyens financiers de le garder »… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLa reprise de l’Elan Chalon en images\n\n– Avant la première séance ouverte au public programmée lundi après-midi (16h30) au Colisée, retrouvez les meilleures images du premier entraînement s’étant déroulé lundi matin au complet, à l’exception de Pierre-Antoine Gillet (en préparation pour l’Euro avec la Belgique) et Jevohn Shepherd qui arrivera dans l’après-midi à Chalon… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nL’Elan Chalon reprend du service\n\n– C’est aujourd’hui à partir de 16 h 30 au Colisée que les supporters chalonnais découvriront les nouvelles têtes de l’Elan Chalon qui tenteront de… Lire la suite. 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Le natif de l’Eure, qui a fait ses classes du coté d’Evreux et de Rouen, avait déjà pas mal baroudé dans l’Hexagone avant de poser ses baskets sur la côte Atlantique pendant 4 saisons. « J’avais envie de changer d’air au bout… Lire la suite.\n\n\nUn bon match de travail\n\n– UTBM – Laval : 81-75 Face à une opposition intéressante, les Tourangeaux, toujours en réglages, ont dû s’employer pour l’emporter…. 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Ce soir, Strasbourg reçoit Iberostar Ténérife pour le compte de la 10e journée de la Champions League. C’est le deuxième –les Alsaciens partagent la place avec les Italiens d’Avelino- contre le leader de la poule D. Les Espagnols n’ont connu jusqu’ici que deux défaites dont une à domicile face à la SIG, 66-70. Sur le sujet, Paul Lacombe est interrogé ce matin par les Dernières Nouvelles d’Alsace.
« Je pense qu’ils vont être revanchards. On les a surpris à l’aller, où ils avaient dû s’attendre à vivre une soirée tranquille compte tenu de leurs performances jusque-là. Si on arrive à répondre présent dans la dureté et dans l’engagement, on pourra à nouveau réussir quelque chose. »
Paul Lacombe a droit à la traditionnelle question : que souhaite t-il pour l’année 2017 avec en filigrane… une réponse inévitable :
« De bien jouer au basket et d’aller le plus loin possible dans toutes les compétitions où on est encore en lice… Le président m’a posé la même question. Je lui ai répondu qu’il connaissait la réponse, mais que c’était tabou d’en parler (sourire). Tabou, ou en tout cas prématuré, ne serait-ce que compte tenu de nos dernières sorties. Cela dit, on rêve encore (d’un titre), on joue pour ça. Je ne suis pas à Strasbourg par hasard. Tous les joueurs savent pourquoi ils sont venus ici, même s’il est trop tôt pour le dire haut et fort…
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Le club de la Principauté reprend ce soir la compétition contre les Israéliens de Ironi Nahariya. C’est à 18h30 sur Canal+Sport.
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Edit : C’est fait, Aix-Maurienne confirme l’arrivée de son nouvel américain Rayvonte Rice.
Brève originale : Le club d’Aix-Maurienne va-t-il recevoir le renfort d’un nouveau joueur dans les prochains jours ? Selon une information du Dauphiné Libéré, l’Américain Rayvonte Rice (1,96 m, 24 ans) pourrait rejoindre la formation de Pro B pour cette deuxième partie de saison.
Formé entre 2010 et 2012 à Drake puis entre 2013 et 2015 à University of Illinois, l’arrière-ailier avait démontré ses talents d’attaquant dans le championnat universitaire américain en enchainant les cartons (16,5 points de moyenne en 30 minutes lors de son année Senior en 2014/15).
Des performances qui lui ont ouvert la porte de l’Europe à la fin de son cursus scolaire. Lors de l’été 2015, le club italien du Scaligera Basket Verona lui a offert son premier contrat professionnel. Vu à 29 reprises sur les parquets de deuxième division lors de l’exercice 2015/16, le natif de Champaign (Illinois) était le meilleur marqueur de son équipe avec une ligne de statistique de 13,6 points, 4,5 rebonds et 1,7 passe en 31 minutes de temps de jeu. Avec lui, Verona avait terminé huitième de la Serie A2 avec un bilan positif de 16 victoires pour 14 défaites.
Sans club durant cette première partie de saison 2016/17, le costaud américain (107 kg) pourrait donc vivre en Savoie sa première expérience en France.
L’AMSB est actuellement douzième au classement avec 5 succès pour 8 revers.
Photo : Massimo De Marco
", "comment_id":"387440", "plaintext":"Edit : C’est fait, Aix-Maurienne confirme l’arrivée de son nouvel américain Rayvonte Rice.\n\nBrève originale : Le club d’Aix-Maurienne va-t-il recevoir le renfort d’un nouveau joueur dans les prochains jours ? Selon une information du Dauphiné Libéré, l’Américain Rayvonte Rice (1,96 m, 24 ans) pourrait rejoindre la formation de Pro B pour cette deuxième partie de saison.\n\n\nFormé entre 2010 et 2012 à Drake puis entre 2013 et 2015 à University of Illinois, l’arrière-ailier avait démontré ses talents d’attaquant dans le championnat universitaire américain en enchainant les cartons (16,5 points de moyenne en 30 minutes lors de son année Senior en 2014/15).\n\n\nDes performances qui lui ont ouvert la porte de l’Europe à la fin de son cursus scolaire. Lors de l’été 2015, le club italien du Scaligera Basket Verona lui a offert son premier contrat professionnel. Vu à 29 reprises sur les parquets de deuxième division lors de l’exercice 2015/16, le natif de Champaign (Illinois) était le meilleur marqueur de son équipe avec une ligne de statistique de 13,6 points, 4,5 rebonds et 1,7 passe en 31 minutes de temps de jeu. Avec lui, Verona avait terminé huitième de la Serie A2 avec un bilan positif de 16 victoires pour 14 défaites.\n\nSans club durant cette première partie de saison 2016/17, le costaud américain (107 kg) pourrait donc vivre en Savoie sa première expérience en France.\n\nL’AMSB est actuellement douzième au classement avec 5 succès pour 8 revers.\n\nPhoto : Massimo De Marco", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-01-03T09:53:58.000Z", "updated_at":"2017-01-03T10:58:21.000Z", "published_at":"2017-01-03T09:53:58.000Z", "custom_excerpt":"Edit : C’est fait, Aix-Maurienne confirme l’arrivée de son nouvel américain Rayvonte Rice. Brève originale : Le club d’Aix-Maurienne va-t-il recevoir le renfort d’un nouveau joueur dans les prochains jours ? Selon une information du Dauphiné Libéré, l’Américain Rayvonte Rice (1,96 m, 24 ans) pourrai", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8e3", "uuid":"e9ab9b64-0e96-4355-9cb5-1927347cc5cf", "title":"Pro A : le SLUC en panne de solution pour son recrutement", "slug":"le-sluc-en-panne-de-solution-pour-son-recrutement", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"http://s682549048.onlinehome.fr/wp-content/uploads/2017/01/Greg-Beugnot.jpg\",\"width\":600,\"height\":400}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Karen Mandau
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Suite au départ de Thaddeus McFadden pour la Grèce et à la blessure de Gary Florimont, out pour la saison, le SLUC est désespérément à la recherche d’un Joueur Formé Localement, indispensable pour le recrutement d’un autre Joueur Non Formé Localement.
Greg Beugnot, l’entraîneur de la formation nancéienne s’est d’ailleurs exprimé suite au match face à Nanterre sur ce point de règlement qui oblige les clubs de Pro A à avoir un tiers de son effectif composé de JFL.
« Le marché des joueurs JFL est très pauvre. Nous sommes pénalisés par la gravité de la blessure de Gary (Florimont). Ce règlement se retourne finalement contre nous… Ça n’existe pas dans les autres pays européens. Je dois donc trouver un joueur français. J’en appelle aux clubs de Pro B qui ont besoin de reconstruire leur équipe. »
Avec un groupe de seulement sept joueurs professionnels auquel on peut ajouter trois Espoirs, le SLUC se retrouve à court de solution dans ses rotations. Le président, Marc Barbe espère voir la situation évoluer dans la semaine, comme le rapporte l’Est Républicain.
« Pour l’heure, rien de concret. On espère que les fêtes terminées, la situation va se décanter dans la semaine. »
Photo : Karen Mandau
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La culture est totalement différente. Les Allemands sont très rigoureux dans tout ce qu’ils font. C’est très professionnel au niveau du club. La vie ici est simple. Je suis comme dans un village, il n’y a que 70 000 habitants. C’est très tranquille. J’ai pu un peu visiter Munich, Francfort mais pas plus que ça avec le calendrier que l’on a cette année. Mais ça se passe vraiment bien en Allemagne. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Emmenés par l’Italien Nicolo Melli (2,05m, 25 ans) élu joueur du mois de décembre, les Allemands sont remontés à la 11e place ex-aequo de l’Euroleague avec six victoires et neuf défaites, à un succès des trois équipes précédentes. Ils se sont offerts successivement le Maccabi, Aanadolu Efes, Olympiakos, et Galatasaray. Pas mal pour le club qui est considéré comme le petit poucet de la compétition avec ses 10 millions d’euros de budget.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[2],1,\"Payé en temps et en heure\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le Français apporte une solide contribution en faisant preuve d’une remarquable adresse : 10,8 pts à 40/58 à deux-points, 16/45 à trois-points et 23/27 aux lancers, plus 2,1 passes et 0,8 interception. Ses dernières productions ont été tout spécialement efficaces.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"« Les stats parlent d’elles mêmes. Je n’avais pas réussi à trouver mon vrai spot dans l’équipe. J’ai un coach que j’adore car il a été très patient avec moi. Il m’a toujours mis en confiance. Il savait qu’à un moment où à un autre, ça viendrait. C’est ce qui s’est passé. Aujourd’hui je suis assez épanoui dans le jeu de l’équipe. En début de saison on a perdu cinq, six fois d’un ou deux points en Euroleague et là on a gagné quatre matches sur cinq, la roue tourne. C’est l’enchainement des victoires qui fera que l’on sera dans le top 8 ou pas. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Fabien Causeur apprécie tout spécialement le management d’un club qui porte le nom de son sponsor principal depuis dix ans et qui joue dans la Brose Arena de 6 800 places. La saison dernière, Bamberg s’était glissé dans le top-16 de l’Euroleague, tout en terminant largement en tête de la saison régulière du championnat national avant de gagner les playoffs.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"« Il y a un gros sponsor derrière nous. Brose, c’est du très lourd au niveau de la stabilité. C’est un club intelligent. Ici c’est un peu une mafia italienne, les managers ont beaucoup d’expérience. Le manager a été scout NBA, il connaît énormément le basket et les joueurs. Le coach est italien aussi (NDLR : Andrea Trincheri). Ils ont fait chaque année un recrutement hyper intelligent. Ici c’est du solide, très professionnel. 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Après quatre saisons à Vitoria, Fabien Causeur (1,95m, 29 ans) a rejoint l’Allemagne et le Brose Bamberg Baskets dans le nord de la Bavière.
Le Breton était hier l’invité de Basket Time sur RMC Info et il dit apprécier son nouveau cadre de vie.
« C’est un gros changement par rapport à l’Espagne. La culture est totalement différente. Les Allemands sont très rigoureux dans tout ce qu’ils font. C’est très professionnel au niveau du club. La vie ici est simple. Je suis comme dans un village, il n’y a que 70 000 habitants. C’est très tranquille. J’ai pu un peu visiter Munich, Francfort mais pas plus que ça avec le calendrier que l’on a cette année. Mais ça se passe vraiment bien en Allemagne. »
Emmenés par l’Italien Nicolo Melli (2,05m, 25 ans) élu joueur du mois de décembre, les Allemands sont remontés à la 11e place ex-aequo de l’Euroleague avec six victoires et neuf défaites, à un succès des trois équipes précédentes. Ils se sont offerts successivement le Maccabi, Aanadolu Efes, Olympiakos, et Galatasaray. Pas mal pour le club qui est considéré comme le petit poucet de la compétition avec ses 10 millions d’euros de budget.
Le Français apporte une solide contribution en faisant preuve d’une remarquable adresse : 10,8 pts à 40/58 à deux-points, 16/45 à trois-points et 23/27 aux lancers, plus 2,1 passes et 0,8 interception. Ses dernières productions ont été tout spécialement efficaces.
« Les stats parlent d’elles mêmes. Je n’avais pas réussi à trouver mon vrai spot dans l’équipe. J’ai un coach que j’adore car il a été très patient avec moi. Il m’a toujours mis en confiance. Il savait qu’à un moment où à un autre, ça viendrait. C’est ce qui s’est passé. Aujourd’hui je suis assez épanoui dans le jeu de l’équipe. En début de saison on a perdu cinq, six fois d’un ou deux points en Euroleague et là on a gagné quatre matches sur cinq, la roue tourne. C’est l’enchainement des victoires qui fera que l’on sera dans le top 8 ou pas. »
Fabien Causeur apprécie tout spécialement le management d’un club qui porte le nom de son sponsor principal depuis dix ans et qui joue dans la Brose Arena de 6 800 places. La saison dernière, Bamberg s’était glissé dans le top-16 de l’Euroleague, tout en terminant largement en tête de la saison régulière du championnat national avant de gagner les playoffs.
« Il y a un gros sponsor derrière nous. Brose, c’est du très lourd au niveau de la stabilité. C’est un club intelligent. Ici c’est un peu une mafia italienne, les managers ont beaucoup d’expérience. Le manager a été scout NBA, il connaît énormément le basket et les joueurs. Le coach est italien aussi (NDLR : Andrea Trincheri). Ils ont fait chaque année un recrutement hyper intelligent. Ici c’est du solide, très professionnel. Les paiements arrivent toujours le premier du mois, et ce n’est pas toujours le cas à l’étranger. »", "comment_id":"387426", "plaintext":"Après quatre saisons à Vitoria, Fabien Causeur (1,95m, 29 ans) a rejoint l’Allemagne et le Brose Bamberg Baskets dans le nord de la Bavière.\n\nLe Breton était hier l’invité de Basket Time sur RMC Info et il dit apprécier son nouveau cadre de vie.\n\n« C’est un gros changement par rapport à l’Espagne. La culture est totalement différente. Les Allemands sont très rigoureux dans tout ce qu’ils font. C’est très professionnel au niveau du club. La vie ici est simple. Je suis comme dans un village, il n’y a que 70 000 habitants. C’est très tranquille. J’ai pu un peu visiter Munich, Francfort mais pas plus que ça avec le calendrier que l’on a cette année. Mais ça se passe vraiment bien en Allemagne. »\n\nEmmenés par l’Italien Nicolo Melli (2,05m, 25 ans) élu joueur du mois de décembre, les Allemands sont remontés à la 11e place ex-aequo de l’Euroleague avec six victoires et neuf défaites, à un succès des trois équipes précédentes. Ils se sont offerts successivement le Maccabi, Aanadolu Efes, Olympiakos, et Galatasaray. Pas mal pour le club qui est considéré comme le petit poucet de la compétition avec ses 10 millions d’euros de budget.\n\n\nPayé en temps et en heure\n\nLe Français apporte une solide contribution en faisant preuve d’une remarquable adresse : 10,8 pts à 40/58 à deux-points, 16/45 à trois-points et 23/27 aux lancers, plus 2,1 passes et 0,8 interception. Ses dernières productions ont été tout spécialement efficaces.\n\n« Les stats parlent d’elles mêmes. Je n’avais pas réussi à trouver mon vrai spot dans l’équipe. J’ai un coach que j’adore car il a été très patient avec moi. Il m’a toujours mis en confiance. Il savait qu’à un moment où à un autre, ça viendrait. C’est ce qui s’est passé. Aujourd’hui je suis assez épanoui dans le jeu de l’équipe. En début de saison on a perdu cinq, six fois d’un ou deux points en Euroleague et là on a gagné quatre matches sur cinq, la roue tourne. C’est l’enchainement des victoires qui fera que l’on sera dans le top 8 ou pas. »\n\nFabien Causeur apprécie tout spécialement le management d’un club qui porte le nom de son sponsor principal depuis dix ans et qui joue dans la Brose Arena de 6 800 places. La saison dernière, Bamberg s’était glissé dans le top-16 de l’Euroleague, tout en terminant largement en tête de la saison régulière du championnat national avant de gagner les playoffs.\n\n« Il y a un gros sponsor derrière nous. Brose, c’est du très lourd au niveau de la stabilité. C’est un club intelligent. Ici c’est un peu une mafia italienne, les managers ont beaucoup d’expérience. Le manager a été scout NBA, il connaît énormément le basket et les joueurs. Le coach est italien aussi (NDLR : Andrea Trincheri). Ils ont fait chaque année un recrutement hyper intelligent. Ici c’est du solide, très professionnel. 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Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.
– Le SLUC a entamé une course contre la montre pour trouver deux joueurs dont un joueur formé localement avant la reprise. Pour l’instant, rien de… Lire la suite.
– La SIG devra, ce soir, se passer de son guerrier Matt Howard. Touché contre Dijon, l’ailier-fort américain souffre d’une élongation à un mollet… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Pour Paul Lacombe, la SIG devra s’inspirer de sa prestation du match aller pour espérer réussir la passe de deux contre Tenerife. Le tout nouveau All… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Pour la SIG, l’an neuf s’ouvre par un choc à fort enjeu. Un succès, ce soir, contre Tenerife permettrait en effet aux Strasbourgeois de s’installer en… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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– Le directeur du centre de formation de la JL suit la progression de Thomas Prost. Il a des nouvelles chaque semaine. « On a une vraie relation qui… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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– Le BC Gries-Oberhoffen, 16e de N1, vient de faire signer un nouveau joueur en remplacement de Justin Sedlak qui, sous le coup d’une sanction, a quitté… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Absents des terrains depuis leur dernier match de championnat face à Juvisy, le 10 décembre dernier, les basketteurs de Kaysersberg ont retrouvé le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Pour sa première sortie en 2017, la SIG, privée de Matt Howard, affronte Tenerife, ce soir (20 h 30) au Rhénus, avec l’envie de ravir la première… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
", "comment_id":"387423", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nLe SLUC cherche « JFL » désespérément…\n\n– Le SLUC a entamé une course contre la montre pour trouver deux joueurs dont un joueur formé localement avant la reprise. Pour l’instant, rien de… Lire la suite.\n\n\nHoward forfait\n\n– La SIG devra, ce soir, se passer de son guerrier Matt Howard. Touché contre Dijon, l’ailier-fort américain souffre d’une élongation à un mollet… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\n«Une première étape»\n\n– Pour Paul Lacombe, la SIG devra s’inspirer de sa prestation du match aller pour espérer réussir la passe de deux contre Tenerife. Le tout nouveau All… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nUne finale, déjà !\n\n– Pour la SIG, l’an neuf s’ouvre par un choc à fort enjeu. Un succès, ce soir, contre Tenerife permettrait en effet aux Strasbourgeois de s’installer en… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nN1 mode d’emploi\n\n– Championnat : une poule de 18 équipes… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nL’œil de Jean-Luc Tissot\n\n– Le directeur du centre de formation de la JL suit la progression de Thomas Prost. Il a des nouvelles chaque semaine. « On a une vraie relation qui… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nThomas Prost : « Je me sentais prêt à franchir ce cap »\n\n– De Saint-André-de-Corcy où il a débuté, en passant par l’Asvel et surtout le centre de formation de Bourg, Thomas Prost, 20 ans, poursuit son chemin… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nRolandas Jakstas à Gries\n\n– Le BC Gries-Oberhoffen, 16e de N1, vient de faire signer un nouveau joueur en remplacement de Justin Sedlak qui, sous le coup d’une sanction, a quitté… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nKaysersberg affronte Souffelweyersheim ce soir\n\n– Absents des terrains depuis leur dernier match de championnat face à Juvisy, le 10 décembre dernier, les basketteurs de Kaysersberg ont retrouvé le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nComme une petite finale\n\n– Pour sa première sortie en 2017, la SIG, privée de Matt Howard, affronte Tenerife, ce soir (20 h 30) au Rhénus, avec l’envie de ravir la première… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-01-03T06:59:36.000Z", "updated_at":"2017-01-03T06:59:36.000Z", "published_at":"2017-01-03T06:59:36.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8e6", "uuid":"a5b79031-531e-4cf0-97cd-bf8d5e630e99", "title":"Turquie : Derrick Brown et Jan Vesely en viennent aux mains", "slug":"turquie-derrick-brown-et-jan-vesely-en-viennent-aux-mains", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ambiance électrique en Turquie pour la rencontre entre Fenerbahce et l’Anadolu Efes puisque Derrick Brown et Jan Vesely ont dû être séparés par leurs coéquipiers après cet accrochage musclé dans la raquette.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"https://www.youtube.com/watch?v=gO_Up0h_OLE\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Ambiance électrique en Turquie pour la rencontre entre Fenerbahce et l’Anadolu Efes puisque Derrick Brown et Jan Vesely ont dû être séparés par leurs coéquipiers après cet accrochage musclé dans la raquette.
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Alors au moment de distribuer ses prix, la section alsacienne de l’Union des Journalistes Sportifs de France a largement récompensé le club.
La SIG (197 points) a été élue club alsacien de l’année devant son rival du football, le Racing (149), et le Kaysersberg Ammerschwihr Basket Centre Alsace (112) qui a remporté le Trophée Coupe de France.
Son coach Vincent Collet (30), qui est aussi celui de l’équipe de France, supplante ses collègues des deux mêmes clubs, Jacky Duguépéroux (RCSA, 13) et Fabien Drago (KABCA, 4).
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Enfin, Amel Bouderra (Charleville, 6 pts), MVP française de la LFB et sélectionnée olympique de la dernière heure n’est pas oubliée du côté des « Ambassadeurs » -elle est née à Mulhouse- terminant en dauphine du meilleur gardien de hand du monde, Thierry Omeyer (PSG, 19).
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Victime d’une élongation au mollet, Matt Howard est forfait pour le match face à Tenerife prévu mardi soir au Rhénus.
C’est suite à l’entraînement d’aujourd’hui que l’entraîneur Vincent Collet a annoncé la nouvelle.
« L’absence de Matt Howard (élongation mollet) nous handicape. Il faudra plus d’efforts de tout le monde pour compenser »
Victorieux lors du match aller (70-66), les Strasbourgeois auront à cœur d’aller chercher cette victoire qui les propulserait à la première place du groupe D de Champions League.
« Ténérife est la meilleure équipe venue au Rhenus cette saison » juge Vincent Collet. « Nous sommes leur premier rival pour la première place : c’est une petite finale! »
Cette saison sur la scène européenne, Howard compile en moyenne 9,4 points, 5,8 rebonds et 1,2 passe par match. Mais en plus d’apporter une petite dizaine de points et pratiquement six rebonds par match, l’ancien joueur de la Chorale de Roanne apporte ce que l’on ne voit pas dans les stats, une intensité et une combativité impressionnante.
Photo : Basketball Champions League
", "comment_id":"387405", "plaintext":"Victime d’une élongation au mollet, Matt Howard est forfait pour le match face à Tenerife prévu mardi soir au Rhénus.\n\nC’est suite à l’entraînement d’aujourd’hui que l’entraîneur Vincent Collet a annoncé la nouvelle.\n\n« L’absence de Matt Howard (élongation mollet) nous handicape. Il faudra plus d’efforts de tout le monde pour compenser »\n\nVictorieux lors du match aller (70-66), les Strasbourgeois auront à cœur d’aller chercher cette victoire qui les propulserait à la première place du groupe D de Champions League.\n\n« Ténérife est la meilleure équipe venue au Rhenus cette saison » juge Vincent Collet. « Nous sommes leur premier rival pour la première place : c’est une petite finale! »\n\nCette saison sur la scène européenne, Howard compile en moyenne 9,4 points, 5,8 rebonds et 1,2 passe par match. Mais en plus d’apporter une petite dizaine de points et pratiquement six rebonds par match, l’ancien joueur de la Chorale de Roanne apporte ce que l’on ne voit pas dans les stats, une intensité et une combativité impressionnante.\n\nPhoto : Basketball Champions League", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-01-02T15:32:06.000Z", "updated_at":"2017-01-02T15:59:52.000Z", "published_at":"2017-01-02T15:32:06.000Z", "custom_excerpt":"Victime d’une élongation au mollet, Matt Howard est forfait pour le match face à Tenerife prévu mardi soir au Rhénus.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8e9", "uuid":"0d20ab28-fcba-4b2e-a820-c5fce1925ff5", "title":"Euroleague : Nicolo Melli MVP du mois de décembre", "slug":"euroleague-nicolo-melli-mvp-du-mois-de-decembre", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/01/nicolo-melli-celebrates-brose-bamberg-eb16.jpg\",\"width\":800,\"height\":533}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/b0Gh0XbKYAI\",\"html\":\"\"}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Avec quatre victoires en cinq matchs d’Euroleague en décembre, Bamberg effectue son retour dans la course aux playoffs en affichant un bilan de six victoires pour neuf défaites et en pointant à la onzième place du classement avec seulement une victoire de retard sur le huitième, l’Etoile Rouge de Belgrade.
Pour son importance dans les performances de son équipe, l’Italien Nicolo Melli a été élu MVP du mois de décembre en C1, comme le rapporte Eurohoops. Sur cette période, l’ancien joueur de Milan a compilé 15,6 points (62,8% à 2pts et 61,9% à 3pts), 8 rebonds, 2,3 passes décisives, 1,2 interception et 1 contre pour une évaluation de 24,5 par match.
Photo : Euroleague
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Jamal Shuler (1,91m, 30 ans) est apprécié sur la Côte d’Azur. Le quotidien Nice-Matin a demandé à ses lecteurs d’élire le Sportif azuréen de l’année 2016 et sur les 11 600 votants, l’Américain de l’AS Monaco a recueilli 3 998 voix, soit 34,3% du total.
Jamal Shuler est seulement devancé par le footballeur de l’AS Monaco FC, Valère Germain (44,5%) alors que celui de l’OGC Nice Alassane Plea (12,8%) est sur la troisième marche du podium.
C’est la première fois qu’un basketteur est aussi haut placé dans ce classement annuel.
« Je suis allé voir jouer 4-5 fois la Roca Team la saison dernière. Shuler est un joueur impressionnant qui marque beaucoup de points, sa place est méritée », a rendu hommage Valère Germain à son dauphin.", "comment_id":"387395", "plaintext":"Jamal Shuler (1,91m, 30 ans) est apprécié sur la Côte d’Azur. Le quotidien Nice-Matin a demandé à ses lecteurs d’élire le Sportif azuréen de l’année 2016 et sur les 11 600 votants, l’Américain de l’AS Monaco a recueilli 3 998 voix, soit 34,3% du total.\n\nJamal Shuler est seulement devancé par le footballeur de l’AS Monaco FC, Valère Germain (44,5%) alors que celui de l’OGC Nice Alassane Plea (12,8%) est sur la troisième marche du podium.\nC’est la première fois qu’un basketteur est aussi haut placé dans ce classement annuel.\n\n« Je suis allé voir jouer 4-5 fois la Roca Team la saison dernière. Shuler est un joueur impressionnant qui marque beaucoup de points, sa place est méritée », a rendu hommage Valère Germain à son dauphin.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-01-02T12:25:23.000Z", "updated_at":"2017-01-02T12:25:23.000Z", "published_at":"2017-01-02T12:25:23.000Z", "custom_excerpt":"Jamal Shuler (1,91m, 30 ans) est apprécié sur la Côte d’Azur. Le quotidien Nice-Matin a demandé à ses lecteurs d’élire le Sportif azuréen de l’année 2016 et sur les 11 600 votants, l’Américain de l’AS Monaco a recueilli 3 998 voix, soit 34,3% du total.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8eb", "uuid":"6237c1eb-1fb5-4c21-b41e-5e02ecc75460", "title":"Le Portel en danger financièrement", "slug":"le-portel-en-danger-financierement", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/01/girard.jpg\",\"width\":600,\"height\":400}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"http://www.lasemainedansleboulonnais.fr/sports/essm-le-portel-manque-300-000-euros-pour-boucler-le-budget-ia681b0n193660\"]],[\"i\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans ESSM News et lors d’une conférence de presse, le président Yann Rivoal, a tiré la sonnette d’alarme auprès de ses supporters et de ses partenaires : son club a besoin de 300 000 euros pour boucler un budget annoncé à 2,9 millions d’euros.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’ESSM possède déjà l’avant-dernier budget de Pro A devant celui de Hyères-Toulon, alors que la ville de Le Portel dénombre moins de 10 000 habitants dans une agglomération qui compte aussi le SOM Boulogne en Pro B.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Nous avons voulu conserver un abonnement à tarif raisonnable pour les particuliers et par rapport à notre cahier des charges, c’est plus le partenariat privé des entreprises qui fait défaut. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le président portelois a défini cinq axes pour mettre le navire à flots :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1- Continuer de gérer le club comme un bon père de famille\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"2- Remplir à chaque match les 4 000 places du chaudron\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"3- Compter sur la cellule commerciale\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"4- Appeler à la souscription\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"5- Créer une cellule événementielle\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Les particuliers peuvent aider le club par un don déductible à 66 % de vos impôts »,\"],[0,[],0,\" précise le président dans \"],[0,[1],1,\"La Semaine dans le Boulonnais\"],[0,[],0,\". « \"],[0,[0],1,\"Il vous suffit de faire un chèque sous enveloppe au nom de ESSM association et de le remettre au club, qui se charge du reste. »\"],[0,[],0,\" Les retours seraient d’ailleurs déjà positifs : « \"],[0,[0],1,\"Nous sommes aussi sensibles au chèque de 50 euros qu’au gros montant. Nous savons que des gens se saignent en faisant ça. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec 7 victoires en 15 matches, les hommes d’Eric Girard effectuent un parcours sportif bien au-dessus des espérances initiales.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[2],1,\"« Ce serait dommage de se maintenir sportivement, mais être contraint de redescendre en Pro B pour raisons financières, »synthétise le président.\"],[1,[],0,0]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
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Dans ESSM News et lors d’une conférence de presse, le président Yann Rivoal, a tiré la sonnette d’alarme auprès de ses supporters et de ses partenaires : son club a besoin de 300 000 euros pour boucler un budget annoncé à 2,9 millions d’euros.
L’ESSM possède déjà l’avant-dernier budget de Pro A devant celui de Hyères-Toulon, alors que la ville de Le Portel dénombre moins de 10 000 habitants dans une agglomération qui compte aussi le SOM Boulogne en Pro B.
« Nous avons voulu conserver un abonnement à tarif raisonnable pour les particuliers et par rapport à notre cahier des charges, c’est plus le partenariat privé des entreprises qui fait défaut. »
Le président portelois a défini cinq axes pour mettre le navire à flots :
1- Continuer de gérer le club comme un bon père de famille
2- Remplir à chaque match les 4 000 places du chaudron
3- Compter sur la cellule commerciale
4- Appeler à la souscription
5- Créer une cellule événementielle
« Les particuliers peuvent aider le club par un don déductible à 66 % de vos impôts », précise le président dans La Semaine dans le Boulonnais. « Il vous suffit de faire un chèque sous enveloppe au nom de ESSM association et de le remettre au club, qui se charge du reste. » Les retours seraient d’ailleurs déjà positifs : « Nous sommes aussi sensibles au chèque de 50 euros qu’au gros montant. Nous savons que des gens se saignent en faisant ça. »
Avec 7 victoires en 15 matches, les hommes d’Eric Girard effectuent un parcours sportif bien au-dessus des espérances initiales.
« Ce serait dommage de se maintenir sportivement, mais être contraint de redescendre en Pro B pour raisons financières, »synthétise le président.", "comment_id":"387389", "plaintext":"Dans ESSM News et lors d’une conférence de presse, le président Yann Rivoal, a tiré la sonnette d’alarme auprès de ses supporters et de ses partenaires : son club a besoin de 300 000 euros pour boucler un budget annoncé à 2,9 millions d’euros.\n\nL’ESSM possède déjà l’avant-dernier budget de Pro A devant celui de Hyères-Toulon, alors que la ville de Le Portel dénombre moins de 10 000 habitants dans une agglomération qui compte aussi le SOM Boulogne en Pro B.\n\n« Nous avons voulu conserver un abonnement à tarif raisonnable pour les particuliers et par rapport à notre cahier des charges, c’est plus le partenariat privé des entreprises qui fait défaut. »\n\nLe président portelois a défini cinq axes pour mettre le navire à flots :\n\n1- Continuer de gérer le club comme un bon père de famille\n\n2- Remplir à chaque match les 4 000 places du chaudron\n\n3- Compter sur la cellule commerciale\n\n4- Appeler à la souscription\n\n5- Créer une cellule événementielle\n\n« Les particuliers peuvent aider le club par un don déductible à 66 % de vos impôts », précise le président dans La Semaine dans le Boulonnais. « Il vous suffit de faire un chèque sous enveloppe au nom de ESSM association et de le remettre au club, qui se charge du reste. » Les retours seraient d’ailleurs déjà positifs : « Nous sommes aussi sensibles au chèque de 50 euros qu’au gros montant. Nous savons que des gens se saignent en faisant ça. »\n\nAvec 7 victoires en 15 matches, les hommes d’Eric Girard effectuent un parcours sportif bien au-dessus des espérances initiales.\n\n« Ce serait dommage de se maintenir sportivement, mais être contraint de redescendre en Pro B pour raisons financières, »synthétise le président.\n", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-01-02T11:09:42.000Z", "updated_at":"2017-01-02T11:09:42.000Z", "published_at":"2017-01-02T11:09:42.000Z", "custom_excerpt":"Dans ESSM News et lors d’une conférence de presse, le président Yann Rivoal, a tiré la sonnette d’alarme auprès de ses supporters et de ses partenaires : son club a besoin de 300 000 euros pour boucler un budget annoncé à 2,9 millions d’euros.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8ec", "uuid":"a081deaf-7bce-4fe2-b0a5-087b192fa162", "title":"A Chalon, on préfère Jean-Denys Choulet à Florent Pagny…", "slug":"a-chalon-on-prefere-jean-denys-choulet-a-florent-pagny", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/01/choulet.jpg\",\"width\":800,\"height\":533}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"http://www.lejsl.com/edition-de-chalon/2016/12/31/et-votre-chouchou-est-jean-denys-choulet\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le \"],[0,[0],1,\"Journal de Saône et Loire\"],[0,[],0,\" a demandé sur son \"],[0,[1],1,\"site\"],[0,[],0,\" Internet à ses lecteurs de voter pour leur personnalité chalonnaise préférée de l’année 2016. Il y avait sept candidats et 1 638 personnes ont voté.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est l’entraîneur de l’Elan, Jean-Denys Choulet, qui est arrivé en tête avec 32 % des voix. Les lecteurs du \"],[0,[0],1,\"JSL\"],[0,[],0,\" apprécient le remarquable parcours de son équipe : finale de Leaders cup et Final Four de la Fiba Europe Cup pour la saison 2015-16, et une actuelle deuxième place au classement de la Pro A.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Jean-Denys Choulet devance le chanteur Florent Pagny (25,6 %) et le danseur étoile Germain Louvet (11,4%) tous deux natifs de Chalon.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/01/choulet.jpg\")
Le Journal de Saône et Loire a demandé sur son site Internet à ses lecteurs de voter pour leur personnalité chalonnaise préférée de l’année 2016. Il y avait sept candidats et 1 638 personnes ont voté.
C’est l’entraîneur de l’Elan, Jean-Denys Choulet, qui est arrivé en tête avec 32 % des voix. Les lecteurs du JSL apprécient le remarquable parcours de son équipe : finale de Leaders cup et Final Four de la Fiba Europe Cup pour la saison 2015-16, et une actuelle deuxième place au classement de la Pro A.
Jean-Denys Choulet devance le chanteur Florent Pagny (25,6 %) et le danseur étoile Germain Louvet (11,4%) tous deux natifs de Chalon.
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Même si Gravelines et Nanterre s’affronteront le 7 janvier, la Pro A reprendra officiellement le 13, tout comme la Pro B.
Seulement, les équipes engagées dans les deux coupes d’Europe de la FIBA ont eu droit à des vacances raccourcies et sont déjà sur le pont. La rentrée, c’est demain pour Monaco et Strasbourg.
Les féminines sont également de retour, aussi bien en Euroleague que dans le championnat national. Seule l’EuroCup reprendra plus tard, le 18 janvier.
CHAMPIONS LEAGUE
Mardi 3 janvier :
Groupe A
Nahariya (Israël) – Monaco
Groupe D
Strasbourg – Tenerife (Espagne)
Mercredi 4 janvier
Groupe B
Oradea (Roumanie) – Le Mans
Groupe C
Villeurbanne – PAOK Salonique (Grèce)
FIBA EUROPE CUP
Mercredi 4 janvier
Groupe K
Chalon – Gaziantep (Turquie)
Groupe L
Gravelines – Demir Insaat (Turquie)
Groupe N
Nanterre – Tsmoki-Minsk (Biélorussie)
Groupe O
Pau – Féhérvar (Hongrie)
EUROLEAGUE FEMININE
Mercredi 4 janvier :
Groupe A
Lattes Montpellier – Wisla Cracovie (Pologne)
Groupe B
Sopron (Hongrie) – Villeneuve d’Ascq
Bourges – Hatay (Turquie)
LIGUE FEMININE
Samedi 7 janvier
Mondeville – Nice
Union Hainaut – Villeneuve-d’Ascq
Charleville-Mézières -Bourges
Montpellier – Lyon
Tarbes – Basket Landes
Angers – Nantes
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En trois minutes, voici pourquoi le All-Star Game de la LNB, dont la 31e édition s’est tenue le 29 décembre à l’AccorHôtel Arena de Paris, est le meilleur show de basket en Europe.
Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.
– Sacré champion d’Europe avec les U18 la semaine dernière, le Nancéien Bastien Vautier rêve désormais d’un autre titre. Celui de champion de France… Lire la suite.
– Coupé au début du mois de décembre par la JL Bourg, Erik Rush ne sera pas resté longtemps au chômage. Rentré en Italie et plus précisément à Ferrara… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– « Alexis Tanghe partait au Centre fédéral quand je suis arrivé à l’ADA en 2006, raconte Romain Leroy, l’assistant coach de Boulazac. Mais il lui est arrivé de s’entraîner avec nous à Blois. Le hasard a fait que l’on s’est retrouvés, en début de saison dernière en Dordogne. L’an passé en play-off, il nous a parfois portés. Et ce qu’
… Lire la suite.
– La Korisliiga, le plus haut niveau du basket finlandais, « c’est seulement onze équipes dont le niveau va de la solide Pro B à la petite N1, explique Romain Leroy. On se joue quatre fois par an les uns les autres, avec un calendrier délirant. Notre record, cela doit être six ou sept matchs en deux semaines. Et puis dix jours sans jouer… Lire la suite.
– Lors de la saison 2015-2016, Boulazac a joué la finale de la Leaders Cup et a fini le championnat en boulet de canon. « On doit gagner dix matchs lors des treize dernières journées, on termine à la 4e place et on va en demi-finale des play-off… Mais on perd (en match d’appui à Évreux) sur ce tir improbable de Baptis… Lire la suite.
– Avant de rejoindre Boulazac, l’ancien assistant de Nicolas Faure (à Blois) a connu les Déferlantes (de Nantes/Rezé) et les Seagulls (d’Helsinki)… Lire la suite.
", "comment_id":"387376", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nBasket : le Nancéien Bastien Vautier champion d’Europe avec les U18\n\n– Sacré champion d’Europe avec les U18 la semaine dernière, le Nancéien Bastien Vautier rêve désormais d’un autre titre. Celui de champion de France… Lire la suite.\n\n\nErik Rush rebondit à Recanati, en Série A2 italienne\n\n– Coupé au début du mois de décembre par la JL Bourg, Erik Rush ne sera pas resté longtemps au chômage. Rentré en Italie et plus précisément à Ferrara… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\n« Alexis Tanghe est un garçon très intéressant, qui n’a pas encore exprimé tout son potentiel. »\n\n– « Alexis Tanghe partait au Centre fédéral quand je suis arrivé à l’ADA en 2006, raconte Romain Leroy, l’assistant coach de Boulazac. Mais il lui est arrivé de s’entraîner avec nous à Blois. Le hasard a fait que l’on s’est retrouvés, en début de saison dernière en Dordogne. L’an passé en play-off, il nous a parfois portés. Et ce qu’\n… Lire la suite.\n\n\nSouvenirs de Finlande\n\n– La Korisliiga, le plus haut niveau du basket finlandais, « c’est seulement onze équipes dont le niveau va de la solide Pro B à la petite N1, explique Romain Leroy. On se joue quatre fois par an les uns les autres, avec un calendrier délirant. Notre record, cela doit être six ou sept matchs en deux semaines. Et puis dix jours sans jouer… Lire la suite.\n\n\nEn savoir plus\n\n– Lors de la saison 2015-2016, Boulazac a joué la finale de la Leaders Cup et a fini le championnat en boulet de canon. « On doit gagner dix matchs lors des treize dernières journées, on termine à la 4e place et on va en demi-finale des play-off… Mais on perd (en match d’appui à Évreux) sur ce tir improbable de Baptis… Lire la suite.\n\n\nRomain Leroy a fait son chemin\n\n– Avant de rejoindre Boulazac, l’ancien assistant de Nicolas Faure (à Blois) a connu les Déferlantes (de Nantes/Rezé) et les Seagulls (d’Helsinki)… Lire la suite.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2017-01-02T08:00:27.000Z", "updated_at":"2017-01-02T08:00:27.000Z", "published_at":"2017-01-02T08:00:27.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8f0", "uuid":"5025794a-f0da-4cb3-8c23-217c3f55c9f6", "title":"Les articles de la semaine du 26 au 31 décembre 2016", "slug":"les-articles-de-la-semaine-du-26-au-31-decembre-2016", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/01/heiko.jpg\")
Heiko Schaffartzik est-il le meilleur shooteur à trois-points jamais vu en Pro A ? Ce serait un long débat stérile d’exégètes pour répondre à la question mais il est déjà certain que l’Allemand est une formidable bête de concours et un véritable ambianceur.
Heiko a gagné pour la deuxième fois d’affilée le Peak 3 Points Shootout du All-Star Game et en demi-finale il a établi le record de tous les temps : 27 points sur les 33 possibles s’offrant avec la bénédiction du plexi le bonus que constitue le dernier tir du milieu du terrain. Et donc à l’issue de la finale, il a saisi le micro pour demander au public de reprendre en chœur un « Joyeux Anniversaire ! » en hommage à son père, 65 ans, présent dans les tribunes.
« Je suis content d’avoir gagné. La meilleure chose, c’était l’anniversaire de mon père aujourd’hui et il était ici à Paris avec toute ma famille. D’accord j’ai très mal chanté mais on a chanté ! Mon père avait les larmes aux yeux. »
Dans un univers du basket où les joueurs américains ne s’expriment toujours qu’en anglais après plusieurs saisons en France, Heiko Schaffartzik est un formidable contre-exemple et son adaptabilité fait qu’il tisse un lien spécial avec les fans et aussi ses équipes. Ce fils d’un médecin et d’une professeure, qui a appris les bases de notre langue à l’école, parle tous les jours en français avec ses équipiers, ses coaches, le staff et envisage, pourquoi pas, de prendre un jour des cours particuliers pour améliorer encore son niveau. Sachant qu’il parle déjà couramment l’anglais.
L’Allemand est un basketteur professionnel et court comme tous le cachet, seulement il n’est pas en France tout à fait par hasard et il profite de l’opportunité. Il s’est plongé avec délectation dans l’atmosphère française, adore Paris et à travers ce commentaire paru dans le magazine « Basket » on se rend compte combien il est fin observateur :
« Ils (les Français) aiment beaucoup « vivre la vie ». Je ne sais pas comment dire. « Il faut qu’on mange bien, qu’on dorme bien, on boit du vin, on mange du fromage… » Et ici, le travail est important, mais j’ai l’impression que pour les Français, c’est encore plus important de vivre la vie, et le travail vient en deuxième. Alors qu’en Allemagne, le travail arrive en premier, tout le reste passe après. Autre chose : les Français aiment beaucoup parler en négatif, se plaindre. Je ne sais pas pourquoi ? (Il rit) La culture est très belle, les restaurants et la nourriture magnifiques. Ah, autre chose : tout le monde est très poli. C’est incroyable ça ! »
Il faut savoir que cette shooting machine, qui tire vite, de loin, et très bien, a été en quelque sorte conçue aux Etats-Unis –il a vécu deux ans et demi à San Diego et se souvient avoir vu à l’œuvre les Lakers de Magic Johnson et Kareem Abdul-Jabbar contre les Celtics de Larry Bird au Forum d’Inglewood- et surtout au TuS Lichterfelde, un petit club de Berlin jugé comme étant le meilleur au niveau de la formation du pays, qui était alors la succursale de l’ALBA et avec qui il est monté jusqu’à l’équivalent de la Pro B.
En 2015, Heiko Schaffartzik avait dû s’imposer en finale à Hugo Invernizzi et cette fois encore il a dû ferrailler pour obtenir un meilleur total que le Chalonnais John Roberson.
« Le concours a été plus facile que l’année dernière, vraiment, parce que je pouvais attendre les autres alors que l’année dernière c’est moi qui ai commencé. Là je pouvais regarder ce qu’ils allaient faire », a t-il commenté.
La veille, lors de la séance d’entraînement, il s’était amusé à faire des airballs et à tirer de sa main faible. Il y a chez Heiko Schaffartzik du Larry Bird dans la confiance en ses possibilités dans le domaine.
« C’est beaucoup dans la tête », confirma t-il. « Il y a beaucoup de pression, de gens qui regardent. C’est juste comment tu t’adaptes à cette pression. Et jamais à l’entraînement on shoote comme ça (il mime lorsqu’il a pris le ballon du rack de rangement). Ce n’est pas un vrai tir de basket. C’est difficile de s’entraîner pour ça. »
A un journaliste qui lui a demandé si son tir est naturel, il a répondu l’œil malin, faisant rire toute l’assemblée :
« Non c’est juste parce que j’ai de très grandes couilles ! (sic) »
La saison dernière, à Limoges, au retour d’un déplacement à Antibes, passablement éméché, Heiko était rentré dans un appartement qui n’était pas le sien et s’était endormi sur le canapé sans se rendre compte de sa méprise. A « Basket », il a confié qu’il ne veut pas que les Français aient de lui une mauvaise image de fêtard suite à cet incident rendu publique. Qu’il ne soit pas inquiet. BasketEurope lui décerne au contraire le Prix Orange pour l’année 2016 !
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Mon père avait les larmes aux yeux. »\n\n\nPas en France par hasard\n\nDans un univers du basket où les joueurs américains ne s’expriment toujours qu’en anglais après plusieurs saisons en France, Heiko Schaffartzik est un formidable contre-exemple et son adaptabilité fait qu’il tisse un lien spécial avec les fans et aussi ses équipes. Ce fils d’un médecin et d’une professeure, qui a appris les bases de notre langue à l’école, parle tous les jours en français avec ses équipiers, ses coaches, le staff et envisage, pourquoi pas, de prendre un jour des cours particuliers pour améliorer encore son niveau. Sachant qu’il parle déjà couramment l’anglais.\n\nL’Allemand est un basketteur professionnel et court comme tous le cachet, seulement il n’est pas en France tout à fait par hasard et il profite de l’opportunité. Il s’est plongé avec délectation dans l’atmosphère française, adore Paris et à travers ce commentaire paru dans le magazine « Basket » on se rend compte combien il est fin observateur :\n\n« Ils (les Français) aiment beaucoup « vivre la vie ». Je ne sais pas comment dire. « Il faut qu’on mange bien, qu’on dorme bien, on boit du vin, on mange du fromage… » Et ici, le travail est important, mais j’ai l’impression que pour les Français, c’est encore plus important de vivre la vie, et le travail vient en deuxième. Alors qu’en Allemagne, le travail arrive en premier, tout le reste passe après. Autre chose : les Français aiment beaucoup parler en négatif, se plaindre. Je ne sais pas pourquoi ? (Il rit) La culture est très belle, les restaurants et la nourriture magnifiques. Ah, autre chose : tout le monde est très poli. C’est incroyable ça ! »\n\nIl faut savoir que cette shooting machine, qui tire vite, de loin, et très bien, a été en quelque sorte conçue aux Etats-Unis –il a vécu deux ans et demi à San Diego et se souvient avoir vu à l’œuvre les Lakers de Magic Johnson et Kareem Abdul-Jabbar contre les Celtics de Larry Bird au Forum d’Inglewood- et surtout au TuS Lichterfelde, un petit club de Berlin jugé comme étant le meilleur au niveau de la formation du pays, qui était alors la succursale de l’ALBA et avec qui il est monté jusqu’à l’équivalent de la Pro B.\n\n\nLa meilleure préparation : pas de préparation !\n\nEn 2015, Heiko Schaffartzik avait dû s’imposer en finale à Hugo Invernizzi et cette fois encore il a dû ferrailler pour obtenir un meilleur total que le Chalonnais John Roberson.\n\n« Le concours a été plus facile que l’année dernière, vraiment, parce que je pouvais attendre les autres alors que l’année dernière c’est moi qui ai commencé. Là je pouvais regarder ce qu’ils allaient faire », a t-il commenté.\n\nLa veille, lors de la séance d’entraînement, il s’était amusé à faire des airballs et à tirer de sa main faible. Il y a chez Heiko Schaffartzik du Larry Bird dans la confiance en ses possibilités dans le domaine.\n\n« C’est beaucoup dans la tête », confirma t-il. « Il y a beaucoup de pression, de gens qui regardent. C’est juste comment tu t’adaptes à cette pression. Et jamais à l’entraînement on shoote comme ça (il mime lorsqu’il a pris le ballon du rack de rangement). Ce n’est pas un vrai tir de basket. C’est difficile de s’entraîner pour ça. »\n\nA un journaliste qui lui a demandé si son tir est naturel, il a répondu l’œil malin, faisant rire toute l’assemblée :\n\n« Non c’est juste parce que j’ai de très grandes couilles ! 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On ne retrouvera pas Lucky Jones (1,99 m, 23 ans) sous le maillot de Hyères-Toulon en 2017. Selon une information de Var Matin, les dirigeants du HTV ont décidé de ne pas conserver l’ailier américain dans l’effectif.
Aperçu le temps de 11 rencontres pour sa découverte de la Pro A -avant de se blesser au genou début décembre et d’être out pour plusieurs semaines -Lucious Jones Junior de son vrai nom compilait sous les ordres de Kyle Milling 5,8 pts, 4,2 rebonds et 1,4 passe pour 8,2 d’évaluation en 21,3 minutes de temps de jeu.
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Sur son site, la SIG donne la parole à Matt Howard (2,03m, 27 ans) dont les performances sont un peu en baisse vis à vis de la saison dernière (8,9 contre 12,8 à l’évaluation), suite à quelques soucis physiques.
L’intérieur strasbourgeois revient sur le démarrage délicat de l’équipe qui a entraîné le départ du coach finlandais Henrik Dettmann et le retour de Vincent Collet :
« Ce n’était pas facile. Personnellement je n’ai pas réussi à aider l’équipe autant que j’aurais aimé le faire. Nous n’avions pas Romeo (Travis) au début et par conséquent nous étions un de moins à l’intérieur. J’aurais voulu apporter plus dès le début. En plus, le fait qu’AJ (Slaughter) n’arrive que deux jours avant la reprise ne nous a pas aidé. Il y a plusieurs choses qui expliquent notre mauvais départ, mais une chose est certaine, nous n’étions pas au complet et depuis que nous le sommes nous jouons de mieux en mieux et cela fait aussi la différence. En plus, il ne faut oublier qu’en ProA nous avons joué toutes les meilleures équipes chez elles : Monaco, Nanterre, Chalon, Pau, Le Mans, Gravelines et bientôt Paris aussi ! Le calendrier n’est pas du tout une excuse mais ce n’est pas simple non plus… »
Matt Howard se fait le porte-parole de ses équipiers affirmant que la trêve est la bienvenue même si elle est de courte durée puisque la Basketball Champions League leur impose un match dès mardi contre Tenerife.
« Des gars comme AJ (Slaughter) avec la Pologne, Erik (Murphy) avec la Finlande ou encore Romeo (Travis) avec la Macédoine ont joué cet été et ne se sont pas vraiment reposés. Pour eux, comme pour tout le monde, ça fait du bien de couper un peu. Les petites douleurs de certains s’expliquent aussi à cause ça. Maintenant, malgré cette pause, une chose est certaine, l’équipe est heureuse de revenir à la salle et de se concentrer sur le prochain match qui sera très important ! »", "comment_id":"387345", "plaintext":"Sur son site, la SIG donne la parole à Matt Howard (2,03m, 27 ans) dont les performances sont un peu en baisse vis à vis de la saison dernière (8,9 contre 12,8 à l’évaluation), suite à quelques soucis physiques.\n\nL’intérieur strasbourgeois revient sur le démarrage délicat de l’équipe qui a entraîné le départ du coach finlandais Henrik Dettmann et le retour de Vincent Collet :\n\n« Ce n’était pas facile. Personnellement je n’ai pas réussi à aider l’équipe autant que j’aurais aimé le faire. Nous n’avions pas Romeo (Travis) au début et par conséquent nous étions un de moins à l’intérieur. J’aurais voulu apporter plus dès le début. En plus, le fait qu’AJ (Slaughter) n’arrive que deux jours avant la reprise ne nous a pas aidé. Il y a plusieurs choses qui expliquent notre mauvais départ, mais une chose est certaine, nous n’étions pas au complet et depuis que nous le sommes nous jouons de mieux en mieux et cela fait aussi la différence. En plus, il ne faut oublier qu’en ProA nous avons joué toutes les meilleures équipes chez elles : Monaco, Nanterre, Chalon, Pau, Le Mans, Gravelines et bientôt Paris aussi ! Le calendrier n’est pas du tout une excuse mais ce n’est pas simple non plus… »\n\nMatt Howard se fait le porte-parole de ses équipiers affirmant que la trêve est la bienvenue même si elle est de courte durée puisque la Basketball Champions League leur impose un match dès mardi contre Tenerife.\n\n« Des gars comme AJ (Slaughter) avec la Pologne, Erik (Murphy) avec la Finlande ou encore Romeo (Travis) avec la Macédoine ont joué cet été et ne se sont pas vraiment reposés. Pour eux, comme pour tout le monde, ça fait du bien de couper un peu. Les petites douleurs de certains s’expliquent aussi à cause ça. Maintenant, malgré cette pause, une chose est certaine, l’équipe est heureuse de revenir à la salle et de se concentrer sur le prochain match qui sera très important ! »", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-31T16:47:26.000Z", "updated_at":"2016-12-31T16:47:26.000Z", "published_at":"2016-12-31T16:47:26.000Z", "custom_excerpt":"Sur son site, la SIG donne la parole à Matt Howard (2,03m, 27 ans) dont les performances sont un peu en baisse vis à vis de la saison dernière (8,9 contre 12,8 à l’évaluation), suite à quelques soucis physiques.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8f5", "uuid":"5b996a2e-3a0e-4d8c-936e-362a3c138d62", "title":"Erik Rush de retour en Italie", "slug":"erik-rush-de-retour-en-italie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/erik1-1.jpg\",\"width\":650,\"height\":300}],[\"html\",{\"html\":\"
Photo : JL Bourg Basket
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Quelques jours après son départ de Bourg-en-Bresse, Erik Rush (1,96 m, 28 ans) vient de retrouver un nouveau job.
Et c’est en Italie, un pays qu’il connaît bien, qu’on le retrouvera pour cette deuxième partie de saison. Dernier de son groupe Est de deuxième division avec seulement deux victoires pour treize défaites, Recanati accueille l’ancien burgien.
Il fera équipe avec l’ex villeurbannais Travis Bader.
Après Varese, Reggio Calabria et Bondi Ferrara, ce sera donc le quatrième club italien pour l’Américano-Suédois.
Pour rappel, vu dans l’Ain le temps de 9 matchs de championnat Pro B, l’ailier n’avait pas fait d’étincelles pour sa découverte de la France en compilant 6,1 points à 48,1% aux tirs, (13,3% à 3-points), 2,8 rebonds et 2 passes pour 6,4 d’évaluation en 17 minutes.
Photo : JL Bourg Basket
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Après avoir passé ses neuf premières saisons de joueur de professionnel en France, Andrew Albicy a décidé à l’intersaison de faire le grand saut vers l’étranger en se dirigeant vers Andorre pour évoluer dans le fameux championnat espagnol.
Quatorze matchs de Liga Endesa plus tard, celui qui a battu le record de passes décisives sur un All Star Game LNB en 2015 avec 21 assists -l’ancien record appartenait à Taylor Rochestie auteur de 16 caviars en 2011- est meilleur passeur d’ACB et il est seulement devancé d’une courte tête par Facundo Campazzo pour les interceptions (1,8 pour Albicy contre 2 pour Campazzo).
Premier temps de jeu du Morabanc Andorra avec ses 28 minutes passées sur le parquet par match, l’ancien meneur du Paris-Levallois a notamment parfaitement contribué à la très belle victoire de son équipe face au FC Barcelone le 11 décembre -une première depuis l’arrivée d’Andorre en ACB- en compilant 15 points, 2 rebonds et 7 passes décisives (18 d’éval).
Pratiquement à la mi-saison, le Morabanc Andorra pointe à la 8e place du classement de Liga Endesa (8v-6d) et l’ancien joueur du BCM Gravelines-Dunkerque, qui a agréablement accepté de répondre à nos questions il y a quelques jours, enregistre des moyennes de 8,6 points, 1,8 interception et 7,1 assists de moyenne pour une évaluation de 12,1.
Photo : Morabanc Andorra
", "comment_id":"387316", "plaintext":"Après avoir passé ses neuf premières saisons de joueur de professionnel en France, Andrew Albicy a décidé à l’intersaison de faire le grand saut vers l’étranger en se dirigeant vers Andorre pour évoluer dans le fameux championnat espagnol.\n\nQuatorze matchs de Liga Endesa plus tard, celui qui a battu le record de passes décisives sur un All Star Game LNB en 2015 avec 21 assists -l’ancien record appartenait à Taylor Rochestie auteur de 16 caviars en 2011- est meilleur passeur d’ACB et il est seulement devancé d’une courte tête par Facundo Campazzo pour les interceptions (1,8 pour Albicy contre 2 pour Campazzo).\n\nPremier temps de jeu du Morabanc Andorra avec ses 28 minutes passées sur le parquet par match, l’ancien meneur du Paris-Levallois a notamment parfaitement contribué à la très belle victoire de son équipe face au FC Barcelone le 11 décembre -une première depuis l’arrivée d’Andorre en ACB- en compilant 15 points, 2 rebonds et 7 passes décisives (18 d’éval).\n\nPratiquement à la mi-saison, le Morabanc Andorra pointe à la 8e place du classement de Liga Endesa (8v-6d) et l’ancien joueur du BCM Gravelines-Dunkerque, qui a agréablement accepté de répondre à nos questions il y a quelques jours, enregistre des moyennes de 8,6 points, 1,8 interception et 7,1 assists de moyenne pour une évaluation de 12,1.\n\nPhoto : Morabanc Andorra", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-31T14:44:43.000Z", "updated_at":"2016-12-31T16:29:02.000Z", "published_at":"2016-12-31T14:44:43.000Z", "custom_excerpt":"Après avoir passé ses neuf premières saisons de joueur de professionnel en France, Andrew Albicy a décidé à l’intersaison de faire le grand saut vers l’étranger en se dirigeant vers Andorre pour évoluer dans le fameux championnat espagnol.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8f7", "uuid":"0ad648be-921f-4e0c-9b7c-8b37c64a5476", "title":"Turquie : Thomas Heurtel termine l’année meilleur passeur et meilleur intercepteur", "slug":"turquie-thomas-heurtel-termine-lannee-meilleur-passeur-et-meilleur-intercepteur", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/thomas-heurtel-celebrates-anadolu-efes-istanbul-eb16.jpg\",\"width\":800,\"height\":586}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Dans sa deuxième saison avec l’Anadolu Efes, Thomas Heurtel montre toute l’étendue de son talent en frôlant le double-double de moyenne dans l’un des meilleurs championnats européens.
Après neuf matchs de première division turque, l’international français est tout simplement numéro un aux passes décisives ainsi qu’aux interceptions. Avec 9 caviars de moyenne, il devance largement Jordan Theodore qui délivre « seulement » 6,9 assists par partie en TBL.
Pour ce qui est des interceptions, l’ancien meneur du Baskonia vole en moyenne 2,2 ballons par match tandis qu’Osiris Eldridge, son dauphin au classement, récupère 2 ballons par match.
Après douze matchs de championnat, l’Anadolu Efes pointe à la 2e place du classement (11v-1d) juste derrière Banvit qui possède un match d’avance (10v-3d).
Photo : Euroleague
", "comment_id":"387331", "plaintext":"Dans sa deuxième saison avec l’Anadolu Efes, Thomas Heurtel montre toute l’étendue de son talent en frôlant le double-double de moyenne dans l’un des meilleurs championnats européens.\n\nAprès neuf matchs de première division turque, l’international français est tout simplement numéro un aux passes décisives ainsi qu’aux interceptions. Avec 9 caviars de moyenne, il devance largement Jordan Theodore qui délivre « seulement » 6,9 assists par partie en TBL.\n\nPour ce qui est des interceptions, l’ancien meneur du Baskonia vole en moyenne 2,2 ballons par match tandis qu’Osiris Eldridge, son dauphin au classement, récupère 2 ballons par match.\n\nAprès douze matchs de championnat, l’Anadolu Efes pointe à la 2e place du classement (11v-1d) juste derrière Banvit qui possède un match d’avance (10v-3d).\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-31T14:19:36.000Z", "updated_at":"2016-12-31T15:11:16.000Z", "published_at":"2016-12-31T14:19:36.000Z", "custom_excerpt":"Dans sa deuxième saison avec l’Anadolu Efes, Thomas Heurtel montre toute l’étendue de son talent en frôlant le double-double de moyenne dans l’un des meilleurs championnats européens.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8f8", "uuid":"1362d927-2447-4348-8917-9657d85c8fd0", "title":"Italie : Yakhouba Diawara à l’essai à Caserte", "slug":"italie-yakhouba-diawara-a-lessai-a-caserte", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/yakhouba-diawara.jpg\",\"width\":800,\"height\":533}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"'joueur/?id=3043\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://www.juvecaserta.it/juvecaserta/2016/12/31/lunedi-si-aggrega-yakouba-diawara/\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sans club depuis qu’il a quitté Limoges à la fin de la saison dernière, \"],[0,[0],1,\"Yakhouba Diawara\"],[0,[],0,\" vient d’obtenir un essai avec la Juvecaserta, comme le rapporte le club italien sur son \"],[0,[1],1,\"site\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Déjà bien connu en Italie pour y avoir effectué une pige en 2006 (Bologne) ainsi que pour y avoir passé quatre saisons complètes entre Brindisi (2010/11), Varese (2011/12 et 2014/15) et Venise (2012/13), l’ancien joueur du Miami Heat va donc tenter d’obtenir un spot pour la fin de saison à Caserte.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Septième du classement de première division italienne, la formation coachée par Sandro Dell’Agnello compte 7 victoires et 6 défaites.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Luigi Guastaferro, le Général Manager de la Juvecaserta s’est exprimé sur cette arrivée.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Nous enregistrons l’arrivée de « Kuba » pour les entraînements. Il était déjà en Italie et, par conséquent, nous avons saisi cette occasion pour le voir quelques jours. Sur les qualités du joueur, il ne fait aucun doute mais nous allons voir si nous pouvons lui offrir quelque chose de concret. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La saison dernière en Pro A, « Le Yak » compilait en moyenne 5,6 points et 3,1 rebonds pour une évaluation de 4,6 par match.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/yakhouba-diawara.jpg\")
Sans club depuis qu’il a quitté Limoges à la fin de la saison dernière, Yakhouba Diawara vient d’obtenir un essai avec la Juvecaserta, comme le rapporte le club italien sur son site.
Déjà bien connu en Italie pour y avoir effectué une pige en 2006 (Bologne) ainsi que pour y avoir passé quatre saisons complètes entre Brindisi (2010/11), Varese (2011/12 et 2014/15) et Venise (2012/13), l’ancien joueur du Miami Heat va donc tenter d’obtenir un spot pour la fin de saison à Caserte.
Septième du classement de première division italienne, la formation coachée par Sandro Dell’Agnello compte 7 victoires et 6 défaites.
Luigi Guastaferro, le Général Manager de la Juvecaserta s’est exprimé sur cette arrivée.
« Nous enregistrons l’arrivée de « Kuba » pour les entraînements. Il était déjà en Italie et, par conséquent, nous avons saisi cette occasion pour le voir quelques jours. Sur les qualités du joueur, il ne fait aucun doute mais nous allons voir si nous pouvons lui offrir quelque chose de concret. »
La saison dernière en Pro A, « Le Yak » compilait en moyenne 5,6 points et 3,1 rebonds pour une évaluation de 4,6 par match.
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Il y a malgré tout une forme de pression qui s’installe en eux. Parfois, eux, ils le dénient mais je sais très bien que lorsqu’on est athlète de haut niveau, à un moment donné la performance collective passe par sa propre performance et elle va être attestée parce que tel ou tel scout ou agent va à un moment donné prendre contact. Il y a plein de choses pour ces garçons qui d’une manière invisible sont présentes.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"« Parfois, il y a un ou deux scouts NBA qui se renseignent sur tel ou tel joueur. C’est souvent en aparté, suite à un match, dans un couloir »\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Ont-ils des contacts directs avec des scouts ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pas quand ils sont avec nous, pas durant le tournoi, mais par la suite, oui. Et puis les générations se parlent entre eux. 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Ce sont des garçons qui sont énormément observés.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Avez-vous été surpris par la maîtrise technique et émotionnelle de Frank Ntilikina ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il n’était pas comme ça au début puisqu’il est arrivé malade, grippé. Il suffit de regarder les matches, les uns après les autres. Il a été plus fort à la fin qu’il ne l’a été au début, une fois qu’il a évacué la pression de l’enjeu. C’est quelque chose d’important.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"« Sekou n’a pas pris ce championnat d’Europe avec distance mais une forme d’insouciance liée à son âge »\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"Avez-vous déjà observé un \"],[0,[3],1,\"joueur aussi avancé\"],[0,[],1,\" que Sekou Doumbouya au même âge ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A ce niveau là, de taille, de physique, de talent basket, même s’il lui manque un peu de constance notamment à trois-points, à cet âge là, non. Et puis il a avec lui cette forme d’insouciance liée à son âge. C’est lui qui subissait le moins de pression. Il fait plus jeune que les autres dans son état d’esprit, dans sa fraîcheur. Sekou n’a pas pris ce championnat d’Europe avec distance mais une forme d’insouciance liée à son âge. Il était là pour jouer au basket car il aime ça. Il était naturel, il s’est exprimé à fond que ce soit pour un match du championnat d’Europe comme pour un match au Centre Fédéral.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Quels sont les secteurs où il peut le plus progresser ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il peut shooter à trois-points, il a des qualités pour ça mais il faut qu’il soit plus constant. Ça voudrait dire qu’il est capable de porter le danger très loin aussi bien que très près, par exemple par du post up, de monter la balle. A un moment donné pour gagner les matches, il a fallu que je le fasse jouer 4. Avec Digue Diawara, on avait mis en place un principe de poste 4-3 en fonction de l’adversaire. Ces deux garçons, en particulier Sekou, comprenaient très bien la manière dont on voulait jouer. Bien sûr, il a tout à parfaire à valider, c’est un garçon de seize ans. Il ne faut pas dire qu’il a tout aujourd’hui, il y a des choses à corriger, mais il a tout potentiellement, une forme d’adresse naturelle qui reste à exploiter dans la constance. Il ne faut plus qu’il passe d’un 4/7 à trois-points à 0/6. Et bien sûr il faut qu’il travaille sa technique comme n’importe quel pianiste doit travailler ses gammes, dans la conduite de balle, même défensivement, mais il n’a que seize ans et un peu de temps devant lui.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Certains joueurs ont donc fait beaucoup de progrès du fait de s’entraîner et parfois de jouer avec les pros ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cela a été un de mes premiers constats. Ils ont gagné sur le plan de la structure de jeu, de sa maîtrise. Le fait pour une grande partie d’entre eux qu’ils se soient entraînés avec des pros quasiment à temps complet depuis septembre leur a permis de mieux aborder le jeu car ils vivent ça au quotidien. Quand vous faites un entraînement et que vous mettez en place une situation, ils l’ont déjà vécu avec les pros, donc c’est vite assimilé. Leur GPS basket a nettement évolué au contact des pros et d’entraîneurs pros. C’est un acquis non négligeable qui nous a permis de compenser un peu ce manque de préparation. Deuxièmement, ça leur a donné davantage de confiance en eux. Quand après s’être entraîné tous les jours avec des séniors, on retourne dans sa catégorie d’âge, ça donne une forme d’assurance. L’apport des clubs pros a été très, très bénéfique.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"« Ils vont devenir plus denses, plus costauds, ils vont aller encore plus vite »\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"On aime bien comparer les générations. Vous avez eu celle de Nicolas Batum. Peut-on les comparer ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je les ai vus dans la détection et on a été jusqu’au titre de champion d’Europe cadets avec eux. J’étais l’assistant de Lucien Legrand à l’époque. Je ne les ai pas suivis quand ils sont passés juniors mais par rapport à cadets, c’est la maturité. Quand on est cadets, on sort d’un championnat de France de la catégorie. Je me souviens que l’on avait intégré très tardivement Batum et Moerman. Il ne faut pas oublier que la génération des 89 avec Antoine Diot était aussi vraiment sympa, elle avait fait une finale cadets après avoir sorti l’Espagne avec un certain Rubio chez elle en poule. Là, ce sont donc des garçons qui s’entraînent avec des pros, c’est difficilement comparable. Par contre dans l’état d’esprit, dans l’engagement, dans l’écoute, je retrouve les mêmes choses.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Ils paraissent physiquement solides…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ils sont bien avancés physiquement. En terme de préparation physique, il y a un travail qui est fait un peu partout et on en tire forcément les bénéfices sur cette catégorie d’âge. Mais je pense qu’il y a encore beaucoup de travail à faire et je ne pense pas qu’ils vont s’arrêter en chemin. Sekou, Frank, surtout Digue Diawara, je pense que ce sont des garçons qui vont encore évoluer physiquement au regard des qualités qu’ils ont déjà actuellement. Ils vont devenir plus denses, plus costauds, ils vont aller encore plus vite. Je crois beaucoup qu’à partir des progrès qu’ils vont faire physiquement, ils vont encore mieux exploiter leurs qualités techniques et avoir un meilleur rendement. C’est pour ça que dans le discours adressé aux tout meilleurs, j’ai dit « travailler… Les JO de 2020 ne sont pas loin, qui sait avoir un strapontin… Et en 2024, ça sera vous. C’est dès maintenant qu’il faut se préparer. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"En attendant, il y aura le Mondial l’été prochain au Caire. Vous n’êtes pas sûr d’avoir tout le monde. Certains comme Frank Ntilikina pourraient déjà entrer à la draft ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui. On va étudier ça au cas par cas. Le DTN a décidé de nous réunir en janvier sur toutes les équipes de France. On a d’ailleurs très régulièrement des réunions entre tous les staffs pour parler de chacun des joueurs. On a un projet qui est quasiment individualisé, on se renseigne sur chacun des jeunes, leur potentiel. Certains U18 peuvent être avec les U19, il y a plein de questions que l’on se pose et on le fait dans la continuité de notre fonctionnement pour essayé d’avoir quelque chose de cohérent dans le temps.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"De fait, il ne faut pas oublier qu’il y a un championnat d’Europe U18 l’année où il y a un Mondial U19…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et aussi un championnat d’Europe U20. Il ne faut pas solliciter les jeunes plus que trop. Il faut trouver le bon engagement de chacun. Certains jeunes peuvent faire deux compétitions le même été et bien sûr pas les deux préparations. Les deux équipes vont travailler en cohérence pour que le garçon intègre tout de suite l’Euro comme Frank l’a fait là. On n’est pas des adeptes forcenés du doublement des compétitions. C’est déjà assez lourd pour eux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Et eux ont envie de se retrouver au Mondial U19 ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je pense qu’ils ont envie de le faire tous ensemble. C’est un super challenge, une très belle compétition. Mais vous avez les engagements des uns et des autres, essentiellement par rapport à la draft, peut-être à autre chose. Je ne maîtrise pas leur emploi du temps et leur fonctionnement avec leur agent. De toute façon, ça sera en concertation avec tout le monde.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/eurou18.jpg\")
Après nous avoir raconté l’Euro U18 de l’intérieur, le coach Tahar Assed-Liegeon nous parle des Bleuets et de leurs deux leaders, Frank Ntilikina, le MVP de la compétition, et Sekou Doumbouya élu dans le cinq all-stars à 16 ans.
Les joueurs se sentent-ils observés, sont-ils sensibles au fait que leur prestation peut entraîneur des variations importantes dans leur carrière ?
C’est peut-être ça que l’on ne perçoit pas suffisamment… L’important c’est de dédramatiser l’événement qui est quand même une manière d’être présent sur une compétition majeure de leur âge alors qu’il y a une présence de gens qui peuvent être là pour leur avenir. Il y a malgré tout une forme de pression qui s’installe en eux. Parfois, eux, ils le dénient mais je sais très bien que lorsqu’on est athlète de haut niveau, à un moment donné la performance collective passe par sa propre performance et elle va être attestée parce que tel ou tel scout ou agent va à un moment donné prendre contact. Il y a plein de choses pour ces garçons qui d’une manière invisible sont présentes.
Ont-ils des contacts directs avec des scouts ?
Pas quand ils sont avec nous, pas durant le tournoi, mais par la suite, oui. Et puis les générations se parlent entre eux. Un joueur qui fait un tournoi U18 a rencontré un copain qui a fait un tournoi U18 il y a deux ans et les choses se transmettent.
Avez-vous personnellement des contacts avec ces scouts ?
Parfois, il y a un ou deux scouts NBA qui se renseignent sur tel ou tel joueur. C’est souvent en aparté, suite à un match, dans un couloir. Ça prend cinq ou six minutes. Il n’y a pas de contacts formels organisés.
Avez vous ressenti une hype autour de Frank Ntilikina et Sekou Doumbouya ?
Bien sûr, tout le monde en parlait, que ce soit les coaches adverses ou même les joueurs entre eux. On a deux garçons qui ont crevé l’écran. On les connaît, on sait comment ils peuvent élever leur niveau de jeu à un moment donné. On savait que Frank est un des meilleurs joueurs européens de sa génération et que Sekou est en train d’apparaître depuis qu’il a la nationalité française. Ce sont des garçons qui sont énormément observés.
Avez-vous été surpris par la maîtrise technique et émotionnelle de Frank Ntilikina ?
Il n’était pas comme ça au début puisqu’il est arrivé malade, grippé. Il suffit de regarder les matches, les uns après les autres. Il a été plus fort à la fin qu’il ne l’a été au début, une fois qu’il a évacué la pression de l’enjeu. C’est quelque chose d’important.
Avez-vous déjà observé un joueur aussi avancé que Sekou Doumbouya au même âge ?
A ce niveau là, de taille, de physique, de talent basket, même s’il lui manque un peu de constance notamment à trois-points, à cet âge là, non. Et puis il a avec lui cette forme d’insouciance liée à son âge. C’est lui qui subissait le moins de pression. Il fait plus jeune que les autres dans son état d’esprit, dans sa fraîcheur. Sekou n’a pas pris ce championnat d’Europe avec distance mais une forme d’insouciance liée à son âge. Il était là pour jouer au basket car il aime ça. Il était naturel, il s’est exprimé à fond que ce soit pour un match du championnat d’Europe comme pour un match au Centre Fédéral.
Quels sont les secteurs où il peut le plus progresser ?
Il peut shooter à trois-points, il a des qualités pour ça mais il faut qu’il soit plus constant. Ça voudrait dire qu’il est capable de porter le danger très loin aussi bien que très près, par exemple par du post up, de monter la balle. A un moment donné pour gagner les matches, il a fallu que je le fasse jouer 4. Avec Digue Diawara, on avait mis en place un principe de poste 4-3 en fonction de l’adversaire. Ces deux garçons, en particulier Sekou, comprenaient très bien la manière dont on voulait jouer. Bien sûr, il a tout à parfaire à valider, c’est un garçon de seize ans. Il ne faut pas dire qu’il a tout aujourd’hui, il y a des choses à corriger, mais il a tout potentiellement, une forme d’adresse naturelle qui reste à exploiter dans la constance. Il ne faut plus qu’il passe d’un 4/7 à trois-points à 0/6. Et bien sûr il faut qu’il travaille sa technique comme n’importe quel pianiste doit travailler ses gammes, dans la conduite de balle, même défensivement, mais il n’a que seize ans et un peu de temps devant lui.
Certains joueurs ont donc fait beaucoup de progrès du fait de s’entraîner et parfois de jouer avec les pros ?
Cela a été un de mes premiers constats. Ils ont gagné sur le plan de la structure de jeu, de sa maîtrise. Le fait pour une grande partie d’entre eux qu’ils se soient entraînés avec des pros quasiment à temps complet depuis septembre leur a permis de mieux aborder le jeu car ils vivent ça au quotidien. Quand vous faites un entraînement et que vous mettez en place une situation, ils l’ont déjà vécu avec les pros, donc c’est vite assimilé. Leur GPS basket a nettement évolué au contact des pros et d’entraîneurs pros. C’est un acquis non négligeable qui nous a permis de compenser un peu ce manque de préparation. Deuxièmement, ça leur a donné davantage de confiance en eux. Quand après s’être entraîné tous les jours avec des séniors, on retourne dans sa catégorie d’âge, ça donne une forme d’assurance. L’apport des clubs pros a été très, très bénéfique.
On aime bien comparer les générations. Vous avez eu celle de Nicolas Batum. Peut-on les comparer ?
Je les ai vus dans la détection et on a été jusqu’au titre de champion d’Europe cadets avec eux. J’étais l’assistant de Lucien Legrand à l’époque. Je ne les ai pas suivis quand ils sont passés juniors mais par rapport à cadets, c’est la maturité. Quand on est cadets, on sort d’un championnat de France de la catégorie. Je me souviens que l’on avait intégré très tardivement Batum et Moerman. Il ne faut pas oublier que la génération des 89 avec Antoine Diot était aussi vraiment sympa, elle avait fait une finale cadets après avoir sorti l’Espagne avec un certain Rubio chez elle en poule. Là, ce sont donc des garçons qui s’entraînent avec des pros, c’est difficilement comparable. Par contre dans l’état d’esprit, dans l’engagement, dans l’écoute, je retrouve les mêmes choses.
Ils paraissent physiquement solides…
Ils sont bien avancés physiquement. En terme de préparation physique, il y a un travail qui est fait un peu partout et on en tire forcément les bénéfices sur cette catégorie d’âge. Mais je pense qu’il y a encore beaucoup de travail à faire et je ne pense pas qu’ils vont s’arrêter en chemin. Sekou, Frank, surtout Digue Diawara, je pense que ce sont des garçons qui vont encore évoluer physiquement au regard des qualités qu’ils ont déjà actuellement. Ils vont devenir plus denses, plus costauds, ils vont aller encore plus vite. Je crois beaucoup qu’à partir des progrès qu’ils vont faire physiquement, ils vont encore mieux exploiter leurs qualités techniques et avoir un meilleur rendement. C’est pour ça que dans le discours adressé aux tout meilleurs, j’ai dit « travailler… Les JO de 2020 ne sont pas loin, qui sait avoir un strapontin… Et en 2024, ça sera vous. C’est dès maintenant qu’il faut se préparer. »
En attendant, il y aura le Mondial l’été prochain au Caire. Vous n’êtes pas sûr d’avoir tout le monde. Certains comme Frank Ntilikina pourraient déjà entrer à la draft ?
Oui. On va étudier ça au cas par cas. Le DTN a décidé de nous réunir en janvier sur toutes les équipes de France. On a d’ailleurs très régulièrement des réunions entre tous les staffs pour parler de chacun des joueurs. On a un projet qui est quasiment individualisé, on se renseigne sur chacun des jeunes, leur potentiel. Certains U18 peuvent être avec les U19, il y a plein de questions que l’on se pose et on le fait dans la continuité de notre fonctionnement pour essayé d’avoir quelque chose de cohérent dans le temps.
De fait, il ne faut pas oublier qu’il y a un championnat d’Europe U18 l’année où il y a un Mondial U19…
Et aussi un championnat d’Europe U20. Il ne faut pas solliciter les jeunes plus que trop. Il faut trouver le bon engagement de chacun. Certains jeunes peuvent faire deux compétitions le même été et bien sûr pas les deux préparations. Les deux équipes vont travailler en cohérence pour que le garçon intègre tout de suite l’Euro comme Frank l’a fait là. On n’est pas des adeptes forcenés du doublement des compétitions. C’est déjà assez lourd pour eux.
Et eux ont envie de se retrouver au Mondial U19 ?
Je pense qu’ils ont envie de le faire tous ensemble. C’est un super challenge, une très belle compétition. Mais vous avez les engagements des uns et des autres, essentiellement par rapport à la draft, peut-être à autre chose. Je ne maîtrise pas leur emploi du temps et leur fonctionnement avec leur agent. De toute façon, ça sera en concertation avec tout le monde.
", "comment_id":"387213", "plaintext":"Après nous avoir raconté l’Euro U18 de l’intérieur, le coach Tahar Assed-Liegeon nous parle des Bleuets et de leurs deux leaders, Frank Ntilikina, le MVP de la compétition, et Sekou Doumbouya élu dans le cinq all-stars à 16 ans.\n\nLes joueurs se sentent-ils observés, sont-ils sensibles au fait que leur prestation peut entraîneur des variations importantes dans leur carrière ?\n\nC’est peut-être ça que l’on ne perçoit pas suffisamment… L’important c’est de dédramatiser l’événement qui est quand même une manière d’être présent sur une compétition majeure de leur âge alors qu’il y a une présence de gens qui peuvent être là pour leur avenir. Il y a malgré tout une forme de pression qui s’installe en eux. Parfois, eux, ils le dénient mais je sais très bien que lorsqu’on est athlète de haut niveau, à un moment donné la performance collective passe par sa propre performance et elle va être attestée parce que tel ou tel scout ou agent va à un moment donné prendre contact. Il y a plein de choses pour ces garçons qui d’une manière invisible sont présentes.\n\n\n« Parfois, il y a un ou deux scouts NBA qui se renseignent sur tel ou tel joueur. C’est souvent en aparté, suite à un match, dans un couloir »\n\nOnt-ils des contacts directs avec des scouts ?\n\nPas quand ils sont avec nous, pas durant le tournoi, mais par la suite, oui. Et puis les générations se parlent entre eux. Un joueur qui fait un tournoi U18 a rencontré un copain qui a fait un tournoi U18 il y a deux ans et les choses se transmettent.\n\nAvez-vous personnellement des contacts avec ces scouts ?\n\nParfois, il y a un ou deux scouts NBA qui se renseignent sur tel ou tel joueur. C’est souvent en aparté, suite à un match, dans un couloir. Ça prend cinq ou six minutes. Il n’y a pas de contacts formels organisés.\n\nAvez vous ressenti une hype autour de Frank Ntilikina et Sekou Doumbouya ?\n\nBien sûr, tout le monde en parlait, que ce soit les coaches adverses ou même les joueurs entre eux. On a deux garçons qui ont crevé l’écran. On les connaît, on sait comment ils peuvent élever leur niveau de jeu à un moment donné. On savait que Frank est un des meilleurs joueurs européens de sa génération et que Sekou est en train d’apparaître depuis qu’il a la nationalité française. Ce sont des garçons qui sont énormément observés.\n\nAvez-vous été surpris par la maîtrise technique et émotionnelle de Frank Ntilikina ?\n\nIl n’était pas comme ça au début puisqu’il est arrivé malade, grippé. Il suffit de regarder les matches, les uns après les autres. Il a été plus fort à la fin qu’il ne l’a été au début, une fois qu’il a évacué la pression de l’enjeu. C’est quelque chose d’important.\n\n\n« Sekou n’a pas pris ce championnat d’Europe avec distance mais une forme d’insouciance liée à son âge »\n\nAvez-vous déjà observé un joueur aussi avancé que Sekou Doumbouya au même âge ?\n\nA ce niveau là, de taille, de physique, de talent basket, même s’il lui manque un peu de constance notamment à trois-points, à cet âge là, non. Et puis il a avec lui cette forme d’insouciance liée à son âge. C’est lui qui subissait le moins de pression. Il fait plus jeune que les autres dans son état d’esprit, dans sa fraîcheur. Sekou n’a pas pris ce championnat d’Europe avec distance mais une forme d’insouciance liée à son âge. Il était là pour jouer au basket car il aime ça. Il était naturel, il s’est exprimé à fond que ce soit pour un match du championnat d’Europe comme pour un match au Centre Fédéral.\n\nQuels sont les secteurs où il peut le plus progresser ?\n\nIl peut shooter à trois-points, il a des qualités pour ça mais il faut qu’il soit plus constant. Ça voudrait dire qu’il est capable de porter le danger très loin aussi bien que très près, par exemple par du post up, de monter la balle. A un moment donné pour gagner les matches, il a fallu que je le fasse jouer 4. Avec Digue Diawara, on avait mis en place un principe de poste 4-3 en fonction de l’adversaire. Ces deux garçons, en particulier Sekou, comprenaient très bien la manière dont on voulait jouer. Bien sûr, il a tout à parfaire à valider, c’est un garçon de seize ans. Il ne faut pas dire qu’il a tout aujourd’hui, il y a des choses à corriger, mais il a tout potentiellement, une forme d’adresse naturelle qui reste à exploiter dans la constance. Il ne faut plus qu’il passe d’un 4/7 à trois-points à 0/6. Et bien sûr il faut qu’il travaille sa technique comme n’importe quel pianiste doit travailler ses gammes, dans la conduite de balle, même défensivement, mais il n’a que seize ans et un peu de temps devant lui.\n\nCertains joueurs ont donc fait beaucoup de progrès du fait de s’entraîner et parfois de jouer avec les pros ?\n\nCela a été un de mes premiers constats. Ils ont gagné sur le plan de la structure de jeu, de sa maîtrise. Le fait pour une grande partie d’entre eux qu’ils se soient entraînés avec des pros quasiment à temps complet depuis septembre leur a permis de mieux aborder le jeu car ils vivent ça au quotidien. Quand vous faites un entraînement et que vous mettez en place une situation, ils l’ont déjà vécu avec les pros, donc c’est vite assimilé. Leur GPS basket a nettement évolué au contact des pros et d’entraîneurs pros. C’est un acquis non négligeable qui nous a permis de compenser un peu ce manque de préparation. Deuxièmement, ça leur a donné davantage de confiance en eux. Quand après s’être entraîné tous les jours avec des séniors, on retourne dans sa catégorie d’âge, ça donne une forme d’assurance. L’apport des clubs pros a été très, très bénéfique.\n\n\n« Ils vont devenir plus denses, plus costauds, ils vont aller encore plus vite »\n\nOn aime bien comparer les générations. Vous avez eu celle de Nicolas Batum. Peut-on les comparer ?\n\nJe les ai vus dans la détection et on a été jusqu’au titre de champion d’Europe cadets avec eux. J’étais l’assistant de Lucien Legrand à l’époque. Je ne les ai pas suivis quand ils sont passés juniors mais par rapport à cadets, c’est la maturité. Quand on est cadets, on sort d’un championnat de France de la catégorie. Je me souviens que l’on avait intégré très tardivement Batum et Moerman. Il ne faut pas oublier que la génération des 89 avec Antoine Diot était aussi vraiment sympa, elle avait fait une finale cadets après avoir sorti l’Espagne avec un certain Rubio chez elle en poule. Là, ce sont donc des garçons qui s’entraînent avec des pros, c’est difficilement comparable. Par contre dans l’état d’esprit, dans l’engagement, dans l’écoute, je retrouve les mêmes choses.\n\nIls paraissent physiquement solides…\n\nIls sont bien avancés physiquement. En terme de préparation physique, il y a un travail qui est fait un peu partout et on en tire forcément les bénéfices sur cette catégorie d’âge. Mais je pense qu’il y a encore beaucoup de travail à faire et je ne pense pas qu’ils vont s’arrêter en chemin. Sekou, Frank, surtout Digue Diawara, je pense que ce sont des garçons qui vont encore évoluer physiquement au regard des qualités qu’ils ont déjà actuellement. Ils vont devenir plus denses, plus costauds, ils vont aller encore plus vite. Je crois beaucoup qu’à partir des progrès qu’ils vont faire physiquement, ils vont encore mieux exploiter leurs qualités techniques et avoir un meilleur rendement. C’est pour ça que dans le discours adressé aux tout meilleurs, j’ai dit « travailler… Les JO de 2020 ne sont pas loin, qui sait avoir un strapontin… Et en 2024, ça sera vous. C’est dès maintenant qu’il faut se préparer. »\n\nEn attendant, il y aura le Mondial l’été prochain au Caire. Vous n’êtes pas sûr d’avoir tout le monde. Certains comme Frank Ntilikina pourraient déjà entrer à la draft ?\n\nOui. On va étudier ça au cas par cas. Le DTN a décidé de nous réunir en janvier sur toutes les équipes de France. On a d’ailleurs très régulièrement des réunions entre tous les staffs pour parler de chacun des joueurs. On a un projet qui est quasiment individualisé, on se renseigne sur chacun des jeunes, leur potentiel. Certains U18 peuvent être avec les U19, il y a plein de questions que l’on se pose et on le fait dans la continuité de notre fonctionnement pour essayé d’avoir quelque chose de cohérent dans le temps.\n\nDe fait, il ne faut pas oublier qu’il y a un championnat d’Europe U18 l’année où il y a un Mondial U19…\n\nEt aussi un championnat d’Europe U20. Il ne faut pas solliciter les jeunes plus que trop. Il faut trouver le bon engagement de chacun. Certains jeunes peuvent faire deux compétitions le même été et bien sûr pas les deux préparations. Les deux équipes vont travailler en cohérence pour que le garçon intègre tout de suite l’Euro comme Frank l’a fait là. On n’est pas des adeptes forcenés du doublement des compétitions. C’est déjà assez lourd pour eux.\n\nEt eux ont envie de se retrouver au Mondial U19 ?\n\nJe pense qu’ils ont envie de le faire tous ensemble. C’est un super challenge, une très belle compétition. Mais vous avez les engagements des uns et des autres, essentiellement par rapport à la draft, peut-être à autre chose. Je ne maîtrise pas leur emploi du temps et leur fonctionnement avec leur agent. De toute façon, ça sera en concertation avec tout le monde.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-31T11:22:00.000Z", "updated_at":"2017-01-04T10:46:21.000Z", "published_at":"2016-12-31T11:22:00.000Z", "custom_excerpt":"Après nous avoir raconté l’Euro U18 de l’intérieur, le coach Tahar Assed-Liegeon nous parle des Bleuets et de leurs deux leaders, Frank Ntilikina, le MVP de la compétition, et Sekou Doumbouya élu dans le cinq all-stars à 16 ans.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8fa", "uuid":"37835b2d-f275-407a-a31f-a5f0034aab20", "title":"Olympiakos : Vassilis Spanoulis absent dix jours", "slug":"olympiakos-vassilis-spanoulis-absent-dix-jours", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/vassilis-spanoulis-olympiacos-piraeus-eb16.jpg\",\"width\":800,\"height\":516}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Touché à l’aine dans la première mi-temps du match face au Fenerbahce, remporté par les Grecs (71-62), Vassilis Spanoulis a dû sortir sur blessure et devrait donc être indisponible dix jours, comme le rapporte Eurohoops.
Même s’il a effectué son retour en deuxième mi-temps, le meneur grec va tout de même devoir prendre quelques jours de repos et il est probable qu’il manque le choc face au Panathinaïkos prévu le 6 janvier dans le cadre de la 16e journée d’Euroleague.
Cette saison, l’ancien international grec tourne en moyenne à 13,3 points, 2 rebonds et 6,5 passes décisives pour une évaluation de 13,1 par match en C1.
Photo : Euroleague
", "comment_id":"387287", "plaintext":"Touché à l’aine dans la première mi-temps du match face au Fenerbahce, remporté par les Grecs (71-62), Vassilis Spanoulis a dû sortir sur blessure et devrait donc être indisponible dix jours, comme le rapporte Eurohoops.\n\nMême s’il a effectué son retour en deuxième mi-temps, le meneur grec va tout de même devoir prendre quelques jours de repos et il est probable qu’il manque le choc face au Panathinaïkos prévu le 6 janvier dans le cadre de la 16e journée d’Euroleague.\n\nCette saison, l’ancien international grec tourne en moyenne à 13,3 points, 2 rebonds et 6,5 passes décisives pour une évaluation de 13,1 par match en C1.\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-31T11:04:40.000Z", "updated_at":"2016-12-31T10:15:34.000Z", "published_at":"2016-12-31T11:04:40.000Z", "custom_excerpt":"Touché à l’aine dans la première mi-temps du match face au Fenerbahce, remporté par les Grecs (71-62), Vassilis Spanoulis a dû sortir sur blessure et devrait donc être indisponible dix jours, comme le rapporte Eurohoops.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8fb", "uuid":"2206a9c7-2a32-421c-b26b-195c623998a5", "title":"Euroleague : record de points en carrière pour Nick Calathes", "slug":"euroleague-record-de-points-en-carriere-pour-nick-calathes", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/nick-calathes-panathinaikos-superfoods-athens-eb16-1.jpg\",\"width\":800,\"height\":542}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/4bvVIT0CsQo\",\"html\":\"\"}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Vendredi soir, dans la très courte défaite du Panathinaïkos face à Kazan (83-81), Nick Calathes a tout simplement enregistré son record de points en carrière en Euroleague.
Avec 23 points, l’ancien meneur des Memphis Grizzlies a battu son précédent record qui était de 18 points. Avec 15 unités à la mi-temps ce n’était qu’une formalité pour le natif de Casselberry.
Cette saison en Euroleague, l’ancien meneur du Lokomotiv Kuban compile en moyenne 14,2 points, 5 rebonds et 6,8 assists par match pour une évaluation de 19,1.
Photo : Euroleague
", "comment_id":"387283", "plaintext":"Vendredi soir, dans la très courte défaite du Panathinaïkos face à Kazan (83-81), Nick Calathes a tout simplement enregistré son record de points en carrière en Euroleague.\n\nAvec 23 points, l’ancien meneur des Memphis Grizzlies a battu son précédent record qui était de 18 points. Avec 15 unités à la mi-temps ce n’était qu’une formalité pour le natif de Casselberry.\n\nCette saison en Euroleague, l’ancien meneur du Lokomotiv Kuban compile en moyenne 14,2 points, 5 rebonds et 6,8 assists par match pour une évaluation de 19,1.\n\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-31T10:42:52.000Z", "updated_at":"2016-12-31T10:13:26.000Z", "published_at":"2016-12-31T10:42:52.000Z", "custom_excerpt":"Vendredi soir, dans la très courte défaite du Panathinaïkos face à Kazan (83-81), Nick Calathes a tout simplement enregistré son record de points en carrière en Euroleague.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8fc", "uuid":"2067be44-3be6-49e2-9485-d784c7842e12", "title":"Espagne : Edwin Jackson termine l’année meilleur marqueur et deuxième à l’évaluation", "slug":"espagne-edwin-jackson-termine-lannee-meilleur-marqueur-et-deuxieme-a-levaluation", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/edwin-jackson.jpg\",\"width\":800,\"height\":450}]],\"markups\":[],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le 15 mai 2014, Edwin Jackson (1,90m, 89), alors sous le maillot de Villeurbanne, scorait 44 points face à la Chorale de Roanne, son record personnel, et devenait ainsi le meilleur marqueur de Pro A de la saison ; une performance jamais accompli par un Français depuis Jacques Cachemire en 1975.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Deux ans et demi plus tard, le Palois de naissance accompli un exploit plus grand encore. Après avoir cherché ses marques à Barcelone et Malaga, il se sent comme un poisson dans l’eau à Estudiantes Madrid. Alors que l’année 2016 se termine, le Français est en tête des marqueurs de la meilleure ligue d’Europe, la Lega Endesa, avec 21,5 points/match. Il possède une avance très confortable sur son second, Fancundo Campazzo de Murcie, 15,6 pts.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Seule ombre au tableau, Edwin s’est contenté hier soir de 16 points face à Murcie et son équipe s’est inclinée 91-100. Elle est désormais positionnée à la 15e place –sur 17 équipes- avec 4 victoires et 10 défaites.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Boosté par sa moyenne de points, le Français, qui affiche aussi 3,3 rbds et 3,1 pds, est le second à l’évaluation du championnat avec 20,9 derrière Ante Tomic du Barça, 21,6.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/edwin-jackson.jpg\")
Le 15 mai 2014, Edwin Jackson (1,90m, 89), alors sous le maillot de Villeurbanne, scorait 44 points face à la Chorale de Roanne, son record personnel, et devenait ainsi le meilleur marqueur de Pro A de la saison ; une performance jamais accompli par un Français depuis Jacques Cachemire en 1975.
Deux ans et demi plus tard, le Palois de naissance accompli un exploit plus grand encore. Après avoir cherché ses marques à Barcelone et Malaga, il se sent comme un poisson dans l’eau à Estudiantes Madrid. Alors que l’année 2016 se termine, le Français est en tête des marqueurs de la meilleure ligue d’Europe, la Lega Endesa, avec 21,5 points/match. Il possède une avance très confortable sur son second, Fancundo Campazzo de Murcie, 15,6 pts.
Seule ombre au tableau, Edwin s’est contenté hier soir de 16 points face à Murcie et son équipe s’est inclinée 91-100. Elle est désormais positionnée à la 15e place –sur 17 équipes- avec 4 victoires et 10 défaites.
Boosté par sa moyenne de points, le Français, qui affiche aussi 3,3 rbds et 3,1 pds, est le second à l’évaluation du championnat avec 20,9 derrière Ante Tomic du Barça, 21,6.
", "comment_id":"387296", "plaintext":"Le 15 mai 2014, Edwin Jackson (1,90m, 89), alors sous le maillot de Villeurbanne, scorait 44 points face à la Chorale de Roanne, son record personnel, et devenait ainsi le meilleur marqueur de Pro A de la saison ; une performance jamais accompli par un Français depuis Jacques Cachemire en 1975.\n\nDeux ans et demi plus tard, le Palois de naissance accompli un exploit plus grand encore. Après avoir cherché ses marques à Barcelone et Malaga, il se sent comme un poisson dans l’eau à Estudiantes Madrid. Alors que l’année 2016 se termine, le Français est en tête des marqueurs de la meilleure ligue d’Europe, la Lega Endesa, avec 21,5 points/match. Il possède une avance très confortable sur son second, Fancundo Campazzo de Murcie, 15,6 pts.\n\nSeule ombre au tableau, Edwin s’est contenté hier soir de 16 points face à Murcie et son équipe s’est inclinée 91-100. Elle est désormais positionnée à la 15e place –sur 17 équipes- avec 4 victoires et 10 défaites.\n\nBoosté par sa moyenne de points, le Français, qui affiche aussi 3,3 rbds et 3,1 pds, est le second à l’évaluation du championnat avec 20,9 derrière Ante Tomic du Barça, 21,6.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-31T10:18:09.000Z", "updated_at":"2016-12-31T10:10:48.000Z", "published_at":"2016-12-31T10:18:09.000Z", "custom_excerpt":"Le 15 mai 2014, Edwin Jackson (1,90m, 89), alors sous le maillot de Villeurbanne, scorait 44 points face à la Chorale de Roanne, son record personnel, et devenait ainsi le meilleur marqueur de Pro A de la saison ; une performance jamais accompli par un Français depuis Jacques Cachemire en 1975.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8fd", "uuid":"db73ad3e-488d-43f5-8a0d-260014d04dad", "title":"Revue de presse du 31 décembre 2016", "slug":"revue-de-presse-du-31-decembre-2016", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/09/revue-de-presse.jpg\",\"width\":500,\"height\":308,\"alt\":\"revue-de-presse\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/jsl.jpg\",\"width\":80,\"height\":20,\"alt\":\"JSL\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/logo-le-progres.jpg\",\"width\":80,\"height\":17,\"alt\":\"logo-le-progres\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/la-nouvelle-republique.png\",\"width\":80,\"height\":26,\"alt\":\"la nouvelle republique\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/lalsace.jpg\",\"width\":90,\"height\":17,\"alt\":\"L'Alsace\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/lalsace.jpg\",\"width\":90,\"height\":17,\"alt\":\"L'Alsace\"}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"http://www.lejsl.com/sport-local/2016/12/31/nzeulie-tres-haut-dans-la-nuit\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://www.leprogres.fr/loire/2016/12/31/un-championnat-passionnant-a-souhait\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Sport/Basket/Nationaux/n/Contenus/Articles/2016/12/31/Et-le-coach-est-Rela-!-2954114\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://www.lalsace.fr/haut-rhin/2016/12/31/dessenheim-dans-les-clous\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://www.lalsace.fr/haut-rhin/2016/12/31/les-jeunes-guebwillerois-a-l-heure-americaine\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Nzeulie, très haut dans la nuit\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Jeudi soir, Jérémy Nzeulie a remporté le concours de dunks du All Star Game. 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– Jeudi soir, Jérémy Nzeulie a remporté le concours de dunks du All Star Game. Un concours auquel il ne devait même pas participer… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Après cette treizième journée, seuls Charleville-Mézières et Bourg-en-Bresse, sur un podium bien établi, suivent le train d’enfer mené par le leader… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– La Berrichonne a décidé de faire du neuf avec du vieux en rappelant Jimmy Réla au chevet de l’équipe de N2 après s’être séparée de Régis Racine… Lire la suite.
– Après la brillante promotion à la fin du championnat de Pré nationale de l’ASL Dessenheim en N 3, on était curieux de voir son comportement à ce… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les jeunes basketteurs guebwillerois ont pu profiter de la venue d’un entraîneur américain pour travailler leurs fondamentaux et techniques durant ces… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
", "comment_id":"387294", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nNzeulie, très haut dans la nuit\n\n– Jeudi soir, Jérémy Nzeulie a remporté le concours de dunks du All Star Game. Un concours auquel il ne devait même pas participer… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nUn championnat passionnant à souhait\n\n– Après cette treizième journée, seuls Charleville-Mézières et Bourg-en-Bresse, sur un podium bien établi, suivent le train d’enfer mené par le leader… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nEt le coach est… Réla !\n\n– La Berrichonne a décidé de faire du neuf avec du vieux en rappelant Jimmy Réla au chevet de l’équipe de N2 après s’être séparée de Régis Racine… Lire la suite.\n\n\nDessenheim dans les clous\n\n– Après la brillante promotion à la fin du championnat de Pré nationale de l’ASL Dessenheim en N 3, on était curieux de voir son comportement à ce… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLes jeunes guebwillerois à l’heure américaine\n\n– Les jeunes basketteurs guebwillerois ont pu profiter de la venue d’un entraîneur américain pour travailler leurs fondamentaux et techniques durant ces… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-31T10:07:57.000Z", "updated_at":"2016-12-31T10:07:57.000Z", "published_at":"2016-12-31T10:07:57.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8fe", "uuid":"5905c8dd-4cc8-4473-a4aa-50869d8e9a28", "title":"Pro A : Junior Mbida et Dijon se séparent", "slug":"pro-a-junior-mbida-et-dijon-se-separent", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/junior-mbida.jpg\",\"width\":668,\"height\":445}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : LNB
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Suspendu par le club bourguignon depuis le 21 décembre, Junior Mbida avait été « mis à l’écart du groupe professionnel jusqu’à nouvel ordre ». Aujourd’hui, la JDA rapporte sur son site que d’un commun accord le joueur et le club ont décidé de mettre un terme à leur collaboration.
Signé pour une saison courant juillet après un exercice 2015/16 entre Monaco et Cholet, l’ancien Monégasque n’ira donc pas jusqu’au terme de son contrat.
Avec Dijon, le natif de Yaoundé compilait cette saison 3,2 points et 2,1 rebonds pour une évaluation de 3,5 en 12 minutes de jeu par match.
Photo : LNB
", "comment_id":"387278", "plaintext":"Suspendu par le club bourguignon depuis le 21 décembre, Junior Mbida avait été « mis à l’écart du groupe professionnel jusqu’à nouvel ordre ». Aujourd’hui, la JDA rapporte sur son site que d’un commun accord le joueur et le club ont décidé de mettre un terme à leur collaboration.\n\nSigné pour une saison courant juillet après un exercice 2015/16 entre Monaco et Cholet, l’ancien Monégasque n’ira donc pas jusqu’au terme de son contrat.\n\nAvec Dijon, le natif de Yaoundé compilait cette saison 3,2 points et 2,1 rebonds pour une évaluation de 3,5 en 12 minutes de jeu par match.\n\nPhoto : LNB", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-30T15:59:25.000Z", "updated_at":"2016-12-30T15:48:54.000Z", "published_at":"2016-12-30T15:59:25.000Z", "custom_excerpt":"Suspendu par le club bourguignon depuis le 21 décembre, Junior Mbida avait été « mis à l’écart du groupe professionnel jusqu’à nouvel ordre ». Aujourd’hui, la JDA rapporte sur son site que d’un commun accord le joueur et le club ont décidé de mettre un terme à leur collaboration.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad8ff", "uuid":"fc58c208-b137-4783-928a-9f845218c61d", "title":"NM1 : Justas Sinica en renfort à Caen", "slug":"nm1-justas-sinica-en-renfort-a-caen", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/justas-sinica.jpg\",\"width\":640,\"height\":320}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Le CBC vient d’annoncer sur son site l’arrivée du Lituanien Justas Sinica (31 ans, 2,03m) pour le reste de la saison de Nationale 1, en lieu et place de Darko Cohdarevic.
Ancien joueur du Lietuvos Rytas Vilnius, le natif de Zarasai débarque dans le Calvados en provenance de Kėdainiai, club de première division lituanienne, où il compilait en moyenne 11,6 points (48% à 2pts et 43% à 3pts) et 2,7 rebonds en 25 minutes de jeu sur 16 matchs.
Avec 10 victoires pour 6 défaites en championnat, Caen pointe à la 5e place du classement de NM1.
Photo : Euroleague
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Auteur d’une très belle partie avec 17 points (7/10 aux tirs), 5 rebonds et 9 passes décisives pour une évaluation de 31 en seulement 23 minutes de jeu, Luka Doncic a enregistré ses records en carrière en Euroleague en matière de passes décisives et d’éval pour mener le Real Madrid vers son 10e succès en C1 face à l’Anadolu Efes (80-78).
Encore une fois dominant avec Madrid, le jeune arrière slovène impressionne chaque jour un peu plus le monde du basket européen. Son entraîneur, Pablo Laso s’est exprimé sur son joueur après la rencontre.
« Je réponds à cette question chaque jour en Espagne mais je vais y répondre encore une fois. Bien sûr, Luka a fait un très bon match et vous m’en parlez parce qu’il a 17 ans. J’ai toujours dit que, derrière son talent, se cache un très bon QI basket. C’est difficile de voir ses limites parce que pouvoir jouer à un tel niveau en Euroleague à 17 ans, c’est certainement quelque chose que l’on n’a pas vu depuis des années. Comme je le dis toujours, s’il n’y avait pas une équipe derrière lui, Luka ne pourrait pas le faire. Je suis très content pour lui mais aussi pour l’équipe. »
Photo : Euroleague
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C’est difficile de voir ses limites parce que pouvoir jouer à un tel niveau en Euroleague à 17 ans, c’est certainement quelque chose que l’on n’a pas vu depuis des années. Comme je le dis toujours, s’il n’y avait pas une équipe derrière lui, Luka ne pourrait pas le faire. 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Fort de près de 300 correspondants principalement en Europe, le site spécialisé Eurobasket.com élit traditionnellement les joueurs européens de l’année.
Sans surprise, c’est Nando De Colo qui rallie les suffrages comme meilleur joueur d’Europe alors que le Letton Kristaps Porzingis est considéré comme l’Européen n°1 tous championnats confondus.
A noter que Rudy Gobert est plébiscité comme le meilleur pivot européen, Tony Parker, Nicolas Batum et Evan Fournier ont droit à des mentions, alors que ne figure pas l’Espagnol Pau Gasol qui affiche en ce dernier trimestre 2016 ses moins bonnes stats en carrière aux San Antonio Spurs mais qui avait fait cet été de brillants Jeux Olympiques à Rio.
Eurobasket.com All-Europe 1st Team
Milos Teodosic (Serbie, 1,95m-PG-87) CSKA Moscou
Nando De Colo (France, 1,96m-SG-87) CSKA Moscou
Rudy Fernandez (Espagne, 1,97m-SF-85) Real Madrid
Jan Vesely (Rép. Tchèque, 2,13m-C/F-90) Fenerbahce Istanbul
Anthony Randolph (USA, 2,11m-F/C-89) Real Madrid
Eurobasket.com All-Europe 2nd Team:
Sergio Lull (Espagne, 1,90m-SG-87) Real Madrid
Keith Langford (USA, 1,93m-SG-83) UNICS Kazan
Luigi Datome (Italie, 2,03m-F-87) Fenerbahce
Ekpe Udoh (USA, 2,08m-F/C-87) Fenerbahce
Ioannis Bourousis (Grèce, 2,14m-C-83) Panathinaikos
Eurobasket.com All-Europeans 1st Team:
Milos Teodosic (Serbie, 1,95m-PG-87) CSKA Moscou
Nando De Colo (France, 1,96m-SG-87) CSKA Moscou
Gianni Antetokounmpo (Grèce, 2,11m-G/F-94) Milwaukee Bucks
Kristaps Porzingis (Lettonie, 2,21m-C/F-95) New York Knicks
Rudy Gobert (France, 2,16m-C-92) Utah Jazz
Eurobasket.com All-Europeans 2nd Team:
Goran Dragic (Slovénie, 190m-PG-86) Miami Heat
Bogdan Bogdanovic (Serbie, 2,03m-SF-89) Brooklyn Nets
Danilo Gallinari (Italie, 2,08m-SF-88) Denver Nuggets
Nikola Jokic, (Serbie, 2,09m-C-95) Denver Nuggets
Marc Gasol (Espagne, 2,16m-C-85) Memphis Grizzlies
", "comment_id":"387242", "plaintext":"Fort de près de 300 correspondants principalement en Europe, le site spécialisé Eurobasket.com élit traditionnellement les joueurs européens de l’année.\n\nSans surprise, c’est Nando De Colo qui rallie les suffrages comme meilleur joueur d’Europe alors que le Letton Kristaps Porzingis est considéré comme l’Européen n°1 tous championnats confondus.\n\nA noter que Rudy Gobert est plébiscité comme le meilleur pivot européen, Tony Parker, Nicolas Batum et Evan Fournier ont droit à des mentions, alors que ne figure pas l’Espagnol Pau Gasol qui affiche en ce dernier trimestre 2016 ses moins bonnes stats en carrière aux San Antonio Spurs mais qui avait fait cet été de brillants Jeux Olympiques à Rio.\n\n\nJoueurs d’Europe\n\nEurobasket.com All-Europe 1st Team\n\nMilos Teodosic (Serbie, 1,95m-PG-87) CSKA Moscou\n\nNando De Colo (France, 1,96m-SG-87) CSKA Moscou\n\nRudy Fernandez (Espagne, 1,97m-SF-85) Real Madrid\n\nJan Vesely (Rép. Tchèque, 2,13m-C/F-90) Fenerbahce Istanbul\n\nAnthony Randolph (USA, 2,11m-F/C-89) Real Madrid\n\nEurobasket.com All-Europe 2nd Team:\n\nSergio Lull (Espagne, 1,90m-SG-87) Real Madrid\n\nKeith Langford (USA, 1,93m-SG-83) UNICS Kazan\n\nLuigi Datome (Italie, 2,03m-F-87) Fenerbahce\n\nEkpe Udoh (USA, 2,08m-F/C-87) Fenerbahce\n\nIoannis Bourousis (Grèce, 2,14m-C-83) Panathinaikos\n\n\nJoueurs européens\n\nEurobasket.com All-Europeans 1st Team:\n\nMilos Teodosic (Serbie, 1,95m-PG-87) CSKA Moscou\n\nNando De Colo (France, 1,96m-SG-87) CSKA Moscou\n\nGianni Antetokounmpo (Grèce, 2,11m-G/F-94) Milwaukee Bucks\n\nKristaps Porzingis (Lettonie, 2,21m-C/F-95) New York Knicks\n\nRudy Gobert (France, 2,16m-C-92) Utah Jazz\n\nEurobasket.com All-Europeans 2nd Team:\n\nGoran Dragic (Slovénie, 190m-PG-86) Miami Heat\n\nBogdan Bogdanovic (Serbie, 2,03m-SF-89) Brooklyn Nets\n\nDanilo Gallinari (Italie, 2,08m-SF-88) Denver Nuggets\n\nNikola Jokic, (Serbie, 2,09m-C-95) Denver Nuggets\n\nMarc Gasol (Espagne, 2,16m-C-85) Memphis Grizzlies", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-30T14:59:01.000Z", "updated_at":"2016-12-30T14:59:01.000Z", "published_at":"2016-12-30T14:59:01.000Z", "custom_excerpt":"Fort de près de 300 correspondants principalement en Europe, le site spécialisé Eurobasket.com élit traditionnellement les joueurs européens de l’année. Sans surprise, c’est Nando De Colo qui rallie les suffrages comme meilleur joueur d’Europe alors que le Letton Kristaps Porzingis est considéré com", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad902", "uuid":"3c55752b-0499-4dac-80a5-408808dc7df1", "title":"Misko Raznatovic : « Teodosic et Bogdanovic doivent aller en NBA »", "slug":"misko-raznatovic-teodosic-et-bogdanovic-doivent-aller-en-nba", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/milos-teodosic-cska-moscow-eb15-1.jpg\",\"width\":800,\"height\":503}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Interrogé par sportklub.rs, Misko Raznatovic, le président de l’agence Beobasket s’est exprimé sur le futur de Milos Teodosic et Bogdan Bogdanovic, deux joueurs serbes qu’il ne représente pas mais qui, selon lui, doivent aller en NBA.
« Teodosic et Bogdanovic doivent aller en NBA. Ce serait logique. Vont-ils y aller, ça je ne sais pas, je ne m’occupe pas de leur carrière mais je pense qu’ils ont joué assez longtemps en Europe, ils ont accompli beaucoup de choses ici et c’est le moment pour eux de tenter leur chance en NBA. En réalité, pour Teodosic, c’est sa dernière chance. Avec l’augmentation des prix des contrats, de nouveaux spots vont se libérer et je ne serai pas surpris si même Nemanja Nedovic faisait son retour en NBA.
Quand on lui demande quels autres joueurs pourraient faire le grand saut vers les Etats-Unis il indique que plusieurs Serbes sont susceptibles de partir prochainement.
« Dejan Musli a aussi des chances de partir. L’année dernière il était bon en Espagne, aujourd’hui il joue dans une meilleure équipe qui est Malaga. C’est un jeune, il est grand et croyez-moi, ses performances actuelles sont bien meilleures que celles d’Aron Baynes quand il était à Ljubljana, avant de partir en NBA. Les contacts avec les Spurs sont très réguliers et avancés, ils suivent de près le développement de Nemanja Dangubic. Marko Guduric a également un futur en NBA, mais je ne pense pas que ça sera pour la saison prochaine. »
Autre génie du basket européen, Vassilis Spanoulis était, selon Raznatovic, trop pressé de faire ses débuts en NBA.
« Par exemple, Spanoulis ne voulait pas attendre. Il est allé en NBA après la Coupe du Monde 2006, compétition dans laquelle il avait « détruit » Chris Paul. La Grèce a battu les USA et Spanoulis est arrivé aux Etats-Unis avec une attitude de tueur: « Je suis un bon joueur, je dois jouer ». Il a prouvé aux entraînements mais la NBA a ses propres règles, vous devez être habitué à cette ligue. Il n’a pas beaucoup joué, il n’a pas voulu rester une année de plus et il est rentré en Europe. Ça a aussi eu des bons côtés puisqu’il a tout gagné plusieurs fois avec l’Olympiakos mais nous ne saurons jamais si, à l’heure actuelle, une équipe aurait pu lui offrir un contrat de cinq ans pour 80 millions de Dollars. S’il avait persisté en NBA, je suis sur qu’il l’aurait obtenu. »
Photo : Euroleague
", "comment_id":"387253", "plaintext":"Interrogé par sportklub.rs, Misko Raznatovic, le président de l’agence Beobasket s’est exprimé sur le futur de Milos Teodosic et Bogdan Bogdanovic, deux joueurs serbes qu’il ne représente pas mais qui, selon lui, doivent aller en NBA.\n\n« Teodosic et Bogdanovic doivent aller en NBA. Ce serait logique. Vont-ils y aller, ça je ne sais pas, je ne m’occupe pas de leur carrière mais je pense qu’ils ont joué assez longtemps en Europe, ils ont accompli beaucoup de choses ici et c’est le moment pour eux de tenter leur chance en NBA. En réalité, pour Teodosic, c’est sa dernière chance. Avec l’augmentation des prix des contrats, de nouveaux spots vont se libérer et je ne serai pas surpris si même Nemanja Nedovic faisait son retour en NBA.\n\nQuand on lui demande quels autres joueurs pourraient faire le grand saut vers les Etats-Unis il indique que plusieurs Serbes sont susceptibles de partir prochainement.\n\n« Dejan Musli a aussi des chances de partir. L’année dernière il était bon en Espagne, aujourd’hui il joue dans une meilleure équipe qui est Malaga. C’est un jeune, il est grand et croyez-moi, ses performances actuelles sont bien meilleures que celles d’Aron Baynes quand il était à Ljubljana, avant de partir en NBA. Les contacts avec les Spurs sont très réguliers et avancés, ils suivent de près le développement de Nemanja Dangubic. Marko Guduric a également un futur en NBA, mais je ne pense pas que ça sera pour la saison prochaine. »\n\nAutre génie du basket européen, Vassilis Spanoulis était, selon Raznatovic, trop pressé de faire ses débuts en NBA.\n\n« Par exemple, Spanoulis ne voulait pas attendre. Il est allé en NBA après la Coupe du Monde 2006, compétition dans laquelle il avait « détruit » Chris Paul. La Grèce a battu les USA et Spanoulis est arrivé aux Etats-Unis avec une attitude de tueur: « Je suis un bon joueur, je dois jouer ». Il a prouvé aux entraînements mais la NBA a ses propres règles, vous devez être habitué à cette ligue. Il n’a pas beaucoup joué, il n’a pas voulu rester une année de plus et il est rentré en Europe. Ça a aussi eu des bons côtés puisqu’il a tout gagné plusieurs fois avec l’Olympiakos mais nous ne saurons jamais si, à l’heure actuelle, une équipe aurait pu lui offrir un contrat de cinq ans pour 80 millions de Dollars. S’il avait persisté en NBA, je suis sur qu’il l’aurait obtenu. »\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-30T14:22:39.000Z", "updated_at":"2016-12-30T14:22:39.000Z", "published_at":"2016-12-30T14:22:39.000Z", "custom_excerpt":"Interrogé par sportklub.rs, Misko Raznatovic, le président de l’agence Beobasket s’est exprimé sur le futur de Milos Teodosic et Bogdan Bogdanovic, deux joueurs serbes qu’il ne représente pas mais qui, selon lui, doivent aller en NBA.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad903", "uuid":"ba47c4b8-6c7e-4836-9690-1131ebc184af", "title":"Votez pour votre joueur du mois LNB", "slug":"__trashed-2", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/joueurs-du-mois.jpg\",\"width\":668,\"height\":445}],[\"html\",{\"html\":\"Visuel : LNB / SFR Sport
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Comme chaque fin de mois, la LNB vous invite à élire votre joueur du mois ici. Pour décembre les nommés pour le Trophée du Joueur du Mois LNB SFR Sport sont Moustapha Fall (Elan Chalon), D.J. Cooper (Elan Béarnais) et John Roberson (Elan Chalon).
Dans sa deuxième véritable saison en Pro A, Moustapha Fall est clairement en train de franchir un cap. Sur ce mois de décembre, Chalon-sur-Saône a enregistré 4 victoires pour seulement une défaite de trois points face au BCM (88-85) lors de la 11e journée. Sur cette période, le géant (2,18m) de l’Elan Chalon a compilé en moyenne 11,4 points, 9,8 rebonds et 1,8 passe décisive pour une évaluation de 21,2. Lors des 11e et 12e journées l’ancien antibois a réalisé deux double-doubles avec 15 points et 12 rebonds ainsi que 19 points et 12 rebonds. Pour sa première participation au All Star Game le jeudi 29 décembre, le natif de Paris a enregistré 13 points, 7 rebonds et 3 assists (22 d’évaluation).
De son côté, D.J. Cooper a remporté trois des cinq matchs de championnat avec l’EBPLO sur ce mois de décembre. Sur cette période le meilleur passeur de Pro A a compilé en moyenne 12,4 points, 5,2 rebonds et 10,6 passes décisives pour une évaluation de 18,6. Clairement candidat pour le titre de MVP de la saison, le meneur béarnais, déjà élu joueur du mois d’octobre, réalise une saison de très haut standing. Lors du All Star Game il a enregistré 15 points et 11 assists (22 d’évaluation).
Autre Chalonnais, John Roberson a, comme son coéquipier, réalisé un très bon mois de décembre en compilant en moyenne 19,8 points, 4,4 rebonds et 6 passes décisives. Elu MVP du match des étoiles, le natif de Kansas City a enregistré 17 points (5/9 à 3pts), 3 rebonds et 4 passes décisives (20 d’évaluation) lors du All Star Game remporté par la sélection étrangère 130 à 129.
Visuel : LNB / SFR Sport
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Avec 6 points, 2 rebonds et 1 passe en seulement 16 minutes, Nando De Colo, qui revient d’une blessure à la cuisse, a été loin de ses standards habituels.
C’est la deuxième défaite d’affilée des champions d’Europe en titre qui sont néanmoins solidement accrochés à la première place avec 12 victoires en 15 journées, précédant un groupe de quatre équipes à 10 victoires.
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– Dans une poule H très relevée, les joueuses de Lons-le-Saunier affichent un bilan équilibré à la mi-saison mais leur entraîneur attend plus de ce… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Le président délégué de l’Asvel, frustré par la blessure de Kahudi, fait de la conservation du titre la priorité de son club. Et rêve d’organiser le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Après trois succès de rang, la sélection française s’est inclinée cette année dans les dernières secondes contre la sélection des meilleurs étrangers… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Après trois succès de rang, la sélection française, sans grande tête d’affiche, s’est inclinée dans les dernières secondes contre celle des meilleurs étrangers de Pro A (130-129), jeudi soir lors du traditionnel et toujours aussi spectaculaire All Star Game, dans un Paris-Bercy à guichets fermés… Lire la suite.
– Les basketteurs de Pro B profitent de qualeques jours de vacances avant la reprise du championnat, les 13 et 14 janvier.Après 13 journées (sur 34), voici les top joueurs de la division. Ces classements ont été établis, à la moyenne, par la FFBB.Jarvis Williams meilleur marqueur…1. Williams (Boulazac), 20,92 points ; 2… Lire la suite.
– Depuis bien longtemps, le Touraine Basket Club a construit sa réputation sur la formation des jeunes joueurs. Cette année encore, le TBC ne fait pas mentir les habitudes et s’invite à la table des grands clubs formateurs nationaux. Début juillet, faute de moyens financiers, le président Coulon et son staff s’interrogeaient sur l’inscriptio… Lire la suite.
– PARIS (AccorHotels Arena). Scores des quart-temps : 32-34, 39-35, 34-31, 25-29. Arbitres : MM. Hossele, Hamzaoui, Dubois. Spectateurs : 15.802… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– MARQUEURS. Clark (Chalon) 25 ; Gibson (Gravelines) et Hunt (Nancy) 22 ; Cobbs (Gravelines) 21 ; Conklin (Nanterre) 20… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Quel est le point commun entre le CSP Limoges et le feuilleton télévisé Dallas ? Leur univers est impitoyable et il s’y passe toujours quelque chose… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
", "comment_id":"387236", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nBasket-ball – All Star Game 2016 : Benjamin Sene (SLUC Nancy) encore vainqueur dans le concours des meneurs !\n\n– Rien de tel qu’un petit tour sous les « sunlights » du All Star Game, à Paris, pour s’aérer l’esprit. Ce qui n’est pas inutile par les temps qui… Lire la suite.\n\n\nJean-Charles ? « Pas d’actualité… »\n\n– La saison dernière, l’arrivée de Casper Ware, le 1er avril, avait changé le visage de l’Asvel. Pourrait-elle se renforcer ces prochaines semaines… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nL’ALL : un verre à moitié plein ?\n\n– Dans une poule H très relevée, les joueuses de Lons-le-Saunier affichent un bilan équilibré à la mi-saison mais leur entraîneur attend plus de ce… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nG. Muller : « Conserver le titre »\n\n– Le président délégué de l’Asvel, frustré par la blessure de Kahudi, fait de la conservation du titre la priorité de son club. Et rêve d’organiser le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLa sélection française échoue d’un point\n\n– Après trois succès de rang, la sélection française s’est inclinée cette année dans les dernières secondes contre la sélection des meilleurs étrangers… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nAll Star Game: la sélection étrangère prive les « Frenchies » du 4 à la suite\n\n– Après trois succès de rang, la sélection française, sans grande tête d’affiche, s’est inclinée dans les dernières secondes contre celle des meilleurs étrangers de Pro A (130-129), jeudi soir lors du traditionnel et toujours aussi spectaculaire All Star Game, dans un Paris-Bercy à guichets fermés… Lire la suite.\n\n\nBasket : les tops de la Pro B après 13 journées\n\n– Les basketteurs de Pro B profitent de qualeques jours de vacances avant la reprise du championnat, les 13 et 14 janvier.Après 13 journées (sur 34), voici les top joueurs de la division. Ces classements ont été établis, à la moyenne, par la FFBB.Jarvis Williams meilleur marqueur…1. Williams (Boulazac), 20,92 points ; 2… Lire la suite.\n\n\nFaire perdurer les traditions\n\n– Depuis bien longtemps, le Touraine Basket Club a construit sa réputation sur la formation des jeunes joueurs. Cette année encore, le TBC ne fait pas mentir les habitudes et s’invite à la table des grands clubs formateurs nationaux. Début juillet, faute de moyens financiers, le président Coulon et son staff s’interrogeaient sur l’inscriptio… Lire la suite.\n\n\nSél. française 129 Sél. étrangère 130\n\n– PARIS (AccorHotels Arena). Scores des quart-temps : 32-34, 39-35, 34-31, 25-29. Arbitres : MM. Hossele, Hamzaoui, Dubois. Spectateurs : 15.802… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nPro A (15e journée)\n\n– MARQUEURS. Clark (Chalon) 25 ; Gibson (Gravelines) et Hunt (Nancy) 22 ; Cobbs (Gravelines) 21 ; Conklin (Nanterre) 20… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nUnivers impitoyable\n\n– Quel est le point commun entre le CSP Limoges et le feuilleton télévisé Dallas ? Leur univers est impitoyable et il s’y passe toujours quelque chose… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-30T08:40:28.000Z", "updated_at":"2016-12-30T08:40:28.000Z", "published_at":"2016-12-30T08:40:28.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad906", "uuid":"08abdfc8-060c-4f93-8df9-02cfdd271cbb", "title":"All-Star Game : victoire de la sélection étrangère, John Roberson (Chalon) élu MVP", "slug":"all-star-game-victoire-de-la-selection-etrangere-john-roberson-chalon-elu-mvp", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/roberson-1.jpg\",\"width\":800,\"height\":533}],[\"html\",{\"html\":\"Visuel : Elan Chalon
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Le All-Star Game, c’est le match de toutes les fantaisies où un rookie comme le Toulonnais William Howard, intronisé dans le cinq de départ de la sélection française, peut prendre cinq shoots en même pas cinq minutes et faire un dunk arrière.
C’est aussi le moment unique dans l’année où le Manceau Will Yeguete réussit un petit pont sur l’Antibois Tim Blue. C’est encore quand un arbitre reçoit une passe et la renvoie à un joueur en tête de raquette. Cela a un faux air de spectacle des Harlem Globe Trotters. C’est forcément « no defense » et une orgie de alley oop et de dunks.
C’est tout autant les danseuses des Brooklyn Nets, l’ambianceur des Atlanta Hawks ou la « Kiss Cam » également empruntée à la NBA : la caméra repère un couple dans les tribunes, l’image est projetée sur l’écran central à quatre facettes et le public le pousse à s’embrasser en public. Aux Etats-Unis, les héros de la soirée y mettent du cœur, en France, ils sont parfois un peu coincés.
L’histoire retiendra que les étrangers ont mis fin à une série de trois victoires des Français –victoire 130-129- et que le meneur de jeu de Chalon John Roberson fut l’homme à tout faire de la soirée.
Finaliste malheureux du concours de tirs à trois-points, et après avoir servi de passeur à ses deux équipiers Jeremy Nzeulie et Abdoulaye Loum lors du concours de dunk, John Roberson a été élu MVP du All-Star Game après avoir assuré 17 points, 4 passes, 3 rebonds et 2 interceptions. Un choix effectué par les médias et qui récompense tout autant le premier trimestre parfait en Pro A de l’Américain candidat déclaré à l’oscar de MVP de la saison.
La box score est ici.
Visuel : Elan Chalon
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Aux Etats-Unis, les héros de la soirée y mettent du cœur, en France, ils sont parfois un peu coincés.\n\nL’histoire retiendra que les étrangers ont mis fin à une série de trois victoires des Français –victoire 130-129- et que le meneur de jeu de Chalon John Roberson fut l’homme à tout faire de la soirée.\n\nFinaliste malheureux du concours de tirs à trois-points, et après avoir servi de passeur à ses deux équipiers Jeremy Nzeulie et Abdoulaye Loum lors du concours de dunk, John Roberson a été élu MVP du All-Star Game après avoir assuré 17 points, 4 passes, 3 rebonds et 2 interceptions. Un choix effectué par les médias et qui récompense tout autant le premier trimestre parfait en Pro A de l’Américain candidat déclaré à l’oscar de MVP de la saison.\n\nLa box score est ici.\n\nVisuel : Elan Chalon", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-29T22:07:31.000Z", "updated_at":"2016-12-30T00:24:00.000Z", "published_at":"2016-12-29T22:07:31.000Z", "custom_excerpt":"Le All-Star Game, c’est le match de toutes les fantaisies où un rookie comme le Toulonnais William Howard, intronisé dans le cinq de départ de la sélection française, peut prendre cinq shoots en même pas cinq minutes et faire un dunk arrière.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad907", "uuid":"52ccec78-0305-44b6-86cc-cefb3c6ca4d1", "title":"All-Star Game: Jeremy Nzeulie (Chalon), l’as des as du dunk", "slug":"all-star-game-jeremy-nzeulie-chalon-las-des-as-du-dunk", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/nzeulie.jpg\",\"width\":800,\"height\":450}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"strong\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le concours de dunk est immanquablement le clou de la soirée. 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Le concours de dunk est immanquablement le clou de la soirée. Avec les défections de Yakuba Ouattara (Monaco) double tenant du titre puis de Bandja Sy (Villeurbanne), les organisateurs pouvaient craindre que le niveau soit sensiblement en baisse.
Si le concours ne restera pas dans les annales, les quatre concurrents ont tout de même assuré. Le meneur de jeu de Chalon John Roberson a joué un rôle important en servant de passeur à son équipier Jeremy Nzeulie, notamment en faisant rebondir la balle sur la tranche de la planche ou encore en la lui offrant avant qu’il ne dunke en aveugle, le bras devant les yeux.
« Ce soir, j’ai eu des problèmes avec mes dunks. Au final, j’ai réussi à les mettre. C’est grâce au public », a avoué Jeremy Nzeulie.
https://twitter.com/SFR_Sport/status/814572325567922177
Pas faux. C’est au sonomètre que les 15 802 spectateurs de l’AccorArena ont montré leur préférence et à l’évidence ils avaient le cœur penché du coté du Français. Sa « chaise » -descendre la balle le plus bas possible et dunker arrière- a joué aussi un rôle déterminant dans son jugement. Le Chalonnais a loupé un « Rider » mais l’Américain de Lille Deonte Burton (1,85m), son rival en finale, aussi.
La palme de l’ingéniosité revient toutefois à Abdoulaye Loum, un autre Chalonnais, et tout autant à l’inévitable John Roberson. Celui-ci placé aux alentours du dixième rang des tribunes a envoyé plusieurs passes millimétrées avec un rebond à son équipier. Du jamais ou du très rarement vu. Sauf que celui-ci n’a pas réussi à les transformer dans le temps imparti d’une minute trente. Et dans un concours de dunk, c’est bien le minimum.
Tour préliminaire :
1-Deonte Burton (Lille) 196 et Jeremy Nzeulie (Chalon) 196 ; 3- Abdoulaye Loum (Chalon) 191 ; 4- Micah Downs (Orléans) 189
Finale :
1- Jeremy Nzeulie (Chalon) 194; 2-Deonte Burton (Lille) 191 ;
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Que ce soit sous le maillot de Berlin, de Munich, de Limoges, de Nanterre, de l’équipe d’Allemagne ou dans un concours de All-Star Game, Heiko Schaffartzik est un formidable shooteur longue distance.
L’Allemand a réalisé un concours à trois-points exceptionnel battant le record du trophée en demi-finale, 27 points sur 33 possible avec le tir bonifié du milieu du terrain. Il fallait une telle machine pour s’imposer face à l’Américain John Roberson, un fier compétiteur. C’est la première fois que les deux finalistes ont réussi plus de 20 points.
https://twitter.com/SFR_Sport/status/814559800503783424
Heiko Schaffartzik est aussi un homme à part dans la Pro A déjà parce qu’il parle couramment français après l’avoir étudié à l’école et passé un an et demi dans notre pays.
L’Allemand peut également faire le show avec un micro. Après avoir dit qu’il n’avait jamais gagné de concours en Allemagne faute d’avoir été invité, il a confié : « Je suis extra motivé car c’est le 65e anniversaire de mon père aujourd’hui et il est là », avant de demander à la foule de reprendre en chœur un superbe « joyeux anniversaire ! »
Un des grands moments de trente ans de All-Star Game.
Tour préliminaire :
1-Heiko Schaffartzik (Nanterre) 27 ; 2- John Roberson (Chalon) 22 ; 3- Rémi Lesca (Paris-Levallois) 19 ; 4- Klemen Prepelic (Limoges) 14
Finale :
1- Heiko Schaffartzik (Nanterre) 21 ; 2- John Roberson (Chalon) 19
", "comment_id":"387220", "plaintext":"Que ce soit sous le maillot de Berlin, de Munich, de Limoges, de Nanterre, de l’équipe d’Allemagne ou dans un concours de All-Star Game, Heiko Schaffartzik est un formidable shooteur longue distance.\n\nL’Allemand a réalisé un concours à trois-points exceptionnel battant le record du trophée en demi-finale, 27 points sur 33 possible avec le tir bonifié du milieu du terrain. Il fallait une telle machine pour s’imposer face à l’Américain John Roberson, un fier compétiteur. C’est la première fois que les deux finalistes ont réussi plus de 20 points.\n\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/814559800503783424\n\nHeiko Schaffartzik est aussi un homme à part dans la Pro A déjà parce qu’il parle couramment français après l’avoir étudié à l’école et passé un an et demi dans notre pays.\n\nL’Allemand peut également faire le show avec un micro. Après avoir dit qu’il n’avait jamais gagné de concours en Allemagne faute d’avoir été invité, il a confié : « Je suis extra motivé car c’est le 65e anniversaire de mon père aujourd’hui et il est là », avant de demander à la foule de reprendre en chœur un superbe « joyeux anniversaire ! »\n\nUn des grands moments de trente ans de All-Star Game.\n\nTour préliminaire :\n\n1-Heiko Schaffartzik (Nanterre) 27 ; 2- John Roberson (Chalon) 22 ; 3- Rémi Lesca (Paris-Levallois) 19 ; 4- Klemen Prepelic (Limoges) 14\n\nFinale :\n\n1- Heiko Schaffartzik (Nanterre) 21 ; 2- John Roberson (Chalon) 19", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-29T20:08:45.000Z", "updated_at":"2016-12-30T07:12:02.000Z", "published_at":"2016-12-29T20:08:45.000Z", "custom_excerpt":"Que ce soit sous le maillot de Berlin, de Munich, de Limoges, de Nanterre, de l’équipe d’Allemagne ou dans un concours de All-Star Game, Heiko Schaffartzik est un formidable shooteur longue distance.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad909", "uuid":"d5cc63e5-9e31-4a19-8e6b-31542c1b9052", "title":"All-Star game : Benjamin Sene (Nancy) réussit le doublé au Concours des Meneurs", "slug":"all-star-game-benjamin-sene-nancy-reussit-le-double-au-concours-des-meneurs", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/sene-asg.jpg\",\"width\":250,\"height\":250}],[\"html\",{\"html\":\"Visuel : SLUC Nancy
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Ça ne lui fera pas oublier sa saison pourrie avec le SLUC Nancy mais Benjamin Sene a récidivé en obtenant au concours des meneurs un deuxième trophée après celui de 2015.
Il a retrouvé en finale le héros de l’Euro junior, Frank Ntilikina puisque les deux Français ont réussi à éliminer respectivement en demi-finale le Portoricain Angel Rodriguez et l’Américain D.J. Cooper.
« Le cardio monte vite, il faut vite récupérer », a commenté le lauréat quand lui a été demandé s’il était difficile d’enchaîner les allers-retours sur le terrain dans un minimum de temps.
Demi-finales
Benjamin Sene (Nancy) b. Angel Rodriguez (Cholet) : 2-0
Frank Ntilikina (Strasbourg) b. D.J. Cooper (Pau) : 2-0
Finale
Benjamin Sene (Nancy) b. Frank Ntilikina (Strasbourg) : 2-1
Visuel : SLUC Nancy
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« Monsieur Claude BOLOTNY, joueur historique du Limoges CSP, soutien fidèle du Club et actuel dirigeant bénévole du Centre de Formation du Club a été mis en cause publiquement et médiatiquement par Monsieur Dusko VUJOSEVIC sans fondement aucun.
La probité et le dévouement de Monsieur Claude BOLOTNY à l’égard du Club est sans faille.
Tout le Club du Limoges CSP soutient Monsieur Claude BOLOTNY ainsi que tous les acteurs du Centre de Formation dans leur démarche et leur travail. »
L’année 2016 se termine sur des charbons ardents dans le Limousin. Que va réserver 2017?
Photo : Euroleague
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Mis à l’essai par l’Apollon Patras mi-décembre en vue de signer un contrat pour la saison, le Baby Shaq vient d’être victime d’une rupture du tendon d’Achille à l’entraînement alors qu’il préparait son comeback, comme le rapporte Eurohoops.
Avant même d’avoir pu disputer un seul match avec le 10e du classement de première division grecque (4v-8d), l’ancien joueur de l’Olympiakos se rend donc indisponible jusqu’à la saison prochaine.
Vainqueur de l’Euroleague en 2014 avec le Maccabi Tel-Aviv, Sofoklis Schortsanitis compilait en moyenne 8,4 points et 2,8 rebonds en 197 matchs de C1.
Photo : Euroleague
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Après une riche carrière de joueur puis d’agent de joueur, Makhtar Ndiaye ouvre un nouveau chapitre de sa vie professionnelle en cette fin d’année 2016 en devenant scout pour la franchise américaine des New-Yorks Knicks.
« Merci au groupe Wasserman de m’avoir donné l’opportunité de travailler comme agent a-t-il indiqué sur sa page Facebook. À mes joueurs, je dois une grande reconnaissance. Et je le dis en toute humilité car ils ont cru en moi et m’ont mis en charge de leur carrière respective. Grand Merci à ma famille et mes amis qui n’ont cessé de m’encourager. Une nouvelle page s’ouvre pour moi professionnellement et j’ai hâte de voir ce que le bon Dieu a encore prévu pour ma humble personne. Je rejoins les Knicks de New York avec plein d’enthousiasme et de détermination. Merci encore une fois et que le bon Dieu nous garde.
Let’s GO KNICKS« .
Premier joueur sénégalais à avoir joué un match officiel au sein de la prestigieuse NBA sous le maillot des Grizzlies de Memphis, passé par les Tar Heels de la Caroline du Nord en NCAA I et visage connu de la LNB après des expériences Roanne, Besançon, Vichy, Dijon, l’ASVEL et Levallois, l’ancien international sénégalais aura donc pour mission de dénicher les futures pépites pour l’équipe new-yorkaise.
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A l’initiative du Syndicat National des Basketteurs, les joueurs sélectionnés au All Star Game porteront lors de l’échauffement et de la présentation un t-shirt à l’effigie de Pape Badiane décédé le 24 décembre dans un accident de la route. On le verra arborer un magnifique sourire afin de ne pas oublier cet homme chaleureux.
Le programme :
17h00 : Ouverture des portes
19h00 : Début du All Star Game
19h05 : « SFR SPORT Skills Challenge »
Concours des Meneurs – Qualifications et Finale
19h 25: « PEAK 3 points ShootOut »
Concours de Tirs à 3 Points – Qualifications
19h40 : Présentation des Equipes All Stars
20h15 : All Star Game
Fin du 1er Quart-Temps : «PEAK 3 points ShootOut »
Concours de Tirs à 3 Points – Finale
Fin du 2ème Quart-Temps : « NBA 2K17 Dunk Contest »
Concours de Dunks – Qualifications et Finale
Fin du 3ème Quart-Temps : « Shoot à 100.000 € »
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On le verra arborer un magnifique sourire afin de ne pas oublier cet homme chaleureux.\n\nLe programme :\n\n17h00 : Ouverture des portes\n\n19h00 : Début du All Star Game\n\n19h05 : « SFR SPORT Skills Challenge »\n\nConcours des Meneurs – Qualifications et Finale\n\n19h 25: « PEAK 3 points ShootOut »\n\nConcours de Tirs à 3 Points – Qualifications\n\n19h40 : Présentation des Equipes All Stars\n\n20h15 : All Star Game\n\nFin du 1er Quart-Temps : «PEAK 3 points ShootOut »\n\nConcours de Tirs à 3 Points – Finale\n\nFin du 2ème Quart-Temps : « NBA 2K17 Dunk Contest »\n\nConcours de Dunks – Qualifications et Finale\n\nFin du 3ème Quart-Temps : « Shoot à 100.000 € »\n\nFin du match : Remise des Trophées", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-29T10:46:12.000Z", "updated_at":"2016-12-29T10:46:12.000Z", "published_at":"2016-12-29T10:46:12.000Z", "custom_excerpt":"Le 31e All-Star Game de la LNB se tient ce soir à l’AccorHôtel Arena. Le match des étoiles se jouera à guichets fermés (15 802 places ont été réservées) et sera diffusé sur SFR Sport 2 en intégralité à partir de 19h30 et rediffusé le dimanche 1er janvier, en clair, sur Numéro 23, à partir… Continue ", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad90e", "uuid":"0b3104b0-14cc-46ba-901b-2e8c9df127d2", "title":"Les acteurs du 31e All-Star Game LNB", "slug":"les-acteurs-du-31e-all-star-game-lnb", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"sup\"],[\"strong\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le 31\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" All-Star Game LNB sera agrémenté comme chaque année de trois concours, meneurs, trois-points et dunks.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Voici la liste des acteurs dans chaque catégorie.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"La sélection française\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Cinq Majeur :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"83 Axel Julien (Dijon – Meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"69 Paul Lacombe (Strasbourg – Arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"33 William Howard (Hyères-Toulon – Ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"6 Wilfried Yeguete (Le Mans – Intérieur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"10 Moustapha Fall (Chalon-sur-Saône – Intérieur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Remplaçants\"],[0,[],0,\":\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"8 Edouard Choquet (Châlons-Reims – Meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"25 David Michineau (Hyères-Toulon – Meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"9 Nicolas Lang (Lyon-Villeurbanne – Arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"23 Jérémy Nzeulie (Chalon-sur-Saône – Arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"12 Ousmane Camara (Limoges – Intérieur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"17 Vincent Poirier (Paris-Levallois – Intérieur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"42 Alain Koffi (Pau-Lacq-Orthez – Intérieur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Coaches\"],[0,[],0,\": Zvezdan Mitrovic (Monténégro – Monaco) et Cédric Heitz (Charleville-Mézières, Pro B)\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"La sélection étrangère\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Cinq majeur\"],[0,[],0,\":\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"2 D.J. 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Voici la liste des acteurs dans chaque catégorie.
Cinq Majeur :
83 Axel Julien (Dijon – Meneur)
69 Paul Lacombe (Strasbourg – Arrière)
33 William Howard (Hyères-Toulon – Ailier)
6 Wilfried Yeguete (Le Mans – Intérieur)
10 Moustapha Fall (Chalon-sur-Saône – Intérieur)
Remplaçants:
8 Edouard Choquet (Châlons-Reims – Meneur)
25 David Michineau (Hyères-Toulon – Meneur)
9 Nicolas Lang (Lyon-Villeurbanne – Arrière)
23 Jérémy Nzeulie (Chalon-sur-Saône – Arrière)
12 Ousmane Camara (Limoges – Intérieur)
17 Vincent Poirier (Paris-Levallois – Intérieur)
42 Alain Koffi (Pau-Lacq-Orthez – Intérieur)
Coaches: Zvezdan Mitrovic (Monténégro – Monaco) et Cédric Heitz (Charleville-Mézières, Pro B)
Cinq majeur:
2 D.J. Cooper (USA – Pau-Lacq-Orthez) – Meneur
21 Spencer Butterfield (USA – Nanterre – Arrière)
8 Sergii Gladyr (Ukraine – Monaco – Arrière-ailier)
4 Tim Blue (USA- Antibes – Ailier)
22 Darryl Watkins (USA – Lyon-Villeurbanne – Intérieur)
Remplaçants:
3 John Roberson (USA – Chalon-sur-Saône – Meneur)
18 Walter Hodge (Iles Vierges – Lyon-Villeurbanne – Meneur)
25 Jason Rich (USA – Paris-Levallois – Arrière)
7 Jakim Donaldson (USA – Le Portel – Ailier)
11 Mark Payne (USA – Châlons-Reims – Ailier)
23 Cameron Clark (USA – Chalon-sur-Saône – Ailier)
15 Dario Hunt (USA – Nancy – Intérieur)
Coaches: Jean-Denys Choulet (Chalon-sur-Saône) et Rémi Giuitta (Fos-sur-Mer, Pro B)
Heiko Schaffartzik (Allemagne – Nanterre), Klemen Prepelic (Slovénie – Limoges), John Roberson (USA – Chalon-sur-Saône), Rémi Lesca (Paris-Levallois)
Benjamin Sene (Nancy), Frank Ntilikina (Strasbourg), Angel Rodriguez (Porto Rico – Cholet), D.J. Cooper (USA – Pau-Lacq-Orthez)
Micah Downs (USA – Orléans), Abdoulaye Loum (Chalon-sur-Saône), Jérémy Nzeulie (Chalon-sur-Saône), Deonte Burton (USA – Lille, Pro B)
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Dans son dossier de presse, la LNB a fourni quelques chiffres-clé sur la 31e édition du All-Star Game qui se tiendra demain soir à l’AccorHôtel Arena de Paris.
3 la série de victoires, en cours, de la sélection française qui compte 12 victoires pour 13 défaites depuis 1992. Auparavant la formule voulait qu’une sélection de l’Ouest soit opposée à une autre de l’Est sur le modèle de la NBA.
6 le nombre de sélections du plus capé des All Star 2016: Alain Koffi (Pau), qui a participé aux éditions 2004, 2007, 2008, 2010, 2014…et 2016
8 le record du All Star Game du nombre de tirs à trois points réussis par Hervé Dubuisson, le 06/03/1994 à Tours
13 le nombre de caméras installées par SFR Sport 2
17 le record du All Star Game du nombre de rebonds réalisé par Andy Fields, le 20/08/1988 à Mulhouse
21 le record du All Star Game du nombre de passes décisives réalisé par Andrew Albicy, le 30/12/2015
22 l’âge du plus jeune All Star 2016: David Michineau (Hyères-Toulon), né le 6/6/1994; le doyen est Jakim Donaldson (Le Portel), 33 ans, né le 3/6/83
31 le nombre d’éditions du All Star Game LNB. Il y a eu deux éditions en 2000, l’une en janvier et l’autre en décembre. C’est la 14e à Bercy / AccorHôtel Arena. Toutes se sont jouées à guichets fermés sauf la première.
44 le record du All Star Game du nombre de points réalisé par Yann Bonato, le 25/03/1995 à Pau
159 le record du nombre de points marqués par une équipe; celle des All Star Français en 1992 à Gravelines
195 le nombre de minutes de la retransmission en direct sur SFR Sport 2
218 la taille en centimètres du plus grand All Star, Mustapha Fall (Chalon). le plus petit est DJ Cooper (Pau), 1,83m
15 802 le nombre de spectateurs -c’est un record d’affluence pour un match de sport collectif à l’AccorHotels Arena- pour le All-Star Game 2016.
Photo : LNB
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\\n— Jean Denys Choulet (@jdccoach) 25 décembre 2016
Photo : FIBA Europe Cup
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Via un communiqué, la LNB vient d’annoncer que Bandja Sy, blessé, ne participera pas au NBA2K17 Dunk Contest et qu’il est remplacé par Jeremy Nzeulie.
C’est le deuxième forfait pour le concours de dunks. Après Yakuba Ouattara, c’est donc l’ailier volant de l’ASVEL qui doit, à contre-cœur, renoncer à la grande fête annuelle du basket français.
En pleine forme la semaine dernière, Nzeulie avait offert au Colisée un énorme dunk sur la tête de Paul Lacombe, ce qui laisse présager de bonne chose pour le All Star Game qui aura donc lieu demain jeudi à l’Accorhotels Arena et à partir de 19h30 en direct sur SFR Sport 2.
\nAie aie aie !!! pic.twitter.com/YvQRmAApLP
\n— Jean Denys Choulet (@jdccoach) 25 décembre 2016
Photo : FIBA Europe Cup
", "comment_id":"387181", "plaintext":"Via un communiqué, la LNB vient d’annoncer que Bandja Sy, blessé, ne participera pas au NBA2K17 Dunk Contest et qu’il est remplacé par Jeremy Nzeulie.\n\nC’est le deuxième forfait pour le concours de dunks. Après Yakuba Ouattara, c’est donc l’ailier volant de l’ASVEL qui doit, à contre-cœur, renoncer à la grande fête annuelle du basket français.\n\nEn pleine forme la semaine dernière, Nzeulie avait offert au Colisée un énorme dunk sur la tête de Paul Lacombe, ce qui laisse présager de bonne chose pour le All Star Game qui aura donc lieu demain jeudi à l’Accorhotels Arena et à partir de 19h30 en direct sur SFR Sport 2.\n\n\n\n\nAie aie aie !!! pic.twitter.com/YvQRmAApLP\n\n\n— Jean Denys Choulet (@jdccoach) 25 décembre 2016\n\nPhoto : FIBA Europe Cup", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-28T19:22:02.000Z", "updated_at":"2016-12-28T21:32:10.000Z", "published_at":"2016-12-28T19:22:02.000Z", "custom_excerpt":"Via un communiqué, la LNB vient d’annoncer que Bandja Sy, blessé, ne participera pas au NBA2K17 Dunk Contest et qu’il est remplacé par Jeremy Nzeulie.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad911", "uuid":"4e98f67c-584b-4219-921d-b77a14865212", "title":"Pro B : Xavier Corosine et DeQuan Jones, les grands oubliés du All-Star Game", "slug":"pro-b-xavier-corosine-et-dequan-jones-les-grands-oublies-du-all-star-game", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"http://www.lnb.fr/transaction/embed-video.php?video=6338\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"http://www.lnb.fr/transaction/embed-video.php?video=6340\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les showmen sont de sortie à l’approche du All-Star Game ! 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La 13e journée de Pro B a été marquée par deux performances de haut rang hier soir, de la part du Boulonnais Xavier Corosine et du Lillois DeQuan Jones.
Triple vainqueur du concours à 3-points au All-Star Game LNB (2011, 2012, 2013), l’ancien sniper de la JSF Nanterre Xavier Corosine s’est rappelé au bon souvenir de Bercy en claquant un incroyable 8/8 à 3 points qui a permis à Boulogne-sur-Mer de décrocher la victoire sur le parquet de Vichy-Clermont (85-96). Les Boulonnais, bons derniers jusque là (4v-9d), évoluaient sous les ordres de leur nouveau coach, Olivier Bourgain (ex-manager général du club), trois jours après l’éviction de Germain Castano, entraîneur de l’équipe première depuis 8 saisons.
Cette année encore, c’est le magicien allemand Heiko Schaffartzik qui défendra fièrement les couleurs de la JSF et remettra son titre en jeu. Il sera opposé à Klemen Prepelic, Rémi Lesca et John Roberson. Nul doute que Xavier Corosine, 31 ans, aurait été un concurrent de choix, lui qui tourne actuellement à 43,5% dans l’exercice, sa meilleure moyenne sur la saison depuis 2009-2010 (46,6%), en Pro B avec Nanterre, aux côtés d’un certain Evan Fournier (4,5 pts en 12 minutes en moyenne par match).
Le résumé du match avec 5 des 8 paniers à 3 points de Xavier Corosine
L’autre performance XXL de la journée nous vient du meilleur marqueur lillois DeQuan Jones (17,1 pts par match) qui commence à se bâtir une solide réputation en matière de show-time depuis le début de saison.
Passé par le Magic d’Orlando en 2012-2013 (63 matchs disputés, 17 débutés pour 3,7 pts de moyenne), l’ailier américain est doté de qualités athlétiques hors-norme pour la Pro B et en fait profiter le public lillois avec des actions ultra-spectaculaires. S’il n’a pu empêcher la défaite du LMBC hier contre l’épatante formation de Charleville-Mézières (70-76), solide 2e du championnat (10v-3d), DeQuan Jones a livré sa meilleure prestation individuelle cette saison avec 30 points (12/20 au tir), 7 rebonds, 4 passes et quatre contres monumentaux (32 d’évaluation).
En plus de ses quatre scotchs en haute altitude, le n°11 lillois a illuminé la deuxième mi-temps avec trois dunks monstrueux qui ont fait chavirer le Palais Saint-Sauveur.
Alors que la LNB a opté pour son coéquipier meneur Deonte Burton pour faire le show demain soir au concours de dunks, DeQuan Jones a confirmé hier qu’il avait tout à fait le niveau pour rivaliser avec Abdoulaye Loum, Micah Downs et Bandja Sy, ce dernier demeurant toujours incertain.
Les highlights de DeQuan Jones face à Charleville-Mézières
Le spectacle a été au rendez-vous pour le choc de cette 13e journée entre les deux meilleures attaques du championnat Bourg-en-Bresse et la Chorale de Roanne. La JLB a confirmé son retour en forme pour conclure le marathon des Journées de Noël avec un nouveau succès probant devant son public (106-90).
Après un départ compliqué (16-25), les Bressans ont répondu de fort belle manière en collant 37 points dans le deuxième quart-temps (53-53). L’axe 1-5 Garett Sim – Youssou N’Doye a tourné en plein régime pour permettre ensuite à la JLB de prendre les devants après la pause et finir en roue libre.
L’ancien meneur boulonnais Sim (25 points, 4 rebonds, 7 passes, 28 d’évaluation) a montré son meilleur visage, alternant les shoots décisifs de loin et les services en or pour ses coéquipiers Zachery Peacock (16 pts) et N’Doye (22pts à 8/11 au tir, 14 rebonds, 33 d’évaluation) à l’intérieur. Ce dernier a également marqué la rencontre et les cercles de l’Ekinox de son empreinte en faisant jouer toute sa dimension physique au poste 5 face au MVP en titre Joe Burton, limité à 11 points, à 4/10 au tir, et 10 rebonds hier soir. En sortie de banc, Philippe Braud et Maxime Courby ont enfin apporté de précieux relais pour sceller ce succès collectif.
« On finit bien l’année, se félicite le coach burgien Savo Vucevic (oncle du pivot du Magic Nikola Vucevic). On a fait un match plein, offensif, des deux côtés, et franchement je suis très content de le gagner de cette manière, avec une deuxième mi-temps exceptionnelle. Les joueurs ont eu les ressources pendant 20 minutes pour faire ce qui paraissait difficile en première mi-temps. On sortait d’un déplacement difficile à Poitiers, on n’a pas eu le temps de s’entraîner, il fallait gérer et on a senti ça un peu en première mi-temps, on était pas en jambes, même si on a dû affronter une très bonne équipe de Roanne. Je rends hommage aux joueurs qui ont fait plaisir à un public ravi. C’était la meilleure façon de terminer l’année. »
Les Roannais se sont battus jusqu’au bout et peuvent s’incliner sans rougir face à un adversaire euphorique (129 d’évaluation collective), même s’ils concèdent là leur 5e revers sur les 6 derniers matchs. Bourg-en-Bresse enchaîne pour sa part un 5e succès et occupe désormais seul la 3e place (9v-4d), lancé à la poursuite de Charleville-Mézières (10v-3d) et Fos-sur-Mer (12v-1d), également vainqueurs hier.
Les réactions audio des entraîneurs Savo Vucevic et Laurent Pluvy ainsi que des joueurs Zachery Peacock, Clément Cavallo, Bali Coulibaly et Julien Desbottes sont à retrouver sur le site officiel de la JLB.
Les résultats de la 13e journée :
Boulazac – Poitiers : 95-82
Saint-Chamond – Le Havre : 62-76
Rouen – Blois :72-68
Fos-sur-Mer – Aix-Maurienne : 68-65
Nantes – Evreux : 68-53
Vichy-Clermont – Boulogne-sur-Mer : 85-96
Denain – Saint-Quentin : 73-65
Bourg-en-Bresse – Roanne : 106-90
Lille – Charleville-Mézières : 70-76
Il y a des chiffres qui sont impressionnants de premier abord mais qu’il faut relativiser. Il en est ainsi de la performance de Jared Cunningham (1,93m, 25 ans) qui joue pour les Jiangsu Tongxi dans le championnat chinois (CBA). Il a scoré 74 points ce soir face aux Fujian Sturgeons.
Sa performance se décompose en un 15 sur 24 tirs à deux-points, 7 sur 14 à trois-points et 23 sur 29 aux lancers.
Son équipe a marqué 124 points mais celle d’en face a fait encore mieux, 148. La vidéo prouve que les défenses étaient pour le moins relax.
En Chine, les Américains sont appréciés comme pistoleros. Ainsi Jared Cunningham affiche 32,4 pts de moyenne mais n’est que le 7e scoreur de la ligue.
Cunningham a à son actif 84 matches en NBA dont 40 la saison dernière à Cleveland ; il fut coupé de la future équipe championne à la mi-février.
Le record dans une ligue professionnelle appartient à l’actuel coach du Mans, Erman Kunter, qui scora 153 points au cours d’un match du championnat turc avec Fenerbahçe contre Hilalspor, en 1988.
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/j-r-bremer-fenerbahce-ulker-eb12.jpg\")
C’est le CSP qui vient de l’annoncer sur Twitter, l’ancien meneur du Fenerbahce rejoint le Limousin et remplace Zamal Nixon parti en Grèce.
Notamment passé par Boston, Cleveland, Fenerbahce ou encore Milan, JR Bremer tournait la saison dernière à 11,3 points, 3,1 rebonds et 6,8 assists en 26 matchs avec le Kanyaspor Kulubu en deuxième division turque.
En Europe depuis la saison 2011/12, le natif de Cleveland compile en moyenne sur le Vieux Continent 8,8 points, 2,2 rebonds et 3,5 passes décisives et va donc connaître sa première expérience en France avec Limoges.
\nL’année 2016 se termine avec une recrue pour le Limoges CSP en la personne de l’expérimenté meneur de jeu « J.R » BREMER pic.twitter.com/gTaZXnDA1a
\n— Limoges CSP (@limogescsp) 28 décembre 2016
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/bryce-cotton.jpg\")
Après avoir quitté l’Anadolu Efes le 12 décembre, Bryce Cotton (24 ans, 1,86m) vient de trouver un nouveau point de chute pour le reste de la saison puisqu’il rejoint Perth, en Australie, comme le rapporte Sportando.
Rentré aux Etats-Unis à l’origine pour des raisons familiales, le natif de Tucson avait plus tard exprimé aux dirigeants stambouliotes son désir de ne pas faire son retour en Turquie et de quitter le club suite aux derniers attentats qui ont touché Istanbul.
Cette saison en Euroleague, Bryce Cotton compilait 8 points, 1,6 rebond et 1,4 passe décisive (5,6 d’évaluation) alors qu’il tournait à 7 points, 1,6 rebond et 2,3 assists en première division turque.
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Leur coach Tahar Assed-Liegeon nous raconte de l’intérieur cet Euro U18 avant d’évoquer plus en détail ces Bleuets et leurs deux leaders, Frank Ntilikina, le MVP de la compétition, et Sekou Doumbouya élu dans le cinq all-stars à 16 ans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0,1],2,\"L’interview est en deux parties.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Rappelez-nous pourquoi et comment le championnat d’Europe prévu à Samsun, en Turquie, à la fin juillet, avait été reporté ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nous avions véritablement démarré la préparation fin juin après le bac. Tout allait normalement, stages, sélection et nous venions de faire un tournoi à Tarare. On repartait tranquillement chez nous pour se redonner rendez-vous le mercredi 20 à l’aéroport de Roissy pour partir en Turquie car la fédération turque nous avait invités à un tournoi de préparation. Sauf que le samedi matin au réveil, j’ai un collègue qui reçoit un coup de fil de sa famille qui lui dit : « Tu as vu ce qu’il se passe en Turquie ? » C’était le fameux coup d’Etat. La Grèce a réagi assez rapidement en envoyant un courrier à la FIBA en lui disant que les parents se posaient beaucoup de questions. Il y a eu une remise en question du tournoi. La FIBA a été prudente et a attendu la suite des événements. Nous sommes quand même partis en Turquie le 20 pour ce tournoi prévu les 22, 23 et 24 juillet. Et c’est quand nous étions en Turquie que la FIBA a décidé de reporter le championnat d’Europe, soit dans le dernier trimestre 2016, soit tout début 2017.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"« On a six, sept garçons sur les douze qui s’entraînent complètement avec les pros et d’ailleurs ça se voit dans les progrès qu’ils ont réalisés »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Ce report a été fait en décembre : certains joueurs, comme Frank Ntilikina, ont-ils été obligés d’interrompre leurs études ou leur parcours en club ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce ne sont pas vraiment les études qui sont problématiques. Quand l’Euro 18 a lieu l’été, une partie des joueurs sort du Centre Fédéral et les autres sont en Espoirs et commencent à intégrer les pros. En revanche, là en décembre, les garçons avec six mois de plus sont avec des équipes professionnelles et les entraîneurs en ont besoin. On a ainsi six, sept garçons sur les douze qui s’entraînent complètement avec les pros et d’ailleurs, cela se voit dans les progrès qu’ils ont réalisés. C’est vrai que ça pose des problèmes à tout le monde, à la fédération car ça veut dire réorganiser quelque chose qui n’était pas programmé mais aussi aux clubs qui ont des matches de Pro A, de coupes d’Europe. Patrick Beesley (le DTN) m’a bien aidé et on avait fait deux petits regroupements, fin octobre et fin novembre, en accueillant les joueurs le dimanche soir pour ne pas gêner les clubs jusqu’au mardi matin. On avait décidé de ne pas convoquer Frank (Ntilikina) sur ces regroupements car c’était le seul à avoir du temps de jeu conséquent ; le plus important était qu’il vienne à l’Euro. Pour ceux qui s’entraînaient avec les pros mais qui ne jouaient pas vraiment, ça ne les perturbait pas et s’ils avaient un match le dimanche ou le mardi, on faisait un ajustement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Étati-il impossible de faire venir pour quelques jours Killian Tillie, Jaylen Hoard et Renathan Ona Embo qui sont aux Etats-Unis ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai eu des contacts avec les familles et avec Killian directement. On se disait pour lui « pourvu qu’il ne joue pas avec son équipe » (sourire). Dès qu’il a eu un peu de temps de jeu avec Gonzaga, on était certain de ne pas l’avoir car ils avaient un planning chargé à Noël (NDLR : Killian Tillie joue 15’ par match pour 4,8 pts et 4,1 rbds). Quant à Jaylen, il avait un examen scolaire durant la période de Noël pour lui permettre de rentrer à l’université. Renathan est à Tulane et lui aussi joue vraiment avec l’équipe (NDLR : 19’ par match pour 4,8 pts à 32,1% aux shoots). C’était impossible de les avoir. Killian et Jaylen étaient passés par le Centre Fédéral, connaissaient bien le groupe, on aurait presque pu le faire mais c’était problématique vis-à-vis de leur université et leur école. Renathan, on ne l’a pas vu depuis un an et demi et ça aurait été de toutes façons compliqué. J’espère qu’il pourra se rendre disponible pour le Mondial.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"D’autres joueurs étaient-ils absents ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a Nathan Mepandy (1,86m), qui est aussi aux Etats-Unis à la recherche d’une université. 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Pareil pour la Lituanie et puis, généralement, ils sont dans deux clubs, c’est plus plus facile de se regrouper. La Russie, elle, a réussi à récupérer deux bons joueurs de plus que cet été. Comme c’était notre premier match, on les a un peu pistés cet été, on avait récupéré des matches d’eux. Ces deux joueurs ont changé leur équipe. Bien sûr, certains ont été perturbés dans leur préparation puisqu’ils ont des joueurs dans des clubs pros.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"L’ambassadeur de Russie a été assassiné durant votre séjour en Turquie. Avez-vous ressenti de la nervosité sur place ? Avez-vous été inquiet ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’environnement dans lequel on a vécu pour ce tournoi était très aseptisé. On était éloignés de ce qui pouvait se passer. Dans la rue, en prenant le bus pour aller à la salle, on ne voyait rien, sinon une vie normale dans une ville de Turquie. On était protégés de manière systématique avec des forces de police relativement présentes. Contrairement à d’habitude, le chauffeur de bus et le motard qui accompagnaient étaient les mêmes. La Turquie avait vraiment pris toutes les dispositions pour avoir un maximum de sécurité.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jouer un championnat d’Europe dans une salle avec une seule tribune et un public indifférent, alors quece sont les matchs d’une vie pour ces jeunes, est-ce étrange ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Vous avez raison. Une fois qu’ils ont réglé tous les problèmes avec leurs clubs, ils sont en compétition et ça devient un événement majeur. C’est très feutré mais il y a du monde dans les tribunes qui concerne leur avenir : des agents, des scouts NBA… Il y a de l’enjeu à tous les niveaux. Le premier objectif que l’on se donnait comme consigne, c’était de se qualifier pour le Mondial. Ce qui voulait dire que l’on avait gagné les quarts, que l’on se retrouvait en demi et là, les garçons ont déclaré : « nous voulons conserver le titre de notre génération, acquis en 2014 avec les cadets. » Ce type d’ambiance se retrouve souvent en FIBA, on n’a pas toujours des tribunes pleines pour voir les compétitions. Je ne connais pas l’environnement basket de cette ville de Samsun. Peut-être qu’il y aurait eu plus d’ambiance dans une autre ville… Si l’on avait joué la Turquie, je pense que les tribunes auraient été pleines et le fait qu’elle ne soit pas passée à la phase haute, ça a contribué à diminuer la présence de gens dans les tribunes. Généralement quand vous jouez devant le pays hôte et surtout en Turquie, la tribune est pleine.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/france-e1482934862572.jpg\")
Ce soir du 22 décembre dernier, les juniors français sont devenus champions d’Europe en Turquie. Leur coach Tahar Assed-Liegeon nous raconte de l’intérieur cet Euro U18 avant d’évoquer plus en détail ces Bleuets et leurs deux leaders, Frank Ntilikina, le MVP de la compétition, et Sekou Doumbouya élu dans le cinq all-stars à 16 ans.
L’interview est en deux parties.
Rappelez-nous pourquoi et comment le championnat d’Europe prévu à Samsun, en Turquie, à la fin juillet, avait été reporté ?
Nous avions véritablement démarré la préparation fin juin après le bac. Tout allait normalement, stages, sélection et nous venions de faire un tournoi à Tarare. On repartait tranquillement chez nous pour se redonner rendez-vous le mercredi 20 à l’aéroport de Roissy pour partir en Turquie car la fédération turque nous avait invités à un tournoi de préparation. Sauf que le samedi matin au réveil, j’ai un collègue qui reçoit un coup de fil de sa famille qui lui dit : « Tu as vu ce qu’il se passe en Turquie ? » C’était le fameux coup d’Etat. La Grèce a réagi assez rapidement en envoyant un courrier à la FIBA en lui disant que les parents se posaient beaucoup de questions. Il y a eu une remise en question du tournoi. La FIBA a été prudente et a attendu la suite des événements. Nous sommes quand même partis en Turquie le 20 pour ce tournoi prévu les 22, 23 et 24 juillet. Et c’est quand nous étions en Turquie que la FIBA a décidé de reporter le championnat d’Europe, soit dans le dernier trimestre 2016, soit tout début 2017.
Ce report a été fait en décembre : certains joueurs, comme Frank Ntilikina, ont-ils été obligés d’interrompre leurs études ou leur parcours en club ?
Ce ne sont pas vraiment les études qui sont problématiques. Quand l’Euro 18 a lieu l’été, une partie des joueurs sort du Centre Fédéral et les autres sont en Espoirs et commencent à intégrer les pros. En revanche, là en décembre, les garçons avec six mois de plus sont avec des équipes professionnelles et les entraîneurs en ont besoin. On a ainsi six, sept garçons sur les douze qui s’entraînent complètement avec les pros et d’ailleurs, cela se voit dans les progrès qu’ils ont réalisés. C’est vrai que ça pose des problèmes à tout le monde, à la fédération car ça veut dire réorganiser quelque chose qui n’était pas programmé mais aussi aux clubs qui ont des matches de Pro A, de coupes d’Europe. Patrick Beesley (le DTN) m’a bien aidé et on avait fait deux petits regroupements, fin octobre et fin novembre, en accueillant les joueurs le dimanche soir pour ne pas gêner les clubs jusqu’au mardi matin. On avait décidé de ne pas convoquer Frank (Ntilikina) sur ces regroupements car c’était le seul à avoir du temps de jeu conséquent ; le plus important était qu’il vienne à l’Euro. Pour ceux qui s’entraînaient avec les pros mais qui ne jouaient pas vraiment, ça ne les perturbait pas et s’ils avaient un match le dimanche ou le mardi, on faisait un ajustement.
Étati-il impossible de faire venir pour quelques jours Killian Tillie, Jaylen Hoard et Renathan Ona Embo qui sont aux Etats-Unis ?
J’ai eu des contacts avec les familles et avec Killian directement. On se disait pour lui « pourvu qu’il ne joue pas avec son équipe » (sourire). Dès qu’il a eu un peu de temps de jeu avec Gonzaga, on était certain de ne pas l’avoir car ils avaient un planning chargé à Noël (NDLR : Killian Tillie joue 15’ par match pour 4,8 pts et 4,1 rbds). Quant à Jaylen, il avait un examen scolaire durant la période de Noël pour lui permettre de rentrer à l’université. Renathan est à Tulane et lui aussi joue vraiment avec l’équipe (NDLR : 19’ par match pour 4,8 pts à 32,1% aux shoots). C’était impossible de les avoir. Killian et Jaylen étaient passés par le Centre Fédéral, connaissaient bien le groupe, on aurait presque pu le faire mais c’était problématique vis-à-vis de leur université et leur école. Renathan, on ne l’a pas vu depuis un an et demi et ça aurait été de toutes façons compliqué. J’espère qu’il pourra se rendre disponible pour le Mondial.
D’autres joueurs étaient-ils absents ?
Il y a Nathan Mepandy (1,86m), qui est aussi aux Etats-Unis à la recherche d’une université. On avait beaucoup de monde sur le poste avec Frank Ntilikina, Abdou Ndoye, Bathiste Tchouaffé, Adam Mokoka, etc… donc on n’a pas trop insisté.
Toutes les autres équipes étaient-elles logées à la même enseigne ?
Vis-à-vis des joueurs qui sont aux Etats-Unis, oui, mais pas en nombre comme nous. La Turquie, l’Allemagne et l’Espagne étaient dans ce cas aussi. Presque dans toutes les équipes, il y a eu des défections de bons joueurs. J’ai l’impression que les préparations ont été plus faciles dans les petits pays, je parle en surface. Par exemple, en Slovénie, ils sont réunis très régulièrement. Et on le voit car c’est un jeu qui est beaucoup plus abouti, ils ont l’habitude de s’entraîner ensemble. Pareil pour la Lituanie et puis, généralement, ils sont dans deux clubs, c’est plus plus facile de se regrouper. La Russie, elle, a réussi à récupérer deux bons joueurs de plus que cet été. Comme c’était notre premier match, on les a un peu pistés cet été, on avait récupéré des matches d’eux. Ces deux joueurs ont changé leur équipe. Bien sûr, certains ont été perturbés dans leur préparation puisqu’ils ont des joueurs dans des clubs pros.
L’ambassadeur de Russie a été assassiné durant votre séjour en Turquie. Avez-vous ressenti de la nervosité sur place ? Avez-vous été inquiet ?
L’environnement dans lequel on a vécu pour ce tournoi était très aseptisé. On était éloignés de ce qui pouvait se passer. Dans la rue, en prenant le bus pour aller à la salle, on ne voyait rien, sinon une vie normale dans une ville de Turquie. On était protégés de manière systématique avec des forces de police relativement présentes. Contrairement à d’habitude, le chauffeur de bus et le motard qui accompagnaient étaient les mêmes. La Turquie avait vraiment pris toutes les dispositions pour avoir un maximum de sécurité.
Jouer un championnat d’Europe dans une salle avec une seule tribune et un public indifférent, alors quece sont les matchs d’une vie pour ces jeunes, est-ce étrange ?
Vous avez raison. Une fois qu’ils ont réglé tous les problèmes avec leurs clubs, ils sont en compétition et ça devient un événement majeur. C’est très feutré mais il y a du monde dans les tribunes qui concerne leur avenir : des agents, des scouts NBA… Il y a de l’enjeu à tous les niveaux. Le premier objectif que l’on se donnait comme consigne, c’était de se qualifier pour le Mondial. Ce qui voulait dire que l’on avait gagné les quarts, que l’on se retrouvait en demi et là, les garçons ont déclaré : « nous voulons conserver le titre de notre génération, acquis en 2014 avec les cadets. » Ce type d’ambiance se retrouve souvent en FIBA, on n’a pas toujours des tribunes pleines pour voir les compétitions. Je ne connais pas l’environnement basket de cette ville de Samsun. Peut-être qu’il y aurait eu plus d’ambiance dans une autre ville… Si l’on avait joué la Turquie, je pense que les tribunes auraient été pleines et le fait qu’elle ne soit pas passée à la phase haute, ça a contribué à diminuer la présence de gens dans les tribunes. Généralement quand vous jouez devant le pays hôte et surtout en Turquie, la tribune est pleine.
", "comment_id":"387130", "plaintext":"Ce soir du 22 décembre dernier, les juniors français sont devenus champions d’Europe en Turquie. Leur coach Tahar Assed-Liegeon nous raconte de l’intérieur cet Euro U18 avant d’évoquer plus en détail ces Bleuets et leurs deux leaders, Frank Ntilikina, le MVP de la compétition, et Sekou Doumbouya élu dans le cinq all-stars à 16 ans.\n\nL’interview est en deux parties.\n\nRappelez-nous pourquoi et comment le championnat d’Europe prévu à Samsun, en Turquie, à la fin juillet, avait été reporté ?\n\nNous avions véritablement démarré la préparation fin juin après le bac. Tout allait normalement, stages, sélection et nous venions de faire un tournoi à Tarare. On repartait tranquillement chez nous pour se redonner rendez-vous le mercredi 20 à l’aéroport de Roissy pour partir en Turquie car la fédération turque nous avait invités à un tournoi de préparation. Sauf que le samedi matin au réveil, j’ai un collègue qui reçoit un coup de fil de sa famille qui lui dit : « Tu as vu ce qu’il se passe en Turquie ? » C’était le fameux coup d’Etat. La Grèce a réagi assez rapidement en envoyant un courrier à la FIBA en lui disant que les parents se posaient beaucoup de questions. Il y a eu une remise en question du tournoi. La FIBA a été prudente et a attendu la suite des événements. Nous sommes quand même partis en Turquie le 20 pour ce tournoi prévu les 22, 23 et 24 juillet. Et c’est quand nous étions en Turquie que la FIBA a décidé de reporter le championnat d’Europe, soit dans le dernier trimestre 2016, soit tout début 2017.\n\n\n« On a six, sept garçons sur les douze qui s’entraînent complètement avec les pros et d’ailleurs ça se voit dans les progrès qu’ils ont réalisés »\n\nCe report a été fait en décembre : certains joueurs, comme Frank Ntilikina, ont-ils été obligés d’interrompre leurs études ou leur parcours en club ?\n\nCe ne sont pas vraiment les études qui sont problématiques. Quand l’Euro 18 a lieu l’été, une partie des joueurs sort du Centre Fédéral et les autres sont en Espoirs et commencent à intégrer les pros. En revanche, là en décembre, les garçons avec six mois de plus sont avec des équipes professionnelles et les entraîneurs en ont besoin. On a ainsi six, sept garçons sur les douze qui s’entraînent complètement avec les pros et d’ailleurs, cela se voit dans les progrès qu’ils ont réalisés. C’est vrai que ça pose des problèmes à tout le monde, à la fédération car ça veut dire réorganiser quelque chose qui n’était pas programmé mais aussi aux clubs qui ont des matches de Pro A, de coupes d’Europe. Patrick Beesley (le DTN) m’a bien aidé et on avait fait deux petits regroupements, fin octobre et fin novembre, en accueillant les joueurs le dimanche soir pour ne pas gêner les clubs jusqu’au mardi matin. On avait décidé de ne pas convoquer Frank (Ntilikina) sur ces regroupements car c’était le seul à avoir du temps de jeu conséquent ; le plus important était qu’il vienne à l’Euro. Pour ceux qui s’entraînaient avec les pros mais qui ne jouaient pas vraiment, ça ne les perturbait pas et s’ils avaient un match le dimanche ou le mardi, on faisait un ajustement.\n\nÉtati-il impossible de faire venir pour quelques jours Killian Tillie, Jaylen Hoard et Renathan Ona Embo qui sont aux Etats-Unis ?\n\nJ’ai eu des contacts avec les familles et avec Killian directement. On se disait pour lui « pourvu qu’il ne joue pas avec son équipe » (sourire). Dès qu’il a eu un peu de temps de jeu avec Gonzaga, on était certain de ne pas l’avoir car ils avaient un planning chargé à Noël (NDLR : Killian Tillie joue 15’ par match pour 4,8 pts et 4,1 rbds). Quant à Jaylen, il avait un examen scolaire durant la période de Noël pour lui permettre de rentrer à l’université. Renathan est à Tulane et lui aussi joue vraiment avec l’équipe (NDLR : 19’ par match pour 4,8 pts à 32,1% aux shoots). C’était impossible de les avoir. Killian et Jaylen étaient passés par le Centre Fédéral, connaissaient bien le groupe, on aurait presque pu le faire mais c’était problématique vis-à-vis de leur université et leur école. Renathan, on ne l’a pas vu depuis un an et demi et ça aurait été de toutes façons compliqué. J’espère qu’il pourra se rendre disponible pour le Mondial.\n\nD’autres joueurs étaient-ils absents ?\n\nIl y a Nathan Mepandy (1,86m), qui est aussi aux Etats-Unis à la recherche d’une université. On avait beaucoup de monde sur le poste avec Frank Ntilikina, Abdou Ndoye, Bathiste Tchouaffé, Adam Mokoka, etc… donc on n’a pas trop insisté.\n\n\n« En demi, les garçons ont déclaré : « nous voulons garder le titre de notre génération acquis en 2014 avec les cadets. »\n\nToutes les autres équipes étaient-elles logées à la même enseigne ?\n\nVis-à-vis des joueurs qui sont aux Etats-Unis, oui, mais pas en nombre comme nous. La Turquie, l’Allemagne et l’Espagne étaient dans ce cas aussi. Presque dans toutes les équipes, il y a eu des défections de bons joueurs. J’ai l’impression que les préparations ont été plus faciles dans les petits pays, je parle en surface. Par exemple, en Slovénie, ils sont réunis très régulièrement. Et on le voit car c’est un jeu qui est beaucoup plus abouti, ils ont l’habitude de s’entraîner ensemble. Pareil pour la Lituanie et puis, généralement, ils sont dans deux clubs, c’est plus plus facile de se regrouper. La Russie, elle, a réussi à récupérer deux bons joueurs de plus que cet été. Comme c’était notre premier match, on les a un peu pistés cet été, on avait récupéré des matches d’eux. Ces deux joueurs ont changé leur équipe. Bien sûr, certains ont été perturbés dans leur préparation puisqu’ils ont des joueurs dans des clubs pros.\n\nL’ambassadeur de Russie a été assassiné durant votre séjour en Turquie. Avez-vous ressenti de la nervosité sur place ? Avez-vous été inquiet ?\n\nL’environnement dans lequel on a vécu pour ce tournoi était très aseptisé. On était éloignés de ce qui pouvait se passer. Dans la rue, en prenant le bus pour aller à la salle, on ne voyait rien, sinon une vie normale dans une ville de Turquie. On était protégés de manière systématique avec des forces de police relativement présentes. Contrairement à d’habitude, le chauffeur de bus et le motard qui accompagnaient étaient les mêmes. La Turquie avait vraiment pris toutes les dispositions pour avoir un maximum de sécurité.\n\nJouer un championnat d’Europe dans une salle avec une seule tribune et un public indifférent, alors quece sont les matchs d’une vie pour ces jeunes, est-ce étrange ?\n\nVous avez raison. Une fois qu’ils ont réglé tous les problèmes avec leurs clubs, ils sont en compétition et ça devient un événement majeur. C’est très feutré mais il y a du monde dans les tribunes qui concerne leur avenir : des agents, des scouts NBA… Il y a de l’enjeu à tous les niveaux. Le premier objectif que l’on se donnait comme consigne, c’était de se qualifier pour le Mondial. Ce qui voulait dire que l’on avait gagné les quarts, que l’on se retrouvait en demi et là, les garçons ont déclaré : « nous voulons conserver le titre de notre génération, acquis en 2014 avec les cadets. » Ce type d’ambiance se retrouve souvent en FIBA, on n’a pas toujours des tribunes pleines pour voir les compétitions. Je ne connais pas l’environnement basket de cette ville de Samsun. Peut-être qu’il y aurait eu plus d’ambiance dans une autre ville… Si l’on avait joué la Turquie, je pense que les tribunes auraient été pleines et le fait qu’elle ne soit pas passée à la phase haute, ça a contribué à diminuer la présence de gens dans les tribunes. Généralement quand vous jouez devant le pays hôte et surtout en Turquie, la tribune est pleine.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-28T14:22:35.000Z", "updated_at":"2016-12-28T14:24:55.000Z", "published_at":"2016-12-28T14:22:35.000Z", "custom_excerpt":"Ce soir du 22 décembre dernier, les juniors français sont devenus champions d’Europe en Turquie. 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Le club de la capitale lituanienne vient d’annoncer la nouvelle sur son site, Clevin Hannah signe au Lietuvos Rytas pour le reste de la saison.
Passé par la France entre la Pro B (Evreux en 2012/13) et la Pro A (Nancy en 2013/14), le natif de Rochester débarque en provenance du Demir Insaat Buyukcekmece où il compilait en moyenne 9,5 points et 4 passes décisives de moyenne en 8 matchs de première division turque.
En LNB (Pro A, Pro B, Playoffs et Leaders Cup confondus), l’ancien joueur de Bilbao tournait en moyenne à 13,8 points, 2,8 rebonds et 3,5 assists pour une évaluation de 13 en 78 matchs.
Photo : Eurocup
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Interrogé par SportKlub.rs, le président de l’agence BeoBasket, Misko Raznatovic s’est exprimé sur le futur de sa pépite Ante Zizic qui vient de rejoindre le Darussafaka Dogus en provenance du Cibona Zagreb.
« Sa signature avec Darussafaka n’est absolument pas un obstacle à son départ pour la NBA l’année prochaine. Si ça l’était, le transfert n’aurait pas eu lieu. Zizic sera dominant en NBA et je veux le voir là-bas le plus rapidement possible. »
En ce qui concerne l’impact qu’il aura dans sa nouvelle équipe, Raznatovic ne se fait aucun souci.
« Quand il était plus jeune, Ante s’est rendu à un entrainement avec Dragan Bender (NDLR : rookie NBA chez les Phoenix Suns) au Maccabi Tel-Aviv et à l’époque, David Blatt avait été plus impressionné par Zizic que par Bender. Peut-être que c’est un peu bizarre de recruter un jeune de 19 ans en plein milieu de la saison et d’attendre un impact immédiat sur le terrain de sa part, mais Zizic est complètement prêt à avoir cet impact et à donner la contribution nécessaire, à la fois mentalement et physiquement. »
Sélectionné à la 23e position de la dernière Draft NBA par les Boston Celtics, Ante Zizic rejoindra donc surement les Etats-Unis cet été.
", "comment_id":"387144", "plaintext":"Interrogé par SportKlub.rs, le président de l’agence BeoBasket, Misko Raznatovic s’est exprimé sur le futur de sa pépite Ante Zizic qui vient de rejoindre le Darussafaka Dogus en provenance du Cibona Zagreb.\n\n« Sa signature avec Darussafaka n’est absolument pas un obstacle à son départ pour la NBA l’année prochaine. Si ça l’était, le transfert n’aurait pas eu lieu. Zizic sera dominant en NBA et je veux le voir là-bas le plus rapidement possible. »\n\nEn ce qui concerne l’impact qu’il aura dans sa nouvelle équipe, Raznatovic ne se fait aucun souci.\n\n« Quand il était plus jeune, Ante s’est rendu à un entrainement avec Dragan Bender (NDLR : rookie NBA chez les Phoenix Suns) au Maccabi Tel-Aviv et à l’époque, David Blatt avait été plus impressionné par Zizic que par Bender. Peut-être que c’est un peu bizarre de recruter un jeune de 19 ans en plein milieu de la saison et d’attendre un impact immédiat sur le terrain de sa part, mais Zizic est complètement prêt à avoir cet impact et à donner la contribution nécessaire, à la fois mentalement et physiquement. »\n\nSélectionné à la 23e position de la dernière Draft NBA par les Boston Celtics, Ante Zizic rejoindra donc surement les Etats-Unis cet été.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-28T13:22:08.000Z", "updated_at":"2016-12-28T17:08:01.000Z", "published_at":"2016-12-28T13:22:08.000Z", "custom_excerpt":"Interrogé par SportKlub.rs, le président de l’agence BeoBasket, Misko Raznatovic s’est exprimé sur le futur de sa pépite Ante Zizic qui vient de rejoindre le Darussafaka Dogus en provenance du Cibona Zagreb.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad91b", "uuid":"71a4307d-5db9-401e-9a2c-78102f069c99", "title":"Nancy : méthode Coué ou non, Greg Beugnot croît au miracle", "slug":"nancy-methode-coue-ou-non-greg-beugnot-croit-au-miracle", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"http://s682549048.onlinehome.fr/wp-content/uploads/2016/12/Greg-Beugnot.jpg\",\"width\":600,\"height\":400}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"http://« Ce soir, on prend des éclats sur des aberrations. 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« Ce soir, on prend des éclats sur des aberrations. Des moments où on n’a plus de lucidité. Ce sont des passages comme ça qui nous coûtent cher. Mais ce qui est rassurant c’est qu’on en a beaucoup moins par rapport à avant. Ce soir, il y a environ 35 minutes où on a produit du bon basket. Il faut désormais travailler pour éliminer ça. Sur le contenu, il y a eu de très bonnes choses. Cela se joue à plein de détails. Ce soir on est parvenu à mettre en difficulté une équipe comme Nanterre. Il faut que les joueurs en soient conscients ! »
C’est le commentaire de Greg Beugnot, le coach nancéien, que l’on peut lire sur le site de Nanterre 92.
Le SLUC a fait ce que l’on appelle un bon match mais, au bout du compte, il s’est incliné 90-91. A noter les 22 points à 10/15 aux shoots de l’Américain Dario Hunt, conforme à sa sélection au All-Star Game. Mais peu importe : Nancy repart des Hauts-de-Seine sans un indispensable succès.
Il reste 19 matches à jouer et avec 3 victoires seulement, le SLUC est dans une situation d’urgence absolue. Hier, parmi ses concurrents directs, seul Cholet a gagné. Un moindre mal. Seulement de son côté, les Lorrains avancent à la vitesse de l’escargot : une victoire –à domicile- en huit matches face à Orléans. D’ailleurs l’OLB est la seule équipe mal classée contre laquelle le SLUC s’est imposé ; les victoires sur Monaco et Chalon prouvent que les Nancéiens sont à leur meilleur quand il n’y a pas de pression. Tout ceci fait dire à Greg Beugnot dans les colonnes de L’Est Républicain :
« C’est le challenge le plus difficile que je me dois de relever depuis que je suis dans le basket. Mais j’ai, en moi, une terrible envie d’y croire… »
Le quotidien ajoute pour sa part que « seul un miracle » peut sauver le club de la relégation. Etant donné la valeur de l’équipe lorraine, sa position actuelle et la concurrence qui n’est pas disposée à se laisser faire, on en est presque là.
", "comment_id":"387118", "plaintext":"« Ce soir, on prend des éclats sur des aberrations. Des moments où on n’a plus de lucidité. Ce sont des passages comme ça qui nous coûtent cher. Mais ce qui est rassurant c’est qu’on en a beaucoup moins par rapport à avant. Ce soir, il y a environ 35 minutes où on a produit du bon basket. Il faut désormais travailler pour éliminer ça. Sur le contenu, il y a eu de très bonnes choses. Cela se joue à plein de détails. Ce soir on est parvenu à mettre en difficulté une équipe comme Nanterre. Il faut que les joueurs en soient conscients ! »\n\nC’est le commentaire de Greg Beugnot, le coach nancéien, que l’on peut lire sur le site de Nanterre 92.\n\nLe SLUC a fait ce que l’on appelle un bon match mais, au bout du compte, il s’est incliné 90-91. A noter les 22 points à 10/15 aux shoots de l’Américain Dario Hunt, conforme à sa sélection au All-Star Game. Mais peu importe : Nancy repart des Hauts-de-Seine sans un indispensable succès.\n\n\nUne impossible course contre la montre ?\n\nIl reste 19 matches à jouer et avec 3 victoires seulement, le SLUC est dans une situation d’urgence absolue. Hier, parmi ses concurrents directs, seul Cholet a gagné. Un moindre mal. Seulement de son côté, les Lorrains avancent à la vitesse de l’escargot : une victoire –à domicile- en huit matches face à Orléans. D’ailleurs l’OLB est la seule équipe mal classée contre laquelle le SLUC s’est imposé ; les victoires sur Monaco et Chalon prouvent que les Nancéiens sont à leur meilleur quand il n’y a pas de pression. Tout ceci fait dire à Greg Beugnot dans les colonnes de L’Est Républicain :\n\n« C’est le challenge le plus difficile que je me dois de relever depuis que je suis dans le basket. Mais j’ai, en moi, une terrible envie d’y croire… »\n\nLe quotidien ajoute pour sa part que « seul un miracle » peut sauver le club de la relégation. Etant donné la valeur de l’équipe lorraine, sa position actuelle et la concurrence qui n’est pas disposée à se laisser faire, on en est presque là.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-28T12:41:13.000Z", "updated_at":"2016-12-28T12:42:15.000Z", "published_at":"2016-12-28T12:41:13.000Z", "custom_excerpt":"« Ce soir, on prend des éclats sur des aberrations. Des moments où on n’a plus de lucidité. Ce sont des passages comme ça qui nous coûtent cher. Mais ce qui est rassurant c’est qu’on en a beaucoup moins par rapport à avant. Ce soir, il y a environ 35 minutes où on a produit du… Continue reading Nanc", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad91c", "uuid":"dfd65808-8329-4112-9c07-b6e9073f4c89", "title":"Cholet engage Ivan Almeida", "slug":"cholet-engage-ivan-almeida", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/ivan-almeida.jpg\",\"width\":600,\"height\":340}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : LNB
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Treizième de Pro A avec un bilan de six victoires pour neuf défaites, Cholet se renforce. Ce mercredi matin, le club du Maine-et-Loire vient d’annoncer la signature d’Ivan Almeida (1,98 m, 27 ans).
Arrière-ailier de formation, l’international cap-verdien au passeport portugais était sans club en ce début de saison après s’être blessé à la main l’été dernier. Soigné à Lille durant les dernières semaines, le natif de Praia est donc de retour dans le circuit et découvrira la Pro A pour la première fois de sa carrière sous les ordres de Philippe Hervé.
Visage connu de la Pro B où il a évoluait durant les trois dernières saisons sous les couleurs de Lille puis de Roanne, le néo-choletais compilait 16,2 points de moyenne, 5,8 rebonds et 2,4 passes pour 15,9 d’évaluation en 30 minutes sur 109 matchs de saison régulière.
Redoutable attaquant, l’ancien top scoreur de l’antichambre de la Pro A en 2014/15 (18,1 points de moyenne avec le LMB), apportera toute son énergie et sa polyvalence à son nouveau groupe.
Parlant couramment le français et possédant le statut « bosman » pour évoluer dans l’élite, Ivan Almeida est engagé jusqu’à la fin de la saison.
Photo : LNB
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Il y a de l’eau dans le gaz entre le coach du Limoges CSP, Dule Vujosevic et son président Frédéric Forte. Pour le comprendre, il suffit de lire les déclarations teintées d’ironie et de dépit du Serbe lors de la conférence de presse qui a suivi la victoire hier soir sur Gravelines et rapportées par France Bleu.
« Ce n’est pas facile de travailler ici. On va ajouter deux nouveaux joueurs. C’est le président qui l’a décidé et qui a choisi ces joueurs. Je vais accepter qu’il les choisisse. Mais j’espère qu’il aura une enveloppe plus importante que la mienne pour les recruter ! Pour en savoir plus sur eux ? Demandez au président ! …
Dule Vujosevic tacle aussi Claude Bolotny, directeur du centre de formation, qui n’avait pas non plus hésité dernièrement à remettre en cause certains choix du staff des pros.
« Je le redis, ce n’est pas facile de travailler ici. Et pas seulement à cause de choses objectives. Certaines choses sont incompréhensibles. Comme la préparation de ce match. Le fait de ne pas avoir 12 joueurs pour s’entraîner avant une rencontre si importante, parce que le directeur du centre de formation préfère donner des vacances aux joueurs espoirs pour Noël, ce n’est pas normal. Je ne pense pas que ces erreurs ont été faites avec de mauvaises intentions ».
On ne s’ennuie jamais à Limoges !
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Sans club depuis le 22 novembre après avoir quitté Seville, Luka Zoric pourrait rebondir au Cibona Zagreb, d’après David Pick, où un spot s’est libéré suite au départ d’Ante Zizic pour le Darussafaka.
L’ancien intérieur du Fenerbahce connaît déjà bien la maison pour avoir évolué au Cibona en 2001/02, en 2004 et en 2007/08. En cinq saisons pleines en Euroleague sous les couleurs de Malaga, Fenerbahce et Zagreb, Zoric compilait en moyenne 8,7 points et 3,9 rebonds par match.
En huit matchs de championnat espagnol, le pivot croate tournait cette saison à 12,5 points et 4,7 rebonds pour une évaluation de 11,9 par rencontre avec le Real Betis Energia Plus.
", "comment_id":"387110", "plaintext":"Sans club depuis le 22 novembre après avoir quitté Seville, Luka Zoric pourrait rebondir au Cibona Zagreb, d’après David Pick, où un spot s’est libéré suite au départ d’Ante Zizic pour le Darussafaka.\n\nL’ancien intérieur du Fenerbahce connaît déjà bien la maison pour avoir évolué au Cibona en 2001/02, en 2004 et en 2007/08. En cinq saisons pleines en Euroleague sous les couleurs de Malaga, Fenerbahce et Zagreb, Zoric compilait en moyenne 8,7 points et 3,9 rebonds par match.\n\nEn huit matchs de championnat espagnol, le pivot croate tournait cette saison à 12,5 points et 4,7 rebonds pour une évaluation de 11,9 par rencontre avec le Real Betis Energia Plus.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-28T11:57:03.000Z", "updated_at":"2016-12-28T11:57:03.000Z", "published_at":"2016-12-28T11:57:03.000Z", "custom_excerpt":"Sans club depuis le 22 novembre après avoir quitté Seville, Luka Zoric pourrait rebondir au Cibona Zagreb, d’après David Pick, où un spot s’est libéré suite au départ d’Ante Zizic pour le Darussafaka.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad91f", "uuid":"bcdff396-9078-4ed7-9c88-5d84398932c7", "title":"Revue de presse du 28 décembre 2016", "slug":"revue-de-presse-du-28-decembre-2016", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/09/revue-de-presse.jpg\",\"width\":500,\"height\":308,\"alt\":\"revue-de-presse\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/lest-republicain.jpg\",\"width\":80,\"height\":44,\"alt\":\"l'est republicain\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/lest-republicain.jpg\",\"width\":80,\"height\":44,\"alt\":\"l'est republicain\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/lest-republicain.jpg\",\"width\":80,\"height\":44,\"alt\":\"l'est 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Bien parti tout cela dans une ambiance des grands soirs d’autant que le turnover engagé par Jean-Christophe Prat n’altérait… \"],[0,[5],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Lille a fini par trouver plus fort que lui à Saint-Sauveur!\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Avant d’entrer dans le vif du sujet, le Palais Saint-Sauveur, étiré au maximum de sa configuration basket (2 000 personnes dont un car de supporters carolomacériens), a d’abord fêté Deonte Burton, son meneur américain monté sur ressorts, invité à participer au concours de dunk du All Star Game (demain, à l’AccorHôtels Arena de Paris)… et clairement absent hier sur le parquet. Puis a tenté d’enc… \"],[0,[6],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le grand cru 2016 de l’Elan Chalon\"]]],[10,7],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– On ne s’étonne presque plus des exploits de l’Elan, comme mardi au Mans (65-74). 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PNM : le titre e… \"],[0,[15],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Doumbouya, une première en or\"]]],[10,16],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Sekou Doumbouya ne pouvait rêver de meilleur cadeau. Sacré champion d’Europe avec l’équipe de France U18 à la veille de son seizième anniversaire, l’ailier du PB a réalisé un superbe Euro en Turquie avec l’équipe de France dont le capitaine est le Poitevin Bathiste Tchouaffé (1). Si Sekou Doumbouya était hier soir de retour en Pro B sur le parq… \"],[0,[16],1,\"Lire la suite\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Couac de fin d’année\"]]],[10,17],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– Boulazac – Poitiers : 95-82 Le PB termine l’année par une défaite. 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– Gregor Beugnot : S’ils n’ont pas été nombreux, les passages où on fait n’importe quoi nous coûtent cher car on a fait 35 minutes de bon basket. Après… Lire la suite.
– Les Nancéiens étaient en vacances hier soir après le match. Si McFadden ne reviendra pas à Nancy (il a signé sa lettre de sortie hier soir après le… Lire la suite.
– Sans des pannes subites de lucidité, notamment à la fin du troisième quart-temps, le SLUC, qui a affiché ses progrès, aurait pu décrocher la timbale… Lire la suite.
– Fraîchement sacré champion d’Europe avec l’équipe de France U18, Frank Ntilikina a eu droit à un déluge d’applaudissements, avant-hier au Rhenus… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
![\"la](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/04/la-voix-du-nord.jpg\")
– La rencontre démarrait à l’avantage des Denaisiens obligeant déjà Jérôme Navier à prendre un temps mort dans l’urgence pour recadrer ses troupes mais surtout pour casser le rythme denaisien: 9-2 (3e). En vain car sous l’impulsion de Poupet, Voltaire confirmait: 16-6 (7e). Bien parti tout cela dans une ambiance des grands soirs d’autant que le turnover engagé par Jean-Christophe Prat n’altérait… Lire la suite.
– Avant d’entrer dans le vif du sujet, le Palais Saint-Sauveur, étiré au maximum de sa configuration basket (2 000 personnes dont un car de supporters carolomacériens), a d’abord fêté Deonte Burton, son meneur américain monté sur ressorts, invité à participer au concours de dunk du All Star Game (demain, à l’AccorHôtels Arena de Paris)… et clairement absent hier sur le parquet. Puis a tenté d’enc… Lire la suite.
– On ne s’étonne presque plus des exploits de l’Elan, comme mardi au Mans (65-74). Et pourtant, être au coude à coude avec Monaco après 15 journées… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– En quête de performance, Alain Thinet cherche encore la bonne formule pour permettre au SCBVG d’enchaîner les bons résultats. Dans ce contexte, B.A… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Largement dominé au rebond par une formation havraise plus athlétique, Saint-Chamond a laissé passer une nouvelle chance à la maison. 2017 sera… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Villeurbannais ont su mettre les mains dans le cambouis pour aller chercher un précieux succès en terre varoise… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Après une mi-temps de très bonne facture sans bénéfice comptable, la Chorale, sans défense, a explosé face à une belle équipe de Bourg… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– La JL en termine avec 2016 en signant une cinquième victoire consécutive. Les Bressans confortent leur place sur le podium avant de partir en… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Monaco est allé s’imposer sur le parquet de l’avant-dernier Orléans (86-61) pour conforter sa place de leader ce mardi… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Monaco est allé s’imposer sur le parquet de l’avant-dernier Orléans (86-61) pour conforter sa place de leader mardi lors de la 15e journée de ProA tandis qu’on commence à avoir une bonne idée des clubs qui joueront la Leaders Cup en février… Lire la suite.
– Après dix journées de championnat, et avant la reprise le 8 janvier, il reste une seule équipe invaincue : Joué (RF2). Et deux équipes sans le moindre succès : la Berrichonne (PNM) et Saint-Sulpice (PNF). Les trois clubs ayant marqué le plus de points sont Barjouville (884) et Fondettes (838) en PNM et Monts (729) en PNF. PNM : le titre e… Lire la suite.
– Sekou Doumbouya ne pouvait rêver de meilleur cadeau. Sacré champion d’Europe avec l’équipe de France U18 à la veille de son seizième anniversaire, l’ailier du PB a réalisé un superbe Euro en Turquie avec l’équipe de France dont le capitaine est le Poitevin Bathiste Tchouaffé (1). Si Sekou Doumbouya était hier soir de retour en Pro B sur le parq… Lire la suite.
– Boulazac – Poitiers : 95-82 Le PB termine l’année par une défaite. La faute à un passage à vide dans le troisième quart temps alors qu’il menait bien son match… Lire la suite.
– Rouen – Blois : 72-68 Alors qu’ils semblaient avoir le match en main, les Blésois ont craqué en deuxième mi-temps et se sont logiquement inclinés… Lire la suite.
– Ce fut un retour difficile. Trois rebonds et aucun point marqué (0/3 aux tirs) en 14 minutes. Mais Frank Ntilikina, honoré par le Rhénus ce lundi pour… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– La SIG a conclu l’année 2016 par une victoire en Pro A ce lundi contre Dijon au Rhénus. Avant de se retrouver samedi après-midi pour préparer la venue… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
", "comment_id":"387108", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nGregor Beugnot, après Nanterre – SLUC Nancy (90-81) : « On a fait 35 bonnes minutes »\n\n– Gregor Beugnot : S’ils n’ont pas été nombreux, les passages où on fait n’importe quoi nous coûtent cher car on a fait 35 minutes de bon basket. Après… Lire la suite.\n\n\nReprise le 5 janvier pour le SLUC Nancy\n\n– Les Nancéiens étaient en vacances hier soir après le match. Si McFadden ne reviendra pas à Nancy (il a signé sa lettre de sortie hier soir après le… Lire la suite.\n\n\nLe SLUC n’est pas passé loin à Nanterre (90-81)\n\n– Sans des pannes subites de lucidité, notamment à la fin du troisième quart-temps, le SLUC, qui a affiché ses progrès, aurait pu décrocher la timbale… Lire la suite.\n\n\nNtilikina, le tube de 2017 ?\n\n– Fraîchement sacré champion d’Europe avec l’équipe de France U18, Frank Ntilikina a eu droit à un déluge d’applaudissements, avant-hier au Rhenus… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSuperbe victoire collective de Denain face à Saint-Quentin pour cette dernière de2016\n\n– La rencontre démarrait à l’avantage des Denaisiens obligeant déjà Jérôme Navier à prendre un temps mort dans l’urgence pour recadrer ses troupes mais surtout pour casser le rythme denaisien: 9-2 (3e). En vain car sous l’impulsion de Poupet, Voltaire confirmait: 16-6 (7e). Bien parti tout cela dans une ambiance des grands soirs d’autant que le turnover engagé par Jean-Christophe Prat n’altérait… Lire la suite.\n\n\nLille a fini par trouver plus fort que lui à Saint-Sauveur!\n\n– Avant d’entrer dans le vif du sujet, le Palais Saint-Sauveur, étiré au maximum de sa configuration basket (2 000 personnes dont un car de supporters carolomacériens), a d’abord fêté Deonte Burton, son meneur américain monté sur ressorts, invité à participer au concours de dunk du All Star Game (demain, à l’AccorHôtels Arena de Paris)… et clairement absent hier sur le parquet. Puis a tenté d’enc… Lire la suite.\n\n\nLe grand cru 2016 de l’Elan Chalon\n\n– On ne s’étonne presque plus des exploits de l’Elan, comme mardi au Mans (65-74). Et pourtant, être au coude à coude avec Monaco après 15 journées… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nZukauskas n’a pas suffi\n\n– En quête de performance, Alain Thinet cherche encore la bonne formule pour permettre au SCBVG d’enchaîner les bons résultats. Dans ce contexte, B.A… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSaint-Chamond sens dessus dessous\n\n– Largement dominé au rebond par une formation havraise plus athlétique, Saint-Chamond a laissé passer une nouvelle chance à la maison. 2017 sera… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSans briller, mais sans trembler\n\n– Les Villeurbannais ont su mettre les mains dans le cambouis pour aller chercher un précieux succès en terre varoise… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nRoanne n’a tenu qu’une mi-temps\n\n– Après une mi-temps de très bonne facture sans bénéfice comptable, la Chorale, sans défense, a explosé face à une belle équipe de Bourg… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLa JL Bourg en patron face à la Chorale de Roanne\n\n– La JL en termine avec 2016 en signant une cinquième victoire consécutive. Les Bressans confortent leur place sur le podium avant de partir en… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nMonaco leader intouchable\n\n– Monaco est allé s’imposer sur le parquet de l’avant-dernier Orléans (86-61) pour conforter sa place de leader ce mardi… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nProA: Monaco toujours en tête, la lutte pour la Leaders Cup fait rage\n\n– Monaco est allé s’imposer sur le parquet de l’avant-dernier Orléans (86-61) pour conforter sa place de leader mardi lors de la 15e journée de ProA tandis qu’on commence à avoir une bonne idée des clubs qui joueront la Leaders Cup en février… Lire la suite.\n\n\nLes équipes féminines du Loir-et-Cher sont en difficultés\n\n– Après dix journées de championnat, et avant la reprise le 8 janvier, il reste une seule équipe invaincue : Joué (RF2). Et deux équipes sans le moindre succès : la Berrichonne (PNM) et Saint-Sulpice (PNF). Les trois clubs ayant marqué le plus de points sont Barjouville (884) et Fondettes (838) en PNM et Monts (729) en PNF. PNM : le titre e… Lire la suite.\n\n\nDoumbouya, une première en or\n\n– Sekou Doumbouya ne pouvait rêver de meilleur cadeau. Sacré champion d’Europe avec l’équipe de France U18 à la veille de son seizième anniversaire, l’ailier du PB a réalisé un superbe Euro en Turquie avec l’équipe de France dont le capitaine est le Poitevin Bathiste Tchouaffé (1). Si Sekou Doumbouya était hier soir de retour en Pro B sur le parq… Lire la suite.\n\n\nCouac de fin d’année\n\n– Boulazac – Poitiers : 95-82 Le PB termine l’année par une défaite. La faute à un passage à vide dans le troisième quart temps alors qu’il menait bien son match… Lire la suite.\n\n\nUne fin d’année au goût amer\n\n– Rouen – Blois : 72-68 Alors qu’ils semblaient avoir le match en main, les Blésois ont craqué en deuxième mi-temps et se sont logiquement inclinés… Lire la suite.\n\n\n« Ce n’est pas facile à 18 ans »\n\n– Ce fut un retour difficile. Trois rebonds et aucun point marqué (0/3 aux tirs) en 14 minutes. Mais Frank Ntilikina, honoré par le Rhénus ce lundi pour… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\n« On s’en sort bien »\n\n– La SIG a conclu l’année 2016 par une victoire en Pro A ce lundi contre Dijon au Rhénus. Avant de se retrouver samedi après-midi pour préparer la venue… Lire la suite. 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Photo : Euroleague
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Ce sont donc deux gros C.V. qui pourraient arriver dans le club 11 fois champion de France. Bremer a notamment évolué en NBA, en Euroleague ou en Eurocup en passant par notamment Boston, Cleveland, Fenerbahce ou encore Milan. La saison dernière il tournait à 11,3 points, 3,1 rebonds et 6,8 assists en 26 matchs avec le Kanyaspor Kulubu en deuxième division turque.
En Europe depuis la saison 2011/12, JR Bremer compile en moyenne sur le Vieux Continent 8,8 points, 2,2 rebonds et 3,5 passes décisives et il est donc sur le point de connaître sa première expérience en France.
Pour sa part, Dexter Pittman, au Japon jusqu’à aujourd’hui pour des moyennes de 7 points et 5,7 rebonds avec les Toyama Grouses, il a remporté un titre NBA avec Miami en 2012.
Peu utilisé dans sa carrière NBA (6,9 minutes en 50 matchs joués), le Texan compilait 2,3 points et 1,7 rebond.
\nLe Limoges CSP serait sur la piste de Dexter Pittman (2,11 m, 28 ans) champion NBA 2012 avec Miami.
\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) 27 décembre 2016
Encore des paris risqués pour la formation limougeaude qui pointe actuellement à la 11e place du classement (7v-8d) et qui tente de s’attirer les services de joueurs dont le niveau actuel laisse planer de sérieux doutes.
Photo : Euroleague
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Ce soir, l’ensemble des clubs de Pro A et de Pro B vont réserver une minute d’applaudissements à Pape Badiane, décédé accidentellement en fin de semaine dernière.
L’ancien international sera inhumé demain aux Ulis.
Son dernier club professionnel, le Poitiers Basket 86 publie cette vidéo sur les réseaux sociaux comme un ultime hommage à un homme que chacun aimait avoir comme copain.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/euroleague-logo.jpg\"){kind=logo}
L’Euroleague a confirmé qu’une réunion s’est tenue le 20 décembre en présence de huit ligues nationales dont la Ligue Nationale de Basket (LNB) représentée par son président Alain Béral. Au programme : la situation actuelle et l’évolution à venir de l’Euroleague et de l’Eurocup.
Les instances participantes furent l’ULEB, l’Adriatic Basketball Association, l’Asociacion de Clubs de Baloncesto (Espagne), la Basketball Bundesliga (Allemagne) la Lega Societa di Pallacanestro (Italie), la Ligue Nationale de Basket (France), la Lietuvos Krepsinio Lyga (Lituanie), la Basketball Super League (Russie) and la United Basketball League (VTB). L’Hellenic Association of Basketball (Grèce) et la Polska Liga Kszykowki (Pologne) étaient excusées.
Cette réunion annonce que l’année 2017 sera certainement fertile en rebondissements et que le basket professionnel français n’a pas forcément l’intention de mettre tout ses œufs dans le même panier comme pour la saison en cours. La LNB est actuellement la seule ligue majeure à ne pas être présente en Euroleague et Eurocup.
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Quinze jours après le départ de Leon Alexander, le CEP lorient vient de mettre la main sur son remplaçant. D’après le Télégramme, Milan Oluic renforce la formation de Nationale 1.
Costaud intérieur de 2,10 m pour 110 kg, le Serbe de 32 ans ne remplace pas poste par poste l’ailier canadien mais apportera un solide point d’ancrage dans la raquette.
Vu en Serbie en ce début de saison 2016/17, le géant a joué deux matchs avec Proleter Naftagas Zrenjanin pour une moyenne de 11 points et 2 rebonds en 16 minutes en deuxième division serbe.
Passé par la République tchèque en 2015/16 (7 points de moyenne avec Ostrava), l’expérimenté poste 5 a aussi joué en Slovaquie, Georgie et Roumanie.
Sous les ordres de Philippe Maucourant, il vivra sa première expérience en France.
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Libéré par le SLUC Nancy, Thaddeus McFadden (1,88m, 29 ans) a été engagé par l’un des clubs les plus prestigieux du continent, le PAOK Salonique.
Ceci dit, l’aura du grand rival de l’Aris date un peu car depuis la crise économique qui s’est abattue sur le pays, le PAOK est rentré dans le rang. Il stationne actuellement à la 5e place avec 7 victoires et 5 défaites, loin de l’Olympiakos (12-0) et du Pana (11-1) qui s’entre-dévorent.
En 14 matches de Pro A, Thaddeus McFadden, qui est davantage deuxième arrière que meneur, a compilé 12,4 points (27,6% à trois-points), 1,9 passe et 2,3 rebonds.
Photo : SLUC Basket Nancy
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Du côté de Monaco sont absents Brandon Davies, Yakuba Ouattara et Jamal Shuler. Cela voudrait-il dire que les forces sont rééquilibrées entre le leader et Orléans, qui est à l’autre extrémité au classement, 16e ? Les deux équipes s’affrontant ce soir (19h00 sur SFR Sport 2).
Pas vraiment puisque l’OLB se présente sans Antoine Eito, Jonathan Kazadi, Kyle McAlarney, Antoine Mendy, Marcellus Sommerville, ce qui fait vraiment beaucoup pour une équipe qui n’est déjà pas à la base parmi les plus étoffées de Pro A. Pourtant le coach Pierre Vincent qui reconnaît la valeur de l’opposition veut y croire quand il s’exprime dans La République du Centre :
« Monaco est une équipe très impressionnante défensivement. Au niveau athlétique. J’ai vu leurs matches contre Dijon en vidéo dans le bus quand on revenait de Nancy. Et je n’ai pas vu beaucoup d’angles d’attaque. Parce qu’ils sont super intenses, super engagés, ils ont des rotations . Ils ont un effectif énorme avec un potentiel athlétique très impressionnant. » Mais donc… « Ils sont moins forts défensivement aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a un mois. Après, cela reste une grosse équipe avec des gros joueurs. Mais, le match qu’ils ont fait contre Pau laisse penser que ce n’est pas impossible. »
On verra si cette réflexion qui ne manque pas d’audace est prémonitoire.
Photo : LNB
", "comment_id":"387058", "plaintext":"Du côté de Monaco sont absents Brandon Davies, Yakuba Ouattara et Jamal Shuler. Cela voudrait-il dire que les forces sont rééquilibrées entre le leader et Orléans, qui est à l’autre extrémité au classement, 16e ? Les deux équipes s’affrontant ce soir (19h00 sur SFR Sport 2).\n\nPas vraiment puisque l’OLB se présente sans Antoine Eito, Jonathan Kazadi, Kyle McAlarney, Antoine Mendy, Marcellus Sommerville, ce qui fait vraiment beaucoup pour une équipe qui n’est déjà pas à la base parmi les plus étoffées de Pro A. Pourtant le coach Pierre Vincent qui reconnaît la valeur de l’opposition veut y croire quand il s’exprime dans La République du Centre :\n\n« Monaco est une équipe très impressionnante défensivement. Au niveau athlétique. J’ai vu leurs matches contre Dijon en vidéo dans le bus quand on revenait de Nancy. Et je n’ai pas vu beaucoup d’angles d’attaque. Parce qu’ils sont super intenses, super engagés, ils ont des rotations . Ils ont un effectif énorme avec un potentiel athlétique très impressionnant. » Mais donc… « Ils sont moins forts défensivement aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a un mois. Après, cela reste une grosse équipe avec des gros joueurs. Mais, le match qu’ils ont fait contre Pau laisse penser que ce n’est pas impossible. »\n\nOn verra si cette réflexion qui ne manque pas d’audace est prémonitoire.\n\nPhoto : LNB", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-27T13:39:30.000Z", "updated_at":"2016-12-27T13:39:30.000Z", "published_at":"2016-12-27T13:39:30.000Z", "custom_excerpt":"Du côté de Monaco sont absents Brandon Davies, Yakuba Ouattara et Jamal Shuler. Cela voudrait-il dire que les forces sont rééquilibrées entre le leader et Orléans, qui est à l’autre extrémité au classement, 16e ? Les deux équipes s’affrontant ce soir (19h00 sur SFR Sport 2). Pas vraiment puisque l’O", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad926", "uuid":"063d3eb2-b868-4048-a6b9-baee0609935d", "title":"Maccabi Tel-Aviv : Quincy Miller sur le retour", "slug":"maccabi-tel-aviv-quincy-miller-sur-le-retour", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/quincy-miller-crvena-zvezda-telekom-belgrade-eb15-e1482843207211.jpg\",\"width\":800,\"height\":400}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Victime d’une rupture des ligaments croisés courant juillet, Quincy Miller devait être indisponible entre six et neuf mois.
Le Maccabi vient d’annoncer aujourd’hui sur son site que le natif de Chicago est de retour. L’ancien joueur des Nuggets de Denver pourrait donc faire ses débuts avec Tel-Aviv contre le Baskonia jeudi à l’occasion de la 15e journée d’Euroleague.
La saison dernière avec l’Étoile Rouge de Belgrade, Miller compilait 14,1 points, 5,7 rebonds et 1,5 contre de moyenne en C1. Il avait notamment inscrit 24 points, capté 12 rebonds et mis 4 contres dans la défaite de son équipe sur le parquet de la SIG (78-75) le 19 novembre 2015 lors de la sixième journée d’Euroleague.
Photo : Euroleague
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Je peux vous dire que le 24, quand je suis descendu finir mes courses aux Halles à Roanne, il y en avait beaucoup qui avaient les yeux rouges car c’est quelqu’un qui a laissé énormément de sentiments d’amitié, plus que ça même. C’était le plus gentil des pivots du monde. Et on a eu la chance avec lui, avec le plus petit budget de Pro A, d’être champion de France. Ce sont des souvenirs qu’on ne peut pas nous enlever. J’ai réussi à peu près à me contenir… Mais j’ai trouvé que c’était long à la fin. Pas pour Pape, bien sûr… J’ai dit à mes joueurs que je les remerciais car une victoire ici c’est un hommage que je voulais lui rendre. C’est quelqu’un qui a compté dans ma carrière de coach et qui, encore une fois, était un être droit et gentil. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Peur sur la ville\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Donc l’Elan Chalon a remporté ce choc au Mans, 74-65. 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En plus on a ajouté son frère de sang comme je l’appelle en la personne d’Abdou (Ndlr : Loum, 2,08m). Je me répète : ce n’est pas quantifiable ce qu’il fait. Dévier les trajectoires, interdire l’accès à la raquette, ce n’est pas dans les lignes que vous voyez. C’est terrible ! J’ai rarement eu dans ma carrière ce sentiment par moment de tranquillité lorsqu’il est là et que je vois les petits meneurs rentrer, je me dis qu’ils vont ressortir. C’est ce qui se produit. Et on n’a pas beaucoup vu non plus les pivots lui shooter sur la tête. On va en profiter pour les quelques mois qu’il va passer avec nous car s’il ne joue pas un jour en NBA ou dans un grand club européen, je n’y comprends plus rien. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Le 11/15 de Cameron Clark\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Durant ce premier quart d’heure de jeu, tout ce qu’a fait Chalon a été très propre, très efficace. Les Chalonnais étaient installés dans le poste de commandement et pas question de lâcher les manettes. 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L’avance à la mi-temps avait fondu (38-36). Curiosité des chiffres, l’évaluation était pourtant autrement plus disparate, 55-31.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« C’est le basket », commente le coach chalonnais. « On n’est pas du foot où l’on peut garder la balle. Il faut shooter au bout de vingt-quatre secondes. Quand vous shootez et que vous marquez l’écart augmente, si vous les manquez l’équipe revient, c’est aussi simple que ça. Si on pouvait maintenir un écart de quinze points à tous les matches les spectateurs n’auraient pas besoin de venir. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’Elan repose essentiellement sur six joueurs et n’est donc pas meublé comme les équipes qui font la Basketball Champions League. Zeke Marshall n’a pas grand chose d’autre à proposer que ses 2,13m.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« On a encore des joueurs à mettre dedans qui n’arrivent pas encore à se trouver mais tant que l’on gagne et qu’ils donnent cinq ou six minutes de rotation à Mous Fall sans trop trouer ça me va bien. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Malgré la série de Giordan Watson\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’était un match d’hommes avec deux équipes qui se regardent les yeux dans les yeux et à un moment Mickaël Gelabale a rappelé à tous qu’il était il n’y a pas très longtemps dans le cinq majeur de l’équipe nationale. Mais le MSB n’a jamais pu réellement détraquer le jeu bourguignon, mené de main de maître par John Roberson, et jamais n’est passé devant.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un trois points \"],[0,[0],1,\"in your face\"],[0,[],0,\" de Jérémy Nzeulie et un autre symétrique de John Roberson ont décramponné de nouveau les Manceaux (63-49, 33’). Une série de tirs primés du petit meneur Giordan Watson (1,75m) a redonné espoir au MSB, mais Chalon avait une classe au-dessus. Anecdote : l’Elan dû attendre la 39\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" minute pour obtenir son premier lancer.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Ce n’est pas le plus joli match que l’on est fait mais on sait que lorsqu’on joue contre Le Mans, il faut ferrailler et parfois passer un peu sur l’esthétique. On a été assez sérieux en défense, on les a bloqués à 65 points mais où ils sont durs à jouer ce n’est pas sur leur attaque mais au niveau du rebond. J’ai insisté sur le blocage au rebond et le jeu low post en particulier avec (Ryan) Pearson et Gelabale. On a mis un peu de temps à s’adapter et après, tous les paniers qu’ils nous ont mis quand ils sont revenus c’est soit sur des pertes de balles soit sur des rebonds offensifs. On a bien tenu le choc. C’était important de bien confirmer notre bon début de saison. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"10 victoires en 11 matches\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’était la 10\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" victoire en 11 matches des Chalonnais –seul dans la série Gravelines les a fait chuter-, très solides dauphins de Monaco. Une énorme confiance semble les habiter. La greffe de défenseurs (Mous Fall, Jérémy Nzeulie, Gédéon Pitard) a complètement prise sur cette équipe jugée depuis plusieurs années exclusivement offensive. Deuxième attaque et troisième défense, c’est un excellent combiné. Comme par hasard, seul Monaco fait mieux.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« On oublie que l’on est neuvième masse salariale. Je connais les raccourcis que l’on peut faire : si on ne finit pas dans les trois premiers, on aura fait une mauvaise saison. Faire un bon début ça a aussi ces inconvénients… Si on peut démarrer fort et finir fort, c’est très bien. Je suis content car on a quand même rapporté des pièces à l’effectif en particulier Abdou qui n’apporte pas énormément mais qui ne troue pas. Il fait des erreurs de jeunesse mais il est là en défense. Ça fait une présence sur le terrain qui est importante. Personne ne rigole quand il est dans la raquette. Je les vois, ils traversent la raquette, ils ressortent mais ils n’ont pas le sourire. Je pense qu’on y est un peu pour quelque chose. John a été encore une fois précieux dans le money time même si le meneur en face a mis des gros, gros tirs à trois car franchement il en a mis deux, je ne sais pas d’où ils viennent. En plus avec sa mécanique de shoot qui est vraiment très particulière. Ce n’est pas à montrer dans les écoles mais c’est efficace. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Le coup de gueule de JDC\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour clôturer la soirée, Jean-Denys Choulet a poussé son petit coup de gueule coutumier. Sa cible : le calendrier sachant que la trêve de la Pro A ne correspond pas exactement à celle des Coupes d’Europe.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Honnêtement, on en a besoin. Avec la FIBA Europe Cup, même si ce n’est pas la plus reluisante des coupes d’Europe, aller en Suède, en Roumanie, en Turquie, ce n’est pas de tout repos. En plus, moi j’ai le bonheur et le malheur entre guillemets de coacher le All-Star Game, ce qui veut dire un jour et demi de repos avant et un jour et demi de repos après. J’ai cinq joueurs de l’équipe qui y sont. C’est compliqué. Ma mère pensait que je pourrais lui faire un petit coucou à Besançon, ben non. On va essayer de donner un peu de jours aux joueurs car franchement ils en ont besoin. Les Journées de Noël, franchement, c’est trop. On n’a pas besoin de ça pour remplir les salles, elle l’est toujours la notre. Si on était venu en bus, ils les auraient ouverts quand les paquets ? Il faut être sérieux dans la vie. Il faut être respectueux des joueurs, ils ont droit de partager au moins une fête en famille. Nous, on s’entraîne le premier puisqu’on joue le 4. J’adore mon métier mais il y a quand même un minimum à respecter. Il y a des choses qui sont en place dans les conventions collectives, que l’on doit donner six jours à nos joueurs, et que l’on ne peut même pas respecter. J’aimerais, mais je ne peux pas. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bon, Jean-Denys Choulet et ses joueurs ne sont pas non plus les damnés de la terre. Alors le coach tempère son commentaire pour sa sortie :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Après, si on continue à gagner des matches et que l’on n’a pas de congés, ce n’est pas grave. »\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/jean-denys-choulet-e1482844488154.jpg\")
Au centre du terrain d’Antarès, Jean-Denys Choulet, son coach à Roanne et Christophe Le Bouille, son président au Mans portant son maillot 12 au MSB floqué à son nom et encadré. Quelques instants de recueillement puis une longue salve d’applaudissements. Comme partout dans le basket professionnel, la mémoire de Pape Badiane, décédé en fin de semaine dernière à trente-six ans dans un accident de circulation, a été saluée.
« J’avais demandé à la personne qui est venue me voir de ne pas me faire prendre la parole car pour moi c’était quelque chose de très particulier », confie Jean-Denys Choulet. « Pape, c’est moi qui l’ais recruté, je l’ai fait venir des Etats-Unis. On a été champions de France ensemble. C’était mon capitaine. Il a passé de longues années chez nous. Sa femme est Roannaise. Je peux vous dire que le 24, quand je suis descendu finir mes courses aux Halles à Roanne, il y en avait beaucoup qui avaient les yeux rouges car c’est quelqu’un qui a laissé énormément de sentiments d’amitié, plus que ça même. C’était le plus gentil des pivots du monde. Et on a eu la chance avec lui, avec le plus petit budget de Pro A, d’être champion de France. Ce sont des souvenirs qu’on ne peut pas nous enlever. J’ai réussi à peu près à me contenir… Mais j’ai trouvé que c’était long à la fin. Pas pour Pape, bien sûr… J’ai dit à mes joueurs que je les remerciais car une victoire ici c’est un hommage que je voulais lui rendre. C’est quelqu’un qui a compté dans ma carrière de coach et qui, encore une fois, était un être droit et gentil. »
Donc l’Elan Chalon a remporté ce choc au Mans, 74-65. Les Bourguignons ont su d’entrée varier les plaisirs entre un tir en crochet de Moustapha Fall, une pénétration de John Roberson, un trois-points de Lance Harris et… une solide défense symbolisée par un contre de Fall sur un Olivier Hanlan pourtant a priori esseulé.
Moustapha Fall (2,18m), c’est un vrai big man comme il y en a si peu en Pro A où les pivots font parfois deux mètres. Avec lui, c’est Peur sur la Ville ! Ce qui a été marquant hier soir, c’est l’obligation faite à ceux qui pénètrent de ressortir la balle pour éviter la bâche. Ça ne se lit pas sur la feuille de stats et c’est pour cela que son impact va au-delà des 8 points (4/5 aux shoots), 8 rebonds et 4 contres que l’on voit à l’œil nu.
« Mous c’est l’intimidateur », confirme son coach. « Il suffit de demander aux joueurs s’ils ont envie de shooter quand il est là. En plus on a ajouté son frère de sang comme je l’appelle en la personne d’Abdou (Ndlr : Loum, 2,08m). Je me répète : ce n’est pas quantifiable ce qu’il fait. Dévier les trajectoires, interdire l’accès à la raquette, ce n’est pas dans les lignes que vous voyez. C’est terrible ! J’ai rarement eu dans ma carrière ce sentiment par moment de tranquillité lorsqu’il est là et que je vois les petits meneurs rentrer, je me dis qu’ils vont ressortir. C’est ce qui se produit. Et on n’a pas beaucoup vu non plus les pivots lui shooter sur la tête. On va en profiter pour les quelques mois qu’il va passer avec nous car s’il ne joue pas un jour en NBA ou dans un grand club européen, je n’y comprends plus rien. »
Durant ce premier quart d’heure de jeu, tout ce qu’a fait Chalon a été très propre, très efficace. Les Chalonnais étaient installés dans le poste de commandement et pas question de lâcher les manettes. Après treize minutes et demi, ils avaient fait monter la température à +15 (39-14) sur un tir primé de leur intérieur all-star Cameron Clark (1,98m). L’Américain a effectué une démonstration offensive à Antarès : 25 points à 11/15 aux tirs tout en récoltant 9 rebonds pour une évaluation de 31.
« Il est à vingt-cinq points, c’est sa moyenne », constate Jean-Denys Choulet. « Il a vingt-et-un point à la mi-temps. Il ne faut pas lui demander de refaire vingt-et-un derrière où alors c’est Jordan. C’est un bon joueur, je le savais. C’est un petit poste 4 bondissant et en plus il commence à mettre une flèche de plus dans son carquois, il est capable de mettre des tirs à trois-points, il le travaille tous les jours. S’il devient fiable à trois-points, ça va être dur de l’arrêter. »
Piqué au vif avec un Lahou Konaté tranchant, le MSB est revenu à la charge. L’avance à la mi-temps avait fondu (38-36). Curiosité des chiffres, l’évaluation était pourtant autrement plus disparate, 55-31.
« C’est le basket », commente le coach chalonnais. « On n’est pas du foot où l’on peut garder la balle. Il faut shooter au bout de vingt-quatre secondes. Quand vous shootez et que vous marquez l’écart augmente, si vous les manquez l’équipe revient, c’est aussi simple que ça. Si on pouvait maintenir un écart de quinze points à tous les matches les spectateurs n’auraient pas besoin de venir. »
L’Elan repose essentiellement sur six joueurs et n’est donc pas meublé comme les équipes qui font la Basketball Champions League. Zeke Marshall n’a pas grand chose d’autre à proposer que ses 2,13m.
« On a encore des joueurs à mettre dedans qui n’arrivent pas encore à se trouver mais tant que l’on gagne et qu’ils donnent cinq ou six minutes de rotation à Mous Fall sans trop trouer ça me va bien. »
C’était un match d’hommes avec deux équipes qui se regardent les yeux dans les yeux et à un moment Mickaël Gelabale a rappelé à tous qu’il était il n’y a pas très longtemps dans le cinq majeur de l’équipe nationale. Mais le MSB n’a jamais pu réellement détraquer le jeu bourguignon, mené de main de maître par John Roberson, et jamais n’est passé devant.
Un trois points in your face de Jérémy Nzeulie et un autre symétrique de John Roberson ont décramponné de nouveau les Manceaux (63-49, 33’). Une série de tirs primés du petit meneur Giordan Watson (1,75m) a redonné espoir au MSB, mais Chalon avait une classe au-dessus. Anecdote : l’Elan dû attendre la 39e minute pour obtenir son premier lancer.
« Ce n’est pas le plus joli match que l’on est fait mais on sait que lorsqu’on joue contre Le Mans, il faut ferrailler et parfois passer un peu sur l’esthétique. On a été assez sérieux en défense, on les a bloqués à 65 points mais où ils sont durs à jouer ce n’est pas sur leur attaque mais au niveau du rebond. J’ai insisté sur le blocage au rebond et le jeu low post en particulier avec (Ryan) Pearson et Gelabale. On a mis un peu de temps à s’adapter et après, tous les paniers qu’ils nous ont mis quand ils sont revenus c’est soit sur des pertes de balles soit sur des rebonds offensifs. On a bien tenu le choc. C’était important de bien confirmer notre bon début de saison. »
C’était la 10e victoire en 11 matches des Chalonnais –seul dans la série Gravelines les a fait chuter-, très solides dauphins de Monaco. Une énorme confiance semble les habiter. La greffe de défenseurs (Mous Fall, Jérémy Nzeulie, Gédéon Pitard) a complètement prise sur cette équipe jugée depuis plusieurs années exclusivement offensive. Deuxième attaque et troisième défense, c’est un excellent combiné. Comme par hasard, seul Monaco fait mieux.
« On oublie que l’on est neuvième masse salariale. Je connais les raccourcis que l’on peut faire : si on ne finit pas dans les trois premiers, on aura fait une mauvaise saison. Faire un bon début ça a aussi ces inconvénients… Si on peut démarrer fort et finir fort, c’est très bien. Je suis content car on a quand même rapporté des pièces à l’effectif en particulier Abdou qui n’apporte pas énormément mais qui ne troue pas. Il fait des erreurs de jeunesse mais il est là en défense. Ça fait une présence sur le terrain qui est importante. Personne ne rigole quand il est dans la raquette. Je les vois, ils traversent la raquette, ils ressortent mais ils n’ont pas le sourire. Je pense qu’on y est un peu pour quelque chose. John a été encore une fois précieux dans le money time même si le meneur en face a mis des gros, gros tirs à trois car franchement il en a mis deux, je ne sais pas d’où ils viennent. En plus avec sa mécanique de shoot qui est vraiment très particulière. Ce n’est pas à montrer dans les écoles mais c’est efficace. »
Pour clôturer la soirée, Jean-Denys Choulet a poussé son petit coup de gueule coutumier. Sa cible : le calendrier sachant que la trêve de la Pro A ne correspond pas exactement à celle des Coupes d’Europe.
« Honnêtement, on en a besoin. Avec la FIBA Europe Cup, même si ce n’est pas la plus reluisante des coupes d’Europe, aller en Suède, en Roumanie, en Turquie, ce n’est pas de tout repos. En plus, moi j’ai le bonheur et le malheur entre guillemets de coacher le All-Star Game, ce qui veut dire un jour et demi de repos avant et un jour et demi de repos après. J’ai cinq joueurs de l’équipe qui y sont. C’est compliqué. Ma mère pensait que je pourrais lui faire un petit coucou à Besançon, ben non. On va essayer de donner un peu de jours aux joueurs car franchement ils en ont besoin. Les Journées de Noël, franchement, c’est trop. On n’a pas besoin de ça pour remplir les salles, elle l’est toujours la notre. Si on était venu en bus, ils les auraient ouverts quand les paquets ? Il faut être sérieux dans la vie. Il faut être respectueux des joueurs, ils ont droit de partager au moins une fête en famille. Nous, on s’entraîne le premier puisqu’on joue le 4. J’adore mon métier mais il y a quand même un minimum à respecter. Il y a des choses qui sont en place dans les conventions collectives, que l’on doit donner six jours à nos joueurs, et que l’on ne peut même pas respecter. J’aimerais, mais je ne peux pas. »
Bon, Jean-Denys Choulet et ses joueurs ne sont pas non plus les damnés de la terre. Alors le coach tempère son commentaire pour sa sortie :
« Après, si on continue à gagner des matches et que l’on n’a pas de congés, ce n’est pas grave. »
Photo : FIBA Europe Cup
", "comment_id":"387053", "plaintext":"Au centre du terrain d’Antarès, Jean-Denys Choulet, son coach à Roanne et Christophe Le Bouille, son président au Mans portant son maillot 12 au MSB floqué à son nom et encadré. Quelques instants de recueillement puis une longue salve d’applaudissements. Comme partout dans le basket professionnel, la mémoire de Pape Badiane, décédé en fin de semaine dernière à trente-six ans dans un accident de circulation, a été saluée.\n\n« J’avais demandé à la personne qui est venue me voir de ne pas me faire prendre la parole car pour moi c’était quelque chose de très particulier », confie Jean-Denys Choulet. « Pape, c’est moi qui l’ais recruté, je l’ai fait venir des Etats-Unis. On a été champions de France ensemble. C’était mon capitaine. Il a passé de longues années chez nous. Sa femme est Roannaise. Je peux vous dire que le 24, quand je suis descendu finir mes courses aux Halles à Roanne, il y en avait beaucoup qui avaient les yeux rouges car c’est quelqu’un qui a laissé énormément de sentiments d’amitié, plus que ça même. C’était le plus gentil des pivots du monde. Et on a eu la chance avec lui, avec le plus petit budget de Pro A, d’être champion de France. Ce sont des souvenirs qu’on ne peut pas nous enlever. J’ai réussi à peu près à me contenir… Mais j’ai trouvé que c’était long à la fin. Pas pour Pape, bien sûr… J’ai dit à mes joueurs que je les remerciais car une victoire ici c’est un hommage que je voulais lui rendre. C’est quelqu’un qui a compté dans ma carrière de coach et qui, encore une fois, était un être droit et gentil. »\n\n\nPeur sur la ville\n\nDonc l’Elan Chalon a remporté ce choc au Mans, 74-65. Les Bourguignons ont su d’entrée varier les plaisirs entre un tir en crochet de Moustapha Fall, une pénétration de John Roberson, un trois-points de Lance Harris et… une solide défense symbolisée par un contre de Fall sur un Olivier Hanlan pourtant a priori esseulé.\n\nMoustapha Fall (2,18m), c’est un vrai big man comme il y en a si peu en Pro A où les pivots font parfois deux mètres. Avec lui, c’est Peur sur la Ville ! Ce qui a été marquant hier soir, c’est l’obligation faite à ceux qui pénètrent de ressortir la balle pour éviter la bâche. Ça ne se lit pas sur la feuille de stats et c’est pour cela que son impact va au-delà des 8 points (4/5 aux shoots), 8 rebonds et 4 contres que l’on voit à l’œil nu.\n\n« Mous c’est l’intimidateur », confirme son coach. « Il suffit de demander aux joueurs s’ils ont envie de shooter quand il est là. En plus on a ajouté son frère de sang comme je l’appelle en la personne d’Abdou (Ndlr : Loum, 2,08m). Je me répète : ce n’est pas quantifiable ce qu’il fait. Dévier les trajectoires, interdire l’accès à la raquette, ce n’est pas dans les lignes que vous voyez. C’est terrible ! J’ai rarement eu dans ma carrière ce sentiment par moment de tranquillité lorsqu’il est là et que je vois les petits meneurs rentrer, je me dis qu’ils vont ressortir. C’est ce qui se produit. Et on n’a pas beaucoup vu non plus les pivots lui shooter sur la tête. On va en profiter pour les quelques mois qu’il va passer avec nous car s’il ne joue pas un jour en NBA ou dans un grand club européen, je n’y comprends plus rien. »\n\n\nLe 11/15 de Cameron Clark\n\nDurant ce premier quart d’heure de jeu, tout ce qu’a fait Chalon a été très propre, très efficace. Les Chalonnais étaient installés dans le poste de commandement et pas question de lâcher les manettes. Après treize minutes et demi, ils avaient fait monter la température à +15 (39-14) sur un tir primé de leur intérieur all-star Cameron Clark (1,98m). L’Américain a effectué une démonstration offensive à Antarès : 25 points à 11/15 aux tirs tout en récoltant 9 rebonds pour une évaluation de 31.\n\n« Il est à vingt-cinq points, c’est sa moyenne », constate Jean-Denys Choulet. « Il a vingt-et-un point à la mi-temps. Il ne faut pas lui demander de refaire vingt-et-un derrière où alors c’est Jordan. C’est un bon joueur, je le savais. C’est un petit poste 4 bondissant et en plus il commence à mettre une flèche de plus dans son carquois, il est capable de mettre des tirs à trois-points, il le travaille tous les jours. S’il devient fiable à trois-points, ça va être dur de l’arrêter. »\n\n\nUn banc limité\n\nPiqué au vif avec un Lahou Konaté tranchant, le MSB est revenu à la charge. L’avance à la mi-temps avait fondu (38-36). Curiosité des chiffres, l’évaluation était pourtant autrement plus disparate, 55-31.\n\n« C’est le basket », commente le coach chalonnais. « On n’est pas du foot où l’on peut garder la balle. Il faut shooter au bout de vingt-quatre secondes. Quand vous shootez et que vous marquez l’écart augmente, si vous les manquez l’équipe revient, c’est aussi simple que ça. Si on pouvait maintenir un écart de quinze points à tous les matches les spectateurs n’auraient pas besoin de venir. »\n\nL’Elan repose essentiellement sur six joueurs et n’est donc pas meublé comme les équipes qui font la Basketball Champions League. Zeke Marshall n’a pas grand chose d’autre à proposer que ses 2,13m.\n\n« On a encore des joueurs à mettre dedans qui n’arrivent pas encore à se trouver mais tant que l’on gagne et qu’ils donnent cinq ou six minutes de rotation à Mous Fall sans trop trouer ça me va bien. »\n\n\nMalgré la série de Giordan Watson\n\nC’était un match d’hommes avec deux équipes qui se regardent les yeux dans les yeux et à un moment Mickaël Gelabale a rappelé à tous qu’il était il n’y a pas très longtemps dans le cinq majeur de l’équipe nationale. Mais le MSB n’a jamais pu réellement détraquer le jeu bourguignon, mené de main de maître par John Roberson, et jamais n’est passé devant.\n\nUn trois points in your face de Jérémy Nzeulie et un autre symétrique de John Roberson ont décramponné de nouveau les Manceaux (63-49, 33’). Une série de tirs primés du petit meneur Giordan Watson (1,75m) a redonné espoir au MSB, mais Chalon avait une classe au-dessus. Anecdote : l’Elan dû attendre la 39e minute pour obtenir son premier lancer.\n\n« Ce n’est pas le plus joli match que l’on est fait mais on sait que lorsqu’on joue contre Le Mans, il faut ferrailler et parfois passer un peu sur l’esthétique. On a été assez sérieux en défense, on les a bloqués à 65 points mais où ils sont durs à jouer ce n’est pas sur leur attaque mais au niveau du rebond. J’ai insisté sur le blocage au rebond et le jeu low post en particulier avec (Ryan) Pearson et Gelabale. On a mis un peu de temps à s’adapter et après, tous les paniers qu’ils nous ont mis quand ils sont revenus c’est soit sur des pertes de balles soit sur des rebonds offensifs. On a bien tenu le choc. C’était important de bien confirmer notre bon début de saison. »\n\n\n10 victoires en 11 matches\n\nC’était la 10e victoire en 11 matches des Chalonnais –seul dans la série Gravelines les a fait chuter-, très solides dauphins de Monaco. Une énorme confiance semble les habiter. La greffe de défenseurs (Mous Fall, Jérémy Nzeulie, Gédéon Pitard) a complètement prise sur cette équipe jugée depuis plusieurs années exclusivement offensive. Deuxième attaque et troisième défense, c’est un excellent combiné. Comme par hasard, seul Monaco fait mieux.\n\n« On oublie que l’on est neuvième masse salariale. Je connais les raccourcis que l’on peut faire : si on ne finit pas dans les trois premiers, on aura fait une mauvaise saison. Faire un bon début ça a aussi ces inconvénients… Si on peut démarrer fort et finir fort, c’est très bien. Je suis content car on a quand même rapporté des pièces à l’effectif en particulier Abdou qui n’apporte pas énormément mais qui ne troue pas. Il fait des erreurs de jeunesse mais il est là en défense. Ça fait une présence sur le terrain qui est importante. Personne ne rigole quand il est dans la raquette. Je les vois, ils traversent la raquette, ils ressortent mais ils n’ont pas le sourire. Je pense qu’on y est un peu pour quelque chose. John a été encore une fois précieux dans le money time même si le meneur en face a mis des gros, gros tirs à trois car franchement il en a mis deux, je ne sais pas d’où ils viennent. En plus avec sa mécanique de shoot qui est vraiment très particulière. Ce n’est pas à montrer dans les écoles mais c’est efficace. »\n\n\nLe coup de gueule de JDC\n\nPour clôturer la soirée, Jean-Denys Choulet a poussé son petit coup de gueule coutumier. Sa cible : le calendrier sachant que la trêve de la Pro A ne correspond pas exactement à celle des Coupes d’Europe.\n\n« Honnêtement, on en a besoin. Avec la FIBA Europe Cup, même si ce n’est pas la plus reluisante des coupes d’Europe, aller en Suède, en Roumanie, en Turquie, ce n’est pas de tout repos. En plus, moi j’ai le bonheur et le malheur entre guillemets de coacher le All-Star Game, ce qui veut dire un jour et demi de repos avant et un jour et demi de repos après. J’ai cinq joueurs de l’équipe qui y sont. C’est compliqué. Ma mère pensait que je pourrais lui faire un petit coucou à Besançon, ben non. On va essayer de donner un peu de jours aux joueurs car franchement ils en ont besoin. Les Journées de Noël, franchement, c’est trop. On n’a pas besoin de ça pour remplir les salles, elle l’est toujours la notre. Si on était venu en bus, ils les auraient ouverts quand les paquets ? Il faut être sérieux dans la vie. Il faut être respectueux des joueurs, ils ont droit de partager au moins une fête en famille. Nous, on s’entraîne le premier puisqu’on joue le 4. J’adore mon métier mais il y a quand même un minimum à respecter. Il y a des choses qui sont en place dans les conventions collectives, que l’on doit donner six jours à nos joueurs, et que l’on ne peut même pas respecter. J’aimerais, mais je ne peux pas. »\n\nBon, Jean-Denys Choulet et ses joueurs ne sont pas non plus les damnés de la terre. 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Auteur d’un match correct avec 9 points, 5 rebonds et 1 assist (12 d’éval), Paul Lacombe est revenu après le match sur l’état de fatigue qui touche les Strasbourgeois due à l’enchaînement des matchs.
« Ce soir, la fatigue explique beaucoup de choses. Plusieurs joueurs et moi notamment, ont demandé le changement alors que ce n’est pas habituel. Dijon est revenu fort avec des shoots difficiles mais je pense qu’on a fait un match sérieux dans l’ensemble même si on s’est fait peur sur la fin. On va retenir la victoire, car on savait que ce ne serait pas facile. On a mis beaucoup de temps à nous adapter à la zone car faute de temps, on n’a pas beaucoup travaillé cette attaque. Avec l’enchaînement des matches et des jours de repos que le coach nous laisse pour garder un peu de fraîcheur, on s’entraîne moins. C’était une victoire nécessaire pour rester en course pour la Leaders Cup. Le break qui vient va nous permettre de reposer les jambes, le deuxième, après Ténérife, nous permettra de penser à autre chose, de reposer la tête… »
Même discours du côté de Vincent Collet qui déplore le manque de repos mais qui salue néanmoins la victoire de son équipe.
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– Sans Govindy une nouvelle fois blessé, mais avec le retour de son champion d’Europe Bastien Vautier, les espoirs de Pierre Verdière s’attendent à un… Lire la suite.
– Après une facile victoire en Israël (55-73) il y a une semaine dans une Coupe d’Europe qui n’a que le nom, la JSF Nanterre, qui n’a pas joué à… Lire la suite.
– Pour finir l’année, le SLUC se déplace à Nanterre, troisième de Pro A et réputé pour son jeu d’attaque flamboyant. En attendant l’arrivée de renforts… Lire la suite.
– Opéré le 5 septembre de la cheville droite Charles Kahudi avait retrouvé la Pro A le 10/12 à Chalon. Mais il vient d’être de nouveau arrêté, pour au… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Qualifié pour les 32e de finale du Trophée Coupe de France après son succès à Salins, le BesAC n’a pas été verni au tirage. Les Doubistes… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Hier, il restait moins d’une centaine de places à vendre à Ekinox. Les supporters de Roanne feront le déplacement en nombre… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les U17 de Salins-les-Bains ont bouclé l’année en beauté en étant invaincus et en se qualifiant pour le championnat inter-régional qui débute… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Laurent Pluvy Coach de Roanne… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Battue le 25 août à Prissé (66-83 sans quatre pros) puis le 28 septembre en coupe de France dans le Var (83-80 pour le HTV, qui mena 60-40 à quatorze… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– TRaphaël Gaume, directeur sportif de la Chorale… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– La pression est incontestablement sur les épaules bressanes. Mais une ultime rencontre avant les vacances peut réserver bien des surprises alors… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Relancé par sa victoire à Aix-Maurienne, Saint-Chamond tentera de confirmer à domicile face à un adversaire qui s’affirme dans la première moitié du… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Les Bressans peuvent terminer l’année 2016 avec un mois de décembre presque parfait. À condition de gagner ce soir devant la Chorale de Roanne… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Très énervé à la fin du match contre Le Mans, l’arrière villeurbannais regrette les sautes d’humeur de son équipe. Mais reste convaincu qu’elle peut… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Chalon-sur-Saône, deuxième, n’a pas tremblé au Mans (74-65) dans le choc du haut de classement, tandis que Strasbourg a renoué avec la victoire contre Dijon (68-66), lundi en ouverture de la 15e journée de Pro A… Lire la suite.
– Si Déols ne carbure pas au même rythme que son voisin étrechois (lire NR du 23 décembre 2016), l’équipe pourrait bien atteindre le même objectif : le maintien au troisième échelon régional. Ce serait un petit exploit pour la formation repêchée au dernier moment alors qu’elle avait été constituée pour évoluer au niveau d… Lire la suite.
– La trêve hivernale est l’occasion de faire le point avec la présidente du comité départemental, Nathalie Moreau, sur la santé du basket dans l’Indre… Lire la suite.
– Avant de profiter d’une semaine de vacances, les basketteurs blésois doivent finir le travail, ce mardi à Rouen, face à une équipe mal classée… Lire la suite.
– Le décès tragique de Pape Badiane laisse ses amis poitevins sous le choc. Ex-partenaires et entraîneurs rendent hommage au géant au grand cœur… Lire la suite.
– Longtemps dominateurs, mais fatigués par l’enchaînement des matches, les Strasbourgeois ont souffert, hier soir au Rhénus, face à la JDA Dijon pour… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
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[CONTENU PAYANT]\n\n\nL’Asvel est prévenue\n\n– Battue le 25 août à Prissé (66-83 sans quatre pros) puis le 28 septembre en coupe de France dans le Var (83-80 pour le HTV, qui mena 60-40 à quatorze… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\n« Pape Badiane, un personnage, une référence… ! »\n\n– TRaphaël Gaume, directeur sportif de la Chorale… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nPas encore l’heure des vacances\n\n– La pression est incontestablement sur les épaules bressanes. Mais une ultime rencontre avant les vacances peut réserver bien des surprises alors… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSaint-Chamond veut entretenir la flamme\n\n– Relancé par sa victoire à Aix-Maurienne, Saint-Chamond tentera de confirmer à domicile face à un adversaire qui s’affirme dans la première moitié du… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLa JL Bourg veut finir le boulot\n\n– Les Bressans peuvent terminer l’année 2016 avec un mois de décembre presque parfait. À condition de gagner ce soir devant la Chorale de Roanne… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLang : « Ne pas faire n’importe quoi »\n\n– Très énervé à la fin du match contre Le Mans, l’arrière villeurbannais regrette les sautes d’humeur de son équipe. Mais reste convaincu qu’elle peut… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nPro A: Chalon s’impose au Mans, Strasbourg se reprend\n\n– Chalon-sur-Saône, deuxième, n’a pas tremblé au Mans (74-65) dans le choc du haut de classement, tandis que Strasbourg a renoué avec la victoire contre Dijon (68-66), lundi en ouverture de la 15e journée de Pro A… Lire la suite.\n\n\nDéols veut se maintenir pour mieux construire\n\n– Si Déols ne carbure pas au même rythme que son voisin étrechois (lire NR du 23 décembre 2016), l’équipe pourrait bien atteindre le même objectif : le maintien au troisième échelon régional. 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Sur le carreau depuis mi-novembre, Nando De Colo effectuait son grand retour ce lundi soir en VTB League face à Krasnoïarsk.
En 22 minutes de jeu, l’international français n’aura pas chômé. Avec 19 points (12/12 aux lancers), 6 rebonds, 2 passes décisives et 3 interceptions pour une évaluation de 24 dans la victoire de son équipe, De Colo a terminé meilleur joueur de la rencontre.
Bonne nouvelle pour le CSKA qui restait sur une défaite en prolongation face au Fenerbahce (95-79) lors de la 14e journée d’Euroleague et qui a dû faire sans son MVP pendant 12 matchs.
", "comment_id":"387039", "plaintext":"Sur le carreau depuis mi-novembre, Nando De Colo effectuait son grand retour ce lundi soir en VTB League face à Krasnoïarsk.\n\nEn 22 minutes de jeu, l’international français n’aura pas chômé. Avec 19 points (12/12 aux lancers), 6 rebonds, 2 passes décisives et 3 interceptions pour une évaluation de 24 dans la victoire de son équipe, De Colo a terminé meilleur joueur de la rencontre.\n\nBonne nouvelle pour le CSKA qui restait sur une défaite en prolongation face au Fenerbahce (95-79) lors de la 14e journée d’Euroleague et qui a dû faire sans son MVP pendant 12 matchs.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-27T08:18:07.000Z", "updated_at":"2016-12-27T08:18:07.000Z", "published_at":"2016-12-27T08:18:07.000Z", "custom_excerpt":"Sur le carreau depuis mi-novembre, Nando De Colo effectuait son grand retour ce lundi soir en VTB League face à Krasnoïarsk.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad92b", "uuid":"7e74da11-05d1-4215-bc26-2cbeb45c025b", "title":"Gravelines se donne un mois pour trouver son prochain coach", "slug":"gravelines-se-donne-un-mois-pour-trouver-son-prochain-coach", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/bcm-logo.png\",\"width\":194,\"height\":250}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"http://www.nordeclair.fr/23368/article/2016-12-26/herve-beddeleem-directeur-executif-du-bcm-il-faut-etre-fixe-sur-le-prochain\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le BCM Gravelines-Dunkerque est en recherche active d’un nouveau coach pour la saison prochaine. C’est ce que Hervé Beddeleem, son directeur exécutif, a confirmé à \"],[0,[0],1,\"La Voix du Nord\"],[0,[],0,\" :\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"« On aimerait un coach qui connaisse bien le championnat et fasse confiance, autour d’un pool fort, à des jeunes. Il faut s’appuyer sur le centre de formation. Il faut être fixé fin janvier pour préparer la suite. On aura le choix, beaucoup sont intéressés, même Claude Bergeaud a écrit… »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’actuel coach, Christian Monschau, 58 ans, est en poste depuis 2008. Son frère aîné Jean-Luc avait tenu la barre de 2000 à 2004.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/bcm-logo.png\"){kind=logo}
Le BCM Gravelines-Dunkerque est en recherche active d’un nouveau coach pour la saison prochaine. C’est ce que Hervé Beddeleem, son directeur exécutif, a confirmé à La Voix du Nord :
« On aimerait un coach qui connaisse bien le championnat et fasse confiance, autour d’un pool fort, à des jeunes. Il faut s’appuyer sur le centre de formation. Il faut être fixé fin janvier pour préparer la suite. On aura le choix, beaucoup sont intéressés, même Claude Bergeaud a écrit… »
L’actuel coach, Christian Monschau, 58 ans, est en poste depuis 2008. Son frère aîné Jean-Luc avait tenu la barre de 2000 à 2004.
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Le site lyonnais Obuzzer informe que Charles Kahudi est de nouveau indisponible pour une durée indéterminée. Il n’est donc pas du déplacement à Hyères-Toulon.
Opéré le 6 septembre à la cheville, l’ailier Villeurbannais a effectué un retour éphémère de trois matches.
« L’inflammation étant importante, nous avons décidé de lever le pied car nous n’avons pas envie qu’il joue sur une jambe », a indiqué le coach JD Jackson. « Il va repartir en rééducation pour au moins deux semaines. Il se peut que ce soit plus ou moins long, c’est le staff médical qui jugera. Mais cette fois, nous allons y aller mollo. Je veux voir Charles en confiance à l’entraînement. Il doit me convaincre qu’il est rétabli avant de le relancer en match.»", "comment_id":"387024", "plaintext":"Le site lyonnais Obuzzer informe que Charles Kahudi est de nouveau indisponible pour une durée indéterminée. Il n’est donc pas du déplacement à Hyères-Toulon.\n\nOpéré le 6 septembre à la cheville, l’ailier Villeurbannais a effectué un retour éphémère de trois matches.\n\n« L’inflammation étant importante, nous avons décidé de lever le pied car nous n’avons pas envie qu’il joue sur une jambe », a indiqué le coach JD Jackson. « Il va repartir en rééducation pour au moins deux semaines. Il se peut que ce soit plus ou moins long, c’est le staff médical qui jugera. Mais cette fois, nous allons y aller mollo. Je veux voir Charles en confiance à l’entraînement. Il doit me convaincre qu’il est rétabli avant de le relancer en match.»", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-26T16:35:40.000Z", "updated_at":"2016-12-26T16:35:40.000Z", "published_at":"2016-12-26T16:35:40.000Z", "custom_excerpt":"Le site lyonnais Obuzzer informe que Charles Kahudi est de nouveau indisponible pour une durée indéterminée. Il n’est donc pas du déplacement à Hyères-Toulon. Opéré le 6 septembre à la cheville, l’ailier Villeurbannais a effectué un retour éphémère de trois matches.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad92d", "uuid":"f35babef-9098-4921-b933-bec01f204122", "title":"Nando De Colo de retour avec le CSKA Moscou", "slug":"nando-de-colo-de-retour-avec-le-cska-moscou", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/de-colo.jpg\",\"width\":599,\"height\":302}]],\"markups\":[],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nando De Colo effectuera son retour aujourd’hui en VTB League avec le CSKA Moscou contre le BC Enisey Krasnoyarsk, une équipe que le club de la capitale a battu dans le passé à 23 reprises pour une seule défaite.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le Français aura manqué 12 matches à cause d’une blessure à la cuisse.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En VTB League, Nando De Colo tourne à la moyenne exceptionnelle de 21,0 pts –le deuxième marqueur de l’équipe Milos Teodosic est à 13,3pts-, 65,4% de réussite aux shoots, et 6,7 passes pour 27,7 d’évaluation.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
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Nando De Colo effectuera son retour aujourd’hui en VTB League avec le CSKA Moscou contre le BC Enisey Krasnoyarsk, une équipe que le club de la capitale a battu dans le passé à 23 reprises pour une seule défaite.
Le Français aura manqué 12 matches à cause d’une blessure à la cuisse.
En VTB League, Nando De Colo tourne à la moyenne exceptionnelle de 21,0 pts –le deuxième marqueur de l’équipe Milos Teodosic est à 13,3pts-, 65,4% de réussite aux shoots, et 6,7 passes pour 27,7 d’évaluation.
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On savait que l’actuel coach des Brooklyn Nets Kenny Atkinson, 49 ans, a effectué une très longue carrière en France, principalement en Pro B : Montpellier, Golbey-Epinal, Mulhouse, Nantes, Evreux et de nouveau Nantes, de 1999 à 2004, et qu’il avait enchaîné comme assistant pendant deux saisons au Paris Basket Racing.
Ce que nous apprenons dans le quotidien L’Equipe du jour, c’est que Kenny Atkinson est vraiment tombé amoureux de la France durant son séjour :
« À Montpellier, on a eu un joueur complètement fou: Jean-Marc Kraidy. C’était le Dennis Rodman français il y a vingt ans ! J’ai eu une expérience complètement folle au niveau de la culture, de la vie quotidienne. Si je peux, je veux avoir une maison en France à ma retraite. Ma grand-mère était canadienne avant de venir vivre dans le New Hampshire, et sa langue maternelle, c’était le français. »
Le coach des Nets est intarissable quand le journaliste évoque les acteurs présents et passés du basket français. Il se dit être en contact régulier avec Antoine Rigaudeau, assure que l’assistant du Mans, Alexandre Ménard, qui a été accueilli en ligue d’été est un « super mec », et fait un clin d’œil appuyé à Jacques Monclar.
Avant d’être un coach de haut niveau, reconnu par la plus grande ligue du monde –il fut auparavant assistant aux New York Knicks et aux Atlanta Hawks-, Kenny Atkinson n’a pas été un basketteur américain lambda qui vit de McDo, les écouteurs sur les oreilles et qui ne rêve que du break de Noël pour retourner dans son pays :
« Je n’ai pas été un grand joueur comme Frédéric Fauthoux (actuel entraîneur du Paris-Levallois) à l’époque où j’évoluais en France, parfois en Pro B. Mais je crois que, dans les plus petits clubs où je suis allé, quelque chose s’est passé. Après le match, j’étais toujours là pour prendre un verre avec les VIP, je parlais avec les gens. J’aimais ça ! Et j’imagine que les fans ont apprécié cela. Je suis tombé amoureux de la culture en France et je me suis plongé dedans. Boire un verre avec les gens, prendre un café, discuter après le match ».", "comment_id":"387016", "plaintext":"On savait que l’actuel coach des Brooklyn Nets Kenny Atkinson, 49 ans, a effectué une très longue carrière en France, principalement en Pro B : Montpellier, Golbey-Epinal, Mulhouse, Nantes, Evreux et de nouveau Nantes, de 1999 à 2004, et qu’il avait enchaîné comme assistant pendant deux saisons au Paris Basket Racing.\n\nCe que nous apprenons dans le quotidien L’Equipe du jour, c’est que Kenny Atkinson est vraiment tombé amoureux de la France durant son séjour :\n\n« À Montpellier, on a eu un joueur complètement fou: Jean-Marc Kraidy. C’était le Dennis Rodman français il y a vingt ans ! J’ai eu une expérience complètement folle au niveau de la culture, de la vie quotidienne. Si je peux, je veux avoir une maison en France à ma retraite. Ma grand-mère était canadienne avant de venir vivre dans le New Hampshire, et sa langue maternelle, c’était le français. »\n\nLe coach des Nets est intarissable quand le journaliste évoque les acteurs présents et passés du basket français. Il se dit être en contact régulier avec Antoine Rigaudeau, assure que l’assistant du Mans, Alexandre Ménard, qui a été accueilli en ligue d’été est un « super mec », et fait un clin d’œil appuyé à Jacques Monclar.\n\nAvant d’être un coach de haut niveau, reconnu par la plus grande ligue du monde –il fut auparavant assistant aux New York Knicks et aux Atlanta Hawks-, Kenny Atkinson n’a pas été un basketteur américain lambda qui vit de McDo, les écouteurs sur les oreilles et qui ne rêve que du break de Noël pour retourner dans son pays :\n\n« Je n’ai pas été un grand joueur comme Frédéric Fauthoux (actuel entraîneur du Paris-Levallois) à l’époque où j’évoluais en France, parfois en Pro B. Mais je crois que, dans les plus petits clubs où je suis allé, quelque chose s’est passé. Après le match, j’étais toujours là pour prendre un verre avec les VIP, je parlais avec les gens. J’aimais ça ! Et j’imagine que les fans ont apprécié cela. Je suis tombé amoureux de la culture en France et je me suis plongé dedans. Boire un verre avec les gens, prendre un café, discuter après le match ».", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-26T14:47:50.000Z", "updated_at":"2016-12-26T14:32:31.000Z", "published_at":"2016-12-26T14:47:50.000Z", "custom_excerpt":"On savait que l’actuel coach des Brooklyn Nets Kenny Atkinson, 49 ans, a effectué une très longue carrière en France, principalement en Pro B : Montpellier, Golbey-Epinal, Mulhouse, Nantes, Evreux et de nouveau Nantes, de 1999 à 2004, et qu’il avait enchaîné comme assistant pendant deux saisons au P", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad92f", "uuid":"37bc8b9a-b038-4bb0-b3cc-50cfd5204f2d", "title":"David Michineau (Hyères-Toulon) au All-Star Game, Abdoulaye Loum (Chalon) au concours de dunk", "slug":"david-michineau-hyeres-toulon-au-all-star-game-abdoulaye-loum-chalon-au-concours-de-dunk", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/michineau.jpg\",\"width\":668,\"height\":445}]],\"markups\":[],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Suite au forfait de Yakuba « Billy » Ouattara (Monaco), qui souffre d’une élongation, le meneur David Michineau (1,91m, 22 ans, Hyères-Toulon) obtient sa première sélection pour le All-Star Game qui va se tenir ce jeudi à l’AccorHôtel Arena de Paris.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Paul Lacombe (1,95m, 26 ans, Strasbourg) en profite quant à lui pour intégrer le cinq de départ.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Enfin, c’est le Chalonnais Abdoulaye Loum (2,09m, 25 ans) qui participera au concours de dunk à la place de Billy Yakuba Ouattara qui en est le double tenant.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
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Suite au forfait de Yakuba « Billy » Ouattara (Monaco), qui souffre d’une élongation, le meneur David Michineau (1,91m, 22 ans, Hyères-Toulon) obtient sa première sélection pour le All-Star Game qui va se tenir ce jeudi à l’AccorHôtel Arena de Paris.
Paul Lacombe (1,95m, 26 ans, Strasbourg) en profite quant à lui pour intégrer le cinq de départ.
Enfin, c’est le Chalonnais Abdoulaye Loum (2,09m, 25 ans) qui participera au concours de dunk à la place de Billy Yakuba Ouattara qui en est le double tenant.
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Le principe du 6e homme, c’est… de ne pas entrer dans le cinq de départ. C’est ce qu’a fait l’intérieur de Châlons-Reims Nicolas De Jong face à Hyères-Toulon puisque Alex Young et Tyler Cain lui ont été préférés. D’ailleurs cinq joueurs ont passé davantage de temps sur le terrain que le Franco-Néerlandais.
Cela n’a pas empêché Nicolas De Jong de profiter pleinement des 24 minutes disponibles –son record de temps de jeu de la saison- plantant 27 points à 8/11 aux tirs du champ et convertissant 10 de ses 12 lancers, contribuant largement à la victoire de Châlons-Reims, 80 à 75.
L’international néerlandais a ainsi été élu DLSI Sixième Homme de la semaine.
A noter que De Jong est déjà entré quatre fois dans le cinq majeur notamment trois fois sur les quatre matches précédents.
https://twitter.com/DLSIxiemehomme/status/813338763405496320?lang=fr
", "comment_id":"387002", "plaintext":"Le principe du 6e homme, c’est… de ne pas entrer dans le cinq de départ. C’est ce qu’a fait l’intérieur de Châlons-Reims Nicolas De Jong face à Hyères-Toulon puisque Alex Young et Tyler Cain lui ont été préférés. D’ailleurs cinq joueurs ont passé davantage de temps sur le terrain que le Franco-Néerlandais.\n\nCela n’a pas empêché Nicolas De Jong de profiter pleinement des 24 minutes disponibles –son record de temps de jeu de la saison- plantant 27 points à 8/11 aux tirs du champ et convertissant 10 de ses 12 lancers, contribuant largement à la victoire de Châlons-Reims, 80 à 75.\n\nL’international néerlandais a ainsi été élu DLSI Sixième Homme de la semaine.\n\nA noter que De Jong est déjà entré quatre fois dans le cinq majeur notamment trois fois sur les quatre matches précédents.\n\nhttps://twitter.com/DLSIxiemehomme/status/813338763405496320?lang=fr", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-26T13:39:31.000Z", "updated_at":"2016-12-26T13:21:26.000Z", "published_at":"2016-12-26T13:39:31.000Z", "custom_excerpt":"Le principe du 6e homme, c’est… de ne pas entrer dans le cinq de départ. C’est ce qu’a fait l’intérieur de Châlons-Reims Nicolas De Jong face à Hyères-Toulon puisque Alex Young et Tyler Cain lui ont été préférés. D’ailleurs cinq joueurs ont passé davantage de temps sur le terrain que le Franco-Néerl", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad931", "uuid":"a8d0173e-a82b-496d-8f6b-4c81540d088b", "title":"Le grand espoir croate Ante Zizic vers Darussafaka", "slug":"le-grand-espoir-croate-ante-zizic-vers-darussafaka", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/ante-zizic.jpg\",\"width\":500,\"height\":345}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/WDkJboVRkfk?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"sup\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Rien n’arrête l’appétit des nouveaux riches turcs du Darussafaka Istanbul. Ceux-ci sont en négociations avancées avec le Cibona Zagreb pour enrôler Ante Zizic (2,11m, 115 kg, 19 ans). Le grand espoir croate n’a pas fait aujourd’hui le voyage avec l’équipe stambouliote qui joue à Bar en Ligue Adriatique.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sélectionné par les Boston Celtics à la 23\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" place de la dernière draft NBA, Ante Zizic avait décidé de continuer à jouer au moins une saison en Europe. Il a été nommé MVP de la 12\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" journée de la ligue adriatique suite à une énorme évaluation de 43 (35 points à 13 sur 16 au tir, 12 rebonds) obtenu contre KK Mega Leks.\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/ante-zizic.jpg\")
Rien n’arrête l’appétit des nouveaux riches turcs du Darussafaka Istanbul. Ceux-ci sont en négociations avancées avec le Cibona Zagreb pour enrôler Ante Zizic (2,11m, 115 kg, 19 ans). Le grand espoir croate n’a pas fait aujourd’hui le voyage avec l’équipe stambouliote qui joue à Bar en Ligue Adriatique.
Sélectionné par les Boston Celtics à la 23e place de la dernière draft NBA, Ante Zizic avait décidé de continuer à jouer au moins une saison en Europe. Il a été nommé MVP de la 12e journée de la ligue adriatique suite à une énorme évaluation de 43 (35 points à 13 sur 16 au tir, 12 rebonds) obtenu contre KK Mega Leks.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/aaron-cel.jpg\")
Le BCM Gravelines annonce sur son site que l’intérieur Franco-Polonais Aaron Cel sera absent pour une durée de 6 à 8 semaines.
Une opération est nécessaire suite à sa blessure à la cheville.
Aaron Cel (2,03m, 29 ans) tourne à 7,3 pts et 4,2 Rbds en 11 matches.
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L’Elan Chalon va ponctuer l’année 2016 par un déplacement ce soir au Mans (sur SFR Sport 2 à 20h30).
Son président Dominique Juillot vient de tracer un bilan du premier trimestre de compétition sur info-chalon.com. Il est forcément excellent puisque l’Elan est deuxième du classement en Pro A, à une seule victoire de Monaco, et poursuit sa route avec aisance en FIBA Europe Cup (premier du Groupe K avec deux victoires en deux journées).
Dominique Juillot s’avoue surpris car l’effectif de cette saison est sans doute moins rutilant que le précédent mais la bonne alchimie en fait une meilleure équipe, qui sait attaquer ET défendre. Avec John Roberson, les Bourguignons possèdent l’un des deux meilleurs meneurs de Pro A –l’autre c’est D.J. Cooper de Pau- et avec Moustapha Fall (2,18m), un poste 5 atypique pour notre championnat national et qui à 24 ans est en forte progression (11,4 pts et 8,9 rbds).
« Ce que je n’avais pas perçu, c’était la capacité de Fall à dominer comme il domine sous le cercle. C’est vrai qu’il y a longtemps que je crois en ce garçon. Ce qui est incroyable c’est qu’on ne nous parle plus de Booker qui a quand même terminé MVP de la saison. Cette équipe de l’Elan est composée de joueurs qui sont en train de se révéler…»
Dominique Juillot insiste sur le fait que la pérennité de l’Elan Chalon n’a rien d’évidente étant donné la taille de la ville (45 000 habitants, 135 000 pour l’aire urbaine) :
« Vingt ans de Pro A, c’est le travail de tout le monde pour être dans la première partie du classement. Ce n’est pas banal, c’est même plutôt extraordinaire et pourtant on est toujours obligé de prouver. Il ne faut pas que le banal soit un échec. Chalon-sur-Saône c’est la deuxième plus petite agglomération du championnat, ce sont les plus petites subventions, pour un budget de plus de 5 millions d’euros. Je n’ai changé que trois fois d’entraîneur. Jean-Denis Choulet est en train de prouver que l’on est capable de défendre, quand l’année dernière on brillait dans la raquette adverse. Le recrutement qui a été réalisé est opportun. On est crédible et on veut le rester. »", "comment_id":"386994", "plaintext":"L’Elan Chalon va ponctuer l’année 2016 par un déplacement ce soir au Mans (sur SFR Sport 2 à 20h30).\n\nSon président Dominique Juillot vient de tracer un bilan du premier trimestre de compétition sur info-chalon.com. Il est forcément excellent puisque l’Elan est deuxième du classement en Pro A, à une seule victoire de Monaco, et poursuit sa route avec aisance en FIBA Europe Cup (premier du Groupe K avec deux victoires en deux journées).\n\nDominique Juillot s’avoue surpris car l’effectif de cette saison est sans doute moins rutilant que le précédent mais la bonne alchimie en fait une meilleure équipe, qui sait attaquer ET défendre. Avec John Roberson, les Bourguignons possèdent l’un des deux meilleurs meneurs de Pro A –l’autre c’est D.J. Cooper de Pau- et avec Moustapha Fall (2,18m), un poste 5 atypique pour notre championnat national et qui à 24 ans est en forte progression (11,4 pts et 8,9 rbds).\n\n« Ce que je n’avais pas perçu, c’était la capacité de Fall à dominer comme il domine sous le cercle. C’est vrai qu’il y a longtemps que je crois en ce garçon. Ce qui est incroyable c’est qu’on ne nous parle plus de Booker qui a quand même terminé MVP de la saison. Cette équipe de l’Elan est composée de joueurs qui sont en train de se révéler…»\n\nDominique Juillot insiste sur le fait que la pérennité de l’Elan Chalon n’a rien d’évidente étant donné la taille de la ville (45 000 habitants, 135 000 pour l’aire urbaine) :\n\n« Vingt ans de Pro A, c’est le travail de tout le monde pour être dans la première partie du classement. Ce n’est pas banal, c’est même plutôt extraordinaire et pourtant on est toujours obligé de prouver. Il ne faut pas que le banal soit un échec. Chalon-sur-Saône c’est la deuxième plus petite agglomération du championnat, ce sont les plus petites subventions, pour un budget de plus de 5 millions d’euros. Je n’ai changé que trois fois d’entraîneur. Jean-Denis Choulet est en train de prouver que l’on est capable de défendre, quand l’année dernière on brillait dans la raquette adverse. Le recrutement qui a été réalisé est opportun. 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Le basket français est en pleine forme. Il faut y voir l’effet Dream Team conjugué à un contrat qui assure la couverture de plusieurs matches sur le service public dont ce All-Star Game. Les meilleurs joueurs français sont tous sur le territoire et la Pro A compte quelques pépites américaines, telles que le Villeurbannais Delaney Rudd, le Limougeaud Michael Young et l’Antibois David Rivers.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"All-Star game ou « Gala des Etoiles » ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le public a été invité à élire les joueurs par le biais d’urnes disposées dans les salles, de bulletins à découper dans le journal\"],[0,[0],1,\" L’Equipe\"],[0,[],0,\" et le mensuel \"],[0,[0],1,\"Maxi-Basket\"],[0,[],0,\", et en se servant d’un outil qui fait la fierté de la France, le minitel. Sur 15 932 exprimés, Michael Young a devancé Antoine Rigaudeau et Stéphane Ostrowski.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Brioches\"],[0,[0],1,\" Pasquier\"],[0,[],0,\" et la bière sans alcool \"],[0,[0],1,\"Buckle\"],[0,[],0,\"r sont les parrains de la retransmission. André Garcia présente le match à l’américaine avec une casquette « Basket Pro » sur la tête, mais son compère de la chaîne, Patrick Montel, assène \"],[0,[0],1,\": « pas le droit de dire le All-Star Game, c’est le gala des étoiles. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Chômeur l’été précédent suite à une brouille avec le Racing Paris, embauché par Sceaux coaché par un novice à ce niveau, Alain Weisz, Hervé Dubuisson, 36 ans accompli, est alors le troisième meilleur marqueur français avec un rythme de 19,4 points par match. La salle Robert-Grenon déborde de fans et Dub y a ses repères : cinq ans auparavant, il y a planté 55 points contre le TBC. Son record en carrière et pour un Français en LNB.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Qui est Hervé Dubuisson ? Le plus doué de toute une génération de basketteurs français et peut-être même de toutes les précédentes. Un shoot sorti d’un précis technique, des dons de jumpeur, d’équilibriste, d’imagination et de showman, une capacité à démultiplier les points, et encore plus avec l’apparition de la ligne à trois-points en 1984. Un type charmant, cool, simple. Ses défauts ? Une certaine nonchalance, et quand on a autant de talents, forcément, l’exigence est extrême. Formé à la dure école de Denain, Dub est ensuite allé gagner deux titres de champion de France avec Le Mans, mais ses choix de carrière sont ensuite douteux et il ne gagnera plus de trophées collectifs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A l’inverse, Hervé Dubuisson est l’homme de tous les records individuels dans le basket français : précocité en équipe de France (16 ans et 9 mois), nombre de sélections (259), de points, sur une carrière, dans une saison, sur un match, etc.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Les Blancs savent aussi faire le spectacle »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Précocité, longévité\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dub se retrouve en défense sur Don Collins, et prend un dunk sur la tête signé José Vargas. Mais le voilà très vite dans le rythme et il donne l’avantage au clan français sur une passe de Rigaudeau. Il ne pense pas qu’à sa pomme puisque, sur une contre-attaque, il sert admirablement Jim Bilba. Showtime.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mais, c’est essentiellement à trois-points qu’il illumine Robert-Grenon. Le voici atteignant la cible d’un shoot à neuf mètres en déséquilibre. \"],[0,[0],1,\"« Je l’adore » \"],[0,[],0,\"lâche André Garcia. \"],[0,[0],1,\"« Moi aussi. Trente-sept ans »\"],[0,[],0,\" rappelle Patrick Montel, qui prophétique ajoute : \"],[0,[0],1,\"« on va demander à la presse d’élire le meilleur joueur du match, je ne voudrais pas lui porter la poisse, mais Dubuisson est parfaitement parti. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sous bien des aspects, Dubuisson était en avance sur son temps, mais il regrette les déviances observées en ce début des années quatre-vingt-dix dues à l’intoxication télévisuelle en provenance de la NBA. \"],[0,[0],1,\"« Il existe de moins en moins de shooteurs comme moi »,\"],[0,[],0,\" dira t-il à la fin du match. \"],[0,[0],1,\"« Les jeunes qui jouent dans la rue ne pensent que défi physique, un contre un, dunks, sans jamais penser à travailler leur tir extérieur. Ils ne comprennent pas que c’est justement en étant capables de tirer à 6 mètres qu’ils pourront pénétrer vers le panier car les tirs extérieurs permettent d’écarter les défenses. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Boom ! Boom ! Boom ! Skeeter Henry ne voit que du feu. Ils en rigolent ensemble. Patrick Montel s’enhardit : \"],[0,[0],1,\"« Je ne sais pas si Gomez, l’entraîneur de l’équipe de France, va avoir envie de rappeler Dubuisson, mais vraiment, quel marqueur ! »\"],[0,[],0,\" Attaque suivante, il plane sur la tête de David Rivers. \"],[0,[0],1,\"« Ça ne se fait pas, mais j’ai déjà écris Dubuisson sur mon bulletin de vote pour le joueur du match, »\"],[0,[],0,\" avoue Montel à la cantonade.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Menée un temps 65-81, la sélection française revient à la charge. Nouveau trois-points de Dub qui défie les lois de l’apesanteur. André Garcia vient d’adhérer au fan club : \"],[0,[0],1,\"« cet homme-là est génial. » \"],[0,[],0,\"Feinte de shoot, passe à Forte seul dans le coin. Trois points. Et Boum encore ! Dub frappe à neuf mètres. Le public est aux anges. \"],[0,[0],1,\"« Le concept du all-star game comme on dit dans les sociétés de marketing est en train de prendre forme »\"],[0,[],0,\" analyse Montel.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pénétration de Dubuisson, feinte de shoot, et passe décisive à Marc Mbahia. Dernière action, balle de match aux Français. Dub est isolé, joue le un-contre-un. Fingers rolls. La balle rebondit sur le cercle, touche le plexis, puis deux fois encore le cercle. Et ressort.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Personne n’en veut au héros du jour qui est naturellement élu meilleur joueur du All-Star Game après avoir convertit 8 de ses 11 shoots à trois-points pour atteindre un capital de 30 points, et qui lance \"],[0,[0],1,\": « les Blancs savent aussi faire le spectacle »\"],[0,[],0,\" et encore \"],[0,[0],1,\": « c’est vrai, j’ai pris des shoots difficiles et je les ai réussis. Mais la semaine dernière en championnat, contre Montpellier, j’ai tenté des shoots propres qui ne sont pas rentrés. C’est aussi ça, la condition de shooteur. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"« Ce match n’était pas mon jubilé et d’ailleurs je compte bien battre les records de longévité. J’arrêterai quand on m’arrêtera sur le terrain. C’est ma passion, ma vie. Je sais que tout ça s’achèvera un jour et que je ressentirai un énorme manque. Mais quand je joue comme ça, pensez-vous que je doive m’arrêter ? »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bien sûr, Hervé Dubuisson ne s’arrêtera pas du jour au lendemain, et chipera à Alain Gilles le record de saisons en première division. Son jubilé, il le fêtera, alors qu’il était déjà coach de Montpellier, lors d’un match officiel contre Besançon pour une 25\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],0,\" saison et scorera 30 points ! Pas tout à fait la ligne d’arrivée. Deux ans plus tard, Dub jouera encore quatorze matches, propulsant sa marque personnelle et nationale à vingt-six saisons. On marchera sur Mars que ce record ne sera pas battu.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Interview Hervé Dubuisson\"]]],[1,\"h2\",[[0,[1],1,\"« Le plus beau trophée de ma carrière »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"En 2001, un grave accident de moto a interrompu sa carrière de coach et nécessité une longue rééducation. A 56 ans, Hervé Dubuisson n’a pourtant rien perdu de sa fraîcheur. Le Nordiste réside désormais à Cagnes/Mer. Il est marié avec l’ancienne basketteuse bulgare Mladena Staneva, et il a en charge la coordination des grandes manifestations sportives organisées dans la région PACA, tout en étant « référent handicap » à la préfecture des Alpes-Maritimes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Si on vous dit « all-star game à Tours », quels sont les souvenirs qui vous viennent à l’esprit ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je l’ai souvent regardé en vidéo, comme aussi ce duel -que l’on voit sur \"],[0,[0],1,\"YouTube-\"],[0,[],0,\", que je fais contre Drazen Petrovic, en 1985, au tournoi de Noël. J’ai eu beaucoup de retours comme aussi pour le petit film réalisé pour l’Académie du Basket par Nicolas De Virieu. C’est comme ça que j’ai repris contact sur \"],[0,[0],1,\"facebook\"],[0,[],0,\" avec des Américains comme Brad Sellers et Harold Johnson. Ce All-Star Game à Tours était magnifique. Il faut se rappeler que j’étais chômeur en début de saison puisque Paris ne voulait pas me garder. C’est là que j’ai rencontré Alain Weisz et M. Perez, qui était le président, et que je suis allé jouer à Sceaux qui venait de Pro B. Dans ma carrière, c’est le plus beau des trophées. J’étais béni ce jour là. Et ensuite j’ai terminé meilleur marqueur français du championnat. Depuis, j’ai retrouvé aussi Skeeter Henry sur \"],[0,[0],1,\"facebook\"],[0,[],0,\". On voit sur la vidéo combien ils sont écoeurés à la fin !\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Il y a eu un autre match où tout est rentré, c’est lorsque vous avez marqué 51 points à Equeurdreville contre la Grèce, le 21 novembre 1985. Une sacrée bataille avec Nick Galis ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mon meilleur match de toute ma carrière, c’est celui-là. 54 points à Equeurdreville ! \"],[0,[0],1,\"(la fédération a officiellement retenu le chiffre de 51 alors que d’autres sources font effectivement état de 54 points).\"],[0,[],0,\" Maintenant, je prononce bien le nom alors qu’à l’époque, je l’écorchais. Je disais « Equerville » où quelque chose comme ça \"],[0,[0],1,\"(rires).\"],[0,[],0,\" Après mon accident, tous les médecins qui m’ont vu lors de ma rééducation ont dit qu’heureusement, j’étais un athlète avec un gros mental, et c’est pour ça que je m’en suis sorti. J’avais perdu la mémoire immédiate, les sept années avant mon accident, par contre le reste était bien gravé. Le All-Star Game à Tours était un peu flou dans ma mémoire, mais relire les articles et voir la vidéo m’a permis de faire revenir tout ça à l’esprit. Je dois beaucoup à ma femme, Mladena, qui s’est très bien occupée de moi. Savez-vous qu’elle a plus de sélections que moi, 366 \"],[0,[0],1,\"(Hervé est le recordman en France avec 259). \"],[0,[],0,\"En 1986, dans la \"],[0,[0],1,\"Gazzetta dello Sport\"],[0,[],0,\", il y avait les dix meilleurs joueurs d’Europe dont je faisais partie, et en face la liste des dix meilleures joueuses d’Europe dont elle faisait partie. Quand elle est arrivée à Aix-en-Provence, j’ai commencé à la draguer en lui envoyant des fleurs !\"],[0,[0],1,\" (Mladena nous expliquera ensuite qu’Hervé a flashé sur elle en la découvrant dans une pose glamour dans le magazine Maxi-Basket).\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Lorsque j’ai eu mon accident, il y a eu délit de fuite et il n’y a pas eu de coupable. Je culpabilisais, je ne pouvais me regarder dans la glace, je m’en voulais d’avoir fait de la moto, j’estimais que je ne servais plus à rien. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Vous aviez un shoot esthétiquement parfait. 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C’est Pierre Legrain qui m’a signalé à Jacques Fiévé, l’entraîneur de Denain, qui était son copain. Il lui a dit, « j’ai un jeune qui joue à Thumeries, avec qui je fais un peu de saut en hauteur, tu devrais aller le voir. » J’avais 14 ans, j’étais tout maigre, j’avais grandi en un an de vingt centimètres suite à une jaunisse, j’éclatais tout. C’est comme ça que je suis arrivé à Denain. J’ai travaillé ensuite mes figures de dunks à l’entraînement. J’ai toujours eu un côté spectacle en moi et puis aussi, je l’avoue, d’inconscience. Quand je jouais, je tentais des choses incroyables.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Considérez-vous que vous soyez né trop tôt ? Que si vous aviez 20-30 ans aujourd’hui, vous seriez en NBA ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Peut-être que je serais là-bas, mais je ne regrette rien… Je vis avec mon temps et je suis très fier de ce que j’ai fait. 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Jeudi 29 décembre se tiendra le All-Star Game 2016 à l’AccorHôtel Arena de Paris.
L’événement date en France de 1987 et l’édition de 1994 est considérée comme la plus réussie de toute. Par la grâce d’Hervé Dubuisson, le public de Tours et les téléspectateurs de France 3 virent des étoiles plein les yeux.
Sport Dimanche sur France 3, ce 6 mars 1994, en direct de Tours. Le basket français est en pleine forme. Il faut y voir l’effet Dream Team conjugué à un contrat qui assure la couverture de plusieurs matches sur le service public dont ce All-Star Game. Les meilleurs joueurs français sont tous sur le territoire et la Pro A compte quelques pépites américaines, telles que le Villeurbannais Delaney Rudd, le Limougeaud Michael Young et l’Antibois David Rivers.
Le public a été invité à élire les joueurs par le biais d’urnes disposées dans les salles, de bulletins à découper dans le journal L’Equipe et le mensuel Maxi-Basket, et en se servant d’un outil qui fait la fierté de la France, le minitel. Sur 15 932 exprimés, Michael Young a devancé Antoine Rigaudeau et Stéphane Ostrowski.
Les Brioches Pasquier et la bière sans alcool Buckler sont les parrains de la retransmission. André Garcia présente le match à l’américaine avec une casquette « Basket Pro » sur la tête, mais son compère de la chaîne, Patrick Montel, assène : « pas le droit de dire le All-Star Game, c’est le gala des étoiles. »
Chômeur l’été précédent suite à une brouille avec le Racing Paris, embauché par Sceaux coaché par un novice à ce niveau, Alain Weisz, Hervé Dubuisson, 36 ans accompli, est alors le troisième meilleur marqueur français avec un rythme de 19,4 points par match. La salle Robert-Grenon déborde de fans et Dub y a ses repères : cinq ans auparavant, il y a planté 55 points contre le TBC. Son record en carrière et pour un Français en LNB.
Qui est Hervé Dubuisson ? Le plus doué de toute une génération de basketteurs français et peut-être même de toutes les précédentes. Un shoot sorti d’un précis technique, des dons de jumpeur, d’équilibriste, d’imagination et de showman, une capacité à démultiplier les points, et encore plus avec l’apparition de la ligne à trois-points en 1984. Un type charmant, cool, simple. Ses défauts ? Une certaine nonchalance, et quand on a autant de talents, forcément, l’exigence est extrême. Formé à la dure école de Denain, Dub est ensuite allé gagner deux titres de champion de France avec Le Mans, mais ses choix de carrière sont ensuite douteux et il ne gagnera plus de trophées collectifs.
A l’inverse, Hervé Dubuisson est l’homme de tous les records individuels dans le basket français : précocité en équipe de France (16 ans et 9 mois), nombre de sélections (259), de points, sur une carrière, dans une saison, sur un match, etc.
« Les Blancs savent aussi faire le spectacle »
Dub se retrouve en défense sur Don Collins, et prend un dunk sur la tête signé José Vargas. Mais le voilà très vite dans le rythme et il donne l’avantage au clan français sur une passe de Rigaudeau. Il ne pense pas qu’à sa pomme puisque, sur une contre-attaque, il sert admirablement Jim Bilba. Showtime.
Mais, c’est essentiellement à trois-points qu’il illumine Robert-Grenon. Le voici atteignant la cible d’un shoot à neuf mètres en déséquilibre. « Je l’adore » lâche André Garcia. « Moi aussi. Trente-sept ans » rappelle Patrick Montel, qui prophétique ajoute : « on va demander à la presse d’élire le meilleur joueur du match, je ne voudrais pas lui porter la poisse, mais Dubuisson est parfaitement parti. »
Sous bien des aspects, Dubuisson était en avance sur son temps, mais il regrette les déviances observées en ce début des années quatre-vingt-dix dues à l’intoxication télévisuelle en provenance de la NBA. « Il existe de moins en moins de shooteurs comme moi », dira t-il à la fin du match. « Les jeunes qui jouent dans la rue ne pensent que défi physique, un contre un, dunks, sans jamais penser à travailler leur tir extérieur. Ils ne comprennent pas que c’est justement en étant capables de tirer à 6 mètres qu’ils pourront pénétrer vers le panier car les tirs extérieurs permettent d’écarter les défenses. »
Boom ! Boom ! Boom ! Skeeter Henry ne voit que du feu. Ils en rigolent ensemble. Patrick Montel s’enhardit : « Je ne sais pas si Gomez, l’entraîneur de l’équipe de France, va avoir envie de rappeler Dubuisson, mais vraiment, quel marqueur ! » Attaque suivante, il plane sur la tête de David Rivers. « Ça ne se fait pas, mais j’ai déjà écris Dubuisson sur mon bulletin de vote pour le joueur du match, » avoue Montel à la cantonade.
Menée un temps 65-81, la sélection française revient à la charge. Nouveau trois-points de Dub qui défie les lois de l’apesanteur. André Garcia vient d’adhérer au fan club : « cet homme-là est génial. » Feinte de shoot, passe à Forte seul dans le coin. Trois points. Et Boum encore ! Dub frappe à neuf mètres. Le public est aux anges. « Le concept du all-star game comme on dit dans les sociétés de marketing est en train de prendre forme » analyse Montel.
Pénétration de Dubuisson, feinte de shoot, et passe décisive à Marc Mbahia. Dernière action, balle de match aux Français. Dub est isolé, joue le un-contre-un. Fingers rolls. La balle rebondit sur le cercle, touche le plexis, puis deux fois encore le cercle. Et ressort.
Personne n’en veut au héros du jour qui est naturellement élu meilleur joueur du All-Star Game après avoir convertit 8 de ses 11 shoots à trois-points pour atteindre un capital de 30 points, et qui lance : « les Blancs savent aussi faire le spectacle » et encore : « c’est vrai, j’ai pris des shoots difficiles et je les ai réussis. Mais la semaine dernière en championnat, contre Montpellier, j’ai tenté des shoots propres qui ne sont pas rentrés. C’est aussi ça, la condition de shooteur. »
« Ce match n’était pas mon jubilé et d’ailleurs je compte bien battre les records de longévité. J’arrêterai quand on m’arrêtera sur le terrain. C’est ma passion, ma vie. Je sais que tout ça s’achèvera un jour et que je ressentirai un énorme manque. Mais quand je joue comme ça, pensez-vous que je doive m’arrêter ? »
Bien sûr, Hervé Dubuisson ne s’arrêtera pas du jour au lendemain, et chipera à Alain Gilles le record de saisons en première division. Son jubilé, il le fêtera, alors qu’il était déjà coach de Montpellier, lors d’un match officiel contre Besançon pour une 25e saison et scorera 30 points ! Pas tout à fait la ligne d’arrivée. Deux ans plus tard, Dub jouera encore quatorze matches, propulsant sa marque personnelle et nationale à vingt-six saisons. On marchera sur Mars que ce record ne sera pas battu.
En 2001, un grave accident de moto a interrompu sa carrière de coach et nécessité une longue rééducation. A 56 ans, Hervé Dubuisson n’a pourtant rien perdu de sa fraîcheur. Le Nordiste réside désormais à Cagnes/Mer. Il est marié avec l’ancienne basketteuse bulgare Mladena Staneva, et il a en charge la coordination des grandes manifestations sportives organisées dans la région PACA, tout en étant « référent handicap » à la préfecture des Alpes-Maritimes.
Si on vous dit « all-star game à Tours », quels sont les souvenirs qui vous viennent à l’esprit ?
Je l’ai souvent regardé en vidéo, comme aussi ce duel -que l’on voit sur YouTube-, que je fais contre Drazen Petrovic, en 1985, au tournoi de Noël. J’ai eu beaucoup de retours comme aussi pour le petit film réalisé pour l’Académie du Basket par Nicolas De Virieu. C’est comme ça que j’ai repris contact sur facebook avec des Américains comme Brad Sellers et Harold Johnson. Ce All-Star Game à Tours était magnifique. Il faut se rappeler que j’étais chômeur en début de saison puisque Paris ne voulait pas me garder. C’est là que j’ai rencontré Alain Weisz et M. Perez, qui était le président, et que je suis allé jouer à Sceaux qui venait de Pro B. Dans ma carrière, c’est le plus beau des trophées. J’étais béni ce jour là. Et ensuite j’ai terminé meilleur marqueur français du championnat. Depuis, j’ai retrouvé aussi Skeeter Henry sur facebook. On voit sur la vidéo combien ils sont écoeurés à la fin !
Il y a eu un autre match où tout est rentré, c’est lorsque vous avez marqué 51 points à Equeurdreville contre la Grèce, le 21 novembre 1985. Une sacrée bataille avec Nick Galis ?
Mon meilleur match de toute ma carrière, c’est celui-là. 54 points à Equeurdreville ! (la fédération a officiellement retenu le chiffre de 51 alors que d’autres sources font effectivement état de 54 points). Maintenant, je prononce bien le nom alors qu’à l’époque, je l’écorchais. Je disais « Equerville » où quelque chose comme ça (rires). Après mon accident, tous les médecins qui m’ont vu lors de ma rééducation ont dit qu’heureusement, j’étais un athlète avec un gros mental, et c’est pour ça que je m’en suis sorti. J’avais perdu la mémoire immédiate, les sept années avant mon accident, par contre le reste était bien gravé. Le All-Star Game à Tours était un peu flou dans ma mémoire, mais relire les articles et voir la vidéo m’a permis de faire revenir tout ça à l’esprit. Je dois beaucoup à ma femme, Mladena, qui s’est très bien occupée de moi. Savez-vous qu’elle a plus de sélections que moi, 366 (Hervé est le recordman en France avec 259). En 1986, dans la Gazzetta dello Sport, il y avait les dix meilleurs joueurs d’Europe dont je faisais partie, et en face la liste des dix meilleures joueuses d’Europe dont elle faisait partie. Quand elle est arrivée à Aix-en-Provence, j’ai commencé à la draguer en lui envoyant des fleurs ! (Mladena nous expliquera ensuite qu’Hervé a flashé sur elle en la découvrant dans une pose glamour dans le magazine Maxi-Basket).
« Lorsque j’ai eu mon accident, il y a eu délit de fuite et il n’y a pas eu de coupable. Je culpabilisais, je ne pouvais me regarder dans la glace, je m’en voulais d’avoir fait de la moto, j’estimais que je ne servais plus à rien. »
Vous aviez un shoot esthétiquement parfait. Qui avait été votre modèle ?
Mon premier entraîneur à Thumeries (dans le Nord-Pas-de-Calais), Marcel Dessenne, qui m’a appris le 6 à l’envers. J’étais dernièrement à la finale du Pole France, et j’ai expliqué aux jeunes ce mécanisme de shoot (…) On m’avait appris à ne fouetter le poignet qu’au moment où la balle est au-dessus du cercle comme si je l’accompagnais jusqu’au bout. Le basket, c’est toute ma vie. Lorsque j’ai eu mon accident, il y a eu délit de fuite et il n’y a pas eu de coupable. Je culpabilisais, je ne pouvais me regarder dans la glace, je m’en voulais d’avoir fait de la moto, j’estimais que je ne servais plus à rien. J’ai attendu longtemps avant d’entraîner de nouveau le mercredi des gamins à Villeneuve-Loubet où j’habitais. Je leur ai enseigné mon shoot. Et le jour de mon mariage ils étaient tous là avec des ballons pour me faire la haie d’honneur. Leur rendre ce que l’on m’avait appris à Thumeries, tout ça m’a donné confiance en moi et envie de vivre.
Vous étiez aussi un extraordinaire dunkeur, capable de lancer la balle par terre, de la faire rebondir sur le panneau, et de la récupérer pour dunker arrière ?
Ils ont marqué dans L’Equipe Magazine que les Américains avaient dit que j’étais le Blanc qui sautait au-dessus des buildings (cette métaphore a été écrite dans le Street & Smith par le journaliste Giorgio Gandolfi au tout début des années quatre-vingts). J’avais comme exemple Julius Erving, Doctor J. Très important à dire, ce n’est pas par hasard que je sautais haut. J’avais des facultés, mais tout a commencé avec M. Pierre Legrain, l’entraîneur de Guy Drut à Oignies. Je faisais un peu d’athlétisme, du saut en hauteur. Ma coordination est venue de là, j’ai acquis des bases. C’est Pierre Legrain qui m’a signalé à Jacques Fiévé, l’entraîneur de Denain, qui était son copain. Il lui a dit, « j’ai un jeune qui joue à Thumeries, avec qui je fais un peu de saut en hauteur, tu devrais aller le voir. » J’avais 14 ans, j’étais tout maigre, j’avais grandi en un an de vingt centimètres suite à une jaunisse, j’éclatais tout. C’est comme ça que je suis arrivé à Denain. J’ai travaillé ensuite mes figures de dunks à l’entraînement. J’ai toujours eu un côté spectacle en moi et puis aussi, je l’avoue, d’inconscience. Quand je jouais, je tentais des choses incroyables.
Considérez-vous que vous soyez né trop tôt ? Que si vous aviez 20-30 ans aujourd’hui, vous seriez en NBA ?
Peut-être que je serais là-bas, mais je ne regrette rien… Je vis avec mon temps et je suis très fier de ce que j’ai fait. J’ai été le premier Français à faire un camp NBA, avec les New Jersey Nets, à l’université de Princeton, celle de Brooke Shields (actrice américaine), juste après les Jeux de Los Angeles. Ils étaient intéressés mais ils ne me proposaient pas un contrat garanti, or j’étais en contrat avec le Stade-Français. Je leur ai dit « je n’ai pas de garantie, je ne reste pas. » Mais c’est un bon souvenir. J’étais au stage des Nets avec le Brésilien Oscar Schmidt, on était tout le temps ensemble. Lui aussi, c’était un shooteur et un mec super cool. Je suis toujours en contact avec lui.
Quel est le record dont vous êtes le plus fier ?
Mon match contre les Grecs à Equeurdreville, et d’être allé aux Jeux de Los Angeles. C’était en France le début du basket américain à la télévision et on a joué au Forum de Los Angeles, vous vous rendez compte ! Aujourd’hui il y a des Français qui jouent là-bas mais à l’époque, c’était un autre monde. La première fois où je suis rentré dans le Forum, je n’y croyais pas. On a joué contre Michael Jordan qui n’était pas encore pro. Sauf à venir d’une université, c’était impossible à l’époque d’aller en NBA.
Vous êtes souvent allé voir des matches en NBA, à l’époque où c’était une terre inconnue ?
Oui et, après mon accident, avec mon épouse on a fait une tournée aux Etats-Unis, en 2006 je crois. Je voulais revoir le lieu où j’avais fait les Jeux Olympiques. J’y ai vu T.P. (Tony Parker) contre les Lakers et les Clippers, et aussi Rony Turiaf.
Article paru dans Basket Hebdo en 2014
Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.
– Gêne. Qu’Abdel Sylla pose autant de difficultés au secteur intérieur nancéien. Notamment à un Dario Hunt, qui n’était décidément pas dans son… Lire la suite.
– Ambiance. Le public (5.222 spectateurs) et l’ambiance dans le palais des sports pendant le match. Il faut dire que le club avait tout prévu pour… Lire la suite.
– La route qui mène au maintien est encore longue et sinueuse. Mais grâce à son succès face à Orléans, le SLUC est toujours en vie. Déjà pas si mal par… Lire la suite.
– Toujours dauphin de Monaco après son 11e succès glané vendredi contre Strasbourg (81-74), l’Elan Chalon termine l’année 2016 sans pression au Mans (ce… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Pape Badiane a souvent foulé le parquet de la salle Amédée-Mercier avec Roanne, entre 2003 et 2007, en Pro A. En 2006, il était de l’équipe qui avait… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Relégué de Pro A, le club normand finit l’année en force et peut prolonger à Saint-Chamond une série de trois victoires de rang… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Après un passage à la tête de l’équipe féminine de l’ALL, Corentin Mahé a posé ses valises du côté de FC Lyon, club phare de la cité des gaules au… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– La JL Bourg faisait figure d’épouvantail du championnat. Pourtant, ce sont les Burgiens qui auront la pression chez eux… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Thibault Desseignet a manqué trois matches pour cause de championnat d’Europe. Il revient ce soir, une médaille d’or autour du cou, face à Roanne, le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– La 12e journée de Pro B a été marquée par la défaite du Leader (Fos, à Évreux) et par celle de son dauphin (Charleville, devant Nantes). Quant à la désormais ex-lanterne rouge (Rouen, prochain adversaire de l’ADA), elle s’est imposée à Boulogne-sur-Mer (79-83), alors qu’elle était menée de 7 points à l’amorce du dernier quart-temps (68-61)… Lire la suite.
– « C’était le dernier match à domicile de Rudy Jomby avec ce groupe, a rappelé Mickaël Hay, vendredi soir, après la victoire face à Boulazac. Il faut le remercier car c’est quelqu’un qui n’avait connu que le niveau au-dessus et qui s’est mis au service de l’équipe. »… Lire la suite.
– Boris Diaw, et avec lui la grande famille du basket français, ont appris avec le stupeur la disparition de Pape Badiane, l’ancien pivot international, décédé la veille de Noël dans un accident de la circulation survenu dans les Deux-Sèvres.Badiane, 36 ans, avait disputé l’Euro 2007 au sein de l’équipe de France avec Diaw, Pa… Lire la suite.
– « Même si j’aurais préféré jouer au palais des sports, cela m’a fait plaisir de revenir, confiait Alexis Tanghe, le pivot blésois de Boulazac, vendredi soir. Ma famille était là, cela m’a fait chaud au cœur. Pour ce qui est du match, on a pris un tacle en pleine tête. On a été dominés de bout en bout. C’est très dur pour nous, car on… Lire la suite.
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Il revient ce soir, une médaille d’or autour du cou, face à Roanne, le… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLes leaders au tapis Rouen au taquet\n\n– La 12e journée de Pro B a été marquée par la défaite du Leader (Fos, à Évreux) et par celle de son dauphin (Charleville, devant Nantes). Quant à la désormais ex-lanterne rouge (Rouen, prochain adversaire de l’ADA), elle s’est imposée à Boulogne-sur-Mer (79-83), alors qu’elle était menée de 7 points à l’amorce du dernier quart-temps (68-61)… Lire la suite.\n\n\n«Le match de mardi à Rouen, on aimerait bien l’offrir à Rudy Jomby.»\n\n– « C’était le dernier match à domicile de Rudy Jomby avec ce groupe, a rappelé Mickaël Hay, vendredi soir, après la victoire face à Boulazac. Il faut le remercier car c’est quelqu’un qui n’avait connu que le niveau au-dessus et qui s’est mis au service de l’équipe. »… Lire la suite.\n\n\n« Triste nouvelle que d’apprendre le décès de Pape Badiane. 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C’est très dur pour nous, car on… Lire la suite.\n\n\nBoulazac est loin du compte\n\n– Boulazac – Poitiers Annoncés parmi les favoris en début de saison, les Périgourdins sont à la peine et se traînent en queue de classement… Lire la suite.\n\n\nC’est l’alchimie de Noël\n\n– “ Quelque chose se dégage de cette équipe. ” Mickaël Hay l’a répété, vendredi soir, au terme d’un match qui a fait le bonheur des supporters de l’ADA… Lire la suite.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-26T08:59:01.000Z", "updated_at":"2016-12-26T08:42:12.000Z", "published_at":"2016-12-26T08:59:01.000Z", "custom_excerpt":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad936", "uuid":"0bc1d301-bcd1-4379-a48f-7cab4aee58b2", "title":"Vincent Collet va rendre visite à Nicolas Batum et Evan Fournier", "slug":"vincent-collet-va-rendre-visite-a-nicolas-batum-et-evan-fournier", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/fournier-heat.jpg\",\"width\":500,\"height\":330}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce soir Strasbourg livre face à Dijon son dernier match de l’année. 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Ce soir Strasbourg livre face à Dijon son dernier match de l’année. Son coach Vincent Collet va pouvoir ensuite se consacrer quelques jours à l’équipe de France.
L’Equipe annonce que l’entraîneur des Bleus doit effectuer trois séjours aux Etats-Unis durant la saison et que le premier va se dérouler cette semaine de mardi à jeudi. Au programme, deux cas à gérer au plus près, ceux de Nicolas Batum (Charlotte) et surtout Evan Fournier (Orlando), absent des derniers Jeux olympiques.
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Pour suppléer son coach Germain Castano démis de ses fonctions, le SOM Boulogne (Pro B) a choisi… son manager général, Olivier Bourgain, qui va fêter ses 48 ans demain.
Olivier Bourgain avait terminé sa carrière de joueur au SOM en 2001 pour en prendre le coaching et il l’avait emmené de Nationale 3 en Nationale 1. En octobre 2009, il avait dû céder son poste et il occupe depuis celui de manager général.
Lui qui est la véritable figure du club, reprend-il du service définitivement ? Rien n’est moins sûr.
« Le président souhaite que je coache ce match (NDLR: à Vichy-Clermont). Et après ? Je ne sais pas », répond l’intéressé dans La Voix du Nord. « Je l’accepte dans l’intérêt du club. J’ai parlé aux joueurs samedi, maintenant on va s’entraîner et essayer d’avoir des comportements différents. La chose la plus importante, c’est le SOMB. On passe un mauvais Noël et j’espère qu’en juin, on en rigolera car évidemment que le SOMB doit pouvoir remonter. »
Les Nordistes sont bons derniers avec trois victoires en douze matches, à égalité avec Rouen qui comme eux a connu récemment la Pro A. Olivier Bourgain dit vivre comme une déchirure la mise à pied de son ami Germain Castano qui lui avait succédé en 2009. La Voix du Nord demande au nouveau coach quelle est la part de responsabilité des joueurs :
« Je ne sais pas s’ils se rendent compte, que la vie des gens, des salariés dépend aussi du sportif. Ce n’est pas propre à Boulogne. Là, ça nous touche car on perd Germain, c’est très douloureux. Au-delà de ça, j’espère que ce sacrifice ne sera pas vain et que la prise de conscience sera totale. Ils ne le font pas exprès mais entre avoir la haine et juste envie, il y a deux intensités différentes. Moi, c’est la haine d’être dernier qui m’habite. »", "comment_id":"386981", "plaintext":"Pour suppléer son coach Germain Castano démis de ses fonctions, le SOM Boulogne (Pro B) a choisi… son manager général, Olivier Bourgain, qui va fêter ses 48 ans demain.\n\nOlivier Bourgain avait terminé sa carrière de joueur au SOM en 2001 pour en prendre le coaching et il l’avait emmené de Nationale 3 en Nationale 1. En octobre 2009, il avait dû céder son poste et il occupe depuis celui de manager général.\n\nLui qui est la véritable figure du club, reprend-il du service définitivement ? Rien n’est moins sûr.\n\n« Le président souhaite que je coache ce match (NDLR: à Vichy-Clermont). Et après ? Je ne sais pas », répond l’intéressé dans La Voix du Nord. « Je l’accepte dans l’intérêt du club. J’ai parlé aux joueurs samedi, maintenant on va s’entraîner et essayer d’avoir des comportements différents. La chose la plus importante, c’est le SOMB. On passe un mauvais Noël et j’espère qu’en juin, on en rigolera car évidemment que le SOMB doit pouvoir remonter. »\n\nLes Nordistes sont bons derniers avec trois victoires en douze matches, à égalité avec Rouen qui comme eux a connu récemment la Pro A. Olivier Bourgain dit vivre comme une déchirure la mise à pied de son ami Germain Castano qui lui avait succédé en 2009. La Voix du Nord demande au nouveau coach quelle est la part de responsabilité des joueurs :\n\n« Je ne sais pas s’ils se rendent compte, que la vie des gens, des salariés dépend aussi du sportif. Ce n’est pas propre à Boulogne. Là, ça nous touche car on perd Germain, c’est très douloureux. Au-delà de ça, j’espère que ce sacrifice ne sera pas vain et que la prise de conscience sera totale. Ils ne le font pas exprès mais entre avoir la haine et juste envie, il y a deux intensités différentes. Moi, c’est la haine d’être dernier qui m’habite. »", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-26T08:35:12.000Z", "updated_at":"2016-12-26T08:35:12.000Z", "published_at":"2016-12-26T08:35:12.000Z", "custom_excerpt":"Pour suppléer son coach Germain Castano démis de ses fonctions, le SOM Boulogne (Pro B) a choisi… son manager général, Olivier Bourgain, qui va fêter ses 48 ans demain. Olivier Bourgain avait terminé sa carrière de joueur au SOM en 2001 pour en prendre le coaching et il l’avait emmené de Nationale 3", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad938", "uuid":"c2aae793-2435-44c4-a1ba-f843c6bc5556", "title":"Les articles de la semaine du 19 décembre au 25 décembre 2016", "slug":"les-articles-de-la-semaine-du-19-decembre-au-25-decembre-2016", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"
Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :
\"}],[\"html\",{\"html\":\"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :
Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.
– Rentrée bredouille de ses deux derniers déplacements chez les cadors du championnat, dimanche à Monaco et vendredi à Chalon, la SIG doit finir l’année… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Euphorique dans son antre du Colisée face à Strasbourg (81-74), vendredi, Chalon a raflé son 8e succès de rang à domicile. Confirmant ainsi son rang… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Capitaine emblématique de la Chorale lors des deux titres en 2007, Pape Badiane est mort accidentellement. Un homme grand s’en est allé… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Denain a subi de plein fouet la frustration rejetée de la Chorale, pourtant privée de Rozenfeld et Cheriet. Défense et collectif ont payé… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Si la victoire donne un peu d’air au classement, elle fait aussi beaucoup de bien au moral après une série de défaites… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– L’ancien basketteur international français Pape Badiane, champion de France avec Roanne en 2007, est décédé à 36 ans vendredi soir dans un accident de… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
– Déjà battue à sept reprises en Pro A suite à ses deux défaites d’affilée à Monaco et Chalon, la SIG a impérativement besoin d’une victoire ce lundi… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]
", "comment_id":"386962", "plaintext":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\n\n\nUne dernière cruciale\n\n– Rentrée bredouille de ses deux derniers déplacements chez les cadors du championnat, dimanche à Monaco et vendredi à Chalon, la SIG doit finir l’année… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nNoël de rêve pour l’Elan\n\n– Euphorique dans son antre du Colisée face à Strasbourg (81-74), vendredi, Chalon a raflé son 8e succès de rang à domicile. Confirmant ainsi son rang… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nUn champion, un grand homme\n\n– Capitaine emblématique de la Chorale lors des deux titres en 2007, Pape Badiane est mort accidentellement. Un homme grand s’en est allé… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nLa Chorale a serré les rangs\n\n– Denain a subi de plein fouet la frustration rejetée de la Chorale, pourtant privée de Rozenfeld et Cheriet. Défense et collectif ont payé… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nSaint-Chamond s’est rassuré\n\n– Si la victoire donne un peu d’air au classement, elle fait aussi beaucoup de bien au moral après une série de défaites… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nL’ex international Pape Badiane décède dans un accident de voiture\n\n– L’ancien basketteur international français Pape Badiane, champion de France avec Roanne en 2007, est décédé à 36 ans vendredi soir dans un accident de… Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\n\n\nUne der à ne pas rater\n\n– Déjà battue à sept reprises en Pro A suite à ses deux défaites d’affilée à Monaco et Chalon, la SIG a impérativement besoin d’une victoire ce lundi… Lire la suite. 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Elu MVP de l’Euro U18, le champion d’Europe fait déjà saliver les scouts NBA, et il est évidemment tentant de comparer les deux spécimens au même âge, même si morphologiquement, il ne se ressemble pas.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le Strasbourgeois (1,96m) est sensiblement plus grand que le meneur des Spurs (1,88m) et il possède des bras gigantesques (2,13m d’envergure !), une vertu naturelle précieuse pour le basket. Au même âge, TP était lui d’une rapidité exceptionnelle même si Ntilikina est loin d’être un tracteur.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La comparaison la plus objective, ce sont les statistiques, même si là aussi, prudence. Celles-ci sont beaucoup fonction de l’environnement. 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Il ne fait pas de doute que Frank Ntilikina est le meilleur jeune meneur de jeu français depuis Tony Parker. Elu MVP de l’Euro U18, le champion d’Europe fait déjà saliver les scouts NBA, et il est évidemment tentant de comparer les deux spécimens au même âge, même si morphologiquement, il ne se ressemble pas.
Le Strasbourgeois (1,96m) est sensiblement plus grand que le meneur des Spurs (1,88m) et il possède des bras gigantesques (2,13m d’envergure !), une vertu naturelle précieuse pour le basket. Au même âge, TP était lui d’une rapidité exceptionnelle même si Ntilikina est loin d’être un tracteur.
La comparaison la plus objective, ce sont les statistiques, même si là aussi, prudence. Celles-ci sont beaucoup fonction de l’environnement. Mais tout de même…
Le Strasbourgeois sort de l’Euro U18 qui vient de se tenir en Turquie avec en 28 minutes par match : 15,2pts, 50.0% dans les shoots et surtout un formidable 58,6% à trois-points, 4,5 passes, 2,8 rebonds, 2,2 interceptions, 1,2 contre -ce qui est énorme pour un arrière- et 3,3 balles perdues -ce qui à l’inverse est un peu trop même quand vous avez beaucoup la balle en main.
A Zadar, en 2000, Parker fut lui aussi champion d’Europe et élu MVP du tournoi. Il joua un nombre de minutes presque égale (29) avec 14,4 pts, 45,3% dans les shoots, 34,8% à trois-points, 2,5 passes, 2,8 rebonds, 1,8 interception, pas de contre, et 1,3 balle perdue.
Bref, la production chiffrée du futur quadruple champion NBA fut sensiblement inférieure à celle de son héritier même s’il fut moins dispendieux.
Une autre comparaison peut être faite.
A la SIG, Frank Ntilikina passe actuellement en moyenne 13 minutes par match sur le terrain pour 3,8 pts, 52,9% dans les shoots dont 45,4% à trois-points, 0,5 passe, 1,2 rebond, 1,7 interception, pas de contre, 0,7 balle perdue. C’est encore un apprenti, il est le backup d’un Américain, Erving Walker, et il est parfois utilisé en deuxième arrière.
Tony Parker, lui, n’avait plus Laurent Sciarra en concurrence interne au Paris Basket Racing. Il était passé titulaire et son temps de jeu avait bondi à 33 minutes. A la fin de la saison 2000-01, il en était à 14,7 pts, 48,9% dans les shoots, 30,3%, 5,6 passes, 2,7 rebonds, 2,3 interceptions, pas de contre, et 2,2 balles perdues. TP était déjà considéré comme un adulte.
En club et à dix-huit ans, Frank Ntilikina est donc sensiblement en retard sur son glorieux aîné sachant que celui-ci fut drafté à la fin de cette saison parisienne (28e choix) et qu’il trouva aux Spurs un environnement parfait pour développer sa précocité.
Moralité : s’il devrait être drafté sensiblement plus haut que Parker, la route est encore longue pour l’Alsacien surdoué s’il veut un jour rivaliser avec le meilleur basketteur français de tous les temps. Mais il a le temps pour y arriver, éventuellement.
", "comment_id":"386852", "plaintext":"Il ne fait pas de doute que Frank Ntilikina est le meilleur jeune meneur de jeu français depuis Tony Parker. Elu MVP de l’Euro U18, le champion d’Europe fait déjà saliver les scouts NBA, et il est évidemment tentant de comparer les deux spécimens au même âge, même si morphologiquement, il ne se ressemble pas.\n\nLe Strasbourgeois (1,96m) est sensiblement plus grand que le meneur des Spurs (1,88m) et il possède des bras gigantesques (2,13m d’envergure !), une vertu naturelle précieuse pour le basket. Au même âge, TP était lui d’une rapidité exceptionnelle même si Ntilikina est loin d’être un tracteur.\n\nLa comparaison la plus objective, ce sont les statistiques, même si là aussi, prudence. Celles-ci sont beaucoup fonction de l’environnement. Mais tout de même…\n\nLe Strasbourgeois sort de l’Euro U18 qui vient de se tenir en Turquie avec en 28 minutes par match : 15,2pts, 50.0% dans les shoots et surtout un formidable 58,6% à trois-points, 4,5 passes, 2,8 rebonds, 2,2 interceptions, 1,2 contre -ce qui est énorme pour un arrière- et 3,3 balles perdues -ce qui à l’inverse est un peu trop même quand vous avez beaucoup la balle en main.\n\nA Zadar, en 2000, Parker fut lui aussi champion d’Europe et élu MVP du tournoi. Il joua un nombre de minutes presque égale (29) avec 14,4 pts, 45,3% dans les shoots, 34,8% à trois-points, 2,5 passes, 2,8 rebonds, 1,8 interception, pas de contre, et 1,3 balle perdue.\n\nBref, la production chiffrée du futur quadruple champion NBA fut sensiblement inférieure à celle de son héritier même s’il fut moins dispendieux.\n\n\nT.P. avait beaucoup plus de temps de jeu en club\n\nUne autre comparaison peut être faite.\n\nA la SIG, Frank Ntilikina passe actuellement en moyenne 13 minutes par match sur le terrain pour 3,8 pts, 52,9% dans les shoots dont 45,4% à trois-points, 0,5 passe, 1,2 rebond, 1,7 interception, pas de contre, 0,7 balle perdue. C’est encore un apprenti, il est le backup d’un Américain, Erving Walker, et il est parfois utilisé en deuxième arrière.\n\nTony Parker, lui, n’avait plus Laurent Sciarra en concurrence interne au Paris Basket Racing. Il était passé titulaire et son temps de jeu avait bondi à 33 minutes. A la fin de la saison 2000-01, il en était à 14,7 pts, 48,9% dans les shoots, 30,3%, 5,6 passes, 2,7 rebonds, 2,3 interceptions, pas de contre, et 2,2 balles perdues. TP était déjà considéré comme un adulte.\n\nEn club et à dix-huit ans, Frank Ntilikina est donc sensiblement en retard sur son glorieux aîné sachant que celui-ci fut drafté à la fin de cette saison parisienne (28e choix) et qu’il trouva aux Spurs un environnement parfait pour développer sa précocité.\n\nMoralité : s’il devrait être drafté sensiblement plus haut que Parker, la route est encore longue pour l’Alsacien surdoué s’il veut un jour rivaliser avec le meilleur basketteur français de tous les temps. Mais il a le temps pour y arriver, éventuellement.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2016-12-25T10:41:48.000Z", "updated_at":"2016-12-25T10:45:34.000Z", "published_at":"2016-12-25T10:41:48.000Z", "custom_excerpt":"Il ne fait pas de doute que Frank Ntilikina est le meilleur jeune meneur de jeu français depuis Tony Parker. Elu MVP de l’Euro U18, le champion d’Europe fait déjà saliver les scouts NBA, et il est évidemment tentant de comparer les deux spécimens au même âge, même si morphologiquement, il ne se ress", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568b940f17ea400014ad93b", "uuid":"d114ed9b-57cb-418a-9b1d-2fde275e5c32", "title":"Le documentaire sur l’ASVEL diffusé mercredi sur la chaîne l’Equipe", "slug":"le-documentaire-sur-lasvel-diffuse-mercredi-sur-la-chaine-lequipe", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/tony-parker2.jpg\",\"width\":500,\"height\":284}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.facebook.com/plugins/video.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Ftp9network%2Fvideos%2F10154449993963173%2F&show_text=0&width=560\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mercredi 28 décembre, l’ASVEL sera à l’honneur sur la chaîne l’Equipe le temps d’un documentaire d’environ cinquante minutes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A 17h50, « ASVEL did it » nous plongera dans les coulisses de la dernière finale du championnat de France de Pro A remporté par les hommes de J.D. Jackson 3-2 face à Strasbourg, après avoir été menés 2-0.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et pour vous faire patienter, voici un petit extrait publié par Tony Parker sur sa page Facebook.\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2016/12/tony-parker2.jpg\")
Mercredi 28 décembre, l’ASVEL sera à l’honneur sur la chaîne l’Equipe le temps d’un documentaire d’environ cinquante minutes.
A 17h50, « ASVEL did it » nous plongera dans les coulisses de la dernière finale du championnat de France de Pro A remporté par les hommes de J.D. Jackson 3-2 face à Strasbourg, après avoir été menés 2-0.
Et pour vous faire patienter, voici un petit extrait publié par Tony Parker sur sa page Facebook.
Ergin Ataman, le coach de l’Efes Istanbul, l’avait clairement mauvaise malgré la victoire arrachée par son équipe face à Usak le week-end dernier. Il avait promis des sanctions contre ses joueurs qui ont, selon lui, un « vrai problème de comportement ».
Et la punition est tombée aujourd’hui. Selon Eurohoops, les joueurs de l’Efes vont ainsi être privés de 10% de leur salaire du mois et vont devoir, en sus, s’acquitter de séances supplémentaires à l’entraînement.
« Il y a un vrai problème de caractère dans cette équipe, et si ça continue comme ça, on va tout changer ! »
Déjà éliminés en Euroleague (et ce depuis un bail), l’Efes Istanbul n’est pas non plus à la fête avec une 4e place décevante en championnat (16 victoires – 7 défaites). On espère tout de même que coach Ataman a pu un peu décolérer depuis…
", "comment_id":"425093", "plaintext":"Ergin Ataman, le coach de l’Efes Istanbul, l’avait clairement mauvaise malgré la victoire arrachée par son équipe face à Usak le week-end dernier. Il avait promis des sanctions contre ses joueurs qui ont, selon lui, un « vrai problème de comportement ».\n\nEt la punition est tombée aujourd’hui. Selon Eurohoops, les joueurs de l’Efes vont ainsi être privés de 10% de leur salaire du mois et vont devoir, en sus, s’acquitter de séances supplémentaires à l’entraînement.\n\n« Il y a un vrai problème de caractère dans cette équipe, et si ça continue comme ça, on va tout changer ! »\n\nDéjà éliminés en Euroleague (et ce depuis un bail), l’Efes Istanbul n’est pas non plus à la fête avec une 4e place décevante en championnat (16 victoires – 7 défaites). On espère tout de même que coach Ataman a pu un peu décolérer depuis…", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/04/ergin-ataman.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-04-04T06:13:34.000Z", "updated_at":"2018-04-06T08:24:32.000Z", "published_at":"2018-04-04T06:13:34.000Z", "custom_excerpt":"Ergin Ataman, le coach de l’Efes Istanbul, l’avait clairement mauvaise malgré la victoire arrachée par son équipe face à Usak le week-end dernier. Il avait promis des sanctions contre ses joueurs qui ont, selon lui, un « vrai problème de comportement ».", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d36", "uuid":"f1aeec3a-ac5f-4333-b163-2bdf628a8f56", "title":"ASVEL : Alpha Kaba absent huit semaines", "slug":"asvel-alpha-kaba-absent-huit-semaines", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Photo : asvelbasket.com
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Malgré une victoire obtenue aux forceps lundi soir à l’Astroballe, l’ASVEL vient d’apprendre un coup dur avec le forfait pour deux mois de l’ancien joueur de Mega Leks. Le club indique sur son site que l’intérieur villeurbannais souffre d’un traumatisme du tendon rotulien. Les dirigeants de Lyon-Villeurbanne vont logiquement se mettre à la recherche de son remplaçant.
Cette saison, Alpha Kaba 5,7 points et 5,7 rebonds pour une évaluation de 10,3.
Photo : asvelbasket.com
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Selon Sportando, l’ancien pensionnaire de Providence s’est engagé avec le club lombard en vue des playoffs de Serie A. Brescia compte 16 victoires et sept défaites et pointe à la troisième place du classement mais peut encore aller titiller les deux premières places du classement. À Perth cette saison, le meneur américain a notamment tenté sa chance en NBA (Utah, Phoenix et Memphis) et en Euroleague (Anadolu Efes) avant de s’envoler pour l’Australie.
Cette saison, Bryce Cotton tournait en moyenne à 19,7 points, 3 rebonds, 3,1 passes décisives et 1,2 interception en NBL.
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Interviewé par la LNB, l’entraîneur Laurent Legname est d’ailleurs revenu sur leur recrutement et a confié ne plus vouloir faire confiance à des rookies dans le futur.
« Je ne prendrai plus de rookies. Les meilleurs rookies vont en NBA ou dans les grands clubs européens. Leur talent individuel n’est pas en cause. C’est un manque de culture de jeu. Ils ont plus que des lacunes. Ils ne savent pas jouer. Ils ne connaissent pas le basket. Donc oui, ça m’a vacciné. Vous avez trouvé le mot. Il faut une culture de jeu pour jouer dans le basket européen face à des défenses fermées. Ils ne peuvent pas, c’est criant. L’idéal est de prendre des joueurs qui connaissent déjà la Jeep® ÉLITE. Mais on sait que par rapport au budget de la JDA ce n’est pas possible. Les ricains ou les JFL déjà référencés en Jeep® ÉLITE, on ne peut pas les avoir. »
Photo : FOXAEP.com
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Sous les couleurs du Cedevita Zagreb, l’ailier bosnien est le plus jeune joueur de l’histoire à obtenir ce trophée. Parmi tous les candidats, c’est lui qui possédait les meilleurs statistiques aux points et à l’évaluation. Cette saison, Dzanan Musa compilait en moyenne 10,5 points et 3,2 rebonds pour une évaluation de 10,8 en Eurocup.
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Ancien international yougoslave, Sasa Obradovic continue sa montée en puissance en tant qu’entraîneur. Après être passé par Kiev, Donetsk ou encore Berlin, il est arrivé en 2016 sur le banc du Lokomotiv Kuban. Conservé par le club malgré une « relégation » d’Euroleague à l’Eurocup, Sasa Obradovic est tout proche de retrouver la compétition reine avec le Loko. C’est en toute logique qu’il vient d’être élu meilleur entraîneur de l’année en Eurocup.
Remercié par l’Elan Béarnais début février alors qu’il s’était engagé avec le club du Béarn lors de la dernière intersaison, Serge Crevecoeur va faire son retour en Belgique.
Sur son site, le Basic-Fit Brussels annonce la signature de l’ancien entraîneur de Pau. Il arrive d’abord en tant que Directeur Général et endossera le rôle d’entraîneur à partir de la rentrée prochaine. L’actuel entraîneur, Laurent Monier reprendra le rôle d’assistant sur l’équipe première et sera directeur technique de la section jeunes.
Serge Crevecoeur n’arrive pas en terrain inconnu puisqu’avant de tenter l’expérience en France, il était à la tête de la formation bruxelloise depuis 2008.
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Voici les paris de la semaine avec les analyses et les conseils de Fred Weis :
Pau-Lacq-Orthez – Le Portel : Pau-Lacq-Orthez
Pau n’a pas perdu à la maison depuis l’arrivée du « nouveau » coach. Alors que malgré les deux victoires de suite à l’extérieur pour Le Portel, ils sont plus friables loin de leurs terres surtout sans le guerrier Benoit Mangin.
Châlons-Reims – Cholet : Châlons-Reims
Trois défaites de suite pour cette équipe de Châlons qui réussit à embêter les gros. Alors que c’est très compliqué pour Cholet qui reste sur une seule victoire en huit matchs.
Gravelines – Limoges : Gravelines
Une seule victoire en cinq matchs pour le BCM et un CSP qui reste sur six défaites de suite à l’extérieur. L’effet Gravelines devrait faire la différence.
Pour ceux qui l’ont connu alors qu’il disposait de toute son intégrité physique, Arvidas Sabonis (2,20m, né en 1964) est le plus grand joueur européen de tous les temps. Et avec une hygiène de vie appropriée, le Lituanien aurait fait des ravages en NBA.
Cet article date de ses débuts aux Portland Trailblazers quand les Américains découvrirent ce phénomène de la race humaine.
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Populaire en Lituanie, Sabonis ? Les preuves sont multiples. Depuis des années déjà, la bouteille de vodka d’un litre a pris son nom. Le 3 mai dernier, jour de la naissance du troisième fils d’Arvidas à Portland, les trois grands quotidiens nationaux ont offert leur une à « Saboninkas ».
Sabas a été élu 5 fois (en 84, 85, 86, 94 et 95) sportif numéro 1 de l’année par le journal Sportas et, en 1990, il a été consacré rien moins que plus grand sportif du pays des 50 dernières années. « Sabonis a davantage apporté à la Lituanie que le Seimas (le parlement lituanien) et le gouvernement réunis », a déclaré en avril, à la télévision, Kazimieras Moticka, le vice-président du parlement en question.
Grâce à la popularité de Sabas, pivot rookie de NBA à 31 ans, un nouveau commerce prospère en Lituanie depuis le dernier hiver : les circuits touristiques organisés autour de Portland et des matches des Blazers. Les nouveaux riches Lituaniens ne regardent pas à la dépense (4 à 7 000 dollars la semaine, une fortune dans ce pays tout juste sorti des griffes de l’ours soviétique) pour aller admirer sur place le prodige national. Ce sont des veinards : en Lituanie, on se plaint de n’avoir vu que trois matches de Portland sur Baltijos TV, la chaîne privée qui a acheté les droits pour la diffusion des programmes de la NBA. La ligue américaine expédie à travers le monde le même package et les Blazers n’ont jamais été considérés comme un produit de grande consommation.
Arvidas Sabonis est un héros national. Les millions de dollars engrangés en Espagne puis grâce à son contrat signé avec Portland (12 millions de $ sur 5 ans) et enfin avec Nike en font également un homme très riche. Un géant. Dans tous les sens du terme. Sabas a acheté une villa à Malaga, une maison à Portland, des appartements pour ses beaux-parents à Vilnius et il est co-propriétaire d’une scierie. Il a également largement investi dans le basket lituanien. Durant l’hiver 1994, Zalgiris Kaunas, son club chéri, était au bord de la faillite. Arvidas a participé, à hauteur de 20%, au financement d’une nouvelle société dont les autres actionnaires sont deux hommes d’affaires, l’un de Moscou et l’autre des États-Unis, tous les deux d’origine lituanienne. Zalgiris est depuis en pleine forme. Il avait également créé, au cours de l’été 1992, une école de basket ouverte à plus de 400 enfants. Ce sont 3 millions de dollars supplémentaires que Sabas a l’intention d’apporter à cette école qui va bientôt avoir pour cadre un bâtiment moderne de trois étages.
La légende cultivée à l’époque soviétique veut que Sabonis soit un type secret, introverti, voir irascible. Mais ceux qui ont pu l’approcher et su obtenir sa confiance affirment que ce dingue de pêche a un extraordinaire sens de l’humour et surtout qu’il ne supporte pas l’injustice. Déjà, du temps où il jouait en Espagne, il avait acheté du matériel pour un club d’handicapés de Kaunas. Mais, au contraire de Sarunas Marciulionis ajoute-on, il déteste faire la publicité de ses œuvres caritatives.
Sabonis et les États-Unis : la success-story a débuté au retour du Championnat du monde de Cali, à la fin de 1982. L’URSS avait affronté plusieurs universités américaines avec en son centre son prodige de 17 ans. « J’estimais qu’il était le plus grand espoir que je n’avais jamais vu », rappelle Bob Knight, coach d’Indiana. « Il était plus costaud que Bill Walton. Un immense et rare talent ».
Très haut perché (2,20m) épais (125kg sur la bascule), d’une force mythologique, Sabonis est également « un artiste » pour reprendre le qualificatif de son coach d’alors en sélection d’URSS, Alexandre Gomelski. A vingt ans, il court comme un cabri, shoote de près comme de loin, et s’amuse à faire des passes dans le dos, en aveugle. « J’ai fait du foot. Et j’aimais aussi regarder des matches de foot, comme de tennis et de hockey. Mais tous mes meilleurs souvenirs de gosse sont de basket », disait Sabas récemment dans une interview à The Oregonian. « Avant d’être grand, j’ai joué à tous les postes et j’ai appris à faire de bonnes passes et même des passes audacieuses. Je n’ai rien appris d’autre que le basket. Aussi, aujourd’hui encore, le basket n’est pas seulement un job, c’est ma vie. C’est un amour. »
« S’il était entré en NBA à cette époque, il aurait eu la même carrière que Olajuwon ou Ewing ,» commente le Croate des Celtics, Dino Radja. Et, pourquoi pas même, ne serait-il pas devenu le meilleur joueur de tous les temps. Crise de lèse-majesté à l’égard de Michael Jordan ? Seuls ceux qui n’ont jamais vu le Lituanien dans son prime peuvent le croire. Arvidas Sabonis était sublime, forcément sublime.
A l’époque, Portland était en train de bâtir une solide équipe autour de Clyde Drexler. Mais il manquait une pièce hyperimportante dans le puzzle : le pivot. Le general manager Bucky Buckwalter insista auprès du proprio Larry Weinberg pour que les Blazers choisissent Sabonis en 24ème position de la draft 1986, même si la citoyenneté du pivot en question rendait sa venue dans l’Oregon on ne peut plus incertaine. « J’étais en Lituanie et j’ai reçu un magazine espagnol qui disait que j’étais n°24. Je ne savais pas exactement ce que cela voulait dire, être drafté. Je n’avais aucun sentiment de joie ou de bonheur, car c’était impossible, pour des raisons politiques, de jouer en NBA ».
De fait : des sénateurs, des membres du congrès et même deux secrétaires d’Etat prirent contact, à Moscou, avec Michael Gorbachev pour qu’il laisse son joyau sortir de son écrin rouge. En pure perte.
Par ailleurs, la rumeur commença à courir tout autour du globe que Sabonis picolait, prenait du poids, perdait de sa motivation. Son équipier d’alors Alexandre Volkov – qui lui a servi d’interprète au dernier All Star Game de San Antonio – affirme que ces histoires étaient exagérées.
Ce n’était pas le pire : en 1987, il est victime d’une douleur persistante au tendon d’Achille de la jambe gauche. Et c’est la rupture du tendon… droit. Il est opéré avec l’aide de chirurgiens finlandais. Il part en convalescence. Trois mois plus tard, un soir, il enlève son plâtre pour aller passer un coup de fil et il se prend le pied dans le lino. Son talon cède de nouveau. Au comble de désespoir, il s’enferme dans sa chambre et n’appelle les médecins que le lendemain. Un talon est brisé. Un rêve aussi.
Le docteur Cook de Portland redonnera vie à l’animal magnifique qui, à peine debout, portera l’URSS vers la médaille d’or olympique à Séoul, au détriment des États-Unis de David Robinson, Sabonis a conservé sa force, ses mains magiques, son incroyable science du basket, mais ce miraculé du sport ne sera plus jamais l’athlète hors normes qu’il fut. Il passera, repassera encore, sur le billard. Son dernier séjour à l’hôpital date de la mi-mai pour nettoyer le ménisque d’un genou. Sabonis ne dévale plus le terrain à toute vapeur. Sa détente est désormais si faible qu’il est à peine capable de sauter par-dessus un paquet de cigarettes. Il porte non seulement une épaisse protection au talon, mais il doit aussi, après chaque match, plonger ses pieds enflés et noirâtres dans des seaux de glace. « Si un jour je n’ai plus mal, je penserai que je suis mort », dit-il avec dérision. Sabonis est un infirme. Un infirme qui a pourtant chahuté cette saison les grands de ce monde.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/sabonis-11-e1520347034489.jpg\")
Jeux de Séoul en 1988 avec David Robinson.
La saison 95-96 – sa sixième en Espagne – fut une apothéose personnelle : champions d’Europe des clubs avec le Real Madrid, finaliste du Championnat d’Europe des nations avec la Lituanie, il est élu tout naturellement Joueur de l’Année par le magazine FIBA Basketball. C’était aussi une impasse.
Qu’avait-il encore à prouver ? Et, alors que l’on n’y croyait plus, Sabonis est parti à Portland. « J’ai décidé que c’était maintenant ou jamais pour la NBA. A 30 ans, je savais que c’était probablement mon dernier contrat et je ne voulais pas avoir de regrets ». C’est ainsi que Sabonis bouda une offre mirobolante du Panathinaikos Athènes. « Il proposait bien davantage que les Trail Blazers , » dit son agent Herb Rudoy, « mais il n’y a pas songé une seconde. Il est réellement très, très heureux d’être là ».
OK, la NBA. Mais pour quoi faire ? Pour être au mieux un Mark Eaton ou au pire un géant dans une chaise roulante ? Prudence, se dit le coach P.J. Carlesimo. Sabonis le divin se voit reléguer sur le banc au bénéfice de Chris Dudley, solide rebondeur-défenseur, mais qui n’a jamais rien su faire de bon avec une balle dans les pognes. Pourtant, on le devine plus affuté que jamais. Durant l’été, il s’est échappé à Tallinn, Estonie, chez un ami préparateur physique et il s’est délesté des kilos superflus. Il va gagner peu à peu la confiance du coach, de ses équipiers, et du temps de jeu. A ceux qui disent que la répétition des matches risque de le laisser sur le flanc, il répond : « Non, ce n’est pas dur. Nous jouions parfois trois ou quatre matches d’affilée dans les tournois européens ».
L’investiture de Sabonis au statut de superstar de la NBA est intervenue du 25 au 31 mars quand il a été élu Joueur de la Semaine. A partir de là, le pivot lituanien a envoyé régulièrement quelques giboulées sur la tête de ses adversaires. Il rentabilise un maximum de son temps de jeu comme lorsqu’il accumule 21 points et 15 rebonds en 23 minutes contre les Dallas Mavericks le 11 avril. Mieux : plus il joue, meilleur il est. La mécanique tient bon. Et, au premier tour des playoffs, les Utahs Jazz tremblent devant les assauts du géant de la Baltique. Les compliments pleuvent. « Si nous l’avions eu il y a trois ou quatre ans, peut-être bien que j’aurais une paire de bagues aux doigts, » dit ainsi Buck Williams. « Même si physiquement, il n’est plus ce qu’il était, à mon avis il se situe au niveau des Bill Walton et Larry Bird dans sa capacité à voir le jeu, » ajoute Jim Paxson, assistant general manager du club.
Deux accessits sont venus récompenser ses prestations ; Arvidas a été classé second aussi bien à l’élection du Meilleur 6ème homme (derrière Toni Kukoc) qu’à celui de Rookie of the Year (derrière Damon Stoudamire).
Un tel phénomène ne pouvait que plaire au public de Portland. Sabas est déjà le joueur le plus populaire de l’équipe. La vie nocturne et le soleil espagnols lui manquent un peu, mais il a confié aux journalistes de son pays qu’il appréciait pouvoir se balader en ville, peinard en famille, contrairement à l’Espagne où les supporters sont un peu fous et où il devait se cacher. « Bien sûr, il bruine souvent ici, mais je passe beaucoup de mon temps en avion… » Sabonis, qui parle déjà lituanien, russe et espagnol, est sensé prendre des cours d’anglais avec un professeur, mais le rythme des journées NBA est si soutenu qu’il n’est pas toujours assidu. Il préfère pour l’instant répondre à la presse américaine par le truchement d’un interprète.
![](\"http://s682549048.onlinehome.fr/wp-content/uploads/2018/03/Num%C3%A9riser-e1520347214353.jpeg\")
Arvidas Sabonis forme avec Sarunas Marciulionis la plus formidable one two punch (doublette) jamais vue dans une équipe européenne. Ils ont propulsé la Lituanie sur les podiums de Barcelone (bronze) et d’Athènes (argent). A Atlanta, assurent les spécialistes lituaniens, la sélection sera encore plus forte. Sabonis est en pleine forme et il sera épaulé par deux jeunes centres de 2,18m, Eurelijus Zukauskas (n°57 de la draft 95) et Zydrunas Ilgauskas. Si le genou de Marciulionis tient le choc, c’est tout bon.
Sabonis franchira alors probablement la ligne d’arrivée. En février dernier, à l’occasion du match éliminatoire de l’Euro 97, Lituanie Suisse, le coach Vladas Garastas a annoncé, pour la première fois officiellement, que Sabas prendra probablement sa retraite internationale à l’issue des jeux Olympiques. « J’ai parlé avec lui (Sabonis) de ce sujet l’été passé. Il m’a demandé : combien de temps allez-vous encore me torturer ? Sabonis a donné tellement au basket de la Lituanie que demander plus n’est pas correct. Nous ne voulons pas du cadavre de Sabonis. On veut le garder sain et sauf ! »
Mais, juste avant de quitter Portland, à la fin mai, Sabas a déclaré que la porte n’est pas définitivement fermée. « Je pendrai une décision sur la poursuite ou non de ma carrière internationale après Atlanta ».
(avec Giedrius Janonis à Veldas, Lituanie)
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Populaire en Lituanie, Sabonis ? Les preuves sont multiples. Depuis des années déjà, la bouteille de vodka d’un litre a pris son nom. Le 3 mai dernier, jour de la naissance du troisième fils d’Arvidas à Portland, les trois grands quotidiens nationaux ont offert leur une à « Saboninkas ».
Sabas a été élu 5 fois (en 84, 85, 86, 94 et 95) sportif numéro 1 de l’année par le journal Sportas et, en 1990, il a été consacré rien moins que plus grand sportif du pays des 50 dernières années. « Sabonis a davantage apporté à la Lituanie que le Seimas (le parlement lituanien) et le gouvernement réunis », a déclaré en avril, à la télévision, Kazimieras Moticka, le vice-président du parlement en question.
Grâce à la popularité de Sabas, pivot rookie de NBA à 31 ans, un nouveau commerce prospère en Lituanie depuis le dernier hiver : les circuits touristiques organisés autour de Portland et des matches des Blazers. Les nouveaux riches Lituaniens ne regardent pas à la dépense (4 à 7 000 dollars la semaine, une fortune dans ce pays tout juste sorti des griffes de l’ours soviétique) pour aller admirer sur place le prodige national. Ce sont des veinards : en Lituanie, on se plaint de n’avoir vu que trois matches de Portland sur Baltijos TV, la chaîne privée qui a acheté les droits pour la diffusion des programmes de la NBA. La ligue américaine expédie à travers le monde le même package et les Blazers n’ont jamais été considérés comme un produit de grande consommation.
Arvidas Sabonis est un héros national. Les millions de dollars engrangés en Espagne puis grâce à son contrat signé avec Portland (12 millions de $ sur 5 ans) et enfin avec Nike en font également un homme très riche. Un géant. Dans tous les sens du terme. Sabas a acheté une villa à Malaga, une maison à Portland, des appartements pour ses beaux-parents à Vilnius et il est co-propriétaire d’une scierie. Il a également largement investi dans le basket lituanien.
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Article paru dans MaxiBasket en 1996
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Les nouveaux riches Lituaniens ne regardent pas à la dépense (4 à 7 000 dollars la semaine, une fortune dans ce pays tout juste sorti des griffes de l’ours soviétique) pour aller admirer sur place le prodige national. Ce sont des veinards : en Lituanie, on se plaint de n’avoir vu que trois matches de Portland sur Baltijos TV, la chaîne privée qui a acheté les droits pour la diffusion des programmes de la NBA. La ligue américaine expédie à travers le monde le même package et les Blazers n’ont jamais été considérés comme un produit de grande consommation.\n\nArvidas Sabonis est un héros national. Les millions de dollars engrangés en Espagne puis grâce à son contrat signé avec Portland (12 millions de $ sur 5 ans) et enfin avec Nike en font également un homme très riche. Un géant. Dans tous les sens du terme. Sabas a acheté une villa à Malaga, une maison à Portland, des appartements pour ses beaux-parents à Vilnius et il est co-propriétaire d’une scierie. Il a également largement investi dans le basket lituanien. Durant l’hiver 1994, Zalgiris Kaunas, son club chéri, était au bord de la faillite. Arvidas a participé, à hauteur de 20%, au financement d’une nouvelle société dont les autres actionnaires sont deux hommes d’affaires, l’un de Moscou et l’autre des États-Unis, tous les deux d’origine lituanienne. Zalgiris est depuis en pleine forme. Il avait également créé, au cours de l’été 1992, une école de basket ouverte à plus de 400 enfants. Ce sont 3 millions de dollars supplémentaires que Sabas a l’intention d’apporter à cette école qui va bientôt avoir pour cadre un bâtiment moderne de trois étages.\n\nLa légende cultivée à l’époque soviétique veut que Sabonis soit un type secret, introverti, voir irascible. Mais ceux qui ont pu l’approcher et su obtenir sa confiance affirment que ce dingue de pêche a un extraordinaire sens de l’humour et surtout qu’il ne supporte pas l’injustice. Déjà, du temps où il jouait en Espagne, il avait acheté du matériel pour un club d’handicapés de Kaunas. Mais, au contraire de Sarunas Marciulionis ajoute-on, il déteste faire la publicité de ses œuvres caritatives.\n\n\nSublime, forcément sublime\n\nSabonis et les États-Unis : la success-story a débuté au retour du Championnat du monde de Cali, à la fin de 1982. L’URSS avait affronté plusieurs universités américaines avec en son centre son prodige de 17 ans. « J’estimais qu’il était le plus grand espoir que je n’avais jamais vu », rappelle Bob Knight, coach d’Indiana. « Il était plus costaud que Bill Walton. Un immense et rare talent ».\n\nTrès haut perché (2,20m) épais (125kg sur la bascule), d’une force mythologique, Sabonis est également « un artiste » pour reprendre le qualificatif de son coach d’alors en sélection d’URSS, Alexandre Gomelski. A vingt ans, il court comme un cabri, shoote de près comme de loin, et s’amuse à faire des passes dans le dos, en aveugle. « J’ai fait du foot. Et j’aimais aussi regarder des matches de foot, comme de tennis et de hockey. Mais tous mes meilleurs souvenirs de gosse sont de basket », disait Sabas récemment dans une interview à The Oregonian. « Avant d’être grand, j’ai joué à tous les postes et j’ai appris à faire de bonnes passes et même des passes audacieuses. Je n’ai rien appris d’autre que le basket. Aussi, aujourd’hui encore, le basket n’est pas seulement un job, c’est ma vie. C’est un amour. »\n\n« S’il était entré en NBA à cette époque, il aurait eu la même carrière que Olajuwon ou Ewing ,» commente le Croate des Celtics, Dino Radja. Et, pourquoi pas même, ne serait-il pas devenu le meilleur joueur de tous les temps. Crise de lèse-majesté à l’égard de Michael Jordan ? Seuls ceux qui n’ont jamais vu le Lituanien dans son prime peuvent le croire. Arvidas Sabonis était sublime, forcément sublime.\n\nA l’époque, Portland était en train de bâtir une solide équipe autour de Clyde Drexler. Mais il manquait une pièce hyperimportante dans le puzzle : le pivot. Le general manager Bucky Buckwalter insista auprès du proprio Larry Weinberg pour que les Blazers choisissent Sabonis en 24ème position de la draft 1986, même si la citoyenneté du pivot en question rendait sa venue dans l’Oregon on ne peut plus incertaine. « J’étais en Lituanie et j’ai reçu un magazine espagnol qui disait que j’étais n°24. Je ne savais pas exactement ce que cela voulait dire, être drafté. Je n’avais aucun sentiment de joie ou de bonheur, car c’était impossible, pour des raisons politiques, de jouer en NBA ».\n\nDe fait : des sénateurs, des membres du congrès et même deux secrétaires d’Etat prirent contact, à Moscou, avec Michael Gorbachev pour qu’il laisse son joyau sortir de son écrin rouge. En pure perte.\n\nPar ailleurs, la rumeur commença à courir tout autour du globe que Sabonis picolait, prenait du poids, perdait de sa motivation. Son équipier d’alors Alexandre Volkov – qui lui a servi d’interprète au dernier All Star Game de San Antonio – affirme que ces histoires étaient exagérées.\n\nCe n’était pas le pire : en 1987, il est victime d’une douleur persistante au tendon d’Achille de la jambe gauche. Et c’est la rupture du tendon… droit. Il est opéré avec l’aide de chirurgiens finlandais. Il part en convalescence. Trois mois plus tard, un soir, il enlève son plâtre pour aller passer un coup de fil et il se prend le pied dans le lino. Son talon cède de nouveau. Au comble de désespoir, il s’enferme dans sa chambre et n’appelle les médecins que le lendemain. Un talon est brisé. Un rêve aussi.\n\nLe docteur Cook de Portland redonnera vie à l’animal magnifique qui, à peine debout, portera l’URSS vers la médaille d’or olympique à Séoul, au détriment des États-Unis de David Robinson, Sabonis a conservé sa force, ses mains magiques, son incroyable science du basket, mais ce miraculé du sport ne sera plus jamais l’athlète hors normes qu’il fut. Il passera, repassera encore, sur le billard. Son dernier séjour à l’hôpital date de la mi-mai pour nettoyer le ménisque d’un genou. Sabonis ne dévale plus le terrain à toute vapeur. Sa détente est désormais si faible qu’il est à peine capable de sauter par-dessus un paquet de cigarettes. Il porte non seulement une épaisse protection au talon, mais il doit aussi, après chaque match, plonger ses pieds enflés et noirâtres dans des seaux de glace. « Si un jour je n’ai plus mal, je penserai que je suis mort », dit-il avec dérision. Sabonis est un infirme. Un infirme qui a pourtant chahuté cette saison les grands de ce monde.\n\nJeux de Séoul en 1988 avec David Robinson.\n\n\nMini-temps de jeu, maxi stats\n\nLa saison 95-96 – sa sixième en Espagne – fut une apothéose personnelle : champions d’Europe des clubs avec le Real Madrid, finaliste du Championnat d’Europe des nations avec la Lituanie, il est élu tout naturellement Joueur de l’Année par le magazine FIBA Basketball. C’était aussi une impasse.\n\nQu’avait-il encore à prouver ? Et, alors que l’on n’y croyait plus, Sabonis est parti à Portland. « J’ai décidé que c’était maintenant ou jamais pour la NBA. A 30 ans, je savais que c’était probablement mon dernier contrat et je ne voulais pas avoir de regrets ». C’est ainsi que Sabonis bouda une offre mirobolante du Panathinaikos Athènes. « Il proposait bien davantage que les Trail Blazers , » dit son agent Herb Rudoy, « mais il n’y a pas songé une seconde. Il est réellement très, très heureux d’être là ».\n\nOK, la NBA. Mais pour quoi faire ? Pour être au mieux un Mark Eaton ou au pire un géant dans une chaise roulante ? Prudence, se dit le coach P.J. Carlesimo. Sabonis le divin se voit reléguer sur le banc au bénéfice de Chris Dudley, solide rebondeur-défenseur, mais qui n’a jamais rien su faire de bon avec une balle dans les pognes. Pourtant, on le devine plus affuté que jamais. Durant l’été, il s’est échappé à Tallinn, Estonie, chez un ami préparateur physique et il s’est délesté des kilos superflus. Il va gagner peu à peu la confiance du coach, de ses équipiers, et du temps de jeu. A ceux qui disent que la répétition des matches risque de le laisser sur le flanc, il répond : « Non, ce n’est pas dur. Nous jouions parfois trois ou quatre matches d’affilée dans les tournois européens ».\n\nL’investiture de Sabonis au statut de superstar de la NBA est intervenue du 25 au 31 mars quand il a été élu Joueur de la Semaine. A partir de là, le pivot lituanien a envoyé régulièrement quelques giboulées sur la tête de ses adversaires. Il rentabilise un maximum de son temps de jeu comme lorsqu’il accumule 21 points et 15 rebonds en 23 minutes contre les Dallas Mavericks le 11 avril. Mieux : plus il joue, meilleur il est. La mécanique tient bon. Et, au premier tour des playoffs, les Utahs Jazz tremblent devant les assauts du géant de la Baltique. Les compliments pleuvent. « Si nous l’avions eu il y a trois ou quatre ans, peut-être bien que j’aurais une paire de bagues aux doigts, » dit ainsi Buck Williams. « Même si physiquement, il n’est plus ce qu’il était, à mon avis il se situe au niveau des Bill Walton et Larry Bird dans sa capacité à voir le jeu, » ajoute Jim Paxson, assistant general manager du club.\n\nDeux accessits sont venus récompenser ses prestations ; Arvidas a été classé second aussi bien à l’élection du Meilleur 6ème homme (derrière Toni Kukoc) qu’à celui de Rookie of the Year (derrière Damon Stoudamire).\n\nUn tel phénomène ne pouvait que plaire au public de Portland. Sabas est déjà le joueur le plus populaire de l’équipe. La vie nocturne et le soleil espagnols lui manquent un peu, mais il a confié aux journalistes de son pays qu’il appréciait pouvoir se balader en ville, peinard en famille, contrairement à l’Espagne où les supporters sont un peu fous et où il devait se cacher. « Bien sûr, il bruine souvent ici, mais je passe beaucoup de mon temps en avion… » Sabonis, qui parle déjà lituanien, russe et espagnol, est sensé prendre des cours d’anglais avec un professeur, mais le rythme des journées NBA est si soutenu qu’il n’est pas toujours assidu. Il préfère pour l’instant répondre à la presse américaine par le truchement d’un interprète.\n\n\n« On ne veut pas du cadavre de Sabonis »\n\nArvidas Sabonis forme avec Sarunas Marciulionis la plus formidable one two punch (doublette) jamais vue dans une équipe européenne. Ils ont propulsé la Lituanie sur les podiums de Barcelone (bronze) et d’Athènes (argent). A Atlanta, assurent les spécialistes lituaniens, la sélection sera encore plus forte. Sabonis est en pleine forme et il sera épaulé par deux jeunes centres de 2,18m, Eurelijus Zukauskas (n°57 de la draft 95) et Zydrunas Ilgauskas. Si le genou de Marciulionis tient le choc, c’est tout bon.\n\nSabonis franchira alors probablement la ligne d’arrivée. En février dernier, à l’occasion du match éliminatoire de l’Euro 97, Lituanie Suisse, le coach Vladas Garastas a annoncé, pour la première fois officiellement, que Sabas prendra probablement sa retraite internationale à l’issue des jeux Olympiques. « J’ai parlé avec lui (Sabonis) de ce sujet l’été passé. Il m’a demandé : combien de temps allez-vous encore me torturer ? Sabonis a donné tellement au basket de la Lituanie que demander plus n’est pas correct. Nous ne voulons pas du cadavre de Sabonis. On veut le garder sain et sauf ! »\n\nMais, juste avant de quitter Portland, à la fin mai, Sabas a déclaré que la porte n’est pas définitivement fermée. « Je pendrai une décision sur la poursuite ou non de ma carrière internationale après Atlanta ».\n\n(avec Giedrius Janonis à Veldas, Lituanie)\n\n[armelse]\n\nPopulaire en Lituanie, Sabonis ? Les preuves sont multiples. Depuis des années déjà, la bouteille de vodka d’un litre a pris son nom. Le 3 mai dernier, jour de la naissance du troisième fils d’Arvidas à Portland, les trois grands quotidiens nationaux ont offert leur une à « Saboninkas ».\n\nSabas a été élu 5 fois (en 84, 85, 86, 94 et 95) sportif numéro 1 de l’année par le journal Sportas et, en 1990, il a été consacré rien moins que plus grand sportif du pays des 50 dernières années. « Sabonis a davantage apporté à la Lituanie que le Seimas (le parlement lituanien) et le gouvernement réunis », a déclaré en avril, à la télévision, Kazimieras Moticka, le vice-président du parlement en question.\n\nGrâce à la popularité de Sabas, pivot rookie de NBA à 31 ans, un nouveau commerce prospère en Lituanie depuis le dernier hiver : les circuits touristiques organisés autour de Portland et des matches des Blazers. Les nouveaux riches Lituaniens ne regardent pas à la dépense (4 à 7 000 dollars la semaine, une fortune dans ce pays tout juste sorti des griffes de l’ours soviétique) pour aller admirer sur place le prodige national. Ce sont des veinards : en Lituanie, on se plaint de n’avoir vu que trois matches de Portland sur Baltijos TV, la chaîne privée qui a acheté les droits pour la diffusion des programmes de la NBA. La ligue américaine expédie à travers le monde le même package et les Blazers n’ont jamais été considérés comme un produit de grande consommation.\n\nArvidas Sabonis est un héros national. Les millions de dollars engrangés en Espagne puis grâce à son contrat signé avec Portland (12 millions de $ sur 5 ans) et enfin avec Nike en font également un homme très riche. Un géant. Dans tous les sens du terme. Sabas a acheté une villa à Malaga, une maison à Portland, des appartements pour ses beaux-parents à Vilnius et il est co-propriétaire d’une scierie. Il a également largement investi dans le basket lituanien.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nArticle paru dans MaxiBasket en 1996", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/04/sabonis-ouvertur.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-04-03T06:33:27.000Z", "updated_at":"2018-04-06T08:34:13.000Z", "published_at":"2018-04-03T06:33:27.000Z", "custom_excerpt":"Pour ceux qui l’ont connu alors qu’il disposait de toute son intégrité physique, Arvidas Sabonis (2,20m, né en 1964) est le plus grand joueur européen de tous les temps. Et avec une hygiène de vie appropriée, le Lituanien aurait fait des ravages en NBA. Cet article date de ses débuts aux Portland Tr", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d3f", "uuid":"1863a269-b6ea-43c5-8002-b200f02c49cb", "title":"Les Français de l’étranger : Fabien Causeur éblouissant face à Malaga !", "slug":"les-francais-de-letranger-fabien-causeur-eblouissant-face-a-malaga", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/EoHJYetCIEA?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/tag/remi-barry/\"]],[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1204\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1280\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1109\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1516\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1263\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1077\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/opere-du-genou-antoine-diot-sera-absent-quatre-mois/\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1631\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=3352\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1112\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=3353\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/les-francais-de-letranger-vincent-poirier-et-vitoria-enchainent/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! 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De la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.
Fabien Causeur avait déjà réussi de belles prestations en l’absence de Luka Doncic, avec davantage de responsabilités. Mais même avec le retour du prodige slovène, Causeur continue sur sa superbe dynamique. Face à Malaga, il a sorti le grand jeu avec 21 points à 8/9 aux tirs.
Surtout, Fabulous Fab a été monstrueux dans les derniers instants. Il a d’abord été inscrire un layup de costaud avec sa papatte gauche. Puis, il a rentré un énorme tir à trois points pour repasser devant en tête de raquette. Et c’est lui qui se faufile encore jusqu’au cercle pour le panier de la gagne (89-88). Génial !
https://www.youtube.com/watch?v=3pR91TH46VM
Pourtant sur une belle lancée, Barcelone s’est pris les pieds dans le tapis contre Estudiantes, l’ancien club d’Edwin Jackson. Mais c’est un autre scoreur qui a pris feu, avec 48 points de Sylven Landesberg dont un énorme 8/11 à trois points !
Thomas Heurtel (18 points, 7 passes mais 5 balles perdues) aura été très actif, avec également de belles contributions de Jackson (9 points) et Adrien Moerman (8 points, 7 rebonds) mais ça ne suffira pas à éteindre l’incendie Landesberg (100-95). Le Barça s’en souviendra…
En Ligue Adriatique, on est déjà en playoffs et l’Etoile Rouge de Belgrade vient de conclure sa demi-finale avec une victoire lors de la 3e manche face à Bar (88-69). Mathias Lessort a fini avec la 2e meilleure évaluation à 17, pour 10 points et 5 rebonds.
Ognjen Dobrić a été exceptionnel avec 19 points à 7/8 aux tirs dont 5/6 à trois points. Et il a aussi montré qu’il avait de la dynamite dans les guiboles avec un contre à la King James en défense !
Après le Japon et la Macédoine, ou encore la Pro B, Remi Barry a trouvé refuge en Croatie, à Jazine, et ça marche très fort depuis son arrivée le 22 janvier dernier. L’ailier de 2m03 passé par Mexico State avait ainsi lâché un match de mammouth à 43 points et 18 rebonds fin mars.
Et ce weekend, Barry a encore frappé avec 25 points, plus 5 interceptions, 3 rebonds et 2 passes dans une belle victoire face au Cedevita Zagreb (101-97). Si ça reste très compliqué, il maintient l’infime espoir du maintien en tournant à 20 points et 7 rebonds de moyenne en 8 matchs joués, dont 6 en tant que titulaire.
Remi Barry (Jazine) : 25 points (7/18 aux tirs), 5 interceptions, 3 rebonds, 2 passes en 35 minutes (victoire 101-97 face à Cedevita Zagreb)
Fabien Causeur (Real Madrid) : 21 points (8/9 aux tirs), 3 interceptions, 1 rebond, 1 balle perdue en 23 minutes (victoire 89-88 face à Malaga)
Thomas Heurtel (Barcelone) : 18 points (5/12 aux tirs), 7 passes, 2 rebonds, 1 interception, 5 balles perdues en 27 minutes (défaite 100-95 face à Estudiantes)
Nicolas De Jong (Saragosse) : 16 points (7/14 aux tirs), 5 rebonds, 4 contres en 24 minutes (défaite 100-77 face à Andorre)
Vincent Poirier (Vitoria) : 11 points (5/6 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe en 26 minutes (victoire 82-74 face à San Sebastian)
Rodrigue Beaubois (Vitoria) : 11 points (4/13 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 82-74 face à San Sebastian)
Edwin Jackson (Barcelone) : 9 points (3/3 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 19 minutes (défaite 100-95 face à Estudiantes)
Adrien Moerman (Barcelone) : 8 points (3/9 aux tirs), 7 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 1 contre en 25 minutes (défaite 100-95 face à Estudiantes)
Andrew Albicy (Andorre) : 4 points (2/4 aux tirs), 7 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 100-77 face à Saragosse)
Landing Sané (Andorre) : 3 points (1/1 au tir), 1 rebond en 5 minutes (victoire 100-77 face à Saragosse)
Livio Jean-Charles (Malaga) : 2 points (1/2 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 5 minutes (défaite 89-88 face au Real)
Kevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué – blessé
Antoine Diot (Valence) : n’a pas joué – blessé
Angelo Tsagarakis (Kymis) : 7 points (2/6 aux tirs), 2 rebonds, 4 balles perdues en 23 minutes (victoire 72-63 face à Trikala)
Boris Dallo (Panionios) : 5 points (1/7 aux tirs), 11 rebonds, 3 passes, 1 interception en 32 minutes (victoire 72-71 face à Lavrio)
Kim Tillie (Olympiakos) : 5 points (2/4 aux tirs), 9 rebonds, 2 passes en 25 minutes (victoire 100-86 face à l’AEK)
Frédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : match le 3 avril face à Ness Ziona
Nobel Boungou-colo (Turin) : 0 point (0/2 aux tirs), 2 rebonds en 5 minutes (défaite 84-77 face à Pistoia)
Yakhouba Diawara (Pistoia) : n’a pas joué (victoire 84-77 face à Turin)
Amath M’Baye (Milan) : n’a pas joué (victoire 92-78 face à Reggio Emilia)
Axel Toupane (Kaunas) : n’a pas joué (défaite 93-90 face à Siaulai)
Aaron Cel (Torun) : 20 points (7/10 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes en 30 minutes (victoire 89-80 face à Włocławek)
Nando De Colo (CSKA) : 12 points (4/9 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 2 balles perdues en 23 minutes (victoire 80-63 face à Kazan)
Leo Westermann (CSKA) : n’a pas joué (victoire 80-63 face à Kazan)
Mathias Lessort (Etoile Rouge) : 10 points (4/4 aux tirs), 5 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 88-69 face à Bar)
Bandja Sy (Partizan) : pas de match
Moustapha Fall (Sakarya) : n’a pas joué (défaite 95-86 face à Istanbul)
LA SEMAINE PASSEE : Vincent Poirier et Vitoria enchaînent
", "comment_id":"425030", "plaintext":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt sept joueurs (dix de plus que l’an passé) pour dix pays sur le Vieux Continent.\n\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\n\nFabien Causeur, le sauveur du Real\n\nFabien Causeur avait déjà réussi de belles prestations en l’absence de Luka Doncic, avec davantage de responsabilités. Mais même avec le retour du prodige slovène, Causeur continue sur sa superbe dynamique. Face à Malaga, il a sorti le grand jeu avec 21 points à 8/9 aux tirs.\n\nSurtout, Fabulous Fab a été monstrueux dans les derniers instants. Il a d’abord été inscrire un layup de costaud avec sa papatte gauche. Puis, il a rentré un énorme tir à trois points pour repasser devant en tête de raquette. Et c’est lui qui se faufile encore jusqu’au cercle pour le panier de la gagne (89-88). Génial !\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=3pR91TH46VM\n\n\nLe Barça se souviendra de Landesberg\n\nPourtant sur une belle lancée, Barcelone s’est pris les pieds dans le tapis contre Estudiantes, l’ancien club d’Edwin Jackson. Mais c’est un autre scoreur qui a pris feu, avec 48 points de Sylven Landesberg dont un énorme 8/11 à trois points !\n\nThomas Heurtel (18 points, 7 passes mais 5 balles perdues) aura été très actif, avec également de belles contributions de Jackson (9 points) et Adrien Moerman (8 points, 7 rebonds) mais ça ne suffira pas à éteindre l’incendie Landesberg (100-95). Le Barça s’en souviendra…\n\n\nL’Etoile Rouge file en finale\n\nEn Ligue Adriatique, on est déjà en playoffs et l’Etoile Rouge de Belgrade vient de conclure sa demi-finale avec une victoire lors de la 3e manche face à Bar (88-69). Mathias Lessort a fini avec la 2e meilleure évaluation à 17, pour 10 points et 5 rebonds.\n\nOgnjen Dobrić a été exceptionnel avec 19 points à 7/8 aux tirs dont 5/6 à trois points. Et il a aussi montré qu’il avait de la dynamite dans les guiboles avec un contre à la King James en défense !\n\n\nRemi Barry brille en Croatie\n\nAprès le Japon et la Macédoine, ou encore la Pro B, Remi Barry a trouvé refuge en Croatie, à Jazine, et ça marche très fort depuis son arrivée le 22 janvier dernier. L’ailier de 2m03 passé par Mexico State avait ainsi lâché un match de mammouth à 43 points et 18 rebonds fin mars.\n\nEt ce weekend, Barry a encore frappé avec 25 points, plus 5 interceptions, 3 rebonds et 2 passes dans une belle victoire face au Cedevita Zagreb (101-97). Si ça reste très compliqué, il maintient l’infime espoir du maintien en tournant à 20 points et 7 rebonds de moyenne en 8 matchs joués, dont 6 en tant que titulaire.\n\n\nCroatie\n\nRemi Barry (Jazine) : 25 points (7/18 aux tirs), 5 interceptions, 3 rebonds, 2 passes en 35 minutes (victoire 101-97 face à Cedevita Zagreb)\n\n\nEspagne\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : 21 points (8/9 aux tirs), 3 interceptions, 1 rebond, 1 balle perdue en 23 minutes (victoire 89-88 face à Malaga)\n\nThomas Heurtel (Barcelone) : 18 points (5/12 aux tirs), 7 passes, 2 rebonds, 1 interception, 5 balles perdues en 27 minutes (défaite 100-95 face à Estudiantes)\n\nNicolas De Jong (Saragosse) : 16 points (7/14 aux tirs), 5 rebonds, 4 contres en 24 minutes (défaite 100-77 face à Andorre)\n\nVincent Poirier (Vitoria) : 11 points (5/6 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe en 26 minutes (victoire 82-74 face à San Sebastian)\n\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 11 points (4/13 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 82-74 face à San Sebastian)\n\nEdwin Jackson (Barcelone) : 9 points (3/3 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 19 minutes (défaite 100-95 face à Estudiantes)\n\nAdrien Moerman (Barcelone) : 8 points (3/9 aux tirs), 7 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 1 contre en 25 minutes (défaite 100-95 face à Estudiantes)\n\nAndrew Albicy (Andorre) : 4 points (2/4 aux tirs), 7 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 100-77 face à Saragosse)\n\nLanding Sané (Andorre) : 3 points (1/1 au tir), 1 rebond en 5 minutes (victoire 100-77 face à Saragosse)\n\nLivio Jean-Charles (Malaga) : 2 points (1/2 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 5 minutes (défaite 89-88 face au Real)\n\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué – blessé\n\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué – blessé\n\n\nGrèce\n\nAngelo Tsagarakis (Kymis) : 7 points (2/6 aux tirs), 2 rebonds, 4 balles perdues en 23 minutes (victoire 72-63 face à Trikala)\n\nBoris Dallo (Panionios) : 5 points (1/7 aux tirs), 11 rebonds, 3 passes, 1 interception en 32 minutes (victoire 72-71 face à Lavrio)\n\nKim Tillie (Olympiakos) : 5 points (2/4 aux tirs), 9 rebonds, 2 passes en 25 minutes (victoire 100-86 face à l’AEK)\n\n\nIsraël\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : match le 3 avril face à Ness Ziona\n\n\nItalie\n\nNobel Boungou-colo (Turin) : 0 point (0/2 aux tirs), 2 rebonds en 5 minutes (défaite 84-77 face à Pistoia)\n\nYakhouba Diawara (Pistoia) : n’a pas joué (victoire 84-77 face à Turin)\n\nAmath M’Baye (Milan) : n’a pas joué (victoire 92-78 face à Reggio Emilia)\n\n\nLituanie\n\nAxel Toupane (Kaunas) : n’a pas joué (défaite 93-90 face à Siaulai)\n\n\nPologne\n\nAaron Cel (Torun) : 20 points (7/10 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes en 30 minutes (victoire 89-80 face à Włocławek)\n\n\nRussie\n\nNando De Colo (CSKA) : 12 points (4/9 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 2 balles perdues en 23 minutes (victoire 80-63 face à Kazan)\n\nLeo Westermann (CSKA) : n’a pas joué (victoire 80-63 face à Kazan)\n\n\nSerbie\n\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : 10 points (4/4 aux tirs), 5 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 88-69 face à Bar)\n\nBandja Sy (Partizan) : pas de match\n\n\nTurquie\n\nMoustapha Fall (Sakarya) : n’a pas joué (défaite 95-86 face à Istanbul)\n\nLA SEMAINE PASSEE : Vincent Poirier et Vitoria enchaînent", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/04/fabien-causeur.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-04-03T06:10:49.000Z", "updated_at":"2021-10-21T17:03:09.000Z", "published_at":"2018-04-03T06:10:49.000Z", "custom_excerpt":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! 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Lundi 2 avril :
20h45 – ASVEL/Antibes – Jeep Elite – SFR Sport 2
Mardi 3 avril :
20h30 – Monaco/Banvit – BCL – Canal+ Sport
20h45 – Gravelines/Limoges – Jeep Elite – SFR Sport 2
Mercredi 4 avril :
20h30 – Strasbourg/AEK Athènes – BCL – Canal+ Sport
20h45 – Dijon/Nanterre – Jeep Elite – SFR Sport 2
Jeudi 5 avril :
20h45 – Barcelone/Khimki Moscou – Euroleague – SFR Sport 2
Vendredi 6 avril :
19h00 – Olympiakos/Kaunas – Euroleague – SFR Sport 2
Samedi 7 avril :
18h30 – Strasbourg/Levallois – Jeep Elite –SFR Sport 2
Dimanche 8 avril :
18h00 – Le Mans/ASVEL – Jeep Elite – SFR Sport 2
Lundi 9 avril :
20h45 – Le Portel/Gravelines – Jeep Elite – SFR Sport 2
Photo: Dee Bost (Strasbourg, FIBA Europe)
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A l’aller, les Monégasques s’étaient imposés 83-59 à domicile. Rendez-vous sur notre page « Programme TV by TCL » pour avoir tous les matchs de la semaine télévisés.
A noter que vous pouvez suivre ce match depuis notre site, mais aussi via l’application RMC (Android ou iTunes) et sur une smart TV avec l’apps RMC Sport disponible sans être obligé de vous abonner à RMC.
Si vous êtes sur Google Chrome, vous pouvez « caster » le match directement sur votre télé à partir du lecteur ci-dessus (clic droit -> caster).
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Deux statistiques à apprécier:
Les 18 points à 8/10 aux tirs, 8 rebonds et 2 contres pour 27 d’évaluation du plus grand basketteur français, Vincent Pourchot (2,22 m).
Vincent Pourchot est largement au-dessus de ses standards puisque sa moyenne de la saison est de 5,4 points (55,0% de réussite) et 3,8 rebonds.
Deuxio, la bonne entrée en matière de Frédéric Loubaki (1,86m, 21 ans), ex-Levallois, qui s’il n’a marqué qu’un point a donné six passes en 16 minutes.
« C’est un joueur comme les autres maintenant », a déclaré son nouvel entraîneur Philippe Maucourant au Télégramme « L’important, c’est la rotation et ça nous permet d’appréhender le match dans trois jours différemment. »
Le coach breton évoque le déplacement au SOM Boulogne de mardi, lequel après sa défaite à Chartres en est à 13 victoires pour 14 défaites.
Photo: Vincent Pourchot, CEP
", "comment_id":"425022", "plaintext":"Le CEP Lorient a écrasé La Charité 92-67 et avec 14 victoires et 13 défaites, sa septième place devient confortable.\n\nDeux statistiques à apprécier:\n\nLes 18 points à 8/10 aux tirs, 8 rebonds et 2 contres pour 27 d’évaluation du plus grand basketteur français, Vincent Pourchot (2,22 m).\n\nVincent Pourchot est largement au-dessus de ses standards puisque sa moyenne de la saison est de 5,4 points (55,0% de réussite) et 3,8 rebonds.\n\nDeuxio, la bonne entrée en matière de Frédéric Loubaki (1,86m, 21 ans), ex-Levallois, qui s’il n’a marqué qu’un point a donné six passes en 16 minutes.\n\n« C’est un joueur comme les autres maintenant », a déclaré son nouvel entraîneur Philippe Maucourant au Télégramme « L’important, c’est la rotation et ça nous permet d’appréhender le match dans trois jours différemment. »\n\nLe coach breton évoque le déplacement au SOM Boulogne de mardi, lequel après sa défaite à Chartres en est à 13 victoires pour 14 défaites.\n\nPhoto: Vincent Pourchot, CEP", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/04/vincent-pourchot_2017_1-e1522595299147.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-04-01T15:11:36.000Z", "updated_at":"2018-04-06T08:40:12.000Z", "published_at":"2018-04-01T15:11:36.000Z", "custom_excerpt":"Le CEP Lorient a écrasé La Charité 92-67 et avec 14 victoires et 13 défaites, sa septième place devient confortable.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d43", "uuid":"db5a9e30-122f-43c8-8a72-8f9dd7c743b2", "title":"LFB: Charleville pique à Villeneuve d’Asq la deuxième place", "slug":"lfb-charleville-pique-a-villeneuve-dasq-la-deuxieme-place", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"| \\n | Club | \\nPts | \\nMJ | \\nV | \\nD | \\nPM | \\nPE | \\nQ | \\n
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| 5 | \\nTarbes | \\n32 | \\n20 | \\n12 | \\n8 | \\n1389 | \\n1316 | \\n0 | \\n
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| 7 | \\nBasket Landes | \\n31 | \\n20 | \\n11 | \\n9 | \\n1282 | \\n1292 | \\n0 | \\n
| 8 | \\nNantes Rezé | \\n29 | \\n20 | \\n9 | \\n11 | \\n1287 | \\n1414 | \\n0 | \\n
| 9 | \\nHainaut | \\n26 | \\n20 | \\n6 | \\n14 | \\n1326 | \\n1537 | \\n0 | \\n
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| 11 | \\nNice | \\n24 | \\n20 | \\n4 | \\n16 | \\n1197 | \\n1452 | \\n0 | \\n
| 12 | \\nRoche Vendée | \\n23 | \\n20 | \\n3 | \\n17 | \\n1273 | \\n1471 | \\n0 | \\n
Charleville-Mézières a remporté à Villeneuve d’Ascq un match décisif (63-55) qui devrait lui permettre de s’offrir la deuxième place de la saison régulière, au détriment de son adversaire du jour. Si les deux équipes se retrouvaient en demi-finale comme la saison dernière, ce sont les Flammes Carolo qui auraient ainsi une deuxième fois l’avantage du terrain pour un match 3.
C’est en seconde mi-temps que les Flammes ont fait la différence notamment grâce à leur Américaine Kaleena Lewis (19 points) passant à 48-39. Pauline Akonga (15 points, 8 rebonds) a eu beau se démultiplier, Charleville avait le match bien en mains.
« On a livré un combat. Je ne suis pas sûr que l’on ait assisté à un beau match mais nous n’avons rien lâché, » s’est félicité en conférence de presse -propos rapportés par L’Union- le coach des Flammes, Romuald Yernaux. « Maintenant, on va se remettre la tête à l’endroit et tenté d’assurer notre deuxième place la semaine prochaine à domicile contre Tarbes. »
Il reste encore deux journées (7 et 14 avril) pour connaître les derniers secrets de la saison régulière. Les playoffs débuteront par les quarts-de-finale le mercredi 25 avril après la finale de la Coupe de France qui opposera Bourges à Charleville.
| \n | Club | \nPts | \nMJ | \nV | \nD | \nPM | \nPE | \nQ | \n
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | \nBourges | \n38 | \n20 | \n18 | \n2 | \n1515 | \n1145 | \n0 | \n
| 2 | \nCharleville Mézières | \n35 | \n20 | \n15 | \n5 | \n1521 | \n1286 | \n0 | \n
| 3 | \nVilleneuve d’Ascq | \n34 | \n20 | \n14 | \n6 | \n1314 | \n1206 | \n0 | \n
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Dans un communiqué sur le site du club, le président de l’AS Monaco, Sergey Dyadechko, à la parole rare, justifie le retour dans la Roca Team de Yakuba Ouattara (1,90m, 26 ans), qui était depuis la rentrée en G-League.
» La Roca Team occupe les premiers rôles en JeepElite et en Champions League, mais nous souhaitons renforcer l’effectif en vue des play-offs, qui serons, nous le pensons, un challenge très physique, avec un calendrier très difficile. »
Le président ukrainien effectue un rappel historique:
« Nous nous souvenons comment il y a deux saisons nous avions perdu Darrel Mitchell, Yakuba Ouattara et Aaron Cel. La saison passée, Amara Sy et Brandon Davies avaient été victimes de fractures durant la série face à l’ASVEL, alors que Jordan Aboudou (dos) était indisponible. Même si nous avions battu l’ASVEL, sans Amara Sy et Brandon Davies, nous n’aurions pas pu défendre totalement nos chances pour la suite. »
Et souligne que l’ASM n’a pas été épargnée cette saison par les contre-temps:
« Le calendrier de la saison actuelle, en raison des nouvelles fenêtres FIBA pour les équipes nationales, s’avère encore plus difficile et éprouvant. Nous avons déjà dû faire face à de nombreuses blessures : Bangaly Fofana n’a pas disputé un seul match, nous avons perdu pour une longue période notre capitaine Amara Sy, Sergii Gladyr, de retour d’une opération au genou, a connu un début de saison difficile. Aaron Craft, D.J. Cooper, Elmedin Kikanovic, Ali Traoré, Chris Evans, Gerald Robinson, Luc Loubaki ont tous dû composer à un moment donné avec une blessure. Je pense que Georgi Joseh est notre seul joueur à n’avoir pas manqué un match cette saison. Dans ces circonstances, la décision de faire signer Yak paraît logique. De plus, Ouattara donnera l’opportunité au coach d’ajuster nos rotations : comme Yakuba peut aussi jouer en tant que petit ailier, nous pourrons en partie décaler Chris Evans au poste d’ailier fort, ce qui est important dans la mesure où Amara Sy est blessé, alors que Damjan Rudez a encore besoin d’un peu de temps pour s’adapter à notre équipe et à la Jeep Elite ».
Photo: ASM
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\\n
Il n'est pas pour rien le triple tenant du titre du 3 points Shootout du @ASGLNB #JeepELITE pic.twitter.com/4gLtcjbQ8Y— LNB (@LNBofficiel) March 31, 2018
On le sait, il l’a dit lui-même, l’Allemand Heiko Schaffartzik a « de grosses couilles ». Le triple vainqueur du concours à trois-points du All-Star Game LNB l’a prouvé une fois de plus hier soir face à Châlons-Reims avec ce shoot lointain, précipité et victorieux face au CCRB. Il restait cinq secondes à jouer et les Champenois pensaient réaliser l’exploit de la soirée. Kolossal erreur.
\n📺Pr le plaisir (sauf pour les supporters du CCRB), retour sur le panier d'extraterrestre 👽 de Heiko Schaffartzik pour la gagne à 5 secondes de la fin du match @Nanterre92 🆚 @CCRBASKET !
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Saison terminée pour le meneur de l’ESSM Le Portel, Benoît Mangin (1,88m, 29 ans) à cause d’une blessure au pied. Après la victoire sur la JL Bourg (67-63), Eric Girard a annoncé que le club était en quête d’un remplaçant qui sera soit français soit étranger mais dans ce cas, le coach portelois devra faire un choix à chaque match puisque le quota de six non-JFL serait dépassé.
Benoît Mangin souffre depuis plusieurs mois de cette blessure au pied, ce qui explique que ses productions cette saison (3,8 points, 1,5 rebond, 2,7 passes) sont sensiblement inférieures à celles de l’exercice précédent (6,3 points, 2,4 rebonds, 4,2 passes).
Photo: FIBA Europe
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« Ça fait plaisir, ce n’est pas très souvent qu’on voit des joueurs rester aussi longtemps dans un club », a t-il commenté en conférence de presse. « Des bons souvenirs ? Il y en a plein. La finale de l’Eurocup, même si on a perdu, car personne ne nous attendait là, les victoires en Coupe de France et en Leaders Cup ont été importantes et encore les matches renversés avec l’aide du public, grâce à l’ambiance dans la salle. Au fil des ans, j’ai vu la différence, il a été de plus en plus présent et ça nous fait du bien. On va encore s’appuyer sur eux mercredi ».
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Le 16 juillet 2016, David Andersen avait signé un contrat de deux ans avec les Melbourne United. C’était la première fois qu’il retournait en NBL depuis 1999. Le 23 mars de l’année suivante, il avait de nouveau rejoint à l’ASVEL pour y effectuer une pige avant de repartir à Melbourne.
Cette saison, David Andersen, qui est le plus vieux joueur de la ligue australienne, a tourné à 5,7 points et 2,8 rebonds.
Dans le match 5 de la finale, Melbourne United a battu Adelaide 36ers, 100 à 82 devant 10 300 spectateurs à la Hisense Arena. Malheureusement, David Andersen n’a pu prendre part qu’à un peu plus de deux minutes de jeu avant de rejoindre le banc avec une douleur au mollet.
A noter que parmi les équipiers de David Andersen à Melbourne, il y a le meneur Casper Ware (1,78m, 27 ans) qui fut déjà son partenaire à l’ASVEL et avec qui il a remporté la titre de champion de France en 2016. Casper Ware a été très efficace avec 23 points.
David Andersen a par ailleurs représenté quatre fois son pays aux Jeux Olympiques et disputé 103 matches en NBA.
", "comment_id":"424977", "plaintext":"Trois fois champion d’Europe/Euroleague (2001, 2006 et 2008), une fois de VTB League (2008), deux fois d’Italie (2001 et 2004), quatre fois de Russie (2005, 2006, 2007 et 2008), une fois d’Espagne (2009) et de France (2016), l’Australien David Andersen (2,11m) obtient à 37 ans -il fêtera son 38e anniversaire en juin- celui qui manquait énormément à son palmarès, le titre de champion de son pays.\n\nLe 16 juillet 2016, David Andersen avait signé un contrat de deux ans avec les Melbourne United. C’était la première fois qu’il retournait en NBL depuis 1999. Le 23 mars de l’année suivante, il avait de nouveau rejoint à l’ASVEL pour y effectuer une pige avant de repartir à Melbourne.\n\nCette saison, David Andersen, qui est le plus vieux joueur de la ligue australienne, a tourné à 5,7 points et 2,8 rebonds.\n\nDans le match 5 de la finale, Melbourne United a battu Adelaide 36ers, 100 à 82 devant 10 300 spectateurs à la Hisense Arena. Malheureusement, David Andersen n’a pu prendre part qu’à un peu plus de deux minutes de jeu avant de rejoindre le banc avec une douleur au mollet.\n\nA noter que parmi les équipiers de David Andersen à Melbourne, il y a le meneur Casper Ware (1,78m, 27 ans) qui fut déjà son partenaire à l’ASVEL et avec qui il a remporté la titre de champion de France en 2016. 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Trois victoires de retard sur le trio des « Ch »: Chalon, Cholet, Châlon-Reims.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Evidemment, même si ce n’était pas le propos de la soirée, le coach Claude Bergeaud a été questionné en \"],[0,[0],1,\"conférence de presse\"],[0,[],0,\" sur la finale de la Coupe de France prévue le 21 de ce mois à Paris entre les deux équipes.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[1],1,\"On a manqué de constance dans la discipline, un point noir dans notre jeu, en particulier en attaque. Défensivement, on a manqué de force, de puissance, pour pouvoir contrer des joueurs de ce niveau qui vont vite, qui ‘’jumpent’’. On a vécu en direct ce qui nous attend dans trois semaines mais aujourd’hui, on n’est pas capable de les arrêter. On essaiera de faire de notre mieux. On connaît nos faiblesses et on va travailler pour les combler. Il nous faudra le match parfait pour espérer. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La belle production de Brandon Ubel (2,08m, 26 ans, 18 points à 7/11, 9 rebonds pour 24 d’évaluation) n’aura pas suffi. Il faut dire que le BBD a subi quelques défaillances individuelles comme celle de Quincy Diggs (zéro pointé).\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[1],1,\"On aurait bien aimé les accrocher davantage, être plus présents défensivement car on a encore pris 88 points ce soir », regrettait Jérôme Sanchez. « Lorsqu’ils ont haussé le ton en défense, on a trouvé de moins en moins de solutions. Strasbourg était bien en place défensivement et a bien déroulé son jeu en attaque. On a eu la belle surprise de les battre à l’aller, on savait que dans la tête ils étaient peut-être plus sur le match contre Athènes, mais on n’a pas su les prendre à la gorge dès le début. En même temps, ce n’est pas ici qu’on va jouer notre maintien. 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Evidemment, même si ce n’était pas le propos de la soirée, le coach Claude Bergeaud a été questionné en conférence de presse sur la finale de la Coupe de France prévue le 21 de ce mois à Paris entre les deux équipes.
« On a manqué de constance dans la discipline, un point noir dans notre jeu, en particulier en attaque. Défensivement, on a manqué de force, de puissance, pour pouvoir contrer des joueurs de ce niveau qui vont vite, qui ‘’jumpent’’. On a vécu en direct ce qui nous attend dans trois semaines mais aujourd’hui, on n’est pas capable de les arrêter. On essaiera de faire de notre mieux. On connaît nos faiblesses et on va travailler pour les combler. Il nous faudra le match parfait pour espérer. »
La belle production de Brandon Ubel (2,08m, 26 ans, 18 points à 7/11, 9 rebonds pour 24 d’évaluation) n’aura pas suffi. Il faut dire que le BBD a subi quelques défaillances individuelles comme celle de Quincy Diggs (zéro pointé).
« On aurait bien aimé les accrocher davantage, être plus présents défensivement car on a encore pris 88 points ce soir », regrettait Jérôme Sanchez. « Lorsqu’ils ont haussé le ton en défense, on a trouvé de moins en moins de solutions. Strasbourg était bien en place défensivement et a bien déroulé son jeu en attaque. On a eu la belle surprise de les battre à l’aller, on savait que dans la tête ils étaient peut-être plus sur le match contre Athènes, mais on n’a pas su les prendre à la gorge dès le début. En même temps, ce n’est pas ici qu’on va jouer notre maintien. Cela nous donne une idée de ce qui nous attend à l’AccorHôtels Arena pour la finale de la Coupe de France dans trois semaines ».
En attendant, le BBD a bel et bien un pied trois-quarts en Pro B.
Photo: Jérôme Sanchez (BBD)
", "comment_id":"424973", "plaintext":"Sale journée pour Boulazac. Défaite attendue à Strasbourg: 75-88. Et en même temps, Chalon a fait son affaire de Cholet, 84-66. Un Boulazacois qui consulte en ce 1er avril le classement de la Jeep Elite a des frissons dans le dos et ce n’est pas un canular. Trois victoires de retard sur le trio des « Ch »: Chalon, Cholet, Châlon-Reims.\n\nEvidemment, même si ce n’était pas le propos de la soirée, le coach Claude Bergeaud a été questionné en conférence de presse sur la finale de la Coupe de France prévue le 21 de ce mois à Paris entre les deux équipes.\n\n« On a manqué de constance dans la discipline, un point noir dans notre jeu, en particulier en attaque. Défensivement, on a manqué de force, de puissance, pour pouvoir contrer des joueurs de ce niveau qui vont vite, qui ‘’jumpent’’. On a vécu en direct ce qui nous attend dans trois semaines mais aujourd’hui, on n’est pas capable de les arrêter. On essaiera de faire de notre mieux. 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Offensivement, collectivement, c’était top. (La victoire) fait du bien à la tête, au classement. On a pas mal de matches à domicile sur la fin du calendrier. Il faut qu’on en prenne le max! »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo: CSP\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Les exigeants supporters limougeauds ont retrouvé LEUR CSP. C’est avec beaucoup d’enthousiasme et de la qualité de jeu que les hommes de Kyle Milling ont renversé à Beaublanc, le leader monégasque, 82-74.
Offensivement, l’arrière Kenny Hayes (1,86m, 31 ans) a joué un rôle primordial avec 22 points dont 11/13 sur la ligne. C’est dans le troisième quart-temps que les Limougeauds ont réussi à prendre le large, +14 (66-52). Puis, dans un deuxième élan, tout autant méritoire, à rendre vaine un rapproché monégasque (-4).
« On a fait ce qu’il fallait », s’est félicité Jean-Frédéric Morency au micro de France Bleu Limousin. « Il y a eu un petit moment, pas de panique puisqu’on a réussi ensuite à prendre le large, mais c’est vrai qu’ils ont remonté un différentiel assez rapidement, c’était incroyable. On a fait un match solide. Je pense que c’est l’un de nos matches référence car on on n’a pas lâché. Autant parfois on a des trous d’air, là, même s’ils sont revenus, on est resté solides et sereins dans la tête. On a su ne pas paniquer, on est un peu sorti à un moment de notre plan offensif, on était plus dans le défi individuel. Ca leur a permis de gagner des ballons et de revenir mais on est retourné dans les clous. Offensivement, collectivement, c’était top. (La victoire) fait du bien à la tête, au classement. On a pas mal de matches à domicile sur la fin du calendrier. Il faut qu’on en prenne le max! »
Photo: CSP
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Selon Il Corriere di Bologna, le pivot américain Marcus Slaughter (2,03m, 33 ans) pourrait rester une saison de plus à la Virtus Bologne. Le prestigieux club italien s’attelle en tout cas à faire le maximum pour conserver le plus gros contrat de son équipe malgré l’intérêt de plusieurs clubs d’EuroLeague. Lancé en France par Gravelines il y a dix ans et ensuite passé par le Havre (2008-2009), Nancy (2009-2010) et surtout le Real Madrid (2012-2015) avec qui il a remporté l’EuroLeague en 2015, Slaughter tourne cette saison à 9,8pts ( à 69% au tir), 7,1rbds et 1,8pds par match en Lega A.
Les négociations seraient toutefois perturbées par le départ acté du GM de la Virtus, Julio Trovato, dont le remplaçant n’est toujours pas connu.
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C’était un match du championnat brésilien entre Basquete Cearense et Franca qui aurait dû rester anonyme. Sauf que Paulinho Boracini (1,83m, 32 ans) l’a rendu célèbre sur la planète entière!
Son équipe était menée 78-80 et il n’avait plus qu’un seul lancer-franc à disposition. Impossible a priori de gagner le match. Sauf que Paulinho a eu un trait de génie. Il a balancé la balle très fort sur le cercle pour la faire rebondir sur le côté gauche. Un travail d’orfèvre. Ce n’est pas tout. Fallait-il encore enquiller le trois-points au buzzer. Fait! Victoire de Cearense. Le (maigre) public brésilien est en extase.
Juste IN-CRO-YA-BLE.
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", "comment_id":"424425", "plaintext":"C’était un match du championnat brésilien entre Basquete Cearense et Franca qui aurait dû rester anonyme. Sauf que Paulinho Boracini (1,83m, 32 ans) l’a rendu célèbre sur la planète entière!\n\nSon équipe était menée 78-80 et il n’avait plus qu’un seul lancer-franc à disposition. Impossible a priori de gagner le match. Sauf que Paulinho a eu un trait de génie. Il a balancé la balle très fort sur le cercle pour la faire rebondir sur le côté gauche. Un travail d’orfèvre. Ce n’est pas tout. Fallait-il encore enquiller le trois-points au buzzer. Fait! Victoire de Cearense. Le (maigre) public brésilien est en extase.\n\nJuste IN-CRO-YA-BLE.\n\nhttps://www.facebook.com/DarioRonzulliOfficial/videos/581883582168414/", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-23T13:00:34.000Z", "updated_at":"2018-03-23T13:00:34.000Z", "published_at":"2018-03-23T13:00:34.000Z", "custom_excerpt":"C’était un match du championnat brésilien entre Basquete Cearense et Franca qui aurait dû rester anonyme. Sauf que Paulinho Boracini (1,83m, 32 ans) l’a rendu célèbre sur la planète entière!", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d4d", "uuid":"84b8ffdc-28fc-4961-913e-a97d09dba136", "title":"LFB: La Berruyère Valériane Ayayi s’est engagée avec Prague", "slug":"lfb-la-berruyere-valeriane-ayayi-sest-engagee-avec-prague", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/ayayi-e1513352483387.jpg\",\"width\":800,\"height\":534}],[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/RMCsport?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\\n\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après Diandra Tchatchouang qui aurait signé à Lattes-Montpellier, Bourges Basket perd une deuxième internationale en la personne de Valériane Ayayi selon le journaliste de RMC Sport, Cyril Méjane. Celle-ci s’est engagée avec Prague.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Valériane Ayayi effectue une remarquable saison avec les Tango dont elle est en Ligue Féminine la meilleure marqueuse (12,7 points dont un bon 25/55 à trois-points) et la meilleure à l’évaluation (14,3).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Bordelaise (1,83m, 25 ans dans quelques jours) transitera au préalable par La Vegas et la WNBA.\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Info @RMCsport : l’internationale française @valeriane_ayayi quitte @BourgesBasket et s’engage dans le club de Prague pour la prochaine saison. Pour rappel, cet été, elle jouera en @WNBA avec Las Vegas. @FRABasketball #rmclive @BasketTimeRMC
\\n— Cyril Méjane (@CyrilMejane) March 23, 2018
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Après Diandra Tchatchouang qui aurait signé à Lattes-Montpellier, Bourges Basket perd une deuxième internationale en la personne de Valériane Ayayi selon le journaliste de RMC Sport, Cyril Méjane. Celle-ci s’est engagée avec Prague.
Valériane Ayayi effectue une remarquable saison avec les Tango dont elle est en Ligue Féminine la meilleure marqueuse (12,7 points dont un bon 25/55 à trois-points) et la meilleure à l’évaluation (14,3).
La Bordelaise (1,83m, 25 ans dans quelques jours) transitera au préalable par La Vegas et la WNBA.
\nInfo @RMCsport : l’internationale française @valeriane_ayayi quitte @BourgesBasket et s’engage dans le club de Prague pour la prochaine saison. Pour rappel, cet été, elle jouera en @WNBA avec Las Vegas. @FRABasketball #rmclive @BasketTimeRMC
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\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) March 23, 2018
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Le samedi 7 avril, le Bourges Basket recevra Roche-Vendée mais ce soir-là sera tout à fait exceptionnel avec le retour au Prado de quelques grands noms du club. Et Dieu sait combien les Tango ont compté de stars françaises et étrangères sur les trois dernières décennies.
Ce seront huit joueuses et deux coaches qui seront honorés et à compter d’aujourd’hui et durant dix jours le club va dévoiler un à un les « hall of famers ».
Le premier nom sorti du chapeau est celui de Odile Santaniello, 51 ans, quintuple championne de France entre 1995 et 1999 et double vainqueur de l’Euroleague en 1997 et 1998 et 9 fois MVP française du championnat de France.
\nOdile Santaniello sera honorée samedi 07 avril lors de la soirée des #LégendesTango !
\n👉 https://t.co/9lemJB3xKZ#FiertéTango pic.twitter.com/6p6lY2OjlZ
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/gries-oberhoffen-encore-un-interieur-pour-renforcer-l-effectif.jpg\")
Dix-sept victoires d’affilée, trois d’avance sur Saint-Vallier, son dauphin, mais qui compte un match de plus au compteur et qu’il a vaincu 66-60 lors de la dernière journée, cinq sur Rueil et six sur Saint-Quentin, le Gries-Oberhoffen BC est TRES bien placé pour monter en Pro B. Ce serait un exploit monumental pour ce club issu de deux communes du Bas Rhin proche d’Haguenau, l’une de 2 747 habitants et l’autre de 3 341 et qui est en NM1 depuis seulement deux ans.
Ce soir, le leader visite Saint-Quentin.
« Je m’attends à un combat presque aussi dur, voire plus que contre Saint-Vallier. Saint-Quentin, c’est l’une des salles les plus chaudes de la division. En plus, comme on est premiers, désormais ce n’est plus une cible qu’on a dans le dos, on est peints en rouge », a déclaré Ludovic Pouillart, l’entraîneur du BCGO aux DNA.", "comment_id":"424399", "plaintext":"Dix-sept victoires d’affilée, trois d’avance sur Saint-Vallier, son dauphin, mais qui compte un match de plus au compteur et qu’il a vaincu 66-60 lors de la dernière journée, cinq sur Rueil et six sur Saint-Quentin, le Gries-Oberhoffen BC est TRES bien placé pour monter en Pro B. Ce serait un exploit monumental pour ce club issu de deux communes du Bas Rhin proche d’Haguenau, l’une de 2 747 habitants et l’autre de 3 341 et qui est en NM1 depuis seulement deux ans.\n\nCe soir, le leader visite Saint-Quentin.\n\n« Je m’attends à un combat presque aussi dur, voire plus que contre Saint-Vallier. Saint-Quentin, c’est l’une des salles les plus chaudes de la division. En plus, comme on est premiers, désormais ce n’est plus une cible qu’on a dans le dos, on est peints en rouge », a déclaré Ludovic Pouillart, l’entraîneur du BCGO aux DNA.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-23T08:00:22.000Z", "updated_at":"2018-03-23T08:00:22.000Z", "published_at":"2018-03-23T08:00:22.000Z", "custom_excerpt":"Dix-sept victoires d’affilée, trois d’avance sur Saint-Vallier, son dauphin, mais qui compte un match de plus au compteur et qu’il a vaincu 66-60 lors de la dernière journée, cinq sur Rueil et six sur Saint-Quentin, le Gries-Oberhoffen BC est TRES bien placé pour monter en Pro B. Ce serait un exploi", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d50", "uuid":"937c52ad-63ec-4fc8-8305-dbdce9e2f0c8", "title":"Boulazac va demander à son coach Claude Bergeaud s’il est prêt à rester en Pro B", "slug":"boulazac-va-demander-a-son-coach-claude-bergeaud-sil-est-pret-a-rester-en-pro-b", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/claude-bergeaud.jpg\",\"width\":500,\"height\":315}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.francebleu.fr/sports/basket-handball-volley/basket-pro-a-nous-allons-demander-a-claude-bergeaud-s-il-veut-continuer-a-entrainer-le-bbd-dit-1521749135\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Selon toutes vraisemblances, Boulazac devrait se retrouver dimanche en demi-finale de la Coupe de France puisque demain en quart le BBD va affronter les espoirs de Monaco.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En attendant, les Boulazacois sont dans de sales draps en Jeep Elite suite à leur défaite à domicile face à Antibes mardi soir. Il faudrait désormais un sacré retournement de situation pour éviter l’une des deux dernières places.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le président Jacques Auzou met en cause un casting tardif et peu concluant:\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Il y a une réalité. On a su quelques jours à la fin du mois de juin, un mois après les autres, qu’on montait en Pro A. Le marché avait été fait et il est ce qu’il est. Il est clair qu’il y a des joueurs qui ne mouillent pas le maillot à la hauteur de leur passé de basketteur et de l’argent qu’ils touchent, » indique t-il à \"],[0,[0],1,\"France Bleu\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le club de la Dordogne prépare déjà l’échéance prochaine et va demander à son coach Claude Bergeaud s’il est prêt à rester à bord.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Il a un contrat pour la saison prochaine et personne ne le remet en cause au sein du conseil d’administration. Il faut maintenant savoir si lui a envie de coacher une équipe en Pro B. Nous aurons une réunion lundi matin. La question lui sera posée très clairement. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo: BBD\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
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Selon toutes vraisemblances, Boulazac devrait se retrouver dimanche en demi-finale de la Coupe de France puisque demain en quart le BBD va affronter les espoirs de Monaco.
En attendant, les Boulazacois sont dans de sales draps en Jeep Elite suite à leur défaite à domicile face à Antibes mardi soir. Il faudrait désormais un sacré retournement de situation pour éviter l’une des deux dernières places.
Le président Jacques Auzou met en cause un casting tardif et peu concluant:
« Il y a une réalité. On a su quelques jours à la fin du mois de juin, un mois après les autres, qu’on montait en Pro A. Le marché avait été fait et il est ce qu’il est. Il est clair qu’il y a des joueurs qui ne mouillent pas le maillot à la hauteur de leur passé de basketteur et de l’argent qu’ils touchent, » indique t-il à France Bleu.
Le club de la Dordogne prépare déjà l’échéance prochaine et va demander à son coach Claude Bergeaud s’il est prêt à rester à bord.
« Il a un contrat pour la saison prochaine et personne ne le remet en cause au sein du conseil d’administration. Il faut maintenant savoir si lui a envie de coacher une équipe en Pro B. Nous aurons une réunion lundi matin. La question lui sera posée très clairement. »
Photo: BBD
", "comment_id":"424395", "plaintext":"Selon toutes vraisemblances, Boulazac devrait se retrouver dimanche en demi-finale de la Coupe de France puisque demain en quart le BBD va affronter les espoirs de Monaco.\n\nEn attendant, les Boulazacois sont dans de sales draps en Jeep Elite suite à leur défaite à domicile face à Antibes mardi soir. Il faudrait désormais un sacré retournement de situation pour éviter l’une des deux dernières places.\n\nLe président Jacques Auzou met en cause un casting tardif et peu concluant:\n\n« Il y a une réalité. On a su quelques jours à la fin du mois de juin, un mois après les autres, qu’on montait en Pro A. Le marché avait été fait et il est ce qu’il est. Il est clair qu’il y a des joueurs qui ne mouillent pas le maillot à la hauteur de leur passé de basketteur et de l’argent qu’ils touchent, » indique t-il à France Bleu.\n\nLe club de la Dordogne prépare déjà l’échéance prochaine et va demander à son coach Claude Bergeaud s’il est prêt à rester à bord.\n\n« Il a un contrat pour la saison prochaine et personne ne le remet en cause au sein du conseil d’administration. Il faut maintenant savoir si lui a envie de coacher une équipe en Pro B. Nous aurons une réunion lundi matin. 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\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 22, 2018
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/mike-james.jpg\")
Sarunas Jasikevicius pestera après le match contre un manque d’envie de ses joueurs sur le parquet du Real Madrid. Mais avec la qualification pour les playoffs dans la poche, la première depuis 1999, Saras a également pu souffler :
« Je suis très fier de mes joueurs. On va aller boire une bière tous ensemble et ça ira mieux ! »
A l’inverse, et après un buzzer beater de Mike James pour le Panathinaikos, le Maccabi Tel Aviv semble condamné à rater le train des playoffs…
Passablement échaudé par son expérience en NBA cette saison, Mike James avouait être encore en manque de repères brinquebalé entre deux baskets différents. Mais hier soir face au Maccabi, il a mis tout le monde d’accord en égalant son record en carrière à 27 points… y compris le tir de la gagne !
Pour le Maccabi, c’est un terrible coup de massue dans leur course pour les playoffs. En s’imposant, le Pana confirme non seulement la qualification de Kaunas mais condamne le Maccabi à l’exploit sur ces dernières journées, notamment à Vitoria la semaine prochaine.
Déjà qualifié, le Real Madrid cherchait à s’imposer contre Kaunas afin de soigner son classement et surtout verrouiller l’avantage du terrain en playoffs. Derrière un bon Fabien Causeur (14 points) et l’inusable Felipe Reyes (16 points), les madrilènes se sont imposés (88-81). Pour son retour, Luka Doncic a signé 11 points et 7 passes.
Pour le Zalgiris, c’est le jeu rarissime du « qui perd gagne ! ». Grâce à un coup de pouce du Pana, la troupe de Jasikevicius se qualifie en playoffs, et c’est la première fois depuis 2005 et la création de ce nouveau format ! Mais si on creuse davantage, c’est tout simplement la 1ère fois depuis le sacre de 1999 que Kaunas se retrouve à nouveau dans le Top 8 en fin de saison ! Monumental !
Fabien Causeur (Real Madrid) : 14 points (5/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 19 minutes
Amath M’Baye (Milan) : 5 points (2/2 aux tirs), 1 rebond, 1 passe en 13 minutes
Mathias Lessort (Etoile Rouge) : 2 points (0/1 au tir), 6 rebonds, 4 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes
Axel Toupane (Kaunas) : n’a pas joué
Antoine Diot (Valence) : blessé
Ali Muhammed avait réglé la mire pour la réception de l’Etoile Rouge de Belgrade. L’ancien de Pro A termine la partie à 25 points mais il a commencé par un excellent 7/7 derrière l’arc !
\nAli Muhammed is on FIRE 🔥#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/GVTMuX9z0h
\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 22, 2018
Jeudi 22 mars :
Etoile Rouge – Fenerbahçe (63-80)
Maccabi Tel Aviv – Panathinaikos (75-76)
Real Madrid – Zalgiris Kaunas (88-81)
Milan – Valence (89-93)
Vendredi 23 mars :
Khimki Moscou – CSKA Moscou (18h)
Bamberg – Malaga (19h)
Olympiakos – Efes Istanbul (20h)
Barcelone – Vitoria (21h)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/elj28.png\")
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/asvel-basket-landes-23-700x467.jpg\")
Les clubs de ligue féminine s’activent déjà en coulisses pour préparer la saison prochaine. En haut de tableau, Bourges a attaqué en premier en sécurisant KB Sharp, Marine Johannès et Alexia Chartereau (prolongées) puis annonçant les recrutements de jeunes joueuses à fort potentiel : Lisa Berkani en provenance de Mondeville et Iliana Rupert (CFBB). En ce début de semaine, Lattes-Montpellier est monté au créneau, Stephen Brun ayant annoncé dans Buzzer lundi soir les retours possibles d’Héléna Ciak (28 ans, 1,97 m.) et de Diandra Tchatchouang (26 ans, 1,89m), qui seraient accompagnées de deux autres internationales tricolores : Marielle Amant (28 ans, 1,90m) et Endy Miyem (29 ans, 1,88m, Schio).
Pour compléter ce beau quatuor, le Midi Libre a annoncé une autre signature au BLMA ce matin, celle d’une des pépites de LFB, l’arrière niçoise Alix Duchet (confirmée depuis par le président du Cavigal Xavier Le Cerf-Galle).
Lidija Turcinovic, premier coup ?
On attendait dès lors la réaction de l’Asvel féminin de Tony Parker et de son directeur des opérations basket, Nicolas Batum. Or la formation dirigée par l’ancien lattois Valéry Demory est bien déterminée à exister aux côtés de ces deux clubs qui trustent les titres nationaux depuis plusieurs années (quatre confrontations en finale du championnat ces six dernières années) et préparerait à son tour son offensive. En effet, selon nos informations, l’arrière nanto-rezéenne Lidija Turcinovic (23 ans, 1,76m) serait sur le point de s’engager avec le club villeurbannais. Formée à l’insep, la Franco-Serbe qui a été lancée dans le grand bain en pro par Valéry Demory à Lattes-Montpellier (2012-2014) a retrouvé tout son peps cette saison à Nantes-Rezé sous les ordres d’Emmanuel Coeuret (13,6 pts, 5,3 rebonds, 3,1 passes décisives, 9,8 d’éval).
Les 19 points de Lidija Turcinovic contre Basket-Landes
Le duo Robert-Sacko reformé par Demory ?
L’autre recrue de taille se nommerait Clarissa Dos Santos (30 ans, 1,88), poste 5 en provenance de Charleville-Mézières. L’internationale brésilienne reste sur deux grosses saisons en France, à Bourges en 2016-2017 (12,7pts, 7rbds, 15 d’éval) puis cette année avec les Flammes Carolo (14,6pts, 8,8rbds, 19 d’éval). Enfin, une autre ancienne protégée de Valéry Demory pourrait rallier le Rhône, Fatimatou Sacko (32 ans, 1,83m), intérieure emblématique du BLMA (2010-2013, de retour au club depuis 2016). Avec la venue de cette autre joueuse d’expérience, l’entraîneur de l’Asvel féminin pourrait alors reformer un tandem de feu avec Géraldine Robert, arrivée en cours de saison en provenance de Nice. Un duo qui avait notamment permis au BLMA de décrocher le premier titre de son histoire en 2014.
D’autres mouvements significatifs d’autres gros clubs de LFB (Charleville-Mézières, ESBVA-LM) pourraient intervenir rapidement.
", "comment_id":"424376", "plaintext":"Les clubs de ligue féminine s’activent déjà en coulisses pour préparer la saison prochaine. En haut de tableau, Bourges a attaqué en premier en sécurisant KB Sharp, Marine Johannès et Alexia Chartereau (prolongées) puis annonçant les recrutements de jeunes joueuses à fort potentiel : Lisa Berkani en provenance de Mondeville et Iliana Rupert (CFBB). En ce début de semaine, Lattes-Montpellier est monté au créneau, Stephen Brun ayant annoncé dans Buzzer lundi soir les retours possibles d’Héléna Ciak (28 ans, 1,97 m.) et de Diandra Tchatchouang (26 ans, 1,89m), qui seraient accompagnées de deux autres internationales tricolores : Marielle Amant (28 ans, 1,90m) et Endy Miyem (29 ans, 1,88m, Schio).\n\nPour compléter ce beau quatuor, le Midi Libre a annoncé une autre signature au BLMA ce matin, celle d’une des pépites de LFB, l’arrière niçoise Alix Duchet (confirmée depuis par le président du Cavigal Xavier Le Cerf-Galle).\n\nLidija Turcinovic, premier coup ?\n\nOn attendait dès lors la réaction de l’Asvel féminin de Tony Parker et de son directeur des opérations basket, Nicolas Batum. Or la formation dirigée par l’ancien lattois Valéry Demory est bien déterminée à exister aux côtés de ces deux clubs qui trustent les titres nationaux depuis plusieurs années (quatre confrontations en finale du championnat ces six dernières années) et préparerait à son tour son offensive. En effet, selon nos informations, l’arrière nanto-rezéenne Lidija Turcinovic (23 ans, 1,76m) serait sur le point de s’engager avec le club villeurbannais. Formée à l’insep, la Franco-Serbe qui a été lancée dans le grand bain en pro par Valéry Demory à Lattes-Montpellier (2012-2014) a retrouvé tout son peps cette saison à Nantes-Rezé sous les ordres d’Emmanuel Coeuret (13,6 pts, 5,3 rebonds, 3,1 passes décisives, 9,8 d’éval).\n\nLes 19 points de Lidija Turcinovic contre Basket-Landes\n\nLe duo Robert-Sacko reformé par Demory ?\n\nL’autre recrue de taille se nommerait Clarissa Dos Santos (30 ans, 1,88), poste 5 en provenance de Charleville-Mézières. L’internationale brésilienne reste sur deux grosses saisons en France, à Bourges en 2016-2017 (12,7pts, 7rbds, 15 d’éval) puis cette année avec les Flammes Carolo (14,6pts, 8,8rbds, 19 d’éval). Enfin, une autre ancienne protégée de Valéry Demory pourrait rallier le Rhône, Fatimatou Sacko (32 ans, 1,83m), intérieure emblématique du BLMA (2010-2013, de retour au club depuis 2016). Avec la venue de cette autre joueuse d’expérience, l’entraîneur de l’Asvel féminin pourrait alors reformer un tandem de feu avec Géraldine Robert, arrivée en cours de saison en provenance de Nice. 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Notre chroniqueur Fred Weis est un fana de pronostics et de paris sportifs. Adepte du loto sportif auquel il s’adonne depuis plusieurs années dans son bar/tabac Le Marigny à Limoges, Fred se lance dans les paris en ligne en partenariat avec France-Pari.fr Profitez de votre inscription pour bénéficier de 100€ de bonus et de paris remboursés !
Voici les paris de la semaine avec les analyses et les conseils de Fred Weis :
Maccabi Tel-Aviv – Panathinaïkos : Panathinaïkos
Deux équipes qui ont besoin de victoires, le Panathinaïkos pour entrer dans le top 4 et le Maccabi pour se qualifier en playoffs. Le Maccabi reste sur cinq défaites en sept matchs et joue un basket horrible. Le Pana, lui, vient d’enchaîner deux victoires dont une à Malaga (qui restait sur cinq victoires en sept matchs à domicile, et les deux défaites au buzzer !!!)
Barcelone – Vitoria: Vitoria
Le Barça n’a plus rien à jouer en euroleague (avant dernier avec neuf victoires en 27 matchs) et reste sur six défaites en huit matchs. Malgré des sursauts d’orgueil (deux victoires de près de 30 points contre l’Etoile Rouge et l’Olympiacos) ça semble compliqué pour ce Barça qui joue une équipe de Vitoria en forme (quatre victoires de suite).
Bamberg – Malaga : Bamberg
Bamberg reste sur quatre victoires de suite à domicile alors que Malaga vient de perdre ses trois derniers matchs à l’extérieur.
Étoile Rouge de Belgrade – Fenerbahce et Khimki Moscou – CSKA Moscou : Fenerbahce et CSKA
Petit combiné : le Fener c’est seulement deux défaites en douze matchs (dont une contre le CSKA) et le CSKA c’est encore mieux, neuf victoires en dix matchs et cinq victoires de suite.
", "comment_id":"424378", "plaintext":"Notre chroniqueur Fred Weis est un fana de pronostics et de paris sportifs. Adepte du loto sportif auquel il s’adonne depuis plusieurs années dans son bar/tabac Le Marigny à Limoges, Fred se lance dans les paris en ligne en partenariat avec France-Pari.fr Profitez de votre inscription pour bénéficier de 100€ de bonus et de paris remboursés !\n\nVoici les paris de la semaine avec les analyses et les conseils de Fred Weis :\n\nMaccabi Tel-Aviv – Panathinaïkos : Panathinaïkos\n\nDeux équipes qui ont besoin de victoires, le Panathinaïkos pour entrer dans le top 4 et le Maccabi pour se qualifier en playoffs. Le Maccabi reste sur cinq défaites en sept matchs et joue un basket horrible. Le Pana, lui, vient d’enchaîner deux victoires dont une à Malaga (qui restait sur cinq victoires en sept matchs à domicile, et les deux défaites au buzzer !!!)\n\nBarcelone – Vitoria: Vitoria\n\nLe Barça n’a plus rien à jouer en euroleague (avant dernier avec neuf victoires en 27 matchs) et reste sur six défaites en huit matchs. Malgré des sursauts d’orgueil (deux victoires de près de 30 points contre l’Etoile Rouge et l’Olympiacos) ça semble compliqué pour ce Barça qui joue une équipe de Vitoria en forme (quatre victoires de suite).\n\nBamberg – Malaga : Bamberg\n\nBamberg reste sur quatre victoires de suite à domicile alors que Malaga vient de perdre ses trois derniers matchs à l’extérieur.\n\nÉtoile Rouge de Belgrade – Fenerbahce et Khimki Moscou – CSKA Moscou : Fenerbahce et CSKA\n\nPetit combiné : le Fener c’est seulement deux défaites en douze matchs (dont une contre le CSKA) et le CSKA c’est encore mieux, neuf victoires en dix matchs et cinq victoires de suite.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-22T18:33:40.000Z", "updated_at":"2018-03-22T18:34:07.000Z", "published_at":"2018-03-22T18:33:40.000Z", "custom_excerpt":"Notre chroniqueur Fred Weis est un fana de pronostics et de paris sportifs. Adepte du loto sportif auquel il s’adonne depuis plusieurs années dans son bar/tabac Le Marigny à Limoges, Fred se lance dans les paris en ligne en partenariat avec France-Pari.fr Profitez de votre inscription pour bénéficie", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d54", "uuid":"9dabceaa-a00f-477b-ba3d-2a4b44fdbe9f", "title":"LFB : Olivier Lafargue (Bourges) dresse le portrait de sa nouvelle recrue", "slug":"lfb-olivier-lafargue-bourges-dresse-le-portrait-de-sa-nouvelle-recrue", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/tango-tv.jpg\",\"width\":445,\"height\":201}],[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/Fiert%C3%A9Tango?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\\n\"}],[\"html\",{\"html\":\"🎥Depuis le début de semaine, les Tango s’entraînent avec une machine à shoots afin de perfectionner leurs tirs #FiertéTango pic.twitter.com/cwzEle1Nzp
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Photo CE Tango TV
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Le club Tango a enregistré un renfort inédit cette semaine, celui de la machine à shooter « The Gun 8000 » que vous pouvez croiser de plus en plus dans vos centres d’entraînements indoor comme la HoopsFactory et qui va ainsi permettre aux Berruyères d’optimiser leurs séances d’entraînement.
« Il y a un double apport, note l’entraîneur Olivier Lafargue dans la vidéo relayé sur les réseaux sociaux du club. Le premier permet de travailler sur des petits aspects techniques et de se concentrer vraiment sur la gestuelle du tir. Le deuxième intérêt, c’est de permettre aussi pour certaines filles qui veulent faire du quantitatif, de pouvoir être tranquilles, seules presque je dirais et de pouvoir se concentrer et envoyer du tir tant qu’elles peuvent. Ce sont deux aspects très intéressants », poursuit le coach berruyer, ravi de pouvoir bénéficier de ce type de structure et d’en faire profiter ses joueuses.
\n🎥Depuis le début de semaine, les Tango s’entraînent avec une machine à shoots afin de perfectionner leurs tirs #FiertéTango pic.twitter.com/cwzEle1Nzp
\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) 21 mars 2018
Pour les clubs intéressés par un investissement de ce genre, le premier prix de la Gun 8000 tourne autour des 8 000 euros.
Bourges recevra Lattes-Montpellier ce samedi soir au Prado (19e journée)
Photo CE Tango TV
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Souffrant du genou depuis plusieurs semaines, le poste 5 américain Darryl Watkins (33 ans, 2,11m) va être contraint de subir une arthroscopie mardi prochain et doit par conséquent mettre un terme à sa saison avec l’Asvel.
Via un communiqué publié sur son site officiel, le club villeurbannais annonce s’être mis en quête d’un pigiste médical. Pour sa 3e saisons au club, Darryl Watkins tournait à 7,1pts, 5,7rbds et 1,3pd pour 10,9 d’évaluation cette saison. Face à Chalon pour son dernier match de la saison (victoire 104-90), l’ancien pivot du CCRB avait compilé 4 points, 3 rebonds, 3 passes décisives.
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Aux côtés de deux autres anciens sportifs professionnels, le nageur champion olympique Alain Bernard et « le roi », Antoine Rigaudeau, l’ex internationale française (194 sélections), qui joue toujours en N2, au Stade Français, a livré de nombreuses anecdotes sur le sujet.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A l’issue des trois tables rondes qui ont réunis des intervenants de tout bord, BasketEurope a souhaité prolonger le plaisir le temps d’un entretien particulier dans lequel « MissGo » aborde notamment les questions de l’aspect mental dans la réussite d’un sportif de haut-niveeau et de la succession de Céline Dumerc et Tony Parker, leaders de leur génération, en équipe de France.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Emilie Gomis, quelle serait votre définition d’un leader ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour moi, c’est quelqu’un qui sait fédérer un groupe, qui montre l’exemple qui ose prendre des risques… Quelqu’un qui n’a pas peur de l’échec tout simplement. Si je devais le résumer en un seul mot, je dirais quelqu’un qui inspire aussi. Pour moi c’est ça être un leader, donner envie aux autres d’aller plus loin, d’oser.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous avez expliqué aux Rencontres du Leadership avoir appris à devenir leader en étant plus jeune. Vous rappelez-vous de ce moment ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est venu assez rapidement, lorsque j’ai commencé le basket à l’âge de 8 ans. Déjà, j’ai commencé avec les garçons. J’avais ce goût du challenge, l’envie de me surpasser face à des garçons, à des « tu n’y arriveras pas » ou à la difficulté. C’est toujours quelque chose qui m’anime énormément et que je recherchais presque, peut-être pour savoir jusqu’où je pouvais aller. C’est quelque chose qui me motivait énormément et dans lequel je me sentais à l’aise. Et c’est comme ça que je suis arrivée à monter crescendo et à jouer en professionnel. Je ne savais pas si je pouvais être une joueuse professionnelle, même si je savais que la compétition m’intéressait et m’animait. Il fallait quand même s’habituer à la ligue et à tout ce que ça engendre. Mais j’ai su que j’étais une leader dans l’engagement, dans l’action, dans la façon de jouer.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Une leader technique ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui, je ne suis pas quelqu’un qui parle énormément sur le terrain.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"De l’extérieur, c’est plus ce qui ressort…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est vrai, je ne parle pas sur le terrain, mais je parle en dehors. Je ne suis pas quelqu’un qui va s’exprimer devant tout le monde comme une Céline Dumerc peut le faire, aussi parce qu’elle joue au poste de meneur. Moi, je suis plus quelqu’un qui va prendre une joueuse à part, parler à une coéquipière discrètement. Je ne suis pas dans la démonstration orale, mais je suis dans l’action et l’engagement. C’est comme ça que les filles me connaissent. On peut me trouver parfois introvertie dans l’attitude, mais je sais que je fais l’unanimité dans l’action et on sait qu’on peut compter sur moi dans les moments difficiles. Que ce soit en défense ou autre. C’est comme ça aussi que le coach (Pierre Vincent) a perçu ma façon d’être. Il savait qu’il ne pouvait pas me « capter » au niveau de la tchatche, mais il s’est dit : « Emilie, je sais comment elle peut s’imposer et s’affirmer » . Et chacune, on a notre manière d’être leader. Il n’y a pas qu’une seule façon d’être leader.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"C’est la personnalité qui fait le leader ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quand je prends notre 5 majeur aux Jeux Olympiques de Londres, on est cinq profils complètement différents. Il y a Céline Dumerc, la meneuse, qui fait le relais entre le coach et le terrain, qui annonce les systèmes. Ce n’est pas qu’elle gueule plus que les autres, c’est le poste qui veut ça, c’est le chef d’orchestre de l’équipe. Après, il y avait une Edwige Lawson-Wade qui était moins communicante, mais elle en imposait par son style de jeu, à l’Américaine, une fille très marrante… Elle te donne envie de te surpasser. Il y a une Sandrine Gruda, qui est plus fermée mais qui est tellement dure envers elle-même. On sait qu’elle ne se laissera rien passer. Et Isabelle Yacoubou, un gros nounours qui a toujours le smile, apporte sa bonne humeur dans un groupe au quotidien et qui dégomme tout sur son passage. On a chacune notre façon de s’exprimer, et c’est ce qui a fait notre force, parce que si on avait toutes la même façon de communiquer, personne n’aurait pu parler. S’il y avait eu cinq communicantes, je ne vous raconte pas le bordel dans les vestiaires ! C’est en fonction de notre personnalité, on ne peut pas s’inventer. J’ai gardé ma vraie nature, qui était de jouer à l’instinct. On a su me rendre leader à ma manière, et je pense qu’on a su voir aussi que j’aimais prendre des risques, des responsabilités et que je les assumais derrière. Ce n’est pas juste prendre des risques, et se cacher. C’est assumer de les avoir pris, les accepter et faire mieux la prochaine fois.\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quels sont les différents types de leadership ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est assez différent en fonction des nations. Les Américaines vont être très arrogantes, les plus expressives. On peut leur donner tous les termes du monde, mais ce sont des égo surdimensionnés, elles sont programmées pour ça. J’ai eu la chance de jouer à New York et la mentalité, l’approche n’est pas du tout la même au niveau du leadership. Ils te disent « tu es numéro 1 », et ils veulent que tu aies cet égo là et que veuilles être numéro 1. En France, on ne te dira jamais ça. On va plutôt te calmer, te dire : « On veut que tu sois numéro 1 mais calme toi, ne prends pas la grosse tête. » L’approche n’est pas du tout la même. En Russie, les joueuses sont froides et tout ce que vous voulez, mais c’est une nation qui bosse durement. Les coaches, les systèmes font qu’elles sont aussi programmées pour être les meilleures. Les Espagnoles, on l’a vu dans nos nombreuses confrontations, c’est beaucoup de freestyle, ça joue beaucoup, ça parle beaucoup. C’est une nation qui est très expressive, pas du tout comme nous qui sommes assez modérées. C’est comme ça qu’on voit la France, on est un peu snob.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comme le disait Antoine Rigaudeau, il y a aussi une part d’inné, de naturel ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ça part de l’humain, de la personnalité qu’on a et ça on ne le changera pas. Il y a notre instinct, notre talent, qui n’est pas naturel pour tout le monde il y a beaucoup de travail derrière, mais tout part de notre personnalité. On essaie de la travailler pour répondre aux exigences du haut-niveau. Parce que c’est le mental, la psychologie que tu as, qui fait qu’on arrive à te placer dans un groupe pour que tu fédères les autres et que tu arrives à être meilleur. C’est ce qu’il y a de plus difficile pour un coach. Parce qu’avoir les meilleurs joueurs, c’est bien mais ça ne suffit pas. Regarde le PSG, ils ont les meilleurs joueurs. Mais le Real Madrid, pourquoi ils sont meilleurs ? Le talent est là au PSG, mais il n’y a pas cette cohésion, ces leaders qui arrivent à être meilleurs ensemble et à tirer le reste de l’équipe vers le haut. C’est ce qui prend le plus de temps dans un groupe. Et nous, on est arrivé au summum aux Jeux en fait. Ça faisait déjà 10 ans qu’on était ensemble, qu’on galérait avec le même groupe, même s’il y a eu quelques petits changements. Mais pour en arriver là, à placer des égos et à les faire cohabiter, c’est un travail à long terme.\"]]],[10,2],[1,\"blockquote\",[[0,[1,0],2,\"« C’est sûr qu’on a mis le basket féminin à un haut niveau avec notre médaille aux Jeux Olympiques, qui était une première pour la fédé. Ce sera difficile de faire mieux dans le sens où les Américaines sont là depuis des siècles. Mais il y aura d’autres finales »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Les deux équipes de France accusent les départs de deux leaders qui ont marqué leur génération, Céline Dumerc et Tony Parker. Comment vont-elles s’en relever ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y aura une nouvelle génération. On nous la fait tout le temps, à chaque décennie. « Comment on va faire pour remplacer une Yannick Souvré ? Une Audrey Sauret ? » Et bah, on ne va pas les remplacer, c’est une nouvelle génération qui va arriver. De nouveaux joueurs avec un autre talent, une autre personnalité, de l’innovation aussi, de l’évolution… Il n’y a pas de comparaisons. On peut essayer de comparer parce que ça fait parler, et c’est toujours bien. Mais chaque joueuse est unique. Quand on prend une Marine Johannes, elle ne ressemble à personne ! A personne !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"C’est elle qui est pressentie pour reprendre le flambeau. Sensiblement dans un autre style que Céline Dumerc…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Complètement, c’est quelqu’un de super timide. Mais c’est celle qu’on voit le plus sur le terrain. Il ne faut surtout pas la changer ! Qu’elle garde sa nature, c’est ce qui fait sa force. On ne pourra pas la mettre leader vocal, surtout pas. Elle risque de perdre son instinct. Il faut la laisser avec son insolence. Elle a une insolence de jeu qui est juste extraordinaire, que les Américains adorent. Il faut cultiver ça, et ne pas braquer les gens. Quand on recrute un talent, souvent ce que les coachs ou les clubs font, c’est qu’ils veulent modifier le joueur alors qu’il a été bon dans son club précédent coaché d’une certaine manière. Et souvent, on ne comprend pas pourquoi il est nul ensuite. Il perd juste de sa valeur initiale. Pour en revernir à l’équipe de France, il y a aura peut-être une phase d’adaptation qui prendra un certain temps, que l’équipe se forme etc etc. Mais il y a des talents qui sont très prometteurs. On verra ce qu’ils feront. C’est sûr qu’on a mis le basket féminin à un haut niveau avec notre médaille aux Jeux Olympiques, qui était une première pour la fédé. Ce sera difficile de faire mieux dans le sens où les Américaines sont là depuis des siècles. Mais il y aura d’autres finales.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’exemple qui illustre peut-être le mieux le leadership de Céline Dumerc chez les Bleues, c’est peut-être ce France-Suède en quarts de finale de l’Euro 2013 ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ça me rappelle une chose, je ne sais plus qui disait ça… Mais en gros, si tu ne prends pas de risque… Tu as perdu ! Tu as déjà perdu en fait. Le risque, c’est de gagner. Normalement on dit qu’on apprend de ses erreurs. Mais là on avait pas d’autre issue. Si on avait perdu là, ça aurait été un terrible échec pour nous. On sort des Jeux, on est en France, chez nous, à Orchies, le match est très compliqué, Céline a des problèmes de fautes… Soit on tente, soit on rentre chez nous. Et puis c’est une confiance qui se met en place ensuite, un mécanisme. Comme quand tu es en danger, et tu n’as qu’une seule issue, tu n’as pas le choix, pas le temps de réfléchir. C’est de l’instinct de survie. On est au money-time, tu n’as pas le temps de poser le truc, c’est ce qui vient à l’instant T. C’est une confiance que tu as développée à l’entraînement, que tu avais déjà reproduit à certains matchs et c’est ce qu’elle avait fait. Elle s’est remémorée tout ça, et c’est revenu tout d’un coup. Il a suffi d’un panier de marqué, et là, c’était fini. Tu as une confiance qui t’anime, et plus personne ne peut t’arrêter, tu deviens presque invincible. Et derrière, tu as la vague de l’équipe qui reprend confiance, du coach, tu public… Céline expliquait aussi comment elle se mettait dans ce mécanisme là. C’est propre à la joueuse, on ne pourrait pas demander la même chose à une autre. Elle a juste reproduit ce qu’elle avait déjà réussi, mais à une plus grande échelle. C’est du vécu aussi, de l’expérience. Elle n’aurait jamais pu faire ça cinq ans plus tôt, impossible. Céline a la tête sur les épaules et elle a assumé la défaite contre l’Espagne en finale derrière (69-70). Ça n’a pas marché à ce moment là. Comme quoi ça peut marcher des fois et d’autres non.\"]]],[10,3],[10,4],[1,\"blockquote\",[[0,[1,0],2,\"« Il faut avoir un égo surdimensionné pour être un athlète de haut niveau. Bien placé, mais il faut croire en soi, son talent, de ce qu’on est capable de donner et au fond de soi, se dire qu’on est la meilleure »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"De même chez les garçons, pensez-vous que c’est une erreur d’avoir voulu faire de Nando De Colo attitré le successeur de Tony Parker ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce sont des choix de coach. On n’est pas à l’intérieur du groupe pour décider pourquoi lui et pas un autre. Nando aurait pu être un leader, ou un co-leader je ne sais pas trop comment le définir, bien avant. Il n’a pas eu besoin de ça pour être élu deux fois meilleur joueur européen… Je veux dire, il est assis quoi. C’est juste qu’à chaque génération, il faut quelqu’un. Le sport de haut-niveau maintenant c’est ça. Il y a une tête d’affiche et on mise dessus. Ça n’enlève rien au talent des autres. Ce sont juste des choix de coachs, ou de fédés pour véhiculer une image. Tony a été le joueur autour duquel il fallait fédérer et Nando a pris les rênes ensuite, tardivement. C’est comme si Céline Dumerc était tombée dans la même génération que Yannick Souvré. Elle n’aurait peut-être pas eu la même carrière, il y aurait eu des choix stratégiques à faire. Je ne peux l’expliquer que comme ça. Et pourquoi lui et pas un autre pour prendre les rênes derrière, parce que je pense qu’au niveau de la hiérarchie et de la vie du groupe, c’était le meilleur choix. Mais il faut vivre avec le groupe pour comprendre ce choix. Peut-être qu’il est prêt, tout simplement. Et puis il nous l’a démontré. Il ferme des bouches à tout le monde, et en silence. C’est le tueur silencieux !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quelle est la part de mental dans la réussite d’un sportif pro ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est le plus important. Il faut un mental. Quand tu veux atteindre le plus haut-niveau et faire partie d’une élite, c’est parce que tu es déjà mentalement programmée pour ne pas douter de toi. Les sportifs, je ne dis pas qu’ils ne doutent pas, on a tous une part de doute. Mais c’est parce que tu as une grosse confiance en toi et un gros mental qui fait que personne ne peut te déstabiliser. Même les réflexions des coachs, les remises en question des coéquipières ou des faits de jeu sont en fait là pour t’apprendre. Ça ne fait que te nourrir. A la différence de certaines personnes qui n’arrivent pas à évoluer après un échec, nous on est toujours dans l’apprentissage et la prise de risque fait partie de notre évolution, notre carrière. On recherche ça, c’est ce qui nous fait vivre. Moi je sais que de jouer des matchs faciles, sincèrement, c’est ce qui m’emmerdait le plus. Et de gagner en plus. Tu n’as même pas de fierté après le match ! Mais de jouer les Américaines, c’est l’objectif. Parce que c’est les meilleures. On veut se confronter aux meilleures, aller au plus haut, connaître nos limites. Et on n’a pas de limites en fait, les athlètes, on est capable de faire des concessions folles. Je suis partie avec une blessure aux Jeux Olympiques… Personne ne le savait, je l’ai cachée, et ça ne s’est pas vu parce que c’est le mental qui a pris le dessus. Mais à la fin des jeux, mon corps a lâché prise, parce que je n’avais plus d’objectifs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Il faut savoir développer cette exigence ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il faut avoir un égo surdimensionné pour être un athlète de haut niveau. Bien placé, mais il faut croire en soi, son talent, de ce qu’on est capable de donner et au fond de soi, se dire qu’on est la meilleure. Je n’ai pas honte de le dire oui, sur mon poste de jeu, j’ai été la meilleure de ma génération. Mais on est obligé de se tenir ce discours, parce que c’est ce que les gens recherchent indirectement, et c’est pour ça que le coach te sélectionne. Quand il te prend, c’est parce que tu es la meilleure à ce moment là à ton poste. Demain tu peux ne plus l’être, donc il faut se battre pour garder ce statut là. C’est tout. C’est comme dans la vie active. Et demain tu peux ne pas être le meilleur, et il faut que tu l’acceptes. Mais tu sais aussi pourquoi. C’est ça qui est bien dans le sport, en général, tu sais vite pourquoi ! Le terrain parle de lui même. C’est lui qui met tout le monde d’accord.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Emilie Gomis, quelle serait votre définition d’un leader ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour moi, c’est quelqu’un qui sait fédérer un groupe, qui montre l’exemple qui ose prendre des risques… Quelqu’un qui n’a pas peur de l’échec tout simplement. Si je devais le résumer en un seul mot, je dirais quelqu’un qui inspire aussi. Pour moi c’est ça être un leader, donner envie aux autres d’aller plus loin, d’oser.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous avez expliqué aux Rencontres du Leadership avoir appris à devenir leader en étant plus jeune. Vous rappelez-vous de ce moment ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est venu assez rapidement, lorsque j’ai commencé le basket à l’âge de 8 ans. Déjà, j’ai commencé avec les garçons. J’avais ce goût du challenge, l’envie de me surpasser face à des garçons, à des « tu n’y arriveras pas » ou à la difficulté. C’est toujours quelque chose qui m’anime énormément et que je recherchais presque, peut-être pour savoir jusqu’où je pouvais aller. C’est quelque chose qui me motivait énormément et dans lequel je me sentais à l’aise. Et c’est comme ça que je suis arrivée à monter crescendo et à jouer en professionnel. Je ne savais pas si je pouvais être une joueuse professionnelle, même si je savais que la compétition m’intéressait et m’animait. Il fallait quand même s’habituer à la ligue et à tout ce que ça engendre. Mais j’ai su que j’étais une leader dans l’engagement, dans l’action, dans la façon de jouer.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Une leader technique ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui, je ne suis pas quelqu’un qui parle énormément sur le terrain.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"De l’extérieur, c’est plus ce qui ressort…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/dsc_0417-e1521654196238.jpg\")
Alors qu’elle suit une formation de métier de dirigeants à la Toulouse Business School, Emilie Gomis a été l’une des invitées de prestige de la deuxième édition des Rencontres du Leadership, mardi dernier à Bourg-en-Bresse pour partager son expérience sur le thème suivant : leadership et culture du risque. Aux côtés de deux autres anciens sportifs professionnels, le nageur champion olympique Alain Bernard et « le roi », Antoine Rigaudeau, l’ex internationale française (194 sélections), qui joue toujours en N2, au Stade Français, a livré de nombreuses anecdotes sur le sujet.
A l’issue des trois tables rondes qui ont réunis des intervenants de tout bord, BasketEurope a souhaité prolonger le plaisir le temps d’un entretien particulier dans lequel « MissGo » aborde notamment les questions de l’aspect mental dans la réussite d’un sportif de haut-niveeau et de la succession de Céline Dumerc et Tony Parker, leaders de leur génération, en équipe de France.
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Emilie Gomis, quelle serait votre définition d’un leader ?
Pour moi, c’est quelqu’un qui sait fédérer un groupe, qui montre l’exemple qui ose prendre des risques… Quelqu’un qui n’a pas peur de l’échec tout simplement. Si je devais le résumer en un seul mot, je dirais quelqu’un qui inspire aussi. Pour moi c’est ça être un leader, donner envie aux autres d’aller plus loin, d’oser.
Vous avez expliqué aux Rencontres du Leadership avoir appris à devenir leader en étant plus jeune. Vous rappelez-vous de ce moment ?
C’est venu assez rapidement, lorsque j’ai commencé le basket à l’âge de 8 ans. Déjà, j’ai commencé avec les garçons. J’avais ce goût du challenge, l’envie de me surpasser face à des garçons, à des « tu n’y arriveras pas » ou à la difficulté. C’est toujours quelque chose qui m’anime énormément et que je recherchais presque, peut-être pour savoir jusqu’où je pouvais aller. C’est quelque chose qui me motivait énormément et dans lequel je me sentais à l’aise. Et c’est comme ça que je suis arrivée à monter crescendo et à jouer en professionnel. Je ne savais pas si je pouvais être une joueuse professionnelle, même si je savais que la compétition m’intéressait et m’animait. Il fallait quand même s’habituer à la ligue et à tout ce que ça engendre. Mais j’ai su que j’étais une leader dans l’engagement, dans l’action, dans la façon de jouer.
Une leader technique ?
Oui, je ne suis pas quelqu’un qui parle énormément sur le terrain.
De l’extérieur, c’est plus ce qui ressort…
C’est vrai, je ne parle pas sur le terrain, mais je parle en dehors. Je ne suis pas quelqu’un qui va s’exprimer devant tout le monde comme une Céline Dumerc peut le faire, aussi parce qu’elle joue au poste de meneur. Moi, je suis plus quelqu’un qui va prendre une joueuse à part, parler à une coéquipière discrètement. Je ne suis pas dans la démonstration orale, mais je suis dans l’action et l’engagement. C’est comme ça que les filles me connaissent. On peut me trouver parfois introvertie dans l’attitude, mais je sais que je fais l’unanimité dans l’action et on sait qu’on peut compter sur moi dans les moments difficiles. Que ce soit en défense ou autre. C’est comme ça aussi que le coach (Pierre Vincent) a perçu ma façon d’être. Il savait qu’il ne pouvait pas me « capter » au niveau de la tchatche, mais il s’est dit : « Emilie, je sais comment elle peut s’imposer et s’affirmer » . Et chacune, on a notre manière d’être leader. Il n’y a pas qu’une seule façon d’être leader.
C’est la personnalité qui fait le leader ?
Quand je prends notre 5 majeur aux Jeux Olympiques de Londres, on est cinq profils complètement différents. Il y a Céline Dumerc, la meneuse, qui fait le relais entre le coach et le terrain, qui annonce les systèmes. Ce n’est pas qu’elle gueule plus que les autres, c’est le poste qui veut ça, c’est le chef d’orchestre de l’équipe. Après, il y avait une Edwige Lawson-Wade qui était moins communicante, mais elle en imposait par son style de jeu, à l’Américaine, une fille très marrante… Elle te donne envie de te surpasser. Il y a une Sandrine Gruda, qui est plus fermée mais qui est tellement dure envers elle-même. On sait qu’elle ne se laissera rien passer. Et Isabelle Yacoubou, un gros nounours qui a toujours le smile, apporte sa bonne humeur dans un groupe au quotidien et qui dégomme tout sur son passage. On a chacune notre façon de s’exprimer, et c’est ce qui a fait notre force, parce que si on avait toutes la même façon de communiquer, personne n’aurait pu parler. S’il y avait eu cinq communicantes, je ne vous raconte pas le bordel dans les vestiaires ! C’est en fonction de notre personnalité, on ne peut pas s’inventer. J’ai gardé ma vraie nature, qui était de jouer à l’instinct. On a su me rendre leader à ma manière, et je pense qu’on a su voir aussi que j’aimais prendre des risques, des responsabilités et que je les assumais derrière. Ce n’est pas juste prendre des risques, et se cacher. C’est assumer de les avoir pris, les accepter et faire mieux la prochaine fois.
Quels sont les différents types de leadership ?
C’est assez différent en fonction des nations. Les Américaines vont être très arrogantes, les plus expressives. On peut leur donner tous les termes du monde, mais ce sont des égo surdimensionnés, elles sont programmées pour ça. J’ai eu la chance de jouer à New York et la mentalité, l’approche n’est pas du tout la même au niveau du leadership. Ils te disent « tu es numéro 1 », et ils veulent que tu aies cet égo là et que veuilles être numéro 1. En France, on ne te dira jamais ça. On va plutôt te calmer, te dire : « On veut que tu sois numéro 1 mais calme toi, ne prends pas la grosse tête. » L’approche n’est pas du tout la même. En Russie, les joueuses sont froides et tout ce que vous voulez, mais c’est une nation qui bosse durement. Les coaches, les systèmes font qu’elles sont aussi programmées pour être les meilleures. Les Espagnoles, on l’a vu dans nos nombreuses confrontations, c’est beaucoup de freestyle, ça joue beaucoup, ça parle beaucoup. C’est une nation qui est très expressive, pas du tout comme nous qui sommes assez modérées. C’est comme ça qu’on voit la France, on est un peu snob.
Comme le disait Antoine Rigaudeau, il y a aussi une part d’inné, de naturel ?
Ça part de l’humain, de la personnalité qu’on a et ça on ne le changera pas. Il y a notre instinct, notre talent, qui n’est pas naturel pour tout le monde il y a beaucoup de travail derrière, mais tout part de notre personnalité. On essaie de la travailler pour répondre aux exigences du haut-niveau. Parce que c’est le mental, la psychologie que tu as, qui fait qu’on arrive à te placer dans un groupe pour que tu fédères les autres et que tu arrives à être meilleur. C’est ce qu’il y a de plus difficile pour un coach. Parce qu’avoir les meilleurs joueurs, c’est bien mais ça ne suffit pas. Regarde le PSG, ils ont les meilleurs joueurs. Mais le Real Madrid, pourquoi ils sont meilleurs ? Le talent est là au PSG, mais il n’y a pas cette cohésion, ces leaders qui arrivent à être meilleurs ensemble et à tirer le reste de l’équipe vers le haut. C’est ce qui prend le plus de temps dans un groupe. Et nous, on est arrivé au summum aux Jeux en fait. Ça faisait déjà 10 ans qu’on était ensemble, qu’on galérait avec le même groupe, même s’il y a eu quelques petits changements. Mais pour en arriver là, à placer des égos et à les faire cohabiter, c’est un travail à long terme.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/gomis-rigauok.jpg\")
« C’est sûr qu’on a mis le basket féminin à un haut niveau avec notre médaille aux Jeux Olympiques, qui était une première pour la fédé. Ce sera difficile de faire mieux dans le sens où les Américaines sont là depuis des siècles. Mais il y aura d’autres finales »
Les deux équipes de France accusent les départs de deux leaders qui ont marqué leur génération, Céline Dumerc et Tony Parker. Comment vont-elles s’en relever ?
Il y aura une nouvelle génération. On nous la fait tout le temps, à chaque décennie. « Comment on va faire pour remplacer une Yannick Souvré ? Une Audrey Sauret ? » Et bah, on ne va pas les remplacer, c’est une nouvelle génération qui va arriver. De nouveaux joueurs avec un autre talent, une autre personnalité, de l’innovation aussi, de l’évolution… Il n’y a pas de comparaisons. On peut essayer de comparer parce que ça fait parler, et c’est toujours bien. Mais chaque joueuse est unique. Quand on prend une Marine Johannes, elle ne ressemble à personne ! A personne !
C’est elle qui est pressentie pour reprendre le flambeau. Sensiblement dans un autre style que Céline Dumerc…
Complètement, c’est quelqu’un de super timide. Mais c’est celle qu’on voit le plus sur le terrain. Il ne faut surtout pas la changer ! Qu’elle garde sa nature, c’est ce qui fait sa force. On ne pourra pas la mettre leader vocal, surtout pas. Elle risque de perdre son instinct. Il faut la laisser avec son insolence. Elle a une insolence de jeu qui est juste extraordinaire, que les Américains adorent. Il faut cultiver ça, et ne pas braquer les gens. Quand on recrute un talent, souvent ce que les coachs ou les clubs font, c’est qu’ils veulent modifier le joueur alors qu’il a été bon dans son club précédent coaché d’une certaine manière. Et souvent, on ne comprend pas pourquoi il est nul ensuite. Il perd juste de sa valeur initiale. Pour en revernir à l’équipe de France, il y a aura peut-être une phase d’adaptation qui prendra un certain temps, que l’équipe se forme etc etc. Mais il y a des talents qui sont très prometteurs. On verra ce qu’ils feront. C’est sûr qu’on a mis le basket féminin à un haut niveau avec notre médaille aux Jeux Olympiques, qui était une première pour la fédé. Ce sera difficile de faire mieux dans le sens où les Américaines sont là depuis des siècles. Mais il y aura d’autres finales.
L’exemple qui illustre peut-être le mieux le leadership de Céline Dumerc chez les Bleues, c’est peut-être ce France-Suède en quarts de finale de l’Euro 2013 ?
Ça me rappelle une chose, je ne sais plus qui disait ça… Mais en gros, si tu ne prends pas de risque… Tu as perdu ! Tu as déjà perdu en fait. Le risque, c’est de gagner. Normalement on dit qu’on apprend de ses erreurs. Mais là on avait pas d’autre issue. Si on avait perdu là, ça aurait été un terrible échec pour nous. On sort des Jeux, on est en France, chez nous, à Orchies, le match est très compliqué, Céline a des problèmes de fautes… Soit on tente, soit on rentre chez nous. Et puis c’est une confiance qui se met en place ensuite, un mécanisme. Comme quand tu es en danger, et tu n’as qu’une seule issue, tu n’as pas le choix, pas le temps de réfléchir. C’est de l’instinct de survie. On est au money-time, tu n’as pas le temps de poser le truc, c’est ce qui vient à l’instant T. C’est une confiance que tu as développée à l’entraînement, que tu avais déjà reproduit à certains matchs et c’est ce qu’elle avait fait. Elle s’est remémorée tout ça, et c’est revenu tout d’un coup. Il a suffi d’un panier de marqué, et là, c’était fini. Tu as une confiance qui t’anime, et plus personne ne peut t’arrêter, tu deviens presque invincible. Et derrière, tu as la vague de l’équipe qui reprend confiance, du coach, tu public… Céline expliquait aussi comment elle se mettait dans ce mécanisme là. C’est propre à la joueuse, on ne pourrait pas demander la même chose à une autre. Elle a juste reproduit ce qu’elle avait déjà réussi, mais à une plus grande échelle. C’est du vécu aussi, de l’expérience. Elle n’aurait jamais pu faire ça cinq ans plus tôt, impossible. Céline a la tête sur les épaules et elle a assumé la défaite contre l’Espagne en finale derrière (69-70). Ça n’a pas marché à ce moment là. Comme quoi ça peut marcher des fois et d’autres non.
France-Suède : le leadership, by Céline Dumerc
« Il faut avoir un égo surdimensionné pour être un athlète de haut niveau. Bien placé, mais il faut croire en soi, son talent, de ce qu’on est capable de donner et au fond de soi, se dire qu’on est la meilleure »
De même chez les garçons, pensez-vous que c’est une erreur d’avoir voulu faire de Nando De Colo attitré le successeur de Tony Parker ?
Ce sont des choix de coach. On n’est pas à l’intérieur du groupe pour décider pourquoi lui et pas un autre. Nando aurait pu être un leader, ou un co-leader je ne sais pas trop comment le définir, bien avant. Il n’a pas eu besoin de ça pour être élu deux fois meilleur joueur européen… Je veux dire, il est assis quoi. C’est juste qu’à chaque génération, il faut quelqu’un. Le sport de haut-niveau maintenant c’est ça. Il y a une tête d’affiche et on mise dessus. Ça n’enlève rien au talent des autres. Ce sont juste des choix de coachs, ou de fédés pour véhiculer une image. Tony a été le joueur autour duquel il fallait fédérer et Nando a pris les rênes ensuite, tardivement. C’est comme si Céline Dumerc était tombée dans la même génération que Yannick Souvré. Elle n’aurait peut-être pas eu la même carrière, il y aurait eu des choix stratégiques à faire. Je ne peux l’expliquer que comme ça. Et pourquoi lui et pas un autre pour prendre les rênes derrière, parce que je pense qu’au niveau de la hiérarchie et de la vie du groupe, c’était le meilleur choix. Mais il faut vivre avec le groupe pour comprendre ce choix. Peut-être qu’il est prêt, tout simplement. Et puis il nous l’a démontré. Il ferme des bouches à tout le monde, et en silence. C’est le tueur silencieux !
Quelle est la part de mental dans la réussite d’un sportif pro ?
C’est le plus important. Il faut un mental. Quand tu veux atteindre le plus haut-niveau et faire partie d’une élite, c’est parce que tu es déjà mentalement programmée pour ne pas douter de toi. Les sportifs, je ne dis pas qu’ils ne doutent pas, on a tous une part de doute. Mais c’est parce que tu as une grosse confiance en toi et un gros mental qui fait que personne ne peut te déstabiliser. Même les réflexions des coachs, les remises en question des coéquipières ou des faits de jeu sont en fait là pour t’apprendre. Ça ne fait que te nourrir. A la différence de certaines personnes qui n’arrivent pas à évoluer après un échec, nous on est toujours dans l’apprentissage et la prise de risque fait partie de notre évolution, notre carrière. On recherche ça, c’est ce qui nous fait vivre. Moi je sais que de jouer des matchs faciles, sincèrement, c’est ce qui m’emmerdait le plus. Et de gagner en plus. Tu n’as même pas de fierté après le match ! Mais de jouer les Américaines, c’est l’objectif. Parce que c’est les meilleures. On veut se confronter aux meilleures, aller au plus haut, connaître nos limites. Et on n’a pas de limites en fait, les athlètes, on est capable de faire des concessions folles. Je suis partie avec une blessure aux Jeux Olympiques… Personne ne le savait, je l’ai cachée, et ça ne s’est pas vu parce que c’est le mental qui a pris le dessus. Mais à la fin des jeux, mon corps a lâché prise, parce que je n’avais plus d’objectifs.
Il faut savoir développer cette exigence ?
Il faut avoir un égo surdimensionné pour être un athlète de haut niveau. Bien placé, mais il faut croire en soi, son talent, de ce qu’on est capable de donner et au fond de soi, se dire qu’on est la meilleure. Je n’ai pas honte de le dire oui, sur mon poste de jeu, j’ai été la meilleure de ma génération. Mais on est obligé de se tenir ce discours, parce que c’est ce que les gens recherchent indirectement, et c’est pour ça que le coach te sélectionne. Quand il te prend, c’est parce que tu es la meilleure à ce moment là à ton poste. Demain tu peux ne plus l’être, donc il faut se battre pour garder ce statut là. C’est tout. C’est comme dans la vie active. Et demain tu peux ne pas être le meilleur, et il faut que tu l’acceptes. Mais tu sais aussi pourquoi. C’est ça qui est bien dans le sport, en général, tu sais vite pourquoi ! Le terrain parle de lui même. C’est lui qui met tout le monde d’accord.
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Emilie Gomis, quelle serait votre définition d’un leader ?
Pour moi, c’est quelqu’un qui sait fédérer un groupe, qui montre l’exemple qui ose prendre des risques… Quelqu’un qui n’a pas peur de l’échec tout simplement. Si je devais le résumer en un seul mot, je dirais quelqu’un qui inspire aussi. Pour moi c’est ça être un leader, donner envie aux autres d’aller plus loin, d’oser.
Vous avez expliqué aux Rencontres du Leadership avoir appris à devenir leader en étant plus jeune. Vous rappelez-vous de ce moment ?
C’est venu assez rapidement, lorsque j’ai commencé le basket à l’âge de 8 ans. Déjà, j’ai commencé avec les garçons. J’avais ce goût du challenge, l’envie de me surpasser face à des garçons, à des « tu n’y arriveras pas » ou à la difficulté. C’est toujours quelque chose qui m’anime énormément et que je recherchais presque, peut-être pour savoir jusqu’où je pouvais aller. C’est quelque chose qui me motivait énormément et dans lequel je me sentais à l’aise. Et c’est comme ça que je suis arrivée à monter crescendo et à jouer en professionnel. Je ne savais pas si je pouvais être une joueuse professionnelle, même si je savais que la compétition m’intéressait et m’animait. Il fallait quand même s’habituer à la ligue et à tout ce que ça engendre. Mais j’ai su que j’étais une leader dans l’engagement, dans l’action, dans la façon de jouer.
Une leader technique ?
Oui, je ne suis pas quelqu’un qui parle énormément sur le terrain.
De l’extérieur, c’est plus ce qui ressort…
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", "comment_id":"424263", "plaintext":"Alors qu’elle suit une formation de métier de dirigeants à la Toulouse Business School, Emilie Gomis a été l’une des invitées de prestige de la deuxième édition des Rencontres du Leadership, mardi dernier à Bourg-en-Bresse pour partager son expérience sur le thème suivant : leadership et culture du risque. Aux côtés de deux autres anciens sportifs professionnels, le nageur champion olympique Alain Bernard et « le roi », Antoine Rigaudeau, l’ex internationale française (194 sélections), qui joue toujours en N2, au Stade Français, a livré de nombreuses anecdotes sur le sujet.\n\nA l’issue des trois tables rondes qui ont réunis des intervenants de tout bord, BasketEurope a souhaité prolonger le plaisir le temps d’un entretien particulier dans lequel « MissGo » aborde notamment les questions de l’aspect mental dans la réussite d’un sportif de haut-niveeau et de la succession de Céline Dumerc et Tony Parker, leaders de leur génération, en équipe de France.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nEmilie Gomis, quelle serait votre définition d’un leader ?\n\nPour moi, c’est quelqu’un qui sait fédérer un groupe, qui montre l’exemple qui ose prendre des risques… Quelqu’un qui n’a pas peur de l’échec tout simplement. 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Il fallait quand même s’habituer à la ligue et à tout ce que ça engendre. Mais j’ai su que j’étais une leader dans l’engagement, dans l’action, dans la façon de jouer.\n\nUne leader technique ?\n\nOui, je ne suis pas quelqu’un qui parle énormément sur le terrain.\n\nDe l’extérieur, c’est plus ce qui ressort…\n\nC’est vrai, je ne parle pas sur le terrain, mais je parle en dehors. Je ne suis pas quelqu’un qui va s’exprimer devant tout le monde comme une Céline Dumerc peut le faire, aussi parce qu’elle joue au poste de meneur. Moi, je suis plus quelqu’un qui va prendre une joueuse à part, parler à une coéquipière discrètement. Je ne suis pas dans la démonstration orale, mais je suis dans l’action et l’engagement. C’est comme ça que les filles me connaissent. On peut me trouver parfois introvertie dans l’attitude, mais je sais que je fais l’unanimité dans l’action et on sait qu’on peut compter sur moi dans les moments difficiles. Que ce soit en défense ou autre. C’est comme ça aussi que le coach (Pierre Vincent) a perçu ma façon d’être. Il savait qu’il ne pouvait pas me « capter » au niveau de la tchatche, mais il s’est dit : « Emilie, je sais comment elle peut s’imposer et s’affirmer » . Et chacune, on a notre manière d’être leader. Il n’y a pas qu’une seule façon d’être leader.\n\nC’est la personnalité qui fait le leader ?\n\nQuand je prends notre 5 majeur aux Jeux Olympiques de Londres, on est cinq profils complètement différents. Il y a Céline Dumerc, la meneuse, qui fait le relais entre le coach et le terrain, qui annonce les systèmes. Ce n’est pas qu’elle gueule plus que les autres, c’est le poste qui veut ça, c’est le chef d’orchestre de l’équipe. Après, il y avait une Edwige Lawson-Wade qui était moins communicante, mais elle en imposait par son style de jeu, à l’Américaine, une fille très marrante… Elle te donne envie de te surpasser. Il y a une Sandrine Gruda, qui est plus fermée mais qui est tellement dure envers elle-même. On sait qu’elle ne se laissera rien passer. Et Isabelle Yacoubou, un gros nounours qui a toujours le smile, apporte sa bonne humeur dans un groupe au quotidien et qui dégomme tout sur son passage. On a chacune notre façon de s’exprimer, et c’est ce qui a fait notre force, parce que si on avait toutes la même façon de communiquer, personne n’aurait pu parler. S’il y avait eu cinq communicantes, je ne vous raconte pas le bordel dans les vestiaires ! C’est en fonction de notre personnalité, on ne peut pas s’inventer. J’ai gardé ma vraie nature, qui était de jouer à l’instinct. On a su me rendre leader à ma manière, et je pense qu’on a su voir aussi que j’aimais prendre des risques, des responsabilités et que je les assumais derrière. Ce n’est pas juste prendre des risques, et se cacher. C’est assumer de les avoir pris, les accepter et faire mieux la prochaine fois.\n\nLes meilleures actions de France-Russie, demi-finale des JO de Londres (15pts pour Emilie Gomis, deuxième meilleure scoreuse derrière Edwige Lawson-Wade, 18pts dont 4/4 à 3pts).\n\nQuels sont les différents types de leadership ?\n\nC’est assez différent en fonction des nations. Les Américaines vont être très arrogantes, les plus expressives. On peut leur donner tous les termes du monde, mais ce sont des égo surdimensionnés, elles sont programmées pour ça. J’ai eu la chance de jouer à New York et la mentalité, l’approche n’est pas du tout la même au niveau du leadership. Ils te disent « tu es numéro 1 », et ils veulent que tu aies cet égo là et que veuilles être numéro 1. En France, on ne te dira jamais ça. On va plutôt te calmer, te dire : « On veut que tu sois numéro 1 mais calme toi, ne prends pas la grosse tête. » L’approche n’est pas du tout la même. En Russie, les joueuses sont froides et tout ce que vous voulez, mais c’est une nation qui bosse durement. Les coaches, les systèmes font qu’elles sont aussi programmées pour être les meilleures. Les Espagnoles, on l’a vu dans nos nombreuses confrontations, c’est beaucoup de freestyle, ça joue beaucoup, ça parle beaucoup. C’est une nation qui est très expressive, pas du tout comme nous qui sommes assez modérées. C’est comme ça qu’on voit la France, on est un peu snob.\n\nComme le disait Antoine Rigaudeau, il y a aussi une part d’inné, de naturel ?\n\nÇa part de l’humain, de la personnalité qu’on a et ça on ne le changera pas. Il y a notre instinct, notre talent, qui n’est pas naturel pour tout le monde il y a beaucoup de travail derrière, mais tout part de notre personnalité. On essaie de la travailler pour répondre aux exigences du haut-niveau. Parce que c’est le mental, la psychologie que tu as, qui fait qu’on arrive à te placer dans un groupe pour que tu fédères les autres et que tu arrives à être meilleur. C’est ce qu’il y a de plus difficile pour un coach. Parce qu’avoir les meilleurs joueurs, c’est bien mais ça ne suffit pas. Regarde le PSG, ils ont les meilleurs joueurs. Mais le Real Madrid, pourquoi ils sont meilleurs ? Le talent est là au PSG, mais il n’y a pas cette cohésion, ces leaders qui arrivent à être meilleurs ensemble et à tirer le reste de l’équipe vers le haut. C’est ce qui prend le plus de temps dans un groupe. Et nous, on est arrivé au summum aux Jeux en fait. Ça faisait déjà 10 ans qu’on était ensemble, qu’on galérait avec le même groupe, même s’il y a eu quelques petits changements. Mais pour en arriver là, à placer des égos et à les faire cohabiter, c’est un travail à long terme.\n\n« C’est sûr qu’on a mis le basket féminin à un haut niveau avec notre médaille aux Jeux Olympiques, qui était une première pour la fédé. Ce sera difficile de faire mieux dans le sens où les Américaines sont là depuis des siècles. Mais il y aura d’autres finales »\n\nLes deux équipes de France accusent les départs de deux leaders qui ont marqué leur génération, Céline Dumerc et Tony Parker. Comment vont-elles s’en relever ?\n\nIl y aura une nouvelle génération. On nous la fait tout le temps, à chaque décennie. « Comment on va faire pour remplacer une Yannick Souvré ? Une Audrey Sauret ? » Et bah, on ne va pas les remplacer, c’est une nouvelle génération qui va arriver. De nouveaux joueurs avec un autre talent, une autre personnalité, de l’innovation aussi, de l’évolution… Il n’y a pas de comparaisons. On peut essayer de comparer parce que ça fait parler, et c’est toujours bien. Mais chaque joueuse est unique. Quand on prend une Marine Johannes, elle ne ressemble à personne ! A personne !\n\nC’est elle qui est pressentie pour reprendre le flambeau. Sensiblement dans un autre style que Céline Dumerc…\n\nComplètement, c’est quelqu’un de super timide. Mais c’est celle qu’on voit le plus sur le terrain. Il ne faut surtout pas la changer ! Qu’elle garde sa nature, c’est ce qui fait sa force. On ne pourra pas la mettre leader vocal, surtout pas. Elle risque de perdre son instinct. Il faut la laisser avec son insolence. Elle a une insolence de jeu qui est juste extraordinaire, que les Américains adorent. Il faut cultiver ça, et ne pas braquer les gens. Quand on recrute un talent, souvent ce que les coachs ou les clubs font, c’est qu’ils veulent modifier le joueur alors qu’il a été bon dans son club précédent coaché d’une certaine manière. Et souvent, on ne comprend pas pourquoi il est nul ensuite. Il perd juste de sa valeur initiale. Pour en revernir à l’équipe de France, il y a aura peut-être une phase d’adaptation qui prendra un certain temps, que l’équipe se forme etc etc. Mais il y a des talents qui sont très prometteurs. On verra ce qu’ils feront. C’est sûr qu’on a mis le basket féminin à un haut niveau avec notre médaille aux Jeux Olympiques, qui était une première pour la fédé. Ce sera difficile de faire mieux dans le sens où les Américaines sont là depuis des siècles. Mais il y aura d’autres finales.\n\nL’exemple qui illustre peut-être le mieux le leadership de Céline Dumerc chez les Bleues, c’est peut-être ce France-Suède en quarts de finale de l’Euro 2013 ?\n\nÇa me rappelle une chose, je ne sais plus qui disait ça… Mais en gros, si tu ne prends pas de risque… Tu as perdu ! Tu as déjà perdu en fait. Le risque, c’est de gagner. Normalement on dit qu’on apprend de ses erreurs. Mais là on avait pas d’autre issue. Si on avait perdu là, ça aurait été un terrible échec pour nous. On sort des Jeux, on est en France, chez nous, à Orchies, le match est très compliqué, Céline a des problèmes de fautes… Soit on tente, soit on rentre chez nous. Et puis c’est une confiance qui se met en place ensuite, un mécanisme. Comme quand tu es en danger, et tu n’as qu’une seule issue, tu n’as pas le choix, pas le temps de réfléchir. C’est de l’instinct de survie. On est au money-time, tu n’as pas le temps de poser le truc, c’est ce qui vient à l’instant T. C’est une confiance que tu as développée à l’entraînement, que tu avais déjà reproduit à certains matchs et c’est ce qu’elle avait fait. Elle s’est remémorée tout ça, et c’est revenu tout d’un coup. Il a suffi d’un panier de marqué, et là, c’était fini. Tu as une confiance qui t’anime, et plus personne ne peut t’arrêter, tu deviens presque invincible. Et derrière, tu as la vague de l’équipe qui reprend confiance, du coach, tu public… Céline expliquait aussi comment elle se mettait dans ce mécanisme là. C’est propre à la joueuse, on ne pourrait pas demander la même chose à une autre. Elle a juste reproduit ce qu’elle avait déjà réussi, mais à une plus grande échelle. C’est du vécu aussi, de l’expérience. Elle n’aurait jamais pu faire ça cinq ans plus tôt, impossible. Céline a la tête sur les épaules et elle a assumé la défaite contre l’Espagne en finale derrière (69-70). Ça n’a pas marché à ce moment là. Comme quoi ça peut marcher des fois et d’autres non.\n\nFrance-Suède : le leadership, by Céline Dumerc\n\n« Il faut avoir un égo surdimensionné pour être un athlète de haut niveau. Bien placé, mais il faut croire en soi, son talent, de ce qu’on est capable de donner et au fond de soi, se dire qu’on est la meilleure »\n\nDe même chez les garçons, pensez-vous que c’est une erreur d’avoir voulu faire de Nando De Colo attitré le successeur de Tony Parker ?\n\nCe sont des choix de coach. On n’est pas à l’intérieur du groupe pour décider pourquoi lui et pas un autre. Nando aurait pu être un leader, ou un co-leader je ne sais pas trop comment le définir, bien avant. Il n’a pas eu besoin de ça pour être élu deux fois meilleur joueur européen… Je veux dire, il est assis quoi. C’est juste qu’à chaque génération, il faut quelqu’un. Le sport de haut-niveau maintenant c’est ça. Il y a une tête d’affiche et on mise dessus. Ça n’enlève rien au talent des autres. Ce sont juste des choix de coachs, ou de fédés pour véhiculer une image. Tony a été le joueur autour duquel il fallait fédérer et Nando a pris les rênes ensuite, tardivement. C’est comme si Céline Dumerc était tombée dans la même génération que Yannick Souvré. Elle n’aurait peut-être pas eu la même carrière, il y aurait eu des choix stratégiques à faire. Je ne peux l’expliquer que comme ça. Et pourquoi lui et pas un autre pour prendre les rênes derrière, parce que je pense qu’au niveau de la hiérarchie et de la vie du groupe, c’était le meilleur choix. Mais il faut vivre avec le groupe pour comprendre ce choix. Peut-être qu’il est prêt, tout simplement. Et puis il nous l’a démontré. Il ferme des bouches à tout le monde, et en silence. C’est le tueur silencieux !\n\nQuelle est la part de mental dans la réussite d’un sportif pro ?\n\nC’est le plus important. Il faut un mental. Quand tu veux atteindre le plus haut-niveau et faire partie d’une élite, c’est parce que tu es déjà mentalement programmée pour ne pas douter de toi. Les sportifs, je ne dis pas qu’ils ne doutent pas, on a tous une part de doute. Mais c’est parce que tu as une grosse confiance en toi et un gros mental qui fait que personne ne peut te déstabiliser. Même les réflexions des coachs, les remises en question des coéquipières ou des faits de jeu sont en fait là pour t’apprendre. Ça ne fait que te nourrir. A la différence de certaines personnes qui n’arrivent pas à évoluer après un échec, nous on est toujours dans l’apprentissage et la prise de risque fait partie de notre évolution, notre carrière. On recherche ça, c’est ce qui nous fait vivre. Moi je sais que de jouer des matchs faciles, sincèrement, c’est ce qui m’emmerdait le plus. Et de gagner en plus. Tu n’as même pas de fierté après le match ! Mais de jouer les Américaines, c’est l’objectif. Parce que c’est les meilleures. On veut se confronter aux meilleures, aller au plus haut, connaître nos limites. Et on n’a pas de limites en fait, les athlètes, on est capable de faire des concessions folles. Je suis partie avec une blessure aux Jeux Olympiques… Personne ne le savait, je l’ai cachée, et ça ne s’est pas vu parce que c’est le mental qui a pris le dessus. Mais à la fin des jeux, mon corps a lâché prise, parce que je n’avais plus d’objectifs.\n\nIl faut savoir développer cette exigence ?\n\nIl faut avoir un égo surdimensionné pour être un athlète de haut niveau. Bien placé, mais il faut croire en soi, son talent, de ce qu’on est capable de donner et au fond de soi, se dire qu’on est la meilleure. Je n’ai pas honte de le dire oui, sur mon poste de jeu, j’ai été la meilleure de ma génération. Mais on est obligé de se tenir ce discours, parce que c’est ce que les gens recherchent indirectement, et c’est pour ça que le coach te sélectionne. Quand il te prend, c’est parce que tu es la meilleure à ce moment là à ton poste. Demain tu peux ne plus l’être, donc il faut se battre pour garder ce statut là. C’est tout. C’est comme dans la vie active. Et demain tu peux ne pas être le meilleur, et il faut que tu l’acceptes. Mais tu sais aussi pourquoi. C’est ça qui est bien dans le sport, en général, tu sais vite pourquoi ! 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L’EuroCup a publié le top 5 des meilleures actions des deux matchs aller des demi-finales opposant le Lokomotiv Kuban à Reggio Emilia et Darussafaka au Bayern Munich. Si les Russes n’ont fait qu’une bouchée des Italiens (82-65), l’autre rencontre a été le théâtre d’un retournement de situation complètement fou. Devant leur public, les joueurs d’Istanbul sont revenus d’un écart de 23 points pour s’imposer 76-74 au buzzer !
Auteur du panier de la gagne, l’ailier Stanton Kidd occupe logiquement la première place de ce top 5.
Rendez-vous demain soir pour les deux match retours (belles éventuelles mercredi prochain).
Photo EuroCup
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Les Roannais ont confirmé leur succès retentissant à Blois (61-76) par une performance d’exception contre Fos Provence Basket à la maison mardi soir en s’imposant de 35 points, 99-64. Les hommes de Laurent Pluvy se sont encore une fois appuyés sur la force de tout un collectif (10 joueurs à au moins 7 d’évaluation) pour signer une 6e victoire consécutive afin de maintenir la pression sur les deux co-leaders, Blois (19v-5d) vainqueur à Denain (61-70) et Orléans, battu à domicile par Nancy (91-94).
Les images de la démonstration roannaise
La Chorale ouvrira la 25e journée de Pro B avec la réception de Poitiers ce dimanche (17h)
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Déjà présent à la 4e place avec un dunk avec la faute sur un service d’Olivier Romain, l’intérieur de Chartres (N1) Will Felder a raflé la première place du top 10 CourtCuts de la semaine avec un poster dunk face à Souffelweyersheim. En plus de faire le spectacle, Will Felder a également réalisé un match plein avec 27 points, 10 rebonds et la victoire 101-85 face aux Alsaciens.
A noter également la présence de l’ancien choletais Luc-Arthur Vébobe (37 ans, 2,02m) à la 5e place. L’intérieur qui évolue désormais à Golfe-Juan (N3) s’est distingué avec dunk sur la défense de Sapela (entente Salon-Pélissanne-Lançon).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/dimitris-giannakopoulos.jpg\")
Plusieurs fois sanctionné par l’Euroleague et la ligue grecque, Dimitris Giannakopoulos s’attaque une nouvelle fois à l’instance européenne. Le sulfureux président et actionnaire majoritaire du Panathinaikos dénonce, à travers un courrier envoyé à de nombreux médias européens par voie postale dont BasketEurope (voir la traduction ci-dessous), un favoritisme de l’Euroleague en faveur de l’Olympiakos et de Fenerbahçe. Une démarche inédite dont nous souhaitons faire bénéficier nos abonnés.
[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
Chers journalistes de basketball,
Je vous contacte pour porter votre attention sur un problème important à propos de l’Euroleague. Je vous adresse cette lettre car c’est vous qui êtes en contact avec les joueurs et dirigeants, et qui transmettez des informations et des opinions aux fans de basketball à travers le monde. Notre amour pour ce sport est ce qui nous connecte tous.
Au cours des derniers mois, nous avons relevé une série d’évènements qui mettent en péril la valeur et l’attractivité de l’Euroleague, tant en terme de temps que d’argent.
Dans le DVD et le dossier ci-joints, vous trouverez tous les faits selon lesquels certaines équipes de la compétition, à savoir l’Olympiakos et Fenerbahçe, bénéficieraient d’un traitement préférentiel de la part des arbitres, entraînant un traitement inéquitable de tous les autres clubs de la compétition. Je vous demande de consacrer une heure à regarder le DVD et à tirer vos propres conclusions. À titre indicatif, vous noterez :
Cette crise est la plus grande que le basket ait jamais connue et la communauté sportive doit agir de manière cohérente et structurée afin de remplacer la transparence de la compétition. L’un des principaux piliers du succès du basketball est la couverture médiatique du jeu. En gardant cette situation en mode silencieux, le seul gagnant n’est pas le sport, mais certains lobbies financiers. S’il vous plaît, agissez de votre propre gré, mais souvenez-vous toujours que la publication de la vérité est l’âme de la justice.
Dimitris Giannakopoulos
Avec cette lettre, Dimitris Giannakopoulos nous a également envoyé un DVD de 38 minutes intitulé « Wrong decisions of the Euroleague’s referees 2017/2018 » (Les mauvaises décisions des arbitres en Euroleague 2017/2018) ainsi qu’un dossier de présentation de 50 pages dans lesquels il développe et explique chacune de ses accusations.
La première accusation du président du Panathinaikos concerne le calendrier, et plus précisément les semaines au cours desquelles deux journées d’Euroleague ont lieu. Pour illustrer ses propos, il prend en exemple les journées 3 et 4 de la saison actuelle – disputées les 25 et 27 octobre – et les retours de ces mêmes rencontres – joués les 17 et 19 janvier. Là où le PAO doit affronter le CSKA Moscou et Fenerbahçe – deux prétendants au titre en fin de saison -, Fenerbahçe est opposé à son voisin stambouliote Anadolu Efes, ce qui évite à Zeljko Obradovic et ses joueurs d’avoir à voyager.
Pour ce qui est de son voisin et rival athénien, Giannakopoulos se plaint qu’il ait pour adversaires le Maccabi Tel-Aviv et le Khimki Moscou, deux équipes de milieu de tableau largement à la portée des coéquipiers de Kim Tillie.
Lors de ces fameuses 3e et 4e journées, le Panathinaikos avait largement perdu à Moscou avant de s’imposer difficilement contre Fenerbahçe après que ces derniers l’aient emporté contre l’Anadolu Efes. L’Olympiakos avait lui remporté ses deux matchs.
Au retour, le Panathinaikos avait perdu ses deux matchs pendant que Fenerbahçe empochait deux succès. L’Olympiakos s’en sortait avec un bilan équilibré.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/slides-calendrier.jpg\")
Selon Dimitris Giannakopoulos, l’Olympiakos est favorisé par les arbitres d’Euroleague. Pour preuve, les locataires du Stade de la Paix et de l’Amitié, qui présentent la meilleure défense de la compétition avec 1 756 points encaissés (70 points par match), ils sont la 9e équipe à commettre le moins de fautes (504 coups de sifflets contre eux, 20 par match). A titre de comparaison, le Panathinaikos a commis 547 fautes (22 par match). Les arbitres seraient aussi plus cléments pour les Rouges et Blancs dans l’autre sens avec 535 fautes accordés à l’Olympiakos et 524 lancers-francs tentés, contre 506 fautes sifflées en faveur des Verts et 461 lancers-francs tentés.
Toujours dans cette même thématique, Dimitris Giannakopoulos incrimine l’arbitre slovène Sasa Pukl. Sur les 16 matchs d’Euroleague dirigés par le Slovène depuis 2012, le Panathinaikos n’en a gagnés que 3. A l’inverse, l’Olympiakos est sorti vainqueur 13 fois des 17 matchs que Pukl a dirigés. « Sasa Pukl vs Panathinaikos » titre-t-il sa démonstration !
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/slides-pukl-pao.jpg\")
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/slides-pukl-oaka.jpg\")
En plus de l’Olympiakos et de Fenerbahçe, Dimitris Giannakopoulos accuse aussi l’Euroleague d’avantager le Real Madrid en lui désignant des adversaires espagnols (Malaga, Baskonia et Valence) lors des semaines à deux matchs, limitant ainsi les déplacements des Merengues.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/slides-real.jpg\")
Dimitris Giannakopoulos conclue sa démonstration par des séquences bien précises. A-t-on affaire à du basketball ou à du MMA, se demande d’ailleurs le président du Pana à la vue d’une prise au cou d’un joueur de l’Olympiakos sur le meneur de Milan Jordan Theodore.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/slides-mma.jpg\")
Il revient ensuite sur une séquence de la 21e journée. Le Panathinaikos se déplace alors à Bamberg. Mené de deux points au début du quatrième quart-temps, le Pana est en possession de la balle. Dans la peinture, James Gist tente de prendre une position préférentielle sur un joueur pour que Nick Calathes puisse le servir dans les meilleures conditions. L’arbitre siffle alors une faute offensive du joueur du Pana. « Est-ce une faute offensive ? » se questionne alors Giannakopoulos, images à l’appui.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/slides-fauteoffensive.jpg\")
Enfin, Giannakopoulos revient sur certains contres dont ses joueurs furent victimes. Leur point commun : avoir été désignés « Block of the Night » par l’Euroleague. Pourtant, à en croire Giannakopoulos, il y avait bel et bien faute de Rodrigue Beaubois ou Jan Vesely.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/slides-blocks.jpg\")
La réponse de l’Euroleague face à ces accusations ne saurait se faire attendre, d’autant plus que Dimitris Giannakopoulos est dans le colimateur de l’instance européenne.
[armelse]
Plusieurs fois sanctionné par l’Euroleague et la ligue grecque, Dimitris Giannakopoulos s’attaque une nouvelle fois à l’instance européenne. Le sulfureux président et actionnaire majoritaire du Panathinaikos dénonce, à travers un courrier envoyé à de nombreux médias européens par voie postale (voir la traduction ci-dessous), un favoritisme de l’Euroleague en faveur de l’Olympiakos et de Fenerbahçe.
Chers journalistes de basketball,
Je vous contacte pour porter votre attention sur un problème important à propos de la compétition Euroleague. Je vous adresse cette lettre car c’est vous qui êtes en contact avec les joueurs et dirigeants, et qui transmettez des informations et des opinions aux fans de basketball à travers le monde. Notre amour pour ce sport est ce qui nous connecte tous.
Au cours des derniers mois, nous avons relevé une série d’évènements qui mettent en péril la valeur et l’attractivité de l’Euroleague, tant en terme de temps que d’argent.
Dans le DVD et le dossier ci-joints, vous trouverez tous les faits selon lesquels certaines équipes de la compétition, à savoir l’Olympiakos et Fenerbahçe, bénéficieraient d’un traitement préférentiel de la part des arbitres, entraînant un traitement inéquitable de tous les autres clubs de la compétition. Je vous demande de consacrer une heure à regarder le DVD et à tirer vos propres conclusions. À titre indicatif, vous noterez :
Cette crise est la plus grande que le basket ait jamais connue et la communauté sportive doit agir de manière cohérente et structurée afin de remplacer la transparence de la compétition. L’un des principaux piliers du succès du basketball est la couverture médiatique du jeu. En gardant cette situation en mode silencieux, le seul gagnant n’est pas le sport, mais certains lobbies financiers. S’il vous plaît, agissez de votre propre gré, mais souvenez-vous toujours que la publication de la vérité est l’âme de la justice.
Dimitris Giannakopoulos
Avec cette lettre, Dimitris Giannakopoulos nous a également envoyé un DVD de 38 minutes intitulé « Wrong decisions of the Euroleague’s referees 2017/2018 » (Les mauvaises décisions des arbitres en Euroleague 2017/2018) ainsi qu’on dossier de présentation de 50 pages dans lesquels il développe et explique chacune de ses accusations.
Un calendrier favorable à l’Olympiakos et Fenerbahçe ?
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Notre amour pour ce sport est ce qui nous connecte tous.\n\nAu cours des derniers mois, nous avons relevé une série d’évènements qui mettent en péril la valeur et l’attractivité de l’Euroleague, tant en terme de temps que d’argent.\n\nDans le DVD et le dossier ci-joints, vous trouverez tous les faits selon lesquels certaines équipes de la compétition, à savoir l’Olympiakos et Fenerbahçe, bénéficieraient d’un traitement préférentiel de la part des arbitres, entraînant un traitement inéquitable de tous les autres clubs de la compétition. Je vous demande de consacrer une heure à regarder le DVD et à tirer vos propres conclusions. À titre indicatif, vous noterez :\n\n * Une pléthore de fautes mal sifflées ;\n * Une conduite antisportive de la part des joueurs des équipes précitées qui reste impunie de la part des arbitres ;\n * Que l’Olympiakos se classe 16e attaque alors qu’elle est l’équipe qui obtient le plus de lancers-francs et est 2e au classement général ;\n * Que l’Olympiakos et Fenerbahçe sont, sans aucun doute, les deux meilleures équipes défensives de l’Euroleague. Cependant, ils jouent à la limite de ce qui est considéré comme une faute et ce qui n’est pas considéré comme une faute, avec l’aide des arbitres, et trouvent qu’ils reçoivent très peu de fautes dans la plupart des matchs ;\n * Que dans la plupart des matchs auxquels ils participent, il y a une grande différence entre les fautes commises et les fautes obtenues ;\n * Des décisions erronées, inexplicables et à répétition de la part des arbitres ;\n * Que des fautes ont été présentées comme « Block of the night » par la chaîne officielle de l’Euroleague.\n\nCette crise est la plus grande que le basket ait jamais connue et la communauté sportive doit agir de manière cohérente et structurée afin de remplacer la transparence de la compétition. L’un des principaux piliers du succès du basketball est la couverture médiatique du jeu. En gardant cette situation en mode silencieux, le seul gagnant n’est pas le sport, mais certains lobbies financiers. S’il vous plaît, agissez de votre propre gré, mais souvenez-vous toujours que la publication de la vérité est l’âme de la justice.\n\nDimitris Giannakopoulos\n\nAvec cette lettre, Dimitris Giannakopoulos nous a également envoyé un DVD de 38 minutes intitulé « Wrong decisions of the Euroleague’s referees 2017/2018 » (Les mauvaises décisions des arbitres en Euroleague 2017/2018) ainsi qu’un dossier de présentation de 50 pages dans lesquels il développe et explique chacune de ses accusations.\n\n\nUn calendrier favorable à l’Olympiakos et Fenerbahçe ?\n\nLa première accusation du président du Panathinaikos concerne le calendrier, et plus précisément les semaines au cours desquelles deux journées d’Euroleague ont lieu. Pour illustrer ses propos, il prend en exemple les journées 3 et 4 de la saison actuelle – disputées les 25 et 27 octobre – et les retours de ces mêmes rencontres – joués les 17 et 19 janvier. Là où le PAO doit affronter le CSKA Moscou et Fenerbahçe – deux prétendants au titre en fin de saison -, Fenerbahçe est opposé à son voisin stambouliote Anadolu Efes, ce qui évite à Zeljko Obradovic et ses joueurs d’avoir à voyager.\n\nPour ce qui est de son voisin et rival athénien, Giannakopoulos se plaint qu’il ait pour adversaires le Maccabi Tel-Aviv et le Khimki Moscou, deux équipes de milieu de tableau largement à la portée des coéquipiers de Kim Tillie.\n\nLors de ces fameuses 3e et 4e journées, le Panathinaikos avait largement perdu à Moscou avant de s’imposer difficilement contre Fenerbahçe après que ces derniers l’aient emporté contre l’Anadolu Efes. L’Olympiakos avait lui remporté ses deux matchs.\n\nAu retour, le Panathinaikos avait perdu ses deux matchs pendant que Fenerbahçe empochait deux succès. L’Olympiakos s’en sortait avec un bilan équilibré.\n\n\nL’Olympiakos avantagé par les arbitres ?\n\nSelon Dimitris Giannakopoulos, l’Olympiakos est favorisé par les arbitres d’Euroleague. Pour preuve, les locataires du Stade de la Paix et de l’Amitié, qui présentent la meilleure défense de la compétition avec 1 756 points encaissés (70 points par match), ils sont la 9e équipe à commettre le moins de fautes (504 coups de sifflets contre eux, 20 par match). A titre de comparaison, le Panathinaikos a commis 547 fautes (22 par match). Les arbitres seraient aussi plus cléments pour les Rouges et Blancs dans l’autre sens avec 535 fautes accordés à l’Olympiakos et 524 lancers-francs tentés, contre 506 fautes sifflées en faveur des Verts et 461 lancers-francs tentés.\n\nToujours dans cette même thématique, Dimitris Giannakopoulos incrimine l’arbitre slovène Sasa Pukl. Sur les 16 matchs d’Euroleague dirigés par le Slovène depuis 2012, le Panathinaikos n’en a gagnés que 3. A l’inverse, l’Olympiakos est sorti vainqueur 13 fois des 17 matchs que Pukl a dirigés. « Sasa Pukl vs Panathinaikos » titre-t-il sa démonstration !\n\n\nLe Real Madrid lui aussi avantagé ?\n\nEn plus de l’Olympiakos et de Fenerbahçe, Dimitris Giannakopoulos accuse aussi l’Euroleague d’avantager le Real Madrid en lui désignant des adversaires espagnols (Malaga, Baskonia et Valence) lors des semaines à deux matchs, limitant ainsi les déplacements des Merengues.\n\n\nBasketball ou MMA ?\n\nDimitris Giannakopoulos conclue sa démonstration par des séquences bien précises. A-t-on affaire à du basketball ou à du MMA, se demande d’ailleurs le président du Pana à la vue d’une prise au cou d’un joueur de l’Olympiakos sur le meneur de Milan Jordan Theodore.\n\nIl revient ensuite sur une séquence de la 21e journée. Le Panathinaikos se déplace alors à Bamberg. Mené de deux points au début du quatrième quart-temps, le Pana est en possession de la balle. Dans la peinture, James Gist tente de prendre une position préférentielle sur un joueur pour que Nick Calathes puisse le servir dans les meilleures conditions. L’arbitre siffle alors une faute offensive du joueur du Pana. « Est-ce une faute offensive ? » se questionne alors Giannakopoulos, images à l’appui.\n\nEnfin, Giannakopoulos revient sur certains contres dont ses joueurs furent victimes. Leur point commun : avoir été désignés « Block of the Night » par l’Euroleague. Pourtant, à en croire Giannakopoulos, il y avait bel et bien faute de Rodrigue Beaubois ou Jan Vesely.\n\nLa réponse de l’Euroleague face à ces accusations ne saurait se faire attendre, d’autant plus que Dimitris Giannakopoulos est dans le colimateur de l’instance européenne.\n\n[armelse]\n\nPlusieurs fois sanctionné par l’Euroleague et la ligue grecque, Dimitris Giannakopoulos s’attaque une nouvelle fois à l’instance européenne. Le sulfureux président et actionnaire majoritaire du Panathinaikos dénonce, à travers un courrier envoyé à de nombreux médias européens par voie postale (voir la traduction ci-dessous), un favoritisme de l’Euroleague en faveur de l’Olympiakos et de Fenerbahçe.\n\nChers journalistes de basketball,\n\nJe vous contacte pour porter votre attention sur un problème important à propos de la compétition Euroleague. Je vous adresse cette lettre car c’est vous qui êtes en contact avec les joueurs et dirigeants, et qui transmettez des informations et des opinions aux fans de basketball à travers le monde. Notre amour pour ce sport est ce qui nous connecte tous.\n\nAu cours des derniers mois, nous avons relevé une série d’évènements qui mettent en péril la valeur et l’attractivité de l’Euroleague, tant en terme de temps que d’argent.\n\nDans le DVD et le dossier ci-joints, vous trouverez tous les faits selon lesquels certaines équipes de la compétition, à savoir l’Olympiakos et Fenerbahçe, bénéficieraient d’un traitement préférentiel de la part des arbitres, entraînant un traitement inéquitable de tous les autres clubs de la compétition. Je vous demande de consacrer une heure à regarder le DVD et à tirer vos propres conclusions. À titre indicatif, vous noterez :\n\n * Une pléthore de fautes mal sifflées ;\n * Une conduite antisportive de la part des joueurs des équipes précitées qui reste impunie de la part des arbitres ;\n * Que l’Olympiakos se classe 16e attaque alors qu’elle est l’équipe qui obtient le plus de lancers-francs et est 2e au classement général ;\n * Que l’Olympiakos et Fenerbahçe sont, sans aucun doute, les deux meilleures équipes défensives de l’Euroleague. Cependant, ils jouent à la limite de ce qui est considéré comme une faute et ce qui n’est pas considéré comme une faute, avec l’aide des arbitres, et trouvent qu’ils reçoivent très peu de fautes dans la plupart des matchs ;\n * Que dans la plupart des matchs auxquels ils participent, il y a une grande différence entre les fautes commises et les fautes obtenues ;\n * Des décisions erronées, inexplicables et à répétition de la part des arbitres ;\n * Que des fautes ont été présentées comme « Block of the night » par la chaîne officielle de l’Euroleague.\n\nCette crise est la plus grande que le basket ait jamais connue et la communauté sportive doit agir de manière cohérente et structurée afin de remplacer la transparence de la compétition. L’un des principaux piliers du succès du basketball est la couverture médiatique du jeu. En gardant cette situation en mode silencieux, le seul gagnant n’est pas le sport, mais certains lobbies financiers. S’il vous plaît, agissez de votre propre gré, mais souvenez-vous toujours que la publication de la vérité est l’âme de la justice.\n\nDimitris Giannakopoulos\n\nAvec cette lettre, Dimitris Giannakopoulos nous a également envoyé un DVD de 38 minutes intitulé « Wrong decisions of the Euroleague’s referees 2017/2018 » (Les mauvaises décisions des arbitres en Euroleague 2017/2018) ainsi qu’on dossier de présentation de 50 pages dans lesquels il développe et explique chacune de ses accusations.\n\nUn calendrier favorable à l’Olympiakos et Fenerbahçe ?\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-22T09:54:40.000Z", "updated_at":"2018-03-22T13:59:11.000Z", "published_at":"2018-03-22T09:54:40.000Z", "custom_excerpt":"Plusieurs fois sanctionné par l’Euroleague et la ligue grecque, Dimitris Giannakopoulos s’attaque une nouvelle fois à l’instance européenne. 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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/nando-de-colo-1-1.jpg\")
Après l’officialisation des qualifications en playoffs du Pana et du Real Madrid, c’est le Khimki Moscou de Georgios Bartzokas qui vient de confirmer sa présence en s’imposant face à l’Efes Istanbul (85-73).
Mais la performance de la soirée est bien à mettre au crédit de Nando De Colo qui a démontré toute sa maestria face à l’Olympiakos. NDC termine à 25 points en 27 minutes dans une victoire autoritaire du CSKA Moscou qui envoie un message à ses concurrents (89-81).
Enfin, dans le second duel ibérique de la 27e journée, Malaga a battu Barcelone pour garder un mince espoir mathématique de se qualifier en playoffs (95-91). Il ne reste plus que deux tickets à distribuer…
C’est à 3 minutes de la fin du match que Nando De Colo a raté son 1er tir de la soirée face à l’Olympiakos. L’arrière tricolore termine avec une nouvelle note excellente : 25 points en 27 minutes à 9/10 aux tirs, plus 5 rebonds et 4 passes pour 31 d’évaluation !
L’Oly n’aura pas fait le poids sur la longueur, malgré les efforts de l’inamovible duo grec : Vassilis Spanoulis (17 points, 6 passes, 5 balles perdues) et Georgios Printezis (24 points, 5 rebonds). Kim Tillie (3 points) et Léo Westermann (2 rebonds, 1 passe) ont eu très peu de temps de jeu pour s’exprimer dans un match forcément intense entre deux cadors (89-81).
Ça n’a pas été très brillant, avec des énormes trous d’air en défense notamment, mais le Khimki Moscou a fait l’essentiel en s’imposant face à l’Efes Istanbul (85-73). Une fois n’est pas coutume, Alexey Shved (16 points, 8 passes) n’a pas fini meilleur scoreur de son équipe, avec Malcolm Thomas à 17 unités.
En face, l’Efes Istanbul a pu compter sur de solides contributions de Bryant Dunston (17 points, 9 rebonds) et Sonny Weems (17 points) mais c’est une nouvelle défaite, leur 21e en 27 matchs cette saison…
Quel drôle de match entre Malaga et Barcelone ? Le Barça avait le match en mains en fin de 3e quart quand Ray McCallum et Dani Diez (21 points – record en carrière) ont lancé un insensé 24-3 pour mettre les catalans dans les cordes. Barcelone reviendra à -2 mais Nemanja Nedovic assure la victoire aux lancers (95-91).
Le trident tricolore du Barça a réussi un beau tir groupé avec Edwin Jackson à 13 points, Adrien Moerman à 12, et Thomas Heurtel à nouveau en double double à 11 points et 10 passes. Mais ça n’a pas suffi pour Barcelone qui aura donc raté sa saison d’Euroleague à cause d’un démarrage catastrophique.
Nando De Colo (CSKA Moscou) : 25 points (9/10 aux tirs), 5 rebonds, 4 passes, 4 balles perdues en 27 minutes
Edwin Jackson (Barcelone) : 13 points (5/8 aux tirs), 1 rebond en 24 minutes
Fabien Causeur (Real Madrid) : 12 points (5/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 23 minutes
Rodrigue Beaubois (Vitoria) : 12 points (4/9 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 19 minutes
Adrien Moerman (Barcelone) : 12 points (5/10 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 24 minutes
Thomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (4/9 aux tirs), 10 passes, 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 24 minutes
Vincent Poirier (Vitoria) : 10 points (4/7 aux tirs), 5 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 2 contres en 19 minutes
Mathias Lessort (Etoile Rouge) : 9 points (4/8 aux tirs), 6 rebonds, 4 balles perdues en 22 minutes
Amath M’Baye (Milan) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 1 contre en 13 minutes
Kim Tillie (Olympiakos) : 3 points (1/1 au tir), 1 balle perdue en 12 minutes
Axel Toupane (Kaunas) : 1 point (0/1 au tir), 3 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 17 minutes
Léo Westermann (CSKA Moscou) : 0 point (0/1 au tir), 2 rebonds, 1 passe en 4 minutes
Antoine Diot (Valence) : blessé
Vitoria a été facile contre Bamberg, à l’image de ce dunk de mammouth de Vincent Poirier. L’intérieur des Bleus a noirci la feuille de stats avec 10 points, 5 rebonds, 3 interceptions, 2 passes et 2 contres.
\n.@viinze_17P with the big boy slam!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/lqYosPWAqQ
\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 21, 2018
Mardi 20 mars :
Fenerbahçe – Maccabi Tel Aviv (87-73)
Zalgiris Kaunas – Milan (77-65)
Panathinaikos – Etoile Rouge (91-71)
Valence – Real Madrid (96-88)
Mercredi 21 mars :
CSKA Moscou – Olympiakos (89-81)
Efes Istanbul – Khimki Moscou (73-85)
Vitoria – Bamberg (103-79)
Malaga – Barcelone (95-91)
Jeudi 22 mars :
Etoile Rouge – Fenerbahçe (19h)
Maccabi Tel Aviv – Panathinaikos (20h05)
Real Madrid – Zalgiris Kaunas (20h45)
Milan – Valence (20h45)
Vendredi 23 mars :
Khimki Moscou – CSKA Moscou (18h)
Bamberg – Malaga (19h)
Olympiakos – Efes Istanbul (20h)
Barcelone – Vitoria (21h)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/elj27-1.png\")
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/endy-miyem-famila-schio-basket-1.jpg\")
Sous la plume de Pierre Duperron, Le Midi Libre consacre ce matin un dossier au club de Lattes-Montpellier et le moins que l’on puisse dire c’est qu’on y annonce du très lourd.
« Selon nos sources, le club latto-montpelliérain aurait déjà attiré cinq joueuses dans ses filets pour la saison 2018-2019 et leur énoncé à de quoi faire briller les yeux. »
De fait, il s’agit de cinq internationales et pas des moindres:
Heléna Ciak (1,98m, 28 ans), depuis deux ans à Koursk avec qui elle a été championne d’Europe en 2017 et qui disputera de nouveau le Final Four de l’Euroleague, Endy Miyem (1,88m, 28 ans), actuellement à Schio en Italie, qui est pilier de l’équipe nationale, Diandra Tcharchouang (1,89m, 26 ans), la plus ancienne joueuse de Bourges en activité, Marielle Amant (1,91m, 28 ans) de Villeneuve d’Ascq et Alix Duchet (1,97m, 20 ans), la néo-internationale de Nice !
Le président Franck Manna n’a pas voulu confirmer ses informations… ni les démentir.
Avec la meneuse internationale Romane Bernies et des étrangères aux postes 2 et 3, le BLMA aurait une équipe compétitive en Euroleague mais l’actuelle positionnement de l’équipe (5e avec Basket Landes et Tarbes) ne lui promet pas cette compétition.
« Mais selon ces mêmes sources, les joueuses concernées seraient bien conscientes que leur venue se traduirait peut-être par une case Eurocup pour la saison 2018-19. »
En filigrane de ce recrutement, on trouve la nouvelle directrice sportive Edwige Lawson à qui nous avons consacré dernièrement une interview… et très certainement un regain de ressources financières.
Photo: Endy Miyem
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Mathieu Bayot, 36 ans, est ingénieur spécialisé dans l’énergie solaire et aussi arbitre de Jeep Elite depuis la saison 2015-16. Il a une particularité, il est Belge. C’est à ce titre que La Dernière Heure lui consacre ce matin un dossier.
Muté professionnellement à Montpellier il y a trois ans, il a demandé à la FFBB s’il pouvait officier en France:
“Je connaissais la responsable technique des arbitres (NDLR: Chantal Julien). Elle m’a fait savoir que ma participation à la Pro A ou Pro B serait délibérée en commission. En parallèle, Johnny Jacobs, instructeur FIBA belge, a appuyé ma demande. En arrivant fin août au stage, j’ai appris que j’officierais en Pro A et que mon premier match aurait lieu dans la salle mythique de Beaublanc à Limoges. Moi qui étais dans le doute quelques semaines avant, je me retrouvais face à un nouveau défi hypermotivant.”
Mathieu Bayot est absolument ravi de l’accueil que ses collègues français lui ont réservé:
“Je connaissais la plupart des arbitres mais je craignais certaines remarques. Il n’en fut rien, au contraire ! Je me rappellerai les premiers mots du président de la commission d’arbitrage : « Mathieu, la France est une terre d’accueil et nous tenons à cette réputation ». Mes collègues ont été particulièrement bienveillants. Pour eux, les meilleurs doivent officier sur les meilleurs matches. Pas question de manigances, de rumeurs et de jeu d’influence pour conserver son statut à tout prix. »
A Bruxelles dernièrement, Mathieu Bayot a assisté à la finale de la Coupe de Belgique entre Mons et Ostende. Il a été choqué par la permissivité des arbitres vis à vis des coaches:
« En France, l’un des deux coachs ne serait pas resté plus de 5 minutes sur le terrain. »
A lire la semaine prochaine sur BasketEurope, une longue interview de Chantal Julien, la responsable des arbitres du haut niveau.
", "comment_id":"424343", "plaintext":"Mathieu Bayot, 36 ans, est ingénieur spécialisé dans l’énergie solaire et aussi arbitre de Jeep Elite depuis la saison 2015-16. Il a une particularité, il est Belge. C’est à ce titre que La Dernière Heure lui consacre ce matin un dossier.\n\nMuté professionnellement à Montpellier il y a trois ans, il a demandé à la FFBB s’il pouvait officier en France:\n\n“Je connaissais la responsable technique des arbitres (NDLR: Chantal Julien). Elle m’a fait savoir que ma participation à la Pro A ou Pro B serait délibérée en commission. En parallèle, Johnny Jacobs, instructeur FIBA belge, a appuyé ma demande. En arrivant fin août au stage, j’ai appris que j’officierais en Pro A et que mon premier match aurait lieu dans la salle mythique de Beaublanc à Limoges. Moi qui étais dans le doute quelques semaines avant, je me retrouvais face à un nouveau défi hypermotivant.”\n\nMathieu Bayot est absolument ravi de l’accueil que ses collègues français lui ont réservé:\n\n“Je connaissais la plupart des arbitres mais je craignais certaines remarques. Il n’en fut rien, au contraire ! Je me rappellerai les premiers mots du président de la commission d’arbitrage : « Mathieu, la France est une terre d’accueil et nous tenons à cette réputation ». Mes collègues ont été particulièrement bienveillants. Pour eux, les meilleurs doivent officier sur les meilleurs matches. Pas question de manigances, de rumeurs et de jeu d’influence pour conserver son statut à tout prix. »\n\nA Bruxelles dernièrement, Mathieu Bayot a assisté à la finale de la Coupe de Belgique entre Mons et Ostende. Il a été choqué par la permissivité des arbitres vis à vis des coaches:\n\n« En France, l’un des deux coachs ne serait pas resté plus de 5 minutes sur le terrain. »\n\nA lire la semaine prochaine sur BasketEurope, une longue interview de Chantal Julien, la responsable des arbitres du haut niveau.", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-22T09:24:04.000Z", "updated_at":"2018-03-22T09:24:04.000Z", "published_at":"2018-03-22T09:24:04.000Z", "custom_excerpt":"Mathieu Bayot, 36 ans, est ingénieur spécialisé dans l’énergie solaire et aussi arbitre de Jeep Elite depuis la saison 2015-16. Il a une particularité, il est Belge. C’est à ce titre que La Dernière Heure lui consacre ce matin un dossier.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d5e", "uuid":"fef1a2ab-fb88-4386-9917-08217f5d45e0", "title":"LFB: Shona Thoburn va passer de Nantes à Mondeville", "slug":"lfb-shona-thoburn-va-passer-de-nantes-a-mondeville", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/shona-thoburn-e1521708658737.jpg\",\"width\":500,\"height\":375}]],\"markups\":[],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les transactions se multiplient en Ligue Féminine et les transferts en coulisses aussi. C’est ainsi que la meneuse anglo-canadienne de Nantes Shona Thoburn (1,78m, 36 ans en août) va rejoindre Mondeville. Sa double nationalité pourrait permettre au club normand de conserver l’Américaine Kristen Mann en supplément de la Canadienne Kim Gaucher, laquelle se réjouit de la venue de Thoburn car elles ont fréquenté la même université, Utah, et l’équipe nationale du Canada et sont très proches.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Shona Thoburn va ainsi succéder à Lisa Berkani qui part à Bourges. C’est une habituée de la LFB puisqu’elle a fréquenté Aix, Toulouse, Le Hainaut et donc Nantes. Elle marche à 7,3 points et 3,5 passes décisives de moyenne cette saison.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/shona-thoburn-e1521708658737.jpg\")
Les transactions se multiplient en Ligue Féminine et les transferts en coulisses aussi. C’est ainsi que la meneuse anglo-canadienne de Nantes Shona Thoburn (1,78m, 36 ans en août) va rejoindre Mondeville. Sa double nationalité pourrait permettre au club normand de conserver l’Américaine Kristen Mann en supplément de la Canadienne Kim Gaucher, laquelle se réjouit de la venue de Thoburn car elles ont fréquenté la même université, Utah, et l’équipe nationale du Canada et sont très proches.
Shona Thoburn va ainsi succéder à Lisa Berkani qui part à Bourges. C’est une habituée de la LFB puisqu’elle a fréquenté Aix, Toulouse, Le Hainaut et donc Nantes. Elle marche à 7,3 points et 3,5 passes décisives de moyenne cette saison.
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Monaco n’est pas leader de la Jeep Elite par hasard. Un violent coup d’accélérateur des Monégasques en seconde mi-temps a complètement désarçonné Nanterre qui jusque là avait pu traiter d’égal à égal grâce à une excellente adresse à trois-points: 7-14. De 43-39, le score passait à 91-70 dans la deuxième tranche de vingt minutes. Dixième victoire d’affilée, toutes compétitions confondues pour l’ASM.
Une preuve que la défense monégasque est devenue subitement imperméable? Jamal Schuler, de retour en principauté, a mis ses 11 points en première mi-temps. A l’intérieur Elmedin Kikanovic (22 points à 9/10) a été intenable. Les Monégasques ont shooté à 52,2% contre 37,1% aux Nanterriens. Et puis il y a le différentiel au rebond: 45 à 28. La défense du meneur américain Aaron Craft a de nouveau été un modèle du genre. Ne cherchez pas le meilleur défenseur de la Jeep Elite, il est là !Tout ça alors que la Roca Team était privée dès le troisième quart-temps de Gerald Robinson touché à la hanche et qui va devoir passer des examens.
« Monaco est un rouleau compresseur, on manque de rotations et on a une telle lacune au rebond, c’est tragique », n’a pu constater le coach de la JSF, Pascal Donnadieu, en conférence de presse. « Je serai supporter de Monaco face à Banvit. Je leur souhaite bonne chance. Je pense que l’ASM a plus les armes que nous pour les contrer, notamment à l’intérieur. Je pense que Monaco peut faire la différence sur la qualité des rotations. »
Le coach de Nanterre connaît bien les Turcs de Banvit puisque ce sont eux qui ont éliminé son équipe en huitième de finale. D’ailleurs le staff de la JSF a fourni des infos à celui de Monaco.
Les Monégasques vont pouvoir tranquillement préparer cette échéance européenne puisqu’ils ont décidé d’envoyer samedi leur équipe espoir à Trélazé pour un quart-de-finale de Coupe de France contre Boulazac.
Photo: Georgi Joseph et Elmedin Kikanovic (FIBA Europe)
https://twitter.com/SFR_Sport/status/976574039409020931
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I address this letter to you, as it is you who come into contact with basketball players and executives and convey data, information and opinions to basketball fans worldwide. Our love for this sport is what connects us all.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"Over the last few months, we have noted a pattern of events which set the value and attractiveness of the Euroleague competition at risk and our investment, both in terms of time and money, in danger.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"In the DVD and presentation hereby included, you will find all the facts supporting the allegation that some teams in the competition, namely Olympiacos Piraeus and Fenerbahce, receive preferential treatment from the referees, resulting in an unfair treatment of all other Clubs competing against them. I ask of you to dedicate an hour to watch the DVD and draw your own conclusions. 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Dimitris Giannakopoulos is tired of it… So the president of Greek powerhouse Panathinaikos decided he would take the lead and make his fight known to the public.
Giannakopoulos sent a package with a letter, a 50-page booklet and a 38-minute long DVD (entitled « Wrong decisions of the Euroleague’s referees 2017/2018 ») to several European media outlets, including BasketEurope, to report a favoritism from the Euroleague instances towards Olympiakos and Fenerbahçe.
Here are the main elements of his letter… There are very few precedents, if none at all, of such an initiative coming from a club towards the instances of the Euroleague.
Dear basketball journalists and editors,
I am reaching out to you wishing to call your attention to a matter of importance with regards to the Euroleague competition. I address this letter to you, as it is you who come into contact with basketball players and executives and convey data, information and opinions to basketball fans worldwide. Our love for this sport is what connects us all.
Over the last few months, we have noted a pattern of events which set the value and attractiveness of the Euroleague competition at risk and our investment, both in terms of time and money, in danger.
In the DVD and presentation hereby included, you will find all the facts supporting the allegation that some teams in the competition, namely Olympiacos Piraeus and Fenerbahce, receive preferential treatment from the referees, resulting in an unfair treatment of all other Clubs competing against them. I ask of you to dedicate an hour to watch the DVD and draw your own conclusions. Indicatively, you shall note the following:
This crisis that is taking place is the biggest that basketball has ever faced and the sports community has to act in a consistent and structured way in order to replace the transparency of the competition. One of the major pillar of the success of basketball is the media coverage of the game. By keeping this situation in silent mode, the only winner is not the sport, but certain financial lobbies. Please act at your own will, but always remember that publishing the truth is the soul of justice.
Dimitris Giannakopoulos
The full content of the study led by Giannakopoulos’ staff (?) can be viewed here and can be sent on request.
Contacted by us, the Euroleague replied that they « will not provide any official statement on this topic ».
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I address this letter to you, as it is you who come into contact with basketball players and executives and convey data, information and opinions to basketball fans worldwide. Our love for this sport is what connects us all.\n\nOver the last few months, we have noted a pattern of events which set the value and attractiveness of the Euroleague competition at risk and our investment, both in terms of time and money, in danger.\n\nIn the DVD and presentation hereby included, you will find all the facts supporting the allegation that some teams in the competition, namely Olympiacos Piraeus and Fenerbahce, receive preferential treatment from the referees, resulting in an unfair treatment of all other Clubs competing against them. I ask of you to dedicate an hour to watch the DVD and draw your own conclusions. Indicatively, you shall note the following:\n\n * A plethora of wrongly called fouls.\n * Unsportsmanlike conduct on the part of players of the aforementioned teams, which remains unpunishable by the referees\n * Olympiacos ranks 16th on the offense table, yet ranks at the top of the free throws table and at number two of the overall standing.\n * Olympiacos Piraeus and Fenerbahce are, beyond doubt, the best two defensive teams in the Euroleague competition. However, they play along the fine line between what is and what is not considered a foul, with the help of the referees, and find their teams receiving very few fouls in most games.\n * In many of the games they participate, there is a vast difference in fouls earned by them and the opposing team.\n * inexplicable, repeated, erroneous referee decisions.\n * Presentation of fouls as « blocks of the night” by the official Euroleague channel.\n\nThis crisis that is taking place is the biggest that basketball has ever faced and the sports community has to act in a consistent and structured way in order to replace the transparency of the competition. One of the major pillar of the success of basketball is the media coverage of the game. By keeping this situation in silent mode, the only winner is not the sport, but certain financial lobbies. Please act at your own will, but always remember that publishing the truth is the soul of justice.\n\nDimitris Giannakopoulos\n\nThe full content of the study led by Giannakopoulos’ staff (?) can be viewed here and can be sent on request.\n\nContacted by us, the Euroleague replied that they « will not provide any official statement on this topic ».", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-22T05:15:12.000Z", "updated_at":"2018-03-22T07:10:47.000Z", "published_at":"2018-03-22T05:15:12.000Z", "custom_excerpt":"Dimitris Giannakopoulos is tired of it… So the president of Greek powerhouse Panathinaikos decided he would take the lead and make his fight known to the public.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d62", "uuid":"f369207e-2a10-4e6f-9673-2305428eaeb5", "title":"Bourges: Diandra Tchatchouang ne va pas rester et serait sur le départ pour Lattes-Montpellier", "slug":"bourges-diandra-tchatchouang-ne-va-pas-rester-et-serait-sur-le-depart-pour-lattes-montpellier", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/tchatchouang-e1521667801532.jpg\",\"width\":800,\"height\":534}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"http://www.basketlfb.com/node/808\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En Ligue Féminine les mouvements de transferts commencent bien avant la fin de la saison régulière. 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En Ligue Féminine les mouvements de transferts commencent bien avant la fin de la saison régulière. Ainsi, Diandra Tchatchouang, arrivée à Bouges en 2013, va quitter le Cher. Elle a décidé de ne pas activer l’option dans son contrat qui lui permettait de rester une saison supplémentaire chez les Tango apprend-on dans Le Berry. L’internationale pourrait rejoindre Lattes-Montpellier ou les arrivées de Endy Miyem (Schio) et Helena Ciak (Schio) sont également évoquées.Diandra Tchatchouang tourne à 10,0 points, 4,6 rebonds et 2,0 passes en LFB.Photo: FIBA Europe
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C’est Sopron, en Hongrie, qui va organiser le Final Four de l’Euroleague féminine, du 20 au 22 avril.
Outre le club organisateur, les Russes de UMMC Ekaterinburg et du Dynamo Koursk avec Helena Ciak, et le club turc du Yakin Dogu Universitesi de Sandrine Gruda constitueront le plateau.
En demi-finale, UMMC Ekaterinburg sera opposé au Dynamo Koursk champion en titre et le Whilst Sopron au Yakin Dogu Universitesi.
Photo: Danielle Page (Sopron, FIBA Europe)
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A partir de là, se préparer, pour pouvoir atteindre l’objectif qu’on s’est fixé. Et en assumer les conséquences, qu’elles soient positives ou négatives (…). Aujourd’hui je ne connais pas de formation spécifique dans le monde du sport où on peut apprendre le risque. Par contre, il y a de vrais entraînements sur le thème du mental pour pouvoir être efficace au moment opportun, au moment où un match se joue ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au cours de sa carrière, Emilie Gomis a souvent dû mesurer la part de risque du métier, comme lorsqu’elle a dû casser un contrat en WNBA pour aller jouer en Equipe de France ou quand elle est arrivée blessée avant les Jeux Olympiques de Londres.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Deux jours avant je m’étais fait une grosse déchirure au mollet. Ça faisait huit ans que j’attendais les Jeux, et le médecin m’annonce que je ne peux pas partir. Je connaissais les risques en y allant et que ça aurait peut-être des conséquences physiques et que j’aurais peut-être une fin de carrière. Mais c’était le moment où jamais. Donc j’ai pris des risques, j’ai signé une décharge pour aller à ces JO. On connaît le résultat. Après, ça a été un an et demi de galère physique, mais j’ai accepté cet écartement durant plusieurs mois. Je m’étais préparée pour cette blessure et j’ai tout mis en œuvre pour revenir au plus haut niveau par la suite. Ça a été un choix, plutôt positif puisqu’on est revenir avec une médaille. 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Et on sait qu’on est sur un siège éjectable. On l’a toujours en tête, ça. Un sportif de toute façon est sur un siège éjectable. Et on est jugé sur des résultats. Et les résultats, ils sont sur le terrain. Et d’un match à l’autre, d’un entraînement à l’autre, on est tout le temps sur le qui-vive. Et il n’y a pas d’acquis dans le sport. Tous les jours, on doit bosser pour être au top. On sait que si un jour on n’est pas bien, d’autres peuvent nous passer devant et on peut perdre notre place. C’est peut-être ce qui nous anime aussi au quotidien et cette confiance qui est là pour nous maintenir au haut-niveau. Si on n’a pas ce mental super fort, tout peut nous déstabiliser, une réflexion d’un coach, des joueurs qui vont vous intimider. 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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/rigaudeaugomis.jpg\")
Club précurseur en matière de communication et d’innovation, la JL Bourg-en-Bresse, accompagné de son club affaires BB+, organisait hier la deuxième édition des Rencontres du Leadership, à Ainterexpo, enceinte située à côté d’Ekinox. Le rendez-vous a été instauré la saison dernière, alors que le club bressan trustait la première place de Pro B et venait de lancer son école des meneurs, seule structure de ce genre en France et où, à ce poste bien précis, la dimension de leadership est aussi importante que sportive. Pour ce second volet, trois thèmes ont été abordés autour de tables rondes composées de professionnels du monde du sport, de l’entreprise et des médias : leadership et innovation, leadership connecté, et enfin leadership et culture du risque.
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A ce titre, trois anciens sportifs professionnels de haut niveau ont été amenés à livré leur expérience et leur ressenti sur ces différentes thématiques. Alain Bernard (double champion olympique au 100m nage libre en 2008 et 4×100 nage libre en 2012) et deux anciens basketteurs professionnels : Emilie Gomis (194 sélections en équipe de France, championne de France, championne d’europe en 2009, vice-championne olympique) et Antoine Rigaudeau (127 sélections en équipe de France, champion de France, double champion d’Italie, double-vainqueur de l’Euroligue, vice-champion olympique).
\nPremière table ronde des rencontres du Leadership : « Leadership et innovation »
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—> Live Youtube : https://t.co/ijSEnrpuxN pic.twitter.com/lpcIWwZuAI— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) 20 mars 2018
Leadership et culture du risque
Au cours de la conférence animée par Gaëlle Millon et présentée par le président de la JL Bourg, Julien Desbottes, accompagné du président du club affaires, Didier Lamy, 12 intervenants ont pris la parole au tour de ce thème central, chacun pour exprimer leur expérience et leur vision du leadership, et ce devant près de 350 personnes. Emilie Gomis et Antoine Rigaudeau ont pour leur part été invités à la table ronde « Leadership et culture du risque » aux côtés de Rodolphe Denis (ancien rédacteur en chef à Sports Stratégies aujourd’hui directeur de l’AMOS Sport Business School (Paris), Guy Chifflot (PDG d’Orapi Group) et Patrick Laudamy (DG France ArcelorMittal).
Dans la prise de risque, que ce soit pour prendre un tir à la dernière seconde ou une décision qui va impacter des centaines de salariés, sportifs et dirigeants d’entreprises peuvent être confrontés aux mêmes problématiques. Peut-on identifier, anticiper les risques ? Peut-on le maîtriser ?
« C’est très important de savoir où on veut aller quand on est un sportif de haut-niveau », a souligné Antoine Rigaudeau lors de son intervention. « Il faut identifier le risque, s’il y en a un. A partir de là, se préparer, pour pouvoir atteindre l’objectif qu’on s’est fixé. Et en assumer les conséquences, qu’elles soient positives ou négatives (…). Aujourd’hui je ne connais pas de formation spécifique dans le monde du sport où on peut apprendre le risque. Par contre, il y a de vrais entraînements sur le thème du mental pour pouvoir être efficace au moment opportun, au moment où un match se joue ».
Au cours de sa carrière, Emilie Gomis a souvent dû mesurer la part de risque du métier, comme lorsqu’elle a dû casser un contrat en WNBA pour aller jouer en Equipe de France ou quand elle est arrivée blessée avant les Jeux Olympiques de Londres.
« Deux jours avant je m’étais fait une grosse déchirure au mollet. Ça faisait huit ans que j’attendais les Jeux, et le médecin m’annonce que je ne peux pas partir. Je connaissais les risques en y allant et que ça aurait peut-être des conséquences physiques et que j’aurais peut-être une fin de carrière. Mais c’était le moment où jamais. Donc j’ai pris des risques, j’ai signé une décharge pour aller à ces JO. On connaît le résultat. Après, ça a été un an et demi de galère physique, mais j’ai accepté cet écartement durant plusieurs mois. Je m’étais préparée pour cette blessure et j’ai tout mis en œuvre pour revenir au plus haut niveau par la suite. Ça a été un choix, plutôt positif puisqu’on est revenir avec une médaille. Ce sont des choix stratégiques, de carrière ».
Emilie Gomis : « On est sur un siège éjectable »
Interrogée sur la part de risque de s’exporter à l’étranger, le discours d’Emilie Gomis, qui a notamment joué pour Fenerbahce pourrait, là aussi, être calqué à celui d’un chef d’entreprise ayant des ambitions à l’internationale.
« Il y a une adaptation, énormément de choses qui changent. On découvre une nouvelle façon de fonctionner. Les clubs sont différents en fonction de leurs niveaux. J’ai eu la chance d’être dans un grand club, une grande ville. Il y a tout qui change, un nouveau groupe avec d’autres étrangères. Il faut s’habituer au nouveau coaching, à la façon de fonctionner du club. Je ne vais pas dire qu’on a la pression, mais ils n’ont pas le temps. Ils misent sur nous. Si on part de la France, c’est aussi parce qu’on est mieux payé, il ne faut pas se mentir. Et on sait qu’on est sur un siège éjectable. On l’a toujours en tête, ça. Un sportif de toute façon est sur un siège éjectable. Et on est jugé sur des résultats. Et les résultats, ils sont sur le terrain. Et d’un match à l’autre, d’un entraînement à l’autre, on est tout le temps sur le qui-vive. Et il n’y a pas d’acquis dans le sport. Tous les jours, on doit bosser pour être au top. On sait que si un jour on n’est pas bien, d’autres peuvent nous passer devant et on peut perdre notre place. C’est peut-être ce qui nous anime aussi au quotidien et cette confiance qui est là pour nous maintenir au haut-niveau. Si on n’a pas ce mental super fort, tout peut nous déstabiliser, une réflexion d’un coach, des joueurs qui vont vous intimider. Et c’est du challenge, tout les jours ».
Au même titre que les entreprises que BPI France encourage à « aller se faire voir ailleurs », Antoine Rigaudeau ne regrette pas d’avoir tenté l’aventure à l’étranger malgré la part de risque qu’un tel choix peut contenir
« L’image du siège éjectable est intéressante », ajoute-t-il. « J’ai la sensation qu’en France, on est très protégé. Parce qu’on est Français, on joue dans un club français, la loi nous protège beaucoup au niveau de nos contrats, donc on rentre facilement dans un confort. Si c’est un jeune joueur, encore plus parce que les clubs chouchoutent leurs jeunes joueurs. Ils ne veulent pas les perdre. Il ne faut surtout pas les offusquer. Moi je suis parti en Italie, j’ai signé un contrat de 3 ou 4 ans. Je sais aujourd’hui que si la première année on ne gagnait pas de titres, je ne restais pas en Italie, ou pas dans ce club là. Donc oui, on est tout de suite remis en cause, tous les jours, et on est un joueur étranger et on doit prouver, quel que soit notre statut en France ou à l’international, on doit montrer tous les jours qu’on est capable et qu’on a sa place dans ce club ».
\nMerci d’avoir suivi cette deuxième édition des Rencontres Du Leadership ! Maintenant, place au match ! #GetRedy 🏀 pic.twitter.com/m6eft1ko8B
\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) 20 mars 2018
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A ce titre, trois anciens sportifs professionnels de haut niveau ont été amenés à livré leur expérience et leur ressenti sur ces différentes thématiques. Alain Bernard (double champion olympique au 100m nage libre en 2008 et 4×100 nage libre en 2012) et deux anciens basketteurs professionnels : Emilie Gomis (194 sélections en équipe de France, championne de France, championne d’europe en 2009, vice-championne olympique) et Antoine Rigaudeau (127 sélections en équipe de France, champion de France, double champion d’Italie, double-vainqueur de l’Euroligue, vice-champion olympique).
\nPremière table ronde des rencontres du Leadership : « Leadership et innovation »
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—> Live Youtube : https://t.co/ijSEnrpuxN pic.twitter.com/lpcIWwZuAI— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) 20 mars 2018
Leadership et culture du risque
Au cours de la conférence animée par Gaëlle Millon et présentée par le président de la JL Bourg, Julien Desbottes, accompagné du président du club affaires, Didier Lamy, 12 intervenants ont pris la parole au tour de ce thème central, chacun pour exprimer leur expérience et leur vision du leadership, et ce devant près de 350 personnes. Emilie Gomis et Antoine Rigaudeau ont pour leur part été invités à la table ronde « Leadership et culture du risque »
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Alain Bernard (double champion olympique au 100m nage libre en 2008 et 4×100 nage libre en 2012) et deux anciens basketteurs professionnels : Emilie Gomis (194 sélections en équipe de France, championne de France, championne d’europe en 2009, vice-championne olympique) et Antoine Rigaudeau (127 sélections en équipe de France, champion de France, double champion d’Italie, double-vainqueur de l’Euroligue, vice-champion olympique).\n\n\n\n\nPremière table ronde des rencontres du Leadership : « Leadership et innovation »\n—> Live Youtube : https://t.co/ijSEnrpuxN pic.twitter.com/lpcIWwZuAI\n\n\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) 20 mars 2018\n\nLeadership et culture du risque\n\nAu cours de la conférence animée par Gaëlle Millon et présentée par le président de la JL Bourg, Julien Desbottes, accompagné du président du club affaires, Didier Lamy, 12 intervenants ont pris la parole au tour de ce thème central, chacun pour exprimer leur expérience et leur vision du leadership, et ce devant près de 350 personnes. Emilie Gomis et Antoine Rigaudeau ont pour leur part été invités à la table ronde « Leadership et culture du risque » aux côtés de Rodolphe Denis (ancien rédacteur en chef à Sports Stratégies aujourd’hui directeur de l’AMOS Sport Business School (Paris), Guy Chifflot (PDG d’Orapi Group) et Patrick Laudamy (DG France ArcelorMittal).\n\nDans la prise de risque, que ce soit pour prendre un tir à la dernière seconde ou une décision qui va impacter des centaines de salariés, sportifs et dirigeants d’entreprises peuvent être confrontés aux mêmes problématiques. Peut-on identifier, anticiper les risques ? Peut-on le maîtriser ?\n\n« C’est très important de savoir où on veut aller quand on est un sportif de haut-niveau », a souligné Antoine Rigaudeau lors de son intervention. « Il faut identifier le risque, s’il y en a un. A partir de là, se préparer, pour pouvoir atteindre l’objectif qu’on s’est fixé. Et en assumer les conséquences, qu’elles soient positives ou négatives (…). Aujourd’hui je ne connais pas de formation spécifique dans le monde du sport où on peut apprendre le risque. Par contre, il y a de vrais entraînements sur le thème du mental pour pouvoir être efficace au moment opportun, au moment où un match se joue ».\n\nAu cours de sa carrière, Emilie Gomis a souvent dû mesurer la part de risque du métier, comme lorsqu’elle a dû casser un contrat en WNBA pour aller jouer en Equipe de France ou quand elle est arrivée blessée avant les Jeux Olympiques de Londres.\n\n« Deux jours avant je m’étais fait une grosse déchirure au mollet. Ça faisait huit ans que j’attendais les Jeux, et le médecin m’annonce que je ne peux pas partir. Je connaissais les risques en y allant et que ça aurait peut-être des conséquences physiques et que j’aurais peut-être une fin de carrière. Mais c’était le moment où jamais. Donc j’ai pris des risques, j’ai signé une décharge pour aller à ces JO. On connaît le résultat. Après, ça a été un an et demi de galère physique, mais j’ai accepté cet écartement durant plusieurs mois. Je m’étais préparée pour cette blessure et j’ai tout mis en œuvre pour revenir au plus haut niveau par la suite. Ça a été un choix, plutôt positif puisqu’on est revenir avec une médaille. Ce sont des choix stratégiques, de carrière ».\n\nEmilie Gomis : « On est sur un siège éjectable »\n\nInterrogée sur la part de risque de s’exporter à l’étranger, le discours d’Emilie Gomis, qui a notamment joué pour Fenerbahce pourrait, là aussi, être calqué à celui d’un chef d’entreprise ayant des ambitions à l’internationale.\n\n« Il y a une adaptation, énormément de choses qui changent. On découvre une nouvelle façon de fonctionner. Les clubs sont différents en fonction de leurs niveaux. J’ai eu la chance d’être dans un grand club, une grande ville. Il y a tout qui change, un nouveau groupe avec d’autres étrangères. Il faut s’habituer au nouveau coaching, à la façon de fonctionner du club. Je ne vais pas dire qu’on a la pression, mais ils n’ont pas le temps. Ils misent sur nous. Si on part de la France, c’est aussi parce qu’on est mieux payé, il ne faut pas se mentir. Et on sait qu’on est sur un siège éjectable. On l’a toujours en tête, ça. Un sportif de toute façon est sur un siège éjectable. Et on est jugé sur des résultats. Et les résultats, ils sont sur le terrain. Et d’un match à l’autre, d’un entraînement à l’autre, on est tout le temps sur le qui-vive. Et il n’y a pas d’acquis dans le sport. Tous les jours, on doit bosser pour être au top. On sait que si un jour on n’est pas bien, d’autres peuvent nous passer devant et on peut perdre notre place. C’est peut-être ce qui nous anime aussi au quotidien et cette confiance qui est là pour nous maintenir au haut-niveau. Si on n’a pas ce mental super fort, tout peut nous déstabiliser, une réflexion d’un coach, des joueurs qui vont vous intimider. Et c’est du challenge, tout les jours ».\n\nAu même titre que les entreprises que BPI France encourage à « aller se faire voir ailleurs », Antoine Rigaudeau ne regrette pas d’avoir tenté l’aventure à l’étranger malgré la part de risque qu’un tel choix peut contenir\n\n« L’image du siège éjectable est intéressante », ajoute-t-il. « J’ai la sensation qu’en France, on est très protégé. Parce qu’on est Français, on joue dans un club français, la loi nous protège beaucoup au niveau de nos contrats, donc on rentre facilement dans un confort. Si c’est un jeune joueur, encore plus parce que les clubs chouchoutent leurs jeunes joueurs. Ils ne veulent pas les perdre. Il ne faut surtout pas les offusquer. Moi je suis parti en Italie, j’ai signé un contrat de 3 ou 4 ans. Je sais aujourd’hui que si la première année on ne gagnait pas de titres, je ne restais pas en Italie, ou pas dans ce club là. Donc oui, on est tout de suite remis en cause, tous les jours, et on est un joueur étranger et on doit prouver, quel que soit notre statut en France ou à l’international, on doit montrer tous les jours qu’on est capable et qu’on a sa place dans ce club ».\n\n\n\n\nMerci d’avoir suivi cette deuxième édition des Rencontres Du Leadership ! Maintenant, place au match ! #GetRedy 🏀 pic.twitter.com/m6eft1ko8B\n\n\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) 20 mars 2018\n\n[armelse]\n\nA ce titre, trois anciens sportifs professionnels de haut niveau ont été amenés à livré leur expérience et leur ressenti sur ces différentes thématiques. Alain Bernard (double champion olympique au 100m nage libre en 2008 et 4×100 nage libre en 2012) et deux anciens basketteurs professionnels : Emilie Gomis (194 sélections en équipe de France, championne de France, championne d’europe en 2009, vice-championne olympique) et Antoine Rigaudeau (127 sélections en équipe de France, champion de France, double champion d’Italie, double-vainqueur de l’Euroligue, vice-champion olympique).\n\n\n\n\nPremière table ronde des rencontres du Leadership : « Leadership et innovation » \n—> Live Youtube : https://t.co/ijSEnrpuxN pic.twitter.com/lpcIWwZuAI\n\n\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) 20 mars 2018\n\nLeadership et culture du risque\n\nAu cours de la conférence animée par Gaëlle Millon et présentée par le président de la JL Bourg, Julien Desbottes, accompagné du président du club affaires, Didier Lamy, 12 intervenants ont pris la parole au tour de ce thème central, chacun pour exprimer leur expérience et leur vision du leadership, et ce devant près de 350 personnes. 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L’intérieur américain de Denain Lance Goulbourne (2,03 m, 29 ans) a été victime hier soir à Blois d’une rupture du tendon d’Achille. Une perte énorme pour les Nordistes puisqu’il s’agit du meilleur joueur à l’évaluation de l’équipe (13,7) avec 12,6 points et 7,5 rebonds.
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Photo: LNB
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L’ailier américain Jaron Johnson (1,98m, 25 ans) a signé un contrat avec les Levallois Metropolitans jusqu’à la fin de la saison en pigiste médical de Rod Odom, qui s’est blessé à l’épaule et qui est out jusqu’à la fin de la saison.
Formé à l’Université de Louisiana Tech, Jaron Johnson a joué en G-League avec les Rio Grande Valley Vipers (18.1 points, 5.6 rebonds et 3 passes en 2015-16), puis aux Perth Wildcats en Australie (13.1 points, 4.6 rebonds) avant de rejoindre le Ironi Nes Ziona en Israël. Il a pu faire admirer son côté spectaculaire en remportant le slam dunk contest du All Star Game 2018.
« Jaron apportera de l’énergie et du physique à notre équipe. Nous n’avons pas été épargnés par les blessures depuis le début de la saison, et vu la fin de saison qui nous attend, il est important d’apporter du sang neuf au collectif pour aborder cette fin de saison avec plusieurs cordes à notre arc », a commenté le coach Fred Fauthoux.
Carrière
2014/16 Rio Grande Valley Vipers (NBA G-League)
2016 Perth Wildcats (Australie)
2017 Rio Grande Valley Vipers (NBA G-League)
2017/18 Ironi Nes Ziona (Israel)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/yvan-be-cc-81de-cc-81.jpg\")
La République des Pyrénées nous raconte l’histoire de Ivan Bédé, ancien pensionnaire du centre de formation de Pau, passé par un junior college dans le Texas et qui est devenu humoriste sur internet.
« J’ai toujours eu au fond de moi cette passion de jouer d’autres personnages. Avec mes frères on faisait des parodies d’émissions quand on était petits ! « , confie t-il à notre confrère.
C’est en 2016 que ce jeune homme de 1,98m, a lancé sa chaîne sur YouTube et celle-ci compte suffisamment de fans pour qu’il puisse gagner de l’argent. Visiblement la communauté apprécie son ton et son accent du Lot-et-Garonne.
« Les gens qui me suivent ne s’attendent pas à ce que j’aborde tout le temps les mêmes sujets. Après, bien entendu, le sport a toujours une place très importante pour moi. C’est à peu près 90 % de ma personnalité donc cela se ressent parfois dans mes vidéos. Mais je ne fais pas que ça, au contraire », explique -t-il.
Toutefois ses attaches avec le Béarn sont fortes et son meilleur ami est Léo Cavalière de l’EBPO.
L’ambition de Ivan Bédé? Se faire repérer par des producteurs ou des réalisateurs pour adapter ses écrits au cinéma.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/dsc_0435-e1521595008977.jpg\")
Auteur du meilleur match de sa carrière en pro avec 27 points à 13/14 au tir, 14 rebonds et l’intérieur dijonnais Jacques Alingue (29 ans, 2,03m) a été le héros de l’autre derby de la soirée opposant Bourg-en-Bresse à la JDA qui a enchaîné une 5e victoire sur ses six derniers matchs (78-96).
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La JLB a mené les débats en première mi-temps, comptant jusqu’à 15 points d’avance mais Rion Brown (4/4 à 3pts à la pause) a sauvé les meubles en ramenant les siens à -8 à l’heure du repos (48-40). Derrière, les hommes de Laurent Legname ont enchaîné un cinglant 34-10 qui a complètement changé la donne et Bourg-en-Bresse n’a jamais réussi à retrouver son rythme en attaque. Avec ce précieux succès, Dijon réalise un joli coup double en revenant à égalité avec la JLB (13v-11d) et en lui chipant la 5e place au point-average.
L’heure de la revanche
Jacques Alingue devait être surmotivé à l’idée de retrouver la raquette burgienne, l’une des plus redoutables de Jeep ELITE. Zack Peacock et Youssou Ndoye avaient en effet dicté leur loi au match aller dans la confortable victoire des Bressans 74-87. Les deux intérieurs de la JLB avaient planté 19 points chacun alors que le 10 dijonnais avait été limité à 5 points, 4 rebonds et 4 fautes. L’occasion était belle de leur rendre la pareille dans un Ekinox plein à craquer agrémenté d’un kop de supporters de la JDA pour l’occasion.
Fidèle à lui-même, Jacques Alingue s’est épanoui dans le travail de l’ombre, propre et efficace. Avec 14 points à 7/8 à la pause, il a été l’un des seuls à surnager alors que le bateau prend l’eau de toutes parts.
« On a montré un mauvais visage en première mi-temps, en encaissant près de 50 points », a-t-il concédé après le match. « Il fallait les empêcher de prendre des tirs à 3 points et de courir. On est revenu avec beaucoup de défense, et on voit que le match bascule de notre côté au retour des vestiaires. Il n’y a pas de secret, à partir du moment où on joue en défendant, on va gagner plus de matchs ».
« Prouver qu’on a passé un cap »
Les Dijonnais auraient pu tomber dans le piège alors que l’écart a rapidement affiché +15 en faveur des locaux et que Ryan Pearson était scotché sur le banc pour 3 fautes dont une technique généreuse. Mais au lieu de sombrer, ils sont revenus en seconde mi-temps avec un visage beaucoup plus conquérant.
« En première mi-temps on n’était pas satisfait de nous, ni des décisions arbitrales », a poursuivi Jacques Alingue. « On trouvait qu’on parlait trop avec les arbitres et qu’on n’était pas trop concentré. Le coach nous a dit que le respect se méritait sur le terrain. Et qu’actuellement il n’y a pas beaucoup d’équipes qui nous respectent. Il fallait qu’on revienne avec plus d’agressivité pour prouver sur le terrain qu’on a passé un cap depuis un certain temps. Ça nous a motivé ».
Laurent Legname poursuit sur la mi-temps qui a changé la physionomie du match.
« Je n’étais pas satisfait parce qu’on était à 48 points encaissés. Ils étaient à 53% à 3 points, avec beaucoup de contre-attaque, le jeu qu’ils aiment… On n’était pas trop mal mais on avait des petits oublis, il fallait être tout le temps concentré pour ne pas leur laisser ces 2-3 minutes où ils peuvent être insolents et faire cet écart qui aurait été impossible à combler. On est parti à -15 à un moment, c’était bien d’être revenu à -8 avant la mi-temps. C’est ce que je leur avais demandé, en leur disant qu’après ce serait un autre match. Le message était plus mental que technique, le plan de jeu n’a pas changé à la mi-temps. Il fallait juste arrêter de subir. On connaissait très bien les qualités de Bourg, c’était juste l’approche psychologique qu’il fallait changer et c’est ce sur quoi j’ai insisté. En les titillant un peu, en chatouillant leur orgueil. Ils ont eu cette capacité à changer la donne et je les en félicite »
Le coach dijonnais a également salué la performance de son poulain, Jacques Alingue, qu’il a vu évoluer durant de longues saisons jusqu’à ce match d’hier soir, le meilleure de sa prometteuse carrière.
« On connaît ses qualités défensives. Au match aller j’avais choisi de le décaler en 4 pour contrôler Peacock. Mais ce soir j’ai préféré rester sur nos schémas de jeu et il a commencé sur N’Doye. Il est resté sur lui, même s’il a défendu sur Peacock sur certains passages. En attaque c’est quelqu’un de très intelligent. Il sait ce qu’il sait faire et il sait aussi et surtout ce qu’il ne sait pas faire. Et c’est ça qui lui permet de profiter du travail de ses coéquipiers. On est dans un système maintenant où, lui et moi, on se connaît vraiment par cœur. Et à travers la qualité du collectif, de ses partenaires et sa qualité surtout à lui, de se déplacer là où il faut, il arrive toujours à se montrer efficace. Il a beaucoup progressé sur la finition même s’il y a des matchs où il passe encore au travers. Ce soir c’est lui qui sort du lot, il faut reconnaître que ce qu’il fait, c’est super. Je suis très content pour lui, C’est super de voir un joueur progresser comme ça. »
Vucevic : « Difficile quand un coach se sent impuissant »
La réussite de Jacques Alingue a en revanche dû faire passer une mauvaise nuit au coach d’en face, Savo Vucevic, qui risque de cauchemarder encore quelques temps des huit claquettes réussies par l’intérieur de la JDA au nez et à la barbe de ses bigmen.
« Le match de ce soir est une belle leçon qui doit nous aider à comprendre certaines choses. On ne peut jouer qu’un basket collectif. Ce n’est pas possible de laisser deux fois le même joueur marquer seul à trois points, jouer soft, ne pas être concentré. Ce n’est pas normal qu’un jeune joueur comme Alingue mette 8 claquettes sur le match. Que voulez-vous après ça ? C’est difficile quand un coach se sent impuissant, parce qu’il ne sait pas par quoi commencer aux temps morts. on a fait quelque chose que je ne reconnais pas, ce n’est pas mon équipe. Ça fait 15 jours qu’on joue complètement à l’envers » a déclaré Savo Vucevic qui craint également que ce match ne laisse des traces.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/savo-e1521595885195.jpg\")
Comme sur le terrain, Jacques Alingue est pour sa part resté sobre mais efficace au sujet de sa performance :
« J’étais dans un bon jour et mes coéquipiers ont continué à me servir, à me motiver. Ils me disaient que si je pouvais en mettre 40, que je le fasse, que je reste concentré jusqu’au bout. J’ai eu des ballons, on m’a bien servi, voilà le résultat. Je me sens bien dans l’équipe, c’est ma 4e année, je connais très très bien le coach, toutes les conditions sont réunies pour que je fasse une bonne saison ».
Ne pas s’enflammer
Comme l’a confirmé Laurent Legname après la rencontre, même s’il a fallu lui tirer les vers du nez, la JDA est officiellement maintenue ! Mais c’est mal connaître l’ancien arrière toulonnais que de croire que les Dijonnais vont céder à l’euphorie après ce 5e succès en 6 matchs qui place la JDA à la 5e place.
« Non, l’objectif je le répète, c’est de jouer match par match, et on fera les comptes le 15 mai. On va jouer Pau dans dix jours, qui est sur la même série que nous et qui gagne de partout. En plus, ils vont être revanchards par rapport au match aller, on avait gagné de 20 points chez eux. Je ne me concentre que sur ça et je sais que ça va être très dur. L’inquiétude serait de croire qu’il suffit qu’on rentre sur le terrain pour gagner. Il faut qu’on continue à fournir le même travail au quotidien à l’entraînement, c’est ce qui amène ces performances. C’est ce que j’ai demandé aux joueurs après le match, de rester fort mentalement continuer à travailler dur ensemble comme ils le font pour continuer à gagner des matchs. Parce que ça n’arrivera pas tout seul surtout dans cette ligue ».
[armelse]
La JLB a mené les débats en première mi-temps, comptant jusqu’à 15 points d’avance mais Rion Brown (4/4 à 3pts à la pause) a sauvé les meubles en ramenant les siens à -8 à l’heure du repos (48-40). Derrière, les hommes de Laurent Legname ont enchaîné un cinglant 34-10 qui a complètement changé la donne et Bourg-en-Bresse n’a jamais réussi à retrouver son rythme en attaque. Avec ce précieux succès, Dijon réalise un joli coup double en revenant à égalité avec la JLB (13v-11d) et en lui chipant la 5e place au point-average.
L’heure de la revanche
Jacques Alingue devait être surmotivé à l’idée de retrouver la raquette burgienne, l’une des plus redoutables de Jeep ELITE. Zack Peacock et Youssou Ndoye avaient en effet dicté leur loi au match aller dans la confortable victoire des Bressans 74-87. Les deux intérieurs de la JLB avaient planté 19 points chacun alors que le 10 dijonnais avait été limité à 5 points, 4 rebonds et 4 fautes. L’occasion était belle de leur rendre la pareille dans un Ekinox plein à craquer agrémenté d’un kop de supporters de la JDA pour l’occasion.
Fidèle à lui-même, Jacques Alingue s’est épanoui dans le travail de l’ombre, propre et efficace. Avec 14 points à 7/8 à la pause, il a été l’un des seuls à surnager alors que le bateau prend l’eau de toutes parts.
« On a montré un mauvais visage en première mi-temps, en encaissant près de 50 points, a-t-il concédé après le match. Il fallait les empêcher de prendre des tirs à 3 points et de courir. On est revenu avec beaucoup de défense, et on voit que le match bascule de notre côté au retour des vestiaires.
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Avec ce précieux succès, Dijon réalise un joli coup double en revenant à égalité avec la JLB (13v-11d) et en lui chipant la 5e place au point-average.\n\nL’heure de la revanche\n\nJacques Alingue devait être surmotivé à l’idée de retrouver la raquette burgienne, l’une des plus redoutables de Jeep ELITE. Zack Peacock et Youssou Ndoye avaient en effet dicté leur loi au match aller dans la confortable victoire des Bressans 74-87. Les deux intérieurs de la JLB avaient planté 19 points chacun alors que le 10 dijonnais avait été limité à 5 points, 4 rebonds et 4 fautes. L’occasion était belle de leur rendre la pareille dans un Ekinox plein à craquer agrémenté d’un kop de supporters de la JDA pour l’occasion.\n\nFidèle à lui-même, Jacques Alingue s’est épanoui dans le travail de l’ombre, propre et efficace. Avec 14 points à 7/8 à la pause, il a été l’un des seuls à surnager alors que le bateau prend l’eau de toutes parts.\n\n« On a montré un mauvais visage en première mi-temps, en encaissant près de 50 points », a-t-il concédé après le match. « Il fallait les empêcher de prendre des tirs à 3 points et de courir. On est revenu avec beaucoup de défense, et on voit que le match bascule de notre côté au retour des vestiaires. Il n’y a pas de secret, à partir du moment où on joue en défendant, on va gagner plus de matchs ».\n\n« Prouver qu’on a passé un cap »\n\nLes Dijonnais auraient pu tomber dans le piège alors que l’écart a rapidement affiché +15 en faveur des locaux et que Ryan Pearson était scotché sur le banc pour 3 fautes dont une technique généreuse. Mais au lieu de sombrer, ils sont revenus en seconde mi-temps avec un visage beaucoup plus conquérant.\n\n« En première mi-temps on n’était pas satisfait de nous, ni des décisions arbitrales », a poursuivi Jacques Alingue. « On trouvait qu’on parlait trop avec les arbitres et qu’on n’était pas trop concentré. Le coach nous a dit que le respect se méritait sur le terrain. Et qu’actuellement il n’y a pas beaucoup d’équipes qui nous respectent. Il fallait qu’on revienne avec plus d’agressivité pour prouver sur le terrain qu’on a passé un cap depuis un certain temps. Ça nous a motivé ».\n\nLaurent Legname poursuit sur la mi-temps qui a changé la physionomie du match.\n\n« Je n’étais pas satisfait parce qu’on était à 48 points encaissés. Ils étaient à 53% à 3 points, avec beaucoup de contre-attaque, le jeu qu’ils aiment… On n’était pas trop mal mais on avait des petits oublis, il fallait être tout le temps concentré pour ne pas leur laisser ces 2-3 minutes où ils peuvent être insolents et faire cet écart qui aurait été impossible à combler. On est parti à -15 à un moment, c’était bien d’être revenu à -8 avant la mi-temps. C’est ce que je leur avais demandé, en leur disant qu’après ce serait un autre match. Le message était plus mental que technique, le plan de jeu n’a pas changé à la mi-temps. Il fallait juste arrêter de subir. On connaissait très bien les qualités de Bourg, c’était juste l’approche psychologique qu’il fallait changer et c’est ce sur quoi j’ai insisté. En les titillant un peu, en chatouillant leur orgueil. Ils ont eu cette capacité à changer la donne et je les en félicite »\n\nLe coach dijonnais a également salué la performance de son poulain, Jacques Alingue, qu’il a vu évoluer durant de longues saisons jusqu’à ce match d’hier soir, le meilleure de sa prometteuse carrière.\n\n« On connaît ses qualités défensives. Au match aller j’avais choisi de le décaler en 4 pour contrôler Peacock. Mais ce soir j’ai préféré rester sur nos schémas de jeu et il a commencé sur N’Doye. Il est resté sur lui, même s’il a défendu sur Peacock sur certains passages. En attaque c’est quelqu’un de très intelligent. Il sait ce qu’il sait faire et il sait aussi et surtout ce qu’il ne sait pas faire. Et c’est ça qui lui permet de profiter du travail de ses coéquipiers. On est dans un système maintenant où, lui et moi, on se connaît vraiment par cœur. Et à travers la qualité du collectif, de ses partenaires et sa qualité surtout à lui, de se déplacer là où il faut, il arrive toujours à se montrer efficace. Il a beaucoup progressé sur la finition même s’il y a des matchs où il passe encore au travers. Ce soir c’est lui qui sort du lot, il faut reconnaître que ce qu’il fait, c’est super. Je suis très content pour lui, C’est super de voir un joueur progresser comme ça. »\n\nVucevic : « Difficile quand un coach se sent impuissant »\n\nLa réussite de Jacques Alingue a en revanche dû faire passer une mauvaise nuit au coach d’en face, Savo Vucevic, qui risque de cauchemarder encore quelques temps des huit claquettes réussies par l’intérieur de la JDA au nez et à la barbe de ses bigmen.\n\n« Le match de ce soir est une belle leçon qui doit nous aider à comprendre certaines choses. On ne peut jouer qu’un basket collectif. Ce n’est pas possible de laisser deux fois le même joueur marquer seul à trois points, jouer soft, ne pas être concentré. Ce n’est pas normal qu’un jeune joueur comme Alingue mette 8 claquettes sur le match. Que voulez-vous après ça ? C’est difficile quand un coach se sent impuissant, parce qu’il ne sait pas par quoi commencer aux temps morts. on a fait quelque chose que je ne reconnais pas, ce n’est pas mon équipe. Ça fait 15 jours qu’on joue complètement à l’envers » a déclaré Savo Vucevic qui craint également que ce match ne laisse des traces.\n\nComme sur le terrain, Jacques Alingue est pour sa part resté sobre mais efficace au sujet de sa performance :\n\n« J’étais dans un bon jour et mes coéquipiers ont continué à me servir, à me motiver. Ils me disaient que si je pouvais en mettre 40, que je le fasse, que je reste concentré jusqu’au bout. J’ai eu des ballons, on m’a bien servi, voilà le résultat. Je me sens bien dans l’équipe, c’est ma 4e année, je connais très très bien le coach, toutes les conditions sont réunies pour que je fasse une bonne saison ».\n\nNe pas s’enflammer\n\nComme l’a confirmé Laurent Legname après la rencontre, même s’il a fallu lui tirer les vers du nez, la JDA est officiellement maintenue ! Mais c’est mal connaître l’ancien arrière toulonnais que de croire que les Dijonnais vont céder à l’euphorie après ce 5e succès en 6 matchs qui place la JDA à la 5e place.\n\n« Non, l’objectif je le répète, c’est de jouer match par match, et on fera les comptes le 15 mai. On va jouer Pau dans dix jours, qui est sur la même série que nous et qui gagne de partout. En plus, ils vont être revanchards par rapport au match aller, on avait gagné de 20 points chez eux. Je ne me concentre que sur ça et je sais que ça va être très dur. L’inquiétude serait de croire qu’il suffit qu’on rentre sur le terrain pour gagner. Il faut qu’on continue à fournir le même travail au quotidien à l’entraînement, c’est ce qui amène ces performances. C’est ce que j’ai demandé aux joueurs après le match, de rester fort mentalement continuer à travailler dur ensemble comme ils le font pour continuer à gagner des matchs. Parce que ça n’arrivera pas tout seul surtout dans cette ligue ».\n\n[armelse]\n\nLa JLB a mené les débats en première mi-temps, comptant jusqu’à 15 points d’avance mais Rion Brown (4/4 à 3pts à la pause) a sauvé les meubles en ramenant les siens à -8 à l’heure du repos (48-40). Derrière, les hommes de Laurent Legname ont enchaîné un cinglant 34-10 qui a complètement changé la donne et Bourg-en-Bresse n’a jamais réussi à retrouver son rythme en attaque. Avec ce précieux succès, Dijon réalise un joli coup double en revenant à égalité avec la JLB (13v-11d) et en lui chipant la 5e place au point-average.\n\nL’heure de la revanche\n\nJacques Alingue devait être surmotivé à l’idée de retrouver la raquette burgienne, l’une des plus redoutables de Jeep ELITE. Zack Peacock et Youssou Ndoye avaient en effet dicté leur loi au match aller dans la confortable victoire des Bressans 74-87. Les deux intérieurs de la JLB avaient planté 19 points chacun alors que le 10 dijonnais avait été limité à 5 points, 4 rebonds et 4 fautes. L’occasion était belle de leur rendre la pareille dans un Ekinox plein à craquer agrémenté d’un kop de supporters de la JDA pour l’occasion.\n\nFidèle à lui-même, Jacques Alingue s’est épanoui dans le travail de l’ombre, propre et efficace. Avec 14 points à 7/8 à la pause, il a été l’un des seuls à surnager alors que le bateau prend l’eau de toutes parts.\n\n« On a montré un mauvais visage en première mi-temps, en encaissant près de 50 points, a-t-il concédé après le match. Il fallait les empêcher de prendre des tirs à 3 points et de courir. On est revenu avec beaucoup de défense, et on voit que le match bascule de notre côté au retour des vestiaires.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-21T09:55:58.000Z", "updated_at":"2018-03-21T18:43:19.000Z", "published_at":"2018-03-21T09:55:58.000Z", "custom_excerpt":"Auteur du meilleur match de sa carrière en pro avec 27 points à 13/14 au tir, 14 rebonds et l’intérieur dijonnais Jacques Alingue (29 ans, 2,03m) a été le héros de l’autre derby de la soirée opposant Bourg-en-Bresse à la JDA qui a enchaîné une 5e victoire sur ses six derniers matchs (78-96).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d6a", "uuid":"f05abb7b-9bd2-4fa9-a150-c29ba215a0e7", "title":"Jeep Elite: Boulazac et Hyères-Toulon sont-ils déjà condamnés à la Pro B ?", "slug":"jeep-elite-boulazac-et-hyeres-toulon-sont-ils-deja-condamnes-a-la-pro-b", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/boulazac.png\",\"width\":500,\"height\":316}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Boulazac et Hyères-Toulon sont-ils déjà condamnés à la Pro B?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mathématiquement, non, évidemment. 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Boulazac et Hyères-Toulon sont-ils déjà condamnés à la Pro B?
Mathématiquement, non, évidemment. Il reste 10 matches à jouer pour les Boulazacois et même un de plus pour les Toulonnais qui reçoivent Le Portel vendredi.
Seulement d’autres chiffres n’incitent pas à l’optimisme. L’Elan Chalon possède deux victoires de mieux que Boulazac et trois vis à vis de Hyères-Toulon et personne n’imagine que les champions de France en titre ne vont pas se sortir du guêpier. Or Châlons-Reims, Cholet et Antibes ont trois victoires d’avance, ce qui est énorme quand vous êtes en queue de peloton et que, par définition, vous ne gagnez pas souvent.
Le HTV n’a remporté qu’un seul de ses 14 derniers matches. Il faudrait une opération du Saint-Esprit pour inverser la courbe.
Le BBD, lui, jouait hier soir un match capital au Palio contre Antibes. Résultat: 78-91. Et comme les Azuréens avaient également empoché le match aller, le point-average est pour eux.
Le jeu collectif des Antibois a été dominateur comme en atteste leur nombre de passes décisives bien supérieur: 23 à 11. Ils ont aussi pu compter au pivot sur un Mouph Yarou à son top-niveau, 20 points (10/13 aux tirs) et 11 rebonds.
« Défensivement, ce match ressemble à ce qui se passe habituellement », a commenté Claude Bergeaud, le coach du BBD en conférence de presse, propos rapportés par France Bleu Périgord. « C’est ma frustration. Je suis en échec complètement sur ma capacité à faire défendre cette équipe sur des choses basiques telles que faire des fautes. L’équipe ne fait pas d’efforts collectifs avec des individus -c’est trop facile de se mettre toujours avec le parapluie du collectif et de dire, « c’est l’autre, c’est le pick »- qui sur deux mètres prennent trois mètres. «
Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir fait remarquer un journaliste:
« Ce n’est pas impossible mais ça va être très compliqué. Il faut arrêter de se mentir. La méthode Coué, c’est bien, mais à un moment donné il faut regarder les réalités en face. Il y a plein de détails. Ce soir, on est archi-agressé et il y a rien en retour. Ce soir, il faut déclencher une bagarre dans un match comme ça. Je suis très sérieux. On ne peut pas se faire agresser avec les mains devant. A un moment donné, il faut mettre une patate. Pour faire comprendre que l’on est des petits et qu’on se révolte. Mais il n’y a pas cette réaction et ça ne viendra pas de moi parce que je ne l’ai jamais fait et je ne le ferai jamais. Par contre, s’il y a des joueurs qui se sentent frustrés, qui cassent des bouteilles dans les vestiaires, fucking refs!, fucky refs!, hé! les gars, réagissez sur le terrain! Montrez que vous n’êtes pas contents. »
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Bathiste Tchouaffé (1,96 m, 19 ans, Nanterre) et Jaylen Hoard (2,05
m, 19 ans, Wesleyan Christian Academy, Caroline du Nord) participeront au Hoop Summit, qui se tiendra au Moda Center de Portland -la salle des TrailBlazers- du 9 au 13 avril.Les deux Français feront partie de l’équipe du Monde (nés en 1999 et après) qui affrontera une sélection des meilleurs joueurs américains de lycées.
Quinze Français ont par le passé participé au Hoop Summit dont Tony Parker, Nicolas Batum et Evan Fournier.
Plus de renseignements sur BasketUSA.
Photo: FIBA Europe
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« Les gens nous voient plus beaux qu’on est parce qu’on a le palais des sports et un grand passé. Mais aujourd’hui l’Elan a des problèmes de ressources », déclare le Directeur Général de Pau, Didier Gadou dans L’Equipe du jour rappelant que le club présente une masse salariale inférieure à celle de la saison dernière (1 351 000 euros, la 9e de Jeep Elite) et qu’il n’a pas de préparateur physique à disposition. La raison: la situation financière de l’Elan Béarnais était mauvaise à la fin du dernier exercice et il faut absolument l’améliorer.
Hier soir, sur le terrain, la disparité de revenus avec le vieux rival limougeaud ne s’est pas vu, au contraire. Les Palois ont dominé un clasico qui ne fera pas date. Ceci même si le score final (84-66) est sévère pour le rival du Limousin.
Les hommes de Laurent Vila ont fait vaciller ceux de Kyle Milling à trois-points: 12/26 contre 3/21 ! Les Palois ont pu compter sur deux Américains en pleine confiance, Chris Dowe (23 points, 3/5 à trois-points, 4 rebonds et 6 passes) et Ken Horton (24 points, 5/8 à trois-points, 7 rebonds) et aussi un valeureux Vitalis Chikoko à l’intérieur (10 points, 4 rebonds, 4 passes). La défaillance d’Elie Okobo (2 points, 2 d’éval) n’a même pas été trop sensible.
Ce qui fait que Pau n’est plus qu’à une victoire de son rival. Et si les Béarnais sont à 5 succès sur les 6 derniers matches, les Limougeaud, eux, n’ont plus gagné à l’extérieur depuis le 2 décembre à Nanterre. La preuve ultime d’une équipe fragile mentalement.
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Elle a des passages difficiles mais ne lâche jamais rien\"],[0,[],0,\" ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Si à la mène du BCM, Benjamin Sène a été resplendissant (22 points, 4/7 à trois-points, 26 d’évaluation), à l’intérieur le Croate de la SIG, Miro Bilan (17 points, 7 rebonds) a fait parler sa classe. L’absence de Chris Otule, Strasbourgeois en début de saison, a été préjudiciable pour les Nordistes.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[0],1,\"Les gens retiendront peut être que l’on a perdu à domicile contre Strasbourg mais moi ce que je retiens c’est qu’on a fait un très bon match de basket ! », s’est félicité Julien Mahé » On a eu des périodes vraiment très bonnes. Il faut avoir conscience qu’en face c’est une armada ! On ne joue pas du tout dans la même catégorie et encore moins ce soir avec un meneur et un poste 5 en moins. On a fait un match de trainard mais il ne fallait pas croire qu’on allait mener non plus. On s’est mis dans les conditions d’être dans le match jusqu’au bout sauf qu’à la fin on a manqué de lucidité. (…) Nous avions recruté Chris Otule pour jouer ce genre de match, c’est ce qui est terrible dans le timing de cette blessure. Je suis vraiment déçu que ce soir il n’ait pas pu nous aider parce que face à Bilan on fait ce qu’on peut mais on ne peut pas faire beaucoup plus.\"],[0,[],0,\" \"],[0,[0],1,\"Mais ce soir je pense qu’on a vu une bonne prestation de notre équipe, un bon match mais il faut savoir mettre les tirs ouverts face à une équipe comme Strasbourg\"],[0,[],0,\" ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ceci dit, la position du BCM est devenue inconfortable. 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Strasbourg a battu Gravelines 76-71, à Sportica, mais au final les deux coaches étaient satisfaits. Vincent Collet parce qu’il a gagné, Julien Mahé du fait que son équipe a fait un bon match.
« On l’emporte mais je pense que l’on a manqué un peu de sérieux par moments. Gravelines était très courageux et très vaillant. Ils n’ont jamais lâché même si on arrivait à avoir un petit pécule, à chaque fois ils ont ferraillé pour revenir dans le match… Et à la fin, malgré tout, ça a failli être plus que ça », a constaté Vincent Collet. « Ce soir notre profondeur de banc a probablement fait la différence face à eux. Mais il ne faut pas enlever le mérite de Gravelines qui a fait un match très valeureux et bien construit. Séné et Serron ont été très bons sur ce match. Mipoka a apporté aussi. Ils ont très bien défendu sur nos shooteurs, comme David qui n’avait pas beaucoup d’espace ce soir. Gravelines est une équipe qui montre du cœur cette saison. Elle a des passages difficiles mais ne lâche jamais rien ».
Si à la mène du BCM, Benjamin Sène a été resplendissant (22 points, 4/7 à trois-points, 26 d’évaluation), à l’intérieur le Croate de la SIG, Miro Bilan (17 points, 7 rebonds) a fait parler sa classe. L’absence de Chris Otule, Strasbourgeois en début de saison, a été préjudiciable pour les Nordistes.
« Les gens retiendront peut être que l’on a perdu à domicile contre Strasbourg mais moi ce que je retiens c’est qu’on a fait un très bon match de basket ! », s’est félicité Julien Mahé » On a eu des périodes vraiment très bonnes. Il faut avoir conscience qu’en face c’est une armada ! On ne joue pas du tout dans la même catégorie et encore moins ce soir avec un meneur et un poste 5 en moins. On a fait un match de trainard mais il ne fallait pas croire qu’on allait mener non plus. On s’est mis dans les conditions d’être dans le match jusqu’au bout sauf qu’à la fin on a manqué de lucidité. (…) Nous avions recruté Chris Otule pour jouer ce genre de match, c’est ce qui est terrible dans le timing de cette blessure. Je suis vraiment déçu que ce soir il n’ait pas pu nous aider parce que face à Bilan on fait ce qu’on peut mais on ne peut pas faire beaucoup plus. Mais ce soir je pense qu’on a vu une bonne prestation de notre équipe, un bon match mais il faut savoir mettre les tirs ouverts face à une équipe comme Strasbourg ».
Ceci dit, la position du BCM est devenue inconfortable. Huit équipes se tiennent en deux victoires et les Gravelinois, qui n’ont gagné que trois fois sur les dix derniers matches, se doivent d’enclencher une nouvelle dynamique au plus vite.Photo: BCM
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/jonathan-rousselle.jpg\")
Final crispant pour les nerfs à La Meilleraie.
Jonathan Rousselle obtient trois lancers mais n’en met que deux. Cholet se retrouve ainsi à un point de Levallois. Abdoulaye Ndoye seul en contre-attaque se fait contrer par Gavin Ware.
Au passage, le pivot américain des Metropolitans (2,06m, 24 ans) aura été gargantuesque avec 17 points et 15 rebonds !
Donc toujours balle aux Choletais qui la perdent sur la remise en jeu. Deux lancers pour Louis Campbell qui n’en transforme qu’un. 65-63. 16 secondes à jouer. CB a donc toujours la possibilité d’égaliser et même de gagner le match. Seulement David Michineau à trois-points, Yancy Gates puis Jerry Boutsiele loupent chacun à leur tour la cible.
Cholet est maintenant à deux victoires du huitième.
« Le calendrier nous offre une mini-pause c’est bien pour Jonathan (Rousselle) qui n’a eu que trois jours de pause en février, pareil pour Abdou (Ndoye). On espère pouvoir récupérer nos blessés. Pour les playoffs c’est difficile, pas impossible mais difficile. Après notre match à Gravelines, il fallait en gagner 2 sur les 3 et on en gagne aucun, mais il nous reste 10 matches, donc ce n’est pas impossible, » a estimé Philippe Hervé en conférence de presse.
Quant à Jonathan Rousselle, il est beaucoup moins optimiste que son coach:
« Clairement on vient de tirer un trait sur les play-offs. Tu perds maintenant, tu regardes derrière et tu va jouer des matches à pression jusqu’à la fin de saison. Au vue de nos performances, on n’est pas une équipe de playoffs. Ce qui nous plombe c’est qu’on reste à 63 points. La semaine dernière, on laisse Limoges à 67 points, là à 65 mais on manque de talent, donc il faut exécuter les systèmes à la perfection tout le temps. Ca aurait pu nous sourire à la fin. Quand tu regardes le match, Levallois mérite la victoire. Il nous manque des armes. On est là et finalement on perd face à un concurrent direct… »
Photo: Jonatan Rousselle (CB)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/asvel.jpg\")
18/29 à trois-points. 33 passes décisives. 141 à l’évaluation. L’ASVEL a réalisé un show offensif hier soir à l’Astroballe face à Chalon.
Individuellement, Charles Kahudi a été le plus prolifique avec 20 points à 8/10 aux tirs et 7 rebonds pour 27 d’éval.
Sur une bonne dynamique, l’Elan Chalon a réalisé une véritable opération portes ouvertes défensivement et elle a été engloutie, 104-90. Ce malgré une certaine réussite offensive (12/25 à trois-points) et un Jeremy Nzeulie une fois encore épatant (25 points, 28 d’évaluation).
« Ils sont revenus à cinq points mais on n’a pas craqué et puis il faut dire que ce soir, on a pu compter sur une adresse exceptionnelle », a reconnu TJ Parker en conférence de presse. « Mais ce que je retiens évidemment, ce sont les 33 passes décisives. Après, je ne suis pas naïf, je sais que la défense n’est pas la plus grande force de Chalon, mais on a fait exactement ce qu’il fallait en attaque. Quand tu gagnes un match, il y a forcément des ondes positives qui reviennent donc ça rassure toujours. Les joueurs ont apporté une belle réponse ce soir mais j’attends la même réponse à chacun de nos matchs. »
Comme l’ASVEL restait sur trois échecs de suite en Jeep Elite et quatre en cinq matches, Nicolas Lang appréciait à fond la tournure des événements.
« Ca fait du bien ! Il n’y a pas de secret, quand on fait bouger la balle de cette manière, c’est beaucoup plus facile. Après, on ne mettra pas toujours autant de tirs, mais au moins, on a les bonnes intentions. Maintenant, si on veut aller là où l’on veut aller, on va devoir monter d’un cran et appuyer sur notre défense, qui est encore en chantier. »
Photo: ASVEL
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Idem pour le Panathinaikos qui s’est facilement débarrassé de l’Etoile Rouge de Belgrade (91-71).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le Khimki Moscou et Kaunas pourront quant à eux faire de même lors de la prochaine journée… qui arrive dès jeudi ! A l’inverse, ça se complique pour le Maccabi Tel Aviv, défait à Istanbul face au Fener.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Valence s’offre le Real\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Fabien Causeur avait raison de s’inquiéter du court déplacement du Real à Valence. Les champions d’Espagne ont effectivement réagi avec fierté après leur dernière défaite et c’est Madrid qui a mangé chaud (96-88). Bojan Dubljevic (17 points, 7 rebonds) a été le grand artisan de la victoire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Valence a plusieurs fois fait l’écart, comptant 13 points d’avance tôt en 3e quart, mais le Real est revenu derrière un immense Facundo Campazzo (17 points, 12 passes) et la défense de Jeffery Taylor (17 points). En fin de partie, l’adresse de loin de Valence (15/30), et Joan Sastre en l’occurrence, a fait la différence pour de bon.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Malgré la défaite, le Real se qualifie pour les prochains playoffs, au petit jeu des ties breaks avec Kaunas.\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le Panathinaikos file en playoffs\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce n’était qu’une question de temps pour la Green Army mais c’est désormais chose faite. 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Bien que surpris par Valence, le Real Madrid vient de composter son billet pour les prochains playoffs. Idem pour le Panathinaikos qui s’est facilement débarrassé de l’Etoile Rouge de Belgrade (91-71).
Le Khimki Moscou et Kaunas pourront quant à eux faire de même lors de la prochaine journée… qui arrive dès jeudi ! A l’inverse, ça se complique pour le Maccabi Tel Aviv, défait à Istanbul face au Fener.
Fabien Causeur avait raison de s’inquiéter du court déplacement du Real à Valence. Les champions d’Espagne ont effectivement réagi avec fierté après leur dernière défaite et c’est Madrid qui a mangé chaud (96-88). Bojan Dubljevic (17 points, 7 rebonds) a été le grand artisan de la victoire.
Valence a plusieurs fois fait l’écart, comptant 13 points d’avance tôt en 3e quart, mais le Real est revenu derrière un immense Facundo Campazzo (17 points, 12 passes) et la défense de Jeffery Taylor (17 points). En fin de partie, l’adresse de loin de Valence (15/30), et Joan Sastre en l’occurrence, a fait la différence pour de bon.
Malgré la défaite, le Real se qualifie pour les prochains playoffs, au petit jeu des ties breaks avec Kaunas.
Ce n’était qu’une question de temps pour la Green Army mais c’est désormais chose faite. Après avoir étrille l’Etoile Rouge, le Pana obtient donc aussi son ticket pour les playoffs (91-71).
Mathias Lessort (9 points, 6 rebonds) et les siens n’auront pas pesé bien lourd face à l’armada grecque emmenée par Chris Singleton (21 points) et Nick Calathes (17 points, 10 passes, 6 interceptions, 5 rebonds).
Fabien Causeur (Real Madrid) : 12 points (5/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 23 minutes
Mathias Lessort (Etoile Rouge) : 9 points (4/8 aux tirs), 6 rebonds, 4 balles perdues en 22 minutes
Amath M’Baye (Milan) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 1 contre en 13 minutes
Axel Toupane (Kaunas) : 1 point (0/1 au tir), 3 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 17 minutes
Antoine Diot (Valence) : blessé
C’est un grand classique de la saison pour Kaunas : la connexion Kevin Pangos – Aaron White au alley oop. Mais ce qui est encore plus remarquable, c’est que White a tout simplement enchaîné 14 points de suite à cheval sur les 3e et 4e quarts pour prendre les commandes du match !
Mardi 20 mars :
Fenerbahçe – Maccabi Tel Aviv (87-73)
Zalgiris Kaunas – Milan (77-65)
Panathinaikos – Etoile Rouge (91-71)
Valence – Real Madrid (96-88)
Mercredi 21 mars :
CSKA Moscou – Olympiakos (18h)
Efes Istanbul – Khimki Moscou (18h45)
Vitoria – Bamberg (20h30)
Malaga – Barcelone (20h45)
Jeudi 22 mars :
Etoile Rouge – Fenerbahçe (19h)
Maccabi Tel Aviv – Panathinaikos (20h05)
Real Madrid – Zalgiris Kaunas (20h45)
Milan – Valence (20h45)
Vendredi 23 mars :
Khimki Moscou – CSKA Moscou (18h)
Bamberg – Malaga (19h)
Olympiakos – Efes Istanbul (20h)
Barcelone – Vitoria (21h)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/elj27.png\")
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En quart de finale aller de FIBA Europe Cup, l’ESSM Le Portel s’est incliné 62-76 face aux Bakken Bears de Arhus au Danemark. Il leur faudra accomplir un nouvel exploit pour se qualifier au retour.
Décrochée en première mi-temps, l’ESSM était revenue à quatre points mais une violente charge des Danois les a peu à peu largués au score. Le point culminant s’est situé à 52-74 à 4 minutes 26 de la fin du match. Suite à un temps-mort d’Eric Girard, les Portelois ont bien réagi en fin de match pour limiter un peu la casse.
Les Bakken Bears ont puissamment dominé au rebond, 51-38. Le duo d’Américains, Jeff Crockett (21 points, 9 rebonds)-Tony Bishop (12 points, 11 rebonds) a fait du mal à la défense stelliste. Trae Golden (17 points), Frank Hassell (16 points, 7 rebonds) et Jean-Victor Traore (9 points, 8 rebonds) ont été les plus efficaces du côté de l’ESSM.
Le match retour sera tiendra au Chaudron du Portel le mardi 27 mars.
Photo: Victor Traoré (FIBA Europe)
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Cette semaine, c’est double ration d’Euroleague !
Avec deux journées en une semaine, les joueurs de la compétition reine vont devoir mettre les bouchées double… et ça vaut pour Fabien Causeur et le Real Madrid qui se déplacent à Valence ce soir avant de recevoir le Zalgiris jeudi.
Elu MVP de la 25e journée avec 26 points, 4 rebonds et 4 passes dans la victoire face au Pana, Causeur est confiant pour la fin de saison de son équipe. Et l’objectif est clair : l’avantage du terrain en playoffs !
« Ces deux victoires étaient très importantes pour nous afin de se replacer au classement », expliquent Causeur sur le site de l’Euroleague. « On veut obtenir l’avantage du terrain pour les playoffs, ce que tout le monde recherche. J’étais très content de ma performance face au Panathinaikos mais encore plus de la victoire car le Pana est un concurrent direct dans la course aux playoffs. On devait réagir après les défaites à domicile face à Olympiakos et Fenerbahçe. J’ai réussi mon meilleur match au meilleur moment et j’espère que je vais pouvoir garder ce rythme. Peut-être pas au niveau des stats mais en restant confiant, agressif et prêt à aider l’équipe. »
Mais l’avantage du terrain ne fait pas tout ! Pour Causeur et le Real, il s’agira également d’arriver lancés !
« Certains disent que l’avantage du terrain est très important, d’autres assurent qu’il vaut mieux arriver en forme pour les playoffs. Mais la vérité, c’est qu’on cherche tous à avoir les deux. L’avantage du terrain est énorme car on a les fans derrière nous et on n’a pas à voyager dès le début de la série. Mais c’est aussi très dangereux si on s’incline. Le momentum est également très important. On a tout le monde, à part Sergio Llull qui a encore besoin de temps. Luka va revenir également avec plus d’énergie. On va arriver en playoffs en grande forme. »
Actuellement 4e, le Real peut encore espérer rattraper le Fener et l’Olympiakos pour les 2e ou 3e place mais il faudra également faire attention derrière avec le Khimki, le Pana et Kaunas en embuscade… D’autant plus que Madrid reçoit Kaunas jeudi !
« Gagner à Valence serait très important pour nous car c’est une équipe difficile à battre. Ils sont les champions en titre en Espagne et ils veulent le prouver à chaque fois qu’ils jouent contre une autre équipe espagnole. C’est pour ça qu’on doit commencer fort, comme on l’a fait ces deux derniers matchs en Euroleague. »
A lire aussi : notre interview avec Fabien Causeur
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On devait réagir après les défaites à domicile face à Olympiakos et Fenerbahçe. J’ai réussi mon meilleur match au meilleur moment et j’espère que je vais pouvoir garder ce rythme. Peut-être pas au niveau des stats mais en restant confiant, agressif et prêt à aider l’équipe. »\n\n\n« L’avantage du terrain est aussi très dangereux si on s’incline »\n\nMais l’avantage du terrain ne fait pas tout ! Pour Causeur et le Real, il s’agira également d’arriver lancés !\n\n« Certains disent que l’avantage du terrain est très important, d’autres assurent qu’il vaut mieux arriver en forme pour les playoffs. Mais la vérité, c’est qu’on cherche tous à avoir les deux. L’avantage du terrain est énorme car on a les fans derrière nous et on n’a pas à voyager dès le début de la série. Mais c’est aussi très dangereux si on s’incline. Le momentum est également très important. On a tout le monde, à part Sergio Llull qui a encore besoin de temps. Luka va revenir également avec plus d’énergie. On va arriver en playoffs en grande forme. »\n\nActuellement 4e, le Real peut encore espérer rattraper le Fener et l’Olympiakos pour les 2e ou 3e place mais il faudra également faire attention derrière avec le Khimki, le Pana et Kaunas en embuscade… D’autant plus que Madrid reçoit Kaunas jeudi !\n\n« Gagner à Valence serait très important pour nous car c’est une équipe difficile à battre. Ils sont les champions en titre en Espagne et ils veulent le prouver à chaque fois qu’ils jouent contre une autre équipe espagnole. 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\\nHad a great season in #EuroLeagueWomen – was in my All-Star Regular Season Team 🔥🔥🔥🔥🔥
\\nI have always been a big fan. She is now ready to go back Stateside and make an impact. pic.twitter.com/1eBtzsvQ4p
\\n— @Basketmedia365 🏀♀️🏀 Paul Nilsen (@basketmedia365) March 20, 2018
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La Berruyère Valériane Ayayi (1,83m, 24 ans en avril) a signé un contrat avec les Las Vegas Aces (ex-San Antonio) annonce le journaliste Paul Nilsen spécialisé en basket féminin européen. Valériane Ayayi est la deuxième Française a devoir jouer en WNBA cet été avec Endy Miyem (Minnesota Lynx) alors que Lisa Berkani a été drafté en 2017 par cette même franchise.
Cette année, la Coupe du Monde en Espagne est programmée du 22 au 30 septembre, ce qui ne l’a rend pas incompatible avec le calendrier de la WNBA même s’il faudra des arrangements avec le programme de préparation des Bleues.
La Berruyère a déjà joué pour la franchise du Nevada lorsqu’elle était installée à San Antonio. C’était en 2015. 16 matches, 9 minutes et 2,3 points en moyenne.
Valériane Ayayi a tourné cette saison à 12,4 points, 6,1 rebonds et 3,7 passes en Euroleague obtenant ainsi la meilleure évaluation (15,8) de son équipe.
Photo: FIBA Europe
\nCongratulations @valeriane_ayayi on signing @WNBA contract with @LVAces #wnba
\nHad a great season in #EuroLeagueWomen – was in my All-Star Regular Season Team 🔥🔥🔥🔥🔥
\nI have always been a big fan. She is now ready to go back Stateside and make an impact. pic.twitter.com/1eBtzsvQ4p
\n— @Basketmedia365 🏀♀️🏀 Paul Nilsen (@basketmedia365) March 20, 2018
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/david-logan-e1521392027222.jpg\")
Ils sont vingt-deux joueurs de Jeep Elite à avoir arpenté les parquets d’Euroligue par le passé, pour certains le temps d’un match ou d’une saison, pour d’autres de manière durable. Qui sont-ils ? Quel est leur profil ?
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Les joueurs confirmés d’Euroleague semblent, a priori, inaccessibles aux clubs de Jeep Elite. La faute à des salaires sans commune mesure entre ce qui se pratique dans la meilleure compétition continentale et ce que peuvent proposer les clubs français les plus huppés, mais aussi à l’absence de nos équipes dans cette compétition. Pourtant, en examinant la composition des équipes de Jeep Elite sur cette saison 2017-2018, on s’aperçoit que ce sont pas moins de 22 joueurs qui ont à un moment ou à un autre de leur carrière arpenté les parquets d’Euroleague avec, pour certains, un rôle non-négligeable (nous avons écarté de cette liste les joueurs qui n’ont fréquenté l’Euroleague qu’au sein de clubs français, Limoges ou Strasbourg dernièrement).
Américain (seuls quatre joueurs sur 22 ne sont pas originaires du continent nord-américain), le « joueur-type de Jeep Elite ayant un passé en Euroleague » présente le portrait-robot suivant : il a joué 2,3 saisons en Euroleague pour un peu plus de 31 matchs et des moyennes de 7,3 points, 2,4 rebonds et 1,6 passe décisive. En somme, un bon joueur situé quelque part entre le cinq majeur et les deux-trois premières rotations. Sur le terrain, il s’agit d’un meneur ou d’un arrière (14 joueurs sur 22 à ces postes, contre deux ailiers et 6 intérieurs).
Si huit de ces joueurs n’ont pas atteint la barre des vingt matchs d’Euroleague joués, dont Chris Lofton (Le Mans), qui n’a foulé ces parquets que pendant 8 minutes à l’occasion d’un seul match (avec Vitoria en 2009-2010), ils sont 7 à en avoir plus de 30 à leur actif sur trois à sept saisons, avec en tête d’affiche David Logan, présent à 120 reprises en Euroleague sur sept saisons pour un excellent rendement : 11,5 points, 2 rebonds, 2,1 passes.
Suivent Shawn James et Samardo Samuels, 74 rencontres à leur actif chacun, en cinq et trois campagnes respectivement, pour des rendements loin d’être anecdotiques : 7,1 pts et 4,1 rbds pour le premier, 9,3 pts et 4 rbds pour le second. Arrivent ensuite deux « habitués » de la Jeep Elite, Heiko Schaffartzik et Demarcus Nelson, respectivement 63 et 52 matchs d’Euroleague au compteur en quatre saisons (7 pts, 3 pds pour le premier, 7,6 pts, 2,3 pds pour le second). Miro Bilan a pour sa part joué 43 matchs d’EL en trois saisons pour le meilleur bilan (sans jeu de mots) de cette « confrérie » : 12,1 pts et 6,2 rbds.
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DeMarcus Nelson (Panathinaikos/Euroleague)
« Nos » joueurs d’Euroleague y ont fréquenté quelques très belles écuries. Cinq d’entre-eux sont ainsi passés par le Panathinaïkos : David Logan, Demarcus Nelson, AJ Slaughter, Zack Wright et Steven Smith. Et leur apport n’y était pas minime, variant entre 6,5 pts/match (Logan) et 9,7 pts (Slaughter).
Quatre ont fréquenté l’Euroleague avec Vitoria : Logan (qui a joué l’EL pour cinq clubs différents), Taqwa Pinero, Kevin Jones (le temps de 11 matchs au début de cette saison) et Chris Lofton, pour un rendement variant de 4,7 pts (Jones) à 10 pts (Logan), Pinero ayant joué trois matchs pour 0,7 pt de moyenne après avoir commencé la saison à Malaga (où il scorait 11,7 pts/match d’EL).
Trois sont passés par Milan : Shawn James (qui a aussi joué pour le Maccabi Tel-Aviv, avec qui il a remporté l’EL 2014, et l’Olympiakos), Samardo Samuels et Trenton Meacham. Des trois, seul Samuels a laissé sa marque en Italie, produisant deux saisons à 9,5 et 12,9 pts.
Si aucun de ces joueurs ne peut être considéré comme ayant été un joueur majeur d’Euroleague à l’exception de David Logan (et de Shawn James dans une moindre mesure), nombre d’entre-eux ont eu un vrai rôle en Euroleague. Ainsi, ils sont 14 à afficher une moyenne de points supérieure à 7, dont cinq ayant scoré 9 points et plus par match (Bilan, Logan, Slaughter, Samuels et Pinero). A contrario, d’autres joueurs n’ont fait que passer dans la grande ligue européenne, tels Chris Lofton, JR Reynolds, Damian Rudez, Willie Deane ou Kevin Jones.
Comment expliquer que l’on trouve tant de joueurs ayant un passé Euroleague « confortable » en Jeep Elite aujourd’hui ? Même si les salaires français grimpent un peu dans les grandes écuries, ils ne sont pas à la hauteur de ce qui se pratique en Euroleague dans la plupart des équipes. Pour certains, ils ont à l’occasion trouvé leurs limites et sont repartis vers des niveaux plus en adéquation avec leurs compétences. Pour d’autres, ce sont les blessures (Shawn James) ou quelques errances (Samardo Samuels) qui les ont amené à tenter de se relancer (ou d’achever leur carrière) en France.
Mais l’une des principales raisons qui rend certains de ces joueurs accessibles aux clubs français, c’est leur âge. Huit d’entre-eux ont ainsi 35 ans ou plus (Willie Deane, Jerel Blassingame, David Logan, Shawn James, Taqwa Pinero, Steven Smith, JR Reynolds, Heiko Schaffartzik) et sont plutôt sur le déclin même si certains rendent encore de fiers services en Jeep Elite. À l’autre bout de l’échelle des âges, rares sont les moins de 30 ans : David Lighty (qui les a cette année), Miro Bilan, Dee Bost, Kevin Jones, Samardo Samuels, Nate Wolters, Klemen Prepelic. Parmi eux, seul Samuels présente le profil d’un joueur majeur. Miro Bilan a produit d’excellentes statistiques, mais au sein de la plutôt faible équipe du Cedevita Zagreb, club qu’il a fréquenté entre 2011 et 2017. Prepelic, lui, a joué une saison à 20 ans avec l’Olimpija Ljubljana (8,8 pts/match) alors que Wolters jouait la saison passée à l’Etoile Rouge pour sa deuxième saison européenne.
Globalement, sans être une « maison de retraite », la Jeep Elite attire donc surtout des joueurs n’ayant peut-être plus tout à fait leur niveau d’antan ou souhaitant se servir du championnat français pour rebondir vers des destinations plus huppées (on pense à Klemen Prepelic, qui a déjà signé pour le Real Madrid la saison prochaine).
Cela étant, on ne peut que constater que la plupart de ces joueurs ont un impact important sur leur équipe, voire un rôle majeur. On pense par exemple au quatuor de la SIG (Logan, Zack Wright, Dee Bost, Bilan), au trio de l’Asvel (Lighty, Slaughter, Nelson), à Nate Wolters à Chalon, à Samardo Samuels à Limoges, à Meacham et Shawn James à Boulazac, à Lofton au Mans, à Prepelic à Levallois, à Schaffartzik à Nanterre ou à Taqwa Pinero à Pau-Lacq-Orthez. Cela étant, la saison pour le moins chaotique de l’Asvel le montre, il ne suffit pas d’aligner des CV Euroleague sur un terrain pour que l’équipe assure de bons résultats. Et Monaco est en tête de la Jeep Elite en n’ayant dans son effectif que le seul Damian Rudez avec un passé Euroleague, et encore est-il arrivé tout récemment.
[armelse]
Les joueurs confirmés d’Euroleague semblent, a priori, inaccessibles aux clubs de Jeep Elite. La faute à des salaires sans commune mesure entre ce qui se pratique dans la meilleure compétition continentale et ce que peuvent proposer les clubs français les plus huppés, mais aussi à l’absence de nos équipes dans cette compétition. Pourtant, en examinant la composition des équipes de Jeep Elite sur cette saison 2017-2018, on s’aperçoit que ce sont pas moins de 22 joueurs qui ont à un moment ou à un autre de leur carrière arpenté les parquets d’Euroleague avec, pour certains, un rôle non-négligeable (nous avons écarté de cette liste les joueurs qui n’ont fréquenté l’Euroleague qu’au sein de clubs français, Limoges ou Strasbourg dernièrement).
Américain (seuls quatre joueurs sur 22 ne sont pas originaires du continent nord-américain), le « joueur-type de Jeep Elite ayant un passé en Euroleague » présente le portrait-robot suivant :
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Photo d’ouverture: David Logan (Strasbourg, FIBA Europe)
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Pourtant, en examinant la composition des équipes de Jeep Elite sur cette saison 2017-2018, on s’aperçoit que ce sont pas moins de 22 joueurs qui ont à un moment ou à un autre de leur carrière arpenté les parquets d’Euroleague avec, pour certains, un rôle non-négligeable (nous avons écarté de cette liste les joueurs qui n’ont fréquenté l’Euroleague qu’au sein de clubs français, Limoges ou Strasbourg dernièrement).\n\n\nLe portrait-robot\n\nAméricain (seuls quatre joueurs sur 22 ne sont pas originaires du continent nord-américain), le « joueur-type de Jeep Elite ayant un passé en Euroleague » présente le portrait-robot suivant : il a joué 2,3 saisons en Euroleague pour un peu plus de 31 matchs et des moyennes de 7,3 points, 2,4 rebonds et 1,6 passe décisive. En somme, un bon joueur situé quelque part entre le cinq majeur et les deux-trois premières rotations. Sur le terrain, il s’agit d’un meneur ou d’un arrière (14 joueurs sur 22 à ces postes, contre deux ailiers et 6 intérieurs).\n\n\nQuelques gros CV\n\nSi huit de ces joueurs n’ont pas atteint la barre des vingt matchs d’Euroleague joués, dont Chris Lofton (Le Mans), qui n’a foulé ces parquets que pendant 8 minutes à l’occasion d’un seul match (avec Vitoria en 2009-2010), ils sont 7 à en avoir plus de 30 à leur actif sur trois à sept saisons, avec en tête d’affiche David Logan, présent à 120 reprises en Euroleague sur sept saisons pour un excellent rendement : 11,5 points, 2 rebonds, 2,1 passes.\n\nSuivent Shawn James et Samardo Samuels, 74 rencontres à leur actif chacun, en cinq et trois campagnes respectivement, pour des rendements loin d’être anecdotiques : 7,1 pts et 4,1 rbds pour le premier, 9,3 pts et 4 rbds pour le second. Arrivent ensuite deux « habitués » de la Jeep Elite, Heiko Schaffartzik et Demarcus Nelson, respectivement 63 et 52 matchs d’Euroleague au compteur en quatre saisons (7 pts, 3 pds pour le premier, 7,6 pts, 2,3 pds pour le second). Miro Bilan a pour sa part joué 43 matchs d’EL en trois saisons pour le meilleur bilan (sans jeu de mots) de cette « confrérie » : 12,1 pts et 6,2 rbds.\n\nDeMarcus Nelson (Panathinaikos/Euroleague)\n\n\nClubs huppés\n\n« Nos » joueurs d’Euroleague y ont fréquenté quelques très belles écuries. Cinq d’entre-eux sont ainsi passés par le Panathinaïkos : David Logan, Demarcus Nelson, AJ Slaughter, Zack Wright et Steven Smith. Et leur apport n’y était pas minime, variant entre 6,5 pts/match (Logan) et 9,7 pts (Slaughter).\n\nQuatre ont fréquenté l’Euroleague avec Vitoria : Logan (qui a joué l’EL pour cinq clubs différents), Taqwa Pinero, Kevin Jones (le temps de 11 matchs au début de cette saison) et Chris Lofton, pour un rendement variant de 4,7 pts (Jones) à 10 pts (Logan), Pinero ayant joué trois matchs pour 0,7 pt de moyenne après avoir commencé la saison à Malaga (où il scorait 11,7 pts/match d’EL).\n\nTrois sont passés par Milan : Shawn James (qui a aussi joué pour le Maccabi Tel-Aviv, avec qui il a remporté l’EL 2014, et l’Olympiakos), Samardo Samuels et Trenton Meacham. Des trois, seul Samuels a laissé sa marque en Italie, produisant deux saisons à 9,5 et 12,9 pts.\n\n\nJoueurs solides\n\nSi aucun de ces joueurs ne peut être considéré comme ayant été un joueur majeur d’Euroleague à l’exception de David Logan (et de Shawn James dans une moindre mesure), nombre d’entre-eux ont eu un vrai rôle en Euroleague. Ainsi, ils sont 14 à afficher une moyenne de points supérieure à 7, dont cinq ayant scoré 9 points et plus par match (Bilan, Logan, Slaughter, Samuels et Pinero). A contrario, d’autres joueurs n’ont fait que passer dans la grande ligue européenne, tels Chris Lofton, JR Reynolds, Damian Rudez, Willie Deane ou Kevin Jones.\n\n\nSur le retour ?\n\nComment expliquer que l’on trouve tant de joueurs ayant un passé Euroleague « confortable » en Jeep Elite aujourd’hui ? Même si les salaires français grimpent un peu dans les grandes écuries, ils ne sont pas à la hauteur de ce qui se pratique en Euroleague dans la plupart des équipes. Pour certains, ils ont à l’occasion trouvé leurs limites et sont repartis vers des niveaux plus en adéquation avec leurs compétences. Pour d’autres, ce sont les blessures (Shawn James) ou quelques errances (Samardo Samuels) qui les ont amené à tenter de se relancer (ou d’achever leur carrière) en France.\n\nMais l’une des principales raisons qui rend certains de ces joueurs accessibles aux clubs français, c’est leur âge. Huit d’entre-eux ont ainsi 35 ans ou plus (Willie Deane, Jerel Blassingame, David Logan, Shawn James, Taqwa Pinero, Steven Smith, JR Reynolds, Heiko Schaffartzik) et sont plutôt sur le déclin même si certains rendent encore de fiers services en Jeep Elite. À l’autre bout de l’échelle des âges, rares sont les moins de 30 ans : David Lighty (qui les a cette année), Miro Bilan, Dee Bost, Kevin Jones, Samardo Samuels, Nate Wolters, Klemen Prepelic. Parmi eux, seul Samuels présente le profil d’un joueur majeur. Miro Bilan a produit d’excellentes statistiques, mais au sein de la plutôt faible équipe du Cedevita Zagreb, club qu’il a fréquenté entre 2011 et 2017. Prepelic, lui, a joué une saison à 20 ans avec l’Olimpija Ljubljana (8,8 pts/match) alors que Wolters jouait la saison passée à l’Etoile Rouge pour sa deuxième saison européenne.\n\nGlobalement, sans être une « maison de retraite », la Jeep Elite attire donc surtout des joueurs n’ayant peut-être plus tout à fait leur niveau d’antan ou souhaitant se servir du championnat français pour rebondir vers des destinations plus huppées (on pense à Klemen Prepelic, qui a déjà signé pour le Real Madrid la saison prochaine).\n\nCela étant, on ne peut que constater que la plupart de ces joueurs ont un impact important sur leur équipe, voire un rôle majeur. On pense par exemple au quatuor de la SIG (Logan, Zack Wright, Dee Bost, Bilan), au trio de l’Asvel (Lighty, Slaughter, Nelson), à Nate Wolters à Chalon, à Samardo Samuels à Limoges, à Meacham et Shawn James à Boulazac, à Lofton au Mans, à Prepelic à Levallois, à Schaffartzik à Nanterre ou à Taqwa Pinero à Pau-Lacq-Orthez. Cela étant, la saison pour le moins chaotique de l’Asvel le montre, il ne suffit pas d’aligner des CV Euroleague sur un terrain pour que l’équipe assure de bons résultats. Et Monaco est en tête de la Jeep Elite en n’ayant dans son effectif que le seul Damian Rudez avec un passé Euroleague, et encore est-il arrivé tout récemment.\n\n[armelse]\n\nLes joueurs confirmés d’Euroleague semblent, a priori, inaccessibles aux clubs de Jeep Elite. La faute à des salaires sans commune mesure entre ce qui se pratique dans la meilleure compétition continentale et ce que peuvent proposer les clubs français les plus huppés, mais aussi à l’absence de nos équipes dans cette compétition. Pourtant, en examinant la composition des équipes de Jeep Elite sur cette saison 2017-2018, on s’aperçoit que ce sont pas moins de 22 joueurs qui ont à un moment ou à un autre de leur carrière arpenté les parquets d’Euroleague avec, pour certains, un rôle non-négligeable (nous avons écarté de cette liste les joueurs qui n’ont fréquenté l’Euroleague qu’au sein de clubs français, Limoges ou Strasbourg dernièrement).\n\n\nLe portrait-robot\n\nAméricain (seuls quatre joueurs sur 22 ne sont pas originaires du continent nord-américain), le « joueur-type de Jeep Elite ayant un passé en Euroleague » présente le portrait-robot suivant :\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture: David Logan (Strasbourg, FIBA Europe)", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-20T14:45:36.000Z", "updated_at":"2018-03-21T07:14:08.000Z", "published_at":"2018-03-20T14:45:36.000Z", "custom_excerpt":"Ils sont vingt-deux joueurs de Jeep Elite à avoir arpenté les parquets d’Euroligue par le passé, pour certains le temps d’un match ou d’une saison, pour d’autres de manière durable. 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Comme Monaco ne présentera pas son équipe type au Top 8 Coupe de France à l’Arena Loire de Trélazé, le comité d’organisation a décidé à la demande de SFR Sport de modifier l’ordre des matches. C’est ainsi que le match Orléans-Levallois est décalé à 18h00 et sera retransmis sur SFR Sport 2.
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Samedi 24 mars
13h00 : quart de finale
Denain (Pro B) – Nanterre (Jeep Elite)
15h30 : quart de finale
Boulazac (Jeep Elite) – Monaco (Jeep Elite)
18h00 : quart de finale 3 – En direct sur SFR Sport 2
Orléans (Pro B) – Levallois (Jeep Elite)
20h30 : quart de finale 4 – En direct sur SFR Sport 2
Villeurbanne (Jeep Elite) – Strasbourg (Jeep Elite)
Dimanche 25 mars 2018 :
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17h00 : demi-finale 2 – En direct sur SFR Sport 2
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\\n— MediaSportif (@MediaSportif) March 20, 2018
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/rmc-sport.png\")
Alain Weill, le PDG du groupe Altice, a annoncé ce matin lors d’une conférence de presse que les chaînes SFR Sport allaient prendre le nom de RMC Sport. Le changement sera effectif cet été.
Un nouveau nom pour le diffuseur du basket français après que SFR Sport ait remplacé Ma Chaîne Sport il y a deux ans. Surtout l’espoir que RMC Sport soit commercialisé auprès de tous les opérateurs.
RMC Sport est une agence de presse plurimédia spécialisée dans le sport et qui a été créée en 2008 par Next Radio TV.
\nAu cours de la conférence @SFR qui se déroule en ce moment, Alain Weill a annoncé que SFR Sport deviendra RMC Sport, plus consensuel et permettant d'être commercialisé auprès de tous les opérateurs. Disponible également par satellite et en OTT. #ConfSFR @Altice
\n— MediaSportif (@MediaSportif) March 20, 2018
https://twitter.com/Isa_Collette/status/976043812958195717
", "comment_id":"424131", "plaintext":"Alain Weill, le PDG du groupe Altice, a annoncé ce matin lors d’une conférence de presse que les chaînes SFR Sport allaient prendre le nom de RMC Sport. Le changement sera effectif cet été.\n\nUn nouveau nom pour le diffuseur du basket français après que SFR Sport ait remplacé Ma Chaîne Sport il y a deux ans. Surtout l’espoir que RMC Sport soit commercialisé auprès de tous les opérateurs.\n\nRMC Sport est une agence de presse plurimédia spécialisée dans le sport et qui a été créée en 2008 par Next Radio TV.\n\n\n\n\nAu cours de la conférence @SFR qui se déroule en ce moment, Alain Weill a annoncé que SFR Sport deviendra RMC Sport, plus consensuel et permettant d'être commercialisé auprès de tous les opérateurs. Disponible également par satellite et en OTT. #ConfSFR @Altice\n\n\n— MediaSportif (@MediaSportif) March 20, 2018\n\nhttps://twitter.com/Isa_Collette/status/976043812958195717", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-20T10:48:43.000Z", "updated_at":"2018-03-20T11:23:09.000Z", "published_at":"2018-03-20T10:48:43.000Z", "custom_excerpt":"Alain Weill, le PDG du groupe Altice, a annoncé ce matin lors d’une conférence de presse que les chaînes SFR Sport allaient prendre le nom de RMC Sport. Le changement sera effectif cet été. Un nouveau nom pour le diffuseur du basket français après que SFR Sport ait remplacé Ma Chaîne Sport il y a… C", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d79", "uuid":"bb50228f-7002-4f79-ac02-db5c44b1c1c3", "title":"NM1: Le All-Star Game le 17 juin à Boulogne et en live sur Facebook", "slug":"nm1-le-all-star-game-le-17-juin-a-boulogne-et-en-live-sur-facebook", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/asg.png\",\"width\":200,\"height\":160}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/asg-2-e1521537658368.png\",\"width\":800,\"height\":304}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.facebook.com/AllStarFrenchNM1/\"]]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le All-Star Game de Nationale 1 va se tenir à la salle Damrémont de Boulogne le dimanche 17 juin. Il est organisé par l’association Pro-Am Média, qui a couvert toute l’année les championnats de NM1 et NM2 via des émissions bi hebdomadaires et retransmissions de matches commentés et il est parrainé par l’international Nando De Colo.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y aura dix joueurs par équipe répartis par zone géographique (une équipe Nord et une équipe Sud). Depuis hier les fans peuvent voter pour leurs joueurs préférés sur \"],[0,[0],1,\"https://www.facebook.com/AllStarFrenchNM1/\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme pour le All-Star Game de NBA, des concours de dunks, de trois-points et de meneurs complèteront le dispositif.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les organisateurs voient les choses en grand pour cet événement puisque 2 000 personnes sont attendues sur place et que le match sera retransmis via Facebook Live avec trois caméras, ce sur les pages des clubs de NM1, certaines de NM2 et toutes les pages influentes du basket français si bien qu’un nombre important de vues est espéré pour la retransmission.\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/asg.png\")
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Les organisateurs voient les choses en grand pour cet événement puisque 2 000 personnes sont attendues sur place et que le match sera retransmis via Facebook Live avec trois caméras, ce sur les pages des clubs de NM1, certaines de NM2 et toutes les pages influentes du basket français si bien qu’un nombre important de vues est espéré pour la retransmission.
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En réalisant le documentaire sur la rivalité entre Limoges et Pau, intitulé « The Derby », l’ancien Palois Anthony Goods a aussi rendu service à ses compatriotes du CSP pour les motiver ! Surtout que celui-ci est en français et en anglais.
C’est ainsi que Danny Gibson s’est confié à France Bleu:
« J’ai vu le documentaire sur ce derby, c’était super. On a appris l’histoire de cette rivalité. On est prêt à jouer. Maintenant, on a compris ce que ça représente pour la ville. Je pense que ça va vraiment être un bon match. Les deux équipes veulent absolument le gagner. On peut s’attendre à un match excitant, de très haut niveau. »
Cette 103e édition du clasico programmée ce soir au Palais des Sports de Pau et sur SFR Sport 2 est une question de suprématie entre les deux clubs, mais pas que…
Le CSP n’a gagné que 4 de ses 10 derniers matches de Jeep ELITE et a besoin de confirmer ce qu’il a exprimé en deuxième mi-temps face à Cholet. Un échec l’empêcherait probablement de s’insérer d’ici la fin de la saison régulière dans le trio de tête. Quant à l’Elan Béarnais, il fait partie du ventre mou du championnat, à égalité avec pas moins de cinq équipes et une victoire le relancerait dans la quête d’une place en playoffs.
Bref, comme à chaque fois, le moment est très attendu par les deux villes et tout le basket français.
Photo: Danny Gibson (CSP)
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Malgré une saison marquée par les blessures (ligament intérieur du coude gauche, tendinite au talon gauche), Nicolas Batum (2,03m, 29 ans) affirme dans L’Equipe son souhait de rejouer avec les Bleus dès juin à l’occasion de la troisième fenêtre de qualification pour la Coupe du Monde, après avoir fait l’impasse l’été dernier sur l’Euro en Turquie.
« C’est sûr que, pour moi, si tu veux participer à la Coupe du monde, tu dois participer aux matches où c’est possible pour toi d’être présent. Personnellement, je n’ai pas de problème, je serai disponible. A Portland, je n’ai jamais eu de soucis avec ça, ici (à Charlotte), je n’en ai pas eu non plus. Les deux fenêtres de juin-juillet et septembre sont ouvertes pour moi. Avec Vincent Collet, on se parle tout le temps, on se parlait pendant l’Euro, on débriefe, on discute. J’ai vu récemment Patrick Beesley (NDLR: manager de l’équipe de France), il n’y a aucun problème avec eux. Les gens savent pourquoi je ne suis pas venu l’année dernière, ils connaissent les vraies raisons. »
Ceci constitue évidemment une excellente nouvelle tant l’ailier des Charlotte Hornets est une composante indispensable à l’équipe nationale. Statistiquement, le Normand est en léger retrait vis à vis de ses deux premières saisons à Charlotte avec 11,9 points (41,5% aux tirs), 4,9 rebonds et 5,5 passes.
Photo: FIBA Europe
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Dans l’émission Buzzer sur SFR Sport 2, le consultant maison Stephen Brun a donné un scoop: le pivot Iliana Rupert (1,93m, 16 ans) rejoint le Bourges Basket. Ce matin, la FFBB a confirmé l’information, Un énorme « coup » réalisé par le club du Cher car la fille du regretté Thierry Rupert est la meilleure joueuse européenne de sa génération.
Championne d’Europe avec les cadettes l’été dernier… à Bourges, Iliana Rupert avait été élue MVP de la compétition après avoir compilé 13,7 points (49,2% aux shoots), 10,5 rebonds, 1,3 passe, 1,5 interception et 1,7 contre. Au Centre Fédéral, elle tourne actuellement à 12,2 points (31,0% à trois-points) et 7,2 rebonds en Ligue 2.
Bourges va donc bénéficier la saison prochaine d’un carré d’as de jeunes avec Marine Johannès, déjà l’aînée (23 ans), Alexia Chartereau (20 ans), Lisa Berkani (20 ans) en provenance de Mondeville et donc Iliana Rupert.
A noter que Alexia Chartereau et Iliana Rupert sont toutes les deux originaires du club des JS Coulaines, situé dans la banlieue du Mans, qui a par ailleurs formé le Strasbourgeois Jérémy Leloup.
Photo: FIBA Europe
", "comment_id":"424103", "plaintext":"Dans l’émission Buzzer sur SFR Sport 2, le consultant maison Stephen Brun a donné un scoop: le pivot Iliana Rupert (1,93m, 16 ans) rejoint le Bourges Basket. Ce matin, la FFBB a confirmé l’information, Un énorme « coup » réalisé par le club du Cher car la fille du regretté Thierry Rupert est la meilleure joueuse européenne de sa génération.\n\nChampionne d’Europe avec les cadettes l’été dernier… à Bourges, Iliana Rupert avait été élue MVP de la compétition après avoir compilé 13,7 points (49,2% aux shoots), 10,5 rebonds, 1,3 passe, 1,5 interception et 1,7 contre. 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On perd neuf ballons face à la meilleure défense du championnat. On en provoque des pertes de balle. Derrière, ça se joue à rien, un tir, une petite erreur défensive peut-être. En ayant ce niveau de jeu, on gagnera encore des matches. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quant à son homologue Eric Bartecheky, il n’était pas très heureux de la prestation de son équipe:\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Quand à un moment, on prend un rebond offensif, que l’on est à +7 et que l’on reprend un tir tout de suite, il ne faut pas faire ça! Il faut garder la balle, les obliger à travailler et faire courir le chrono. C’est sûr, si on le met, on passe à +10, on est content mais ce n’est pas du tout ce qu’il faut faire à ce moment-là. Après on prend une contre-attaque (…) Ce qui me gène énormément c’est le nombre de pertes de balles en première mi-temps. Il y a la défense du CCRB mais j’ai l’impression que ça dépend beaucoup de nous qui avons donné les ballons. Quand on prend un rebond, au lieu de sortir la balle simplement sur le côté et que l’on part en dribble et qu’on la perd derrière, que l’on tente de grandes passes, on manque de sérénité, de lucidité (…) Quand on ouvre le banc, on a des baisses de niveau et même avec le même cinq. Ce n’est pas acceptable. Si on reste comme ça, on ne peut pas prétendre rester en haut au contact de grosses équipes. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo: Justin Cobbs (Le Mans)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"https://twitter.com/SFR_Sport/status/975847199211966467\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/justin_cobbs_280.jpg\")
De ce match, on retiendra en premier l’incroyable gabegie à trois-points de Châlons-Reims: 4-28 ! Très mal parti dans ce secteur, Le Mans a quant à lui redressé quelque peu la barre: 4-15.
Ce fut aussi longtemps un mano a mano entre l’Américain Romeo Travis (23 points à 10/16 aux tirs) et l’Islandais Martin Hermannsson (20 points à 8/11) qui a toutefois exposé ses faiblesses défensives.
Ce fut surtout un suspense haletant. A 1’20 de la fin, le MSB possède sept points d’avance mais perd les pédales. Un trois-points de Willie Deane puis une contre-attaque de Sadio Doucouré permettent au CCRB de revenir à la portée des Manceaux. Les Champenois ont une nouvelle balle d’attaque et c’est Romain Duport qui transforme un trois-points donnant l’avantage à son équipe. Quatre secondes à jouer. Temps-mort commandé par Eric Bartecheky. Le public champenois est debout, tape dans ses mains, croit que son équipe à la victoire en poche. Le Mans s’en remet à son meneur Justin Cobbs (22 points, 7 rebonds) qui drive vers le cercle et d’un floater climatise la salle. 76-75.
« Dans un premier temps, il faut retenir la qualité du jeu avec certes une grosse maladresse de la part des deux équipes au niveau des trois-points mais quand même un match spectaculaire, défensif quand même, offensif aussi parce qu’il y a eu de balles phases de jeu des deux côtés », a estimé le coach du CCRB, Cédric Heitz. « Le scénario était intéressant. Il s’est fini en notre défaveur certes mais on a tout fait pour montrer que l’on était capable d’être en mesure de gagner ce type de match comme on a été capable de gagner contre Strasbourg et Limoges. Même à Chalon, je trouve que l’on avait fait une deuxième mi-temps de bonne qualité avec certes des erreurs défensives, beaucoup trop en deuxième mi-temps, mais je trouve que depuis quatre matches, on est sur une qualité de jeu vraiment intéressante. On perd neuf ballons face à la meilleure défense du championnat. On en provoque des pertes de balle. Derrière, ça se joue à rien, un tir, une petite erreur défensive peut-être. En ayant ce niveau de jeu, on gagnera encore des matches. »
Quant à son homologue Eric Bartecheky, il n’était pas très heureux de la prestation de son équipe:
« Quand à un moment, on prend un rebond offensif, que l’on est à +7 et que l’on reprend un tir tout de suite, il ne faut pas faire ça! Il faut garder la balle, les obliger à travailler et faire courir le chrono. C’est sûr, si on le met, on passe à +10, on est content mais ce n’est pas du tout ce qu’il faut faire à ce moment-là. Après on prend une contre-attaque (…) Ce qui me gène énormément c’est le nombre de pertes de balles en première mi-temps. Il y a la défense du CCRB mais j’ai l’impression que ça dépend beaucoup de nous qui avons donné les ballons. Quand on prend un rebond, au lieu de sortir la balle simplement sur le côté et que l’on part en dribble et qu’on la perd derrière, que l’on tente de grandes passes, on manque de sérénité, de lucidité (…) Quand on ouvre le banc, on a des baisses de niveau et même avec le même cinq. Ce n’est pas acceptable. Si on reste comme ça, on ne peut pas prétendre rester en haut au contact de grosses équipes. »
Photo: Justin Cobbs (Le Mans)
https://twitter.com/SFR_Sport/status/975847199211966467
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La SIG annonce que le club de l’AEK Athènes a fait part de sa volonté d’obtenir son quota de places pour le match de quart-de-finale qui doit l’opposer à l’équipe alsacienne le mercredi 4 avril au Rhénus, ce en accord avec le règlement de la Basketball Champions League.
Ainsi, 300 places doivent être mises à la disposition de l’équipe visiteuse (5% de la salle). Une des tribunes du Rhenus sera dédiée aux fans de l’AEK Athènes. La garantie d’une chaude ambiance ce soir-là !
Photo: FIBA Europe
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Et avec l’aide également d’Edwin Jackson qui a rentré le tir de la gagne mais qui a été aussi impérial en défense durant la période supplémentaire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Adrien Moerman (10 points, 6 rebonds) a également été très bon pour la troupe catalane qui a retrouvé le sourire et les victoires (4 de suite en championnat, et 2 en Euroleague) depuis l’arrivée de Coach Pesic.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"https://www.youtube.com/watch?v=ks0DjcsNP4c\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Vitoria invaincu en mars\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A l’approche de la fin de saison, les grosses cylindrées arrivent à leur meilleur niveau. Et comme Barcelone, Vitoria commence à trouver son rythme de croisière : ça fait 7 victoires de suite pour le Baskonia en Liga et 3 en Euroleague.\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Début de playoffs facile pour l’Etoile Rouge\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans la ligue Adriatique, les playoffs ont déjà commencé. 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🎥 @MovistarPlus pic.twitter.com/Bl9F81RAwo— Liga Endesa (@ACBCOM) March 18, 2018
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/thomas-heurtel-1.jpg\")
Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt cinq joueurs (huit de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.
De la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.
Après avoir brillé en Euroleague, Thomas Heurtel continue d’enchaîner les grosses performances en Liga avec une prestation de très haut niveau face à San Pablo : 26 points, 13 passes et 37 d’évaluation !
Derrière un Heurtel de gala, le Barça a réussi à s’imposer en prolongation face au promu. Et avec l’aide également d’Edwin Jackson qui a rentré le tir de la gagne mais qui a été aussi impérial en défense durant la période supplémentaire.
Adrien Moerman (10 points, 6 rebonds) a également été très bon pour la troupe catalane qui a retrouvé le sourire et les victoires (4 de suite en championnat, et 2 en Euroleague) depuis l’arrivée de Coach Pesic.
https://www.youtube.com/watch?v=ks0DjcsNP4c
A l’approche de la fin de saison, les grosses cylindrées arrivent à leur meilleur niveau. Et comme Barcelone, Vitoria commence à trouver son rythme de croisière : ça fait 7 victoires de suite pour le Baskonia en Liga et 3 en Euroleague.
\nVincent Poirier @viinze_17P, sin piedad: mate y adicional.#LigaEndesa
\n
🎥 @MovistarPlus pic.twitter.com/Bl9F81RAwo— Liga Endesa (@ACBCOM) March 18, 2018
Dans la ligue Adriatique, les playoffs ont déjà commencé. Le principe est simple : les quatre premiers s’affrontent en demi-finale. Et pour l’Etoile Rouge de Belgrade, ce « 1er tour » semble des plus abordables après une victoire initiale de 28 points dans le match 1 !
Thomas Heurtel (Barcelone) : 26 points (8/13 aux tirs), 13 passes, 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 34 minutes (victoire 103-101 ap face à San Pablo)
Vincent Poirier (Vitoria) : 15 points (6/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 25 minutes (victoire 91-66 face à Gran Canaria)
Fabien Causeur (Real Madrid) : 11 points (4/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 96-81 face à Saragosse)
Rodrigue Beaubois (Vitoria) : 10 points (4/9 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception en 19 minutes (victoire 91-66 face à Gran Canaria)
Adrien Moerman (Barcelone) : 10 points (4/6 aux tirs), 6 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 103-101 ap face à San Pablo)
Landing Sané (Andorre) : 9 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 2 contres, 1 interception en 19 minutes (victoire 90-70 face à Murcie)
Edwin Jackson (Barcelone) : 9 points (3/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 17 minutes (victoire 103-101 ap face à San Pablo)
Andrew Albicy (Andorre) : 5 points (2/4 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes (victoire 90-70 face à Murcie)
Nicolas De Jong (Saragosse) : 4 points (2/9 aux tirs), 3 rebonds, 2 balles perdues en 21 minutes (défaite 96-81 face au Real Madrid)
Kevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué – blessé (victoire 103-101 ap face à San Pablo)
Antoine Diot (Valence) : n’a pas joué – blessé (victoire 87-67 face à Bilbao)
Boris Dallo (Panionios) : 5 points (2/7 aux tirs), 9 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 30 minutes (victoire 71-69 face à AEK)
Angelo Tsagarakis (Kymis) : 3 points (1/4 à trois points), 1 contre, 2 balles perdues en 20 minutes (défaite 87-64 face au Panathinaikos)
Kim Tillie (Olympiakos) : n’a pas joué (victoire 83-72 face à Rhodes)
Frédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : match ce soir contre Maccabi Rishon Lezion
Yakhouba Diawara (Pistoia) : 11 points (4/8 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 22 minutes (défaite 78-74 face à Reggio Emilia)
Nobel Boungou-colo (Turin) : 5 points (1/12 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 30 minutes (défaite 92-70 face à Cremona)
Amath M’Baye (Milan) : n’a pas joué (victoire 88-80 face à Trente)
Axel Toupane (Kaunas) : 4 points (2/4 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 17 minutes (victoire 69-58 face à Siaulai)
Aaron Cel (Torun) : 7 points (2/6 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 26 minutes (défaite 77-63 face à Lublin)
Nando De Colo (CSKA) : exempté de match
Leo Westermann (CSKA) : exempté de match
Mathias Lessort (Etoile Rouge) : 2 points (1/2 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 10 minutes (victoire 91-63 face à Mornar)
Bandja Sy (Partizan) : pas de match
Moustapha Fall (Sakarya) : 6 points (3/5 aux tirs), 7 rebonds, 3 contres en 19 minutes (victoire 71-58 face à Besiktas)
LA SEMAINE PASSEE : Thomas Heurtel étincelant pour le Clasico
", "comment_id":"424030", "plaintext":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt cinq joueurs (huit de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.\n\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\n\nThomas Heurtel MVP, Edwin Jackson clutch\n\nAprès avoir brillé en Euroleague, Thomas Heurtel continue d’enchaîner les grosses performances en Liga avec une prestation de très haut niveau face à San Pablo : 26 points, 13 passes et 37 d’évaluation !\n\nDerrière un Heurtel de gala, le Barça a réussi à s’imposer en prolongation face au promu. Et avec l’aide également d’Edwin Jackson qui a rentré le tir de la gagne mais qui a été aussi impérial en défense durant la période supplémentaire.\n\nAdrien Moerman (10 points, 6 rebonds) a également été très bon pour la troupe catalane qui a retrouvé le sourire et les victoires (4 de suite en championnat, et 2 en Euroleague) depuis l’arrivée de Coach Pesic.\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ks0DjcsNP4c\n\n\nVitoria invaincu en mars\n\nA l’approche de la fin de saison, les grosses cylindrées arrivent à leur meilleur niveau. Et comme Barcelone, Vitoria commence à trouver son rythme de croisière : ça fait 7 victoires de suite pour le Baskonia en Liga et 3 en Euroleague.\n\n\n\n\nVincent Poirier @viinze_17P, sin piedad: mate y adicional.#LigaEndesa\n🎥 @MovistarPlus pic.twitter.com/Bl9F81RAwo\n\n\n— Liga Endesa (@ACBCOM) March 18, 2018\n\n\nDébut de playoffs facile pour l’Etoile Rouge\n\nDans la ligue Adriatique, les playoffs ont déjà commencé. Le principe est simple : les quatre premiers s’affrontent en demi-finale. Et pour l’Etoile Rouge de Belgrade, ce « 1er tour » semble des plus abordables après une victoire initiale de 28 points dans le match 1 !\n\n\nEspagne\n\nThomas Heurtel (Barcelone) : 26 points (8/13 aux tirs), 13 passes, 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 34 minutes (victoire 103-101 ap face à San Pablo)\n\nVincent Poirier (Vitoria) : 15 points (6/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 25 minutes (victoire 91-66 face à Gran Canaria)\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : 11 points (4/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 96-81 face à Saragosse)\n\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 10 points (4/9 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception en 19 minutes (victoire 91-66 face à Gran Canaria)\n\nAdrien Moerman (Barcelone) : 10 points (4/6 aux tirs), 6 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 103-101 ap face à San Pablo)\n\nLanding Sané (Andorre) : 9 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 2 contres, 1 interception en 19 minutes (victoire 90-70 face à Murcie)\n\nEdwin Jackson (Barcelone) : 9 points (3/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 17 minutes (victoire 103-101 ap face à San Pablo)\n\nAndrew Albicy (Andorre) : 5 points (2/4 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes (victoire 90-70 face à Murcie)\n\nNicolas De Jong (Saragosse) : 4 points (2/9 aux tirs), 3 rebonds, 2 balles perdues en 21 minutes (défaite 96-81 face au Real Madrid)\n\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué – blessé (victoire 103-101 ap face à San Pablo)\n\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué – blessé (victoire 87-67 face à Bilbao)\n\n\nGrèce\n\nBoris Dallo (Panionios) : 5 points (2/7 aux tirs), 9 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 30 minutes (victoire 71-69 face à AEK)\n\nAngelo Tsagarakis (Kymis) : 3 points (1/4 à trois points), 1 contre, 2 balles perdues en 20 minutes (défaite 87-64 face au Panathinaikos)\n\nKim Tillie (Olympiakos) : n’a pas joué (victoire 83-72 face à Rhodes)\n\n\nIsraël\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : match ce soir contre Maccabi Rishon Lezion\n\n\nItalie\n\nYakhouba Diawara (Pistoia) : 11 points (4/8 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 22 minutes (défaite 78-74 face à Reggio Emilia)\n\nNobel Boungou-colo (Turin) : 5 points (1/12 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 30 minutes (défaite 92-70 face à Cremona)\n\nAmath M’Baye (Milan) : n’a pas joué (victoire 88-80 face à Trente)\n\n\nLituanie\n\nAxel Toupane (Kaunas) : 4 points (2/4 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 17 minutes (victoire 69-58 face à Siaulai)\n\n\nPologne\n\nAaron Cel (Torun) : 7 points (2/6 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 26 minutes (défaite 77-63 face à Lublin)\n\n\nRussie\n\nNando De Colo (CSKA) : exempté de match\n\nLeo Westermann (CSKA) : exempté de match\n\n\nSerbie\n\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : 2 points (1/2 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 10 minutes (victoire 91-63 face à Mornar)\n\nBandja Sy (Partizan) : pas de match\n\n\nTurquie\n\nMoustapha Fall (Sakarya) : 6 points (3/5 aux tirs), 7 rebonds, 3 contres en 19 minutes (victoire 71-58 face à Besiktas)\n\nLA SEMAINE PASSEE : Thomas Heurtel étincelant pour le Clasico", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-19T17:07:29.000Z", "updated_at":"2021-10-21T17:06:18.000Z", "published_at":"2018-03-19T17:07:29.000Z", "custom_excerpt":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! 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Le président de l’AS Monaco, SergueyDyadechko, a fait part de son regret quant au manque de concertation et d’harmonisation entre les calendriers de la LNB, de la FFBB et de la Basketball Champions League. Via un communiqué, l’AS Monaco explique qu’après avoir adressé un courrier aux présidents de la FFBB et de la LNB, la Roca Team avait pris la décision d’envoyer une équipe B à Trélazé pour participer au Top 8 de la Coupe de France, et ce pour des raisons évidentes de calendrier, les Monégasques étant encore en course en quarts de finale de la BCL contre Banvit (club basé à Bandirma en Turquie) et risquant de jouer quatre matchs en une semaine en cas de qualification en Coupe de France.
« Nul doute que vous conviendrez que disputer quatre matches en huit jours dans trois endroits différents (dont deux sont difficilement accessibles et demandent des délais d’acheminement très approximatifs), et à des niveaux de compétition élevés, ne permet pas à une équipe d’envisager de pouvoir défendre ses chances de la meilleure façon sur tous les fronts » a déclaré Serguey Dyadechko.
En conséquence, l’AS Monaco enverra une équipe dite « recomposée » à Trélazé, tout en respectant le règlement imposant un minimum de trois joueurs professionnels.
« En effet, les joueurs qui se présenteront à Trélazé ne pourront rejoindre à temps ceux qui prépareront le match à Bandirma, et inversement : ceux qui partiront pour la Turquie (onze heures de voyage depuis Monaco de l’expérience que nous en avons, et donc potentiellement autant sinon plus depuis Trélazé), ne pourront pas défendre nos couleurs en Coupe de France », a poursuivi le président monégasque.
Le capitaine de l’AS Monaco, Amara Sy a également fait part de sa déception :
« Nous sommes déçus car nous sommes des compétiteurs et avions fait de la Coupe de France un objectif. Mais nous comprenons totalement la décision du club, qui a été mis dans la position de faire un choix face aux contraintes de calendrier et de logistique. Le groupe est aujourd’hui très fatigué par l’enchaînement des matchs et le risque de blessure est réel. Nous nous excusons auprès de nos fans. Nous pouvons leur assurer que nous serons d’autant plus motivés pour la Champions League ».
Cet incident n’est pas sans rappeler celui vécu par Limoges en novembre dernier. Pris dans un conflit de calendrier, le club limougeaud avait également privilégié un déplacement à Vilnius en EuroCup et envoyé une équipe amoindrie pour affronter Hyères-Toulon en Coupe de France.
Monaco reçoit Nanterre en championnat mercredi, puis a rendez-vous en quart de finale de la Coupe de France contre Boulazac à Trélazé samedi avant de se rendre en Turquie mercredi prochain pour le match aller de son quart de finale de BCL.
Photo Sebastien Grasset
", "comment_id":"424078", "plaintext":"Le président de l’AS Monaco, SergueyDyadechko, a fait part de son regret quant au manque de concertation et d’harmonisation entre les calendriers de la LNB, de la FFBB et de la Basketball Champions League. Via un communiqué, l’AS Monaco explique qu’après avoir adressé un courrier aux présidents de la FFBB et de la LNB, la Roca Team avait pris la décision d’envoyer une équipe B à Trélazé pour participer au Top 8 de la Coupe de France, et ce pour des raisons évidentes de calendrier, les Monégasques étant encore en course en quarts de finale de la BCL contre Banvit (club basé à Bandirma en Turquie) et risquant de jouer quatre matchs en une semaine en cas de qualification en Coupe de France.\n\n« Nul doute que vous conviendrez que disputer quatre matches en huit jours dans trois endroits différents (dont deux sont difficilement accessibles et demandent des délais d’acheminement très approximatifs), et à des niveaux de compétition élevés, ne permet pas à une équipe d’envisager de pouvoir défendre ses chances de la meilleure façon sur tous les fronts » a déclaré Serguey Dyadechko.\n\nEn conséquence, l’AS Monaco enverra une équipe dite « recomposée » à Trélazé, tout en respectant le règlement imposant un minimum de trois joueurs professionnels.\n\n« En effet, les joueurs qui se présenteront à Trélazé ne pourront rejoindre à temps ceux qui prépareront le match à Bandirma, et inversement : ceux qui partiront pour la Turquie (onze heures de voyage depuis Monaco de l’expérience que nous en avons, et donc potentiellement autant sinon plus depuis Trélazé), ne pourront pas défendre nos couleurs en Coupe de France », a poursuivi le président monégasque.\n\nLe capitaine de l’AS Monaco, Amara Sy a également fait part de sa déception :\n\n« Nous sommes déçus car nous sommes des compétiteurs et avions fait de la Coupe de France un objectif. Mais nous comprenons totalement la décision du club, qui a été mis dans la position de faire un choix face aux contraintes de calendrier et de logistique. Le groupe est aujourd’hui très fatigué par l’enchaînement des matchs et le risque de blessure est réel. Nous nous excusons auprès de nos fans. Nous pouvons leur assurer que nous serons d’autant plus motivés pour la Champions League ».\n\nCet incident n’est pas sans rappeler celui vécu par Limoges en novembre dernier. Pris dans un conflit de calendrier, le club limougeaud avait également privilégié un déplacement à Vilnius en EuroCup et envoyé une équipe amoindrie pour affronter Hyères-Toulon en Coupe de France.\n\nMonaco reçoit Nanterre en championnat mercredi, puis a rendez-vous en quart de finale de la Coupe de France contre Boulazac à Trélazé samedi avant de se rendre en Turquie mercredi prochain pour le match aller de son quart de finale de BCL.\n\nPhoto Sebastien Grasset", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-19T16:58:10.000Z", "updated_at":"2018-03-19T17:17:24.000Z", "published_at":"2018-03-19T16:58:10.000Z", "custom_excerpt":"Le président de l’AS Monaco, SergueyDyadechko, a fait part de son regret quant au manque de concertation et d’harmonisation entre les calendriers de la LNB, de la FFBB et de la Basketball Champions League. 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Luc Torres a livré son ressenti sur l’exercice compliqué du club ardennais au cours d’une longue interview, prenant notamment la défense de son coach, Alex Casimir, arrivé cet été à la place de Cédric Heitz, parti avec le meneur de l’Etoile, Martin Hermannsson, à Châlons-Reims.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Même si la situation est difficile, Alex Casimiri a la confiance de l’équipe dirigeante de l’Etoile qui travaille beaucoup avec lui. On a signé un contrat de deux ans sans clause libératoire avec Alex parce qu’on croit en la personne. Il a montré qu’il était capable de faire des choses intéressantes à Tarbes/Lourdes et il colle à notre projet de club. Il n’est donc pas du tout question qu’on remette tout cela en cause. En dépit de la méchanceté dont certains font preuve envers lui, on le soutient, on l’aide dans sa tâche, on est derrière lui » a-t-il affirmé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le président de l’un des plus petits budgets de la division a également donné sa version sur les raisons de cet échec, estimant que les responsabilités sont partagées :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Des choses n’ont pas fonctionné en début d’exercice sur des décisions prises collectivement. Les responsabilités sont donc partagées. On a d’abord essayé de réussir des coups mais deux des joueurs convoités se sont avérés blessés. Nous avons aussi recruté des éléments qui, sur vidéos, nous plaisaient mais ça n’a pas du tout été la même chose sur le parquet. L’humain et la constance des joueurs ça ne se voit pas forcément sur les images. Et, in fine, l’équipe mise en place n’a pas trouvé le liant espéré. La saison est donc très mal partie, il a fallu assumer. Mais malgré un marché difficile rendu parfois compliqué par le jeu des agents, malgré aussi nos finances car on n’a jamais voulu se mettre dans le rouge, on s’est tout de même battus dans l’urgence pour réajuster tout cela. Ce sont les aléas d’un exercice et ça ne nous a pas aidés. Mais il faut que les gens qui nous suivent se rendent compte combien cette compétition est difficile ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Charleville-Mézières reçoit Poitiers demain soir (20h), un rendez-vous crucial alors que les Ardennais vont rapidement enchaîner Blois, Orléans et Nancy dans les prochaines semaines.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/logo.png\"){kind=logo}
Le président de l’Etoile de Charleville-Mézières, en grande difficulté cette saison (17e de Pro B, 5v-18d), s’est exprimé sur le site officiel du club,trois jours après un nouveau revers concédé dans les ultimes instants à Vichy-Clermont (92-87). Luc Torres a livré son ressenti sur l’exercice compliqué du club ardennais au cours d’une longue interview, prenant notamment la défense de son coach, Alex Casimir, arrivé cet été à la place de Cédric Heitz, parti avec le meneur de l’Etoile, Martin Hermannsson, à Châlons-Reims.
« Même si la situation est difficile, Alex Casimiri a la confiance de l’équipe dirigeante de l’Etoile qui travaille beaucoup avec lui. On a signé un contrat de deux ans sans clause libératoire avec Alex parce qu’on croit en la personne. Il a montré qu’il était capable de faire des choses intéressantes à Tarbes/Lourdes et il colle à notre projet de club. Il n’est donc pas du tout question qu’on remette tout cela en cause. En dépit de la méchanceté dont certains font preuve envers lui, on le soutient, on l’aide dans sa tâche, on est derrière lui » a-t-il affirmé.
Le président de l’un des plus petits budgets de la division a également donné sa version sur les raisons de cet échec, estimant que les responsabilités sont partagées :
« Des choses n’ont pas fonctionné en début d’exercice sur des décisions prises collectivement. Les responsabilités sont donc partagées. On a d’abord essayé de réussir des coups mais deux des joueurs convoités se sont avérés blessés. Nous avons aussi recruté des éléments qui, sur vidéos, nous plaisaient mais ça n’a pas du tout été la même chose sur le parquet. L’humain et la constance des joueurs ça ne se voit pas forcément sur les images. Et, in fine, l’équipe mise en place n’a pas trouvé le liant espéré. La saison est donc très mal partie, il a fallu assumer. Mais malgré un marché difficile rendu parfois compliqué par le jeu des agents, malgré aussi nos finances car on n’a jamais voulu se mettre dans le rouge, on s’est tout de même battus dans l’urgence pour réajuster tout cela. Ce sont les aléas d’un exercice et ça ne nous a pas aidés. Mais il faut que les gens qui nous suivent se rendent compte combien cette compétition est difficile ».
Charleville-Mézières reçoit Poitiers demain soir (20h), un rendez-vous crucial alors que les Ardennais vont rapidement enchaîner Blois, Orléans et Nancy dans les prochaines semaines.
", "comment_id":"424072", "plaintext":"Le président de l’Etoile de Charleville-Mézières, en grande difficulté cette saison (17e de Pro B, 5v-18d), s’est exprimé sur le site officiel du club,trois jours après un nouveau revers concédé dans les ultimes instants à Vichy-Clermont (92-87). Luc Torres a livré son ressenti sur l’exercice compliqué du club ardennais au cours d’une longue interview, prenant notamment la défense de son coach, Alex Casimir, arrivé cet été à la place de Cédric Heitz, parti avec le meneur de l’Etoile, Martin Hermannsson, à Châlons-Reims.\n\n« Même si la situation est difficile, Alex Casimiri a la confiance de l’équipe dirigeante de l’Etoile qui travaille beaucoup avec lui. On a signé un contrat de deux ans sans clause libératoire avec Alex parce qu’on croit en la personne. Il a montré qu’il était capable de faire des choses intéressantes à Tarbes/Lourdes et il colle à notre projet de club. Il n’est donc pas du tout question qu’on remette tout cela en cause. En dépit de la méchanceté dont certains font preuve envers lui, on le soutient, on l’aide dans sa tâche, on est derrière lui » a-t-il affirmé.\n\nLe président de l’un des plus petits budgets de la division a également donné sa version sur les raisons de cet échec, estimant que les responsabilités sont partagées :\n\n« Des choses n’ont pas fonctionné en début d’exercice sur des décisions prises collectivement. Les responsabilités sont donc partagées. On a d’abord essayé de réussir des coups mais deux des joueurs convoités se sont avérés blessés. Nous avons aussi recruté des éléments qui, sur vidéos, nous plaisaient mais ça n’a pas du tout été la même chose sur le parquet. L’humain et la constance des joueurs ça ne se voit pas forcément sur les images. Et, in fine, l’équipe mise en place n’a pas trouvé le liant espéré. La saison est donc très mal partie, il a fallu assumer. Mais malgré un marché difficile rendu parfois compliqué par le jeu des agents, malgré aussi nos finances car on n’a jamais voulu se mettre dans le rouge, on s’est tout de même battus dans l’urgence pour réajuster tout cela. Ce sont les aléas d’un exercice et ça ne nous a pas aidés. 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Demain, c’est Pau-Limoges. La République des Pyrénées a ressorti les bonnes phrases prononcées par les acteurs du clasico dans la période l’âge d’or de la rivalité (1986-1998).
Avant de le lire, un quizz. Qui a fait ces deux déclarations?
« Sûr que je ne sais pas trop ce qui m’arrive. Tu crois quand même pas que je m’attendais à jouer !Quand Michel Gomez m’a appelé, j’ai cru que le sol se dérobait sous mes pieds. J’ai eu un trac fou mais comme Gomez ne me parlait que de défense de fer, il a fallu oublier le stress…
« Pour moi, le gros changement par rapport à nos premières rencontres, c’est le passage de l’Elan à Pau. L’équipe est beaucoup moins sympathique que par le passé. Avant, c’était un peu une équipe irréductibles, avec un super public. (…) Aujourd’hui, l’Elan, c’est une équipe pro, avec un public agressif et malsain que je n’aime pas du tout. »
Le premier, c’est Freddy Fauthoux alors âgé de 18 ans. Le second, c’est Richard Dacoury avant la demi-finale 94.
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Anthony Goods est un très bon joueur américain de Pro B, qui tourne à 16,9 points en moyenne avec Poitiers. C’est aussi l’homme qui a réalisé le documentaire sur le clasico Limoges-Pau, The Derby, qui est salué pour sa qualité.
A propos de ses compatriotes américains, il dit:
« pour eux, il n’y a que la NBA et rien d’autre. Mais en fait, il y a plus de passion, plus d’histoires dans le basket des pays européens. »
On reproche souvent aux basketteurs américains de ne pas être ouverts d’esprit. Anthony Goods, c’est tout le contraire. Il faut savoir qu’il est diplômé de Stanford, une université située au coeur de la Silicon Valley, qui a contribué à la création d’Internet et qui est devenue la fac la plus sélective des États-Unis, devant Harvard.
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Si l’Abeille des Aydes de Blois occupe actuellement la deuxième place du championnat, l’intérieur américain Tyren Johnson (29 ans, 2,03m) n’y est sans doute pas pour rien. Aux côtés des historiques, Florian Thibedore (au club depuis 2013), Benjamin Monclar (depuis 2014) et au sein d’un groupe remarquablement bâti, le poste 4 a permis aux Blésois de franchir un nouveau cap, constituant avec le Bahaméen Jonathan Augustin-Fairell une des raquettes les plus dissuasives de Pro B. Avec 15,7 points, 5 rebonds, 3 passes décisives et 1,5 interceptions par match (pour 16,5 d’évaluation en moyenne), le natif d’Edgard (Louisiane) n’est clairement pas venu faire de la figuration pour son retour en France quatre ans après ses premières expériences en Pro B, à Châlons-Reims (15,5 pts, 6,3 rbds de moyenne en 2012-2013, une finale d’accession perdue contre Antibes) puis au HTV l’année suivante (16pts, 6,2rbds).
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Le parcours de Blois reste exceptionnel malgré la défaite concédé vendredi à la maison contre Roanne, BasketEurope est donc allé à la rencontre de cet hyper-actif qui multiplie les centres d’intérêt. Pour parler de basket bien sûr, mais aussi de tourisme et de tout ce qui touche au « leadership » puisque Tyren Johnson délivre, entre autres, des cours de mentorat. « Make Em Pay », pour « fais leur payer » est le slogan qu’il s’est attribué et qui résume le mieux son parcours de basketteur, parti du bout du banc pour devenir professionnel à l’étranger. Toutes ses activités sont à retrouver sur le site internet créé par ses soins: Tyrenjohnson.com, un nom et une marque qu’il espère bien développer à l’issue de sa carrière professionnelle.
Neuvième la saison passée pour sa première année en Pro B et doté d’une nouvelle salle de 2 500 places depuis cet été, l’ADA Blois souhaitait poursuivre sa progression en accrochant au pire un maintien sans trembler et au mieux une place en Playoffs lors de cet exercice 2017-2018. Un état des lieux lucide mais difficile à entendre pour Tyren Johnson, toujours motivé à l’idée de tutoyer les sommets.
« Je ne sais pas trop quel était l’objectif du club en début de la saison. J’étais juste excité de revenir en France et de prouver que les gens avaient tort. Peut-être que les attentes n’étaient pas trop élevées. Certains coéquipiers ne pensaient pas qu’il serait possible de jouer la première place. Ça m’a rendu fou et ambitieux, pour leur prouver le contraire. Mon état d’esprit « makempay » n’a pas de limites et donc je m’attendais à jouer la première place. Pour l’instant, on a perdu contre Orléans à l’aller contre qui j’ai joué blessé et à Lille ensuite alors que je revenais de blessure. Après, on a juste perdu contre Roanne (80-63), qui nous a juste marché dessus (+ une défaite à Saint-chamond, non mentionnée, NDLR). A mes yeux, nous n’avons perdu que ce match. De manière générale, quand je joue pour une équipe, je veux toujours être en pole position et si vous regardez ma carrière, j’ai toujours joué pour les premières places sauf à Toulon qui était un peu plus bas au classement lorsque j’ai rejoint l’équipe. Mais on a fini par faire les Playoffs (élimination au premier tour contre Bourg-en-Bresse, futur vainqueur) ».
Les actions de son meilleur match de la saison, au Havre (27pts, 8rbds, 5pds, 33 d’évaluation et la victoire en prolongation)
Pour Tyren Johnson, les trois derniers succès acquis face à trois grosses écuries de la ligue (Orléans, Lille et Nantes) ne constituent pas un tournant dans la saison des Blésois. C’est plutôt le regard des autres qui a changé lorsque Blois s’est rapproché des premières places.
« Sur ces trois derniers matchs, on a défendu fort en étant très physique. Cette année, c’est celui qui jouera le plus dur qui terminera premier. Et nous avons joué plus dur que les autres ces derniers temps. Le moment décisif pour moi a été quand Orléans a perdu quelques matchs et qu’ils ont dû nous jouer ensuite. C’était selon moi le meilleur moment pour les attaquer. Maintenant, j’aborde chaque match comme un match de Playoffs, avec la volonté de finir à la première place. Peut-être que le club se contentera de finir à une autre place, mais en ce qui me concerne, je n’ai jamais remporté de championnat dans ma carrière alors que j’ai disputé cinq finales. Mon but est très clair ».
Intérieur fuyant, capable de tout faire, Tyren Johnson a également pour particularité une adresse extérieure digne d’un vrai shooteur. Avant de passer au travers lors des trois derniers matchs, il pointait même à un beau 44% d’adresse, le même pourcentage que l’un des meilleurs snipers de la division, Kyle McAlarney ! Aujourd’hui encore, il pointe non loin des spécialistes de l’exercice comme le Caennais Ludovic Chelle (41,5%) ou le Nancéien Philippe Braud (41,8%). Mais tout comme il refuse de se satisfaire de la forme actuelle de l’équipe (« j’ai l’impression qu’on peut faire encore tellement mieux »), l’intéressé ne s’arrêtera pas sur ce « petit » point de satisfaction.
« Je suis content, mais je ne suis pas choqué. En vérité, je shoote bien mieux que les statistiques le montrent. La plupart de mes équipes me donnent la balle à la fin de l’horloge et beaucoup de mes tirs sont forcés, ce qui fait chuter mon pourcentage. J’ai toujours été un bon tireur. Personnellement, les statistiques ne changent rien pour moi même si je veux être le meilleur scoreur à la fin de la saison. Quand je commencerais à finir davantage près du cercle, alors je serai satisfait. En ce moment la plupart de mes paniers viennent de l’extérieur. Je suis trop athlétique pour ne pas être capable de marquer dans la peinture et je suis trop bon tireur pour ne pas tirer de lancer-francs ».
Auteur d’un 3 points au buzzer à Roanne en Leader’s Cup en début de saison, Tyren Johnson a récidivé en championnat avec ce tir pour la victoire à Vichy-Clermont
En plus du basket, Tyren Johnson s’attelle à délivrer des discours de motivations à l’attention d’autres joueurs. De son parcours qui n’a pas forcément été tout tracé, comme pour bon nombre de sportifs professionnels, est ressorti ce mantra : « fais leur payer », et l’envie de transmettre son expérience aux autres pour les aider à avancer.
« Tout a commencé à Châlons-Reims »
« Makempay représente ce pour quoi je suis devenu connu. Simplement, c’est l’art d’utiliser le scepticisme de vos détracteurs comme carburant pour avancer. On a douté de moi toute ma vie et j’ai passé le plus clair de mon temps à essayer de prouver aux gens qu’ils avaient tort », confie-t-il. « Tout a commencé à Chalon-Reims. J’étais clairement le plus talentueux de l’équipe, mais avant la saison et en début de saison, j’étais sur le banc. Avec mon coach, Nikola Antic, on n’a pas eu de bonnes relations. Il ne m’a pas compris au début et je ne l’ai pas compris. Il a alors décidé de me faire sortir du banc et de limiter mon temps de jeu. Et j’ai passé tout le reste de la saison à lui prouver qu’il avait eu tort de le faire. J’étais tellement frustré que ça m’a vraiment aidé sur le terrain. À la fin de la saison, ma relation avec Nikola s’est grandement améliorée. Je l’ai vu il y a quelques mois et j’étais tellement heureux de le retrouver. Il a changé ma carrière et il ne le sait même pas ».
Depuis cet épisode au CCRB, Tyren Johnson a structuré son discours. Et bien plus qu’une source de motivation personnelle, c’est vraiment l’envie de transmettre, de partager son expérience et ses conseils avec le plus grand nombre qui motivent le maillon fort de l’ADA.
« Je veux enseigner cet état d’esprit à d’autres joueurs. Comment utiliser le doute pour alimenter votre succès. J’organise donc des camps de compétences qui les aident à se préparer. On établit une relation de manière à ce que je puisse les aider à atteindre leurs objectifs. Je forme des joueurs, de NBA à des joueurs de lycée. La plupart sont au lycée, mais j’ai aussi quelques joueurs qui jouent à l’étranger. Ça se passe bien. Je les aide à éviter les erreurs qui me sont arrivées dans ma carrière. En les aidant à se préparer à la vie après le basket-ball et à tirer le meilleur parti de leur carrière. Le premier conseil que je donnerais à un joueur qui veut faire une carrière dans le basket ? De s’en tenir aux bases, ne pas compliquer les choses. De maîtriser les fondamentaux et de garder l’idée de jouer un basket simple. Il en va de même pour la vie, soyez vous-même et concentrez-vous sur les choses pour lesquelles vous êtes bon ».
Petite leçon de leadership de Tyren Johnson sur l’importance de la patience dans sa réussite
Des inspirations ?
« Je n’ai pas de mentor physiquement en ce moment, mais j’en cherche un. J’ai des mentors en ligne. Grâce à Internet, des gars comme Gary Vaynerchuck, Lewis Howes, Grant Cardone, et Dre Baldwin me guident sans le savoir. Ils m’inspirent tous parce que je suis devenu plus qu’un simple joueur de basket-ball. Je suis une marque et je veux être ma propre marque pour le reste de ma vie, alors je me prépare maintenant parce que je ne sais pas combien de temps je pourrais encore jouer en Europe. C’est amusant mais cela n’a jamais été mon rêve. La NBA était mon rêve, et de jouer en Europe, c’est très difficile pour moi. Pas de famille, pas d’amis, les règles du basket européen me limitent un peu et le changement de style de vie est extrême ».
Le fait de ne pas avoir pu évoluer en NBA aurait également pu constituer une source de motivation, mais le n°12 de l’ADA Blois s’en défend.
« Ça n’a jamais été un problème pour moi de ne pas avoir pu y aller. Beaucoup de gars qui sont dans la NBA vous diraient que j’ai le niveau NBA. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour n’avoir aucun regret. J’utilise toujours cet état d’esprit de Makempay aujourd’hui parce que je suis revenu en France mais je joue toujours en Pro B. C’est le seul pays où j’ai joué en deuxième division. Ça me frustre tous les jours, même aujourd’hui. Donc tout le monde doit payer. J’espère qu’après la saison je pourrais dire « I made em pay » (« je leur ai fait payer »). »
De cette expérience à travers l’Europe (en Belgique aux côtés de l’ancien joueur NBA Chris Copeland mais aussi en Grèce), la D-League et le Japon, est né une autre leçon de vie et un autre slogan que Tyren Johnson cultive à fond jusqu’à en faire une marque qu’il imprime en gros sur tee-shirts et autres vêtements qu’il porte fièrement dès la fin de l’entraînement et sur ses vidéos : TRÜF, pour « Take Respect Until Freedom », jeu de mot en rapport avec la vérité (« Thruth » en anglais) et non avec la truffe du Perigord, ce champignon rare traquée dans nos belles contrées.
« Makempay traite du sport et TRÜF de la vie. Le respect est l’une des choses les plus importantes que vous pouvez avoir dans la vie. La liberté représente ce que je pense de la vie. C’est tout ce que je cherchais et j’ai trouvé la liberté quand je me suis trouvé. Je suis un gars simple j’aime les sports, voyager, et créer… »
Une journée ordinaire dans la journée de Tyren Johnson, ici en déplacement pour un match à Ciudad Juarez (Mexique)
Au stade de sa carrière, Tyren Johnson a franchi une nouvelle étape à Blois puisqu’il a dû passer de la théorie à la pratique en apprenant à devenir non pas un mentor ou un « motivateur » personnel mais un leader d’équipe.
« C’est la première fois qu’un club me demande vraiment d’être un leader. C’est bizarre d’être l’un des plus vieux gars de l’équipe. Ça change la façon dont j’aborde le jeu. J’essaie de montrer l’exemple et de parler davantage. C’est difficile d’être un nouveau joueur et en même temps un leader dans une équipe. Surtout en France, les joueurs français ne comprennent pas vraiment la façon dont les Américains regardent le jeu, donc je suis souvent mal compris. On ne devient pas une équipe d’un claquement de doigts, mais la nôtre est sur le bon chemin ».
Comme bon nombre de ses coéquipiers, Tyren Johnson a été malmené par la défense de fer de Roanne vendredi soir, la meilleure de Pro B (9pts dont un 0/6 à 3pts, 4rbds, 3pds). Plus globalement en difficulté depuis trois matchs, sa réaction sera à suivre de près lors des prochaines sorties de l’ADA, et il y a fort à parier pour que le n°12 blésois face le maximum pour faire payer cet écart à ses prochains adversaires.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/tyren-2.jpg\")
On aurait pu aborder tellement d’autres sujets. De sa passion pour la musique, au sport en général, de l’histoire ou de la vie. Mais c’est le Tyren Johnson passionné de voyages qui s’est imposé de lui même. L’enfant de Louisiane aime occuper son temps libre pour découvrir de nouvelles choses, de nouveaux endroits. Des voyages qu’il fait partager à travers des Vlogs sur sa chaîne Youtube.
« Tout est spontané. Je déteste les plans qui tuent l’excitation du voyage. La plupart du temps je tape dans Google les choses à voir près de moi. Je vais sur Skyscanner et tape les dates auxquelles je peux voyager. Je ne mets pas de destination particulière, et je vois ce qui se passe. En général, je ne prends conseil auprès de personne. Une fois que je découvre où je vais, je fais de la recherche intense pour en apprendre le plus possible sur l’endroit. A l’université, je me suis spécialisé en histoire et en géographie, donc je suis à fond dans l’histoire des lieux. Pour mes prochains voyages, je prévois d’aller en Afrique du Sud, peut-être à Johannesburg ou au Ghana, au Brésil et à New York. Je suis souvent allé à New York mais pour les affaires, je n’ai jamais vraiment vu la ville ».
Cette saison, Tyren Johnson a profité de son temps libre et de son retour en France pour retourner visiter les grands monuments de Paris, mais s’est aussi envolé pour Barcelone le temps d’un week-end prolongé, « le meilleur endroit où je suis allé jusqu’ici », glisse-t-il. « Le temps, les gens, la nourriture, tout était super ». Amateur d’histoire et basé à Blois, c’est à Chambord, à 20 minutes de chez lui, que le poste 4 de l’ADA a fait sa dernière sortie, en compagnie de Torey Thomas notamment. « Le château de Chambord est magnifique, l’architecture est incroyable. Pour ceux qui n’y sont jamais allés, je vous conseillerais de réviser votre histoire avant, sinon vous risquez de vous ennuyer. Vous ferez de belles photos que vous pourrez partager sur les réseaux sociaux, mais ce sera à peu près tout, c’est assez calme là-bas. Et n’y allez pas quand il fait froid dehors, car il fait encore plus froid à l’intérieur. »
Après être passé par Reims et la région champenoise également riche en histoire, Toulon, son soleil et sa rade, la Belgique, la Grèce mais aussi le Japon, difficile pour l’intéressé de choisir un endroit favori pour concilier tourisme et pratique du basket. Sa meilleure expérience basket loin de sa Louisiane natale, c’est en fait au Mexique que Tyren Johnson l’a vécue en fin de saison dernière. Un choix davantage guidé par l’aspect humain de cette aventure.
« Les matchs étaient vraiment authentiques et intenses. L’amour qu’il peut y avoir là-bas est différent. Ils s’en fichent de gagner ou perdre, c’est la fierté qui prend le dessus. C’est assez proche de l’état d’esprit de là où je viens. Les Mexicains ont mieux compris ma personnalité que les Européens. Ici, j’ai un peu du mal, je dois plus ou moins mettre un masque pendant 10 mois. Au Mexique, ils m’ont permis d’être moi-même. En plus, on était la meilleure équipe de la ligue, même si on a encore perdu le championnat. Je parle toujours à mes coéquipiers et mes coachs, nous avons vraiment eu une belle relation ».
Voici pour la présentation sommaire d’un joueur à la fois atypique et en même temps au parcours sans doute similaire à ce que de nombreux joueurs américains expatriés en Europe doivent vivre au quotidien.
Pour en savoir plus sur Tyren Johnson :
https://www.youtube.com/user/Letsgo34/videos
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Le parcours de Blois reste exceptionnel malgré la défaite concédé vendredi à la maison contre Roanne, BasketEurope est donc allé à la rencontre de cet hyper-actif qui multiplie les centres d’intérêt. Pour parler de basket bien sûr, mais aussi de tourisme et de tout ce qui touche au « leadership » puisque Tyren Johnson délivre, entre autres, des cours de mentorat. « Make Em Pay », pour « fais leur payer » est le slogan qu’il s’est attribué et qui résume le mieux son parcours de basketteur, parti du bout du banc pour devenir professionnel à l’étranger. Toutes ses activités sont à retrouver sur le site internet créé par ses soins: Tyrenjohnson.com, un nom et une marque qu’il espère bien développer à l’issue de sa carrière professionnelle.
9e la saison passée pour sa première année en Pro B et doté d’une nouvelle salle de 2500 places depuis cet été, l’ADA Blois souhaitait poursuivre sa progression en accrochant au pire un maintien sans trembler et au mieux une place en Playoffs lors de cet exercice 2017-2018. Un état des lieux lucide mais difficile à entendre pour Tyren Johnson, toujours motivé à l’idée de tutoyer les sommets.
« Je ne sais pas trop quel était l’objectif du club en début de la saison. J’étais juste excité de revenir en France et de prouver que les gens avaient tort.
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", "comment_id":"424013", "plaintext":"Si l’Abeille des Aydes de Blois occupe actuellement la deuxième place du championnat, l’intérieur américain Tyren Johnson (29 ans, 2,03m) n’y est sans doute pas pour rien. Aux côtés des historiques, Florian Thibedore (au club depuis 2013), Benjamin Monclar (depuis 2014) et au sein d’un groupe remarquablement bâti, le poste 4 a permis aux Blésois de franchir un nouveau cap, constituant avec le Bahaméen Jonathan Augustin-Fairell une des raquettes les plus dissuasives de Pro B. Avec 15,7 points, 5 rebonds, 3 passes décisives et 1,5 interceptions par match (pour 16,5 d’évaluation en moyenne), le natif d’Edgard (Louisiane) n’est clairement pas venu faire de la figuration pour son retour en France quatre ans après ses premières expériences en Pro B, à Châlons-Reims (15,5 pts, 6,3 rbds de moyenne en 2012-2013, une finale d’accession perdue contre Antibes) puis au HTV l’année suivante (16pts, 6,2rbds).\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLe parcours de Blois reste exceptionnel malgré la défaite concédé vendredi à la maison contre Roanne, BasketEurope est donc allé à la rencontre de cet hyper-actif qui multiplie les centres d’intérêt. Pour parler de basket bien sûr, mais aussi de tourisme et de tout ce qui touche au « leadership » puisque Tyren Johnson délivre, entre autres, des cours de mentorat. « Make Em Pay », pour « fais leur payer » est le slogan qu’il s’est attribué et qui résume le mieux son parcours de basketteur, parti du bout du banc pour devenir professionnel à l’étranger. Toutes ses activités sont à retrouver sur le site internet créé par ses soins: Tyrenjohnson.com, un nom et une marque qu’il espère bien développer à l’issue de sa carrière professionnelle.\n\n\nPremière partie : la saison avec Blois : « Mon but est très clair »\n\nNeuvième la saison passée pour sa première année en Pro B et doté d’une nouvelle salle de 2 500 places depuis cet été, l’ADA Blois souhaitait poursuivre sa progression en accrochant au pire un maintien sans trembler et au mieux une place en Playoffs lors de cet exercice 2017-2018. Un état des lieux lucide mais difficile à entendre pour Tyren Johnson, toujours motivé à l’idée de tutoyer les sommets.\n\n« Je ne sais pas trop quel était l’objectif du club en début de la saison. J’étais juste excité de revenir en France et de prouver que les gens avaient tort. Peut-être que les attentes n’étaient pas trop élevées. Certains coéquipiers ne pensaient pas qu’il serait possible de jouer la première place. Ça m’a rendu fou et ambitieux, pour leur prouver le contraire. Mon état d’esprit « makempay » n’a pas de limites et donc je m’attendais à jouer la première place. Pour l’instant, on a perdu contre Orléans à l’aller contre qui j’ai joué blessé et à Lille ensuite alors que je revenais de blessure. Après, on a juste perdu contre Roanne (80-63), qui nous a juste marché dessus (+ une défaite à Saint-chamond, non mentionnée, NDLR). A mes yeux, nous n’avons perdu que ce match. De manière générale, quand je joue pour une équipe, je veux toujours être en pole position et si vous regardez ma carrière, j’ai toujours joué pour les premières places sauf à Toulon qui était un peu plus bas au classement lorsque j’ai rejoint l’équipe. Mais on a fini par faire les Playoffs (élimination au premier tour contre Bourg-en-Bresse, futur vainqueur) ».\n\nLes actions de son meilleur match de la saison, au Havre (27pts, 8rbds, 5pds, 33 d’évaluation et la victoire en prolongation)\n\nPour Tyren Johnson, les trois derniers succès acquis face à trois grosses écuries de la ligue (Orléans, Lille et Nantes) ne constituent pas un tournant dans la saison des Blésois. C’est plutôt le regard des autres qui a changé lorsque Blois s’est rapproché des premières places.\n\n« Sur ces trois derniers matchs, on a défendu fort en étant très physique. Cette année, c’est celui qui jouera le plus dur qui terminera premier. Et nous avons joué plus dur que les autres ces derniers temps. Le moment décisif pour moi a été quand Orléans a perdu quelques matchs et qu’ils ont dû nous jouer ensuite. C’était selon moi le meilleur moment pour les attaquer. Maintenant, j’aborde chaque match comme un match de Playoffs, avec la volonté de finir à la première place. Peut-être que le club se contentera de finir à une autre place, mais en ce qui me concerne, je n’ai jamais remporté de championnat dans ma carrière alors que j’ai disputé cinq finales. Mon but est très clair ».\n\nIntérieur fuyant, capable de tout faire, Tyren Johnson a également pour particularité une adresse extérieure digne d’un vrai shooteur. Avant de passer au travers lors des trois derniers matchs, il pointait même à un beau 44% d’adresse, le même pourcentage que l’un des meilleurs snipers de la division, Kyle McAlarney ! Aujourd’hui encore, il pointe non loin des spécialistes de l’exercice comme le Caennais Ludovic Chelle (41,5%) ou le Nancéien Philippe Braud (41,8%). Mais tout comme il refuse de se satisfaire de la forme actuelle de l’équipe (« j’ai l’impression qu’on peut faire encore tellement mieux »), l’intéressé ne s’arrêtera pas sur ce « petit » point de satisfaction.\n\n« Je suis content, mais je ne suis pas choqué. En vérité, je shoote bien mieux que les statistiques le montrent. La plupart de mes équipes me donnent la balle à la fin de l’horloge et beaucoup de mes tirs sont forcés, ce qui fait chuter mon pourcentage. J’ai toujours été un bon tireur. Personnellement, les statistiques ne changent rien pour moi même si je veux être le meilleur scoreur à la fin de la saison. Quand je commencerais à finir davantage près du cercle, alors je serai satisfait. En ce moment la plupart de mes paniers viennent de l’extérieur. Je suis trop athlétique pour ne pas être capable de marquer dans la peinture et je suis trop bon tireur pour ne pas tirer de lancer-francs ».\n\nAuteur d’un 3 points au buzzer à Roanne en Leader’s Cup en début de saison, Tyren Johnson a récidivé en championnat avec ce tir pour la victoire à Vichy-Clermont\n\n\nDeuxième partie : « Makempay », « TRÜF », Tyren Jonhson et le leadership\n\nEn plus du basket, Tyren Johnson s’attelle à délivrer des discours de motivations à l’attention d’autres joueurs. De son parcours qui n’a pas forcément été tout tracé, comme pour bon nombre de sportifs professionnels, est ressorti ce mantra : « fais leur payer », et l’envie de transmettre son expérience aux autres pour les aider à avancer.\n\n« Tout a commencé à Châlons-Reims »\n\n« Makempay représente ce pour quoi je suis devenu connu. Simplement, c’est l’art d’utiliser le scepticisme de vos détracteurs comme carburant pour avancer. On a douté de moi toute ma vie et j’ai passé le plus clair de mon temps à essayer de prouver aux gens qu’ils avaient tort », confie-t-il. « Tout a commencé à Chalon-Reims. J’étais clairement le plus talentueux de l’équipe, mais avant la saison et en début de saison, j’étais sur le banc. Avec mon coach, Nikola Antic, on n’a pas eu de bonnes relations. Il ne m’a pas compris au début et je ne l’ai pas compris. Il a alors décidé de me faire sortir du banc et de limiter mon temps de jeu. Et j’ai passé tout le reste de la saison à lui prouver qu’il avait eu tort de le faire. J’étais tellement frustré que ça m’a vraiment aidé sur le terrain. À la fin de la saison, ma relation avec Nikola s’est grandement améliorée. Je l’ai vu il y a quelques mois et j’étais tellement heureux de le retrouver. Il a changé ma carrière et il ne le sait même pas ».\n\nDepuis cet épisode au CCRB, Tyren Johnson a structuré son discours. Et bien plus qu’une source de motivation personnelle, c’est vraiment l’envie de transmettre, de partager son expérience et ses conseils avec le plus grand nombre qui motivent le maillon fort de l’ADA.\n\n« Je veux enseigner cet état d’esprit à d’autres joueurs. Comment utiliser le doute pour alimenter votre succès. J’organise donc des camps de compétences qui les aident à se préparer. On établit une relation de manière à ce que je puisse les aider à atteindre leurs objectifs. Je forme des joueurs, de NBA à des joueurs de lycée. La plupart sont au lycée, mais j’ai aussi quelques joueurs qui jouent à l’étranger. Ça se passe bien. Je les aide à éviter les erreurs qui me sont arrivées dans ma carrière. En les aidant à se préparer à la vie après le basket-ball et à tirer le meilleur parti de leur carrière. Le premier conseil que je donnerais à un joueur qui veut faire une carrière dans le basket ? De s’en tenir aux bases, ne pas compliquer les choses. De maîtriser les fondamentaux et de garder l’idée de jouer un basket simple. Il en va de même pour la vie, soyez vous-même et concentrez-vous sur les choses pour lesquelles vous êtes bon ».\n\nPetite leçon de leadership de Tyren Johnson sur l’importance de la patience dans sa réussite\n\nDes inspirations ?\n\n« Je n’ai pas de mentor physiquement en ce moment, mais j’en cherche un. J’ai des mentors en ligne. Grâce à Internet, des gars comme Gary Vaynerchuck, Lewis Howes, Grant Cardone, et Dre Baldwin me guident sans le savoir. Ils m’inspirent tous parce que je suis devenu plus qu’un simple joueur de basket-ball. Je suis une marque et je veux être ma propre marque pour le reste de ma vie, alors je me prépare maintenant parce que je ne sais pas combien de temps je pourrais encore jouer en Europe. C’est amusant mais cela n’a jamais été mon rêve. La NBA était mon rêve, et de jouer en Europe, c’est très difficile pour moi. Pas de famille, pas d’amis, les règles du basket européen me limitent un peu et le changement de style de vie est extrême ».\n\nLe fait de ne pas avoir pu évoluer en NBA aurait également pu constituer une source de motivation, mais le n°12 de l’ADA Blois s’en défend.\n\n« Ça n’a jamais été un problème pour moi de ne pas avoir pu y aller. Beaucoup de gars qui sont dans la NBA vous diraient que j’ai le niveau NBA. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour n’avoir aucun regret. J’utilise toujours cet état d’esprit de Makempay aujourd’hui parce que je suis revenu en France mais je joue toujours en Pro B. C’est le seul pays où j’ai joué en deuxième division. Ça me frustre tous les jours, même aujourd’hui. Donc tout le monde doit payer. J’espère qu’après la saison je pourrais dire « I made em pay » (« je leur ai fait payer »). »\n\nDe cette expérience à travers l’Europe (en Belgique aux côtés de l’ancien joueur NBA Chris Copeland mais aussi en Grèce), la D-League et le Japon, est né une autre leçon de vie et un autre slogan que Tyren Johnson cultive à fond jusqu’à en faire une marque qu’il imprime en gros sur tee-shirts et autres vêtements qu’il porte fièrement dès la fin de l’entraînement et sur ses vidéos : TRÜF, pour « Take Respect Until Freedom », jeu de mot en rapport avec la vérité (« Thruth » en anglais) et non avec la truffe du Perigord, ce champignon rare traquée dans nos belles contrées.\n\n« Makempay traite du sport et TRÜF de la vie. Le respect est l’une des choses les plus importantes que vous pouvez avoir dans la vie. La liberté représente ce que je pense de la vie. C’est tout ce que je cherchais et j’ai trouvé la liberté quand je me suis trouvé. Je suis un gars simple j’aime les sports, voyager, et créer… »\n\nUne journée ordinaire dans la journée de Tyren Johnson, ici en déplacement pour un match à Ciudad Juarez (Mexique)\n\nAu stade de sa carrière, Tyren Johnson a franchi une nouvelle étape à Blois puisqu’il a dû passer de la théorie à la pratique en apprenant à devenir non pas un mentor ou un « motivateur » personnel mais un leader d’équipe.\n\n« C’est la première fois qu’un club me demande vraiment d’être un leader. C’est bizarre d’être l’un des plus vieux gars de l’équipe. Ça change la façon dont j’aborde le jeu. J’essaie de montrer l’exemple et de parler davantage. C’est difficile d’être un nouveau joueur et en même temps un leader dans une équipe. Surtout en France, les joueurs français ne comprennent pas vraiment la façon dont les Américains regardent le jeu, donc je suis souvent mal compris. On ne devient pas une équipe d’un claquement de doigts, mais la nôtre est sur le bon chemin ».\n\nComme bon nombre de ses coéquipiers, Tyren Johnson a été malmené par la défense de fer de Roanne vendredi soir, la meilleure de Pro B (9pts dont un 0/6 à 3pts, 4rbds, 3pds). Plus globalement en difficulté depuis trois matchs, sa réaction sera à suivre de près lors des prochaines sorties de l’ADA, et il y a fort à parier pour que le n°12 blésois face le maximum pour faire payer cet écart à ses prochains adversaires.\n\n\nTroisième partie : le tourisme\n\nOn aurait pu aborder tellement d’autres sujets. De sa passion pour la musique, au sport en général, de l’histoire ou de la vie. Mais c’est le Tyren Johnson passionné de voyages qui s’est imposé de lui même. L’enfant de Louisiane aime occuper son temps libre pour découvrir de nouvelles choses, de nouveaux endroits. Des voyages qu’il fait partager à travers des Vlogs sur sa chaîne Youtube.\n\n« Tout est spontané. Je déteste les plans qui tuent l’excitation du voyage. La plupart du temps je tape dans Google les choses à voir près de moi. Je vais sur Skyscanner et tape les dates auxquelles je peux voyager. Je ne mets pas de destination particulière, et je vois ce qui se passe. En général, je ne prends conseil auprès de personne. Une fois que je découvre où je vais, je fais de la recherche intense pour en apprendre le plus possible sur l’endroit. A l’université, je me suis spécialisé en histoire et en géographie, donc je suis à fond dans l’histoire des lieux. Pour mes prochains voyages, je prévois d’aller en Afrique du Sud, peut-être à Johannesburg ou au Ghana, au Brésil et à New York. Je suis souvent allé à New York mais pour les affaires, je n’ai jamais vraiment vu la ville ».\n\nCette saison, Tyren Johnson a profité de son temps libre et de son retour en France pour retourner visiter les grands monuments de Paris, mais s’est aussi envolé pour Barcelone le temps d’un week-end prolongé, « le meilleur endroit où je suis allé jusqu’ici », glisse-t-il. « Le temps, les gens, la nourriture, tout était super ». Amateur d’histoire et basé à Blois, c’est à Chambord, à 20 minutes de chez lui, que le poste 4 de l’ADA a fait sa dernière sortie, en compagnie de Torey Thomas notamment. « Le château de Chambord est magnifique, l’architecture est incroyable. Pour ceux qui n’y sont jamais allés, je vous conseillerais de réviser votre histoire avant, sinon vous risquez de vous ennuyer. Vous ferez de belles photos que vous pourrez partager sur les réseaux sociaux, mais ce sera à peu près tout, c’est assez calme là-bas. Et n’y allez pas quand il fait froid dehors, car il fait encore plus froid à l’intérieur. »\n\nAprès être passé par Reims et la région champenoise également riche en histoire, Toulon, son soleil et sa rade, la Belgique, la Grèce mais aussi le Japon, difficile pour l’intéressé de choisir un endroit favori pour concilier tourisme et pratique du basket. Sa meilleure expérience basket loin de sa Louisiane natale, c’est en fait au Mexique que Tyren Johnson l’a vécue en fin de saison dernière. Un choix davantage guidé par l’aspect humain de cette aventure.\n\n« Les matchs étaient vraiment authentiques et intenses. L’amour qu’il peut y avoir là-bas est différent. Ils s’en fichent de gagner ou perdre, c’est la fierté qui prend le dessus. C’est assez proche de l’état d’esprit de là où je viens. Les Mexicains ont mieux compris ma personnalité que les Européens. Ici, j’ai un peu du mal, je dois plus ou moins mettre un masque pendant 10 mois. Au Mexique, ils m’ont permis d’être moi-même. En plus, on était la meilleure équipe de la ligue, même si on a encore perdu le championnat. Je parle toujours à mes coéquipiers et mes coachs, nous avons vraiment eu une belle relation ».\n\nVoici pour la présentation sommaire d’un joueur à la fois atypique et en même temps au parcours sans doute similaire à ce que de nombreux joueurs américains expatriés en Europe doivent vivre au quotidien.\n\nPour en savoir plus sur Tyren Johnson :\n\nhttp://tyrenjohnson.com/\n\nhttps://www.youtube.com/user/Letsgo34/videos\n\n[armelse]\n\nLe parcours de Blois reste exceptionnel malgré la défaite concédé vendredi à la maison contre Roanne, BasketEurope est donc allé à la rencontre de cet hyper-actif qui multiplie les centres d’intérêt. Pour parler de basket bien sûr, mais aussi de tourisme et de tout ce qui touche au « leadership » puisque Tyren Johnson délivre, entre autres, des cours de mentorat. « Make Em Pay », pour « fais leur payer » est le slogan qu’il s’est attribué et qui résume le mieux son parcours de basketteur, parti du bout du banc pour devenir professionnel à l’étranger. Toutes ses activités sont à retrouver sur le site internet créé par ses soins: Tyrenjohnson.com, un nom et une marque qu’il espère bien développer à l’issue de sa carrière professionnelle.\n\n\nPremière partie : la saison avec Blois : « Mon but est très clair »\n\n9e la saison passée pour sa première année en Pro B et doté d’une nouvelle salle de 2500 places depuis cet été, l’ADA Blois souhaitait poursuivre sa progression en accrochant au pire un maintien sans trembler et au mieux une place en Playoffs lors de cet exercice 2017-2018. Un état des lieux lucide mais difficile à entendre pour Tyren Johnson, toujours motivé à l’idée de tutoyer les sommets.\n\n« Je ne sais pas trop quel était l’objectif du club en début de la saison. J’étais juste excité de revenir en France et de prouver que les gens avaient tort.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-19T12:37:18.000Z", "updated_at":"2018-03-20T09:33:14.000Z", "published_at":"2018-03-19T12:37:18.000Z", "custom_excerpt":"Si l’Abeille des Aydes de Blois occupe actuellement la deuxième place du championnat, l’intérieur américain Tyren Johnson (29 ans, 2,03m) n’y est sans doute pas pour rien. 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1⃣ @Hurtem44 – @BasketLMA ☀️ / @usabasketball 🇺🇸 (Éval : 29) pic.twitter.com/IEozL7E0N0— LFB (@basketlfb) 19 mars 2018
Photo EuroLeague
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La poste 4 américaine de Lattes-Montpellier a été désignée MVP de la 18e journée de LFB. Après leur succès au Hainaut la semaine passée (65-69), les Héraultaises l’ont aisément emporté contre Roche-Vendée à domicile ce week-end (86-50). Et Courtney Hurt a brillé avec 21 points (8/12), 10 rebonds, 2 passes décisives pour 29 d’évaluation en 27 minutes.
L’ancienne niçoise devance Michelle Plouffe (Tarbes), 2e de ce top 3 avec 25 points, 11 rebonds pour 28 d’éval en 40 minutes dans la défaite du TGB à Basket Landes (71-67) et Kaleena Lewis (Charleville-Mézières), précieuse dans la victoire des Carolo sur le parquet de Nantes-Rezé (81-86) avec 26 points (à 10/13), 2 rebonds et 2 passes décisives en 35′ (27 d’éval). Lattes-Montpellier (5e, 10v-8d) se déplace à Bourges (1er, 16v-2d) ce samedi.
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Photo EuroLeague
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« Cette annonce est un moment historique pour la fédération australienne et tous les fans de notre jeu. Je crois que cet événement restera longtemps dans l’histoire du basket australien », a commenté Anthony Moore, le directeur de Basketball Australia.
Un an et demi auparavant avant le jour J, il est évidemment impossible de savoir qui composera Team USA coaché par Gregg Popovich mais il est probable que quelques superstars accepteront de participer à cette Coupe du Monde qualificative pour les Jeux Olympiques de Tokyo d’autant que la Chine est un énorme marché pour des joueurs comme LeBron James et Stephen Curry.
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En championnat, Chris Lofton (1,88m, 32 ans) n’a pas joué depuis le 22 janvier à Dijon. Il a juste fait une apparition pas concluante de quinze minutes à la Leaders Cup. Tout ça à cause d’une entorse à la cheville. Le sérial shooteur américain est même retourné chez lui aux Etats-Unis pour se faire soigner durant la fenêtre internationale de février. On a annoncé son retour plusieurs fois depuis mais toujours rien. Et pas sûr qu’il soit actif ce soir lors du déplacement du MSB à Châlons-Reims.
« C’est très long effectivement », commente son coach Eric Bartecheky à Ouest France. « C’est compliqué. Les tests médicaux sont censés rassurer le joueur mais il faut prendre aussi en compte son ressenti. Chris ne se sentait pas prêt. Il est encore en délicatesse avec sa cheville. Lundi, il a juste fait l’échauffement. Mardi, il a coupé en cours de séance, rien mercredi avant de reprendre à tâtons jeudi et vendredi… On prendra une décision ensemble, après avoir discuté avec lui. »
Sans lui, Le Mans a gagné 7 de ses 9 matches.
Photo: MSB
", "comment_id":"424050", "plaintext":"En championnat, Chris Lofton (1,88m, 32 ans) n’a pas joué depuis le 22 janvier à Dijon. Il a juste fait une apparition pas concluante de quinze minutes à la Leaders Cup. Tout ça à cause d’une entorse à la cheville. Le sérial shooteur américain est même retourné chez lui aux Etats-Unis pour se faire soigner durant la fenêtre internationale de février. On a annoncé son retour plusieurs fois depuis mais toujours rien. Et pas sûr qu’il soit actif ce soir lors du déplacement du MSB à Châlons-Reims.\n\n« C’est très long effectivement », commente son coach Eric Bartecheky à Ouest France. « C’est compliqué. Les tests médicaux sont censés rassurer le joueur mais il faut prendre aussi en compte son ressenti. Chris ne se sentait pas prêt. Il est encore en délicatesse avec sa cheville. Lundi, il a juste fait l’échauffement. Mardi, il a coupé en cours de séance, rien mercredi avant de reprendre à tâtons jeudi et vendredi… On prendra une décision ensemble, après avoir discuté avec lui. »\n\nSans lui, Le Mans a gagné 7 de ses 9 matches.\n\nPhoto: MSB", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-19T09:15:46.000Z", "updated_at":"2018-03-19T09:15:46.000Z", "published_at":"2018-03-19T09:15:46.000Z", "custom_excerpt":"En championnat, Chris Lofton (1,88m, 32 ans) n’a pas joué depuis le 22 janvier à Dijon. Il a juste fait une apparition pas concluante de quinze minutes à la Leaders Cup. Tout ça à cause d’une entorse à la cheville. Le sérial shooteur américain est même retourné chez lui aux Etats-Unis pour se faire ", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d88", "uuid":"5566e064-d0e5-4a17-bb1a-240f7ac117db", "title":"Endy Miyem (Schio): « J’ai envie de terminer ma carrière en France »", "slug":"endy-miyem-schio-jai-envie-de-terminer-ma-carriere-en-france", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/endy-miyem-e1521448788585.jpg\",\"width\":800,\"height\":534,\"href\":\"http://www.lunion.fr/81126/article/2018-03-19/video-endy-miyem-la-basketteuse-remoise-en-route-pour-les-etats-unis\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"http://www.lunion.fr/81126/article/2018-03-19/video-endy-miyem-la-basketteuse-remoise-en-route-pour-les-etats-unis\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’Union\"],[0,[],0,\" consacre un portrait à Endy Miyem (1,88m, 29 ans) au titre que l’internationale est une Rémoise. Le quotidien la fait revenir sur son choix d’aller en WNBA cet été au sein du Lynx de Minnesota, le champion en titre.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"«\"],[0,[1],0,\" Les États-Unis ne faisaient pas partie de mes projets immédiats. Mais quand, à ce stade de ma carrière, une telle opportunité se présente… Un contrat en WNBA, en plus chez le champion en titre, le Lynx de Minnesota, on ne peut pas refuser. Il fallait donner rapidement une réponse, j’ai pesé le pour et le contre. J’en ai parlé avec mon agent, mon père et Valérie Garnier, ma coach en équipe de France. En gros, ils m’ont tous dit d’y aller, même si Valérie s’inquiétait pour ma présence chez les Bleus. \"],[0,[],1,\"À Schio, je joue avec une Italienne qui a évolué à Minnesota l’été dernier. Elle m’a confirmé que c’était une équipe super-compétitive. C’est un rêve qui se réalise, une étape à franchir, j’ai encore un peu de mal à me projeter, même si je m’attends à tremper dans la démesure US, des salles immenses, de superbes installations et des conditions de travail impressionnantes. Le jeu pratiqué par l’équipe est très offensif, basé sur le un-contre-un. Je vais découvrir une autre facette du basket. \"],[0,[],0,\"»\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quant à son avenir immédiat en club, Endy est toujours dans l’incertitude:\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[1],1,\"La suite ? Je ne sais pas. J’arrive en fin de contrat avec Schio. On va discuter avec les dirigeants. Ça se décidera avant la fin de la saison. Plusieurs options vont se présenter, avec, pourquoi pas un retour en France. La saison prochaine ? Dans deux ans ? Je ne sais pas. Mais j’ai envie de terminer ma carrière en France, même si je ne suis pas trop la Ligue féminine\"],[0,[],0,\" ».\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/endy-miyem-e1521448788585.jpg\")
L’Union consacre un portrait à Endy Miyem (1,88m, 29 ans) au titre que l’internationale est une Rémoise. Le quotidien la fait revenir sur son choix d’aller en WNBA cet été au sein du Lynx de Minnesota, le champion en titre.
« Les États-Unis ne faisaient pas partie de mes projets immédiats. Mais quand, à ce stade de ma carrière, une telle opportunité se présente… Un contrat en WNBA, en plus chez le champion en titre, le Lynx de Minnesota, on ne peut pas refuser. Il fallait donner rapidement une réponse, j’ai pesé le pour et le contre. J’en ai parlé avec mon agent, mon père et Valérie Garnier, ma coach en équipe de France. En gros, ils m’ont tous dit d’y aller, même si Valérie s’inquiétait pour ma présence chez les Bleus. À Schio, je joue avec une Italienne qui a évolué à Minnesota l’été dernier. Elle m’a confirmé que c’était une équipe super-compétitive. C’est un rêve qui se réalise, une étape à franchir, j’ai encore un peu de mal à me projeter, même si je m’attends à tremper dans la démesure US, des salles immenses, de superbes installations et des conditions de travail impressionnantes. Le jeu pratiqué par l’équipe est très offensif, basé sur le un-contre-un. Je vais découvrir une autre facette du basket. »
Quant à son avenir immédiat en club, Endy est toujours dans l’incertitude:
« La suite ? Je ne sais pas. J’arrive en fin de contrat avec Schio. On va discuter avec les dirigeants. Ça se décidera avant la fin de la saison. Plusieurs options vont se présenter, avec, pourquoi pas un retour en France. La saison prochaine ? Dans deux ans ? Je ne sais pas. Mais j’ai envie de terminer ma carrière en France, même si je ne suis pas trop la Ligue féminine ».", "comment_id":"424046", "plaintext":"L’Union consacre un portrait à Endy Miyem (1,88m, 29 ans) au titre que l’internationale est une Rémoise. Le quotidien la fait revenir sur son choix d’aller en WNBA cet été au sein du Lynx de Minnesota, le champion en titre.\n\n« Les États-Unis ne faisaient pas partie de mes projets immédiats. Mais quand, à ce stade de ma carrière, une telle opportunité se présente… Un contrat en WNBA, en plus chez le champion en titre, le Lynx de Minnesota, on ne peut pas refuser. Il fallait donner rapidement une réponse, j’ai pesé le pour et le contre. J’en ai parlé avec mon agent, mon père et Valérie Garnier, ma coach en équipe de France. En gros, ils m’ont tous dit d’y aller, même si Valérie s’inquiétait pour ma présence chez les Bleus. À Schio, je joue avec une Italienne qui a évolué à Minnesota l’été dernier. Elle m’a confirmé que c’était une équipe super-compétitive. C’est un rêve qui se réalise, une étape à franchir, j’ai encore un peu de mal à me projeter, même si je m’attends à tremper dans la démesure US, des salles immenses, de superbes installations et des conditions de travail impressionnantes. Le jeu pratiqué par l’équipe est très offensif, basé sur le un-contre-un. Je vais découvrir une autre facette du basket. »\n\nQuant à son avenir immédiat en club, Endy est toujours dans l’incertitude:\n\n« La suite ? Je ne sais pas. J’arrive en fin de contrat avec Schio. On va discuter avec les dirigeants. Ça se décidera avant la fin de la saison. Plusieurs options vont se présenter, avec, pourquoi pas un retour en France. 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En plus du programme habituel (Jeep Elite et Coupes d’Europe), SFR Sport nous propose quatre matches de Coupe de France à Trélazé. Attention: certains matches sont sur SFR Sport 3.
Lundi 19 mars:
20h45 – Châlons-Reims/Le Mans – Jeep Elite – SFR Sport 2
Mardi 20 mars:
18h45 – Fenerbahçe/Tel-Aviv – Euroleague – SFR Sport 2
18h45 – Darussafaka/Munich – Eurocup -SFR Sport 3
20h45 – Pau/Limoges – Jeep Elite – SFR Sport 2
Mercredi 21 mars:
18h00 – Moscou/Olympiakos – Euroleague – SFR Sport 3
20h45 – Monaco/Nanterre – Jeep Elite – SFR Sport 2
Jeudi 22 mars:
20h00 – Tel-Aviv/Panathinaikos – Euroleague – SFR Sport 2
20h45 – Madrid/Kaunas – Euroleague – SFR Sport 3
Vendredi 23 mars:
18h00 – Khimki Moscou/CSKA Moscou – Euroleague – SFR Sport 2
20h00 – Munich/Darussafaka – Eurocup – SFR Sport 3
21h00 – Barcelone/Vitoria – Euroleague – SFR Sport 2
Samedi 24 mars:
18h00 – Boulazac/Monaco – CDF – SFR Sport 2
20h30 – Villeurbanne/Strasbourg – CDF -SFR Sport 2
Dimanche 25 mars:
14h30 – Demi-finale – CDF – SFR Sport 2
17h00 – Demi-finale – CDF – SFR Sport 2
Lundi 26 mars:
20h45 – Bourg/Le Mans – Jeep Elite
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Comme nous l’indiquions précédemment l’ancien Villeurbannais Livio Jean-Charles (2,03m, 24 ans) rejoint l’Espagne et Malaga pour deux mois en remplacement du Géorgien Giorgi Shermadini blessé.
Cette saison, l’ailier-fort français a porté le maillot des Austin Spurs en G-League (11,3 points et 5,6 rebonds en 21′ de moyenne).
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J’ai beaucoup aimé le premier passage de Flo Piétrus qui a tout de suite amené un surcroît d’intensité. Damien Inglis a confirmé pour la première fois sa prestation de la semaine. Quant à Dee Bost, il a fait dix premières minutes parfaites en mettant l’équipe en musique, en la lançant sur les bons rails… \"],[0,[],0,\"»\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quant à Nanterre, il a démontré ses limites quand ses shooteurs d’élite n’ont pas deux centimètres pour armer. Les Franciliens ont longtemps été maintenus en surface par le duo Heiko Schaffartzik-Lahoue Konate (20 points chacun) mais leur faiblesse au poste cinq (Alade Aminu a été transparent) a été criarde. Le score final (78-93) reflète totalement la différence de niveau et le coach Pascal Donnadieu est le premier à le reconnaître.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[0],1,\"Il y a un monde ce soir entre les deux équipes. Notre objectif, c’est de prétendre jouer les playoffs mais on n’y est pas encore ! 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Des chiffres: 10 paniers à trois-points sur 19 tentatives pour Nanterre en première mi-temps. Et… zéro en deuxième pour seulement 7 tentatives. La défense montante et très remontée de Strasbourg a complètement asphyxié Heiko Schaffartzik et compagnie.
« On a été induit en erreur en première mi-temps par la qualité offensive qu’on a produite au début. Mon assistant, Nebojsa Bogavać m’a dit à la fin de la première période que notre attaque, c’était de la poésie ! C’est assez imagé, c’était vrai, nous étions très inspirés, mais il est vrai que Nanterre ne contestait pas grand-chose », racontait le coach Vincent Collet en conférence de presse. « Malheureusement, petit à petit, on est tombé dans le panneau de jouer leur match. Et quand tu joues leur match, tu ne gagnes pas souvent (…). Le salut devait venir par la défense. On a parfois changé de stratégie mais ce sont surtout les comportements individuels qui ont changé. »
Chacun a été frappé par le sentiment de puissance qui s’est dégagé hier soir de l’équipe alsacienne. A l’intérieur, les Nanterriens ont été massacrés. La paire Miro Bilan (16 points, 5 rebonds, 3 passes)-Louis Labeyrie (10 points, 9 rebonds, 2 passes) est bien la meilleure de Jeep Elite. La ligne arrière est très forte aussi avec notamment un Levi Randolph qui a parfaitement compris son rôle dans le dispositif (16 points à 6/8 aux tirs).
« On monte en puissance et il n’y aura plus de fenêtre internationale pour couper notre élan », se réjouit Vincent Collet. « Avec les matches qui se profilent, la Coupe de France qu’il n’est pas question de négliger, mais sans se consommer dans la perspective du match à Athènes, on aura besoin de tout le monde. J’ai beaucoup aimé le premier passage de Flo Piétrus qui a tout de suite amené un surcroît d’intensité. Damien Inglis a confirmé pour la première fois sa prestation de la semaine. Quant à Dee Bost, il a fait dix premières minutes parfaites en mettant l’équipe en musique, en la lançant sur les bons rails… »
Quant à Nanterre, il a démontré ses limites quand ses shooteurs d’élite n’ont pas deux centimètres pour armer. Les Franciliens ont longtemps été maintenus en surface par le duo Heiko Schaffartzik-Lahoue Konate (20 points chacun) mais leur faiblesse au poste cinq (Alade Aminu a été transparent) a été criarde. Le score final (78-93) reflète totalement la différence de niveau et le coach Pascal Donnadieu est le premier à le reconnaître.
« Il y a un monde ce soir entre les deux équipes. Notre objectif, c’est de prétendre jouer les playoffs mais on n’y est pas encore ! Strasbourg ne présente pas les mêmes arguments que nous. C’est avant tout la qualité des rotations de la SIG qui a fait la différence. On a été sanctionné dès qu’on a ouvert le banc, et plus que lourdement. Pendant que la SIG accumule les rotations, nous on fatigue avec les joueurs majeurs. C’est quasiment ingérable ».
Photo: SIG
", "comment_id":"424031", "plaintext":"Des chiffres: 10 paniers à trois-points sur 19 tentatives pour Nanterre en première mi-temps. Et… zéro en deuxième pour seulement 7 tentatives. La défense montante et très remontée de Strasbourg a complètement asphyxié Heiko Schaffartzik et compagnie.\n\n« On a été induit en erreur en première mi-temps par la qualité offensive qu’on a produite au début. Mon assistant, Nebojsa Bogavać m’a dit à la fin de la première période que notre attaque, c’était de la poésie ! C’est assez imagé, c’était vrai, nous étions très inspirés, mais il est vrai que Nanterre ne contestait pas grand-chose », racontait le coach Vincent Collet en conférence de presse. « Malheureusement, petit à petit, on est tombé dans le panneau de jouer leur match. Et quand tu joues leur match, tu ne gagnes pas souvent (…). Le salut devait venir par la défense. On a parfois changé de stratégie mais ce sont surtout les comportements individuels qui ont changé. »\n\nChacun a été frappé par le sentiment de puissance qui s’est dégagé hier soir de l’équipe alsacienne. A l’intérieur, les Nanterriens ont été massacrés. La paire Miro Bilan (16 points, 5 rebonds, 3 passes)-Louis Labeyrie (10 points, 9 rebonds, 2 passes) est bien la meilleure de Jeep Elite. La ligne arrière est très forte aussi avec notamment un Levi Randolph qui a parfaitement compris son rôle dans le dispositif (16 points à 6/8 aux tirs).\n\n« On monte en puissance et il n’y aura plus de fenêtre internationale pour couper notre élan », se réjouit Vincent Collet. « Avec les matches qui se profilent, la Coupe de France qu’il n’est pas question de négliger, mais sans se consommer dans la perspective du match à Athènes, on aura besoin de tout le monde. J’ai beaucoup aimé le premier passage de Flo Piétrus qui a tout de suite amené un surcroît d’intensité. Damien Inglis a confirmé pour la première fois sa prestation de la semaine. Quant à Dee Bost, il a fait dix premières minutes parfaites en mettant l’équipe en musique, en la lançant sur les bons rails… »\n\nQuant à Nanterre, il a démontré ses limites quand ses shooteurs d’élite n’ont pas deux centimètres pour armer. Les Franciliens ont longtemps été maintenus en surface par le duo Heiko Schaffartzik-Lahoue Konate (20 points chacun) mais leur faiblesse au poste cinq (Alade Aminu a été transparent) a été criarde. Le score final (78-93) reflète totalement la différence de niveau et le coach Pascal Donnadieu est le premier à le reconnaître.\n\n« Il y a un monde ce soir entre les deux équipes. Notre objectif, c’est de prétendre jouer les playoffs mais on n’y est pas encore ! Strasbourg ne présente pas les mêmes arguments que nous. C’est avant tout la qualité des rotations de la SIG qui a fait la différence. On a été sanctionné dès qu’on a ouvert le banc, et plus que lourdement. Pendant que la SIG accumule les rotations, nous on fatigue avec les joueurs majeurs. C’est quasiment ingérable ».\n\nPhoto: SIG", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-03-19T07:00:41.000Z", "updated_at":"2018-03-19T07:00:41.000Z", "published_at":"2018-03-19T07:00:41.000Z", "custom_excerpt":"Des chiffres: 10 paniers à trois-points sur 19 tentatives pour Nanterre en première mi-temps. Et… zéro en deuxième pour seulement 7 tentatives. La défense montante et très remontée de Strasbourg a complètement asphyxié Heiko Schaffartzik et compagnie. « On a été induit en erreur en première mi-temps", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c22595b4a60001202d8c", "uuid":"44edccef-1074-4aef-945b-992cf2ebd2ab", "title":"Vidéo: La victoire du Mans sur Hyères-Toulon", "slug":"video-la-victoire-du-mans-sur-hyeres-toulon", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/Ic_bVkLJd3s?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Victoire du Mans sur Hyères-Toulon (92-80) avec 20 points à 9/11 aux tirs et 9 rebonds de Youssoupha Fall. C’est la 10e défaite du HTV de suite et la 13e en 14 matches.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le MSB a réalisé cette vidéo du match.\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Victoire du Mans sur Hyères-Toulon (92-80) avec 20 points à 9/11 aux tirs et 9 rebonds de Youssoupha Fall. C’est la 10e défaite du HTV de suite et la 13e en 14 matches.
Le MSB a réalisé cette vidéo du match.
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Facteur X de la victoire des Bleus contre la Belgique il y a un mois lors du deuxième match de la dernière fenêtre internationale (qualifications pour la Coupe du Monde 2019), le pivot international de 2,18m (26 ans) a fait le point sur sa saison et sa progression sur le site officiel de la LNB.
Champion de France la saison dernière avec Chalon, l’ancien monégasque a notamment confié n’avoir aucun regret quant à son choix d’avoir rejoint Sakarya (D1 turque) cet été alors que le Barça s’était manifesté.
« Franchement, je n’ai aucun regret, ni sur le plan individuel, ni sur le plan collectif. Jouer l’Euroleague, c’est bien sûr le but, mais je ne voulais pas le faire à n’importe quelle condition. Tant que tu joues entre 17 et 22, 23 minutes, que tu as un vrai rôle, c’est le top. Mais si tu te retrouves avec, devant toi, deux pivots qui sont payés 2 millions d’euros, tu cours vraiment le risque de cirer le banc sans pouvoir t’exprimer. Cela ne sert donc à rien de vouloir brûler les étapes pour te retrouver dans une situation où tu vas régresser. Moi, tant que je joue et que j’ai la sensation de progresser, je suis heureux ! »
Par ailleurs, la NBA reste l’un de ses objectifs de Moustapha Fall même si ce dernier a avoué avoir été dégoûté par l’état d’esprit qui pouvait régner en Summer League, pas faite pour laisser les grands s’exprimer selon lui.
« J’ai eu une expérience de la Summer League et ça m’a franchement dégoûté. Quand je rentrais, je ne faisais que de l’athlétisme, des aller-retours sur le terrain sans jamais voir la couleur du ballon. C’est impossible de te mettre en valeur quand tu es un intérieur dans ce contexte. J’ai passé tout le tournoi à courir dans le vide, c’était trop ch… C’est un parcours qui peut être adapté à un extérieur, capable de créer pour lui-même. Mais pour les grands, qui dépendent plus du collectif pour être mis en valeur, ça ne sert à rien ».
L’entretien complet à retrouver sur lnb.fr
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Cela ne sert donc à rien de vouloir brûler les étapes pour te retrouver dans une situation où tu vas régresser. Moi, tant que je joue et que j’ai la sensation de progresser, je suis heureux ! »\n\nPar ailleurs, la NBA reste l’un de ses objectifs de Moustapha Fall même si ce dernier a avoué avoir été dégoûté par l’état d’esprit qui pouvait régner en Summer League, pas faite pour laisser les grands s’exprimer selon lui.\n\n« J’ai eu une expérience de la Summer League et ça m’a franchement dégoûté. Quand je rentrais, je ne faisais que de l’athlétisme, des aller-retours sur le terrain sans jamais voir la couleur du ballon. C’est impossible de te mettre en valeur quand tu es un intérieur dans ce contexte. J’ai passé tout le tournoi à courir dans le vide, c’était trop ch… C’est un parcours qui peut être adapté à un extérieur, capable de créer pour lui-même. 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Le Mans, Gravelines et cette fois Châlons-Reims (91-77) sont ces trois dernières victimes en date.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Très bonne série », a savouré Bastien Pinault (1,95m, 24 ans) en zone mixte. « Ca joue très bien au basket. On a commencé à être -je ne sais pas si le terme n’est pas trop fort- injouable à domicile. Petite, grosse ou moyenne équipe. Donc c’est cool. On fait 115 d’évaluation, c’est plutôt pas mal. Il y a six, sept joueurs à 10 points (NDLR: sept). Quand on voit ce que l’on a traversé, ça fait plaisir de proposer un basket aussi agréable à jouer. On se passe le ballon et puis il y a une grosse part de confiance, tout le monde commence à être sur son petit nuage. C’est bien parce que même si Nate (Wolters) n’a pas fait les 33 points de Gravelines, il y en a d’autres qui prennent le relais alors qu’au début ce n’était pas trop possible. C’était sur les épaules de Jeremy (Nzeulie), Lance (Harris) et Ous (Ousmane Camara). Et maintenant, c’est un peu tout le monde qui peut apporter quelque chose dans le match. C’est un bon match d’équipe. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bastien Pinault, qui encore une fois a maximalisé les minutes que Jean-Denys Choulet lui a accordé: 11 points en 12 minutes. Le Chalonnais a mis 3 trois-points en 5 tentatives. Depuis le début de la saison, l’ancien espoir de Pau en est à 22/38 aux tirs derrière l’arc soit 57,9%. Il est tout simplement le numéro 1 à l’adresse dans les shoots primés de toute la Jeep ELITE.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mardi l’Elan se rend à Villeurbanne et on n’est plus certain de savoir qui sera le favori du match car d’agneaux, les Chalonnais se sont métamorphosés en loups et accrocher une place en playoffs n’est plus une utopie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo: FIBA Europe\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le résumé de Elan: TV\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"https://www.facebook.com/Elan.Chalon/videos/10155907088836201/\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/bastien-pinault-e1521369055324.jpg\")
Alors que l’Elan Chalon avait perdu ses six premiers matches de la saison puis encore huit sur neuf, il en est à six victoires sur les huit dernières rencontres. Le Mans, Gravelines et cette fois Châlons-Reims (91-77) sont ces trois dernières victimes en date.
« Très bonne série », a savouré Bastien Pinault (1,95m, 24 ans) en zone mixte. « Ca joue très bien au basket. On a commencé à être -je ne sais pas si le terme n’est pas trop fort- injouable à domicile. Petite, grosse ou moyenne équipe. Donc c’est cool. On fait 115 d’évaluation, c’est plutôt pas mal. Il y a six, sept joueurs à 10 points (NDLR: sept). Quand on voit ce que l’on a traversé, ça fait plaisir de proposer un basket aussi agréable à jouer. On se passe le ballon et puis il y a une grosse part de confiance, tout le monde commence à être sur son petit nuage. C’est bien parce que même si Nate (Wolters) n’a pas fait les 33 points de Gravelines, il y en a d’autres qui prennent le relais alors qu’au début ce n’était pas trop possible. C’était sur les épaules de Jeremy (Nzeulie), Lance (Harris) et Ous (Ousmane Camara). Et maintenant, c’est un peu tout le monde qui peut apporter quelque chose dans le match. C’est un bon match d’équipe. »
Bastien Pinault, qui encore une fois a maximalisé les minutes que Jean-Denys Choulet lui a accordé: 11 points en 12 minutes. Le Chalonnais a mis 3 trois-points en 5 tentatives. Depuis le début de la saison, l’ancien espoir de Pau en est à 22/38 aux tirs derrière l’arc soit 57,9%. Il est tout simplement le numéro 1 à l’adresse dans les shoots primés de toute la Jeep ELITE.
Mardi l’Elan se rend à Villeurbanne et on n’est plus certain de savoir qui sera le favori du match car d’agneaux, les Chalonnais se sont métamorphosés en loups et accrocher une place en playoffs n’est plus une utopie.
Photo: FIBA Europe
Le résumé de Elan: TV
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L’ailier international français Mickaël Gelabale a encore été précieux hier dans la troisième victoire consécutive de l’Elan Chalon sur un autre concurrent au maintien, Châlons-Reims (91-77). Aux côtés de Jérémy Nzeulie (19pts, 7rbds), l’ancien madrilène a encore livré un match complet avec 13 points (5/8 dont 3/5 à 3pts), 5 rebonds, 3 passes décisives, 1 interception pour 19 d’éval.
Sans club en début de saison, Mike Gelabale a prouvé qu’il avait encore de beaux restes en rendant au centuple la confiance que le champion de France lui a témoignée en le recrutant en octobre dernier. Interrogé par Creusot-Infos avant la rencontre d’hier, le Guadeloupéen, qui ne s’attendait pas à jouer le maintien cette saison, a notamment confié qu’il se verrait bien poursuivre l’aventure avec l’Elan la saison prochaine.
« Je vais avoir 35 ans. Je suis à un âge où je n’ai plus trop envie de changer. S’il y a un vrai projet et que l’on m’inclut dedans en me proposant de rester, je dis pourquoi pas. Chalon c’est un très bon public. Et si nous avons été sifflés, ce qui était rare, c’est qu’on le méritait, parce qu’on avait déçu. Mais ce public, ces supporters sont bons», a glissé le champion d’Europe 2013 avec les Bleus.
Mais avant cela, même si Chalon est assurément sur la bonne voie (15e, 9v-14d) il reste un maintien à assurer.
Les meilleures actions du « Chalonnico »
Photo : Mickaël Gelabale Fiba Europe
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C’est, coïncidence ou pas, à partir de ce moment là, dans le troisième quart-temps, que Gravelines s’est véritablement lancé avant de déborder la bande à Freddy Fauthoux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"2/2, de l’ordinaire pour un joueur professionnel. Pas pour le natif de Stuttgart \"],[0,[0],1,\"multiculturel et polyglotte\"],[0,[],0,\". Ce n’est que la troisième fois de la saison qu’il parvient à faire du 100% et toujours avec seulement deux lancers. D’ailleurs il n’a jamais mis plus de deux lancers en 23 matches et jamais plus de cinq en carrière !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le lancer-franc, c’est le talon d’Achille, et on peut l’écrire, la tare de l’intérieur gravelinois.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En huit saisons pros, son score est de 114/292 soit 39,0%. A titre de comparaison, les deux géants de la NBA, Shaquille O’Neal et Wilt Chamberlain, qui étaient moqués pour leur incapacité à se faire justice sur la ligne ont affiché respectivement 52,7% et 51,1% au cours de leur carrière. Andre Drummond, le Big Penguin des Detroit Pistons, le pire shooteur de free throws de tous les temps en NBA fait même mieux que lui: 41,6% Et cette année, en changeant son mode opératoire, il est monté subitement à 61,0% Royal.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La saison de l’horreur pour Nando Raposo fut celle de 2014-15 à Orléans: 30,2% (19/63)! Un score de benjamin.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"« Sa technique n’est pas terrible. Je lui ai dit, « tu es tellement crispé, décontracte toi. Quand tu es sur la ligne, dis toi que tu as deux lancers francs, c’est du bonus. Si tu en mets un, c’est bien, deux très bien, et pas, ce n’est pas la fin du monde. A l’entraînement il en met de plus en plus et ce n’est pas la peine de lui faire shooter cent lancers francs à chaque séance. C’est là, dans la tête, » nous analysait Pascal Donnadieu à l’époque où Nando portait le maillot de Nanterre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a une bonne nouvelle. Le 2/2 d’hier face à Levallois n’est pas anodin puisque le Gravelinois obtient actuellement le meilleur chiffre de sa carrière. Il en est depuis la rentrée à 12/22 soit à 54,5%. C’est une progression… spectaculaire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nando Raposo ne tire pas suffisamment de lancers pour être classé mais trois joueurs présentent cette saison une statistique inférieure. Trois pivots. Le Manceau Will Yeguete (47,9%), son équipier au BCM Taylor Smith (43,4%) et un autre Manceau Youssoupha Fall qui reste le dernier de la classe même si, en changeant son geste de shoot en cours de route, le Franco-Sénégalais a amélioré son rendement (41,8%).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lequel Yousoupha Fall avait obtenu un surnaturel 14-17 en trois matches de Leaders Cup. Un exploit dont Nando Raposo peut rêver !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"2/2, de l’ordinaire pour un joueur professionnel. Pas pour le natif de Stuttgart \"],[0,[0],1,\"multiculturel et polyglotte\"],[0,[],0,\". Ce n’est que la troisième fois de la saison qu’il parvient à faire du 100% et toujours avec seulement deux lancers. 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Dans la victoire sur Levallois (88-76), Nando Raposo a apporté un écot déterminant avec 11 rebonds, son travail habituel dans l’ombre et… deux lancers-francs en deux tentatives. C’est, coïncidence ou pas, à partir de ce moment là, dans le troisième quart-temps, que Gravelines s’est véritablement lancé avant de déborder la bande à Freddy Fauthoux.
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2/2, de l’ordinaire pour un joueur professionnel. Pas pour le natif de Stuttgart multiculturel et polyglotte. Ce n’est que la troisième fois de la saison qu’il parvient à faire du 100% et toujours avec seulement deux lancers. D’ailleurs il n’a jamais mis plus de deux lancers en 23 matches et jamais plus de cinq en carrière !
Le lancer-franc, c’est le talon d’Achille, et on peut l’écrire, la tare de l’intérieur gravelinois.
En huit saisons pros, son score est de 114/292 soit 39,0%. A titre de comparaison, les deux géants de la NBA, Shaquille O’Neal et Wilt Chamberlain, qui étaient moqués pour leur incapacité à se faire justice sur la ligne ont affiché respectivement 52,7% et 51,1% au cours de leur carrière. Andre Drummond, le Big Penguin des Detroit Pistons, le pire shooteur de free throws de tous les temps en NBA fait même mieux que lui: 41,6% Et cette année, en changeant son mode opératoire, il est monté subitement à 61,0% Royal.
La saison de l’horreur pour Nando Raposo fut celle de 2014-15 à Orléans: 30,2% (19/63)! Un score de benjamin.
« Sa technique n’est pas terrible. Je lui ai dit, « tu es tellement crispé, décontracte toi. Quand tu es sur la ligne, dis toi que tu as deux lancers francs, c’est du bonus. Si tu en mets un, c’est bien, deux très bien, et pas, ce n’est pas la fin du monde. A l’entraînement il en met de plus en plus et ce n’est pas la peine de lui faire shooter cent lancers francs à chaque séance. C’est là, dans la tête, » nous analysait Pascal Donnadieu à l’époque où Nando portait le maillot de Nanterre.
Il y a une bonne nouvelle. Le 2/2 d’hier face à Levallois n’est pas anodin puisque le Gravelinois obtient actuellement le meilleur chiffre de sa carrière. Il en est depuis la rentrée à 12/22 soit à 54,5%. C’est une progression… spectaculaire.
Nando Raposo ne tire pas suffisamment de lancers pour être classé mais trois joueurs présentent cette saison une statistique inférieure. Trois pivots. Le Manceau Will Yeguete (47,9%), son équipier au BCM Taylor Smith (43,4%) et un autre Manceau Youssoupha Fall qui reste le dernier de la classe même si, en changeant son geste de shoot en cours de route, le Franco-Sénégalais a amélioré son rendement (41,8%).
Lequel Yousoupha Fall avait obtenu un surnaturel 14-17 en trois matches de Leaders Cup. Un exploit dont Nando Raposo peut rêver !
[armelse]
2/2, de l’ordinaire pour un joueur professionnel. Pas pour le natif de Stuttgart multiculturel et polyglotte. Ce n’est que la troisième fois de la saison qu’il parvient à faire du 100% et toujours avec seulement deux lancers. D’ailleurs il n’a jamais mis plus de deux lancers en 23 matches et jamais plus de cinq en carrière !
Le lancer-franc, c’est le talon d’Achille, et on peut l’écrire, la tare de l’intérieur gravelinois.
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A titre de comparaison, les deux géants de la NBA, Shaquille O’Neal et Wilt Chamberlain, qui étaient moqués pour leur incapacité à se faire justice sur la ligne ont affiché respectivement 52,7% et 51,1% au cours de leur carrière. Andre Drummond, le Big Penguin des Detroit Pistons, le pire shooteur de free throws de tous les temps en NBA fait même mieux que lui: 41,6% Et cette année, en changeant son mode opératoire, il est monté subitement à 61,0% Royal.\n\nLa saison de l’horreur pour Nando Raposo fut celle de 2014-15 à Orléans: 30,2% (19/63)! Un score de benjamin.\n\n« Sa technique n’est pas terrible. Je lui ai dit, « tu es tellement crispé, décontracte toi. Quand tu es sur la ligne, dis toi que tu as deux lancers francs, c’est du bonus. Si tu en mets un, c’est bien, deux très bien, et pas, ce n’est pas la fin du monde. A l’entraînement il en met de plus en plus et ce n’est pas la peine de lui faire shooter cent lancers francs à chaque séance. C’est là, dans la tête, » nous analysait Pascal Donnadieu à l’époque où Nando portait le maillot de Nanterre.\n\nIl y a une bonne nouvelle. Le 2/2 d’hier face à Levallois n’est pas anodin puisque le Gravelinois obtient actuellement le meilleur chiffre de sa carrière. Il en est depuis la rentrée à 12/22 soit à 54,5%. C’est une progression… spectaculaire.\n\nNando Raposo ne tire pas suffisamment de lancers pour être classé mais trois joueurs présentent cette saison une statistique inférieure. Trois pivots. Le Manceau Will Yeguete (47,9%), son équipier au BCM Taylor Smith (43,4%) et un autre Manceau Youssoupha Fall qui reste le dernier de la classe même si, en changeant son geste de shoot en cours de route, le Franco-Sénégalais a amélioré son rendement (41,8%).\n\nLequel Yousoupha Fall avait obtenu un surnaturel 14-17 en trois matches de Leaders Cup. Un exploit dont Nando Raposo peut rêver !\n\n[armelse]\n\n2/2, de l’ordinaire pour un joueur professionnel. 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Mais nous, au delà de la victoire ou de la défaite, on n’était pas sur un bon match. Forcément, quand on commence à avoir une série de défaites, on revient un petit peu dans le doute et il faut remonter la pente, continuer à y aller, et c’est parfois compliqué. Cette semaine a été dure parce que ce match était important pour la fin de saison. On est chez nous, Tarbes est sur une super dynamique, c’est une super équipe, et on est sûr de rien quand on commence. Donc effectivement c’est un soulagement ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Retrouvez également la réaction de la capitaine Celine Dumerc (15pts, 5rbds, 4pds) satisfaite de l’engagement dont a fait preuve Basket Landes devant son public.\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/cathy-melain.jpg\")
On s’attendait à un match dur, engagé et serré jusqu’au bout, on a été servi ! Dans un derby digne de ce nom entre Basket Landes et Tarbes comptant pour la 18e journée de Ligue Féminine, ce sont les troupes de Cathy Melain qui se sont imposées, 71-67, s’appuyant sur une Queralt Casas des grands soirs (21pts, 8rbds) pour venir à bout de la Tarbaise Michelle Plouffe, meilleure scoreuse, rebondeuse et évaluation du match (25pts, 11rbds, 28 d’éval.). Grâce à ce succès, Basket Landes revient à égalité avec le TGB au classement avec un bilan de 10 victoires pour 8 défaites.
Déjà victorieuses à l’aller dans un contexte similaire (60-63), les Landaises respirent mieux après avoir enchaîné trois revers consécutifs et voient à présent la fin de saison plus sereinement comme l’a expliqué Cathy Melain en conférence de presse d’après-match.
« C’est effectivement un soulagement parce qu’on était vraiment déçu et agacé ces derniers temps, même si on a joué Bourges, Nantes qui avait fait un très bon match. Mais nous, au delà de la victoire ou de la défaite, on n’était pas sur un bon match. Forcément, quand on commence à avoir une série de défaites, on revient un petit peu dans le doute et il faut remonter la pente, continuer à y aller, et c’est parfois compliqué. Cette semaine a été dure parce que ce match était important pour la fin de saison. On est chez nous, Tarbes est sur une super dynamique, c’est une super équipe, et on est sûr de rien quand on commence. Donc effectivement c’est un soulagement ».
Retrouvez également la réaction de la capitaine Celine Dumerc (15pts, 5rbds, 4pds) satisfaite de l’engagement dont a fait preuve Basket Landes devant son public.
Gries a annoncé sa séparation avec le pigiste médical Tautvydas Slezas. Arrivé à la mi-octobre pour remplacer Olek Czyz, blessé au genou pour une longue durée, le Lituanien n’a pas convaincu et n’a joué que 34 minutes en 3 matches pour le BCGO.
Sportando annonce pour sa part que le club alsacien à fait affaire avec l’ailier israélien Karam Mashour (1,98m, 28 ans), en provenance de Bnei Herzliya. Celui-ci a été formé en NCAA (UNLV et Morehead State) et a connu ses moments de gloire en étant trois fois all-stars de la ligue israélienne (2016, 17 et 19) et en faisant six apparitions en Euroleague avec une activité très réduite avec le Maccabi Tel-Aviv. Il tournait la saison dernière à 12,2 points, 4,9 rebonds et 1,5 passe.
Dans un dossier de deux pages (!), L’Equipe explique ce matin comment l’ASVEL a obtenu la venue du phénomène lituanien Juste Jocyte (1,84m), qui aura 14 ans mardi prochain. Alerté par Nicolas Batum et son conseiller François Lamy, le président Tony Parker a tenu un rôle décisif pour convaincre la jeune fille et ses parents de rejoindre son Académie. On apprend notamment dans l’article que son père a joué à l’université de Nebraska, qu’il fut diplomate à l’ambassade de Lituanie à Washington où Juste est née -elle possède également de ce fait la nationalité américaine- avant de s’installer quelques semaines plus tard à Palanga, en Lituanie.
« On a parlé longuement », raconte le président de l’ASVEL. » Je n’ai pas été déçu, et même agréablement surpris. Elle sait ce qu’elle veut. Elle dégage une grande assurance. Je me retrouve en elle, dans sa manière de penser. J’ai dit à ses parents: « Si elle signe chez nous, je la prendrai sous mon aile et je passerai beaucoup de temps avec elle pour l’aider à progresser ». Je la ferai aussi venir à San Antonio pour travailler (…) Tous les lycées américains et clubs européens voulaient l’enrôler. On a eu un coup de foudre pour elle, et on pense qu’elle et sa famille l’ont ressenti. Ca a joué en notre faveur. Il restait un obstacle juridique, on devait obtenir une lettre de sa Fédération car elle est mineure. »
Tony Parker estime que le phénomène lituanien pourra jouer en Ligue Féminine dès la saison prochaine et probablement en Euroleague dans deux ans.
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Mozgov a signé cet été au Khimki Moscou après une saison sans jouer au Orlando Magic en raison d’une blessure au genou mal soignée selon ses dires par les médecins américains. On attend toujours son retour en VTB League et en Euroleague mais en attendant il a fait quelques commentaires sur la NBA et la vie aux Etats-Unis à Sport-Express.
Sur la météo:
« À mon avis, rien n’a changé à Moscou. La pluie, les embouteillages, sont comme ils étaient et depuis cinq semaines le ciel était bas au-dessus de la ville. Mais le plus important, c’est que j’ai des amis ici. À Cleveland, la photo était semblable, sauf qu’il n’y avait pas d’embouteillage. Je veux juste de la chaleur ! »
Sur la nourriture:
« Au cours des neuf saisons que j’ai passées en Amérique, je n’ai jamais mangé chez McDonald’s, je ne le fais qu’en Russie. Le fait est qu’avant le début de ma carrière en NBA, j’avais déjà essayé de manger dans ces fast-foods. Et aux Etats-Unis, c’est bien pire qu’en Russie. »
Timofeï Mozgov a un fils qui a commencé ses études aux Etats-Unis. Il estime que le niveau scolaire est bien supérieur en Russie qu’aux Etats-Unis. En anglais, il doit être d’un niveau supérieur à celui des professeurs ?demande le journaliste.
« Eh bien, pas mieux, mais il fait du bon travail là-dessus, oui. Nous voulions trouver une école qui enseigne en anglais, mais torturer une personne pendant une heure et demie pour aller à l’école par la route… C’est une mauvaise blague. »
Le sujet de la marijuana censée être répandue au sein de la communauté des joueurs NBA est évoqué:
« Mais rappelons-nous qu’elle est déjà légalisée dans plusieurs États et qu’ils ne vous mettront pas en prison pour cela. Bien que pour moi il y ait toujours eu une question car il y a la loi des États et il y a la loi fédérale. Nos gars n’ont eu aucun problème avec ça, mais l’année dernière, Kenneth Farid a été arrêté, de la marijuana a été trouvée dans la voiture. Bien que ce ne soit pas clair non plus: imaginez, je conduis une voiture et je ne sais même pas si certains de mes amis et passagers sont drogués. Ils m’arrêtent et c’est tout, c’est de ma faute. Bien que je n’ai jamais eu de problèmes de dopage avec ces substances, je n’y suis pour rien. L’alcool, ça arrive. Pour le meilleur bien sur. Nous ne sommes pas tous sans péché. Mais pas au volant. »
Photo: FIBA
", "comment_id":"484633", "plaintext":"Le solide pivot Timofeï Pavlovitch Mozgov (2,16m, 33 ans) a passé neuf ans aux Etats-Unis et fut longtemps le seul Russe en NBA où il a joué 454 matches dans cinq franchises pour 6,8 points et 4,9 rebonds. Mozgov a signé cet été au Khimki Moscou après une saison sans jouer au Orlando Magic en raison d’une blessure au genou mal soignée selon ses dires par les médecins américains. On attend toujours son retour en VTB League et en Euroleague mais en attendant il a fait quelques commentaires sur la NBA et la vie aux Etats-Unis à Sport-Express.\n\nSur la météo:\n\n« À mon avis, rien n’a changé à Moscou. La pluie, les embouteillages, sont comme ils étaient et depuis cinq semaines le ciel était bas au-dessus de la ville. Mais le plus important, c’est que j’ai des amis ici. À Cleveland, la photo était semblable, sauf qu’il n’y avait pas d’embouteillage. Je veux juste de la chaleur ! »\n\nSur la nourriture:\n\n« Au cours des neuf saisons que j’ai passées en Amérique, je n’ai jamais mangé chez McDonald’s, je ne le fais qu’en Russie. Le fait est qu’avant le début de ma carrière en NBA, j’avais déjà essayé de manger dans ces fast-foods. Et aux Etats-Unis, c’est bien pire qu’en Russie. »\n\nTimofeï Mozgov a un fils qui a commencé ses études aux Etats-Unis. Il estime que le niveau scolaire est bien supérieur en Russie qu’aux Etats-Unis. En anglais, il doit être d’un niveau supérieur à celui des professeurs ?demande le journaliste.\n\n« Eh bien, pas mieux, mais il fait du bon travail là-dessus, oui. Nous voulions trouver une école qui enseigne en anglais, mais torturer une personne pendant une heure et demie pour aller à l’école par la route… C’est une mauvaise blague. »\n\nLe sujet de la marijuana censée être répandue au sein de la communauté des joueurs NBA est évoqué:\n\n« Mais rappelons-nous qu’elle est déjà légalisée dans plusieurs États et qu’ils ne vous mettront pas en prison pour cela. Bien que pour moi il y ait toujours eu une question car il y a la loi des États et il y a la loi fédérale. Nos gars n’ont eu aucun problème avec ça, mais l’année dernière, Kenneth Farid a été arrêté, de la marijuana a été trouvée dans la voiture. Bien que ce ne soit pas clair non plus: imaginez, je conduis une voiture et je ne sais même pas si certains de mes amis et passagers sont drogués. Ils m’arrêtent et c’est tout, c’est de ma faute. Bien que je n’ai jamais eu de problèmes de dopage avec ces substances, je n’y suis pour rien. L’alcool, ça arrive. Pour le meilleur bien sur. Nous ne sommes pas tous sans péché. Mais pas au volant. »\n\nPhoto: FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/07/timofey-mozgov.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-14T06:07:26.000Z", "updated_at":"2019-11-13T10:10:28.000Z", "published_at":"2019-11-14T06:07:26.000Z", "custom_excerpt":"Le solide pivot Timofeï Pavlovitch Mozgov (2,16m, 33 ans) a passé neuf ans aux Etats-Unis et fut longtemps le seul Russe en NBA où il a joué 454 matches dans cinq franchises pour 6,8 points et 4,9 rebonds. Mozgov a signé cet été au Khimki Moscou après une saison sans jouer au Orlando Magic en… Conti", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d956a", "uuid":"ebb219f4-2960-4dc2-a82c-32f34eae40a0", "title":"[REDIFF] En direct avec Axel Julien (Dijon): « Il n’y a pas de groupies en Pro A »", "slug":"en-direct-avec-axel-julien-dijon-il-ny-a-pas-de-groupies-en-pro-a", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/09/julien-e1506437469383.jpg\",\"width\":800,\"height\":450}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/09/julien-2-e1506437556445.jpg\",\"width\":500,\"height\":667}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.dailymotion.com/embed/video/x3ka6qf?pubtool=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : JDA et LNB
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Notre meneur américain, (Kevin) Houston s’était blessé et j’avais pris la place du second meneur et joué dix minutes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le joueur qui vous a rendu meilleur :\"],[0,[],0,\" Celui avec qui j’ai passé deux saisons, l’année dernière et celle d’avant, David Holston. C’était très compliqué à le défendre tous les jours à l’entraînement. Il était capable de tout faire et quand il avait décidé de marquer des points, c’était dur de le contrôler. Il m’a aidé à durcir ma défense, à passer un cap de ce côté là.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le meilleur joueur actuel de votre championnat :\"],[0,[],0,\" Le MVP, D.J. Cooper, qui en plus joue à mon poste. Il fait des gestes que pas grand monde fait, des trucs que personne n’attend et en plus il les réussit. Il est capable de tout faire. Il ne remplit pas seulement les stats dans la catégorie des passes, il met des points, des points importants, il prend des rebonds, il fait des interceptions. C’est un joueur vachement actif. Il n’y a pas beaucoup de joueurs comme ça dans le championnat. Je trouvais aussi que l’année dernière Moustapha Fall était vraiment impressionnant. Certains diront que sa taille aide beaucoup, c’est vrai, mais il n’est pas obligé de bousculer ses 2,18m comme il le faisait. Je pense que c’est l’une des principales raisons qui ont permis à Chalon de gagner le championnat.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le joueur le plus vicieux du championnat :\"],[0,[],0,\" C’est compliqué à dire mais je dirai (Ilian) Evtimov (Cholet). Il a pas mal de bouteille et il met de temps en temps des petits coups que l’on ne voit pas. Il est très malin et c’est pourquoi il arrive encore à jouer à ce niveau-là.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« Au foot, j’aime beaucoup le Real alors j’aurais du mal à jouer à Barcelone. Je suis aussi supporter de l’OM alors jouer à Paris, ça me ferait un peu bizarre. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le joueur le plus râleur du championnat:\"],[0,[],0,\" Florent Pietrus. Il met beaucoup de coups, il est très physique dans le jeu et au-delà de ce qui est autorisé. Et pourtant parfois il se met à râler un peu… Mais c’est toujours dans la gentillesse, ce n’est pas quelqu’un qui va agresser les gens. L’année dernière (Klemen) Prepelic a eu à chaque match quelques problèmes avec ses adversaires car il est agressif. Voilà, j’en ai cité deux mais ce n’est pas super gênant.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le coach qui vous a le plus marqué :\"],[0,[],0,\" J’en n’ai pas connu beaucoup mais ce que Pascal Donnadieu fait à Nanterre c’est impressionnant. Pas uniquement la dernière saison mais sur les quatre, cinq dernières années. Pas beaucoup de coaches en France ont réussi à faire ça. J’aime bien aussi (Eric) Bartecheky qui a fait deux, trois belles saisons d’affilée dans deux clubs différents (Le Havre et Pau). J’attends de voir ce qu’il va faire au Mans avec un plus gros effectif.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le club où vous aimeriez jouer :\"],[0,[],0,\" Il n’y a pas de club où j’avais absolument envie de jouer. Je préfère regarder l’environnement, le coach, l’équipe. Je ne ferme la porte à personne. C’est honnêtement difficile de dégager une équipe surtout quand on est bien dans son équipe actuelle. L’équipe de France mais ça ce n’est pas un club! (\"],[0,[2],1,\"voir ce qu’il a déclaré à ce sujet\"],[0,[],0,\").\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le club où vous ne voulez pas jouer:\"],[0,[],0,\" Peut-être dans les pays un peu coupe-gorge style Roumanie. Des championnats où ça fait un peu peur de jouer. Au foot, j’aime beaucoup le Real alors j’aurais du mal à jouer à Barcelone. Je suis aussi supporter de l’OM alors jouer à Paris, ça me ferait un peu bizarre. Maintenant c’est Levallois, donc ça va! Mais s’il y avait un PSG basket, ça me ferait bizarre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Votre pire souvenir de joueur :\"],[0,[],0,\" En Pro B, on avait fini deuxième du championnat après Monaco et on jouait le premier tour des playoffs contre Le Portel et on a perdu. C’était un coup dur car on était les favoris, on avait fait une superbe saison en finissant loin devant le troisième. On n’était pas monté car Monaco était vraiment supérieur cette saison-là. Perdre au premier tour des playoffs, ne pas avoir été au moins en finale pour vivre ces moments-là, c’était une énorme déception personnelle et collective. On avait un super groupe et on était vraiment touché par ça.\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Votre adversaire le plus coriace :\"],[0,[],0,\" John Roberson (Villeurbanne, ex-Chalon). Il est difficile à défendre car il peut s’enflammer d’un coup, comme ça. Il peut dormir, entre guillemets, pendant quinze minutes et après avoir cinq minutes de folie et ensuite c’est très compliqué tout le match de l’arrêter. En plus l’année dernière c’était pour le derby bourguignon et on en a perdu quatre en deux ans. C’était vraiment frustrant et lui a toujours été bon dans ces moments-là.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le trophée que vous êtes le plus fier d’exposer :\"],[0,[],0,\" Le trophée de meilleur espoir en 2012, déjà car c’était la première fois qu’il était attribué. C’était une énorme surprise. Et la deuxième c’était la Stankovic Cup avec l’équipe de France A’. J’ai été élu MVP. Pas beaucoup de gens en ont entendu parlé notamment parce qu’il y a eu le TQO à ce moment-là mais on a fait une superbe campagne en Chine. On a quand même gagné l’équipe A du Nigeria, l’équipe A de Chine et l’équipe A’ d’Argentine. Je n’ai pas encore de trophées collectifs sinon j’aurais dit un trophée collectif.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le match dont vous avez le plus honte :\"],[0,[],0,\" L’année dernière, on jouait à l’ASVEL, en fin de saison, il restait cinq ou six matches. On perd au buzzer sur un tir de Walter Hodge alors qu’on a mené quasiment tout le match. On allait gagner et j’ai fait la connerie d’aller aider là où je ne devais pas le faire et du coup, je l’ai perdu de vu et il a pu planter ce tir à trois-points. Je m’en suis voulu énormément surtout que c’était une situation super difficile pour nous et qu’une victoire aurait quasiment scellé notre maintien. Je ne savais pas comment faire pour m’excuser auprès de mes coéquipiers. Même si un match ne se joue pas sur une action, ce jour là c’est à cause de moi que l’on perd.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« LeBron James. J’apprécie beaucoup sa puissance, sa régularité. Je ne suis pas un super fan de la NBA mais je constate que partout où il est allé, il a gagné »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :\"],[0,[],0,\" Le cross de Kyrie Irving. Cette facilité à éliminer un joueur avec ses dribbles. Je regarde des matches mais je ne cherche pas à copier. A mon âge, je pense qu’il faut rester dans ce que l’on sait faire. Améliorer son jeu, oui, mais c’est compliqué d’ajouter des choses à on jeu. Il y a déjà tellement d’aspects à améliorer notamment au niveau du shoot, des passes, et même du dribble, mais aller chercher des choses que l’on ne sait pas faire ou qu’on utilise très peu, non. C’est comme si je m’amusais à travailler ma détente pour mon dunk. Ce n’est pas quelque chose que dans mon jeu j’utilise. S’inspirer pour faire un step back, en faire aux entraînements, je ne pense pas que ça me servira à en faire en match.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Si vous deviez payer votre place pour voir un joueur :\"],[0,[],0,\" LeBron James. J’apprécie beaucoup sa puissance, sa régularité. Je ne suis pas un super fan de la NBA mais je constate que partout où il est allé, il a gagné. Il a amené des équipes avec très peu de qualité de joueurs en finale de Conference, de NBA. Il sait tout faire. Et s’il jouait encore ça serait Michael Jordan.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Pourquoi portez-vous le numéro 83:\"],[0,[],0,\" Simplement parce que je suis du Var, c’est super important pour moi. Lorsque je suis arrivé à Dijon, je savais que Marc Judith arrivait aussi et qu’il portait comme moi le numéro 5. Quand on m’a donné l’opportunité de choisir de 1 à 99, je n’ai pas hésité. Je trouve que c’est une très bonne initiative de permettre ça car quand un joueur a le même numéro que nous, on a une large panoplie pour en choisir un autre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"L’exercice que vous faites en plus que les autres à l’entraînement:\"],[0,[],0,\" Je ne suis pas un énorme travailleur mais en ce moment la seule chose que je bosse davantage, c’est le shoot. Aussi, quand on fait du travail physique, de la course, je cherche à me donner à fond pour que ça me fasse le plus de mal possible pour qu’après ça fasse du bien.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Si vous aviez une règle à changer dans le basket :\"],[0,[],0,\" En ce qui concerne le changement de la règle pour le dribble, je pense que ça perturbe à l’oeil mais les joueurs français ne vont pas changer leur jeu pour ça. C’est tellement ancré en nous que ça sera très compliqué que l’on utilise cette règle. Peut-être que parfois un marché ne sera pas sifflé, tant mieux. Ce que je changerai c’est la règle des pieds en touche sur les corners, quand les arbitres sifflent juste pour un talon. Aussi, ce n’est pas la règle anti-sportive qui me gène énormément mais le fait que si on en prend deux, on est expulsé. Ce côté là me dérange. Sauf si ce sont deux grosses fautes, deux vraies anti-sportives, là c’est normal que le mec sorte du terrain.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Est-ce que ça vaut la peine de discuter avec les arbitres:\"],[0,[],0,\" Il y a des arbitres avec qui ça se passe très bien mais avec d’autres, ils sont très fermés. Ou alors ils estiment que nous on est trop agressifs dans notre langage. Il ne faut pas parler tout le temps, c’est sûr, ça pourrit le jeu mais parfois des choses portent à débat. Sur certains coups de sifflet importants, nous, joueurs, on a envie de s’exprimer et on est toutefois menacé d’une technique. Je ne trouve pas ça normal. Des deux côtés ça doit être respectueux et posé et parfois ce n’est pas le cas. Je pense que le mieux, c’est de ne jamais rien dire mais en ne disant rien j’ai peur que les arbitres pensent qu’ils ont raison alors que parfois ils ont peut-être tort. On a l’impression que parfois quand un coach ou un joueur réclame l’arbitrage change. Change t-il par rapport à la réclamation? Et si tu ne dis rien alors que tu estimes que les coups de sifflet ne sont pas bons, vont-ils se remettre en question durant le match ou se dire que si personne ne réclame, c’est qu’on a les bons coups de sifflet et du coup il faut continuer à arbitrer comme ça. Ca dépend des jours, des arbitres et je n’ai pas idée de la façon parfaite de réagir. Mais s’il faut trancher, je pense que le mieux c’est de ne rien dire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Avez-vous déjà eu envie de rentrer dans le lard d’un coach:\"],[0,[],0,\" Oui, je l’ai déjà fait. J’ai la chance de très bien connaître Laurent Legname, ça fait longtemps que l’on travaille ensemble. Je me suis permis deux ou trois fois de lui rentrer dedans et inversement. C’était plutôt un combat de coq que moi tout seul. Ca m’est arrivé pas plus tard que l’année dernière à l’entraînement. En match il peut y avoir un coup d’énervement mais ce n’est pas le bon moment pour avoir une embrouille de cinq ou dix minutes. A la limite à la fin d’un match mais ce ne m’est jamais arrivé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le principal sujet de conversation entre joueurs:\"],[0,[],0,\" Le basket, bien sûr, sinon je dirais les filles (rires). Je suis célibataire et c’est normal que ça me concerne. Parfois on se moque de la logique des filles, on se raconte nos histoires, ça nous fait rire. Il n’y a pas de groupies en Pro A. Il y a des filles qui sont forcément un peu attiré par ce statut mais personne ne nous attend après les matches ou nous contacte sur les réseaux sociaux. C’est juste que notre statut fait que l’on a beaucoup plus d’exposition et que sur les réseaux sociaux, ça amène davantage de personnes, que la discussion peut se faire, mais les groupies ça n’existe pas à notre niveau.Peut-être au foot, en NBA. Personnellement, je n’ai pas ce soucis là!\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Votre meilleur pote dans le basket :\"],[0,[],0,\" En LNB, Clément Cavallo qui joue à Roanne. On a fait le centre de formation et on a joué ensemble en Pro B à Toulon. On est super amis dans la vie de tous les jours. On se voit l’été. S’il n’y avait plus le basket, je serai toujours ami avec lui. Dans mon équipe, avec Jacques Alingue. C’est la troisième année où on joue ensemble et on est toujours sur la même longueur d’onde. En plus, on arrive bien à se retrouver sur le terrain.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"\"],[0,[1],1,\"« Je suis assez spectateur des commentaires sur les réseaux sociaux après les matches. J’aime bien savoir ce que les gens pensent au cas où je les re-croise »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Aimez-vous lire ou regarder des reportages sur vous:\"],[0,[],0,\" Généralement, je relis une fois les interviews que j’ai faite pour voir ce que ça donne, si ça n’a pas été déformé. Savoir aussi si j’aurais pu dire autre chose comme, par exemple, je peux me dire, « là j’aurais pu dire quelque chose sur mon coach ». Pareil pour les reportages, une fois pour voir comment ça été monté et voir si je n’ai pas dit des conneries. Ma mère garde les articles de journaux. Par contre, je suis assez spectateur des commentaires sur les réseaux sociaux après les matches. J’aime bien savoir ce que les gens pensent au cas où je les re-croise, pour le cas où avoir un débat constructif plutôt que d’avoir un simple commentaire lancé sur une page Facebook. Ca a tendance à vite m’énerver ces choses-là.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Votre principale occupation entre deux entraînements :\"],[0,[],0,\" J’aime bien regarder beaucoup de films, des séries. J’en regarde beaucoup le soir à la télé ou sur internet. Comparé à beaucoup de joueurs, je ne suis pas trop musique ni console.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"La ville où vous avez joué et que vous préférez :\"],[0,[],0,\" Jouer à Monaco c’est un cadre super. C’est particulier, très propre, très soigné, belles voitures, beaux bateaux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Vous résumé en quelques phrases :\"],[0,[],0,\" C’est compliqué! Je suis quelqu’un de très marrant, qui ne se prend pas du tout au sérieux. Je trouve que la vie est beaucoup mieux dans la rigolade. Je suis quelqu’un de passionné par son sport, même trop. Très focalisé sur le résultat. Je me remets beaucoup en question. Je suis aussi assez casanier, j’aime bien resté un peu dans mon petit cocon, j’ai un peu peur de l’inconnu. J’ai un peu peur de découvrir ce que je ne maîtrise pas. Je suis quelqu’un de très simple.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Si vous ne jouiez pas au basket :\"],[0,[],0,\" Je ne sais pas du tout. Ca a été très vite une envie d’être professionnel et je ne me suis jamais lancé dans un vrai projet scolaire. Donc je pense que j’aurais essayé de rester dans le sport et peut-être aurais-je essayé d’être prof de sport. Je pense que je me dirige de plus en plus vers une carrière de coach à la fin de ma carrière. Pas forcément être premier coach en pro, ça a l’air tellement difficile avec tellement de coaches compétents et il y a très peu de places. Je me vois coach de centre de formation, cadets France ou assistant-coach pro. Plutôt quelqu’un qui donne des conseils aux joueurs, dans l’analyse. Pas le mec qui gère ses joueurs aux changements, les égos, le recrutement. Je n’ai pas encore l’expérience actuellement pour ça.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le premier match que vous avez joué en pro :\"],[0,[],0,\" Le premier officiel, c’est un match de Semaine des As à Pau-Orthez avec le HTV. Je suis entré en fin de match en tant qu’espoir. C’était en 2011. Il n’y avait pas énormément de monde dans les tribunes alors que pourtant Pau génère d’habitude beaucoup de spectateurs. Sinon, en championnat, c’est la même année au Mans. Notre meneur américain, (Kevin) Houston s’était blessé et j’avais pris la place du second meneur et joué dix minutes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le joueur qui vous a rendu meilleur :\"],[0,[],0,\" Celui avec qui j’ai passé deux saisons, l’année dernière et celle d’avant, David Holston. C’était très compliqué à le défendre tous les jours à l’entraînement. Il était capable de tout faire et quand il avait décidé de marquer des points, c’était dur de le contrôler. 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A 25 ans, Axel Julien , meneur de jeu de la JDA Dijon est devenu l’un des joueurs français phare de la Pro A, candidat à l’équipe de France pour les qualifications pour la Coupe du Monde 2019 après avoir rayonné avec les A’ lors d’une tournée en Chine en 2016. Dans cette interview, il parle avec une totale franchise.
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Le premier match que vous avez joué en pro : Le premier officiel, c’est un match de Semaine des As à Pau-Orthez avec le HTV. Je suis entré en fin de match en tant qu’espoir. C’était en 2011. Il n’y avait pas énormément de monde dans les tribunes alors que pourtant Pau génère d’habitude beaucoup de spectateurs. Sinon, en championnat, c’est la même année au Mans. Notre meneur américain, (Kevin) Houston s’était blessé et j’avais pris la place du second meneur et joué dix minutes.
Le joueur qui vous a rendu meilleur : Celui avec qui j’ai passé deux saisons, l’année dernière et celle d’avant, David Holston. C’était très compliqué à le défendre tous les jours à l’entraînement. Il était capable de tout faire et quand il avait décidé de marquer des points, c’était dur de le contrôler. Il m’a aidé à durcir ma défense, à passer un cap de ce côté là.
Le meilleur joueur actuel de votre championnat : Le MVP, D.J. Cooper, qui en plus joue à mon poste. Il fait des gestes que pas grand monde fait, des trucs que personne n’attend et en plus il les réussit. Il est capable de tout faire. Il ne remplit pas seulement les stats dans la catégorie des passes, il met des points, des points importants, il prend des rebonds, il fait des interceptions. C’est un joueur vachement actif. Il n’y a pas beaucoup de joueurs comme ça dans le championnat. Je trouvais aussi que l’année dernière Moustapha Fall était vraiment impressionnant. Certains diront que sa taille aide beaucoup, c’est vrai, mais il n’est pas obligé de bousculer ses 2,18m comme il le faisait. Je pense que c’est l’une des principales raisons qui ont permis à Chalon de gagner le championnat.
Le joueur le plus vicieux du championnat : C’est compliqué à dire mais je dirai (Ilian) Evtimov (Cholet). Il a pas mal de bouteille et il met de temps en temps des petits coups que l’on ne voit pas. Il est très malin et c’est pourquoi il arrive encore à jouer à ce niveau-là.
« Au foot, j’aime beaucoup le Real alors j’aurais du mal à jouer à Barcelone. Je suis aussi supporter de l’OM alors jouer à Paris, ça me ferait un peu bizarre. »
Le joueur le plus râleur du championnat: Florent Pietrus. Il met beaucoup de coups, il est très physique dans le jeu et au-delà de ce qui est autorisé. Et pourtant parfois il se met à râler un peu… Mais c’est toujours dans la gentillesse, ce n’est pas quelqu’un qui va agresser les gens. L’année dernière (Klemen) Prepelic a eu à chaque match quelques problèmes avec ses adversaires car il est agressif. Voilà, j’en ai cité deux mais ce n’est pas super gênant.
Le coach qui vous a le plus marqué : J’en n’ai pas connu beaucoup mais ce que Pascal Donnadieu fait à Nanterre c’est impressionnant. Pas uniquement la dernière saison mais sur les quatre, cinq dernières années. Pas beaucoup de coaches en France ont réussi à faire ça. J’aime bien aussi (Eric) Bartecheky qui a fait deux, trois belles saisons d’affilée dans deux clubs différents (Le Havre et Pau). J’attends de voir ce qu’il va faire au Mans avec un plus gros effectif.
Le club où vous aimeriez jouer : Il n’y a pas de club où j’avais absolument envie de jouer. Je préfère regarder l’environnement, le coach, l’équipe. Je ne ferme la porte à personne. C’est honnêtement difficile de dégager une équipe surtout quand on est bien dans son équipe actuelle. L’équipe de France mais ça ce n’est pas un club! (voir ce qu’il a déclaré à ce sujet).
Le club où vous ne voulez pas jouer: Peut-être dans les pays un peu coupe-gorge style Roumanie. Des championnats où ça fait un peu peur de jouer. Au foot, j’aime beaucoup le Real alors j’aurais du mal à jouer à Barcelone. Je suis aussi supporter de l’OM alors jouer à Paris, ça me ferait un peu bizarre. Maintenant c’est Levallois, donc ça va! Mais s’il y avait un PSG basket, ça me ferait bizarre.
Votre pire souvenir de joueur : En Pro B, on avait fini deuxième du championnat après Monaco et on jouait le premier tour des playoffs contre Le Portel et on a perdu. C’était un coup dur car on était les favoris, on avait fait une superbe saison en finissant loin devant le troisième. On n’était pas monté car Monaco était vraiment supérieur cette saison-là. Perdre au premier tour des playoffs, ne pas avoir été au moins en finale pour vivre ces moments-là, c’était une énorme déception personnelle et collective. On avait un super groupe et on était vraiment touché par ça.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/09/julien-2-e1506437556445.jpg\")
Votre adversaire le plus coriace : John Roberson (Villeurbanne, ex-Chalon). Il est difficile à défendre car il peut s’enflammer d’un coup, comme ça. Il peut dormir, entre guillemets, pendant quinze minutes et après avoir cinq minutes de folie et ensuite c’est très compliqué tout le match de l’arrêter. En plus l’année dernière c’était pour le derby bourguignon et on en a perdu quatre en deux ans. C’était vraiment frustrant et lui a toujours été bon dans ces moments-là.
Le trophée que vous êtes le plus fier d’exposer : Le trophée de meilleur espoir en 2012, déjà car c’était la première fois qu’il était attribué. C’était une énorme surprise. Et la deuxième c’était la Stankovic Cup avec l’équipe de France A’. J’ai été élu MVP. Pas beaucoup de gens en ont entendu parlé notamment parce qu’il y a eu le TQO à ce moment-là mais on a fait une superbe campagne en Chine. On a quand même gagné l’équipe A du Nigeria, l’équipe A de Chine et l’équipe A’ d’Argentine. Je n’ai pas encore de trophées collectifs sinon j’aurais dit un trophée collectif.
Le match dont vous avez le plus honte : L’année dernière, on jouait à l’ASVEL, en fin de saison, il restait cinq ou six matches. On perd au buzzer sur un tir de Walter Hodge alors qu’on a mené quasiment tout le match. On allait gagner et j’ai fait la connerie d’aller aider là où je ne devais pas le faire et du coup, je l’ai perdu de vu et il a pu planter ce tir à trois-points. Je m’en suis voulu énormément surtout que c’était une situation super difficile pour nous et qu’une victoire aurait quasiment scellé notre maintien. Je ne savais pas comment faire pour m’excuser auprès de mes coéquipiers. Même si un match ne se joue pas sur une action, ce jour là c’est à cause de moi que l’on perd.
« LeBron James. J’apprécie beaucoup sa puissance, sa régularité. Je ne suis pas un super fan de la NBA mais je constate que partout où il est allé, il a gagné »
Si vous pouviez prendre le move d’un joueur : Le cross de Kyrie Irving. Cette facilité à éliminer un joueur avec ses dribbles. Je regarde des matches mais je ne cherche pas à copier. A mon âge, je pense qu’il faut rester dans ce que l’on sait faire. Améliorer son jeu, oui, mais c’est compliqué d’ajouter des choses à on jeu. Il y a déjà tellement d’aspects à améliorer notamment au niveau du shoot, des passes, et même du dribble, mais aller chercher des choses que l’on ne sait pas faire ou qu’on utilise très peu, non. C’est comme si je m’amusais à travailler ma détente pour mon dunk. Ce n’est pas quelque chose que dans mon jeu j’utilise. S’inspirer pour faire un step back, en faire aux entraînements, je ne pense pas que ça me servira à en faire en match.
Si vous deviez payer votre place pour voir un joueur : LeBron James. J’apprécie beaucoup sa puissance, sa régularité. Je ne suis pas un super fan de la NBA mais je constate que partout où il est allé, il a gagné. Il a amené des équipes avec très peu de qualité de joueurs en finale de Conference, de NBA. Il sait tout faire. Et s’il jouait encore ça serait Michael Jordan.
Pourquoi portez-vous le numéro 83: Simplement parce que je suis du Var, c’est super important pour moi. Lorsque je suis arrivé à Dijon, je savais que Marc Judith arrivait aussi et qu’il portait comme moi le numéro 5. Quand on m’a donné l’opportunité de choisir de 1 à 99, je n’ai pas hésité. Je trouve que c’est une très bonne initiative de permettre ça car quand un joueur a le même numéro que nous, on a une large panoplie pour en choisir un autre.
L’exercice que vous faites en plus que les autres à l’entraînement: Je ne suis pas un énorme travailleur mais en ce moment la seule chose que je bosse davantage, c’est le shoot. Aussi, quand on fait du travail physique, de la course, je cherche à me donner à fond pour que ça me fasse le plus de mal possible pour qu’après ça fasse du bien.
Si vous aviez une règle à changer dans le basket : En ce qui concerne le changement de la règle pour le dribble, je pense que ça perturbe à l’oeil mais les joueurs français ne vont pas changer leur jeu pour ça. C’est tellement ancré en nous que ça sera très compliqué que l’on utilise cette règle. Peut-être que parfois un marché ne sera pas sifflé, tant mieux. Ce que je changerai c’est la règle des pieds en touche sur les corners, quand les arbitres sifflent juste pour un talon. Aussi, ce n’est pas la règle anti-sportive qui me gène énormément mais le fait que si on en prend deux, on est expulsé. Ce côté là me dérange. Sauf si ce sont deux grosses fautes, deux vraies anti-sportives, là c’est normal que le mec sorte du terrain.
Est-ce que ça vaut la peine de discuter avec les arbitres: Il y a des arbitres avec qui ça se passe très bien mais avec d’autres, ils sont très fermés. Ou alors ils estiment que nous on est trop agressifs dans notre langage. Il ne faut pas parler tout le temps, c’est sûr, ça pourrit le jeu mais parfois des choses portent à débat. Sur certains coups de sifflet importants, nous, joueurs, on a envie de s’exprimer et on est toutefois menacé d’une technique. Je ne trouve pas ça normal. Des deux côtés ça doit être respectueux et posé et parfois ce n’est pas le cas. Je pense que le mieux, c’est de ne jamais rien dire mais en ne disant rien j’ai peur que les arbitres pensent qu’ils ont raison alors que parfois ils ont peut-être tort. On a l’impression que parfois quand un coach ou un joueur réclame l’arbitrage change. Change t-il par rapport à la réclamation? Et si tu ne dis rien alors que tu estimes que les coups de sifflet ne sont pas bons, vont-ils se remettre en question durant le match ou se dire que si personne ne réclame, c’est qu’on a les bons coups de sifflet et du coup il faut continuer à arbitrer comme ça. Ca dépend des jours, des arbitres et je n’ai pas idée de la façon parfaite de réagir. Mais s’il faut trancher, je pense que le mieux c’est de ne rien dire.
Avez-vous déjà eu envie de rentrer dans le lard d’un coach: Oui, je l’ai déjà fait. J’ai la chance de très bien connaître Laurent Legname, ça fait longtemps que l’on travaille ensemble. Je me suis permis deux ou trois fois de lui rentrer dedans et inversement. C’était plutôt un combat de coq que moi tout seul. Ca m’est arrivé pas plus tard que l’année dernière à l’entraînement. En match il peut y avoir un coup d’énervement mais ce n’est pas le bon moment pour avoir une embrouille de cinq ou dix minutes. A la limite à la fin d’un match mais ce ne m’est jamais arrivé.
Le principal sujet de conversation entre joueurs: Le basket, bien sûr, sinon je dirais les filles (rires). Je suis célibataire et c’est normal que ça me concerne. Parfois on se moque de la logique des filles, on se raconte nos histoires, ça nous fait rire. Il n’y a pas de groupies en Pro A. Il y a des filles qui sont forcément un peu attiré par ce statut mais personne ne nous attend après les matches ou nous contacte sur les réseaux sociaux. C’est juste que notre statut fait que l’on a beaucoup plus d’exposition et que sur les réseaux sociaux, ça amène davantage de personnes, que la discussion peut se faire, mais les groupies ça n’existe pas à notre niveau.Peut-être au foot, en NBA. Personnellement, je n’ai pas ce soucis là!
Votre meilleur pote dans le basket : En LNB, Clément Cavallo qui joue à Roanne. On a fait le centre de formation et on a joué ensemble en Pro B à Toulon. On est super amis dans la vie de tous les jours. On se voit l’été. S’il n’y avait plus le basket, je serai toujours ami avec lui. Dans mon équipe, avec Jacques Alingue. C’est la troisième année où on joue ensemble et on est toujours sur la même longueur d’onde. En plus, on arrive bien à se retrouver sur le terrain.
« Je suis assez spectateur des commentaires sur les réseaux sociaux après les matches. J’aime bien savoir ce que les gens pensent au cas où je les re-croise »
Aimez-vous lire ou regarder des reportages sur vous: Généralement, je relis une fois les interviews que j’ai faite pour voir ce que ça donne, si ça n’a pas été déformé. Savoir aussi si j’aurais pu dire autre chose comme, par exemple, je peux me dire, « là j’aurais pu dire quelque chose sur mon coach ». Pareil pour les reportages, une fois pour voir comment ça été monté et voir si je n’ai pas dit des conneries. Ma mère garde les articles de journaux. Par contre, je suis assez spectateur des commentaires sur les réseaux sociaux après les matches. J’aime bien savoir ce que les gens pensent au cas où je les re-croise, pour le cas où avoir un débat constructif plutôt que d’avoir un simple commentaire lancé sur une page Facebook. Ca a tendance à vite m’énerver ces choses-là.
Votre principale occupation entre deux entraînements : J’aime bien regarder beaucoup de films, des séries. J’en regarde beaucoup le soir à la télé ou sur internet. Comparé à beaucoup de joueurs, je ne suis pas trop musique ni console.
La ville où vous avez joué et que vous préférez : Jouer à Monaco c’est un cadre super. C’est particulier, très propre, très soigné, belles voitures, beaux bateaux.
Vous résumé en quelques phrases : C’est compliqué! Je suis quelqu’un de très marrant, qui ne se prend pas du tout au sérieux. Je trouve que la vie est beaucoup mieux dans la rigolade. Je suis quelqu’un de passionné par son sport, même trop. Très focalisé sur le résultat. Je me remets beaucoup en question. Je suis aussi assez casanier, j’aime bien resté un peu dans mon petit cocon, j’ai un peu peur de l’inconnu. J’ai un peu peur de découvrir ce que je ne maîtrise pas. Je suis quelqu’un de très simple.
Si vous ne jouiez pas au basket : Je ne sais pas du tout. Ca a été très vite une envie d’être professionnel et je ne me suis jamais lancé dans un vrai projet scolaire. Donc je pense que j’aurais essayé de rester dans le sport et peut-être aurais-je essayé d’être prof de sport. Je pense que je me dirige de plus en plus vers une carrière de coach à la fin de ma carrière. Pas forcément être premier coach en pro, ça a l’air tellement difficile avec tellement de coaches compétents et il y a très peu de places. Je me vois coach de centre de formation, cadets France ou assistant-coach pro. Plutôt quelqu’un qui donne des conseils aux joueurs, dans l’analyse. Pas le mec qui gère ses joueurs aux changements, les égos, le recrutement. Je n’ai pas encore l’expérience actuellement pour ça.
[armelse]
Le premier match que vous avez joué en pro : Le premier officiel, c’est un match de Semaine des As à Pau-Orthez avec le HTV. Je suis entré en fin de match en tant qu’espoir. C’était en 2011. Il n’y avait pas énormément de monde dans les tribunes alors que pourtant Pau génère d’habitude beaucoup de spectateurs. Sinon, en championnat, c’est la même année au Mans. Notre meneur américain, (Kevin) Houston s’était blessé et j’avais pris la place du second meneur et joué dix minutes.
Le joueur qui vous a rendu meilleur : Celui avec qui j’ai passé deux saisons, l’année dernière et celle d’avant, David Holston. C’était très compliqué à le défendre tous les jours à l’entraînement. Il était capable de tout faire et quand il avait décidé de marquer des points, c’était dur de le contrôler. Il m’a aidé à durcir ma défense, à passer un cap de ce côté là.
Le meilleur joueur actuel de votre championnat : Le MVP, D.J. Cooper, qui en plus joue à mon poste. Il fait des gestes que pas grand monde fait, des trucs que personne n’attend et en plus il les réussit. Il est capable de tout faire. Il ne remplit pas seulement les stats dans la catégorie des passes, il met des points, des points importants, il prend des rebonds, il fait des interceptions. C’est un joueur vachement actif. Il n’y a pas beaucoup de joueurs comme ça dans le championnat. Je trouvais aussi que l’année dernière Moustapha Fall était vraiment impressionnant. Certains diront que sa taille aide beaucoup, c’est vrai, mais il n’est pas obligé de bousculer ses 2,18m comme il le faisait. Je pense que c’est l’une des principales raisons qui ont permis à Chalon de gagner le championnat.
Le joueur le plus vicieux du championnat : C’est compliqué à dire mais je dirai (Ilian) Evtimov (Cholet). Il a pas mal de bouteille et il met de temps en temps des petits coups que l’on ne voit pas. Il est très malin et c’est pourquoi il arrive encore à jouer à ce niveau-là.
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Photo : JDA et LNB
", "comment_id":"409773", "plaintext":"A 25 ans, Axel Julien , meneur de jeu de la JDA Dijon est devenu l’un des joueurs français phare de la Pro A, candidat à l’équipe de France pour les qualifications pour la Coupe du Monde 2019 après avoir rayonné avec les A’ lors d’une tournée en Chine en 2016. Dans cette interview, il parle avec une totale franchise.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLe premier match que vous avez joué en pro : Le premier officiel, c’est un match de Semaine des As à Pau-Orthez avec le HTV. Je suis entré en fin de match en tant qu’espoir. C’était en 2011. Il n’y avait pas énormément de monde dans les tribunes alors que pourtant Pau génère d’habitude beaucoup de spectateurs. Sinon, en championnat, c’est la même année au Mans. Notre meneur américain, (Kevin) Houston s’était blessé et j’avais pris la place du second meneur et joué dix minutes.\n\nLe joueur qui vous a rendu meilleur : Celui avec qui j’ai passé deux saisons, l’année dernière et celle d’avant, David Holston. C’était très compliqué à le défendre tous les jours à l’entraînement. Il était capable de tout faire et quand il avait décidé de marquer des points, c’était dur de le contrôler. Il m’a aidé à durcir ma défense, à passer un cap de ce côté là.\n\nLe meilleur joueur actuel de votre championnat : Le MVP, D.J. Cooper, qui en plus joue à mon poste. Il fait des gestes que pas grand monde fait, des trucs que personne n’attend et en plus il les réussit. Il est capable de tout faire. Il ne remplit pas seulement les stats dans la catégorie des passes, il met des points, des points importants, il prend des rebonds, il fait des interceptions. C’est un joueur vachement actif. Il n’y a pas beaucoup de joueurs comme ça dans le championnat. Je trouvais aussi que l’année dernière Moustapha Fall était vraiment impressionnant. Certains diront que sa taille aide beaucoup, c’est vrai, mais il n’est pas obligé de bousculer ses 2,18m comme il le faisait. Je pense que c’est l’une des principales raisons qui ont permis à Chalon de gagner le championnat.\n\nLe joueur le plus vicieux du championnat : C’est compliqué à dire mais je dirai (Ilian) Evtimov (Cholet). Il a pas mal de bouteille et il met de temps en temps des petits coups que l’on ne voit pas. Il est très malin et c’est pourquoi il arrive encore à jouer à ce niveau-là.\n\n« Au foot, j’aime beaucoup le Real alors j’aurais du mal à jouer à Barcelone. Je suis aussi supporter de l’OM alors jouer à Paris, ça me ferait un peu bizarre. »\n\nLe joueur le plus râleur du championnat: Florent Pietrus. Il met beaucoup de coups, il est très physique dans le jeu et au-delà de ce qui est autorisé. Et pourtant parfois il se met à râler un peu… Mais c’est toujours dans la gentillesse, ce n’est pas quelqu’un qui va agresser les gens. L’année dernière (Klemen) Prepelic a eu à chaque match quelques problèmes avec ses adversaires car il est agressif. Voilà, j’en ai cité deux mais ce n’est pas super gênant.\n\nLe coach qui vous a le plus marqué : J’en n’ai pas connu beaucoup mais ce que Pascal Donnadieu fait à Nanterre c’est impressionnant. Pas uniquement la dernière saison mais sur les quatre, cinq dernières années. Pas beaucoup de coaches en France ont réussi à faire ça. J’aime bien aussi (Eric) Bartecheky qui a fait deux, trois belles saisons d’affilée dans deux clubs différents (Le Havre et Pau). J’attends de voir ce qu’il va faire au Mans avec un plus gros effectif.\n\nLe club où vous aimeriez jouer : Il n’y a pas de club où j’avais absolument envie de jouer. Je préfère regarder l’environnement, le coach, l’équipe. Je ne ferme la porte à personne. C’est honnêtement difficile de dégager une équipe surtout quand on est bien dans son équipe actuelle. L’équipe de France mais ça ce n’est pas un club! (voir ce qu’il a déclaré à ce sujet).\n\nLe club où vous ne voulez pas jouer: Peut-être dans les pays un peu coupe-gorge style Roumanie. Des championnats où ça fait un peu peur de jouer. Au foot, j’aime beaucoup le Real alors j’aurais du mal à jouer à Barcelone. Je suis aussi supporter de l’OM alors jouer à Paris, ça me ferait un peu bizarre. Maintenant c’est Levallois, donc ça va! Mais s’il y avait un PSG basket, ça me ferait bizarre.\n\nVotre pire souvenir de joueur : En Pro B, on avait fini deuxième du championnat après Monaco et on jouait le premier tour des playoffs contre Le Portel et on a perdu. C’était un coup dur car on était les favoris, on avait fait une superbe saison en finissant loin devant le troisième. On n’était pas monté car Monaco était vraiment supérieur cette saison-là. Perdre au premier tour des playoffs, ne pas avoir été au moins en finale pour vivre ces moments-là, c’était une énorme déception personnelle et collective. On avait un super groupe et on était vraiment touché par ça.\n\nVotre adversaire le plus coriace : John Roberson (Villeurbanne, ex-Chalon). Il est difficile à défendre car il peut s’enflammer d’un coup, comme ça. Il peut dormir, entre guillemets, pendant quinze minutes et après avoir cinq minutes de folie et ensuite c’est très compliqué tout le match de l’arrêter. En plus l’année dernière c’était pour le derby bourguignon et on en a perdu quatre en deux ans. C’était vraiment frustrant et lui a toujours été bon dans ces moments-là.\n\nLe trophée que vous êtes le plus fier d’exposer : Le trophée de meilleur espoir en 2012, déjà car c’était la première fois qu’il était attribué. C’était une énorme surprise. Et la deuxième c’était la Stankovic Cup avec l’équipe de France A’. J’ai été élu MVP. Pas beaucoup de gens en ont entendu parlé notamment parce qu’il y a eu le TQO à ce moment-là mais on a fait une superbe campagne en Chine. On a quand même gagné l’équipe A du Nigeria, l’équipe A de Chine et l’équipe A’ d’Argentine. Je n’ai pas encore de trophées collectifs sinon j’aurais dit un trophée collectif.\n\nLe match dont vous avez le plus honte : L’année dernière, on jouait à l’ASVEL, en fin de saison, il restait cinq ou six matches. On perd au buzzer sur un tir de Walter Hodge alors qu’on a mené quasiment tout le match. On allait gagner et j’ai fait la connerie d’aller aider là où je ne devais pas le faire et du coup, je l’ai perdu de vu et il a pu planter ce tir à trois-points. Je m’en suis voulu énormément surtout que c’était une situation super difficile pour nous et qu’une victoire aurait quasiment scellé notre maintien. Je ne savais pas comment faire pour m’excuser auprès de mes coéquipiers. Même si un match ne se joue pas sur une action, ce jour là c’est à cause de moi que l’on perd.\n\n« LeBron James. J’apprécie beaucoup sa puissance, sa régularité. Je ne suis pas un super fan de la NBA mais je constate que partout où il est allé, il a gagné »\n\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur : Le cross de Kyrie Irving. Cette facilité à éliminer un joueur avec ses dribbles. Je regarde des matches mais je ne cherche pas à copier. A mon âge, je pense qu’il faut rester dans ce que l’on sait faire. Améliorer son jeu, oui, mais c’est compliqué d’ajouter des choses à on jeu. Il y a déjà tellement d’aspects à améliorer notamment au niveau du shoot, des passes, et même du dribble, mais aller chercher des choses que l’on ne sait pas faire ou qu’on utilise très peu, non. C’est comme si je m’amusais à travailler ma détente pour mon dunk. Ce n’est pas quelque chose que dans mon jeu j’utilise. S’inspirer pour faire un step back, en faire aux entraînements, je ne pense pas que ça me servira à en faire en match.\n\nSi vous deviez payer votre place pour voir un joueur : LeBron James. J’apprécie beaucoup sa puissance, sa régularité. Je ne suis pas un super fan de la NBA mais je constate que partout où il est allé, il a gagné. Il a amené des équipes avec très peu de qualité de joueurs en finale de Conference, de NBA. Il sait tout faire. Et s’il jouait encore ça serait Michael Jordan.\n\nPourquoi portez-vous le numéro 83: Simplement parce que je suis du Var, c’est super important pour moi. Lorsque je suis arrivé à Dijon, je savais que Marc Judith arrivait aussi et qu’il portait comme moi le numéro 5. Quand on m’a donné l’opportunité de choisir de 1 à 99, je n’ai pas hésité. Je trouve que c’est une très bonne initiative de permettre ça car quand un joueur a le même numéro que nous, on a une large panoplie pour en choisir un autre.\n\nL’exercice que vous faites en plus que les autres à l’entraînement: Je ne suis pas un énorme travailleur mais en ce moment la seule chose que je bosse davantage, c’est le shoot. Aussi, quand on fait du travail physique, de la course, je cherche à me donner à fond pour que ça me fasse le plus de mal possible pour qu’après ça fasse du bien.\n\nSi vous aviez une règle à changer dans le basket : En ce qui concerne le changement de la règle pour le dribble, je pense que ça perturbe à l’oeil mais les joueurs français ne vont pas changer leur jeu pour ça. C’est tellement ancré en nous que ça sera très compliqué que l’on utilise cette règle. Peut-être que parfois un marché ne sera pas sifflé, tant mieux. Ce que je changerai c’est la règle des pieds en touche sur les corners, quand les arbitres sifflent juste pour un talon. Aussi, ce n’est pas la règle anti-sportive qui me gène énormément mais le fait que si on en prend deux, on est expulsé. Ce côté là me dérange. Sauf si ce sont deux grosses fautes, deux vraies anti-sportives, là c’est normal que le mec sorte du terrain.\n\nEst-ce que ça vaut la peine de discuter avec les arbitres: Il y a des arbitres avec qui ça se passe très bien mais avec d’autres, ils sont très fermés. Ou alors ils estiment que nous on est trop agressifs dans notre langage. Il ne faut pas parler tout le temps, c’est sûr, ça pourrit le jeu mais parfois des choses portent à débat. Sur certains coups de sifflet importants, nous, joueurs, on a envie de s’exprimer et on est toutefois menacé d’une technique. Je ne trouve pas ça normal. Des deux côtés ça doit être respectueux et posé et parfois ce n’est pas le cas. Je pense que le mieux, c’est de ne jamais rien dire mais en ne disant rien j’ai peur que les arbitres pensent qu’ils ont raison alors que parfois ils ont peut-être tort. On a l’impression que parfois quand un coach ou un joueur réclame l’arbitrage change. Change t-il par rapport à la réclamation? Et si tu ne dis rien alors que tu estimes que les coups de sifflet ne sont pas bons, vont-ils se remettre en question durant le match ou se dire que si personne ne réclame, c’est qu’on a les bons coups de sifflet et du coup il faut continuer à arbitrer comme ça. Ca dépend des jours, des arbitres et je n’ai pas idée de la façon parfaite de réagir. Mais s’il faut trancher, je pense que le mieux c’est de ne rien dire.\n\nAvez-vous déjà eu envie de rentrer dans le lard d’un coach: Oui, je l’ai déjà fait. J’ai la chance de très bien connaître Laurent Legname, ça fait longtemps que l’on travaille ensemble. Je me suis permis deux ou trois fois de lui rentrer dedans et inversement. C’était plutôt un combat de coq que moi tout seul. Ca m’est arrivé pas plus tard que l’année dernière à l’entraînement. En match il peut y avoir un coup d’énervement mais ce n’est pas le bon moment pour avoir une embrouille de cinq ou dix minutes. A la limite à la fin d’un match mais ce ne m’est jamais arrivé.\n\nLe principal sujet de conversation entre joueurs: Le basket, bien sûr, sinon je dirais les filles (rires). Je suis célibataire et c’est normal que ça me concerne. Parfois on se moque de la logique des filles, on se raconte nos histoires, ça nous fait rire. Il n’y a pas de groupies en Pro A. Il y a des filles qui sont forcément un peu attiré par ce statut mais personne ne nous attend après les matches ou nous contacte sur les réseaux sociaux. C’est juste que notre statut fait que l’on a beaucoup plus d’exposition et que sur les réseaux sociaux, ça amène davantage de personnes, que la discussion peut se faire, mais les groupies ça n’existe pas à notre niveau.Peut-être au foot, en NBA. Personnellement, je n’ai pas ce soucis là!\n\nVotre meilleur pote dans le basket : En LNB, Clément Cavallo qui joue à Roanne. On a fait le centre de formation et on a joué ensemble en Pro B à Toulon. On est super amis dans la vie de tous les jours. On se voit l’été. S’il n’y avait plus le basket, je serai toujours ami avec lui. Dans mon équipe, avec Jacques Alingue. C’est la troisième année où on joue ensemble et on est toujours sur la même longueur d’onde. En plus, on arrive bien à se retrouver sur le terrain.\n\n« Je suis assez spectateur des commentaires sur les réseaux sociaux après les matches. J’aime bien savoir ce que les gens pensent au cas où je les re-croise »\n\nAimez-vous lire ou regarder des reportages sur vous: Généralement, je relis une fois les interviews que j’ai faite pour voir ce que ça donne, si ça n’a pas été déformé. Savoir aussi si j’aurais pu dire autre chose comme, par exemple, je peux me dire, « là j’aurais pu dire quelque chose sur mon coach ». Pareil pour les reportages, une fois pour voir comment ça été monté et voir si je n’ai pas dit des conneries. Ma mère garde les articles de journaux. Par contre, je suis assez spectateur des commentaires sur les réseaux sociaux après les matches. J’aime bien savoir ce que les gens pensent au cas où je les re-croise, pour le cas où avoir un débat constructif plutôt que d’avoir un simple commentaire lancé sur une page Facebook. Ca a tendance à vite m’énerver ces choses-là.\n\nVotre principale occupation entre deux entraînements : J’aime bien regarder beaucoup de films, des séries. J’en regarde beaucoup le soir à la télé ou sur internet. Comparé à beaucoup de joueurs, je ne suis pas trop musique ni console.\n\nLa ville où vous avez joué et que vous préférez : Jouer à Monaco c’est un cadre super. C’est particulier, très propre, très soigné, belles voitures, beaux bateaux.\n\nVous résumé en quelques phrases : C’est compliqué! Je suis quelqu’un de très marrant, qui ne se prend pas du tout au sérieux. Je trouve que la vie est beaucoup mieux dans la rigolade. Je suis quelqu’un de passionné par son sport, même trop. Très focalisé sur le résultat. Je me remets beaucoup en question. Je suis aussi assez casanier, j’aime bien resté un peu dans mon petit cocon, j’ai un peu peur de l’inconnu. J’ai un peu peur de découvrir ce que je ne maîtrise pas. Je suis quelqu’un de très simple.\n\nSi vous ne jouiez pas au basket : Je ne sais pas du tout. Ca a été très vite une envie d’être professionnel et je ne me suis jamais lancé dans un vrai projet scolaire. Donc je pense que j’aurais essayé de rester dans le sport et peut-être aurais-je essayé d’être prof de sport. Je pense que je me dirige de plus en plus vers une carrière de coach à la fin de ma carrière. Pas forcément être premier coach en pro, ça a l’air tellement difficile avec tellement de coaches compétents et il y a très peu de places. Je me vois coach de centre de formation, cadets France ou assistant-coach pro. Plutôt quelqu’un qui donne des conseils aux joueurs, dans l’analyse. Pas le mec qui gère ses joueurs aux changements, les égos, le recrutement. Je n’ai pas encore l’expérience actuellement pour ça.\n\n[armelse]\n\nLe premier match que vous avez joué en pro : Le premier officiel, c’est un match de Semaine des As à Pau-Orthez avec le HTV. Je suis entré en fin de match en tant qu’espoir. C’était en 2011. Il n’y avait pas énormément de monde dans les tribunes alors que pourtant Pau génère d’habitude beaucoup de spectateurs. Sinon, en championnat, c’est la même année au Mans. Notre meneur américain, (Kevin) Houston s’était blessé et j’avais pris la place du second meneur et joué dix minutes.\n\nLe joueur qui vous a rendu meilleur : Celui avec qui j’ai passé deux saisons, l’année dernière et celle d’avant, David Holston. C’était très compliqué à le défendre tous les jours à l’entraînement. Il était capable de tout faire et quand il avait décidé de marquer des points, c’était dur de le contrôler. Il m’a aidé à durcir ma défense, à passer un cap de ce côté là.\n\nLe meilleur joueur actuel de votre championnat : Le MVP, D.J. Cooper, qui en plus joue à mon poste. Il fait des gestes que pas grand monde fait, des trucs que personne n’attend et en plus il les réussit. Il est capable de tout faire. Il ne remplit pas seulement les stats dans la catégorie des passes, il met des points, des points importants, il prend des rebonds, il fait des interceptions. C’est un joueur vachement actif. Il n’y a pas beaucoup de joueurs comme ça dans le championnat. Je trouvais aussi que l’année dernière Moustapha Fall était vraiment impressionnant. Certains diront que sa taille aide beaucoup, c’est vrai, mais il n’est pas obligé de bousculer ses 2,18m comme il le faisait. Je pense que c’est l’une des principales raisons qui ont permis à Chalon de gagner le championnat.\n\nLe joueur le plus vicieux du championnat : C’est compliqué à dire mais je dirai (Ilian) Evtimov (Cholet). Il a pas mal de bouteille et il met de temps en temps des petits coups que l’on ne voit pas. Il est très malin et c’est pourquoi il arrive encore à jouer à ce niveau-là.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : JDA et LNB", "feature_image":null, "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-14T05:29:07.000Z", "updated_at":"2021-11-12T16:50:34.000Z", "published_at":"2019-11-14T05:29:07.000Z", "custom_excerpt":"A 25 ans, Axel Julien , meneur de jeu de la JDA Dijon est devenu l’un des joueurs français phare de la Pro A, candidat à l’équipe de France pour les qualifications pour la Coupe du Monde 2019 après avoir rayonné avec les A’ lors d’une tournée en Chine en 2016. Dans cette interview, il… Continue read", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d956b", "uuid":"55dfb199-8795-412f-9ce1-6ff98b932e07", "title":"Ana Dabovic (Bourges): « J’aime la mentalité française »", "slug":"ana-dabovic-bourges-jaime-la-mentalite-francaise", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’équipe de Serbie féminine est en préparation pour deux matches de qualification au Championnat d’Europe 2021, qui se tiendra en Espagne et en France. 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La coach Marina Maljkovic a sous la main dix filles ayant remporté la médaille de bronze à l’Euro 2019 à Belgrade sachant que Sonja Petrovic et Dragana Stankovic sont blessées.
Novosti a interrogé la Berruyère Ana Dabovic (1,83m, 30 ans), qui est l’un des principaux piliers de l’équipe.
« Nous savons que Marina impose un rythme soutenu de travail et nous nous y habituons lors des préparatifs. C’est pour ça que je n’aime pas ce genre de qualification parce qu’il n’y a pas assez de temps. Ce que j’attends, c’est que nous nous battions comme toujours et donnions au public un beau spectacle. Je le fais toujours lorsque je porte le maillot de l’équipe nationale. »
Ana Dabovic fait un commentaire sympathique sur la France qu’elle a découverte la saison dernière à Montpellier et cette fois avec Bourges:
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La première l’a amené à coacher des équipes de France de jeunes, avec notamment à la clé un titre de champion d’Europe juniors avec la génération Tony Parker et Boris Diaw. La deuxième lui a permis de rafler des trophées avec les féminines, aussi bien avec Bourges que l’équipe de France qui, sous ses ordres, fut championne d’Europe en 2009 et vice-championne olympique en 2012. Il a ensuite connu le basket professionnel masculin avec des expériences écourtées à Villeurbanne puis à Orléans. Depuis 2017, il est retourné dans le secteur féminin mais à l’étranger cette fois, en Italie, au Familia Schio, qui a été sacré champion d’Italie en 2017 et 2018 et qui, en Euroleague, vient de s’imposer coup sur coup à Bourges et Lattes-Montpellier.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans cette interview scindée en deux parties, on revient sur son parcours à Villeurbanne et Orléans et auparavant sur son aventure italienne. On commence par un… scoop.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Ainsi vous êtes le nouvel entraîneur de l’équipe nationale italienne féminine ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"(Rires) J’ai été nommé avant d’avoir décidé et démis sans en avoir été informé !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comment cela ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je ne suis pas le coach de l’Italie ! Pour faire simple et court, le président de la Fédération m’a téléphoné pour me demander si ça m’intéresserait de prendre l’équipe d’Italie. Je lui ai répondu de me donner deux, trois jours mais que probablement oui. Je lui ai dit qu’il fallait que je regarde en France ce que la FFBB comptait faire… Le championnat d’Europe m’a donné envie de retourner aux affaires. La France n’ayant pas le projet de changer d’entraîneur a priori, la seule équipe où je me voyais éventuellement m’investir, c’était l’Italie parce que j’ai beaucoup de joueuses qui sont soit passées soit avec moi. Je me suis dit que ça serait un vrai défi car qualifier l’Italie pour les JO, ce n’est pas pareil que qualifier la France ! Le lendemain matin, dans \"],[0,[1],1,\"La Gazzetta dello Sport\"],[0,[],0,\", rien que ça, le président fait passer un article en disant que Pierre Vincent est l’entraîneur de l’équipe d’Italie. J’ai le club qui m’appelle, je leur dis que je ne suis pas au courant ! Ça c’est la première partie. La deuxième c’est que je n’ai pas eu de contact avec le président qui était parti en Chine. J’ai pris des contacts à droite, à gauche, pour préparer le projet, contacter les joueuses, fait des entretiens, passer du temps à organiser les affaires, je voulais savoir si c’était du court ou du moyen terme, je n’avais aucune information. Et le président m’a envoyé un SMS en me disant que comme je ne lui répondais pas, il coupait les relations avec moi (rires). Donc officiellement, j’ai été nommé sans donner mon accord et j’ai été licencié sans avoir été embauché.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"C’est une méthode à laquelle on n’est pas habitué en France ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Non. Nous, c’est un peu plus carré et je passe les détails, il y a plein d’anecdotes. Si je m’engageais là, ça m’obligeait à rester dans le basket féminin et en Italie pendant un moment, alors que là, si je ne fais pas ça, je ferai autre chose, ça m’ouvre plus d’opportunités derrière.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"La dernière médaille à l’Euro de l’Italie remonte à 1995 et elle a été éliminée cet été en 8\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],1,\"de finale mais pendant le même temps, les U18 et les U20 ont été championnes d’Europe, c’est un socle solide pour un nouveau départ ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Non. En fait, c’est du trompe l’œil. L’éducation du basket en Italie n’est pas mauvaise et le gros avantage qu’ils ont c’est que les jeunes joueuses à 15-16 ans jouent en première division en A2 ou A1. On a joué à Vigarano ce week-end et il y en a trois qui ont été championnes d’Europe cet été mais sinon peut-être une et ce n’est pas sûr, les deux autres ne pourront pas jouer en équipe d’Italie senior. Donc elles bénéficient du fait d’avoir un niveau d’opposition élevé tous les jours, à l’entraînement et en match.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Ça permet donc une maturité plus précoce ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui, j’ai vu par exemple la finale contre la Russie en U20. La joueuse qui est élue MVP (NDLR : Sara Madera), jamais elle ne pourra jouer en équipe d’Italie seniors. Je peux m’engager en y mettant la moitié d’un bras. C’est un poste 4-5 qui joue en première division depuis un petit moment, une bonne joueuse, qui passe bien la balle, qui tire, qui joue juste, mais qui est petite pour le poste (1,86m), lourde.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Plus généralement, pourquoi l’Italie n’est plus compétitive au niveau de son équipe nationale ? C’est une question de qualité de joueuses ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il n’y en a pas beaucoup mais il y a quelques très bonnes joueuses. Ce sont des attaquantes. Historiquement, les meilleures joueuses italiennes étaient à Schio et depuis deux ans, elles n’y sont plus. On avait par exemple (Cecilia) Zandalasini, la meilleure joueuse italienne actuellement, qui est partie à Fenerbahçe. Il y a Elisa Penna, qui est une très bonne joueuse. Ils ont signé une Australienne (Nicole Romeo), qui ne parle pas italien mais qui a le passeport italien. Avec Giorgia Sottana, ça fait quatre joueuses qui marquent des paniers. C’est le premier point. Au niveau des postes 2, 3, 4, ils sont bien avec de la taille, des défenseurs, une bonne culture de jeu. Ce qui leur manque c’est le poste 1. J’ai à Schio Francesca Dotto qui est une bonne joueuse défensive, de niveau international, mais qui en attaque est assez juste. Et surtout ils n’ont pas de pivots et jouer au basket sans pivot, ce n’est pas simple. J’ai dans mon équipe deux joueuses qui sont dans l’équipe italienne. Olbis Andre, qui a 20 ans et qui est une quasi débutante, est d’origine ougandaise, elle a grandi là mais elle n’a pas pu faire les équipes nationales quand elle était jeune et elle n’est pas tombée avec de bons entraîneurs, elle n’est pas capable de mettre un tir, de finir près du cercle. Elle a un peu le physique d’Emmeline Ndongue, intelligente, travailleuse mais avec beaucoup de retard. L’autre, c’est Jasmine Keys, qui a 22 ans, qui n’est pas du niveau international non plus. La dernière qu’ils avaient, c’est Kathrin Ress, la sœur de Tomas Ress, qui a joué à Sienne. Elle a fait une longue carrière internationale, 15 ans. C’était la seule pivot, qui a bouché les vides. C’est pour ça que, pour moi, c’était un vrai défi de partir dans cette aventure.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"En résumé, les deux médailles d’or en jeune cet été ne change pas fondamentalement la donne ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Non, pas forcément. Il y a une bonne culture car les gamines s’entraînent pas mal. A Schio, elles ont l’école le matin et elles s’entraînent ensuite tous les jours. Ils ont des coaches, le basket est assez organisé. Par contre, cette gamine qui est MVP du championnat d’Europe U20 aurait dû être un poste 3 et ils la font jouer en poste 4. Avec l’expérience qu’elle a, elle arrive à faire illusion un moment mais elle ne sera jamais internationale A. Caterina Gilli en U18 (NDLR : dans le 5 all-Star à l’Euro) ne pourra pas jouer car c’est un poste 3, qui a un bon toucher, une bonne connaissance de jeu, mais elle est un peu lourde et elle ne pourra pas jouer au plus haut niveau. C’est de leur responsabilité, de faire jouer des joueuses qui sont à maturité mais qui ne serviront à rien pour l’équipe nationale, mais comme tout le monde s’en fout, ils ont des médailles, ils sont contents… Pour clore le débat : je pense que dans l’avenir ils pourront être pas mal car les deux gamines qui sont avec moi sont jeunes et pourront être confrontées au plus haut niveau et elles vont prendre de l’expérience, et une autre qui est aux Etats-Unis, Lorela Cubaj qui a plus de maturité et de basket, mais elle n’a que 20 ans. Là, oui, il y a une base d’intérieures qui n’est pas mal. Donc, oui, l’avenir de l’Italie est pas mal mais pas du fait qu’elle a eu deux titres cet été.\"]]],[10,0],[10,1],[10,2],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« Il n’y a pas de salons VIP, de partenaires, c’est le président qui gère tout. Je pense qu’il n’a pas envie de partager ça, c’est son petit truc à lui »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comment est la vie à Schio ? C’est une petite ville ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"40 000 habitants. Nous, on s’y régale. C’est à une heure de Vérone, de Venise, c’est à côté de Trente, de Padoue.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’Autriche est proche également ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a Bolzano. Ce n’est pas l’Autriche c’est le Tyrol. Dans cette partie haute de l’Italie, ils ne se sentent ni Italiens ni Autrichiens mais Tyroliens. Dans les rues, ils parlent plus allemand qu’italien.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La Slovénie et la Croatie ne sont pas très loin non plus ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Slovénie, c’est à deux heures par Trieste. On a une Slovène, Eva Lisec, qui met deux, trois heures pour rentrer chez elle.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous avez appris l’italien. C’est indispensable pour coacher en Italie ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Absolument pas mais si j’ai fait le choix de partir en Italie c’est d’abord pour ça. Apprendre une nouvelle langue, m’approprier un peu la culture, pouvoir échanger, comprendre leur monde, qui ils sont, comment ils vivent. Au bout d’un mois, je parlais italien.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous parlez également espagnol ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce qui est étonnant c’est que l’italien, je n’en parlais pas un mot avant d’arriver ici et par contre je parlais espagnol. Je dois avoir un cerveau qui est un peu moins jeune, un peu moins vif car je n’arrive plus à parler espagnol. Mon fils travaille en Espagne, je m’y rends, je comprends parfaitement mais pour parler j’ai besoin de me concentrer, être attentif, parler doucement parce que tout sort en italien. Ça m’arrive même en français, moins évidemment, de sortir des mots italiens. Si je restais immergé un mois en Espagne, ça irait, mais là c’est assez bizarre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Dans l’équipe, vous parlez italien ou anglais ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Italien. Sauf que là, une Américaine est arrivée donc pour les préparations de match, je fais pas mal en anglais. Les années précédentes, je ne faisais qu’italien car les filles parlaient toutes italien. Isa (Yacoubou) le parlait mieux que moi, Endy (Miyem) comprenait. Ça a fait rire un journaliste car il me disait que tous les coaches italiens parlaient anglais alors que moi qui suis français, je parle italien pendant les temps-morts.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vincenza a dominé le basket européen il y a une trentaine d’années et c’est tout proche de Schio. Cela veut dire que c’est une terre fertile pour le basket féminin ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le basket est traditionnellement fort dans la Vénétie. Avec Venise et San Martino, il y a trois des meilleures équipes italiennes qui sont dans le Vénétie. Avec la Lombardie ce sont les deux terres de basket féminin. Le patron du club de Schio possède une grosse chaîne de distribution qui est ici, donc je pense qu’il n’y a pas de relations avec Vincenza.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Pour les matches d’Euroleague, il n’y a pas beaucoup de monde dans la salle. C’est lui qui soutient le club à bout de bras ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On remplit pour les gros événements, les finales de championnat. Le basket féminin n’est pas super populaire, les Italiens sont un peu machos sur les bords. On était pareil en France mais ça l’est moins. La présence moyenne doit être de 1 500 personnes. En fait, notre président à huit marques de supermarché, 7 à 8 000 employés, et le club c’est lui. Il n’y a pas de salons VIP, de partenaires, c’est le président qui gère tout. Je pense qu’il n’a pas envie de partager ça, c’est son petit truc à lui. Tous les partenaires sur le maillot sont des gens qui travaillent avec lui. Il a des magasins partout et ce sont des gens qui distribuent chez lui, lui distribue leurs produits. Au final, ils financent le club. C’est comme ça en Italie, il y a Benetton Trévise, c’est le patron de Segafredo qui a repris le club de Bologne qui est remonté, à Milan il y a Armani. Notre président ne fait pas d’efforts pour remplir la salle, les VIP, ce n’est pas son projet.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Schio a été 6 fois champion d’Italie ces 7 dernières années, alors on imagine qu’il n’y a pas le choix en début de saison : il faut être champion !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est ça. Lorsque je suis arrivé, ils avaient perdu. Le président ne parle ni anglais, ni français, moi je ne parlais pas italien, mais il m’a dit « Vincere ! Vincere ! Vincere ! (gagner) ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"En Euroleague, il y a des ambitions, des objectifs ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour eux, c’est l’Italie qui compte vraiment. Ils ont les moyens de se qualifier pour le Final Four de l’Euroleague, je pense. On l’a fait avec Bourges, Sopron l’a fait, il y a une place pour les équipes qui ont un niveau économique plus faible que les autres, Prague, Koursk, Fenerbahçe et Ekaterinbourg qui est intouchable. Eux pourraient jouer ce rôle de la petite équipe en s’organisant bien mais ce n’est pas leur ambition, ils veulent gagner en Italie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"En moyens financiers, c’est à peu près au niveau de Bourges avec des charges sociales inférieures ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est ça.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Sandrine Gruda a 32 ans, elle a été dominante au dernier Euro. Comment la trouvez-vous au quotidien ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je la connais bien, c’est un gros avantage pour moi de pouvoir la faire jouer dans son registre avec ses qualités, la faire travailler. J’ai suivi le championnat d’Europe de loin… Ce qui compte, ce n’est pas de dominer quand ça ne compte pas, c’est exister quand ça compte. C’est ce qui manque aujourd’hui à l’équipe de France, finir le travail.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comment avez-vous été accueilli par vos confrères italiens ? Y a-t-il beaucoup de coaches étrangers ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je suis le seul. C’est protecteur et quand il a été question que je sois l’entraîneur de l’équipe d’Italie, il y avait quelques remarques comme quoi je ne suis pas Italien. Dans l’Histoire, il n’y a jamais eu un entraîneur qui a coaché l’équipe d’Italie qui ne soit Italien.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Chez les garçons non plus ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a eu (Bogdan) Tanjevic (1997-2001) mais pour eux il est à moitié italien (NDLR : de fait, Tanjevic, né Yougoslave, de nationalité monténégrine, possède aussi le passeport italien. ll y a eu en fait un coach étranger, l’Américain Jim McGregor de 1954 à 1956).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous aviez déjà été sollicité à une époque par Ekaterinbourg. Il est plus facile pour un coach français de s’exporter chez les filles que chez les garçons ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je ne crois pas, je crois que les dirigeants ne connaissent pas bien leur travail. Les coaches français sont sollicités à l’étranger parce que l’équipe de France gagne, elle a des médailles, alors ils prennent des entraîneurs français pour leur équipe. Ça ne devrait pas fonctionner comme ça car il y a des bons entraîneurs partout. Il faut regarder quelles sont les conditions de travail, si c’est compatible avec l’équipe, il y a tout un tas d’éléments. Souvent ce sont des gens qui ne connaissent pas bien le basket ou les entraîneurs. Il y a actuellement beaucoup de coaches espagnols dans le basket féminin européen parce que l’Espagne gagne. Comme les garçons ne gagnent pas dans le basket français, les coaches français ne sont pas sollicités. Et quand les coaches français ont été sollicités, ça s’est mal passé donc ça n’encourage pas les clubs à continuer. Non ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Dans toute l’Histoire, dans les ligues majeures, il y en a eu trois : Robert Busnel (Real Madrid), Michel Gomez (PAOK Salonique) et Greg Beugnot (Varèse) et ça s’est mal terminé à chaque fois…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Voilà. Ça ne les encourage pas à faire le choix d’entraîneurs français. A l’étranger, on est perçu comme des charlots. Les équipes françaises dans les coupes d’Europe, celles qui compte, Euroleague et Eurocup, n’existent pas. Pareil pour les équipes nationales même si on a des médailles. On est perçu comme des gens qui ne maîtrisent pas leur sujet, qui ont des joueurs athlétiques mais qui ne sont pas bons basketteurs. Les étrangers le disent à demi-mots ou à mots complets et il n’y a que chez nous où l’on ne veut pas s’en apercevoir ou que l’on ne veut pas entendre. Après, leur analyse du basket français est partielle car ils ne connaissent pas notre organisation. Souvent on chope des gamins qui commencent à jouer très tard alors que les Serbes s’entraînent deux fois par jour à 11 ans avec de bons coaches et de bons championnats. Amara (Sy), il a commencé à Cergy à 15 ou 16 ans. Au même âge (Erazem) Lorbek pouvait faire un clinic de basket. Nos équipes ne sont pas techniquement très fortes, pas super précises tactiquement mais il y a des raisons à ça. Souvent nos joueurs commencent tard. Aujourd’hui, les jeunes Français commencent plus tôt et s’entraînent mieux et on a beaucoup plus de résultats qu’il y a dix ans. Souvent les étrangers nous prennent nos jeunes joueurs car comme à Beobasket, ils disent que l’on travaille comme des charlots et qu’ils vont nous montrer comment ils font, mais ce n’est pas si simple que ça, ils ne sortent pas que des stars. Ce n’est pas faux ce qu’ils disent mais quand on dit que les joueurs français ne sont pas très techniques, il faut essayer de voir pourquoi. Il y a des raisons à ça.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"En filles c’est différent, les clubs français sont compétitifs en Euroleague, aussi la cote des coaches est plus élevée ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a ça… Je pense que dans le basket féminin comme partout, il y a un peu de machisme. Je me souviens d’être allé pendant une semaine, il y a quelques années, en Slovénie, Ljubljana, Maribor, un peu partout. Je leur avais demandé pourquoi ils n’existaient pas en filles -aujourd’hui c’est un peu mieux- et ils m’avaient répondu : « les femmes, c’est fait pour la cuisine ». Ils ne s’y intéressent pas. Après, il n’y a pas non plus beaucoup d’économie. Les Yougos s’intéressent au basket masculin car pour eux c’est une industrie. Ils sortent les gamins de chez eux à 11, 12 ans, ils les prennent dans leurs entreprises, ils les entraînent tous les jours et ils les vendent des millions à la NBA. Je me souviens d’avoir joué avec l’ASVEL le Partizan Belgrade. Ils avaient moins de moyens que la saison précédente et ils avaient mis des jeunes qui sont les stars d’aujourd’hui. Ils ont toujours eu une tradition de faire jouer les jeunes et \"],[0,[3],1,\"je ne vois pas pourquoi ils en envoient autant en NCAA\"],[0,[],0,\", ils les forment bien mieux chez eux. 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La France n’ayant pas le projet de changer d’entraîneur a priori, la seule équipe où je me voyais éventuellement m’investir, c’était l’Italie parce que j’ai beaucoup de joueuses qui sont soit passées soit avec moi. Je me suis dit que ça serait un vrai défi car qualifier l’Italie pour les JO, ce n’est pas pareil que qualifier la France ! Le lendemain matin, dans \"],[0,[1],1,\"La Gazzetta dello Sport\"],[0,[],0,\", rien que ça, le président fait passer un article en disant que Pierre Vincent est l’entraîneur de l’équipe d’Italie. J’ai le club qui m’appelle, je leur dis que je ne suis pas au courant ! Ça c’est la première partie. La deuxième c’est que je n’ai pas eu de contact avec le président qui était parti en Chine. J’ai pris des contacts à droite, à gauche, pour préparer le projet, contacter les joueuses, fait des entretiens, passer du temps à organiser les affaires,\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo d’ouverture: Sandrine Gruda et Pierre Vincent (Familia Schio)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Schématiquement, Pierre Vincent, 55 ans, a connu quatre étapes. La première l’a amené à coacher des équipes de France de jeunes, avec notamment à la clé un titre de champion d’Europe juniors avec la génération Tony Parker et Boris Diaw. La deuxième lui a permis de rafler des trophées avec les féminines, aussi bien avec Bourges que l’équipe de France qui, sous ses ordres, fut championne d’Europe en 2009 et vice-championne olympique en 2012. Il a ensuite connu le basket professionnel masculin avec des expériences écourtées à Villeurbanne puis à Orléans. Depuis 2017, il est retourné dans le secteur féminin mais à l’étranger cette fois, en Italie, au Familia Schio, qui a été sacré champion d’Italie en 2017 et 2018 et qui, en Euroleague, vient de s’imposer coup sur coup à Bourges et Lattes-Montpellier.
Dans cette interview scindée en deux parties, on revient sur son parcours à Villeurbanne et Orléans et auparavant sur son aventure italienne. On commence par un… scoop.
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Ainsi vous êtes le nouvel entraîneur de l’équipe nationale italienne féminine ?
(Rires) J’ai été nommé avant d’avoir décidé et démis sans en avoir été informé !
Comment cela ?
Je ne suis pas le coach de l’Italie ! Pour faire simple et court, le président de la Fédération m’a téléphoné pour me demander si ça m’intéresserait de prendre l’équipe d’Italie. Je lui ai répondu de me donner deux, trois jours mais que probablement oui. Je lui ai dit qu’il fallait que je regarde en France ce que la FFBB comptait faire… Le championnat d’Europe m’a donné envie de retourner aux affaires. La France n’ayant pas le projet de changer d’entraîneur a priori, la seule équipe où je me voyais éventuellement m’investir, c’était l’Italie parce que j’ai beaucoup de joueuses qui sont soit passées soit avec moi. Je me suis dit que ça serait un vrai défi car qualifier l’Italie pour les JO, ce n’est pas pareil que qualifier la France ! Le lendemain matin, dans La Gazzetta dello Sport, rien que ça, le président fait passer un article en disant que Pierre Vincent est l’entraîneur de l’équipe d’Italie. J’ai le club qui m’appelle, je leur dis que je ne suis pas au courant ! Ça c’est la première partie. La deuxième c’est que je n’ai pas eu de contact avec le président qui était parti en Chine. J’ai pris des contacts à droite, à gauche, pour préparer le projet, contacter les joueuses, fait des entretiens, passer du temps à organiser les affaires, je voulais savoir si c’était du court ou du moyen terme, je n’avais aucune information. Et le président m’a envoyé un SMS en me disant que comme je ne lui répondais pas, il coupait les relations avec moi (rires). Donc officiellement, j’ai été nommé sans donner mon accord et j’ai été licencié sans avoir été embauché.
C’est une méthode à laquelle on n’est pas habitué en France ?
Non. Nous, c’est un peu plus carré et je passe les détails, il y a plein d’anecdotes. Si je m’engageais là, ça m’obligeait à rester dans le basket féminin et en Italie pendant un moment, alors que là, si je ne fais pas ça, je ferai autre chose, ça m’ouvre plus d’opportunités derrière.
La dernière médaille à l’Euro de l’Italie remonte à 1995 et elle a été éliminée cet été en 8ede finale mais pendant le même temps, les U18 et les U20 ont été championnes d’Europe, c’est un socle solide pour un nouveau départ ?
Non. En fait, c’est du trompe l’œil. L’éducation du basket en Italie n’est pas mauvaise et le gros avantage qu’ils ont c’est que les jeunes joueuses à 15-16 ans jouent en première division en A2 ou A1. On a joué à Vigarano ce week-end et il y en a trois qui ont été championnes d’Europe cet été mais sinon peut-être une et ce n’est pas sûr, les deux autres ne pourront pas jouer en équipe d’Italie senior. Donc elles bénéficient du fait d’avoir un niveau d’opposition élevé tous les jours, à l’entraînement et en match.
Ça permet donc une maturité plus précoce ?
Oui, j’ai vu par exemple la finale contre la Russie en U20. La joueuse qui est élue MVP (NDLR : Sara Madera), jamais elle ne pourra jouer en équipe d’Italie seniors. Je peux m’engager en y mettant la moitié d’un bras. C’est un poste 4-5 qui joue en première division depuis un petit moment, une bonne joueuse, qui passe bien la balle, qui tire, qui joue juste, mais qui est petite pour le poste (1,86m), lourde.
Plus généralement, pourquoi l’Italie n’est plus compétitive au niveau de son équipe nationale ? C’est une question de qualité de joueuses ?
Il n’y en a pas beaucoup mais il y a quelques très bonnes joueuses. Ce sont des attaquantes. Historiquement, les meilleures joueuses italiennes étaient à Schio et depuis deux ans, elles n’y sont plus. On avait par exemple (Cecilia) Zandalasini, la meilleure joueuse italienne actuellement, qui est partie à Fenerbahçe. Il y a Elisa Penna, qui est une très bonne joueuse. Ils ont signé une Australienne (Nicole Romeo), qui ne parle pas italien mais qui a le passeport italien. Avec Giorgia Sottana, ça fait quatre joueuses qui marquent des paniers. C’est le premier point. Au niveau des postes 2, 3, 4, ils sont bien avec de la taille, des défenseurs, une bonne culture de jeu. Ce qui leur manque c’est le poste 1. J’ai à Schio Francesca Dotto qui est une bonne joueuse défensive, de niveau international, mais qui en attaque est assez juste. Et surtout ils n’ont pas de pivots et jouer au basket sans pivot, ce n’est pas simple. J’ai dans mon équipe deux joueuses qui sont dans l’équipe italienne. Olbis Andre, qui a 20 ans et qui est une quasi débutante, est d’origine ougandaise, elle a grandi là mais elle n’a pas pu faire les équipes nationales quand elle était jeune et elle n’est pas tombée avec de bons entraîneurs, elle n’est pas capable de mettre un tir, de finir près du cercle. Elle a un peu le physique d’Emmeline Ndongue, intelligente, travailleuse mais avec beaucoup de retard. L’autre, c’est Jasmine Keys, qui a 22 ans, qui n’est pas du niveau international non plus. La dernière qu’ils avaient, c’est Kathrin Ress, la sœur de Tomas Ress, qui a joué à Sienne. Elle a fait une longue carrière internationale, 15 ans. C’était la seule pivot, qui a bouché les vides. C’est pour ça que, pour moi, c’était un vrai défi de partir dans cette aventure.
En résumé, les deux médailles d’or en jeune cet été ne change pas fondamentalement la donne ?
Non, pas forcément. Il y a une bonne culture car les gamines s’entraînent pas mal. A Schio, elles ont l’école le matin et elles s’entraînent ensuite tous les jours. Ils ont des coaches, le basket est assez organisé. Par contre, cette gamine qui est MVP du championnat d’Europe U20 aurait dû être un poste 3 et ils la font jouer en poste 4. Avec l’expérience qu’elle a, elle arrive à faire illusion un moment mais elle ne sera jamais internationale A. Caterina Gilli en U18 (NDLR : dans le 5 all-Star à l’Euro) ne pourra pas jouer car c’est un poste 3, qui a un bon toucher, une bonne connaissance de jeu, mais elle est un peu lourde et elle ne pourra pas jouer au plus haut niveau. C’est de leur responsabilité, de faire jouer des joueuses qui sont à maturité mais qui ne serviront à rien pour l’équipe nationale, mais comme tout le monde s’en fout, ils ont des médailles, ils sont contents… Pour clore le débat : je pense que dans l’avenir ils pourront être pas mal car les deux gamines qui sont avec moi sont jeunes et pourront être confrontées au plus haut niveau et elles vont prendre de l’expérience, et une autre qui est aux Etats-Unis, Lorela Cubaj qui a plus de maturité et de basket, mais elle n’a que 20 ans. Là, oui, il y a une base d’intérieures qui n’est pas mal. Donc, oui, l’avenir de l’Italie est pas mal mais pas du fait qu’elle a eu deux titres cet été.
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/schio-salle.jpg\")
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/pierre-vincent.jpg\")
« Il n’y a pas de salons VIP, de partenaires, c’est le président qui gère tout. Je pense qu’il n’a pas envie de partager ça, c’est son petit truc à lui »
Comment est la vie à Schio ? C’est une petite ville ?
40 000 habitants. Nous, on s’y régale. C’est à une heure de Vérone, de Venise, c’est à côté de Trente, de Padoue.
L’Autriche est proche également ?
Il y a Bolzano. Ce n’est pas l’Autriche c’est le Tyrol. Dans cette partie haute de l’Italie, ils ne se sentent ni Italiens ni Autrichiens mais Tyroliens. Dans les rues, ils parlent plus allemand qu’italien.
La Slovénie et la Croatie ne sont pas très loin non plus ?
La Slovénie, c’est à deux heures par Trieste. On a une Slovène, Eva Lisec, qui met deux, trois heures pour rentrer chez elle.
Vous avez appris l’italien. C’est indispensable pour coacher en Italie ?
Absolument pas mais si j’ai fait le choix de partir en Italie c’est d’abord pour ça. Apprendre une nouvelle langue, m’approprier un peu la culture, pouvoir échanger, comprendre leur monde, qui ils sont, comment ils vivent. Au bout d’un mois, je parlais italien.
Vous parlez également espagnol ?
Ce qui est étonnant c’est que l’italien, je n’en parlais pas un mot avant d’arriver ici et par contre je parlais espagnol. Je dois avoir un cerveau qui est un peu moins jeune, un peu moins vif car je n’arrive plus à parler espagnol. Mon fils travaille en Espagne, je m’y rends, je comprends parfaitement mais pour parler j’ai besoin de me concentrer, être attentif, parler doucement parce que tout sort en italien. Ça m’arrive même en français, moins évidemment, de sortir des mots italiens. Si je restais immergé un mois en Espagne, ça irait, mais là c’est assez bizarre.
Dans l’équipe, vous parlez italien ou anglais ?
Italien. Sauf que là, une Américaine est arrivée donc pour les préparations de match, je fais pas mal en anglais. Les années précédentes, je ne faisais qu’italien car les filles parlaient toutes italien. Isa (Yacoubou) le parlait mieux que moi, Endy (Miyem) comprenait. Ça a fait rire un journaliste car il me disait que tous les coaches italiens parlaient anglais alors que moi qui suis français, je parle italien pendant les temps-morts.
Vincenza a dominé le basket européen il y a une trentaine d’années et c’est tout proche de Schio. Cela veut dire que c’est une terre fertile pour le basket féminin ?
Le basket est traditionnellement fort dans la Vénétie. Avec Venise et San Martino, il y a trois des meilleures équipes italiennes qui sont dans le Vénétie. Avec la Lombardie ce sont les deux terres de basket féminin. Le patron du club de Schio possède une grosse chaîne de distribution qui est ici, donc je pense qu’il n’y a pas de relations avec Vincenza.
Pour les matches d’Euroleague, il n’y a pas beaucoup de monde dans la salle. C’est lui qui soutient le club à bout de bras ?
On remplit pour les gros événements, les finales de championnat. Le basket féminin n’est pas super populaire, les Italiens sont un peu machos sur les bords. On était pareil en France mais ça l’est moins. La présence moyenne doit être de 1 500 personnes. En fait, notre président à huit marques de supermarché, 7 à 8 000 employés, et le club c’est lui. Il n’y a pas de salons VIP, de partenaires, c’est le président qui gère tout. Je pense qu’il n’a pas envie de partager ça, c’est son petit truc à lui. Tous les partenaires sur le maillot sont des gens qui travaillent avec lui. Il a des magasins partout et ce sont des gens qui distribuent chez lui, lui distribue leurs produits. Au final, ils financent le club. C’est comme ça en Italie, il y a Benetton Trévise, c’est le patron de Segafredo qui a repris le club de Bologne qui est remonté, à Milan il y a Armani. Notre président ne fait pas d’efforts pour remplir la salle, les VIP, ce n’est pas son projet.
Schio a été 6 fois champion d’Italie ces 7 dernières années, alors on imagine qu’il n’y a pas le choix en début de saison : il faut être champion !
C’est ça. Lorsque je suis arrivé, ils avaient perdu. Le président ne parle ni anglais, ni français, moi je ne parlais pas italien, mais il m’a dit « Vincere ! Vincere ! Vincere ! (gagner) ».
En Euroleague, il y a des ambitions, des objectifs ?
Pour eux, c’est l’Italie qui compte vraiment. Ils ont les moyens de se qualifier pour le Final Four de l’Euroleague, je pense. On l’a fait avec Bourges, Sopron l’a fait, il y a une place pour les équipes qui ont un niveau économique plus faible que les autres, Prague, Koursk, Fenerbahçe et Ekaterinbourg qui est intouchable. Eux pourraient jouer ce rôle de la petite équipe en s’organisant bien mais ce n’est pas leur ambition, ils veulent gagner en Italie.
En moyens financiers, c’est à peu près au niveau de Bourges avec des charges sociales inférieures ?
C’est ça.
Sandrine Gruda a 32 ans, elle a été dominante au dernier Euro. Comment la trouvez-vous au quotidien ?
Je la connais bien, c’est un gros avantage pour moi de pouvoir la faire jouer dans son registre avec ses qualités, la faire travailler. J’ai suivi le championnat d’Europe de loin… Ce qui compte, ce n’est pas de dominer quand ça ne compte pas, c’est exister quand ça compte. C’est ce qui manque aujourd’hui à l’équipe de France, finir le travail.
Comment avez-vous été accueilli par vos confrères italiens ? Y a-t-il beaucoup de coaches étrangers ?
Je suis le seul. C’est protecteur et quand il a été question que je sois l’entraîneur de l’équipe d’Italie, il y avait quelques remarques comme quoi je ne suis pas Italien. Dans l’Histoire, il n’y a jamais eu un entraîneur qui a coaché l’équipe d’Italie qui ne soit Italien.
Chez les garçons non plus ?
Il y a eu (Bogdan) Tanjevic (1997-2001) mais pour eux il est à moitié italien (NDLR : de fait, Tanjevic, né Yougoslave, de nationalité monténégrine, possède aussi le passeport italien. ll y a eu en fait un coach étranger, l’Américain Jim McGregor de 1954 à 1956).
Vous aviez déjà été sollicité à une époque par Ekaterinbourg. Il est plus facile pour un coach français de s’exporter chez les filles que chez les garçons ?
Je ne crois pas, je crois que les dirigeants ne connaissent pas bien leur travail. Les coaches français sont sollicités à l’étranger parce que l’équipe de France gagne, elle a des médailles, alors ils prennent des entraîneurs français pour leur équipe. Ça ne devrait pas fonctionner comme ça car il y a des bons entraîneurs partout. Il faut regarder quelles sont les conditions de travail, si c’est compatible avec l’équipe, il y a tout un tas d’éléments. Souvent ce sont des gens qui ne connaissent pas bien le basket ou les entraîneurs. Il y a actuellement beaucoup de coaches espagnols dans le basket féminin européen parce que l’Espagne gagne. Comme les garçons ne gagnent pas dans le basket français, les coaches français ne sont pas sollicités. Et quand les coaches français ont été sollicités, ça s’est mal passé donc ça n’encourage pas les clubs à continuer. Non ?
Dans toute l’Histoire, dans les ligues majeures, il y en a eu trois : Robert Busnel (Real Madrid), Michel Gomez (PAOK Salonique) et Greg Beugnot (Varèse) et ça s’est mal terminé à chaque fois…
Voilà. Ça ne les encourage pas à faire le choix d’entraîneurs français. A l’étranger, on est perçu comme des charlots. Les équipes françaises dans les coupes d’Europe, celles qui compte, Euroleague et Eurocup, n’existent pas. Pareil pour les équipes nationales même si on a des médailles. On est perçu comme des gens qui ne maîtrisent pas leur sujet, qui ont des joueurs athlétiques mais qui ne sont pas bons basketteurs. Les étrangers le disent à demi-mots ou à mots complets et il n’y a que chez nous où l’on ne veut pas s’en apercevoir ou que l’on ne veut pas entendre. Après, leur analyse du basket français est partielle car ils ne connaissent pas notre organisation. Souvent on chope des gamins qui commencent à jouer très tard alors que les Serbes s’entraînent deux fois par jour à 11 ans avec de bons coaches et de bons championnats. Amara (Sy), il a commencé à Cergy à 15 ou 16 ans. Au même âge (Erazem) Lorbek pouvait faire un clinic de basket. Nos équipes ne sont pas techniquement très fortes, pas super précises tactiquement mais il y a des raisons à ça. Souvent nos joueurs commencent tard. Aujourd’hui, les jeunes Français commencent plus tôt et s’entraînent mieux et on a beaucoup plus de résultats qu’il y a dix ans. Souvent les étrangers nous prennent nos jeunes joueurs car comme à Beobasket, ils disent que l’on travaille comme des charlots et qu’ils vont nous montrer comment ils font, mais ce n’est pas si simple que ça, ils ne sortent pas que des stars. Ce n’est pas faux ce qu’ils disent mais quand on dit que les joueurs français ne sont pas très techniques, il faut essayer de voir pourquoi. Il y a des raisons à ça.
En filles c’est différent, les clubs français sont compétitifs en Euroleague, aussi la cote des coaches est plus élevée ?
Il y a ça… Je pense que dans le basket féminin comme partout, il y a un peu de machisme. Je me souviens d’être allé pendant une semaine, il y a quelques années, en Slovénie, Ljubljana, Maribor, un peu partout. Je leur avais demandé pourquoi ils n’existaient pas en filles -aujourd’hui c’est un peu mieux- et ils m’avaient répondu : « les femmes, c’est fait pour la cuisine ». Ils ne s’y intéressent pas. Après, il n’y a pas non plus beaucoup d’économie. Les Yougos s’intéressent au basket masculin car pour eux c’est une industrie. Ils sortent les gamins de chez eux à 11, 12 ans, ils les prennent dans leurs entreprises, ils les entraînent tous les jours et ils les vendent des millions à la NBA. Je me souviens d’avoir joué avec l’ASVEL le Partizan Belgrade. Ils avaient moins de moyens que la saison précédente et ils avaient mis des jeunes qui sont les stars d’aujourd’hui. Ils ont toujours eu une tradition de faire jouer les jeunes et je ne vois pas pourquoi ils en envoient autant en NCAA, ils les forment bien mieux chez eux. Peut-être ce sont des gens un peu moins talentueux qui vont en NCAA, je ne sais pas.
A suivre
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Ainsi vous êtes le nouvel entraîneur de l’équipe nationale italienne féminine ?
(Rires) J’ai été nommé avant d’avoir décidé et démis sans en avoir été informé !
Comment cela ?
Je ne suis pas le coach de l’Italie ! Pour faire simple et court, le président de la Fédération m’a téléphoné pour me demander si ça m’intéresserait de prendre l’équipe d’Italie. Je lui ai répondu de me donner deux, trois jours mais que probablement oui. Je lui ai dit qu’il fallait que je regarde en France ce que la FFBB comptait faire… Le championnat d’Europe m’a donné envie de retourner aux affaires. La France n’ayant pas le projet de changer d’entraîneur a priori, la seule équipe où je me voyais éventuellement m’investir, c’était l’Italie parce que j’ai beaucoup de joueuses qui sont soit passées soit avec moi. Je me suis dit que ça serait un vrai défi car qualifier l’Italie pour les JO, ce n’est pas pareil que qualifier la France ! Le lendemain matin, dans La Gazzetta dello Sport, rien que ça, le président fait passer un article en disant que Pierre Vincent est l’entraîneur de l’équipe d’Italie. J’ai le club qui m’appelle, je leur dis que je ne suis pas au courant ! Ça c’est la première partie. La deuxième c’est que je n’ai pas eu de contact avec le président qui était parti en Chine. J’ai pris des contacts à droite, à gauche, pour préparer le projet, contacter les joueuses, fait des entretiens, passer du temps à organiser les affaires,
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Photo d’ouverture: Sandrine Gruda et Pierre Vincent (Familia Schio)
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Je me suis dit que ça serait un vrai défi car qualifier l’Italie pour les JO, ce n’est pas pareil que qualifier la France ! Le lendemain matin, dans La Gazzetta dello Sport, rien que ça, le président fait passer un article en disant que Pierre Vincent est l’entraîneur de l’équipe d’Italie. J’ai le club qui m’appelle, je leur dis que je ne suis pas au courant ! Ça c’est la première partie. La deuxième c’est que je n’ai pas eu de contact avec le président qui était parti en Chine. J’ai pris des contacts à droite, à gauche, pour préparer le projet, contacter les joueuses, fait des entretiens, passer du temps à organiser les affaires, je voulais savoir si c’était du court ou du moyen terme, je n’avais aucune information. Et le président m’a envoyé un SMS en me disant que comme je ne lui répondais pas, il coupait les relations avec moi (rires). Donc officiellement, j’ai été nommé sans donner mon accord et j’ai été licencié sans avoir été embauché.\n\nC’est une méthode à laquelle on n’est pas habitué en France ?\n\nNon. Nous, c’est un peu plus carré et je passe les détails, il y a plein d’anecdotes. Si je m’engageais là, ça m’obligeait à rester dans le basket féminin et en Italie pendant un moment, alors que là, si je ne fais pas ça, je ferai autre chose, ça m’ouvre plus d’opportunités derrière.\n\nLa dernière médaille à l’Euro de l’Italie remonte à 1995 et elle a été éliminée cet été en 8ede finale mais pendant le même temps, les U18 et les U20 ont été championnes d’Europe, c’est un socle solide pour un nouveau départ ?\n\nNon. En fait, c’est du trompe l’œil. L’éducation du basket en Italie n’est pas mauvaise et le gros avantage qu’ils ont c’est que les jeunes joueuses à 15-16 ans jouent en première division en A2 ou A1. On a joué à Vigarano ce week-end et il y en a trois qui ont été championnes d’Europe cet été mais sinon peut-être une et ce n’est pas sûr, les deux autres ne pourront pas jouer en équipe d’Italie senior. Donc elles bénéficient du fait d’avoir un niveau d’opposition élevé tous les jours, à l’entraînement et en match.\n\nÇa permet donc une maturité plus précoce ?\n\nOui, j’ai vu par exemple la finale contre la Russie en U20. La joueuse qui est élue MVP (NDLR : Sara Madera), jamais elle ne pourra jouer en équipe d’Italie seniors. Je peux m’engager en y mettant la moitié d’un bras. C’est un poste 4-5 qui joue en première division depuis un petit moment, une bonne joueuse, qui passe bien la balle, qui tire, qui joue juste, mais qui est petite pour le poste (1,86m), lourde.\n\nPlus généralement, pourquoi l’Italie n’est plus compétitive au niveau de son équipe nationale ? C’est une question de qualité de joueuses ?\n\nIl n’y en a pas beaucoup mais il y a quelques très bonnes joueuses. Ce sont des attaquantes. Historiquement, les meilleures joueuses italiennes étaient à Schio et depuis deux ans, elles n’y sont plus. On avait par exemple (Cecilia) Zandalasini, la meilleure joueuse italienne actuellement, qui est partie à Fenerbahçe. Il y a Elisa Penna, qui est une très bonne joueuse. Ils ont signé une Australienne (Nicole Romeo), qui ne parle pas italien mais qui a le passeport italien. Avec Giorgia Sottana, ça fait quatre joueuses qui marquent des paniers. C’est le premier point. Au niveau des postes 2, 3, 4, ils sont bien avec de la taille, des défenseurs, une bonne culture de jeu. Ce qui leur manque c’est le poste 1. J’ai à Schio Francesca Dotto qui est une bonne joueuse défensive, de niveau international, mais qui en attaque est assez juste. Et surtout ils n’ont pas de pivots et jouer au basket sans pivot, ce n’est pas simple. J’ai dans mon équipe deux joueuses qui sont dans l’équipe italienne. Olbis Andre, qui a 20 ans et qui est une quasi débutante, est d’origine ougandaise, elle a grandi là mais elle n’a pas pu faire les équipes nationales quand elle était jeune et elle n’est pas tombée avec de bons entraîneurs, elle n’est pas capable de mettre un tir, de finir près du cercle. Elle a un peu le physique d’Emmeline Ndongue, intelligente, travailleuse mais avec beaucoup de retard. L’autre, c’est Jasmine Keys, qui a 22 ans, qui n’est pas du niveau international non plus. La dernière qu’ils avaient, c’est Kathrin Ress, la sœur de Tomas Ress, qui a joué à Sienne. Elle a fait une longue carrière internationale, 15 ans. C’était la seule pivot, qui a bouché les vides. C’est pour ça que, pour moi, c’était un vrai défi de partir dans cette aventure.\n\nEn résumé, les deux médailles d’or en jeune cet été ne change pas fondamentalement la donne ?\n\nNon, pas forcément. Il y a une bonne culture car les gamines s’entraînent pas mal. A Schio, elles ont l’école le matin et elles s’entraînent ensuite tous les jours. Ils ont des coaches, le basket est assez organisé. Par contre, cette gamine qui est MVP du championnat d’Europe U20 aurait dû être un poste 3 et ils la font jouer en poste 4. Avec l’expérience qu’elle a, elle arrive à faire illusion un moment mais elle ne sera jamais internationale A. Caterina Gilli en U18 (NDLR : dans le 5 all-Star à l’Euro) ne pourra pas jouer car c’est un poste 3, qui a un bon toucher, une bonne connaissance de jeu, mais elle est un peu lourde et elle ne pourra pas jouer au plus haut niveau. C’est de leur responsabilité, de faire jouer des joueuses qui sont à maturité mais qui ne serviront à rien pour l’équipe nationale, mais comme tout le monde s’en fout, ils ont des médailles, ils sont contents… Pour clore le débat : je pense que dans l’avenir ils pourront être pas mal car les deux gamines qui sont avec moi sont jeunes et pourront être confrontées au plus haut niveau et elles vont prendre de l’expérience, et une autre qui est aux Etats-Unis, Lorela Cubaj qui a plus de maturité et de basket, mais elle n’a que 20 ans. Là, oui, il y a une base d’intérieures qui n’est pas mal. Donc, oui, l’avenir de l’Italie est pas mal mais pas du fait qu’elle a eu deux titres cet été.\n\n« Il n’y a pas de salons VIP, de partenaires, c’est le président qui gère tout. Je pense qu’il n’a pas envie de partager ça, c’est son petit truc à lui »\n\nComment est la vie à Schio ? C’est une petite ville ?\n\n40 000 habitants. Nous, on s’y régale. C’est à une heure de Vérone, de Venise, c’est à côté de Trente, de Padoue.\n\nL’Autriche est proche également ?\n\nIl y a Bolzano. Ce n’est pas l’Autriche c’est le Tyrol. Dans cette partie haute de l’Italie, ils ne se sentent ni Italiens ni Autrichiens mais Tyroliens. Dans les rues, ils parlent plus allemand qu’italien.\n\nLa Slovénie et la Croatie ne sont pas très loin non plus ?\n\nLa Slovénie, c’est à deux heures par Trieste. On a une Slovène, Eva Lisec, qui met deux, trois heures pour rentrer chez elle.\n\nVous avez appris l’italien. C’est indispensable pour coacher en Italie ?\n\nAbsolument pas mais si j’ai fait le choix de partir en Italie c’est d’abord pour ça. Apprendre une nouvelle langue, m’approprier un peu la culture, pouvoir échanger, comprendre leur monde, qui ils sont, comment ils vivent. Au bout d’un mois, je parlais italien.\n\nVous parlez également espagnol ?\n\nCe qui est étonnant c’est que l’italien, je n’en parlais pas un mot avant d’arriver ici et par contre je parlais espagnol. Je dois avoir un cerveau qui est un peu moins jeune, un peu moins vif car je n’arrive plus à parler espagnol. Mon fils travaille en Espagne, je m’y rends, je comprends parfaitement mais pour parler j’ai besoin de me concentrer, être attentif, parler doucement parce que tout sort en italien. Ça m’arrive même en français, moins évidemment, de sortir des mots italiens. Si je restais immergé un mois en Espagne, ça irait, mais là c’est assez bizarre.\n\nDans l’équipe, vous parlez italien ou anglais ?\n\nItalien. Sauf que là, une Américaine est arrivée donc pour les préparations de match, je fais pas mal en anglais. Les années précédentes, je ne faisais qu’italien car les filles parlaient toutes italien. Isa (Yacoubou) le parlait mieux que moi, Endy (Miyem) comprenait. Ça a fait rire un journaliste car il me disait que tous les coaches italiens parlaient anglais alors que moi qui suis français, je parle italien pendant les temps-morts.\n\nVincenza a dominé le basket européen il y a une trentaine d’années et c’est tout proche de Schio. Cela veut dire que c’est une terre fertile pour le basket féminin ?\n\nLe basket est traditionnellement fort dans la Vénétie. Avec Venise et San Martino, il y a trois des meilleures équipes italiennes qui sont dans le Vénétie. Avec la Lombardie ce sont les deux terres de basket féminin. Le patron du club de Schio possède une grosse chaîne de distribution qui est ici, donc je pense qu’il n’y a pas de relations avec Vincenza.\n\nPour les matches d’Euroleague, il n’y a pas beaucoup de monde dans la salle. C’est lui qui soutient le club à bout de bras ?\n\nOn remplit pour les gros événements, les finales de championnat. Le basket féminin n’est pas super populaire, les Italiens sont un peu machos sur les bords. On était pareil en France mais ça l’est moins. La présence moyenne doit être de 1 500 personnes. En fait, notre président à huit marques de supermarché, 7 à 8 000 employés, et le club c’est lui. Il n’y a pas de salons VIP, de partenaires, c’est le président qui gère tout. Je pense qu’il n’a pas envie de partager ça, c’est son petit truc à lui. Tous les partenaires sur le maillot sont des gens qui travaillent avec lui. Il a des magasins partout et ce sont des gens qui distribuent chez lui, lui distribue leurs produits. Au final, ils financent le club. C’est comme ça en Italie, il y a Benetton Trévise, c’est le patron de Segafredo qui a repris le club de Bologne qui est remonté, à Milan il y a Armani. Notre président ne fait pas d’efforts pour remplir la salle, les VIP, ce n’est pas son projet.\n\nSchio a été 6 fois champion d’Italie ces 7 dernières années, alors on imagine qu’il n’y a pas le choix en début de saison : il faut être champion !\n\nC’est ça. Lorsque je suis arrivé, ils avaient perdu. Le président ne parle ni anglais, ni français, moi je ne parlais pas italien, mais il m’a dit « Vincere ! Vincere ! Vincere ! (gagner) ».\n\nEn Euroleague, il y a des ambitions, des objectifs ?\n\nPour eux, c’est l’Italie qui compte vraiment. Ils ont les moyens de se qualifier pour le Final Four de l’Euroleague, je pense. On l’a fait avec Bourges, Sopron l’a fait, il y a une place pour les équipes qui ont un niveau économique plus faible que les autres, Prague, Koursk, Fenerbahçe et Ekaterinbourg qui est intouchable. Eux pourraient jouer ce rôle de la petite équipe en s’organisant bien mais ce n’est pas leur ambition, ils veulent gagner en Italie.\n\nEn moyens financiers, c’est à peu près au niveau de Bourges avec des charges sociales inférieures ?\n\nC’est ça.\n\nSandrine Gruda a 32 ans, elle a été dominante au dernier Euro. Comment la trouvez-vous au quotidien ?\n\nJe la connais bien, c’est un gros avantage pour moi de pouvoir la faire jouer dans son registre avec ses qualités, la faire travailler. J’ai suivi le championnat d’Europe de loin… Ce qui compte, ce n’est pas de dominer quand ça ne compte pas, c’est exister quand ça compte. C’est ce qui manque aujourd’hui à l’équipe de France, finir le travail.\n\nComment avez-vous été accueilli par vos confrères italiens ? Y a-t-il beaucoup de coaches étrangers ?\n\nJe suis le seul. C’est protecteur et quand il a été question que je sois l’entraîneur de l’équipe d’Italie, il y avait quelques remarques comme quoi je ne suis pas Italien. Dans l’Histoire, il n’y a jamais eu un entraîneur qui a coaché l’équipe d’Italie qui ne soit Italien.\n\nChez les garçons non plus ?\n\nIl y a eu (Bogdan) Tanjevic (1997-2001) mais pour eux il est à moitié italien (NDLR : de fait, Tanjevic, né Yougoslave, de nationalité monténégrine, possède aussi le passeport italien. ll y a eu en fait un coach étranger, l’Américain Jim McGregor de 1954 à 1956).\n\nVous aviez déjà été sollicité à une époque par Ekaterinbourg. Il est plus facile pour un coach français de s’exporter chez les filles que chez les garçons ?\n\nJe ne crois pas, je crois que les dirigeants ne connaissent pas bien leur travail. Les coaches français sont sollicités à l’étranger parce que l’équipe de France gagne, elle a des médailles, alors ils prennent des entraîneurs français pour leur équipe. Ça ne devrait pas fonctionner comme ça car il y a des bons entraîneurs partout. Il faut regarder quelles sont les conditions de travail, si c’est compatible avec l’équipe, il y a tout un tas d’éléments. Souvent ce sont des gens qui ne connaissent pas bien le basket ou les entraîneurs. Il y a actuellement beaucoup de coaches espagnols dans le basket féminin européen parce que l’Espagne gagne. Comme les garçons ne gagnent pas dans le basket français, les coaches français ne sont pas sollicités. Et quand les coaches français ont été sollicités, ça s’est mal passé donc ça n’encourage pas les clubs à continuer. Non ?\n\nDans toute l’Histoire, dans les ligues majeures, il y en a eu trois : Robert Busnel (Real Madrid), Michel Gomez (PAOK Salonique) et Greg Beugnot (Varèse) et ça s’est mal terminé à chaque fois…\n\nVoilà. Ça ne les encourage pas à faire le choix d’entraîneurs français. A l’étranger, on est perçu comme des charlots. Les équipes françaises dans les coupes d’Europe, celles qui compte, Euroleague et Eurocup, n’existent pas. Pareil pour les équipes nationales même si on a des médailles. On est perçu comme des gens qui ne maîtrisent pas leur sujet, qui ont des joueurs athlétiques mais qui ne sont pas bons basketteurs. Les étrangers le disent à demi-mots ou à mots complets et il n’y a que chez nous où l’on ne veut pas s’en apercevoir ou que l’on ne veut pas entendre. Après, leur analyse du basket français est partielle car ils ne connaissent pas notre organisation. Souvent on chope des gamins qui commencent à jouer très tard alors que les Serbes s’entraînent deux fois par jour à 11 ans avec de bons coaches et de bons championnats. Amara (Sy), il a commencé à Cergy à 15 ou 16 ans. Au même âge (Erazem) Lorbek pouvait faire un clinic de basket. Nos équipes ne sont pas techniquement très fortes, pas super précises tactiquement mais il y a des raisons à ça. Souvent nos joueurs commencent tard. Aujourd’hui, les jeunes Français commencent plus tôt et s’entraînent mieux et on a beaucoup plus de résultats qu’il y a dix ans. Souvent les étrangers nous prennent nos jeunes joueurs car comme à Beobasket, ils disent que l’on travaille comme des charlots et qu’ils vont nous montrer comment ils font, mais ce n’est pas si simple que ça, ils ne sortent pas que des stars. Ce n’est pas faux ce qu’ils disent mais quand on dit que les joueurs français ne sont pas très techniques, il faut essayer de voir pourquoi. Il y a des raisons à ça.\n\nEn filles c’est différent, les clubs français sont compétitifs en Euroleague, aussi la cote des coaches est plus élevée ?\n\nIl y a ça… Je pense que dans le basket féminin comme partout, il y a un peu de machisme. Je me souviens d’être allé pendant une semaine, il y a quelques années, en Slovénie, Ljubljana, Maribor, un peu partout. Je leur avais demandé pourquoi ils n’existaient pas en filles -aujourd’hui c’est un peu mieux- et ils m’avaient répondu : « les femmes, c’est fait pour la cuisine ». Ils ne s’y intéressent pas. Après, il n’y a pas non plus beaucoup d’économie. Les Yougos s’intéressent au basket masculin car pour eux c’est une industrie. Ils sortent les gamins de chez eux à 11, 12 ans, ils les prennent dans leurs entreprises, ils les entraînent tous les jours et ils les vendent des millions à la NBA. Je me souviens d’avoir joué avec l’ASVEL le Partizan Belgrade. Ils avaient moins de moyens que la saison précédente et ils avaient mis des jeunes qui sont les stars d’aujourd’hui. Ils ont toujours eu une tradition de faire jouer les jeunes et je ne vois pas pourquoi ils en envoient autant en NCAA, ils les forment bien mieux chez eux. Peut-être ce sont des gens un peu moins talentueux qui vont en NCAA, je ne sais pas.\n\nA suivre\n\nx\n\n[armelse]\n\nAinsi vous êtes le nouvel entraîneur de l’équipe nationale italienne féminine ?\n\n(Rires) J’ai été nommé avant d’avoir décidé et démis sans en avoir été informé !\n\nComment cela ?\n\nJe ne suis pas le coach de l’Italie ! Pour faire simple et court, le président de la Fédération m’a téléphoné pour me demander si ça m’intéresserait de prendre l’équipe d’Italie. Je lui ai répondu de me donner deux, trois jours mais que probablement oui. Je lui ai dit qu’il fallait que je regarde en France ce que la FFBB comptait faire… Le championnat d’Europe m’a donné envie de retourner aux affaires. La France n’ayant pas le projet de changer d’entraîneur a priori, la seule équipe où je me voyais éventuellement m’investir, c’était l’Italie parce que j’ai beaucoup de joueuses qui sont soit passées soit avec moi. Je me suis dit que ça serait un vrai défi car qualifier l’Italie pour les JO, ce n’est pas pareil que qualifier la France ! Le lendemain matin, dans La Gazzetta dello Sport, rien que ça, le président fait passer un article en disant que Pierre Vincent est l’entraîneur de l’équipe d’Italie. J’ai le club qui m’appelle, je leur dis que je ne suis pas au courant ! Ça c’est la première partie. La deuxième c’est que je n’ai pas eu de contact avec le président qui était parti en Chine. J’ai pris des contacts à droite, à gauche, pour préparer le projet, contacter les joueuses, fait des entretiens, passer du temps à organiser les affaires,\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture: Sandrine Gruda et Pierre Vincent (Familia Schio)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/pierre-vincent-et-sandrine-gruda-e1573205833688.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-14T04:20:06.000Z", "updated_at":"2019-11-14T06:56:45.000Z", "published_at":"2019-11-14T04:20:06.000Z", "custom_excerpt":"Schématiquement, Pierre Vincent, 55 ans, a connu quatre étapes. 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Alors que DaJuan Summers est toujours éloigné des parquets, Boulogne-Levallois a pris la décision de prolonger le contrat de son pigiste médical Dont Smith (2,01m, 35 ans) jusqu’à la fin de la saison.
L’ailier américain avait réalisé une excellente saison 2018-19 avec Pau (16,1 d’évaluation) et il n’est pas étranger au départ canon des Metropolitans (8 victoires de suite avant une défaite au Portel) assurant 8,9 points, 5,0 passes et 3,6 rebonds en 28′ par match.
Photo: Metropolitans 92
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L’entraîneur très spécial qui a pris la responsabilité de réunir les joueurs et qui est à la tête de l’équipe qui a pour mission de sauver la Terre de la crise n’est autre que Tony Parker, alias Le Maître.
« Nous espérons que les fans apprécieront cette série et que leurs héros de basket seront transformés en super-héros. Nous voulions nous éloigner de la routine et leur présenter quelque chose de nouveau et de surprenant et je crois que cette série y parviendra », a déclaré Alex Ferrer Kristjansson, le Directeur Marketing et Communication de l’Euroleague. « Si vous regardez les ventes au box-office de tous les temps à travers le monde, quatre des 10 meilleurs films sont des franchises de super-héros. Bien sûr, les fans de basket-ball ne font pas exception à la règle et, si on regarde leurs intérêts, la bande dessinée et l’animation occupent une place très importante. Enfin, les stars de l’Euroleague sont des rôle models. Il était donc logique de créer notre propre équipe HeroLeague! «
Mal en point en Ligue Féminine (une seule victoire en cinq journées), Charleville fait venir l’ailière américaine 3-4, Shae Kelley (1,85m, 28 ans). Cette recrue est inspirée par la blessure au genou de sa compatriote Katie-Lou Samuelson retournée pour se soigner aux Etats-Unis et qui au mieux ne sera pas disponible avant la mi-décembre, et aussi de la Brésilienne Nadia Colhado victime d’une lésion musculaire.
» C’est une joueuse agressive balle en main et notamment vers le cercle. Elle est capable de défendre fort dans les ailes et d’assurer une polyvalence sur les postes 3-4. C’est un profil que nous n’avions jamais retrouvé depuis Kadidia Minté » commente le coach Romuald Yernaux sur le site du club.
Après des expériences en Pologne, Espagne et Porto-Rico, l’ancienne joueuse de Old Dominion était depuis 2016 en Israël où elle a cumulé en 67 matches 20,2 points et 11 rebonds.
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« Son état d’esprit irréprochable et l’avalanche de blessures (NDLR: l’autre meneur Antoine Eito est mis deux semaines au repos en raison d’une inflammation au genou) qui affecte le groupe depuis la reprise du championnat ont incité le club à le conserver pour renforcer l’équipe et pallier toute absence potentielle. Une fois Brandon Taylor réactivé, Dounia Issa et son staff disposeront de sept étrangers », explique le club sur son site internet.
Taurean Green tourne à 9,1 points et 4,9 passes en 7 matches.
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» Sherman est un joueur d’expérience qui connaît très bien la Pro B, notamment avec Fos Provence. Il a 37 ans mais a encore de belles années devant lui », estime le coach Jean-Marc Dupraz. « Il suffit de regarder ses productions en Allemagne. A l’origine, c’est un 3/4 mais avec le temps, il a glissé vers le poste de pivot. C’est un bon finisseur qui ne force rien. Il a un jeu très propre et des pourcentages élevés, ca m’a beaucoup plu. Il a aussi un gros sens du rebond. Il joue pour l’équipe et va se fondre dans celle-ci. C’est un vrai bonus et nous avons souhaité le signer jusqu’à la fin de saison. »", "comment_id":"484615", "plaintext":"Suite à la blessure de son intérieur Mouhamed Barro victime d’une rupture d’un ligament croisé du genou, Lille fait appel à Sherman Gay (2,01m, 37 ans), un Américain au passeport jamaïcain, qui est passé par plusieurs clubs français (Bourg, Le Havre, Fos Sur Mer, Le Portel, Saint-Quentin et Vichy), et qui évoluait ces deux dernières saisons en Allemagne à Crailsheim.\n\n» Sherman est un joueur d’expérience qui connaît très bien la Pro B, notamment avec Fos Provence. Il a 37 ans mais a encore de belles années devant lui », estime le coach Jean-Marc Dupraz. « Il suffit de regarder ses productions en Allemagne. A l’origine, c’est un 3/4 mais avec le temps, il a glissé vers le poste de pivot. C’est un bon finisseur qui ne force rien. Il a un jeu très propre et des pourcentages élevés, ca m’a beaucoup plu. Il a aussi un gros sens du rebond. Il joue pour l’équipe et va se fondre dans celle-ci. C’est un vrai bonus et nous avons souhaité le signer jusqu’à la fin de saison. »", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/sherman-gay.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-13T08:37:44.000Z", "updated_at":"2019-11-13T08:38:21.000Z", "published_at":"2019-11-13T08:37:44.000Z", "custom_excerpt":"Suite à la blessure de son intérieur Mouhamed Barro victime d’une rupture d’un ligament croisé du genou, Lille fait appel à Sherman Gay (2,01m, 37 ans), un Américain au passeport jamaïcain, qui est passé par plusieurs clubs français (Bourg, Le Havre, Fos Sur Mer, Le Portel, Saint-Quentin et Vichy), ", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d9574", "uuid":"dc31d05d-6dbe-4cf2-92a2-7eb013656177", "title":"BCL: Dijon perd son invincibilité, pas sa première place", "slug":"bcl-dijon-perd-son-invincibilite-pas-sa-premiere-place", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.bienpublic.com/sport-local/2019/11/12/legname-(jda-dijon)-on-a-commence-le-match-5-minutes-trop-tard\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec sa première défaite en 5 journées, à Saragosse (75-60), la JDA Dijon n’est plus invaincue en BCL mais demeure seule en tête du groupe D.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Espagnols sont entrés de façon beaucoup plus intenses sur le terrain et menaient déjà 19-6 après cinq minutes. Le plus gros écart a été constaté à 44-28. Aucun Dijonnais n’a obtenu plus de 8 à l’évaluation et cette fois le meneur David Holston (12 points à 4/12 aux tirs, 4 balles perdues) n’a pas sauvé la JDA. En face, l’intérieur du Monténégro Nemanja Radovic (2,08m, 28 ans) a réussi un double double avec 17 points et 12 rebonds.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Bravo à Saragosse qui a attaqué le match de manière idéale », a déclaré le coach Laurent Legname, des propos repris dans \"],[0,[0],1,\"Le Bien Public.\"],[0,[],0,\" « Nous, on a démarré cinq minutes trop tard, et on l’a payé cash en encaissant 19 points en 5 minutes. Bien sûr, la qualité de Saragosse peut expliquer certains tirs ratés, mais il n’y a pas que ça. Il y a des lay ups ratés, des trois points ouverts, des deux points dans des intervalles… »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pourtant le coach dijonnais n’a pas vu que du négatif dans la soirée:\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« C’était un vrai bon match européen, et j’ai apprécié la combativité de mon équipe sur les 35 dernières minutes, où on laisse Saragosse à 45 points. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: Rasheed Sulaimon (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Avec sa première défaite en 5 journées, à Saragosse (75-60), la JDA Dijon n’est plus invaincue en BCL mais demeure seule en tête du groupe D.
Les Espagnols sont entrés de façon beaucoup plus intenses sur le terrain et menaient déjà 19-6 après cinq minutes. Le plus gros écart a été constaté à 44-28. Aucun Dijonnais n’a obtenu plus de 8 à l’évaluation et cette fois le meneur David Holston (12 points à 4/12 aux tirs, 4 balles perdues) n’a pas sauvé la JDA. En face, l’intérieur du Monténégro Nemanja Radovic (2,08m, 28 ans) a réussi un double double avec 17 points et 12 rebonds.
« Bravo à Saragosse qui a attaqué le match de manière idéale », a déclaré le coach Laurent Legname, des propos repris dans Le Bien Public. « Nous, on a démarré cinq minutes trop tard, et on l’a payé cash en encaissant 19 points en 5 minutes. Bien sûr, la qualité de Saragosse peut expliquer certains tirs ratés, mais il n’y a pas que ça. Il y a des lay ups ratés, des trois points ouverts, des deux points dans des intervalles… »
Pourtant le coach dijonnais n’a pas vu que du négatif dans la soirée:
« C’était un vrai bon match européen, et j’ai apprécié la combativité de mon équipe sur les 35 dernières minutes, où on laisse Saragosse à 45 points. »
Photo: Rasheed Sulaimon (FIBA)
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Ilkan Karaman est un poste 4 et 5 gaucher, qui a été drafté en 2012 au 2e tour (57e choix) par les Brooklyn Nets et qui a fait jusqu’ici toute sa carrière en Turquie, à Bursa, Karsiyaka, à Fernerbahce, Acibadem, au Istanbul BB, à Büyükçekmece et de nouveau au Pinar Karsiyaka la saison dernière.
La saison dernière au Pinar Karsiyaka SK Izmir, où il faisait partie du 5 majeur, il a réalisé 8,9 points et 5,4 rebonds en 28 matches de BSL et 9,3 points et 5,3 rebonds en 15 matches de Fiba Europe Cup.
Il a joué pour la Turquie les qualifications à l’Euro 2013.
Darius Maskoliūnas, 48 ans, entraîneur adjoint au Žalgiris Kaunas, est désormais le coach de l’équipe nationale lituanienne.
Hier a eu lieu à Kaunas une réunion du comité exécutif de la Fédération lituanienne au cours de laquelle Darius Maskoliūnas a été largement élu. Il avait la préférence du président de la fédération Arvydas Sabonis, alors que l’autre candidat, Antanas Sireikas, avait celle de l’association des entraîneurs. Il n’y a pas eu photo puisque Darius Maskoliūnas a bénéficié de 13 voix et son rival d’une seule.
Au préalable, comme joueur, Darius Maskoliūnas a gagné l’Euroleague avec le Žalgiris en 1999 et la médaille de bronze olympique avec l’équipe nationale à Sydney en 2000. Il a été coach au Lietuvos Rytas et à Sopot en Pologne. Il était aussi entraîneur adjoint aux Euros de 2013 et 2015 où la Lituanie a remporté l’argent.
Pour le nouveau stratège, le premier défi se présentera en février de l’année prochaine lorsque l’équipe lituanienne sera engagée dans les qualifications au Championnat d’Europe 2021. Elle rencontrera la Belgique le 21 février et la République Tchèque le 24 février. Le deuxième rendez-vous aura lieu du 23 au 28 juin avec le tournoi de qualification olympique.
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La 34ème édition du all-Star Game LNB, qui aura pour cadre pour la 17ème fois l’AccorHotels Arena de Paris-Bercy, se tiendra le dimanche 29 décembre prochain.
Un processus de sélection des 24 All-Stars en 3 étapes
I) 2 joueurs désignés par le public :
Dès aujourd’hui et jusqu’au 29 novembre à minuit, le public a la possibilité de voter sur mesallstars.fr pour élire son « All Star Français » et son « All Star Monde » (tous deux choisis parmi tous les joueurs actifs de Jeep® ÉLITE, sous réserve d’un temps de jeu moyen minimum de 15 minutes et ayant disputé la moitié des matches + 1 de leur équipe depuis le début de la saison 2019-2020).
Le « All Star Français » et le « All Star Monde » ayant reçu le plus grand nombre de votes du public seront sélectionnés pour le All Star Game LNB.
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II) 10 joueurs désignés par les rédactions de RMC SPORT :
La rédaction basket de RMC SPORT se chargera quant à elle de récompenser et de sélectionner leurs « Cinq All Stars Français » et « Cinq All Stars Monde » suivant leurs performances réalisées lors des 11 premières journées du Championnat de France Jeep® ÉLITE (les journées 8 et 10 non terminées à la date du Jury ne seront pas prises en compte).
Les 5 « All Stars Français » et les 5 « All Stars Monde » ayant reçu le plus grand nombre de désignations (3 Extérieurs / 2 Intérieurs) seront sélectionnés pour le All Star Game LNB.
A noter que dans le cas de doublons, plus précisément, si les 2 All Stars préférés du public font également partie des 10 joueurs sélectionnés par la rédaction RMC SPORT, ce seront les 2 suivants au classement poste pour poste qui seront sélectionnés.
III) 12 joueurs désignés par un jury d’experts :
Le 3 décembre, après 11 journées de championnat, ce sera un jury d’experts (composé de représentants de la presse spécialisée et des instances du basket français) qui se réunira pour :
1. Statuer sur les éventuels ex æquo dans le classement des désignations des « Cinq de la rédaction basket de RMC SPORT ».
2. Compléter les sélections en désignant les 6 autres « All Stars Français » et les 6 autres « All Stars Monde ».
3. Désigner les deux « Cinq de Départ » qui débuteront la rencontre.
4. Désigner les participants aux concours de meneurs de jeu et de tirs à 3 points
IV) Les entraîneurs désignés à partir de leurs bilans :
Les Entraîneurs des « All Stars Français » et « All Stars Monde » sont désignés en fonction du meilleur bilan à l’issue 11 premières journées du Championnat de France Jeep® ÉLITE (les journées 8 et 10 non terminées à la date du Jury ne seront pas prises en compte).
Le coach avec le meilleur bilan de Jeep® ELITE dirigera les « All Stars Français », le coach au second meilleur bilan dirigera les « All Stars Monde».
Les Assistants sont désignés parmi les deux coaches qui auront le meilleur bilan de PRO B après 8 journées. Le meilleur sera assistant des « All Stars Monde », le second sera avec les « All Stars Français ».
| INFOS BILLETTERIE Tarifs Catégorie 4 : 19 euros Catégorie 3 : 26 euros Catégorie 2 : 37 euros Catégorie 1 : 49 euros Carré Or : 75 euros Renseignements packages VIP au 01 82 83 07 26 ou contact@sportplusconseil.com |
| Par internet Accorhotelsarena.com – fnac.com – ticketmaster.fr – digitick.com Points de ventes habituels Fnac – Auchan – Carrefour – E-Leclerc – Galeries Lafayettes – Cultura – Cora |
Après une nouvelle médaille en compétition internationale, la cinquième en huit ans, le contingent français continue de s’exporter sur le Vieux Continent.
Fort de vingt-huit joueurs répartis sur dix pays (soit deux joueurs de plus par rapport à l’an passé), les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment 9 joueurs dans le championnat espagnol, la référence et 6 en Turquie, un record pour nos Bleus.
De la Turquie à l’Espagne, de l’Allemagne au Monténégro en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.
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Encore capot avec son club russe d’Avtodor, Mam Jaiteh a dû attendre son 5e match avant de connaître son premier succès. L’intérieur francilien n’a cependant pas manqué l’occasion en répondant avec un double double à 12 points et 12 rebonds et une évaluation record à 23.
Ça gagne aussi pour Andrew Albicy et le Zenit qui ont vaincu Enisey avec un petit match du meneur tricolore : 5 points, 4 passes.
C’est le joueur le plus constant au plus haut niveau en Espagne. Après avoir égalé son record de saison à 27 points la semaine dernière, Axel Bouteille a encore atteint la barre des 20 points ce weekend avec Bilbao. Si ça n’a pas suffi pour engranger une 5e victoire, Bouteille confirme semaine après semaine son nouveau statut de gâchette dans la ligue la plus relevée du Vieux Continent.
A ses côtés, Jonathan Rousselle (6 points, 7 passes) a réussi son meilleur total de passes en Liga. Bilbao figure à la 7e place du classement à 4 victoires pour autant de défaites.
Pendant ce temps-là, le Real Madrid a engrangé une 8e victoire en 8 matchs en battant Malaga. Après Vitoria la semaine passée, le Real écrase tout ce qui se présente sur son passage, Fabien Causeur apportant 5 points ce weekend, soit autant qu’Axel Toupane pour Malaga.
On soulignera également la très belle prestation de Louis Labeyrie qui cumule 10 points et 8 rebonds, à 5/5 aux tirs. Déjà parfait aux tirs la semaine dernière (3/3), Labeyrie semble monter en puissance… mais son club de Valence galère sur les deux tableaux : 3 victoires en 8 matchs en Liga et 1 victoire en 7 matchs en Euroleague.
Encore à 6 victoires en 6 matchs le weekend dernier, Karşıyaka a enfin mordu la poussière face à Bahcesehir. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé pour Amath M’Baye qui termine à 18 points et 9 rebonds dans cette défaite sur le fil.
Par ailleurs, Rodrigue Beaubois a également fait trembler les filets ce week-end avec l’Efes Istanbul. L’ancien Choletais termine à 17 points, son meilleur total de la saison et son équipe (comme le Fener) revient à égalité au sommet du classement (6 victoires – 1 défaite).
Alors que Nando De Colo a été laissé au repos, Joffrey Lauvergne (10 points, 6 rebonds, 6 passes) et Léo Westermann (8 points) étaient quant à eux sur le pont pour enchaîner une nouvelle victoire, face à Besiktas. Fort de 6 succès en championnat, le Fener serait-il enfin lancé cette saison ?
Après son premier double double de la saison la semaine passée, Killian Hayes a de nouveau été plutôt bon individuellement avec 15 points, 6 passes, plus 3 rebonds et 3 interceptions, mais son club d’Ulm continue de faire du sur place en Bundesliga : 1 victoire en 6 matchs !
Killian Hayes (Ulm) : 15 points (5/13 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 3 interceptions, 3 balles perdues pour 10 d’évaluation en 28 minutes (défaite 82-73 face à Würzburg)
Mathias Lessort (Munich) : n’a pas joué
Malcolm Cazalon (Louvain) : 7 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 11 d’évaluation en 23 minutes (défaite 91-83 face à Charleroi)
Jonathan Jeanne (Randers) : 22 points (8/15 aux tirs), 9 rebonds, 2 interceptions, 1 contre, 3 balles perdues pour 22 d’évaluation en 27 minutes (victoire 102-91 face à Vaerlose)
Axel Bouteille (Bilbao) : 20 points (8/15 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception pour 19 d’évaluation en 28 minutes (défaite 97-90 face à Gran Canaria)
Louis Labeyrie (Valence) : 10 points (5/5 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 2 interceptions pour 19 d’évaluation en 30 minutes (défaite 97-95 a.p. face à Murcia)
Jonathan Rousselle (Bilbao) : 6 points (2/3 aux tirs), 7 passes, 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 18 minutes (défaite 97-90 face à Gran Canaria)
Axel Toupane (Malaga) : 5 points (2/6 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 20 minutes (défaite 82-71 face au Real)
Fabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/3 aux tirs), 1 rebond, 1 interception en 8 minutes (victoire 82-71 face à Malaga)
Bandja Sy (Andorre) : 5 points (1/3 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 15 minutes (victoire 87-79 face à Estudiantes)
Youssoupha Fall (Vitoria) : 2 points (1/1 au tir), 3 rebonds, 1 balle perdue en 10 minutes (victoire 92-79 face à Obradoiro)
Lahaou Konaté (Ténérife) : 0 point en 5 minutes (victoire 85-82 face à Burgos)
Thomas Heurtel (Barcelone) : blessé
Frédéric Bourdillon (Rishon LeZion) : prochain match le 17 novembre
Kevin Cham (Nevezis) : 5 points (2/7 aux tirs), 6 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 68-65 face à Rytas)
Tom Digbeu (Prienai) : n’a pas joué
David Mpondo Ekoume (Lovcen) : n’a pas joué – blessé
Aaron Cel (Torun) : 9 points (2/7 aux tirs), 7 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue pour 14 d’évaluation en 24 minutes (victoire 80-65 face à Gdynia)
Mathieu Wojciechowski (Wroclaw) : 5 points (0/6 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 contres, 1 interception, 1 balle perdue en 25 minutes (défaite 87-71 face à Sopot)
Mam Jaiteh (Saratov) : 12 points (5/7 aux tirs), 12 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues pour 23 d’évaluation en 30 minutes (victoire 100-90 face à Kalev)
Andrew Albicy (St Pétersbourg) : 5 points (1/3 aux tirs), 4 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 23 minutes (victoire 89-80 face à Enisey)
Amath M’Baye (Karşıyaka) : 18 points (6/13 aux tirs), 9 rebonds, 1 passe, 1 contre pour 20 d’évaluation en 33 minutes (défaite 72-70 face à Bahcesehir)
Rodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 17 points (7/15 aux tirs), 2 passes, 1 contre pour 13 d’évaluation en 30 minutes (victoire 88-83 face à Gaziantep)
Joffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 10 points (4/7 aux tirs), 6 rebonds, 6 passes, 1 contre, 2 balles perdues pour 19 d’évaluation en 24 minutes (victoire 84-80 face à Besiktas)
Léo Westermann (Fenerbahçe) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe en 19 minutes (victoire 84-80 face à Besiktas)
Moustapha Fall (Ankara) : 7 points (3/4 aux tirs), 7 rebonds, 2 contres, 1 passe, 3 balles perdues pour 12 d’évaluation en 27 minutes (défaite 76-66 face à Orman)
Nando De Colo (Fenerbahçe) : n’a pas joué (victoire 84-80 face à Besiktas)
Adrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué
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Encore capot avec son club russe d’Avtodor, Mam Jaiteh a dû attendre son 5e match avant de connaître son premier succès. L’intérieur francilien n’a cependant pas manqué l’occasion en répondant avec un double double à 12 points et 12 rebonds et une évaluation record à 23.
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", "comment_id":"484500", "plaintext":"Après une nouvelle médaille en compétition internationale, la cinquième en huit ans, le contingent français continue de s’exporter sur le Vieux Continent.\n\nFort de vingt-huit joueurs répartis sur dix pays (soit deux joueurs de plus par rapport à l’an passé), les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment 9 joueurs dans le championnat espagnol, la référence et 6 en Turquie, un record pour nos Bleus.\n\nDe la Turquie à l’Espagne, de l’Allemagne au Monténégro en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nPremière victoire pour Mam Jaiteh\n\nEncore capot avec son club russe d’Avtodor, Mam Jaiteh a dû attendre son 5e match avant de connaître son premier succès. L’intérieur francilien n’a cependant pas manqué l’occasion en répondant avec un double double à 12 points et 12 rebonds et une évaluation record à 23.\n\nÇa gagne aussi pour Andrew Albicy et le Zenit qui ont vaincu Enisey avec un petit match du meneur tricolore : 5 points, 4 passes.\n\n\nAxel Bouteille ne baisse pas le pied\n\nC’est le joueur le plus constant au plus haut niveau en Espagne. Après avoir égalé son record de saison à 27 points la semaine dernière, Axel Bouteille a encore atteint la barre des 20 points ce weekend avec Bilbao. Si ça n’a pas suffi pour engranger une 5e victoire, Bouteille confirme semaine après semaine son nouveau statut de gâchette dans la ligue la plus relevée du Vieux Continent.\n\nA ses côtés, Jonathan Rousselle (6 points, 7 passes) a réussi son meilleur total de passes en Liga. Bilbao figure à la 7e place du classement à 4 victoires pour autant de défaites.\n\nPendant ce temps-là, le Real Madrid a engrangé une 8e victoire en 8 matchs en battant Malaga. Après Vitoria la semaine passée, le Real écrase tout ce qui se présente sur son passage, Fabien Causeur apportant 5 points ce weekend, soit autant qu’Axel Toupane pour Malaga.\n\nOn soulignera également la très belle prestation de Louis Labeyrie qui cumule 10 points et 8 rebonds, à 5/5 aux tirs. Déjà parfait aux tirs la semaine dernière (3/3), Labeyrie semble monter en puissance… mais son club de Valence galère sur les deux tableaux : 3 victoires en 8 matchs en Liga et 1 victoire en 7 matchs en Euroleague.\n\n\nPremier revers pour Amath M’Baye\n\nEncore à 6 victoires en 6 matchs le weekend dernier, Karşıyaka a enfin mordu la poussière face à Bahcesehir. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé pour Amath M’Baye qui termine à 18 points et 9 rebonds dans cette défaite sur le fil.\n\nPar ailleurs, Rodrigue Beaubois a également fait trembler les filets ce week-end avec l’Efes Istanbul. L’ancien Choletais termine à 17 points, son meilleur total de la saison et son équipe (comme le Fener) revient à égalité au sommet du classement (6 victoires – 1 défaite).\n\nAlors que Nando De Colo a été laissé au repos, Joffrey Lauvergne (10 points, 6 rebonds, 6 passes) et Léo Westermann (8 points) étaient quant à eux sur le pont pour enchaîner une nouvelle victoire, face à Besiktas. Fort de 6 succès en championnat, le Fener serait-il enfin lancé cette saison ?\n\n\nKillian Hayes enchaîne\n\nAprès son premier double double de la saison la semaine passée, Killian Hayes a de nouveau été plutôt bon individuellement avec 15 points, 6 passes, plus 3 rebonds et 3 interceptions, mais son club d’Ulm continue de faire du sur place en Bundesliga : 1 victoire en 6 matchs !\n\n\nAllemagne\n\nKillian Hayes (Ulm) : 15 points (5/13 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 3 interceptions, 3 balles perdues pour 10 d’évaluation en 28 minutes (défaite 82-73 face à Würzburg)\n\nMathias Lessort (Munich) : n’a pas joué\n\n\nBelgique\n\nMalcolm Cazalon (Louvain) : 7 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 11 d’évaluation en 23 minutes (défaite 91-83 face à Charleroi)\n\n\nDanemark\n\nJonathan Jeanne (Randers) : 22 points (8/15 aux tirs), 9 rebonds, 2 interceptions, 1 contre, 3 balles perdues pour 22 d’évaluation en 27 minutes (victoire 102-91 face à Vaerlose)\n\n\nEspagne\n\nAxel Bouteille (Bilbao) : 20 points (8/15 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception pour 19 d’évaluation en 28 minutes (défaite 97-90 face à Gran Canaria)\n\nLouis Labeyrie (Valence) : 10 points (5/5 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 2 interceptions pour 19 d’évaluation en 30 minutes (défaite 97-95 a.p. face à Murcia)\n\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 6 points (2/3 aux tirs), 7 passes, 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 18 minutes (défaite 97-90 face à Gran Canaria)\n\nAxel Toupane (Malaga) : 5 points (2/6 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 20 minutes (défaite 82-71 face au Real)\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/3 aux tirs), 1 rebond, 1 interception en 8 minutes (victoire 82-71 face à Malaga)\n\nBandja Sy (Andorre) : 5 points (1/3 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 15 minutes (victoire 87-79 face à Estudiantes)\n\nYoussoupha Fall (Vitoria) : 2 points (1/1 au tir), 3 rebonds, 1 balle perdue en 10 minutes (victoire 92-79 face à Obradoiro)\n\nLahaou Konaté (Ténérife) : 0 point en 5 minutes (victoire 85-82 face à Burgos)\n\nThomas Heurtel (Barcelone) : blessé\n\n\nIsraël\n\nFrédéric Bourdillon (Rishon LeZion) : prochain match le 17 novembre\n\n\nLituanie\n\nKevin Cham (Nevezis) : 5 points (2/7 aux tirs), 6 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 68-65 face à Rytas)\n\nTom Digbeu (Prienai) : n’a pas joué\n\n\nMonténégro\n\nDavid Mpondo Ekoume (Lovcen) : n’a pas joué – blessé\n\n\nPologne\n\nAaron Cel (Torun) : 9 points (2/7 aux tirs), 7 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue pour 14 d’évaluation en 24 minutes (victoire 80-65 face à Gdynia)\n\nMathieu Wojciechowski (Wroclaw) : 5 points (0/6 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 contres, 1 interception, 1 balle perdue en 25 minutes (défaite 87-71 face à Sopot)\n\n\nRussie\n\nMam Jaiteh (Saratov) : 12 points (5/7 aux tirs), 12 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues pour 23 d’évaluation en 30 minutes (victoire 100-90 face à Kalev)\n\nAndrew Albicy (St Pétersbourg) : 5 points (1/3 aux tirs), 4 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 23 minutes (victoire 89-80 face à Enisey)\n\n\nTurquie\n\nAmath M’Baye (Karşıyaka) : 18 points (6/13 aux tirs), 9 rebonds, 1 passe, 1 contre pour 20 d’évaluation en 33 minutes (défaite 72-70 face à Bahcesehir)\n\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 17 points (7/15 aux tirs), 2 passes, 1 contre pour 13 d’évaluation en 30 minutes (victoire 88-83 face à Gaziantep)\n\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 10 points (4/7 aux tirs), 6 rebonds, 6 passes, 1 contre, 2 balles perdues pour 19 d’évaluation en 24 minutes (victoire 84-80 face à Besiktas)\n\nLéo Westermann (Fenerbahçe) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe en 19 minutes (victoire 84-80 face à Besiktas)\n\nMoustapha Fall (Ankara) : 7 points (3/4 aux tirs), 7 rebonds, 2 contres, 1 passe, 3 balles perdues pour 12 d’évaluation en 27 minutes (défaite 76-66 face à Orman)\n\nNando De Colo (Fenerbahçe) : n’a pas joué (victoire 84-80 face à Besiktas)\n\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué\n\nx\n\n[armelse]\n\n\nPremière victoire pour Mam Jaiteh\n\nEncore capot avec son club russe d’Avtodor, Mam Jaiteh a dû attendre son 5e match avant de connaître son premier succès. L’intérieur francilien n’a cependant pas manqué l’occasion en répondant avec un double double à 12 points et 12 rebonds et une évaluation record à 23.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/capture-d-e2-80-99e-cc-81cran-2019-11-12-a-cc-80-08.27.36.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-13T06:20:52.000Z", "updated_at":"2021-10-21T16:51:58.000Z", "published_at":"2019-11-13T06:20:52.000Z", "custom_excerpt":"Après une nouvelle médaille en compétition internationale, la cinquième en huit ans, le contingent français continue de s’exporter sur le Vieux Continent. 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C’était frustrant car nous savions que nous avions tous les ingrédients pour nous battre pour le titre mondial, mais nous devons maintenant penser à la prochaine étape et nous concentrer sur les qualifications. pour les Jeux olympiques de l’été prochain. «\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le chemin vers les Jeux olympiques pourrait être plus difficile cette fois-ci qu’il y a trois ans, lorsque la Serbie battait Porto Rico à deux reprises, l’Angola et la République tchèque pour se qualifier pour Rio.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Nous n’avons pas eu une bonne fin de Coupe du Monde, mais nous allons rebondir, j’en suis certain. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photos: FIBA\"]]],[1,\"p\",[[1,[],0,1]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Lailier-fort Nemanja Bjelica (2,08m, 31 ans) est un pilier de l’équipe nationale de Serbie depuis l’EuroBasket 2009, lorsque son pays s’est qualifié de manière surprenante à la finale à Katowice, en Pologne, avant de tomber face à l’Espagne.
Bjelica a participé à quatre EuroBasket et à trois Coupes du Monde. Pourtant, ce joueur de 31 ans, qui est actuellement en NBA avec les Kings de Sacramento avec qui il tourne à 9,2 points et 4,6 rebonds, n’a jamais vécu l’expérience des Jeux Olympiques. C’est un manque qu’il a hâte de combler comme il le confie au site de la FIBA:
« Je veux remporter des titres et des médailles, et je rêve bien sûr de me qualifier pour Tokyo’2020 et de remporter une médaille l’été prochain. Les Jeux Olympiques sont dans toutes nos pensées, mais nous devons d’abord gagner l’un des TQO. Ce sera un tournoi de qualification très difficile, mais nous serons prêts à jouer à notre meilleur niveau. Nous devons nous qualifier pour le Jeux olympiques de Tokyo. «
Bjelica s’est blessé en 2016 et ne pouvait ainsi pas jouer pour la Serbie lorsqu’ils ont organisé et remporté un tournoi de qualification olympique à Belgrade avant de gagner de haute lutte une médaille d’argent aux Jeux de Rio de Rio. Il espérait que la Serbie occuperait l’une des deux places de qualification directes réservées à l’Europe pour Tokyo lors de la Coupe du monde de cet été, mais l’Espagne, championne, et la France, troisième, les ont subtilisées.
La Serbie s’est inclinée face à l’Espagne 81 à 69 lors du deuxième tour et lors du match suivant, un quart de finale contre l’Argentine, elle a été battue 97-87.
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« Ces deux équipes sont très bonnes, c’est certain. L’équipe nationale espagnole est très très solide, et sa chimie et son expérience sont incroyables. Ils ont remporté tant de titres et de médailles au cours des 15 dernières années et leur façon de jouer est si fluide, aussi très cohérente. C’est très impressionnant. Ils savent comment jouer, chaque joueur a un impact et sait quoi faire, et quand le faire. L’Argentine joue avec beaucoup d’intensité et elle met son coeur sur le terrain. (Luis) Scola est toujours un très bon joueur, mais leur unité et leur esprit combatif sont fantastiques. Nous avons été battus par une équipe qui a très bien joué et qui était en mission. (Facundo) Campazzo, (Gabriel) Deck, Scola, (Luca) Vildoza, tous ces gars sont bons ! C’est douloureux d’échouer dans une compétition où nous avions placé la barre très haut. C’était frustrant car nous savions que nous avions tous les ingrédients pour nous battre pour le titre mondial, mais nous devons maintenant penser à la prochaine étape et nous concentrer sur les qualifications. pour les Jeux olympiques de l’été prochain. «
Le chemin vers les Jeux olympiques pourrait être plus difficile cette fois-ci qu’il y a trois ans, lorsque la Serbie battait Porto Rico à deux reprises, l’Angola et la République tchèque pour se qualifier pour Rio.
« Nous n’avons pas eu une bonne fin de Coupe du Monde, mais nous allons rebondir, j’en suis certain. »
Photos: FIBA
", "comment_id":"484383", "plaintext":"Lailier-fort Nemanja Bjelica (2,08m, 31 ans) est un pilier de l’équipe nationale de Serbie depuis l’EuroBasket 2009, lorsque son pays s’est qualifié de manière surprenante à la finale à Katowice, en Pologne, avant de tomber face à l’Espagne.\n\nBjelica a participé à quatre EuroBasket et à trois Coupes du Monde. Pourtant, ce joueur de 31 ans, qui est actuellement en NBA avec les Kings de Sacramento avec qui il tourne à 9,2 points et 4,6 rebonds, n’a jamais vécu l’expérience des Jeux Olympiques. C’est un manque qu’il a hâte de combler comme il le confie au site de la FIBA:\n\n« Je veux remporter des titres et des médailles, et je rêve bien sûr de me qualifier pour Tokyo’2020 et de remporter une médaille l’été prochain. Les Jeux Olympiques sont dans toutes nos pensées, mais nous devons d’abord gagner l’un des TQO. Ce sera un tournoi de qualification très difficile, mais nous serons prêts à jouer à notre meilleur niveau. Nous devons nous qualifier pour le Jeux olympiques de Tokyo. «\n\nBjelica s’est blessé en 2016 et ne pouvait ainsi pas jouer pour la Serbie lorsqu’ils ont organisé et remporté un tournoi de qualification olympique à Belgrade avant de gagner de haute lutte une médaille d’argent aux Jeux de Rio de Rio. Il espérait que la Serbie occuperait l’une des deux places de qualification directes réservées à l’Europe pour Tokyo lors de la Coupe du monde de cet été, mais l’Espagne, championne, et la France, troisième, les ont subtilisées.\n\nLa Serbie s’est inclinée face à l’Espagne 81 à 69 lors du deuxième tour et lors du match suivant, un quart de finale contre l’Argentine, elle a été battue 97-87.\n\n\n« Ces deux équipes sont très bonnes, c’est certain. L’équipe nationale espagnole est très très solide, et sa chimie et son expérience sont incroyables. Ils ont remporté tant de titres et de médailles au cours des 15 dernières années et leur façon de jouer est si fluide, aussi très cohérente. C’est très impressionnant. Ils savent comment jouer, chaque joueur a un impact et sait quoi faire, et quand le faire. L’Argentine joue avec beaucoup d’intensité et elle met son coeur sur le terrain. (Luis) Scola est toujours un très bon joueur, mais leur unité et leur esprit combatif sont fantastiques. Nous avons été battus par une équipe qui a très bien joué et qui était en mission. (Facundo) Campazzo, (Gabriel) Deck, Scola, (Luca) Vildoza, tous ces gars sont bons ! C’est douloureux d’échouer dans une compétition où nous avions placé la barre très haut. C’était frustrant car nous savions que nous avions tous les ingrédients pour nous battre pour le titre mondial, mais nous devons maintenant penser à la prochaine étape et nous concentrer sur les qualifications. pour les Jeux olympiques de l’été prochain. «\n\nLe chemin vers les Jeux olympiques pourrait être plus difficile cette fois-ci qu’il y a trois ans, lorsque la Serbie battait Porto Rico à deux reprises, l’Angola et la République tchèque pour se qualifier pour Rio.\n\n« Nous n’avons pas eu une bonne fin de Coupe du Monde, mais nous allons rebondir, j’en suis certain. »\n\nPhotos: FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/nemanja-bjelica.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-13T05:05:50.000Z", "updated_at":"2019-11-12T05:55:22.000Z", "published_at":"2019-11-13T05:05:50.000Z", "custom_excerpt":"Lailier-fort Nemanja Bjelica (2,08m, 31 ans) est un pilier de l’équipe nationale de Serbie depuis l’EuroBasket 2009, lorsque son pays s’est qualifié de manière surprenante à la finale à Katowice, en Pologne, avant de tomber face à l’Espagne.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d957a", "uuid":"8512d26b-8ee1-45ff-adfe-9c08239f4791", "title":"Vidéo: Les meilleurs moments de la 8e journée de Jeep Elite", "slug":"video-les-meilleurs-moments-de-la-8e-journee-de-jeep-elite", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/h5YBRpdK1x4?start=365&feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Toujours proposé par la LNB et Courtcuts, voici le résumé de la 8e journée de Jeep Elite par l’image et le son.\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Toujours proposé par la LNB et Courtcuts, voici le résumé de la 8e journée de Jeep Elite par l’image et le son.
Le tournoi de pré-qualification olympique féminin débutera le 14 novembre en Afrique, dans les Amériques et en Asie-Océanie. Les 32 matchs seront retransmis en direct sur les canaux YouTube et Facebook de la FIBA.
Les tournois de pré-qualification, cinq au total, se dérouleront du 14 au 17 novembre en Argentine, au Canada, en Malaisie, au Mozambique, en Malaisie et en Nouvelle-Zélande. Les 22 équipes nationales d’Afrique, des Amériques et d’Asie-Océanie se disputeront les places pour les tournois de qualification olympique féminin de l’année prochaine, qui se dérouleront en février 2020.
L’horaire de chaque région est le suivant: (toutes les heures sont indiquées en GMT + 1 / heure locale)
14 novembre
NGR – COD 15h30 14h30
SEN – ANG 18h00 17h00
15 novembre
ANG – MLI 15h30 14h30
COD – MOZ 18h00 17h00
16 novembre
MLI – SEN 15h30 14h30
MOZ – NGR 18h00 17h00
17 novembre
Cours aux OG 1 15 h 30 14 h 30
Cours aux OG 2 18 h 00 17 h 00
14 novembre
BRA – USA 18h30 23h30
COL – ARG 21h00 02h00
16 novembre
COL – BRA 6h30 – 23h30
ARG – USA 9h00 – 2h00
17 novembre
États-Unis – COL 6 h 30 11 h 30
ARG – BRA 21 h 00 2 h 00
14 novembre
DOM – PUR 17h00 1h00 (+1)
CAN – CUB 19h30 15h30 (+1)
16 novembre
CUB – DOM 14 h 30 22 h 30
PUR – CAN 17 h 00 01 h 00 (+1)
17 novembre
CUB – PUR 13h30 21h30
DOM – CAN 16h00 00h00 (+1)
14 novembre
AUS – TPE 17h00 11h00
JPN – IND 20h00 14h00
16 novembre
IND – AUS 17H00 11H00
TPE – JPN 20H00 14H00
17 novembre
TPE – IND 15:00 09:00
JPN – AUS 6:00 PM 12:00 AM
14 novembre
KOR – CHN 17h00 17h00
NZL – PHI 19h30 à 07h30
16 novembre
PHI – KOR 15H00 03H00
CHN – NZL 17H30 17H30
17 novembre
PHI – CHN 3:00 PM 3:00 AM
KOR – NZL 5:30 PM 5:30 AM
* certains événements en direct peuvent être soumis à des restrictions géographiques.
Photo: Nayo Raincock-Ekunwe (Canada, FIBA)
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L’UTLPB en est à 8 défaites en 9 journées et l’ancienne championne d’Europe a peu apprécié la réaction de ses joueurs après la blessure au genou probablement grave de Romain Hillotte à Bordeaux.
«Ils n’ont pas eu le cœur de se battre pour leur capitaine» a t-elle déclaré, précisant: «nous nous séparons d’un commun accord. »
L’Union cherche un coach. Statistiquement peu de chance que ce soit une femme. Valentin Yedra va faire office d’intérimaire.
", "comment_id":"484489", "plaintext":"La Nationale 1 n’a plus sa coach femme puisque Laure Savasta a annoncé qu’elle démissionne de son poste à Tarbes-Lourdes qu’elle occupait depuis février 2018 indique La Dépêche.\n\nL’UTLPB en est à 8 défaites en 9 journées et l’ancienne championne d’Europe a peu apprécié la réaction de ses joueurs après la blessure au genou probablement grave de Romain Hillotte à Bordeaux.\n\n«Ils n’ont pas eu le cœur de se battre pour leur capitaine» a t-elle déclaré, précisant: «nous nous séparons d’un commun accord. »\n\nL’Union cherche un coach. Statistiquement peu de chance que ce soit une femme. Valentin Yedra va faire office d’intérimaire.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/02/489_lauresavasta4.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-12T13:25:59.000Z", "updated_at":"2019-11-12T13:27:07.000Z", "published_at":"2019-11-12T13:25:59.000Z", "custom_excerpt":"La Nationale 1 n’a plus sa coach femme puisque Laure Savasta a annoncé qu’elle démissionne de son poste à Tarbes-Lourdes qu’elle occupait depuis février 2018 indique La Dépêche.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d957d", "uuid":"5383fa4c-b7e5-4a5c-962c-91307218097c", "title":"Vidéos: Voici l’ambiance que l’ASVEL va trouver vendredi à Belgrade", "slug":"videos-voici-lambiance-que-lasvel-va-trouver-vendredi-a-belgrade", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/VR4sJ5TCZWM?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/XbUymaY-bog?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/cAJUmopnpf0?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/a_sbiXzfm9I?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’Etoile Rouge de Belgrade joue ses matches d’Euroleague à la Stark Arena, connue auparavant comme Belgrade Arena. On y a disputé la phase finale de l’Euro de 2005 et encore le Concours Eurovision de la chanson 2008. Le 24 mars 2014, on y logea jusqu’à 24 232 spectateurs pour le match Etoile Rouge vs BK Boudivelnyk Kiev, ce qui fut le record de spectateurs pour un match indoor de basket en Europe avant l’Euro 2015 à Lille.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette saison, en Euroleague, on y enregistre toujours de fortes affluences. Ainsi, c’est la venue du Real Madrid qui a permis d’établir le record de spectateurs de la 7e journée avec 16 457 entrées.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A propos, voici les affluences qui ont été comptabilisées la semaine dernière: Étoile Rouge – Real Madrid: 16 457, Kaunas – Barcelone: 15 342, Tel-Aviv – Berlin : 10 441, Panathinaikos – Valencia: 9 130, Fenerbahce – Munich : 8 871, Milan – Vitoria : 7 020, Olympiakos – Efes : 5 657, Asvel – CSKA Moscou : 5 560, St. Petersbourg – Khimki Moscou : 3 575.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Voici quelques vidéos montrant l’ambiance qui peut régner là-bas. C’est délirant. Sur la dernière, même le caméraman de la TV chante. Même si ça sera peut-être plus calme vendredi, les Villeurbannais sont prévenus !\"]]],[10,0],[10,1],[10,2],[10,3]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"L’Etoile Rouge de Belgrade joue ses matches d’Euroleague à la Stark Arena, connue auparavant comme Belgrade Arena. On y a disputé la phase finale de l’Euro de 2005 et encore le Concours Eurovision de la chanson 2008. Le 24 mars 2014, on y logea jusqu’à 24 232 spectateurs pour le match Etoile Rouge vs BK Boudivelnyk Kiev, ce qui fut le record de spectateurs pour un match indoor de basket en Europe avant l’Euro 2015 à Lille.
Cette saison, en Euroleague, on y enregistre toujours de fortes affluences. Ainsi, c’est la venue du Real Madrid qui a permis d’établir le record de spectateurs de la 7e journée avec 16 457 entrées.
A propos, voici les affluences qui ont été comptabilisées la semaine dernière: Étoile Rouge – Real Madrid: 16 457, Kaunas – Barcelone: 15 342, Tel-Aviv – Berlin : 10 441, Panathinaikos – Valencia: 9 130, Fenerbahce – Munich : 8 871, Milan – Vitoria : 7 020, Olympiakos – Efes : 5 657, Asvel – CSKA Moscou : 5 560, St. Petersbourg – Khimki Moscou : 3 575.
Voici quelques vidéos montrant l’ambiance qui peut régner là-bas. C’est délirant. Sur la dernière, même le caméraman de la TV chante. Même si ça sera peut-être plus calme vendredi, les Villeurbannais sont prévenus !
Hier, lors d’une conférence de presse qui a officialisé sa prise de fonction en tant qu’entraîneur de l’équipe nationale grecque, Rick Pitino a fait part de ses doutes quant à la participation de la superstar des Milwaukee Bucks Giannis Antetokounmpo au Tournoi de Qualification Olympique pour les Jeux de Tokyo.
« D’après mes recherches, je sais qu’il se concentre actuellement sur la victoire dans le championnat NBA. Il est possible que, pour la durée de la saison nord-américaine, il ne puisse pas jouer. »
L’ancien coach du Panathinaikos a confirmé qu’il fera le job de coach national gratuitement.
« La qualification de cette sélection pour les Jeux Olympiques constituerait une distinction unique, le joyau de ma carrière d’entraîneur. Pendant les huit prochains mois, je serai grec et non américain. Ce travail est une façon de remercier les Grecs de leur hospitalité envers moi et il n’y a pas de travail ou de budget qui m’empêche de le faire « , a–t-il déclaré.
Photo: Fédération grecque
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« Dylan est le genre de personne que l’on se réjouit de rencontrer et nous lui souhaitons le meilleur pour la suite de sa carrière en Espagne», commente le coach, Sasa Obradovic sur le site du club. « Même dans les moments difficiles traversés par l’équipe, il a toujours montré un visage positif. Ce ne sont pas ses qualités de joueur qui sont en cause mais nous avons fait ce choix car nous pensons avoir besoin d’un profil différent. Nous étions à la recherche de plus de création, sur les picks and rolls notamment. Norris (Cole) peut créer pour lui-même et pour les autres. Nous avions plus besoin d’un meneur que d’un joueur en isolation ».", "comment_id":"484464", "plaintext":"L’arrivée du double champion NBA Norris Cole à Monaco entraîne le départ de l’arrière canado-serbe Dylan Ennis (1,88m, 27 ans) qui prend la direction de l’Espagne et du Casademont Zaragoza (Saragosse). Dylan Ennis a disputé 8 matches de Jeep Elite (8,3 points, 3,3 rebonds, 3,4 passes en 25 minutes) et 6 matches en EuroCup (11 points, 4 rebonds, 2 passes).\n\n« Dylan est le genre de personne que l’on se réjouit de rencontrer et nous lui souhaitons le meilleur pour la suite de sa carrière en Espagne», commente le coach, Sasa Obradovic sur le site du club. « Même dans les moments difficiles traversés par l’équipe, il a toujours montré un visage positif. Ce ne sont pas ses qualités de joueur qui sont en cause mais nous avons fait ce choix car nous pensons avoir besoin d’un profil différent. Nous étions à la recherche de plus de création, sur les picks and rolls notamment. Norris (Cole) peut créer pour lui-même et pour les autres. Nous avions plus besoin d’un meneur que d’un joueur en isolation ».\n\n", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/dylan-ennis-e1573538008934.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-12T05:53:56.000Z", "updated_at":"2019-11-12T05:54:42.000Z", "published_at":"2019-11-12T05:53:56.000Z", "custom_excerpt":"L’arrivée du double champion NBA Norris Cole à Monaco entraîne le départ de l’arrière canado-serbe Dylan Ennis (1,88m, 27 ans) qui prend la direction de l’Espagne et du Casademont Zaragoza (Saragosse). Dylan Ennis a disputé 8 matches de Jeep Elite (8,3 points, 3,3 rebonds, 3,4 passes en 25 minutes) ", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d9580", "uuid":"9d48c55a-2f50-491c-bec5-f616981a62b5", "title":"Vidéo: 36. Un record absolu de triples en Espagne, 8 pour Cory Higgins", "slug":"video-36-un-record-absolu-de-triples-en-espagne-8-pour-cory-higgins", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/e1XjVsMAF04?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans leur opposition, le Coosur Real Betis Séville et le FC Barcelone ont chacun marqué 18 paniers à trois-points et à eux d’eux, ils ont battu le record dans la ligue espagnole: 36. A noter que les deux équipes ont pris exactement le même nombre de tirs, 35.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans ce festival, c’est l’arrière américain du Barça Cory Higgins (1,96m, 30 ans) qui s’est tout spécialement régalé avec 8 paniers au-delà de la ligne à 6,75m en 11 tentatives.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au final, le Barça s’est imposé 100-95.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le triples est bien une spécialité espagnole.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo: Cory Higgins (Barça, Euroleague)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Dans leur opposition, le Coosur Real Betis Séville et le FC Barcelone ont chacun marqué 18 paniers à trois-points et à eux d’eux, ils ont battu le record dans la ligue espagnole: 36. A noter que les deux équipes ont pris exactement le même nombre de tirs, 35.
Dans ce festival, c’est l’arrière américain du Barça Cory Higgins (1,96m, 30 ans) qui s’est tout spécialement régalé avec 8 paniers au-delà de la ligne à 6,75m en 11 tentatives.
Au final, le Barça s’est imposé 100-95.
Le triples est bien une spécialité espagnole.
Photo: Cory Higgins (Barça, Euroleague)
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« Ce qui me dérange le plus est que vous n’avez pas eu les couilles de présenter des excuses aux fans et à l’organisation », a-t-il dit, des propos rapportés par sdna.gr. « Vous avez déjà concédé deux défaites non programmées en Euroleague et vous perdez contre une équipe dont le budget total vaut moins que vos chaussures. C’est une honte pour l’organisation, vous devez comprendre où vous jouez. Si vous perdez encore une fois face à une équipe contre qui ce n’est pas prévu, les amendes seront lourdes. Lors des victoires, vous êtes tous sur les photos et les célébrations, mais dans les défaites, vous disparaissez tous. »
Le seul qui a échappé au courroux du président fut le meneur Nick Calathès.
« Comment pouvez-vous regardez Nick dans les yeux, lui qui donne 500% à chaque fois ? »
La communication a ensuite fait son œuvre puisque des excuses bien formatées sont apparues sur le site du club.
« Nous voudrions présenter nos excuses à nos fans et au président pour notre performance contre Promitheas. L’élimination est inacceptable et nous promettons de changer ça lors des matches à venir ».
Une réaction collective et… spontanée, bien sûr.
", "comment_id":"484456", "plaintext":"Le Panathinaikos s’est fait éliminer dimanche de la Coupe de Grèce par Promitheas et les joueurs ont essuyé hier la colère du président Dimitris Giannakopoulos lors de la séance d’entraînement.\n\n« Ce qui me dérange le plus est que vous n’avez pas eu les couilles de présenter des excuses aux fans et à l’organisation », a-t-il dit, des propos rapportés par sdna.gr. « Vous avez déjà concédé deux défaites non programmées en Euroleague et vous perdez contre une équipe dont le budget total vaut moins que vos chaussures. C’est une honte pour l’organisation, vous devez comprendre où vous jouez. Si vous perdez encore une fois face à une équipe contre qui ce n’est pas prévu, les amendes seront lourdes. 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Alain Koffi, qui a son maillot suspendu au plafond et son numéro retiré, est en quelque sorte l’enfant du club. Pape Sy y a passé deux ans. Juice Thompson y était la saison dernière. Mais à l’applaudimètre, c’est le coach Eric Bartecheky qui a reçu le plus bel hommage. Le public manceau lui est reconnaissant d’avoir drivé le MSB à un titre de champion de France inattendu en 2018.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« J’avais décidé de prendre le match en étant relativement calme. Sur l’ensemble du match, j’ai réussi à prendre du recul. C’est toujours un plaisir de revenir dans le club du Mans avec tout ce qui s’est passé. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Eric Bartecheky est revenu, il a vu, il a vaincu. Son équipe, enfin au complet a fait preuve d’une grande sérénité et s’est sentie un temps pousser des ailes en réalisant une démonstration de jeu collectif avec un bloc défensif compact. Les Maritimes ont ainsi limité le Nigérian Obi Emegano à 3 points (1/8 aux tirs), lui qui caracolait à 15,7 points à 64,3% de réussite à trois-points jusque-là. Les Nordistes mettaient toujours le panier extérieur, le alley-oop, faisaient l’effort défensif qu’il fallait.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Le coach nous avait prévenu que c’est une bonne équipe et qu’ils jouent bien ensemble, il y a beaucoup de talents offensifs », dira l’intérieur du MSB, Jacques Alingue.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Très rassurant pour une équipe construite dans la douleur, peu convaincante lors de l’Opalico même si elle en est ressortie avec le gain du match en poche et surtout à la rue à Dijon en deuxième mi-temps, au point que son coach énervé hurla :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« On est des mauviettes sur le terrain, on s’est fait marcher dessus au rebond, on se fait battre dans les duels. On n’a montré aucune révolte ! »\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Erik McCree, 20 points, très bon, oui mais…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Hier soir, le BCM a provoqué très vite une différence au score avec déjà 7 points de Erik McCree sur les 14 premiers de son équipe. Ce gaucher de 2,03m et 25 ans, en provenance de Pesaro, a été extrêmement tranchant en première mi-temps fidèle à son statut de top scoreur du championnat (18 points en moyenne). Il a même réussi à énerver le si placide brésilien JP Batista sanctionné d’une faute antisportive. Il a converti ses deux lancers et Adonis Thomas planta directement un trois-points dans la foulée : 23-37 (13\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\"). Quand Le Mans a durci sa défense, c’est McCree qui a écarté le danger d’un trois-poins. Il en était à +14 (le +/- indiqué sur les feuilles de stats qui sanctionne la présence de chaque joueur sur le terrain en fonction du score de son équipe) lors de ses 15 premières minutes. A la mi-temps, 10 joueurs de chaque côté avaient scoré mais aucun n’avait mis plus de 6 points. Sauf lui. 15. Et 4 rebonds en sus. Et pourtant, après coup, Eric Bartecheky faisait la fine bouche.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Ça reste un jeune joueur, plein d’énergie. Quand je parle de choses à régler, il en fait partie. Avoir un peu plus de maîtrise dans le jeu. On a des joueurs qui sont un peu des piles électriques, des électrons libres. Il faut que l’on arrive à garder leurs qualités mais à mettre ça dans un collectif où il faut que la balle bouge, que l’on fasse les bons choix. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, c’est un peu compliqué car c’est la vie du groupe qui est en jeu. C’est un joueur qui a des qualités mais il faut mettre ça dans un collectif sur la longueur de la saison. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Erik McCree s’est calmé par la suite notamment du fait qu’avec le trio Antoine Eito, Terry Tarpey, Jacques Alingue, Le Mans, qui n’a pas de constance dans les résultats mais toujours du cœur, a produit une meilleure défense. Mais c’est encore lui qui fut l’homme du money time.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En jouant small ball avec le seul Jacques Alingue comme intérieur, les Manceaux étaient revenus. Très près. 50-55. 65-68. Valentin Bigote, formé au BCM, a alors raté un panier crucial. Alain Koffi a pris un rebond offensif à 10 000 dollars et c’est Erik McCree qui a mis de l’extrême droite le panier à trois-points qui tue puis qui a réalisé un contre sur Jacques Alingue, qui était à bout portant. Pour dire vrai, le BCM s’est quand même fait une dernière frayeur lorsque Taurean Green a planté un trois-points à 6 secondes du buzzer mais c’était trop peu et trop tard.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Quand il y a plus de rotations, ça aide, on peut être plus frais », a réagi Benjamin Sene quand il lui a été fait remarquer que le BCM était enfin au complet. « Ça aide dans les fins de matchs pour être plus lucides et pouvoir mieux maîtriser le match. Même si on perd le dernier quart-temps de beaucoup (21-14). On aurait pu avoir un écart un peu plus conséquent. On voit de bonnes choses, la défense aujourd’hui c’était mieux. Quand il y a eu eu un bon run, on était tous ensemble, et quand ça a été compliqué, on ne s’est pas affolé. On est allé chercher cette troisième victoire de suite en championnat et ce n’est pas forcément un endroit facile pour venir gagner mais on l’a fait. On aurait pu s’éviter la dernière possession. Heureusement on s’en est bien sorti. On s’est ajouté un peu de suspense pour rien. »\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Se mettre à l’abri !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Eric Bartecheky n’a pas changé en passant de Pau au Mans et du Mans à Gravelines. Il est rarement entièrement satisfait même dans la victoire détectant ici ou là les scories.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je n’ai pas de la satisfaction sur l’ensemble du match. Il y a énormément de choses qui ne vont pas mais au niveau comptable, d’avoir une deuxième victoire à l’extérieur, une série de trois puisqu’on a gagné Le Portel et Limoges chez nous, c’est une bonne chose. On a laissé Le Mans à 70 points alors que sur les trois victoires à domicile, ils étaient à 87 points de moyenne, 22 passes décisives, 47% à trois-points. On avait comme objectif de faire baisser ces chiffres là et on y est plutôt bien arrivé même s’il l y a plein de choses qui ne vont pas de notre côté, ce qui fait qu’à un moment donné, on aurait pu le laisser passer. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et à propos de la baisse de régime de son équipe en deuxième mi-temps, il a constaté :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« L’adversaire a changé un peu de stratégie, joué plus petit. On a des soucis d’ajustements sur certains types de défense. On est sur une continuité de matches qui fait que l’on n’a pas d’entraînements pour régler tous ces problèmes là en profondeur. Quand on se retrouve face à ces problèmes-là en plein match, on a du mal. On va devoir travailler ça, maintenant on rentre dans un schéma avec un match par semaine. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Si quelques équipes se sont déjà positionnées tout en haut de la hiérarchie, pour beaucoup d’autres la boussole indique tout autant les playoffs que le triangle des Bermudes. Avant le match, Gravelines et Le Mans, deux équipes à la masse salariale comparable (5\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" de Jeep Elite pour le BCM, 7\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" pour le MSB), étaient dans les mêmes eaux mais leur victoire en terre mancelle offre aux Maritimes une vraie plus-value et désormais deux crans de mieux que leurs rivaux. Pas négligeable dans un championnat où Cholet voué à la relégation selon nombre de pronostiqueurs est un cador et quelques cadors présumés sont à la ramasse.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« A l’image de Kunter, je trouve Cholet très intense et ils vont exister dans le championnat car c’est une donnée très importante », juge Bartecheky. « Il y a pas mal de soucis dans les équipes et ça va demander peut-être du temps pour que les choses se décantent. Il y a peut-être le fait qu’il y ait trois descentes qui fait que chaque match est très important. Bien sûr que l’on est ambitieux, que l’on a envie de gagner le prochain match, de ne pas se fixer de limites, à Gravelines, le club n’a pas vécu les playoffs depuis une paire d’années et il est en attente de ça mais il est conscient, au même titre que nous, qu’il y a trois descentes cette année, qu’il y a de très bonnes équipes qui sont en haut et qui ne vont pas lâcher les places comme ça. Il y a déjà six équipes qui vont les avoir presque à coup sûr. Je suis plus dans l’idée, « mettons-nous à l’abri le plus rapidement possible par rapport à un maintien avec trois descentes et on verra après ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« J’avais décidé de prendre le match en étant relativement calme. Sur l’ensemble du match, j’ai réussi à prendre du recul. C’est toujours un plaisir de revenir dans le club du Mans avec tout ce qui s’est passé. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Eric Bartecheky est revenu, il a vu, il a vaincu. 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Alain Koffi, qui a son maillot suspendu au plafond et son numéro retiré, est en quelque sorte l’enfant du club. Pape Sy y a passé deux ans. Juice Thompson y était la saison dernière. Mais à l’applaudimètre, c’est le coach Eric Bartecheky qui a reçu le plus bel hommage. Le public manceau lui est reconnaissant d’avoir drivé le MSB à un titre de champion de France inattendu en 2018.
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« J’avais décidé de prendre le match en étant relativement calme. Sur l’ensemble du match, j’ai réussi à prendre du recul. C’est toujours un plaisir de revenir dans le club du Mans avec tout ce qui s’est passé. »
Eric Bartecheky est revenu, il a vu, il a vaincu. Son équipe, enfin au complet a fait preuve d’une grande sérénité et s’est sentie un temps pousser des ailes en réalisant une démonstration de jeu collectif avec un bloc défensif compact. Les Maritimes ont ainsi limité le Nigérian Obi Emegano à 3 points (1/8 aux tirs), lui qui caracolait à 15,7 points à 64,3% de réussite à trois-points jusque-là. Les Nordistes mettaient toujours le panier extérieur, le alley-oop, faisaient l’effort défensif qu’il fallait.
« Le coach nous avait prévenu que c’est une bonne équipe et qu’ils jouent bien ensemble, il y a beaucoup de talents offensifs », dira l’intérieur du MSB, Jacques Alingue.
Très rassurant pour une équipe construite dans la douleur, peu convaincante lors de l’Opalico même si elle en est ressortie avec le gain du match en poche et surtout à la rue à Dijon en deuxième mi-temps, au point que son coach énervé hurla :
« On est des mauviettes sur le terrain, on s’est fait marcher dessus au rebond, on se fait battre dans les duels. On n’a montré aucune révolte ! »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/erik-mcree.png\")
Erik McCree, 20 points, très bon, oui mais…
Hier soir, le BCM a provoqué très vite une différence au score avec déjà 7 points de Erik McCree sur les 14 premiers de son équipe. Ce gaucher de 2,03m et 25 ans, en provenance de Pesaro, a été extrêmement tranchant en première mi-temps fidèle à son statut de top scoreur du championnat (18 points en moyenne). Il a même réussi à énerver le si placide brésilien JP Batista sanctionné d’une faute antisportive. Il a converti ses deux lancers et Adonis Thomas planta directement un trois-points dans la foulée : 23-37 (13e). Quand Le Mans a durci sa défense, c’est McCree qui a écarté le danger d’un trois-poins. Il en était à +14 (le +/- indiqué sur les feuilles de stats qui sanctionne la présence de chaque joueur sur le terrain en fonction du score de son équipe) lors de ses 15 premières minutes. A la mi-temps, 10 joueurs de chaque côté avaient scoré mais aucun n’avait mis plus de 6 points. Sauf lui. 15. Et 4 rebonds en sus. Et pourtant, après coup, Eric Bartecheky faisait la fine bouche.
« Ça reste un jeune joueur, plein d’énergie. Quand je parle de choses à régler, il en fait partie. Avoir un peu plus de maîtrise dans le jeu. On a des joueurs qui sont un peu des piles électriques, des électrons libres. Il faut que l’on arrive à garder leurs qualités mais à mettre ça dans un collectif où il faut que la balle bouge, que l’on fasse les bons choix. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, c’est un peu compliqué car c’est la vie du groupe qui est en jeu. C’est un joueur qui a des qualités mais il faut mettre ça dans un collectif sur la longueur de la saison. »
Erik McCree s’est calmé par la suite notamment du fait qu’avec le trio Antoine Eito, Terry Tarpey, Jacques Alingue, Le Mans, qui n’a pas de constance dans les résultats mais toujours du cœur, a produit une meilleure défense. Mais c’est encore lui qui fut l’homme du money time.
En jouant small ball avec le seul Jacques Alingue comme intérieur, les Manceaux étaient revenus. Très près. 50-55. 65-68. Valentin Bigote, formé au BCM, a alors raté un panier crucial. Alain Koffi a pris un rebond offensif à 10 000 dollars et c’est Erik McCree qui a mis de l’extrême droite le panier à trois-points qui tue puis qui a réalisé un contre sur Jacques Alingue, qui était à bout portant. Pour dire vrai, le BCM s’est quand même fait une dernière frayeur lorsque Taurean Green a planté un trois-points à 6 secondes du buzzer mais c’était trop peu et trop tard.
« Quand il y a plus de rotations, ça aide, on peut être plus frais », a réagi Benjamin Sene quand il lui a été fait remarquer que le BCM était enfin au complet. « Ça aide dans les fins de matchs pour être plus lucides et pouvoir mieux maîtriser le match. Même si on perd le dernier quart-temps de beaucoup (21-14). On aurait pu avoir un écart un peu plus conséquent. On voit de bonnes choses, la défense aujourd’hui c’était mieux. Quand il y a eu eu un bon run, on était tous ensemble, et quand ça a été compliqué, on ne s’est pas affolé. On est allé chercher cette troisième victoire de suite en championnat et ce n’est pas forcément un endroit facile pour venir gagner mais on l’a fait. On aurait pu s’éviter la dernière possession. Heureusement on s’en est bien sorti. On s’est ajouté un peu de suspense pour rien. »
Se mettre à l’abri !
Eric Bartecheky n’a pas changé en passant de Pau au Mans et du Mans à Gravelines. Il est rarement entièrement satisfait même dans la victoire détectant ici ou là les scories.
« Je n’ai pas de la satisfaction sur l’ensemble du match. Il y a énormément de choses qui ne vont pas mais au niveau comptable, d’avoir une deuxième victoire à l’extérieur, une série de trois puisqu’on a gagné Le Portel et Limoges chez nous, c’est une bonne chose. On a laissé Le Mans à 70 points alors que sur les trois victoires à domicile, ils étaient à 87 points de moyenne, 22 passes décisives, 47% à trois-points. On avait comme objectif de faire baisser ces chiffres là et on y est plutôt bien arrivé même s’il l y a plein de choses qui ne vont pas de notre côté, ce qui fait qu’à un moment donné, on aurait pu le laisser passer. »
Et à propos de la baisse de régime de son équipe en deuxième mi-temps, il a constaté :
« L’adversaire a changé un peu de stratégie, joué plus petit. On a des soucis d’ajustements sur certains types de défense. On est sur une continuité de matches qui fait que l’on n’a pas d’entraînements pour régler tous ces problèmes là en profondeur. Quand on se retrouve face à ces problèmes-là en plein match, on a du mal. On va devoir travailler ça, maintenant on rentre dans un schéma avec un match par semaine. »
Si quelques équipes se sont déjà positionnées tout en haut de la hiérarchie, pour beaucoup d’autres la boussole indique tout autant les playoffs que le triangle des Bermudes. Avant le match, Gravelines et Le Mans, deux équipes à la masse salariale comparable (5e de Jeep Elite pour le BCM, 7e pour le MSB), étaient dans les mêmes eaux mais leur victoire en terre mancelle offre aux Maritimes une vraie plus-value et désormais deux crans de mieux que leurs rivaux. Pas négligeable dans un championnat où Cholet voué à la relégation selon nombre de pronostiqueurs est un cador et quelques cadors présumés sont à la ramasse.
« A l’image de Kunter, je trouve Cholet très intense et ils vont exister dans le championnat car c’est une donnée très importante », juge Bartecheky. « Il y a pas mal de soucis dans les équipes et ça va demander peut-être du temps pour que les choses se décantent. Il y a peut-être le fait qu’il y ait trois descentes qui fait que chaque match est très important. Bien sûr que l’on est ambitieux, que l’on a envie de gagner le prochain match, de ne pas se fixer de limites, à Gravelines, le club n’a pas vécu les playoffs depuis une paire d’années et il est en attente de ça mais il est conscient, au même titre que nous, qu’il y a trois descentes cette année, qu’il y a de très bonnes équipes qui sont en haut et qui ne vont pas lâcher les places comme ça. Il y a déjà six équipes qui vont les avoir presque à coup sûr. Je suis plus dans l’idée, « mettons-nous à l’abri le plus rapidement possible par rapport à un maintien avec trois descentes et on verra après ».
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« J’avais décidé de prendre le match en étant relativement calme. Sur l’ensemble du match, j’ai réussi à prendre du recul. C’est toujours un plaisir de revenir dans le club du Mans avec tout ce qui s’est passé. »
Eric Bartecheky est revenu, il a vu, il a vaincu. Son équipe, enfin au complet a fait preuve d’une grande sérénité et s’est sentie un temps pousser des ailes en réalisant une démonstration de jeu collectif avec un bloc défensif compact. Les Maritimes ont ainsi limité le Nigérian Obi Emegano à 3 points (1/8 aux tirs), lui qui caracolait à 15,7 points à 64,3% de réussite à trois-points jusque-là. Les Nordistes mettaient toujours le panier extérieur, le alley-oop, faisaient l’effort défensif qu’il fallait.
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Photo d’ouverture: Eric Barteckeky et Juice Thompson (BCM)
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Son équipe, enfin au complet a fait preuve d’une grande sérénité et s’est sentie un temps pousser des ailes en réalisant une démonstration de jeu collectif avec un bloc défensif compact. Les Maritimes ont ainsi limité le Nigérian Obi Emegano à 3 points (1/8 aux tirs), lui qui caracolait à 15,7 points à 64,3% de réussite à trois-points jusque-là. Les Nordistes mettaient toujours le panier extérieur, le alley-oop, faisaient l’effort défensif qu’il fallait.\n\n« Le coach nous avait prévenu que c’est une bonne équipe et qu’ils jouent bien ensemble, il y a beaucoup de talents offensifs », dira l’intérieur du MSB, Jacques Alingue.\n\nTrès rassurant pour une équipe construite dans la douleur, peu convaincante lors de l’Opalico même si elle en est ressortie avec le gain du match en poche et surtout à la rue à Dijon en deuxième mi-temps, au point que son coach énervé hurla :\n\n« On est des mauviettes sur le terrain, on s’est fait marcher dessus au rebond, on se fait battre dans les duels. On n’a montré aucune révolte ! »\n\nErik McCree, 20 points, très bon, oui mais…\n\nHier soir, le BCM a provoqué très vite une différence au score avec déjà 7 points de Erik McCree sur les 14 premiers de son équipe. Ce gaucher de 2,03m et 25 ans, en provenance de Pesaro, a été extrêmement tranchant en première mi-temps fidèle à son statut de top scoreur du championnat (18 points en moyenne). Il a même réussi à énerver le si placide brésilien JP Batista sanctionné d’une faute antisportive. Il a converti ses deux lancers et Adonis Thomas planta directement un trois-points dans la foulée : 23-37 (13e). Quand Le Mans a durci sa défense, c’est McCree qui a écarté le danger d’un trois-poins. Il en était à +14 (le +/- indiqué sur les feuilles de stats qui sanctionne la présence de chaque joueur sur le terrain en fonction du score de son équipe) lors de ses 15 premières minutes. A la mi-temps, 10 joueurs de chaque côté avaient scoré mais aucun n’avait mis plus de 6 points. Sauf lui. 15. Et 4 rebonds en sus. Et pourtant, après coup, Eric Bartecheky faisait la fine bouche.\n\n« Ça reste un jeune joueur, plein d’énergie. Quand je parle de choses à régler, il en fait partie. Avoir un peu plus de maîtrise dans le jeu. On a des joueurs qui sont un peu des piles électriques, des électrons libres. Il faut que l’on arrive à garder leurs qualités mais à mettre ça dans un collectif où il faut que la balle bouge, que l’on fasse les bons choix. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, c’est un peu compliqué car c’est la vie du groupe qui est en jeu. C’est un joueur qui a des qualités mais il faut mettre ça dans un collectif sur la longueur de la saison. »\n\nErik McCree s’est calmé par la suite notamment du fait qu’avec le trio Antoine Eito, Terry Tarpey, Jacques Alingue, Le Mans, qui n’a pas de constance dans les résultats mais toujours du cœur, a produit une meilleure défense. Mais c’est encore lui qui fut l’homme du money time.\n\nEn jouant small ball avec le seul Jacques Alingue comme intérieur, les Manceaux étaient revenus. Très près. 50-55. 65-68. Valentin Bigote, formé au BCM, a alors raté un panier crucial. Alain Koffi a pris un rebond offensif à 10 000 dollars et c’est Erik McCree qui a mis de l’extrême droite le panier à trois-points qui tue puis qui a réalisé un contre sur Jacques Alingue, qui était à bout portant. Pour dire vrai, le BCM s’est quand même fait une dernière frayeur lorsque Taurean Green a planté un trois-points à 6 secondes du buzzer mais c’était trop peu et trop tard.\n\n« Quand il y a plus de rotations, ça aide, on peut être plus frais », a réagi Benjamin Sene quand il lui a été fait remarquer que le BCM était enfin au complet. « Ça aide dans les fins de matchs pour être plus lucides et pouvoir mieux maîtriser le match. Même si on perd le dernier quart-temps de beaucoup (21-14). On aurait pu avoir un écart un peu plus conséquent. On voit de bonnes choses, la défense aujourd’hui c’était mieux. Quand il y a eu eu un bon run, on était tous ensemble, et quand ça a été compliqué, on ne s’est pas affolé. On est allé chercher cette troisième victoire de suite en championnat et ce n’est pas forcément un endroit facile pour venir gagner mais on l’a fait. On aurait pu s’éviter la dernière possession. Heureusement on s’en est bien sorti. On s’est ajouté un peu de suspense pour rien. »\n\nSe mettre à l’abri !\n\nEric Bartecheky n’a pas changé en passant de Pau au Mans et du Mans à Gravelines. Il est rarement entièrement satisfait même dans la victoire détectant ici ou là les scories.\n\n« Je n’ai pas de la satisfaction sur l’ensemble du match. Il y a énormément de choses qui ne vont pas mais au niveau comptable, d’avoir une deuxième victoire à l’extérieur, une série de trois puisqu’on a gagné Le Portel et Limoges chez nous, c’est une bonne chose. On a laissé Le Mans à 70 points alors que sur les trois victoires à domicile, ils étaient à 87 points de moyenne, 22 passes décisives, 47% à trois-points. On avait comme objectif de faire baisser ces chiffres là et on y est plutôt bien arrivé même s’il l y a plein de choses qui ne vont pas de notre côté, ce qui fait qu’à un moment donné, on aurait pu le laisser passer. »\n\nEt à propos de la baisse de régime de son équipe en deuxième mi-temps, il a constaté :\n\n« L’adversaire a changé un peu de stratégie, joué plus petit. On a des soucis d’ajustements sur certains types de défense. On est sur une continuité de matches qui fait que l’on n’a pas d’entraînements pour régler tous ces problèmes là en profondeur. Quand on se retrouve face à ces problèmes-là en plein match, on a du mal. On va devoir travailler ça, maintenant on rentre dans un schéma avec un match par semaine. »\n\nSi quelques équipes se sont déjà positionnées tout en haut de la hiérarchie, pour beaucoup d’autres la boussole indique tout autant les playoffs que le triangle des Bermudes. Avant le match, Gravelines et Le Mans, deux équipes à la masse salariale comparable (5e de Jeep Elite pour le BCM, 7e pour le MSB), étaient dans les mêmes eaux mais leur victoire en terre mancelle offre aux Maritimes une vraie plus-value et désormais deux crans de mieux que leurs rivaux. Pas négligeable dans un championnat où Cholet voué à la relégation selon nombre de pronostiqueurs est un cador et quelques cadors présumés sont à la ramasse.\n\n« A l’image de Kunter, je trouve Cholet très intense et ils vont exister dans le championnat car c’est une donnée très importante », juge Bartecheky. « Il y a pas mal de soucis dans les équipes et ça va demander peut-être du temps pour que les choses se décantent. Il y a peut-être le fait qu’il y ait trois descentes qui fait que chaque match est très important. Bien sûr que l’on est ambitieux, que l’on a envie de gagner le prochain match, de ne pas se fixer de limites, à Gravelines, le club n’a pas vécu les playoffs depuis une paire d’années et il est en attente de ça mais il est conscient, au même titre que nous, qu’il y a trois descentes cette année, qu’il y a de très bonnes équipes qui sont en haut et qui ne vont pas lâcher les places comme ça. Il y a déjà six équipes qui vont les avoir presque à coup sûr. Je suis plus dans l’idée, « mettons-nous à l’abri le plus rapidement possible par rapport à un maintien avec trois descentes et on verra après ».\n\nx\n\n[armelse]\n\n« J’avais décidé de prendre le match en étant relativement calme. Sur l’ensemble du match, j’ai réussi à prendre du recul. C’est toujours un plaisir de revenir dans le club du Mans avec tout ce qui s’est passé. »\n\nEric Bartecheky est revenu, il a vu, il a vaincu. 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« Labeyrie n’a pas pu se contenir lorsqu’il a entendu des cris prétendument racistes et a dû être retenu pour qu’il n’aille pas directement dans les tribunes, » écrit Marca.
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« Vous pouvez clairement voir qu’il n’y avait aucune intention de balancer cette bouteille à un des fans de UCAM, je retournais simplement sur le banc normalement… Quoi qu’il en soit, je tiens à présenter mes excuses auprès du fan qui l’a malheureusement reçu et j’aurais plaisir à entrer en contact avec lui pour une raison personnelle. »
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Le concept c’est de sortir des cartes de collection, plutôt jolies, en premier lieu. Je voulais surtout avoir pas mal d’infos, et pas seulement une carte type \"],[0,[1],1,\"Panini\"],[0,[],0,\" sans retouche, ni rien. Ici, on présente plusieurs infos au dos de la carte comme les stats, la bio, la taille… Le deuxième pari c’était de faire un jeu autour de ça, mais je ne voulais pas qu’il transparaisse dans les cartes. Il n’y a aucun marqueur de jeu sur les cartes. Il n’y a pas de grosses pastilles avec les points en attaque et en défense. Le jeu, c’est créer son cinq majeur et comparer les stats après. Ensuite, il y a toute une mécanique de jeu qui peut être pour les gamins de 5 ans ou plus compliquée pour les adultes. J’ai pensé ce jeu pour les familles et pour les temps off pour les gamins en stage, les passionnés de basket dans les tribunes entre deux matchs. Il y a donc le jeu, et ensuite il y a l’application. La base, c’est de faire un effet « wahou ». C’est comme à l’époque quand on n’avait pas de site internet on était has been. L’application je voulais quand même qu’elle serve à quelque chose. Il y a un effet réalité augmentée qui permet de flasher la carte, d’avoir le joueur en réalité augmentée et d’avoir son nom, ses points par match en surinformation… Il y a aussi un lien vers ses stats et ses réseaux sociaux. Je voulais que ça serve à quelque chose. Il y a aussi le début des règles sur l’application. On ne peut pas faire tout le jeu, mais il y a le départ et il faut flasher la carte de son joueur pour pouvoir l’utiliser, sinon il est bloqué. La dernière fonction que j’ai mise c’est de pouvoir se prendre à côté de Youssoupha Fall. On peut se prendre en photo à côté de lui et comparer les tailles. J’espère d’ailleurs qu’on pourra développer cette fonctionnalité avec les clubs de Jeep Elite. Pour le projet, je voulais avoir le retour des clubs pour avoir un marché local. Il y a six clubs qui ont suivi : Nanterre, Strasbourg, Limoges, Nancy, Gravelines-Dunkerque et Cholet. On a pu lancer que tardivement, mais on a quand même pu lancer fin avril à la limite des playoffs. Il y aura certainement une saison 2 au mois de décembre et il y aura l’essentiel des clubs.\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je n’ai reçu aucune aide financière. Pour les droits à l’image, tout est offert, c’était ma condition sine qua non »\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Quel est votre parcours dans le basket ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai joué de 8 à 23 ans. J’ai arrêté parce que j’étais à Paris et je lançais mon activité professionnelle donc j’étais moins investi dans le sport. J’ai joué dans l’équipe 2 de Boulazac qui a été en excellence région et en Nationale 3. On était les partenaires d’entraînement de l’équipe 1 qui jouait en Nationale 1. C’était plutôt sympa, mais pas de quoi faire une carrière.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Qu’est-ce qui vous a donné l’idée de faire de cartes sur le basket français ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La passion, le fait que j’ai eu des cartes quand j’étais adolescent. J’avais la NBA mais aussi sur le basket français, je me souviens d’avoir eu des cartes LNB avec Didier Gadou etc. Avec mon fils, on s’était naturellement imprimé des cartes de Nanterre avec les stats et on avait fait des duels. C’est finalement en faisant un petit jeu avec mon fils que je me suis dit que ça pouvait être une bonne idée. Et à Nanterre, Anthony Marques, le responsable de la communication est très positif. Il a toujours envie de nouveaux projets. Il est très moteur et on a pu très vite échanger là-dessus, il a directement dit banco. Ensuite, Jean Donnadieu (Président Nanterre 92) m’a présenté à un peu tout le monde, aux clubs, à la LNB. A la FFBB, j’ai eu la chance de rencontrer le club des internationaux avec notamment Jacky Chazalon et Isabelle Fijalkowski qui ont été très moteurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Avec quels moyens financiers s’est lancé cette entreprise ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je n’ai reçu aucune aide financière. Pour les droits à l’image, tout est offert, c’était ma condition sine qua non. Par contre, j’ai financé tout le reste. J’ai collecté toutes les photos, j’ai fait la création. Maintenant, j’ai une équipe de création, tous fans de basket, qui font un website sur le basket, c’est d’ailleurs via cela que je les ai rencontrés. Tout ce qui est impression etc, tout est financé de fonds propres, les miens. J’ai eu la chance de pouvoir vendre ma petite agence digitale, et de récupérer de l’argent m’ayant permis de lancer \"],[0,[1],1,\"Slam Deck\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Combien vous a-t-il fallu de temps pour mettre tout ça sur pied ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Entre l’idée, toutes les rencontres, la réalisation, 18 mois se sont écoulés.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Est-ce maintenant votre seule activité professionnelle ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Non. J’ai deux petites sociétés qui représentent 30% de mon temps, le reste est consacré à \"],[0,[1],1,\"Slam Deck\"],[0,[],0,\". Je suis à fond \"],[0,[1],1,\"Slam Deck\"],[0,[],0,\" parce que je pense qu’il faut que ça fonctionne jusqu’à fin septembre. Pour que ça fonctionne, j’ai besoin de beaucoup de temps pour trouver les bons relais.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Où cette collection est-elle en vente ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Elle est disponible sur le site \"],[0,[1,3],2,\"Slam Deck\"],[0,[3],1,\",\"],[0,[],0,\" sur \"],[0,[4],1,\"Basket Europe\"],[0,[],0,\" et la FFBB devrait la mettre en ligne. En attendant, c’est déjà disponible en boutique physique de la fédération. Les cartes sont aussi disponibles dans les boutiques des clubs partenaires et au Leclerc de Nanterre. Chez les partenaires locaux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Comment assurez-vous la promotion ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les clubs sont investis. Ils font pas mal de pub, notamment en interne avec les clubs de supporters. Le club de Nanterre me permet aussi de rencontrer les sponsors. Je fais aussi de la promotion sur les réseaux sociaux. Quelques joueurs et quelques clubs ont aussi joué le jeu et il y a maintenant le gros à venir avec l’Equipe de France.\"]]],[10,1],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« C’est satisfaisant comme démarrage. Ce n’est pas du tout catastrophique, c’est plutôt bon mais ce n’est pas non plus encore la ruée vers les cartes »\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Êtes-vous satisfait des premiers retours ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui ! On peut toujours rêver faire mieux parce que ce sont des belles cartes, il y a un beau projet donc on espère que ça va cartonner. En lançant à cette période je savais déjà qu’il n’y aurait pas l’effet Noël. En juillet, il y a l’Eurobasket féminin et en septembre il y a la coupe du monde masculine donc tout est là pour assoir le projet. C’est satisfaisant comme démarrage. Ce n’est pas du tout catastrophique, c’est plutôt bon mais ce n’est pas non plus encore la ruée vers les cartes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Avez-vous eu des retours de certains joueurs ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui et notamment ceux de Nanterre. Ils sont ravis d’avoir les cartes. Ceux qui ont des enfants encore plus parce qu’ils peuvent leur montrer ça. Il y a une petite fierté d’avoir sa carte je pense. Surtout pour les étrangers, les Américains qui ont l’habitude de ça. Tout le monde est derrière le projet, c’est un moyen de crédibiliser un peu le basket français. Ça permet aussi aux jeunes de mémoriser qui sont les joueurs, quand ils voient une carte ils retiennent qui c’est, de quel club il vient. Ça donne de l’importance aux joueurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Pour quand est prévue la deuxième collection et quelles seront les nouveautés ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les cartes sortiront peu avant Noël. Il y aura un peu plus de légendes sur les cartes des équipes de France. Il y aura un nouveau travail graphique parce que c’est ça qui plait. Les cartes légendes c’est la rareté de la collection, elles seront retravaillées. Le côté graphique sera encore plus prononcé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Qui se cache derrière Slam Deck et qu’est-ce que c’est exactement ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je m’appelle Stéphane. Je viens de l’entreprenariat, je suis plutôt dans le domaine informatique avec une agence digitale. Mon agence avait notamment refait le site de Nanterre 92. J’étais déjà sponsor du club et mon fils ayant commencé le basket, je m’y suis remis à fond comme quand j’étais plus jeune. A Nanterre, l’équipe en interne est sympathique, ils ont écouté ce que j’avais en tête et ça a donné \"],[0,[1],1,\"Slam Deck\"],[0,[],0,\". Ils ont fair pas mal d’efforts pour me permettre de rencontrer la ville, l’UCPB (Union des Clubs Professionnels de Basket), le syndicat des joueurs, la FFBB… Ça a mis un petit bout de temps entre murir le projet, le présenter et jusqu’à ce que ça accroche au niveau des instances. Le concept c’est de sortir des cartes de collection, plutôt jolies, en premier lieu. Je voulais surtout avoir pas mal d’infos, et pas seulement une carte type \"],[0,[1],1,\"Panini\"],[0,[],0,\" sans retouche, ni rien. Ici, on présente plusieurs infos au dos de la carte comme les stats, la bio, la taille… Le deuxième pari c’était de faire un jeu autour de ça, mais je ne voulais pas qu’il transparaisse dans les cartes. Il n’y a aucun marqueur de jeu sur les cartes. Il n’y a pas de grosses pastilles avec les points en attaque et en défense. Le jeu, c’est créer son cinq majeur et comparer les stats après. Ensuite, il y a toute une mécanique de jeu qui peut être pour les gamins de 5 ans ou plus compliquée pour les adultes. J’ai pensé ce jeu pour les familles et pour les temps off pour les gamins en stage, les passionnés de basket dans les tribunes entre deux matchs. Il y a donc le jeu, et ensuite il y a l’application. La base, c’est de faire un effet « wahou ». C’est comme à l’époque quand on n’avait pas de site internet on était has been. L’application je voulais quand même qu’elle serve à quelque chose. Il y a un effet réalité augmentée qui permet de flasher la carte, d’avoir le joueur en réalité augmentée et d’avoir son nom, ses points par match en surinformation… Il y a aussi un lien vers ses stats et ses réseaux sociaux. Je voulais que ça serve à quelque chose. Il y a aussi le début des règles sur l’application. On ne peut pas faire tout le jeu, mais il y a le départ et il faut flasher la carte de son joueur pour pouvoir l’utiliser, sinon il est bloqué. La dernière fonction que j’ai mise c’est de pouvoir se prendre à côté de Youssoupha Fall. On peut se prendre en photo à côté de lui et comparer les tailles. J’espère d’ailleurs qu’on pourra développer cette fonctionnalité avec les clubs de Jeep Elite. Pour le projet, je voulais avoir le retour des clubs pour avoir un marché local. Il y a six clubs qui ont suivi : Nanterre, Strasbourg, Limoges, Nancy, Gravelines-Dunkerque et Cholet. On a pu lancer que tardivement, mais on a quand même pu lancer fin avril à la limite des playoffs. Il y aura certainement une saison 2 au mois de décembre et il y aura l’essentiel des clubs.\"]]],[10,2],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je n’ai reçu aucune aide financière. Pour les droits à l’image, tout est offert, c’était ma condition sine qua non »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"],[1,[],0,1],[1,[],0,2]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Slam Deck, c’est une collection de cartes sur le basket français à collectionner qui servent aussi à jouer. Son créateur nous en dit plus.
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Qui se cache derrière Slam Deck et qu’est-ce que c’est exactement ?
Je m’appelle Stéphane. Je viens de l’entreprenariat, je suis plutôt dans le domaine informatique avec une agence digitale. Mon agence avait notamment refait le site de Nanterre 92. J’étais déjà sponsor du club et mon fils ayant commencé le basket, je m’y suis remis à fond comme quand j’étais plus jeune. A Nanterre, l’équipe en interne est sympathique, ils ont écouté ce que j’avais en tête et ça a donné Slam Deck. Ils ont fair pas mal d’efforts pour me permettre de rencontrer la ville, l’UCPB (Union des Clubs Professionnels de Basket), le syndicat des joueurs, la FFBB… Ça a mis un petit bout de temps entre murir le projet, le présenter et jusqu’à ce que ça accroche au niveau des instances. Le concept c’est de sortir des cartes de collection, plutôt jolies, en premier lieu. Je voulais surtout avoir pas mal d’infos, et pas seulement une carte type Panini sans retouche, ni rien. Ici, on présente plusieurs infos au dos de la carte comme les stats, la bio, la taille… Le deuxième pari c’était de faire un jeu autour de ça, mais je ne voulais pas qu’il transparaisse dans les cartes. Il n’y a aucun marqueur de jeu sur les cartes. Il n’y a pas de grosses pastilles avec les points en attaque et en défense. Le jeu, c’est créer son cinq majeur et comparer les stats après. Ensuite, il y a toute une mécanique de jeu qui peut être pour les gamins de 5 ans ou plus compliquée pour les adultes. J’ai pensé ce jeu pour les familles et pour les temps off pour les gamins en stage, les passionnés de basket dans les tribunes entre deux matchs. Il y a donc le jeu, et ensuite il y a l’application. La base, c’est de faire un effet « wahou ». C’est comme à l’époque quand on n’avait pas de site internet on était has been. L’application je voulais quand même qu’elle serve à quelque chose. Il y a un effet réalité augmentée qui permet de flasher la carte, d’avoir le joueur en réalité augmentée et d’avoir son nom, ses points par match en surinformation… Il y a aussi un lien vers ses stats et ses réseaux sociaux. Je voulais que ça serve à quelque chose. Il y a aussi le début des règles sur l’application. On ne peut pas faire tout le jeu, mais il y a le départ et il faut flasher la carte de son joueur pour pouvoir l’utiliser, sinon il est bloqué. La dernière fonction que j’ai mise c’est de pouvoir se prendre à côté de Youssoupha Fall. On peut se prendre en photo à côté de lui et comparer les tailles. J’espère d’ailleurs qu’on pourra développer cette fonctionnalité avec les clubs de Jeep Elite. Pour le projet, je voulais avoir le retour des clubs pour avoir un marché local. Il y a six clubs qui ont suivi : Nanterre, Strasbourg, Limoges, Nancy, Gravelines-Dunkerque et Cholet. On a pu lancer que tardivement, mais on a quand même pu lancer fin avril à la limite des playoffs. Il y aura certainement une saison 2 au mois de décembre et il y aura l’essentiel des clubs.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/07/slam-deck-4.png\")
« Je n’ai reçu aucune aide financière. Pour les droits à l’image, tout est offert, c’était ma condition sine qua non »
Quel est votre parcours dans le basket ?
J’ai joué de 8 à 23 ans. J’ai arrêté parce que j’étais à Paris et je lançais mon activité professionnelle donc j’étais moins investi dans le sport. J’ai joué dans l’équipe 2 de Boulazac qui a été en excellence région et en Nationale 3. On était les partenaires d’entraînement de l’équipe 1 qui jouait en Nationale 1. C’était plutôt sympa, mais pas de quoi faire une carrière.
Qu’est-ce qui vous a donné l’idée de faire de cartes sur le basket français ?
La passion, le fait que j’ai eu des cartes quand j’étais adolescent. J’avais la NBA mais aussi sur le basket français, je me souviens d’avoir eu des cartes LNB avec Didier Gadou etc. Avec mon fils, on s’était naturellement imprimé des cartes de Nanterre avec les stats et on avait fait des duels. C’est finalement en faisant un petit jeu avec mon fils que je me suis dit que ça pouvait être une bonne idée. Et à Nanterre, Anthony Marques, le responsable de la communication est très positif. Il a toujours envie de nouveaux projets. Il est très moteur et on a pu très vite échanger là-dessus, il a directement dit banco. Ensuite, Jean Donnadieu (Président Nanterre 92) m’a présenté à un peu tout le monde, aux clubs, à la LNB. A la FFBB, j’ai eu la chance de rencontrer le club des internationaux avec notamment Jacky Chazalon et Isabelle Fijalkowski qui ont été très moteurs.
Avec quels moyens financiers s’est lancé cette entreprise ?
Je n’ai reçu aucune aide financière. Pour les droits à l’image, tout est offert, c’était ma condition sine qua non. Par contre, j’ai financé tout le reste. J’ai collecté toutes les photos, j’ai fait la création. Maintenant, j’ai une équipe de création, tous fans de basket, qui font un website sur le basket, c’est d’ailleurs via cela que je les ai rencontrés. Tout ce qui est impression etc, tout est financé de fonds propres, les miens. J’ai eu la chance de pouvoir vendre ma petite agence digitale, et de récupérer de l’argent m’ayant permis de lancer Slam Deck.
Combien vous a-t-il fallu de temps pour mettre tout ça sur pied ?
Entre l’idée, toutes les rencontres, la réalisation, 18 mois se sont écoulés.
Est-ce maintenant votre seule activité professionnelle ?
Non. J’ai deux petites sociétés qui représentent 30% de mon temps, le reste est consacré à Slam Deck. Je suis à fond Slam Deck parce que je pense qu’il faut que ça fonctionne jusqu’à fin septembre. Pour que ça fonctionne, j’ai besoin de beaucoup de temps pour trouver les bons relais.
Où cette collection est-elle en vente ?
Elle est disponible sur le site Slam Deck, sur Basket Europe et la FFBB devrait la mettre en ligne. En attendant, c’est déjà disponible en boutique physique de la fédération. Les cartes sont aussi disponibles dans les boutiques des clubs partenaires et au Leclerc de Nanterre. Chez les partenaires locaux.
Comment assurez-vous la promotion ?
Les clubs sont investis. Ils font pas mal de pub, notamment en interne avec les clubs de supporters. Le club de Nanterre me permet aussi de rencontrer les sponsors. Je fais aussi de la promotion sur les réseaux sociaux. Quelques joueurs et quelques clubs ont aussi joué le jeu et il y a maintenant le gros à venir avec l’Equipe de France.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/07/lahaou-konate.jpg\")
« C’est satisfaisant comme démarrage. Ce n’est pas du tout catastrophique, c’est plutôt bon mais ce n’est pas non plus encore la ruée vers les cartes »
Êtes-vous satisfait des premiers retours ?
Oui ! On peut toujours rêver faire mieux parce que ce sont des belles cartes, il y a un beau projet donc on espère que ça va cartonner. En lançant à cette période je savais déjà qu’il n’y aurait pas l’effet Noël. En juillet, il y a l’Eurobasket féminin et en septembre il y a la coupe du monde masculine donc tout est là pour assoir le projet. C’est satisfaisant comme démarrage. Ce n’est pas du tout catastrophique, c’est plutôt bon mais ce n’est pas non plus encore la ruée vers les cartes.
Avez-vous eu des retours de certains joueurs ?
Oui et notamment ceux de Nanterre. Ils sont ravis d’avoir les cartes. Ceux qui ont des enfants encore plus parce qu’ils peuvent leur montrer ça. Il y a une petite fierté d’avoir sa carte je pense. Surtout pour les étrangers, les Américains qui ont l’habitude de ça. Tout le monde est derrière le projet, c’est un moyen de crédibiliser un peu le basket français. Ça permet aussi aux jeunes de mémoriser qui sont les joueurs, quand ils voient une carte ils retiennent qui c’est, de quel club il vient. Ça donne de l’importance aux joueurs.
Pour quand est prévue la deuxième collection et quelles seront les nouveautés ?
Les cartes sortiront peu avant Noël. Il y aura un peu plus de légendes sur les cartes des équipes de France. Il y aura un nouveau travail graphique parce que c’est ça qui plait. Les cartes légendes c’est la rareté de la collection, elles seront retravaillées. Le côté graphique sera encore plus prononcé.
[armelse]
Qui se cache derrière Slam Deck et qu’est-ce que c’est exactement ?
Je m’appelle Stéphane. Je viens de l’entreprenariat, je suis plutôt dans le domaine informatique avec une agence digitale. Mon agence avait notamment refait le site de Nanterre 92. J’étais déjà sponsor du club et mon fils ayant commencé le basket, je m’y suis remis à fond comme quand j’étais plus jeune. A Nanterre, l’équipe en interne est sympathique, ils ont écouté ce que j’avais en tête et ça a donné Slam Deck. Ils ont fair pas mal d’efforts pour me permettre de rencontrer la ville, l’UCPB (Union des Clubs Professionnels de Basket), le syndicat des joueurs, la FFBB… Ça a mis un petit bout de temps entre murir le projet, le présenter et jusqu’à ce que ça accroche au niveau des instances. Le concept c’est de sortir des cartes de collection, plutôt jolies, en premier lieu. Je voulais surtout avoir pas mal d’infos, et pas seulement une carte type Panini sans retouche, ni rien. Ici, on présente plusieurs infos au dos de la carte comme les stats, la bio, la taille… Le deuxième pari c’était de faire un jeu autour de ça, mais je ne voulais pas qu’il transparaisse dans les cartes. Il n’y a aucun marqueur de jeu sur les cartes. Il n’y a pas de grosses pastilles avec les points en attaque et en défense. Le jeu, c’est créer son cinq majeur et comparer les stats après. Ensuite, il y a toute une mécanique de jeu qui peut être pour les gamins de 5 ans ou plus compliquée pour les adultes. J’ai pensé ce jeu pour les familles et pour les temps off pour les gamins en stage, les passionnés de basket dans les tribunes entre deux matchs. Il y a donc le jeu, et ensuite il y a l’application. La base, c’est de faire un effet « wahou ». C’est comme à l’époque quand on n’avait pas de site internet on était has been. L’application je voulais quand même qu’elle serve à quelque chose. Il y a un effet réalité augmentée qui permet de flasher la carte, d’avoir le joueur en réalité augmentée et d’avoir son nom, ses points par match en surinformation… Il y a aussi un lien vers ses stats et ses réseaux sociaux. Je voulais que ça serve à quelque chose. Il y a aussi le début des règles sur l’application. On ne peut pas faire tout le jeu, mais il y a le départ et il faut flasher la carte de son joueur pour pouvoir l’utiliser, sinon il est bloqué. La dernière fonction que j’ai mise c’est de pouvoir se prendre à côté de Youssoupha Fall. On peut se prendre en photo à côté de lui et comparer les tailles. J’espère d’ailleurs qu’on pourra développer cette fonctionnalité avec les clubs de Jeep Elite. Pour le projet, je voulais avoir le retour des clubs pour avoir un marché local. Il y a six clubs qui ont suivi : Nanterre, Strasbourg, Limoges, Nancy, Gravelines-Dunkerque et Cholet. On a pu lancer que tardivement, mais on a quand même pu lancer fin avril à la limite des playoffs. Il y aura certainement une saison 2 au mois de décembre et il y aura l’essentiel des clubs.
« Je n’ai reçu aucune aide financière. Pour les droits à l’image, tout est offert, c’était ma condition sine qua non »
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Cette nuit, les San Antonio Spurs ont retiré le numéro 9 et suspendu le maillot de Tony Parker, le meilleur basketteur français de tous les temps. Voici l’évènement raconté sur twitter par ceux qui étaient présents.
Photos d’ouverture: les joueuses et les joueurs de l’ASVEL. Photo de Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB.
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Alors que les trois premières prestations de Vichy Clermont Métropole (le nom du fruit de cette fusion) s’étaient soldés par des résultats mitigés en Pro B, avec même une année terminée pas très loin de la relégation (14\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" en 2016-17), le VCM a connu une bien belle saison dernière, achevée à la 3\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" place (24 victoires et 10 défaites) avant de se terminer un peu abruptement en quarts-de-finale de playoffs face à Gries-Oberhoffen (élimination en deux manches).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour arriver à ce beau résultat, l’entraîneur principal, Guillaume Vizade, avait cherché à constituer un effectif plus porté sur la défense que ses prédécesseurs. Difficile de dire que cela a été le cas : après deux années à 79,1 points encaissés (2016-17) puis 80,3 points (2017-18), la défense vichysso-clermontoise a concédé 81,0 points par match la saison dernière ! Mais si cet axe de travail n’a pas réellement été fructueux, les joueurs de la JA ont plus que largement compensé de l’autre côté du terrain : 83,2 points marqués (contre 80,3 et 75,9 un et deux ans plus tôt, soit 7,3 points de plus en l’espace de deux saisons !). Autant dire que cela a joyeusement artillé pendant la saison, avec six joueurs à 8,7 points ou plus de moyenne : l’inusable totem Mo’ Kone (8,7 points), la bonne surprise Mehdy Ngouama (9,8 points), la plus belle barbe de la LNB, Charles-Henri Bronchard (11,1 points), le meneur Quinton Hooker (12,4 points), le très complet Andell Cumberbatch (12,6 points) et le redoutable sixième homme David Denave (13,7 points).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le problème pour Guillaume Vizade, c’est que trois de ces artilleurs sont partis à l’intersaison – Ngouama, Cumberbatch et Hooker –, ainsi qu’Arnaud-William Adala Moto et Romuald Morency. Autrement dit, quatre des cinq membres du cinq majeur (Hooker, Cumberbatch, Morency et Adala Moto). Il a donc fallu reconstruire un effectif cet été à partir des jeunes Grégory Bengaber et Serge Mourtala ainsi que du trio de « papys flingueurs » David Denave (34 ans), Charles-Henri Bronchard (37 ans) et Mo’ Kone (38 ans, l’un des plus vieux participants à la dernière Coupe du monde, sous le maillot ivoirien).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ne manquant déjà pas d’expérience avec cette triplette, le VCM en a rajouté avec l’intérieur bourlingueur Kévin Mondésir et l’Espagnol de caractère (il n’a pas laissé que de bons souvenirs à Lille en matière de comportement) Marcos Suka-Umu. Pour ajouter de la dimension athlétique, l’international sénégalais Momar Ndoye (il a participé à la Coupe du monde dans un rôle de bout du banc) est arrivé, ainsi que l’ailier américain Pendarvis Williams, qui jouait l’an dernier avec Michael Stockton (nouveau meneur de Cholet) à Göttingen. Enfin, Arthur Rozenfeld, qui n’a pas réussi à s’imposer en Jeep Élite, revient en Pro B se refaire un moral et montrer ses compétences.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au total, tout cela constitue un effectif de belle qualité, comportant peu d’incertitudes (la seule véritable concernant le niveau de Williams). Il serait étonnant de ne pas voir le VCM en playoffs, pour peu que, comme pour toutes les équipes, les blessures épargnent l’effectif. La seule véritable question, en fait, est : n’est-ce pas la dernière saison où l’on aura l’occasion de voir les trois « papys flingueurs » sur le parquet (même si Denave et Bronchard ont prolongé jusqu’en 2021) ?\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Il y avait deux aspects sur lesquels faire progresser le groupe : la notion d’adresse, avec plus d’alternance, répartir ce danger d’adresse, et la notion d’expérience à l’extérieur, hors David (\"],[0,[1],1,\"Denave\"],[0,[],0,\"). Tous ceux qui arrivent dans ce secteur ont la caractéristique de l’adresse – Arthur Rozenfeld, Marcos Suka-Umu, Momar Ndoye – et de l’expérience. Arthur, par exemple, a 24 ans, mais, depuis ses 19 ans, il est meneur principal en Pro B ou backup en Pro A. À partir de là, l’objectif sera de réitérer une qualification en playoffs. Cette saison, la seule montée se jouera lors de cette phase. Et on jouera le jeu jusqu’au bout. » Guillaume Vizade, entraîneur principal\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\":\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Arthur Rozenfeld (1,81m, 24 ans)\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En deux saisons de Jeep Élite dans un rôle de meneur remplaçant (2,8 points et 2,0 passes pour 3,2 d’évaluation avec Chalon-sur-Saône puis 4,6 points et 3,0 passes pour 5,2 d’évaluation avec Bourg-en-Bresse), le meneur plein de promesses lors de ses années au centre de formation de l’Asvel puis de ses deux belles saisons en Pro B entre 2015 et 2017 (14,5 points et 4,4 passes pour 13,4 d’évaluation avec Roanne en 2016-17, notamment) n’a pas réussi à s’imposer à l’étage supérieur. Sagement, il redescend dans la division où il a percé afin d’y retrouver sa confiance et un rôle de titulaire. Vif, capable d’organiser comme de scorer, il devrait former un trident arrière redoutable avec David Denave et Marcos Suka-Umu.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Serge Mourtala (2,12m, 21 ans)\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Débarqué il y a deux ans de quatrième division espagnole (deux ans à Torrelodones), le natif de Niamey (Niger) poursuit sa progression en terre auvergnate. D’abord au niveau physique, puisque le longiligne pivot a pris 25 kg (112 kg aujourd’hui) depuis son arrivée ! Mais aussi dans son jeu : il a pratiquement triplé ses statistiques d’une saison sur l’autre (2,2 points à 55,0 % aux tirs, 2,9 rebonds et 4,2 d’évaluation la saison dernière). Et il semble avoir franchi un véritable cap pendant l’intersaison : en préparation, il a tourné à 9,7 points (57,0 % aux tirs) et 7,2 rebonds avant de produire 8 points (2/3 aux tirs), 8 rebonds et 1 contre pour 16 d’évaluation lors de son premier match officiel en Leaders Cup. Une bonne façon de justifier la confiance que le club a placée en lui en le prolongeant pour trois ans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Arrivées : \"],[0,[],0,\"Kévin Mondésir (Quimper), Momar Ndoye (Feurs, NM1), Arthur Rozenfeld (Bourg-en-Bresse, Jeep Élite), Marcos Suka-Umu (Lille), Pendarvis Williams (Göttingen, Allemagne).\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Départs : \"],[0,[],0,\"Arnaud-William Adala Moto (Nancy), Andell Cumberbatch (Bruxelles, Belgique), Quinton Hooker (Szombathely, Hongrie), Romuald Morency (Antibes), Mehdy Ngouama.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Effectif 2019-20 :\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Meneurs :\"],[0,[],0,\" Arthur Rozenfeld, Grégory Bengaber\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Extérieurs :\"],[0,[],0,\" David Denave, Marcos Suka-Umu (Espagnol, Bosman), Pendarvis Williams (Américain), Momar Ndoye\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Intérieurs :\"],[0,[],0,\" Kévin Mondésir, Charles-Henri Bronchard, Mohamed Kone (Franco-ivoirien, JFL), Serge Mourtala (Nigérien, Cotonou)\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Le cinq majeur probable :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Rozenfeld – Suka-Umu – Williams – Mondésir – Kone\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Entraîneur :\"],[0,[],0,\" Guillaume Vizade \"],[0,[2],1,\"Assistant :\"],[0,[],0,\" Jonathan Nebout\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour arriver à ce beau résultat, l’entraîneur principal, Guillaume Vizade, avait cherché à constituer un effectif plus porté sur la défense que ses prédécesseurs. 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Alors que les trois premières prestations de Vichy Clermont Métropole (le nom du fruit de cette fusion) s’étaient soldés par des résultats mitigés en Pro B, avec même une année terminée pas très loin de la relégation (14e en 2016-17), le VCM a connu une bien belle saison dernière, achevée à la 3e place (24 victoires et 10 défaites) avant de se terminer un peu abruptement en quarts-de-finale de playoffs face à Gries-Oberhoffen (élimination en deux manches).
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Pour arriver à ce beau résultat, l’entraîneur principal, Guillaume Vizade, avait cherché à constituer un effectif plus porté sur la défense que ses prédécesseurs. Difficile de dire que cela a été le cas : après deux années à 79,1 points encaissés (2016-17) puis 80,3 points (2017-18), la défense vichysso-clermontoise a concédé 81,0 points par match la saison dernière ! Mais si cet axe de travail n’a pas réellement été fructueux, les joueurs de la JA ont plus que largement compensé de l’autre côté du terrain : 83,2 points marqués (contre 80,3 et 75,9 un et deux ans plus tôt, soit 7,3 points de plus en l’espace de deux saisons !). Autant dire que cela a joyeusement artillé pendant la saison, avec six joueurs à 8,7 points ou plus de moyenne : l’inusable totem Mo’ Kone (8,7 points), la bonne surprise Mehdy Ngouama (9,8 points), la plus belle barbe de la LNB, Charles-Henri Bronchard (11,1 points), le meneur Quinton Hooker (12,4 points), le très complet Andell Cumberbatch (12,6 points) et le redoutable sixième homme David Denave (13,7 points).
Le problème pour Guillaume Vizade, c’est que trois de ces artilleurs sont partis à l’intersaison – Ngouama, Cumberbatch et Hooker –, ainsi qu’Arnaud-William Adala Moto et Romuald Morency. Autrement dit, quatre des cinq membres du cinq majeur (Hooker, Cumberbatch, Morency et Adala Moto). Il a donc fallu reconstruire un effectif cet été à partir des jeunes Grégory Bengaber et Serge Mourtala ainsi que du trio de « papys flingueurs » David Denave (34 ans), Charles-Henri Bronchard (37 ans) et Mo’ Kone (38 ans, l’un des plus vieux participants à la dernière Coupe du monde, sous le maillot ivoirien).
Ne manquant déjà pas d’expérience avec cette triplette, le VCM en a rajouté avec l’intérieur bourlingueur Kévin Mondésir et l’Espagnol de caractère (il n’a pas laissé que de bons souvenirs à Lille en matière de comportement) Marcos Suka-Umu. Pour ajouter de la dimension athlétique, l’international sénégalais Momar Ndoye (il a participé à la Coupe du monde dans un rôle de bout du banc) est arrivé, ainsi que l’ailier américain Pendarvis Williams, qui jouait l’an dernier avec Michael Stockton (nouveau meneur de Cholet) à Göttingen. Enfin, Arthur Rozenfeld, qui n’a pas réussi à s’imposer en Jeep Élite, revient en Pro B se refaire un moral et montrer ses compétences.
Au total, tout cela constitue un effectif de belle qualité, comportant peu d’incertitudes (la seule véritable concernant le niveau de Williams). Il serait étonnant de ne pas voir le VCM en playoffs, pour peu que, comme pour toutes les équipes, les blessures épargnent l’effectif. La seule véritable question, en fait, est : n’est-ce pas la dernière saison où l’on aura l’occasion de voir les trois « papys flingueurs » sur le parquet (même si Denave et Bronchard ont prolongé jusqu’en 2021) ?
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/vizade.jpg\")
« Il y avait deux aspects sur lesquels faire progresser le groupe : la notion d’adresse, avec plus d’alternance, répartir ce danger d’adresse, et la notion d’expérience à l’extérieur, hors David (Denave). Tous ceux qui arrivent dans ce secteur ont la caractéristique de l’adresse – Arthur Rozenfeld, Marcos Suka-Umu, Momar Ndoye – et de l’expérience. Arthur, par exemple, a 24 ans, mais, depuis ses 19 ans, il est meneur principal en Pro B ou backup en Pro A. À partir de là, l’objectif sera de réitérer une qualification en playoffs. Cette saison, la seule montée se jouera lors de cette phase. Et on jouera le jeu jusqu’au bout. » Guillaume Vizade, entraîneur principalLes deux joueurs à suivre
:
Arthur Rozenfeld (1,81m, 24 ans)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/rozenfeld-alain-chenevi-c3-a8re.jpg\")
En deux saisons de Jeep Élite dans un rôle de meneur remplaçant (2,8 points et 2,0 passes pour 3,2 d’évaluation avec Chalon-sur-Saône puis 4,6 points et 3,0 passes pour 5,2 d’évaluation avec Bourg-en-Bresse), le meneur plein de promesses lors de ses années au centre de formation de l’Asvel puis de ses deux belles saisons en Pro B entre 2015 et 2017 (14,5 points et 4,4 passes pour 13,4 d’évaluation avec Roanne en 2016-17, notamment) n’a pas réussi à s’imposer à l’étage supérieur. Sagement, il redescend dans la division où il a percé afin d’y retrouver sa confiance et un rôle de titulaire. Vif, capable d’organiser comme de scorer, il devrait former un trident arrière redoutable avec David Denave et Marcos Suka-Umu.
Serge Mourtala (2,12m, 21 ans)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/mourtala.jpg\")
Débarqué il y a deux ans de quatrième division espagnole (deux ans à Torrelodones), le natif de Niamey (Niger) poursuit sa progression en terre auvergnate. D’abord au niveau physique, puisque le longiligne pivot a pris 25 kg (112 kg aujourd’hui) depuis son arrivée ! Mais aussi dans son jeu : il a pratiquement triplé ses statistiques d’une saison sur l’autre (2,2 points à 55,0 % aux tirs, 2,9 rebonds et 4,2 d’évaluation la saison dernière). Et il semble avoir franchi un véritable cap pendant l’intersaison : en préparation, il a tourné à 9,7 points (57,0 % aux tirs) et 7,2 rebonds avant de produire 8 points (2/3 aux tirs), 8 rebonds et 1 contre pour 16 d’évaluation lors de son premier match officiel en Leaders Cup. Une bonne façon de justifier la confiance que le club a placée en lui en le prolongeant pour trois ans.
Arrivées : Kévin Mondésir (Quimper), Momar Ndoye (Feurs, NM1), Arthur Rozenfeld (Bourg-en-Bresse, Jeep Élite), Marcos Suka-Umu (Lille), Pendarvis Williams (Göttingen, Allemagne).
Départs : Arnaud-William Adala Moto (Nancy), Andell Cumberbatch (Bruxelles, Belgique), Quinton Hooker (Szombathely, Hongrie), Romuald Morency (Antibes), Mehdy Ngouama.
Effectif 2019-20 :
Meneurs : Arthur Rozenfeld, Grégory Bengaber
Extérieurs : David Denave, Marcos Suka-Umu (Espagnol, Bosman), Pendarvis Williams (Américain), Momar Ndoye
Intérieurs : Kévin Mondésir, Charles-Henri Bronchard, Mohamed Kone (Franco-ivoirien, JFL), Serge Mourtala (Nigérien, Cotonou)
Le cinq majeur probable :
Rozenfeld – Suka-Umu – Williams – Mondésir – Kone
Entraîneur : Guillaume Vizade Assistant : Jonathan Nebout
x
[armelse]
Pour arriver à ce beau résultat, l’entraîneur principal, Guillaume Vizade, avait cherché à constituer un effectif plus porté sur la défense que ses prédécesseurs. Difficile de dire que cela a été le cas : après deux années à 79,1 points encaissés (2016-17) puis 80,3 points (2017-18), la défense vichysso-clermontoise a concédé 81,0 points par match la saison dernière !
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Photo d’ouverture : VCM
", "comment_id":"478860", "plaintext":"Quatre saisons, c’est le temps qu’il aura fallu pour que la fusion entre la Jeanne d’Arc de Vichy et le Stade Clermontois donne ses premiers fruits goûteux. Et, pour le coup, ils avaient sacrément bon goût ! Alors que les trois premières prestations de Vichy Clermont Métropole (le nom du fruit de cette fusion) s’étaient soldés par des résultats mitigés en Pro B, avec même une année terminée pas très loin de la relégation (14e en 2016-17), le VCM a connu une bien belle saison dernière, achevée à la 3e place (24 victoires et 10 défaites) avant de se terminer un peu abruptement en quarts-de-finale de playoffs face à Gries-Oberhoffen (élimination en deux manches).\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nPour arriver à ce beau résultat, l’entraîneur principal, Guillaume Vizade, avait cherché à constituer un effectif plus porté sur la défense que ses prédécesseurs. Difficile de dire que cela a été le cas : après deux années à 79,1 points encaissés (2016-17) puis 80,3 points (2017-18), la défense vichysso-clermontoise a concédé 81,0 points par match la saison dernière ! Mais si cet axe de travail n’a pas réellement été fructueux, les joueurs de la JA ont plus que largement compensé de l’autre côté du terrain : 83,2 points marqués (contre 80,3 et 75,9 un et deux ans plus tôt, soit 7,3 points de plus en l’espace de deux saisons !). Autant dire que cela a joyeusement artillé pendant la saison, avec six joueurs à 8,7 points ou plus de moyenne : l’inusable totem Mo’ Kone (8,7 points), la bonne surprise Mehdy Ngouama (9,8 points), la plus belle barbe de la LNB, Charles-Henri Bronchard (11,1 points), le meneur Quinton Hooker (12,4 points), le très complet Andell Cumberbatch (12,6 points) et le redoutable sixième homme David Denave (13,7 points).\n\nLe problème pour Guillaume Vizade, c’est que trois de ces artilleurs sont partis à l’intersaison – Ngouama, Cumberbatch et Hooker –, ainsi qu’Arnaud-William Adala Moto et Romuald Morency. Autrement dit, quatre des cinq membres du cinq majeur (Hooker, Cumberbatch, Morency et Adala Moto). Il a donc fallu reconstruire un effectif cet été à partir des jeunes Grégory Bengaber et Serge Mourtala ainsi que du trio de « papys flingueurs » David Denave (34 ans), Charles-Henri Bronchard (37 ans) et Mo’ Kone (38 ans, l’un des plus vieux participants à la dernière Coupe du monde, sous le maillot ivoirien).\n\nNe manquant déjà pas d’expérience avec cette triplette, le VCM en a rajouté avec l’intérieur bourlingueur Kévin Mondésir et l’Espagnol de caractère (il n’a pas laissé que de bons souvenirs à Lille en matière de comportement) Marcos Suka-Umu. Pour ajouter de la dimension athlétique, l’international sénégalais Momar Ndoye (il a participé à la Coupe du monde dans un rôle de bout du banc) est arrivé, ainsi que l’ailier américain Pendarvis Williams, qui jouait l’an dernier avec Michael Stockton (nouveau meneur de Cholet) à Göttingen. Enfin, Arthur Rozenfeld, qui n’a pas réussi à s’imposer en Jeep Élite, revient en Pro B se refaire un moral et montrer ses compétences.\n\nAu total, tout cela constitue un effectif de belle qualité, comportant peu d’incertitudes (la seule véritable concernant le niveau de Williams). Il serait étonnant de ne pas voir le VCM en playoffs, pour peu que, comme pour toutes les équipes, les blessures épargnent l’effectif. La seule véritable question, en fait, est : n’est-ce pas la dernière saison où l’on aura l’occasion de voir les trois « papys flingueurs » sur le parquet (même si Denave et Bronchard ont prolongé jusqu’en 2021) ?\n\n« Il y avait deux aspects sur lesquels faire progresser le groupe : la notion d’adresse, avec plus d’alternance, répartir ce danger d’adresse, et la notion d’expérience à l’extérieur, hors David (Denave). Tous ceux qui arrivent dans ce secteur ont la caractéristique de l’adresse – Arthur Rozenfeld, Marcos Suka-Umu, Momar Ndoye – et de l’expérience. Arthur, par exemple, a 24 ans, mais, depuis ses 19 ans, il est meneur principal en Pro B ou backup en Pro A. À partir de là, l’objectif sera de réitérer une qualification en playoffs. Cette saison, la seule montée se jouera lors de cette phase. Et on jouera le jeu jusqu’au bout. » Guillaume Vizade, entraîneur principal\n\nLes deux joueurs à suivre\n\n:\n\nArthur Rozenfeld (1,81m, 24 ans)\n\nEn deux saisons de Jeep Élite dans un rôle de meneur remplaçant (2,8 points et 2,0 passes pour 3,2 d’évaluation avec Chalon-sur-Saône puis 4,6 points et 3,0 passes pour 5,2 d’évaluation avec Bourg-en-Bresse), le meneur plein de promesses lors de ses années au centre de formation de l’Asvel puis de ses deux belles saisons en Pro B entre 2015 et 2017 (14,5 points et 4,4 passes pour 13,4 d’évaluation avec Roanne en 2016-17, notamment) n’a pas réussi à s’imposer à l’étage supérieur. Sagement, il redescend dans la division où il a percé afin d’y retrouver sa confiance et un rôle de titulaire. Vif, capable d’organiser comme de scorer, il devrait former un trident arrière redoutable avec David Denave et Marcos Suka-Umu.\n\nSerge Mourtala (2,12m, 21 ans)\n\nDébarqué il y a deux ans de quatrième division espagnole (deux ans à Torrelodones), le natif de Niamey (Niger) poursuit sa progression en terre auvergnate. D’abord au niveau physique, puisque le longiligne pivot a pris 25 kg (112 kg aujourd’hui) depuis son arrivée ! Mais aussi dans son jeu : il a pratiquement triplé ses statistiques d’une saison sur l’autre (2,2 points à 55,0 % aux tirs, 2,9 rebonds et 4,2 d’évaluation la saison dernière). Et il semble avoir franchi un véritable cap pendant l’intersaison : en préparation, il a tourné à 9,7 points (57,0 % aux tirs) et 7,2 rebonds avant de produire 8 points (2/3 aux tirs), 8 rebonds et 1 contre pour 16 d’évaluation lors de son premier match officiel en Leaders Cup. Une bonne façon de justifier la confiance que le club a placée en lui en le prolongeant pour trois ans.\n\nArrivées : Kévin Mondésir (Quimper), Momar Ndoye (Feurs, NM1), Arthur Rozenfeld (Bourg-en-Bresse, Jeep Élite), Marcos Suka-Umu (Lille), Pendarvis Williams (Göttingen, Allemagne).\n\nDéparts : Arnaud-William Adala Moto (Nancy), Andell Cumberbatch (Bruxelles, Belgique), Quinton Hooker (Szombathely, Hongrie), Romuald Morency (Antibes), Mehdy Ngouama.\n\nEffectif 2019-20 :\n\nMeneurs : Arthur Rozenfeld, Grégory Bengaber\n\nExtérieurs : David Denave, Marcos Suka-Umu (Espagnol, Bosman), Pendarvis Williams (Américain), Momar Ndoye\n\nIntérieurs : Kévin Mondésir, Charles-Henri Bronchard, Mohamed Kone (Franco-ivoirien, JFL), Serge Mourtala (Nigérien, Cotonou)\n\nLe cinq majeur probable :\n\nRozenfeld – Suka-Umu – Williams – Mondésir – Kone\n\nEntraîneur : Guillaume Vizade Assistant : Jonathan Nebout\n\nx\n\n[armelse]\n\nPour arriver à ce beau résultat, l’entraîneur principal, Guillaume Vizade, avait cherché à constituer un effectif plus porté sur la défense que ses prédécesseurs. 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Cholet Basket a préparé ces highlights avec commentaires du joueur -traduits en français- à l’appui.
Photo: CB
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Joe Alexander fut sélectionné en 8e position de la draft 2008 par les Milwaukee Bucks mais il n’a jamais percé en NBA, ne disputant que 67 matches en deux saisons. Souvent blessé, il s’est davantage illustré en G-League avec 18,6 points et 8,1 points en 68 matches sur une période allant de 2009 à 2015.
Il a ensuite rejoint l’Europe, passant par le Maccabi Tel-Aviv, deux fois mais sans éclats, Sassari en Italie, l’Hapoël Holon en Israël, et Besiktas en Turquie ou la saison dernière il a tourné à 10,9 points et 4,9 rebonds pour 10,3 d’évaluation.
Signé par l’Olympiakos en début de saison, Mindaugas Kuzminskas (30 ans, 2m05) n’est finalement pas resté longtemps en Grèce. A peine quatre mois plus tard, l’international lituanien a effectivement choisi de jouer pour le Lokomotiv Kuban.
Avec la blessure de Vitaly Fridzon à la main gauche (indisponible pour deux mois), le Loko a besoin de renfort alors que Kuzminskas a lui besoin de temps de jeu pour se relancer (6 points, 2 rebonds en 13 minutes de jeu en 6 matchs d’Euroleague).
Engagé en EuroCup et en VTB League, Krasnodar aura bien besoin de la polyvalence de son nouvel ailier balte pour jouer les deux tableaux.
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La saison dernière pour son retour à Nancy, Solo Diabate avait assuré 10,8 points, 7,5 passes décisives et 1,7 interception en 22 matchs. A la Coupe du monde, il avait disputé 5 matches à 8,4 points et 3,8 passes.
Les Provençaux n’ont remporté aucune de leurs cinq premières rencontres.
Photo: FIBA
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J’étais un jeune joueur dans la Ligue, c’était passionnant de défendre comme une star internationale, une légende en France. C’était passionnant, j’avais l’habitude de voir ses matches à la télé en Université. Il était très fort en transition, avec ce premier pas très rapide, cette inspiration balle en main. Cela va me faire bizarre de le retrouver en tant que président de Villeurbanne, j’avais plutôt l’habituer à l’affronter sur le terrain. »\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« L’Europe ? C’était très différent au début. Mais j’aime les différences. Je ne pense pas que tout doive se ressembler. Différentes façons de jouer, différentes tactiques, des règles différentes aussi… Bien sûr que j’ai apprécié la NBA. Mais j’apprécie aussi le fait d’être capable de jouer en Europe. »\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Je suis toujours très motivé. Jouer au basket est formidable une opportunité, je suis béni de faire ce métier, peu de gens ont cette chance-là. 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Norris Cole a totalisé 360 matches en NBA de 2011 à 2017 à la moyenne de 7,0 points et 2,7 rebonds mais ses stats étaient tombées à 3,3 points et 1,1 rebond la dernière saison à Oklakoma en 13 matches.
Après un court passage en Chine, ce meneur formé à Cleveland State est ensuite venu en Europe, au Maccabi Tel-Aviv (12,6 points et 3,8 rebonds en Euroleague, Avellino (Italie) et au Buducnost Podgorica (Monténégro) où il était le coéquipier d’Edwin Jackson et où il a réalisé 16,6 points (38,0% à trois-points), 4,6 passes et 2,7 rebonds en Euroleague.
« Je suis excité d’être ici à Monaco », assure le joueur sur le site de l’ASM. « Nous en avons discuté avec ma famille, mon agent, nous pensions que c’était le meilleur choix. Je suis impatient de découvrir les nouveaux équipiers, de parler avec le staff, et d’aider mon équipe du mieux que je puisse faire .»
« La NBA fut une grande expérience. J’ai joué dans de superbes atmosphères, avec de grands équipiers, de grands mentors. Jouer aux côtés de LeBron James ? Bien sûr, c’était cool, très cool. Quand tu évolues avec l’un des meilleurs joueurs de l’histoire, tu essaies juste d’en profiter au maximum. LeBron était un bon gars, un bon coéquipier. On a gagné beaucoup de matches avec lui. On a formé une très belle équipe. Les deux titres de 2012 et 2013 restent gravées pour toujours dans ma mémoire. »
« Les finales 2013 et 2014 face aux Spurs ? Probablement la plus forte équipe contre laquelle je n’ai jamais joué. Vraiment, les Spurs étaient très solides, complets, intelligents. Tony Parker ? J’étais un jeune joueur dans la Ligue, c’était passionnant de défendre comme une star internationale, une légende en France. C’était passionnant, j’avais l’habitude de voir ses matches à la télé en Université. Il était très fort en transition, avec ce premier pas très rapide, cette inspiration balle en main. Cela va me faire bizarre de le retrouver en tant que président de Villeurbanne, j’avais plutôt l’habituer à l’affronter sur le terrain. »
« L’Europe ? C’était très différent au début. Mais j’aime les différences. Je ne pense pas que tout doive se ressembler. Différentes façons de jouer, différentes tactiques, des règles différentes aussi… Bien sûr que j’ai apprécié la NBA. Mais j’apprécie aussi le fait d’être capable de jouer en Europe. »
« Je suis toujours très motivé. Jouer au basket est formidable une opportunité, je suis béni de faire ce métier, peu de gens ont cette chance-là. Jouer dans le monde entier, pouvoir le faire tous les jours, je trouve ça génial. Là, j’arrive à Monaco, je vais découvrir les championnat français, je suis tout simplement impatient que ça débute. J’aime jouer et surtout gagner. Du lycée à Université, et ensuite chez les pros, j’ai toujours joué pour gagner. »
« Je me suis entraîné chez moi, dans l’Ohio, dans mon université, aussi à Miami. Je me suis entraîné dans beaucoup d’endroits. Physiquement, je suis prêt à jouer. Je suis impatient de rencontrer mes équipiers, le staff. Je suis très heureux de débuter cette nouvelle aventure avec l’AS Monaco. »
Norris Cole va ainsi constituer avec Dee Bost une paire de meneurs haut de gamme à l’ASM.
| Prénom | Nom | Nais. | T. | P. | Club | |
| Valériane | AYAYI | 1994 | 1,85 | 3 | USK Prague | |
| Marième | BADIANE | 1994 | 1,90 | 4/5 | ASVEL | |
| Ornella | BANKOLE | 1997 | 1,81 | 3 | Montpellier | |
| Alexia | CHARTEREAU | 1998 | 1,91 | 4 | Bourges | |
| Sara | CHEVAUGEON | 1993 | 1,75 | 2 | Charleville | |
| Héléna | CIAK | 1989 | 1,97 | 5 | ASVEL | |
| Olivia | EPOUPA | 1994 | 1,65 | 1 | Canberra | |
| Marine | FAUTHOUX | 2001 | 1,73 | 1 | Tarbes | |
| Bria | HARTLEY | 1992 | 1,76 | 1/2 | Galatasaray | |
| Marine | JOHANNES | 1995 | 1,77 | 2 | ASVEL | |
| Magali | MENDY | 1990 | 1,75 | 2 | Girone | |
| Sarah | MICHEL | 1989 | 1,80 | 2 | Bourges | |
| Marie Michelle | MILAPIE | 1996 | 1,92 | 4/5 | Montpellier | |
| Endy | MIYEM | 1988 | 1,88 | 4 | Charleville | |
| Iliana | RUPERT | 2001 | 1,94 | 5 | Bourges | |
| Diandra | TCHATCHOUANG | 1991 | 1,86 | 3 | Montpellier |
| Dates | Match | Lieu (Ville) |
| Lundi 11 au jeudi 14 novembre | Stage | INSEP – Paris |
| Vendredi 15 novembre 20h30 | Espagne – France | Zamora |
| Dimanche 17 novembre 12h30 | Espagne – France | Palencia |
L’équipe de France féminine est en stage à partir d’aujourd’hui à l’INSEP afin de préparer le Tournoi de Qualification Olympique (6-9 février), avec deux matches amicaux en Espagne les 15 et 17 novembre.
Les deux pays co-organisent l’Euro de 2021 et sont naturellement déjà qualifiés pour celui-ci si bien que leurs équipes sont dispensées de la fenêtre de qualification de novembre.
Les Bleues donneront demain une conférence de presse et partiront jeudi pour l’Espagne.
Sandrine Gruda a déclaré forfait pour le stage et les deux matches contre l’Espagne alors que Marième Badiane, Helena Ciak et Marine Johannès, actuellement à San Antonio pour la cérémonie du retrait du maillot des Spurs de Tony Parker rejoindront le stage mercredi.
| Prénom | Nom | Nais. | T. | P. | Club | |
| Valériane | AYAYI | 1994 | 1,85 | 3 | USK Prague | |
| Marième | BADIANE | 1994 | 1,90 | 4/5 | ASVEL | |
| Ornella | BANKOLE | 1997 | 1,81 | 3 | Montpellier | |
| Alexia | CHARTEREAU | 1998 | 1,91 | 4 | Bourges | |
| Sara | CHEVAUGEON | 1993 | 1,75 | 2 | Charleville | |
| Héléna | CIAK | 1989 | 1,97 | 5 | ASVEL | |
| Olivia | EPOUPA | 1994 | 1,65 | 1 | Canberra | |
| Marine | FAUTHOUX | 2001 | 1,73 | 1 | Tarbes | |
| Bria | HARTLEY | 1992 | 1,76 | 1/2 | Galatasaray | |
| Marine | JOHANNES | 1995 | 1,77 | 2 | ASVEL | |
| Magali | MENDY | 1990 | 1,75 | 2 | Girone | |
| Sarah | MICHEL | 1989 | 1,80 | 2 | Bourges | |
| Marie Michelle | MILAPIE | 1996 | 1,92 | 4/5 | Montpellier | |
| Endy | MIYEM | 1988 | 1,88 | 4 | Charleville | |
| Iliana | RUPERT | 2001 | 1,94 | 5 | Bourges | |
| Diandra | TCHATCHOUANG | 1991 | 1,86 | 3 | Montpellier |
Entraîneur : Valérie Garnier
Assistants : Olivier Lafargue, Grégory Halin, Rachid Meziane
Programme de l’Équipe de France féminine
| Dates | Match | Lieu (Ville) |
| Lundi 11 au jeudi 14 novembre | Stage | INSEP – Paris |
| Vendredi 15 novembre 20h30 | Espagne – France | Zamora |
| Dimanche 17 novembre 12h30 | Espagne – France | Palencia |
Photo: Marième Badiane (FFBB)
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À certains moments, peut-être que j’aurais aimé fermer un peu la bouche. La situation en Espagne était difficile. La situation comme Catalan, comme indépendantiste, ça m’a coûté un peu, et d’être de la gauche est difficile aussi en Espagne. Il y a beaucoup de choses que j’aurais pu faire différemment, mais c’est comme ça (…) C’est facile : il y a une culture, une langue, qui ont mille ans. On a partagé beaucoup avec la France, on a été une partie de la France, ensuite une partie de la France a appartenu à la Catalogne. On a une identité catalane. On veut devenir un nouveau pays, et si on parle de basket on veut jouer le prochain Mondial comme sélection catalane. À un moment, il y avait la Yougoslavie, maintenant il y a la Slovénie, etc. Mais j’essaie de ne pas trop en parler. Je pense que les gens de Limoges m’ont signé pour la partie basket. Bien sûr, si on m’interroge, je réponds. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo: CSP\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Lorsque neuf hommes politiques catalans ont été condamnés à de lourdes peines de prison -entre 9 et 13 ans- pour sédition, malversation de fonds publics et désobéissance par la Cour Suprême espagnol, le coach de Limoges Alfred Julbe avait fait part sur les réseaux sociaux de sa colère.
Dans Basket Le Mag, le Catalan revient sur son engagement et son souhait de voir un jour la Catalogne présenter sa propre équipe nationale.
« Dans une carrière, il y a beaucoup de travail, mais aussi beaucoup de hasard, beaucoup de situations qui vous emmènent dans une autre situation, etc. J’étais une personne trop politique, avec beaucoup d’opinions. À certains moments, peut-être que j’aurais aimé fermer un peu la bouche. La situation en Espagne était difficile. La situation comme Catalan, comme indépendantiste, ça m’a coûté un peu, et d’être de la gauche est difficile aussi en Espagne. Il y a beaucoup de choses que j’aurais pu faire différemment, mais c’est comme ça (…) C’est facile : il y a une culture, une langue, qui ont mille ans. On a partagé beaucoup avec la France, on a été une partie de la France, ensuite une partie de la France a appartenu à la Catalogne. On a une identité catalane. On veut devenir un nouveau pays, et si on parle de basket on veut jouer le prochain Mondial comme sélection catalane. À un moment, il y avait la Yougoslavie, maintenant il y a la Slovénie, etc. Mais j’essaie de ne pas trop en parler. Je pense que les gens de Limoges m’ont signé pour la partie basket. Bien sûr, si on m’interroge, je réponds. »
Photo: CSP
", "comment_id":"484312", "plaintext":"Lorsque neuf hommes politiques catalans ont été condamnés à de lourdes peines de prison -entre 9 et 13 ans- pour sédition, malversation de fonds publics et désobéissance par la Cour Suprême espagnol, le coach de Limoges Alfred Julbe avait fait part sur les réseaux sociaux de sa colère.\n\nDans Basket Le Mag, le Catalan revient sur son engagement et son souhait de voir un jour la Catalogne présenter sa propre équipe nationale.\n\n« Dans une carrière, il y a beaucoup de travail, mais aussi beaucoup de hasard, beaucoup de situations qui vous emmènent dans une autre situation, etc. J’étais une personne trop politique, avec beaucoup d’opinions. À certains moments, peut-être que j’aurais aimé fermer un peu la bouche. La situation en Espagne était difficile. La situation comme Catalan, comme indépendantiste, ça m’a coûté un peu, et d’être de la gauche est difficile aussi en Espagne. Il y a beaucoup de choses que j’aurais pu faire différemment, mais c’est comme ça (…) C’est facile : il y a une culture, une langue, qui ont mille ans. On a partagé beaucoup avec la France, on a été une partie de la France, ensuite une partie de la France a appartenu à la Catalogne. On a une identité catalane. On veut devenir un nouveau pays, et si on parle de basket on veut jouer le prochain Mondial comme sélection catalane. À un moment, il y avait la Yougoslavie, maintenant il y a la Slovénie, etc. Mais j’essaie de ne pas trop en parler. Je pense que les gens de Limoges m’ont signé pour la partie basket. Bien sûr, si on m’interroge, je réponds. »\n\nPhoto: CSP", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/alfred-julbe.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-11T08:36:24.000Z", "updated_at":"2019-11-11T08:37:53.000Z", "published_at":"2019-11-11T08:36:24.000Z", "custom_excerpt":"Lorsque neuf hommes politiques catalans ont été condamnés à de lourdes peines de prison -entre 9 et 13 ans- pour sédition, malversation de fonds publics et désobéissance par la Cour Suprême espagnol, le coach de Limoges Alfred Julbe avait fait part sur les réseaux sociaux de sa colère.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d958e", "uuid":"28a9ca51-9df2-44e1-99b4-7bbc0e75aa65", "title":"Italie: Un 8e succès de rang pour la Virtus Bologne avec la meilleure évaluation pour Julian Gamble", "slug":"italie-un-8e-succes-de-rang-pour-la-virtus-bologne-avec-la-meilleure-evaluation-pour-julian-gamble", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Virtus Bologne ne montre aucun signe de ralentissement dans le championnat italien. Dans la nouvelle et temporaire « Segafredo Arena », implantée dans le parc de la foire de la ville, 8 000 fans ont vu l’équipe de Sacha Djordjevic s’imposer à Trévise, 84-79. La Virtus est ainsi toujours invaincue après 8 journées.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La meilleure évaluation du match (21) a été obtenue par l’ancien villeurbannais et nanterrien Julien Gamble (2,08m, 30 ans) qui s’est fendu de 12 points et 9 rebonds.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Virtus est évidemment apte à reconquérir un titre qu’elle n’a pas fait sien depuis la saison 2000-01 du temps de Manu Ginobili et Antoine Rigeaudeau. Mais…\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je l’ai déjà dit, je ne veux pas entendre ce mot », rétorque Djordjevic. « Nous allons jouer tous les matchs pour gagner, la saison est très longue et le processus ne fait que commencer. Nous devons et nous pouvons encore nous améliorer, et je vois que parfois cette pression joue contre nous. Les énergies manquent et ça se voit. »\"],[1,[],0,0]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans son groupe d’Eurocup -celui de Monaco-, la Virtus est première à égalité avec Patras avec 5 victoires en 6 journées.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo: Julian Gamble (Eurocupbasketball)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"La Virtus Bologne ne montre aucun signe de ralentissement dans le championnat italien. Dans la nouvelle et temporaire « Segafredo Arena », implantée dans le parc de la foire de la ville, 8 000 fans ont vu l’équipe de Sacha Djordjevic s’imposer à Trévise, 84-79. La Virtus est ainsi toujours invaincue après 8 journées.
La meilleure évaluation du match (21) a été obtenue par l’ancien villeurbannais et nanterrien Julien Gamble (2,08m, 30 ans) qui s’est fendu de 12 points et 9 rebonds.
La Virtus est évidemment apte à reconquérir un titre qu’elle n’a pas fait sien depuis la saison 2000-01 du temps de Manu Ginobili et Antoine Rigeaudeau. Mais…
« Je l’ai déjà dit, je ne veux pas entendre ce mot », rétorque Djordjevic. « Nous allons jouer tous les matchs pour gagner, la saison est très longue et le processus ne fait que commencer. Nous devons et nous pouvons encore nous améliorer, et je vois que parfois cette pression joue contre nous. Les énergies manquent et ça se voit. »
Dans son groupe d’Eurocup -celui de Monaco-, la Virtus est première à égalité avec Patras avec 5 victoires en 6 journées.
Photo: Julian Gamble (Eurocupbasketball)
", "comment_id":"484302", "plaintext":"La Virtus Bologne ne montre aucun signe de ralentissement dans le championnat italien. Dans la nouvelle et temporaire « Segafredo Arena », implantée dans le parc de la foire de la ville, 8 000 fans ont vu l’équipe de Sacha Djordjevic s’imposer à Trévise, 84-79. La Virtus est ainsi toujours invaincue après 8 journées.\n\nLa meilleure évaluation du match (21) a été obtenue par l’ancien villeurbannais et nanterrien Julien Gamble (2,08m, 30 ans) qui s’est fendu de 12 points et 9 rebonds.\n\nLa Virtus est évidemment apte à reconquérir un titre qu’elle n’a pas fait sien depuis la saison 2000-01 du temps de Manu Ginobili et Antoine Rigeaudeau. Mais…\n\n« Je l’ai déjà dit, je ne veux pas entendre ce mot », rétorque Djordjevic. « Nous allons jouer tous les matchs pour gagner, la saison est très longue et le processus ne fait que commencer. Nous devons et nous pouvons encore nous améliorer, et je vois que parfois cette pression joue contre nous. Les énergies manquent et ça se voit. »\n\n\nDans son groupe d’Eurocup -celui de Monaco-, la Virtus est première à égalité avec Patras avec 5 victoires en 6 journées.\n\nPhoto: Julian Gamble (Eurocupbasketball)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/julian-gamble.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-11T08:14:50.000Z", "updated_at":"2019-11-11T08:15:39.000Z", "published_at":"2019-11-11T08:14:50.000Z", "custom_excerpt":"La Virtus Bologne ne montre aucun signe de ralentissement dans le championnat italien. Dans la nouvelle et temporaire « Segafredo Arena », implantée dans le parc de la foire de la ville, 8 000 fans ont vu l’équipe de Sacha Djordjevic s’imposer à Trévise, 84-79. La Virtus est ainsi toujours invaincue", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d958f", "uuid":"a781191b-8604-44b5-81c4-200596537904", "title":"La phrase: Laura Vila (Pau): « On commence à mettre l’équipe en danger »", "slug":"la-phrase-laura-vila-pau-on-commence-a-mettre-lequipe-en-danger", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/GoElanBearnais?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il n’y a rien de déshonorant de perdre à Limoges même un clasico surtout quand c’est dans des proportions acceptables (70-77) seulement il s’agit pour Pau de la 6e défaite en 8 matches. D’où la phrase du coach Laurent Vila prononcée après le match en conférence de presse et rapportée par \"],[0,[0],1,\"Sud Oues\"],[0,[],0,\"t.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Il va vite falloir se rebooster. Et c’est à nous d’aller chercher les victoires, car personne ne nous fera de cadeau, » a ajouté le coach béarnais.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les joueurs de l’Elan sont retournés hier soir chez eux sans leur pivot Nicolas De Jong qui est resté en observation à l’hôpital de Limoges. Sur un contact avec Anthony Brown, le pivot franco-néerlandais a subi une commotion au niveau de l’oeil droit et sa vision était altérée. Le joueur s’est montré rassurant ce matin sur twitter mais le club a déjà annoncé son forfait pour le match de BCL face à l’Hapoël Jérusalem au Palais, programmé dès demain…\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo: FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Il n’y a rien de déshonorant de perdre à Limoges même un clasico surtout quand c’est dans des proportions acceptables (70-77) seulement il s’agit pour Pau de la 6e défaite en 8 matches. D’où la phrase du coach Laurent Vila prononcée après le match en conférence de presse et rapportée par Sud Ouest.
« Il va vite falloir se rebooster. Et c’est à nous d’aller chercher les victoires, car personne ne nous fera de cadeau, » a ajouté le coach béarnais.
Les joueurs de l’Elan sont retournés hier soir chez eux sans leur pivot Nicolas De Jong qui est resté en observation à l’hôpital de Limoges. Sur un contact avec Anthony Brown, le pivot franco-néerlandais a subi une commotion au niveau de l’oeil droit et sa vision était altérée. Le joueur s’est montré rassurant ce matin sur twitter mais le club a déjà annoncé son forfait pour le match de BCL face à l’Hapoël Jérusalem au Palais, programmé dès demain…
Photo: FIBA
", "comment_id":"484291", "plaintext":"Il n’y a rien de déshonorant de perdre à Limoges même un clasico surtout quand c’est dans des proportions acceptables (70-77) seulement il s’agit pour Pau de la 6e défaite en 8 matches. D’où la phrase du coach Laurent Vila prononcée après le match en conférence de presse et rapportée par Sud Ouest.\n\n« Il va vite falloir se rebooster. Et c’est à nous d’aller chercher les victoires, car personne ne nous fera de cadeau, » a ajouté le coach béarnais.\n\nLes joueurs de l’Elan sont retournés hier soir chez eux sans leur pivot Nicolas De Jong qui est resté en observation à l’hôpital de Limoges. Sur un contact avec Anthony Brown, le pivot franco-néerlandais a subi une commotion au niveau de l’oeil droit et sa vision était altérée. Le joueur s’est montré rassurant ce matin sur twitter mais le club a déjà annoncé son forfait pour le match de BCL face à l’Hapoël Jérusalem au Palais, programmé dès demain…\n\n\nMerci a tous ceux qui m'ont montrer leur soutien , rien de cassé heuresement , la gueule en vrac et une commotion \"seulement\" . Surtout décu d'avoir du partir du match avant son terme.#GoElanBearnais\n\n— Nico de Jong (@NicodeJong14) November 11, 2019\n\n\nPhoto: FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/laurent-vila.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-11T07:11:30.000Z", "updated_at":"2019-11-11T08:16:54.000Z", "published_at":"2019-11-11T07:11:30.000Z", "custom_excerpt":"Il n’y a rien de déshonorant de perdre à Limoges même un clasico surtout quand c’est dans des proportions acceptables (70-77) seulement il s’agit pour Pau de la 6e défaite en 8 matches. 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Un rendement très insuffisant pour un joueur supposé être titulaire alors que le Brésilien JP Batista, 38 ans, devait être son backup. Qu’il est loin le Cliff Alexander explosif, star des lycées des Etats-Unis et même le Cliff Alexander auteur de 7 points et 5,8 rebonds en 17 minutes la saison dernière à Bamberg, une solide équipe allemande. Le big man à la carrure impressionnante était sans doute lesté de quelques kilos inutiles à la rentrée mais le problème se situe t-il uniquement là ? Le MSB peut-il se satisfaire indéfiniment d’un pivot américain aussi peu performant ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Autre dossier chaud au Mans. On n’a toujours pas vu le meneur Brandon Taylor (1,75m, 25 ans), victime d’un arrachement osseux au pouce droit lors d’un match de Coupe de France contre Monaco en amont de la saison de Jeep Elite. Le club a engagé comme pigiste médical Taurean Green (1,83m, 33 ans), qui fait le job. Hier, il a obtenu la meilleure évaluation de l’équipe (20) avec 13 points et 8 passes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quel sera l’avenir de ces trois joueurs sachant que le MSB est dans une situation inconfortable après 8 journées (3 victoires, 5 défaites) ? Quelques éléments de réponse avec le coach Dounia Issa.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Pourquoi Cliff Alexander ne joue t-il ce soir que cinq minutes ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’était compliqué pour moi car on est parti sur une stratégie de tout changer sur les écrans, pratiquement toute la deuxième mi-temps et la fin de la première, et je considère que Jacques Alingue est plus apte à le faire. Du coup, on a décalé Jacques qui est un 5 mais que l’on utilise beaucoup en 4 cette année. Et comme je voyais que ce n’était pas trop mal et que ça freinait le jeu offensif de Gravelines, j’y suis resté. 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Un joueur qui ne joue pas beaucoup, en général, il est frustré. J’espère qu’il n’est pas indifférent à ça. Mais encore une fois, ce n’est pas une volonté de l’écarter, de le mettre au placard, mais effectivement la stratégie a fait que… Même si Cliff n’envoie pas des signaux hyper rassurants depuis le début en termes de constance, il progresse doucement. Mais malheureusement, la vérité de ce match c’était que pour ralentir leur jeu d’attaque, il fallait que l’on soit sur des face à face et de la mobilité. Sur la fin, je suis même allé sur un Cinq très petit avec (Obi) Emegano en 4, on a même sacrifié d’autres extérieurs parce que je sentais que leur mobilité était telle, elle posait tellement de problèmes, qu’il fallait matcher ça. Ce sont des choix pas évidents mais c’était les choix d’aujourd’hui.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Des nouvelles de Brandon Taylor ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il recommence à s’entraîner, il est sur l’opposition, on va voir en fonction de ses progrès et de sa capacité à être bien.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Ce soir, Taurean Green a été bien justement ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il est très bien, il est au-dessus de ce que l’on espérait. Il fait un gros match, il est en place, il est stable, il nous rassure.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jusqu’à quand l’avez-vous ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Normalement début décembre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"C’est maintenant un choix à faire ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui. On n’en est pas là, mais effectivement c’est un choix.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Autre dossier chaud au Mans. 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Depuis le début de saison, il est dans le dur se contentant de stats maigrelettes : 5,6 points, 5,7 d’évaluation en 12’ de jeu. Un rendement très insuffisant pour un joueur supposé être titulaire alors que le Brésilien JP Batista, 38 ans, devait être son backup. Qu’il est loin le Cliff Alexander explosif, star des lycées des Etats-Unis et même le Cliff Alexander auteur de 7 points et 5,8 rebonds en 17 minutes la saison dernière à Bamberg, une solide équipe allemande. Le big man à la carrure impressionnante était sans doute lesté de quelques kilos inutiles à la rentrée mais le problème se situe t-il uniquement là ? Le MSB peut-il se satisfaire indéfiniment d’un pivot américain aussi peu performant ?
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Autre dossier chaud au Mans. On n’a toujours pas vu le meneur Brandon Taylor (1,75m, 25 ans), victime d’un arrachement osseux au pouce droit lors d’un match de Coupe de France contre Monaco en amont de la saison de Jeep Elite. Le club a engagé comme pigiste médical Taurean Green (1,83m, 33 ans), qui fait le job. Hier, il a obtenu la meilleure évaluation de l’équipe (20) avec 13 points et 8 passes.
Quel sera l’avenir de ces trois joueurs sachant que le MSB est dans une situation inconfortable après 8 journées (3 victoires, 5 défaites) ? Quelques éléments de réponse avec le coach Dounia Issa.
Pourquoi Cliff Alexander ne joue t-il ce soir que cinq minutes ?
C’était compliqué pour moi car on est parti sur une stratégie de tout changer sur les écrans, pratiquement toute la deuxième mi-temps et la fin de la première, et je considère que Jacques Alingue est plus apte à le faire. Du coup, on a décalé Jacques qui est un 5 mais que l’on utilise beaucoup en 4 cette année. Et comme je voyais que ce n’était pas trop mal et que ça freinait le jeu offensif de Gravelines, j’y suis resté. Et donc il a été un peu sacrifié sur la stratégie.
C’est ponctuel ou c’est à plus longue échéance le fait qu’il joue si peu ?
Franchement, c’était la vérité de ce match. J’étais plutôt content de lui cette semaine à l’entraînement, il montrait des bons signaux. Mais c’est vrai qu’avec une équipe comme ça qui est très forte sur les picks, qui les enchaîne, qui est vraiment experte sur ça, on est parti sur cette idée de changer tous les écrans. A partir du moment où l’on veut faire ça, on n’a pas 36 000 solutions sur le poste 5 avec un joueur capable de switcher avec efficacité sur leurs extérieurs qui sont très mobiles. Le seul qui peut le faire c’est Jacques. Au lieu de remettre JP (Batista), on aurait le remettre un peu, c’est vrai, mais ça a été un choix.
Comment vit-il le fait de très peu jouer ?
Je pense qu’il doit être frustré. Un joueur qui ne joue pas beaucoup, en général, il est frustré. J’espère qu’il n’est pas indifférent à ça. Mais encore une fois, ce n’est pas une volonté de l’écarter, de le mettre au placard, mais effectivement la stratégie a fait que… Même si Cliff n’envoie pas des signaux hyper rassurants depuis le début en termes de constance, il progresse doucement. Mais malheureusement, la vérité de ce match c’était que pour ralentir leur jeu d’attaque, il fallait que l’on soit sur des face à face et de la mobilité. Sur la fin, je suis même allé sur un Cinq très petit avec (Obi) Emegano en 4, on a même sacrifié d’autres extérieurs parce que je sentais que leur mobilité était telle, elle posait tellement de problèmes, qu’il fallait matcher ça. Ce sont des choix pas évidents mais c’était les choix d’aujourd’hui.
Des nouvelles de Brandon Taylor ?
Il recommence à s’entraîner, il est sur l’opposition, on va voir en fonction de ses progrès et de sa capacité à être bien.
Ce soir, Taurean Green a été bien justement ?
Il est très bien, il est au-dessus de ce que l’on espérait. Il fait un gros match, il est en place, il est stable, il nous rassure.
Jusqu’à quand l’avez-vous ?
Normalement début décembre.
C’est maintenant un choix à faire ?
Oui. On n’en est pas là, mais effectivement c’est un choix.
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[armelse]
Autre dossier chaud au Mans. On n’a toujours pas vu le meneur Brandon Taylor (1,75m, 25 ans), victime d’un arrachement osseux au pouce droit lors d’un match de Coupe de France contre Monaco en amont de la saison de Jeep Elite. Le club a engagé comme pigiste médical Taurean Green (1,83m, 33 ans), qui fait le job. Hier, il a obtenu la meilleure évaluation de l’équipe (20) avec 13 points et 8 passes.
Quel sera l’avenir de ces trois joueurs sachant que le MSB est dans une situation inconfortable après 8 journées (3 victoires, 5 défaites) ? Quelques éléments de réponse avec le coach Dounia Issa.
Pourquoi Cliff Alexander ne joue t-il ce soir que cinq minutes ?
C’était compliqué pour moi car on est parti sur une stratégie de tout changer sur les écrans, pratiquement toute la deuxième mi-temps et la fin de la première, et je considère que Jacques Alingue est plus apte à le faire.
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Photo: Cliff Alexander (MSB)
", "comment_id":"484221", "plaintext":"Hier, lors de la défaite de son équipe à Antarès face à Gravelines (70-74), le pivot américain du Mans Cliff Alexander (2,05m, 23 ans) n’a passé que 5 minutes et demie sur le terrain. C’est évidemment très peu. Depuis le début de saison, il est dans le dur se contentant de stats maigrelettes : 5,6 points, 5,7 d’évaluation en 12’ de jeu. Un rendement très insuffisant pour un joueur supposé être titulaire alors que le Brésilien JP Batista, 38 ans, devait être son backup. Qu’il est loin le Cliff Alexander explosif, star des lycées des Etats-Unis et même le Cliff Alexander auteur de 7 points et 5,8 rebonds en 17 minutes la saison dernière à Bamberg, une solide équipe allemande. Le big man à la carrure impressionnante était sans doute lesté de quelques kilos inutiles à la rentrée mais le problème se situe t-il uniquement là ? Le MSB peut-il se satisfaire indéfiniment d’un pivot américain aussi peu performant ?\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nAutre dossier chaud au Mans. On n’a toujours pas vu le meneur Brandon Taylor (1,75m, 25 ans), victime d’un arrachement osseux au pouce droit lors d’un match de Coupe de France contre Monaco en amont de la saison de Jeep Elite. Le club a engagé comme pigiste médical Taurean Green (1,83m, 33 ans), qui fait le job. Hier, il a obtenu la meilleure évaluation de l’équipe (20) avec 13 points et 8 passes.\n\nQuel sera l’avenir de ces trois joueurs sachant que le MSB est dans une situation inconfortable après 8 journées (3 victoires, 5 défaites) ? Quelques éléments de réponse avec le coach Dounia Issa.\n\nPourquoi Cliff Alexander ne joue t-il ce soir que cinq minutes ?\n\nC’était compliqué pour moi car on est parti sur une stratégie de tout changer sur les écrans, pratiquement toute la deuxième mi-temps et la fin de la première, et je considère que Jacques Alingue est plus apte à le faire. Du coup, on a décalé Jacques qui est un 5 mais que l’on utilise beaucoup en 4 cette année. Et comme je voyais que ce n’était pas trop mal et que ça freinait le jeu offensif de Gravelines, j’y suis resté. Et donc il a été un peu sacrifié sur la stratégie.\n\nC’est ponctuel ou c’est à plus longue échéance le fait qu’il joue si peu ?\n\nFranchement, c’était la vérité de ce match. J’étais plutôt content de lui cette semaine à l’entraînement, il montrait des bons signaux. Mais c’est vrai qu’avec une équipe comme ça qui est très forte sur les picks, qui les enchaîne, qui est vraiment experte sur ça, on est parti sur cette idée de changer tous les écrans. A partir du moment où l’on veut faire ça, on n’a pas 36 000 solutions sur le poste 5 avec un joueur capable de switcher avec efficacité sur leurs extérieurs qui sont très mobiles. Le seul qui peut le faire c’est Jacques. Au lieu de remettre JP (Batista), on aurait le remettre un peu, c’est vrai, mais ça a été un choix.\n\nComment vit-il le fait de très peu jouer ?\n\nJe pense qu’il doit être frustré. Un joueur qui ne joue pas beaucoup, en général, il est frustré. J’espère qu’il n’est pas indifférent à ça. Mais encore une fois, ce n’est pas une volonté de l’écarter, de le mettre au placard, mais effectivement la stratégie a fait que… Même si Cliff n’envoie pas des signaux hyper rassurants depuis le début en termes de constance, il progresse doucement. Mais malheureusement, la vérité de ce match c’était que pour ralentir leur jeu d’attaque, il fallait que l’on soit sur des face à face et de la mobilité. Sur la fin, je suis même allé sur un Cinq très petit avec (Obi) Emegano en 4, on a même sacrifié d’autres extérieurs parce que je sentais que leur mobilité était telle, elle posait tellement de problèmes, qu’il fallait matcher ça. Ce sont des choix pas évidents mais c’était les choix d’aujourd’hui.\n\nDes nouvelles de Brandon Taylor ?\n\nIl recommence à s’entraîner, il est sur l’opposition, on va voir en fonction de ses progrès et de sa capacité à être bien.\n\nCe soir, Taurean Green a été bien justement ?\n\nIl est très bien, il est au-dessus de ce que l’on espérait. Il fait un gros match, il est en place, il est stable, il nous rassure.\n\nJusqu’à quand l’avez-vous ?\n\nNormalement début décembre.\n\nC’est maintenant un choix à faire ?\n\nOui. On n’en est pas là, mais effectivement c’est un choix.\n\nx\n\n[armelse]\n\nAutre dossier chaud au Mans. On n’a toujours pas vu le meneur Brandon Taylor (1,75m, 25 ans), victime d’un arrachement osseux au pouce droit lors d’un match de Coupe de France contre Monaco en amont de la saison de Jeep Elite. Le club a engagé comme pigiste médical Taurean Green (1,83m, 33 ans), qui fait le job. Hier, il a obtenu la meilleure évaluation de l’équipe (20) avec 13 points et 8 passes.\n\nQuel sera l’avenir de ces trois joueurs sachant que le MSB est dans une situation inconfortable après 8 journées (3 victoires, 5 défaites) ? Quelques éléments de réponse avec le coach Dounia Issa.\n\nPourquoi Cliff Alexander ne joue t-il ce soir que cinq minutes ?\n\nC’était compliqué pour moi car on est parti sur une stratégie de tout changer sur les écrans, pratiquement toute la deuxième mi-temps et la fin de la première, et je considère que Jacques Alingue est plus apte à le faire.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto: Cliff Alexander (MSB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/cliff-alexander.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-11T06:44:02.000Z", "updated_at":"2019-11-11T09:42:56.000Z", "published_at":"2019-11-11T06:44:02.000Z", "custom_excerpt":"Hier, lors de la défaite de son équipe à Antarès face à Gravelines (70-74), le pivot américain du Mans Cliff Alexander (2,05m, 23 ans) n’a passé que 5 minutes et demie sur le terrain. C’est évidemment très peu. Depuis le début de saison, il est dans le dur se contentant de stats maigrelettes : 5,6 p", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d9591", "uuid":"18629bab-12a6-4592-babd-c3500fcb5887", "title":"Le Programme TV by TCL: Le derby Nanterre vs Boulogne", "slug":"le-programme-tv-by-tcl-le-derby-nanterre-vs-boulogne", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Encore une semaine à la fois variée et copieuse avec plusieurs affiches dont le derby francilien Nanterre vs Boulogne, dimanche sur RMC Sport 2.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Mardi 12 novembre :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h30 – Pau/Hapoël Jérusalem – BCL – Canal+ Sport\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h30 – Saragosse/Dijon – BCL – Basket + et Dailymotion\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h45 – Nanterre/Darussafaka – Eurocup – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Mercredi 13 novembre :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h00 – Vilnius/Limoges – Eurocup – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"19h45 – Monaco/Patras – Eurocup – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h30 – Sassari/Strasbourg – BCL – Canal+ Sport\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jeudi 14 novembre:\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h00 – Khimki Moscou/Milan- Euroleague – RMC Sport 5\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h30 – Efes Istanbul/Saint Petersbourg – Euroleague – RMC Sport 6\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Panathinaikos/Berlin – Euroleague – RMC Sport 7\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"21h00 – Madrid/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vendredi 15 novembre:\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h00 – CSKA Moscou/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 5\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"19h00 – Belgrade/ASVEL – Euroleague – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Roanne/Le Mans – Jeep Elite – RMC Sport 9\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Gravelines/Châlons-Reims -Jeep Elite- RMC Sport 10\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h30 – Olympiakos/Kaunas – Euroleague – RMC Sport 6\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"21h00 – Vitoria/Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport 7\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"21h00 – Valence/Munich – Euroleague – RMC Sport 8\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Samedi 16 novembre:\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Pau/Cholet – Jeep Elite – RMC Sport\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Orléans/Le Portel – Jeep Elite – RMC Sport\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Boulazac/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Strasbourg/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h30 – Dijon/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Dimanche 17 novembre\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"16h00 – Nanterre/Boulogne – Jeep Elite – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h00 – Bourg/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: Devin Olivier (Nanterre)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Encore une semaine à la fois variée et copieuse avec plusieurs affiches dont le derby francilien Nanterre vs Boulogne, dimanche sur RMC Sport 2.
Mardi 12 novembre :
20h30 – Pau/Hapoël Jérusalem – BCL – Canal+ Sport
20h30 – Saragosse/Dijon – BCL – Basket + et Dailymotion
20h45 – Nanterre/Darussafaka – Eurocup – RMC Sport 2
Mercredi 13 novembre :
18h00 – Vilnius/Limoges – Eurocup – RMC Sport 2
19h45 – Monaco/Patras – Eurocup – RMC Sport 2
20h30 – Sassari/Strasbourg – BCL – Canal+ Sport
Jeudi 14 novembre:
18h00 – Khimki Moscou/Milan- Euroleague – RMC Sport 5
18h30 – Efes Istanbul/Saint Petersbourg – Euroleague – RMC Sport 6
20h00 – Panathinaikos/Berlin – Euroleague – RMC Sport 7
21h00 – Madrid/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2
Vendredi 15 novembre:
18h00 – CSKA Moscou/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 5
19h00 – Belgrade/ASVEL – Euroleague – RMC Sport 2
20h00 – Roanne/Le Mans – Jeep Elite – RMC Sport 9
20h00 – Gravelines/Châlons-Reims -Jeep Elite- RMC Sport 10
20h30 – Olympiakos/Kaunas – Euroleague – RMC Sport 6
21h00 – Vitoria/Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport 7
21h00 – Valence/Munich – Euroleague – RMC Sport 8
Samedi 16 novembre:
20h00 – Pau/Cholet – Jeep Elite – RMC Sport
20h00 – Orléans/Le Portel – Jeep Elite – RMC Sport
20h00 – Boulazac/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport
20h00 – Strasbourg/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport
20h30 – Dijon/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2
Dimanche 17 novembre
16h00 – Nanterre/Boulogne – Jeep Elite – RMC Sport 2
18h00 – Bourg/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport
Photo: Devin Olivier (Nanterre)
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Pour le BC Souffelweyersheim, l’exercice 2018-19 aura été des plus satisfaisants : le club a passé toute la saison à la première place, présentant un bilan final de 39 victoires pour seulement 5 défaites.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Autant dire que c’est logiquement que le coach emblématique de Souffel’, Stéphane Eberlin, a tenu à conserver le plus grand nombre possible de joueurs ayant contribué à cette montée. Si Cedric Bah et Aldo Curti ont opté pour d’autres aventures, l’ossature de l’équipe s’articule toujours autour des fidèles Antony Labanca, Jason Bach, Frank Tchoubaye, Cedric Kuakumensah et Sylvain Sautier. Pour étoffer un effectif qui ne comportait que sept professionnels l’an dernier, Stéphane Eberlin a opté pour des joueurs n’ayant que peu ou pas d’expérience à ce niveau, symbole d’une volonté d’à la fois donner leur chance à des joueurs ambitieux et de composer avec des moyens financiers réduits. Le résultat consiste en l’arrivée de jeunes joueurs comme Thimoté Vergiat, Mouhamed Diagne ou Vincent Vent, d’un Oumarou Sylla dominant en NM1 la saison passée et d’un intérieur jamaïcain, Kentan Facey, vu à son avantage à Limassol (Chypre) l’an dernier. Sur le papier, cet ensemble ne paraît pas pouvoir jouer autre chose que le maintien, qui est de toutes manières le seul objectif annoncé par Stéphane Eberlin. La jeune troupe qui oeuvrera sous ses ordres devra être à son meilleur pour l’obtenir.\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je veux que nous soyons dans la continuité de la saison dernière, que l’équipe montre qu’elle est accrocheuse, qu’elle a un état d’esprit de guerrier. Je veux gagner le championnat de l’engagement. 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Après Gries-Oberhoffen la saison dernière, c’est au tour de Souffelweyersheim de pointer le bout de son nez au deuxième échelon français. Pas une première pour le club de la banlieue de Strasbourg, promue en Pro B en 2013 pour y passer trois saisons avant de redescendre en NM1. Pour le BC Souffelweyersheim, l’exercice 2018-19 aura été des plus satisfaisants : le club a passé toute la saison à la première place, présentant un bilan final de 39 victoires pour seulement 5 défaites.[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[10,4]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Au terme d’une superbe année en NM1, le Souffelweyersheim BC revient en Pro B, trois ans après l’avoir quittée. Avec son effectif composé de joueurs ayant pour la plupart tout à prouver en Pro B, Souffel’ a pour unique objectif le maintien.
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L’Alsace devient une place forte de la Pro B ! Après Gries-Oberhoffen la saison dernière, c’est au tour de Souffelweyersheim de pointer le bout de son nez au deuxième échelon français. Pas une première pour le club de la banlieue de Strasbourg, promue en Pro B en 2013 pour y passer trois saisons avant de redescendre en NM1. Pour le BC Souffelweyersheim, l’exercice 2018-19 aura été des plus satisfaisants : le club a passé toute la saison à la première place, présentant un bilan final de 39 victoires pour seulement 5 défaites.
Autant dire que c’est logiquement que le coach emblématique de Souffel’, Stéphane Eberlin, a tenu à conserver le plus grand nombre possible de joueurs ayant contribué à cette montée. Si Cedric Bah et Aldo Curti ont opté pour d’autres aventures, l’ossature de l’équipe s’articule toujours autour des fidèles Antony Labanca, Jason Bach, Frank Tchoubaye, Cedric Kuakumensah et Sylvain Sautier. Pour étoffer un effectif qui ne comportait que sept professionnels l’an dernier, Stéphane Eberlin a opté pour des joueurs n’ayant que peu ou pas d’expérience à ce niveau, symbole d’une volonté d’à la fois donner leur chance à des joueurs ambitieux et de composer avec des moyens financiers réduits. Le résultat consiste en l’arrivée de jeunes joueurs comme Thimoté Vergiat, Mouhamed Diagne ou Vincent Vent, d’un Oumarou Sylla dominant en NM1 la saison passée et d’un intérieur jamaïcain, Kentan Facey, vu à son avantage à Limassol (Chypre) l’an dernier. Sur le papier, cet ensemble ne paraît pas pouvoir jouer autre chose que le maintien, qui est de toutes manières le seul objectif annoncé par Stéphane Eberlin. La jeune troupe qui oeuvrera sous ses ordres devra être à son meilleur pour l’obtenir.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/08/stephane-eberlni.jpg\")
« Je veux que nous soyons dans la continuité de la saison dernière, que l’équipe montre qu’elle est accrocheuse, qu’elle a un état d’esprit de guerrier. Je veux gagner le championnat de l’engagement. Je veux qu’on défende dur, qu’on soit bien en place collectivement et qu’on mette l’accent sur le jeu rapide en attaque. » Stéphane Eberlin, entraîneur principalLes deux joueurs à suivre :
Antony Labanca (2,01m, 25 ans)
Passé par le centre de formation de Strasbourg, avec lequel il a remporté la coupe de France en 2015, il avait été prêté à Souffel’ pendant la saison 2015-16. Il a ensuite passé une année à Vichy-Clermont avant de revenir en Alsace et d’y imposer ses qualités d’attaquant et de shooteur de loin. Dixième scoreur du groupe A de NM1, il tournait la saison passée à 14,1 points (43,4 % à trois points), 2,5 rebonds, 1,1 interception et 3,0 passes pour 13,3 d’évaluation. À lui de montrer qu’il peut réitérer à l’étage supérieur.
Kentan Facey (2,08m, 26 ans)
Formé à UConn et champion NCAA en 2014, ce pivot jamaïcain va vivre sa troisième saison professionnelle. Il est d’abord passé par Trikala, en Grèce, et évoluait la saison dernière à Limassol, à Chypre, où il compilait 12,8 points et 8,6 rebonds.
Arrivées :
Kentan Facey (Limassol, Chypre), Timothé Vergiat (Boulogne-sur-Mer, NM1), Mouhamed Diagne (Orléans), Oumarou Sylla (Challans, NM1), Vincent Vent (Orléans).
Départs :
Cedric Bah (Blois), Aldo Curti (Tours, NM1), Lucas Diemer (Westhoffen, N2).
Effectif 2019-20 :
Meneurs : Oumarou Sylla, Timothé Vergiat
Extérieurs : Mouhamed Diagne, Antony Labanca, Frank Tchoubaye (Camerounais, JFL), Jason Bach
Intérieurs : Kentan Facey (Jamaïcain, Cotonou), Cedric Kuakumensah (Américain), Vincent Vent, Sylvain Sautier
Le cinq majeur probable :
Sylla-Labanca-Bach-Kuakumensah-Facey
Entraîneur : Stéphane Eberlin Assistant : Daniel Pereira
[armelse]
L’Alsace devient une place forte de la Pro B ! Après Gries-Oberhoffen la saison dernière, c’est au tour de Souffelweyersheim de pointer le bout de son nez au deuxième échelon français. Pas une première pour le club de la banlieue de Strasbourg, promue en Pro B en 2013 pour y passer trois saisons avant de redescendre en NM1. Pour le BC Souffelweyersheim, l’exercice 2018-19 aura été des plus satisfaisants : le club a passé toute la saison à la première place, présentant un bilan final de 39 victoires pour seulement 5 défaites.[/arm_restrict_content]
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Photo : BC Souffelweyersheim
", "comment_id":"471833", "plaintext":"Au terme d’une superbe année en NM1, le Souffelweyersheim BC revient en Pro B, trois ans après l’avoir quittée. Avec son effectif composé de joueurs ayant pour la plupart tout à prouver en Pro B, Souffel’ a pour unique objectif le maintien.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nL’Alsace devient une place forte de la Pro B ! Après Gries-Oberhoffen la saison dernière, c’est au tour de Souffelweyersheim de pointer le bout de son nez au deuxième échelon français. Pas une première pour le club de la banlieue de Strasbourg, promue en Pro B en 2013 pour y passer trois saisons avant de redescendre en NM1. Pour le BC Souffelweyersheim, l’exercice 2018-19 aura été des plus satisfaisants : le club a passé toute la saison à la première place, présentant un bilan final de 39 victoires pour seulement 5 défaites.\n\nAutant dire que c’est logiquement que le coach emblématique de Souffel’, Stéphane Eberlin, a tenu à conserver le plus grand nombre possible de joueurs ayant contribué à cette montée. Si Cedric Bah et Aldo Curti ont opté pour d’autres aventures, l’ossature de l’équipe s’articule toujours autour des fidèles Antony Labanca, Jason Bach, Frank Tchoubaye, Cedric Kuakumensah et Sylvain Sautier. Pour étoffer un effectif qui ne comportait que sept professionnels l’an dernier, Stéphane Eberlin a opté pour des joueurs n’ayant que peu ou pas d’expérience à ce niveau, symbole d’une volonté d’à la fois donner leur chance à des joueurs ambitieux et de composer avec des moyens financiers réduits. Le résultat consiste en l’arrivée de jeunes joueurs comme Thimoté Vergiat, Mouhamed Diagne ou Vincent Vent, d’un Oumarou Sylla dominant en NM1 la saison passée et d’un intérieur jamaïcain, Kentan Facey, vu à son avantage à Limassol (Chypre) l’an dernier. Sur le papier, cet ensemble ne paraît pas pouvoir jouer autre chose que le maintien, qui est de toutes manières le seul objectif annoncé par Stéphane Eberlin. La jeune troupe qui oeuvrera sous ses ordres devra être à son meilleur pour l’obtenir.\n\n« Je veux que nous soyons dans la continuité de la saison dernière, que l’équipe montre qu’elle est accrocheuse, qu’elle a un état d’esprit de guerrier. Je veux gagner le championnat de l’engagement. Je veux qu’on défende dur, qu’on soit bien en place collectivement et qu’on mette l’accent sur le jeu rapide en attaque. » Stéphane Eberlin, entraîneur principal\n\nLes deux joueurs à suivre :\n\nAntony Labanca (2,01m, 25 ans)\n\nPassé par le centre de formation de Strasbourg, avec lequel il a remporté la coupe de France en 2015, il avait été prêté à Souffel’ pendant la saison 2015-16. Il a ensuite passé une année à Vichy-Clermont avant de revenir en Alsace et d’y imposer ses qualités d’attaquant et de shooteur de loin. Dixième scoreur du groupe A de NM1, il tournait la saison passée à 14,1 points (43,4 % à trois points), 2,5 rebonds, 1,1 interception et 3,0 passes pour 13,3 d’évaluation. À lui de montrer qu’il peut réitérer à l’étage supérieur.\n\nKentan Facey (2,08m, 26 ans)\n\nFormé à UConn et champion NCAA en 2014, ce pivot jamaïcain va vivre sa troisième saison professionnelle. Il est d’abord passé par Trikala, en Grèce, et évoluait la saison dernière à Limassol, à Chypre, où il compilait 12,8 points et 8,6 rebonds.\n\nArrivées :\n\nKentan Facey (Limassol, Chypre), Timothé Vergiat (Boulogne-sur-Mer, NM1), Mouhamed Diagne (Orléans), Oumarou Sylla (Challans, NM1), Vincent Vent (Orléans).\n\nDéparts :\n\nCedric Bah (Blois), Aldo Curti (Tours, NM1), Lucas Diemer (Westhoffen, N2).\n\nEffectif 2019-20 :\n\nMeneurs : Oumarou Sylla, Timothé Vergiat\n\nExtérieurs : Mouhamed Diagne, Antony Labanca, Frank Tchoubaye (Camerounais, JFL), Jason Bach\n\nIntérieurs : Kentan Facey (Jamaïcain, Cotonou), Cedric Kuakumensah (Américain), Vincent Vent, Sylvain Sautier\n\nLe cinq majeur probable :\n\nSylla-Labanca-Bach-Kuakumensah-Facey\n\nEntraîneur : Stéphane Eberlin Assistant : Daniel Pereira\n\n[armelse]\n\nL’Alsace devient une place forte de la Pro B ! Après Gries-Oberhoffen la saison dernière, c’est au tour de Souffelweyersheim de pointer le bout de son nez au deuxième échelon français. Pas une première pour le club de la banlieue de Strasbourg, promue en Pro B en 2013 pour y passer trois saisons avant de redescendre en NM1. Pour le BC Souffelweyersheim, l’exercice 2018-19 aura été des plus satisfaisants : le club a passé toute la saison à la première place, présentant un bilan final de 39 victoires pour seulement 5 défaites.[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : BC Souffelweyersheim", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/08/souffel.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-11T05:41:37.000Z", "updated_at":"2019-10-28T12:13:21.000Z", "published_at":"2019-11-11T05:41:37.000Z", "custom_excerpt":"Au terme d’une superbe année en NM1, le Souffelweyersheim BC revient en Pro B, trois ans après l’avoir quittée. 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| Euro U20 | 11-19 juillet | Klaipeda | LTU |
| Euro U20, Division B | 10-19 juillet | Tbilissi | GÉO |
| Euro U18 | 25 juillet – 2 août | Bursa | TUR |
| Euro U18, Division B | 24 juillet – 2 août | Oradea | ROU |
| Euro U18, Division C | 28 juillet au 2 août | Serravalle | SMR |
| Euro U16 | 14 au 22 août | Skopje | MKD |
| Euro U16, Division B | 13-22 août | Sofia | BUL |
| Euro U16, Division C | 12-19 juillet | Prishtina | KOS |
| COMPETITION | DATES | LIEU | PAYS |
| Euro U20 | 8-16 août | Sopron | HUN |
| Euro U20, Division B | 8-16 août | Ramat Gan | ISR |
| Euro U18 Femmes | 4 au 12 juillet | Héraklion | GRE |
| Euro U18, Division B | 3 au 12 juillet | Oberwart, Gussing & Furstenfeld | AUT |
| Euro U18, Division C | 28 juillet au 2 août | Andorra la Vella | AND |
| Euro U16 | 18 au 26 juillet | Matosinhos | POR |
| U16, Division B | 17 au 26 juillet | Sarajevo | BIH |
| Euro U16, Division C | 14-19 juillet | Gibraltar | GIB |
Voici les dates et les lieux des compétitions de jeunes des équipes nationales pour l’été prochain. Aucune n’est programmée en France.
Au total, 257 équipes se sont inscrites et participeront aux 16 événements, un nouveau record. Les 904 matchs seront produits par FIBA Europe et diffusés en direct sur les chaînes de la FIBA.
| COMPETITION | DATES | LIEU | PAYS |
| Euro U20 | 11-19 juillet | Klaipeda | LTU |
| Euro U20, Division B | 10-19 juillet | Tbilissi | GÉO |
| Euro U18 | 25 juillet – 2 août | Bursa | TUR |
| Euro U18, Division B | 24 juillet – 2 août | Oradea | ROU |
| Euro U18, Division C | 28 juillet au 2 août | Serravalle | SMR |
| Euro U16 | 14 au 22 août | Skopje | MKD |
| Euro U16, Division B | 13-22 août | Sofia | BUL |
| Euro U16, Division C | 12-19 juillet | Prishtina | KOS |
| COMPETITION | DATES | LIEU | PAYS |
| Euro U20 | 8-16 août | Sopron | HUN |
| Euro U20, Division B | 8-16 août | Ramat Gan | ISR |
| Euro U18 Femmes | 4 au 12 juillet | Héraklion | GRE |
| Euro U18, Division B | 3 au 12 juillet | Oberwart, Gussing & Furstenfeld | AUT |
| Euro U18, Division C | 28 juillet au 2 août | Andorra la Vella | AND |
| Euro U16 | 18 au 26 juillet | Matosinhos | POR |
| U16, Division B | 17 au 26 juillet | Sarajevo | BIH |
| Euro U16, Division C | 14-19 juillet | Gibraltar | GIB |
C’est le meilleur de Brian Conklin (1,98m, 30 ans) que l’on a pu apprécier lors de la victoire du Limoges CSP sur l’Elan Béarnais cet après-midi à Beaublanc (77-70). L’intérieur américain a cumulé 21 points (7/11 aux tirs), 7 rebonds et 3 passes avec une rage qui sied parfaitement au clasico.
Photo: CSP
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\"}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/20-ans-deuros-de-jeunes-les-u16-1e-partie-la-france-en-dauphine-de-lespagne/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/20-ans-deuros-de-jeunes-les-joueurs-u16-euros-2001-2004-stars-et-echecs/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"sup\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/20-ans-deuros-de-jeunes-les-joueurs-u16-euros-2001-2004-stars-et-echecs/\"]]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0,1],0,\"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Dans cette première partie (les autres suivront dans les jours à venir), nous nous intéresserons aux Euros U16, réservés aux moins de 16 ans. Après une analyse par pays (voir \"],[0,[2],1,\"ICI\"],[0,[],0,\"), nous examinons les meilleurs joueurs de ces Euros U16. Dans cette deuxième salve, les éditions 2005 à 2008 (la première salve est à consulter \"],[0,[3],1,\"ICI\"],[0,[],2,\"). Les suivantes dans les jours à venir avant des études similaires sur les U18 et les U20.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Dans cet article, les joueurs des éditions 2005 à 2008.\"]]],[1,\"h4\",[[0,[1],1,\"2005\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Turquie, 2\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – France, 3\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],1,\" – Espagne\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],0,\"Antoine Diot (MVP, France,\"],[0,[],2,\"1989, 1,90m, meneur)\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec ses 21,9 points, 7,4 rebonds et 4,1 passes, il domine l’édition 2005 de l’Euro U16, même s’il ne peut empêcher la Turquie de rafler le titre de champion d’Europe. Déjà parmi les meilleurs Français de l’édition précédente (voir profil \"],[0,[5],1,\"ICI\"],[0,[],0,\"), il fait aujourd’hui partie des meilleurs meneurs français, malgré les blessures qui ont freiné sa carrière.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Dogus Balbay (Turquie, 1989, 1,89m, meneur)\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sur le tournoi, il réalise 15,0 points, 6,4 rebonds et 2,7 passes, menant son équipe au titre de champion. Formé au Fenerbahce, il a passé trois ans en université américaine (à Texas) sans grand relief avant de revenir au pays, à l’Anadolu Efes. Sans jamais briller (meilleure saison à 6,1 points), il s’est imposé comme l’un des piliers de l’équipe, même si son rôle est en décroissance depuis quelques saisons. Également international turc : il jouait encore 17 minutes par match en Chine cet été pour 1,4 points, 3,4 rebonds et 4,2 passes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Can Özcan (Turquie, 1989, 2,01m, ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec ses 14,7 points, 8,0 rebonds et 1,3 passe, il était le principal lieutenant de Balbay sur le tournoi. A ensuite participé à toutes les compétitions de jeunes pour son pays, avec parfois de beaux rendements : 15,1 points à l’Euro U18 de 2007. A ensuite alterné entre première et deuxième division turque sans jamais percer à haut niveau. Joue actuellement en D2 au Akhisar Beledive pour 5,3 points par match.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Pere Tomas (Espagne, 1989, 2,00m, ailier-fort)\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 16,5 points, 7,0 rebonds et 0,4 passe sur le tournoi. Formé entre Prat (en Catalogne) et la Joventud Badalone, il a longtemps joué pour l’équipe de la banlieue barcelonaise avant de partir pour Saragosse, Bilbao et Manresa, où il joue encore. Souvent gêné par les blessures, il est devenu un bon joueur de complément en Liga ACB, sans jamais atteindre le plus haut niveau. Vaut 6,7 points cette année avec Manresa.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Zygimantas Janavicius (Lituanie, 1989, 1,93m, arrière)\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A enregistré 12,6 points, 3,6 rebonds et 2,1 passes sur le tournoi. Formé au Zalgiris Kaunas, il n’a jamais réussi à vraiment s’y imposer. Il a réalisé ses meilleures saisons dans des équipes moins fortes du championnat lituanien (Vytautas Prienu, Lietkabelis) avant d’essayer sans grand succès de se relancer au Rytas Vilnius puis en Allemagne à Braunschweig. Aujourd’hui au Neptunas Klapeida, où il produit 7,9 points en ligue lituanienne et 9,0 points en BCL. International senior à 4 reprises en 2017, pour les fenêtres internationales.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les Français\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Christophe Léonard (1990, 1,99m, ailier)\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[],0,\"14,4 points, 6,0 rebonds, 1,5 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, a joué en Pro A (Cholet, Le Havre) avant de descendre en Pro B à Hyères-Toulon puis de passer une année blanche suite à une grave blessure. Jamais vraiment rétabli, il a repris en Pro B (Bourg-en-Bresse, Poitiers) jusqu’à l’issue de la saison 2016-17. Il s’est ensuite reconverti dans le coaching et la formation.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Damir Karaibrahimovic (1989, 1,81m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"9,8 points, 1,4 rebond, 1,1 passe sur cet Euro U16. Formé à Antibes, il n’a pas réussi à percer à l’échelon professionnel. Passé par l’AS Monaco en NM2 puis NM1, division où il brille à Sorgues avant de se blesser au genou. Depuis, il sévit à Golfe-Juan, en NM2.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Edwin Jackson (1989, 1,90m, arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"7,9 points, 1,1 rebond, 0,3 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, rejoint l’Asvel puis passe deux saisons en Pro B, à Nanterre et Rouen, avant de retrouver Villeurbanne, pour qui il finit meilleur marqueur du championnat en 2014. Il part ensuite sans grande réussite pour Barcelone puis Malaga avant de devenir meilleur marqueur du championnat espagnol avec l’Estudiantes de Madrid (21,4 points). Passe ensuite en Chine et de nouveau à Barcelone avant une saison d’Euroleague avec le Buducnost Podgorica (9,8 points). De retour à LDLC Asvel cette saison. 48 sélections en équipe de France.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Matthieu Lefèvre (1989, 1,95m, ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"6,8 points, 5,1 rebonds, 0,4 passe sur le tournoi. Passé par le centre de formation de Nancy, mais n’a jamais percé chez les pros. A joué en NM2 et NM3, à Menton en dernier lieu. Reconverti dans le coaching de jeunes.\"]]],[1,\"h4\",[[0,[1],1,\"2006\"]]],[10,5],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Espagne, 2e – Russie, 3\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Serbie & Monténégro (France 5\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],1,\")\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Ricky Rubio (MVP, Espagne, 1990, 1,93m, meneur)\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Incroyables stats du phénomène espagnol sur le tournoi : 23,3 points, 12,8 rebonds, 7,1 passes, leader dans toutes ces catégories statistiques. Et un match hallucinant en finale : en 49 minutes face à la Russie (deux prolongations), il réalise 51 points (18/31 à deux-points, 2/6 à trois-points, 13/17 aux lancers francs), 24 rebonds, 12 passes, 7 interceptions, 5 balles perdues, soit 68 d’évaluation ! Le prodige, qui avait déjà fait ses premiers pas en Liga ACB avec la Joventud Badalona, est ensuite passé par Barcelone avant de migrer en NBA, où il joue toujours. Moins monstrueux que dans ses jeunes années, faute d’une adresse extérieure stable, le Catalan figure quand même parmi les très bons meneurs de NBA (11,1 points, 7,7 passes). Et son palmarès en sélection nationale est long comme le bras, avec notamment un titre de champion du monde 2019 et un trophée de MVP et deux de champion d’Europe en 2009 et 2011.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Andrey Semenov (Russie, 1990, 2,00m, intérieur)\"]]],[10,7],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sur le tournoi, 14,6 points, 7,1 rebonds, 1,8 passe. Parti jeune aux États-Unis jouer en high school (Blue Ridge HS, à Charlottesville) puis en fac (à James Madison), il passe six saisons à l’université sans parvenir à être drafté ni se révéler (10,9 points lors de sa dernière année). Il revient en Russie jouer pour Rossy Novogorsk puis Avtador, avec de toutes petites stats (2,7 points en VTB League en 2015-16). Joue aujourd’hui à Burevestnik, en SuperLeague russe (le championnat des clubs ne jouant pas la VTB League) : 7,3 points et 3,8 rebonds.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Dejan Musli (Serbie & Monténégro, 1991, 2,13m, pivot)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec un an d’avance, réalise 15,3 points, 0,3 rebonds, 0,6 passe sur le tournoi. Un grand espoir du basket serbe qui n’a pas totalement confirmé. Après ses années de formation au FMP Zeleznik, il est passé par Vitoria (1,5 point par match) avant de revenir en Serbie (Partizan et Mega Leks) puis, à partir de 2015, de reprendre le chemin de l’Espagne (Manresa puis Malaga) avant d’aller en Allemagne (Bamberg), en Chine (un match à Hebei) et de revenir à Andorre pour cette saison. A connu ses meilleures années à Manresa (13,8 points) et à Malaga (11,7 points en Eurocup) ainsi qu’à Bamberg (10,4 points en Euroleague 2017-18). Après une saison quasi-blanche, il se relance péniblement à Andorre (5,0 points en ACB, 6,0 points en Eurocup).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Dino Muric (Slovénie, 1990, 2,01m, ailier/ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 20,6 points, 10,4 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Dans le cinq majeur alors que la Slovénie termine 13\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\". A passé toute sa carrière en Slovénie, à l’Olimpija Ljubljana puis, depuis deux saisons, à Sencur Gorejska (division 1 slovène, ne comportant pas les meilleurs clubs du pays, qui jouent en Ligue Adriatique). Après plusieurs belles saisons dans la capitale slovène, il a connu un déclin qui l’a amené à Sencur, où il retrouve des couleurs : 18,3 points et 8,5 rebonds cette saison. Considéré comme l’un des plus grands espoirs du pays (c’était avant Luka Doncic…), Dino Muric n’a pas totalement confirmé et n’a jamais été appelé en équipe nationale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Luca Campani (Italie, 1990, 2,08m, pivot)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 13,4 points, 9,4 rebonds, 1,3 passe sur le tournoi pour une Italie finissant 6\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\". A alterné pendant sa carrière entre les deux premières divisions italiennes, avec comme meilleure saison 7,9 points à Varèse en 2015-16 (Lega A). Aujourd’hui à Turin en Lega B, pour 9,0 points et 4,7 rebonds.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les Français\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Christophe Léonard (1990, 1,99m, ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"14,3 points, 7,3 rebonds, 2,6 passes, ses stats sont assez similaires à celles de son précédent Euro U16 (voir ci-dessus).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Alexis Tanghe (1990, 2,08m, ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"13,9 points et 4,5 rebonds pour l’ailier-fort qui fera par la suite l’essentiel de sa carrière en Pro B après avoir glané une médaille d’or à l’Euro U20 de 2010. Formé à Dijon, il n’a pas réussi à s’installer en Pro A avant de devenir un joueur solide à l’étage inférieur, à Roanne, Boulazac, Orchies, Bourg-en-Bresse. Aujourd’hui à Blois, ses stats sont en nette baisse : 3,8 points et 3,8 rebonds.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Yohann Jacques (1990, 2,03m, ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"11,0 points, 6,1 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Après le Centre Fédéral et le centre de formation de Nancy, a fait carrière dans les divisions nationales, notamment à Épinal, son club formateur. A pris en 2015 la direction de Mirecourt (NM3) en même temps qu’il se reconvertissait dans le marketing.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Jonathan Rousselle (1990, 1,92m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"7,0 points, 1,6 rebond, 1,6 passe sur le tournoi. Formé à Gravelines-Dunkerque, il va chercher du temps de jeu à Boulogne-sur-Mer en Pro B avant de remonter dans l’élite et de s’y imposer comme un bon meneur du championnat, notamment avec Cholet. Après une année à Limoges, s’est exporté à Bilbao, en Espagne, où il produit 6,7 points, 2,4 rebonds et 3,4 passes. Une fois international.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Jonathan Leria (1990, 1,98m, ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"6,7 points, 3,6 rebonds, 1,0 passe sur le tournoi. Formé à l’Élan Béarnais, il n’a pu s’imposer au niveau professionnel, la faute à des blessures, naviguant une bonne partie de sa carrière entre NM1 et NM2. Joue cette année à Besançon (NM1), pour 12,0 points et 4,1 rebonds.\"]]],[1,\"h4\",[[0,[1],1,\"2007\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Serbie, 2e – Espagne, 3\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Lituanie (France 6\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],1,\")\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Dejan Musli (MVP, Serbie, 1991, 2,13m, pivot\"]]],[10,8],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 16,3 points, 11,8 rebonds et 1,1 passe, il mène la Serbie (désormais amputée du Monténégro) à la victoire finale, décrochant le titre de MVP de la compétition. Voir son parcours ci-dessus.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Toni Prostran (Croatie, 1991, 1,81m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Meilleur marqueur du tournoi avec 20,0 points en plus de 4,3 rebonds et 3,0 passes. Encore un énorme prospect qui n’a pas réussi à percer à haut niveau. Après sa formation à Zadar et un intermède à Zagreb, il a rejoint la Suède puis la Lituanie, Chypre, à nouveau la Suède, Porto. Il joue aujourd’hui à… Saint-Vallier (!) en NM1, pour 8,4 points, 1,9 rebond et 4,4 passes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Can Maxim Mutaf (Turquie, 1991, 1,93m, arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18,3 points, 4,3 rebonds, 1,3 passe sur le tournoi. Formé au Fenerbahce, où il n’a pu réussir à percer, il a fréquenté bon nombre de clubs turcs dans un rôle de joueur de complément. Après avoir joué la saison dernière au Besiktas (4,3 points en championnat national), il vient tout juste de rejoindre Bursaspor, dans le même championnat.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Nicolo Melli (Italie, 1991, 2,05m, ailier-fort)\"]]],[10,9],[1,\"p\",[[0,[],0,\"13,1 points, 9,8 rebonds, 1,6 passe sur le tournoi. Formé à Reggiana, il a surtout explosé avec Milan avant de partir à Bamberg (deux fois champion d’Allemagne) puis au Fenerbahce, où il s’est avéré un très bon joueur d’Euroleague. Parti cette année tenter sa chance à la Nouvelle-Orléans en NBA, où il réalise pour le moment 2,5 points et 2,8 rebonds en 14 minutes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Alberto Jodar (Espagne, 1991, 2,03m, ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"15,4 points, 7,9 rebonds, 1,6 passe sur l’Euro U16. Formé à Fuenlabrada, il a ensuite joué pour la réserve du Real Madrid et Alicante. Miné par les problèmes physiques, il s’est retiré des parquets en 2013.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les Français\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Malela Mutuale (1991, 1,88m, meneur)\"]]],[10,10],[1,\"p\",[[0,[],0,\"9,0 points, 4,1 rebonds, 2,9 passes sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, rejoint Paris-Levallois puis Dijon. Peinant à s’imposer en Pro A, il part en Pro B à Aix-Maurienne durant la saison 2014-15. Depuis, il alterne entre les deux divisions, compensant son manque d’adresse par sa combativité et sa défense. Joue cette année en Jeep Élite à Orléans, pour 3,7 points, 2,2 rebonds et 2,9 passes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Léo Westermann (1992, 1,97m, meneur)\"]]],[10,11],[1,\"p\",[[0,[],0,\"7,8 points, 3,0 rebonds, 0,5 passe sur l’Euro U16. Passé par l’Asvel après le Centre Fédéral, a vu sa carrière pourrie par de graves blessures au genou. Ce qui ne l’a pas empêché de jouer pour des clubs prestigieux : Partizan Belgrade, Zalgiris Kaunas, CSKA Moscou et, aujourd’hui, Fenerbahce. Il y tourne à 5,0 points et 4,7 passes en championnat (21 minutes) et à 0,8 point et 1,4 passe en Euroleague (7 minutes). Un meneur gestionnaire de très bon niveau. International à 27 reprises.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Rémi Dibo (1991, 2,01m, ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"7,1 points, 3,8 rebonds, 0,5 passe sur le tournoi. Formé au Mans puis aux États-Unis, il a joué en Angleterre (Worcester Wolves) avant de revenir en France, en NM1 avant de passer en Pro B, à Évreux puis Rouen. Depuis, il s’est orienté vers le 3×3, où il représente la France.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Joffrey Lauvergne (1991, 2,11m, ailier-fort/pivot)\"]]],[10,12],[1,\"p\",[[0,[],0,\"6,5 points, 7,9 rebonds, 1,1 passe sur le tournoi. Formé à Chalon-sur-Saône, qu’il quitte en 2012 faute de temps de jeu. Après un mois à Valence, il part pour le Partizan Belgrade, où il s’éclate. On le voit ensuite au Khimki Moscou puis en NBA (Denver, Oklahoma City, Chicago, San Antonio), où il ne s’impose pas (2,3 points en 208 matchs). Il revient en Europe au Fenerbahce, où il devient un remplaçant de luxe. Victime d’une grosse blessure, vient juste de faire son retour sur les parquets turcs et d’Euroleague (6,0 points et 4,1 rebonds en 3 matchs).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Elio Sadiku (1991, 1,87m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"6,5 points, 2,9 rebonds, 1,6 passe sur l’Euro U16. Formé à Saint-Étienne (alors en Pro B), il a ensuite fréquenté le centre de formation d’Orléans avant de jouer en Espagne à Alicante (Liga ACB) et San Vincente (EBA). Revient en France en 2011 à Saint-Chamond (NM2), qu’il accompagne en NM1. Depuis la saison passée, joue à Hyères-Toulon en NM3.\"]]],[1,\"h4\",[[0,[1],1,\"2008\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Lituanie, 2e – Rép. Tchèque, 3\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Turquie (France 4\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],1,\")\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Jonas Valenciunas (MVP, Lituanie, 1992, 2,10m, pivot)\"]]],[10,13],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un tournoi à 14,3 points, 11,1 rebonds et 0,1 passe, d’où un titre de MVP. Formé au Perlas, club de Vilnius, il passe dès 2010 au Lietuvos Rytas, où il reste deux saisons pleines avant de partir en NBA, où il joue toujours. Drafté en 5\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" position par les Toronto Raptors, il y passe sept saisons avant de migrer la saison passée à Memphis, aux Grizzlies, où il s’éclate, malgré les blessures : 19,9 points l’an dernier, 11,4 pour commencer la saison. Une des grandes stars lituaniennes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Milan Ryska (Rép. Tchèque, 1992, 2,04m, ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"10,1 points, 9,5 rebonds, 0,6 passe sur la compétition. Il décède en février suivant.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Enes Kanter (Turquie, 1992, 2,08m, pivot)\"]]],[10,14],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Meilleur marqueur et rebondeur de la compétition avec 22,9 points et 16,5 rebonds. Après une année de formation au Fenerbahce, il part aux États-Unis mais ne peut jouer ni en high school ni en université du fait de son passage par le Fener, ayant joué avec des professionnels. Mais son potentiel est tel qu’il est drafté en 3\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\"position par Utah en 2011. Depuis, il s’illustre en NBA : 11,9 points et 7,6 rebonds en 584 matchs. Cette année à Boston, où il n’a joué qu’un match pour 12 points et 6 rebonds. Menacé en Turquie pour son opposition au président du pays, ne peut y retourner sans être mis en prison.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Dmitrii Kulagin (Russie, 1992, 1,97m, arrière-ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20,8 points, 4,3 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Formé au Nizhny Novgorod, il débute en professionnel avec le Triumph Lyubersty. Passé ensuite par Samara et Saint-Petersbourg puis le CSKA Moscou. Il joue au Lokomotiv Kuban depuis 2017. Il y tourne à 12,8 points et 4,4 rebonds en Eurocup. International russe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Léo Westermann (France, 1992, 1,97m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"12,3 points, 3,4 rebonds et 2,1 passes pour le meneur français, déjà présent à l’Euro U16 précédent (voir plus haut).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les Français\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Evan Fournier (1992, 1,97m, arrière)\"]]],[10,15],[1,\"p\",[[0,[],0,\"13,9 points, 3,0 rebonds, 1,0 passe sur le tournoi. Est-il besoin de présenter le joueur ? Après trois saisons à Nanterre et Poitiers, il est parti en NBA, aux Denver Nuggets puis à l’Orlando Magic, apporter ses qualités de scoreur. 14,3 points en carrière, 13,5 en ce début de saison. Artilleur en chef de l’équipe de France cet été à la Coupe du monde, où il finit dans le cinq majeur de la compétition.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Valentin Mauve (1992, 1,93m, ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"7,8 points, 2,1 rebonds, 0,6 passe sur la compétition. Passé par le centre de formation de Cholet, qui ne le conserve pas à l’issue de la saison 2007-08. A suivi ensuite un parcours hors basket a priori, entrecoupé de passages en prénationale (Saint-Pierre-des-Corps, 2014-15) ou à Tours, en NM3, ces deux dernières saisons.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Mathis Keita (1992, 1,92m, meneur-arrière)\"]]],[10,16],[1,\"p\",[[0,[],0,\"5,4 points, 3,5 rebonds, 0,8 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, part à Gonzaga, en NCAA puis à Pennsylvania University (NCAA II) avant de revenir en France en 2014, d’abord à Évreux (Pro B) puis à Gravelines-Dunkerque. En échec, il redescend en Pro B à Roanne, qu’il aide à faire monter en Jeep Élite. Mais il se blesse au genou (ligaments croisés) et il n’a pas encore pu jouer cette saison.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Vincent Pourchot (1992, 2,22m, pivot)\"]]],[10,17],[1,\"p\",[[0,[],0,\"4,5 points, 4,3 rebonds, 0,3 passe sur la compétition. Plus grand joueur français par la taille, il dominait en Espoirs, à Nancy. En 2011, contre Pau, il marque 26 points, prend 26 rebonds et réalise 15 contres, pour 62 d’évaluation ! Mais, faute de mobilité, il n’arrive pas à s’imposer en pro. Après deux saisons de Pro B à Charleville-Mézières, il descend en NM1, où il joue depuis lors. Après deux années à Lorient, il est cette saison à Tours. Il y vaut 8,8 points, 7,2 rebonds et 2,4 passes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Dans cet article, les joueurs des éditions 2005 à 2008.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"2005\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Turquie, 2\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],0,\" – France, 3\"],[0,[4],1,\"e\"],[0,[],1,\" – Espagne\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],0,\"Antoine Diot (MVP, France,\"],[0,[],2,\"1989, 1,90m, meneur)\"]]],[10,18],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec ses 21,9 points, 7,4 rebonds et 4,1 passes, il domine l’édition 2005 de l’Euro U16, même s’il ne peut empêcher la Turquie de rafler le titre de champion d’Europe. Déjà parmi les meilleurs Français de l’édition précédente (voir profil ICI), il fait aujourd’hui partie des meilleurs meneurs français, malgré les blessures qui ont freiné sa carrière.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[10,19]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Dans cette première partie (les autres suivront dans les jours à venir), nous nous intéresserons aux Euros U16, réservés aux moins de 16 ans. Après une analyse par pays (voir ICI), nous examinons les meilleurs joueurs de ces Euros U16. Dans cette deuxième salve, les éditions 2005 à 2008 (la première salve est à consulter ICI). Les suivantes dans les jours à venir avant des études similaires sur les U18 et les U20.
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Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).
Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Dans cet article, les joueurs des éditions 2005 à 2008.
Podium : 1e – Turquie, 2e – France, 3e – Espagne
Antoine Diot (MVP, France,1989, 1,90m, meneur)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/diot-2005.jpg\")
Avec ses 21,9 points, 7,4 rebonds et 4,1 passes, il domine l’édition 2005 de l’Euro U16, même s’il ne peut empêcher la Turquie de rafler le titre de champion d’Europe. Déjà parmi les meilleurs Français de l’édition précédente (voir profil ICI), il fait aujourd’hui partie des meilleurs meneurs français, malgré les blessures qui ont freiné sa carrière.
Dogus Balbay (Turquie, 1989, 1,89m, meneur)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/balbay-2005.jpg\")
Sur le tournoi, il réalise 15,0 points, 6,4 rebonds et 2,7 passes, menant son équipe au titre de champion. Formé au Fenerbahce, il a passé trois ans en université américaine (à Texas) sans grand relief avant de revenir au pays, à l’Anadolu Efes. Sans jamais briller (meilleure saison à 6,1 points), il s’est imposé comme l’un des piliers de l’équipe, même si son rôle est en décroissance depuis quelques saisons. Également international turc : il jouait encore 17 minutes par match en Chine cet été pour 1,4 points, 3,4 rebonds et 4,2 passes.
Can Özcan (Turquie, 1989, 2,01m, ailier)
Avec ses 14,7 points, 8,0 rebonds et 1,3 passe, il était le principal lieutenant de Balbay sur le tournoi. A ensuite participé à toutes les compétitions de jeunes pour son pays, avec parfois de beaux rendements : 15,1 points à l’Euro U18 de 2007. A ensuite alterné entre première et deuxième division turque sans jamais percer à haut niveau. Joue actuellement en D2 au Akhisar Beledive pour 5,3 points par match.
Pere Tomas (Espagne, 1989, 2,00m, ailier-fort)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/tomas-2005.jpg\")
Auteur de 16,5 points, 7,0 rebonds et 0,4 passe sur le tournoi. Formé entre Prat (en Catalogne) et la Joventud Badalone, il a longtemps joué pour l’équipe de la banlieue barcelonaise avant de partir pour Saragosse, Bilbao et Manresa, où il joue encore. Souvent gêné par les blessures, il est devenu un bon joueur de complément en Liga ACB, sans jamais atteindre le plus haut niveau. Vaut 6,7 points cette année avec Manresa.
Zygimantas Janavicius (Lituanie, 1989, 1,93m, arrière)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/janavicius-2005.jpg\")
A enregistré 12,6 points, 3,6 rebonds et 2,1 passes sur le tournoi. Formé au Zalgiris Kaunas, il n’a jamais réussi à vraiment s’y imposer. Il a réalisé ses meilleures saisons dans des équipes moins fortes du championnat lituanien (Vytautas Prienu, Lietkabelis) avant d’essayer sans grand succès de se relancer au Rytas Vilnius puis en Allemagne à Braunschweig. Aujourd’hui au Neptunas Klapeida, où il produit 7,9 points en ligue lituanienne et 9,0 points en BCL. International senior à 4 reprises en 2017, pour les fenêtres internationales.
Les Français
Christophe Léonard (1990, 1,99m, ailier)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/leonard-2006.jpg\")
14,4 points, 6,0 rebonds, 1,5 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, a joué en Pro A (Cholet, Le Havre) avant de descendre en Pro B à Hyères-Toulon puis de passer une année blanche suite à une grave blessure. Jamais vraiment rétabli, il a repris en Pro B (Bourg-en-Bresse, Poitiers) jusqu’à l’issue de la saison 2016-17. Il s’est ensuite reconverti dans le coaching et la formation.
Damir Karaibrahimovic (1989, 1,81m, meneur)
9,8 points, 1,4 rebond, 1,1 passe sur cet Euro U16. Formé à Antibes, il n’a pas réussi à percer à l’échelon professionnel. Passé par l’AS Monaco en NM2 puis NM1, division où il brille à Sorgues avant de se blesser au genou. Depuis, il sévit à Golfe-Juan, en NM2.
Edwin Jackson (1989, 1,90m, arrière)
7,9 points, 1,1 rebond, 0,3 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, rejoint l’Asvel puis passe deux saisons en Pro B, à Nanterre et Rouen, avant de retrouver Villeurbanne, pour qui il finit meilleur marqueur du championnat en 2014. Il part ensuite sans grande réussite pour Barcelone puis Malaga avant de devenir meilleur marqueur du championnat espagnol avec l’Estudiantes de Madrid (21,4 points). Passe ensuite en Chine et de nouveau à Barcelone avant une saison d’Euroleague avec le Buducnost Podgorica (9,8 points). De retour à LDLC Asvel cette saison. 48 sélections en équipe de France.
Matthieu Lefèvre (1989, 1,95m, ailier)
6,8 points, 5,1 rebonds, 0,4 passe sur le tournoi. Passé par le centre de formation de Nancy, mais n’a jamais percé chez les pros. A joué en NM2 et NM3, à Menton en dernier lieu. Reconverti dans le coaching de jeunes.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/cinq-majeur-2006.jpg\")
Podium : 1e – Espagne, 2e – Russie, 3e – Serbie & Monténégro (France 5e)
Ricky Rubio (MVP, Espagne, 1990, 1,93m, meneur)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/rubio-2-2006.jpg\")
Incroyables stats du phénomène espagnol sur le tournoi : 23,3 points, 12,8 rebonds, 7,1 passes, leader dans toutes ces catégories statistiques. Et un match hallucinant en finale : en 49 minutes face à la Russie (deux prolongations), il réalise 51 points (18/31 à deux-points, 2/6 à trois-points, 13/17 aux lancers francs), 24 rebonds, 12 passes, 7 interceptions, 5 balles perdues, soit 68 d’évaluation ! Le prodige, qui avait déjà fait ses premiers pas en Liga ACB avec la Joventud Badalona, est ensuite passé par Barcelone avant de migrer en NBA, où il joue toujours. Moins monstrueux que dans ses jeunes années, faute d’une adresse extérieure stable, le Catalan figure quand même parmi les très bons meneurs de NBA (11,1 points, 7,7 passes). Et son palmarès en sélection nationale est long comme le bras, avec notamment un titre de champion du monde 2019 et un trophée de MVP et deux de champion d’Europe en 2009 et 2011.
Andrey Semenov (Russie, 1990, 2,00m, intérieur)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/semenov-2006.jpg\")
Sur le tournoi, 14,6 points, 7,1 rebonds, 1,8 passe. Parti jeune aux États-Unis jouer en high school (Blue Ridge HS, à Charlottesville) puis en fac (à James Madison), il passe six saisons à l’université sans parvenir à être drafté ni se révéler (10,9 points lors de sa dernière année). Il revient en Russie jouer pour Rossy Novogorsk puis Avtador, avec de toutes petites stats (2,7 points en VTB League en 2015-16). Joue aujourd’hui à Burevestnik, en SuperLeague russe (le championnat des clubs ne jouant pas la VTB League) : 7,3 points et 3,8 rebonds.
Dejan Musli (Serbie & Monténégro, 1991, 2,13m, pivot)
Avec un an d’avance, réalise 15,3 points, 0,3 rebonds, 0,6 passe sur le tournoi. Un grand espoir du basket serbe qui n’a pas totalement confirmé. Après ses années de formation au FMP Zeleznik, il est passé par Vitoria (1,5 point par match) avant de revenir en Serbie (Partizan et Mega Leks) puis, à partir de 2015, de reprendre le chemin de l’Espagne (Manresa puis Malaga) avant d’aller en Allemagne (Bamberg), en Chine (un match à Hebei) et de revenir à Andorre pour cette saison. A connu ses meilleures années à Manresa (13,8 points) et à Malaga (11,7 points en Eurocup) ainsi qu’à Bamberg (10,4 points en Euroleague 2017-18). Après une saison quasi-blanche, il se relance péniblement à Andorre (5,0 points en ACB, 6,0 points en Eurocup).
Dino Muric (Slovénie, 1990, 2,01m, ailier/ailier-fort)
Auteur de 20,6 points, 10,4 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Dans le cinq majeur alors que la Slovénie termine 13e. A passé toute sa carrière en Slovénie, à l’Olimpija Ljubljana puis, depuis deux saisons, à Sencur Gorejska (division 1 slovène, ne comportant pas les meilleurs clubs du pays, qui jouent en Ligue Adriatique). Après plusieurs belles saisons dans la capitale slovène, il a connu un déclin qui l’a amené à Sencur, où il retrouve des couleurs : 18,3 points et 8,5 rebonds cette saison. Considéré comme l’un des plus grands espoirs du pays (c’était avant Luka Doncic…), Dino Muric n’a pas totalement confirmé et n’a jamais été appelé en équipe nationale.
Luca Campani (Italie, 1990, 2,08m, pivot)
Auteur de 13,4 points, 9,4 rebonds, 1,3 passe sur le tournoi pour une Italie finissant 6e. A alterné pendant sa carrière entre les deux premières divisions italiennes, avec comme meilleure saison 7,9 points à Varèse en 2015-16 (Lega A). Aujourd’hui à Turin en Lega B, pour 9,0 points et 4,7 rebonds.
Les Français
Christophe Léonard (1990, 1,99m, ailier)
14,3 points, 7,3 rebonds, 2,6 passes, ses stats sont assez similaires à celles de son précédent Euro U16 (voir ci-dessus).
Alexis Tanghe (1990, 2,08m, ailier-fort)
13,9 points et 4,5 rebonds pour l’ailier-fort qui fera par la suite l’essentiel de sa carrière en Pro B après avoir glané une médaille d’or à l’Euro U20 de 2010. Formé à Dijon, il n’a pas réussi à s’installer en Pro A avant de devenir un joueur solide à l’étage inférieur, à Roanne, Boulazac, Orchies, Bourg-en-Bresse. Aujourd’hui à Blois, ses stats sont en nette baisse : 3,8 points et 3,8 rebonds.
Yohann Jacques (1990, 2,03m, ailier-fort)
11,0 points, 6,1 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Après le Centre Fédéral et le centre de formation de Nancy, a fait carrière dans les divisions nationales, notamment à Épinal, son club formateur. A pris en 2015 la direction de Mirecourt (NM3) en même temps qu’il se reconvertissait dans le marketing.
Jonathan Rousselle (1990, 1,92m, meneur)
7,0 points, 1,6 rebond, 1,6 passe sur le tournoi. Formé à Gravelines-Dunkerque, il va chercher du temps de jeu à Boulogne-sur-Mer en Pro B avant de remonter dans l’élite et de s’y imposer comme un bon meneur du championnat, notamment avec Cholet. Après une année à Limoges, s’est exporté à Bilbao, en Espagne, où il produit 6,7 points, 2,4 rebonds et 3,4 passes. Une fois international.
Jonathan Leria (1990, 1,98m, ailier)
6,7 points, 3,6 rebonds, 1,0 passe sur le tournoi. Formé à l’Élan Béarnais, il n’a pu s’imposer au niveau professionnel, la faute à des blessures, naviguant une bonne partie de sa carrière entre NM1 et NM2. Joue cette année à Besançon (NM1), pour 12,0 points et 4,1 rebonds.
Podium : 1e – Serbie, 2e – Espagne, 3e – Lituanie (France 6e)
Dejan Musli (MVP, Serbie, 1991, 2,13m, pivot
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/musli-2007.jpg\")
Auteur de 16,3 points, 11,8 rebonds et 1,1 passe, il mène la Serbie (désormais amputée du Monténégro) à la victoire finale, décrochant le titre de MVP de la compétition. Voir son parcours ci-dessus.
Toni Prostran (Croatie, 1991, 1,81m, meneur)
Meilleur marqueur du tournoi avec 20,0 points en plus de 4,3 rebonds et 3,0 passes. Encore un énorme prospect qui n’a pas réussi à percer à haut niveau. Après sa formation à Zadar et un intermède à Zagreb, il a rejoint la Suède puis la Lituanie, Chypre, à nouveau la Suède, Porto. Il joue aujourd’hui à… Saint-Vallier (!) en NM1, pour 8,4 points, 1,9 rebond et 4,4 passes.
Can Maxim Mutaf (Turquie, 1991, 1,93m, arrière)
18,3 points, 4,3 rebonds, 1,3 passe sur le tournoi. Formé au Fenerbahce, où il n’a pu réussir à percer, il a fréquenté bon nombre de clubs turcs dans un rôle de joueur de complément. Après avoir joué la saison dernière au Besiktas (4,3 points en championnat national), il vient tout juste de rejoindre Bursaspor, dans le même championnat.
Nicolo Melli (Italie, 1991, 2,05m, ailier-fort)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/melli-2007.jpg\")
13,1 points, 9,8 rebonds, 1,6 passe sur le tournoi. Formé à Reggiana, il a surtout explosé avec Milan avant de partir à Bamberg (deux fois champion d’Allemagne) puis au Fenerbahce, où il s’est avéré un très bon joueur d’Euroleague. Parti cette année tenter sa chance à la Nouvelle-Orléans en NBA, où il réalise pour le moment 2,5 points et 2,8 rebonds en 14 minutes.
Alberto Jodar (Espagne, 1991, 2,03m, ailier)
15,4 points, 7,9 rebonds, 1,6 passe sur l’Euro U16. Formé à Fuenlabrada, il a ensuite joué pour la réserve du Real Madrid et Alicante. Miné par les problèmes physiques, il s’est retiré des parquets en 2013.
Les Français
Malela Mutuale (1991, 1,88m, meneur)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/mutuale-2007.jpg\")
9,0 points, 4,1 rebonds, 2,9 passes sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, rejoint Paris-Levallois puis Dijon. Peinant à s’imposer en Pro A, il part en Pro B à Aix-Maurienne durant la saison 2014-15. Depuis, il alterne entre les deux divisions, compensant son manque d’adresse par sa combativité et sa défense. Joue cette année en Jeep Élite à Orléans, pour 3,7 points, 2,2 rebonds et 2,9 passes.
Léo Westermann (1992, 1,97m, meneur)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/westermann-2007.jpg\")
7,8 points, 3,0 rebonds, 0,5 passe sur l’Euro U16. Passé par l’Asvel après le Centre Fédéral, a vu sa carrière pourrie par de graves blessures au genou. Ce qui ne l’a pas empêché de jouer pour des clubs prestigieux : Partizan Belgrade, Zalgiris Kaunas, CSKA Moscou et, aujourd’hui, Fenerbahce. Il y tourne à 5,0 points et 4,7 passes en championnat (21 minutes) et à 0,8 point et 1,4 passe en Euroleague (7 minutes). Un meneur gestionnaire de très bon niveau. International à 27 reprises.
Rémi Dibo (1991, 2,01m, ailier-fort)
7,1 points, 3,8 rebonds, 0,5 passe sur le tournoi. Formé au Mans puis aux États-Unis, il a joué en Angleterre (Worcester Wolves) avant de revenir en France, en NM1 avant de passer en Pro B, à Évreux puis Rouen. Depuis, il s’est orienté vers le 3×3, où il représente la France.
Joffrey Lauvergne (1991, 2,11m, ailier-fort/pivot)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/lauvergne-2007.jpg\")
6,5 points, 7,9 rebonds, 1,1 passe sur le tournoi. Formé à Chalon-sur-Saône, qu’il quitte en 2012 faute de temps de jeu. Après un mois à Valence, il part pour le Partizan Belgrade, où il s’éclate. On le voit ensuite au Khimki Moscou puis en NBA (Denver, Oklahoma City, Chicago, San Antonio), où il ne s’impose pas (2,3 points en 208 matchs). Il revient en Europe au Fenerbahce, où il devient un remplaçant de luxe. Victime d’une grosse blessure, vient juste de faire son retour sur les parquets turcs et d’Euroleague (6,0 points et 4,1 rebonds en 3 matchs).
Elio Sadiku (1991, 1,87m, meneur)
6,5 points, 2,9 rebonds, 1,6 passe sur l’Euro U16. Formé à Saint-Étienne (alors en Pro B), il a ensuite fréquenté le centre de formation d’Orléans avant de jouer en Espagne à Alicante (Liga ACB) et San Vincente (EBA). Revient en France en 2011 à Saint-Chamond (NM2), qu’il accompagne en NM1. Depuis la saison passée, joue à Hyères-Toulon en NM3.
Podium : 1e – Lituanie, 2e – Rép. Tchèque, 3e – Turquie (France 4e)
Jonas Valenciunas (MVP, Lituanie, 1992, 2,10m, pivot)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/valenciunas-avec-meneghin-2008.jpg\")
Un tournoi à 14,3 points, 11,1 rebonds et 0,1 passe, d’où un titre de MVP. Formé au Perlas, club de Vilnius, il passe dès 2010 au Lietuvos Rytas, où il reste deux saisons pleines avant de partir en NBA, où il joue toujours. Drafté en 5e position par les Toronto Raptors, il y passe sept saisons avant de migrer la saison passée à Memphis, aux Grizzlies, où il s’éclate, malgré les blessures : 19,9 points l’an dernier, 11,4 pour commencer la saison. Une des grandes stars lituaniennes.
Milan Ryska (Rép. Tchèque, 1992, 2,04m, ailier-fort)
10,1 points, 9,5 rebonds, 0,6 passe sur la compétition. Il décède en février suivant.
Enes Kanter (Turquie, 1992, 2,08m, pivot)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/kanter-2008.jpg\")
Meilleur marqueur et rebondeur de la compétition avec 22,9 points et 16,5 rebonds. Après une année de formation au Fenerbahce, il part aux États-Unis mais ne peut jouer ni en high school ni en université du fait de son passage par le Fener, ayant joué avec des professionnels. Mais son potentiel est tel qu’il est drafté en 3eposition par Utah en 2011. Depuis, il s’illustre en NBA : 11,9 points et 7,6 rebonds en 584 matchs. Cette année à Boston, où il n’a joué qu’un match pour 12 points et 6 rebonds. Menacé en Turquie pour son opposition au président du pays, ne peut y retourner sans être mis en prison.
Dmitrii Kulagin (Russie, 1992, 1,97m, arrière-ailier)
20,8 points, 4,3 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Formé au Nizhny Novgorod, il débute en professionnel avec le Triumph Lyubersty. Passé ensuite par Samara et Saint-Petersbourg puis le CSKA Moscou. Il joue au Lokomotiv Kuban depuis 2017. Il y tourne à 12,8 points et 4,4 rebonds en Eurocup. International russe.
Léo Westermann (France, 1992, 1,97m, meneur)
12,3 points, 3,4 rebonds et 2,1 passes pour le meneur français, déjà présent à l’Euro U16 précédent (voir plus haut).
Les Français
Evan Fournier (1992, 1,97m, arrière)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/fournier-3-2008.jpg\")
13,9 points, 3,0 rebonds, 1,0 passe sur le tournoi. Est-il besoin de présenter le joueur ? Après trois saisons à Nanterre et Poitiers, il est parti en NBA, aux Denver Nuggets puis à l’Orlando Magic, apporter ses qualités de scoreur. 14,3 points en carrière, 13,5 en ce début de saison. Artilleur en chef de l’équipe de France cet été à la Coupe du monde, où il finit dans le cinq majeur de la compétition.
Valentin Mauve (1992, 1,93m, ailier)
7,8 points, 2,1 rebonds, 0,6 passe sur la compétition. Passé par le centre de formation de Cholet, qui ne le conserve pas à l’issue de la saison 2007-08. A suivi ensuite un parcours hors basket a priori, entrecoupé de passages en prénationale (Saint-Pierre-des-Corps, 2014-15) ou à Tours, en NM3, ces deux dernières saisons.
Mathis Keita (1992, 1,92m, meneur-arrière)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/keita-2008.jpg\")
5,4 points, 3,5 rebonds, 0,8 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, part à Gonzaga, en NCAA puis à Pennsylvania University (NCAA II) avant de revenir en France en 2014, d’abord à Évreux (Pro B) puis à Gravelines-Dunkerque. En échec, il redescend en Pro B à Roanne, qu’il aide à faire monter en Jeep Élite. Mais il se blesse au genou (ligaments croisés) et il n’a pas encore pu jouer cette saison.
Vincent Pourchot (1992, 2,22m, pivot)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/pourchot-2008.jpg\")
4,5 points, 4,3 rebonds, 0,3 passe sur la compétition. Plus grand joueur français par la taille, il dominait en Espoirs, à Nancy. En 2011, contre Pau, il marque 26 points, prend 26 rebonds et réalise 15 contres, pour 62 d’évaluation ! Mais, faute de mobilité, il n’arrive pas à s’imposer en pro. Après deux saisons de Pro B à Charleville-Mézières, il descend en NM1, où il joue depuis lors. Après deux années à Lorient, il est cette saison à Tours. Il y vaut 8,8 points, 7,2 rebonds et 2,4 passes.
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[armelse]
Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).
Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Dans cet article, les joueurs des éditions 2005 à 2008.
2005
Podium : 1e – Turquie, 2e – France, 3e – Espagne
Antoine Diot (MVP, France,1989, 1,90m, meneur)
Avec ses 21,9 points, 7,4 rebonds et 4,1 passes, il domine l’édition 2005 de l’Euro U16, même s’il ne peut empêcher la Turquie de rafler le titre de champion d’Europe. Déjà parmi les meilleurs Français de l’édition précédente (voir profil ICI), il fait aujourd’hui partie des meilleurs meneurs français, malgré les blessures qui ont freiné sa carrière.
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Photo d’ouverture : Espagne U16 2006 – Photo FIBA Europe
", "comment_id":"484059", "plaintext":"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Dans cette première partie (les autres suivront dans les jours à venir), nous nous intéresserons aux Euros U16, réservés aux moins de 16 ans. Après une analyse par pays (voir ICI), nous examinons les meilleurs joueurs de ces Euros U16. Dans cette deuxième salve, les éditions 2005 à 2008 (la première salve est à consulter ICI). Les suivantes dans les jours à venir avant des études similaires sur les U18 et les U20.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).\n\nVoici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Dans cet article, les joueurs des éditions 2005 à 2008.\n\n2005\n\nPodium : 1e – Turquie, 2e – France, 3e – Espagne\n\nAntoine Diot (MVP, France,1989, 1,90m, meneur)\n\nAvec ses 21,9 points, 7,4 rebonds et 4,1 passes, il domine l’édition 2005 de l’Euro U16, même s’il ne peut empêcher la Turquie de rafler le titre de champion d’Europe. Déjà parmi les meilleurs Français de l’édition précédente (voir profil ICI), il fait aujourd’hui partie des meilleurs meneurs français, malgré les blessures qui ont freiné sa carrière.\n\nDogus Balbay (Turquie, 1989, 1,89m, meneur)\n\nSur le tournoi, il réalise 15,0 points, 6,4 rebonds et 2,7 passes, menant son équipe au titre de champion. Formé au Fenerbahce, il a passé trois ans en université américaine (à Texas) sans grand relief avant de revenir au pays, à l’Anadolu Efes. Sans jamais briller (meilleure saison à 6,1 points), il s’est imposé comme l’un des piliers de l’équipe, même si son rôle est en décroissance depuis quelques saisons. Également international turc : il jouait encore 17 minutes par match en Chine cet été pour 1,4 points, 3,4 rebonds et 4,2 passes.\n\nCan Özcan (Turquie, 1989, 2,01m, ailier)\n\nAvec ses 14,7 points, 8,0 rebonds et 1,3 passe, il était le principal lieutenant de Balbay sur le tournoi. A ensuite participé à toutes les compétitions de jeunes pour son pays, avec parfois de beaux rendements : 15,1 points à l’Euro U18 de 2007. A ensuite alterné entre première et deuxième division turque sans jamais percer à haut niveau. Joue actuellement en D2 au Akhisar Beledive pour 5,3 points par match.\n\nPere Tomas (Espagne, 1989, 2,00m, ailier-fort)\n\nAuteur de 16,5 points, 7,0 rebonds et 0,4 passe sur le tournoi. Formé entre Prat (en Catalogne) et la Joventud Badalone, il a longtemps joué pour l’équipe de la banlieue barcelonaise avant de partir pour Saragosse, Bilbao et Manresa, où il joue encore. Souvent gêné par les blessures, il est devenu un bon joueur de complément en Liga ACB, sans jamais atteindre le plus haut niveau. Vaut 6,7 points cette année avec Manresa.\n\nZygimantas Janavicius (Lituanie, 1989, 1,93m, arrière)\n\nA enregistré 12,6 points, 3,6 rebonds et 2,1 passes sur le tournoi. Formé au Zalgiris Kaunas, il n’a jamais réussi à vraiment s’y imposer. Il a réalisé ses meilleures saisons dans des équipes moins fortes du championnat lituanien (Vytautas Prienu, Lietkabelis) avant d’essayer sans grand succès de se relancer au Rytas Vilnius puis en Allemagne à Braunschweig. Aujourd’hui au Neptunas Klapeida, où il produit 7,9 points en ligue lituanienne et 9,0 points en BCL. International senior à 4 reprises en 2017, pour les fenêtres internationales.\n\nLes Français\n\nChristophe Léonard (1990, 1,99m, ailier)\n\n14,4 points, 6,0 rebonds, 1,5 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, a joué en Pro A (Cholet, Le Havre) avant de descendre en Pro B à Hyères-Toulon puis de passer une année blanche suite à une grave blessure. Jamais vraiment rétabli, il a repris en Pro B (Bourg-en-Bresse, Poitiers) jusqu’à l’issue de la saison 2016-17. Il s’est ensuite reconverti dans le coaching et la formation.\n\nDamir Karaibrahimovic (1989, 1,81m, meneur)\n\n9,8 points, 1,4 rebond, 1,1 passe sur cet Euro U16. Formé à Antibes, il n’a pas réussi à percer à l’échelon professionnel. Passé par l’AS Monaco en NM2 puis NM1, division où il brille à Sorgues avant de se blesser au genou. Depuis, il sévit à Golfe-Juan, en NM2.\n\nEdwin Jackson (1989, 1,90m, arrière)\n\n7,9 points, 1,1 rebond, 0,3 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, rejoint l’Asvel puis passe deux saisons en Pro B, à Nanterre et Rouen, avant de retrouver Villeurbanne, pour qui il finit meilleur marqueur du championnat en 2014. Il part ensuite sans grande réussite pour Barcelone puis Malaga avant de devenir meilleur marqueur du championnat espagnol avec l’Estudiantes de Madrid (21,4 points). Passe ensuite en Chine et de nouveau à Barcelone avant une saison d’Euroleague avec le Buducnost Podgorica (9,8 points). De retour à LDLC Asvel cette saison. 48 sélections en équipe de France.\n\nMatthieu Lefèvre (1989, 1,95m, ailier)\n\n6,8 points, 5,1 rebonds, 0,4 passe sur le tournoi. Passé par le centre de formation de Nancy, mais n’a jamais percé chez les pros. A joué en NM2 et NM3, à Menton en dernier lieu. Reconverti dans le coaching de jeunes.\n\n2006\n\nPodium : 1e – Espagne, 2e – Russie, 3e – Serbie & Monténégro (France 5e)\n\nRicky Rubio (MVP, Espagne, 1990, 1,93m, meneur)\n\nIncroyables stats du phénomène espagnol sur le tournoi : 23,3 points, 12,8 rebonds, 7,1 passes, leader dans toutes ces catégories statistiques. Et un match hallucinant en finale : en 49 minutes face à la Russie (deux prolongations), il réalise 51 points (18/31 à deux-points, 2/6 à trois-points, 13/17 aux lancers francs), 24 rebonds, 12 passes, 7 interceptions, 5 balles perdues, soit 68 d’évaluation ! Le prodige, qui avait déjà fait ses premiers pas en Liga ACB avec la Joventud Badalona, est ensuite passé par Barcelone avant de migrer en NBA, où il joue toujours. Moins monstrueux que dans ses jeunes années, faute d’une adresse extérieure stable, le Catalan figure quand même parmi les très bons meneurs de NBA (11,1 points, 7,7 passes). Et son palmarès en sélection nationale est long comme le bras, avec notamment un titre de champion du monde 2019 et un trophée de MVP et deux de champion d’Europe en 2009 et 2011.\n\nAndrey Semenov (Russie, 1990, 2,00m, intérieur)\n\nSur le tournoi, 14,6 points, 7,1 rebonds, 1,8 passe. Parti jeune aux États-Unis jouer en high school (Blue Ridge HS, à Charlottesville) puis en fac (à James Madison), il passe six saisons à l’université sans parvenir à être drafté ni se révéler (10,9 points lors de sa dernière année). Il revient en Russie jouer pour Rossy Novogorsk puis Avtador, avec de toutes petites stats (2,7 points en VTB League en 2015-16). Joue aujourd’hui à Burevestnik, en SuperLeague russe (le championnat des clubs ne jouant pas la VTB League) : 7,3 points et 3,8 rebonds.\n\nDejan Musli (Serbie & Monténégro, 1991, 2,13m, pivot)\n\nAvec un an d’avance, réalise 15,3 points, 0,3 rebonds, 0,6 passe sur le tournoi. Un grand espoir du basket serbe qui n’a pas totalement confirmé. Après ses années de formation au FMP Zeleznik, il est passé par Vitoria (1,5 point par match) avant de revenir en Serbie (Partizan et Mega Leks) puis, à partir de 2015, de reprendre le chemin de l’Espagne (Manresa puis Malaga) avant d’aller en Allemagne (Bamberg), en Chine (un match à Hebei) et de revenir à Andorre pour cette saison. A connu ses meilleures années à Manresa (13,8 points) et à Malaga (11,7 points en Eurocup) ainsi qu’à Bamberg (10,4 points en Euroleague 2017-18). Après une saison quasi-blanche, il se relance péniblement à Andorre (5,0 points en ACB, 6,0 points en Eurocup).\n\nDino Muric (Slovénie, 1990, 2,01m, ailier/ailier-fort)\n\nAuteur de 20,6 points, 10,4 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Dans le cinq majeur alors que la Slovénie termine 13e. A passé toute sa carrière en Slovénie, à l’Olimpija Ljubljana puis, depuis deux saisons, à Sencur Gorejska (division 1 slovène, ne comportant pas les meilleurs clubs du pays, qui jouent en Ligue Adriatique). Après plusieurs belles saisons dans la capitale slovène, il a connu un déclin qui l’a amené à Sencur, où il retrouve des couleurs : 18,3 points et 8,5 rebonds cette saison. Considéré comme l’un des plus grands espoirs du pays (c’était avant Luka Doncic…), Dino Muric n’a pas totalement confirmé et n’a jamais été appelé en équipe nationale.\n\nLuca Campani (Italie, 1990, 2,08m, pivot)\n\nAuteur de 13,4 points, 9,4 rebonds, 1,3 passe sur le tournoi pour une Italie finissant 6e. A alterné pendant sa carrière entre les deux premières divisions italiennes, avec comme meilleure saison 7,9 points à Varèse en 2015-16 (Lega A). Aujourd’hui à Turin en Lega B, pour 9,0 points et 4,7 rebonds.\n\nLes Français\n\nChristophe Léonard (1990, 1,99m, ailier)\n\n14,3 points, 7,3 rebonds, 2,6 passes, ses stats sont assez similaires à celles de son précédent Euro U16 (voir ci-dessus).\n\nAlexis Tanghe (1990, 2,08m, ailier-fort)\n\n13,9 points et 4,5 rebonds pour l’ailier-fort qui fera par la suite l’essentiel de sa carrière en Pro B après avoir glané une médaille d’or à l’Euro U20 de 2010. Formé à Dijon, il n’a pas réussi à s’installer en Pro A avant de devenir un joueur solide à l’étage inférieur, à Roanne, Boulazac, Orchies, Bourg-en-Bresse. Aujourd’hui à Blois, ses stats sont en nette baisse : 3,8 points et 3,8 rebonds.\n\nYohann Jacques (1990, 2,03m, ailier-fort)\n\n11,0 points, 6,1 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Après le Centre Fédéral et le centre de formation de Nancy, a fait carrière dans les divisions nationales, notamment à Épinal, son club formateur. A pris en 2015 la direction de Mirecourt (NM3) en même temps qu’il se reconvertissait dans le marketing.\n\nJonathan Rousselle (1990, 1,92m, meneur)\n\n7,0 points, 1,6 rebond, 1,6 passe sur le tournoi. Formé à Gravelines-Dunkerque, il va chercher du temps de jeu à Boulogne-sur-Mer en Pro B avant de remonter dans l’élite et de s’y imposer comme un bon meneur du championnat, notamment avec Cholet. Après une année à Limoges, s’est exporté à Bilbao, en Espagne, où il produit 6,7 points, 2,4 rebonds et 3,4 passes. Une fois international.\n\nJonathan Leria (1990, 1,98m, ailier)\n\n6,7 points, 3,6 rebonds, 1,0 passe sur le tournoi. Formé à l’Élan Béarnais, il n’a pu s’imposer au niveau professionnel, la faute à des blessures, naviguant une bonne partie de sa carrière entre NM1 et NM2. Joue cette année à Besançon (NM1), pour 12,0 points et 4,1 rebonds.\n\n2007\n\nPodium : 1e – Serbie, 2e – Espagne, 3e – Lituanie (France 6e)\n\nDejan Musli (MVP, Serbie, 1991, 2,13m, pivot\n\nAuteur de 16,3 points, 11,8 rebonds et 1,1 passe, il mène la Serbie (désormais amputée du Monténégro) à la victoire finale, décrochant le titre de MVP de la compétition. Voir son parcours ci-dessus.\n\nToni Prostran (Croatie, 1991, 1,81m, meneur)\n\nMeilleur marqueur du tournoi avec 20,0 points en plus de 4,3 rebonds et 3,0 passes. Encore un énorme prospect qui n’a pas réussi à percer à haut niveau. Après sa formation à Zadar et un intermède à Zagreb, il a rejoint la Suède puis la Lituanie, Chypre, à nouveau la Suède, Porto. Il joue aujourd’hui à… Saint-Vallier (!) en NM1, pour 8,4 points, 1,9 rebond et 4,4 passes.\n\nCan Maxim Mutaf (Turquie, 1991, 1,93m, arrière)\n\n18,3 points, 4,3 rebonds, 1,3 passe sur le tournoi. Formé au Fenerbahce, où il n’a pu réussir à percer, il a fréquenté bon nombre de clubs turcs dans un rôle de joueur de complément. Après avoir joué la saison dernière au Besiktas (4,3 points en championnat national), il vient tout juste de rejoindre Bursaspor, dans le même championnat.\n\nNicolo Melli (Italie, 1991, 2,05m, ailier-fort)\n\n13,1 points, 9,8 rebonds, 1,6 passe sur le tournoi. Formé à Reggiana, il a surtout explosé avec Milan avant de partir à Bamberg (deux fois champion d’Allemagne) puis au Fenerbahce, où il s’est avéré un très bon joueur d’Euroleague. Parti cette année tenter sa chance à la Nouvelle-Orléans en NBA, où il réalise pour le moment 2,5 points et 2,8 rebonds en 14 minutes.\n\nAlberto Jodar (Espagne, 1991, 2,03m, ailier)\n\n15,4 points, 7,9 rebonds, 1,6 passe sur l’Euro U16. Formé à Fuenlabrada, il a ensuite joué pour la réserve du Real Madrid et Alicante. Miné par les problèmes physiques, il s’est retiré des parquets en 2013.\n\nLes Français\n\nMalela Mutuale (1991, 1,88m, meneur)\n\n9,0 points, 4,1 rebonds, 2,9 passes sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, rejoint Paris-Levallois puis Dijon. Peinant à s’imposer en Pro A, il part en Pro B à Aix-Maurienne durant la saison 2014-15. Depuis, il alterne entre les deux divisions, compensant son manque d’adresse par sa combativité et sa défense. Joue cette année en Jeep Élite à Orléans, pour 3,7 points, 2,2 rebonds et 2,9 passes.\n\nLéo Westermann (1992, 1,97m, meneur)\n\n7,8 points, 3,0 rebonds, 0,5 passe sur l’Euro U16. Passé par l’Asvel après le Centre Fédéral, a vu sa carrière pourrie par de graves blessures au genou. Ce qui ne l’a pas empêché de jouer pour des clubs prestigieux : Partizan Belgrade, Zalgiris Kaunas, CSKA Moscou et, aujourd’hui, Fenerbahce. Il y tourne à 5,0 points et 4,7 passes en championnat (21 minutes) et à 0,8 point et 1,4 passe en Euroleague (7 minutes). Un meneur gestionnaire de très bon niveau. International à 27 reprises.\n\nRémi Dibo (1991, 2,01m, ailier-fort)\n\n7,1 points, 3,8 rebonds, 0,5 passe sur le tournoi. Formé au Mans puis aux États-Unis, il a joué en Angleterre (Worcester Wolves) avant de revenir en France, en NM1 avant de passer en Pro B, à Évreux puis Rouen. Depuis, il s’est orienté vers le 3×3, où il représente la France.\n\nJoffrey Lauvergne (1991, 2,11m, ailier-fort/pivot)\n\n6,5 points, 7,9 rebonds, 1,1 passe sur le tournoi. Formé à Chalon-sur-Saône, qu’il quitte en 2012 faute de temps de jeu. Après un mois à Valence, il part pour le Partizan Belgrade, où il s’éclate. On le voit ensuite au Khimki Moscou puis en NBA (Denver, Oklahoma City, Chicago, San Antonio), où il ne s’impose pas (2,3 points en 208 matchs). Il revient en Europe au Fenerbahce, où il devient un remplaçant de luxe. Victime d’une grosse blessure, vient juste de faire son retour sur les parquets turcs et d’Euroleague (6,0 points et 4,1 rebonds en 3 matchs).\n\nElio Sadiku (1991, 1,87m, meneur)\n\n6,5 points, 2,9 rebonds, 1,6 passe sur l’Euro U16. Formé à Saint-Étienne (alors en Pro B), il a ensuite fréquenté le centre de formation d’Orléans avant de jouer en Espagne à Alicante (Liga ACB) et San Vincente (EBA). Revient en France en 2011 à Saint-Chamond (NM2), qu’il accompagne en NM1. Depuis la saison passée, joue à Hyères-Toulon en NM3.\n\n2008\n\nPodium : 1e – Lituanie, 2e – Rép. Tchèque, 3e – Turquie (France 4e)\n\nJonas Valenciunas (MVP, Lituanie, 1992, 2,10m, pivot)\n\nUn tournoi à 14,3 points, 11,1 rebonds et 0,1 passe, d’où un titre de MVP. Formé au Perlas, club de Vilnius, il passe dès 2010 au Lietuvos Rytas, où il reste deux saisons pleines avant de partir en NBA, où il joue toujours. Drafté en 5e position par les Toronto Raptors, il y passe sept saisons avant de migrer la saison passée à Memphis, aux Grizzlies, où il s’éclate, malgré les blessures : 19,9 points l’an dernier, 11,4 pour commencer la saison. Une des grandes stars lituaniennes.\n\nMilan Ryska (Rép. Tchèque, 1992, 2,04m, ailier-fort)\n\n10,1 points, 9,5 rebonds, 0,6 passe sur la compétition. Il décède en février suivant.\n\nEnes Kanter (Turquie, 1992, 2,08m, pivot)\n\nMeilleur marqueur et rebondeur de la compétition avec 22,9 points et 16,5 rebonds. Après une année de formation au Fenerbahce, il part aux États-Unis mais ne peut jouer ni en high school ni en université du fait de son passage par le Fener, ayant joué avec des professionnels. Mais son potentiel est tel qu’il est drafté en 3eposition par Utah en 2011. Depuis, il s’illustre en NBA : 11,9 points et 7,6 rebonds en 584 matchs. Cette année à Boston, où il n’a joué qu’un match pour 12 points et 6 rebonds. Menacé en Turquie pour son opposition au président du pays, ne peut y retourner sans être mis en prison.\n\nDmitrii Kulagin (Russie, 1992, 1,97m, arrière-ailier)\n\n20,8 points, 4,3 rebonds, 0,9 passe sur le tournoi. Formé au Nizhny Novgorod, il débute en professionnel avec le Triumph Lyubersty. Passé ensuite par Samara et Saint-Petersbourg puis le CSKA Moscou. Il joue au Lokomotiv Kuban depuis 2017. Il y tourne à 12,8 points et 4,4 rebonds en Eurocup. International russe.\n\nLéo Westermann (France, 1992, 1,97m, meneur)\n\n12,3 points, 3,4 rebonds et 2,1 passes pour le meneur français, déjà présent à l’Euro U16 précédent (voir plus haut).\n\nLes Français\n\nEvan Fournier (1992, 1,97m, arrière)\n\n13,9 points, 3,0 rebonds, 1,0 passe sur le tournoi. Est-il besoin de présenter le joueur ? Après trois saisons à Nanterre et Poitiers, il est parti en NBA, aux Denver Nuggets puis à l’Orlando Magic, apporter ses qualités de scoreur. 14,3 points en carrière, 13,5 en ce début de saison. Artilleur en chef de l’équipe de France cet été à la Coupe du monde, où il finit dans le cinq majeur de la compétition.\n\nValentin Mauve (1992, 1,93m, ailier)\n\n7,8 points, 2,1 rebonds, 0,6 passe sur la compétition. Passé par le centre de formation de Cholet, qui ne le conserve pas à l’issue de la saison 2007-08. A suivi ensuite un parcours hors basket a priori, entrecoupé de passages en prénationale (Saint-Pierre-des-Corps, 2014-15) ou à Tours, en NM3, ces deux dernières saisons.\n\nMathis Keita (1992, 1,92m, meneur-arrière)\n\n5,4 points, 3,5 rebonds, 0,8 passe sur le tournoi. À sa sortie du Centre Fédéral, part à Gonzaga, en NCAA puis à Pennsylvania University (NCAA II) avant de revenir en France en 2014, d’abord à Évreux (Pro B) puis à Gravelines-Dunkerque. En échec, il redescend en Pro B à Roanne, qu’il aide à faire monter en Jeep Élite. Mais il se blesse au genou (ligaments croisés) et il n’a pas encore pu jouer cette saison.\n\nVincent Pourchot (1992, 2,22m, pivot)\n\n4,5 points, 4,3 rebonds, 0,3 passe sur la compétition. Plus grand joueur français par la taille, il dominait en Espoirs, à Nancy. En 2011, contre Pau, il marque 26 points, prend 26 rebonds et réalise 15 contres, pour 62 d’évaluation ! Mais, faute de mobilité, il n’arrive pas à s’imposer en pro. Après deux saisons de Pro B à Charleville-Mézières, il descend en NM1, où il joue depuis lors. Après deux années à Lorient, il est cette saison à Tours. Il y vaut 8,8 points, 7,2 rebonds et 2,4 passes.\n\nx\n\n[armelse]\n\nLors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).\n\nVoici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Dans cet article, les joueurs des éditions 2005 à 2008.\n\n2005\n\nPodium : 1e – Turquie, 2e – France, 3e – Espagne\n\nAntoine Diot (MVP, France,1989, 1,90m, meneur)\n\nAvec ses 21,9 points, 7,4 rebonds et 4,1 passes, il domine l’édition 2005 de l’Euro U16, même s’il ne peut empêcher la Turquie de rafler le titre de champion d’Europe. Déjà parmi les meilleurs Français de l’édition précédente (voir profil ICI), il fait aujourd’hui partie des meilleurs meneurs français, malgré les blessures qui ont freiné sa carrière.\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : Espagne U16 2006 – Photo FIBA Europe", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/espagne-2006.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-10T16:11:39.000Z", "updated_at":"2019-11-11T09:43:37.000Z", "published_at":"2019-11-10T16:11:39.000Z", "custom_excerpt":"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? 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Alors que l’équipe de France se réunit en ce début de semaine à l’INSEP afin de préparer deux matches amicaux face à l’Espagne, les 15 et 17 novembre, la Franco-Américaine Bria Hartley a réalisé une dernière performance de choix dans le championnat turc.
Passée du Fenerbahçe à Galatasaray, Bria Hartley a scoré 36 des 69 points de son équipe pour une victoire sur Elazig qui en a mis 66. La combo guard newyorkaise a transformé 9 de ses 16 tirs du champ et aussi 12 de ses 15 lancers, ajoutant 4 rebonds et 2 passes à cette belle soirée.
Galatasaray est invaincu après 4 journées. Avec 19,3 points en moyenne, Bria Hartley est la 9e scoreuse du championnat.
Les réseaux sociaux permettent à certains de se défouler avec grossièreté parfois dans l’anonymat contre les politiques, les acteurs, les chanteurs, les sportifs, les célébrités en général ou même les quidams. Fos-sur-Mer, qui descend de Jeep Elite, connaît un début de saison de Pro B très difficile (5 défaites en autant de journées) et les joueurs reçoivent des messages d’insultes comme en témoigne le meneur Edouard Choquet sur sa page facebook:
« En tant que sportifs pro., nous sommes évidemment exposés aux critiques.
Dans cette spirale de défaite que nous essayons de combattre au quotidien, voilà le type de message reçu dans la nuit par plusieurs joueurs de notre équipe. Rien d’étonnant, cela reste le jeu du professionnalisme. Mais ce que nous retenons aujourd’hui, ce n’est pas le minuscule pourcentage d’arriérés sans limites mais plutôt les 99% de personnes qui continuent de nous soutenir et de nous offrir des sourires, des « on y croit », « on ne lâche pas » ou « ce n’est que le début ». Pour eux et pour nous, nous ne lâcherons pas et continuerons de croire en notre travail. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/edouard-choquet.jpg\")
Dans la plupart des pronostics d’avant-saison -y compris celui de BasketEurope-, Cholet Basket était placé bon dernier. Aujourd’hui, l’équipe du Maine-et-Loire compte 6 victoires en 8 journées et s’est positionnée à la 4e place en compagnie de Monaco et Bourg. Bourg que les Choletais ont pulvérisé hier soir à La Meilleraie: 88-60 ! Une équipe qui venait de les éliminer dans la semaine en Coupe de France (95-88 dans l’Ain). Franchement, qui pouvait prévoir ça ?
«On a mis beaucoup d’intensité, surtout en deuxième mi-temps », a commenté le coach Erman Kunter. « On a trouvé beaucoup d’espaces. Faire ça face à Bourg-en-Bresse, c’est bon signe. J’ai une équipe qui est forte dès qu’elle commence à mettre de l’intensité. On a trouvé beaucoup de contre-attaques. C’est une victoire importante. On a creusé l’écart progressivement, en gardant notre énergie. L’envie, l’agressivité et la dureté étaient là. Le côté revanche a pu jouer dans les têtes. Chaque victoire compte. Dans ce championnat-là, on ne peut jamais se reposer. Cinq victoires de suite (en championnat), c’est important. Si on gagne à Pau et contre Dijon, on pourra dire qu’on est corrects.«
Statistiquement, un homme a été une fois de plus au-dessus du lot, c’est Chris Horton avec 22 points et 9 rebonds mais pourtant CB doit faire face à des embuches, comme celles constituées des départs de Melvyn Govindy et Junior Etou.
« Quelque fois, avec une équipe resserrée, on peut avoir des réactions positives », répond Kunter. « On s’entraîne bien. Quand l’équipe commence à bien s’entraîner, on peut avancer. On obtient grâce à ça de meilleurs résultats.»
Le coach de la JL, Savo Vucevic, ne pouvait qu’applaudir des deux mains son adversaire:
«Je félicite Cholet pour son très bon match. Je ne sais pas ce qu’on a mangé aujourd’hui, d’habitude, on ne lâche rien. On était en en retard partout, face à un Cholet athlétique et agressif. On a eu du mal à jouer en équipe. A la mi-temps, on ne jouait pas bien, mais on n’était qu’à -3. J’ai un bon groupe. On va rebondir dans la sérénité. Cholet a une équipe jeune, enthousiaste. Michael Stocktongère bien son équipe. Je vois Cholet bien figurer dans ce championnat.»
Heu… Nous aussi.
Photo: Chris Horton (CB)
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Le plus terrible souvenir remonte à la demi-finale de l’Euro 2005 lorsque Antoine Rigaudeau and Co se firent remonter et devancer alors qu’ils possédaient 7 points d’avance à 43 secondes de la fin.
Hier soir, la Chorale de Roanne a été grecquifiée à la Halle Vacheresse par la SIG Strasbourg et ça fait très mal à la tête (83-84). Les Roannais menaient de 6 points à l’entame de la dernière minute mais ils gâchaient des lancers. Boris Diallo scorait à trois-points, Justin Carter loupait un lancer et c’est en cinq secondes que Travis Trice (1,88m, 26 ans, 23 points dont 9 dans les 50 dernières secondes, 4 passes, 3 rebonds) traversait le terrain pour planter un autre trois-points au buzzer. Terrible.
« Je suis vraiment content qu’on ait gagné », a commenté le héros alsacien. « Je suis fier de l’équipe, car on n’a jamais abandonné. C’était un match très physique. On savait que cette rencontre était très importante, puisqu’on aurait été dans une très mauvaise situation si on l’avait perdu. Cette victoire fait vraiment du bien à l’équipe. J’ai déjà marqué pas mal de shoots, mais celui-là est définitivement mon préféré ! Le coach nous a beaucoup parlé des erreurs qu’on a fait dans le 3ème et 4ème quart-temps. On se concentre maintenant sur notre prochain match ».
La SIG peut pousser un immense ouf de soulagement alors que la Chorale n’a pas gagné depuis le 25 septembre et le temps lui parait très très long…
« Ce match, on l’a préparé correctement, je pense, mais ce n’est pas encore suffisant donc il faut en faire encore plus », ne pouvait que constater le coach Maxime Boire. « De notre côté avec le staff et les joueurs de leur côté aussi. Maintenant que je suis confirmé coach jusqu’à la fin de la saison, on va faire une réunion et Vincent Collet parlait d’exigence, on va en mettre beaucoup notamment dans la compréhension du plan de jeu et son suivi parce que ce soir c’est ce qui nous a manqué. La fin de match que l’on doit maîtriser plus, le money time. En première mi-temps, on n’est pas dans ce que l’on a fait contre l’ASVEL et Paris notamment défensivement. On donne des consignes sur leurs deux joueurs majeurs qui crèent le jeu, Gabe York et Travis Trice et d’entrée de jeu Trice a le tir pour se mettre en confiance qu’il met dedans et derrière il met le shoot de la gagne. Il met le shoot de la gagne parce qu’il met le premier shoot où l’on n’est pas prêt à défendre sur lui. Donc il met le dernier. Je tiens par contre à féliciter Thomas Ville qui était sur York, il était en mission. Il faut que tout le monde fasse comme ça. Ca va être mon travail, celui du staff, dès lundi, d’avoir cette exigence là… »
Photo: Travis Trice (FIBA)
", "comment_id":"484194", "plaintext":"Une « grecquification ». Dans le jargon du basket, cela veut dire se faire battre sur le fil en quelques secondes alors que l’on possède une très confortable avance. Les Grecs s’en sont fait longtemps une spécialité d’où le nom donné à leurs exploits. Le plus terrible souvenir remonte à la demi-finale de l’Euro 2005 lorsque Antoine Rigaudeau and Co se firent remonter et devancer alors qu’ils possédaient 7 points d’avance à 43 secondes de la fin.\n\nHier soir, la Chorale de Roanne a été grecquifiée à la Halle Vacheresse par la SIG Strasbourg et ça fait très mal à la tête (83-84). Les Roannais menaient de 6 points à l’entame de la dernière minute mais ils gâchaient des lancers. Boris Diallo scorait à trois-points, Justin Carter loupait un lancer et c’est en cinq secondes que Travis Trice (1,88m, 26 ans, 23 points dont 9 dans les 50 dernières secondes, 4 passes, 3 rebonds) traversait le terrain pour planter un autre trois-points au buzzer. Terrible.\n\n« Je suis vraiment content qu’on ait gagné », a commenté le héros alsacien. « Je suis fier de l’équipe, car on n’a jamais abandonné. C’était un match très physique. On savait que cette rencontre était très importante, puisqu’on aurait été dans une très mauvaise situation si on l’avait perdu. Cette victoire fait vraiment du bien à l’équipe. J’ai déjà marqué pas mal de shoots, mais celui-là est définitivement mon préféré ! Le coach nous a beaucoup parlé des erreurs qu’on a fait dans le 3ème et 4ème quart-temps. On se concentre maintenant sur notre prochain match ».\n\nLa SIG peut pousser un immense ouf de soulagement alors que la Chorale n’a pas gagné depuis le 25 septembre et le temps lui parait très très long…\n\n« Ce match, on l’a préparé correctement, je pense, mais ce n’est pas encore suffisant donc il faut en faire encore plus », ne pouvait que constater le coach Maxime Boire. « De notre côté avec le staff et les joueurs de leur côté aussi. Maintenant que je suis confirmé coach jusqu’à la fin de la saison, on va faire une réunion et Vincent Collet parlait d’exigence, on va en mettre beaucoup notamment dans la compréhension du plan de jeu et son suivi parce que ce soir c’est ce qui nous a manqué. La fin de match que l’on doit maîtriser plus, le money time. En première mi-temps, on n’est pas dans ce que l’on a fait contre l’ASVEL et Paris notamment défensivement. On donne des consignes sur leurs deux joueurs majeurs qui crèent le jeu, Gabe York et Travis Trice et d’entrée de jeu Trice a le tir pour se mettre en confiance qu’il met dedans et derrière il met le shoot de la gagne. Il met le shoot de la gagne parce qu’il met le premier shoot où l’on n’est pas prêt à défendre sur lui. Donc il met le dernier. Je tiens par contre à féliciter Thomas Ville qui était sur York, il était en mission. Il faut que tout le monde fasse comme ça. 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Selon ESPN, pour cette compétition, Mike Fratello va prendre comme coach la suite de Jeff Van Gundy. Fratello, 72 ans, va sortir à cette occasion d’une semi retraite puisqu’il est actuellement consultant pour NBA TV.
Dans son long parcours, on trouve trace d’un trophée de Coach of the Year en… 1986. Dans l’histoire de la NBA, il est 18e au nombre de matchs gagnés en saison régulière (667), et 19e au nombre de matchs coachés (1 215). Il possède une expérience internationale comme coach de la sélection ukrainienne (2011 jusqu’à la Coupe du monde 2014). Il était par ailleurs le coach des Atlanta Hawks qui, à l’été 1988, disputèrent trois matches en URSS, une grande première pour une équipe NBA.
Photo: FIBA
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A propos des Bleus, Rudy Gobert assure:
« L’équipe de France ce n’est pas un lot de consolation. Je veux gagner en NBA. Je veux gagner en équipe de France. »
Il revient sur l’attitude de son équipier et ami Evan Fournier qui sur le podium de la Coupe du monde faisait la tête et a remisé sa médaille de bronze dans sa chaussette:
« J’ai tout à fait compris sa réaction », dit-il. « Moi, j’ai voulu apprécier ce moment. Mais j’y pensais à chaque seconde à cette médaille d’or. Evan a tout donné et quand la compétition se termine il y a forcément une descente d’adrénaline et cela joue sur ton ressenti. Nous sommes faits pareil: des compétiteurs qui veulent gagner. On me demandait partout d’amener ma médaille de bronze. J’étais content de l’avoir gagnée mais je n’allais pas fanfaronner avec. »
Rudy Gobert livre par ailleurs une anecdote significative:
« A Cholet, je gagnais 3 000 euros par mois. Et j’en mettais 1 000 euros par mois sur une cuisinière. Je me faisais des entorses à la cheville l’année de ma draft. En décembre, j’étais blessé. J’ai arrêté de sortir, pris cette cuisinière. Ce n’est pas l’unique raison pour laquelle j’ai été drafté mais ça joue. C’est un puzzle et chaque pièce est importante. »
Le salaire annuel de Rudy Gobert est aujourd’hui de 24 258 427 $, le 46e de NBA. Cela fait 1 834 599 euros par mois. Un bon investissement cette cuisinière.
Photo: FFBB
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Il a aussi la particularité d’avoir une équipe en première division chez les hommes et une en deuxième division chez les femmes. Les hommes sont 8e ex-aequo avec 3 victoires et 4 défaites, les femmes sont 2e ex-aequo avec 4 victoires et 1 défaite et ont battu récemment un record de spectateurs.
Seulement, sur le plan financier ce n’est pas folichon. Interrogé par Marca, Fernando Galindo, son président, n’en fait pas mystère :
« Nous avons passé un certain temps avec une dette historique et importante à laquelle nous avons été confrontés jusqu’à présent. Nous estimons qu’il est essentiel de trouver cette stabilité économique qui nous permettrait de faire face à la dette que nous avons et aux défis sportifs qui nécessitent un plus grand budget. »
En clair, Estudiantes est à la recherche de 5 millions d’euros. Et si la participation aux championnats n’est pas menacée cette saison et il en n’est pas de même pour les suivantes si une solution n’est pas trouvée.
» Si cet argent n’arrive pas en quantité suffisante pour faire face à la saison prochaine, nous devrons gagner du temps, avoir une réflexion profonde sur ce que l’avenir peut réserver « , a déclaré Galindo. « Nous nous considérons comme une institution d’intérêt général, nous avons apporté une contribution historique à l’équipe nationale espagnole et au basket-ball dans ce pays, tout en défendant et en éduquant avec des valeurs de solidarité et toutes les nobles causes de la société. »
Photo: Phil Presse (Estudiantes, ACB)
", "comment_id":"484186", "plaintext":"Movistar Estudiantes Madrid est une institution dans le basket espagnol qui est réputée pour avoir des équipes de jeunes très prolifiques, le club étudiant ayant formé un nombre remarquable de joueurs et d’entraîneurs champions du monde, médaillés olympiques, ou en NBA. Il a aussi la particularité d’avoir une équipe en première division chez les hommes et une en deuxième division chez les femmes. Les hommes sont 8e ex-aequo avec 3 victoires et 4 défaites, les femmes sont 2e ex-aequo avec 4 victoires et 1 défaite et ont battu récemment un record de spectateurs.\n\nSeulement, sur le plan financier ce n’est pas folichon. Interrogé par Marca, Fernando Galindo, son président, n’en fait pas mystère :\n\n« Nous avons passé un certain temps avec une dette historique et importante à laquelle nous avons été confrontés jusqu’à présent. Nous estimons qu’il est essentiel de trouver cette stabilité économique qui nous permettrait de faire face à la dette que nous avons et aux défis sportifs qui nécessitent un plus grand budget. »\n\nEn clair, Estudiantes est à la recherche de 5 millions d’euros. Et si la participation aux championnats n’est pas menacée cette saison et il en n’est pas de même pour les suivantes si une solution n’est pas trouvée.\n\n» Si cet argent n’arrive pas en quantité suffisante pour faire face à la saison prochaine, nous devrons gagner du temps, avoir une réflexion profonde sur ce que l’avenir peut réserver « , a déclaré Galindo. « Nous nous considérons comme une institution d’intérêt général, nous avons apporté une contribution historique à l’équipe nationale espagnole et au basket-ball dans ce pays, tout en défendant et en éduquant avec des valeurs de solidarité et toutes les nobles causes de la société. »\n\nPhoto: Phil Presse (Estudiantes, ACB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/phil-pressey.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-10T05:31:28.000Z", "updated_at":"2019-11-09T16:33:44.000Z", "published_at":"2019-11-10T05:31:28.000Z", "custom_excerpt":"Movistar Estudiantes Madrid est une institution dans le basket espagnol qui est réputée pour avoir des équipes de jeunes très prolifiques, le club étudiant ayant formé un nombre remarquable de joueurs et d’entraîneurs champions du monde, médaillés olympiques, ou en NBA. Il a aussi la particularité d", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d959e", "uuid":"7c1e24b7-6d26-4153-9fa4-da2769672bb8", "title":"[REDIFF] Guide Pro B – Saint-Quentin : Se battre pour espérer", "slug":"guide-pro-b-saint-quentin-se-battre-pour-esperer", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/coach.jpg\",\"width\":500,\"height\":416,\"caption\":\"Photo : SQBB – Grégory Portelette\"}],[\"html\",{\"html\":\"Les deux joueurs à suivre\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/philip.jpg\",\"width\":500,\"height\":451,\"caption\":\"Photo : SQBB – Grégory Portelette\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/bazille.jpg\",\"width\":500,\"height\":469,\"caption\":\"Photo : SQBB – Grégory Portelette\"}],[\"html\",{\"html\":\"Photo d’ouverture : SQBB – Grégory Portelette
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Cet immense stress a eu raison de Jérôme Navier : une fois l’accession en Pro B acquise, l’entraîneur a passé la main à son assistant, Thomas Giorguitti, charge à celui qui a épaulé plusieurs coachs du SQBB depuis 2011 de constituer un groupe capable de maintenir le club en Pro B lors de ce nouvel opus. Une tâche loin d’être évidente : la moitié de l’effectif de l’an dernier est parti, la principale perte étant celle de l’intérieur Ryan Rhoomes. Restent cependant au club des acteurs majeurs de la montée, tels que B.A. Walker, Jean-François Kebe, Benoît Gillet, Olivier Yao-Delon ou Lamine Kanté.
Pour les accompagner dans l’opération maintien qui va sans doute constituer la majeure partie de l’année, Thomas Giorguitti a recruté des joueurs d’expérience et d’autres qui ont encore tout à prouver. Dans la première catégorie figurent Lien Phillip, le Canado-Grenadien qui a cartonné en NM1 avec Tarbes-Lourdes, Drake Reed, ailier référencé de Pro B, et le Camerounais Alexis Wangmene, petit pivot arrivant de Belgique. Dans la seconde, on trouve principalement Thimothée Bazille, qui n’a guère pu s’exprimer avec les pros à Limoges mais a montré de belles choses en Espoirs. Yanik Blanc, lui, a été nommé Meilleur jeune de Pro B avec Poitiers, surtout faute de concurrence, sans lui faire injure (2,3 points et 0,4 passe). Il vient au SQBB chercher du temps de jeu et des responsabilités. Pour leur part, Léopold Ca (arrivant du centre de formation de Monaco) et Dylan Palcy, qui a surtout fréquenté l’équipe réserve du Havre, viennent principalement pour remplir le contingent de joueurs U23 obligatoires pour les clubs ne disposant pas de centre de formation.
En plus d’aligner un effectif n’offrant pas de grandes garanties à ce niveau de la compétition, le SQBB a dû faire face pendant la préparation à une avalanche de blessures, Jean-François Kebe (blessé en finale de playoffs) voyant successivement lui tenir compagnie à l’infirmerie Benoît Gillet, Yanik Blanc, Lamine Kanté puis B.A. Walker et Alexis Wangmene ! Ce dernier étant arrêté pour au moins quelques semaines, le club a fait appel à l’Ukrainien Vladyslav Koreniuk (2,10m, 25 ans) en tant que pigiste médical. Il arrive de Craiova, en Roumanie, mais a l’avantage d’avoir déjà joué quelques matchs avec Lien Phillip à Tarbes-Lourdes la saison précédente.
Avec cette préparation perturbée, Saint-Quentin n’a évidemment pas mis toutes les chances de son côté. Il faudra aux joueurs faire preuve d’engagement, de dureté, de combativité des deux côtés du terrain pour espérer se maintenir.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/coach.jpg\")
« En priorité, il nous faut développer nos valeurs de combat et de lutte. Et nous avons encore énormément de travail. L’objectif, c’est de décrocher le maintien le plus rapidement possible. » Thomas Giorguitti, entraîneur principalLes deux joueurs à suivre
:
Lien Phillip (2,03m, 29 ans)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/philip.jpg\")
Né sur l’île de Grenade, mais disposant également d’un passeport canadien, Lien Phillip arpente depuis maintenant près de cinq ans les parquets français, entre NM1 (Bordeaux en 2014-15, Tarbes-Lourdes et Vitré ces deux dernières saisons) et NM2 (Ardres et Prissé-Macon). Et, partout où il est passé, il a donné satisfaction, par son implication, sa dureté, son sens du rebond et son adresse. Ainsi, l’an dernier à Vitré, il tournait à 15,3 points (51,6 % aux tirs), 10,3 rebonds et 2,0 passes décisives. Ses performances en préparation (15,7 points à 48,0 % et 8,0 rebonds) laissent penser qu’il s’adaptera sans mal à la Pro B même si son premier match officiel, en Leaders Cup, a été moyen (10 points à 4/9, 5 rebonds, 11 d’évaluation) dans un match où Saint-Quentin a beaucoup souffert contre Denain (45-81). S’il confirme les attentes, il sera l’arme principale du SQBB à l’intérieur.
Thimothée Bazille (2,05m, 20 ans)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/bazille.jpg\")
Attendu avec de grandes espérances au CSP Limoges à sa sortie du Centre fédéral, le natif de Dié (au Burundi) a réussi deux bonnes saisons avec les Espoirs du club (13,6 points et 8,4 rebonds pour 13,2 d’évaluation lors du dernier exercice) sans pour autant parvenir à percer avec les professionnels : en deux ans, il n’est entré en jeu que 17 fois pour 0,5 point et 0,3 rebond – avec des chiffres plutôt en retrait la saison dernière sur la précédente. Talentueux mais manquant encore de dureté, le jeune pivot va pouvoir bénéficier de bien plus de temps de jeu au SQBB et en profiter pour s’affirmer. Ce qu’il a commencé à faire lors de la déroute contre Denain, produisant 9 points (4/6 aux tirs) et 2 rebonds pour 8 d’évaluation en 25 minutes. Avec du travail, il devrait trouver sa place à ce niveau de la compétition.
Arrivées : Timothée Bazille (Limoges, Jeep Élite, prêt), Yanik Blanc (Poitiers), Léopold Ca (Monaco, Jeep Élite), Lien Phillip (Vitré, NM1), Dylan Palcy (Le Havre, NM1), Drake Reed (Évreux), Alexis Wangmene (Liège, Belgique), Vladyslav Koreniuk (Craiova, Roumanie, pigiste médical).
Départs : Salim Jaiteh, Mohamed Queta (Toulouse, NM1), Desmond Quincy-Jones (Saint-Vallier, NM1), Jérôme Navier (entraîneur), Ryan Rhoomes, Cheick Soumaoro (Pont-de-Chéruy, NM1)
Effectif 2019-20 :
Meneurs : B.A. Walker (Américain), Jean François Kebe, Yanik Blanc
Extérieurs : Benoît Gillet, Dylan Palcy, Drake Reed (Américano-Malien, Cotonou), Lamine Kanté, Olivier Yao-Delon
Intérieurs : Lien Phillip (Canado-Grenadien, Cotonou), Leopold Ca, Alexis Wangmene (Camerounais, Cotonou), Thimotée Bazille, Vladyslav Koreniuk (Ukrainien, Bosman)
Le cinq majeur probable :
Walker – Gillet – Reed – Phillip – Wangmene
Entraîneur : Thomas Giorguitti Assistant : Antony Montant
x
[armelse]
Cet immense stress a eu raison de Jérôme Navier : une fois l’accession en Pro B acquise, l’entraîneur a passé la main à son assistant, Thomas Giorguitti, charge à celui qui a épaulé plusieurs coachs du SQBB depuis 2011 de constituer un groupe capable de maintenir le club en Pro B lors de ce nouvel opus. Une tâche loin d’être évidente : la moitié de l’effectif de l’an dernier est parti, la principale perte étant celle de l’intérieur Ryan Rhoomes. Restent cependant au club des acteurs majeurs de la montée, tels que B.A. Walker, Jean-François Kebe, Benoît Gillet, Olivier Yao-Delon ou Lamine Kanté.
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Photo d’ouverture : SQBB – Grégory Portelette
", "comment_id":"478810", "plaintext":"Les chauds supporters saint-quentinois doivent être en fête. Après la descente de leur Saint-Quentin Basket-Ball chéri en NM1 en 2017, celui-ci remonte enfin en Pro B. Ce qui n’a pas été sans mal. Après avoir échoué dans sa quête de remontée immédiate à la fin de l’exercice 2017-18 (élimination en demi-finales de playoffs), le SQBB a dû lutter jusqu’à la dernière seconde de la belle de la finale de playoffs face au Havre pour décrocher la Lune en juin dernier, au terme d’une saison marquée par des avanies financières ayant débouché sur de lourdes sanctions (amende, retrait de points sur les deux premières phases de poule). Autant dire que la montée a été accueillie dans l’Aisne avec un mélange de joie et de soulagement.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nCet immense stress a eu raison de Jérôme Navier : une fois l’accession en Pro B acquise, l’entraîneur a passé la main à son assistant, Thomas Giorguitti, charge à celui qui a épaulé plusieurs coachs du SQBB depuis 2011 de constituer un groupe capable de maintenir le club en Pro B lors de ce nouvel opus. Une tâche loin d’être évidente : la moitié de l’effectif de l’an dernier est parti, la principale perte étant celle de l’intérieur Ryan Rhoomes. Restent cependant au club des acteurs majeurs de la montée, tels que B.A. Walker, Jean-François Kebe, Benoît Gillet, Olivier Yao-Delon ou Lamine Kanté.\n\nPour les accompagner dans l’opération maintien qui va sans doute constituer la majeure partie de l’année, Thomas Giorguitti a recruté des joueurs d’expérience et d’autres qui ont encore tout à prouver. Dans la première catégorie figurent Lien Phillip, le Canado-Grenadien qui a cartonné en NM1 avec Tarbes-Lourdes, Drake Reed, ailier référencé de Pro B, et le Camerounais Alexis Wangmene, petit pivot arrivant de Belgique. Dans la seconde, on trouve principalement Thimothée Bazille, qui n’a guère pu s’exprimer avec les pros à Limoges mais a montré de belles choses en Espoirs. Yanik Blanc, lui, a été nommé Meilleur jeune de Pro B avec Poitiers, surtout faute de concurrence, sans lui faire injure (2,3 points et 0,4 passe). Il vient au SQBB chercher du temps de jeu et des responsabilités. Pour leur part, Léopold Ca (arrivant du centre de formation de Monaco) et Dylan Palcy, qui a surtout fréquenté l’équipe réserve du Havre, viennent principalement pour remplir le contingent de joueurs U23 obligatoires pour les clubs ne disposant pas de centre de formation.\n\nEn plus d’aligner un effectif n’offrant pas de grandes garanties à ce niveau de la compétition, le SQBB a dû faire face pendant la préparation à une avalanche de blessures, Jean-François Kebe (blessé en finale de playoffs) voyant successivement lui tenir compagnie à l’infirmerie Benoît Gillet, Yanik Blanc, Lamine Kanté puis B.A. Walker et Alexis Wangmene ! Ce dernier étant arrêté pour au moins quelques semaines, le club a fait appel à l’Ukrainien Vladyslav Koreniuk (2,10m, 25 ans) en tant que pigiste médical. Il arrive de Craiova, en Roumanie, mais a l’avantage d’avoir déjà joué quelques matchs avec Lien Phillip à Tarbes-Lourdes la saison précédente.\n\nAvec cette préparation perturbée, Saint-Quentin n’a évidemment pas mis toutes les chances de son côté. Il faudra aux joueurs faire preuve d’engagement, de dureté, de combativité des deux côtés du terrain pour espérer se maintenir.\n\n« En priorité, il nous faut développer nos valeurs de combat et de lutte. Et nous avons encore énormément de travail. L’objectif, c’est de décrocher le maintien le plus rapidement possible. » Thomas Giorguitti, entraîneur principal\n\nLes deux joueurs à suivre\n\n:\n\nLien Phillip (2,03m, 29 ans)\n\nNé sur l’île de Grenade, mais disposant également d’un passeport canadien, Lien Phillip arpente depuis maintenant près de cinq ans les parquets français, entre NM1 (Bordeaux en 2014-15, Tarbes-Lourdes et Vitré ces deux dernières saisons) et NM2 (Ardres et Prissé-Macon). Et, partout où il est passé, il a donné satisfaction, par son implication, sa dureté, son sens du rebond et son adresse. Ainsi, l’an dernier à Vitré, il tournait à 15,3 points (51,6 % aux tirs), 10,3 rebonds et 2,0 passes décisives. Ses performances en préparation (15,7 points à 48,0 % et 8,0 rebonds) laissent penser qu’il s’adaptera sans mal à la Pro B même si son premier match officiel, en Leaders Cup, a été moyen (10 points à 4/9, 5 rebonds, 11 d’évaluation) dans un match où Saint-Quentin a beaucoup souffert contre Denain (45-81). S’il confirme les attentes, il sera l’arme principale du SQBB à l’intérieur.\n\nThimothée Bazille (2,05m, 20 ans)\n\nAttendu avec de grandes espérances au CSP Limoges à sa sortie du Centre fédéral, le natif de Dié (au Burundi) a réussi deux bonnes saisons avec les Espoirs du club (13,6 points et 8,4 rebonds pour 13,2 d’évaluation lors du dernier exercice) sans pour autant parvenir à percer avec les professionnels : en deux ans, il n’est entré en jeu que 17 fois pour 0,5 point et 0,3 rebond – avec des chiffres plutôt en retrait la saison dernière sur la précédente. Talentueux mais manquant encore de dureté, le jeune pivot va pouvoir bénéficier de bien plus de temps de jeu au SQBB et en profiter pour s’affirmer. Ce qu’il a commencé à faire lors de la déroute contre Denain, produisant 9 points (4/6 aux tirs) et 2 rebonds pour 8 d’évaluation en 25 minutes. Avec du travail, il devrait trouver sa place à ce niveau de la compétition.\n\nArrivées : Timothée Bazille (Limoges, Jeep Élite, prêt), Yanik Blanc (Poitiers), Léopold Ca (Monaco, Jeep Élite), Lien Phillip (Vitré, NM1), Dylan Palcy (Le Havre, NM1), Drake Reed (Évreux), Alexis Wangmene (Liège, Belgique), Vladyslav Koreniuk (Craiova, Roumanie, pigiste médical).\n\nDéparts : Salim Jaiteh, Mohamed Queta (Toulouse, NM1), Desmond Quincy-Jones (Saint-Vallier, NM1), Jérôme Navier (entraîneur), Ryan Rhoomes, Cheick Soumaoro (Pont-de-Chéruy, NM1)\n\nEffectif 2019-20 :\n\nMeneurs : B.A. Walker (Américain), Jean François Kebe, Yanik Blanc\n\nExtérieurs : Benoît Gillet, Dylan Palcy, Drake Reed (Américano-Malien, Cotonou), Lamine Kanté, Olivier Yao-Delon\n\nIntérieurs : Lien Phillip (Canado-Grenadien, Cotonou), Leopold Ca, Alexis Wangmene (Camerounais, Cotonou), Thimotée Bazille, Vladyslav Koreniuk (Ukrainien, Bosman)\n\nLe cinq majeur probable :\n\nWalker – Gillet – Reed – Phillip – Wangmene\n\nEntraîneur : Thomas Giorguitti Assistant : Antony Montant\n\nx\n\n[armelse]\n\nCet immense stress a eu raison de Jérôme Navier : une fois l’accession en Pro B acquise, l’entraîneur a passé la main à son assistant, Thomas Giorguitti, charge à celui qui a épaulé plusieurs coachs du SQBB depuis 2011 de constituer un groupe capable de maintenir le club en Pro B lors de ce nouvel opus. Une tâche loin d’être évidente : la moitié de l’effectif de l’an dernier est parti, la principale perte étant celle de l’intérieur Ryan Rhoomes. Restent cependant au club des acteurs majeurs de la montée, tels que B.A. Walker, Jean-François Kebe, Benoît Gillet, Olivier Yao-Delon ou Lamine Kanté.\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : SQBB – Grégory Portelette", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/giorgitti.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-10T05:00:14.000Z", "updated_at":"2019-10-28T12:12:12.000Z", "published_at":"2019-11-10T05:00:14.000Z", "custom_excerpt":"Les chauds supporters saint-quentinois doivent être en fête. 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On a toujours continué de travailler, on a essayé de s’adapter à la situation. Je tiens à féliciter nos deux meneurs qui auraient pu comme certains joueurs parfois attendre encore quelques jours. Et tout spécialement Benoit (Mangin), qui aurait pu attendre encore un peu, et qui pour l’équipe, pour le club, il l’a fait. Depuis des jours et des matches, je disais que quand on serait à peu près au complet, on ferait un basket cohérent. Je suis désolé d’avoir eu raison. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Seul ombre au tableau, la sortie sur blessure spectaculaire de Cyrille Eliezer-Vanerot. 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Le pivot Frank Hessel, probablement piqué dans son orgueil après des critiques de son coach, Eric Girard, a refait un match de mammouth: 26 points et 9 rebonds pour 29 d’évaluation. Pour ce match, l’ESSM Le Portel a bénéficié du retour de Benoît Mangin et Jonathan Tabu et ce n’est pas non plus étranger à cette perf comme l’a fait remarquer le coach:
« Ce soir, c’est quasiment le premier match que l’on joue chez nous au complet avec nos deux meneurs, même s’il nous manque encore un étranger. On pourra toujours dire qu’ils étaient fatigués, qu’ils ne nous ont pas pris au sérieux, je m’en fiche. Moi ce que je vois-je tiens à remercier tous les membres de l’équipe, les joueurs, les staffs- c’est que jamais quelqu’un a baissé de pied. Personne. On a toujours continué de travailler, on a essayé de s’adapter à la situation. Je tiens à féliciter nos deux meneurs qui auraient pu comme certains joueurs parfois attendre encore quelques jours. Et tout spécialement Benoit (Mangin), qui aurait pu attendre encore un peu, et qui pour l’équipe, pour le club, il l’a fait. Depuis des jours et des matches, je disais que quand on serait à peu près au complet, on ferait un basket cohérent. Je suis désolé d’avoir eu raison. »
Seul ombre au tableau, la sortie sur blessure spectaculaire de Cyrille Eliezer-Vanerot. Sur les réseaux sociaux, le club a donné de ses nouvelles:
« Chers supporters, Le Doc vient de rendre visite à Cyrille.
C’est une plaie d’arcade, sans fracture sous jacente, qui explique tout ce sang sur le parquet et sur le mollet de D’Angelo.
Par contre, Cyrille récupère doucement de cette sévère commotion et en l’état actuel, impossible de se prononcer sur son indisponibilité qui peut prendre du temps.
Nous reviendrons vers vous dès que possible. »
Photo: Eric Girard (FIBA)
", "comment_id":"484169", "plaintext":"Il y a le prestige d’avoir mis fin à la série de 8 victoires initiales consécutives de Boulogne-Levallois, d’être David qui renverse Goliath. Avec les formes. 98-79 ! Il y a surtout le bonheur, le soulagement, d’avoir gagné un match et de ne plus figurer tout en bas du classement, même si c’est éventuellement temporaire.\n\nLe pivot Frank Hessel, probablement piqué dans son orgueil après des critiques de son coach, Eric Girard, a refait un match de mammouth: 26 points et 9 rebonds pour 29 d’évaluation. Pour ce match, l’ESSM Le Portel a bénéficié du retour de Benoît Mangin et Jonathan Tabu et ce n’est pas non plus étranger à cette perf comme l’a fait remarquer le coach:\n\n« Ce soir, c’est quasiment le premier match que l’on joue chez nous au complet avec nos deux meneurs, même s’il nous manque encore un étranger. On pourra toujours dire qu’ils étaient fatigués, qu’ils ne nous ont pas pris au sérieux, je m’en fiche. Moi ce que je vois-je tiens à remercier tous les membres de l’équipe, les joueurs, les staffs- c’est que jamais quelqu’un a baissé de pied. Personne. On a toujours continué de travailler, on a essayé de s’adapter à la situation. Je tiens à féliciter nos deux meneurs qui auraient pu comme certains joueurs parfois attendre encore quelques jours. Et tout spécialement Benoit (Mangin), qui aurait pu attendre encore un peu, et qui pour l’équipe, pour le club, il l’a fait. Depuis des jours et des matches, je disais que quand on serait à peu près au complet, on ferait un basket cohérent. Je suis désolé d’avoir eu raison. »\n\nSeul ombre au tableau, la sortie sur blessure spectaculaire de Cyrille Eliezer-Vanerot. Sur les réseaux sociaux, le club a donné de ses nouvelles:\n\n« Chers supporters, Le Doc vient de rendre visite à Cyrille.\nC’est une plaie d’arcade, sans fracture sous jacente, qui explique tout ce sang sur le parquet et sur le mollet de D’Angelo.\nPar contre, Cyrille récupère doucement de cette sévère commotion et en l’état actuel, impossible de se prononcer sur son indisponibilité qui peut prendre du temps.\nNous reviendrons vers vous dès que possible. »\n\nPhoto: Eric Girard (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/girard2-e1545381947560.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-09T13:21:55.000Z", "updated_at":"2019-11-09T14:36:30.000Z", "published_at":"2019-11-09T13:21:55.000Z", "custom_excerpt":"Il y a le prestige d’avoir mis fin à la série de 8 victoires initiales consécutives de Boulogne-Levallois, d’être David qui renverse Goliath. 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Rarement joueur n’a connu une entrée aussi fracassante dans l’élite. Le meneur du CCRB en est après 8 matches à 11,6 points (52,1% à deux-points, 53,8% à trois-points, 84,6% aux lancers), 4,9 rebonds, 8,8 passes (1e de Jeep Elite dans ce secteur) et 2,0 interceptions (et 3,1 balles perdues), en 30 minutes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Hier soir dans la victoire sur Boulazac (100-89), il a apporté 14 points, 12 passes et 6 rebonds en jouant 37 minutes. Et il défend ! Indispensable.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pas étonnant de le retrouver à la 5e place du championnat à l’évaluation (20,0). Il est le 2e Français seulement devancé par… son équipier Yannis Morin (14,0 points, 62,3% de réussite, 8,1 rebonds, 1,6 contre), qui lui possède une expérience plus affirmée de la division.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un début de saison de All-Star, assurément.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A lire ou relire son interview de début de saison \"],[0,[0],1,\"ICI\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: CCRB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Si l’on exclut 3 malheureux matches à Limoges, suite à une saison gâchée en raison d’une grave blessure au genou, il s’agit de l’année de rookie du meneur de Chalôns-Reims, Jean-Baptiste Maille (1,90m, 26 ans le 23 de ce mois) en Jeep Elite.
A son CV ne figurent que du championnat espoir (Le Mans), de la NM1 (Challans) et de la Pro B (Le Portel, Fos, Rouen). Rarement joueur n’a connu une entrée aussi fracassante dans l’élite. Le meneur du CCRB en est après 8 matches à 11,6 points (52,1% à deux-points, 53,8% à trois-points, 84,6% aux lancers), 4,9 rebonds, 8,8 passes (1e de Jeep Elite dans ce secteur) et 2,0 interceptions (et 3,1 balles perdues), en 30 minutes.
Hier soir dans la victoire sur Boulazac (100-89), il a apporté 14 points, 12 passes et 6 rebonds en jouant 37 minutes. Et il défend ! Indispensable.
Pas étonnant de le retrouver à la 5e place du championnat à l’évaluation (20,0). Il est le 2e Français seulement devancé par… son équipier Yannis Morin (14,0 points, 62,3% de réussite, 8,1 rebonds, 1,6 contre), qui lui possède une expérience plus affirmée de la division.
Un début de saison de All-Star, assurément.
A lire ou relire son interview de début de saison ICI.
Photo: CCRB
", "comment_id":"484148", "plaintext":"Si l’on exclut 3 malheureux matches à Limoges, suite à une saison gâchée en raison d’une grave blessure au genou, il s’agit de l’année de rookie du meneur de Chalôns-Reims, Jean-Baptiste Maille (1,90m, 26 ans le 23 de ce mois) en Jeep Elite.\n\nA son CV ne figurent que du championnat espoir (Le Mans), de la NM1 (Challans) et de la Pro B (Le Portel, Fos, Rouen). Rarement joueur n’a connu une entrée aussi fracassante dans l’élite. Le meneur du CCRB en est après 8 matches à 11,6 points (52,1% à deux-points, 53,8% à trois-points, 84,6% aux lancers), 4,9 rebonds, 8,8 passes (1e de Jeep Elite dans ce secteur) et 2,0 interceptions (et 3,1 balles perdues), en 30 minutes.\n\nHier soir dans la victoire sur Boulazac (100-89), il a apporté 14 points, 12 passes et 6 rebonds en jouant 37 minutes. Et il défend ! Indispensable.\n\nPas étonnant de le retrouver à la 5e place du championnat à l’évaluation (20,0). 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Motif ? Le président villeurbannais Tony Parker est célébré à San Antonio où il a porté 17 saisons le maillot des Spurs et gagné 4 titres de champion NBA. Le maire de San Antonio, Ron Nirenberg, a décrété que ce samedi sera le « Tony Parker Day » et lundi son maillot sera retiré et suspendu au plafond de l’AT&T Center. Or TP voulait que ses proches assistent à la cérémonie.
« Il y a quelques semaines, l’ancien capitaine des Bleus a directement appelé Pascal Donnadieu pour lui demander s’il était possible de décaler le match… », indique Le Parisien. « Demande acceptée par le coach nanterrien, qui officie auprès de Vincent Collet chez les Bleus. »
C’est ainsi qu’au lendemain de leur exploit en Euroleague face au CSKA Moscou, ils sont quelques uns dont Edwin Jackson à avoir pris ce matin un avion pour Washington puis pour San Antonio. Evidemment à leur retour, les Villeurbannais vont devoir mettre les bouchées doubles. Qu’on en juge:
Vendredi 15 novembre : Etoile Rouge Belgrade vs Villeurbanne
Dimanche 17 novembre: Bourg vs Villeurbanne
Mardi 19 novembre: Villeurbanne vs Efes Istanbul
Vendredi 22 novembre: Villeurbanne vs Fenerbahçe
Lundi 25 novembre: Villeurbanne vs Châlons-Reims
Jeudi 28 novembre: Maccabi Tel Aviv vs Villeurbanne
Dimanche 1er décembre: Villeurbanne vs Le Portel
Mercredi 4 décembre: Nanterre vs Villeurbanne
Vendredi 6 décembre: Saint-Petersbourg vs Villeurbanne
Dimanche 8 décembre: Boulogne-Levallois vs Villeurbanne
Photo: Tony Parker (LNB)
", "comment_id":"484126", "plaintext":"Prévu initialement ce week-end, le match de la 8e journée de Jeep Elite Nanterre-ASVEL a été reporté au mercredi 4 décembre. Motif ? Le président villeurbannais Tony Parker est célébré à San Antonio où il a porté 17 saisons le maillot des Spurs et gagné 4 titres de champion NBA. Le maire de San Antonio, Ron Nirenberg, a décrété que ce samedi sera le « Tony Parker Day » et lundi son maillot sera retiré et suspendu au plafond de l’AT&T Center. Or TP voulait que ses proches assistent à la cérémonie.\n\n« Il y a quelques semaines, l’ancien capitaine des Bleus a directement appelé Pascal Donnadieu pour lui demander s’il était possible de décaler le match… », indique Le Parisien. « Demande acceptée par le coach nanterrien, qui officie auprès de Vincent Collet chez les Bleus. »\n\nC’est ainsi qu’au lendemain de leur exploit en Euroleague face au CSKA Moscou, ils sont quelques uns dont Edwin Jackson à avoir pris ce matin un avion pour Washington puis pour San Antonio. Evidemment à leur retour, les Villeurbannais vont devoir mettre les bouchées doubles. Qu’on en juge:\n\nVendredi 15 novembre : Etoile Rouge Belgrade vs Villeurbanne\n\nDimanche 17 novembre: Bourg vs Villeurbanne\n\nMardi 19 novembre: Villeurbanne vs Efes Istanbul\n\nVendredi 22 novembre: Villeurbanne vs Fenerbahçe\n\nLundi 25 novembre: Villeurbanne vs Châlons-Reims\n\nJeudi 28 novembre: Maccabi Tel Aviv vs Villeurbanne\n\nDimanche 1er décembre: Villeurbanne vs Le Portel\n\nMercredi 4 décembre: Nanterre vs Villeurbanne\n\nVendredi 6 décembre: Saint-Petersbourg vs Villeurbanne\n\nDimanche 8 décembre: Boulogne-Levallois vs Villeurbanne\n\n\nDirection san antonio !!!!\n\n— edwin jackson (@edjacks) November 9, 2019\n\n\nPhoto: Tony Parker (LNB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/06/parker-5.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-09T08:50:17.000Z", "updated_at":"2019-11-09T08:50:10.000Z", "published_at":"2019-11-09T08:50:17.000Z", "custom_excerpt":"Prévu initialement ce week-end, le match de la 8e journée de Jeep Elite Nanterre-ASVEL a été reporté au mercredi 4 décembre. Motif ? Le président villeurbannais Tony Parker est célébré à San Antonio où il a porté 17 saisons le maillot des Spurs et gagné 4 titres de champion NBA. Le maire de San Anto", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d95a2", "uuid":"aa536a45-c014-4d21-9e77-fb08b0350568", "title":"Récap Euroleague : l’Asvel reste impériale à domicile", "slug":"recap-euroleague-lasvel-reste-imperiale-a-domicile", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/u7qL9MDfQ5Q?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/X6Lw7PnsYow?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/7cbEuwiI-CM?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/ESWT735kv5w?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/cubREfCg3EE?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/GqSQGXc87Lw?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/GameON?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/capture-d-e2-80-99e-cc-81cran-2019-11-08-a-cc-80-14.35.12.png\",\"width\":500,\"height\":348}],[\"html\",{\"html\":\"Crédits photo : Euroleague, ouverture Jordan Taylor
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Malgré de nombreuses absences, et notamment Antoine Diot, l’Asvel a réussi un nouvel exploit insensé à domicile en battant le tenant du titre moscovite (67-66), avec le tir de la gagne pour Jordan Taylor, le dernier meneur encore debout !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette 7e journée a également vu se dégager Barcelone et Milan au sommet du classement, toutes deux à 6 victoires en 7 matchs. Quatre équipes suivent à 5 victoires dont les deux escouades moscovites et l’Asvel, à 4 victoires et 3 défaites, reste encore aux portes du Top 8.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"L’Asvel fait chuter le tenant du titre !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sans Antoine Diot -et toujours Adreian Payne-, alors que Matthew Strazel s’est blessé en cours de match, l’Asvel a tenu bon face au CSKA Moscou, tenant du titre. Même à -4 à 1:30 de la fin du match, les hommes de Zvezdan Mitrovic n’ont pas craqué. Jordan Taylor (14 points, 7 passes) a pris « un tir trop tôt, mais il est rentré » sourira son coach. Le tir de la gagne pour un nouvel exploit à l’Astroballe, encore imprenable (67-66).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour ce 4e succès de rang à domicile, l’Asvel a monté les barbelés. Elle a fait front face à Mike James (14 points, 5 rebonds, 4 passes) et Johannes Voigtmann (10 points, 9 rebonds). Rihard Lomazs a été insensé d’efficacité à 15 points en 13 minutes, facteur X dans ce succès inespéré. Tonye Jekiri (8 points, 14 rebonds) a encore été plus que solide.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A 4 victoires et 3 défaites, l’Asvel figure aux portes du Top 8, mais la prochaine journée réserve un déplacement périlleux à Belgrade face à l’Etoile Rouge.\"]]],[10,0],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Milan confirme son embellie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après cinq années chez les Spurs, Ettore Messina voulait un autre défi. Et à Milan, la sauce semble prendre pour le grand maitre italien. Son équipe a engrangé son 6e succès en 7 matchs (1er à égalité avec Barcelone au classement provisoire) face à Vitoria (81-74).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Si Nik Stauskas (15 points) commence à retrouver des couleurs, que Tornike Shengelia (12 points, 9 rebonds) est toujours aussi solide et que Youss Fall (13 points) confirme son adaptation réussie, Vitoria est tombé sur un os. En dernier quart, Amedeo Della Valle (15 points) est sorti du chapeau avec des trois points assassins.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans le jeu collectif prôné par Messina, la balle circule à la mode Spurs : de main en main, d’un côté à l’autre. 5 joueurs terminent pour le coup en double figure au scoring, dont Michael Roll (12 points, 4 passes) et Sergio Rodriguez (13 points).\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Barcelone se fait plaisir à Kaunas\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ainsi que le soufflait Coach Jasikevicius après le match, les stars barcelonaises ont fort probablement apprécié la grosse ambiance de la Zalgirio Arena remplie jusqu’au bec dans un finish haletant. Nikola Mirotic (24 points) a encore assuré tandis que Cory Higgins (27 points) a tout simplement été exceptionnel offensivement à 9/10 aux tirs dont 5/5 à trois points !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme toujours, Kaunas a chèrement vendu sa peau à domicile, mais le talent de l’effectif catalan était trop fort ! Zach LeDay (16 points) et Marius Grigonis (14 points) ont dû s’avouer vaincus alors que Brandon Davies, ancien du Zalgiris, a été honoré avant le match (et plutôt discret pendant : 4 points, 6 rebonds, 4 passes).\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le Fener redresse la barre\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après 3 défaites de rang, et seulement 1 victoire en 6 matchs, Fenerbahçe faisait grise mine. La réception du Bayern Munich aura au moins permis de glaner un 2e succès cette saison, et ce, avec la manière (90-82). Le Fener a fait la différence en dernier quart, comme à son ancienne habitude…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nando De Colo (12 points, 4 passes) et Derrick Williams (19 points) ont été les principaux artisans de cette victoire mais le Fener a enfin pu compter sur une poignée de contributeurs avec 5 joueurs en double figure. Pour le Bayern, Greg Monroe finit à 19 points et 7 rebonds.\"]]],[10,3],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le MVP de la 7e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est malheureusement dans une nouvelle défaite de son club de Valence, mais on peut bel et bien dire que Jordan Loyd (27 points, 8 passes, 5 rebonds pour 41 d’évaluation) n’a pas ménagé ses efforts contre le Pana. L’ancien du 905 de Toronto a réalisé son meilleur match à tous les niveaux, terminant notamment à un excellent 8/10 aux tirs dont 3/3 derrière l’arc.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 17 points ce weekend en Liga face à Gran Canaria, Loyd commence à trouver ses marques dans la compétition reine, avec 14 points de moyenne et un scintillant 58% de réussite à 3 points. Gros bémol : Valence ne décolle pas à 1 victoire en 7 matchs…\"]]],[10,4],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le MVP français de la 7e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nando De Colo a égalé son plus petit score de la saison à 12 points, mais on imagine que le Français s’en satisfait bien volontiers sachant que le Fener a remporté sa 2e victoire de la saison.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Face au Bayern Munich, De Colo a joué les distributeurs avec 4 passes, record de la saison égalé. Le collectif du Fener commence à se mettre en place si l’on en croit les dires de Coach Obradovic :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« On a énormément travaillé pour avoir une meilleure attaque, un bon spacing et plus de mouvements de ballon. Ça n’a pas été bon tout au long du match, mais je crois que c’était nettement mieux que lors des matchs précédents. »\"]]],[10,5],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"La phrase de la 7e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pas peu fier de ses joueurs, Zvezdan Mitrovic a voulu récompenser leurs efforts. Une fois n’est pas coutume, ils pourront faire (un peu) la fête après leur exploit contre le CSKA !\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« D’habitude, je dis qu’on n’a pas le temps de célébrer quand c’est une victoire ou de se morfondre quand c’est une défaite… mais ce soir, on va prendre le temps de célébrer ! »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Les Français d’Euroleague\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Nando De Colo\"],[0,[],0,\" (Fenerbahce) : 12 points (4/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 contre pour 24 d’évaluation en 21 minutes (victoire 90-82 face au Bayern)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Youssoupha Fall\"],[0,[],0,\" (Vitoria) : 12 points (6/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue pour 14 d’évaluation en 25 minutes (défaite 81-74 face à Milan)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Rodrigue Beaubois\"],[0,[],0,\" (Efes Istanbul) : 10 points (4/8 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue pour 10 d’évaluation en 27 minutes (victoire 86-67 face à l’Olympiakos)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Fabien Causeur\"],[0,[],0,\" (Real Madrid) : 8 points (3/5 aux tirs), 3 passes, 3 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues pour 10 d’évaluation en 20 minutes (victoire 75-60 face à l’Etoile Rouge)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Louis Labeyrie\"],[0,[],0,\" (Valence) : 8 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds pour 11 d’évaluation en 13 minutes (victoire 81-72 face à Villeurbanne)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Edwin Jackson\"],[0,[],0,\" (ASVEL) : 8 points (2/6 aux tirs), 2 rebonds, 3 balles perdues en 19 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Livio Jean-Charles\"],[0,[],0,\" (ASVEL) : 8 points (3/9 aux tirs), 3 balles perdues en 21 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Andrew Albicy\"],[0,[],0,\" (Zenit St Pétersbourg) : 6 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 16 minutes (défaite 87-73 face au Khimki)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Joffrey Lauvergne\"],[0,[],0,\" (Fenerbahçe) : 4 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 9 minutes (victoire 90-82 face au Bayern)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Charles Kahudi\"],[0,[],0,\" (ASVEL) : 3 points (1/4 aux tirs), 7 rebonds, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Amine Noua\"],[0,[],0,\" (ASVEL) : 2 points (1/5 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Léo Westermann\"],[0,[],0,\" (Fenerbahçe) : n’a pas joué\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Antoine Diot\"],[0,[],0,\" (ASVEL) : n’a pas joué – blessé\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Mathias Lessort\"],[0,[],0,\" (Bayern Munich) : n’a pas joué – blessé\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Théo Maledon\"],[0,[],0,\" (ASVEL) : n’a pas joué – blessé\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Adrien Moerman \"],[0,[],0,\"(Efes Istanbul) : n’a pas joué – blessé\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"L’action de la soirée\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il n’a pas fallu aller la chercher loin, celle-là ! Mis sur le banc la semaine passée, par un gamin de 17 ans qui plus est, Jordan Taylor s’est vengé cette semaine de la meilleure des manières.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec 14 points et 7 passes, mais surtout ce tir à trois points pour repasser devant dans les ultimes secondes, Taylor s’est parfaitement rattrapé de quelques performances médiocres ces dernières semaines. Cela montre à la fois la force de ce collectif villeurbannais et aussi les bons choix réalisés par le management dans le recrutement…\"]]],[10,6],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le classement\"]]],[10,7],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Les résultats de la 7e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jeudi 7 novembre : \"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"Zenit St Pétersbourg – Khimki Moscou (73-87)\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Etoile Rouge – Real Madrid (60-75)\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"Olympiakos – Efes Istanbul (67-86)\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"Maccabi Tel Aviv – Alba Berlin (104-78)\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"Milan – Vitoria (81-74)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Vendredi 8 novembre : \"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"Fenerbahçe – Bayern Munich (90-82)\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"Zalgiris Kaunas – Barcelone (86-93)\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"Panathinaikos – Valence (91-80)\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"ASVEL – CSKA Moscou (67-66)\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le programme de la 8e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jeudi 14 novembre :\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"Khimki Moscou – Milan (18h)\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"Efes Istanbul – Zenit St Pétersbourg (18h30)\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"Panathinaikos – Alba Berlin (20h)\"],[1,[],0,12],[0,[],0,\"Real Madrid – Barcelone (21h)\"],[1,[],0,13],[0,[],0,\"Vitoria – Maccabi Tel Aviv (21h)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Vendredi 15 novembre :\"],[1,[],0,14],[0,[],0,\"CSKA Moscou – Fenerbahçe (18h)\"],[1,[],0,15],[0,[],0,\"Etoile Rouge – ASVEL (19h)\"],[1,[],0,16],[0,[],0,\"Olympiakos – Zalgiris Kaunas (20h30)\"],[1,[],0,17],[0,[],0,\"Valence – Bayern Munich (21h)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,2],2,\"Le récap de la 6e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,3],2,\"Le récap de la 5e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,4],2,\"Le récap de la 4e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[5,1],2,\"Le récap de la 3e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[6,1],2,\"Le récap de la 2e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[7,1],2,\"Le récap de la 1ère journée\"]]],[10,8],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"L’Asvel fait chuter le tenant du titre !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sans Antoine Diot -et toujours Adreian Payne-, alors que Matthew Strazel s’est blessé en cours de match, l’Asvel a tenu bon face au CSKA Moscou, tenant du titre. Même à -4 à 1:30 de la fin du match, les hommes de Zvezdan Mitrovic n’ont pas craqué. Jordan Taylor (14 points, 7 passes) a pris « un tir trop tôt, mais il est rentré » sourira son coach. Le tir de la gagne pour un nouvel exploit à l’Astroballe, encore imprenable (67-66).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Olympiakos, Panathinaikos, Vitoria et maintenant CSKA Moscou : la liste des victimes tombées à l’Astroballe commence à ressembler à un sacré tableau de chasse ! Malgré de nombreuses absences, et notamment Antoine Diot, l’Asvel a réussi un nouvel exploit insensé à domicile en battant le tenant du titre moscovite (67-66), avec le tir de la gagne pour Jordan Taylor, le dernier meneur encore debout !
Cette 7e journée a également vu se dégager Barcelone et Milan au sommet du classement, toutes deux à 6 victoires en 7 matchs. Quatre équipes suivent à 5 victoires dont les deux escouades moscovites et l’Asvel, à 4 victoires et 3 défaites, reste encore aux portes du Top 8.
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Sans Antoine Diot -et toujours Adreian Payne-, alors que Matthew Strazel s’est blessé en cours de match, l’Asvel a tenu bon face au CSKA Moscou, tenant du titre. Même à -4 à 1:30 de la fin du match, les hommes de Zvezdan Mitrovic n’ont pas craqué. Jordan Taylor (14 points, 7 passes) a pris « un tir trop tôt, mais il est rentré » sourira son coach. Le tir de la gagne pour un nouvel exploit à l’Astroballe, encore imprenable (67-66).
Pour ce 4e succès de rang à domicile, l’Asvel a monté les barbelés. Elle a fait front face à Mike James (14 points, 5 rebonds, 4 passes) et Johannes Voigtmann (10 points, 9 rebonds). Rihard Lomazs a été insensé d’efficacité à 15 points en 13 minutes, facteur X dans ce succès inespéré. Tonye Jekiri (8 points, 14 rebonds) a encore été plus que solide.
A 4 victoires et 3 défaites, l’Asvel figure aux portes du Top 8, mais la prochaine journée réserve un déplacement périlleux à Belgrade face à l’Etoile Rouge.
Après cinq années chez les Spurs, Ettore Messina voulait un autre défi. Et à Milan, la sauce semble prendre pour le grand maitre italien. Son équipe a engrangé son 6e succès en 7 matchs (1er à égalité avec Barcelone au classement provisoire) face à Vitoria (81-74).
Si Nik Stauskas (15 points) commence à retrouver des couleurs, que Tornike Shengelia (12 points, 9 rebonds) est toujours aussi solide et que Youss Fall (13 points) confirme son adaptation réussie, Vitoria est tombé sur un os. En dernier quart, Amedeo Della Valle (15 points) est sorti du chapeau avec des trois points assassins.
Dans le jeu collectif prôné par Messina, la balle circule à la mode Spurs : de main en main, d’un côté à l’autre. 5 joueurs terminent pour le coup en double figure au scoring, dont Michael Roll (12 points, 4 passes) et Sergio Rodriguez (13 points).
Ainsi que le soufflait Coach Jasikevicius après le match, les stars barcelonaises ont fort probablement apprécié la grosse ambiance de la Zalgirio Arena remplie jusqu’au bec dans un finish haletant. Nikola Mirotic (24 points) a encore assuré tandis que Cory Higgins (27 points) a tout simplement été exceptionnel offensivement à 9/10 aux tirs dont 5/5 à trois points !
Comme toujours, Kaunas a chèrement vendu sa peau à domicile, mais le talent de l’effectif catalan était trop fort ! Zach LeDay (16 points) et Marius Grigonis (14 points) ont dû s’avouer vaincus alors que Brandon Davies, ancien du Zalgiris, a été honoré avant le match (et plutôt discret pendant : 4 points, 6 rebonds, 4 passes).
Après 3 défaites de rang, et seulement 1 victoire en 6 matchs, Fenerbahçe faisait grise mine. La réception du Bayern Munich aura au moins permis de glaner un 2e succès cette saison, et ce, avec la manière (90-82). Le Fener a fait la différence en dernier quart, comme à son ancienne habitude…
Nando De Colo (12 points, 4 passes) et Derrick Williams (19 points) ont été les principaux artisans de cette victoire mais le Fener a enfin pu compter sur une poignée de contributeurs avec 5 joueurs en double figure. Pour le Bayern, Greg Monroe finit à 19 points et 7 rebonds.
C’est malheureusement dans une nouvelle défaite de son club de Valence, mais on peut bel et bien dire que Jordan Loyd (27 points, 8 passes, 5 rebonds pour 41 d’évaluation) n’a pas ménagé ses efforts contre le Pana. L’ancien du 905 de Toronto a réalisé son meilleur match à tous les niveaux, terminant notamment à un excellent 8/10 aux tirs dont 3/3 derrière l’arc.
Auteur de 17 points ce weekend en Liga face à Gran Canaria, Loyd commence à trouver ses marques dans la compétition reine, avec 14 points de moyenne et un scintillant 58% de réussite à 3 points. Gros bémol : Valence ne décolle pas à 1 victoire en 7 matchs…
Nando De Colo a égalé son plus petit score de la saison à 12 points, mais on imagine que le Français s’en satisfait bien volontiers sachant que le Fener a remporté sa 2e victoire de la saison.
Face au Bayern Munich, De Colo a joué les distributeurs avec 4 passes, record de la saison égalé. Le collectif du Fener commence à se mettre en place si l’on en croit les dires de Coach Obradovic :
« On a énormément travaillé pour avoir une meilleure attaque, un bon spacing et plus de mouvements de ballon. Ça n’a pas été bon tout au long du match, mais je crois que c’était nettement mieux que lors des matchs précédents. »
Pas peu fier de ses joueurs, Zvezdan Mitrovic a voulu récompenser leurs efforts. Une fois n’est pas coutume, ils pourront faire (un peu) la fête après leur exploit contre le CSKA !
« D’habitude, je dis qu’on n’a pas le temps de célébrer quand c’est une victoire ou de se morfondre quand c’est une défaite… mais ce soir, on va prendre le temps de célébrer ! »
Nando De Colo (Fenerbahce) : 12 points (4/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 contre pour 24 d’évaluation en 21 minutes (victoire 90-82 face au Bayern)
Youssoupha Fall (Vitoria) : 12 points (6/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue pour 14 d’évaluation en 25 minutes (défaite 81-74 face à Milan)
Rodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 10 points (4/8 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue pour 10 d’évaluation en 27 minutes (victoire 86-67 face à l’Olympiakos)
Fabien Causeur (Real Madrid) : 8 points (3/5 aux tirs), 3 passes, 3 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues pour 10 d’évaluation en 20 minutes (victoire 75-60 face à l’Etoile Rouge)
Louis Labeyrie (Valence) : 8 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds pour 11 d’évaluation en 13 minutes (victoire 81-72 face à Villeurbanne)
Edwin Jackson (ASVEL) : 8 points (2/6 aux tirs), 2 rebonds, 3 balles perdues en 19 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)
Livio Jean-Charles (ASVEL) : 8 points (3/9 aux tirs), 3 balles perdues en 21 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)
Andrew Albicy (Zenit St Pétersbourg) : 6 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 16 minutes (défaite 87-73 face au Khimki)
Joffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 9 minutes (victoire 90-82 face au Bayern)
Charles Kahudi (ASVEL) : 3 points (1/4 aux tirs), 7 rebonds, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)
Amine Noua (ASVEL) : 2 points (1/5 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)
Léo Westermann (Fenerbahçe) : n’a pas joué
Antoine Diot (ASVEL) : n’a pas joué – blessé
Mathias Lessort (Bayern Munich) : n’a pas joué – blessé
Théo Maledon (ASVEL) : n’a pas joué – blessé
Adrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué – blessé
Il n’a pas fallu aller la chercher loin, celle-là ! Mis sur le banc la semaine passée, par un gamin de 17 ans qui plus est, Jordan Taylor s’est vengé cette semaine de la meilleure des manières.
Avec 14 points et 7 passes, mais surtout ce tir à trois points pour repasser devant dans les ultimes secondes, Taylor s’est parfaitement rattrapé de quelques performances médiocres ces dernières semaines. Cela montre à la fois la force de ce collectif villeurbannais et aussi les bons choix réalisés par le management dans le recrutement…
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Jeudi 7 novembre :
Zenit St Pétersbourg – Khimki Moscou (73-87)
Etoile Rouge – Real Madrid (60-75)
Olympiakos – Efes Istanbul (67-86)
Maccabi Tel Aviv – Alba Berlin (104-78)
Milan – Vitoria (81-74)
Vendredi 8 novembre :
Fenerbahçe – Bayern Munich (90-82)
Zalgiris Kaunas – Barcelone (86-93)
Panathinaikos – Valence (91-80)
ASVEL – CSKA Moscou (67-66)
Jeudi 14 novembre :
Khimki Moscou – Milan (18h)
Efes Istanbul – Zenit St Pétersbourg (18h30)
Panathinaikos – Alba Berlin (20h)
Real Madrid – Barcelone (21h)
Vitoria – Maccabi Tel Aviv (21h)
Vendredi 15 novembre :
CSKA Moscou – Fenerbahçe (18h)
Etoile Rouge – ASVEL (19h)
Olympiakos – Zalgiris Kaunas (20h30)
Valence – Bayern Munich (21h)
Crédits photo : Euroleague, ouverture Jordan Taylor
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Sans Antoine Diot -et toujours Adreian Payne-, alors que Matthew Strazel s’est blessé en cours de match, l’Asvel a tenu bon face au CSKA Moscou, tenant du titre. Même à -4 à 1:30 de la fin du match, les hommes de Zvezdan Mitrovic n’ont pas craqué. Jordan Taylor (14 points, 7 passes) a pris « un tir trop tôt, mais il est rentré » sourira son coach. Le tir de la gagne pour un nouvel exploit à l’Astroballe, encore imprenable (67-66).
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", "comment_id":"483911", "plaintext":"Olympiakos, Panathinaikos, Vitoria et maintenant CSKA Moscou : la liste des victimes tombées à l’Astroballe commence à ressembler à un sacré tableau de chasse ! Malgré de nombreuses absences, et notamment Antoine Diot, l’Asvel a réussi un nouvel exploit insensé à domicile en battant le tenant du titre moscovite (67-66), avec le tir de la gagne pour Jordan Taylor, le dernier meneur encore debout !\n\nCette 7e journée a également vu se dégager Barcelone et Milan au sommet du classement, toutes deux à 6 victoires en 7 matchs. Quatre équipes suivent à 5 victoires dont les deux escouades moscovites et l’Asvel, à 4 victoires et 3 défaites, reste encore aux portes du Top 8.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nL’Asvel fait chuter le tenant du titre !\n\nSans Antoine Diot -et toujours Adreian Payne-, alors que Matthew Strazel s’est blessé en cours de match, l’Asvel a tenu bon face au CSKA Moscou, tenant du titre. Même à -4 à 1:30 de la fin du match, les hommes de Zvezdan Mitrovic n’ont pas craqué. Jordan Taylor (14 points, 7 passes) a pris « un tir trop tôt, mais il est rentré » sourira son coach. Le tir de la gagne pour un nouvel exploit à l’Astroballe, encore imprenable (67-66).\n\nPour ce 4e succès de rang à domicile, l’Asvel a monté les barbelés. Elle a fait front face à Mike James (14 points, 5 rebonds, 4 passes) et Johannes Voigtmann (10 points, 9 rebonds). Rihard Lomazs a été insensé d’efficacité à 15 points en 13 minutes, facteur X dans ce succès inespéré. Tonye Jekiri (8 points, 14 rebonds) a encore été plus que solide.\n\nA 4 victoires et 3 défaites, l’Asvel figure aux portes du Top 8, mais la prochaine journée réserve un déplacement périlleux à Belgrade face à l’Etoile Rouge.\n\n\nMilan confirme son embellie\n\nAprès cinq années chez les Spurs, Ettore Messina voulait un autre défi. Et à Milan, la sauce semble prendre pour le grand maitre italien. Son équipe a engrangé son 6e succès en 7 matchs (1er à égalité avec Barcelone au classement provisoire) face à Vitoria (81-74).\n\nSi Nik Stauskas (15 points) commence à retrouver des couleurs, que Tornike Shengelia (12 points, 9 rebonds) est toujours aussi solide et que Youss Fall (13 points) confirme son adaptation réussie, Vitoria est tombé sur un os. En dernier quart, Amedeo Della Valle (15 points) est sorti du chapeau avec des trois points assassins.\n\nDans le jeu collectif prôné par Messina, la balle circule à la mode Spurs : de main en main, d’un côté à l’autre. 5 joueurs terminent pour le coup en double figure au scoring, dont Michael Roll (12 points, 4 passes) et Sergio Rodriguez (13 points).\n\n\nBarcelone se fait plaisir à Kaunas\n\nAinsi que le soufflait Coach Jasikevicius après le match, les stars barcelonaises ont fort probablement apprécié la grosse ambiance de la Zalgirio Arena remplie jusqu’au bec dans un finish haletant. Nikola Mirotic (24 points) a encore assuré tandis que Cory Higgins (27 points) a tout simplement été exceptionnel offensivement à 9/10 aux tirs dont 5/5 à trois points !\n\nComme toujours, Kaunas a chèrement vendu sa peau à domicile, mais le talent de l’effectif catalan était trop fort ! Zach LeDay (16 points) et Marius Grigonis (14 points) ont dû s’avouer vaincus alors que Brandon Davies, ancien du Zalgiris, a été honoré avant le match (et plutôt discret pendant : 4 points, 6 rebonds, 4 passes).\n\n\nLe Fener redresse la barre\n\nAprès 3 défaites de rang, et seulement 1 victoire en 6 matchs, Fenerbahçe faisait grise mine. La réception du Bayern Munich aura au moins permis de glaner un 2e succès cette saison, et ce, avec la manière (90-82). Le Fener a fait la différence en dernier quart, comme à son ancienne habitude…\n\nNando De Colo (12 points, 4 passes) et Derrick Williams (19 points) ont été les principaux artisans de cette victoire mais le Fener a enfin pu compter sur une poignée de contributeurs avec 5 joueurs en double figure. Pour le Bayern, Greg Monroe finit à 19 points et 7 rebonds.\n\n\nLe MVP de la 7e journée\n\nC’est malheureusement dans une nouvelle défaite de son club de Valence, mais on peut bel et bien dire que Jordan Loyd (27 points, 8 passes, 5 rebonds pour 41 d’évaluation) n’a pas ménagé ses efforts contre le Pana. L’ancien du 905 de Toronto a réalisé son meilleur match à tous les niveaux, terminant notamment à un excellent 8/10 aux tirs dont 3/3 derrière l’arc.\n\nAuteur de 17 points ce weekend en Liga face à Gran Canaria, Loyd commence à trouver ses marques dans la compétition reine, avec 14 points de moyenne et un scintillant 58% de réussite à 3 points. Gros bémol : Valence ne décolle pas à 1 victoire en 7 matchs…\n\n\nLe MVP français de la 7e journée\n\nNando De Colo a égalé son plus petit score de la saison à 12 points, mais on imagine que le Français s’en satisfait bien volontiers sachant que le Fener a remporté sa 2e victoire de la saison.\n\nFace au Bayern Munich, De Colo a joué les distributeurs avec 4 passes, record de la saison égalé. Le collectif du Fener commence à se mettre en place si l’on en croit les dires de Coach Obradovic :\n\n« On a énormément travaillé pour avoir une meilleure attaque, un bon spacing et plus de mouvements de ballon. Ça n’a pas été bon tout au long du match, mais je crois que c’était nettement mieux que lors des matchs précédents. »\n\n\nLa phrase de la 7e journée\n\nPas peu fier de ses joueurs, Zvezdan Mitrovic a voulu récompenser leurs efforts. Une fois n’est pas coutume, ils pourront faire (un peu) la fête après leur exploit contre le CSKA !\n\n« D’habitude, je dis qu’on n’a pas le temps de célébrer quand c’est une victoire ou de se morfondre quand c’est une défaite… mais ce soir, on va prendre le temps de célébrer ! »\n\n\nLes Français d’Euroleague\n\nNando De Colo (Fenerbahce) : 12 points (4/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 contre pour 24 d’évaluation en 21 minutes (victoire 90-82 face au Bayern)\n\nYoussoupha Fall (Vitoria) : 12 points (6/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue pour 14 d’évaluation en 25 minutes (défaite 81-74 face à Milan)\n\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 10 points (4/8 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue pour 10 d’évaluation en 27 minutes (victoire 86-67 face à l’Olympiakos)\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : 8 points (3/5 aux tirs), 3 passes, 3 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues pour 10 d’évaluation en 20 minutes (victoire 75-60 face à l’Etoile Rouge)\n\nLouis Labeyrie (Valence) : 8 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds pour 11 d’évaluation en 13 minutes (victoire 81-72 face à Villeurbanne)\n\nEdwin Jackson (ASVEL) : 8 points (2/6 aux tirs), 2 rebonds, 3 balles perdues en 19 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)\n\nLivio Jean-Charles (ASVEL) : 8 points (3/9 aux tirs), 3 balles perdues en 21 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)\n\nAndrew Albicy (Zenit St Pétersbourg) : 6 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 16 minutes (défaite 87-73 face au Khimki)\n\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 9 minutes (victoire 90-82 face au Bayern)\n\nCharles Kahudi (ASVEL) : 3 points (1/4 aux tirs), 7 rebonds, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)\n\nAmine Noua (ASVEL) : 2 points (1/5 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 67-66 face au CSKA)\n\nLéo Westermann (Fenerbahçe) : n’a pas joué\n\nAntoine Diot (ASVEL) : n’a pas joué – blessé\n\nMathias Lessort (Bayern Munich) : n’a pas joué – blessé\n\nThéo Maledon (ASVEL) : n’a pas joué – blessé\n\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué – blessé\n\n\nL’action de la soirée\n\nIl n’a pas fallu aller la chercher loin, celle-là ! Mis sur le banc la semaine passée, par un gamin de 17 ans qui plus est, Jordan Taylor s’est vengé cette semaine de la meilleure des manières.\n\nAvec 14 points et 7 passes, mais surtout ce tir à trois points pour repasser devant dans les ultimes secondes, Taylor s’est parfaitement rattrapé de quelques performances médiocres ces dernières semaines. Cela montre à la fois la force de ce collectif villeurbannais et aussi les bons choix réalisés par le management dans le recrutement…\n\n\nPractice makes perfect…#GameON pic.twitter.com/zSGOGDkuie\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 8, 2019\n\n\n\nLe classement\n\n\nLes résultats de la 7e journée\n\nJeudi 7 novembre :\nZenit St Pétersbourg – Khimki Moscou (73-87)\nEtoile Rouge – Real Madrid (60-75)\nOlympiakos – Efes Istanbul (67-86)\nMaccabi Tel Aviv – Alba Berlin (104-78)\nMilan – Vitoria (81-74)\n\nVendredi 8 novembre :\nFenerbahçe – Bayern Munich (90-82)\nZalgiris Kaunas – Barcelone (86-93)\nPanathinaikos – Valence (91-80)\nASVEL – CSKA Moscou (67-66)\n\n\nLe programme de la 8e journée\n\nJeudi 14 novembre :\nKhimki Moscou – Milan (18h)\nEfes Istanbul – Zenit St Pétersbourg (18h30)\nPanathinaikos – Alba Berlin (20h)\nReal Madrid – Barcelone (21h)\nVitoria – Maccabi Tel Aviv (21h)\n\nVendredi 15 novembre :\nCSKA Moscou – Fenerbahçe (18h)\nEtoile Rouge – ASVEL (19h)\nOlympiakos – Zalgiris Kaunas (20h30)\nValence – Bayern Munich (21h)\n\nLe récap de la 6e journée\n\nLe récap de la 5e journée\n\nLe récap de la 4e journée\n\nLe récap de la 3e journée\n\nLe récap de la 2e journée\n\nLe récap de la 1ère journée\n\nCrédits photo : Euroleague, ouverture Jordan Taylor\n\nx\n\n[armelse]\n\n\nL’Asvel fait chuter le tenant du titre !\n\nSans Antoine Diot -et toujours Adreian Payne-, alors que Matthew Strazel s’est blessé en cours de match, l’Asvel a tenu bon face au CSKA Moscou, tenant du titre. Même à -4 à 1:30 de la fin du match, les hommes de Zvezdan Mitrovic n’ont pas craqué. Jordan Taylor (14 points, 7 passes) a pris « un tir trop tôt, mais il est rentré » sourira son coach. Le tir de la gagne pour un nouvel exploit à l’Astroballe, encore imprenable (67-66).\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/jordan-taylot.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-09T08:49:21.000Z", "updated_at":"2019-11-09T08:49:27.000Z", "published_at":"2019-11-09T08:49:21.000Z", "custom_excerpt":"Olympiakos, Panathinaikos, Vitoria et maintenant CSKA Moscou : la liste des victimes tombées à l’Astroballe commence à ressembler à un sacré tableau de chasse ! 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A l’image de leur meneur américain Jordan Taylor qui a sorti SON match (14 points, 7 passes, 18 d’évaluation et le panier à trois-points de la gagne alors que Mike James juste après a raté le sien), joueurs et coach étaient sous le choc au moment de s’exprimer sur leur ressenti:
Zvezdn Mitrovic: « Comme le dit mon ami, » c’est pas possible » (en français dans le texte). C’est formidable, incroyable. Je suis très heureux, surtout pour mes joueurs. Ils font tout ce qu’ils peuvent et donnent 100% d’efforts, de puissance, tout ça, dans chaque match. Je félicite vraiment tous mes amis… mes gars: des amis ! Il est difficile d’expliquer comment nous avons gagné le match. Non, vraiment: coeur, effort, solidarité. Trois choses. Nous avons joué sans Antoine (Diot) et (Theo) Maledon, puis Matthew (Strazel) a été blessé – je voulais le faire jouer davantage pour faire tourner Jordan (Taylor) mais à la fin, mes gars ont compris la situation et à la fin, Rihards (Lomasz ) a marqué quelques points importants. Non seulement il a marqué, mais tout d’abord, nous avons joué une défense très importante, limitant le CSKA à 66 points. Je pense que c’est un excellent travail, les forcer à se contenter de 20% à trois-points (5/23), nous avons jouer une défense agressive, contrôlé les rebonds (36-36) et c’est la clé – lorsque nous sommes à égalité avec le CSKA, c’est un facteur important pour gagner le match. «
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Charles Kahudi: « Ce fut un match vraiment difficile et nous avons joué de la bonne façon, le seul moyen d’espérer que quelque chose se produise contre le champion d’Europe. Tonye (Jekiri) a fait le travail à l’intérieur et tout le monde a donné le maximum. Ce soir, je pense que nous allons célébrer ! »
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Amine Noua: «C’est un peu inexplicable… nous avons résisté, après un scénario fou. Nous devons profiter de ce genre de moments, ce n’est pas tous les jours que vous battez le champion d’Europe. ”
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Jordan Taylor: « Fou! C’est fou! Je n’ai pas vraiment de mots, mec! C’est une belle victoire d’équipe. Nous étions avec un retard de 4 points avec une minute et demie à jouer et nous avons continué à nous battre. Je pense que cela en dit long sur notre équipe. Nous avons du caractère et le staff des entraîneurs reste avec nous, continue de nous pousser et tout le monde dans l’équipe a apporté sa contribution jusqu’à maintenant. C’est un match pour lequel j’ai beaucoup travaillé avec TJ ( Parker) et Jo (Joseph Gomis). «
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Richards Lomazs: « Je pense qu’il n’y a pas de mots pour expliquer ce match C’est juste … wow, un grand WOW! Pour moi, c’est un grand moment. Pour ma famille, c’est un grand moment. Je n’aurais jamais imaginé la saison dernière que je jouerai contre le CSKA Moscou, champion en titre de l’EuroLeague. C’est incroyable et nous avons gagné le match. Je suis bouche bée! Nous avons laissé notre cœur sur le terrain et je pense que tout le monde l’a vu. Chaque joueur qui est rentré sur le terrain a donné 110% – et contre ce type d’équipe, il n’ya pas d’autre moyen de gagner. Nous avons fait un excellent travail. «
Photo d’ouverture : Les U16 français de 2004 (crédit : FIBA Europe)
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Dans cette première salve, les éditions 2001 à 2004. Les suivantes dans les jours à venir avant des études similaires sur les U18 et les U20.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessures, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Tout d’abord, les joueurs des éditions 2001 à 2004.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"2001\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Yougoslavie, 2\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Russie, 3\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Espagne (France 5\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],1,\")\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Veljko Tomovic (MVP, Yougoslavie, 1985, 1,92m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 15,9 points, 7,6 rebonds et 4,1 passes pendant cet Euro U16 dont il a fini MVP, Velkjo Tomovic n’a pas réussi à s’imposer au plus haut niveau. Il est passé par plusieurs clubs serbes (dont le Mega Bemax) avant de faire sa dernière apparition en Bosnie, au Sloboda Tuzla, en 2008. Le tout sans jamais dépasser les 5 points de moyenne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Luka Bogdanovic (Yougoslavie, 1985, 2,04m, arrière-ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Passé par l’Étoile Rouge puis le Partizan Belgrade avant de faire carrière à l’étranger (dont une année au Mans et un passage à Roanne), l’ailier a fréquenté l’Eurocup et l’Euroleague (avec le Partizan, Le Mans, la Joventud Badalone). Un joueur solide, apportant régulièrement ses 10-12 points mais qui n’a plus été vu sous le maillot yougoslave ou serbe depuis les U20. Retraité depuis 2017.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Andrey Komarovskiy (Russie, 1,96m, arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Meilleur marqueur de l’équipe vice-championne d’Europe U16, l’arrière a par la suite toujours joué dans son pays pour des clubs comme le Zenit St-Petersbourg ou l’Enisey Krasnoyark, sans faire d’étincelles (entre 3 et 10 points de moyenne). Il avait pourtant joué pour les U18 et U20 russes avec une certaine réussite : champion U20 en 2005, 13,6 points avec les U20 en 2004. A cessé de jouer au plus haut niveau professionnel à la fin de la saison 2015-16.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Rudy Fernandez (Espagne, 1985, 1,95m, arrière-ailier)\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Est-il vraiment besoin de présenter « Rudy la mèche » ? Auteur de 16,0 points, 2,6 rebonds et 1,7 passe lors de l’Euro U16 2001, le « meilleur ennemi » de l’équipe de France a depuis lors tout gagné, que ce soit en club (avec la Joventud Badalone puis, surtout, le Real Madrid) ou en équipe nationale. Il valait encore 7,8 points lors de la dernière Coupe du monde, où il a décroché l’or. Une star, une vraie, qu’on l’aime ou non.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Linas Kleiza (Lituanie, 1985, 2,03m, ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Meilleur marqueur de cet Euro U16 avec ses 21,5 points, assortis de 12,3 rebonds et de 1,4 passe, le natif de Kaunas a connu une carrière prestigieuse. Meilleur marqueur de la Coupe du monde U19 en 2003 (29,1 points), il a ensuite alterné entre NBA (Denver, Toronto) et Euroleague (Olympiacos, Fener, Milan) avec un certain bonheur : 8,7 points de moyenne en 409 matchs NBA, 11,4 points en 70 matchs d’Euroleague (dont 17,1 points avec l’Oly, au temps de sa splendeur). Diminué par de fréquentes blessures, il a pris sa retraite à l’issue de la saison 2014-15.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les Français\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Pape-Philippe Amagou (1985, 1,85m, meneur-arrière)\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Notamment passé par Le Mans et Roanne, Pape a été international et l’une des figures du championnat de France. À la retraite depuis 2018.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Sylvain Rosnet (1985, 1,92m, arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Deuxième marqueur à l’Euro U16 (9,6 points), il a ensuite fait carrière entre Pro B et NM1, la plupart du temps pour Poitiers. Ses dernières apparitions en pro remontent à 2009.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Maxime Siegel (1985, 1,93m, arrière-ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"S’il a continué à jouer au basket après sa sortie du Centre Fédéral, l’Alsacien est resté près de chez lui, au WOSB de Saverne, en NM2, tout en devenant chirurgien-dentiste.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Gary Phaeton (1985, 1,76m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 7,3 points, 3,4 rebonds, 2,6 passes lors de l’Euro. A fait partie du centre de formation de Nancy, rentrant quelquefois en jeu en Pro A (et même en coupe Korac) avant une saison en Pro B à Aix-Maurienne puis un passage à Iserlohn (deuxième division allemande) et à Sarria (4\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" division espagnole). A disparu des radars depuis 2006.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Yannick Bokolo (1985, 1,88m, meneur-arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme son compère des jeunes années Pape Amagou, une figure de l’élite française. En 15 saisons professionnelles, n’a connu que trois clubs : Le Mans, Gravelines-Dunkerque et Pau-Lacq-Orthez. 92 sélections en équipe de France.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"2003\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Yougoslavie, 2\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Turquie, 3\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Russie (France 5\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],1,\")\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Nemanja Aleksandrov (MVP, Yougoslavie, 1987, 2,09m, ailier-fort)\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 20,3 points, 8,4 rebonds et 1,3 passe et MVP de l’Euro U16 2003. Par la suite, a évolué à bon niveau en Europe mais sans jamais atteindre de sommets. Sa meilleure saison statistique : 16,7 points avec Verviers-Pepinster en Belgique. Joue aujourd’hui en Hongrie, au Jaszberenyi.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Dragan Labovic (Yougoslavie, 1987, 2,07m, ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Enregistre 18,0 points, 5,6 rebonds et 1,0 passe à l’Euro U16. Il est ensuite MVP de l’Euro U18 2005 puis champion d’Europe U20 en 2006 et 2007. Top-scoreur de la ligue Adriatique en 2008-09 avec le FMP Belgrade (18,0 points). A ensuite artillé un peu partout en Europe : Allemagne, Grèce, Russie, Pologne, Turquie, Macédoine, Roumanie, Finlande (plus un passage au Liban). Le tout sans jamais intégrer l’équipe nationale serbe. Actuellement au BC Nokia, en Finlande.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Milenko Tepic (Yougoslavie, 1987, 2,00m, arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"13,8 points, 6,3 rebonds et 2,1 passes à l’Euro U16. Multi-médaillé en catégories de jeunes avec la Yougoslavie puis la Serbie. International serbe. Remporte l’Euroleague en 2011 avec le Panathinaïkos. Passé ensuite par Séville, Vilnius, le Partizan, le PAOK et l’Italie, où il joue aujourd’hui pour Varèse. N’a plus dépassé les 9 points de moyenne depuis ses jeunes années au Partizan.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Cenk Akyol (Turquie, 1987, 1,98m, arrière-ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"15,0 points, 4,8 rebonds, 3,0 passes à l’Euro U16. À l’exception de la saison 2009-10 à Avellino, a effectué toute sa carrière en Turquie, à l’Efes Pilsen et à Galatasaray principalement. De retour cette année en première division, au Sigortam.net ITU, après plusieurs saisons au deuxième échelon turc. International turc.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Vasily Zavoruev (Russie, 1987, 1,98m, arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A réalisé 19,6 points, 7,6 rebonds et 1,8 passe à l’Euro U16. A joué au CSKA Moscou puis dans divers clubs ukrainien, chypriote et russes sans jamais se hisser au niveau des meilleurs. Sa meilleure saison, à Krasny, en 2015-16 : 11,3 points. Retiré depuis la fin de la saison passée.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les Français\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Aldo Curti (1987, 1,80m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 14,8 points, 4,8 rebonds, 1,1 passe à l’Euro U16. À sa sortie du Centre Fédéral, a joué en Pro A pour Le Havre puis Orléans, Limoges (en Pro B), Gravelines-Dunkerque et Dijon avant de rejoindre la Pro B à Orchies puis de partir en NM2 à Sainte-Marie Metz avant une saison en NM1 à Souffelweiersheim. Cette année à Tours, en NM1. Un bon meneur, international camerounais en senior.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Aurélien Salmon (1987, 2,02m, ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A enregistré 14,3 points, 3,1 rebonds et 0,3 passe lors de cet Euro U16. A ensuite alterné entre Pro A (Nancy, Limoges, Boulazac) et Pro B (Limoges, Quimper, HTV, Boulazac, Caen), le plus souvent dans un rôle de complément. Toujours à Caen, en NM1.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Marc-Antoine Pellin (1987, 1,70m, meneur)\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 9,4 points, 3,3 rebonds, 2,4 passes. Champion de France 2007 avec Roanne, club où il a passé 6 saisons. A ensuite rejoint Le Mans puis Orléans avant de descendre en Pro B jouer pour Bourg-en-Bresse et Boulazac. Depuis deux ans en NM2. International à 8 reprises, il a souvent été freiné par les blessures.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Maxime Métin (1987, 1,96m, ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A réalisé 8,1 points, 3,4 rebonds et 0,1 passe. N’a visiblement pas continué à l’échelon professionnel. Il a passé ces dernières années entre prénationale et NM2 dans des clubs du Sud-Est, notamment à Cagnes-sur-Mer, où il est actuellement coach.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Yunss Akinocho (1987, 1,98m, ailier/ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"7,6 points, 5,8 rebonds, 0,4 passe. Ancien grand espoir du basket français, il n’a jamais réussi à percer. Formé à Cholet puis passé par Brest (alors en Pro A), il a ensuite principalement fréquenté les divisions nationales, avec un intermède peu convaincant à Charleville-Mézières en Pro B en 2010-11. International marocain en 2009.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"2004\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – France, 2\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Russie, 3\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],1,\" – Turquie\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Vitaly Kuznetsov (MVP, Russie, 1988, 1,95m, ailier)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec ses 18,1 points, 4,0 rebonds et 2,0 passes, il est désigné MVP du tournoi malgré la défaite de la Russie en finale contre la France. Il participe les deux années suivantes à l’Euro U18 (0 point en 2005, 9,9 en 2006). Mais il ne perce pas, jouant en Superleague russe jusqu’en 2011-12 pour un rendement moyen (4,7 points cette année-là) avant de devenir coach des U16 du Khimik en 2013-14. Sa trace s’est perdue depuis.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Dmitriy Khvostov (Russie, 1989, 1,90m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"10,1 points, 4,4 rebonds, 4,0 passes pour le joueur alors âgé de 15 ans lors de cet Euro U16. Meilleur jeune joueur de Russie en 2009, il a joué pour le Dynamo Moscou, le Khimki, Nizhny Novgorod, Kuban et, actuellement, le Zenit Saint-Petersbourg, où il vaut encore 2,8 points et 1,5 passe en Euroleague. International russe, il est médaillé de bronze aux JO de 2012 et à l’Euro 2011. Plus un joueur de complément (une seule fois plus de 10 points de moyenne sur une saison) qu’une tête d’affiche.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Ludovic Vaty (France, 1988, 2,06m, pivot)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 10,6 points, 11,5 rebonds et 0,6 passe, il est l’un des artisans majeurs du succès de la France à cet Euro U16. On le sait, le joueur qui avait percé au plus haut niveau, devenant même international senior, a été obligé d’arrêter le sport professionnel en 2013 suite à des problèmes cardiaques. En 2014, il reprend en douceur en NM2 avec l’Élan Pau Nord-Est avant de jouer en NM1 à Tarbes-Lourdes puis à Bordeaux. Depuis cette saison, il évolue en NM3 à Monségur (Landes) dans l’optique d’un projet de reconversion professionnelle.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Vladimir Dasic (Serbie & Monténégro, 1988, 2,08m, ailier-fort)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le leader serbe inscrit 17,4 points, 12,6 rebonds et 1,8 passe pour la Serbie & Monténégro, qui termine toutefois 9\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" de la compétition. Malgré quelques belles saisons avec Rome, Buducnost ou Ljubljana, l’international monténégrin n’a jamais vraiment percé au plus haut niveau européen, n’arrivant pas à faire sa place dans de grosses écuries comme le Besiktas, Gran Canaria ou, à plus forte raison, le Real Madrid.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Danilo Gallinari (Italie, 1988, 2,08m, ailier/ailier-fort)\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il produit 18,6 points, 5,6 rebonds et 0,6 passe, de quoi figurer dans le cinq majeur de cet Euro alors que l’Italie finit 6\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\". Après s’être formé à Milan, il est drafté par les Knicks en 6\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" position en 2008. Depuis, hormis un intermède pendant le lock out à Milan, il a toujours joué outre-Atlantique, pour les Knicks, les Nuggets, les Clippers ou, cette année, OKC. Souvent gêné par les blessures (saison blanche en 2013-14, notamment), il vaut quand même 15,9 points en 556 matchs de NBA et 17,7 points cette saison. Également international italien, lorsque sa santé le laissse tranquille.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les Français\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Adrien Moerman (1988, 2,02m, ailier-fort)\"]]],[10,5],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sur le tournoi, il enregistre 14,1 points, 9,9 rebonds et 0,4 passse. Meilleur joueur français de Pro B en 2008 avec Nanterre. Il explose ensuite avec Limoges entre 2013 et 2015 avant de partir en Turquie (Banvit, Darussafaka) puis à Barcelone et de nouveau en Turquie à l’Anadolu Efes, qu’il mène en finale de l’Euroleague la saison dernière. Blessé, il n’a pas encore démarré la saison 2019-20. International à 9 reprises.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Abdoulaye Mbaye (1988, 1,89m, arrière)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 11,9 points, 3,7 rebonds et 1,6 passe sur le tournoi. Une carrière qui n’a pas pris la tournure que l’on pouvait espérer après sa saison 2008-09 qui le vit terminer meilleur marqueur français de Pro A avec Dijon (14,9 points). La faute notamment à des blessures. Depuis, ses stats sont en décroissance et il joue actuellement à Poitiers, en Pro B (8,5 points).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Nicolas Batum (1988, 2,03m, ailier)\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il réalise 8,0 points, 4,1 rebonds et 2,1 passes sur cet Euro U16. Après sa formation au Mans (champion de France en 2006, 12,3 points de moyenne), il est drafté en 25\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" place par les Houston Rockets en 2008. Il joue depuis lors en NBA, d’abord pour les Blazers de Portland puis pour les Charlotte Hornets. Auteur de 11,8 points en 768 matchs de NBA, a signé en 2016 un contrat de 120 millions de dollars sur cinq ans avec les Hornets. Capitaine de l’équipe de France, médaillé d’or à l’Euro 2013, de bronze aux Coupes du monde 2014 et 2019.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Antoine Diot (1989, 1,90m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un tournoi à 7,4 points, 2,9 rebonds, 1,5 passe. Devenu ensuite un très bon joueur d’Euroleague malgré de graves blessures qui lui ont fait manquer un an et demi de jeu entre 2017 et 2019. Formé à Bourg-en-Bresse puis au Mans, il joue ensuite à Paris-Levallois puis à Strasbourg avant de partir à Valence, où il devient champion d’Espagne en 2017. Depuis la rentrée, revenu en forme, il mène le jeu de LDLC Asvel.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Tout d’abord, les joueurs des éditions 2001 à 2004.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"2001\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Podium : 1\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Yougoslavie, 2\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Russie, 3\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],0,\" – Espagne (France 5\"],[0,[3],1,\"e\"],[0,[],1,\")\"]]],[1,\"p\",[[0,[1,0],2,\"Veljko Tomovic (MVP, Yougoslavie, 1985, 1,92m, meneur)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 15,9 points, 7,6 rebonds et 4,1 passes pendant cet Euro U16 dont il a fini MVP, Velkjo Tomovic n’a pas réussi à s’imposer au plus haut niveau. Il est passé par plusieurs clubs serbes (dont le Mega Bemax) avant de faire sa dernière apparition en Bosnie, au Sloboda Tuzla, en 2008. Le tout sans jamais dépasser les 5 points de moyenne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[10,7]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Dans cette première partie (les autres suivront dans les jours à venir), nous nous intéresserons aux Euros U16, réservés aux moins de 16 ans. Après une analyse par pays (voir ICI), nous examinons aujourd’hui les meilleurs joueurs de ces Euros U16. Dans cette première salve, les éditions 2001 à 2004. Les suivantes dans les jours à venir avant des études similaires sur les U18 et les U20.
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Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessures, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).
Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Tout d’abord, les joueurs des éditions 2001 à 2004.
Podium : 1e – Yougoslavie, 2e – Russie, 3e – Espagne (France 5e)
Veljko Tomovic (MVP, Yougoslavie, 1985, 1,92m, meneur)
Auteur de 15,9 points, 7,6 rebonds et 4,1 passes pendant cet Euro U16 dont il a fini MVP, Velkjo Tomovic n’a pas réussi à s’imposer au plus haut niveau. Il est passé par plusieurs clubs serbes (dont le Mega Bemax) avant de faire sa dernière apparition en Bosnie, au Sloboda Tuzla, en 2008. Le tout sans jamais dépasser les 5 points de moyenne.
Luka Bogdanovic (Yougoslavie, 1985, 2,04m, arrière-ailier)
Passé par l’Étoile Rouge puis le Partizan Belgrade avant de faire carrière à l’étranger (dont une année au Mans et un passage à Roanne), l’ailier a fréquenté l’Eurocup et l’Euroleague (avec le Partizan, Le Mans, la Joventud Badalone). Un joueur solide, apportant régulièrement ses 10-12 points mais qui n’a plus été vu sous le maillot yougoslave ou serbe depuis les U20. Retraité depuis 2017.
Andrey Komarovskiy (Russie, 1,96m, arrière)
Meilleur marqueur de l’équipe vice-championne d’Europe U16, l’arrière a par la suite toujours joué dans son pays pour des clubs comme le Zenit St-Petersbourg ou l’Enisey Krasnoyark, sans faire d’étincelles (entre 3 et 10 points de moyenne). Il avait pourtant joué pour les U18 et U20 russes avec une certaine réussite : champion U20 en 2005, 13,6 points avec les U20 en 2004. A cessé de jouer au plus haut niveau professionnel à la fin de la saison 2015-16.
Rudy Fernandez (Espagne, 1985, 1,95m, arrière-ailier)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/rudy.jpg\")
Est-il vraiment besoin de présenter « Rudy la mèche » ? Auteur de 16,0 points, 2,6 rebonds et 1,7 passe lors de l’Euro U16 2001, le « meilleur ennemi » de l’équipe de France a depuis lors tout gagné, que ce soit en club (avec la Joventud Badalone puis, surtout, le Real Madrid) ou en équipe nationale. Il valait encore 7,8 points lors de la dernière Coupe du monde, où il a décroché l’or. Une star, une vraie, qu’on l’aime ou non.
Linas Kleiza (Lituanie, 1985, 2,03m, ailier-fort)
Meilleur marqueur de cet Euro U16 avec ses 21,5 points, assortis de 12,3 rebonds et de 1,4 passe, le natif de Kaunas a connu une carrière prestigieuse. Meilleur marqueur de la Coupe du monde U19 en 2003 (29,1 points), il a ensuite alterné entre NBA (Denver, Toronto) et Euroleague (Olympiacos, Fener, Milan) avec un certain bonheur : 8,7 points de moyenne en 409 matchs NBA, 11,4 points en 70 matchs d’Euroleague (dont 17,1 points avec l’Oly, au temps de sa splendeur). Diminué par de fréquentes blessures, il a pris sa retraite à l’issue de la saison 2014-15.
Les Français
Pape-Philippe Amagou (1985, 1,85m, meneur-arrière)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/amagou-dominique-breugnotmsb.jpg\")
Notamment passé par Le Mans et Roanne, Pape a été international et l’une des figures du championnat de France. À la retraite depuis 2018.
Sylvain Rosnet (1985, 1,92m, arrière)
Deuxième marqueur à l’Euro U16 (9,6 points), il a ensuite fait carrière entre Pro B et NM1, la plupart du temps pour Poitiers. Ses dernières apparitions en pro remontent à 2009.
Maxime Siegel (1985, 1,93m, arrière-ailier)
S’il a continué à jouer au basket après sa sortie du Centre Fédéral, l’Alsacien est resté près de chez lui, au WOSB de Saverne, en NM2, tout en devenant chirurgien-dentiste.
Gary Phaeton (1985, 1,76m, meneur)
Auteur de 7,3 points, 3,4 rebonds, 2,6 passes lors de l’Euro. A fait partie du centre de formation de Nancy, rentrant quelquefois en jeu en Pro A (et même en coupe Korac) avant une saison en Pro B à Aix-Maurienne puis un passage à Iserlohn (deuxième division allemande) et à Sarria (4e division espagnole). A disparu des radars depuis 2006.
Yannick Bokolo (1985, 1,88m, meneur-arrière)
Comme son compère des jeunes années Pape Amagou, une figure de l’élite française. En 15 saisons professionnelles, n’a connu que trois clubs : Le Mans, Gravelines-Dunkerque et Pau-Lacq-Orthez. 92 sélections en équipe de France.
Podium : 1e – Yougoslavie, 2e – Turquie, 3e – Russie (France 5e)
Nemanja Aleksandrov (MVP, Yougoslavie, 1987, 2,09m, ailier-fort)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/alexandrov-oldenburg.jpg\")
Auteur de 20,3 points, 8,4 rebonds et 1,3 passe et MVP de l’Euro U16 2003. Par la suite, a évolué à bon niveau en Europe mais sans jamais atteindre de sommets. Sa meilleure saison statistique : 16,7 points avec Verviers-Pepinster en Belgique. Joue aujourd’hui en Hongrie, au Jaszberenyi.
Dragan Labovic (Yougoslavie, 1987, 2,07m, ailier-fort)
Enregistre 18,0 points, 5,6 rebonds et 1,0 passe à l’Euro U16. Il est ensuite MVP de l’Euro U18 2005 puis champion d’Europe U20 en 2006 et 2007. Top-scoreur de la ligue Adriatique en 2008-09 avec le FMP Belgrade (18,0 points). A ensuite artillé un peu partout en Europe : Allemagne, Grèce, Russie, Pologne, Turquie, Macédoine, Roumanie, Finlande (plus un passage au Liban). Le tout sans jamais intégrer l’équipe nationale serbe. Actuellement au BC Nokia, en Finlande.
Milenko Tepic (Yougoslavie, 1987, 2,00m, arrière)
13,8 points, 6,3 rebonds et 2,1 passes à l’Euro U16. Multi-médaillé en catégories de jeunes avec la Yougoslavie puis la Serbie. International serbe. Remporte l’Euroleague en 2011 avec le Panathinaïkos. Passé ensuite par Séville, Vilnius, le Partizan, le PAOK et l’Italie, où il joue aujourd’hui pour Varèse. N’a plus dépassé les 9 points de moyenne depuis ses jeunes années au Partizan.
Cenk Akyol (Turquie, 1987, 1,98m, arrière-ailier)
15,0 points, 4,8 rebonds, 3,0 passes à l’Euro U16. À l’exception de la saison 2009-10 à Avellino, a effectué toute sa carrière en Turquie, à l’Efes Pilsen et à Galatasaray principalement. De retour cette année en première division, au Sigortam.net ITU, après plusieurs saisons au deuxième échelon turc. International turc.
Vasily Zavoruev (Russie, 1987, 1,98m, arrière)
A réalisé 19,6 points, 7,6 rebonds et 1,8 passe à l’Euro U16. A joué au CSKA Moscou puis dans divers clubs ukrainien, chypriote et russes sans jamais se hisser au niveau des meilleurs. Sa meilleure saison, à Krasny, en 2015-16 : 11,3 points. Retiré depuis la fin de la saison passée.
Les Français
Aldo Curti (1987, 1,80m, meneur)
Auteur de 14,8 points, 4,8 rebonds, 1,1 passe à l’Euro U16. À sa sortie du Centre Fédéral, a joué en Pro A pour Le Havre puis Orléans, Limoges (en Pro B), Gravelines-Dunkerque et Dijon avant de rejoindre la Pro B à Orchies puis de partir en NM2 à Sainte-Marie Metz avant une saison en NM1 à Souffelweiersheim. Cette année à Tours, en NM1. Un bon meneur, international camerounais en senior.
Aurélien Salmon (1987, 2,02m, ailier-fort)
A enregistré 14,3 points, 3,1 rebonds et 0,3 passe lors de cet Euro U16. A ensuite alterné entre Pro A (Nancy, Limoges, Boulazac) et Pro B (Limoges, Quimper, HTV, Boulazac, Caen), le plus souvent dans un rôle de complément. Toujours à Caen, en NM1.
Marc-Antoine Pellin (1987, 1,70m, meneur)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/marc-antoine-pellin-orleans-je-suis-en-confiance-4058_15.jpg\")
Auteur de 9,4 points, 3,3 rebonds, 2,4 passes. Champion de France 2007 avec Roanne, club où il a passé 6 saisons. A ensuite rejoint Le Mans puis Orléans avant de descendre en Pro B jouer pour Bourg-en-Bresse et Boulazac. Depuis deux ans en NM2. International à 8 reprises, il a souvent été freiné par les blessures.
Maxime Métin (1987, 1,96m, ailier)
A réalisé 8,1 points, 3,4 rebonds et 0,1 passe. N’a visiblement pas continué à l’échelon professionnel. Il a passé ces dernières années entre prénationale et NM2 dans des clubs du Sud-Est, notamment à Cagnes-sur-Mer, où il est actuellement coach.
Yunss Akinocho (1987, 1,98m, ailier/ailier-fort)
7,6 points, 5,8 rebonds, 0,4 passe. Ancien grand espoir du basket français, il n’a jamais réussi à percer. Formé à Cholet puis passé par Brest (alors en Pro A), il a ensuite principalement fréquenté les divisions nationales, avec un intermède peu convaincant à Charleville-Mézières en Pro B en 2010-11. International marocain en 2009.
Podium : 1e – France, 2e – Russie, 3e – Turquie
Vitaly Kuznetsov (MVP, Russie, 1988, 1,95m, ailier)
Avec ses 18,1 points, 4,0 rebonds et 2,0 passes, il est désigné MVP du tournoi malgré la défaite de la Russie en finale contre la France. Il participe les deux années suivantes à l’Euro U18 (0 point en 2005, 9,9 en 2006). Mais il ne perce pas, jouant en Superleague russe jusqu’en 2011-12 pour un rendement moyen (4,7 points cette année-là) avant de devenir coach des U16 du Khimik en 2013-14. Sa trace s’est perdue depuis.
Dmitriy Khvostov (Russie, 1989, 1,90m, meneur)
10,1 points, 4,4 rebonds, 4,0 passes pour le joueur alors âgé de 15 ans lors de cet Euro U16. Meilleur jeune joueur de Russie en 2009, il a joué pour le Dynamo Moscou, le Khimki, Nizhny Novgorod, Kuban et, actuellement, le Zenit Saint-Petersbourg, où il vaut encore 2,8 points et 1,5 passe en Euroleague. International russe, il est médaillé de bronze aux JO de 2012 et à l’Euro 2011. Plus un joueur de complément (une seule fois plus de 10 points de moyenne sur une saison) qu’une tête d’affiche.
Ludovic Vaty (France, 1988, 2,06m, pivot)
Auteur de 10,6 points, 11,5 rebonds et 0,6 passe, il est l’un des artisans majeurs du succès de la France à cet Euro U16. On le sait, le joueur qui avait percé au plus haut niveau, devenant même international senior, a été obligé d’arrêter le sport professionnel en 2013 suite à des problèmes cardiaques. En 2014, il reprend en douceur en NM2 avec l’Élan Pau Nord-Est avant de jouer en NM1 à Tarbes-Lourdes puis à Bordeaux. Depuis cette saison, il évolue en NM3 à Monségur (Landes) dans l’optique d’un projet de reconversion professionnelle.
Vladimir Dasic (Serbie & Monténégro, 1988, 2,08m, ailier-fort)
Le leader serbe inscrit 17,4 points, 12,6 rebonds et 1,8 passe pour la Serbie & Monténégro, qui termine toutefois 9e de la compétition. Malgré quelques belles saisons avec Rome, Buducnost ou Ljubljana, l’international monténégrin n’a jamais vraiment percé au plus haut niveau européen, n’arrivant pas à faire sa place dans de grosses écuries comme le Besiktas, Gran Canaria ou, à plus forte raison, le Real Madrid.
Danilo Gallinari (Italie, 1988, 2,08m, ailier/ailier-fort)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/gallinari-2004.jpg\")
Il produit 18,6 points, 5,6 rebonds et 0,6 passe, de quoi figurer dans le cinq majeur de cet Euro alors que l’Italie finit 6e. Après s’être formé à Milan, il est drafté par les Knicks en 6e position en 2008. Depuis, hormis un intermède pendant le lock out à Milan, il a toujours joué outre-Atlantique, pour les Knicks, les Nuggets, les Clippers ou, cette année, OKC. Souvent gêné par les blessures (saison blanche en 2013-14, notamment), il vaut quand même 15,9 points en 556 matchs de NBA et 17,7 points cette saison. Également international italien, lorsque sa santé le laissse tranquille.
Les Français
Adrien Moerman (1988, 2,02m, ailier-fort)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/moerman-2004.jpg\")
Sur le tournoi, il enregistre 14,1 points, 9,9 rebonds et 0,4 passse. Meilleur joueur français de Pro B en 2008 avec Nanterre. Il explose ensuite avec Limoges entre 2013 et 2015 avant de partir en Turquie (Banvit, Darussafaka) puis à Barcelone et de nouveau en Turquie à l’Anadolu Efes, qu’il mène en finale de l’Euroleague la saison dernière. Blessé, il n’a pas encore démarré la saison 2019-20. International à 9 reprises.
Abdoulaye Mbaye (1988, 1,89m, arrière)
Auteur de 11,9 points, 3,7 rebonds et 1,6 passe sur le tournoi. Une carrière qui n’a pas pris la tournure que l’on pouvait espérer après sa saison 2008-09 qui le vit terminer meilleur marqueur français de Pro A avec Dijon (14,9 points). La faute notamment à des blessures. Depuis, ses stats sont en décroissance et il joue actuellement à Poitiers, en Pro B (8,5 points).
Nicolas Batum (1988, 2,03m, ailier)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/batum-2004.jpg\")
Il réalise 8,0 points, 4,1 rebonds et 2,1 passes sur cet Euro U16. Après sa formation au Mans (champion de France en 2006, 12,3 points de moyenne), il est drafté en 25e place par les Houston Rockets en 2008. Il joue depuis lors en NBA, d’abord pour les Blazers de Portland puis pour les Charlotte Hornets. Auteur de 11,8 points en 768 matchs de NBA, a signé en 2016 un contrat de 120 millions de dollars sur cinq ans avec les Hornets. Capitaine de l’équipe de France, médaillé d’or à l’Euro 2013, de bronze aux Coupes du monde 2014 et 2019.
Antoine Diot (1989, 1,90m, meneur)
Un tournoi à 7,4 points, 2,9 rebonds, 1,5 passe. Devenu ensuite un très bon joueur d’Euroleague malgré de graves blessures qui lui ont fait manquer un an et demi de jeu entre 2017 et 2019. Formé à Bourg-en-Bresse puis au Mans, il joue ensuite à Paris-Levallois puis à Strasbourg avant de partir à Valence, où il devient champion d’Espagne en 2017. Depuis la rentrée, revenu en forme, il mène le jeu de LDLC Asvel.
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[armelse]
Lors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).
Voici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Tout d’abord, les joueurs des éditions 2001 à 2004.
2001
Podium : 1e – Yougoslavie, 2e – Russie, 3e – Espagne (France 5e)
Veljko Tomovic (MVP, Yougoslavie, 1985, 1,92m, meneur)
Auteur de 15,9 points, 7,6 rebonds et 4,1 passes pendant cet Euro U16 dont il a fini MVP, Velkjo Tomovic n’a pas réussi à s’imposer au plus haut niveau. Il est passé par plusieurs clubs serbes (dont le Mega Bemax) avant de faire sa dernière apparition en Bosnie, au Sloboda Tuzla, en 2008. Le tout sans jamais dépasser les 5 points de moyenne.
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Photo d’ouverture : Les U16 français de 2004 (crédit : FIBA Europe)
", "comment_id":"483855", "plaintext":"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Dans cette première partie (les autres suivront dans les jours à venir), nous nous intéresserons aux Euros U16, réservés aux moins de 16 ans. Après une analyse par pays (voir ICI), nous examinons aujourd’hui les meilleurs joueurs de ces Euros U16. Dans cette première salve, les éditions 2001 à 2004. Les suivantes dans les jours à venir avant des études similaires sur les U18 et les U20.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessures, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).\n\nVoici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Tout d’abord, les joueurs des éditions 2001 à 2004.\n\n\n2001\n\nPodium : 1e – Yougoslavie, 2e – Russie, 3e – Espagne (France 5e)\n\nVeljko Tomovic (MVP, Yougoslavie, 1985, 1,92m, meneur)\n\nAuteur de 15,9 points, 7,6 rebonds et 4,1 passes pendant cet Euro U16 dont il a fini MVP, Velkjo Tomovic n’a pas réussi à s’imposer au plus haut niveau. Il est passé par plusieurs clubs serbes (dont le Mega Bemax) avant de faire sa dernière apparition en Bosnie, au Sloboda Tuzla, en 2008. Le tout sans jamais dépasser les 5 points de moyenne.\n\nLuka Bogdanovic (Yougoslavie, 1985, 2,04m, arrière-ailier)\n\nPassé par l’Étoile Rouge puis le Partizan Belgrade avant de faire carrière à l’étranger (dont une année au Mans et un passage à Roanne), l’ailier a fréquenté l’Eurocup et l’Euroleague (avec le Partizan, Le Mans, la Joventud Badalone). Un joueur solide, apportant régulièrement ses 10-12 points mais qui n’a plus été vu sous le maillot yougoslave ou serbe depuis les U20. Retraité depuis 2017.\n\nAndrey Komarovskiy (Russie, 1,96m, arrière)\n\nMeilleur marqueur de l’équipe vice-championne d’Europe U16, l’arrière a par la suite toujours joué dans son pays pour des clubs comme le Zenit St-Petersbourg ou l’Enisey Krasnoyark, sans faire d’étincelles (entre 3 et 10 points de moyenne). Il avait pourtant joué pour les U18 et U20 russes avec une certaine réussite : champion U20 en 2005, 13,6 points avec les U20 en 2004. A cessé de jouer au plus haut niveau professionnel à la fin de la saison 2015-16.\n\nRudy Fernandez (Espagne, 1985, 1,95m, arrière-ailier)\n\nEst-il vraiment besoin de présenter « Rudy la mèche » ? Auteur de 16,0 points, 2,6 rebonds et 1,7 passe lors de l’Euro U16 2001, le « meilleur ennemi » de l’équipe de France a depuis lors tout gagné, que ce soit en club (avec la Joventud Badalone puis, surtout, le Real Madrid) ou en équipe nationale. Il valait encore 7,8 points lors de la dernière Coupe du monde, où il a décroché l’or. Une star, une vraie, qu’on l’aime ou non.\n\nLinas Kleiza (Lituanie, 1985, 2,03m, ailier-fort)\n\nMeilleur marqueur de cet Euro U16 avec ses 21,5 points, assortis de 12,3 rebonds et de 1,4 passe, le natif de Kaunas a connu une carrière prestigieuse. Meilleur marqueur de la Coupe du monde U19 en 2003 (29,1 points), il a ensuite alterné entre NBA (Denver, Toronto) et Euroleague (Olympiacos, Fener, Milan) avec un certain bonheur : 8,7 points de moyenne en 409 matchs NBA, 11,4 points en 70 matchs d’Euroleague (dont 17,1 points avec l’Oly, au temps de sa splendeur). Diminué par de fréquentes blessures, il a pris sa retraite à l’issue de la saison 2014-15.\n\nLes Français\n\nPape-Philippe Amagou (1985, 1,85m, meneur-arrière)\n\nNotamment passé par Le Mans et Roanne, Pape a été international et l’une des figures du championnat de France. À la retraite depuis 2018.\n\nSylvain Rosnet (1985, 1,92m, arrière)\n\nDeuxième marqueur à l’Euro U16 (9,6 points), il a ensuite fait carrière entre Pro B et NM1, la plupart du temps pour Poitiers. Ses dernières apparitions en pro remontent à 2009.\n\nMaxime Siegel (1985, 1,93m, arrière-ailier)\n\nS’il a continué à jouer au basket après sa sortie du Centre Fédéral, l’Alsacien est resté près de chez lui, au WOSB de Saverne, en NM2, tout en devenant chirurgien-dentiste.\n\nGary Phaeton (1985, 1,76m, meneur)\n\nAuteur de 7,3 points, 3,4 rebonds, 2,6 passes lors de l’Euro. A fait partie du centre de formation de Nancy, rentrant quelquefois en jeu en Pro A (et même en coupe Korac) avant une saison en Pro B à Aix-Maurienne puis un passage à Iserlohn (deuxième division allemande) et à Sarria (4e division espagnole). A disparu des radars depuis 2006.\n\nYannick Bokolo (1985, 1,88m, meneur-arrière)\n\nComme son compère des jeunes années Pape Amagou, une figure de l’élite française. En 15 saisons professionnelles, n’a connu que trois clubs : Le Mans, Gravelines-Dunkerque et Pau-Lacq-Orthez. 92 sélections en équipe de France.\n\n\n2003\n\nPodium : 1e – Yougoslavie, 2e – Turquie, 3e – Russie (France 5e)\n\nNemanja Aleksandrov (MVP, Yougoslavie, 1987, 2,09m, ailier-fort)\n\nAuteur de 20,3 points, 8,4 rebonds et 1,3 passe et MVP de l’Euro U16 2003. Par la suite, a évolué à bon niveau en Europe mais sans jamais atteindre de sommets. Sa meilleure saison statistique : 16,7 points avec Verviers-Pepinster en Belgique. Joue aujourd’hui en Hongrie, au Jaszberenyi.\n\nDragan Labovic (Yougoslavie, 1987, 2,07m, ailier-fort)\n\nEnregistre 18,0 points, 5,6 rebonds et 1,0 passe à l’Euro U16. Il est ensuite MVP de l’Euro U18 2005 puis champion d’Europe U20 en 2006 et 2007. Top-scoreur de la ligue Adriatique en 2008-09 avec le FMP Belgrade (18,0 points). A ensuite artillé un peu partout en Europe : Allemagne, Grèce, Russie, Pologne, Turquie, Macédoine, Roumanie, Finlande (plus un passage au Liban). Le tout sans jamais intégrer l’équipe nationale serbe. Actuellement au BC Nokia, en Finlande.\n\nMilenko Tepic (Yougoslavie, 1987, 2,00m, arrière)\n\n13,8 points, 6,3 rebonds et 2,1 passes à l’Euro U16. Multi-médaillé en catégories de jeunes avec la Yougoslavie puis la Serbie. International serbe. Remporte l’Euroleague en 2011 avec le Panathinaïkos. Passé ensuite par Séville, Vilnius, le Partizan, le PAOK et l’Italie, où il joue aujourd’hui pour Varèse. N’a plus dépassé les 9 points de moyenne depuis ses jeunes années au Partizan.\n\nCenk Akyol (Turquie, 1987, 1,98m, arrière-ailier)\n\n15,0 points, 4,8 rebonds, 3,0 passes à l’Euro U16. À l’exception de la saison 2009-10 à Avellino, a effectué toute sa carrière en Turquie, à l’Efes Pilsen et à Galatasaray principalement. De retour cette année en première division, au Sigortam.net ITU, après plusieurs saisons au deuxième échelon turc. International turc.\n\nVasily Zavoruev (Russie, 1987, 1,98m, arrière)\n\nA réalisé 19,6 points, 7,6 rebonds et 1,8 passe à l’Euro U16. A joué au CSKA Moscou puis dans divers clubs ukrainien, chypriote et russes sans jamais se hisser au niveau des meilleurs. Sa meilleure saison, à Krasny, en 2015-16 : 11,3 points. Retiré depuis la fin de la saison passée.\n\nLes Français\n\nAldo Curti (1987, 1,80m, meneur)\n\nAuteur de 14,8 points, 4,8 rebonds, 1,1 passe à l’Euro U16. À sa sortie du Centre Fédéral, a joué en Pro A pour Le Havre puis Orléans, Limoges (en Pro B), Gravelines-Dunkerque et Dijon avant de rejoindre la Pro B à Orchies puis de partir en NM2 à Sainte-Marie Metz avant une saison en NM1 à Souffelweiersheim. Cette année à Tours, en NM1. Un bon meneur, international camerounais en senior.\n\nAurélien Salmon (1987, 2,02m, ailier-fort)\n\nA enregistré 14,3 points, 3,1 rebonds et 0,3 passe lors de cet Euro U16. A ensuite alterné entre Pro A (Nancy, Limoges, Boulazac) et Pro B (Limoges, Quimper, HTV, Boulazac, Caen), le plus souvent dans un rôle de complément. Toujours à Caen, en NM1.\n\nMarc-Antoine Pellin (1987, 1,70m, meneur)\n\nAuteur de 9,4 points, 3,3 rebonds, 2,4 passes. Champion de France 2007 avec Roanne, club où il a passé 6 saisons. A ensuite rejoint Le Mans puis Orléans avant de descendre en Pro B jouer pour Bourg-en-Bresse et Boulazac. Depuis deux ans en NM2. International à 8 reprises, il a souvent été freiné par les blessures.\n\nMaxime Métin (1987, 1,96m, ailier)\n\nA réalisé 8,1 points, 3,4 rebonds et 0,1 passe. N’a visiblement pas continué à l’échelon professionnel. Il a passé ces dernières années entre prénationale et NM2 dans des clubs du Sud-Est, notamment à Cagnes-sur-Mer, où il est actuellement coach.\n\nYunss Akinocho (1987, 1,98m, ailier/ailier-fort)\n\n7,6 points, 5,8 rebonds, 0,4 passe. Ancien grand espoir du basket français, il n’a jamais réussi à percer. Formé à Cholet puis passé par Brest (alors en Pro A), il a ensuite principalement fréquenté les divisions nationales, avec un intermède peu convaincant à Charleville-Mézières en Pro B en 2010-11. International marocain en 2009.\n\n\n2004\n\nPodium : 1e – France, 2e – Russie, 3e – Turquie\n\nVitaly Kuznetsov (MVP, Russie, 1988, 1,95m, ailier)\n\nAvec ses 18,1 points, 4,0 rebonds et 2,0 passes, il est désigné MVP du tournoi malgré la défaite de la Russie en finale contre la France. Il participe les deux années suivantes à l’Euro U18 (0 point en 2005, 9,9 en 2006). Mais il ne perce pas, jouant en Superleague russe jusqu’en 2011-12 pour un rendement moyen (4,7 points cette année-là) avant de devenir coach des U16 du Khimik en 2013-14. Sa trace s’est perdue depuis.\n\nDmitriy Khvostov (Russie, 1989, 1,90m, meneur)\n\n10,1 points, 4,4 rebonds, 4,0 passes pour le joueur alors âgé de 15 ans lors de cet Euro U16. Meilleur jeune joueur de Russie en 2009, il a joué pour le Dynamo Moscou, le Khimki, Nizhny Novgorod, Kuban et, actuellement, le Zenit Saint-Petersbourg, où il vaut encore 2,8 points et 1,5 passe en Euroleague. International russe, il est médaillé de bronze aux JO de 2012 et à l’Euro 2011. Plus un joueur de complément (une seule fois plus de 10 points de moyenne sur une saison) qu’une tête d’affiche.\n\nLudovic Vaty (France, 1988, 2,06m, pivot)\n\nAuteur de 10,6 points, 11,5 rebonds et 0,6 passe, il est l’un des artisans majeurs du succès de la France à cet Euro U16. On le sait, le joueur qui avait percé au plus haut niveau, devenant même international senior, a été obligé d’arrêter le sport professionnel en 2013 suite à des problèmes cardiaques. En 2014, il reprend en douceur en NM2 avec l’Élan Pau Nord-Est avant de jouer en NM1 à Tarbes-Lourdes puis à Bordeaux. Depuis cette saison, il évolue en NM3 à Monségur (Landes) dans l’optique d’un projet de reconversion professionnelle.\n\nVladimir Dasic (Serbie & Monténégro, 1988, 2,08m, ailier-fort)\n\nLe leader serbe inscrit 17,4 points, 12,6 rebonds et 1,8 passe pour la Serbie & Monténégro, qui termine toutefois 9e de la compétition. Malgré quelques belles saisons avec Rome, Buducnost ou Ljubljana, l’international monténégrin n’a jamais vraiment percé au plus haut niveau européen, n’arrivant pas à faire sa place dans de grosses écuries comme le Besiktas, Gran Canaria ou, à plus forte raison, le Real Madrid.\n\nDanilo Gallinari (Italie, 1988, 2,08m, ailier/ailier-fort)\n\nIl produit 18,6 points, 5,6 rebonds et 0,6 passe, de quoi figurer dans le cinq majeur de cet Euro alors que l’Italie finit 6e. Après s’être formé à Milan, il est drafté par les Knicks en 6e position en 2008. Depuis, hormis un intermède pendant le lock out à Milan, il a toujours joué outre-Atlantique, pour les Knicks, les Nuggets, les Clippers ou, cette année, OKC. Souvent gêné par les blessures (saison blanche en 2013-14, notamment), il vaut quand même 15,9 points en 556 matchs de NBA et 17,7 points cette saison. Également international italien, lorsque sa santé le laissse tranquille.\n\nLes Français\n\nAdrien Moerman (1988, 2,02m, ailier-fort)\n\nSur le tournoi, il enregistre 14,1 points, 9,9 rebonds et 0,4 passse. Meilleur joueur français de Pro B en 2008 avec Nanterre. Il explose ensuite avec Limoges entre 2013 et 2015 avant de partir en Turquie (Banvit, Darussafaka) puis à Barcelone et de nouveau en Turquie à l’Anadolu Efes, qu’il mène en finale de l’Euroleague la saison dernière. Blessé, il n’a pas encore démarré la saison 2019-20. International à 9 reprises.\n\nAbdoulaye Mbaye (1988, 1,89m, arrière)\n\nAuteur de 11,9 points, 3,7 rebonds et 1,6 passe sur le tournoi. Une carrière qui n’a pas pris la tournure que l’on pouvait espérer après sa saison 2008-09 qui le vit terminer meilleur marqueur français de Pro A avec Dijon (14,9 points). La faute notamment à des blessures. Depuis, ses stats sont en décroissance et il joue actuellement à Poitiers, en Pro B (8,5 points).\n\nNicolas Batum (1988, 2,03m, ailier)\n\nIl réalise 8,0 points, 4,1 rebonds et 2,1 passes sur cet Euro U16. Après sa formation au Mans (champion de France en 2006, 12,3 points de moyenne), il est drafté en 25e place par les Houston Rockets en 2008. Il joue depuis lors en NBA, d’abord pour les Blazers de Portland puis pour les Charlotte Hornets. Auteur de 11,8 points en 768 matchs de NBA, a signé en 2016 un contrat de 120 millions de dollars sur cinq ans avec les Hornets. Capitaine de l’équipe de France, médaillé d’or à l’Euro 2013, de bronze aux Coupes du monde 2014 et 2019.\n\nAntoine Diot (1989, 1,90m, meneur)\n\nUn tournoi à 7,4 points, 2,9 rebonds, 1,5 passe. Devenu ensuite un très bon joueur d’Euroleague malgré de graves blessures qui lui ont fait manquer un an et demi de jeu entre 2017 et 2019. Formé à Bourg-en-Bresse puis au Mans, il joue ensuite à Paris-Levallois puis à Strasbourg avant de partir à Valence, où il devient champion d’Espagne en 2017. Depuis la rentrée, revenu en forme, il mène le jeu de LDLC Asvel.\n\nx\n\n[armelse]\n\nLors des dix-huit éditions de l’Euro U16 qui se sont tenues depuis 2001, nombre de joueurs ayant par la suite brillé au plus haut niveau ont déjà fait preuve de leurs qualités. À l’inverse, d’autres qui ont figuré parmi les meilleurs joueurs de ces tournois n’ont pas confirmé aux étages supérieurs, pour toutes sortes de raisons (blessure, limites physiques, techniques ou mentales, etc.).\n\nVoici, par édition – depuis 2001 et jusqu’en 2014, les joueurs des éditions suivantes n’étant pour la plupart pas encore professionnels, sauf pour les plus précoces (comme Dzenan Musa, Usman Garuba ou, en France, Théo Maledon) – et en se concentrant sur son cinq majeur (ainsi que sur les cinq meilleurs Français, sélectionnés par nos soins, s’ils ne figurent pas dans cette équipe « all stars »), le parcours de ces joueurs. Tout d’abord, les joueurs des éditions 2001 à 2004.\n\n2001\n\nPodium : 1e – Yougoslavie, 2e – Russie, 3e – Espagne (France 5e)\n\nVeljko Tomovic (MVP, Yougoslavie, 1985, 1,92m, meneur)\n\nAuteur de 15,9 points, 7,6 rebonds et 4,1 passes pendant cet Euro U16 dont il a fini MVP, Velkjo Tomovic n’a pas réussi à s’imposer au plus haut niveau. Il est passé par plusieurs clubs serbes (dont le Mega Bemax) avant de faire sa dernière apparition en Bosnie, au Sloboda Tuzla, en 2008. Le tout sans jamais dépasser les 5 points de moyenne.\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : Les U16 français de 2004 (crédit : FIBA Europe)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/france-2004.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-09T06:02:54.000Z", "updated_at":"2019-11-09T06:28:21.000Z", "published_at":"2019-11-09T06:02:54.000Z", "custom_excerpt":"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? 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Pour la 12e fois, les fans du pays peuvent voter (c’est ICI) jusqu’au 22 novembre pour l’élection des meilleurs joueurs et joueuses lituaniens organisée par le réseau de stations-service EMSI. Les lauréats seront honorés lors des Basketball Home Awards, le 3 décembre, à l’amphithéâtre de la Žalgiris Arena. 30 000 personnes ont déjà fait leur choix.
Or, s’il existe différentes catégories, à mi-parcours, au scratch, Justė Veronika Jocytė devance tous les joueurs de NBA (Jonas Valančiūnas, Marius Grigonis et Domantas Sabonis sont les leaders) et tous les joueurs du Zalgiris ! Voici ce qui en fait indubitablement le basketteur des deux sexes le plus populaire du pays après ses exploits cet été à l’Euro U16.
À noter que les fans élisent également l’équipe, la personnalité et le… journaliste de l’année.
Photo: FIBA
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Les trois pays baltes sont rapprochés mais s’il n’y a que 3h45 de route entre Riga, capitale de la Lettonie, et Kaunas, il y en a quand même 7h45 entre Tallinn, capitale de l’Estonie et la ville de Lituanie. Cela demande donc un investissement de rallier la Zalgirio Arena.
L’article explique que Zalgiris possède comme clients réguliers des sociétés estoniennes dont les invités assistent à plusieurs matches d’Euroleague par saison. Certains passent la nuit après le match à Kaunas et parfois le week-end.
« Cette saison, nous voyons un nombre croissant d’acheteurs des pays baltes, leur fréquentation est en augmentation et rien qu’en septembre, des achats d’un montant équivalent à celui de l’année dernière tout au long de la saison ont été effectués, » déclare Raimonda Čeičė, la responsable de la billetterie.
La présence de l’Estonien Siim-Sander Vene de 2013 à 2016 a servi de détonateur mais celui-ci estime que désormais ses compatriotes viennent à la Zalgirio Arena pour voir l’équipe lituanienne et profiter de l’ambiance.
« Je pense que le but essentiel à présent est l’Euroleague et les bons résultats du Grunwald (NDLR: le surnom du Zalgiris). En outre, Kaunas a toujours été l’endroit le plus proche pour voir du basket-ball au plus haut niveau. Je pense que l’atmosphère est aussi très bénéfique. Les habitants de Kaunas donnent beaucoup d’énergie positive. »
La présence dans le roster du Zalgiris du jeune Estonien Kerr Kriisa, 18 ans, est bien entendu un bonus pour ses compatriotes même si celui-ci n’est entré pour l’instant qu’une poignée de secondes en Euroleague lors de la venue de l’ASVEL.
15mn.lt fait témoigner la journaliste lettone Viktorija Kamaza, qui vient à Kaunas pour combiner son travail avec le plaisir en bénéficiant de l’énergie qui se dégage de l’arena.
« Victoria nous dit que son corps est déchaîné quand elle entend le chant viking, puis les cris d’Andrius Žiurauskas (NDLR: le speaker) lors de la présentation de l’équipe et juste avant l’hymne lituanien obsédant. «Vous pouvez toujours regarder le match à la maison à la télévision, mais vous n’obtiendrez pas cette connexion avec les fans du Zalgiris. Vous ne percevrez pas autant de bonnes émotions et vous ne recevrez pas l’énergie indicible qui aide l’équipe à gagner. Nous allons donc voir Kaunas avec nos propres yeux. »
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", "comment_id":"483992", "plaintext":"Sur les 14 600 fans de la Zalgirio Arena de Kaunas, environ un demi-millier sont Lettons et Estoniens, révèle un article de 15mn.lt et ceux-ci soutiennent l’équipe de Sarunas Jasikevicius avec la même ardeur que les Lituaniens.\n\nLes trois pays baltes sont rapprochés mais s’il n’y a que 3h45 de route entre Riga, capitale de la Lettonie, et Kaunas, il y en a quand même 7h45 entre Tallinn, capitale de l’Estonie et la ville de Lituanie. Cela demande donc un investissement de rallier la Zalgirio Arena.\n\nL’article explique que Zalgiris possède comme clients réguliers des sociétés estoniennes dont les invités assistent à plusieurs matches d’Euroleague par saison. Certains passent la nuit après le match à Kaunas et parfois le week-end.\n\n« Cette saison, nous voyons un nombre croissant d’acheteurs des pays baltes, leur fréquentation est en augmentation et rien qu’en septembre, des achats d’un montant équivalent à celui de l’année dernière tout au long de la saison ont été effectués, » déclare Raimonda Čeičė, la responsable de la billetterie.\n\nLa présence de l’Estonien Siim-Sander Vene de 2013 à 2016 a servi de détonateur mais celui-ci estime que désormais ses compatriotes viennent à la Zalgirio Arena pour voir l’équipe lituanienne et profiter de l’ambiance.\n\n« Je pense que le but essentiel à présent est l’Euroleague et les bons résultats du Grunwald (NDLR: le surnom du Zalgiris). En outre, Kaunas a toujours été l’endroit le plus proche pour voir du basket-ball au plus haut niveau. Je pense que l’atmosphère est aussi très bénéfique. Les habitants de Kaunas donnent beaucoup d’énergie positive. »\n\n\nMy kid Kerr Kriisa made his first point in euroleague!! Zalgiris vs Asvel #debut #euroleague pic.twitter.com/RD1aTTNst7\n\n— @Marius Rutkauskas (@mariusRutkausk1) October 25, 2019\n\n\nLa présence dans le roster du Zalgiris du jeune Estonien Kerr Kriisa, 18 ans, est bien entendu un bonus pour ses compatriotes même si celui-ci n’est entré pour l’instant qu’une poignée de secondes en Euroleague lors de la venue de l’ASVEL.\n\n15mn.lt fait témoigner la journaliste lettone Viktorija Kamaza, qui vient à Kaunas pour combiner son travail avec le plaisir en bénéficiant de l’énergie qui se dégage de l’arena.\n\n« Victoria nous dit que son corps est déchaîné quand elle entend le chant viking, puis les cris d’Andrius Žiurauskas (NDLR: le speaker) lors de la présentation de l’équipe et juste avant l’hymne lituanien obsédant. «Vous pouvez toujours regarder le match à la maison à la télévision, mais vous n’obtiendrez pas cette connexion avec les fans du Zalgiris. Vous ne percevrez pas autant de bonnes émotions et vous ne recevrez pas l’énergie indicible qui aide l’équipe à gagner. Nous allons donc voir Kaunas avec nos propres yeux. »\n\nhttps://www.instagram.com/p/Bwr1i5BnLIY/?utm_source=ig_embed", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/zalgirio-arena.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-09T05:43:04.000Z", "updated_at":"2019-11-08T18:20:59.000Z", "published_at":"2019-11-09T05:43:04.000Z", "custom_excerpt":"Sur les 14 600 fans de la Zalgirio Arena de Kaunas, environ un demi-millier sont Lettons et Estoniens, révèle un article de 15mn.lt et ceux-ci soutiennent l’équipe de Sarunas Jasikevicius avec la même ardeur que les Lituaniens.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d95a7", "uuid":"6161d719-0b09-471e-a494-8081a55eced5", "title":"[REDIFF] Guide Pro B – Saint-Chamond : Une nouvelle bonne surprise ?", "slug":"guide-pro-b-saint-chamond-une-nouvelle-bonne-surprise", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/08/alain-thinet-2.jpg\",\"width\":960,\"height\":640}],[\"html\",{\"html\":\"Les deux joueurs à suivre : \"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/tdWGth9s3BA?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/10/paumier.jpg\",\"width\":500,\"height\":353,\"caption\":\"Photo : SCBVG\"}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Saint-Chamond
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L’entraîneur Alain Thinet est du reste lucide à cet égard : il s’agit de viser un maintien rapide avant de penser à plus ambitieux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après deux premières saisons de Pro B consacrées à s’installer durablement dans la division (14\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" en 2015-16 puis 13\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" l’année suivante), Saint-Chamond a été l’équipe surprise de l’exercice 2017-18 (6\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" avec 22 victoires et 12 défaites, éliminé en quarts-de-finale de playoffs) avant de récidiver la saison dernière : 6\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" avec un bilan de 20 victoires et 14 défaites, élimination en demi-finales par Orléans après avoir poussé le futur promu en Jeep Élite à une belle.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Une saison remarquable à tous les égards pour l’un des plus petits budgets de la Pro B, qu’il va être forcément difficile de réitérer. En effet, plusieurs des principaux acteurs de ce bel exercice n’ont pas résisté aux sirènes de projets plus rémunérateurs : Lucas Hergott et Makram Ben Romdhane ont ainsi accompagné Bodian Massa (de retour de prêt) à Fos-sur-Mer, alors qu’Omar Abada et Malik Cooke ne prolongeaient pas. Ensuite, la malchance a frappé : libéré par Villeurbanne, Sofiane Briki devait venir s’aguerrir sous les ordres d’Alain Thinet, mais une rupture des ligaments croisés du genou lors de l’Euro U20 a mis un terme au projet. À sa place, le club a fait venir Théo Bouteille de Paris, alors que Niels Pharose arrive pour sa part des Espoirs de LDLC Asvel. Pour encadrer ces deux jeunes, et faute d’un budget important, Alain Thinet a dû faire des paris sur ses étrangers. Jure Skific, comme nombre d’intérieurs issus de l’ex-Yougoslavie passés par la Pro B avant lui, devra montrer qu’il peut s’adapter aux spécificités de ce championnat. Quant à Jordan Green, jeune ailier américain vivant sa première expérience en Europe, le pari a tourné court : le joueur a été coupé après une rencontre de Leaders Cup (-1 d’évaluation en 21 minutes…). Pour le remplacer, le club couramiaud a fait appel à Paul Carter, un ailier déjà vu à Antibes, Hyères-Toulon ou Châlons-Reims à l’étage supérieur sans briller et arrivant de Limbourg (Belgique), où il ne s’est guère montré plus à son avantage : 7,6 points (32,9 % aux tirs), 4,5 rebonds, 1,7 passe. Une autre forme de pari, celle du joueur expérimenté mais limité pour le niveau supérieur. Le SCBVG a également décidé de renforcer son secteur intérieur avec Gide Noël, ailier-fort tourné vers le collectif.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour espérer entrevoir une issue plus positive qu’un simple maintien, Alain Thinet s’appuyera forcément sur les qualités de ses « anciens », Matthieu Guichard, Jonathan Hoyaux, Jean-Stéphane Rinna et Grismay Paumier. Une place en playoffs serait une nouvelle bonne surprise. Saint-Chamond nous y a habitués, pourquoi pas une nouvelle fois ?\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je veux que tout le monde soit bien intégré dans le collectif, comme l’année passée. L’équipe faisait bien bouger le ballon, elle était première de Pro B aux passes décisives (20,7 par match). Je ne veux pas d’un joueur star, je veux vraiment que la star soit l’équipe et qu’elle produise un bon jeu collectif. Si j’arrive à obtenir ça du groupe, la saison sera bonne. En revanche, si la mayonnaise ne prend pas, nous allons galérer. » Alain Thinet, entraîneur principal\"]]],[10,0],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jure Skific (2,03m, 31 ans)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Intérieur expérimenté, il évoluait à Larnarca (Chypre) la saison dernière où il tournait à 13,2 points (à 42,0 % à trois points) et 5,5 rebonds entre le championnat chypriote et la FIBA Europe Cup. Formé à Zadar, passé par plusieurs clubs croates, par la Slovénie et la Pologne, il va devoir montrer qu’il peut s’adapter aux spécificités de la Pro B, un exercice que n’ont pas réussi plusieurs intérieurs de l’ex-Yougoslavie ces dernières années.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Grismay Paumier (2,04m, 31 ans)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est la vigie, la tour de contrôle, l’assurance tout-risque de Saint-Chamond à l’intérieur. Le pivot cubain, en France depuis 2011, est un fidèle du club couramiaud : arrivé en 2013, il a contribué à faire monter l’équipe de NM1 en Pro B puis s’est testé avec le SCBVG à l’étage supérieur avant d’y revenir après une escapade d’un an à Boulogne-sur-Mer. Puissant, bon rebondeur, le Cubain a toutefois vécu une saison 2018-19 statistiquement en retrait, la « faute » en revenant principalement à la présence à ses côtés dans la raquette de Makram Ben Romdhane, la révélation tunisienne de la dernière saison. Moins bien entouré cette saison, Grismay Paumier va devoir assumer plus de responsabilités. Ce qui ne semble pas le gêner, à voir son récent match de Leaders Cup contre Blois : 22 points à 7/8 aux tirs, 17 rebonds, 1 contre, 40 d’évaluation en 29 minutes !\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Arrivées :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sofiane Briki (LDLC ASVEL, prêt*), Théo Bouteille (Paris), Jure Skific (AEK Lanarca, Chypre), Paul Carter (Limbourg, Belgique), Niels Pharose (LDLC ASVEL, Espoirs), Gide Noël (Gries-Oberhoffen), Arthur Noba (Orléans, Espoirs).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"*Sofiane Briki s’est rompu les ligaments croisés du genou. Il ne sera pas opérationnel avant plusieurs mois. 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Après deux premières saisons de Pro B consacrées à s’installer durablement dans la division (14e en 2015-16 puis 13e l’année suivante), Saint-Chamond a été l’équipe surprise de l’exercice 2017-18 (6e avec 22 victoires et 12 défaites, éliminé en quarts-de-finale de playoffs) avant de récidiver la saison dernière : 6e avec un bilan de 20 victoires et 14 défaites, élimination en demi-finales par Orléans après avoir poussé le futur promu en Jeep Élite à une belle.
Une saison remarquable à tous les égards pour l’un des plus petits budgets de la Pro B, qu’il va être forcément difficile de réitérer. En effet, plusieurs des principaux acteurs de ce bel exercice n’ont pas résisté aux sirènes de projets plus rémunérateurs : Lucas Hergott et Makram Ben Romdhane ont ainsi accompagné Bodian Massa (de retour de prêt) à Fos-sur-Mer, alors qu’Omar Abada et Malik Cooke ne prolongeaient pas. Ensuite, la malchance a frappé : libéré par Villeurbanne, Sofiane Briki devait venir s’aguerrir sous les ordres d’Alain Thinet, mais une rupture des ligaments croisés du genou lors de l’Euro U20 a mis un terme au projet. À sa place, le club a fait venir Théo Bouteille de Paris, alors que Niels Pharose arrive pour sa part des Espoirs de LDLC Asvel. Pour encadrer ces deux jeunes, et faute d’un budget important, Alain Thinet a dû faire des paris sur ses étrangers. Jure Skific, comme nombre d’intérieurs issus de l’ex-Yougoslavie passés par la Pro B avant lui, devra montrer qu’il peut s’adapter aux spécificités de ce championnat. Quant à Jordan Green, jeune ailier américain vivant sa première expérience en Europe, le pari a tourné court : le joueur a été coupé après une rencontre de Leaders Cup (-1 d’évaluation en 21 minutes…). Pour le remplacer, le club couramiaud a fait appel à Paul Carter, un ailier déjà vu à Antibes, Hyères-Toulon ou Châlons-Reims à l’étage supérieur sans briller et arrivant de Limbourg (Belgique), où il ne s’est guère montré plus à son avantage : 7,6 points (32,9 % aux tirs), 4,5 rebonds, 1,7 passe. Une autre forme de pari, celle du joueur expérimenté mais limité pour le niveau supérieur. Le SCBVG a également décidé de renforcer son secteur intérieur avec Gide Noël, ailier-fort tourné vers le collectif.
Pour espérer entrevoir une issue plus positive qu’un simple maintien, Alain Thinet s’appuyera forcément sur les qualités de ses « anciens », Matthieu Guichard, Jonathan Hoyaux, Jean-Stéphane Rinna et Grismay Paumier. Une place en playoffs serait une nouvelle bonne surprise. Saint-Chamond nous y a habitués, pourquoi pas une nouvelle fois ?
« Je veux que tout le monde soit bien intégré dans le collectif, comme l’année passée. L’équipe faisait bien bouger le ballon, elle était première de Pro B aux passes décisives (20,7 par match). Je ne veux pas d’un joueur star, je veux vraiment que la star soit l’équipe et qu’elle produise un bon jeu collectif. Si j’arrive à obtenir ça du groupe, la saison sera bonne. En revanche, si la mayonnaise ne prend pas, nous allons galérer. » Alain Thinet, entraîneur principal
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/08/alain-thinet-2.jpg\")
Jure Skific (2,03m, 31 ans)
Intérieur expérimenté, il évoluait à Larnarca (Chypre) la saison dernière où il tournait à 13,2 points (à 42,0 % à trois points) et 5,5 rebonds entre le championnat chypriote et la FIBA Europe Cup. Formé à Zadar, passé par plusieurs clubs croates, par la Slovénie et la Pologne, il va devoir montrer qu’il peut s’adapter aux spécificités de la Pro B, un exercice que n’ont pas réussi plusieurs intérieurs de l’ex-Yougoslavie ces dernières années.
Grismay Paumier (2,04m, 31 ans)
C’est la vigie, la tour de contrôle, l’assurance tout-risque de Saint-Chamond à l’intérieur. Le pivot cubain, en France depuis 2011, est un fidèle du club couramiaud : arrivé en 2013, il a contribué à faire monter l’équipe de NM1 en Pro B puis s’est testé avec le SCBVG à l’étage supérieur avant d’y revenir après une escapade d’un an à Boulogne-sur-Mer. Puissant, bon rebondeur, le Cubain a toutefois vécu une saison 2018-19 statistiquement en retrait, la « faute » en revenant principalement à la présence à ses côtés dans la raquette de Makram Ben Romdhane, la révélation tunisienne de la dernière saison. Moins bien entouré cette saison, Grismay Paumier va devoir assumer plus de responsabilités. Ce qui ne semble pas le gêner, à voir son récent match de Leaders Cup contre Blois : 22 points à 7/8 aux tirs, 17 rebonds, 1 contre, 40 d’évaluation en 29 minutes !
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/10/paumier.jpg\")
Arrivées :
Sofiane Briki (LDLC ASVEL, prêt*), Théo Bouteille (Paris), Jure Skific (AEK Lanarca, Chypre), Paul Carter (Limbourg, Belgique), Niels Pharose (LDLC ASVEL, Espoirs), Gide Noël (Gries-Oberhoffen), Arthur Noba (Orléans, Espoirs).
*Sofiane Briki s’est rompu les ligaments croisés du genou. Il ne sera pas opérationnel avant plusieurs mois. Remplacé par Théo Bouteille.
Départs :
Lucas Hergott (Fos-sur-Mer), Bodian Massa (Fos-sur-Mer), Omar Abada, Malik Cooke, Makram Ben Romdhane (Fos-sur-Mer).
Effectif 2019-20 :
Meneurs : Mathieu Guichard, Mattéo Legat, Théo Bouteille
Extérieurs : Paul Carter (Américain), Jonathan Hoyaux, Sofiane Briki (blessé), Niels Pharose
Intérieurs : Grismay Paumier (Cubain, Cotonou), Jean-Stéphane Rinna, Jure Skific (Croate, Bosman), Mounir Bernaoui, Gide Noël, Arthur Noba
Le cinq majeur probable :
Guichard – Hoyaux – Carter – Paumier – Skific
Entraîneur : Alain Thinet Assistant : Maxime Nelaton
[armelse]
Après deux premières saisons de Pro B consacrées à s’installer durablement dans la division (14e en 2015-16 puis 13e l’année suivante), Saint-Chamond a été l’équipe surprise de l’exercice 2017-18 (6e avec 22 victoires et 12 défaites, éliminé en quarts-de-finale de playoffs) avant de récidiver la saison dernière : 6e avec un bilan de 20 victoires et 14 défaites, élimination en demi-finales par Orléans après avoir poussé le futur promu en Jeep Élite à une belle. Une saison remarquable à tous les égards pour l’un des plus petits budgets de la Pro B, qu’il va être forcément difficile de réitérer. [/arm_restrict_content]
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Photo : Saint-Chamond
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En effet, plusieurs des principaux acteurs de ce bel exercice n’ont pas résisté aux sirènes de projets plus rémunérateurs : Lucas Hergott et Makram Ben Romdhane ont ainsi accompagné Bodian Massa (de retour de prêt) à Fos-sur-Mer, alors qu’Omar Abada et Malik Cooke ne prolongeaient pas. Ensuite, la malchance a frappé : libéré par Villeurbanne, Sofiane Briki devait venir s’aguerrir sous les ordres d’Alain Thinet, mais une rupture des ligaments croisés du genou lors de l’Euro U20 a mis un terme au projet. À sa place, le club a fait venir Théo Bouteille de Paris, alors que Niels Pharose arrive pour sa part des Espoirs de LDLC Asvel. Pour encadrer ces deux jeunes, et faute d’un budget important, Alain Thinet a dû faire des paris sur ses étrangers. Jure Skific, comme nombre d’intérieurs issus de l’ex-Yougoslavie passés par la Pro B avant lui, devra montrer qu’il peut s’adapter aux spécificités de ce championnat. Quant à Jordan Green, jeune ailier américain vivant sa première expérience en Europe, le pari a tourné court : le joueur a été coupé après une rencontre de Leaders Cup (-1 d’évaluation en 21 minutes…). Pour le remplacer, le club couramiaud a fait appel à Paul Carter, un ailier déjà vu à Antibes, Hyères-Toulon ou Châlons-Reims à l’étage supérieur sans briller et arrivant de Limbourg (Belgique), où il ne s’est guère montré plus à son avantage : 7,6 points (32,9 % aux tirs), 4,5 rebonds, 1,7 passe. Une autre forme de pari, celle du joueur expérimenté mais limité pour le niveau supérieur. Le SCBVG a également décidé de renforcer son secteur intérieur avec Gide Noël, ailier-fort tourné vers le collectif.\n\nPour espérer entrevoir une issue plus positive qu’un simple maintien, Alain Thinet s’appuyera forcément sur les qualités de ses « anciens », Matthieu Guichard, Jonathan Hoyaux, Jean-Stéphane Rinna et Grismay Paumier. Une place en playoffs serait une nouvelle bonne surprise. Saint-Chamond nous y a habitués, pourquoi pas une nouvelle fois ?\n\n« Je veux que tout le monde soit bien intégré dans le collectif, comme l’année passée. L’équipe faisait bien bouger le ballon, elle était première de Pro B aux passes décisives (20,7 par match). Je ne veux pas d’un joueur star, je veux vraiment que la star soit l’équipe et qu’elle produise un bon jeu collectif. Si j’arrive à obtenir ça du groupe, la saison sera bonne. En revanche, si la mayonnaise ne prend pas, nous allons galérer. » Alain Thinet, entraîneur principal\n\nLes deux joueurs à suivre : \n\nJure Skific (2,03m, 31 ans)\n\nIntérieur expérimenté, il évoluait à Larnarca (Chypre) la saison dernière où il tournait à 13,2 points (à 42,0 % à trois points) et 5,5 rebonds entre le championnat chypriote et la FIBA Europe Cup. 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Ce qui ne semble pas le gêner, à voir son récent match de Leaders Cup contre Blois : 22 points à 7/8 aux tirs, 17 rebonds, 1 contre, 40 d’évaluation en 29 minutes !\n\nArrivées :\n\nSofiane Briki (LDLC ASVEL, prêt*), Théo Bouteille (Paris), Jure Skific (AEK Lanarca, Chypre), Paul Carter (Limbourg, Belgique), Niels Pharose (LDLC ASVEL, Espoirs), Gide Noël (Gries-Oberhoffen), Arthur Noba (Orléans, Espoirs).\n\n*Sofiane Briki s’est rompu les ligaments croisés du genou. Il ne sera pas opérationnel avant plusieurs mois. 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A Milan, il y avait une villa avec des bureaux au premier étage, des chambres pour les jeunes joueurs au deuxième étage, et moi j’avais mon appartement à même pas 100m. Je prenais tous mes repas là, il y avait une cuisinière extraordinaire. Dans les escaliers, il y avait des photos de Bill Bradley et Skip Thoren. Donc je les voyais deux fois par jour en montant et en descendant. »\"]]],[10,4],[10,5],[10,6],[10,7],[10,8],[10,9],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« J’ai joué à Belgrade contre l’Etoile Rouge avec Milan. Nous étions les plus forts et eux les deuxièmes (NDLR: en Coupe des Coupes). Nous avions gagné à Milan de 24 points. On pouvait donc perdre de 23 au retour. Ils ont commencé le match avec deux joueurs normaux du cinq et trois autres qui sont rentrés pour nous bastonner. Malgré ça, nous avions deux points d’avance à la mi-temps donc ça faisait 26 points d’écart. En principe, c’est fait. Nous, on a un dicton qui dit « on ne compte jamais les poussins avant qu’ils sortent de l’œuf ». Ils ont continué à bastonner et les arbitres n’étaient pas issus de pays avec de grandes équipes, ils n’étaient pas bons, ils ont mangé le sifflet. Nous étions arrivés à -10, ce qui faisait encore 14 points d’écart. Il y a eu une petite bagarre sous un panier entre (Renzo) Bariviera et Lazarevic. Près de cinquante ans plus tard, je me rappelle encore de son nom, Lazarevic. L’entraîneur de Belgrade a demandé un changement et l’a fait asseoir à côté de lui. Le ballon est sorti juste à côté du banc de Belgrade. Bariviera est allé faire la touche et Lazarevic, qui était en dehors du jeu, lui a donné un coup de poing. Scandale. Notre coach (Cesare) Rubini a couru vers la table pour aller protester. Moka Slavnic, qui est au Hall of Fame FIBA, grand joueur, a couru derrière Rubini et lui a donné un coup de pied dans les fesses. Un coup en traitre. J’ai vu ça. On ne pouvait pas toucher à Rubini ! Je suis devenu fou. Toute la salle est venue sur le terrain, c’était comme la Mer Rouge. Tout le monde voulait me donner des coups, je ne pouvais même pas bouger. Il y avait un gendarme de Belgrade qui n’avait pas les manières d’un gendarme français et il a voulu me donner un coup avec une matraque. Je lui ai répondu d’un seul coup à gauche et… je lui ai cassé le nez. La bagarre a continué de partout pendant cinq minutes. Je suis retourné sur le banc du Simmental et un gendarme est venu par derrière pour me donner un coup de matraque. Je l’ai vu et il ne m’a pas donné un coup sur la tête mais sur l’épaule. Et après, il s’est échappé… Je lui ai crié : « viens ici ! viens ici ! ». Je suis devenu le héros du peuple car personne ne pouvait ne serait-ce qu’engueuler un flic et certainement pas donner un coup de poing. « Kenney, il a fait ce qu’on n’aimerait faire ! » (rires) La police a porté plainte contre moi et je ne pouvais pas revenir à Belgrade ou peut-être en Yougoslavie… (NDLR : il nous a recontacté plus tard pour préciser: En fait, j’y suis retourné pour un tournoi de pré-saison à Belgrade avec l’Ignis de Varèse, Zadar et l’Etoile Rouge…) Nous avons battu le Fides de Naples en demi-finale et la finale contre l’Etoile Rouge s’est déroulée à Salonique sur terrain neutre. Je me suis retrouvé sur la ligne des coups-francs avec le ballon. J’ai tiré très fort comme à la salle Gouloumès et le ballon est rentré après avoir heurté le plexiglass. J’ai fait un smash à la fin et nous avons gagné de cinq points, je crois (NDLR : en fait, 74-70). J’étais le meilleur marqueur avec 23 points. J’avais été aussi le meilleur marqueur de la finale précédente lors du match retour contre le Spartak Leningrad. Lors de ce match-là, j’ai joué contre Alexandre Belov, un sauteur incroyable. Une fois, je suis allé pour smasher mais il m’a contré. Je n’étais pas intimidé car j’ai joué contre Jabbar ! Lorsque j’étais en deuxième année en high school, je faisais des un contre un avec lui ou des cinq contre cinq et j’étais habitué. Alors être contesté ou stoppé par Belov… Je suis allé reprendre le ballon et j’ai marqué le panier.\"]]],[10,10],[10,11],[10,12],[10,13],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Avec Milan, j’ai marqué 1 014 points avec plus de 50% de réussite soit 14,3 points par match et 11,8 rebonds par match. J’étais aussi le dernier défenseur. Trois fois nous avons rencontré l’Ignis de Varèse et Dino Meneghin en finale. La première fois, nous avons perdu en finale à Rome, la deuxième saison nous avons gagné de cinq points. J’ai bien joué mais je suis sorti pour cinq fautes. Bariviera a été formidable à la fin. Et la troisième fois, nous étions en tête, je suis sorti pour cinq fautes et nous avons perdu. Avant le match, Bob Morse a fait de la propagande contre mon style de jeu… Avant de retourner au Mans, j’ai fait un dernier match avec mon équipe de Milan contre Varèse et il n’a rien fait contre moi. Grand shooteur mais il était trop lent ! »\"]]],[10,14],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« J’avais un accord verbal avec M. Gasnal. Si on avait gagné la Coupe de France en 1970 contre la Jeanne d’Arc Vichy, je serais resté car on aurait fait la Coupe des Coupes, mais on a perdu de quatre points. C’est comme ça que je suis allé à Milan et j’ai fait un test contre Bob Lienhard. 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« J’avais un accord verbal avec M. Gasnal. Si on avait gagné la Coupe de France en 1970 contre la Jeanne d’Arc Vichy, je serais resté car on aurait fait la Coupe des Coupes, mais on a perdu de quatre points. C’est comme ça que je suis allé à Milan et j’ai fait un test contre Bob Lienhard. Ça s’est bien passé et lui n’était pas le bon joueur, alors ils l’ont envoyé à Cantu et c’était l’homme parfait pour eux alors que ça n’aurait pas été le cas pour moi. »
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« La première fois que j’ai vu Bill Bradley c’était pour un match sur terrain neutre à… Bologne. Bologne, terrain neutre ! (rires) C’était la finale de la Coupe des Champions contre les Tchèques du Slavia de Prague. Ils ont gagné de cinq points et Bradley n’était pas le meilleur marqueur. C’était (Gabriele) Vianello avec 18 points. J’ai vu ce premier match avec Bradley à la World Wide Sport quand j’étais à Fairfield University. C’était en différé. A l’époque, ce sont les jets qui emmenaient les bobines de film d’un côté à l’autre de l’Atlantique. Nous avions un salon et nous étions deux à regarder ce match, mon camarade de chambre et moi. Je me suis dit « cette équipe, ce n’est pas seulement Bradley ». A Milan, il y avait une villa avec des bureaux au premier étage, des chambres pour les jeunes joueurs au deuxième étage, et moi j’avais mon appartement à même pas 100m. Je prenais tous mes repas là, il y avait une cuisinière extraordinaire. Dans les escaliers, il y avait des photos de Bill Bradley et Skip Thoren. Donc je les voyais deux fois par jour en montant et en descendant. »
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« J’ai joué à Belgrade contre l’Etoile Rouge avec Milan. Nous étions les plus forts et eux les deuxièmes (NDLR: en Coupe des Coupes). Nous avions gagné à Milan de 24 points. On pouvait donc perdre de 23 au retour. Ils ont commencé le match avec deux joueurs normaux du cinq et trois autres qui sont rentrés pour nous bastonner. Malgré ça, nous avions deux points d’avance à la mi-temps donc ça faisait 26 points d’écart. En principe, c’est fait. Nous, on a un dicton qui dit « on ne compte jamais les poussins avant qu’ils sortent de l’œuf ». Ils ont continué à bastonner et les arbitres n’étaient pas issus de pays avec de grandes équipes, ils n’étaient pas bons, ils ont mangé le sifflet. Nous étions arrivés à -10, ce qui faisait encore 14 points d’écart. Il y a eu une petite bagarre sous un panier entre (Renzo) Bariviera et Lazarevic. Près de cinquante ans plus tard, je me rappelle encore de son nom, Lazarevic. L’entraîneur de Belgrade a demandé un changement et l’a fait asseoir à côté de lui. Le ballon est sorti juste à côté du banc de Belgrade. Bariviera est allé faire la touche et Lazarevic, qui était en dehors du jeu, lui a donné un coup de poing. Scandale. Notre coach (Cesare) Rubini a couru vers la table pour aller protester. Moka Slavnic, qui est au Hall of Fame FIBA, grand joueur, a couru derrière Rubini et lui a donné un coup de pied dans les fesses. Un coup en traitre. J’ai vu ça. On ne pouvait pas toucher à Rubini ! Je suis devenu fou. Toute la salle est venue sur le terrain, c’était comme la Mer Rouge. Tout le monde voulait me donner des coups, je ne pouvais même pas bouger. Il y avait un gendarme de Belgrade qui n’avait pas les manières d’un gendarme français et il a voulu me donner un coup avec une matraque. Je lui ai répondu d’un seul coup à gauche et… je lui ai cassé le nez. La bagarre a continué de partout pendant cinq minutes. Je suis retourné sur le banc du Simmental et un gendarme est venu par derrière pour me donner un coup de matraque. Je l’ai vu et il ne m’a pas donné un coup sur la tête mais sur l’épaule. Et après, il s’est échappé… Je lui ai crié : « viens ici ! viens ici ! ». Je suis devenu le héros du peuple car personne ne pouvait ne serait-ce qu’engueuler un flic et certainement pas donner un coup de poing. « Kenney, il a fait ce qu’on n’aimerait faire ! » (rires) La police a porté plainte contre moi et je ne pouvais pas revenir à Belgrade ou peut-être en Yougoslavie… (NDLR : il nous a recontacté plus tard pour préciser: En fait, j’y suis retourné pour un tournoi de pré-saison à Belgrade avec l’Ignis de Varèse, Zadar et l’Etoile Rouge…) Nous avons battu le Fides de Naples en demi-finale et la finale contre l’Etoile Rouge s’est déroulée à Salonique sur terrain neutre. Je me suis retrouvé sur la ligne des coups-francs avec le ballon. J’ai tiré très fort comme à la salle Gouloumès et le ballon est rentré après avoir heurté le plexiglass. J’ai fait un smash à la fin et nous avons gagné de cinq points, je crois (NDLR : en fait, 74-70). J’étais le meilleur marqueur avec 23 points. J’avais été aussi le meilleur marqueur de la finale précédente lors du match retour contre le Spartak Leningrad. Lors de ce match-là, j’ai joué contre Alexandre Belov, un sauteur incroyable. Une fois, je suis allé pour smasher mais il m’a contré. Je n’étais pas intimidé car j’ai joué contre Jabbar ! Lorsque j’étais en deuxième année en high school, je faisais des un contre un avec lui ou des cinq contre cinq et j’étais habitué. Alors être contesté ou stoppé par Belov… Je suis allé reprendre le ballon et j’ai marqué le panier.
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« Avec Milan, j’ai marqué 1 014 points avec plus de 50% de réussite soit 14,3 points par match et 11,8 rebonds par match. J’étais aussi le dernier défenseur. Trois fois nous avons rencontré l’Ignis de Varèse et Dino Meneghin en finale. La première fois, nous avons perdu en finale à Rome, la deuxième saison nous avons gagné de cinq points. J’ai bien joué mais je suis sorti pour cinq fautes. Bariviera a été formidable à la fin. Et la troisième fois, nous étions en tête, je suis sorti pour cinq fautes et nous avons perdu. Avant le match, Bob Morse a fait de la propagande contre mon style de jeu… Avant de retourner au Mans, j’ai fait un dernier match avec mon équipe de Milan contre Varèse et il n’a rien fait contre moi. Grand shooteur mais il était trop lent ! »
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[armelse]
« J’avais un accord verbal avec M. Gasnal. Si on avait gagné la Coupe de France en 1970 contre la Jeanne d’Arc Vichy, je serais resté car on aurait fait la Coupe des Coupes, mais on a perdu de quatre points. C’est comme ça que je suis allé à Milan et j’ai fait un test contre Bob Lienhard. Ça s’est bien passé et lui n’était pas le bon joueur, alors ils l’ont envoyé à Cantu et c’était l’homme parfait pour eux alors que ça n’aurait pas été le cas pour moi. »
« La première fois que j’ai vu Bill Bradley c’était pour un match sur terrain neutre à… Bologne. Bologne, terrain neutre ! (rires) C’était la finale de la Coupe des Champions contre les Tchèques du Slavia de Prague. Ils ont gagné de cinq points et Bradley n’était pas le meilleur marqueur. C’était (Gabriele) Vianello avec 18 points. J’ai vu ce premier match avec Bradley à la World Wide Sport quand j’étais à Fairfield University. C’était en différé. A l’époque, ce sont les jets qui emmenaient les bobines de film d’un côté à l’autre de l’Atlantique. Nous avions un salon et nous étions deux à regarder ce match, mon camarade de chambre et moi. Je me suis dit « cette équipe, ce n’est pas seulement Bradley ».
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Photo d’ouverture: avec Bill Bradley, star universitaire, champion d’Europe avec Milan, champion NBA avec les New York Knicks puis sénateur.
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Ça s’est bien passé et lui n’était pas le bon joueur, alors ils l’ont envoyé à Cantu et c’était l’homme parfait pour eux alors que ça n’aurait pas été le cas pour moi. »\n\n« La première fois que j’ai vu Bill Bradley c’était pour un match sur terrain neutre à… Bologne. Bologne, terrain neutre ! (rires) C’était la finale de la Coupe des Champions contre les Tchèques du Slavia de Prague. Ils ont gagné de cinq points et Bradley n’était pas le meilleur marqueur. C’était (Gabriele) Vianello avec 18 points. J’ai vu ce premier match avec Bradley à la World Wide Sport quand j’étais à Fairfield University. C’était en différé. A l’époque, ce sont les jets qui emmenaient les bobines de film d’un côté à l’autre de l’Atlantique. Nous avions un salon et nous étions deux à regarder ce match, mon camarade de chambre et moi. Je me suis dit « cette équipe, ce n’est pas seulement Bradley ». A Milan, il y avait une villa avec des bureaux au premier étage, des chambres pour les jeunes joueurs au deuxième étage, et moi j’avais mon appartement à même pas 100m. Je prenais tous mes repas là, il y avait une cuisinière extraordinaire. Dans les escaliers, il y avait des photos de Bill Bradley et Skip Thoren. Donc je les voyais deux fois par jour en montant et en descendant. »\n\n« J’ai joué à Belgrade contre l’Etoile Rouge avec Milan. Nous étions les plus forts et eux les deuxièmes (NDLR: en Coupe des Coupes). Nous avions gagné à Milan de 24 points. On pouvait donc perdre de 23 au retour. Ils ont commencé le match avec deux joueurs normaux du cinq et trois autres qui sont rentrés pour nous bastonner. Malgré ça, nous avions deux points d’avance à la mi-temps donc ça faisait 26 points d’écart. En principe, c’est fait. Nous, on a un dicton qui dit « on ne compte jamais les poussins avant qu’ils sortent de l’œuf ». Ils ont continué à bastonner et les arbitres n’étaient pas issus de pays avec de grandes équipes, ils n’étaient pas bons, ils ont mangé le sifflet. Nous étions arrivés à -10, ce qui faisait encore 14 points d’écart. Il y a eu une petite bagarre sous un panier entre (Renzo) Bariviera et Lazarevic. Près de cinquante ans plus tard, je me rappelle encore de son nom, Lazarevic. L’entraîneur de Belgrade a demandé un changement et l’a fait asseoir à côté de lui. Le ballon est sorti juste à côté du banc de Belgrade. Bariviera est allé faire la touche et Lazarevic, qui était en dehors du jeu, lui a donné un coup de poing. Scandale. Notre coach (Cesare) Rubini a couru vers la table pour aller protester. Moka Slavnic, qui est au Hall of Fame FIBA, grand joueur, a couru derrière Rubini et lui a donné un coup de pied dans les fesses. Un coup en traitre. J’ai vu ça. On ne pouvait pas toucher à Rubini ! Je suis devenu fou. Toute la salle est venue sur le terrain, c’était comme la Mer Rouge. Tout le monde voulait me donner des coups, je ne pouvais même pas bouger. Il y avait un gendarme de Belgrade qui n’avait pas les manières d’un gendarme français et il a voulu me donner un coup avec une matraque. Je lui ai répondu d’un seul coup à gauche et… je lui ai cassé le nez. La bagarre a continué de partout pendant cinq minutes. Je suis retourné sur le banc du Simmental et un gendarme est venu par derrière pour me donner un coup de matraque. Je l’ai vu et il ne m’a pas donné un coup sur la tête mais sur l’épaule. Et après, il s’est échappé… Je lui ai crié : « viens ici ! viens ici ! ». Je suis devenu le héros du peuple car personne ne pouvait ne serait-ce qu’engueuler un flic et certainement pas donner un coup de poing. « Kenney, il a fait ce qu’on n’aimerait faire ! » (rires) La police a porté plainte contre moi et je ne pouvais pas revenir à Belgrade ou peut-être en Yougoslavie… (NDLR : il nous a recontacté plus tard pour préciser: En fait, j’y suis retourné pour un tournoi de pré-saison à Belgrade avec l’Ignis de Varèse, Zadar et l’Etoile Rouge…) Nous avons battu le Fides de Naples en demi-finale et la finale contre l’Etoile Rouge s’est déroulée à Salonique sur terrain neutre. Je me suis retrouvé sur la ligne des coups-francs avec le ballon. J’ai tiré très fort comme à la salle Gouloumès et le ballon est rentré après avoir heurté le plexiglass. J’ai fait un smash à la fin et nous avons gagné de cinq points, je crois (NDLR : en fait, 74-70). J’étais le meilleur marqueur avec 23 points. J’avais été aussi le meilleur marqueur de la finale précédente lors du match retour contre le Spartak Leningrad. Lors de ce match-là, j’ai joué contre Alexandre Belov, un sauteur incroyable. Une fois, je suis allé pour smasher mais il m’a contré. Je n’étais pas intimidé car j’ai joué contre Jabbar ! Lorsque j’étais en deuxième année en high school, je faisais des un contre un avec lui ou des cinq contre cinq et j’étais habitué. Alors être contesté ou stoppé par Belov… Je suis allé reprendre le ballon et j’ai marqué le panier.\n\n« Avec Milan, j’ai marqué 1 014 points avec plus de 50% de réussite soit 14,3 points par match et 11,8 rebonds par match. J’étais aussi le dernier défenseur. Trois fois nous avons rencontré l’Ignis de Varèse et Dino Meneghin en finale. La première fois, nous avons perdu en finale à Rome, la deuxième saison nous avons gagné de cinq points. J’ai bien joué mais je suis sorti pour cinq fautes. Bariviera a été formidable à la fin. Et la troisième fois, nous étions en tête, je suis sorti pour cinq fautes et nous avons perdu. Avant le match, Bob Morse a fait de la propagande contre mon style de jeu… Avant de retourner au Mans, j’ai fait un dernier match avec mon équipe de Milan contre Varèse et il n’a rien fait contre moi. Grand shooteur mais il était trop lent ! »\n\nx\n\n[armelse]\n\n« J’avais un accord verbal avec M. Gasnal. Si on avait gagné la Coupe de France en 1970 contre la Jeanne d’Arc Vichy, je serais resté car on aurait fait la Coupe des Coupes, mais on a perdu de quatre points. C’est comme ça que je suis allé à Milan et j’ai fait un test contre Bob Lienhard. Ça s’est bien passé et lui n’était pas le bon joueur, alors ils l’ont envoyé à Cantu et c’était l’homme parfait pour eux alors que ça n’aurait pas été le cas pour moi. »\n\n« La première fois que j’ai vu Bill Bradley c’était pour un match sur terrain neutre à… Bologne. Bologne, terrain neutre ! (rires) C’était la finale de la Coupe des Champions contre les Tchèques du Slavia de Prague. Ils ont gagné de cinq points et Bradley n’était pas le meilleur marqueur. C’était (Gabriele) Vianello avec 18 points. J’ai vu ce premier match avec Bradley à la World Wide Sport quand j’étais à Fairfield University. C’était en différé. A l’époque, ce sont les jets qui emmenaient les bobines de film d’un côté à l’autre de l’Atlantique. Nous avions un salon et nous étions deux à regarder ce match, mon camarade de chambre et moi. Je me suis dit « cette équipe, ce n’est pas seulement Bradley ».\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture: avec Bill Bradley, star universitaire, champion d’Europe avec Milan, champion NBA avec les New York Knicks puis sénateur.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/10/art-and-dollar-bill-e1572445130180.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-08T15:00:59.000Z", "updated_at":"2019-11-09T06:26:31.000Z", "published_at":"2019-11-08T15:00:59.000Z", "custom_excerpt":"Au Simmenthal Milan, Arthur Kenney était connu comme le « Great Red » mais tout le monde l’appelait simplement Arturo… C’est d’ailleurs ainsi qu’il se nomme sur son adresse e-mail. Arturo était très apprécié de ses équipiers et des supporters italiens. 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Le nouveau classement est basé sur les résultats des matches allant des pré-qualifications régionales à la finale de la Coupe du monde, en passant par les Jeux olympiques et les Coupes continentales. Le classement précédent ne tenait compte que du classement final des tournois.
Les États-Unis conservent leur première place avec 835,6 points, l’Australie la deuxième avec 714,1 points, l’Espagne est au troisième rang avec 692,7 points, le Canada en quatrième position avec 641,9 points et la France est juste derrière avec 639,3 points.
Si la France est devancée par le Canada, c’est sans doute qu’elle a été battue 71-60 lors de leur dernière confrontation à la Coupe du monde 2018. Mais les Bleues avaient pris au final la 5e place et les Canadiennes la 7e et c’est bien ce classement-là qui importe.
Le ranking est disponible ici.
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Photo: Sandrine Gruda
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« C’était un très bon sentiment », déclare Nicolas De Jong au site de la BCL. « J’avais joué à Burgos il y a deux ans, en tant que joueur de Saragosse [lors de la saison 2017-18] et je savais que l’on pouvait s’attendre à une foule de 10 000 personnes. Je savais que ces fans étaient parmi les meilleurs en Espagne. Ce fut un grand moment pour moi et j’apprécie beaucoup le respect qu’ils m’ont témoigné, ainsi qu’à notre équipe, car ils ont reconnu que nous avions joué avec un grand coeur en deuxième mi-temps. »
Les 35 points de De Jong constituent un record cette saison en BCL. Pour obtenir ce total de points et 30 à l’évaluation, il n’a joué que 27 minutes et 9 secondes.
« Je suis fier d’être nommé MVP mais le plus important est que nous ayons remporté la victoire », a déclaré De Jong. « Il ya deux semaines, j’ai mis 31 points en championnat de France mais nous avons perdu dans une double prolongation [110-114 contre Boulogne-Levallois à domicile], et ce n’est pas du tout le même sentiment. Bien sûr, il est toujours agréable de passer une bonne soirée mais cela ne signifie pas la même chose si vous n’obtenez pas la victoire. J’espère que nous allons gagner davantage de matches maintenant, et j’espère bien sûr que je ferai d’autres matchs marquants. »
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L’entraîneur américain de 67 ans, qui a eu un entretien avec le président fédéral George Vassilakopoulos, a confirmé qu’il va prendre en mains la sélection héllène pour le tournoi préolympique de juin.
« C’est un grand honneur pour moi de prendre cette responsabilité. Je suis impatient de commencer. Je suis l’entraîneur pour le tournoi pré-olympique « , a t-il déclaré.
Rappelons que Rick Pitino a réalisé une brillante carrière dans le basket universitaire américain avec Kentucky (1989-1997) et Louisville (2001-2017), tout en travaillant également en NBA sur les bancs des New York Knicks (1987-1989) et des Boston Celtics (1997-2001). La saison dernière, il avait dirigé le Panathinaikos avec succès mais était retourné aux Etats-Unis pour des raisons familiales.
À son arrivée à Athènes, Rick Pitino avait déclaré qu’il était disposé à entraîner gratuitement l’équipe nationale grecque alors que les négociations avec la Fédération hellénique de basket-ball étaient sur le point d’aboutir.
Photo: Rik Pitino et George Vassilakopoulos
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« Alors que la procédure de rupture ouverte avec Laurent Pluvy est à présent terminée, le comité directeur du club a accordé sa confiance à Maxime Boire, qui a su guider l’équipe lors des trois derniers matchs. Il ne s’agit pas d’un choix par défaut : les dirigeants ont la conviction qu’il est l’homme de la situation. »
Photo: Chorale Roanne
", "comment_id":"483987", "plaintext":"Dans un communiqué, la Chorale de Roanne annonce qu’elle a décidé de prolonger le contrat de coach principal de Maxime Boire jusqu’à la fin de la présente saison et qu’il sera assisté par Jordan Bernard, tandis que Raphaël Gaume a la charge d’entraîneur de l’équipe Espoir.\n\n« Alors que la procédure de rupture ouverte avec Laurent Pluvy est à présent terminée, le comité directeur du club a accordé sa confiance à Maxime Boire, qui a su guider l’équipe lors des trois derniers matchs. Il ne s’agit pas d’un choix par défaut : les dirigeants ont la conviction qu’il est l’homme de la situation. »\n\nPhoto: Chorale Roanne", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/10/maxime-boire.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-08T10:22:38.000Z", "updated_at":"2019-11-08T10:24:09.000Z", "published_at":"2019-11-08T10:22:38.000Z", "custom_excerpt":"Dans un communiqué, la Chorale de Roanne annonce qu’elle a décidé de prolonger le contrat de coach principal de Maxime Boire jusqu’à la fin de la présente saison et qu’il sera assisté par Jordan Bernard, tandis que Raphaël Gaume a la charge d’entraîneur de l’équipe Espoir.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d95af", "uuid":"3aa2b9ee-4630-49df-958c-8e4331432238", "title":"Euroleague – ASVEL vs CSKA Moscou: plusieurs absents dans le camp russe", "slug":"euroleague-asvel-vs-cska-moscou-plusieurs-absents-dans-le-camp-russe", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Si l’ASVEL sera privée d’Antoine Diot (cuisse) et Adreian Payne (orteil) et peut-être encore de Théo Maledon, qui a reçu un coup à la mâchoire, le CSKA Moscou est lui aussi sérieusement handicapé pour la rencontre de ce soir à l’Astroballe puisque les arrières Daniel Hackett (1,93m, 32 ans) et Mikhail Kulagin (1,91m, 25 ans) et les ailiers Joel Bolomboy (2,04m, 25 ans) et Will Clyburn (2,00m, 29 ans) sont tous restés à Moscou. A l’inverse le pivot Kosta Koufos (2,13m, 30 ans) est bien de retour.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Malheureusement, nous avons des blessures, mais cela fait partie de notre vie. L’équipe s’entraîne sérieusement, nous savons que nous sommes confrontés à un adversaire ambitieux qui joue différemment à la maison et à l’extérieur. Ils ont déjà trois victoires à domicile – contre Baskonia, l’Olympiakos et le Panathinaikos-, ce qui les rend très dangereux. L’ASVEL joue un basket-ball agressif, nous devons être concentrés de la première à la 40e minute », prévient le coach Dimitris Itoudis.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La délégation moscovite a pris un charter Aeroflot pour se rendre à Lyon et c’est sa première visite à l’Astroballe depuis octobre 2002, année où l’ASVEL avait enregistré une victoire de 99-87.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Matches du passé:\"]]],[1,\"p\",[[0,[0,1],2,\"Victoires-défaites: 3-3\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"19 février 1970. Coupe d’Europe des champions. 1/4 de finale. Phase de groupes. CSKA – ASVEL: 109-70\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"26 février 1970. Coupe d’Europe des champions. 1/4 de finale. Phase de groupes. ASVEL – CSKA: 99-89 \"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"20 décembre 2000. Suproleague. Saison régulière. ASVEL – CSKA: 72-80 \"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"8 mars 2001. Suproleague. Saison régulière. CSKA – ASVEL: 83-91\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"31 octobre 2002. Euroleague. Saison régulière. ASVEL – CSKA: 99-87 \"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"15 janvier 2003. Euroleague. Saison régulière. CSKA – ASVEL: 85-65\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: Daniel Hackett (Euroleague)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Si l’ASVEL sera privée d’Antoine Diot (cuisse) et Adreian Payne (orteil) et peut-être encore de Théo Maledon, qui a reçu un coup à la mâchoire, le CSKA Moscou est lui aussi sérieusement handicapé pour la rencontre de ce soir à l’Astroballe puisque les arrières Daniel Hackett (1,93m, 32 ans) et Mikhail Kulagin (1,91m, 25 ans) et les ailiers Joel Bolomboy (2,04m, 25 ans) et Will Clyburn (2,00m, 29 ans) sont tous restés à Moscou. A l’inverse le pivot Kosta Koufos (2,13m, 30 ans) est bien de retour.
« Malheureusement, nous avons des blessures, mais cela fait partie de notre vie. L’équipe s’entraîne sérieusement, nous savons que nous sommes confrontés à un adversaire ambitieux qui joue différemment à la maison et à l’extérieur. Ils ont déjà trois victoires à domicile – contre Baskonia, l’Olympiakos et le Panathinaikos-, ce qui les rend très dangereux. L’ASVEL joue un basket-ball agressif, nous devons être concentrés de la première à la 40e minute », prévient le coach Dimitris Itoudis.
La délégation moscovite a pris un charter Aeroflot pour se rendre à Lyon et c’est sa première visite à l’Astroballe depuis octobre 2002, année où l’ASVEL avait enregistré une victoire de 99-87.
Matches du passé:
Victoires-défaites: 3-3
19 février 1970. Coupe d’Europe des champions. 1/4 de finale. Phase de groupes. CSKA – ASVEL: 109-70
26 février 1970. Coupe d’Europe des champions. 1/4 de finale. Phase de groupes. ASVEL – CSKA: 99-89
20 décembre 2000. Suproleague. Saison régulière. ASVEL – CSKA: 72-80
8 mars 2001. Suproleague. Saison régulière. CSKA – ASVEL: 83-91
31 octobre 2002. Euroleague. Saison régulière. ASVEL – CSKA: 99-87
15 janvier 2003. Euroleague. Saison régulière. CSKA – ASVEL: 85-65
Photo: Daniel Hackett (Euroleague)
", "comment_id":"483952", "plaintext":"Si l’ASVEL sera privée d’Antoine Diot (cuisse) et Adreian Payne (orteil) et peut-être encore de Théo Maledon, qui a reçu un coup à la mâchoire, le CSKA Moscou est lui aussi sérieusement handicapé pour la rencontre de ce soir à l’Astroballe puisque les arrières Daniel Hackett (1,93m, 32 ans) et Mikhail Kulagin (1,91m, 25 ans) et les ailiers Joel Bolomboy (2,04m, 25 ans) et Will Clyburn (2,00m, 29 ans) sont tous restés à Moscou. A l’inverse le pivot Kosta Koufos (2,13m, 30 ans) est bien de retour.\n\n« Malheureusement, nous avons des blessures, mais cela fait partie de notre vie. L’équipe s’entraîne sérieusement, nous savons que nous sommes confrontés à un adversaire ambitieux qui joue différemment à la maison et à l’extérieur. Ils ont déjà trois victoires à domicile – contre Baskonia, l’Olympiakos et le Panathinaikos-, ce qui les rend très dangereux. L’ASVEL joue un basket-ball agressif, nous devons être concentrés de la première à la 40e minute », prévient le coach Dimitris Itoudis.\n\nLa délégation moscovite a pris un charter Aeroflot pour se rendre à Lyon et c’est sa première visite à l’Astroballe depuis octobre 2002, année où l’ASVEL avait enregistré une victoire de 99-87.\n\nMatches du passé:\n\nVictoires-défaites: 3-3\n\n19 février 1970. Coupe d’Europe des champions. 1/4 de finale. Phase de groupes. CSKA – ASVEL: 109-70\n26 février 1970. Coupe d’Europe des champions. 1/4 de finale. Phase de groupes. ASVEL – CSKA: 99-89\n20 décembre 2000. Suproleague. Saison régulière. ASVEL – CSKA: 72-80\n8 mars 2001. Suproleague. Saison régulière. CSKA – ASVEL: 83-91\n31 octobre 2002. Euroleague. Saison régulière. ASVEL – CSKA: 99-87\n15 janvier 2003. Euroleague. Saison régulière. CSKA – ASVEL: 85-65\n\nPhoto: Daniel Hackett (Euroleague)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/daniel-hackett.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-08T08:39:28.000Z", "updated_at":"2019-11-08T08:41:18.000Z", "published_at":"2019-11-08T08:39:28.000Z", "custom_excerpt":"Si l’ASVEL sera privée d’Antoine Diot (cuisse) et Adreian Payne (orteil) et peut-être encore de Théo Maledon, qui a reçu un coup à la mâchoire, le CSKA Moscou est lui aussi sérieusement handicapé pour la rencontre de ce soir à l’Astroballe puisque les arrières Daniel Hackett (1,93m, 32 ans) et Mikha", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d95b0", "uuid":"2a9a4702-ef4b-4d08-bd35-7f10ea7dfcbd", "title":"20 ans d’Euros de jeunes : les U16 (1e partie), la France en dauphine de l’Espagne", "slug":"20-ans-deuros-de-jeunes-les-u16-1e-partie-la-france-en-dauphine-de-lespagne", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/espagne-2019.jpg\",\"width\":500,\"height\":334,\"caption\":\"Espagne 2019 – Photo : Fiba Europe\"}],[\"html\",{\"html\":\"| \\n \\n | \\n Or\\n | \\n Argent\\n | \\n Bronze\\n |
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| \\n Monténégro\\n | \\n 0\\n | \\n 1\\n | \\n 0\\n |
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| \\n Grèce\\n | \\n 0\\n | \\n 0\\n | \\n 1\\n |
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| \\n Allemagne\\n | \\n 0\\n | \\n 0\\n | \\n 0\\n |
| \\n Israél\\n | \\n 0\\n | \\n 0\\n | \\n 0\\n |
| \\n Slovénie\\n | \\n 0\\n | \\n 0\\n | \\n 0\\n |
| \\n *\\n Jusqu’en 2003, la Serbie évoluait sous le nom de Yougoslavie, puis de\\n Serbie-Monténégro jusqu’en 2006\\n | \\n \\n | \\n \\n | \\n \\n |
| \\n 1\\n | \\n Espagne\\n | \\n 3,33\\n |
| \\n 2\\n | \\n France\\n | \\n 3,94\\n |
| \\n 3\\n | \\n Turquie\\n | \\n 4,28\\n |
| \\n 4\\n | \\n Serbie\\n | \\n 5,06\\n |
| \\n 5\\n | \\n Lituanie\\n | \\n 6,11\\n |
| \\n 6\\n | \\n Croatie\\n | \\n 7,11\\n |
| \\n 7\\n | \\n Italie\\n | \\n 7,83\\n |
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| \\n 9\\n | \\n Grèce\\n | \\n 9,83\\n |
| \\n 10\\n | \\n Lettonie\\n | \\n 10,39\\n |
| \\n 11\\n | \\n Allemagne\\n | \\n 13,06\\n |
| \\n 12\\n | \\n Israél\\n | \\n 13,5\\n |
| \\n 13\\n | \\n Monténégro\\n | \\n 13,75\\n |
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Photo d’ouverture : FIBA Europe
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Demain, une analyse par joueurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les championnats d’Europe des moins de 16 ans (les Euros U16) ont cette particularité qu’ils concernent des joueurs pas encore « finis », que ce soit au plan physique, technique ou psychologique. Ce qui fait que, si certains des joueurs qui s’y sont illustrés sont devenus de grandes stars (on pense à Rudy Fernandez, Ricky Rubio, Jonas Valenciunas ou Evan Fournier et Antoine Diot pour la France), d’autres qui ont été sélectionnés dans le cinq majeur de telle ou telle édition n’ont jamais confirmé à l’âge adulte, abandonnant même parfois le basket avant d’être devenus des professionnels confirmés.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cela étant, les résultats aux U16 donnent une bonne indication sur les capacités de détection et de formation d’un pays, tout en mettant en valeur des « prodiges », ces joueurs capables de s’exprimer à ce niveau, voire de dominer, tout en étant âgés de 14 ou 15 ans, comme ce fut le cas de l’Espagnol Usman Garuba (MVP de l’Euro 2016 à 14 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Plusieurs méthodes peuvent être prises en compte pour déterminer un classement des nations présentes de manière régulière lors de ces Euros U16. La plus évidente consiste à dresser le tableau des médailles (or, argent, bronze) obtenues par ces divers pays. Mais elle peut se révéler restrictive, en ce sens qu’elle peut distinguer une contrée qui a bénéficié d’une génération dorée tout en se retrouvant en fond de classement, voire non-qualfiée pour certaines éditions, le reste du temps. C’est pourquoi nous avons également établi une hiérarchie prenant en compte tous les résultats de chaque pays sur les dix-huit éditions de l’Euro ayant eu lieu depuis 2000 (en fait, depuis 2001 pour les U16, qui ont également joué en 2003 alors que les catégories plus âgées, U18 et U20, s’affrontaient en 2000 et 2002). Et l’on verra que ces deux méthodes de hiérarchisation amènent quelques nuances dans le classement, même si les « têtes d’affiche » restent sensiblement les mêmes.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Par ailleurs, celui qui est habitué à suivre ces compétitions de jeunes pourra s’étonner de ne pas trouver dans notre classement la Bosnie-Herzégovine (championne d’Europe U16 en 2015) ou la République Tchèque (2\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" en 2008 et 2011), mais ces deux pays n’ont participé qu’à, respectivement, quatre et cinq éditions d’un Euro U16 sur ces vingt dernières années, ce qui rend leur présence au plus haut niveau trop ponctuelle (même si parfois brillante) pour être prise en compte. Ce sont donc les 14 pays les plus fréquemment présents lors de ces Euros U16 qui figurent dans notre classsement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour commencer, voici le tableau des médailles :\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En termes de médailles, six pays se distinguent donc par leur permanence au plus haut niveau : l’Espagne, la France, la Serbie (et avant elle la Yougoslavie puis la Serbie-Monténégro), la Croatie, la Turquie et la Lituanie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En prenant en compte l’ensemble des résultats obtenus par ces pays lors de ces dix-huit éditions de l’Euro U16 (le calcul s’établit simplement en additionnant les places puis en divisant le total par 18 – chaque non-participation d’un pays étant « sanctionnée » par un 20), le classement est le suivant :\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Où l’on s’aperçoit que si l’Espagne et la France restent en haut du classement, la Turquie et la Lituanie gagnent des places face à, respectivement, la Serbie et la Croatie par le biais d’une plus grande régularité en haut du classement.\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Par pays\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"1\"],[0,[1],1,\"er\"],[0,[],1,\" : Espagne\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En dix-huit éditions de l’Euro U16, l’Espagne a récolté 11 médailles et n’a jamais fini au-delà de la 7\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\"place (en 2004, 2012 et 2017). Autrement dit, elle a toujours figuré en quarts-de-finale et 14 fois en demi-finales ! Une impressionnante permanence au plus haut niveau qui souligne la capacité de l’Espagne à renouveler ses générations de jeunes joueurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"2\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : France\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme l’Espagne, la France a pour plus mauvais classsement à un Euro U16 depuis 2001 une place de 7\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\"(en 2009). Mais, outre le fait qu’elle n’est montée « que » six fois sur le podium, notre équipe nationale U16 n’a atteint que neuf fois le stade des demi-finales (trois places de 4\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\"). Mais, globalement, les résultats des Bleuets sont plus que satisfaisants.\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"3\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Turquie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Toujours dans les huit premiers, onze fois présents au stade des demi-finales (4\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" en 2007 et 2014), les jeunes Turcs se placent haut la main sur le podium des nations les plus fortes lors d’Euros U16.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"4\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Serbie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Que ce soit sous le nom de Yougoslavie, de Serbie-Monténégro ou de Serbie, le pays des Balkans fait partie des meilleurs pays en matière de formation, cela n’est une surprise pour personne. Du fait de son histoire mouvementée, il n’est plus aussi rayonnant qu’à la grande époque (au siècle dernier) et son dernier titre remonte à 2007, année qui l’a également vu l’emporter aux Euros U18 et U20 ! Et cela se traduit par une certaine irrégularité dans les résultats, avec des places de 9\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\"ou 10\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" (2004, 2005, 2011, 2016) peu en rapport avec le standing de l’école « yougoslave ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"5\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Lituanie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le plus grand des pays baltes fait, tout comme la Serbie, figure de modèle lorsque l’on parle de formation de jeunes. Et l’incroyable réservoir d’un si petit pays (qui ne compte que 2,8 millions de ressortissants) semble toujours sans fin. Certes, les générations ne sont pas toutes de même niveau (les U16 lituaniens ont terminé cinq fois entre la 10\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" et la 13\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" place). Mais le pays a tout de même remporté six médailles et toujours figuré dans les 16 meilleures équipes européennes de cette classe d’âge.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"6\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Croatie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Outre ses trois titres, la Croatie a figuré trois fois en demi-finales, ne ratant que quatre fois le stade des quarts-de-finale, sans compter une non-participation en 2003 (relégué après une 12\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" place en 2001). La Croatie produit toujours des joueurs de grand talent (Dario Saric ou Mario Hezonja, MVP des Euro U16 2010 et 2011, notamment). Mais le réservoir n’est peut-être plus aussi important, d’où un manque de constance dans les résultats.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"7\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Italie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’Italie a remporté cette année sa première médaille en U16 de ces vingt dernières années. Pour autant, le pays transalpin ne fait pas figure de nation « faible » : il a participé aux 18 éditions de l’Euro U16, atteint trois fois les demi-finales (pour une médaille de bronze) et neuf fois au total celui des quarts-de-finale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"8\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Russie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Longtemps au plus haut niveau dans les catégories de jeunes (ainsi qu’en A), la Russie décline avec le temps. La plus récente de ses quatre médailles remonte à 2006 et elle n’avait pas participé à deux des quatre dernières éditions de l’Euro U16. Lueur d’espoir : les cadets russes ont fini 4\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" de la dernière édition.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"9\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Grèce\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le pays hellène n’a jamais vraiment connu de grand succès dans la catégorie des U16, si l’on excepte sa médaille de bronze de 2013. Présente dans les huit premiers entre 2001 et 2004, elle a ensuite glissé vers le bas du classement, n’accrochant les quarts-de-finale (7\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\") qu’en 2007 avant de connaître une traversée du désert (hormis 2013) qui s’est terminée par une relégation dans le groupe B en 2016. Un électrochoc semble-t-il salutaire : les jeunes Grecs ont terminé 6\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" lors des deux derniers Euro U16.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"10\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Lettonie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« L’autre » pays balte tient son rang dans le concert des nations à l’Euro U16. Sur les dix-huit dernières éditions, il n’a été absent qu’une fois (en 2003), a remporté une médaille d’argent en 2014 et a figuré cinq fois au total dans les huit premiers. Pas mal pour un pays de moins de deux millions d’habitants !\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"11\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Allemagne\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Entre 2001 et 2008, l’Allemagne n’a participé que deux fois à l’Euro U16 groupe A, en 2004 et 2006, avec à chaque fois une relégation en groupe B à la clé. Depuis, petit à petit, les résultats s’améliorent, même si les trois dernières éditions ont vu le pays être éliminé avant les quarts-de-finale. Le meilleur résultat obtenu est une 5\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\"place en 2012. L’Allemagne a commencé tardivement à s’intéresser à la formation de ses jeunes…\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"12\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Israël\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On le verra par ailleurs, Israël est capable d’obtenir d’excellents résultats dans les Euros de jeunes. Mais, en U16, le pays souffre de son faible réservoir. Entre 2011 et 2016, il n’a participé qu’à un seul Euro du groupe A, conclu par une relégation. Et il n’a atteint qu’une seule fois le stade des quarts-de-finale (7\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\"), en 2006.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"13\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Monténégro\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Indépendant depuis 2006, le Monténégro et ses 660 000 habitants ont pourtant réussi à s’installer dans l’élite U16 depuis 2009, date de leur première participation à un Euro du groupe A. Depuis, il a certes été absent trois fois d’une édition de ce championnat d’Europe, mais a tout de même obtenu une médaille d’argent et deux places de 8\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" (2010 et 2016).\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],0,\"14\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],1,\" : Slovénie\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"S’il connaît de belles réussites dans des générations plus âgées, le petit pays indépendant depuis 1991 souffre dans la catégorie des U16. Il n’a participé qu’à la moitié des dix-huit dernières éditions de l’Euro U16, avec comme meilleur résultat une 6\"],[0,[1],1,\"e\"],[0,[],0,\" place en 2003.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les championnats d’Europe des moins de 16 ans (les Euros U16) ont cette particularité qu’ils concernent des joueurs pas encore « finis », que ce soit au plan physique, technique ou psychologique. 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Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Dans cette première partie (les autres suivront dans les jours à venir), nous nous intéresserons aux Euros U16, réservés aux moins de 16 ans. Avec en premier lieu une analyse par pays. Demain, une analyse par joueurs.
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Les championnats d’Europe des moins de 16 ans (les Euros U16) ont cette particularité qu’ils concernent des joueurs pas encore « finis », que ce soit au plan physique, technique ou psychologique. Ce qui fait que, si certains des joueurs qui s’y sont illustrés sont devenus de grandes stars (on pense à Rudy Fernandez, Ricky Rubio, Jonas Valenciunas ou Evan Fournier et Antoine Diot pour la France), d’autres qui ont été sélectionnés dans le cinq majeur de telle ou telle édition n’ont jamais confirmé à l’âge adulte, abandonnant même parfois le basket avant d’être devenus des professionnels confirmés.
Cela étant, les résultats aux U16 donnent une bonne indication sur les capacités de détection et de formation d’un pays, tout en mettant en valeur des « prodiges », ces joueurs capables de s’exprimer à ce niveau, voire de dominer, tout en étant âgés de 14 ou 15 ans, comme ce fut le cas de l’Espagnol Usman Garuba (MVP de l’Euro 2016 à 14 ans).
Plusieurs méthodes peuvent être prises en compte pour déterminer un classement des nations présentes de manière régulière lors de ces Euros U16. La plus évidente consiste à dresser le tableau des médailles (or, argent, bronze) obtenues par ces divers pays. Mais elle peut se révéler restrictive, en ce sens qu’elle peut distinguer une contrée qui a bénéficié d’une génération dorée tout en se retrouvant en fond de classement, voire non-qualfiée pour certaines éditions, le reste du temps. C’est pourquoi nous avons également établi une hiérarchie prenant en compte tous les résultats de chaque pays sur les dix-huit éditions de l’Euro ayant eu lieu depuis 2000 (en fait, depuis 2001 pour les U16, qui ont également joué en 2003 alors que les catégories plus âgées, U18 et U20, s’affrontaient en 2000 et 2002). Et l’on verra que ces deux méthodes de hiérarchisation amènent quelques nuances dans le classement, même si les « têtes d’affiche » restent sensiblement les mêmes.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/espagne-2019.jpg\")
Par ailleurs, celui qui est habitué à suivre ces compétitions de jeunes pourra s’étonner de ne pas trouver dans notre classement la Bosnie-Herzégovine (championne d’Europe U16 en 2015) ou la République Tchèque (2e en 2008 et 2011), mais ces deux pays n’ont participé qu’à, respectivement, quatre et cinq éditions d’un Euro U16 sur ces vingt dernières années, ce qui rend leur présence au plus haut niveau trop ponctuelle (même si parfois brillante) pour être prise en compte. Ce sont donc les 14 pays les plus fréquemment présents lors de ces Euros U16 qui figurent dans notre classsement.
Pour commencer, voici le tableau des médailles :
| \n \n | \n Or\n | \n Argent\n | \n Bronze\n |
| \n Espagne\n | \n 5\n | \n 2\n | \n 4\n |
| \n France\n | \n 3\n | \n 3\n | \n 0\n |
| \n Serbie*\n | \n 3\n | \n 1\n | \n 4\n |
| \n Croatie\n | \n 3\n | \n 0\n | \n 0\n |
| \n Turquie\n | \n 2\n | \n 1\n | \n 6\n |
| \n Lituanie\n | \n 1\n | \n 4\n | \n 1\n |
| \n Russie\n | \n 0\n | \n 3\n | \n 1\n |
| \n Monténégro\n | \n 0\n | \n 1\n | \n 0\n |
| \n Lettonie\n | \n 0\n | \n 1\n | \n 0\n |
| \n Grèce\n | \n 0\n | \n 0\n | \n 1\n |
| \n Italie\n | \n 0\n | \n 0\n | \n 1\n |
| \n Allemagne\n | \n 0\n | \n 0\n | \n 0\n |
| \n Israél\n | \n 0\n | \n 0\n | \n 0\n |
| \n Slovénie\n | \n 0\n | \n 0\n | \n 0\n |
| \n *\n Jusqu’en 2003, la Serbie évoluait sous le nom de Yougoslavie, puis de\n Serbie-Monténégro jusqu’en 2006\n | \n \n | \n \n | \n \n |
En termes de médailles, six pays se distinguent donc par leur permanence au plus haut niveau : l’Espagne, la France, la Serbie (et avant elle la Yougoslavie puis la Serbie-Monténégro), la Croatie, la Turquie et la Lituanie.
En prenant en compte l’ensemble des résultats obtenus par ces pays lors de ces dix-huit éditions de l’Euro U16 (le calcul s’établit simplement en additionnant les places puis en divisant le total par 18 – chaque non-participation d’un pays étant « sanctionnée » par un 20), le classement est le suivant :
| \n 1\n | \n Espagne\n | \n 3,33\n |
| \n 2\n | \n France\n | \n 3,94\n |
| \n 3\n | \n Turquie\n | \n 4,28\n |
| \n 4\n | \n Serbie\n | \n 5,06\n |
| \n 5\n | \n Lituanie\n | \n 6,11\n |
| \n 6\n | \n Croatie\n | \n 7,11\n |
| \n 7\n | \n Italie\n | \n 7,83\n |
| \n 8\n | \n Russie\n | \n 9,22\n |
| \n 9\n | \n Grèce\n | \n 9,83\n |
| \n 10\n | \n Lettonie\n | \n 10,39\n |
| \n 11\n | \n Allemagne\n | \n 13,06\n |
| \n 12\n | \n Israél\n | \n 13,5\n |
| \n 13\n | \n Monténégro\n | \n 13,75\n |
| \n 14\n | \n Slovénie\n | \n 14,5\n |
Où l’on s’aperçoit que si l’Espagne et la France restent en haut du classement, la Turquie et la Lituanie gagnent des places face à, respectivement, la Serbie et la Croatie par le biais d’une plus grande régularité en haut du classement.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/esp-fr-19.jpg\")
Par pays
1er : Espagne
En dix-huit éditions de l’Euro U16, l’Espagne a récolté 11 médailles et n’a jamais fini au-delà de la 7eplace (en 2004, 2012 et 2017). Autrement dit, elle a toujours figuré en quarts-de-finale et 14 fois en demi-finales ! Une impressionnante permanence au plus haut niveau qui souligne la capacité de l’Espagne à renouveler ses générations de jeunes joueurs.
2e : France
Comme l’Espagne, la France a pour plus mauvais classsement à un Euro U16 depuis 2001 une place de 7e(en 2009). Mais, outre le fait qu’elle n’est montée « que » six fois sur le podium, notre équipe nationale U16 n’a atteint que neuf fois le stade des demi-finales (trois places de 4e). Mais, globalement, les résultats des Bleuets sont plus que satisfaisants.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/mokoka-ahmet-duran-turquie-2014.jpg\")
3e : Turquie
Toujours dans les huit premiers, onze fois présents au stade des demi-finales (4e en 2007 et 2014), les jeunes Turcs se placent haut la main sur le podium des nations les plus fortes lors d’Euros U16.
4e : Serbie
Que ce soit sous le nom de Yougoslavie, de Serbie-Monténégro ou de Serbie, le pays des Balkans fait partie des meilleurs pays en matière de formation, cela n’est une surprise pour personne. Du fait de son histoire mouvementée, il n’est plus aussi rayonnant qu’à la grande époque (au siècle dernier) et son dernier titre remonte à 2007, année qui l’a également vu l’emporter aux Euros U18 et U20 ! Et cela se traduit par une certaine irrégularité dans les résultats, avec des places de 9eou 10e (2004, 2005, 2011, 2016) peu en rapport avec le standing de l’école « yougoslave ».
5e : Lituanie
Le plus grand des pays baltes fait, tout comme la Serbie, figure de modèle lorsque l’on parle de formation de jeunes. Et l’incroyable réservoir d’un si petit pays (qui ne compte que 2,8 millions de ressortissants) semble toujours sans fin. Certes, les générations ne sont pas toutes de même niveau (les U16 lituaniens ont terminé cinq fois entre la 10e et la 13e place). Mais le pays a tout de même remporté six médailles et toujours figuré dans les 16 meilleures équipes européennes de cette classe d’âge.
6e : Croatie
Outre ses trois titres, la Croatie a figuré trois fois en demi-finales, ne ratant que quatre fois le stade des quarts-de-finale, sans compter une non-participation en 2003 (relégué après une 12e place en 2001). La Croatie produit toujours des joueurs de grand talent (Dario Saric ou Mario Hezonja, MVP des Euro U16 2010 et 2011, notamment). Mais le réservoir n’est peut-être plus aussi important, d’où un manque de constance dans les résultats.
7e : Italie
L’Italie a remporté cette année sa première médaille en U16 de ces vingt dernières années. Pour autant, le pays transalpin ne fait pas figure de nation « faible » : il a participé aux 18 éditions de l’Euro U16, atteint trois fois les demi-finales (pour une médaille de bronze) et neuf fois au total celui des quarts-de-finale.
8e : Russie
Longtemps au plus haut niveau dans les catégories de jeunes (ainsi qu’en A), la Russie décline avec le temps. La plus récente de ses quatre médailles remonte à 2006 et elle n’avait pas participé à deux des quatre dernières éditions de l’Euro U16. Lueur d’espoir : les cadets russes ont fini 4e de la dernière édition.
9e : Grèce
Le pays hellène n’a jamais vraiment connu de grand succès dans la catégorie des U16, si l’on excepte sa médaille de bronze de 2013. Présente dans les huit premiers entre 2001 et 2004, elle a ensuite glissé vers le bas du classement, n’accrochant les quarts-de-finale (7e) qu’en 2007 avant de connaître une traversée du désert (hormis 2013) qui s’est terminée par une relégation dans le groupe B en 2016. Un électrochoc semble-t-il salutaire : les jeunes Grecs ont terminé 6e lors des deux derniers Euro U16.
10e : Lettonie
« L’autre » pays balte tient son rang dans le concert des nations à l’Euro U16. Sur les dix-huit dernières éditions, il n’a été absent qu’une fois (en 2003), a remporté une médaille d’argent en 2014 et a figuré cinq fois au total dans les huit premiers. Pas mal pour un pays de moins de deux millions d’habitants !
11e : Allemagne
Entre 2001 et 2008, l’Allemagne n’a participé que deux fois à l’Euro U16 groupe A, en 2004 et 2006, avec à chaque fois une relégation en groupe B à la clé. Depuis, petit à petit, les résultats s’améliorent, même si les trois dernières éditions ont vu le pays être éliminé avant les quarts-de-finale. Le meilleur résultat obtenu est une 5eplace en 2012. L’Allemagne a commencé tardivement à s’intéresser à la formation de ses jeunes…
12e : Israël
On le verra par ailleurs, Israël est capable d’obtenir d’excellents résultats dans les Euros de jeunes. Mais, en U16, le pays souffre de son faible réservoir. Entre 2011 et 2016, il n’a participé qu’à un seul Euro du groupe A, conclu par une relégation. Et il n’a atteint qu’une seule fois le stade des quarts-de-finale (7e), en 2006.
13e : Monténégro
Indépendant depuis 2006, le Monténégro et ses 660 000 habitants ont pourtant réussi à s’installer dans l’élite U16 depuis 2009, date de leur première participation à un Euro du groupe A. Depuis, il a certes été absent trois fois d’une édition de ce championnat d’Europe, mais a tout de même obtenu une médaille d’argent et deux places de 8e (2010 et 2016).
14e : Slovénie
S’il connaît de belles réussites dans des générations plus âgées, le petit pays indépendant depuis 1991 souffre dans la catégorie des U16. Il n’a participé qu’à la moitié des dix-huit dernières éditions de l’Euro U16, avec comme meilleur résultat une 6e place en 2003.
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[armelse]
Les championnats d’Europe des moins de 16 ans (les Euros U16) ont cette particularité qu’ils concernent des joueurs pas encore « finis », que ce soit au plan physique, technique ou psychologique. Ce qui fait que, si certains des joueurs qui s’y sont illustrés sont devenus de grandes stars (on pense à Rudy Fernandez, Ricky Rubio, Jonas Valenciunas ou Evan Fournier et Antoine Diot pour la France), d’autres qui ont été sélectionnés dans le cinq majeur de telle ou telle édition n’ont jamais confirmé à l’âge adulte, abandonnant même parfois le basket avant d’être devenus des professionnels confirmés.
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Photo d’ouverture : FIBA Europe
", "comment_id":"483695", "plaintext":"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? Quel rang occupe la France dans ce concert des nations ? Ce sont les questions auxquelles nous nous sommes efforcés de répondre en dressant un bilan des championnats d’Europe de jeunes sur la période 2000-2019, autrement dit sur ces vingt dernières années, pour un total de 18 éditions (les Euros de jeunes n’ont lieu tous les ans que depuis 2004, ils se déroulaient auparavant sur un rythme bi-annuel). Dans cette première partie (les autres suivront dans les jours à venir), nous nous intéresserons aux Euros U16, réservés aux moins de 16 ans. Avec en premier lieu une analyse par pays. Demain, une analyse par joueurs.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLes championnats d’Europe des moins de 16 ans (les Euros U16) ont cette particularité qu’ils concernent des joueurs pas encore « finis », que ce soit au plan physique, technique ou psychologique. Ce qui fait que, si certains des joueurs qui s’y sont illustrés sont devenus de grandes stars (on pense à Rudy Fernandez, Ricky Rubio, Jonas Valenciunas ou Evan Fournier et Antoine Diot pour la France), d’autres qui ont été sélectionnés dans le cinq majeur de telle ou telle édition n’ont jamais confirmé à l’âge adulte, abandonnant même parfois le basket avant d’être devenus des professionnels confirmés.\n\nCela étant, les résultats aux U16 donnent une bonne indication sur les capacités de détection et de formation d’un pays, tout en mettant en valeur des « prodiges », ces joueurs capables de s’exprimer à ce niveau, voire de dominer, tout en étant âgés de 14 ou 15 ans, comme ce fut le cas de l’Espagnol Usman Garuba (MVP de l’Euro 2016 à 14 ans).\n\nPlusieurs méthodes peuvent être prises en compte pour déterminer un classement des nations présentes de manière régulière lors de ces Euros U16. La plus évidente consiste à dresser le tableau des médailles (or, argent, bronze) obtenues par ces divers pays. Mais elle peut se révéler restrictive, en ce sens qu’elle peut distinguer une contrée qui a bénéficié d’une génération dorée tout en se retrouvant en fond de classement, voire non-qualfiée pour certaines éditions, le reste du temps. C’est pourquoi nous avons également établi une hiérarchie prenant en compte tous les résultats de chaque pays sur les dix-huit éditions de l’Euro ayant eu lieu depuis 2000 (en fait, depuis 2001 pour les U16, qui ont également joué en 2003 alors que les catégories plus âgées, U18 et U20, s’affrontaient en 2000 et 2002). Et l’on verra que ces deux méthodes de hiérarchisation amènent quelques nuances dans le classement, même si les « têtes d’affiche » restent sensiblement les mêmes.\n\nPar ailleurs, celui qui est habitué à suivre ces compétitions de jeunes pourra s’étonner de ne pas trouver dans notre classement la Bosnie-Herzégovine (championne d’Europe U16 en 2015) ou la République Tchèque (2e en 2008 et 2011), mais ces deux pays n’ont participé qu’à, respectivement, quatre et cinq éditions d’un Euro U16 sur ces vingt dernières années, ce qui rend leur présence au plus haut niveau trop ponctuelle (même si parfois brillante) pour être prise en compte. Ce sont donc les 14 pays les plus fréquemment présents lors de ces Euros U16 qui figurent dans notre classsement.\n\nPour commencer, voici le tableau des médailles :\n\n\n \n\nOr\n\nArgent\n\nBronze\n\nEspagne\n\n5\n\n2\n\n4\n\nFrance\n\n3\n\n3\n\n0\n\nSerbie*\n\n3\n\n1\n\n4\n\nCroatie\n\n3\n\n0\n\n0\n\nTurquie\n\n2\n\n1\n\n6\n\nLituanie\n\n1\n\n4\n\n1\n\nRussie\n\n0\n\n3\n\n1\n\nMonténégro\n\n0\n\n1\n\n0\n\nLettonie\n\n0\n\n1\n\n0\n\nGrèce\n\n0\n\n0\n\n1\n\nItalie\n\n0\n\n0\n\n1\n\nAllemagne\n\n0\n\n0\n\n0\n\nIsraél\n\n0\n\n0\n\n0\n\nSlovénie\n\n0\n\n0\n\n0\n\n*\nJusqu’en 2003, la Serbie évoluait sous le nom de Yougoslavie, puis de\nSerbie-Monténégro jusqu’en 2006\n\n \n\n \n\n \n\n\nEn termes de médailles, six pays se distinguent donc par leur permanence au plus haut niveau : l’Espagne, la France, la Serbie (et avant elle la Yougoslavie puis la Serbie-Monténégro), la Croatie, la Turquie et la Lituanie.\n\nEn prenant en compte l’ensemble des résultats obtenus par ces pays lors de ces dix-huit éditions de l’Euro U16 (le calcul s’établit simplement en additionnant les places puis en divisant le total par 18 – chaque non-participation d’un pays étant « sanctionnée » par un 20), le classement est le suivant :\n\n\n1\n\nEspagne\n\n3,33\n\n2\n\nFrance\n\n3,94\n\n3\n\nTurquie\n\n4,28\n\n4\n\nSerbie\n\n5,06\n\n5\n\nLituanie\n\n6,11\n\n6\n\nCroatie\n\n7,11\n\n7\n\nItalie\n\n7,83\n\n8\n\nRussie\n\n9,22\n\n9\n\nGrèce\n\n9,83\n\n10\n\nLettonie\n\n10,39\n\n11\n\nAllemagne\n\n13,06\n\n12\n\nIsraél\n\n13,5\n\n13\n\nMonténégro\n\n13,75\n\n14\n\nSlovénie\n\n14,5\n\n\nOù l’on s’aperçoit que si l’Espagne et la France restent en haut du classement, la Turquie et la Lituanie gagnent des places face à, respectivement, la Serbie et la Croatie par le biais d’une plus grande régularité en haut du classement.\n\nPar pays\n\n1er : Espagne\n\nEn dix-huit éditions de l’Euro U16, l’Espagne a récolté 11 médailles et n’a jamais fini au-delà de la 7eplace (en 2004, 2012 et 2017). Autrement dit, elle a toujours figuré en quarts-de-finale et 14 fois en demi-finales ! Une impressionnante permanence au plus haut niveau qui souligne la capacité de l’Espagne à renouveler ses générations de jeunes joueurs.\n\n2e : France\n\nComme l’Espagne, la France a pour plus mauvais classsement à un Euro U16 depuis 2001 une place de 7e(en 2009). Mais, outre le fait qu’elle n’est montée « que » six fois sur le podium, notre équipe nationale U16 n’a atteint que neuf fois le stade des demi-finales (trois places de 4e). Mais, globalement, les résultats des Bleuets sont plus que satisfaisants.\n\n3e : Turquie\n\nToujours dans les huit premiers, onze fois présents au stade des demi-finales (4e en 2007 et 2014), les jeunes Turcs se placent haut la main sur le podium des nations les plus fortes lors d’Euros U16.\n\n4e : Serbie\n\nQue ce soit sous le nom de Yougoslavie, de Serbie-Monténégro ou de Serbie, le pays des Balkans fait partie des meilleurs pays en matière de formation, cela n’est une surprise pour personne. Du fait de son histoire mouvementée, il n’est plus aussi rayonnant qu’à la grande époque (au siècle dernier) et son dernier titre remonte à 2007, année qui l’a également vu l’emporter aux Euros U18 et U20 ! Et cela se traduit par une certaine irrégularité dans les résultats, avec des places de 9eou 10e (2004, 2005, 2011, 2016) peu en rapport avec le standing de l’école « yougoslave ».\n\n5e : Lituanie\n\nLe plus grand des pays baltes fait, tout comme la Serbie, figure de modèle lorsque l’on parle de formation de jeunes. Et l’incroyable réservoir d’un si petit pays (qui ne compte que 2,8 millions de ressortissants) semble toujours sans fin. Certes, les générations ne sont pas toutes de même niveau (les U16 lituaniens ont terminé cinq fois entre la 10e et la 13e place). Mais le pays a tout de même remporté six médailles et toujours figuré dans les 16 meilleures équipes européennes de cette classe d’âge.\n\n6e : Croatie\n\nOutre ses trois titres, la Croatie a figuré trois fois en demi-finales, ne ratant que quatre fois le stade des quarts-de-finale, sans compter une non-participation en 2003 (relégué après une 12e place en 2001). La Croatie produit toujours des joueurs de grand talent (Dario Saric ou Mario Hezonja, MVP des Euro U16 2010 et 2011, notamment). Mais le réservoir n’est peut-être plus aussi important, d’où un manque de constance dans les résultats.\n\n7e : Italie\n\nL’Italie a remporté cette année sa première médaille en U16 de ces vingt dernières années. Pour autant, le pays transalpin ne fait pas figure de nation « faible » : il a participé aux 18 éditions de l’Euro U16, atteint trois fois les demi-finales (pour une médaille de bronze) et neuf fois au total celui des quarts-de-finale.\n\n8e : Russie\n\nLongtemps au plus haut niveau dans les catégories de jeunes (ainsi qu’en A), la Russie décline avec le temps. La plus récente de ses quatre médailles remonte à 2006 et elle n’avait pas participé à deux des quatre dernières éditions de l’Euro U16. Lueur d’espoir : les cadets russes ont fini 4e de la dernière édition.\n\n9e : Grèce\n\nLe pays hellène n’a jamais vraiment connu de grand succès dans la catégorie des U16, si l’on excepte sa médaille de bronze de 2013. Présente dans les huit premiers entre 2001 et 2004, elle a ensuite glissé vers le bas du classement, n’accrochant les quarts-de-finale (7e) qu’en 2007 avant de connaître une traversée du désert (hormis 2013) qui s’est terminée par une relégation dans le groupe B en 2016. Un électrochoc semble-t-il salutaire : les jeunes Grecs ont terminé 6e lors des deux derniers Euro U16.\n\n10e : Lettonie\n\n« L’autre » pays balte tient son rang dans le concert des nations à l’Euro U16. Sur les dix-huit dernières éditions, il n’a été absent qu’une fois (en 2003), a remporté une médaille d’argent en 2014 et a figuré cinq fois au total dans les huit premiers. Pas mal pour un pays de moins de deux millions d’habitants !\n\n11e : Allemagne\n\nEntre 2001 et 2008, l’Allemagne n’a participé que deux fois à l’Euro U16 groupe A, en 2004 et 2006, avec à chaque fois une relégation en groupe B à la clé. Depuis, petit à petit, les résultats s’améliorent, même si les trois dernières éditions ont vu le pays être éliminé avant les quarts-de-finale. Le meilleur résultat obtenu est une 5eplace en 2012. L’Allemagne a commencé tardivement à s’intéresser à la formation de ses jeunes…\n\n12e : Israël\n\nOn le verra par ailleurs, Israël est capable d’obtenir d’excellents résultats dans les Euros de jeunes. Mais, en U16, le pays souffre de son faible réservoir. Entre 2011 et 2016, il n’a participé qu’à un seul Euro du groupe A, conclu par une relégation. Et il n’a atteint qu’une seule fois le stade des quarts-de-finale (7e), en 2006.\n\n13e : Monténégro\n\nIndépendant depuis 2006, le Monténégro et ses 660 000 habitants ont pourtant réussi à s’installer dans l’élite U16 depuis 2009, date de leur première participation à un Euro du groupe A. Depuis, il a certes été absent trois fois d’une édition de ce championnat d’Europe, mais a tout de même obtenu une médaille d’argent et deux places de 8e (2010 et 2016).\n\n14e : Slovénie\n\nS’il connaît de belles réussites dans des générations plus âgées, le petit pays indépendant depuis 1991 souffre dans la catégorie des U16. Il n’a participé qu’à la moitié des dix-huit dernières éditions de l’Euro U16, avec comme meilleur résultat une 6e place en 2003.\n\nx\n\n[armelse]\n\nLes championnats d’Europe des moins de 16 ans (les Euros U16) ont cette particularité qu’ils concernent des joueurs pas encore « finis », que ce soit au plan physique, technique ou psychologique. Ce qui fait que, si certains des joueurs qui s’y sont illustrés sont devenus de grandes stars (on pense à Rudy Fernandez, Ricky Rubio, Jonas Valenciunas ou Evan Fournier et Antoine Diot pour la France), d’autres qui ont été sélectionnés dans le cinq majeur de telle ou telle édition n’ont jamais confirmé à l’âge adulte, abandonnant même parfois le basket avant d’être devenus des professionnels confirmés.\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : FIBA Europe", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/esp-fr-2-19.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-08T08:29:33.000Z", "updated_at":"2019-11-08T08:41:52.000Z", "published_at":"2019-11-08T08:29:33.000Z", "custom_excerpt":"Quels sont les meilleurs pays d’Europe en matière de formation ? 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« « Et bien, ma première réaction est de rire », a déclaré l’international espagnol du Barça. « Et la seconde est de dire qu’au Barça, joueurs et techniciens, fans ou managers, nous sommes très proches et plus enthousiastes que jamais. Qu’est-ce qui se passe? Nous avons bien commencé la saison, nous sommes où nous voulons être avec toutes les blessures que nous avons eues. Sur 13 matches officiels, nous en avons gagné 10, nous sommes à égalité (à la première place) en Euroleague, nous nous débrouillons bien dans la Ligue Endesa…. Il y a des gens avec beaucoup de méchanceté. Nous savons très bien qui ils sont. Ce qu’ils veulent, c’est briser l’équipe et la dynamique, c’est pourquoi ces choses-là sortent. Il y a de mauvaises personnes qui parleront toujours mal et nous verront avec des yeux négatifs. Ce que nous devons faire, c’est parler sur le terrain, et c’est ce que nous faisons. ”
Précisons que Marca, qui est le quotidien le plus vendu en Espagne, est édité à Madrid alors que Mundo Deportivo l’est à Barcelone. Rien n’est innocent…
Photo: Nikola Mirotic (Euroleague)
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Mike James a déjà joué pour plusieurs grands noms du basket européen (Vitoria, Panathinaikos, Milan) et aussi 36 matches en NBA. C’est un formidable scoreur auteur de 19,8 points en Euroleague la saison dernière, ce qui lui a valu le trophée Alphonso Ford de meilleur marqueur. Le nouveau coach milanais Ettore Messina a toutefois déclaré que l’Américain ne faisait pas partie de ses plans et c’est pourquoi celui-ci a conclu avec le club italien un accord à l’amiable pour être libéré de ses fonctions à venir. Il a changé de casaque mais pas de bonnes manières puisqu’il cartonne à 19,2 points en moyenne depuis le début de cet exercice avec un excellent 43,8% à trois-points, ce qui est au-dessus de ses standards.
Certains observateurs lui reprochent d’être faiblard de l’autre côté du terrain et les Izvestia lui ont donné la parole pour… se défendre.
« Pour être honnête, c’est amusant d’entendre ça. A Milan, je suis devenu un scoreur, une personne qui assume beaucoup de responsabilités en attaque. Et après la dernière saison, ils ont commencé à dire que j’étais faible en défense. Bien qu’à Baskonia, au Panathinaïkos et dans d’autres équipes européennes, j’ai toujours dû affronter les basketteurs les plus dangereux et parfois même défendre sur eux personnellement. Les entraîneurs m’ont donné un tel rôle car je peux défendre. Je vais même dire ceci: je suis bon en défense. Par conséquent, j’assume toutes les responsabilités et je suis prêt à accomplir à 100% la tâche que me donne Dimitris Itoudis (NDLR: le coach du CSKA).
James a été deux fois champion de Grèce, a gagné la Coupe de Grèce et la SuperCoupe d’Italie et il est venu à Moscou pour étoffer sa collection de trophées.
« Nous avons assemblé un effectif capable de lutter pour la victoire en Euroleague. J’aime vraiment ça et me donne la motivation pour être encore meilleur », dit-il ajoutant qu’il n’est pas venu pour gagner de nouveau celui de top scoreur. « Non, ça ne m’importe pas du tout. L’essentiel est la victoire de mon équipe. Et ça a toujours été. Je ne comprends pas vraiment les gens qui m’accusent d’égoïsme excessif. Si le partenaire est dans une meilleure position, je donnerai toujours le ballon ».
Mike James a en quelque sorte reçu les clés du camion qui jusque là était la propriété de Nando De Colo.
« Je n’ai pas peur des comparaisons avec De Colo. Au contraire, le remplacer est un grand challenge pour moi, un énorme défi. »
Rien ne fait peur à Mike James. Pas même l’hiver russe !
« Je suis venu plusieurs fois à Moscou avec mes équipes précédentes et j’ai vu votre hiver neigeux. Bien sûr, il est dur, mais je peux y faire face. J’ai déjà acheté moi-même des vêtements chauds et je suis prêt pour le gel ! »
Photo: Euroleague
", "comment_id":"483362", "plaintext":"Le combo guard américain Mike James (1,85m, 29 ans) est l’une des principales attractions du CSKA Moscou qui vendredi sera à l’Astroballe dans le cadre de l’Euroleague.\n\nMike James a déjà joué pour plusieurs grands noms du basket européen (Vitoria, Panathinaikos, Milan) et aussi 36 matches en NBA. C’est un formidable scoreur auteur de 19,8 points en Euroleague la saison dernière, ce qui lui a valu le trophée Alphonso Ford de meilleur marqueur. Le nouveau coach milanais Ettore Messina a toutefois déclaré que l’Américain ne faisait pas partie de ses plans et c’est pourquoi celui-ci a conclu avec le club italien un accord à l’amiable pour être libéré de ses fonctions à venir. Il a changé de casaque mais pas de bonnes manières puisqu’il cartonne à 19,2 points en moyenne depuis le début de cet exercice avec un excellent 43,8% à trois-points, ce qui est au-dessus de ses standards.\n\nCertains observateurs lui reprochent d’être faiblard de l’autre côté du terrain et les Izvestia lui ont donné la parole pour… se défendre.\n\n« Pour être honnête, c’est amusant d’entendre ça. A Milan, je suis devenu un scoreur, une personne qui assume beaucoup de responsabilités en attaque. Et après la dernière saison, ils ont commencé à dire que j’étais faible en défense. Bien qu’à Baskonia, au Panathinaïkos et dans d’autres équipes européennes, j’ai toujours dû affronter les basketteurs les plus dangereux et parfois même défendre sur eux personnellement. Les entraîneurs m’ont donné un tel rôle car je peux défendre. Je vais même dire ceci: je suis bon en défense. 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Donc il ne croyait plus au basket français, et plus en l’ASVEL. Je l’ai appelé tous les jours, je n’ai pas lâché l’affaire pour lui montrer que, nous, on est différent, qu’on n’est pas l’ancienne équipe, et que ce que disent les présidents de la Fédé et de la Ligue, on est différent, et qu’on veut vraiment y être. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour Tony Parker, le club de Boulogne-Levallois, actuellement co-leader de Jeep Elite avec l’ASVEL, et dont le président est désormais son ami, Boris Diaw, n’est pas un concurrent:\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je pense qu’ils sont très bien partis. (…) L’Euroleague ? Ils ont une chance, c’est Paris, on sait que c’est un marché que l’Euroleague veut. Ils vont avoir une nouvelle salle. En tout cas, je vais les aider pour, que la France ait un deuxième ticket (…) Je ne les vois pas comme des concurrents. Bien sûr, le championnat de France est super important. Mais j’ai toujours dit que j’investissais à l’ASVEL pour aller en Euroleague, pour que la France retrouve le haut niveau européen. Donc les Metropolitans 92 sont des alliés pour moi. J’ai envie qu’ils réussissent. Après, en championnat, bien sûr, on sera concurrent. Et si on joue l’un contre l’autre en play-offs, on ne sera plus amis pendant 40 minutes (rires). Ma mission, c’est d’aider le basket français et de le voir le plus haut possible. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et, surprise, il n’écarte pas la possibilité que son frère cadet, TJ, 35 ans, reprenne un jour le coaching de l’ASVEL après son expérience d’intérimaire entre JD Jackson et Zvezdan Mitrovic:\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je pense que TJ, c’est l’avenir. Il a appris beaucoup avec Pierre Vincent, JD (Jackson), et Mitrovic. Il est prêt aujourd’hui. Il a tout ce qu’il faut pour réussir. Il est tellement passionné, il aime tellement le basket, il vie, il dort dans la salle. Il adore ça. 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« Il était refroidi par le basket français par rapport à toutes les déclarations des présidents de la Fédé et de la Ligue, et aussi par l’ASVEL de l’ancienne équipe de direction, qui n’avait pas rempli les missions que l’Euroleague avait fixé. Donc il ne croyait plus au basket français, et plus en l’ASVEL. Je l’ai appelé tous les jours, je n’ai pas lâché l’affaire pour lui montrer que, nous, on est différent, qu’on n’est pas l’ancienne équipe, et que ce que disent les présidents de la Fédé et de la Ligue, on est différent, et qu’on veut vraiment y être. »
Pour Tony Parker, le club de Boulogne-Levallois, actuellement co-leader de Jeep Elite avec l’ASVEL, et dont le président est désormais son ami, Boris Diaw, n’est pas un concurrent:
« Je pense qu’ils sont très bien partis. (…) L’Euroleague ? Ils ont une chance, c’est Paris, on sait que c’est un marché que l’Euroleague veut. Ils vont avoir une nouvelle salle. En tout cas, je vais les aider pour, que la France ait un deuxième ticket (…) Je ne les vois pas comme des concurrents. Bien sûr, le championnat de France est super important. Mais j’ai toujours dit que j’investissais à l’ASVEL pour aller en Euroleague, pour que la France retrouve le haut niveau européen. Donc les Metropolitans 92 sont des alliés pour moi. J’ai envie qu’ils réussissent. Après, en championnat, bien sûr, on sera concurrent. Et si on joue l’un contre l’autre en play-offs, on ne sera plus amis pendant 40 minutes (rires). Ma mission, c’est d’aider le basket français et de le voir le plus haut possible. »
Et, surprise, il n’écarte pas la possibilité que son frère cadet, TJ, 35 ans, reprenne un jour le coaching de l’ASVEL après son expérience d’intérimaire entre JD Jackson et Zvezdan Mitrovic:
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J’ai envie qu’ils réussissent. Après, en championnat, bien sûr, on sera concurrent. Et si on joue l’un contre l’autre en play-offs, on ne sera plus amis pendant 40 minutes (rires). Ma mission, c’est d’aider le basket français et de le voir le plus haut possible. »\n\nEt, surprise, il n’écarte pas la possibilité que son frère cadet, TJ, 35 ans, reprenne un jour le coaching de l’ASVEL après son expérience d’intérimaire entre JD Jackson et Zvezdan Mitrovic:\n\n« Je pense que TJ, c’est l’avenir. Il a appris beaucoup avec Pierre Vincent, JD (Jackson), et Mitrovic. Il est prêt aujourd’hui. Il a tout ce qu’il faut pour réussir. Il est tellement passionné, il aime tellement le basket, il vie, il dort dans la salle. Il adore ça. Et coach, c’est un vrai métier, un métier de passion. Tu ne peux pas dire d’un seul coup « j’ai envie d’être coach » parce que tu as été joueur, impossible, ça ne veut rien dire. «Pop» le dit tout le temps. Et TJ a fait la bascule. 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Les Izvestia ont interrogé Stanislav Eremine, 68 ans, l’ancien meneur de jeu et capitaine de l’équipe d’URSS, ancien colonel de l’Armée Rouge, devenu président du conseil des entraîneurs de la Fédération russe de basket-ball et celui-ci porte un regard inquiet sur le basket de son pays.
A propos de la Super League, qui réunit 16 clubs qui ne participent pas à la VTB League, il déclare:
« Le nombre d’étrangers signés par les clubs est en nette augmentation. Presque toutes les équipes du championnat jouent maintenant avec de bons étrangers. Dans le même temps, il n’y a presque pas de nouveaux basketteurs russes de grande qualité. Ceci est une alarme. Presque pas de nouveaux noms apparaissent. Par exemple, cette année, de nombreux joueurs sortis du CSKA sont venus dans différents clubs de Super League et ils sont loin d’être parmi les meilleurs. Et ceux-ci étaient prometteurs, de jeunes joueurs en qui on avait de grands espoirs. »
Le président d’Avtodor, Vladimir Rodionov, a affirmé que dans deux ans, l’équipe nationale russe serait sur le point de s’effondrer du fait qu’il n’y aurait tout simplement pas de joueurs assez compétitifs. Qu’en pense Eremine ?
« Je soutiens Rodionov dans cette affaire. Nous sommes au bord d’une crise très grave. Lorsque la galaxie des leaders actuels – Shved, Vorontsevich, Kulagin, Kurbanov, Fridzon terminera sa carrière dans l’équipe nationale, il n’y aura pas de remplaçants équivalents. Il n’y a pas assez de talents parmi les jeunes. Que puis-je dire? Aucun de nos représentants ne joue en NBA alors que dans beaucoup de pays européens, où il n’y a jamais eu de grandes traditions de basket-ball, plusieurs jouent en même temps. Nous soulevons constamment la question de la formation lors des réunions du comité d’entraînement de la Fédération. Néanmoins, nous avons une très bonne équipe de professionnels expérimentés qui travaillent dans le basket depuis de nombreuses années. Tout le monde anticipe cette crise et tente de transmettre des informations sur les moyens de s’en sortir aux dirigeants de la Fédération. »
Les Izvestia ont posé à Stanislav Eremine la question de la compétitivité du Zenit Saint-Peterbourg en Euroleague alors que celui-ci compte à cet instant 2 victoires et 4 défaites.
« Le club de Saint-Pétersbourg n’a pas été formé pour l’Euroleague. Ils ne sont donc pas prêts à rivaliser sur un pied d’égalité avec les meilleurs clubs du continent. Il y avait de tels espoirs avant la saison, mais ils étaient d’abord associés au talent de Joan Plaza (NDLR: le coach espagnol, qui a entraîné précédemment le Real Madrid, Baladone, Malaga et le Zalgiris Kaunas). L’équipe est très fébrile et il semble que l’Espagnol n’arrive pas à motiver les étrangers, surtout dans le championnat national. Dans presque tous les matches, le Zenit a eu d’incroyables sautes d’humeur. C’est une découverte désagréable pour moi. À ce rythme, ils peuvent être privés de playoffs en VTB League (NDLR: le Zenith est 10e avec 2 victoires et 4 défaites) »
Stanislav Eremine est beaucoup plus confiant en ce qui concerne les possibilités du CSKA Moscou (5-1) et du Khimki Moscou (4-2):
« Le CSKA et Khimki sont très bien équipés et, malgré les blessures des joueurs principaux, les deux clubs vont se battre pour accéder au Final Four. J’en suis sûr. D’une façon générale, l’Euroleague est un championnat très intéressant cette année. Les leaders sur le long terme de la compétition – Fenerbahçe et le Real Madrid – sont placés au bas du tableau. Les Turcs ont déjà subi cinq défaites, les Espagnols, quatre. Beaucoup de résultats sensationnels correspondent à des fins imprévisibles. 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| \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tSassari\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tPalaSerradimigni\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | 5 000*** | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t1981\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t1992\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t |
| \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tReggio Emilia\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tPalaBigi\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | 4 530 | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t1968\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t2017\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t |
| \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tTrento\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tBLM Group Arena\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | 4 000 | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t2000\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t–\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t |
| \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tPistoia\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tPalaCarrara\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | 3 916 | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t1988\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t2007\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t |
| \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tBrindisi\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tPalaPentassuglia\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | 3 534 | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t1981\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t2010\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t |
| \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tCremona\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tPalaRadi\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | 3 511 | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t1980\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t2009\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t |
| \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tVenezia\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\tTaliercio\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | 3 506 | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t1981\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t | \\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t2012\\n\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t\\t\\n\\t\\t\\t\\t\\t |
| \\n\\t\\t\\t\\t\\t | ||||
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Voici un point sur les salles de la Serie A italienne avec leur capacité, l’année d’inauguration et éventuellement de réfection.
Ce qui frappe c’est qu’en Italie, on préfère visiblement mettre les salles au goût du jour qu’édifier de nouvelles constructions. La plus récente, le Forum de Milan a déjà 18 ans d’âge… Celle de Rome date des Jeux Olympiques de 1960 et la structure du PalaDozza de Bologne est carrément antique.
| Club | Salle | Capacité | Ann. | Ref. |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tMilano\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tForum Assago\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t12.331\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2001\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2014\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tRoma\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaLottomatica\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 11 200 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1960\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2003\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPesaro\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tVitifrigo Arena\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 10 323* | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1996\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t–\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tTrieste\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | PalaRubini-Allianz | 6 943 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1999\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t–\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tCantu\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaBancoDesio\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 6 700 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1991\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2012\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tFortitudo Bologna\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaDozza\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 5 570 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1956\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2000\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tVirtus Bologna\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaDozza**\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 5 570 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1956\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2000\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tTreviso\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaverde\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 5 344 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1983\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t–\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tBrescia\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaleonessa\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 5 200 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1967\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2018\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tVarese\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tEnerxenia Arena\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 5 107 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1964\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2011\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tSassari\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaSerradimigni\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 5 000*** | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1981\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1992\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tReggio Emilia\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaBigi\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 4 530 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1968\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2017\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tTrento\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tBLM Group Arena\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 4 000 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2000\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t–\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPistoia\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaCarrara\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 3 916 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1988\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2007\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tBrindisi\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaPentassuglia\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 3 534 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1981\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2010\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tCremona\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tPalaRadi\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 3 511 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1980\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2009\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
| \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tVenezia\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\tTaliercio\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | 3 506 | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t1981\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t | \n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\t\t2012\n\n\t\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t\t\n\t\t\t\t\t |
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* 6 119 places utilisées ** Cinq matchs de saison régulière prévus au PalaFiera (environ 8 970 sièges) *** Projet en cours d’extension à 6 500 places.
Photo: PalaLottomatica de Rome
", "comment_id":"483795", "plaintext":"Voici un point sur les salles de la Serie A italienne avec leur capacité, l’année d’inauguration et éventuellement de réfection.\n\nCe qui frappe c’est qu’en Italie, on préfère visiblement mettre les salles au goût du jour qu’édifier de nouvelles constructions. La plus récente, le Forum de Milan a déjà 18 ans d’âge… Celle de Rome date des Jeux Olympiques de 1960 et la structure du PalaDozza de Bologne est carrément antique.\n\nClub SalleCapacitéAnn. Ref.\n\n\nMilano\n\n\n\n\n\n\nForum Assago\n\n\n\n\n\n\n12.331\n\n\n\n\n\n\n2001\n\n\n\n\n\n\n2014\n\n\n\n\n\n\nRoma\n\n\n\n\n\n\nPalaLottomatica\n\n\n\n11 200\n\n\n1960\n\n\n\n\n\n\n2003\n\n\n\n\n\n\nPesaro\n\n\n\n\n\n\nVitifrigo Arena\n\n\n\n10 323*\n\n\n1996\n\n\n\n\n\n\n–\n\n\n\n\n\n\nTrieste\n\n\n\nPalaRubini-Allianz 6 943\n\n\n1999\n\n\n\n\n\n\n–\n\n\n\n\n\n\nCantu\n\n\n\n\n\n\nPalaBancoDesio\n\n\n\n6 700\n\n\n1991\n\n\n\n\n\n\n2012\n\n\n\n\n\n\nFortitudo Bologna\n\n\n\n\n\n\nPalaDozza\n\n\n\n5 570\n\n\n1956\n\n\n\n\n\n\n2000\n\n\n\n\n\n\nVirtus Bologna\n\n\n\n\n\n\nPalaDozza**\n\n\n\n5 570\n\n\n1956\n\n\n\n\n\n\n2000\n\n\n\n\n\n\nTreviso\n\n\n\n\n\n\nPalaverde\n\n\n\n5 344\n\n\n1983\n\n\n\n\n\n\n–\n\n\n\n\n\n\nBrescia\n\n\n\n\n\n\nPalaleonessa\n\n\n\n5 200\n\n\n1967\n\n\n\n\n\n\n2018\n\n\n\n\n\n\nVarese\n\n\n\n\n\n\nEnerxenia Arena\n\n\n\n5 107\n\n\n1964\n\n\n\n\n\n\n2011\n\n\n\n\n\n\nSassari\n\n\n\n\n\n\nPalaSerradimigni\n\n\n\n5 000***\n\n\n1981\n\n\n\n\n\n\n1992\n\n\n\n\n\n\nReggio Emilia\n\n\n\n\n\n\nPalaBigi\n\n\n\n4 530\n\n\n1968\n\n\n\n\n\n\n2017\n\n\n\n\n\n\nTrento\n\n\n\n\n\n\nBLM Group Arena\n\n\n\n4 000\n\n\n2000\n\n\n\n\n\n\n–\n\n\n\n\n\n\nPistoia\n\n\n\n\n\n\nPalaCarrara\n\n\n\n3 916\n\n\n1988\n\n\n\n\n\n\n2007\n\n\n\n\n\n\nBrindisi\n\n\n\n\n\n\nPalaPentassuglia\n\n\n\n3 534\n\n\n1981\n\n\n\n\n\n\n2010\n\n\n\n\n\n\nCremona\n\n\n\n\n\n\nPalaRadi\n\n\n\n3 511\n\n\n1980\n\n\n\n\n\n\n2009\n\n\n\n\n\n\nVenezia\n\n\n\n\n\n\nTaliercio\n\n\n\n3 506\n\n\n1981\n\n\n\n\n\n\n2012\n\n\n\n\n\n\n\n\n* 6 119 places utilisées ** Cinq matchs de saison régulière prévus au PalaFiera (environ 8 970 sièges) *** Projet en cours d’extension à 6 500 places.\n\nPhoto: PalaLottomatica de Rome", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/11/palalottomatica-1555943074.78.2560x1440-e1573115493245.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-08T05:32:24.000Z", "updated_at":"2019-11-07T08:34:10.000Z", "published_at":"2019-11-08T05:32:24.000Z", "custom_excerpt":"Voici un point sur les salles de la Serie A italienne avec leur capacité, l’année d’inauguration et éventuellement de réfection.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016d95b6", "uuid":"ca2b557b-c98c-4ead-83f3-e6684f2de76e", "title":"[REDIFF] Guide Pro B – Rouen : Quand l’appétit va…", "slug":"guide-pro-b-rouen-quand-lappetit-va", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/m-c3-a9nard-maeva-parmentier-3-1280x902.jpg\",\"width\":500,\"height\":353,\"caption\":\"Photo : RMB – Maéva Parmentier\"}],[\"html\",{\"html\":\"Les deux joueurs à suivre\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/spight-3-cyrilobjectif2019-50.jpg\",\"width\":500,\"height\":334,\"caption\":\"Photo : RMB – Cyril Objectif\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/bassoumba-2-cyrilobjectif2019-46.jpg\",\"width\":500,\"height\":334,\"caption\":\"Photo : RMB – Cyril Objectif\"}],[\"html\",{\"html\":\"Photo d’ouverture : RMB
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Alors qu’il dispose pourtant de l’une des plus petites masses salariales de Pro B (13\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" l’an dernier), le RMB surfe en effet sur une réussite insolente depuis qu’Alexandre Ménard en a repris les rênes, à l’orée de la saison 2017-18 : 8\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" avec 17 victoires et autant de défaites puis une demi-finale de playoffs la première année, 4\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" avec 24 victoires et 10 défaites puis une rageante (mais indiscutable) défaite en finale de playoffs face à Orléans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dès lors, sachant que par ailleurs la masse salariale et le budget du club sont en augmentation, comment imaginer que l’équipe de Seine-Maritime puisse viser autre chose qu’une prestation du même ordre, quand bien même la concurrence serait encore plus féroce que les années passées ? Pour assouvir ces ambitions de playoffs, voire de montée (même si tout le monde au club est bien conscient que cette tâche sera des plus ardues), Alexandre Ménard – qui a prolongé jusqu’en 2023 – peut se satisfaire d’avoir réussi à conserver une bonne part des forces vives de l’équipe. Si Jean-Baptiste Maille et Jessie Bégarin n’ont logiquement pas résisté aux sirènes de la Jeep Élite et si Lasan Kromah et Al’Lonzo Coleman ont trouvé un contrat sous d’autres cieux, Jamar Diggs, Benoît Injaï, Emmanuel Monceau, Carl Ponsar (pourtant courtisé à l’étage supérieur), Zimmy Nwogbo et Earvine Bassoumba seront toujours de la partie, du moins dès qu’ils seront remis sur pied en ce qui concerne Monceau et Ponsar.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À partir de cette base déjà solide, Rouen s’est renforcé sur toutes ses lignes. Tout d’abord en signant Jérôme Cazenobe, l’un des pivots les plus rentables de Pro B, première recrue du club. Ensuite en attirant le meneur-arrière Samir Mekdad du Havre (où il a été finaliste des playoffs de NM1), un habitué de la Pro B. Sur les ailes, Alexandre Ménard a choisi Andre Spight, un arrière américano-arménien (sa mère est arménienne) scoreur, et Domagoj Bosnjak, ailier croate international dans toutes les catégories de jeunes mais peu en vue l’année passée au Cedevita Zagreb. Enfin, pour pallier les absences longue durée d’Emmanuel Monceau (retour prévu mi-novembre) et Carl Ponsar (mi-octobre), le club a été chercher le bien connu ailier Max Kouguère, qui sort d’une saison morose avec Antibes, conclue sur une relégation en Pro B.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec des créateurs, des scoreurs, des joueurs de collectif et des « soutiers » sur tous les postes, le RMB présente un effectif équilibré, a priori apte à jouer les premiers rôles, surtout si ses jeunes joueurs (Injaï, Ponsar, Bassoumba) continuent à progresser. Si tout se passe bien pour le club, qu’il n’est pas trop freiné par les blessures, il dispose de tous les atouts pour viser le haut du tableau et les playoffs.\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« L’ambition, c’est d’être régulièrement présent en playoffs. Pour, à terme, sans qu’on sache bien quelle sera la longueur du terme, retrouver l’élite. On ne peut pas programmer une montée ou un titre. Il faut au moins tous les ans être dans le Top 8 et jouer les playoffs. Mais le championnat est dense, donc ça sera dur ! » Alexandre Ménard, entraîneur principal\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\":\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Andre Spight (1,91m, 24 ans)\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Drôle de parcours que celui du natif de Pasadena (dans la grande banlieue de Los Angeles) : trois facs différentes entre 2013 et 2018 (22,5 points, 40,0 % à trois-points, 3,9 rebonds, 3,7 passes à Northern Colorado en 2017-18) puis quatre clubs pour sa saison de rookie : un passage éclair à Mornar Bar (Monténégro), 6 matchs aux Helsinki Seagulls (Finlande) pour 21,8 points et 4,2 rebonds avant de jouer 7 parties avec Istanbul BB (1\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" division turque) pour 5,7 points (26,1 % à trois-points) et 1,1 rebond puis de finir la saison en G-League avec le Wisconsin Herd (3,1 points en 9 matchs). Plutôt chaotique de la part de l’international arménien (la nationalité de sa mère), qui a terminé meilleur marqueur du championnat d’Europe 2016 des « petits pays », titres de MVP et de champion d’Europe à la clé (21,2 points). Un joueur intrigant, mais qui devrait s’adapter au niveau de la Pro B : en deux matchs de Leaders Cup, il a laissé des ardoises à 19 et 20 points (à 47,1 % à trois-points) pour aller avec ses 5,5 passes (et 19,0 d’évaluation).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Earvine Bassoumba (2,05m, 23 ans)\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le potentiel du natif de Brazzaville (Congo) ne fait aucun doute : en 2016-17, avec les Espoirs du Mans, il tournait à 21,7 d’évaluation. Mais, depuis, il laisse les observateurs sur leur faim. Arrivé à Rouen à la sortie du centre de formation du MSB pour parfaire son apprentissage, ses deux premières saisons n’ont pas été synonymes de progression fulgurante : 3,7 points (57,0 % aux tirs) et 2,4 rebonds pour 4,8 d’évaluation en 2017-18 ; 4,2 points (à 54,7 %) et 3,3 rebonds pour 5,9 d’évaluation la saison dernière. Travailleur, concentré mais manquant d’explosivité, Earvine Bassoumba pourrait franchir un cap cette saison, comme le laisse augurer sa prestation lors de la 2\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" journée de Leaders Cup : 22 points à 80 %, 10 rebonds et 2 contres pour 32 d’évaluation. Il ne réalisera pas à chaque journée de tels cartons, mais son entraîneur espère bien qu’il gagne en régularité à un haut niveau de performance. Il semble en avoir les moyens et dispose avec Jérôme Cazenobe, l’autre pivot rouennais, d’un exemple à suivre. Il est temps de tenir ses promesses !\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Arrivées : \"],[0,[],0,\"Domagoj Bosnjak (Cedevita Zagreb, Croatie), Jérôme Cazenobe (Denain), Samir Mekdad (Le Havre, NM1), Andre Spight (Wisconsin, G-League), Max Kouguère (Antibes, Jeep Élite).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Départs : \"],[0,[],0,\"Jessie Bégarin (Châlons-Reims, Jeep Élite), Al’Lonzo Coleman (Hapoel Afula, Israël), Lasan Kromah (Rhodes, Grèce), JeanBaptiste Maille (Châlons-Reims, Jeep Élite), Marvin Mokono.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Effectif 2019-20 :\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Meneurs :\"],[0,[],0,\" Jamar Diggs (Américain), Samir Mekdad (Franco-Algérien, JFL)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Extérieurs :\"],[0,[],0,\" Andre Spight (Américano-Arménien, Bosman), Benoît Injaï, Domagoj Bosnjak (Croate, Bosman), Emmanuel Monceau, Max Kouguère (Centrafricain, JFL)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Intérieurs :\"],[0,[],0,\" Zimmy Nwogbo (Américano-Nigérian, Cotonou), Carl Ponsar, Jérôme Cazenobe, Earvine Bassoumba (Congolais, JFL)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le cinq majeur probable :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Diggs – Spight – Bosnjak – Nwogbo – Cazenobe\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Entraîneur :\"],[0,[],0,\" Alexandre Ménard \"],[0,[1],1,\"Assistant :\"],[0,[],0,\" Mathieu Latard, Clément Veyronnet\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dès lors, sachant que par ailleurs la masse salariale et le budget du club sont en augmentation, comment imaginer que l’équipe de Seine-Maritime puisse viser autre chose qu’une prestation du même ordre, quand bien même la concurrence serait encore plus féroce que les années passées ? Pour assouvir ces ambitions de playoffs, voire de montée (même si tout le monde au club est bien conscient que cette tâche sera des plus ardues), Alexandre Ménard – qui a prolongé jusqu’en 2023 – peut se satisfaire d’avoir réussi à conserver une bonne part des forces vives de l’équipe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[10,4]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le Rouen Métropole Basket n’est plus une surprise. Alors qu’il dispose pourtant de l’une des plus petites masses salariales de Pro B (13e l’an dernier), le RMB surfe en effet sur une réussite insolente depuis qu’Alexandre Ménard en a repris les rênes, à l’orée de la saison 2017-18 : 8e avec 17 victoires et autant de défaites puis une demi-finale de playoffs la première année, 4e avec 24 victoires et 10 défaites puis une rageante (mais indiscutable) défaite en finale de playoffs face à Orléans.
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Dès lors, sachant que par ailleurs la masse salariale et le budget du club sont en augmentation, comment imaginer que l’équipe de Seine-Maritime puisse viser autre chose qu’une prestation du même ordre, quand bien même la concurrence serait encore plus féroce que les années passées ? Pour assouvir ces ambitions de playoffs, voire de montée (même si tout le monde au club est bien conscient que cette tâche sera des plus ardues), Alexandre Ménard – qui a prolongé jusqu’en 2023 – peut se satisfaire d’avoir réussi à conserver une bonne part des forces vives de l’équipe. Si Jean-Baptiste Maille et Jessie Bégarin n’ont logiquement pas résisté aux sirènes de la Jeep Élite et si Lasan Kromah et Al’Lonzo Coleman ont trouvé un contrat sous d’autres cieux, Jamar Diggs, Benoît Injaï, Emmanuel Monceau, Carl Ponsar (pourtant courtisé à l’étage supérieur), Zimmy Nwogbo et Earvine Bassoumba seront toujours de la partie, du moins dès qu’ils seront remis sur pied en ce qui concerne Monceau et Ponsar.
À partir de cette base déjà solide, Rouen s’est renforcé sur toutes ses lignes. Tout d’abord en signant Jérôme Cazenobe, l’un des pivots les plus rentables de Pro B, première recrue du club. Ensuite en attirant le meneur-arrière Samir Mekdad du Havre (où il a été finaliste des playoffs de NM1), un habitué de la Pro B. Sur les ailes, Alexandre Ménard a choisi Andre Spight, un arrière américano-arménien (sa mère est arménienne) scoreur, et Domagoj Bosnjak, ailier croate international dans toutes les catégories de jeunes mais peu en vue l’année passée au Cedevita Zagreb. Enfin, pour pallier les absences longue durée d’Emmanuel Monceau (retour prévu mi-novembre) et Carl Ponsar (mi-octobre), le club a été chercher le bien connu ailier Max Kouguère, qui sort d’une saison morose avec Antibes, conclue sur une relégation en Pro B.
Avec des créateurs, des scoreurs, des joueurs de collectif et des « soutiers » sur tous les postes, le RMB présente un effectif équilibré, a priori apte à jouer les premiers rôles, surtout si ses jeunes joueurs (Injaï, Ponsar, Bassoumba) continuent à progresser. Si tout se passe bien pour le club, qu’il n’est pas trop freiné par les blessures, il dispose de tous les atouts pour viser le haut du tableau et les playoffs.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/m-c3-a9nard-maeva-parmentier-3-1280x902.jpg\")
« L’ambition, c’est d’être régulièrement présent en playoffs. Pour, à terme, sans qu’on sache bien quelle sera la longueur du terme, retrouver l’élite. On ne peut pas programmer une montée ou un titre. Il faut au moins tous les ans être dans le Top 8 et jouer les playoffs. Mais le championnat est dense, donc ça sera dur ! » Alexandre Ménard, entraîneur principalLes deux joueurs à suivre
:
Andre Spight (1,91m, 24 ans)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/spight-3-cyrilobjectif2019-50.jpg\")
Drôle de parcours que celui du natif de Pasadena (dans la grande banlieue de Los Angeles) : trois facs différentes entre 2013 et 2018 (22,5 points, 40,0 % à trois-points, 3,9 rebonds, 3,7 passes à Northern Colorado en 2017-18) puis quatre clubs pour sa saison de rookie : un passage éclair à Mornar Bar (Monténégro), 6 matchs aux Helsinki Seagulls (Finlande) pour 21,8 points et 4,2 rebonds avant de jouer 7 parties avec Istanbul BB (1e division turque) pour 5,7 points (26,1 % à trois-points) et 1,1 rebond puis de finir la saison en G-League avec le Wisconsin Herd (3,1 points en 9 matchs). Plutôt chaotique de la part de l’international arménien (la nationalité de sa mère), qui a terminé meilleur marqueur du championnat d’Europe 2016 des « petits pays », titres de MVP et de champion d’Europe à la clé (21,2 points). Un joueur intrigant, mais qui devrait s’adapter au niveau de la Pro B : en deux matchs de Leaders Cup, il a laissé des ardoises à 19 et 20 points (à 47,1 % à trois-points) pour aller avec ses 5,5 passes (et 19,0 d’évaluation).
Earvine Bassoumba (2,05m, 23 ans)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/bassoumba-2-cyrilobjectif2019-46.jpg\")
Le potentiel du natif de Brazzaville (Congo) ne fait aucun doute : en 2016-17, avec les Espoirs du Mans, il tournait à 21,7 d’évaluation. Mais, depuis, il laisse les observateurs sur leur faim. Arrivé à Rouen à la sortie du centre de formation du MSB pour parfaire son apprentissage, ses deux premières saisons n’ont pas été synonymes de progression fulgurante : 3,7 points (57,0 % aux tirs) et 2,4 rebonds pour 4,8 d’évaluation en 2017-18 ; 4,2 points (à 54,7 %) et 3,3 rebonds pour 5,9 d’évaluation la saison dernière. Travailleur, concentré mais manquant d’explosivité, Earvine Bassoumba pourrait franchir un cap cette saison, comme le laisse augurer sa prestation lors de la 2e journée de Leaders Cup : 22 points à 80 %, 10 rebonds et 2 contres pour 32 d’évaluation. Il ne réalisera pas à chaque journée de tels cartons, mais son entraîneur espère bien qu’il gagne en régularité à un haut niveau de performance. Il semble en avoir les moyens et dispose avec Jérôme Cazenobe, l’autre pivot rouennais, d’un exemple à suivre. Il est temps de tenir ses promesses !
Arrivées : Domagoj Bosnjak (Cedevita Zagreb, Croatie), Jérôme Cazenobe (Denain), Samir Mekdad (Le Havre, NM1), Andre Spight (Wisconsin, G-League), Max Kouguère (Antibes, Jeep Élite).
Départs : Jessie Bégarin (Châlons-Reims, Jeep Élite), Al’Lonzo Coleman (Hapoel Afula, Israël), Lasan Kromah (Rhodes, Grèce), JeanBaptiste Maille (Châlons-Reims, Jeep Élite), Marvin Mokono.
Effectif 2019-20 :
Meneurs : Jamar Diggs (Américain), Samir Mekdad (Franco-Algérien, JFL)
Extérieurs : Andre Spight (Américano-Arménien, Bosman), Benoît Injaï, Domagoj Bosnjak (Croate, Bosman), Emmanuel Monceau, Max Kouguère (Centrafricain, JFL)
Intérieurs : Zimmy Nwogbo (Américano-Nigérian, Cotonou), Carl Ponsar, Jérôme Cazenobe, Earvine Bassoumba (Congolais, JFL)
Le cinq majeur probable :
Diggs – Spight – Bosnjak – Nwogbo – Cazenobe
Entraîneur : Alexandre Ménard Assistant : Mathieu Latard, Clément Veyronnet
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[armelse]
Dès lors, sachant que par ailleurs la masse salariale et le budget du club sont en augmentation, comment imaginer que l’équipe de Seine-Maritime puisse viser autre chose qu’une prestation du même ordre, quand bien même la concurrence serait encore plus féroce que les années passées ? Pour assouvir ces ambitions de playoffs, voire de montée (même si tout le monde au club est bien conscient que cette tâche sera des plus ardues), Alexandre Ménard – qui a prolongé jusqu’en 2023 – peut se satisfaire d’avoir réussi à conserver une bonne part des forces vives de l’équipe.
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Photo d’ouverture : RMB
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Pour assouvir ces ambitions de playoffs, voire de montée (même si tout le monde au club est bien conscient que cette tâche sera des plus ardues), Alexandre Ménard – qui a prolongé jusqu’en 2023 – peut se satisfaire d’avoir réussi à conserver une bonne part des forces vives de l’équipe. Si Jean-Baptiste Maille et Jessie Bégarin n’ont logiquement pas résisté aux sirènes de la Jeep Élite et si Lasan Kromah et Al’Lonzo Coleman ont trouvé un contrat sous d’autres cieux, Jamar Diggs, Benoît Injaï, Emmanuel Monceau, Carl Ponsar (pourtant courtisé à l’étage supérieur), Zimmy Nwogbo et Earvine Bassoumba seront toujours de la partie, du moins dès qu’ils seront remis sur pied en ce qui concerne Monceau et Ponsar.\n\nÀ partir de cette base déjà solide, Rouen s’est renforcé sur toutes ses lignes. Tout d’abord en signant Jérôme Cazenobe, l’un des pivots les plus rentables de Pro B, première recrue du club. Ensuite en attirant le meneur-arrière Samir Mekdad du Havre (où il a été finaliste des playoffs de NM1), un habitué de la Pro B. Sur les ailes, Alexandre Ménard a choisi Andre Spight, un arrière américano-arménien (sa mère est arménienne) scoreur, et Domagoj Bosnjak, ailier croate international dans toutes les catégories de jeunes mais peu en vue l’année passée au Cedevita Zagreb. Enfin, pour pallier les absences longue durée d’Emmanuel Monceau (retour prévu mi-novembre) et Carl Ponsar (mi-octobre), le club a été chercher le bien connu ailier Max Kouguère, qui sort d’une saison morose avec Antibes, conclue sur une relégation en Pro B.\n\nAvec des créateurs, des scoreurs, des joueurs de collectif et des « soutiers » sur tous les postes, le RMB présente un effectif équilibré, a priori apte à jouer les premiers rôles, surtout si ses jeunes joueurs (Injaï, Ponsar, Bassoumba) continuent à progresser. Si tout se passe bien pour le club, qu’il n’est pas trop freiné par les blessures, il dispose de tous les atouts pour viser le haut du tableau et les playoffs.\n\n« L’ambition, c’est d’être régulièrement présent en playoffs. Pour, à terme, sans qu’on sache bien quelle sera la longueur du terme, retrouver l’élite. On ne peut pas programmer une montée ou un titre. Il faut au moins tous les ans être dans le Top 8 et jouer les playoffs. Mais le championnat est dense, donc ça sera dur ! » Alexandre Ménard, entraîneur principal\n\nLes deux joueurs à suivre\n\n:\n\nAndre Spight (1,91m, 24 ans)\n\nDrôle de parcours que celui du natif de Pasadena (dans la grande banlieue de Los Angeles) : trois facs différentes entre 2013 et 2018 (22,5 points, 40,0 % à trois-points, 3,9 rebonds, 3,7 passes à Northern Colorado en 2017-18) puis quatre clubs pour sa saison de rookie : un passage éclair à Mornar Bar (Monténégro), 6 matchs aux Helsinki Seagulls (Finlande) pour 21,8 points et 4,2 rebonds avant de jouer 7 parties avec Istanbul BB (1e division turque) pour 5,7 points (26,1 % à trois-points) et 1,1 rebond puis de finir la saison en G-League avec le Wisconsin Herd (3,1 points en 9 matchs). Plutôt chaotique de la part de l’international arménien (la nationalité de sa mère), qui a terminé meilleur marqueur du championnat d’Europe 2016 des « petits pays », titres de MVP et de champion d’Europe à la clé (21,2 points). Un joueur intrigant, mais qui devrait s’adapter au niveau de la Pro B : en deux matchs de Leaders Cup, il a laissé des ardoises à 19 et 20 points (à 47,1 % à trois-points) pour aller avec ses 5,5 passes (et 19,0 d’évaluation).\n\nEarvine Bassoumba (2,05m, 23 ans)\n\nLe potentiel du natif de Brazzaville (Congo) ne fait aucun doute : en 2016-17, avec les Espoirs du Mans, il tournait à 21,7 d’évaluation. Mais, depuis, il laisse les observateurs sur leur faim. Arrivé à Rouen à la sortie du centre de formation du MSB pour parfaire son apprentissage, ses deux premières saisons n’ont pas été synonymes de progression fulgurante : 3,7 points (57,0 % aux tirs) et 2,4 rebonds pour 4,8 d’évaluation en 2017-18 ; 4,2 points (à 54,7 %) et 3,3 rebonds pour 5,9 d’évaluation la saison dernière. Travailleur, concentré mais manquant d’explosivité, Earvine Bassoumba pourrait franchir un cap cette saison, comme le laisse augurer sa prestation lors de la 2e journée de Leaders Cup : 22 points à 80 %, 10 rebonds et 2 contres pour 32 d’évaluation. Il ne réalisera pas à chaque journée de tels cartons, mais son entraîneur espère bien qu’il gagne en régularité à un haut niveau de performance. Il semble en avoir les moyens et dispose avec Jérôme Cazenobe, l’autre pivot rouennais, d’un exemple à suivre. Il est temps de tenir ses promesses !\n\nArrivées : Domagoj Bosnjak (Cedevita Zagreb, Croatie), Jérôme Cazenobe (Denain), Samir Mekdad (Le Havre, NM1), Andre Spight (Wisconsin, G-League), Max Kouguère (Antibes, Jeep Élite).\n\nDéparts : Jessie Bégarin (Châlons-Reims, Jeep Élite), Al’Lonzo Coleman (Hapoel Afula, Israël), Lasan Kromah (Rhodes, Grèce), JeanBaptiste Maille (Châlons-Reims, Jeep Élite), Marvin Mokono.\n\nEffectif 2019-20 :\n\nMeneurs : Jamar Diggs (Américain), Samir Mekdad (Franco-Algérien, JFL)\n\nExtérieurs : Andre Spight (Américano-Arménien, Bosman), Benoît Injaï, Domagoj Bosnjak (Croate, Bosman), Emmanuel Monceau, Max Kouguère (Centrafricain, JFL)\n\nIntérieurs : Zimmy Nwogbo (Américano-Nigérian, Cotonou), Carl Ponsar, Jérôme Cazenobe, Earvine Bassoumba (Congolais, JFL)\n\nLe cinq majeur probable :\n\nDiggs – Spight – Bosnjak – Nwogbo – Cazenobe\n\nEntraîneur : Alexandre Ménard Assistant : Mathieu Latard, Clément Veyronnet\n\nx\n\n[armelse]\n\nDès lors, sachant que par ailleurs la masse salariale et le budget du club sont en augmentation, comment imaginer que l’équipe de Seine-Maritime puisse viser autre chose qu’une prestation du même ordre, quand bien même la concurrence serait encore plus féroce que les années passées ? Pour assouvir ces ambitions de playoffs, voire de montée (même si tout le monde au club est bien conscient que cette tâche sera des plus ardues), Alexandre Ménard – qui a prolongé jusqu’en 2023 – peut se satisfaire d’avoir réussi à conserver une bonne part des forces vives de l’équipe.\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : RMB", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/rouen-bon.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-11-08T05:00:33.000Z", "updated_at":"2019-10-28T12:10:04.000Z", "published_at":"2019-11-08T05:00:33.000Z", "custom_excerpt":"Le Rouen Métropole Basket n’est plus une surprise. 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Une transaction d’autant plus facile à réaliser que selon Sportando, Matt Mobley a trouvé un autre club, en Turquie, le Sigortam.net ITU Basket.
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Et qui a désagréablement surpris dans un fief où l’on s’était habitué, les années précédentes, à manger du miel : finaliste des playoffs d’accession en 2015-16 et demi-finaliste en 2016-17. Mais, à examiner le classement de saison régulière de l’ALM sur les quatre derniers exercices, on constate qu’Évreux suit une pente descendante : 3\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" en 2015-16 (21 v.-13 d), 8\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" en 2016-17 (18-16), 9\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" en 2017-18 (16-18) et 12\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" (13-21) donc la saison dernière.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour enrayer cette glissade, Évreux n’y est pas allé par quatre chemins : que ce soit de la volonté des joueurs (comme Damien Bouquet ou Steeve Ho You Fat partis en Jeep Élite) ou de celle des dirigeants du club, ils sont dix de l’effectif de l’an dernier à avoir fait leurs valises, le seul Ruphin Kayembe continuant sous les couleurs ébroïciennes. Pour les remplacer, Fabrice Lefrançois a fait appel à huit nouveaux pensionnaires, recrutés entre Jeep Élite, Pro B, NM1 et Espagne. En tête d’affiche de ces arrivées, Jerrold Brooks, le meneur qui avait autant enchanté les spectateurs de la salle Jean Fourré d’Évreux en 2017-18 qu’il a déçu ceux de Caen la saison dernière. De retour dans un contexte favorable, le joueur aura pour mission d’orchestrer un collectif composé de joueurs en phase de progression comme Antoine Wallez ou de stabilisation comme Fabien Paschal et Paul Rigot. Le tout sera « pimenté » par deux joueurs arrivant de LEB Oro, la deuxième division espagnole, le Macédonien Stojan Gjuroski et l’Espagnol Jhornan Zamora. Des arrivées qui ne doivent rien au hasard : Fabrice Lefrançois veut accélérer le jeu de son équipe et lui ajouter du QI basket, marques de fabrique du basket espagnol et qui s’exportent bien dans nos contrées, comme l’a démontré Gries-Oberhoffen.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Équilibrée sur le papier, l’équipe concoctée par Fabrice Lefrançois semble cependant un peu juste pour viser les playoffs, dans une Pro B où les « cadors » supposés, en nombre croissant, recrutent haut de gamme. Aux joueurs de démontrer que la force collective peut prévaloir sur la longueur du CV…\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Il faut rester humble par rapport à nos capacités. Nous voulons d’abord assurer un maintien rapide. On verra plus tard pour se projeter vers d’autres objectifs. »Fabrice Lefrançois, entraîneur principal\"]]],[10,0],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jerrold Brooks (1,83m, 27 ans)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Maître à jouer d’Évreux en 2017-18 (16,0 d’évaluation par match), il est ensuite passé au Caen Basket Calvados la saison dernière, où son rendement a chuté, contribuant à la relégation du club normand. De retour en Eure-et-Loire, il aura à coeur de faire oublier sa triste saison passée (13,2 points, 2,1 rebonds et 4,0 passes) dans un environnement qu’il connaît bien.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jhornan Zamora (1,96m, 30 ans)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[2],1,\"La touche hispanique qui apportera de la création\"],[0,[],0,\" », annonce son coach. Principalement passé par le championnat vénézuélien et la deuxième division espagnole, il tournait à 14,8 points, 3,1 rebonds et 2,0 passes la saison dernière avec Orense.\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Arrivées :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Antoine Wallez (Angers, NM1), Jerrold Brooks (Caen), Ibrahima Sidibe (GET Vosges, NM1), Jhornan Zamora (Orense, Espagne), Florent Tortosa (Lille), Paul Rigot (Antibes, Jeep Élite), Stojan Gjuroski (Huesca, Espagne), Fabien Paschal (Le Havre, NM1).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Départs :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Damien Bouquet (Nanterre, Jeep Élite), Steeve Ho You Fat (Roanne, Jeep Élite), Kevin Dinal (Gries-Oberhoffen), Théo Léon (Aix-Maurienne), Gary Michel (Gardonne, NM2), Drake Reed (Saint-Quentin), Manny Atkins, Frank Booker, Kevin Lavieille, Romain Poinas.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Effectif 2019/20 :\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Meneurs :\"],[0,[],0,\" Jerrold Brooks (Américain), Ibrahima Sidibe\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Extérieurs :\"],[0,[],0,\" Jhornan Zamora (Vénezuélien, Cotonou), Florent Tortosa, Paul Rigot\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Intérieurs :\"],[0,[],0,\" Stojan Gjuroski (Macédonien, Bosman), Antoine Wallez, Fabien Paschal, Ruphin Kayembe (Congolais, Cotonou)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le cinq majeur probable :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Brooks-Zamora-Rigot-Gjuroski-Kayembe\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Entraîneur :\"],[0,[],0,\" Fabrice Lefrançois \"],[0,[1],1,\"Assistant :\"],[0,[],0,\" Sylvain Grzanka\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors de la saison 2018-19, seul le combo Antwan Scott a disputé l’intégralité des rencontres de la saison régulière, tous les autres joueurs majeurs de l’effectif manquant entre trois et quatorze rencontres. D’où un nombre imposant de « pigistes médicaux » et, par voie de conséquence, un collectif en perpétuelle reconstruction. Le résultat, c’est une 12\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" place finale (13 victoires-21 défaites) qui fait pâle figure. Et qui a désagréablement surpris dans un fief où l’on s’était habitué, les années précédentes, à manger du miel : finaliste des playoffs d’accession en 2015-16 et demi-finaliste en 2016-17. 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Lors de la saison 2018-19, seul le combo Antwan Scott a disputé l’intégralité des rencontres de la saison régulière, tous les autres joueurs majeurs de l’effectif manquant entre trois et quatorze rencontres. D’où un nombre imposant de « pigistes médicaux » et, par voie de conséquence, un collectif en perpétuelle reconstruction. Le résultat, c’est une 12e place finale (13 victoires-21 défaites) qui fait pâle figure. Et qui a désagréablement surpris dans un fief où l’on s’était habitué, les années précédentes, à manger du miel : finaliste des playoffs d’accession en 2015-16 et demi-finaliste en 2016-17. Mais, à examiner le classement de saison régulière de l’ALM sur les quatre derniers exercices, on constate qu’Évreux suit une pente descendante : 3e en 2015-16 (21 v.-13 d), 8e en 2016-17 (18-16), 9e en 2017-18 (16-18) et 12e (13-21) donc la saison dernière.
Pour enrayer cette glissade, Évreux n’y est pas allé par quatre chemins : que ce soit de la volonté des joueurs (comme Damien Bouquet ou Steeve Ho You Fat partis en Jeep Élite) ou de celle des dirigeants du club, ils sont dix de l’effectif de l’an dernier à avoir fait leurs valises, le seul Ruphin Kayembe continuant sous les couleurs ébroïciennes. Pour les remplacer, Fabrice Lefrançois a fait appel à huit nouveaux pensionnaires, recrutés entre Jeep Élite, Pro B, NM1 et Espagne. En tête d’affiche de ces arrivées, Jerrold Brooks, le meneur qui avait autant enchanté les spectateurs de la salle Jean Fourré d’Évreux en 2017-18 qu’il a déçu ceux de Caen la saison dernière. De retour dans un contexte favorable, le joueur aura pour mission d’orchestrer un collectif composé de joueurs en phase de progression comme Antoine Wallez ou de stabilisation comme Fabien Paschal et Paul Rigot. Le tout sera « pimenté » par deux joueurs arrivant de LEB Oro, la deuxième division espagnole, le Macédonien Stojan Gjuroski et l’Espagnol Jhornan Zamora. Des arrivées qui ne doivent rien au hasard : Fabrice Lefrançois veut accélérer le jeu de son équipe et lui ajouter du QI basket, marques de fabrique du basket espagnol et qui s’exportent bien dans nos contrées, comme l’a démontré Gries-Oberhoffen.
Équilibrée sur le papier, l’équipe concoctée par Fabrice Lefrançois semble cependant un peu juste pour viser les playoffs, dans une Pro B où les « cadors » supposés, en nombre croissant, recrutent haut de gamme. Aux joueurs de démontrer que la force collective peut prévaloir sur la longueur du CV…
« Il faut rester humble par rapport à nos capacités. Nous voulons d’abord assurer un maintien rapide. On verra plus tard pour se projeter vers d’autres objectifs. »Fabrice Lefrançois, entraîneur principal
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/08/fabrice-lefran-c3-a7ois.jpg\")
Jerrold Brooks (1,83m, 27 ans)
Maître à jouer d’Évreux en 2017-18 (16,0 d’évaluation par match), il est ensuite passé au Caen Basket Calvados la saison dernière, où son rendement a chuté, contribuant à la relégation du club normand. De retour en Eure-et-Loire, il aura à coeur de faire oublier sa triste saison passée (13,2 points, 2,1 rebonds et 4,0 passes) dans un environnement qu’il connaît bien.
Jhornan Zamora (1,96m, 30 ans)
« La touche hispanique qui apportera de la création », annonce son coach. Principalement passé par le championnat vénézuélien et la deuxième division espagnole, il tournait à 14,8 points, 3,1 rebonds et 2,0 passes la saison dernière avec Orense.
Arrivées :
Antoine Wallez (Angers, NM1), Jerrold Brooks (Caen), Ibrahima Sidibe (GET Vosges, NM1), Jhornan Zamora (Orense, Espagne), Florent Tortosa (Lille), Paul Rigot (Antibes, Jeep Élite), Stojan Gjuroski (Huesca, Espagne), Fabien Paschal (Le Havre, NM1).
Départs :
Damien Bouquet (Nanterre, Jeep Élite), Steeve Ho You Fat (Roanne, Jeep Élite), Kevin Dinal (Gries-Oberhoffen), Théo Léon (Aix-Maurienne), Gary Michel (Gardonne, NM2), Drake Reed (Saint-Quentin), Manny Atkins, Frank Booker, Kevin Lavieille, Romain Poinas.
Effectif 2019/20 :
Meneurs : Jerrold Brooks (Américain), Ibrahima Sidibe
Extérieurs : Jhornan Zamora (Vénezuélien, Cotonou), Florent Tortosa, Paul Rigot
Intérieurs : Stojan Gjuroski (Macédonien, Bosman), Antoine Wallez, Fabien Paschal, Ruphin Kayembe (Congolais, Cotonou)
Le cinq majeur probable :
Brooks-Zamora-Rigot-Gjuroski-Kayembe
Entraîneur : Fabrice Lefrançois Assistant : Sylvain Grzanka
[armelse]
Lors de la saison 2018-19, seul le combo Antwan Scott a disputé l’intégralité des rencontres de la saison régulière, tous les autres joueurs majeurs de l’effectif manquant entre trois et quatorze rencontres. D’où un nombre imposant de « pigistes médicaux » et, par voie de conséquence, un collectif en perpétuelle reconstruction. Le résultat, c’est une 12e place finale (13 victoires-21 défaites) qui fait pâle figure. Et qui a désagréablement surpris dans un fief où l’on s’était habitué, les années précédentes, à manger du miel : finaliste des playoffs d’accession en 2015-16 et demi-finaliste en 2016-17. Mais, à examiner le classement de saison régulière de l’ALM sur les quatre derniers exercices, on constate qu’Évreux suit une pente descendante : 3e en 2015-16 (21 v.-13 d), 8e en 2016-17 (18-16), 9e en 2017-18 (16-18) et 12e (13-21) donc la saison dernière.[/arm_restrict_content]
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Photos : Sabine De Leest/ALM Evreux
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Et qui a désagréablement surpris dans un fief où l’on s’était habitué, les années précédentes, à manger du miel : finaliste des playoffs d’accession en 2015-16 et demi-finaliste en 2016-17. Mais, à examiner le classement de saison régulière de l’ALM sur les quatre derniers exercices, on constate qu’Évreux suit une pente descendante : 3e en 2015-16 (21 v.-13 d), 8e en 2016-17 (18-16), 9e en 2017-18 (16-18) et 12e (13-21) donc la saison dernière.\n\nPour enrayer cette glissade, Évreux n’y est pas allé par quatre chemins : que ce soit de la volonté des joueurs (comme Damien Bouquet ou Steeve Ho You Fat partis en Jeep Élite) ou de celle des dirigeants du club, ils sont dix de l’effectif de l’an dernier à avoir fait leurs valises, le seul Ruphin Kayembe continuant sous les couleurs ébroïciennes. Pour les remplacer, Fabrice Lefrançois a fait appel à huit nouveaux pensionnaires, recrutés entre Jeep Élite, Pro B, NM1 et Espagne. En tête d’affiche de ces arrivées, Jerrold Brooks, le meneur qui avait autant enchanté les spectateurs de la salle Jean Fourré d’Évreux en 2017-18 qu’il a déçu ceux de Caen la saison dernière. De retour dans un contexte favorable, le joueur aura pour mission d’orchestrer un collectif composé de joueurs en phase de progression comme Antoine Wallez ou de stabilisation comme Fabien Paschal et Paul Rigot. Le tout sera « pimenté » par deux joueurs arrivant de LEB Oro, la deuxième division espagnole, le Macédonien Stojan Gjuroski et l’Espagnol Jhornan Zamora. Des arrivées qui ne doivent rien au hasard : Fabrice Lefrançois veut accélérer le jeu de son équipe et lui ajouter du QI basket, marques de fabrique du basket espagnol et qui s’exportent bien dans nos contrées, comme l’a démontré Gries-Oberhoffen.\n\nÉquilibrée sur le papier, l’équipe concoctée par Fabrice Lefrançois semble cependant un peu juste pour viser les playoffs, dans une Pro B où les « cadors » supposés, en nombre croissant, recrutent haut de gamme. Aux joueurs de démontrer que la force collective peut prévaloir sur la longueur du CV…\n\n« Il faut rester humble par rapport à nos capacités. Nous voulons d’abord assurer un maintien rapide. On verra plus tard pour se projeter vers d’autres objectifs. »Fabrice Lefrançois, entraîneur principal\n\nLes deux joueurs à suivre : \n\nJerrold Brooks (1,83m, 27 ans)\n\nMaître à jouer d’Évreux en 2017-18 (16,0 d’évaluation par match), il est ensuite passé au Caen Basket Calvados la saison dernière, où son rendement a chuté, contribuant à la relégation du club normand. De retour en Eure-et-Loire, il aura à coeur de faire oublier sa triste saison passée (13,2 points, 2,1 rebonds et 4,0 passes) dans un environnement qu’il connaît bien.\n\nJhornan Zamora (1,96m, 30 ans)\n\n« La touche hispanique qui apportera de la création », annonce son coach. Principalement passé par le championnat vénézuélien et la deuxième division espagnole, il tournait à 14,8 points, 3,1 rebonds et 2,0 passes la saison dernière avec Orense.\n\nArrivées :\n\nAntoine Wallez (Angers, NM1), Jerrold Brooks (Caen), Ibrahima Sidibe (GET Vosges, NM1), Jhornan Zamora (Orense, Espagne), Florent Tortosa (Lille), Paul Rigot (Antibes, Jeep Élite), Stojan Gjuroski (Huesca, Espagne), Fabien Paschal (Le Havre, NM1).\n\nDéparts :\n\nDamien Bouquet (Nanterre, Jeep Élite), Steeve Ho You Fat (Roanne, Jeep Élite), Kevin Dinal (Gries-Oberhoffen), Théo Léon (Aix-Maurienne), Gary Michel (Gardonne, NM2), Drake Reed (Saint-Quentin), Manny Atkins, Frank Booker, Kevin Lavieille, Romain Poinas.\n\nEffectif 2019/20 :\n\nMeneurs : Jerrold Brooks (Américain), Ibrahima Sidibe\n\nExtérieurs : Jhornan Zamora (Vénezuélien, Cotonou), Florent Tortosa, Paul Rigot\n\nIntérieurs : Stojan Gjuroski (Macédonien, Bosman), Antoine Wallez, Fabien Paschal, Ruphin Kayembe (Congolais, Cotonou)\n\nLe cinq majeur probable :\n\nBrooks-Zamora-Rigot-Gjuroski-Kayembe\n\nEntraîneur : Fabrice Lefrançois Assistant : Sylvain Grzanka\n\n[armelse]\n\nLors de la saison 2018-19, seul le combo Antwan Scott a disputé l’intégralité des rencontres de la saison régulière, tous les autres joueurs majeurs de l’effectif manquant entre trois et quatorze rencontres. 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L’Espagne affrontera les Bleues le 15 novembre à Zamora et deux jours plus tard à Palencia avec dans l’optique le Tournoi de Qualification Olympique de février 2020 .\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Par ailleurs, Laia Palau, 40 ans depuis le 10 septembre, fait toujours partie du groupe qui reçoit l’apport de Maite Cazorla (1,78m, 22 ans), qui a passé quatre ans à l’université d’Oregon et qui a fait cet été ses débuts en WNBA.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les 16 joueuses: \"],[0,[0],1,\"Tamara Abalde\"],[0,[],0,\" (Basket Valencia), \"],[0,[0],1,\"María Araujo\"],[0,[],0,\" (Spar CityLift Girona), \"],[0,[0],1,\"Queralt Casas\"],[0,[],0,\" (Basket Valencia), \"],[0,[0],1,\"Maite Cazorla\"],[0,[],0,\" (Perfumerías Avenida), \"],[0,[0],1,\"Anna Cruz\"],[0,[],0,\" (Fenerbahce), \"],[0,[0],1,\"Silvia Domínguez\"],[0,[],0,\" (Perfumerías Avenida ), \"],[0,[0],1,\"Laura Gil\"],[0,[],0,\" (Perfumerías Avenida), \"],[0,[0],1,\"Paula Ginzo\"],[0,[],0,\" (Nissan Al-Qázeres), \"],[0,[0],1,\"Nogaye Lo\"],[0,[],0,\" (Lointek Gernika), \"],[0,[0],1,\"Laura Nicholls\"],[0,[],0,\" (Nadezhda), \"],[0,[0],1,\"Cristina Ouviña\"],[0,[],0,\" (USK Prague), \"],[0,[0],1,\"Laia Palau\"],[0,[],0,\" (Spar CityLift Gérone), \"],[0,[0],1,\"Leonor Rodríguez\"],[0,[],0,\" (Cukurova) ), \"],[0,[0],1,\"Alba Torrens\"],[0,[],0,\"(UMMC Yekaterinburg), \"],[0,[0],1,\"Andrea Vilaró\"],[0,[],0,\" (Perfumerías Avenida) et \"],[0,[0],1,\"Marta Xargay\"],[0,[],0,\" (Dynamo Koursk).\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Nous allons faire une préparation spécifique pour les pré-olympiques de février, où nous n’aurons presque pas de temps pour travailler », a déclaré l’entraîneur Lucas Mondelo.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Alors que Astou Ndour et Maria Conde, blessées, y sont absentes, la sélection de 16 joueuses communiquée par la Fédération espagnole pour les deux matches amicaux contre la France comprend Alba Torrens, qui avait du déclarer forfait pour l’Euro 2019 en raison de problèmes physiques. 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Par ailleurs, Laia Palau, 40 ans depuis le 10 septembre, fait toujours partie du groupe qui reçoit l’apport de Maite Cazorla (1,78m, 22 ans), qui a passé quatre ans à l’université d’Oregon et qui a fait cet été ses débuts en WNBA.
Les 16 joueuses: Tamara Abalde (Basket Valencia), María Araujo (Spar CityLift Girona), Queralt Casas (Basket Valencia), Maite Cazorla (Perfumerías Avenida), Anna Cruz (Fenerbahce), Silvia Domínguez (Perfumerías Avenida ), Laura Gil (Perfumerías Avenida), Paula Ginzo (Nissan Al-Qázeres), Nogaye Lo (Lointek Gernika), Laura Nicholls (Nadezhda), Cristina Ouviña (USK Prague), Laia Palau (Spar CityLift Gérone), Leonor Rodríguez (Cukurova) ), Alba Torrens(UMMC Yekaterinburg), Andrea Vilaró (Perfumerías Avenida) et Marta Xargay (Dynamo Koursk).
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Photo d’ouverture : Fos Provence
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La logique des chiffres a été implacable : 18\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" budget et 17\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" masse salariale, le club fosséen a été accompagné dans la charrette des relégués par Antibes, 17\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" budget et 18\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" masse salariale… C’est sans démériter que les « B&Y » (pour « Black & Yellow », noir et jaune) ont passé cette année dans l’élite du basket français, même s’ils ont cruellement manqué d’intensité défensive (17\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" défense, mais aussi 17\"],[0,[0],1,\"e\"],[0,[],0,\" attaque). À défaut de se maintenir, les Provençaux auront permis à leur prometteur jeune Allan Dokossi de grappiller ses premières minutes en Jeep Élite, à Édouard Choquet de se rappeler au bon souvenir de la première division française et à Pierre Pelos de prouver qu’il avait toute sa place à cet étage – du reste, Bourg-en-Bresse ne s’y est pas trompé, signant le joueur cet été.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"De retour dans une Pro B qu’ils connaissent bien, les BYers ont bien évidemment vu partir une grande partie de l’effectif qui avait foulé les parquets de Jeep Élite. Tous les non-JFL ont plié bagage, de même qu’une grande partie du contingent JFL, dont le célébrissime « Maire », Mamadou Dia, qui aura eu le bonheur de découvrir l’élite française à 40 ans passés et qui vient enfin de prendre sa retraite de basketteur professionnel après 14 saisons à Fos-sur-Mer ! Mais le « Maire » ne va guère s’éloigner de son port d’attache : il va jouer en NM2 avec Sapela, à Salon-de-Provence, et passer les diplômes lui permettant à l’avenir d’intégrer le staff technique fosséen, « \"],[0,[1],1,\"un projet pour les 40 prochaines années\"],[0,[],0,\" », en rigole Rémi Giuitta, le coach provençal.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"De l’exercice conclu par une descente, Fos Provence ne conserve dans son effectif que les deux jeunes du club, Allan Dokossi et Dominick Bridgewaters, ainsi que l’autre grand fidèle au club, Édouard Choquet, qui va disputer sa septième campagne sous les couleurs noires et jaunes. Pour les accompagner, Rémi Giuitta a choisi ses joueurs selon deux critères : la connaissance de la Pro B et celle du club fosséen. Ainsi, outre Bodian Massa et Sullivan Hernandez de retour de prêt, Mohamed Hachad et Charles-Noé Abouo ont déjà évolué sous les couleurs de Fos Provence, alors que Lucas Hergott, Caleb Walker, Junior Mbida et Makram Ben Romdhane se sont tous illustrés plus ou moins récemment dans la division (Walker ayant cartonné avec Évreux entre 2016 et 2018 alors que les trois autres se distinguaient en Pro B la saison passée). Tout cela constitue un effectif dense, dont toutes les lignes sont doublées à l’exception de la mène, où Édouard Choquet risque de se retrouver un peu seul, même si Mo’ Hachad peut donner quelques minutes sur le poste et si Dominick Bridgewaters peut se révéler à ce niveau. Même sans « star » (à l’exception peut-être de Makram Ben Romdhane, qui aurait mérité de figurer dans le Cinq majeur de la saison de Pro B), même avec cette petite « faille » à la mène, Fos-sur-Mer se range sur la ligne de départ de cette nouvelle année avec une équipe amenée à jouer les premiers rôles, ayant de bonnes chances de concurrencer les grosses écuries qui visent la montée.\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"« Cette saison, il n’y aura pas de montée directe, celui qui montera passera par les playoffs. L’objectif est d’être dans ce top 8. Ensuite, nous avons vécu tellement d’aventures en playoffs, où tout le monde nous voyait passer mais où nous n’avons pas réussi à le faire. Et l’année où nous finissons quatrièmes mais en finissant sur une meilleure dynamique, c’est là qu’on a réussi à gagner des matchs à l’extérieur, comme à Roanne, alors qu’on n’était pas favoris. 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La saison dernière, il tournait à 7,3 points (45,3 % aux tirs, 40,4 % à trois-points), 2,6 rebonds et 5,1 passes pour 10,6 d’évaluation, des chiffres très similaires à ceux produits l’année précédente en Pro B. Actif des deux côtés du terrain, pleinement imprégné de la philosophie de jeu de Rémi Giuitta, ce meneur-organisateur est l’âme et le baromètre des BYers.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Makram Ben Romdhane (2,05m, 30 ans)\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Beaucoup de suiveurs de la Pro B se demandaient avec curiosité ce que donnerait la « touche tunisienne » pour laquelle avait opté la saison passée Saint-Chamond avec le meneur Omar Abada et l’intérieur Makram Ben Romdhane. Si le premier a réalisé un honnête exercice, mais sans plus, le second n’a pas manqué d’impressionner, démarrant sur les chapeaux de roue, avec trois matchs entre 24 et 27 d’évaluation. S’il s’est un peu « calmé » par la suite, le Tunisien passé par l’Espagne (Murcie), l’Égypte (Alexandrie) ou le Liban (Beyrouth) en sus de l’Étoile sportive du Sahel de son pays natal a fait preuve d’une grande régularité tout au long de la saison : sur 32 matchs joués, il n’en a connu que trois avec une évaluation inférieure à 10. Sur l’année, il a produit 11,7 points (50,9 % aux tirs dont 33,5 % à trois-points), 8,5 rebonds et 3,3 passes pour 16,3 d’évaluation. Polyvalent sur les deux postes intérieurs, doté d’une bonne vision du jeu et à l’aise en attaque comme en défense, l’international tunisien (13,0 points, 7,2 rebonds, 3,8 passes et 17,8 d’évaluation en 5 matchs lors de la récente Coupe du monde en Chine) est une sacrée bonne pioche, qui a l’avantage supplémentaire de déjà bien connaître Bodian Massa et Lucas Hergott, avec qui il évoluait à Saint-Chamond. S’il continue sur la lancée de ses récentes prestations, il contribuera sans une once de doute à tirer le club fosséen vers le haut.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Arrivées : \"],[0,[],0,\"Bodian Massa (Saint-Chamond, retour de prêt), Sullivan Hernandez (Aix-Maurienne, retour de prêt), Lucas Hergott (Saint-Chamond), Mohamed Hachad (sans club), Junior Mbida (Orléans), Charles-Noé Abouo (Blois), Caleb Walker (Basic-Fit Bruxelles, Belgique), Makram Ben Romdhane (Saint-Chamond).\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Départs : \"],[0,[],0,\"Xavier Gaillou, Ron Lewis (Nancy), Abdoulaye Mbaye (Poitiers), Malik Hairston, Tariq Kirksay, Jaraun Burrows (Aix-Maurienne), Marcus Dove, Pierre Pelos (Bourg-en-Bresse, Jeep Élite), Mamadou Dia (retraite), Giannis Athinaiou (Panathinaïkos, Grèce, rupture des ligaments croisés du genou), Jarvis Varnado.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Effectif 2019-20 :\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Meneurs :\"],[0,[],0,\" Édouard Choquet, Dominick Bridgewaters (Bahaméen, Cotonou)\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Extérieurs :\"],[0,[],0,\" Caleb Walker (Américain), Mohamed Hachad (Franco-Marocain, JFL), Lucas Hergott, Charles-Noé Abouo (Américano-Ivoirien, Cotonou), Allan Dokossi\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Intérieurs :\"],[0,[],0,\" Makram Ben Romdhane (Tunisien, Cotonou), Junior Mbida (Camerounais, JFL), Sullivan Hernandez, Bodian Massa\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Le cinq majeur probable :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Choquet – Walker – Abouo – Ben Romdhane – Mbida\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Entraîneur :\"],[0,[],0,\" Rémi Giuitta \"],[0,[2],1,\"Assistants :\"],[0,[],0,\" Jean-Philippe Besson, Karim Remil\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"De retour dans une Pro B qu’ils connaissent bien, les BYers ont bien évidemment vu partir une grande partie de l’effectif qui avait foulé les parquets de Jeep Élite. Tous les non-JFL ont plié bagage, de même qu’une grande partie du contingent JFL, dont le célébrissime « Maire », Mamadou Dia, qui aura eu le bonheur de découvrir l’élite française à 40 ans passés et qui vient enfin de prendre sa retraite de basketteur professionnel après 14 saisons à Fos-sur-Mer ! Mais le « Maire » ne va guère s’éloigner de son port d’attache : il va jouer en NM2 avec Sapela, à Salon-de-Provence, et passer les diplômes lui permettant à l’avenir d’intégrer le staff technique fosséen, « \"],[0,[1],1,\"un projet pour les 40 prochaines années\"],[0,[],0,\" », en rigole Rémi Giuitta, le coach provençal.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[10,4]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"L’aventure a été belle mais s’est terminée comme nombre d’observateurs le craignaient, par une relégation. Promu en Jeep Élite à la fin de la saison 2017-18 suite à des playoffs d’accession de toute beauté, Fos Provence Basket n’aura passé qu’une saison à l’étage suprême (17e avec 9 victoires et 25 défaites). La logique des chiffres a été implacable : 18e budget et 17e masse salariale, le club fosséen a été accompagné dans la charrette des relégués par Antibes, 17e budget et 18e masse salariale… C’est sans démériter que les « B&Y » (pour « Black & Yellow », noir et jaune) ont passé cette année dans l’élite du basket français, même s’ils ont cruellement manqué d’intensité défensive (17e défense, mais aussi 17e attaque). À défaut de se maintenir, les Provençaux auront permis à leur prometteur jeune Allan Dokossi de grappiller ses premières minutes en Jeep Élite, à Édouard Choquet de se rappeler au bon souvenir de la première division française et à Pierre Pelos de prouver qu’il avait toute sa place à cet étage – du reste, Bourg-en-Bresse ne s’y est pas trompé, signant le joueur cet été.
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De retour dans une Pro B qu’ils connaissent bien, les BYers ont bien évidemment vu partir une grande partie de l’effectif qui avait foulé les parquets de Jeep Élite. Tous les non-JFL ont plié bagage, de même qu’une grande partie du contingent JFL, dont le célébrissime « Maire », Mamadou Dia, qui aura eu le bonheur de découvrir l’élite française à 40 ans passés et qui vient enfin de prendre sa retraite de basketteur professionnel après 14 saisons à Fos-sur-Mer ! Mais le « Maire » ne va guère s’éloigner de son port d’attache : il va jouer en NM2 avec Sapela, à Salon-de-Provence, et passer les diplômes lui permettant à l’avenir d’intégrer le staff technique fosséen, « un projet pour les 40 prochaines années », en rigole Rémi Giuitta, le coach provençal.
De l’exercice conclu par une descente, Fos Provence ne conserve dans son effectif que les deux jeunes du club, Allan Dokossi et Dominick Bridgewaters, ainsi que l’autre grand fidèle au club, Édouard Choquet, qui va disputer sa septième campagne sous les couleurs noires et jaunes. Pour les accompagner, Rémi Giuitta a choisi ses joueurs selon deux critères : la connaissance de la Pro B et celle du club fosséen. Ainsi, outre Bodian Massa et Sullivan Hernandez de retour de prêt, Mohamed Hachad et Charles-Noé Abouo ont déjà évolué sous les couleurs de Fos Provence, alors que Lucas Hergott, Caleb Walker, Junior Mbida et Makram Ben Romdhane se sont tous illustrés plus ou moins récemment dans la division (Walker ayant cartonné avec Évreux entre 2016 et 2018 alors que les trois autres se distinguaient en Pro B la saison passée). Tout cela constitue un effectif dense, dont toutes les lignes sont doublées à l’exception de la mène, où Édouard Choquet risque de se retrouver un peu seul, même si Mo’ Hachad peut donner quelques minutes sur le poste et si Dominick Bridgewaters peut se révéler à ce niveau. Même sans « star » (à l’exception peut-être de Makram Ben Romdhane, qui aurait mérité de figurer dans le Cinq majeur de la saison de Pro B), même avec cette petite « faille » à la mène, Fos-sur-Mer se range sur la ligne de départ de cette nouvelle année avec une équipe amenée à jouer les premiers rôles, ayant de bonnes chances de concurrencer les grosses écuries qui visent la montée.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/art-r-c3-a9mi-giuitta.jpg\")
« Cette saison, il n’y aura pas de montée directe, celui qui montera passera par les playoffs. L’objectif est d’être dans ce top 8. Ensuite, nous avons vécu tellement d’aventures en playoffs, où tout le monde nous voyait passer mais où nous n’avons pas réussi à le faire. Et l’année où nous finissons quatrièmes mais en finissant sur une meilleure dynamique, c’est là qu’on a réussi à gagner des matchs à l’extérieur, comme à Roanne, alors qu’on n’était pas favoris. Si nous pouvions revivre une aventure en Jeep Élite, ce serait avec grand plaisir, forcément. » Rémi Giuitta, entraîneur principalLes deux joueurs à suivre
:
Édouard Choquet (1,88m, 31 ans)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/choquet.jpg\")
Après avoir effectué ses premiers pas professionnels du côté du Portel entre 2007 et 2011, le joueur formé à Limoges et Bordeaux a commencé son histoire d’amour avec Fos-sur-Mer lors de la saison 2011-12, s’affirmant pendant quatre ans comme l’un des très bons meneurs de jeu de la Pro B. Après deux ans à se tester à l’étage supérieur, une première année à l’Asvel (champion de France 2016), une seconde à Châlons-Reims, le Limougeaud est revenu en Provence, connaissant la montée puis la relégation avec son club de cœur. Un terme qui n’est pas galvaudé : il a rempilé pour deux ans à l’intersaison. La saison dernière, il tournait à 7,3 points (45,3 % aux tirs, 40,4 % à trois-points), 2,6 rebonds et 5,1 passes pour 10,6 d’évaluation, des chiffres très similaires à ceux produits l’année précédente en Pro B. Actif des deux côtés du terrain, pleinement imprégné de la philosophie de jeu de Rémi Giuitta, ce meneur-organisateur est l’âme et le baromètre des BYers.
Makram Ben Romdhane (2,05m, 30 ans)
Beaucoup de suiveurs de la Pro B se demandaient avec curiosité ce que donnerait la « touche tunisienne » pour laquelle avait opté la saison passée Saint-Chamond avec le meneur Omar Abada et l’intérieur Makram Ben Romdhane. Si le premier a réalisé un honnête exercice, mais sans plus, le second n’a pas manqué d’impressionner, démarrant sur les chapeaux de roue, avec trois matchs entre 24 et 27 d’évaluation. S’il s’est un peu « calmé » par la suite, le Tunisien passé par l’Espagne (Murcie), l’Égypte (Alexandrie) ou le Liban (Beyrouth) en sus de l’Étoile sportive du Sahel de son pays natal a fait preuve d’une grande régularité tout au long de la saison : sur 32 matchs joués, il n’en a connu que trois avec une évaluation inférieure à 10. Sur l’année, il a produit 11,7 points (50,9 % aux tirs dont 33,5 % à trois-points), 8,5 rebonds et 3,3 passes pour 16,3 d’évaluation. Polyvalent sur les deux postes intérieurs, doté d’une bonne vision du jeu et à l’aise en attaque comme en défense, l’international tunisien (13,0 points, 7,2 rebonds, 3,8 passes et 17,8 d’évaluation en 5 matchs lors de la récente Coupe du monde en Chine) est une sacrée bonne pioche, qui a l’avantage supplémentaire de déjà bien connaître Bodian Massa et Lucas Hergott, avec qui il évoluait à Saint-Chamond. S’il continue sur la lancée de ses récentes prestations, il contribuera sans une once de doute à tirer le club fosséen vers le haut.
Arrivées : Bodian Massa (Saint-Chamond, retour de prêt), Sullivan Hernandez (Aix-Maurienne, retour de prêt), Lucas Hergott (Saint-Chamond), Mohamed Hachad (sans club), Junior Mbida (Orléans), Charles-Noé Abouo (Blois), Caleb Walker (Basic-Fit Bruxelles, Belgique), Makram Ben Romdhane (Saint-Chamond).
Départs : Xavier Gaillou, Ron Lewis (Nancy), Abdoulaye Mbaye (Poitiers), Malik Hairston, Tariq Kirksay, Jaraun Burrows (Aix-Maurienne), Marcus Dove, Pierre Pelos (Bourg-en-Bresse, Jeep Élite), Mamadou Dia (retraite), Giannis Athinaiou (Panathinaïkos, Grèce, rupture des ligaments croisés du genou), Jarvis Varnado.
Effectif 2019-20 :
Meneurs : Édouard Choquet, Dominick Bridgewaters (Bahaméen, Cotonou)
Extérieurs : Caleb Walker (Américain), Mohamed Hachad (Franco-Marocain, JFL), Lucas Hergott, Charles-Noé Abouo (Américano-Ivoirien, Cotonou), Allan Dokossi
Intérieurs : Makram Ben Romdhane (Tunisien, Cotonou), Junior Mbida (Camerounais, JFL), Sullivan Hernandez, Bodian Massa
Le cinq majeur probable :
Choquet – Walker – Abouo – Ben Romdhane – Mbida
Entraîneur : Rémi Giuitta Assistants : Jean-Philippe Besson, Karim Remil
x
[armelse]
De retour dans une Pro B qu’ils connaissent bien, les BYers ont bien évidemment vu partir une grande partie de l’effectif qui avait foulé les parquets de Jeep Élite. Tous les non-JFL ont plié bagage, de même qu’une grande partie du contingent JFL, dont le célébrissime « Maire », Mamadou Dia, qui aura eu le bonheur de découvrir l’élite française à 40 ans passés et qui vient enfin de prendre sa retraite de basketteur professionnel après 14 saisons à Fos-sur-Mer ! Mais le « Maire » ne va guère s’éloigner de son port d’attache : il va jouer en NM2 avec Sapela, à Salon-de-Provence, et passer les diplômes lui permettant à l’avenir d’intégrer le staff technique fosséen, « un projet pour les 40 prochaines années », en rigole Rémi Giuitta, le coach provençal.
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Photo d’ouverture : Fos Provence
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À défaut de se maintenir, les Provençaux auront permis à leur prometteur jeune Allan Dokossi de grappiller ses premières minutes en Jeep Élite, à Édouard Choquet de se rappeler au bon souvenir de la première division française et à Pierre Pelos de prouver qu’il avait toute sa place à cet étage – du reste, Bourg-en-Bresse ne s’y est pas trompé, signant le joueur cet été.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nDe retour dans une Pro B qu’ils connaissent bien, les BYers ont bien évidemment vu partir une grande partie de l’effectif qui avait foulé les parquets de Jeep Élite. Tous les non-JFL ont plié bagage, de même qu’une grande partie du contingent JFL, dont le célébrissime « Maire », Mamadou Dia, qui aura eu le bonheur de découvrir l’élite française à 40 ans passés et qui vient enfin de prendre sa retraite de basketteur professionnel après 14 saisons à Fos-sur-Mer ! Mais le « Maire » ne va guère s’éloigner de son port d’attache : il va jouer en NM2 avec Sapela, à Salon-de-Provence, et passer les diplômes lui permettant à l’avenir d’intégrer le staff technique fosséen, « un projet pour les 40 prochaines années », en rigole Rémi Giuitta, le coach provençal.\n\nDe l’exercice conclu par une descente, Fos Provence ne conserve dans son effectif que les deux jeunes du club, Allan Dokossi et Dominick Bridgewaters, ainsi que l’autre grand fidèle au club, Édouard Choquet, qui va disputer sa septième campagne sous les couleurs noires et jaunes. Pour les accompagner, Rémi Giuitta a choisi ses joueurs selon deux critères : la connaissance de la Pro B et celle du club fosséen. Ainsi, outre Bodian Massa et Sullivan Hernandez de retour de prêt, Mohamed Hachad et Charles-Noé Abouo ont déjà évolué sous les couleurs de Fos Provence, alors que Lucas Hergott, Caleb Walker, Junior Mbida et Makram Ben Romdhane se sont tous illustrés plus ou moins récemment dans la division (Walker ayant cartonné avec Évreux entre 2016 et 2018 alors que les trois autres se distinguaient en Pro B la saison passée). Tout cela constitue un effectif dense, dont toutes les lignes sont doublées à l’exception de la mène, où Édouard Choquet risque de se retrouver un peu seul, même si Mo’ Hachad peut donner quelques minutes sur le poste et si Dominick Bridgewaters peut se révéler à ce niveau. Même sans « star » (à l’exception peut-être de Makram Ben Romdhane, qui aurait mérité de figurer dans le Cinq majeur de la saison de Pro B), même avec cette petite « faille » à la mène, Fos-sur-Mer se range sur la ligne de départ de cette nouvelle année avec une équipe amenée à jouer les premiers rôles, ayant de bonnes chances de concurrencer les grosses écuries qui visent la montée.\n\n« Cette saison, il n’y aura pas de montée directe, celui qui montera passera par les playoffs. L’objectif est d’être dans ce top 8. Ensuite, nous avons vécu tellement d’aventures en playoffs, où tout le monde nous voyait passer mais où nous n’avons pas réussi à le faire. Et l’année où nous finissons quatrièmes mais en finissant sur une meilleure dynamique, c’est là qu’on a réussi à gagner des matchs à l’extérieur, comme à Roanne, alors qu’on n’était pas favoris. Si nous pouvions revivre une aventure en Jeep Élite, ce serait avec grand plaisir, forcément. » Rémi Giuitta, entraîneur principal\n\nLes deux joueurs à suivre\n\n:\n\nÉdouard Choquet (1,88m, 31 ans)\n\nAprès avoir effectué ses premiers pas professionnels du côté du Portel entre 2007 et 2011, le joueur formé à Limoges et Bordeaux a commencé son histoire d’amour avec Fos-sur-Mer lors de la saison 2011-12, s’affirmant pendant quatre ans comme l’un des très bons meneurs de jeu de la Pro B. Après deux ans à se tester à l’étage supérieur, une première année à l’Asvel (champion de France 2016), une seconde à Châlons-Reims, le Limougeaud est revenu en Provence, connaissant la montée puis la relégation avec son club de cœur. Un terme qui n’est pas galvaudé : il a rempilé pour deux ans à l’intersaison. La saison dernière, il tournait à 7,3 points (45,3 % aux tirs, 40,4 % à trois-points), 2,6 rebonds et 5,1 passes pour 10,6 d’évaluation, des chiffres très similaires à ceux produits l’année précédente en Pro B. Actif des deux côtés du terrain, pleinement imprégné de la philosophie de jeu de Rémi Giuitta, ce meneur-organisateur est l’âme et le baromètre des BYers.\n\nMakram Ben Romdhane (2,05m, 30 ans)\n\nBeaucoup de suiveurs de la Pro B se demandaient avec curiosité ce que donnerait la « touche tunisienne » pour laquelle avait opté la saison passée Saint-Chamond avec le meneur Omar Abada et l’intérieur Makram Ben Romdhane. Si le premier a réalisé un honnête exercice, mais sans plus, le second n’a pas manqué d’impressionner, démarrant sur les chapeaux de roue, avec trois matchs entre 24 et 27 d’évaluation. S’il s’est un peu « calmé » par la suite, le Tunisien passé par l’Espagne (Murcie), l’Égypte (Alexandrie) ou le Liban (Beyrouth) en sus de l’Étoile sportive du Sahel de son pays natal a fait preuve d’une grande régularité tout au long de la saison : sur 32 matchs joués, il n’en a connu que trois avec une évaluation inférieure à 10. Sur l’année, il a produit 11,7 points (50,9 % aux tirs dont 33,5 % à trois-points), 8,5 rebonds et 3,3 passes pour 16,3 d’évaluation. Polyvalent sur les deux postes intérieurs, doté d’une bonne vision du jeu et à l’aise en attaque comme en défense, l’international tunisien (13,0 points, 7,2 rebonds, 3,8 passes et 17,8 d’évaluation en 5 matchs lors de la récente Coupe du monde en Chine) est une sacrée bonne pioche, qui a l’avantage supplémentaire de déjà bien connaître Bodian Massa et Lucas Hergott, avec qui il évoluait à Saint-Chamond. S’il continue sur la lancée de ses récentes prestations, il contribuera sans une once de doute à tirer le club fosséen vers le haut.\n\nArrivées : Bodian Massa (Saint-Chamond, retour de prêt), Sullivan Hernandez (Aix-Maurienne, retour de prêt), Lucas Hergott (Saint-Chamond), Mohamed Hachad (sans club), Junior Mbida (Orléans), Charles-Noé Abouo (Blois), Caleb Walker (Basic-Fit Bruxelles, Belgique), Makram Ben Romdhane (Saint-Chamond).\n\nDéparts : Xavier Gaillou, Ron Lewis (Nancy), Abdoulaye Mbaye (Poitiers), Malik Hairston, Tariq Kirksay, Jaraun Burrows (Aix-Maurienne), Marcus Dove, Pierre Pelos (Bourg-en-Bresse, Jeep Élite), Mamadou Dia (retraite), Giannis Athinaiou (Panathinaïkos, Grèce, rupture des ligaments croisés du genou), Jarvis Varnado.\n\nEffectif 2019-20 :\n\nMeneurs : Édouard Choquet, Dominick Bridgewaters (Bahaméen, Cotonou)\n\nExtérieurs : Caleb Walker (Américain), Mohamed Hachad (Franco-Marocain, JFL), Lucas Hergott, Charles-Noé Abouo (Américano-Ivoirien, Cotonou), Allan Dokossi\n\nIntérieurs : Makram Ben Romdhane (Tunisien, Cotonou), Junior Mbida (Camerounais, JFL), Sullivan Hernandez, Bodian Massa\n\nLe cinq majeur probable :\n\nChoquet – Walker – Abouo – Ben Romdhane – Mbida\n\nEntraîneur : Rémi Giuitta Assistants : Jean-Philippe Besson, Karim Remil\n\nx\n\n[armelse]\n\nDe retour dans une Pro B qu’ils connaissent bien, les BYers ont bien évidemment vu partir une grande partie de l’effectif qui avait foulé les parquets de Jeep Élite. 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Mais le « Maire » ne va guère s’éloigner de son port d’attache : il va jouer en NM2 avec Sapela, à Salon-de-Provence, et passer les diplômes lui permettant à l’avenir d’intégrer le staff technique fosséen, « un projet pour les 40 prochaines années », en rigole Rémi Giuitta, le coach provençal.\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : Fos Provence", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/09/fos-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-10-30T03:30:12.000Z", "updated_at":"2019-10-31T09:32:07.000Z", "published_at":"2019-10-30T03:30:12.000Z", "custom_excerpt":"L’aventure a été belle mais s’est terminée comme nombre d’observateurs le craignaient, par une relégation. 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Le Paris Basketball joue habituellement à la Halle Carpentier dans le 13e arrondissement parisien.
Orléans annonce officiellement la venue et jusqu’à la fin de la saison de l’arrière Darryl Strawberry Jr (1,95m, 34 ans). Celui-ci possède les passeports américain et camerounais.
Le Newyorkais présente un CV de qualité; il a été notamment champion de Turquie en 2015 avec Pınar Karşıyaka et champion de Grèce en 2016 avec Olympiakos. Il a joué 57 matchs d’Euroleague avec Vilnius en 2010/11, Olympiakos en 15/16 et Grand Canaria en 18-19 et 47 matchs d’Eurocup avec Bologne en 08/09, Hapoel Jerusalem en 11/12, Cibona Zagreb en 12/14 et Pınar Karşıyaka en 14/15.
La saison dernière, Darryl Strawberry a assuré en Euroleague 8,6 points, 1,8 rebond et 1,9 passe pour 6,5 d’évaluation en 29 matches et 21 minutes de moyenne. Et en liga Endesa, il a tourné en 34 matchs à 10 points, 2,2 rebonds, 2,0 passes pour 7,7 d’évaluation en 23 minutes.
Le désormais traditionnel résumé de huit minutes de la 6e journée de Jeep Elite avec le montage de Courtcuts.
Le Boulazac Basket Dordogne signale l’arrivée de l’Américain Patrick Miller (1,85m, 27 ans) en remplacement de Tyler Larson.
Ce meneur scoreur a débuté sa carrière européenne en Turquie, au Besiktas lors de la saison 2014-2015. Il est ensuite reparti aux Etats-Unis, deux saisons en G- League, avec les Texas Legends puis les Sioux Falls Skyforce.
En 2017, il a signé au Partizan Belgrade puis à partir de janvier 2018, il a rejoint le Gazianstep en Turquie avec qui il a compilé 16,9 points, 3,3 rebonds et 4,5 passes.
La saison dernière, il était en Allemagne au Ratiopharm Ulm et il y a produit de bonnes stats: 14 points, 2 rebonds, 3,8 passes et 1,4 interception par match.
Patrick, de par ses qualités physiques et athlétiques, possède une vraie force de percussion. Par sa vitesse, il est capable de créer, non seulement pour lui-même, mais aussi pour ses coéquipiers. Passé par le Partizan Belgrade puis Ulm (Allemagne) la saison dernière, il jouait en Eurocup, compétition prestigieuse ces dernières années. Nous attendons donc avec impatience son arrivée, afin de l’intégrer au groupe le plus rapidement possible« , commente le coach Thomas Andrieux. « Il remplacera poste pour poste Tyler, que nous remercions pour son attitude et son professionnalisme, et à qui nous souhaitons le meilleur pour la suite de sa carrière.«
| LES DATES CLÉS 11 novembre : Ouverture des votes au public, 3 décembre : Réunion du jury composé d’experts et journalistes et annonce des sélections France et Monde et des participants aux concours, 29 décembre : All Star Game LNB – 14h30 : Ouverture des portes – 16h00 : Début du show – 19h15 : Fin de l’événement LE ALL STAR GAME LNB EN CHIFFRES 34 : C’est la 34ème édition du All Star Game LNB créé en 1987. C’est la 18ème édition du All Star Game LNB depuis son retour à Paris et la 17ème édition à Bercy. 15 988 : Record de spectateurs pour le All Star Game LNB, en 2018. 13 : Jim Bilba est le recordman de sélection au All Star Game depuis sa création, et a été choisi 12 fois consécutivement de 1990 à 2001, avant d’effectuer sa dernière apparition pour la première à Bercy. 17 ans, 6 mois et 17 jours : Théo Maledon est le plus jeune joueur à avoir été sélectionné pour le All Star Game LNB (devant Fabien Dubos (17 ans, 10 mois et 2 jours), Antoine Rigaudeau (18 ans, 5 mois et 15 jours) et Tony Parker (18 ans, 7 mois et 12 jours). |
| Voici le teaser: |
| INFOS BILLETTERIE Tarifs Catégorie 4 : 19 euros Catégorie 3 : 26 euros Catégorie 2 : 37 euros Catégorie 1 : 49 euros Carré Or : 75 euros Renseignements packages VIP au 01.82.83.07.26 ou contact@sportplusconseil.com |
| Par internet Accorhotelsarena.com – fnac.com – ticketmaster.fr – digitick.com Points de ventes habituels Fnac, Auchan, Carrefour, E-Leclerc, Galeries Lafayettes, Cultura, Cora Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.lnb.fr. |
Le All-Star Game de la LNB existe depuis 1987 et il est centralisé à Paris depuis l’édition de 2002. Les 16 dernières éditions se sont joués à guichets fermés.
L’édition 2019 va se tenir le 29 décembre à l’AccorHôtels Arena avec toujours un match entre une sélection de joueurs français et étrangers, des concours et différentes attractions de haute volée.
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| Voici le teaser: |
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La FIBA vient de sortir son top 10 des plus belles actions de tous les temps de 3×3. Lisa Berkani (Villeneuve d’Ascq) est dedans avec une passe entre les jambes en mouvement absolument INCROYABLE. L’occasion de lire ou de relire l’article que nous lui avons consacrée.
Photo: Lisa Berkani (FIBA)
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Comme les Villeurbannais, les Espagnols sont à 2-2 en Euroleague. Une victoire à Kaunas (58-70), une défaite au Khimki Moscou (79-76), une autre à Fenerbahçe (87-80) et une victoire a la casa contre Olympiakos (82-66). Remarque: avec celui à Villeurbanne, cela fait quatre déplacements en cinq journées.
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La délégation espagnole a ensuite pris l’avion hier matin pour Madrid et elle est arrivée à Lyon à 18h30 grâce à une bonne liaison de vols réguliers.
Vendredi, Baskonia va recevoir le FC Bayern Munich et dimanche, c’est un match au sommet qui l’attend toujours à Vitoria, face au Real Madrid. Même si les Espagnols sont habitués aux cadences de l’Euroleague, le journal As parle de:
« calendrier de folie authentique. Et heureusement, vous ne devez pas aller à Moscou, Tel Aviv ou quelque chose de similaire. »
Alors que trois de ses joueurs ont souffert de troubles gastriques, le coach Velimir Perasovic est disons prudent :
« Je ne veux pas en faire une excuse, mais le calendrier nous a beaucoup fait voyager au cours des premiers jours. Je préviens donc que de mauvaises séries peuvent se produire et que d’autres seront bonnes. »
Photo: Tornike Shengelia (Euroleague)
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-J’ai réalisé tellement de choses si tôt que je dois simplement voir si je peux en faire plus. J’aimerais vraiment jouer à l’étranger au cours de ma dernière année.
-Vraiment? Dans quel pays? Barcelone?
-Ouais.
-Vous iriez jouer à Barcelone?
-Oui. J’irai un de ces jours. C’est la deuxième meilleure ligue du monde, et les matches ont l’air très amusants. Ceux d’Euroleague aussi… Ce serait cool d’en faire l’expérience.
Evidemment, en Espagne, on est aux anges…
Les Monégasques vont disputer ce soir un match crucial du Top 16 d’Eurocup, face au Partizan Belgrade dans le bouillant Aleksandar-Nikolic Hall. Quelques semaines après y avoir triomphé, face à l’Etoile Rouge de Belgrade (91-75 le 14 novembre dernier), les hommes de Saso Filipovski tenteront de réitérer leur exploit face à l’autre club de la capitale serbe.
Battu à Vilnius lors de la première journée de Top 16 (80-74), le Partizan s’est ensuite repris face à Berlin la semaine dernière, en s’imposant facilement à domicile, 78-66. Ainsi, à la veille de cette journée du Groupe E, toutes les équipes, y compris Monaco, ont 1 victoire et 1 défaite au compteur. Meilleur marqueur de l’équipe belgradoise, Vanja Marinkovic devra être surveillé de très près dans la peinture. Le jeune arrière serbe de 22 ans tourne à 13,1 points par match depuis le début de la compétition.
Cette rencontre face au Partizan sera également l’occasion pour le capitaine monégasque, Amara Sy, de retrouver son petit frère, Bandja. Joueur important de son groupe, il était encore dans le cinq majeur face à Alba Berlin, scorant 10 points avec un 2 sur 3 à 3-points.
« Le Partizan a changé d’entraîneur (NDLR: est arrivé l’Italien Andrea Trinchieri, 50 ans) et cette équipe a évolué, elle joue très collectif, avec une grosse défense. Il faudra respecter la balle, car chaque ballon perdu est sanctionné par une contre-attaque. Le Partizan s’est renforcé avec deux nouveaux joueurs (Alex Renfroe et le pivot serbe Nikola Jankovic). L’atmosphère de la salle fait que l’on ne s’entend pas. Il faudra jouer avec beaucoup de concentration, se regarder dans les yeux et faire front, » a annoncé Filipovski avant de s’envoler pour Belgrade.
Avec le retour de Gerald Robinson et l’arrivée d’Eric Buckner, la Roca Team retrouve des couleurs.
« Gerald a beaucoup d’envie et de jus… Il faut du temps pour intégrer un nouveau joueur, mais Eric nous offre de nouvelles options très intéressantes dans la peinture. On a vu qu’il peut aussi jouer en même temps qu’Elmedin Kikanovic », souligne le coach de la Roca Team.
Samedi soir face aux Antibois, en Jeep Elite, les Monégasques ont été un peu plus adroits que lors des précédentes rencontres en concrétisant 12 de leurs 23 tentatives à 3-points. De quoi espérer avant ce déplacement en Serbie.
« On connaît la difficulté de la tâche : le Partizan vient de battre Berlin, ils se sont renforcés avec Alex Renfroe à la mène (12 passes face à l’Alba). Chaque point va compter. Mais on a les moyens de contrarier cette équipe du Partizan et de prendre la victoire », confie Paul Lacombe.
Photo: Jarrod Jones (Eurocupbasketball)
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Nobel Boungou-colo (2,02m, 30 ans) fait son retour en France en tant que pigiste médical de Rasheed Sulaimon à Levallois.
Après cinq saisons à Limoges, le natif de Brazzeville est passé par le Khimki Moscou, puis pour la saison 2017-18 par le CDB Séville (13,0 points et 4,0 rebonds en 9 matches) et Auxilium Fiat Turin (6,3 points et 3,0 rebonds en 8 matches). Il était sans club depuis le début de saison.
Photo: Levallois
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Nando De Colo (CSKA Moscou) est celui que les GM aimeraient signer, Vincent Poirier (Vitoria) est pour eux le meilleur rebondeur et Rodrigue Beaubois (Efes Istanbul) se classe deuxième au classement des shooteurs les plus purs.
Et pour les GM, c’est certain: Fenerbahçe et le Real seront au Final Four!
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\\n
Hummer has started the season with AS Monaco— Emiliano Carchia (@Carchia) January 14, 2019
Selon Sportando, l’ailier américain Ian Hummer (2,01m, 28 ans) a signé dans le club russe du Nizhny Novgorod qui est 9e de la VTB League avec 5 victoires et 7 défaites.
L’ancien étudiant de Princeton a été discret en Jeep Elite sous le maillot de Monaco avec 12 matches cette saison à 6,6 points, 4,4 rebonds et 1,2 passe en 19′ de moyenne.
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Photo: ASM
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Pas besoin d’attendre l’entre-deux pour voir les premières frictions. La preuve, cette punchline du président béarnais Didier Rey sur France Bleu Béarn en date de samedi soir :
« On va travailler dur cette semaine pour arriver en pleine forme et puis… ce n’est pas souvent que je tiens des propos comme ça mais vraiment si on pouvait aller les claquer là-bas ça serait bien, ça serait même très très bien ».", "comment_id":"449504", "plaintext":"Dimanche, ce sera la 104e édition du clasico Limoges-Pau. A partir de demain et jusqu’à samedi, BasketEurope va offrir à ses abonnés une série d’articles et d’interviews pour bien comprendre ce que représente ce choc sans nul autre pareil en Jeep Elite.\n\nPas besoin d’attendre l’entre-deux pour voir les premières frictions. La preuve, cette punchline du président béarnais Didier Rey sur France Bleu Béarn en date de samedi soir :\n\n« On va travailler dur cette semaine pour arriver en pleine forme et puis… ce n’est pas souvent que je tiens des propos comme ça mais vraiment si on pouvait aller les claquer là-bas ça serait bien, ça serait même très très bien ».", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/logo_ebplo-1.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-14T13:29:40.000Z", "updated_at":"2019-01-14T13:29:40.000Z", "published_at":"2019-01-14T13:29:40.000Z", "custom_excerpt":"Dimanche, ce sera la 104e édition du clasico Limoges-Pau. A partir de demain et jusqu’à samedi, BasketEurope va offrir à ses abonnés une série d’articles et d’interviews pour bien comprendre ce que représente ce choc sans nul autre pareil en Jeep Elite.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da4ef", "uuid":"dda2f34e-75d5-4cee-ba1a-3b6a7cd71194", "title":"Espagne: Barcelone est champion d’hiver", "slug":"espagne-barcelone-est-champion-dhiver", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"
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|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
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| 4 | \\nUnicaja Malaga | \\n16 | \\n11 | \\n5 | \\n1350 | \\n1293 | \\n68.75 | \\n\\n |
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| 7 | \\nBAXI Manresa | \\n16 | \\n9 | \\n7 | \\n1304 | \\n1290 | \\n56.25 | \\n\\n |
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| 10 | \\nMoraBanc Andorre | \\n16 | \\n7 | \\n9 | \\n1311 | \\n1346 | \\n43.75 | \\n\\n |
| 11 | \\nSan Pablo Burgos | \\n16 | \\n6 | \\n10 | \\n1291 | \\n1325 | \\n37.50 | \\n\\n |
| 12 | \\nMonbus Obradoiro | \\n16 | \\n6 | \\n10 | \\n1234 | \\n1300 | \\n37.50 | \\n\\n |
| 13 | \\nCB Breogan | \\n16 | \\n6 | \\n10 | \\n1239 | \\n1311 | \\n37.50 | \\n\\n |
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| 17 | \\nUCAM Murcia | \\n16 | \\n5 | \\n11 | \\n1190 | \\n1276 | \\n31.25 | \\n\\n |
| 18 | \\nDelteco GBC | \\n16 | \\n3 | \\n13 | \\n1178 | \\n1348 | \\n18.75 | \\n\\n |
Même s’il reste encore une journée, le FC Barcelone est certain de terminer premier à l’issue de la phase aller. Grâce à leur victoire ce week-end sur Bréogan (94-80), les Barcelonnais possèdent toujours deux victoires de plus que Vitoria et le Real Madrid.
C’est la sixième fois que les Catalans terminent le premier tour de la compétition en tant que leaders depuis la saison 1996-97, saison de la mise en place du système de compétition actuel. Pour reprendre la formulation espagnole, ils sont « champions d’hiver ».
| Place | \nEquipe | \nMJ | \nV | \nD | \nPts M. | \nPts E. | \n%V | \n\n |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | \nF.C. Barcelone | \n16 | \n14 | \n2 | \n1409 | \n1211 | \n87.50 | \n\n |
| 2 | \nBaskonia Vitoria | \n16 | \n12 | \n4 | \n1356 | \n1135 | \n75.00 | \n\n |
| 3 | \nReal Madrid | \n16 | \n12 | \n4 | \n1421 | \n1272 | \n75.00 | \n\n |
| 4 | \nUnicaja Malaga | \n16 | \n11 | \n5 | \n1350 | \n1293 | \n68.75 | \n\n |
| 5 | \nIberostar Tenerife | \n16 | \n10 | \n6 | \n1292 | \n1214 | \n62.50 | \n\n |
| 6 | \nValence | \n16 | \n10 | \n6 | \n1271 | \n1240 | \n62.50 | \n\n |
| 7 | \nBAXI Manresa | \n16 | \n9 | \n7 | \n1304 | \n1290 | \n56.25 | \n\n |
| 8 | \nD.S. Joventut Badalone | \n16 | \n9 | \n7 | \n1240 | \n1256 | \n56.25 | \n\n |
| 9 | \nTecnyconta Saragosse | \n16 | \n8 | \n8 | \n1316 | \n1351 | \n50.00 | \n\n |
| 10 | \nMoraBanc Andorre | \n16 | \n7 | \n9 | \n1311 | \n1346 | \n43.75 | \n\n |
| 11 | \nSan Pablo Burgos | \n16 | \n6 | \n10 | \n1291 | \n1325 | \n37.50 | \n\n |
| 12 | \nMonbus Obradoiro | \n16 | \n6 | \n10 | \n1234 | \n1300 | \n37.50 | \n\n |
| 13 | \nCB Breogan | \n16 | \n6 | \n10 | \n1239 | \n1311 | \n37.50 | \n\n |
| 14 | \nFuenlabrada | \n16 | \n6 | \n10 | \n1256 | \n1359 | \n37.50 | \n\n |
| 15 | \nGran Canaria | \n16 | \n5 | \n11 | \n1275 | \n1318 | \n31.25 | \n\n |
| 16 | \nEstudiantes Madrid | \n16 | \n5 | \n11 | \n1277 | \n1365 | \n31.25 | \n\n |
| 17 | \nUCAM Murcia | \n16 | \n5 | \n11 | \n1190 | \n1276 | \n31.25 | \n\n |
| 18 | \nDelteco GBC | \n16 | \n3 | \n13 | \n1178 | \n1348 | \n18.75 | \n\n |
Photo: Thomas Heurtel (Barça)
", "comment_id":"449496", "plaintext":"Même s’il reste encore une journée, le FC Barcelone est certain de terminer premier à l’issue de la phase aller. Grâce à leur victoire ce week-end sur Bréogan (94-80), les Barcelonnais possèdent toujours deux victoires de plus que Vitoria et le Real Madrid.\n\nC’est la sixième fois que les Catalans terminent le premier tour de la compétition en tant que leaders depuis la saison 1996-97, saison de la mise en place du système de compétition actuel. Pour reprendre la formulation espagnole, ils sont « champions d’hiver ».\n\n\nLe classement\n\n\n\n\nPlace\nEquipe\nMJ\nV\nD\nPts M.\nPts E.\n%V\n\n\n\n\n\n1\nF.C. Barcelone\n16\n14\n2\n1409\n1211\n87.50\n\n\n\n2\nBaskonia Vitoria\n16\n12\n4\n1356\n1135\n75.00\n\n\n\n3\nReal Madrid\n16\n12\n4\n1421\n1272\n75.00\n\n\n\n4\nUnicaja Malaga\n16\n11\n5\n1350\n1293\n68.75\n\n\n\n5\nIberostar Tenerife\n16\n10\n6\n1292\n1214\n62.50\n\n\n\n6\nValence\n16\n10\n6\n1271\n1240\n62.50\n\n\n\n7\nBAXI Manresa\n16\n9\n7\n1304\n1290\n56.25\n\n\n\n8\nD.S. Joventut Badalone\n16\n9\n7\n1240\n1256\n56.25\n\n\n\n9\nTecnyconta Saragosse\n16\n8\n8\n1316\n1351\n50.00\n\n\n\n10\nMoraBanc Andorre\n16\n7\n9\n1311\n1346\n43.75\n\n\n\n11\nSan Pablo Burgos\n16\n6\n10\n1291\n1325\n37.50\n\n\n\n12\nMonbus Obradoiro\n16\n6\n10\n1234\n1300\n37.50\n\n\n\n13\nCB Breogan\n16\n6\n10\n1239\n1311\n37.50\n\n\n\n14\nFuenlabrada\n16\n6\n10\n1256\n1359\n37.50\n\n\n\n15\nGran Canaria\n16\n5\n11\n1275\n1318\n31.25\n\n\n\n16\nEstudiantes Madrid\n16\n5\n11\n1277\n1365\n31.25\n\n\n\n17\nUCAM Murcia\n16\n5\n11\n1190\n1276\n31.25\n\n\n\n18\nDelteco GBC\n16\n3\n13\n1178\n1348\n18.75\n\n\n\n\n\n\nTous les champions d’hiver\n\n * 1996-97 – Real Madrid\n * 1997-98 – Baskonia Vitoria\n * 1998-99 – Real Madrid\n * 1999-00 – Valencia Basket\n * 2000-01 – Barcelone Lassa\n * 2001-02 – Barcelone Lassa\n * 2002-03 – Valence Basket\n * 2003-04 – Kirolbet Baskonia Vitoria\n * 2004-05 – Real Madrid\n * 2005-06 – Barcelone Lassa\n * 2006-07 – Real Madrid\n * 2007-08 – Real Madrid\n * 2008-09 – Kirolbet Baskonia Vitoria\n * 2009-10 – Barcelone Lassa\n * 2010-11 – Barcelone Lassa\n * 2011-12 – Real Madrid\n * 2012-13 – Real Madrid\n * 2013-14 – Real Madrid\n * 2014-15 – Unicaja Málaga\n * 2015-16 – Valence Basket\n * 2016-17 – Real Madrid\n * 2017-18 – Real Madrid\n * 2018-19 – Barcelone Lassa\n\nPhoto: Thomas Heurtel (Barça)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/thomas-heurtel-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-14T13:11:55.000Z", "updated_at":"2019-01-14T13:11:55.000Z", "published_at":"2019-01-14T13:11:55.000Z", "custom_excerpt":"Même s’il reste encore une journée, le FC Barcelone est certain de terminer premier à l’issue de la phase aller. 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Et surtout à l’équipe nationale qu’elle présenterait : terrifiante !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Yougoslavie a été un très grand pays de basket. Pour s’en convaincre, il sufit de rappeler son palmarès au cours des dix ans précédant le début des guerres civiles dans le pays (1991) : médaille d’or aux Euros 1989 et 1991, médailles de bronze et d’argent aux Jeux olympiques 1984 et 1988, médailles de bronze et d’or aux championnats du monde 1986 et 1990.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Malheureusement, la Yougoslavie est donc entrée dans un cycle de guerres civiles effroyable (plus de 150 000 morts) qui a duré dix ans et conduit à son éclatement. Aujourd’hui, après de multiples soubresauts, l’ex-Yougoslavie est composée de sept pays indépendants : Serbie, Croatie, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine et Kosovo.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et les successeurs des glorieux joueurs de l’époque dorée de la Yougoslavie (les Divac, Danilovic, Kukoc, Radja et autres) évoluent aujourd’hui dans l’équipe de leurs pays respectifs. Avec des résultats plus que respectables. Depuis 1993, la Serbie a récolté six médailles à l’Euro (trois or, deux argent et une bronze), la Slovénie a remporté la dernière édition, la Croatie deux médailles de bronze. Au Mondiaux, sur les six éditions disputées depuis 1994, la Serbie (sous diverses appellations) a remporté deux médailles d’or et une d’argent, la Croatie une de bronze. Quant aux Jeux olympiques, depuis 1992, ils ont vu la Croatie décrocher une médaille d’argent (la fameuse finale contre la « vraie » Dream Team), la Serbie (sous le nom de République fédérale de Yougoslavie puis de Serbie) deux médailles d’argent également. Et le palmarès de ces pays en compétitions européennes de jeunes depuis 2000 n’est pas moins impressionnant : quatre médailles dont deux d’or pour la Slovénie, une d’argent pour le Monténégro, dix dont cinq en or pour la Croatie, vingt-deux médailles dont douze en or pour la Serbie ! Autant dire que le réservoir de joueurs de ces pays reste tout bonnement incroyable pour une population totale d’un peu plus de 21 millions de personnes (dont 7,1 pour la Serbie et 4,1 pour la Croatie). Et l’on se prend à rêver : à quoi ressemblerait aujourd’hui une sélection « yougoslave » et quels pourraient être ses ambitions ?\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Typée NBA\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Alors, s’il ne fallait en retenir que douze, quels seraient les noms composant une (très) hypothétique sélection « yougoslave », ne tenant compte que de la qualité des joueurs et non de leur éventuelle complémentarité ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au poste de meneur, deux noms se dégagent : \"],[0,[1],1,\"Milos Teodosic\"],[0,[],0,\" (Serbe, LA Clippers) et \"],[0,[1],1,\"Goran Dragic\"],[0,[],0,\" (Slovène, Miami Heat). Certes, le second est blessé et a annoncé sa retraite internationale, mais il reste un immense joueur, tout comme le premier.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À l’arrière, nous aurions deux joueurs au profil assez différent : le shooter \"],[0,[1],1,\"Bogdan Bogdanovic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Sacramento Kings) et le jeune prodige \"],[0,[1],1,\"Luka Doncic\"],[0,[],0,\" (Slovène, Dallas Mavericks), capable d’évoluer sur tous les postes extérieurs voire en ailier fort.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au poste d’ailier, c’est l’autre \"],[0,[1],1,\"Bogdanovic, Bojan\"],[0,[],0,\" (Croate, Indiana Pacers), qui serait titulaire, avec en relais \"],[0,[1],1,\"Mario Hezonja\"],[0,[],0,\" (Croate, New York Knicks).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À l’intérieur, au poste d’ailier-fort, le titulaire ne peut être que \"],[0,[1],1,\"Dario Saric\"],[0,[],0,\" (Croate, Minnesota Timberwolves), suppléé par \"],[0,[1],1,\"Nemanja Bjelica\"],[0,[],0,\" (Serbe, Sacramento Kings).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Enfin, le poste de pivot serait partagé entre \"],[0,[1],1,\"Nikola Jokic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Denver Nuggets) et \"],[0,[1],1,\"Nikola Vucevic\"],[0,[],0,\" (Monténégrin, Orlando Magic).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À ce « dix majeur », il est possible de piocher dans une jolie brochette de noms pour y choisir les deux derniers joueurs : \"],[0,[1],1,\"Vasilije Micic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Anadolu Efes Istanbul), \"],[0,[1],1,\"Stefan Jovic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Bayern Munich), \"],[0,[1],1,\"Nikola Kalinic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Fenerbahce), \"],[0,[1],1,\"Milan Macvan\"],[0,[],0,\" (Serbe, Bayern Munich), \"],[0,[1],1,\"Jusuf Nurkic\"],[0,[],0,\" (Bosnien, Portland Trailblazers).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au total, les dix joueurs « majeurs » de cette équipe évoluent actuellement en NBA (même si Teodosic serait sur le point de revenir en Europe). Elle comprendrait quatre Serbes, trois Croates, deux Slovènes et un Monténégrin.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Imaginez un cinq majeur Teodosic-Doncic-Bojan Bogdanovic-Saric-Jokic : de quoi empêcher de dormir la plupart des équipes nationales dans le monde. Surtout quand le banc est composé de Dragic-Bogdan Bogdanovic-Hejonza-Bjelica-Vucevic. Aucune baisse de régime à attendre avec les rotations… L’équipe écraserait sans doute la compétition aux Euros et pourrait sans doute titiller les États-Unis lors des Mondiaux ou des Jeux Olympiques.\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Et sans NBA ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Reste que, on le sait, les joueurs de NBA ne sont pas toujours disponibles pour les compétitions d’équipes nationales. Il faut alors faire appel à ceux qui évoluent en Europe (en partant de l’hypothèse, pour notre propos, que l’Euroleague et la FIBA Europe auraient cessé leur stupide conflit). Un problème pour notre équipe « yougoslave » ? Pas forcément. Certes, les noms seraient un peu moins ronflants, mais pas sûr que leurs adversaires apprécient plus que cela de se retrouver face à une armada composée de joueurs évoluant pour la plupart au plus haut niveau européen. Voyez un peu ce que pourrait donner cette sélection :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au poste de meneur, \"],[0,[1],1,\"Vasilije Micic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Anadolu Efes Istanbul) serait accompagné de \"],[0,[1],1,\"Nemanja Gordic\"],[0,[],0,\" (Bosnie-Herzégovine, Buducnost Podgorica) ou de \"],[0,[1],1,\"Stefan Markovic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Khimki Moscou).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À l’arrière, outre \"],[0,[1],1,\"Stefan Jovic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Bayern Munich), on trouverait \"],[0,[1],1,\"Marko Guduric\"],[0,[],0,\" (Serbe, Fenerbahce). Ou \"],[0,[1],1,\"Krunoslav Simon\"],[0,[],0,\" (Croate, Anadolu Efes Istanbul).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À l’aile, \"],[0,[1],1,\"Nikola Kalinic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Fenerbahce) pourrait être suppléé par \"],[0,[1],1,\"Vladimir Micov\"],[0,[],0,\" (Serbe, Olimpia Milan).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le poste d’ailier-fort serait tenu par \"],[0,[1],1,\"Milan Macvan\"],[0,[],0,\" (Serbe, Bayern Munich) et \"],[0,[1],1,\"Jaka Blazic\"],[0,[],0,\" (Slovène, Barcelone) ou \"],[0,[1],1,\"Vladimir Lucic\"],[0,[],0,\" (Serbe, Bayern Munich).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Enfin, au pivot, \"],[0,[1],1,\"Ante Tomic\"],[0,[],0,\" (Croate, Barcelone) ferait équipe avec \"],[0,[1],1,\"Nikola Milutinov\"],[0,[],0,\" (Serbe, Olympiakos) ou \"],[0,[1],1,\"Bojan Dubljevic\"],[0,[],0,\" (Monténégrin, Valence).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bref, l’équipe « européenne » resterait sacrément redoutable pour n’importe quel opposant, États-Unis exceptés peut-être.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ces deux équipes « rêvées » montrent surtout l’extraordinaire profondeur du réservoir de ces pays, capables notamment de sortir des pivots de haut niveau « à la chaîne ». Pensez que des Emeldin Kikanovic ou des Miro Bilan qui font les beaux jours de la Jeep Élite ne figureraient qu’au-delà de la dixième place d’un hypothétique classement des pivots « yougoslaves » actuels.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Tout ceci n’est qu’un « rêve », qu’un fantasme qu’on aimerait un jour voir se réaliser (d’autant plus si cela correspondait à une complète pacification des relations entre les divers États de l’ex-Yougoslavie), tout en sachant que ce ne sera probablement pas le cas. Mais cela permet surtout de se remémorer à quel point ces pays figurent parmi les plus importantes « terres de basket » au monde avec les États-Unis et la Lituanie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Yougoslavie a été un très grand pays de basket. Pour s’en convaincre, il sufit de rappeler son palmarès au cours des dix ans précédant le début des guerres civiles dans le pays (1991) : médaille d’or aux Euros 1989 et 1991, médailles de bronze et d’argent aux Jeux olympiques 1984 et 1988, médailles de bronze et d’or aux championnats du monde 1986 et 1990.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Malheureusement, la Yougoslavie est donc entrée dans un cycle de guerres civiles effroyable (plus de 150 000 morts) qui a duré dix ans et conduit à son éclatement. Aujourd’hui, après de multiples soubresauts, l’ex-Yougoslavie est composée de sept pays indépendants : Serbie, Croatie, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine et Kosovo.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et les successeurs des glorieux joueurs de l’époque dorée de la Yougoslavie (les Divac, Danilovic, Kukoc, Radja et autres) évoluent aujourd’hui dans l’équipe de leurs pays respectifs. Avec des résultats plus que respectables. Depuis 1993, la Serbie a récolté six médailles à l’Euro (trois or, deux argent et une bronze), la Slovénie a remporté la dernière édition, la Croatie deux médailles de bronze. Au Mondiaux, sur les six éditions disputées depuis 1994, la Serbie (sous diverses appellations) a remporté deux médailles d’or et une d’argent, la Croatie une de bronze. Quant aux Jeux olympiques, depuis 1992, ils ont vu la Croatie décrocher une médaille d’argent (la fameuse finale contre la « vraie » Dream Team),\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photos: Luka Doncic et Milan Macvan (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Cela n’arrivera certainement pas. Mais rêvons un peu à une Yougoslavie réunifiée. Et surtout à l’équipe nationale qu’elle présenterait : terrifiante !
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La Yougoslavie a été un très grand pays de basket. Pour s’en convaincre, il sufit de rappeler son palmarès au cours des dix ans précédant le début des guerres civiles dans le pays (1991) : médaille d’or aux Euros 1989 et 1991, médailles de bronze et d’argent aux Jeux olympiques 1984 et 1988, médailles de bronze et d’or aux championnats du monde 1986 et 1990.
Malheureusement, la Yougoslavie est donc entrée dans un cycle de guerres civiles effroyable (plus de 150 000 morts) qui a duré dix ans et conduit à son éclatement. Aujourd’hui, après de multiples soubresauts, l’ex-Yougoslavie est composée de sept pays indépendants : Serbie, Croatie, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine et Kosovo.
Et les successeurs des glorieux joueurs de l’époque dorée de la Yougoslavie (les Divac, Danilovic, Kukoc, Radja et autres) évoluent aujourd’hui dans l’équipe de leurs pays respectifs. Avec des résultats plus que respectables. Depuis 1993, la Serbie a récolté six médailles à l’Euro (trois or, deux argent et une bronze), la Slovénie a remporté la dernière édition, la Croatie deux médailles de bronze. Au Mondiaux, sur les six éditions disputées depuis 1994, la Serbie (sous diverses appellations) a remporté deux médailles d’or et une d’argent, la Croatie une de bronze. Quant aux Jeux olympiques, depuis 1992, ils ont vu la Croatie décrocher une médaille d’argent (la fameuse finale contre la « vraie » Dream Team), la Serbie (sous le nom de République fédérale de Yougoslavie puis de Serbie) deux médailles d’argent également. Et le palmarès de ces pays en compétitions européennes de jeunes depuis 2000 n’est pas moins impressionnant : quatre médailles dont deux d’or pour la Slovénie, une d’argent pour le Monténégro, dix dont cinq en or pour la Croatie, vingt-deux médailles dont douze en or pour la Serbie ! Autant dire que le réservoir de joueurs de ces pays reste tout bonnement incroyable pour une population totale d’un peu plus de 21 millions de personnes (dont 7,1 pour la Serbie et 4,1 pour la Croatie). Et l’on se prend à rêver : à quoi ressemblerait aujourd’hui une sélection « yougoslave » et quels pourraient être ses ambitions ?
Typée NBA
Alors, s’il ne fallait en retenir que douze, quels seraient les noms composant une (très) hypothétique sélection « yougoslave », ne tenant compte que de la qualité des joueurs et non de leur éventuelle complémentarité ?
Au poste de meneur, deux noms se dégagent : Milos Teodosic (Serbe, LA Clippers) et Goran Dragic (Slovène, Miami Heat). Certes, le second est blessé et a annoncé sa retraite internationale, mais il reste un immense joueur, tout comme le premier.
À l’arrière, nous aurions deux joueurs au profil assez différent : le shooter Bogdan Bogdanovic (Serbe, Sacramento Kings) et le jeune prodige Luka Doncic (Slovène, Dallas Mavericks), capable d’évoluer sur tous les postes extérieurs voire en ailier fort.
Au poste d’ailier, c’est l’autre Bogdanovic, Bojan (Croate, Indiana Pacers), qui serait titulaire, avec en relais Mario Hezonja (Croate, New York Knicks).
À l’intérieur, au poste d’ailier-fort, le titulaire ne peut être que Dario Saric (Croate, Minnesota Timberwolves), suppléé par Nemanja Bjelica (Serbe, Sacramento Kings).
Enfin, le poste de pivot serait partagé entre Nikola Jokic (Serbe, Denver Nuggets) et Nikola Vucevic (Monténégrin, Orlando Magic).
À ce « dix majeur », il est possible de piocher dans une jolie brochette de noms pour y choisir les deux derniers joueurs : Vasilije Micic (Serbe, Anadolu Efes Istanbul), Stefan Jovic (Serbe, Bayern Munich), Nikola Kalinic (Serbe, Fenerbahce), Milan Macvan (Serbe, Bayern Munich), Jusuf Nurkic (Bosnien, Portland Trailblazers).
Au total, les dix joueurs « majeurs » de cette équipe évoluent actuellement en NBA (même si Teodosic serait sur le point de revenir en Europe). Elle comprendrait quatre Serbes, trois Croates, deux Slovènes et un Monténégrin.
Imaginez un cinq majeur Teodosic-Doncic-Bojan Bogdanovic-Saric-Jokic : de quoi empêcher de dormir la plupart des équipes nationales dans le monde. Surtout quand le banc est composé de Dragic-Bogdan Bogdanovic-Hejonza-Bjelica-Vucevic. Aucune baisse de régime à attendre avec les rotations… L’équipe écraserait sans doute la compétition aux Euros et pourrait sans doute titiller les États-Unis lors des Mondiaux ou des Jeux Olympiques.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/mcvan-e1546599334157.jpg\")
Et sans NBA ?
Reste que, on le sait, les joueurs de NBA ne sont pas toujours disponibles pour les compétitions d’équipes nationales. Il faut alors faire appel à ceux qui évoluent en Europe (en partant de l’hypothèse, pour notre propos, que l’Euroleague et la FIBA Europe auraient cessé leur stupide conflit). Un problème pour notre équipe « yougoslave » ? Pas forcément. Certes, les noms seraient un peu moins ronflants, mais pas sûr que leurs adversaires apprécient plus que cela de se retrouver face à une armada composée de joueurs évoluant pour la plupart au plus haut niveau européen. Voyez un peu ce que pourrait donner cette sélection :
Au poste de meneur, Vasilije Micic (Serbe, Anadolu Efes Istanbul) serait accompagné de Nemanja Gordic (Bosnie-Herzégovine, Buducnost Podgorica) ou de Stefan Markovic (Serbe, Khimki Moscou).
À l’arrière, outre Stefan Jovic (Serbe, Bayern Munich), on trouverait Marko Guduric (Serbe, Fenerbahce). Ou Krunoslav Simon (Croate, Anadolu Efes Istanbul).
À l’aile, Nikola Kalinic (Serbe, Fenerbahce) pourrait être suppléé par Vladimir Micov (Serbe, Olimpia Milan).
Le poste d’ailier-fort serait tenu par Milan Macvan (Serbe, Bayern Munich) et Jaka Blazic (Slovène, Barcelone) ou Vladimir Lucic (Serbe, Bayern Munich).
Enfin, au pivot, Ante Tomic (Croate, Barcelone) ferait équipe avec Nikola Milutinov (Serbe, Olympiakos) ou Bojan Dubljevic (Monténégrin, Valence).
Bref, l’équipe « européenne » resterait sacrément redoutable pour n’importe quel opposant, États-Unis exceptés peut-être.
Ces deux équipes « rêvées » montrent surtout l’extraordinaire profondeur du réservoir de ces pays, capables notamment de sortir des pivots de haut niveau « à la chaîne ». Pensez que des Emeldin Kikanovic ou des Miro Bilan qui font les beaux jours de la Jeep Élite ne figureraient qu’au-delà de la dixième place d’un hypothétique classement des pivots « yougoslaves » actuels.
Tout ceci n’est qu’un « rêve », qu’un fantasme qu’on aimerait un jour voir se réaliser (d’autant plus si cela correspondait à une complète pacification des relations entre les divers États de l’ex-Yougoslavie), tout en sachant que ce ne sera probablement pas le cas. Mais cela permet surtout de se remémorer à quel point ces pays figurent parmi les plus importantes « terres de basket » au monde avec les États-Unis et la Lituanie.
[armelse]
La Yougoslavie a été un très grand pays de basket. Pour s’en convaincre, il sufit de rappeler son palmarès au cours des dix ans précédant le début des guerres civiles dans le pays (1991) : médaille d’or aux Euros 1989 et 1991, médailles de bronze et d’argent aux Jeux olympiques 1984 et 1988, médailles de bronze et d’or aux championnats du monde 1986 et 1990.
Malheureusement, la Yougoslavie est donc entrée dans un cycle de guerres civiles effroyable (plus de 150 000 morts) qui a duré dix ans et conduit à son éclatement. Aujourd’hui, après de multiples soubresauts, l’ex-Yougoslavie est composée de sept pays indépendants : Serbie, Croatie, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine et Kosovo.
Et les successeurs des glorieux joueurs de l’époque dorée de la Yougoslavie (les Divac, Danilovic, Kukoc, Radja et autres) évoluent aujourd’hui dans l’équipe de leurs pays respectifs. Avec des résultats plus que respectables. Depuis 1993, la Serbie a récolté six médailles à l’Euro (trois or, deux argent et une bronze), la Slovénie a remporté la dernière édition, la Croatie deux médailles de bronze. Au Mondiaux, sur les six éditions disputées depuis 1994, la Serbie (sous diverses appellations) a remporté deux médailles d’or et une d’argent, la Croatie une de bronze. Quant aux Jeux olympiques, depuis 1992, ils ont vu la Croatie décrocher une médaille d’argent (la fameuse finale contre la « vraie » Dream Team),
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Photos: Luka Doncic et Milan Macvan (FIBA)
", "comment_id":"448724", "plaintext":"Cela n’arrivera certainement pas. Mais rêvons un peu à une Yougoslavie réunifiée. Et surtout à l’équipe nationale qu’elle présenterait : terrifiante !\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLa Yougoslavie a été un très grand pays de basket. Pour s’en convaincre, il sufit de rappeler son palmarès au cours des dix ans précédant le début des guerres civiles dans le pays (1991) : médaille d’or aux Euros 1989 et 1991, médailles de bronze et d’argent aux Jeux olympiques 1984 et 1988, médailles de bronze et d’or aux championnats du monde 1986 et 1990.\n\nMalheureusement, la Yougoslavie est donc entrée dans un cycle de guerres civiles effroyable (plus de 150 000 morts) qui a duré dix ans et conduit à son éclatement. Aujourd’hui, après de multiples soubresauts, l’ex-Yougoslavie est composée de sept pays indépendants : Serbie, Croatie, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine et Kosovo.\n\nEt les successeurs des glorieux joueurs de l’époque dorée de la Yougoslavie (les Divac, Danilovic, Kukoc, Radja et autres) évoluent aujourd’hui dans l’équipe de leurs pays respectifs. Avec des résultats plus que respectables. Depuis 1993, la Serbie a récolté six médailles à l’Euro (trois or, deux argent et une bronze), la Slovénie a remporté la dernière édition, la Croatie deux médailles de bronze. Au Mondiaux, sur les six éditions disputées depuis 1994, la Serbie (sous diverses appellations) a remporté deux médailles d’or et une d’argent, la Croatie une de bronze. Quant aux Jeux olympiques, depuis 1992, ils ont vu la Croatie décrocher une médaille d’argent (la fameuse finale contre la « vraie » Dream Team), la Serbie (sous le nom de République fédérale de Yougoslavie puis de Serbie) deux médailles d’argent également. Et le palmarès de ces pays en compétitions européennes de jeunes depuis 2000 n’est pas moins impressionnant : quatre médailles dont deux d’or pour la Slovénie, une d’argent pour le Monténégro, dix dont cinq en or pour la Croatie, vingt-deux médailles dont douze en or pour la Serbie ! Autant dire que le réservoir de joueurs de ces pays reste tout bonnement incroyable pour une population totale d’un peu plus de 21 millions de personnes (dont 7,1 pour la Serbie et 4,1 pour la Croatie). Et l’on se prend à rêver : à quoi ressemblerait aujourd’hui une sélection « yougoslave » et quels pourraient être ses ambitions ?\n\nTypée NBA\n\nAlors, s’il ne fallait en retenir que douze, quels seraient les noms composant une (très) hypothétique sélection « yougoslave », ne tenant compte que de la qualité des joueurs et non de leur éventuelle complémentarité ?\n\nAu poste de meneur, deux noms se dégagent : Milos Teodosic (Serbe, LA Clippers) et Goran Dragic (Slovène, Miami Heat). Certes, le second est blessé et a annoncé sa retraite internationale, mais il reste un immense joueur, tout comme le premier.\n\nÀ l’arrière, nous aurions deux joueurs au profil assez différent : le shooter Bogdan Bogdanovic (Serbe, Sacramento Kings) et le jeune prodige Luka Doncic (Slovène, Dallas Mavericks), capable d’évoluer sur tous les postes extérieurs voire en ailier fort.\n\nAu poste d’ailier, c’est l’autre Bogdanovic, Bojan (Croate, Indiana Pacers), qui serait titulaire, avec en relais Mario Hezonja (Croate, New York Knicks).\n\nÀ l’intérieur, au poste d’ailier-fort, le titulaire ne peut être que Dario Saric (Croate, Minnesota Timberwolves), suppléé par Nemanja Bjelica (Serbe, Sacramento Kings).\n\nEnfin, le poste de pivot serait partagé entre Nikola Jokic (Serbe, Denver Nuggets) et Nikola Vucevic (Monténégrin, Orlando Magic).\n\nÀ ce « dix majeur », il est possible de piocher dans une jolie brochette de noms pour y choisir les deux derniers joueurs : Vasilije Micic (Serbe, Anadolu Efes Istanbul), Stefan Jovic (Serbe, Bayern Munich), Nikola Kalinic (Serbe, Fenerbahce), Milan Macvan (Serbe, Bayern Munich), Jusuf Nurkic (Bosnien, Portland Trailblazers).\n\nAu total, les dix joueurs « majeurs » de cette équipe évoluent actuellement en NBA (même si Teodosic serait sur le point de revenir en Europe). Elle comprendrait quatre Serbes, trois Croates, deux Slovènes et un Monténégrin.\n\nImaginez un cinq majeur Teodosic-Doncic-Bojan Bogdanovic-Saric-Jokic : de quoi empêcher de dormir la plupart des équipes nationales dans le monde. Surtout quand le banc est composé de Dragic-Bogdan Bogdanovic-Hejonza-Bjelica-Vucevic. Aucune baisse de régime à attendre avec les rotations… L’équipe écraserait sans doute la compétition aux Euros et pourrait sans doute titiller les États-Unis lors des Mondiaux ou des Jeux Olympiques.\n\nEt sans NBA ?\n\nReste que, on le sait, les joueurs de NBA ne sont pas toujours disponibles pour les compétitions d’équipes nationales. Il faut alors faire appel à ceux qui évoluent en Europe (en partant de l’hypothèse, pour notre propos, que l’Euroleague et la FIBA Europe auraient cessé leur stupide conflit). Un problème pour notre équipe « yougoslave » ? Pas forcément. Certes, les noms seraient un peu moins ronflants, mais pas sûr que leurs adversaires apprécient plus que cela de se retrouver face à une armada composée de joueurs évoluant pour la plupart au plus haut niveau européen. Voyez un peu ce que pourrait donner cette sélection :\n\nAu poste de meneur, Vasilije Micic (Serbe, Anadolu Efes Istanbul) serait accompagné de Nemanja Gordic (Bosnie-Herzégovine, Buducnost Podgorica) ou de Stefan Markovic (Serbe, Khimki Moscou).\n\nÀ l’arrière, outre Stefan Jovic (Serbe, Bayern Munich), on trouverait Marko Guduric (Serbe, Fenerbahce). Ou Krunoslav Simon (Croate, Anadolu Efes Istanbul).\n\nÀ l’aile, Nikola Kalinic (Serbe, Fenerbahce) pourrait être suppléé par Vladimir Micov (Serbe, Olimpia Milan).\n\nLe poste d’ailier-fort serait tenu par Milan Macvan (Serbe, Bayern Munich) et Jaka Blazic (Slovène, Barcelone) ou Vladimir Lucic (Serbe, Bayern Munich).\n\nEnfin, au pivot, Ante Tomic (Croate, Barcelone) ferait équipe avec Nikola Milutinov (Serbe, Olympiakos) ou Bojan Dubljevic (Monténégrin, Valence).\n\nBref, l’équipe « européenne » resterait sacrément redoutable pour n’importe quel opposant, États-Unis exceptés peut-être.\n\nCes deux équipes « rêvées » montrent surtout l’extraordinaire profondeur du réservoir de ces pays, capables notamment de sortir des pivots de haut niveau « à la chaîne ». Pensez que des Emeldin Kikanovic ou des Miro Bilan qui font les beaux jours de la Jeep Élite ne figureraient qu’au-delà de la dixième place d’un hypothétique classement des pivots « yougoslaves » actuels.\n\nTout ceci n’est qu’un « rêve », qu’un fantasme qu’on aimerait un jour voir se réaliser (d’autant plus si cela correspondait à une complète pacification des relations entre les divers États de l’ex-Yougoslavie), tout en sachant que ce ne sera probablement pas le cas. Mais cela permet surtout de se remémorer à quel point ces pays figurent parmi les plus importantes « terres de basket » au monde avec les États-Unis et la Lituanie.\n\n[armelse]\n\nLa Yougoslavie a été un très grand pays de basket. Pour s’en convaincre, il sufit de rappeler son palmarès au cours des dix ans précédant le début des guerres civiles dans le pays (1991) : médaille d’or aux Euros 1989 et 1991, médailles de bronze et d’argent aux Jeux olympiques 1984 et 1988, médailles de bronze et d’or aux championnats du monde 1986 et 1990.\n\nMalheureusement, la Yougoslavie est donc entrée dans un cycle de guerres civiles effroyable (plus de 150 000 morts) qui a duré dix ans et conduit à son éclatement. Aujourd’hui, après de multiples soubresauts, l’ex-Yougoslavie est composée de sept pays indépendants : Serbie, Croatie, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine et Kosovo.\n\nEt les successeurs des glorieux joueurs de l’époque dorée de la Yougoslavie (les Divac, Danilovic, Kukoc, Radja et autres) évoluent aujourd’hui dans l’équipe de leurs pays respectifs. Avec des résultats plus que respectables. Depuis 1993, la Serbie a récolté six médailles à l’Euro (trois or, deux argent et une bronze), la Slovénie a remporté la dernière édition, la Croatie deux médailles de bronze. Au Mondiaux, sur les six éditions disputées depuis 1994, la Serbie (sous diverses appellations) a remporté deux médailles d’or et une d’argent, la Croatie une de bronze. 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Le site actu.fr a pris le pouls auprès des supporters et ceux-ci ne sont pas tendres avec l’équipe en général et le coach Antoine Michon en particulier. Les qualificatifs « catastrophique » et « pathétique » sont cités. Certains fans ont la nostalgie d’Hervé Coudray, aujourd’hui au Havre et qui n’avait pas vu son contrat renouvelé en fin de saison dernière.
Le site a interrogé le Directeur sportif Eric Fleury, l’un des principaux artisans de la remontée du club normand. Voici sa réponse:
« Je tiens à vous préciser quand même que personne ne voulait reprendre la présidence en 2012 et que le club allait certainement disparaître ! La suite… on la connaît. […]On a toujours essayé de prendre des décisions quand il fallait. On continuera d’en prendre dans la mesure du possible sans mettre en péril les finances du club. On continuera à se battre pour que les Caennais puissent venir voir du basket au Palais sauf peut-être jusqu’au jour où les rancœurs, les critiques, et insultes finiront par nous lasser vous permettant si vous en avez le courage de prendre notre relève ! »", "comment_id":"449460", "plaintext":"Avec seulement trois victoires, le Caen BC est bon dernier de Pro B à égalité avec Chartres et sa défaite face à Nantes à domicile (69-81) n’a pas arrangé ses affaires.\n\nLe site actu.fr a pris le pouls auprès des supporters et ceux-ci ne sont pas tendres avec l’équipe en général et le coach Antoine Michon en particulier. Les qualificatifs « catastrophique » et « pathétique » sont cités. Certains fans ont la nostalgie d’Hervé Coudray, aujourd’hui au Havre et qui n’avait pas vu son contrat renouvelé en fin de saison dernière.\n\nLe site a interrogé le Directeur sportif Eric Fleury, l’un des principaux artisans de la remontée du club normand. Voici sa réponse:\n\n« Je tiens à vous préciser quand même que personne ne voulait reprendre la présidence en 2012 et que le club allait certainement disparaître ! La suite… on la connaît. […]On a toujours essayé de prendre des décisions quand il fallait. On continuera d’en prendre dans la mesure du possible sans mettre en péril les finances du club. On continuera à se battre pour que les Caennais puissent venir voir du basket au Palais sauf peut-être jusqu’au jour où les rancœurs, les critiques, et insultes finiront par nous lasser vous permettant si vous en avez le courage de prendre notre relève ! »", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/caen-bc.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-14T08:24:57.000Z", "updated_at":"2019-01-14T08:24:57.000Z", "published_at":"2019-01-14T08:24:57.000Z", "custom_excerpt":"Avec seulement trois victoires, le Caen BC est bon dernier de Pro B à égalité avec Chartres et sa défaite face à Nantes à domicile (69-81) n’a pas arrangé ses affaires.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da4f2", "uuid":"bdb7ea15-5cdc-4f2b-ae9b-9efd99c8023a", "title":"Ligue Féminine: Après 7 défaites de rang, Villeneuve d’Ascq a renoué avec la victoire", "slug":"ligue-feminine-apres-7-defaites-de-rang-villeneuve-dascq-a-renoue-avec-la-victoire", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Kim Gaucher (14 points et 12 rebonds) et Kristen Mann (16 points et 6 rebonds) ont eu beau une fois de plus mouiller le maillot, Mondeville a échoué à gagner son premier match de la saison (56-67). Voilà qui a fait l’affaire de Villeneuve d’Ascq qui restait lui aussi sur une mauvaise série et qui revenait d’un long périple à Ekaterinbourg.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« On apprécie collectivement cette victoire parce qu’un mois et demi sans succès, ça fait long », a lâché Fred Dusart dans La Voix des Sports. « On savait qu’en faisant l’Euroleague, il y aurait des moments difficiles. On était sur une série de sept défaites consécutives, alors c’est d’abord un plaisir de gagner de nouveau. La spirale de la défaite, c’est dur mentalement pour les joueuses, le staff et les supporters. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Alors que Magali Mendy (8 points et 6 d’éval) a été un peu en retrait, c’est Johanne Gomis qui s’en est donnée à coeur joie avec 20 points, 6 rebonds et 3 passes. Les Nordistes ont encore néanmoins pas mal de choses à corriger comme leur (mal)adresse à trois-points, 5/23 contre l’USOM.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo: Romy Bar et Angela Bjorklund (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Kim Gaucher (14 points et 12 rebonds) et Kristen Mann (16 points et 6 rebonds) ont eu beau une fois de plus mouiller le maillot, Mondeville a échoué à gagner son premier match de la saison (56-67). Voilà qui a fait l’affaire de Villeneuve d’Ascq qui restait lui aussi sur une mauvaise série et qui revenait d’un long périple à Ekaterinbourg.
« On apprécie collectivement cette victoire parce qu’un mois et demi sans succès, ça fait long », a lâché Fred Dusart dans La Voix des Sports. « On savait qu’en faisant l’Euroleague, il y aurait des moments difficiles. On était sur une série de sept défaites consécutives, alors c’est d’abord un plaisir de gagner de nouveau. La spirale de la défaite, c’est dur mentalement pour les joueuses, le staff et les supporters. »
Alors que Magali Mendy (8 points et 6 d’éval) a été un peu en retrait, c’est Johanne Gomis qui s’en est donnée à coeur joie avec 20 points, 6 rebonds et 3 passes. Les Nordistes ont encore néanmoins pas mal de choses à corriger comme leur (mal)adresse à trois-points, 5/23 contre l’USOM.
Photo: Romy Bar et Angela Bjorklund (FIBA)
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C’est la conclusion d’une étude réalisée par Dimitrije Curcic pour RunRepeat.
Seulement deux équipes, Zalgiris Kaunas et le Maccabi Tel-Aviv atteignent plus de 90% de remplissage de leur salle. Les supporters de Zalgiris montrent que la Lituanie est une terre de basket-ball: 5% de la population de Kaunas (300 000 habitants) se rendent à l’aréna à chaque match. Les fans de Baskonia Vitoria suivent de près, avec 4,6%, et Buducnost rassemble 3,8% des habitants de Podgorica pour la troisième place. A l’inverse, 7 équipes sont sous la moyenne de la ligue avec 0,2% de la population de la ville dans l’aréna. Les deux dernières places sont pour deux clubs d’Istanbul.
Au passage, l’analyste répète une donnée fondamentale: les équipes titulaires d’une licence de longue durée (11 équipes possèdent la licence) doivent jouer dans des arénas d’une capacité minimale de 10 000 places. Les clubs associés doivent disposer d’une salle d’au moins 5 000 places. Or, si l’ASVEL a l’intention de construire une aréna d’au moins 10 000 places, le projet du Paris Basketball est de s’installer dans la future aréna olympique de la Porte de la Chapelle dont la capacité maximale est prévue à… 8 000 sièges.
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Le Real Madrid est ultra dominant sur les réseaux sociaux avec plus de 18,3 millions d’adeptes sur les 3 réseaux majeurs (Instagram, Facebook, Twitter), mais il le doit évidemment à l’interaction avec la puissance de sa section football.
Zalgiris est la seule équipe dont la popularité sur les réseaux sociaux dépasse la population de sa ville natale, regroupant 120% de la population de Kaunas.
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Crédits photo : Euroleague
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Fabien Causeur termine à 0 pointé mais Madrid a shooté à 50% à trois points (11/22) et 55% à deux points (22/40).\"]]],[10,0],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Vassilije Micic se rappelle au bon souvenir du Bayern\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Face à son ancien club, Vassilije Micic (20 points, 4 rebonds, 5 passes, 2 interceptions) était ultra-concentré. La preuve : il n’a rien manqué durant les 8 premières minutes de jeu avec 13 points pour parfaitement l’Efes Istanbul. Malgré un retour du Bayern en 3e quart, l’Efes n’a pas tremblé et entame donc la deuxième moitié de la saison par un succès solide (92-77).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sans Rodrigue Beaubois, Adrien Moerman (14 points, 7 rebonds) a bien participé à la victoire turque, avec James Anderson et Bryant Dunston tous deux à 16 points. En face, Munich n’a pu compter que sur deux joueurs en double figure, dont Vladimir Lucic à 14 points, 7 rebonds.\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Milan met la gomme en attaque\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Podgorica n’aura pas fait long feu contre Milan. Dès le 1er quart, les Lombards ont mis le feu aux poudres avec Mike James à 10 points et 6 passes et Mindaugas Kuzminskas (14 points à 4/4 à trois points). Scorant 36 points sur la période, puis 56 en 1ère mi-temps, Milan a établi deux nouveaux records du club et n’a pas eu à lutter pour s’imposer (111-94).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Vladimir Micov (20 points) et Mindaugas Kuzminskas (19 points) ont été les principaux artificiers, tandis que Mike James termine à 17 points et 8 passes. Dans ce festival offensif, Dairis Bertans a également brillé avec 17 points à 5/6 à trois points. On a également eu droit à un bon duel de jeunes pivots : Arturas Gudaitis (14 points, 12 rebonds, 3 contres) face à la jeune pépite Goga Bitadze (23 points, 8 rebonds, 3 contres).\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le Khimki explose Gran Canaria\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"27-6 : c’est le score hallucinant du 2e quart en faveur du Khimki. La troupe moscovite a frappé fort avec Dee Bost qui apporte 20 points et n’a jamais plus été rejointe après ce jeu de massacre avant la pause (99-70). Comme en 2015 en fait, lors de la finale d’EuroCup, Khimki a fait exploser GranCa chez elle, avec la plus large défaite du club insulaire en compétition européenne.\"]]],[10,3],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Les Français d’Euroleague\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Adrien Moerman\"],[0,[],0,\" (Efes) : 14 points (5/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Kim Tillie\"],[0,[],0,\" (Gran Canaria) : 9 points (3/4 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 21 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Edwin Jackson\"],[0,[],0,\" (Podgorica) : 3 points (1/4 aux tirs), 1 rebond en 14 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Fabien Causeur\"],[0,[],0,\" (Real Madrid) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 9 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Rodrigue Beaubois\"],[0,[],0,\" (Efes) : n’a pas joué\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"L’action de la soirée\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En verve face à son ancienne équipe du Bayern, Vassilije Micic a été chirurgical dans son travail face à la défense bavaroise. Après l’interception d’Adrien Moerman, le meneur serbe se joue tranquillement de Dedovic puis de Radosevic avec une volte avant de servir Tibor Pleiss pour le panier tout cuit. Style, vista et efficacité, le trident de la réussite !\"]]],[10,4],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Les résultats de la 16e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jeudi 3 janvier :\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Efes Istanbul – Bayern Munich (92-77)\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"Milan – Podgorica (111-94)\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"Real Madrid – Maccabi Tel Aviv (91-79)\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"Gran Canaria – Khimki Moscou (99-70)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vendredi 4 janvier :\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"Fenerbahçe – Vitoria (18h45)\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"Zalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"Olympiakos – Panathinaikos (20h)\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"Barcelone – Darussafaka (21h)\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le classement provisoire\"]]],[10,5],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le programme de la 16e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Mardi 8 janvier :\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"Khimki Moscou – Fenerbahçe (18h)\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"Zalgiris Kaunas – Efes Istanbul (19h30)\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"Olympiakos – Vitoria (20h)\"],[1,[],0,12],[0,[],0,\"Gran Canaria – Real Madrid (21h30)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Mercredi 9 janvier :\"],[1,[],0,13],[0,[],0,\"Darussafaka – CSKA Moscou (18h15)\"],[1,[],0,14],[0,[],0,\"Panathinaikos – Bayern Munich (20h)\"],[1,[],0,15],[0,[],0,\"Maccabi Tel Aviv – Podgorica (20h05)\"],[1,[],0,16],[0,[],0,\"Milan – Barcelone (20h45)\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le Real tout en maîtrise\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bien porté par Michael Roll (23 points à 6/7 à trois points) et Alex Tyus (17 points, 8 rebonds), le Maccabi Tel Aviv a finalement dû céder aux coups de boutoir du champion en titre. Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds) a été pour ainsi dire parfait avec un 9/10 aux tirs et un 31 d’évaluation quasiment sans forcer (91-79).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le Real a fait la\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Pour la reprise après les Fêtes de fin d’année, pas de gueule de bois pour les champions en titre. Le Real Madrid a parfaitement maîtrisé son sujet contre le Maccabi Tel Aviv avec le premier double double de la saison de Sergio Llull (11 points, 10 passes) et un match quasi-parfait de Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds).
Dans les autres matchs de la soirée, et avant le duel très attendu entre l’Olympiakos et le Panathinaikos, l’Efes Istanbul et Milan ont renoué avec le succès pour bien commencer la nouvelle année. Enfin, le Khimki Moscou a donné la leçon à Gran Canaria dans un remix de la finale EuroCup de 2015…
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Bien porté par Michael Roll (23 points à 6/7 à trois points) et Alex Tyus (17 points, 8 rebonds), le Maccabi Tel Aviv a finalement dû céder aux coups de boutoir du champion en titre. Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds) a été pour ainsi dire parfait avec un 9/10 aux tirs et un 31 d’évaluation quasiment sans forcer (91-79).
Le Real a fait la différence en 2e mi-temps, avec Sergio Llull qui termine enfin en double double cette saison à 11 points et 10 passes. Avec 6 joueurs en double figure contre seulement 3 pour le Maccabi, le contraste était criant en faveur du Real. Fabien Causeur termine à 0 pointé mais Madrid a shooté à 50% à trois points (11/22) et 55% à deux points (22/40).
Face à son ancien club, Vassilije Micic (20 points, 4 rebonds, 5 passes, 2 interceptions) était ultra-concentré. La preuve : il n’a rien manqué durant les 8 premières minutes de jeu avec 13 points pour parfaitement l’Efes Istanbul. Malgré un retour du Bayern en 3e quart, l’Efes n’a pas tremblé et entame donc la deuxième moitié de la saison par un succès solide (92-77).
Sans Rodrigue Beaubois, Adrien Moerman (14 points, 7 rebonds) a bien participé à la victoire turque, avec James Anderson et Bryant Dunston tous deux à 16 points. En face, Munich n’a pu compter que sur deux joueurs en double figure, dont Vladimir Lucic à 14 points, 7 rebonds.
Podgorica n’aura pas fait long feu contre Milan. Dès le 1er quart, les Lombards ont mis le feu aux poudres avec Mike James à 10 points et 6 passes et Mindaugas Kuzminskas (14 points à 4/4 à trois points). Scorant 36 points sur la période, puis 56 en 1ère mi-temps, Milan a établi deux nouveaux records du club et n’a pas eu à lutter pour s’imposer (111-94).
Vladimir Micov (20 points) et Mindaugas Kuzminskas (19 points) ont été les principaux artificiers, tandis que Mike James termine à 17 points et 8 passes. Dans ce festival offensif, Dairis Bertans a également brillé avec 17 points à 5/6 à trois points. On a également eu droit à un bon duel de jeunes pivots : Arturas Gudaitis (14 points, 12 rebonds, 3 contres) face à la jeune pépite Goga Bitadze (23 points, 8 rebonds, 3 contres).
27-6 : c’est le score hallucinant du 2e quart en faveur du Khimki. La troupe moscovite a frappé fort avec Dee Bost qui apporte 20 points et n’a jamais plus été rejointe après ce jeu de massacre avant la pause (99-70). Comme en 2015 en fait, lors de la finale d’EuroCup, Khimki a fait exploser GranCa chez elle, avec la plus large défaite du club insulaire en compétition européenne.
Adrien Moerman (Efes) : 14 points (5/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes
Kim Tillie (Gran Canaria) : 9 points (3/4 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 21 minutes
Edwin Jackson (Podgorica) : 3 points (1/4 aux tirs), 1 rebond en 14 minutes
Fabien Causeur (Real Madrid) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 9 minutes
Rodrigue Beaubois (Efes) : n’a pas joué
En verve face à son ancienne équipe du Bayern, Vassilije Micic a été chirurgical dans son travail face à la défense bavaroise. Après l’interception d’Adrien Moerman, le meneur serbe se joue tranquillement de Dedovic puis de Radosevic avec une volte avant de servir Tibor Pleiss pour le panier tout cuit. Style, vista et efficacité, le trident de la réussite !
\nVasilije Micic DIME 👀#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/dJ1AOE10N7
\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 3, 2019
Jeudi 3 janvier :
Efes Istanbul – Bayern Munich (92-77)
Milan – Podgorica (111-94)
Real Madrid – Maccabi Tel Aviv (91-79)
Gran Canaria – Khimki Moscou (99-70)
Vendredi 4 janvier :
Fenerbahçe – Vitoria (18h45)
Zalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)
Olympiakos – Panathinaikos (20h)
Barcelone – Darussafaka (21h)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/screen-shot-2019-01-04-at-8.16.09-am.png\")
Mardi 8 janvier :
Khimki Moscou – Fenerbahçe (18h)
Zalgiris Kaunas – Efes Istanbul (19h30)
Olympiakos – Vitoria (20h)
Gran Canaria – Real Madrid (21h30)
Mercredi 9 janvier :
Darussafaka – CSKA Moscou (18h15)
Panathinaikos – Bayern Munich (20h)
Maccabi Tel Aviv – Podgorica (20h05)
Milan – Barcelone (20h45)
Crédits photo : Euroleague
[armelse]
Bien porté par Michael Roll (23 points à 6/7 à trois points) et Alex Tyus (17 points, 8 rebonds), le Maccabi Tel Aviv a finalement dû céder aux coups de boutoir du champion en titre. Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds) a été pour ainsi dire parfait avec un 9/10 aux tirs et un 31 d’évaluation quasiment sans forcer (91-79).
Le Real a fait la
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[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
", "comment_id":"448682", "plaintext":"Pour la reprise après les Fêtes de fin d’année, pas de gueule de bois pour les champions en titre. Le Real Madrid a parfaitement maîtrisé son sujet contre le Maccabi Tel Aviv avec le premier double double de la saison de Sergio Llull (11 points, 10 passes) et un match quasi-parfait de Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds).\n\nDans les autres matchs de la soirée, et avant le duel très attendu entre l’Olympiakos et le Panathinaikos, l’Efes Istanbul et Milan ont renoué avec le succès pour bien commencer la nouvelle année. Enfin, le Khimki Moscou a donné la leçon à Gran Canaria dans un remix de la finale EuroCup de 2015…\n\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nLe Real tout en maîtrise\n\nBien porté par Michael Roll (23 points à 6/7 à trois points) et Alex Tyus (17 points, 8 rebonds), le Maccabi Tel Aviv a finalement dû céder aux coups de boutoir du champion en titre. Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds) a été pour ainsi dire parfait avec un 9/10 aux tirs et un 31 d’évaluation quasiment sans forcer (91-79).\n\nLe Real a fait la différence en 2e mi-temps, avec Sergio Llull qui termine enfin en double double cette saison à 11 points et 10 passes. Avec 6 joueurs en double figure contre seulement 3 pour le Maccabi, le contraste était criant en faveur du Real. Fabien Causeur termine à 0 pointé mais Madrid a shooté à 50% à trois points (11/22) et 55% à deux points (22/40).\n\n\nVassilije Micic se rappelle au bon souvenir du Bayern\n\nFace à son ancien club, Vassilije Micic (20 points, 4 rebonds, 5 passes, 2 interceptions) était ultra-concentré. La preuve : il n’a rien manqué durant les 8 premières minutes de jeu avec 13 points pour parfaitement l’Efes Istanbul. Malgré un retour du Bayern en 3e quart, l’Efes n’a pas tremblé et entame donc la deuxième moitié de la saison par un succès solide (92-77).\n\nSans Rodrigue Beaubois, Adrien Moerman (14 points, 7 rebonds) a bien participé à la victoire turque, avec James Anderson et Bryant Dunston tous deux à 16 points. En face, Munich n’a pu compter que sur deux joueurs en double figure, dont Vladimir Lucic à 14 points, 7 rebonds.\n\n\nMilan met la gomme en attaque\n\nPodgorica n’aura pas fait long feu contre Milan. Dès le 1er quart, les Lombards ont mis le feu aux poudres avec Mike James à 10 points et 6 passes et Mindaugas Kuzminskas (14 points à 4/4 à trois points). Scorant 36 points sur la période, puis 56 en 1ère mi-temps, Milan a établi deux nouveaux records du club et n’a pas eu à lutter pour s’imposer (111-94).\n\nVladimir Micov (20 points) et Mindaugas Kuzminskas (19 points) ont été les principaux artificiers, tandis que Mike James termine à 17 points et 8 passes. Dans ce festival offensif, Dairis Bertans a également brillé avec 17 points à 5/6 à trois points. On a également eu droit à un bon duel de jeunes pivots : Arturas Gudaitis (14 points, 12 rebonds, 3 contres) face à la jeune pépite Goga Bitadze (23 points, 8 rebonds, 3 contres).\n\n\nLe Khimki explose Gran Canaria\n\n27-6 : c’est le score hallucinant du 2e quart en faveur du Khimki. La troupe moscovite a frappé fort avec Dee Bost qui apporte 20 points et n’a jamais plus été rejointe après ce jeu de massacre avant la pause (99-70). Comme en 2015 en fait, lors de la finale d’EuroCup, Khimki a fait exploser GranCa chez elle, avec la plus large défaite du club insulaire en compétition européenne.\n\n\nLes Français d’Euroleague\n\nAdrien Moerman (Efes) : 14 points (5/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes\n\nKim Tillie (Gran Canaria) : 9 points (3/4 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 21 minutes\n\nEdwin Jackson (Podgorica) : 3 points (1/4 aux tirs), 1 rebond en 14 minutes\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 9 minutes\n\nRodrigue Beaubois (Efes) : n’a pas joué\n\n\nL’action de la soirée\n\nEn verve face à son ancienne équipe du Bayern, Vassilije Micic a été chirurgical dans son travail face à la défense bavaroise. Après l’interception d’Adrien Moerman, le meneur serbe se joue tranquillement de Dedovic puis de Radosevic avec une volte avant de servir Tibor Pleiss pour le panier tout cuit. Style, vista et efficacité, le trident de la réussite !\n\n\n\n\nVasilije Micic DIME 👀#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/dJ1AOE10N7\n\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 3, 2019\n\n\nLes résultats de la 16e journée\n\nJeudi 3 janvier :\nEfes Istanbul – Bayern Munich (92-77)\nMilan – Podgorica (111-94)\nReal Madrid – Maccabi Tel Aviv (91-79)\nGran Canaria – Khimki Moscou (99-70)\n\nVendredi 4 janvier :\nFenerbahçe – Vitoria (18h45)\nZalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\nOlympiakos – Panathinaikos (20h)\nBarcelone – Darussafaka (21h)\n\n\nLe classement provisoire\n\n\nLe programme de la 16e journée\n\nMardi 8 janvier :\nKhimki Moscou – Fenerbahçe (18h)\nZalgiris Kaunas – Efes Istanbul (19h30)\nOlympiakos – Vitoria (20h)\nGran Canaria – Real Madrid (21h30)\n\nMercredi 9 janvier :\nDarussafaka – CSKA Moscou (18h15)\nPanathinaikos – Bayern Munich (20h)\nMaccabi Tel Aviv – Podgorica (20h05)\nMilan – Barcelone (20h45)\n\nCrédits photo : Euroleague\n\n[armelse]\n\n\nLe Real tout en maîtrise\n\nBien porté par Michael Roll (23 points à 6/7 à trois points) et Alex Tyus (17 points, 8 rebonds), le Maccabi Tel Aviv a finalement dû céder aux coups de boutoir du champion en titre. Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds) a été pour ainsi dire parfait avec un 9/10 aux tirs et un 31 d’évaluation quasiment sans forcer (91-79).\n\nLe Real a fait la\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/fabien-causeur-e1559200034204.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-05T07:58:47.000Z", "updated_at":"2019-01-05T09:06:12.000Z", "published_at":"2019-01-05T07:58:47.000Z", "custom_excerpt":"Pour la reprise après les Fêtes de fin d’année, pas de gueule de bois pour les champions en titre. 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Rappel: en championnat, l’ESBVA est à 5 victoires pour autant de défaites alors qu’en Euroleague, elle se contente de 2 victoires en 7 matches.
« En s’associant avec Ann Wauters, nous voulions quelqu’un d’emblématique, qui a de l’expérience et qui connaît le club. Dans un premier temps, elle aidera Fred (Dussart, le coach) pour les joueuses intérieures. Et d’autre part, il nous manque peut-être de l’agressivité, de la niaque. Le mental et l’état d’esprit peuvent être améliorés grâce à ses conseils. Nous voulons afficher de nouvelles choses », a expliqué le président Carmelo Scarna.
Pour Ann Wauters, 38 ans, il s’agit d’un pas décisif vers sa reconversion au sein de sa société Smart Mind même si l’heure de la retraite n’a pas encore sonné car elle envisage de participer à l’Euro l’été prochain.
« Il faut pouvoir gérer la pression, soigner sa concentration, corriger les attitudes. J’ai envie de faire partager mon expérience et avec notre société, fondée il y a quelques mois, nous avons développé un modèle basé sur sept ‘high-performing’ attitudes. Il n’existe pas une seule attitude pour le sport de haut niveau, mais plusieurs attitudes, comme il y a plusieurs personnalités, qu’il faut connaître pour pouvoir mettre ensemble » a t-elle indiqué.
A la rentrée sera lancé le projet de l’Académie Wauters Basket Villeneuve d’Ascq, à destination des joueuses de grande taille.
« Ce projet, sous l’encadrement d’Ann Wauters en partenariat avec le club villeneuvois, aura pour objectif d’identifier, de détecter les potentiels chez les jeunes joueuses de grande taille, issues de la métropole lilloise, voire de l’Eurométropole. En collaboration avec le club amateur ESBVA et le centre de formation, cette académie doit être un tremplin vers une carrière de haut niveau », explique le club sur son site internet.
Photo: Virginie Brémont (FIBA)
", "comment_id":"448794", "plaintext":"Lors d’une conférence de presse, le staff de Villeneuve d’Ascq a exposé la mission que l’internationale belge Ann Wauters va avoir au sein du club.\n\nRappel: en championnat, l’ESBVA est à 5 victoires pour autant de défaites alors qu’en Euroleague, elle se contente de 2 victoires en 7 matches.\n\n« En s’associant avec Ann Wauters, nous voulions quelqu’un d’emblématique, qui a de l’expérience et qui connaît le club. Dans un premier temps, elle aidera Fred (Dussart, le coach) pour les joueuses intérieures. Et d’autre part, il nous manque peut-être de l’agressivité, de la niaque. Le mental et l’état d’esprit peuvent être améliorés grâce à ses conseils. Nous voulons afficher de nouvelles choses », a expliqué le président Carmelo Scarna.\n\nPour Ann Wauters, 38 ans, il s’agit d’un pas décisif vers sa reconversion au sein de sa société Smart Mind même si l’heure de la retraite n’a pas encore sonné car elle envisage de participer à l’Euro l’été prochain.\n\n« Il faut pouvoir gérer la pression, soigner sa concentration, corriger les attitudes. J’ai envie de faire partager mon expérience et avec notre société, fondée il y a quelques mois, nous avons développé un modèle basé sur sept ‘high-performing’ attitudes. Il n’existe pas une seule attitude pour le sport de haut niveau, mais plusieurs attitudes, comme il y a plusieurs personnalités, qu’il faut connaître pour pouvoir mettre ensemble » a t-elle indiqué.\n\nA la rentrée sera lancé le projet de l’Académie Wauters Basket Villeneuve d’Ascq, à destination des joueuses de grande taille.\n\n« Ce projet, sous l’encadrement d’Ann Wauters en partenariat avec le club villeneuvois, aura pour objectif d’identifier, de détecter les potentiels chez les jeunes joueuses de grande taille, issues de la métropole lilloise, voire de l’Eurométropole. En collaboration avec le club amateur ESBVA et le centre de formation, cette académie doit être un tremplin vers une carrière de haut niveau », explique le club sur son site internet.\n\nPhoto: Virginie Brémont (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/bre-cc-81mont-e1546674136901.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-05T07:44:23.000Z", "updated_at":"2019-01-05T07:44:23.000Z", "published_at":"2019-01-05T07:44:23.000Z", "custom_excerpt":"Lors d’une conférence de presse, le staff de Villeneuve d’Ascq a exposé la mission que l’internationale belge Ann Wauters va avoir au sein du club.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da4f6", "uuid":"b5c20206-6e41-4415-86cd-62cccc6ebd68", "title":"Pro B: Julien Monclar (GM de Blois): « C’est notre confiance qui est fragile »", "slug":"pro-b-julien-monclar-gm-de-blois-cest-notre-confiance-qui-est-fragile", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.lanouvellerepublique.fr/blois/basket-ada-blois-repartir-et-du-bon-pied\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Si l’ADA Blois n’avait pas été recalé administrativement en raison d’un centre de formation non homologué, elle serait aujourd’hui en Jeep Elite. 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Une situation nouvelle qui ne peut être comparée qu’à sa première saison dans la division avec 7 défaites lors des 9 premières journées.
Avant de reprendre l’entraînement, les joueurs ont eu droit à une séance d’introspection concoctée par le staff du club. Le General Manager du club Julien Monclar s’explique dans La Nouvelle République:
« On sort de trois saisons de pleine réussite sportive. Et la saison d’avant (2014-2015) on avait déjà fait une finale en N1. Or là, on vit des moments plus difficiles. Les joueurs ? Ils savent ce que c’est, ils ont l’habitude. Mais pour l’environnement du club, c’est compliqué, car il avait oublié ce goût. Ce goût, celui de la difficulté, c’est pourtant celui du sport. Déjà, nous avons un effectif qui a des qualités évidentes. C’est notre confiance qui est fragile, on l’a encore vu a Orléans. Quand ça commence à se gâter, on n’a pas encore la capacité à encaisser, à se relever. Il n’y a pas de recette magique par rapport à ça. Mais il y a en revanche des choses que l’on peut ajouter au quotidien, des efforts que l’on doit faire. Quand on traverse une passe difficile, plus on baisse la tête, plus cette période dure… Plus on se bouscule, plus on fait ces efforts, plus on se donne des chances d’en sortir… »
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Déjà, nous avons un effectif qui a des qualités évidentes. C’est notre confiance qui est fragile, on l’a encore vu a Orléans. Quand ça commence à se gâter, on n’a pas encore la capacité à encaisser, à se relever. Il n’y a pas de recette magique par rapport à ça. Mais il y a en revanche des choses que l’on peut ajouter au quotidien, des efforts que l’on doit faire. 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«Malheureusement, il existe un problème qui, à mon avis, sera bientôt résolu d’une manière ou d’une autre. Environ 650 équipes jouent au basket-ball en Europe, impliquant des milliers de joueurs et d’entraîneurs. Onze équipes dominantes ne peuvent pas commander le reste avec des pratiques de concurrence déloyale. C’est à la fois un souhait et quelque chose sur lequel on m’a informé. »
Pour lui, c’est tout le modèle de l’Euroleague qui est pernicieux :
«Ceux qui aiment le basketball devraient être concernés par cela. ECA voit les choses différemment. Il existe un modèle qui a fait ses preuves dans le football. Il aurait dû y avoir un lien direct entre les compétitions, donc les revenus et l’image générale seraient clairs pour les sponsors. »
Pour lui le système de la Basketball Champions League est meilleur :
« Les équipes ne voudront pas jouer un an en EuroLeague pour réaliser leurs rêves. Nous voyons déjà Hapoel Jerusalem et Brose Bamberg qui ont préféré le BCL. Si la BCL s’améliore, les ligues nationales feront de même. »
Makis Angelopulous estime par ailleurs que le jeu est pipé à l’intérieur même de l’Euroleague :
«Il y a aussi une concurrence déloyale au sein de l’Euroleague, entre les onze équipes et les cinq autres qui participent pendant une saison puis font faillite ou sont au bord de la faillite. La compétition est également injuste pour les ligues nationales, car les revenus d’une ligue privée constituent un avantage par rapport aux équipes dont les revenus sont plus faibles. Seul l’argent compte, pas les critères sportifs ou le basket-ball. Pourquoi ne devrions-nous pas avoir la chance de voir un nouveau Pop 84 (NDLR : l’équipe de Split du début des années 90 avec Toni Kukoc)? L’élément de surprise a été supprimé. Il n’y aura jamais d’exemple de Leicester en basketball. »", "comment_id":"448776", "plaintext":"Makis Angelopoulos, le propriétaire de l’AEK Athènes, a envoyé en cette fin de semaine une charge en direction de l’Euroleague et de son fonctionnement lors d’une interview accordée à SPOR FM 94.6. 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Andrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions) a mis tout le monde d’accord sur cette 1ère journée. Il termine à un brillant 37 d’évaluation, en tête d’un clan tricolore bien dense avec Alpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres) et Paul Lacombe (20 points, 10 rebonds).
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Andrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions)
C’était le match de tous les records pour Andrew Albicy. Auteur de son meilleur score avec 22 points, il fait encore mieux avec 37 d’évaluation au total. Déjà détenteur du record d’interceptions (5), il a non seulement établi son nouveau record perso en EuroCup mais il a aussi pris un peu plus le contrôle du livre des records d’Andorre en devenant le premier à l’évaluation et aux trois points réussis (6/8).
C’est également un beau pied de nez au destin quand on sait qu’Albicy n’a jamais été reconnu pour son adresse de loin. Mais, à force de travail, il peut désormais briller dans ce secteur de jeu aussi, le rendant d’autant plus dangereux quand il utilise son premier pas éclair vers le cercle… Meilleur joueur de la journée et de loin, Albicy a frappé très fort !
Alpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres)
Décisif en défense dans les dernières minutes du match, Alpha Kaba a établi de nouveaux records aux rebonds, contres et à l’évaluation (26). Il a été le leader de la révolte et finit avec une fiche de stats des plus replètes à l’arrivée : 16 points, 13 rebonds, 4 contres.
Avec 9 rebonds offensifs, Kaba a réalisé la meilleure performance de la saison d’EuroCup. Pas mal sachant que le fugace Hawk (en ligue d’été NBA) revient tout récemment d’une longue blessure. Avec ses qualités physiques et une progression continue dans son travail technique, Kaba peut faire une grosse différence à ce niveau de compétition.
0/15
C’est le bilan catastrophique à trois-points des Monégasques après trois quart temps face à l’Alba Berlin. Ce sera évidemment bien trop peu pour concurrencer le club allemand à domicile, à 7/17 dans l’exercice. Yakuba Ouattara brisera enfin la glace en dernier quart et Monaco termine à 2/20, loin de sa moyenne à 33% cette saison.
L’Asvel commence par un exploit
A la traîne mais jamais décrochée, l’Asvel a réalisé un bel exploit face à un des ogres de la compétition, le Lokomotiv Krasnodar. Derrière l’activité monumentale d’Alpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres), les hommes de Mitrovic ont réussi à faire le trou dans le crunch, avec un 10-1 impulsé par Kaba et David Lighty (15 points).
Amine Noua (13 points) et Theo Maledon (8 points) ont également été essentiels dans la fin de match pleine de sang-froid des jeunes pousses villeurbannaises… oui, sauf pour l’ultime balle perdue par Maledon qui a permis un dernier tir de Vitaly Fridzo, raté heureusement ! C’est la première victoire de l’Asvel à l’extérieur en Top 16, un bon signe quand on sait que Charles Kahudi n’était pas en tenue et qu’Alexis Ajinça vient tout juste de signer son contrat.
Pas de miracle à Belgrade pour le CSP
Revenu à égalité en début de dernier quart avec Jonathan Rousselle au layup, le CSP Limoges n’a cependant pas tenu la fin de match à Belgrade. L’Etoile Rouge a prévalu à domicile avec notamment Filip Covic qui a scoré ses 12 points dans l’ultime période (83-71).
Mal parti avec un 1er quart perdu de 9 (25-16), Limoges s’est compliqué la tâche dans ce Top 16, déjà atteint de justesse. William Howard et Axel Bouteille ont été les frères siamois dans ce match avec 11 points, 4 passes pour le premier et 11 points, 4 rebonds pour le second ; les deux à 13 d’éval’.
Monaco chute à Berlin
A 0/15 à trois-points après trois quarts temps, Monaco pouvait finalement s’estimer heureux de ne pas être largués plus loin que 12 points. Mais en terminant à 2/5 derrière l’arc et pas plus convaincante offensivement en dernier quart, la Roca Team n’a pas pu rivaliser avec l’Alba Berlin, maitre chez lui (83-74).
Luke Sikma (17 points, 5 passes) et Tim Schneider (16 points à 4/4 à trois points) ont été les bourreaux du club de la Principauté. Face à son ancien club, Elmedin Kikanovic a réussi un match plein à 26 points et 8 rebonds. Paul Lacombe termine quant à lui à 20 points, 10 rebonds et 4 passes. Monaco aura besoin d’une réaction lors de la 2e journée contre Vilnius.
Andrew Albicy (Andorre) : 22 points (8/11 aux tirs), 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions, 2 balles perdues en 29 minutes pour 37 d’évaluation
Paul Lacombe (Monaco) : 20 points (7/15 aux tirs), 10 rebonds, 4 passes, 5 balles perdues en 34 minutes
Alpha Kaba (Asvel) : 16 points (8/13 aux tirs), 13 rebonds, 4 contres, 2 interception, 1 passe, 3 balles perdues en 25 minutes
Amine Noua (Asvel) : 13 points (6/10 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes
Mathias Lessort (Malaga) : 12 points (5/7 aux tirs), 10 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 24 minutes
William Howard (Limoges) : 11 points (4/7 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception en 31 minutes
Axel Bouteille (Limoges) : 11 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 contre en 20 minutes
Théo Maledon (Asvel) : 8 points (1/6 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 19 minutes
Bandja Sy (Partizan) : 5 points (2/4 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 16 minutes
Louis Labeyrie (Valence) : 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 12 minutes
Yakuba Ouattara (M0naco) : 3 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 11 minutes
Livio Jean-Charles (Asvel) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds en 8 minutes
Antoine Diot (Valence) : n’a pas joué
Moustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué
GROUPE E
Vilnius – Partizan Belgrade (80-74)
Alba Berlin – Monaco (83-74)
GROUPE F
Krasnodar – ASVEL (65-67)
Ulm – Francfort (70-63)
GROUPE G
Etoile Rouge Belgrade – CSP Limoges (83-71)
Valence – Malaga (85-74)
GROUPE H
Kazan – St Pétersbourg (68-67)
Cedevita Zagreb – Andorre (81-87)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/screen-shot-2019-01-03-at-8.21.35-pm.png\")
Crédits photo : EuroCup
[armelse]
Andrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions)
C’était le match de tous les records pour Andrew Albicy. Auteur de son meilleur score avec 22 points, il fait encore mieux avec 37 d’évaluation au total. Déjà détenteur du record d’interceptions (5), il a non seulement établi son nouveau record perso en EuroCup mais il a aussi pris un peu plus le contrôle du livre des records d’Andorre en devenant le premier à l’évaluation et aux trois points réussis (6/8).
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[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
", "comment_id":"448604", "plaintext":"Le Top 16 est lancé et si l’Asvel a réalisé un bel exploit en allant s’imposer à Krasnodar, les deux autres clubs français ont trébuché d’entrée de jeu à l’extérieur. Limoges n’aura pas réussi à accrocher l’Etoile Rouge à Belgrade tandis que Monaco est tombé sur un mur à Berlin.\n\nAndrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions) a mis tout le monde d’accord sur cette 1ère journée. Il termine à un brillant 37 d’évaluation, en tête d’un clan tricolore bien dense avec Alpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres) et Paul Lacombe (20 points, 10 rebonds).\n\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nLe MVP de la 9ème journée\n\nAndrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions)\n\nC’était le match de tous les records pour Andrew Albicy. Auteur de son meilleur score avec 22 points, il fait encore mieux avec 37 d’évaluation au total. Déjà détenteur du record d’interceptions (5), il a non seulement établi son nouveau record perso en EuroCup mais il a aussi pris un peu plus le contrôle du livre des records d’Andorre en devenant le premier à l’évaluation et aux trois points réussis (6/8).\n\nC’est également un beau pied de nez au destin quand on sait qu’Albicy n’a jamais été reconnu pour son adresse de loin. Mais, à force de travail, il peut désormais briller dans ce secteur de jeu aussi, le rendant d’autant plus dangereux quand il utilise son premier pas éclair vers le cercle… Meilleur joueur de la journée et de loin, Albicy a frappé très fort !\n\n\nLa meilleure performance\n\nAlpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres)\n\nDécisif en défense dans les dernières minutes du match, Alpha Kaba a établi de nouveaux records aux rebonds, contres et à l’évaluation (26). Il a été le leader de la révolte et finit avec une fiche de stats des plus replètes à l’arrivée : 16 points, 13 rebonds, 4 contres.\n\nAvec 9 rebonds offensifs, Kaba a réalisé la meilleure performance de la saison d’EuroCup. Pas mal sachant que le fugace Hawk (en ligue d’été NBA) revient tout récemment d’une longue blessure. Avec ses qualités physiques et une progression continue dans son travail technique, Kaba peut faire une grosse différence à ce niveau de compétition.\n\n\nLa stat qui tue\n\n0/15\n\nC’est le bilan catastrophique à trois-points des Monégasques après trois quart temps face à l’Alba Berlin. Ce sera évidemment bien trop peu pour concurrencer le club allemand à domicile, à 7/17 dans l’exercice. Yakuba Ouattara brisera enfin la glace en dernier quart et Monaco termine à 2/20, loin de sa moyenne à 33% cette saison.\n\n\nLes clubs français\n\nL’Asvel commence par un exploit\n\nA la traîne mais jamais décrochée, l’Asvel a réalisé un bel exploit face à un des ogres de la compétition, le Lokomotiv Krasnodar. Derrière l’activité monumentale d’Alpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres), les hommes de Mitrovic ont réussi à faire le trou dans le crunch, avec un 10-1 impulsé par Kaba et David Lighty (15 points).\n\nAmine Noua (13 points) et Theo Maledon (8 points) ont également été essentiels dans la fin de match pleine de sang-froid des jeunes pousses villeurbannaises… oui, sauf pour l’ultime balle perdue par Maledon qui a permis un dernier tir de Vitaly Fridzo, raté heureusement ! C’est la première victoire de l’Asvel à l’extérieur en Top 16, un bon signe quand on sait que Charles Kahudi n’était pas en tenue et qu’Alexis Ajinça vient tout juste de signer son contrat.\n\nPas de miracle à Belgrade pour le CSP\n\nRevenu à égalité en début de dernier quart avec Jonathan Rousselle au layup, le CSP Limoges n’a cependant pas tenu la fin de match à Belgrade. L’Etoile Rouge a prévalu à domicile avec notamment Filip Covic qui a scoré ses 12 points dans l’ultime période (83-71).\n\nMal parti avec un 1er quart perdu de 9 (25-16), Limoges s’est compliqué la tâche dans ce Top 16, déjà atteint de justesse. William Howard et Axel Bouteille ont été les frères siamois dans ce match avec 11 points, 4 passes pour le premier et 11 points, 4 rebonds pour le second ; les deux à 13 d’éval’.\n\nMonaco chute à Berlin\n\nA 0/15 à trois-points après trois quarts temps, Monaco pouvait finalement s’estimer heureux de ne pas être largués plus loin que 12 points. Mais en terminant à 2/5 derrière l’arc et pas plus convaincante offensivement en dernier quart, la Roca Team n’a pas pu rivaliser avec l’Alba Berlin, maitre chez lui (83-74).\n\nLuke Sikma (17 points, 5 passes) et Tim Schneider (16 points à 4/4 à trois points) ont été les bourreaux du club de la Principauté. Face à son ancien club, Elmedin Kikanovic a réussi un match plein à 26 points et 8 rebonds. Paul Lacombe termine quant à lui à 20 points, 10 rebonds et 4 passes. Monaco aura besoin d’une réaction lors de la 2e journée contre Vilnius.\n\n\nLes Français de l’EuroCup\n\nAndrew Albicy (Andorre) : 22 points (8/11 aux tirs), 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions, 2 balles perdues en 29 minutes pour 37 d’évaluation\n\nPaul Lacombe (Monaco) : 20 points (7/15 aux tirs), 10 rebonds, 4 passes, 5 balles perdues en 34 minutes\n\nAlpha Kaba (Asvel) : 16 points (8/13 aux tirs), 13 rebonds, 4 contres, 2 interception, 1 passe, 3 balles perdues en 25 minutes\n\nAmine Noua (Asvel) : 13 points (6/10 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes\n\nMathias Lessort (Malaga) : 12 points (5/7 aux tirs), 10 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 24 minutes\n\nWilliam Howard (Limoges) : 11 points (4/7 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception en 31 minutes\n\nAxel Bouteille (Limoges) : 11 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 contre en 20 minutes\n\nThéo Maledon (Asvel) : 8 points (1/6 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 19 minutes\n\nBandja Sy (Partizan) : 5 points (2/4 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 16 minutes\n\nLouis Labeyrie (Valence) : 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 12 minutes\n\nYakuba Ouattara (M0naco) : 3 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 11 minutes\n\nLivio Jean-Charles (Asvel) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds en 8 minutes\n\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\n\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\n\n\nLe Top Ten\n\n\nLes résultats de la 1ère journée\n\nGROUPE E\nVilnius – Partizan Belgrade (80-74)\nAlba Berlin – Monaco (83-74)\n\nGROUPE F\nKrasnodar – ASVEL (65-67)\nUlm – Francfort (70-63)\n\nGROUPE G\nEtoile Rouge Belgrade – CSP Limoges (83-71)\nValence – Malaga (85-74)\n\nGROUPE H\nKazan – St Pétersbourg (68-67)\nCedevita Zagreb – Andorre (81-87)\n\n\nLe classement\n\n\nTous les bilans de la 1ère phase :\n\nLe bilan de la 10e journée\n\nLe bilan de la 9e journée\n\nLe bilan de la 8e journée\n\nLe bilan de la 7e journée\n\nLe bilan de la 6e journée\n\nLe bilan de la 5e journée\n\nLe bilan de la 4e journée\n\nLe bilan de la 3e journée\n\nLe bilan de la 2e journée\n\nLe bilan de la 1ère journée\n\nCrédits photo : EuroCup\n\n[armelse]\n\nAndrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions)\n\nC’était le match de tous les records pour Andrew Albicy. Auteur de son meilleur score avec 22 points, il fait encore mieux avec 37 d’évaluation au total. Déjà détenteur du record d’interceptions (5), il a non seulement établi son nouveau record perso en EuroCup mais il a aussi pris un peu plus le contrôle du livre des records d’Andorre en devenant le premier à l’évaluation et aux trois points réussis (6/8).\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/andrew-albicy-e1559569150749.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-04T22:10:59.000Z", "updated_at":"2019-01-05T09:25:43.000Z", "published_at":"2019-01-04T22:10:59.000Z", "custom_excerpt":"Le Top 16 est lancé et si l’Asvel a réalisé un bel exploit en allant s’imposer à Krasnodar, les deux autres clubs français ont trébuché d’entrée de jeu à l’extérieur. 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| BALFOURIER | \\nNaoll | \\n14/07/2003 | \\n215 | \\nCFBB | \\n
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| DESSERT | \\nBrice | \\n25/03/2003 | \\n206 | \\nCFBB | \\n
| DIENG | \\nOusmane | \\n21/05/2003 | \\n199 | \\nCFBB | \\n
| HAMON CRESPIN | \\nMaël | \\n03/09/2004 | \\n202 | \\nNancy | \\n
| KASIAMA | \\nKenny | \\n05/03/2003 | \\n201 | \\nCFBB | \\n
| MANET | \\nNoah | \\n01/05/2004 | \\n191 | \\nCFBB | \\n
| MIENANDI | \\nHugo | \\n23/05/2003 | \\n200 | \\nLeMans | \\n
| RUPERT | \\nRayan | \\n31/05/2004 | \\n187 | \\nCFBB | \\n
| TRAORE | \\nArmel | \\n23/01/2003 | \\n196 | \\nCFBB | \\n
| TRAORE | \\nYohan | \\n15/02/2003 | \\n203 | \\nCFBB | \\n
Afin de préparer le tournoi International U16 masculin qui aura lieu à Sakarya (Turquie) du 28 janvier au 1 février 2019, le staff de l’Equipe de France a sélectionné 12 joueurs pour participer à un stage à l’INSEP qui se tiendra en amont.
La majorité des joueurs évoluent avec le Centre Fédéral. Ce sont des 2003 à l’exception de trois joueurs dont Rayan Rupert, le fils de Thierry et frère d’Iliana de Bourges.
| NOM | \nPRENOM | \nNé le | \nTaille | \nClub . | \n
| BAL | \nAdama | \n18/12/2003 | \n192 | \nCFBB | \n
| BALFOURIER | \nNaoll | \n14/07/2003 | \n215 | \nCFBB | \n
| DESSEIGNET | \nHugo | \n13/02/2003 | \n172 | \nASVEL | \n
| DESSERT | \nBrice | \n25/03/2003 | \n206 | \nCFBB | \n
| DIENG | \nOusmane | \n21/05/2003 | \n199 | \nCFBB | \n
| HAMON CRESPIN | \nMaël | \n03/09/2004 | \n202 | \nNancy | \n
| KASIAMA | \nKenny | \n05/03/2003 | \n201 | \nCFBB | \n
| MANET | \nNoah | \n01/05/2004 | \n191 | \nCFBB | \n
| MIENANDI | \nHugo | \n23/05/2003 | \n200 | \nLeMans | \n
| RUPERT | \nRayan | \n31/05/2004 | \n187 | \nCFBB | \n
| TRAORE | \nArmel | \n23/01/2003 | \n196 | \nCFBB | \n
| TRAORE | \nYohan | \n15/02/2003 | \n203 | \nCFBB | \n
Entraineur : Bernard Faure
Assistants : David Gallois et Eric Kehlhoffner
Photo: Naoll Balfournier (INSEP)
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\\n
“Τhe bomb” has exploded… Jordan Theodore (29, 1.83m), has signed a contract with AEK BC until the end of the 2018-2019 season. pic.twitter.com/m8BHjCSqrt— AEK B.C. (@aekbcgr) January 3, 2019
Photo : Euroleague
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Sur Twitter, la formation grecque a annoncé la signature de l’ancien joueur de Bourg-en-Bresse pour le reste de la saison 2018/19. A Milan la saison dernière, le natif d’Englewood est auparavant passé par Bourg-en-Bresse ou encore Banvit avec qui il avait été élu MVP de Champions League en 2017.
La saison dernière, Jordan Theodore compilait en moyenne 11,1 points, 2,5 rebonds et 3,7 passes décisives entre l’Euroleague et la Serie A.
\nΈσκασε η «βόμβα»… O Jordan Theodore (29 χρ., 1μ.83) υπέγραψε στην ΑΕΚ BC έως το τέλος της αγωνιστικής περιόδου 2018-2019.#AEKBC #Welcome
\n
“Τhe bomb” has exploded… Jordan Theodore (29, 1.83m), has signed a contract with AEK BC until the end of the 2018-2019 season. pic.twitter.com/m8BHjCSqrt— AEK B.C. (@aekbcgr) January 3, 2019
Photo : Euroleague
", "comment_id":"448712", "plaintext":"En discussion avec l’AEK Athènes, Jordan Theodore (1,83m, 29 ans) vient officiellement de s’engager avec le club grec.\n\nSur Twitter, la formation grecque a annoncé la signature de l’ancien joueur de Bourg-en-Bresse pour le reste de la saison 2018/19. A Milan la saison dernière, le natif d’Englewood est auparavant passé par Bourg-en-Bresse ou encore Banvit avec qui il avait été élu MVP de Champions League en 2017.\n\nLa saison dernière, Jordan Theodore compilait en moyenne 11,1 points, 2,5 rebonds et 3,7 passes décisives entre l’Euroleague et la Serie A.\n\n\n\n\nΈσκασε η «βόμβα»… O Jordan Theodore (29 χρ., 1μ.83) υπέγραψε στην ΑΕΚ BC έως το τέλος της αγωνιστικής περιόδου 2018-2019.#AEKBC #Welcome\n“Τhe bomb” has exploded… Jordan Theodore (29, 1.83m), has signed a contract with AEK BC until the end of the 2018-2019 season. pic.twitter.com/m8BHjCSqrt\n\n\n— AEK B.C. (@aekbcgr) January 3, 2019\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/jordan-theodore-ax-armani-exchange-olimpia-milan-eb17.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-04T09:10:11.000Z", "updated_at":"2019-01-04T09:10:11.000Z", "published_at":"2019-01-04T09:10:11.000Z", "custom_excerpt":"En discussion avec l’AEK Athènes, Jordan Theodore (1,83m, 29 ans) vient officiellement de s’engager avec le club grec.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da4fc", "uuid":"df9fb862-c54c-434a-a34b-0a186b981d63", "title":"Officiel : Kerem Kanter quitte Bourg et Fréjus Zerbo prolonge", "slug":"officiel-kerem-kanter-quitte-bourg-et-frejus-zerbo-prolonge", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Photo : Guilherme Amorin
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Sur son site, la « Jeu » annonce que suite aux difficultés rencontrées par l’intérieur turc pour s’acclimater à la Jeep Elite, il a été décidé, d’un commun accord, de mettre un terme à leur collaboration. De son côté, Fréjus Zerbo est arrivé en tant que pigiste médical mi-novembre et il vient officiellement d’être prolongé pour le reste de la saison par les dirigeants burgiens.
Photo : Guilherme Amorin
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Un peu auparavant, Lyon avait réussi sa mission de s’imposer en Russie face à Vidnoje (83-52) notamment grâce à son Américaine Alysha Clark (15 points, 5 rebonds, 3 passes et 5 interceptions).
En revanche, Basket Landes a perdu une grande partie de ses chances de se qualifier en craquant dans le dernier quart-temps (11-27), à domicile, face à Venise (68-77). Avec 15 points et 4 passes Céline Dumerc a été encore une fois la numéro 1 de son équipe dans ces deux secteurs.
Les matches retours se tiendront la semaine prochaine.
Photo: Ana Suarez (FIBA)
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Cette saison, Leo Westermann compile en moyenne 6,1 points, 1,9 rebond et 3,1 passes décisives dans le championnat lituanien, et 6,4 points, 2,1 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 5,9 en Euroleague.
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Et les fortunes de ce contingent étranger continuent d’être très variées. Ce qui nécessite de répartir cette analyse en deux parties. Voici la deuxième. Après les nouveaux arrivants et les joueurs décevants ou devant en montrer plus, place à ceux qui donnent – au moins en partie – satisfaction.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nous avons vu dans la première partie de ce deuxième épisode de notre « Baromètre des non-JFL de Jeep Élite » quels sont les non-JFL qui ont été coupés lors de ces deux derniers mois, ceux qui les ont remplacés, ceux qui sont à la peine et ceux qui laissent sans doute leur équipe sur leur faim. Voyons maintenant ceux qui font le bonheur de leurs clubs, à des degrés divers. Et ils sont nombreux.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Mention bien\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sans « casser la baraque », bon nombre de non-JFL donnent satisfaction, produisant un rendement à la hauteur de ce que l’on pouvait en attendre, parfois un peu plus, d’autres un peu moins.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À Antibes, c’est le cas de \"],[0,[1],1,\"Aigars Skele\"],[0,[],0,\", arrière letton adroit et rentable : 12,4 d’éval moyenne. Dans le Périgord, à Boulazac, ce sont \"],[0,[1],1,\"Akil Mitchell\"],[0,[],0,\" (très régulier entre 11 et 20 d’éval sur les huit derniers matchs) et \"],[0,[1],1,\"Travis Leslie\"],[0,[],0,\" qui entrent dans la même catégorie. Ils contribuent aux bons résultats du BBD. Du côté de Bourg-en-Bresse, \"],[0,[1],1,\"Garrett Sim\"],[0,[],0,\" n’entre pas dans la catégorie des « très bien » pour la seule raison qu’il est un tout petit peu moins productif que la saison passée. Mais il reste d’une régularité de métronome depuis son retour de blessure : une seule fois sous les 10 d’évaluation en sept matchs. À Chalon-sur-Saône, après un début délicat, \"],[0,[1],1,\"Mykal Riley\"],[0,[],0,\" semble avoir trouvé la bonne carburation, tournant à 16,4 d’éval sur les huit derniers matchs, alors que \"],[0,[1],1,\"Vee Sanford\"],[0,[],0,\" se montre plus irrégulier tout en affichant un rendement moyen très intéressant.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ne seraient quelques « trous d’air », \"],[0,[1],1,\"Blake Schilb\"],[0,[],0,\" (Châlons-Reims) mériterait lui aussi une mention encore plus prestigieuse, capable qu’il est de réaliser des matchs pleins, noircissant toutes les catégories statistiques. De son côté, le pivot dijonnais \"],[0,[1],1,\"Gavin Ware\"],[0,[],0,\" exploite à merveille son temps de jeu assez réduit (à peine plus de 22 mn/match) pour produire avec régularité ses 13 pts et 5 rebonds. Moins constant, son coéquipier \"],[0,[1],1,\"Ryan Pearson\"],[0,[],0,\" sait dans ses bons jours prouver toutes ses qualités offensives, mais aussi, dans les moins bons (heureusement plus rares), passer totalement à travers (0/8 au Portel, 2/10 à Villeurbanne).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour Fos-sur-Mer, \"],[0,[1],1,\"Ron Lewis\"],[0,[],0,\" continue sur la lancée de son début de saison, faisant parfois preuve d’irrégularité (« mal » classique chez les shooters) mais restant productif avec un fort temps de jeu. Quant à son compère \"],[0,[1],1,\"Malik Hairston\"],[0,[],0,\", il a su se remettre en route après son année blanche et affiche désormais un fort niveau de jeu (16,9 d’éval sur les neuf derniers matchs, malgré un 0 à Nanterre).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au Mans, deux joueurs laissent un sentiment mitigé, \"],[0,[1],1,\"Richard Hendrix\"],[0,[],0,\" et \"],[0,[1],1,\"Michael Thompson\"],[0,[],0,\". Tous deux produisent de belles stats (notamment sur les derniers matchs, concernant « Juice » Thompson) mais le premier peine à trouver sa place dans le collectif manceau et à justifier pleinement son pedigree Euroleague, alors que le second a du mal à se glisser dans la peau du « patron » de l’équipe. Mais le MSB tourne mieux depuis quelques matchs, ils n’y sont pas étrangers.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Du côté du Portel, \"],[0,[1],1,\"Anthony Hilliard\"],[0,[],0,\" se montre productif dans une équipe qui souffre, sans grand coups d’éclat mais avec une certaine constance. Chez les Metropolitans de Levallois, \"],[0,[1],1,\"Jaron Johnson\"],[0,[],0,\" s’est bien ressaisi après un début de championnat compliqué, notamment en termes d’adresse : de 10/34 (29,4 %) au shoot (dont 0/12 à 3 pts…) sur les cinq premiers matchs, il est passé sur les suivants à 48/83 (57,8 %) dont 25/46 à 3 pts (54,3 %). Quant à son coéquipier \"],[0,[1],1,\"Ekene Ibekwe\"],[0,[],0,\", il continue avec constance, sans briller mais sans faille, de faire son job de rotation intérieure derrière Julian Wright et Mouph’ Yarou (voir plus loin). Chez le leader villeurbannais, le quatuor \"],[0,[1],1,\"Mantas Kalnietis-DeMarcus Nelson-David Lighty-Miro Bilan\"],[0,[],0,\" assure avec constance, le pivot croate ayant même rendu quelques très belles copies au cours des derniers matchs de l’année. À Monaco, la doublette intérieure \"],[0,[1],1,\"Jarrod Jones-Elmedin Kikanovic\"],[0,[],0,\" est à son avantage. Après un début de saison compliqué, le premier a trouvé la mire et produit une dizaine de beaux matchs avant un « accident industriel » (2/16 au shoot, -8 d’éval lors de la dernière journée à Bourg-en-Bresse !) qui ternit un peu le tableau. Le second, lui, a assuré une bonne production, pas toujours constante, alors que son équipe peinait. L’arrivée de Buckner devrait permettre aux deux joueurs de s’économiser pour la suite du championnat.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À Nanterre, \"],[0,[1],1,\"Adas Juskevicius\"],[0,[],0,\" apporte assez régulièrement son adresse alors qu’\"],[0,[1],1,\"Haukur Palsson\"],[0,[],0,\" semble très bien gérer son replacement en poste 4, avec des statistiques en hausse (19,5 d’éval sur les deux derniers matchs).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Enfin, à Strasbourg, \"],[0,[1],1,\"Quentin Serron\"],[0,[],0,\" ne produit pas de stats mirobolantes mais se fond dans un collectif qui « penche » vers l’intérieur, avec Youssoupha Fall et Ali Traoré. Lui reste à régler la mire à 3 pts : 26,1 %…\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les « ténors » de la Jeep Élite\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dernière catégorie de notre baromètre, celle qui regroupe les joueurs donnant toute satisfaction. Et ils sont nombreux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À Antibes, \"],[0,[1],1,\"Tim Blue\"],[0,[],0,\" prouve semaine après semaine qu’il est parfaitement remis de ses problèmes de santé, alors qu’à Boulazac, \"],[0,[1],1,\"Kenny Cherry\"],[0,[],0,\" poursuit sur sa lancée du début de saison et s’affirme comme le patron de son équipe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À Bourg-en-Bresse, le trio \"],[0,[1],1,\"Zack Wright-Zack Peacock-Youssou Ndoye\"],[0,[],0,\" produit plus de la moitié des points et de l’éval de la JL, c’est dire son impact. Près de là, à Chalon-sur-Saône, \"],[0,[1],1,\"Juan Palacios\"],[0,[],0,\" s’impose comme un intérieur dominant du championnat alors que \"],[0,[1],1,\"Justin Robinson\"],[0,[],0,\" continue d’impressionner, même si ses trois derniers matchs ont montré un net fléchissement (6 d’éval moyenne contre plus de 20 précédemment). De son côté, Cholet espère que \"],[0,[1],1,\"Frank\"],[0,[],0,\" « le tank » \"],[0,[1],1,\"Hassell\"],[0,[],0,\" va poursuivre l’aventure au club, vu son impact intérieur. À Châlons-Reims, \"],[0,[1],1,\"Devin Ebanks\"],[0,[],0,\" continue d’affoler les compteurs, son club aimerait simplement qu’il mette autant d’ardeur de l’autre côté du terrain…\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"David Holston\"],[0,[],0,\", le meneur dijonnais, continue d’animer avec bonheur une équipe bien classée alors que \"],[0,[1],1,\"Taylor Smith\"],[0,[],0,\", le petit pivot gravelinois, continue sur sa lancée de la saison passée, passant même de 15,2 à 16,9 d’éval moyenne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Deux équipes se félicitent par ailleurs de leur recrutement. À Levallois, \"],[0,[1],1,\"Roko-Leni Ukic\"],[0,[],0,\", \"],[0,[1],1,\"Julian Wright\"],[0,[],0,\" et \"],[0,[1],1,\"Mouph’ Yarou\"],[0,[],0,\" forment une colonne vertébrale particulièrement efficace pour leur équipe. 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Mais il reste d’une régularité de métronome depuis son retour de blessure : une seule fois sous les 10 d’évaluation en sept matchs. À Chalon-sur-Saône, après un début délicat, \"],[0,[1],1,\"Mykal Riley\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photos: Donta Smith (Pau, LNB/Hervé Bellenger), Akil Mitchell (Boulazac, BBD/Linda Chasseriau), Justin Robinson (Chalon, LNB/Hervé Bellenger)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Neuf journées de championnat se sont écoulées depuis le premier épisode de notre baromètre sur les non-JFL de Jeep Élite. Et les fortunes de ce contingent étranger continuent d’être très variées. Ce qui nécessite de répartir cette analyse en deux parties. Voici la deuxième. Après les nouveaux arrivants et les joueurs décevants ou devant en montrer plus, place à ceux qui donnent – au moins en partie – satisfaction.
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Nous avons vu dans la première partie de ce deuxième épisode de notre « Baromètre des non-JFL de Jeep Élite » quels sont les non-JFL qui ont été coupés lors de ces deux derniers mois, ceux qui les ont remplacés, ceux qui sont à la peine et ceux qui laissent sans doute leur équipe sur leur faim. Voyons maintenant ceux qui font le bonheur de leurs clubs, à des degrés divers. Et ils sont nombreux.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/j01_boulazac-vs-le-portel-c2-a9bbd-linda-chasserieau-9-e1546334589616.jpg\")
Mention bien
Sans « casser la baraque », bon nombre de non-JFL donnent satisfaction, produisant un rendement à la hauteur de ce que l’on pouvait en attendre, parfois un peu plus, d’autres un peu moins.
À Antibes, c’est le cas de Aigars Skele, arrière letton adroit et rentable : 12,4 d’éval moyenne. Dans le Périgord, à Boulazac, ce sont Akil Mitchell (très régulier entre 11 et 20 d’éval sur les huit derniers matchs) et Travis Leslie qui entrent dans la même catégorie. Ils contribuent aux bons résultats du BBD. Du côté de Bourg-en-Bresse, Garrett Sim n’entre pas dans la catégorie des « très bien » pour la seule raison qu’il est un tout petit peu moins productif que la saison passée. Mais il reste d’une régularité de métronome depuis son retour de blessure : une seule fois sous les 10 d’évaluation en sept matchs. À Chalon-sur-Saône, après un début délicat, Mykal Riley semble avoir trouvé la bonne carburation, tournant à 16,4 d’éval sur les huit derniers matchs, alors que Vee Sanford se montre plus irrégulier tout en affichant un rendement moyen très intéressant.
Ne seraient quelques « trous d’air », Blake Schilb (Châlons-Reims) mériterait lui aussi une mention encore plus prestigieuse, capable qu’il est de réaliser des matchs pleins, noircissant toutes les catégories statistiques. De son côté, le pivot dijonnais Gavin Ware exploite à merveille son temps de jeu assez réduit (à peine plus de 22 mn/match) pour produire avec régularité ses 13 pts et 5 rebonds. Moins constant, son coéquipier Ryan Pearson sait dans ses bons jours prouver toutes ses qualités offensives, mais aussi, dans les moins bons (heureusement plus rares), passer totalement à travers (0/8 au Portel, 2/10 à Villeurbanne).
Pour Fos-sur-Mer, Ron Lewis continue sur la lancée de son début de saison, faisant parfois preuve d’irrégularité (« mal » classique chez les shooters) mais restant productif avec un fort temps de jeu. Quant à son compère Malik Hairston, il a su se remettre en route après son année blanche et affiche désormais un fort niveau de jeu (16,9 d’éval sur les neuf derniers matchs, malgré un 0 à Nanterre).
Au Mans, deux joueurs laissent un sentiment mitigé, Richard Hendrix et Michael Thompson. Tous deux produisent de belles stats (notamment sur les derniers matchs, concernant « Juice » Thompson) mais le premier peine à trouver sa place dans le collectif manceau et à justifier pleinement son pedigree Euroleague, alors que le second a du mal à se glisser dans la peau du « patron » de l’équipe. Mais le MSB tourne mieux depuis quelques matchs, ils n’y sont pas étrangers.
Du côté du Portel, Anthony Hilliard se montre productif dans une équipe qui souffre, sans grand coups d’éclat mais avec une certaine constance. Chez les Metropolitans de Levallois, Jaron Johnson s’est bien ressaisi après un début de championnat compliqué, notamment en termes d’adresse : de 10/34 (29,4 %) au shoot (dont 0/12 à 3 pts…) sur les cinq premiers matchs, il est passé sur les suivants à 48/83 (57,8 %) dont 25/46 à 3 pts (54,3 %). Quant à son coéquipier Ekene Ibekwe, il continue avec constance, sans briller mais sans faille, de faire son job de rotation intérieure derrière Julian Wright et Mouph’ Yarou (voir plus loin). Chez le leader villeurbannais, le quatuor Mantas Kalnietis-DeMarcus Nelson-David Lighty-Miro Bilan assure avec constance, le pivot croate ayant même rendu quelques très belles copies au cours des derniers matchs de l’année. À Monaco, la doublette intérieure Jarrod Jones-Elmedin Kikanovic est à son avantage. Après un début de saison compliqué, le premier a trouvé la mire et produit une dizaine de beaux matchs avant un « accident industriel » (2/16 au shoot, -8 d’éval lors de la dernière journée à Bourg-en-Bresse !) qui ternit un peu le tableau. Le second, lui, a assuré une bonne production, pas toujours constante, alors que son équipe peinait. L’arrivée de Buckner devrait permettre aux deux joueurs de s’économiser pour la suite du championnat.
À Nanterre, Adas Juskevicius apporte assez régulièrement son adresse alors qu’Haukur Palsson semble très bien gérer son replacement en poste 4, avec des statistiques en hausse (19,5 d’éval sur les deux derniers matchs).
Enfin, à Strasbourg, Quentin Serron ne produit pas de stats mirobolantes mais se fond dans un collectif qui « penche » vers l’intérieur, avec Youssoupha Fall et Ali Traoré. Lui reste à régler la mire à 3 pts : 26,1 %…
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/robinson-e1546334330189.jpg\")
Les « ténors » de la Jeep Élite
Dernière catégorie de notre baromètre, celle qui regroupe les joueurs donnant toute satisfaction. Et ils sont nombreux.
À Antibes, Tim Blue prouve semaine après semaine qu’il est parfaitement remis de ses problèmes de santé, alors qu’à Boulazac, Kenny Cherry poursuit sur sa lancée du début de saison et s’affirme comme le patron de son équipe.
À Bourg-en-Bresse, le trio Zack Wright-Zack Peacock-Youssou Ndoye produit plus de la moitié des points et de l’éval de la JL, c’est dire son impact. Près de là, à Chalon-sur-Saône, Juan Palacios s’impose comme un intérieur dominant du championnat alors que Justin Robinson continue d’impressionner, même si ses trois derniers matchs ont montré un net fléchissement (6 d’éval moyenne contre plus de 20 précédemment). De son côté, Cholet espère que Frank « le tank » Hassell va poursuivre l’aventure au club, vu son impact intérieur. À Châlons-Reims, Devin Ebanks continue d’affoler les compteurs, son club aimerait simplement qu’il mette autant d’ardeur de l’autre côté du terrain…
David Holston, le meneur dijonnais, continue d’animer avec bonheur une équipe bien classée alors que Taylor Smith, le petit pivot gravelinois, continue sur sa lancée de la saison passée, passant même de 15,2 à 16,9 d’éval moyenne.
Deux équipes se félicitent par ailleurs de leur recrutement. À Levallois, Roko-Leni Ukic, Julian Wright et Mouph’ Yarou forment une colonne vertébrale particulièrement efficace pour leur équipe. Et à Pau-Lacq-Orthez, la triplette CJ Harris-Donta Smith-Vitalis Chikoko, déjà performante avant qu’il arrive, profite à plein de l’élan (sans jeu de mots) donné à l’équipe par Mickey McConnell, que le club ne peut que se féliciter d’avoir réussi à prolonger.
Reste à voir, pour les Béarnais comme pour tous les autres non-JFL de Jeep Élite, comment leurs performances évolueront en début d’année 2019. Rendez-vous pour le prochain baromètre de BasketEurope !
[armelse]
Nous avons vu dans la première partie de ce deuxième épisode de notre « Baromètre des non-JFL de Jeep Élite » (à voir ici) quels sont les non-JFL qui ont été coupés lors de ces deux derniers mois, ceux qui les ont remplacés, ceux qui sont à la peine et ceux qui laissent sans doute leur équipe sur leur faim. Voyons maintenant ceux qui font le bonheur de leurs clubs, à des degrés divers. Et ils sont nombreux.
Mention bien
Sans « casser la baraque », bon nombre de non-JFL donnent satisfaction, produisant un rendement à la hauteur de ce que l’on pouvait en attendre, parfois un peu plus, d’autres un peu moins.
À Antibes, c’est le cas de Aigars Skele, arrière letton adroit et rentable : 12,4 d’éval moyenne. Dans le Périgord, à Boulazac, ce sont Akil Mitchell (très régulier entre 11 et 20 d’éval sur les huit derniers matchs) et Travis Leslie qui entrent dans la même catégorie. Ils contribuent aux bons résultats du BBD. Du côté de Bourg-en-Bresse, Garrett Sim n’entre pas dans la catégorie des « très bien » pour la seule raison qu’il est un tout petit peu moins productif que la saison passée. Mais il reste d’une régularité de métronome depuis son retour de blessure : une seule fois sous les 10 d’évaluation en sept matchs. À Chalon-sur-Saône, après un début délicat, Mykal Riley
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Photos: Donta Smith (Pau, LNB/Hervé Bellenger), Akil Mitchell (Boulazac, BBD/Linda Chasseriau), Justin Robinson (Chalon, LNB/Hervé Bellenger)
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Et ils sont nombreux.\n\nMention bien\n\nSans « casser la baraque », bon nombre de non-JFL donnent satisfaction, produisant un rendement à la hauteur de ce que l’on pouvait en attendre, parfois un peu plus, d’autres un peu moins.\n\nÀ Antibes, c’est le cas de Aigars Skele, arrière letton adroit et rentable : 12,4 d’éval moyenne. Dans le Périgord, à Boulazac, ce sont Akil Mitchell (très régulier entre 11 et 20 d’éval sur les huit derniers matchs) et Travis Leslie qui entrent dans la même catégorie. Ils contribuent aux bons résultats du BBD. Du côté de Bourg-en-Bresse, Garrett Sim n’entre pas dans la catégorie des « très bien » pour la seule raison qu’il est un tout petit peu moins productif que la saison passée. Mais il reste d’une régularité de métronome depuis son retour de blessure : une seule fois sous les 10 d’évaluation en sept matchs. À Chalon-sur-Saône, après un début délicat, Mykal Riley semble avoir trouvé la bonne carburation, tournant à 16,4 d’éval sur les huit derniers matchs, alors que Vee Sanford se montre plus irrégulier tout en affichant un rendement moyen très intéressant.\n\nNe seraient quelques « trous d’air », Blake Schilb (Châlons-Reims) mériterait lui aussi une mention encore plus prestigieuse, capable qu’il est de réaliser des matchs pleins, noircissant toutes les catégories statistiques. De son côté, le pivot dijonnais Gavin Ware exploite à merveille son temps de jeu assez réduit (à peine plus de 22 mn/match) pour produire avec régularité ses 13 pts et 5 rebonds. Moins constant, son coéquipier Ryan Pearson sait dans ses bons jours prouver toutes ses qualités offensives, mais aussi, dans les moins bons (heureusement plus rares), passer totalement à travers (0/8 au Portel, 2/10 à Villeurbanne).\n\nPour Fos-sur-Mer, Ron Lewis continue sur la lancée de son début de saison, faisant parfois preuve d’irrégularité (« mal » classique chez les shooters) mais restant productif avec un fort temps de jeu. Quant à son compère Malik Hairston, il a su se remettre en route après son année blanche et affiche désormais un fort niveau de jeu (16,9 d’éval sur les neuf derniers matchs, malgré un 0 à Nanterre).\n\nAu Mans, deux joueurs laissent un sentiment mitigé, Richard Hendrix et Michael Thompson. Tous deux produisent de belles stats (notamment sur les derniers matchs, concernant « Juice » Thompson) mais le premier peine à trouver sa place dans le collectif manceau et à justifier pleinement son pedigree Euroleague, alors que le second a du mal à se glisser dans la peau du « patron » de l’équipe. Mais le MSB tourne mieux depuis quelques matchs, ils n’y sont pas étrangers.\n\nDu côté du Portel, Anthony Hilliard se montre productif dans une équipe qui souffre, sans grand coups d’éclat mais avec une certaine constance. Chez les Metropolitans de Levallois, Jaron Johnson s’est bien ressaisi après un début de championnat compliqué, notamment en termes d’adresse : de 10/34 (29,4 %) au shoot (dont 0/12 à 3 pts…) sur les cinq premiers matchs, il est passé sur les suivants à 48/83 (57,8 %) dont 25/46 à 3 pts (54,3 %). Quant à son coéquipier Ekene Ibekwe, il continue avec constance, sans briller mais sans faille, de faire son job de rotation intérieure derrière Julian Wright et Mouph’ Yarou (voir plus loin). Chez le leader villeurbannais, le quatuor Mantas Kalnietis-DeMarcus Nelson-David Lighty-Miro Bilan assure avec constance, le pivot croate ayant même rendu quelques très belles copies au cours des derniers matchs de l’année. À Monaco, la doublette intérieure Jarrod Jones-Elmedin Kikanovic est à son avantage. Après un début de saison compliqué, le premier a trouvé la mire et produit une dizaine de beaux matchs avant un « accident industriel » (2/16 au shoot, -8 d’éval lors de la dernière journée à Bourg-en-Bresse !) qui ternit un peu le tableau. Le second, lui, a assuré une bonne production, pas toujours constante, alors que son équipe peinait. L’arrivée de Buckner devrait permettre aux deux joueurs de s’économiser pour la suite du championnat.\n\nÀ Nanterre, Adas Juskevicius apporte assez régulièrement son adresse alors qu’Haukur Palsson semble très bien gérer son replacement en poste 4, avec des statistiques en hausse (19,5 d’éval sur les deux derniers matchs).\n\nEnfin, à Strasbourg, Quentin Serron ne produit pas de stats mirobolantes mais se fond dans un collectif qui « penche » vers l’intérieur, avec Youssoupha Fall et Ali Traoré. Lui reste à régler la mire à 3 pts : 26,1 %…\n\nLes « ténors » de la Jeep Élite\n\nDernière catégorie de notre baromètre, celle qui regroupe les joueurs donnant toute satisfaction. Et ils sont nombreux.\n\nÀ Antibes, Tim Blue prouve semaine après semaine qu’il est parfaitement remis de ses problèmes de santé, alors qu’à Boulazac, Kenny Cherry poursuit sur sa lancée du début de saison et s’affirme comme le patron de son équipe.\n\nÀ Bourg-en-Bresse, le trio Zack Wright-Zack Peacock-Youssou Ndoye produit plus de la moitié des points et de l’éval de la JL, c’est dire son impact. Près de là, à Chalon-sur-Saône, Juan Palacios s’impose comme un intérieur dominant du championnat alors que Justin Robinson continue d’impressionner, même si ses trois derniers matchs ont montré un net fléchissement (6 d’éval moyenne contre plus de 20 précédemment). De son côté, Cholet espère que Frank « le tank » Hassell va poursuivre l’aventure au club, vu son impact intérieur. À Châlons-Reims, Devin Ebanks continue d’affoler les compteurs, son club aimerait simplement qu’il mette autant d’ardeur de l’autre côté du terrain…\n\nDavid Holston, le meneur dijonnais, continue d’animer avec bonheur une équipe bien classée alors que Taylor Smith, le petit pivot gravelinois, continue sur sa lancée de la saison passée, passant même de 15,2 à 16,9 d’éval moyenne.\n\nDeux équipes se félicitent par ailleurs de leur recrutement. À Levallois, Roko-Leni Ukic, Julian Wright et Mouph’ Yarou forment une colonne vertébrale particulièrement efficace pour leur équipe. Et à Pau-Lacq-Orthez, la triplette CJ Harris-Donta Smith-Vitalis Chikoko, déjà performante avant qu’il arrive, profite à plein de l’élan (sans jeu de mots) donné à l’équipe par Mickey McConnell, que le club ne peut que se féliciter d’avoir réussi à prolonger.\n\nReste à voir, pour les Béarnais comme pour tous les autres non-JFL de Jeep Élite, comment leurs performances évolueront en début d’année 2019. Rendez-vous pour le prochain baromètre de BasketEurope !\n\n[armelse]\n\nNous avons vu dans la première partie de ce deuxième épisode de notre « Baromètre des non-JFL de Jeep Élite » (à voir ici) quels sont les non-JFL qui ont été coupés lors de ces deux derniers mois, ceux qui les ont remplacés, ceux qui sont à la peine et ceux qui laissent sans doute leur équipe sur leur faim. Voyons maintenant ceux qui font le bonheur de leurs clubs, à des degrés divers. Et ils sont nombreux.\n\nMention bien\n\nSans « casser la baraque », bon nombre de non-JFL donnent satisfaction, produisant un rendement à la hauteur de ce que l’on pouvait en attendre, parfois un peu plus, d’autres un peu moins.\n\nÀ Antibes, c’est le cas de Aigars Skele, arrière letton adroit et rentable : 12,4 d’éval moyenne. Dans le Périgord, à Boulazac, ce sont Akil Mitchell (très régulier entre 11 et 20 d’éval sur les huit derniers matchs) et Travis Leslie qui entrent dans la même catégorie. Ils contribuent aux bons résultats du BBD. Du côté de Bourg-en-Bresse, Garrett Sim n’entre pas dans la catégorie des « très bien » pour la seule raison qu’il est un tout petit peu moins productif que la saison passée. Mais il reste d’une régularité de métronome depuis son retour de blessure : une seule fois sous les 10 d’évaluation en sept matchs. 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« Eh bien, le manager général des Memphis Grizzlies (Chris Wallace) que j’ai embauché aux Boston Celtics. Il a déclaré que Louisville-Kentucky est comme un match de championnat d’église comparé à celui-ci. »
On vous met ces deux vidéos pour bien comprendre que l’on n’a pas la même conception du chant en Grèce comme aux Etats-Unis!
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Photo : BCL
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Comment avez-vous appris à aussi bien shooter ?
Ah, en Lituanie on a vraiment cette culture du shoot. Nous sommes une très bonne « école » du shoot. En Lituanie tout le monde shoot, c’est vraiment l’une des premières si ce n’est la première chose que l’on apprend. Les remerciements vont aux coachs qui nous apprennent à shooter. Et il a aussi la persévérance de chacun dans l’exercice. Tout dépend de la manière dont on va se pousser à travailler.
Votre tir préféré :
Je préfère shooter avec avoir dribbler. Je préfère ça à un catch and shoot.
Le tir le plus compliqué :
Le tir le plus difficile dans un match, c’est le tir ouvert ! Tout simplement parce que je ne suis pas habitué à prendre des tirs complètement ouverts dans un match. Je préfère avoir un défenseur avec le bras levé devant moi. Je suis meilleur dans cette configuration.
Le meilleur shooteur de l’histoire :
Je pencherais pour Ray Allen et Reggie Miller.
Votre shooteur préféré :
Je dirais le Lituanien Arvydas Macijauskas.
Le meilleur shooteur avec qui vous avez joué :
Simas Jasaitis ! Nous avons joué ensemble la saison dernière au Panevėžio Lietkabelis.
Le meilleur shooteur contre qui vous avez joué :
Stephen Curry ou Klay Thompson. J’ai joué contre eux en compétition internationale, j’étais avec la sélection lituanienne et eux avec Team USA.
Un shooteur qui vous inspire ?
Stephen Curry. Parce qu’il est capable de mettre des tirs très compliqués quand il veut, il shoote vite, il shoote haut… Tout ce qu’il fait c’est du très, très haut niveau.
Les secrets d’un bon tir :
Travailler dur et avoir un bon mental.
Que pensez-vous d’une ligne à quatre points ?
Je n’y ai jamais vraiment pensé, je ne sais pas trop quoi dire à ce sujet.
Un tir en carrière ?
Mon shoot marqué d’avant le milieu de terrain à l’Eurobasket contre Israël.
[armelse]
Comment avez-vous appris à aussi bien shooter ?
Ah, en Lituanie on a vraiment cette culture du shoot. Nous sommes une très bonne « école » du shoot. En Lituanie tout le monde shoot, c’est vraiment l’une des premières si ce n’est la première chose que l’on apprend. Les remerciements vont aux coachs qui nous apprennent à shooter. Et il a aussi la persévérance de chacun dans l’exercice. Tout dépend de la manière dont on va se pousser à travailler.
Votre tir préféré :
Je préfère shooter avec avoir dribbler. Je préfère ça à un catch and shoot.
Le tir le plus compliqué :
Le tir le plus difficile dans un match, c’est le tir ouvert ! Tout simplement parce que je ne suis pas habitué à prendre des tirs complètement ouverts dans un match.[/arm_restrict_content]
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Photo : BCL
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\\n— Vivien Seiller (@VSeiller) January 3, 2019
Photo : Antibes Sharks
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Comme le rapporte Nice Matin, l’ailier suédois devait faire son retour dans les prochains jours mais est finalement toujours indisponible. L’ancien joueur d’Avellino ne fera pas son retour avant la prochaine fenêtre internationale (21-25 février). Dans un même temps, le club antibois serait à la recherche d’un soutien pour Tim Blue sur le poste 4.
Cette saison, Viktor Gaddefors compile en moyenne 7 points, 2,8 rebonds et 2,3 passes décisives pour une évaluation de 7,5.
\nInitialement annoncé de retour début 2019, Viktor #Gaddefors ne sera finalement pas rétabli avant la prochaine trêve internationale. En parallèle les #Sharks devraient s'activer sur le poste 4 pour trouver un back-up à Tim Blue. À suivre dans @Nice_Matin ! #JeepELITE
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Photo : Antibes Sharks
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Touché au genou dimanche dernier face au Real Madrid, l’international géorgien ne devait manquer « que » quatre semaines mais c’est finalement pour une durée bien plus longue qu’il sera éloigné des parquets, annonce son coach Velimir Perasovic. « Au mieux, ça sera trois mois », a déclaré ce jeudi le technicien croate lors de la conférence d’avant match face au Fenerbahce.
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Photo : Euroleague
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Juste avant le nouvel an, entre le 28 et le 30 décembre se tenait à Valence le Adidas Next Generation Tournament qui accueille les meilleures équipes U18 d’Europe sur plusieurs week-ends avant le dernier rendez-vous lors du Final Four d’Euroleague.
Lors de ce week-end, l’ASVEL a remporté un match pour deux défaites, tandis que Valence a fait un sans-faute avec trois victoires. De son côté, Tom Digbeu, qui porte les couleurs du FC Barcelone, a compilé en moyenne 14,8 points, 5,8 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 15,8. Il a été élu dans le cinq majeur idéal de ce week-end, alors que le Barça affiche le même bilan que Villeurbanne.
Prochain rendez-vous le week-end du 25 au 27 janvier à Munich, en Allemagne.
Photo : Euroleague
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\\n
Jordan Theodore wants an EuroLeague escape in the deal but the Greek team doesn't seem interested in adding outs in his contract.— Emiliano Carchia (@Carchia) January 3, 2019
Photo : Euroleague
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Selon Sportando, celui qui était proche de rejoindre l’Etoile Rouge de Belgrade, en discussion avec Limoges, en partance pour le Buducnost et enfin pour Darussafaka serait maintenant sur le point de signer avec le club grec. L’ancien joueur de Banvit souhaiterait avoir la possibilité de rejoindre une équipe d’Euroleague à tout moment, chose que la formation athénienne ne serait pas d’accord de lui offrir.
La saison dernière, Jordan Theodore compilait en moyenne 11,1 points, 2,5 rebonds et 3,7 passes décisives entre l’Euroleague et la Serie A.
\nJordan Theodore and AEK Athens are discussing a contract.
\n
Jordan Theodore wants an EuroLeague escape in the deal but the Greek team doesn't seem interested in adding outs in his contract.— Emiliano Carchia (@Carchia) January 3, 2019
Photo : Euroleague
", "comment_id":"448655", "plaintext":"Toujours sans club depuis la fin de saison dernière, Jordan Theodore (1,83m, 29 ans) serait proche de l’AEK Athènes.\n\nSelon Sportando, celui qui était proche de rejoindre l’Etoile Rouge de Belgrade, en discussion avec Limoges, en partance pour le Buducnost et enfin pour Darussafaka serait maintenant sur le point de signer avec le club grec. L’ancien joueur de Banvit souhaiterait avoir la possibilité de rejoindre une équipe d’Euroleague à tout moment, chose que la formation athénienne ne serait pas d’accord de lui offrir.\n\nLa saison dernière, Jordan Theodore compilait en moyenne 11,1 points, 2,5 rebonds et 3,7 passes décisives entre l’Euroleague et la Serie A.\n\n\n\n\nJordan Theodore and AEK Athens are discussing a contract.\nJordan Theodore wants an EuroLeague escape in the deal but the Greek team doesn't seem interested in adding outs in his contract.\n\n\n— Emiliano Carchia (@Carchia) January 3, 2019\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/08/jordan-theodore-ax-armani-exchange-olimpia-milan-in-preseason-photo-olimpia-milan-eb17.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-03T14:03:12.000Z", "updated_at":"2019-01-03T14:04:07.000Z", "published_at":"2019-01-03T14:03:12.000Z", "custom_excerpt":"Toujours sans club depuis la fin de saison dernière, Jordan Theodore (1,83m, 29 ans) serait proche de l’AEK Athènes.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da507", "uuid":"a666e406-c2de-42dc-8db2-6aee8d408705", "title":"Andrew Albicy (Andorre) : « Je n’ai pas hésité à prendre les shoots »", "slug":"andrew-albicy-andorre-je-nai-pas-hesite-a-prendre-les-shoots", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/otq-3_DtP-c?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"html\",{\"html\":\"Photo : Eurocup
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Portés par Andrew Albicy au sommet de son art avec 22 points, 5 rebonds, 8 passes décisives et 4 interceptions pour une évaluation de 37, les joueurs d’Ibon Navarro sont venus à bout des coéquipiers de l’ancien Manceau Justin Cobbs.
L’international français nous a donné son ressenti suite à cette rencontre.
« On a fait un bon match, vraiment solide. Ce n’est pas facile de gagner à Zagreb surtout qu’on n’a pas bien géré la fin de match. Mais la victoire c’est le plus important sachant que chaque match est important. L’équipe va beaucoup mieux depuis deux matchs. On revient à ce qu’on faisait avant la fenêtre internationale, il faut maintenant continuer comme ça surtout en championnat. Personnellement, je me suis senti bien sur le match. J’ai pris les shoots en rythme, je n’ai pas hésité et aujourd’hui c’est rentré donc tant mieux. »
Cette saison, Andrew Albicy tourne en moyenne à 10,1 points, 1,3 rebond et 4,6 passes décisives entre la Liga Endesa et l’Eurocup. Bientôt l’Euroleague pour l’ancien joueur du Paris-Levallois ?
Photo : Eurocup
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Ann Wauters a prolongé sa carrière internationale en remportant avec la Belgique la médaille de bronze à l’Euro 2017 et en parvenant en demi-finale de la Coupe du monde 2018.
Photo: FIBA
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\\n— Daryl T. Graham (@controlthegame1) January 3, 2019
Photo : Julie Dumélié/BCM Basket
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Le prolonger pour le reste de la saison était l’objectif premier de CB et c’est maintenant chose faite, comme l’annonce son agent Daryl Graham sur Twitter. Passé par Banvit, Varese ou Sakarya, le « Tank » a élu domicile en France depuis sa signature à Boulazac en 2015/16. A l’intersaison 2016, il a rejoint Le Portel où il est resté deux ans avant de partir et de s’engager avec Cholet après quelques semaines sans club.
Cette saison, Frank Hassell compile en moyenne 14,9 points et 8,3 rebonds pour une évaluation de 17,4.
\nOfficial: Frank Hassell @tankHassell6 extends with @CB_officiel for the rest of the season. #Octagon
\n— Daryl T. Graham (@controlthegame1) January 3, 2019
Photo : Julie Dumélié/BCM Basket
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\\nPreview: https://t.co/Njc7rd59BL pic.twitter.com/rxgYdIKebr
\\n— ALBA BERLIN (@albaberlin) January 3, 2019
Après Limoges et Villeurbanne, c’est au tour de l’AS Monaco de faire son entrée dans le top 16 de l’Eurocup à Berlin face à l’Alba, ce jeudi à 18h30.
L’Alba Berlin est l’ancien club d’Elmedin Kikanovic et Gerald Robinson et c’est une place forte du basket allemand avec 8 titres de champion. Pour sa sixième participation à l’Eurocup, l’équipe berlinoise a terminé deuxième du groupe B lors de la phase régulière, avec 7 victoires et 3 défaites au compteur. Les hommes du coach espagnol Aito Garcia Reneses se sont par ailleurs imposés à deux reprises au Limoges CSP (102 à 93 à Limoges, 84 à 76 à Berlin). C’est aussi l’équipe qui délivre le plus de passes décisives (23,9/match), avec une grosse adresse à 3 points (41,1% de réussite).
Du côté de l’effectif, l’Alba s’est renforcé en décembre avec la signature du pivot camerounais Landry Nnoko (2,08m). De plus, Berlin dispose d’une équipe composée de joueurs expérimentés et performants en Eurocup, à l’image de Martin Hermannsson. L’arrière islandais, révélé la saison passée sous le maillot de Châlons-Reims, tourne à 12,7 points et 4,3 passes par match. Sans oublier le meilleur marqueur de l’équipe allemande dans la compétition : le Lituanien Rokas Giebraitis (14,1 points). Ou le meilleur rebondeur : Luke Sikma, le cousin de l’ancien coach limougeaud, Kyle Milling (6,7).
« Alba est l’une des meilleures équipes de la compétition avec de surcroît un entraîneur de légende à sa tête. Les Berlinois jouent avec une très grande intensité en attaque, avec des sprints très bien placés. De plus, Alba dispose de très bons tireurs à 3-points. Mais nous devrons jouer notre basket pour être compétitifs face à Berlin », souligne le coach monégasque, Sasa Filipovski.
Face à l’Alba Berlin, la Roca Team, qui est mal en point en Jeep Elite (13e, 7 victoires et 8 défaites dont la dernière à Bourg, 90-100) enregistrera le grand retour de son arrière américain Gerald Robinson, qui avait été touché aux adducteurs le 14 novembre, lors de la victoire à Belgrade face à l’Etoile Rouge.
Cette rencontre dans la mythique salle berlinoise, sera également l’occasion pour Elmedin Kikanovic de fouler le parquet sur lequel il a brillé entre 2015 et 2017. Sous la tunique berlinoise, Kika avait inscrit 19,6 points de moyenne en 31 matchs d’Eurocup et avait même terminé 2ème meilleur scoreur de la compétition à l’issue de la saison 2016/17.
\nErster Gameday im @EuroCup-TOP16! Heute um 18:30 Uhr empfangen wir @ASMonaco_Basket inkl. Elmedin Kikanovic und Gerald Robinson in der @MBArenaBerlin (wobei letzterer womöglich ausfällt).
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\n— ALBA BERLIN (@albaberlin) January 3, 2019
Photo: Gerald Robinson (Eurocupbasketball)
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De plus, Berlin dispose d’une équipe composée de joueurs expérimentés et performants en Eurocup, à l’image de Martin Hermannsson. L’arrière islandais, révélé la saison passée sous le maillot de Châlons-Reims, tourne à 12,7 points et 4,3 passes par match. Sans oublier le meilleur marqueur de l’équipe allemande dans la compétition : le Lituanien Rokas Giebraitis (14,1 points). Ou le meilleur rebondeur : Luke Sikma, le cousin de l’ancien coach limougeaud, Kyle Milling (6,7).\n\n« Alba est l’une des meilleures équipes de la compétition avec de surcroît un entraîneur de légende à sa tête. Les Berlinois jouent avec une très grande intensité en attaque, avec des sprints très bien placés. De plus, Alba dispose de très bons tireurs à 3-points. Mais nous devrons jouer notre basket pour être compétitifs face à Berlin », souligne le coach monégasque, Sasa Filipovski.\n\nFace à l’Alba Berlin, la Roca Team, qui est mal en point en Jeep Elite (13e, 7 victoires et 8 défaites dont la dernière à Bourg, 90-100) enregistrera le grand retour de son arrière américain Gerald Robinson, qui avait été touché aux adducteurs le 14 novembre, lors de la victoire à Belgrade face à l’Etoile Rouge.\n\nCette rencontre dans la mythique salle berlinoise, sera également l’occasion pour Elmedin Kikanovic de fouler le parquet sur lequel il a brillé entre 2015 et 2017. Sous la tunique berlinoise, Kika avait inscrit 19,6 points de moyenne en 31 matchs d’Eurocup et avait même terminé 2ème meilleur scoreur de la compétition à l’issue de la saison 2016/17.\n\n\n\n\nErster Gameday im @EuroCup-TOP16! Heute um 18:30 Uhr empfangen wir @ASMonaco_Basket inkl. Elmedin Kikanovic und Gerald Robinson in der @MBArenaBerlin (wobei letzterer womöglich ausfällt).\n\n\nPreview: https://t.co/Njc7rd59BL pic.twitter.com/rxgYdIKebr\n\n\n— ALBA BERLIN (@albaberlin) January 3, 2019\n\nPhoto: Gerald Robinson (Eurocupbasketball)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/gerald-robinson-as-monaco-photo-as-monaco-ec18-1-e1546501362540.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-03T07:48:43.000Z", "updated_at":"2019-01-03T10:21:39.000Z", "published_at":"2019-01-03T07:48:43.000Z", "custom_excerpt":"Après Limoges et Villeurbanne, c’est au tour de l’AS Monaco de faire son entrée dans le top 16 de l’Eurocup à Berlin face à l’Alba, ce jeudi à 18h30.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da50b", "uuid":"4ae52980-a5cc-4590-a839-bd39b1654f43", "title":"Pro B: Solo Diabate va finalement porter le maillot du SLUC Nancy", "slug":"pro-b-solo-diabate-va-finalement-porter-le-maillot-du-sluc-nancy", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.estrepublicain.fr/sport-lorrain/2019/01/02/sluc-nancy-diabate-releve-le-challenge\"]]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le cas Solo Diabate (1,82m, 31 ans) a entraîné un nouveau rebondissement. 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« Il lui faudra bien sûr un temps de remise en forme suffisant pour retrouver son niveau. S’il peut donner des coups de mains à l’équipe à la fin du mois de janvier, c’est bien.Puis, on espère pouvoir l’utiliser avec tout son potentiel après la trêve de février. Il est en tout cas extrêmement motivé », commente Philippe Durst, le président du SLUC à L’Est Républicain.
Solo Diabate a tourné à 10,6 points et 7,1 passes la saison dernière à Astrum Levice en Slovaquie.
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Un peu plus tard, Limoges faisait de la résistance à Belgrade mais laissait finalement à l’Etoile Rouge la victoire, 71-83. Avec 20 points, Dwight Hardy a été le plus efficace des Limougeauds.
Voici les highlights des deux matches.
Photo: Alpha Kaba (Eurocupbasketball)
Le Mans Sarthe Basket a réalisé ce zapping de l’année 2018 qui fut très riche pour lui avec un titre de champion de France à la clé. Nombreux extraits de match, dunks de DJ Stephens, hurlements de David Cozette, blagues de Antoine Eito, shoots improbables de Chris Lofton, célébration devant la cathédrale. Tout y est.
Photo: DJ Stephens
Photo : LNB / IS / Bellenger
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Comment avez-vous appris à aussi bien shooter ?
En high school, j’étais un joueur très complet pouvant aller au cercle ou prendre shoots, mais quand je suis arrivé à l’université j’étais trop lent pour continuer à driver donc j’ai commencé à shooter. J’ai passé tellement de temps au gymnase à m’entraîner à shooter à trois points parce que c’est là-dedans que je pensais pouvoir être utile dans le jeu. A ce moment-là mon rôle dans l’équipe était de shooter. C’est vraiment lors de ma deuxième année à l’université que je me suis vraiment mué en joueur complet à shooteur.
Votre tir préféré :
Le catch and shoot, de n’importe que spot. Je suis très confiant dans mon tir, surtout en catch and shoot.
Le tir le plus compliqué :
Je dirais n’importe quel tir à l’intérieur des trois points ! Quand il faut faire un dribble dans les trois points et tirer, pourquoi pas, mais quand il faut encore se rapprocher près de la raquette c’est le plus compliqué pour moi.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/stephen-curry.jpg\")
Le meilleur shooteur de l’histoire :
C’est fou, mais j’ai vraiment envie de dire Stephen Curry parce que tous les autres joueurs que l’on peut mettre dans cette discussion étaient de très bons shooteurss en catch and shoot et des scoreurs comme Ray Allen, Reggie Miller, Rip Hamilton ou Larry Bird… C’était tous des scoreurs, mais pour la façon dont Steph Curry peut rentrer des catch and shoot aussi facilement qu’un tir après un dribble de la même distance, je dois dire Stephen Curry.
Votre shooteur préféré :
Hum… Déjà, Kobe Bryant était mon joueur préféré, il savait shooter. Mais je dirais que mon shooteur préféré serait Ray Allen ou alors Klay Thompson. Leur jeu offensif est très similaire, dans la façon dont ils sortent des écrans, qu’ils prennent les shoots. Le seul rival est Stephen Curry. Je choisis Ray Allen et Klay Thompson.
Un shooteur sous-côté :
Je dirais JJ Redick. Pour moi, il fait partie du top 3 des meilleurs shooteurs en NBA.
Le meilleur shooteur avec qui vous avez joué :
Kyle Korver, c’est sûr !
Le meilleur shooteur contre qui vous avez joué :
Stephen Curry et Klay Thompson.
Un shooteur qui vous inspire ?
Klay Thompson dans la façon dont il est capable de tirer, la distance d’où il peut prendre les tirs. C’est quelqu’un qui m’inspire.
Si vous pouviez prendre le shoot d’un joueur :
Je garde mon tir. Je suis très confortable dans mon shoot. Mais je n’ai pas du tout eu cette gestuelle dès le début. J’avais vraiment un très moche et mauvais shoot quand j’étais jeune, je partais de derrière ma tête. Je n’ai pas amélioré ma gestuelle avant le lycée et j’ai travaillé sur la rapidité à partir de l’université.
Le secret d’un bon tir :
La confiance !
Que pensez-vous d’une ligne à quatre points ?
Je suis totalement pour ! Ça rajouterait un nouvel élément au jeu. Je pense que ça serait cool. Déjà, pour moi, tous les tirs marqués derrière la ligne médiane devraient compter plus que trois points.
Un tir en carrière à raconter ?
Je ne me rappelle pas avoir été particulièrement clutch dans un match. Par contre, j’ai déjà réalisé de plutôt bonnes performances globales où je shootais particulièrement bien. Il m’est arrivé de marquer six, sept ou huit trois points dans un même match, en saison, en playoffs. Ça m’est arrivé plusieurs fois.
[armelse]
Comment avez-vous appris à aussi bien shooter ?
En high school j’étais un joueur très complet pouvant aller au cercle ou prendre shoots, mais quand je suis arrivé à l’université j’étais trop lent pour continuer à driver donc j’ai commencé à shooter. J’ai passé tellement de temps au gymnase à m’entraîner à shooter à trois points parce que c’est là-dedans que je pensais pouvoir être utile dans le jeu. A ce moment-là mon rôle dans l’équipe était de shooter. C’est vraiment lors de ma deuxième année à l’université que je me suis vraiment mué en joueur complet à shooteur.
Votre tir préféré :
Le catch and shoot, de n’importe que spot. Je suis très confiant dans mon tir, surtout en catch and shoot.
Le tir le plus compliqué :[/arm_restrict_content]
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Photo : LNB / IS / Bellenger
", "comment_id":"448489", "plaintext":"Finaliste du concours à trois points du All Star Game, Jarell Eddie (2,01m, 27 ans) a rejoint la SIG Strasbourg seulement début novembre mais il a très rapidement montré ses qualités de sniper. L’ailier strasbourgeois a répondu à nos « questions spéciales shooteurs ». Les interviews des deux autres concurrents du concours de tirs suivront cette semaine.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\n\nEn high school, j’étais un joueur très complet pouvant aller au cercle ou prendre shoots, mais quand je suis arrivé à l’université j’étais trop lent pour continuer à driver donc j’ai commencé à shooter. J’ai passé tellement de temps au gymnase à m’entraîner à shooter à trois points parce que c’est là-dedans que je pensais pouvoir être utile dans le jeu. A ce moment-là mon rôle dans l’équipe était de shooter. C’est vraiment lors de ma deuxième année à l’université que je me suis vraiment mué en joueur complet à shooteur.\n\nVotre tir préféré :\n\nLe catch and shoot, de n’importe que spot. Je suis très confiant dans mon tir, surtout en catch and shoot.\n\nLe tir le plus compliqué :\n\nJe dirais n’importe quel tir à l’intérieur des trois points ! Quand il faut faire un dribble dans les trois points et tirer, pourquoi pas, mais quand il faut encore se rapprocher près de la raquette c’est le plus compliqué pour moi.\n\nLe meilleur shooteur de l’histoire :\n\nC’est fou, mais j’ai vraiment envie de dire Stephen Curry parce que tous les autres joueurs que l’on peut mettre dans cette discussion étaient de très bons shooteurss en catch and shoot et des scoreurs comme Ray Allen, Reggie Miller, Rip Hamilton ou Larry Bird… C’était tous des scoreurs, mais pour la façon dont Steph Curry peut rentrer des catch and shoot aussi facilement qu’un tir après un dribble de la même distance, je dois dire Stephen Curry.\n\nVotre shooteur préféré :\n\nHum… Déjà, Kobe Bryant était mon joueur préféré, il savait shooter. Mais je dirais que mon shooteur préféré serait Ray Allen ou alors Klay Thompson. Leur jeu offensif est très similaire, dans la façon dont ils sortent des écrans, qu’ils prennent les shoots. Le seul rival est Stephen Curry. Je choisis Ray Allen et Klay Thompson.\n\nUn shooteur sous-côté :\n\nJe dirais JJ Redick. Pour moi, il fait partie du top 3 des meilleurs shooteurs en NBA.\n\nLe meilleur shooteur avec qui vous avez joué :\n\nKyle Korver, c’est sûr !\n\nLe meilleur shooteur contre qui vous avez joué :\n\nStephen Curry et Klay Thompson.\n\nUn shooteur qui vous inspire ?\n\nKlay Thompson dans la façon dont il est capable de tirer, la distance d’où il peut prendre les tirs. C’est quelqu’un qui m’inspire.\n\nSi vous pouviez prendre le shoot d’un joueur :\n\nJe garde mon tir. Je suis très confortable dans mon shoot. Mais je n’ai pas du tout eu cette gestuelle dès le début. J’avais vraiment un très moche et mauvais shoot quand j’étais jeune, je partais de derrière ma tête. Je n’ai pas amélioré ma gestuelle avant le lycée et j’ai travaillé sur la rapidité à partir de l’université.\n\nLe secret d’un bon tir :\n\nLa confiance !\n\nQue pensez-vous d’une ligne à quatre points ?\n\nJe suis totalement pour ! Ça rajouterait un nouvel élément au jeu. Je pense que ça serait cool. Déjà, pour moi, tous les tirs marqués derrière la ligne médiane devraient compter plus que trois points.\n\nUn tir en carrière à raconter ?\n\nJe ne me rappelle pas avoir été particulièrement clutch dans un match. Par contre, j’ai déjà réalisé de plutôt bonnes performances globales où je shootais particulièrement bien. Il m’est arrivé de marquer six, sept ou huit trois points dans un même match, en saison, en playoffs. Ça m’est arrivé plusieurs fois.\n\n[armelse]\n\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\n\nEn high school j’étais un joueur très complet pouvant aller au cercle ou prendre shoots, mais quand je suis arrivé à l’université j’étais trop lent pour continuer à driver donc j’ai commencé à shooter. J’ai passé tellement de temps au gymnase à m’entraîner à shooter à trois points parce que c’est là-dedans que je pensais pouvoir être utile dans le jeu. A ce moment-là mon rôle dans l’équipe était de shooter. C’est vraiment lors de ma deuxième année à l’université que je me suis vraiment mué en joueur complet à shooteur.\n\nVotre tir préféré :\n\nLe catch and shoot, de n’importe que spot. Je suis très confiant dans mon tir, surtout en catch and shoot.\n\nLe tir le plus compliqué :[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : LNB / IS / Bellenger", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/jarell-eddie.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-02T22:06:16.000Z", "updated_at":"2019-01-03T08:25:28.000Z", "published_at":"2019-01-02T22:06:16.000Z", "custom_excerpt":"Finaliste du concours à trois points du All Star Game, Jarell Eddie (2,01m, 27 ans) a rejoint la SIG Strasbourg seulement début novembre mais il a très rapidement montré ses qualités de sniper. L’ailier strasbourgeois a répondu à nos « questions spéciales shooteurs ». 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En voyant les images, on ne lui en veut pas d’avoir préféré passer de capitaine d’équipe de basket à capitaine sur mer.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Vous pouvez revoir l’Episode 1 et la montée du Stromboli\"],[0,[0],1,\" ici\"],[0,[],0,\".\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Vous voulez continuer de suivre les aventures de Boris Diaw en dehors du basket? Ce reportage -en anglais- vous emmène traverser l’Atlantique- sur son bateau. En voyant les images, on ne lui en veut pas d’avoir préféré passer de capitaine d’équipe de basket à capitaine sur mer.
Vous pouvez revoir l’Episode 1 et la montée du Stromboli ici.
Neuf journées de championnat se sont écoulées depuis le premier épisode de notre baromètre sur les non-JFL de Jeep Élite. Et les fortunes de ce contingent étranger continuent d’être très variées. Ce qui nécessite de répartir cette analyse en deux parties. Voici la première.
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La Jeep Élite peut se révéler un formidable révélateur de talents, mais aussi se montrer impitoyable pour ceux qui n’arrivent pas (ou ne peuvent pas) se mettre au niveau. C’est en grande partie ce qui explique le fort nombre de mouvements enregistré dans les équipes de l’élite française au cours de ces deux derniers mois : pas moins de onze joueurs non-JFL ont quitté le club qui les avait accueillis et quatorze ont fait leurs premiers pas dans une nouvelle équipe – dont deux qui ont « changé de crémerie ».
Ils sont partis
Nous évoquions leurs difficultés lors de notre premier épisode, la sentence a fini par tomber sur eux : Alex Abreu (Châlons-Reims), Jonathan Augustin-Fairell (Cholet), Robert Arnold (Dijon) et Robert Rothbart (Le Portel) ont été obligés de faire leurs bagages faute de répondre aux attentes de leur club. D’autres départs surprennent plus, comme celui de Ian Hummer à Monaco ou celui de Demetrius Conger au Mans. Pour le premier, si son implication n’attirait aucun reproche, c’est son faible impact offensif qui a joué en sa défaveur. Pour Conger, il semble que ce soit plus une question d’inadaptation à l’équipe qui ait entraîné son départ. Autre joueur qui avait plutôt bien commencé avant de disparaître de la circulation, faute d’implication défensive dans son cas, Kerem Kanter (Bourg-en-Bresse). Quant à Danny Gibson (Cholet), il a à la fois payé son faible rendement et les questions qui se posaient sur la validité de son passeport camerounais. Corey Fischer (Fos-sur-Mer) a lui quitté les bords de la Méditerranée à la fin de sa pige, correcte mais sans plus (9,6 d’éval). Enfin, deux joueurs ont changé de boutique : après sa pige réussie à LDLC Asvel, Eric Buckner s’est engagé à Monaco, où il n’a mis qu’un match avant de faire éclater ses qualités. De son côté, London Perrantes, peu à son aise à Limoges, est parti à Cholet, où il s’est imposé comme un patron, tournant à 16,2 d’éval (contre 8,8 au CSP).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/tabu-e1546333218496.jpg\")
Ils sont arrivés
Outre les « cas particuliers » Buckner et Perrantes, douze nouveaux non-JFL ont déposé leur paquetage en Jeep Élite. Avec une « arrivée-retour », celle de Sergii Gladyr, le sniper ukrainien revenu à Monaco, où il évoluait la saison dernière, après avoir passé le début de la saison sans club. Un retour gagnant (12,3 d’éval), le joueur n’ayant rien perdu de son adresse à 3 pts ni de sa rugosité défensive.
Du côté d’Antibes, l’arrivée de Taurean Green et de Chris Otule a redonné des couleurs à une équipe en souffrance. Le premier s’est imposé comme le maître à jouer des Sharks, malgré une baisse de régime en toute fin d’année alors que le second alterne bon et moyen mais se montre plus convaincant que lors de la saison dernière à Gravelines-Dunkerque (10,9 d’éval avec Antibes contre 5,0 au BCM).
À Bourg, le départ de Kanter a été compensé par l’arrivée de Mike Moser, difficile à juger sur ses deux premières sorties, aux antipodes l’une de l’autre : 2 puis 24 d’éval. À voir sur la durée.
Châlons-Reims en manque de meneur fiable, Abreu a laissé sa place à l’ancien nancéen Zabian Dowdell qui, sans révolutionner le jeu du CCRB, lui apporte plus de stabilité – au profit notamment de Blake Schilb et Devin Ebanks. Pour sa part, Dijon a remplacé Arnold par Tarence Kinsey, extérieur référencé en Europe mais qui peine à trouver ses marques (4,8 d’éval en quatre matchs).
Le Mans, lui, a fait appel au belge Jonathan Tabu pour remplacer Conger, un choix qui a posé question sur ses six premières sorties (à peine 6 d’éval moyenne) avant un dernier match pétaradant (28 pts et 11 pds, 35 d’éval, contre Fos). Une étincelle isolée ou un véritable départ ?
Pour remplacer Rothbart, Le Portel a fait appel à O. D. Anosike, déjà vu brièvement (et sans relief particulier) à Strasbourg lors des playoffs 2013-2014. Bien que manquant de régularité, il a pris une place importante dans le dispositif d’Éric Girard (11,5 d’éval, 6 fois dans le cinq majeur sur 8 matchs).
À Levallois, Durand Scott est là en tant que pigiste médical de Rasheed Sulaimon. Après deux premières sorties difficiles (-5 d’évaluation cumulée), il semble commencer à prendre son rythme. Pour sa part, Jordan Taylor amène à Limoges une stabilité à la mène qui manquait à son prédécesseur. Elle se traduit plus par la belle série du CSP (une défaite puis quatre victoires depuis son arrivée) que par ses statistiques personnelles (6,8 pts à 34,4 %, 8,6 d’éval).
Enfin, Jarell Eddie occupe le poste de « 4 au large » que recherchait Strasbourg. Avec une réussite contrastée : plus ailier qu’intérieur, Eddie est une vraie menace à 3-pts (51,6 % de réussite !) mais pèse peu dans les autres secteurs de jeu.
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Le bal des éclopés
Comme chaque saison, les infirmeries des clubs de Jeep Élite se remplissent à mesure que les matchs s’accumulent. À Antibes, Skele a manqué deux matchs, alors que le décevant Trevor Thompson n’a plus foulé les parquets depuis la sixième journée, tout comme Viktor Gaddefors. À Châlons-Reims, Pape Badji n’a lui joué que cinq matchs, son retour de blessure à la 12e journée s’étant conclu par une rechute dès après le match suivant. Antywane Robinson (Cholet) s’est quant à lui blessé lors de la 10e journée (avec une reprise non-concluante lors de la 12e). À Gravelines-Dunkerque, c’est le meneur Edgar Sosa qui est arrêté, pour plusieurs semaines (sans compter la menace d’une suspension pour avoir bousculé un arbitre).
Longtemps blessé en 2017-2018, Cameron Clark commençait à retrouver la bonne carburation avant d’à nouveau se blesser. De retour après trois matchs manqués, il effectue pour le moment un retour « en douceur ».
Au Portel, le meneur Brandyn Curry a manqué cinq matchs avant d’effectuer (journée 10) un retour convaincant mais irrégulier. Quant à son coéquipier Jeffrey Crockett, il a effectué ses premiers pas en Jeep Élite lors de la 12e journée, alternant le très bon (27 d’éval en J13) et sorties médiocres (2 d’éval lors du dernier match).
À la peine depuis le début de la saison, Rasheed Sulaimon (Levallois) est arrêté depuis la 11e journée. Jaraun Burrows (Fos) a pour sa part manqué six matchs et il effectue un retour timide (4 d’éval moyenne) alors qu’il avait brillé avant de se blesser : 16 puis 24 d’éval (J6 et 7).
À Monaco, Lazeric Jones a manqué quatre matchs avant de revenir en J12 et d’alterner sorties moyennes et coups d’éclat (25 d’éval contre Strasbourg, J14). Quant à son coéquipier Gerald Robinson, blessé après la 3e journée, il n’est revenu que le temps de deux parties (J9 et 10) avant de rejoindre à nouveau l’infirmerie. Et lui aussi a alterné le bon et le moins bon.
Le Nanterrien Demetrius Treadwell, de son côté, a démarré sa saison en J7, prenant petit à petit sa place d’intérieur remplaçant combatif et régulier. Une définition qui s’applique aussi, dans une moindre mesure, à Akos Keller (Pau-Lacq-Orthez), qui se montre plus limité en attaque. Son coéquipier Taqwa Pinero a pour sa part manqué neuf matchs, une coupure qui semble lui avoir permis de retrouver un peu d’adresse (31 % avant sa blessure, 57 % depuis son retour, sur deux matchs).
Ça ne va pas fort
Passons maintenant aux joueurs restés valides sur cette première partie de saison (avec parfois un match manqué, pour certains). Quelques-uns éprouvent de grandes difficultés, comme Olivier Troisfontaines, à l’adresse toujours en berne (33,4 %) et sur lequel Erman Kunter semble de moins en moins compter (10 minutes en cumulé sur les deux derniers matchs). De même, Obi Emegano (Dijon) continue à éprouver des difficultés à se mettre au niveau de la Jeep Élite, alors que Moses Ehambe (Le Portel) voit toutes ses stats baisser par rapport à la saison précédente. Enfin, sans qu’il puisse paraître menacé, A. J. Slaughter (LDLC Asvel) manque cruellement de régularité et ses dernières sorties (trois matchs sur quatre à 3 ou moins d’éval) ne rassurent guère. Reste le cas particulier de Louis Adams (Châlons-Reims), jeune joueur payé comme un stagiaire (25 000 €, selon nos estimations) pour une production… de stagiaire ! Il passe en effet 2,7 minutes sur le terrain pour une production totalement anecdotique de 0,4 d’éval.
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On en attend plus
De nombreux joueurs non-JFL ne présentent pas le rendement attendu, laissent à penser qu’ils peuvent « mieux faire ». C’est le cas à Antibes de Louis Campbell : le « général » orchestre la manœuvre des Sharks mais est statistiquement peu rentable (6,2 d’éval en 23,4 minutes). À Boulazac, c’est Raymond Cowels qui déçoit, avec un rendement bien inférieur à celui qu’il avait l’an dernier à Hyères-Toulon. La même remarque s’applique à Lamonte Ulmer (Bourg), moins rentable qu’avec le CCRB la saison passée. À Cholet, Michael Young marque (15,4 pts) mais son comportement semble quelque peu agacer son coach. Quant à Jimmy Baron (Châlons-Reims), il est en souffrance depuis la 10e journée (7,2 d’éval sur les six derniers matchs).
Plus au sud, Marcus Dove (Fos) réalise quelques belles prestations (cinq matchs à 19 ou plus d’éval) mais « se rate » trop souvent (six matchs à 6 ou moins d’éval). Du côté de Gravelines, Myles Hesson a rattrapé une première partie de saison décevante à l’occasion d’un dernier match conclu par 22 pts et 29 d’éval, une prestation que le BCM serait ravi de le voir réitérer. Il serait également très content, on peut l’imaginer, que Scott Wood sorte plus souvent de sa coquille de « joueur de l’ombre » et apporte plus souvent sa belle adresse à 3-pts (41,6 %). Au Portel, Darnell Williams semble avoir pâti de l’arrivée d’O. D. Anosike, réalisant quelques prestations très médiocres (-5 d’éval à Nanterre par exemple) et ayant perdu sa régularité d’avant. Du côté de Limoges, sans qu’ils soient décevants ni que leurs stats soient médiocres, on peut penser que les chauds supporters locaux aimeraient que Dwight Hardy et Isaiah Miles apportent encore plus que ce qu’ils produisent. Et le constat est le même pour Samardo Samuels, qui semble toutefois reprendre des couleurs depuis l’arrivée de François Peronnet aux commandes de l’équipe. À Monaco, Derek Needham défend et se montre régulier, mais l’ASM en attend certainement plus de lui à la création (3,3 pds en 27,4 minutes). Le club de Nanterre, lui, aimerait sans doute que ses cadres supposés soient à l’unisson à leur meilleur. Dominic Waters, parfois brillant, est aussi capable de se « trouer » alors que Julian Gamble ne fait que trop rarement admirer ses qualités offensives. Enfin, à la SIG, deux joueurs laissent insatisfait : Mike Green, qui ne pèse pas assez sur le jeu de son équipe, et Mardy Collins, parfois trop soliste et forçant trop (3/12 à Boulazac, 2/11 à Levallois, etc.).
[armelse]
La Jeep Élite peut se révéler un formidable révélateur de talents, mais aussi se montrer impitoyable pour ceux qui n’arrivent pas (ou ne peuvent pas) se mettre au niveau. C’est en grande partie ce qui explique le fort nombre de mouvements enregistré dans les équipes de l’élite française au cours de ces deux derniers mois : pas moins de onze joueurs non-JFL ont quitté le club qui les avait accueillis et quatorze ont fait leurs premiers pas dans une nouvelle équipe – dont deux qui ont « changé de crémerie ».
Ils sont partis
Nous évoquions leurs difficultés lors de notre premier épisode, la sentence a fini par tomber sur eux : Alex Abreu (Châlons-Reims), Jonathan Augustin-Fairell (Cholet), Robert Arnold (Dijon) et Robert Rothbart (Le Portel) ont été obligés de faire leurs bagages faute de répondre aux attentes de leur club. D’autres départs surprennent plus, comme celui de Ian Hummer à Monaco ou celui de Demetrius Conger au Mans. Pour le premier, si son implication n’attirait aucun reproche, c’est son faible impact offensif qui a joué en sa défaveur. Pour Conger, il semble que ce soit plus une question d’inadaptation à l’équipe qui ait entraîné son départ. Autre joueur qui avait plutôt bien commencé avant de disparaître de la circulation, faute d’implication défensive dans son cas, Kerem Kanter (Bourg-en-Bresse). Quant à Danny Gibson (Cholet), il a à la fois payé son faible rendement et les questions qui se posaient sur la validité de son passeport camerounais.
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Photos: Mike Green (Strasbourg, FIBA), Jonathan Tabu (Le Mans, FIBA), Gerald Robinson (Monaco, Eurocupbasketball), Scott Wood (Gravelines, BCM).
", "comment_id":"448507", "plaintext":"Neuf journées de championnat se sont écoulées depuis le premier épisode de notre baromètre sur les non-JFL de Jeep Élite. Et les fortunes de ce contingent étranger continuent d’être très variées. Ce qui nécessite de répartir cette analyse en deux parties. Voici la première.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLa Jeep Élite peut se révéler un formidable révélateur de talents, mais aussi se montrer impitoyable pour ceux qui n’arrivent pas (ou ne peuvent pas) se mettre au niveau. C’est en grande partie ce qui explique le fort nombre de mouvements enregistré dans les équipes de l’élite française au cours de ces deux derniers mois : pas moins de onze joueurs non-JFL ont quitté le club qui les avait accueillis et quatorze ont fait leurs premiers pas dans une nouvelle équipe – dont deux qui ont « changé de crémerie ».\n\nIls sont partis\n\nNous évoquions leurs difficultés lors de notre premier épisode, la sentence a fini par tomber sur eux : Alex Abreu (Châlons-Reims), Jonathan Augustin-Fairell (Cholet), Robert Arnold (Dijon) et Robert Rothbart (Le Portel) ont été obligés de faire leurs bagages faute de répondre aux attentes de leur club. D’autres départs surprennent plus, comme celui de Ian Hummer à Monaco ou celui de Demetrius Conger au Mans. Pour le premier, si son implication n’attirait aucun reproche, c’est son faible impact offensif qui a joué en sa défaveur. Pour Conger, il semble que ce soit plus une question d’inadaptation à l’équipe qui ait entraîné son départ. Autre joueur qui avait plutôt bien commencé avant de disparaître de la circulation, faute d’implication défensive dans son cas, Kerem Kanter (Bourg-en-Bresse). Quant à Danny Gibson (Cholet), il a à la fois payé son faible rendement et les questions qui se posaient sur la validité de son passeport camerounais. Corey Fischer (Fos-sur-Mer) a lui quitté les bords de la Méditerranée à la fin de sa pige, correcte mais sans plus (9,6 d’éval). Enfin, deux joueurs ont changé de boutique : après sa pige réussie à LDLC Asvel, Eric Buckner s’est engagé à Monaco, où il n’a mis qu’un match avant de faire éclater ses qualités. De son côté, London Perrantes, peu à son aise à Limoges, est parti à Cholet, où il s’est imposé comme un patron, tournant à 16,2 d’éval (contre 8,8 au CSP).\n\nIls sont arrivés\n\nOutre les « cas particuliers » Buckner et Perrantes, douze nouveaux non-JFL ont déposé leur paquetage en Jeep Élite. Avec une « arrivée-retour », celle de Sergii Gladyr, le sniper ukrainien revenu à Monaco, où il évoluait la saison dernière, après avoir passé le début de la saison sans club. Un retour gagnant (12,3 d’éval), le joueur n’ayant rien perdu de son adresse à 3 pts ni de sa rugosité défensive.\n\nDu côté d’Antibes, l’arrivée de Taurean Green et de Chris Otule a redonné des couleurs à une équipe en souffrance. Le premier s’est imposé comme le maître à jouer des Sharks, malgré une baisse de régime en toute fin d’année alors que le second alterne bon et moyen mais se montre plus convaincant que lors de la saison dernière à Gravelines-Dunkerque (10,9 d’éval avec Antibes contre 5,0 au BCM).\n\nÀ Bourg, le départ de Kanter a été compensé par l’arrivée de Mike Moser, difficile à juger sur ses deux premières sorties, aux antipodes l’une de l’autre : 2 puis 24 d’éval. À voir sur la durée.\n\nChâlons-Reims en manque de meneur fiable, Abreu a laissé sa place à l’ancien nancéen Zabian Dowdell qui, sans révolutionner le jeu du CCRB, lui apporte plus de stabilité – au profit notamment de Blake Schilb et Devin Ebanks. Pour sa part, Dijon a remplacé Arnold par Tarence Kinsey, extérieur référencé en Europe mais qui peine à trouver ses marques (4,8 d’éval en quatre matchs).\n\nLe Mans, lui, a fait appel au belge Jonathan Tabu pour remplacer Conger, un choix qui a posé question sur ses six premières sorties (à peine 6 d’éval moyenne) avant un dernier match pétaradant (28 pts et 11 pds, 35 d’éval, contre Fos). Une étincelle isolée ou un véritable départ ?\n\nPour remplacer Rothbart, Le Portel a fait appel à O. D. Anosike, déjà vu brièvement (et sans relief particulier) à Strasbourg lors des playoffs 2013-2014. Bien que manquant de régularité, il a pris une place importante dans le dispositif d’Éric Girard (11,5 d’éval, 6 fois dans le cinq majeur sur 8 matchs).\n\nÀ Levallois, Durand Scott est là en tant que pigiste médical de Rasheed Sulaimon. Après deux premières sorties difficiles (-5 d’évaluation cumulée), il semble commencer à prendre son rythme. Pour sa part, Jordan Taylor amène à Limoges une stabilité à la mène qui manquait à son prédécesseur. Elle se traduit plus par la belle série du CSP (une défaite puis quatre victoires depuis son arrivée) que par ses statistiques personnelles (6,8 pts à 34,4 %, 8,6 d’éval).\n\nEnfin, Jarell Eddie occupe le poste de « 4 au large » que recherchait Strasbourg. Avec une réussite contrastée : plus ailier qu’intérieur, Eddie est une vraie menace à 3-pts (51,6 % de réussite !) mais pèse peu dans les autres secteurs de jeu.\n\nLe bal des éclopés\n\nComme chaque saison, les infirmeries des clubs de Jeep Élite se remplissent à mesure que les matchs s’accumulent. À Antibes, Skele a manqué deux matchs, alors que le décevant Trevor Thompson n’a plus foulé les parquets depuis la sixième journée, tout comme Viktor Gaddefors. À Châlons-Reims, Pape Badji n’a lui joué que cinq matchs, son retour de blessure à la 12e journée s’étant conclu par une rechute dès après le match suivant. Antywane Robinson (Cholet) s’est quant à lui blessé lors de la 10e journée (avec une reprise non-concluante lors de la 12e). À Gravelines-Dunkerque, c’est le meneur Edgar Sosa qui est arrêté, pour plusieurs semaines (sans compter la menace d’une suspension pour avoir bousculé un arbitre).\n\nLongtemps blessé en 2017-2018, Cameron Clark commençait à retrouver la bonne carburation avant d’à nouveau se blesser. De retour après trois matchs manqués, il effectue pour le moment un retour « en douceur ».\n\nAu Portel, le meneur Brandyn Curry a manqué cinq matchs avant d’effectuer (journée 10) un retour convaincant mais irrégulier. Quant à son coéquipier Jeffrey Crockett, il a effectué ses premiers pas en Jeep Élite lors de la 12e journée, alternant le très bon (27 d’éval en J13) et sorties médiocres (2 d’éval lors du dernier match).\n\nÀ la peine depuis le début de la saison, Rasheed Sulaimon (Levallois) est arrêté depuis la 11e journée. Jaraun Burrows (Fos) a pour sa part manqué six matchs et il effectue un retour timide (4 d’éval moyenne) alors qu’il avait brillé avant de se blesser : 16 puis 24 d’éval (J6 et 7).\n\nÀ Monaco, Lazeric Jones a manqué quatre matchs avant de revenir en J12 et d’alterner sorties moyennes et coups d’éclat (25 d’éval contre Strasbourg, J14). Quant à son coéquipier Gerald Robinson, blessé après la 3e journée, il n’est revenu que le temps de deux parties (J9 et 10) avant de rejoindre à nouveau l’infirmerie. Et lui aussi a alterné le bon et le moins bon.\n\nLe Nanterrien Demetrius Treadwell, de son côté, a démarré sa saison en J7, prenant petit à petit sa place d’intérieur remplaçant combatif et régulier. Une définition qui s’applique aussi, dans une moindre mesure, à Akos Keller (Pau-Lacq-Orthez), qui se montre plus limité en attaque. Son coéquipier Taqwa Pinero a pour sa part manqué neuf matchs, une coupure qui semble lui avoir permis de retrouver un peu d’adresse (31 % avant sa blessure, 57 % depuis son retour, sur deux matchs).\n\nÇa ne va pas fort\n\nPassons maintenant aux joueurs restés valides sur cette première partie de saison (avec parfois un match manqué, pour certains). Quelques-uns éprouvent de grandes difficultés, comme Olivier Troisfontaines, à l’adresse toujours en berne (33,4 %) et sur lequel Erman Kunter semble de moins en moins compter (10 minutes en cumulé sur les deux derniers matchs). De même, Obi Emegano (Dijon) continue à éprouver des difficultés à se mettre au niveau de la Jeep Élite, alors que Moses Ehambe (Le Portel) voit toutes ses stats baisser par rapport à la saison précédente. Enfin, sans qu’il puisse paraître menacé, A. J. Slaughter (LDLC Asvel) manque cruellement de régularité et ses dernières sorties (trois matchs sur quatre à 3 ou moins d’éval) ne rassurent guère. Reste le cas particulier de Louis Adams (Châlons-Reims), jeune joueur payé comme un stagiaire (25 000 €, selon nos estimations) pour une production… de stagiaire ! Il passe en effet 2,7 minutes sur le terrain pour une production totalement anecdotique de 0,4 d’éval.\n\nOn en attend plus\n\nDe nombreux joueurs non-JFL ne présentent pas le rendement attendu, laissent à penser qu’ils peuvent « mieux faire ». C’est le cas à Antibes de Louis Campbell : le « général » orchestre la manœuvre des Sharks mais est statistiquement peu rentable (6,2 d’éval en 23,4 minutes). À Boulazac, c’est Raymond Cowels qui déçoit, avec un rendement bien inférieur à celui qu’il avait l’an dernier à Hyères-Toulon. La même remarque s’applique à Lamonte Ulmer (Bourg), moins rentable qu’avec le CCRB la saison passée. À Cholet, Michael Young marque (15,4 pts) mais son comportement semble quelque peu agacer son coach. Quant à Jimmy Baron (Châlons-Reims), il est en souffrance depuis la 10e journée (7,2 d’éval sur les six derniers matchs).\n\nPlus au sud, Marcus Dove (Fos) réalise quelques belles prestations (cinq matchs à 19 ou plus d’éval) mais « se rate » trop souvent (six matchs à 6 ou moins d’éval). Du côté de Gravelines, Myles Hesson a rattrapé une première partie de saison décevante à l’occasion d’un dernier match conclu par 22 pts et 29 d’éval, une prestation que le BCM serait ravi de le voir réitérer. Il serait également très content, on peut l’imaginer, que Scott Wood sorte plus souvent de sa coquille de « joueur de l’ombre » et apporte plus souvent sa belle adresse à 3-pts (41,6 %). Au Portel, Darnell Williams semble avoir pâti de l’arrivée d’O. D. Anosike, réalisant quelques prestations très médiocres (-5 d’éval à Nanterre par exemple) et ayant perdu sa régularité d’avant. Du côté de Limoges, sans qu’ils soient décevants ni que leurs stats soient médiocres, on peut penser que les chauds supporters locaux aimeraient que Dwight Hardy et Isaiah Miles apportent encore plus que ce qu’ils produisent. Et le constat est le même pour Samardo Samuels, qui semble toutefois reprendre des couleurs depuis l’arrivée de François Peronnet aux commandes de l’équipe. À Monaco, Derek Needham défend et se montre régulier, mais l’ASM en attend certainement plus de lui à la création (3,3 pds en 27,4 minutes). Le club de Nanterre, lui, aimerait sans doute que ses cadres supposés soient à l’unisson à leur meilleur. Dominic Waters, parfois brillant, est aussi capable de se « trouer » alors que Julian Gamble ne fait que trop rarement admirer ses qualités offensives. Enfin, à la SIG, deux joueurs laissent insatisfait : Mike Green, qui ne pèse pas assez sur le jeu de son équipe, et Mardy Collins, parfois trop soliste et forçant trop (3/12 à Boulazac, 2/11 à Levallois, etc.).\n\n[armelse]\n\nLa Jeep Élite peut se révéler un formidable révélateur de talents, mais aussi se montrer impitoyable pour ceux qui n’arrivent pas (ou ne peuvent pas) se mettre au niveau. C’est en grande partie ce qui explique le fort nombre de mouvements enregistré dans les équipes de l’élite française au cours de ces deux derniers mois : pas moins de onze joueurs non-JFL ont quitté le club qui les avait accueillis et quatorze ont fait leurs premiers pas dans une nouvelle équipe – dont deux qui ont « changé de crémerie ».\n\nIls sont partis\n\nNous évoquions leurs difficultés lors de notre premier épisode, la sentence a fini par tomber sur eux : Alex Abreu (Châlons-Reims), Jonathan Augustin-Fairell (Cholet), Robert Arnold (Dijon) et Robert Rothbart (Le Portel) ont été obligés de faire leurs bagages faute de répondre aux attentes de leur club. D’autres départs surprennent plus, comme celui de Ian Hummer à Monaco ou celui de Demetrius Conger au Mans. Pour le premier, si son implication n’attirait aucun reproche, c’est son faible impact offensif qui a joué en sa défaveur. Pour Conger, il semble que ce soit plus une question d’inadaptation à l’équipe qui ait entraîné son départ. Autre joueur qui avait plutôt bien commencé avant de disparaître de la circulation, faute d’implication défensive dans son cas, Kerem Kanter (Bourg-en-Bresse). 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« Depuis quelques années, Hoop Diary a été orienté vers l’histoire du basket en Midi-Pyrénées, et plus spécifiquement sur l’histoire du basket toulousain. L’histoire du basket à Toulouse des années 30 à nos jours figure d’ailleurs aussi sur le site du Toulouse Basket Club, qui évolue actuellement en Nationale 1, l’intégralité du dossier a été repris par le webmaster. »
Il évoque aussi l’Académie du basket version Occitanie:
« Pour la deuxième année consécutive, l’Académie du basket récompense les personnalités du basket régional. En 2018, pour marquer la naissance de la nouvelle région Occitanie, l’Académie a été ouverte aux deux anciennes régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.
Un groupe de travail constitué pour l’occasion désigne les nouveaux académiciens, qui sont récompensés lors de l’AG de la Ligue. Cette année, le 23 juin, cinq nouveaux académiciens ont été récompensés, sous le parrainage d’André Souvré, Académicien 2017.
Ces cinq ont marqué l’Occitanie par leur parcours ou leur passage:
Si vous ne connaissez pas ce site, on ne peut que vous recommander la story à propos de l’incroyable retournement de situation entre Antibes et Toulouse lors des barrages de 1989 et qui fut l’avènement de Jacques Monclar comme coach. A voir ici et ici.
", "comment_id":"448575", "plaintext":"L’excellent site Hoopdiary.net fête ses huit ans et son webmaster, Frank Cambus, se fend d’un petit édito pour rappeler sa vocation.\n\n« Depuis quelques années, Hoop Diary a été orienté vers l’histoire du basket en Midi-Pyrénées, et plus spécifiquement sur l’histoire du basket toulousain. L’histoire du basket à Toulouse des années 30 à nos jours figure d’ailleurs aussi sur le site du Toulouse Basket Club, qui évolue actuellement en Nationale 1, l’intégralité du dossier a été repris par le webmaster. »\n\nIl évoque aussi l’Académie du basket version Occitanie:\n\n« Pour la deuxième année consécutive, l’Académie du basket récompense les personnalités du basket régional. En 2018, pour marquer la naissance de la nouvelle région Occitanie, l’Académie a été ouverte aux deux anciennes régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.\n\nUn groupe de travail constitué pour l’occasion désigne les nouveaux académiciens, qui sont récompensés lors de l’AG de la Ligue. Cette année, le 23 juin, cinq nouveaux académiciens ont été récompensés, sous le parrainage d’André Souvré, Académicien 2017.\n\nCes cinq ont marqué l’Occitanie par leur parcours ou leur passage:\n\n * Appolo Faye, légende du CSP Limoges qui a joué à Montpellier en fin de carrière,\n * Marie-France Chaumeil, joueuse de Graulhet en première division\n * L’équipe de Valence-Condom qui réalise un parcours exceptionnel en Coupe de France 1997\n * René Lavergne, fondateur du mini-basket notamment\n * Francis Jordane, entraineur de l’équipe de France masculine »\n\nSi vous ne connaissez pas ce site, on ne peut que vous recommander la story à propos de l’incroyable retournement de situation entre Antibes et Toulouse lors des barrages de 1989 et qui fut l’avènement de Jacques Monclar comme coach. A voir ici et ici.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/hoop-e1546430793855.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-02T12:10:34.000Z", "updated_at":"2019-01-02T14:56:13.000Z", "published_at":"2019-01-02T12:10:34.000Z", "custom_excerpt":"L’excellent site Hoopdiary.net fête ses huit ans et son webmaster, Frank Cambus, se fend d’un petit édito pour rappeler sa vocation.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da512", "uuid":"386b0495-8f9c-48d6-b1ad-f250921473ff", "title":"Italie : 5 à 6 semaines d’absence pour Kaleb Tarczewski (Milan), remplacé par Alen Omic ?", "slug":"italie-5-a-6-semaines-dabsence-pour-kaleb-tarczewski-milan-remplace-par-alen-omic", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Selon Vijesti, Milan serait même sur le point de trouver un accord avec le Buducnost Podgorica pour le transfert d’Alen Omic. Dragan Bokan, le président du Buducnost, a déclaré au site monténégrin que le club transalpin a envoyé la plus grosse offre pour un joueur depuis le départ de Bojan Dubljevic pour Valence en 2012. Il y a bien des discussions mais le deal n’a pas encore été trouvé.
Hasard du calendrier, Milan reçoit justement Podgorica en Euroleague ce vendredi pour le compte de la seizième journée de championnat.
Cette saison, Kaleb Tarczewski compile en moyenne 10,6 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 15,3 en Serie A, et 5,3 points et 4,5 rebonds pour une évaluation de 6,4 en Euroleague. Alex Omic, qui est déjà passé par Milan (2012-15) tourne, lui, à 7,6 points et 5 rebonds entre l’Euroleague et la Ligue Adriatique.
Photo : Euroleague
", "comment_id":"448561", "plaintext":"Touché au pouce droit, Kaleb Tarczewski (2,13m, 25 ans) va être écarté des terrains pour une durée de cinq à six semaines. Le club souhaiterait pallier son absence.\n\nSelon Vijesti, Milan serait même sur le point de trouver un accord avec le Buducnost Podgorica pour le transfert d’Alen Omic. Dragan Bokan, le président du Buducnost, a déclaré au site monténégrin que le club transalpin a envoyé la plus grosse offre pour un joueur depuis le départ de Bojan Dubljevic pour Valence en 2012. Il y a bien des discussions mais le deal n’a pas encore été trouvé.\n\nHasard du calendrier, Milan reçoit justement Podgorica en Euroleague ce vendredi pour le compte de la seizième journée de championnat.\n\nCette saison, Kaleb Tarczewski compile en moyenne 10,6 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 15,3 en Serie A, et 5,3 points et 4,5 rebonds pour une évaluation de 6,4 en Euroleague. Alex Omic, qui est déjà passé par Milan (2012-15) tourne, lui, à 7,6 points et 5 rebonds entre l’Euroleague et la Ligue Adriatique.\n\nPhoto : Euroleague", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/kaleb-tarczewski-ax-armani-exchange-olimpia-milan-eb17.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-02T10:28:32.000Z", "updated_at":"2019-01-02T10:28:32.000Z", "published_at":"2019-01-02T10:28:32.000Z", "custom_excerpt":"Touché au pouce droit, Kaleb Tarczewski (2,13m, 25 ans) va être écarté des terrains pour une durée de cinq à six semaines. Le club souhaiterait pallier son absence.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da513", "uuid":"284bb810-c56c-4594-920e-8bf670c28770", "title":"Euroleague : un mois d’absence pour Tornike Shengelia (Vitoria)", "slug":"euroleague-un-mois-dabsence-pour-tornike-shengelia-vitoria", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Photo : Euroleague
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Blessé au genou dimanche face au Real Madrid, l’international géorgien a passé des examens qui ont révélé que les ligaments ont été touchés. Par conséquent, l’intérieur de Baskonia va devoir prendre du repos et être soumis à des séances de physiothérapie.
C’est la deuxième blessure de la saison pour l’ancien joueur des Brooklyn Nets qui s’est déjà cassé le nez et qui avait dû jouer avec un masque. Cette saison, Tornike Shengelia compile en moyenne 12,7 points, 4,5 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de de 15,4.
Dixième du classement d’Euroleague, Vitoria (7v-8d) est toujours à la lutte pour une place en playoffs. Pour rappel, c’est dans sa salle qu’est organisé le Final Four 2019. En ACB, c’est nettement mieux pour Vitoria qui est troisième avec 10 victoires et 4 défaites.
Photo : Euroleague
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En neuf matchs de coupe d’Europe cette saison avec Francfort, l’ancien joueur de la SIG et de Nanterre a tenté 33 tirs derrière l’arc pour 24 réussites, ce qui fait un pourcentage hallucinant de 72,7%. Ce qui est étonnant, c’est qu’en championnat allemand l’international finlandais affiche un pourcentage de réussite d’un peu plus de 34%, rien d’extraordinaire donc.
Né à Lyon, l’ancien joueur du Besiktas a donc été l’un des grands artisans de la qualification de son équipe pour le Top 16 avec en moyenne 16,1 points et 3,9 rebonds pour une évaluation de 16,7. L’ASVEL affrontera Francfort dans le cadre de la troisième et quatrième journée du Top 16 d’Eurocup, les 16 et 22 janvier.
Photo : Eurocup
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Dans la phase préliminaire de l’Eurocup, l’équipe russe, elle, n’a perdu qu’un seul de ses 10 matches face à l’Alba Berlin (75-83) avant de prendre sa revanche au retour en Allemagne (92-82). Le Limoges CSP était lourdement tombé à Krasnodar (64-82) avant de limiter la casse à Beaublanc (64-72).
Les deux hommes qui ont établi jusqu’ici les meilleures statistiques sont l’ailier Jamel McLean (2,02m, 30 ans, 10,4 points, 5,4 rebonds) et l’arrière Mateusz Ponitka (1,98m, 25 ans, 10,4 points, 5,0 rebonds) mais en fait l’équipe est très compacte. Le Lokomotiv est toutefois privé actuellement de son pivot Moustapha Fall qui est victime d’une pubalgie.
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Déjà parce qu’elle est la seule femme et d’autre part en raison de son immense palmarès avec deux titres de championnes d’Europe, trois Euroleague et huit titres de championnes de France. Et puis aussi parce qu’elle a comme meneuse à Basket Landes Céline Dumerc, une amie, avec qui elle a gagné plusieurs couronnes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0,1],2,\"Voici la deuxième partie de l’entretien.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comment se passe la vie dans le Sud-Ouest quand on est Bretonne puis Berruyère et Parisienne ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est totalement différent et il n’y a pas besoin de le vivre pour le savoir \"],[0,[1],1,\"(sourire). \"],[0,[],0,\"Ça se passe très bien dans le sens où j’ai été extrêmement bien accueilli. Cet accueil a favorisé mon intégration. Il y a des personnes à l’intérieur du club, autour du club et un public qui font que tu ne peux qu’aimer ce club et ce lieu.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Même s’il s’est déplacé de Saint-Sever à Mont-de-Marsan, est-ce encore un club rural ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est difficile pour moi de faire une comparaison, je ne peux qu’avoir un jugement ponctuel. Je pense que c’est un club qui cherche à se structurer, à se professionnaliser mais qui a une grande sensibilité sur maintenir les valeurs qui ont fait ses qualités depuis des années. Ils cherchent à avoir cet équilibre-là. Ils ne veulent pas rentrer dans un professionnalisme froid comme ils ont conscience qu’il faut construire une base pour que le club soit solide. Si un jour on fait un match à Mont-de-Marsan et que les joueuses ne se sont pas battues, mais que tu as gagné, ils ne sont pas contents. Ils veulent que les gens se battent. C’est ça aussi qui fait l’identité de club.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Les départs de Queralt Casas à Charleville et de Cierra Bravard à Tarbes sont vos choix ou vous n’avez pas pu financièrement les conserver ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce sont deux cas différents. Queralt Casas, c’était son choix. Elle souhaitait franchir une marche dans sa carrière, rejouer l’Euroleague à un âge un peu plus avancé. Quant à Cierra, c’était notre choix.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Frédéric Dussart, le coach de Villeneuve, dit qu’il y a une montée en puissance financière de Lattes-Montpellier, Lyon et aussi Charleville. Ressentez-vous ça aussi à Basket Landes ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On le ressent, c’est une évidence ! Basket Landes n’a jamais été au top français donc ça fait moins bizarre que Villeneuve \"],[0,[1],1,\"(sourire).\"],[0,[],0,\" On n’a pas les mêmes joueuses parce qu’on n’a pas le même budget. C’est malheureusement une évidence. 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Ce n’est pas comme si c’était deux disciplines différentes avec des joueuses de 5×5 et des joueuses de 3×3. Pour l’instant elles sont dans les deux. Y aura-t-il des joueuses pros de 3×3 ou est-ce que ça sera toujours une double discipline ? Je ne maîtrise pas mais j’y pense.\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« Ce n’est pas une garantie de succès. Ce n’est pas parce que tu as été joueur à haut niveau que tu seras un bon entraîneur »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’objectif du club est de jouer à terme l’Euroleague ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je pense que les gens en ont envie car c’est l’étape suivante. Maintenant, il faut être à la fois ambitieux et réaliste. Dans l’état actuel des choses on correspond davantage à un club d’Eurocup ne serait-ce que financièrement. C’est horrible, mais tout est lié à ça. Si on demande à une joueuse qui est depuis dix ans en Euroleague de venir ici, elle va dire « je préfère rester en Euroleague » et sur le contrat, on ne peut pas la payer. Il faut jouer sur d’autres cordes de sensibilité mais… il faut de l’argent pour exister. Si c’est pour perdre tous ses matche et être content d’aller visiter des villes européennes… Il faut un roster qui soit large car une saison d’Euroleague c’est 14 matches avant même de commencer les playoffs. Si tu n’es pas prêt, construit pour, ça peut être hyper dangereux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Contrairement à la Jeep Elite où il y a beaucoup de surprises, en Ligue Féminine, ce sont toujours les plus gros clubs qui sont les premiers ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il n’y en a pas beaucoup mais il y en a quand même. Le dernier exemple, c’est Tarbes en finale. Il y a toujours ce petit espoir qu’un petit aille manger des gros. Mais effectivement ce n’est pas régulier. Et quoiqu’il arrive au final c’est le gros qui gagne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La ligue a fêté ses 20 ans. Le niveau de jeu et d’organisation des clubs ont-t-il évolué durant cette période ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le niveau remonte. 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Entraîner, ça ne se fait pas comme ça !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Avec votre palmarès et le fait d’être une femme, ça provoque encore plus d’attente pour une rookie ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Effectivement, tu es rookie sans l’être. Un peu comme Jimmy Verove l’année dernière à Nice. Mais ça ne suffit pas. Ce n’est pas une garantie de succès. Ce n’est pas parce que tu as été joueur à haut niveau que tu seras un bon entraîneur. Si tu t’arrêtes à ça, tu vas droit dans le mur. Il faut travailler comme n’importe qui.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comment se passe la vie dans le Sud-Ouest quand on est Bretonne puis Berruyère et Parisienne ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est totalement différent et il n’y a pas besoin de le vivre pour le savoir \"],[0,[1],1,\"(sourire). \"],[0,[],0,\"Ça se passe très bien dans le sens où j’ai été extrêmement bien accueilli. Cet accueil a favorisé mon intégration. Il y a des personnes à l’intérieur du club, autour du club et un public qui font que tu ne peux qu’aimer ce club et ce lieu.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Même s’il s’est déplacé de Saint-Sever à Mont-de-Marsan, est-ce encore un club rural ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est difficile pour moi de faire une comparaison, je ne peux qu’avoir un jugement ponctuel. Je pense que c’est un club qui cherche à se structurer, à se professionnaliser mais qui a une grande sensibilité sur maintenir les valeurs qui ont fait ses qualités depuis des années. Ils cherchent à avoir cet équilibre-là. Ils ne veulent pas rentrer dans un professionnalisme froid comme ils ont conscience qu’il faut construire une base pour que le club soit solide. Si un jour on fait un match à Mont-de-Marsan et que les joueuses ne se sont pas battues, mais que tu as gagné, ils ne sont pas contents. Ils veulent que les gens se battent. C’est ça aussi qui fait l’identité de club.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Les départs de Queralt Casas à Charleville et de Cierra Bravard à Tarbes sont vos choix ou vous n’avez pas pu financièrement les conserver ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce sont deux cas différents. Queralt Casas, c’était son choix. Elle souhaitait franchir une marche dans sa carrière, rejouer l’Euroleague à un âge un peu plus avancé. Quant à Cierra, c’était notre choix.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Frédéric Dussart, le coach de Villeneuve, dit qu’il y a une montée en puissance financière de Lattes-Montpellier, Lyon et aussi Charleville. Ressentez-vous ça aussi à Basket Landes ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photos: Marie-Michelle Milapie et Miranda Ayim (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Cathy Melain, 44 ans, n’était pas la saison dernière une rookie comme les autres en Ligue Féminine. Déjà parce qu’elle est la seule femme et d’autre part en raison de son immense palmarès avec deux titres de championnes d’Europe, trois Euroleague et huit titres de championnes de France. Et puis aussi parce qu’elle a comme meneuse à Basket Landes Céline Dumerc, une amie, avec qui elle a gagné plusieurs couronnes.
Voici la deuxième partie de l’entretien.
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Comment se passe la vie dans le Sud-Ouest quand on est Bretonne puis Berruyère et Parisienne ?
C’est totalement différent et il n’y a pas besoin de le vivre pour le savoir (sourire). Ça se passe très bien dans le sens où j’ai été extrêmement bien accueilli. Cet accueil a favorisé mon intégration. Il y a des personnes à l’intérieur du club, autour du club et un public qui font que tu ne peux qu’aimer ce club et ce lieu.
Même s’il s’est déplacé de Saint-Sever à Mont-de-Marsan, est-ce encore un club rural ?
C’est difficile pour moi de faire une comparaison, je ne peux qu’avoir un jugement ponctuel. Je pense que c’est un club qui cherche à se structurer, à se professionnaliser mais qui a une grande sensibilité sur maintenir les valeurs qui ont fait ses qualités depuis des années. Ils cherchent à avoir cet équilibre-là. Ils ne veulent pas rentrer dans un professionnalisme froid comme ils ont conscience qu’il faut construire une base pour que le club soit solide. Si un jour on fait un match à Mont-de-Marsan et que les joueuses ne se sont pas battues, mais que tu as gagné, ils ne sont pas contents. Ils veulent que les gens se battent. C’est ça aussi qui fait l’identité de club.
Les départs de Queralt Casas à Charleville et de Cierra Bravard à Tarbes sont vos choix ou vous n’avez pas pu financièrement les conserver ?
Ce sont deux cas différents. Queralt Casas, c’était son choix. Elle souhaitait franchir une marche dans sa carrière, rejouer l’Euroleague à un âge un peu plus avancé. Quant à Cierra, c’était notre choix.
Frédéric Dussart, le coach de Villeneuve, dit qu’il y a une montée en puissance financière de Lattes-Montpellier, Lyon et aussi Charleville. Ressentez-vous ça aussi à Basket Landes ?
On le ressent, c’est une évidence ! Basket Landes n’a jamais été au top français donc ça fait moins bizarre que Villeneuve (sourire). On n’a pas les mêmes joueuses parce qu’on n’a pas le même budget. C’est malheureusement une évidence. Quand on a de l’argent, on peut proposer de meilleurs contrats et avoir des joueuses qui ont de meilleurs CV. Etc. L’argent c’est le nerf de la guerre. Basket Landes avance au niveau du budget mais comme les autres avancent beaucoup on ne s’en rend pas compte.
Mamignan Touré est l’une des meilleures joueuses de 3×3 au monde. Est-ce profitable pour le 5×5 ?
Oui. Le 3×3 oblige à avoir une agressivité continuelle parce qu’on n’a pas le temps de faire autrement. Ça pousse les gens à prendre des responsabilités, à prendre des risques, tout le temps et sur un rythme qui est très élevé. C’est très intéressant. Et dans son cas ça lui fait du bien car elle en avait la capacité et pas forcément la conscience. Ça la booste car elle se rend compte qu’elle peut faire des choses. Il faut maintenant faire le transfert de cette agressivité dans le 5×5 et il faut que ça se fasse avec intelligence car forcément il n’y a pas le même espace quand on est à cinq que lorsqu’on est à trois.
A-t-elle maintenant dans son esprit le fait qu’elle peut être candidate aux Jeux Olympiques de Tokyo ?
Je pense qu’elle ne le fait pas dans ce sens-là. Elle ne se dit pas, les Jeux en 5×5 c’est compliqué, en 3×3 c’est plus facile. Elle apprécie fondamentalement le 3×3. Après effectivement c’est un bonus. Je ne lui ai pas demandé, mais je suppose qu’elle est heureuse d’avoir une chance de pouvoir y aller, ça parait naturel même si rien n’est fait. Ça laisse des chances à des personnes qui ne sont pas loin mais qui ne peuvent pas intégrer l’équipe de France de 5×5 pour les JO. On est un peu en attente avec le 3×3, savoir comment ça peut s’intégrer, comment faire l’un avec l’autre. Ce n’est pas comme si c’était deux disciplines différentes avec des joueuses de 5×5 et des joueuses de 3×3. Pour l’instant elles sont dans les deux. Y aura-t-il des joueuses pros de 3×3 ou est-ce que ça sera toujours une double discipline ? Je ne maîtrise pas mais j’y pense.
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« Ce n’est pas une garantie de succès. Ce n’est pas parce que tu as été joueur à haut niveau que tu seras un bon entraîneur »
L’objectif du club est de jouer à terme l’Euroleague ?
Je pense que les gens en ont envie car c’est l’étape suivante. Maintenant, il faut être à la fois ambitieux et réaliste. Dans l’état actuel des choses on correspond davantage à un club d’Eurocup ne serait-ce que financièrement. C’est horrible, mais tout est lié à ça. Si on demande à une joueuse qui est depuis dix ans en Euroleague de venir ici, elle va dire « je préfère rester en Euroleague » et sur le contrat, on ne peut pas la payer. Il faut jouer sur d’autres cordes de sensibilité mais… il faut de l’argent pour exister. Si c’est pour perdre tous ses matche et être content d’aller visiter des villes européennes… Il faut un roster qui soit large car une saison d’Euroleague c’est 14 matches avant même de commencer les playoffs. Si tu n’es pas prêt, construit pour, ça peut être hyper dangereux.
Contrairement à la Jeep Elite où il y a beaucoup de surprises, en Ligue Féminine, ce sont toujours les plus gros clubs qui sont les premiers ?
Il n’y en a pas beaucoup mais il y en a quand même. Le dernier exemple, c’est Tarbes en finale. Il y a toujours ce petit espoir qu’un petit aille manger des gros. Mais effectivement ce n’est pas régulier. Et quoiqu’il arrive au final c’est le gros qui gagne.
La ligue a fêté ses 20 ans. Le niveau de jeu et d’organisation des clubs ont-t-il évolué durant cette période ?
Le niveau remonte. A une époque, il y avait Bourges et Valenciennes, deux grosses équipes qui se partageaient les titres d’Euroleague, et puis ensuite il y a eu des années un peu plus faibles et on s’en est rendu compte sur les résultats en Euroleague. Et je trouve que là, ça remonte. Cette saison est très révélatrice, on passe un vrai cap. Il y a de gros clubs qui ont de grosses ambitions, que ce soit Lyon, Montpellier, Charleville, qui déjà en France ont envie de titiller Bourges, d’exister en Euroleague. Ils ne veulent pas se contenter de participer. On remonte bien. Je ne sais pas jusqu’où ça peut aller car notre économie est encore un peu faiblarde pour aller au bout.
Il n’y a plus beaucoup de joueuses qui font carrière douze ans dans le même club comme vous à Bourges. Finalement, les filles copient les garçons ?
Douze ans, c’est beaucoup ! Il y en a encore qui sont fidèles à leurs clubs même si ce n’est pas autant. Les joueuses ne bougent pas tous les ans. Il y a plein de cas où elles sont quatre, cinq ans dans le même club. Il y a encore une forme d’attachement. Même si comme partout, il y a des gens qui changent régulièrement. Ça a toujours été présent.
Les filles ne courent pas le cachet systématiquement ?
Non. Ou elles prennent le temps. Ce n’est pas la recherche du cachet à tout prix même s’il y a plus d’opportunités d’aller voir ailleurs. Quand des clubs en France grandissent, il y a des projets intéressants. Il y a aussi la possibilité d’aller à l’étranger, c’est plus facile aujourd’hui qu’il y a des années. Tout est lié : l’équipe de France est performante, ça veut dire que les joueuses sont de valeur et donc les clubs viennent chercher les Françaises.
Vos joueuses connaissent-elles votre palmarès ? Trois Euroleague gagnées en France, deux titres de championnes d’Europe, ça les fait rêver ?
Une partie le sait, certaines ont une vague idée et certaines pas du tout (rires). Je n’ai pas l’impression qu’elles focalisent sur ça et moi non plus.
Ça ne sert pas pour asseoir son autorité ?
Ca facilite un peu la première rencontre. Tu es inconnue en tant que coach mais comme personne. Mais ça ne suffit pas que les gens connaissent ton nom soit très bien soit vaguement que derrière ça va bien se passer. Tu ne joues plus, t’entraîne, tu veux guider des gens et il faut que tu sois capable de prouver des choses qui font que l’équipe avance. Je reviens à ce que je disais auparavant : je ne voulais pas du tout entraîner une équipe pro après mon arrêt. Entraîner, ça ne se fait pas comme ça !
Avec votre palmarès et le fait d’être une femme, ça provoque encore plus d’attente pour une rookie ?
Effectivement, tu es rookie sans l’être. Un peu comme Jimmy Verove l’année dernière à Nice. Mais ça ne suffit pas. Ce n’est pas une garantie de succès. Ce n’est pas parce que tu as été joueur à haut niveau que tu seras un bon entraîneur. Si tu t’arrêtes à ça, tu vas droit dans le mur. Il faut travailler comme n’importe qui.
[armelse]
Comment se passe la vie dans le Sud-Ouest quand on est Bretonne puis Berruyère et Parisienne ?
C’est totalement différent et il n’y a pas besoin de le vivre pour le savoir (sourire). Ça se passe très bien dans le sens où j’ai été extrêmement bien accueilli. Cet accueil a favorisé mon intégration. Il y a des personnes à l’intérieur du club, autour du club et un public qui font que tu ne peux qu’aimer ce club et ce lieu.
Même s’il s’est déplacé de Saint-Sever à Mont-de-Marsan, est-ce encore un club rural ?
C’est difficile pour moi de faire une comparaison, je ne peux qu’avoir un jugement ponctuel. Je pense que c’est un club qui cherche à se structurer, à se professionnaliser mais qui a une grande sensibilité sur maintenir les valeurs qui ont fait ses qualités depuis des années. Ils cherchent à avoir cet équilibre-là. Ils ne veulent pas rentrer dans un professionnalisme froid comme ils ont conscience qu’il faut construire une base pour que le club soit solide. Si un jour on fait un match à Mont-de-Marsan et que les joueuses ne se sont pas battues, mais que tu as gagné, ils ne sont pas contents. Ils veulent que les gens se battent. C’est ça aussi qui fait l’identité de club.
Les départs de Queralt Casas à Charleville et de Cierra Bravard à Tarbes sont vos choix ou vous n’avez pas pu financièrement les conserver ?
Ce sont deux cas différents. Queralt Casas, c’était son choix. Elle souhaitait franchir une marche dans sa carrière, rejouer l’Euroleague à un âge un peu plus avancé. Quant à Cierra, c’était notre choix.
Frédéric Dussart, le coach de Villeneuve, dit qu’il y a une montée en puissance financière de Lattes-Montpellier, Lyon et aussi Charleville. Ressentez-vous ça aussi à Basket Landes ?
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Photos: Marie-Michelle Milapie et Miranda Ayim (FIBA)
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Il y a des personnes à l’intérieur du club, autour du club et un public qui font que tu ne peux qu’aimer ce club et ce lieu.\n\nMême s’il s’est déplacé de Saint-Sever à Mont-de-Marsan, est-ce encore un club rural ?\n\nC’est difficile pour moi de faire une comparaison, je ne peux qu’avoir un jugement ponctuel. Je pense que c’est un club qui cherche à se structurer, à se professionnaliser mais qui a une grande sensibilité sur maintenir les valeurs qui ont fait ses qualités depuis des années. Ils cherchent à avoir cet équilibre-là. Ils ne veulent pas rentrer dans un professionnalisme froid comme ils ont conscience qu’il faut construire une base pour que le club soit solide. Si un jour on fait un match à Mont-de-Marsan et que les joueuses ne se sont pas battues, mais que tu as gagné, ils ne sont pas contents. Ils veulent que les gens se battent. C’est ça aussi qui fait l’identité de club.\n\nLes départs de Queralt Casas à Charleville et de Cierra Bravard à Tarbes sont vos choix ou vous n’avez pas pu financièrement les conserver ?\n\nCe sont deux cas différents. Queralt Casas, c’était son choix. Elle souhaitait franchir une marche dans sa carrière, rejouer l’Euroleague à un âge un peu plus avancé. Quant à Cierra, c’était notre choix.\n\nFrédéric Dussart, le coach de Villeneuve, dit qu’il y a une montée en puissance financière de Lattes-Montpellier, Lyon et aussi Charleville. Ressentez-vous ça aussi à Basket Landes ?\n\nOn le ressent, c’est une évidence ! Basket Landes n’a jamais été au top français donc ça fait moins bizarre que Villeneuve (sourire). On n’a pas les mêmes joueuses parce qu’on n’a pas le même budget. C’est malheureusement une évidence. Quand on a de l’argent, on peut proposer de meilleurs contrats et avoir des joueuses qui ont de meilleurs CV. Etc. L’argent c’est le nerf de la guerre. Basket Landes avance au niveau du budget mais comme les autres avancent beaucoup on ne s’en rend pas compte.\n\nMamignan Touré est l’une des meilleures joueuses de 3×3 au monde. Est-ce profitable pour le 5×5 ?\n\nOui. Le 3×3 oblige à avoir une agressivité continuelle parce qu’on n’a pas le temps de faire autrement. Ça pousse les gens à prendre des responsabilités, à prendre des risques, tout le temps et sur un rythme qui est très élevé. C’est très intéressant. Et dans son cas ça lui fait du bien car elle en avait la capacité et pas forcément la conscience. Ça la booste car elle se rend compte qu’elle peut faire des choses. Il faut maintenant faire le transfert de cette agressivité dans le 5×5 et il faut que ça se fasse avec intelligence car forcément il n’y a pas le même espace quand on est à cinq que lorsqu’on est à trois.\n\nA-t-elle maintenant dans son esprit le fait qu’elle peut être candidate aux Jeux Olympiques de Tokyo ?\n\nJe pense qu’elle ne le fait pas dans ce sens-là. Elle ne se dit pas, les Jeux en 5×5 c’est compliqué, en 3×3 c’est plus facile. Elle apprécie fondamentalement le 3×3. Après effectivement c’est un bonus. Je ne lui ai pas demandé, mais je suppose qu’elle est heureuse d’avoir une chance de pouvoir y aller, ça parait naturel même si rien n’est fait. Ça laisse des chances à des personnes qui ne sont pas loin mais qui ne peuvent pas intégrer l’équipe de France de 5×5 pour les JO. On est un peu en attente avec le 3×3, savoir comment ça peut s’intégrer, comment faire l’un avec l’autre. Ce n’est pas comme si c’était deux disciplines différentes avec des joueuses de 5×5 et des joueuses de 3×3. Pour l’instant elles sont dans les deux. Y aura-t-il des joueuses pros de 3×3 ou est-ce que ça sera toujours une double discipline ? Je ne maîtrise pas mais j’y pense.\n\n« Ce n’est pas une garantie de succès. Ce n’est pas parce que tu as été joueur à haut niveau que tu seras un bon entraîneur »\n\nL’objectif du club est de jouer à terme l’Euroleague ?\n\nJe pense que les gens en ont envie car c’est l’étape suivante. Maintenant, il faut être à la fois ambitieux et réaliste. Dans l’état actuel des choses on correspond davantage à un club d’Eurocup ne serait-ce que financièrement. C’est horrible, mais tout est lié à ça. Si on demande à une joueuse qui est depuis dix ans en Euroleague de venir ici, elle va dire « je préfère rester en Euroleague » et sur le contrat, on ne peut pas la payer. Il faut jouer sur d’autres cordes de sensibilité mais… il faut de l’argent pour exister. Si c’est pour perdre tous ses matche et être content d’aller visiter des villes européennes… Il faut un roster qui soit large car une saison d’Euroleague c’est 14 matches avant même de commencer les playoffs. Si tu n’es pas prêt, construit pour, ça peut être hyper dangereux.\n\nContrairement à la Jeep Elite où il y a beaucoup de surprises, en Ligue Féminine, ce sont toujours les plus gros clubs qui sont les premiers ?\n\nIl n’y en a pas beaucoup mais il y en a quand même. Le dernier exemple, c’est Tarbes en finale. Il y a toujours ce petit espoir qu’un petit aille manger des gros. Mais effectivement ce n’est pas régulier. Et quoiqu’il arrive au final c’est le gros qui gagne.\n\nLa ligue a fêté ses 20 ans. Le niveau de jeu et d’organisation des clubs ont-t-il évolué durant cette période ?\n\nLe niveau remonte. A une époque, il y avait Bourges et Valenciennes, deux grosses équipes qui se partageaient les titres d’Euroleague, et puis ensuite il y a eu des années un peu plus faibles et on s’en est rendu compte sur les résultats en Euroleague. Et je trouve que là, ça remonte. Cette saison est très révélatrice, on passe un vrai cap. Il y a de gros clubs qui ont de grosses ambitions, que ce soit Lyon, Montpellier, Charleville, qui déjà en France ont envie de titiller Bourges, d’exister en Euroleague. Ils ne veulent pas se contenter de participer. On remonte bien. Je ne sais pas jusqu’où ça peut aller car notre économie est encore un peu faiblarde pour aller au bout.\n\nIl n’y a plus beaucoup de joueuses qui font carrière douze ans dans le même club comme vous à Bourges. Finalement, les filles copient les garçons ?\n\nDouze ans, c’est beaucoup ! Il y en a encore qui sont fidèles à leurs clubs même si ce n’est pas autant. Les joueuses ne bougent pas tous les ans. Il y a plein de cas où elles sont quatre, cinq ans dans le même club. Il y a encore une forme d’attachement. Même si comme partout, il y a des gens qui changent régulièrement. Ça a toujours été présent.\n\nLes filles ne courent pas le cachet systématiquement ?\n\nNon. Ou elles prennent le temps. Ce n’est pas la recherche du cachet à tout prix même s’il y a plus d’opportunités d’aller voir ailleurs. Quand des clubs en France grandissent, il y a des projets intéressants. Il y a aussi la possibilité d’aller à l’étranger, c’est plus facile aujourd’hui qu’il y a des années. Tout est lié : l’équipe de France est performante, ça veut dire que les joueuses sont de valeur et donc les clubs viennent chercher les Françaises.\n\nVos joueuses connaissent-elles votre palmarès ? Trois Euroleague gagnées en France, deux titres de championnes d’Europe, ça les fait rêver ?\n\nUne partie le sait, certaines ont une vague idée et certaines pas du tout (rires). Je n’ai pas l’impression qu’elles focalisent sur ça et moi non plus.\n\nÇa ne sert pas pour asseoir son autorité ?\n\nCa facilite un peu la première rencontre. Tu es inconnue en tant que coach mais comme personne. Mais ça ne suffit pas que les gens connaissent ton nom soit très bien soit vaguement que derrière ça va bien se passer. Tu ne joues plus, t’entraîne, tu veux guider des gens et il faut que tu sois capable de prouver des choses qui font que l’équipe avance. Je reviens à ce que je disais auparavant : je ne voulais pas du tout entraîner une équipe pro après mon arrêt. Entraîner, ça ne se fait pas comme ça !\n\nAvec votre palmarès et le fait d’être une femme, ça provoque encore plus d’attente pour une rookie ?\n\nEffectivement, tu es rookie sans l’être. Un peu comme Jimmy Verove l’année dernière à Nice. Mais ça ne suffit pas. Ce n’est pas une garantie de succès. Ce n’est pas parce que tu as été joueur à haut niveau que tu seras un bon entraîneur. Si tu t’arrêtes à ça, tu vas droit dans le mur. Il faut travailler comme n’importe qui.\n\n[armelse]\n\nComment se passe la vie dans le Sud-Ouest quand on est Bretonne puis Berruyère et Parisienne ?\n\nC’est totalement différent et il n’y a pas besoin de le vivre pour le savoir (sourire). Ça se passe très bien dans le sens où j’ai été extrêmement bien accueilli. Cet accueil a favorisé mon intégration. Il y a des personnes à l’intérieur du club, autour du club et un public qui font que tu ne peux qu’aimer ce club et ce lieu.\n\nMême s’il s’est déplacé de Saint-Sever à Mont-de-Marsan, est-ce encore un club rural ?\n\nC’est difficile pour moi de faire une comparaison, je ne peux qu’avoir un jugement ponctuel. Je pense que c’est un club qui cherche à se structurer, à se professionnaliser mais qui a une grande sensibilité sur maintenir les valeurs qui ont fait ses qualités depuis des années. Ils cherchent à avoir cet équilibre-là. Ils ne veulent pas rentrer dans un professionnalisme froid comme ils ont conscience qu’il faut construire une base pour que le club soit solide. Si un jour on fait un match à Mont-de-Marsan et que les joueuses ne se sont pas battues, mais que tu as gagné, ils ne sont pas contents. Ils veulent que les gens se battent. C’est ça aussi qui fait l’identité de club.\n\nLes départs de Queralt Casas à Charleville et de Cierra Bravard à Tarbes sont vos choix ou vous n’avez pas pu financièrement les conserver ?\n\nCe sont deux cas différents. Queralt Casas, c’était son choix. Elle souhaitait franchir une marche dans sa carrière, rejouer l’Euroleague à un âge un peu plus avancé. Quant à Cierra, c’était notre choix.\n\nFrédéric Dussart, le coach de Villeneuve, dit qu’il y a une montée en puissance financière de Lattes-Montpellier, Lyon et aussi Charleville. Ressentez-vous ça aussi à Basket Landes ?\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhotos: Marie-Michelle Milapie et Miranda Ayim (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/09/milapie-e1538235915747.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-02T07:00:09.000Z", "updated_at":"2019-01-02T16:04:05.000Z", "published_at":"2019-01-02T07:00:09.000Z", "custom_excerpt":"Cathy Melain, 44 ans, n’était pas la saison dernière une rookie comme les autres en Ligue Féminine. Déjà parce qu’elle est la seule femme et d’autre part en raison de son immense palmarès avec deux titres de championnes d’Europe, trois Euroleague et huit titres de championnes de France. 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La fille de l’ancien joueur de Pro A, Larry Lawrence, opère comme power forward et elle tourne pratiquement en double double avec 14,7 points et 9,1 rebonds alors que l’on dénombre trois Américaines, une Allemande et une Croate dans l’équipe.
L’équipe suédoise est beaucoup moins à l’aise en Eurocup puisqu’elle y a perdu ses six matches mais Alyssa Lawrence y présente là aussi les meilleures stats: 16,8 points (60,7% de réussite aux tirs) et 8,6 rebonds.
Mais en fait sa grande spécialité est le contre et avec 2,2 blocks de moyenne, elle se positionne au 6e rang dans ce secteur en Eurocup.
Photo: FIBA
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Le Slovène n’a participé qu’à 9 des 15 matches d’Euroleague du Real pour une moyenne qui se situe à 7′ en temps de jeu. Il est ainsi le 13e homme de l’équipe ! Et celui qui était réputé en Jeep Elite pour ne pas avoir froid aux yeux s’acclimate très mal à ce statut si l’on se réfère à sa réussite à trois-points: 2/16. Pas étonnant aussi de le retrouver à 2,4 points et 1,9 d’évaluation.
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Olivia Epoupa est au palmarès comme la meilleure meneuse européenne alors que Sandrine Gruda et Isabelle Yacoubou ont droit à des mentions.
Eurobasket.com All-Europe 1st Team:
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/usa.gif\")
Courtney Vandersloot (173-PG-89)
Kayla McBride (180-G-92)
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/serbia.gif\")
Sonja Petrovic (189-F-89)
Breanna Stewart (193-F-94)
Jantel Lavender (191-C-88)
Eurobasket.com All-Europe 2nd Team:
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/france.gif\")
Olivia Epoupa (165-PG-94)
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/ukraine.gif\")
Alina Iagupova (186-G/F-92)
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/lithuania.gif\")
Gintare Petronyte (196-C/F-89)
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/belgium.gif\")
Emma Meesseman (192-C-93)
Brittney Griner (203-C-90)
Eurobasket.com All-Europeans 1st Team:
Olivia Epoupa (165-PG-94)
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/spain.gif\")
Alba Torrens (188-G/F-89)
Alina Iagupova (186-G/F-92)
Sonja Petrovic (189-F-89)
Emma Meesseman (192-C-93)
Eurobasket.com All-Europeans 2nd Team:
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/turkey.gif\")
Isil Alben (170-G-86)
Marta Xargay (181-PG-90)
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/montenegro.gif\")
Jelena Dubljevic (191-C-87)
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/latvia.gif\")
Anete Steinberga (190-C-90)
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/sweden.gif\")
Amanda Zahui (196-C-93)
Photo: Olivia Epoupa (FIBA)
", "comment_id":"448534", "plaintext":"A travers son traditionnel référendum réalisé auprès de ses 200 correspondants, le site EuroBasket.com considère l’Américaine Kayla McBride comme la meilleure joueuse d’Europe et la Belge Emma Meesseman comme la meilleure joueuse européenne.\n\nOlivia Epoupa est au palmarès comme la meilleure meneuse européenne alors que Sandrine Gruda et Isabelle Yacoubou ont droit à des mentions.\n\nEurobasket.com All-Europe 1st Team:\n\n\nCourtney Vandersloot (173-PG-89)\n\n\nKayla McBride (180-G-92)\n\n\nSonja Petrovic (189-F-89)\n\n\nBreanna Stewart (193-F-94)\n\n\nJantel Lavender (191-C-88)\n\nEurobasket.com All-Europe 2nd Team:\n\n\nOlivia Epoupa (165-PG-94)\n\n\nAlina Iagupova (186-G/F-92)\n\n\nGintare Petronyte (196-C/F-89)\n\n\nEmma Meesseman (192-C-93)\n\n\nBrittney Griner (203-C-90)\n\nEurobasket.com All-Europeans 1st Team:\n\n\nOlivia Epoupa (165-PG-94)\n\n\nAlba Torrens (188-G/F-89)\n\n\nAlina Iagupova (186-G/F-92)\n\n\nSonja Petrovic (189-F-89)\n\n\nEmma Meesseman (192-C-93)\n\nEurobasket.com All-Europeans 2nd Team:\n\n\nIsil Alben (170-G-86)\n\nMarta Xargay (181-PG-90)\n\nJelena Dubljevic (191-C-87)\n\n\nAnete Steinberga (190-C-90)\n\n\nAmanda Zahui (196-C-93)\n\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/epoupa-e1546356247566.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-01T15:28:37.000Z", "updated_at":"2019-01-01T15:28:37.000Z", "published_at":"2019-01-01T15:28:37.000Z", "custom_excerpt":"A travers son traditionnel référendum réalisé auprès de ses 200 correspondants, le site EuroBasket.com considère l’Américaine Kayla McBride comme la meilleure joueuse d’Europe et la Belge Emma Meesseman comme la meilleure joueuse européenne.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da51a", "uuid":"3f639fac-5a89-40b9-a1fc-dda4ddfc9873", "title":"Les Français de l’étranger : Kevin Séraphin finit 2018 en boulet de canon", "slug":"les-francais-de-letranger-kevin-seraphin-finit-2018-en-boulet-de-canon", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/84XR3iFYF0Q?feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/Jv0UEpcCpD0?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1204\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1280\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://basketeurope.com/livenews-fr/380927/les-francais-de-letranger-un-accueil-de-star-pour-fabien-causeur-a-bamberg/'joueur/?id=1263\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/les-francais-de-letranger-mokoka-et-toupane-en-mode-record/\"]]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. 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De la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.
On peut le dire : on a vécu une nouvelle année record pour les Français qui évoluent dans les championnats européens en termes de performances. Du début à la fin, 2018 a délivré chez les Français de l’Étranger. Et 2019 ne devrait pas décevoir, avec la Coupe du Monde en point de mire…
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Pour son 2e match en Liga depuis son retour de blessure, Kevin Séraphin a sorti une performance de gala pour les Fêtes de fin d’année. Avec 18 points, 11 rebonds et 30 d’évaluation, Séraphin a donné la leçon au jeune islandais, Tryggvi Hlinason. Il a aussi offert une victoire au Barça contre Obradoiro (79-73), avec un bon Thomas Heurtel (11 points, 4 rebonds).
Barcelone est bien lancé cette saison, 1er de la Liga en cette fin d’année 2018, et déjà qualifié pour la Copa Del Rey avec ce 12e succès en 14 matchs. A 8 victoires et 7 défaites en Euroleague, les Catalans sont aussi dans les clous à la 7e position.
https://www.youtube.com/watch?v=Pkq6-IMBfvQ
En 9 minutes, Mathias Lessort a cumulé 14 points, 2 rebonds, 2 interceptions et même un contre. Et ce, à 7/7 aux tirs. Pour la fine bouche, il a ajouté ce petit dunk arrière pas piqué des hannetons. On fait rarement plus efficace dans un si court temps de jeu, impressionnant !
https://twitter.com/SomosEurope/status/1079377544980373506
A -5 à 15 secondes la fin, Lublin était donnée pour mort… Mais une fin de match folle avec une interception de Lublin conclu d’un trois points de Joe Thomasson. Puis un lancer et une nouvelle balle perdue de Torun avec Cheickh Mbodj qui se perd en dribble. Thomasson s’occupe du trois points de la gagne de très loin ! Incroyable retournement de situation !
Dans ce match dingue, Aaron Cel avait auparavant réussi un match plein avec un 36 d’évaluation, dont 25 points à 8/9 aux tirs et 5 rebonds. Une défaite cruelle !
Un poil sous les 10 points et 5 rebonds de moyenne à l’année, Amath M’Baye a aidé ses moyennes avec son premier double double de la saison à 11 points et 11 rebonds contre Trente. Malheureusement, ça n’a pas suffi pour Bologne qui encaisse sa 7e défaite (71-65). A la nouvelle année, Bologne pointe donc en négatif à 6 victoires pour 7 défaites.
Par ailleurs, Mam Jaiteh a été prolongé à Turin après sa pige convaincante (6 points, 4 rebonds en 12 minutes de moyenne sur 8 matchs). Il a signé jusqu’à la fin de saison !
Il n’a pas joué longtemps : 14 minutes. Mais Rodrigue Beaubois a tout de même trouvé le temps de planter 17 points, plus 3 rebonds et 2 passes dans une victoire facile d’Efes Istanbul contre Izmir (101-74). La troupe de Coach Ataman est 2e au classement avec 9 victoires et 3 défaites.
https://www.youtube.com/watch?v=qO-sG4FsMDU
Kevin Séraphin (Barcelone) : 18 points (6/7 aux tirs), 11 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 25 minutes (victoire 79-73 face à Obradoiro)
Mathias Lessort (Malaga) : 14 points (7/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 contre en 9 minutes (victoire 94-81 face à San Sebastian)
Fabien Causeur (Real Madrid) : 12 points (4/9 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 26 minutes (victoire 91-74 face à Vitoria)
Thomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 79-73 face à Obradoiro)
Louis Labeyrie (Valence) : 8 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre en 18 minutes (victoire 89-74 face à Saragosse)
Andrew Albicy (Andorre) : 6 points (2/7 aux tirs), 6 passes, 3 interceptions, 2 balles perdues en 27 minutes (victoire 96-82 face à Estudiantes)
Vincent Poirier (Vitoria) : 4 points (2/8 aux tirs), 4 rebonds, 3 balles perdues en 19 minutes (défaite 91-74 face au Real Madrid)
Kim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 16 minutes (défaite 81-74 face à Burgos)
Antoine Diot (Valence) : n’a pas joué (victoire 89-74 face à Saragosse)
Axel Toupane (Olympiakos) : 6 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception en 14 minutes (victoire 78-68 face au PAOK)
Boris Dallo (Salonique) : 0 point (0/1 au tir), 1 passe, 1 interception en 7 minutes (défaite 71-61 face à Prometheus)
Frédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : prochain match le 2 janvier face à l’Hapoel Tel Aviv
Amath M’Baye (Bologne) : 11 points (4/11 aux tirs), 11 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 39 minutes (défaite 71-65 face à Trente)
Mam Jaiteh (Turin) : 6 points (3/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 16 minutes (défaite 100-87 face à Cremona)
Léo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué – blessé au genou
Edwin Jackson (Podgorica) : 3 passes en 7 minutes (défaite 86-72 face à l’Etoile Rouge)
Landing Sane (Mornar Bar) : 3 points (1/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 86-77 face à Novo Mesto)
Aaron Cel (Torun) : 25 points (8/9 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 28 minutes (défaite 93-91 face à Lublin)
Nando De Colo (CSKA Moscou) : 14 points (4/11 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 interception, 5 balles perdues en 34 minutes (victoire 85-80 face à Kalev)
Moustapha Fall (Krasnodar) : pas de match
Adam Mokoka (Mega) : 14 points (3/8 aux tirs), 6 passes, 5 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 28 minutes (défaite 106-89 face à Belgrade)
Bandja Sy (Partizan) : 1 point (1/2 aux lancers), 3 rebonds, 2 interceptions en 21 minutes (victoire 72-66 face à Ljubljana)
Rodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 17 points (5/8 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 14 minutes (victoire 101-74 face à Izmir)
Adrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué – laissé au repos (victoire 101-74 face à Izmir)
Joffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué – laissé au repos (victoire 91-61 face à Darussafaka)
LA SEMAINE PASSEE : Mokoka et Toupane en mode record
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Pour son 2e match en Liga depuis son retour de blessure, Kevin Séraphin a sorti une performance de gala pour les Fêtes de fin d’année. Avec 18 points, 11 rebonds et 30 d’évaluation, Séraphin a donné la leçon au jeune islandais, Tryggvi Hlinason. Il a aussi offert une victoire au Barça contre Obradoiro (79-73), avec un bon Thomas Heurtel
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", "comment_id":"448449", "plaintext":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\n\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\nOn peut le dire : on a vécu une nouvelle année record pour les Français qui évoluent dans les championnats européens en termes de performances. Du début à la fin, 2018 a délivré chez les Français de l’Étranger. Et 2019 ne devrait pas décevoir, avec la Coupe du Monde en point de mire…\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nKevin Séraphin en patron\n\nPour son 2e match en Liga depuis son retour de blessure, Kevin Séraphin a sorti une performance de gala pour les Fêtes de fin d’année. Avec 18 points, 11 rebonds et 30 d’évaluation, Séraphin a donné la leçon au jeune islandais, Tryggvi Hlinason. Il a aussi offert une victoire au Barça contre Obradoiro (79-73), avec un bon Thomas Heurtel (11 points, 4 rebonds).\n\nBarcelone est bien lancé cette saison, 1er de la Liga en cette fin d’année 2018, et déjà qualifié pour la Copa Del Rey avec ce 12e succès en 14 matchs. A 8 victoires et 7 défaites en Euroleague, les Catalans sont aussi dans les clous à la 7e position.\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Pkq6-IMBfvQ\n\n\nMathias Lessort super efficace !\n\nEn 9 minutes, Mathias Lessort a cumulé 14 points, 2 rebonds, 2 interceptions et même un contre. Et ce, à 7/7 aux tirs. Pour la fine bouche, il a ajouté ce petit dunk arrière pas piqué des hannetons. On fait rarement plus efficace dans un si court temps de jeu, impressionnant !\n\nhttps://twitter.com/SomosEurope/status/1079377544980373506\n\n\nUne fin de match cruelle pour Aaron Cel\n\nA -5 à 15 secondes la fin, Lublin était donnée pour mort… Mais une fin de match folle avec une interception de Lublin conclu d’un trois points de Joe Thomasson. Puis un lancer et une nouvelle balle perdue de Torun avec Cheickh Mbodj qui se perd en dribble. Thomasson s’occupe du trois points de la gagne de très loin ! Incroyable retournement de situation !\n\nDans ce match dingue, Aaron Cel avait auparavant réussi un match plein avec un 36 d’évaluation, dont 25 points à 8/9 aux tirs et 5 rebonds. Une défaite cruelle !\n\n\nAmath M’Baye en double double\n\nUn poil sous les 10 points et 5 rebonds de moyenne à l’année, Amath M’Baye a aidé ses moyennes avec son premier double double de la saison à 11 points et 11 rebonds contre Trente. Malheureusement, ça n’a pas suffi pour Bologne qui encaisse sa 7e défaite (71-65). A la nouvelle année, Bologne pointe donc en négatif à 6 victoires pour 7 défaites.\n\nPar ailleurs, Mam Jaiteh a été prolongé à Turin après sa pige convaincante (6 points, 4 rebonds en 12 minutes de moyenne sur 8 matchs). Il a signé jusqu’à la fin de saison !\n\n\nRodrigue Beaubois dégaine plus vite que son ombre\n\nIl n’a pas joué longtemps : 14 minutes. Mais Rodrigue Beaubois a tout de même trouvé le temps de planter 17 points, plus 3 rebonds et 2 passes dans une victoire facile d’Efes Istanbul contre Izmir (101-74). La troupe de Coach Ataman est 2e au classement avec 9 victoires et 3 défaites.\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=qO-sG4FsMDU\n\n\nEspagne\n\nKevin Séraphin (Barcelone) : 18 points (6/7 aux tirs), 11 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 25 minutes (victoire 79-73 face à Obradoiro)\n\nMathias Lessort (Malaga) : 14 points (7/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 contre en 9 minutes (victoire 94-81 face à San Sebastian)\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : 12 points (4/9 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 26 minutes (victoire 91-74 face à Vitoria)\n\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 79-73 face à Obradoiro)\n\nLouis Labeyrie (Valence) : 8 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre en 18 minutes (victoire 89-74 face à Saragosse)\n\nAndrew Albicy (Andorre) : 6 points (2/7 aux tirs), 6 passes, 3 interceptions, 2 balles perdues en 27 minutes (victoire 96-82 face à Estudiantes)\n\nVincent Poirier (Vitoria) : 4 points (2/8 aux tirs), 4 rebonds, 3 balles perdues en 19 minutes (défaite 91-74 face au Real Madrid)\n\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 16 minutes (défaite 81-74 face à Burgos)\n\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué (victoire 89-74 face à Saragosse)\n\n\nGrèce\n\nAxel Toupane (Olympiakos) : 6 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception en 14 minutes (victoire 78-68 face au PAOK)\n\nBoris Dallo (Salonique) : 0 point (0/1 au tir), 1 passe, 1 interception en 7 minutes (défaite 71-61 face à Prometheus)\n\n\nIsraël\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : prochain match le 2 janvier face à l’Hapoel Tel Aviv\n\n\nItalie\n\nAmath M’Baye (Bologne) : 11 points (4/11 aux tirs), 11 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 39 minutes (défaite 71-65 face à Trente)\n\nMam Jaiteh (Turin) : 6 points (3/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 16 minutes (défaite 100-87 face à Cremona)\n\n\nLituanie\n\nLéo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué – blessé au genou\n\n\nMonténégro\n\nEdwin Jackson (Podgorica) : 3 passes en 7 minutes (défaite 86-72 face à l’Etoile Rouge)\n\nLanding Sane (Mornar Bar) : 3 points (1/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 86-77 face à Novo Mesto)\n\n\nPologne\n\nAaron Cel (Torun) : 25 points (8/9 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 28 minutes (défaite 93-91 face à Lublin)\n\n\nRussie\n\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 14 points (4/11 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 interception, 5 balles perdues en 34 minutes (victoire 85-80 face à Kalev)\n\nMoustapha Fall (Krasnodar) : pas de match\n\n\nSerbie\n\nAdam Mokoka (Mega) : 14 points (3/8 aux tirs), 6 passes, 5 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 28 minutes (défaite 106-89 face à Belgrade)\n\nBandja Sy (Partizan) : 1 point (1/2 aux lancers), 3 rebonds, 2 interceptions en 21 minutes (victoire 72-66 face à Ljubljana)\n\n\nTurquie\n\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 17 points (5/8 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 14 minutes (victoire 101-74 face à Izmir)\n\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué – laissé au repos (victoire 101-74 face à Izmir)\n\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué – laissé au repos (victoire 91-61 face à Darussafaka)\n\nLA SEMAINE PASSEE : Mokoka et Toupane en mode record\n\n[armelse]\n\n\nKevin Séraphin en patron\n\nPour son 2e match en Liga depuis son retour de blessure, Kevin Séraphin a sorti une performance de gala pour les Fêtes de fin d’année. Avec 18 points, 11 rebonds et 30 d’évaluation, Séraphin a donné la leçon au jeune islandais, Tryggvi Hlinason. Il a aussi offert une victoire au Barça contre Obradoiro (79-73), avec un bon Thomas Heurtel\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/01/kevin-seraphin.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-01T14:37:42.000Z", "updated_at":"2021-10-21T16:56:59.000Z", "published_at":"2019-01-01T14:37:42.000Z", "custom_excerpt":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence. 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Nando De Colo (CSKA Moscou), Evan Fournier (Orlando Magic) et Rudy Gobert (Utah Jazz) apparaissent dans les deuxièmes Cinq.
Pour établir ses classements, Eurobasket.com fait appel à son réseau de 200 correspondants dont l’essentiel est basé en Europe.
Eurobasket.com All-Europe 1st Team:
![\"Turkey\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/slovenia.gif\")
Luka Doncic (2,01-G-99), MVP
![\"Russia\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/russia.gif\")
Alexey Shved (1,98-G-88)
Cory Higgins (1,96-G-89)
![\"Spain\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/georgia.gif\")
Tornike Shengelia (2,06-PF-91)
![\"Spain\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/czech-republic.gif\")
Jan Vesely (2,13-C/F-90)
Eurobasket.com All-Europe 2nd Team:
Sergio Rodriguez (1,90-G-86)
Nando De Colo (1,96-G-87)
![\"Spain\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/greece.gif\")
Nick Calathes (1,98-PG-89)
![\"Spain\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/italy.gif\")
Luigi Datome (2,03-F-87)
Nicolo Melli (2,06-PF-91)
Eurobasket.com All-Europeans 1st Team:
Luka Doncic (2,01-G-99)
Alexey Shved (1,98-G-88)
Giannis Antetokounmpo (2,10-G/F-94), MVP
![\"Spain\"](\"__GHOST_URL__/content/images/images/Iconsflags/croatia.gif\")
Dario Saric (2,08-PF-94)
Nikola Jokic (2,08-C-95)
Eurobasket.com All-Europeans 2nd Team:
Goran Dragic (1,90-PG-86)
Evan Fournier (1,98-SG-92)
Bojan Bogdanovic (2,03-SF-89)
Danilo Gallinari (2,08-SF-88)
Rudy Gobert (2,15-C-92)
Photo: Luka Doncic (FIBA)
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Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Franck Butter fait partie des champions d’Europe limougeauds de 1993. Il a aujourd’hui 55 ans. Vous pouvez apercevoir sa longue carcasse de 210 cm les soirs de match à Beaublanc mais rarement en ville car l’ancien pivot international est sérieusement handicapé au pied et doit s’appuyer sur une béquille. On s’est donné rendez-vous dans un café proche de la gare des Bénédictins pour qu’il nous raconte sa vie d’avant, de héros, et aussi celle d’aujourd’hui, de souffrance.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« J’ai été recruté par Pierre Dao, qui était au Bataillon de Joinville et qui intégrait Limoges. Je suis natif de Montereau, à côté de Fontainebleau, là où il y avait le BJ. Il est venu discuter avec mes parents. Il les a fait venir trois jours ici pour visiter la ville, les infrastructures, le centre de formation. Ils étaient hébergés à l’hôtel. Vraiment un mec super, Dao. J’avais des problèmes de santé car je grandissais beaucoup et comme j’étais le dernier de la famille, j’étais très chouchouté. J’avais commencé le basket très tard car il ne fallait pas que je me fatigue. Ce fut d’ailleurs un problème sur les terrains car j’avais du mal à me rendre méchant car j’étais très couvé. C’est à force de prendre des coups dans la gueule que j’ai réagi.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai donc intégré le centre de formation du CSP avec Hugues Occansey, Jean-Manuel Sousa, Emile Popo, Olivier Garry, Jean-Philippe Blanchet, Christian Dussoulier. On mettait des doudounes aux clubs de Nationale 2 de l’époque comme La Rochelle. On avait un coach extraordinaire, Fabien Texier, qui était scout en même temps. Ce qui m’a marqué, c’est qu’un jour, il me dit « Franck, reviens en défense. » Je lui réponds que je suis fatigué. Il me met sur le banc et je ne rentre pas de la deuxième mi-temps. Je prends la douche, on monte dans le bus. Fabien me dit de venir le voir. « Qu’est-ce que tu m’as dit sur le terrain ? » « J’étais fatigué, coach. » « Tu a fais quoi avant de faire du basket ? » « Je travaillais en usine. 8h-12h, 14h-17h. » « D’accord. La semaine prochaine, tu fais 8h-12h, 14h-17h au palais des sports. Tu te débrouilles, tu fais des shoots, de la musculation, je passerai. » Je l’ai fait. Le vendredi soir, il me dit « t’es fatigué ? » (Rires).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quand je suis parti de chez moi, dans \"],[0,[0],1,\"La République de Seine-et-Marne\"],[0,[],0,\", c’était marqué, \"],[0,[0],1,\"« Le Limoges CSP en contact avec Franck Butter »\"],[0,[],0,\". Le club était en Excellence Départementale. Je travaillais à la chaîne. Je faisais des sabots pour les semoirs agricoles. J’en faisais tant à l’heure. Toute la journée. J’avais trois-quart d’heure pour manger, j’amenais ma gamelle. J’avais un CAP d’employé de bureau. J’aurais pu faire autre chose mais comme tous les étés en juillet, août -je ne partais pas en vacances-, je travaillais pour gagner de l’argent, je suis resté en contrat intérimaire jusqu’en décembre et après ils m’ont fait signer mon contrat. J’ai fait ça pendant huit mois.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mon père, qui était allemand, était menuisier dans cette usine-là, ma mère était femme de ménage. Mon père est arrivé après la guerre clandestinement. Il était rentré dans la Jeunesse Hitlérienne (NDLR : organisation qui, de 1926 à 1945, regroupa les jeunes du Parti Nazi et qui était obligatoire sous peine de lourdes sanctions). Il avait une vingtaine d’années et il a appris le français sur le tas. Il est décédé il y a deux ans, il aurait eu 89 ans. Ma mère est née du côté de Bar-le-Duc. Elle s’appelle Koch. Ça veut dire Cuisinier. Et mon père Butter. Cuisine au Beurre (rires). Mon père a eu son permis à 44 ans. Avant il avait une mobylette. Ils ont eu une voiture très tard et on est parti en vacances très tard. Il faisait 1,80m et ma mère 1,70m. Ma sœur qui a huit ans de plus que moi fait 1,69m, mon frère 1,92m. Et puis moi 2,10m. S’ils en avaient fait un autre, il aurait fait 2,75m (rires) !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je suis arrivé au boulot et les mecs m’ont dit, « Franck, tu vas au Limoges CSP ? » « Je ne sais pas, j’ai mon boulot ici. » « Vas-y ! » Et quand Pierre Dao est revenu une deuxième fois à la maison, il a posé la question cruciale, « combien voulez-vous qu’il gagne ? » Mon père a dit qu’ils me laissaient partir car sinon j’allais peut-être leur reprocher toute ma vie de ne pas l’avoir fait. Je gagnais 3 250F à l’usine. Mon père a dit « autant. » Pierre Dao a répondu : « 5 000F ». Et il a donné 10 000F au club. J’ai signé comme espoir.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’avais le poster du Limoges CSP dans ma chambre et trois mois après j’étais avec eux dans le vestiaire. On les avait vus en mars en finale de la Coupe Korac à la TV (NDLR : en direct sur \"],[0,[0],1,\"Antenne 2\"],[0,[],0,\") et je suis arrivé en mai. Il y avait Ed Murphy, Apollo Faye, tout ça. Et à Limoges, tu es vite sollicité. Tu ne payes pas les boîtes de nuit. Quand tu es jeune, ça va vite. C’est bien de savoir d’où tu viens, de galérer un peu avant. Si j’avais eu une vie facile avant de venir ici, j’aurais peut-être été un petit con, enfin un grand con. »\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« J’ai pratiquement fait ma carrière que sur une jambe. Je me suis fait une entorse à la cheville à Monaco quand j’étais avec les espoirs à Orthez en tombant sur le pied d’Angelo François-Elocie. On rentre en train. Je vois le médecin qui me dit « tu t’es fait une entorse ». Je me fais soigner pendant trois mois et j’ai repris les entraînements. Durant les deux premiers mois d’arrêt, je n’ai pas été chercher mon salaire. A l’époque, tu allais chez le trésorier, tu signais le registre. C’est mon agent qui m’a appelé en me disant que le président venait de le prévenir que je n’avais pas été chercher mon salaire. C’était mon premier contrat et j’étais mal à l’aise d’être payé alors que je ne jouais pas. Il m’a dit que ça n’avait rien à voir. Je suis allé signer le registre et j’ai touché mon salaire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai repris et au bout de deux mois le président (Pierre) Seillant m’a dit « Franck, on n’est pas content de toi ». Je venais de Limoges et j’étais sensé être un bon joueur en devenir. Je lui ai répondu que « le problème c’est que lorsque je finis les entraînements, j’ai la cheville qui me fait mal ». Je lui ai dit aussi « jouons franc jeu : on va voir un bon spécialiste et s’il dit qu’il n’y a rien c’est que je suis un fainéant ». On a pris rendez-vous chez le professeur (Gérard) Saillant. Il m’a dit que j’avais les ligaments pétés. J’étais rassuré parce que j’avais quelque chose mais il fallait que je me fasse opérer. Et donc j’ai toujours compensé sur l’autre jambe gauche. Et c’est pour ça qu’en 1990 je me pète le talon d’Achille de mon pied gauche. D’ailleurs, j’allais toujours à droite. Le mec qui aurait eu un peu de jugeote et qui m’aurait fait aller à gauche, j’aurais été incapable de jouer ! Il y avait moins de scouting à l’époque, ça m’arrangeait ! A chaque fois que j’allais au rebond, je ne sautais que sur une jambe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans tous les clubs que j’ai fait, les corps médicaux étaient catastrophiques. A Montpellier on faisait les déplacements sans kiné parce qu’il fallait l’indemniser, et ça c’était en 96-98. On s’est professionnalisé au niveau des salaires mais pas du médical. On allait voir parfois des guérisseurs, des acupuncteurs, des gourous !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’avais un peu de douleur mais rien de comparable avec maintenant. Je n’ai jamais été guéri. Dès l’instant que tu as une entorse et que tu t’entraînes un mois et demi dessus, tu te pètes tous les cartilages et tu n’as pas de calcification. En équipe de France, ils rigolaient quand ils voyaient ma cheville. Moi aussi j’en rigolais mais aujourd’hui j’en pleure plus que j’en rigole. Ça n’a fait qu’empirer. Faire une carrière sur une jambe et avoir Boja (Maljkovic) comme coach, je peux dire que j’ai souffert le martyr. Ça fait dix ans qu’ils m’ont bloqué la cheville et là je me suis fait opérer des orteils car comme je n’avais pas d’amplitude au niveau de la cheville ce sont eux qui compensaient. J’ai une douleur aigüe, comme un coup de cutter, tout le temps.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En 2000, j’ai arrêté le basket et le sport, toutes activités physiques. Pendant dix ans, je n’ai pas pu marcher. Quand je descendais des brouettes de bois, au bout de dix mètres, il fallait que j’attende car j’avais l’impression d’avoir le pied dans un étau. Quand tu es sportif de haut niveau et que tu te vois diminué comme ça, il y a des moments tu chiales. A 46 ans, j’ai vu le remplaçant du Professeur Saillant -qui lui-même est venu au rendez-vous pour me voir et me dire que j’étais entre de bonnes mains-, il m’a fait une prothèse et j’ai pu remarcher même si au boulot je piétine pas mal. Mais il y a quatre ans, j’ai failli y passer, j’ai fait une double embolie pulmonaire car mon Talon d’Achille, qui a été opéré deux fois en six mois en 1990, a re-pété. Déchirure. Je suis allé aux urgences mais ils ne m’ont pas donné tout ce qu’il fallait et j’ai fait une phlébite. J’avais du mal à avaler, j’ai passé un examen et un scanner et ils m’ont hospitalisé en urgence. J’avais une partie du poumon qui n’était pas vascularisé et j’avais plein de caillots de sang. Le médecin m’a dit, « heureusement que vous êtes un ancien sportif de haut niveau, vous avez un cœur musclé. Sinon, je pense que vous ne seriez pas là avec nous aujourd’hui. » Je me suis mis à beaucoup marcher, 20-25km, et donc j’ai eu des problèmes d’orteils. Je suis au centre antidouleurs, avec un psy, je fais de la relaxation pour accepter la douleur.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl (rires). Se retrouver à 55 ans dans cet état-là… Malgré ça, si c’était à refaire à 18 ans, je resigne de suite. »\"]]],[10,1],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« Un Français qui se serait comporté comme Boja (Maljkovic) ne serait pas resté, il se serait fait virer. Les joueurs auraient trouvé que c’était trop dur. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"“C’était le début du professionnalisme. Des mecs comme Apollo (Faye) jouaient avec des baskets pas terribles, pas toujours sur du parquet, parfois du béton. Nous, sauf une année sur la moquette à Orthez, on jouait sur du parquet avec de bonnes chaussures mais les niveaux d’entraînement étaient différents.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai joué avec Tom Scheffler comme Américain et George Fisher comme coach, la Coupe des Champions contre Kaunas et (Arvydas) Sabonis. Je me blesse la première année mais comme je revenais de blessure, j’ai très peu joué la deuxième année. Mon agent, Didier Rose, me dit que plein de clubs me voulaient et essentiellement Nantes. Et aussi Caen où je n’avais que 2 000F d’augmentation. Didier me dit, « je sais quels joueurs ils veulent prendre dans les deux équipes. Si tu vas à Nantes, tu vas être troisième voire quatrième pivot et il faut que tu joues 40 minutes car là tu as perdu du temps, sinon après tu seras grillé. C’est lui qui m’a orienté vers Caen. A Caen, j’ai eu Djordje Andrijasevic comme coach (NDLR : Et aussi Frédéric Forte comme jeune équipier).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il fallait rattraper le temps perdu. J’ai commencé le basket très tard, à 18 ans et demi. Je suis arrivé d’Excellence Départementale ici à Limoges sans fondamentaux. Tu passes de deux entraînements par semaine à trois par jour. Pierre Dao (NDLR : le coach) ne voulait pas que je reste dans ma chambre à glander entre les entraînements, alors j’allais chez André Sardin (NDLR : un dirigeant du club), qui avait un magasin d’électro-ménager, je livrais des machines à laver. J’allais manger au Foyer des Jeunes Travailleurs. Je m’entraînais le matin et l’après-midi avec l’équipe Une et les espoirs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On se plaignait que l’on n’avait pas de grands mais est-ce qu’on savait les modeler ? Non. Joby (NDLR : Georges Vestris) n’avait pas le droit à l’erreur car il faisait 2,14m. Et puis les grands explosent beaucoup plus tard, ils sont à point à 26-27 ans. Ce que j’entends au CSP ou même au rugby, c’est « il n’y a pas de leader, de mec qui en veut. » Comment en 2018 avec les salaires qu’il y a tu peux entendre ça ? Je n’avais pas de fondamentaux mais quand il y avait une balle par terre, je plongeais dessus. En 1995, Michel Gomez me dit, « Franck, il faut que tu viennes en équipe de France. » Je lui réponds, « Michel, j’ai le bras dans le plâtre. » Il insiste. « Tu veux que je fasse GO ? » (Il rit). J’y suis allé. Du coup, quand j’entends ça, ça me révolte. Comme j’ai démarré tard, j’ai toujours été un joueur qui a travaillé pour l’autre. Quand ici je faisais des blocs et que Michael Young marquait un panier, j’étais super content. De toutes façons, j’étais incapable de marquer 20 points par match. C’est l’avantage au basket, tu as d’autres possibilités. Tu prends des rebonds -avec ma taille, ça aide-, tu fais des blocs, et tu défends. Mais il y en a, ça ne les intéresse pas. Ce qu’ils veulent, c’est marquer des points. A ce moment-là, tu fais un sport individuel. C’est vrai que là, tu peux changer de joueur tout le temps. Nous, il n’y avait que deux étrangers.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un Français qui se serait comporté comme Boja (Maljkovic) ne serait pas resté, il se serait fait virer. Les joueurs auraient trouvé que c’était trop dur. Je m’en rappellerai toujours : on fait un match amical, il reste trois minutes, il demande de nous échauffer, nous qui étions sur le banc. On se demandait ce qu’il voulait, ce n’était pas le mec a changer cinq joueurs d’un coup… Fin du match. Ligne de fond. On a fait au moins une dizaine de suicides ! Ça a payé !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’année d’après je voulais partir mais les dirigeants m’ont demandé de rester pour compenser l’année où j’avais été blessé. Je ne pouvais pas dire non. Je suis parti en 1994 donc je n’ai pas fait le deuxième Final Four avec Boja en 1995. »\"]]],[10,2],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« J’ai fait des burgers pendant trois mois et certaines personnes me voyant disaient que j’étais descendu bien bas »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« J’ai revu Michael Young pour la première fois pour les « vingt ans » (NDLR : en 2013, les champions d’Europe de 1993 se sont retrouvés à Paris et à Limoges et Michael Young avait beaucoup grossi). C’est impressionnant ! Richard (Dacoury) s’est occupé de le chambrer. Il rigolait, il savait très bien qu’il allait se faire chambrer. Quand on arrête, on appelle ça la « petite mort ». Quand il a arrêté le footballeur (José) Touré a failli se suicider. C’est ça qui est difficile. Sous prétexte que le mec a gagné du fric, il n’a pas le droit d’être fragile. Les gens pensent qu’il l’a cherché. Mais non ! C’est hyper dur. J’ai fait deux ans au Mans, deux ans de trop. Physiquement j’étais cuit mais je n’avais pas envie d’arrêter.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je suis revenu ici car j’avais une maison. Ma femme est d’ici. Tu es à Limoges, tu continues à voir les matches. Tu reviens toujours à l’endroit où tu as eu de bons souvenirs. J’ai passé deux ans au centre de formation de Limoges, trois ans ici où on a eu de super résultats plus les beaux-parents qui sont là. Je savais que je n’allais pas rester dans le milieu. Entraîneur ? Reprendre le baluchon ? Non. Et puis je ne suis pas méchant. C’est ce que je vois avec Jean-Marc Dupraz (NDLR : son équipier quand le CSP a été champion d’Europe) qui considère qu’il a en face de lui des joueurs professionnels et donc il y a des choses qu’on n’a même pas à dire, c’est logique. Je m’aperçois que finalement, non. Répétez tout le temps, « l’envie, la gnac… » J’ai pris un petit club en Excellence Départementale, Panazol. Ils sont venus me chercher, ils voulaient changer d’entraîneur. OK. Ils voulaient monter mais aux entraînements, je me retrouvais avec 6 joueurs, 4 joueurs… Et le samedi ils veulent tous jouer. Non ! Ce n’est pas une question de voir de haut les petits clubs mais quand tu t’engages, c’est à fond. C’est ce que je vais dire à mon petit-fils. Un club ce n’est pas une garderie. Du coup, même si les mecs ont un boulot à côté, je ne comprends pas qu’on ne se fasse pas ça à fond. Je suis déjà très dur avec moi. Je me suis rendu compte que j’ai beaucoup d’humour mais c’est beaucoup nerveux, c’est une façon d’évacuer les choses (il rit). Je chambrais mais je me chambrais aussi moi-même. Quand tu es à l’école avec des mecs comme Freddy Hufnagel, Philip Szanyiel, Franck Cazalon, tu prends des notes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui, je me sens un peu en représentation du champion d’Europe 1993. A Limoges, au boulot, et même ailleurs. Sous forme de boutade, je dirais que ce sont plus les petits-fils aujourd’hui ! Les deux titres qu’il y a eu avec Fred (Forte) ont permis d’avoir une nouvelle génération. Ça te colle à la peau et ce n’est pas désagréable plutôt que d’entendre « la grande gigue ». Même si ça me gêne un peu car en gros, il faut que tu avances en regardant dans le rétroviseur. Il faut que tu te serves de ce que tu as fait.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai été consultant sur \"],[0,[0],1,\"Pathé Sport\"],[0,[],0,\" pour les matches de basket. Je faisais le bord terrain, notamment au All-Star Game. Ce n’était pas évident. Mais je crois que je n’ai jamais trop voulu rester dans le milieu du basket même si j’avais le projet éventuel d’intégrer le club. Mais comme en 2000 ça s’est cassé la gueule… Donc je me suis fait un nettoyage de la cheville et j’ai fait une formation à l’AFPA. J’ai fait une remise à niveau… Le mien était bas (rires). J’ai fait une formation de vendeur délégué commercial pendant huit mois. J’ai eu le diplôme. Je suis rentré chez \"],[0,[0],1,\"Paru-Vendu\"],[0,[],0,\" pour vendre de l’espace publicitaire à Limoges. C’était agréable car je rencontrais des anciens dirigeants ou des gens qui continuaient à aller au basket. J’avais une \"],[0,[0],1,\"Smart\"],[0,[],0,\" comme voiture et tout le monde rigolait en me voyant. Après, j’avais un ami en commun, le franchisé de \"],[0,[0],1,\"Quick\"],[0,[],0,\", qui en ouvrait un autre. Il recherchait un directeur et il m’a demandé si ça m’intéressait. Je n’y suis pas allé tête baissée, parfois je me pose trop de questions. On a discuté. J’ai dit OK mais avec une période d’essai de trois mois. J’ai fait des burgers pendant trois mois et certaines personnes me voyant disaient que j’étais descendu bien bas. Les plus âgés ce sont les managers, ils ont trente ans et moi j’en avais quarante-deux. C’est super intéressant et je remercie la personne qui m’a tendu la perche. Je suis directeur. Je ne me suis jamais lancé comme propriétaire d’un restaurant par peur de foutre tout en l’air ce que j’avais construit.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Actuellement, je suis en accident de travail. Je suis arrêté depuis mars 2017 et je me suis fait opérer en juin 2017. Je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé. Je vais voir comment ça va se passer avec mon employeur. Les gens ont parfois honte de parler de choses comme ça car il galère. Moi, je ne galère pas, je souffre !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je sais que Laura Flessel a voulu mettre en place quelque chose pour la reconversion des sportifs de haut niveau. Il y a du gros boulot à faire. Quand tu es jeune, tu as déjà beaucoup moins de douleurs. Et puis tu t’entraînes, tu te dépenses. Alors que là tu te retrouves avec un corps qui est dans le rouge dans tous les sens. Tu n’as pas envie d’avoir mal parce que tu es une chochotte mais parce que tu souffres. Du coup, tu ne fais plus rien car t’as peur d’avoir mal. Tu te lèves de la chaise, tu as mal au dos. Tu as un problème de pied. Mais à côté de ça, je re-signe tellement j’ai eu à côté de bons moments qui te permettent d’oublier certaines douleurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai regardé les rugbymen d’Afrique du Sud, qui ont la Maladie de Charcot, des trucs comme ça. Je suis intransigeant et c’est dur ce que je vais dire : les mecs qui sont chargés, c’est bien fait pour eux. Je me rappellerai toujours du sondage qu’ils avaient fait à l’époque des Jeux de Los Angeles. « Vous vous chargez, vous allez être champion olympique, mais vous mourrez à quarante ans. » 80% des gens, quelque chose comme ça, disaient « oui ». Mais comment peux-tu déjà te dire dès le matin, « je triche » ? Je sais bien que le dimanche matin quand ils vont faire un tour de vélo avec des copains certains sont chargés. Si l’un de mes petits-fils veut faire du vélo, je ferai tout pour le convaincre de faire autre chose. »\"]]],[10,3],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« A Limoges, le public est exigeant mais patient. Il ne va pas prendre un grippe un joueur parce qu’il a raté deux lancers-francs. Ce qu’il faut, c’est éviter que la mèche s’allume. Une fois qu’elle est allumée c’est trop tard »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Je continue d’aller à tous les matches du CSP. C’est mon seul plaisir -même si cette année il est un peu effrité- car comme je ne peux pas marcher longtemps -si je reste debout les douleurs s’accentuent-, je reste chez moi. Et je m’estime heureux car je ne suis pas dans un fauteuil roulant.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quand tu viens à Limoges, il faut savoir que tu dois toujours être à 120%, minimum. A l’époque, tu venais pour avoir des titres, être champion de France, minimum. A Mulhouse, j’étais troisième pivot derrière Curtis Kitchen et Sza-Sza (Philip Szanyiel) et donc j’étais habitué à ne pas jouer 40 minutes. Mais quand un mec a l’habitude de jouer 40 minutes ça ne sera pas le cas à Limoges surtout quand tu as cinq étrangers et qu’il y a forcément un Américain qui va être devant toi. Il faut accepter de baisser ton temps de jeu.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Premier entraînement, 2 500 personnes, tu sais à quoi t’attendre. Il faut sortir du terrain en ayant mouillé le maillot et si c’est le cas jamais le public ne va te critiquer. Si tu ne te fais pas respecter, si un mec marque deux ou trois layups, si tu ne lui fais pas comprendre qu’ici c’est Limoges, si tu ne défends pas ton territoire, le public va te prendre en grippe. Pour moi, ça me parait logique. C’était déjà comme ça quand je jouais. Quand tu mets le maillot de Limoges, tu es une autre personne. Les Limoges-Pau, c’était extraordinaire. Quand Pau est venu gagner de vingt points l’année dernière, j’ai vu les mecs à la fin se serrer la main, discuter, moi, je serai rentré direct dans les vestiaires. Ça m’aurait rendu malade. Et quand je vois ça aujourd’hui, j’en suis toujours malade. Tu as le droit de perdre contre une équipe plus forte que toi mais donne tout ! Et si tu ne donnes pas tout, ça va se retourner contre toi. A Limoges, le public est exigeant mais patient. Il ne va pas prendre un grippe un joueur parce qu’il a raté deux lancers-francs. Ce qu’il faut, c’est éviter que la mèche s’allume. Une fois qu’elle est allumée c’est trop tard. Il ne faut pas toucher à leur bébé. Donc, à mon avis, quand tu recrutes un joueur, il faut lui demander s’il a le mental pour faire ça.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nous, on avait la chance d’avoir seulement deux étrangers, ce qui fait que les Français avaient plus de temps de jeu. Là, quand tu vois les mecs devant toi qui ne se bougent pas le cul, qui savent que s’ils vont en Italie ou en Espagne, ils multiplient par deux leurs salaires, et que malgré tout ils jouent plus que toi, pfttt… Les boules. Que le public gronde, c’est logique. Il est connaisseur. C’est la quatrième génération de spectateurs. Celle des Korac, la nôtre avec le titre de champion d’Europe, celle du triplé en 2000 et l’actuelle. Il y a des gens qui pleurent quand ils perdent un match. Certains sont partis en déplacement avec une voiture en Allemagne. Il faut respecter ça. C’est pour ça, quand on parle d’une nouvelle salle ici, j’aurai peur que ça change l’ambiance. Il y aura des règles de sécurité à respecter, tu seras vachement plus loin. A Beaublanc, il y a le bois de la charpente… L’odeur… Quand je rentre au palais des sports, je ressens tout ça. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"CLUBS ET PALMARES\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1984-85 : Limoges CSP, 1985-87 : Elan Béarnais Orthez, 1987-88 : Caen BC, 1988-90 : Mulhouse BC, 1990-94 : Limoges CSP, 1994-97 : Montpellier PB, 1997-99 : Le Mans SB.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"68 sélections en équipe de France entre 1985 et 1996. Participation aux championnats d’Euroe 1989 et 1995 .\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Champion d’Europe (1993), champion de France (1985, 86, 91, 93, 94),\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"De gauche à droite, premier rang: Frédéric Forte, Franck Butter, Richard Dacoury, Michael Young. Deuxième rang: Marc Mbahia, Willie Redden, Jim Bilba, Jimmy Verove, Jean-Marc Dupraz. Il manque Jurij Zdovc sur la photo.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« J’ai été recruté par Pierre Dao, qui était au Bataillon de Joinville et qui intégrait Limoges. Je suis natif de Montereau, à côté de Fontainebleau, là où il y avait le BJ. Il est venu discuter avec mes parents. Il les a fait venir trois jours ici pour visiter la ville, les infrastructures, le centre de formation. Ils étaient hébergés à l’hôtel. Vraiment un mec super, Dao. J’avais des problèmes de santé car je grandissais beaucoup et comme j’étais le dernier de la famille, j’étais très chouchouté. J’avais commencé le basket très tard car il ne fallait pas que je me fatigue. Ce fut d’ailleurs un problème sur les terrains car j’avais du mal à me rendre méchant car j’étais très couvé. C’est à force de prendre des coups dans la gueule que j’ai réagi.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai donc intégré le centre de formation du CSP avec Hugues Occansey, Jean-Manuel Sousa, Emile Popo, Olivier Garry, Jean-Philippe Blanchet, Christian Dussoulier. On mettait des doudounes aux clubs de Nationale 2 de l’époque comme La Rochelle. On avait un coach extraordinaire, Fabien Texier, qui était scout en même temps. Ce qui m’a marqué, c’est qu’un jour, il me dit « Franck, reviens en défense. » Je lui réponds que je suis fatigué. Il me met sur le banc et je ne rentre pas de la deuxième mi-temps. Je prends la douche, on monte dans le bus. Fabien me dit de venir le voir. « Qu’est-ce que tu m’as dit sur le terrain ? » « J’étais fatigué, coach. » « Tu a fais quoi avant de faire du basket ? » « Je travaillais en usine. 8h-12h, 14h-17h. » « D’accord. La semaine prochaine, tu fais 8h-12h, 14h-17h au palais des sports. Tu te débrouilles, tu fais des shoots, de la musculation, je passerai. » Je l’ai fait. Le vendredi soir, il me dit « t’es fatigué ? » (Rires).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quand je suis parti de chez moi, dans \"],[0,[0],1,\"La République de Seine-et-Marne\"],[0,[],0,\", c’était marqué, \"],[0,[0],1,\"« Le Limoges CSP en contact avec Franck Butter ».\"],[0,[],0,\" Le club était en Excellence Départementale. Je travaillais à la chaîne. Je faisais des sabots pour les semoirs agricoles. J’en faisais tant à l’heure. Toute la journée. J’avais trois-quart d’heure pour manger, j’amenais ma gamelle. J’avais un CAP d’employé de bureau. J’aurais pu faire autre chose mais comme tous les étés en juillet, août -je ne partais pas en vacances-, je travaillais pour gagner de l’argent, je suis resté en contrat intérimaire jusqu’en décembre et après ils m’ont fait signer mon contrat. J’ai fait ça pendant huit mois.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mon père, qui était allemand, était menuisier dans cette usine-là, ma mère était femme de ménage. Mon père est arrivé après la guerre clandestinement. Il était rentré dans la Jeunesse Hitlérienne (NDLR : organisation qui, de 1926 à 1945, regroupa les jeunes du Parti Nazi et qui était obligatoire sous peine de lourdes sanctions). Il avait une vingtaine d’années et il a appris le français sur le tas. Il est décédé il y a deux ans, il aurait eu 89 ans. Ma mère est née du côté de Bar-le-Duc. Elle s’appelle Koch. Ça veut dire Cuisinier. Et mon père Butter. Cuisine au Beurre (rires). Mon père a eu son permis à 44 ans. Avant il avait une mobylette. Ils ont eu une voiture très tard et on est parti en vacances très tard. Il faisait 1,80m et ma mère 1,70m. Ma sœur qui a huit ans de plus que moi fait 1,69m, mon frère 1,92m. Et puis moi 2,10m. S’ils en avaient fait un autre, il aurait fait 2,75m (rires) !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je suis arrivé au boulot et les mecs m’ont dit, « Frank, tu vas au Limoges CSP ? » « Je ne sais pas, j’ai mon boulot ici. » « Vas-y ! » Et quand Pierre Dao est revenu une deuxième fois à la maison, il a posé la question cruciale, « combien voulez-vous qu’il gagne ? » Mon père a dit qu’ils me laissaient partir car sinon j’allais peut-être leur reprocher toute ma vie de ne pas l’avoir fait. Je gagnais 3 250F à l’usine. Mon père a dit « autant. » Pierre Dao a répondu : « 5 000F ». Et il a donné 10 000F au club. 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Franck Butter fait partie des champions d’Europe limougeauds de 1993. Il a aujourd’hui 55 ans. Vous pouvez apercevoir sa longue carcasse de 210 cm les soirs de match à Beaublanc mais rarement en ville car l’ancien pivot international est sérieusement handicapé au pied et doit s’appuyer sur une béquille. On s’est donné rendez-vous dans un café proche de la gare des Bénédictins pour qu’il nous raconte sa vie d’avant, de héros, et aussi celle d’aujourd’hui, de souffrance.
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« J’ai été recruté par Pierre Dao, qui était au Bataillon de Joinville et qui intégrait Limoges. Je suis natif de Montereau, à côté de Fontainebleau, là où il y avait le BJ. Il est venu discuter avec mes parents. Il les a fait venir trois jours ici pour visiter la ville, les infrastructures, le centre de formation. Ils étaient hébergés à l’hôtel. Vraiment un mec super, Dao. J’avais des problèmes de santé car je grandissais beaucoup et comme j’étais le dernier de la famille, j’étais très chouchouté. J’avais commencé le basket très tard car il ne fallait pas que je me fatigue. Ce fut d’ailleurs un problème sur les terrains car j’avais du mal à me rendre méchant car j’étais très couvé. C’est à force de prendre des coups dans la gueule que j’ai réagi.
J’ai donc intégré le centre de formation du CSP avec Hugues Occansey, Jean-Manuel Sousa, Emile Popo, Olivier Garry, Jean-Philippe Blanchet, Christian Dussoulier. On mettait des doudounes aux clubs de Nationale 2 de l’époque comme La Rochelle. On avait un coach extraordinaire, Fabien Texier, qui était scout en même temps. Ce qui m’a marqué, c’est qu’un jour, il me dit « Franck, reviens en défense. » Je lui réponds que je suis fatigué. Il me met sur le banc et je ne rentre pas de la deuxième mi-temps. Je prends la douche, on monte dans le bus. Fabien me dit de venir le voir. « Qu’est-ce que tu m’as dit sur le terrain ? » « J’étais fatigué, coach. » « Tu a fais quoi avant de faire du basket ? » « Je travaillais en usine. 8h-12h, 14h-17h. » « D’accord. La semaine prochaine, tu fais 8h-12h, 14h-17h au palais des sports. Tu te débrouilles, tu fais des shoots, de la musculation, je passerai. » Je l’ai fait. Le vendredi soir, il me dit « t’es fatigué ? » (Rires).
Quand je suis parti de chez moi, dans La République de Seine-et-Marne, c’était marqué, « Le Limoges CSP en contact avec Franck Butter ». Le club était en Excellence Départementale. Je travaillais à la chaîne. Je faisais des sabots pour les semoirs agricoles. J’en faisais tant à l’heure. Toute la journée. J’avais trois-quart d’heure pour manger, j’amenais ma gamelle. J’avais un CAP d’employé de bureau. J’aurais pu faire autre chose mais comme tous les étés en juillet, août -je ne partais pas en vacances-, je travaillais pour gagner de l’argent, je suis resté en contrat intérimaire jusqu’en décembre et après ils m’ont fait signer mon contrat. J’ai fait ça pendant huit mois.
Mon père, qui était allemand, était menuisier dans cette usine-là, ma mère était femme de ménage. Mon père est arrivé après la guerre clandestinement. Il était rentré dans la Jeunesse Hitlérienne (NDLR : organisation qui, de 1926 à 1945, regroupa les jeunes du Parti Nazi et qui était obligatoire sous peine de lourdes sanctions). Il avait une vingtaine d’années et il a appris le français sur le tas. Il est décédé il y a deux ans, il aurait eu 89 ans. Ma mère est née du côté de Bar-le-Duc. Elle s’appelle Koch. Ça veut dire Cuisinier. Et mon père Butter. Cuisine au Beurre (rires). Mon père a eu son permis à 44 ans. Avant il avait une mobylette. Ils ont eu une voiture très tard et on est parti en vacances très tard. Il faisait 1,80m et ma mère 1,70m. Ma sœur qui a huit ans de plus que moi fait 1,69m, mon frère 1,92m. Et puis moi 2,10m. S’ils en avaient fait un autre, il aurait fait 2,75m (rires) !
Je suis arrivé au boulot et les mecs m’ont dit, « Franck, tu vas au Limoges CSP ? » « Je ne sais pas, j’ai mon boulot ici. » « Vas-y ! » Et quand Pierre Dao est revenu une deuxième fois à la maison, il a posé la question cruciale, « combien voulez-vous qu’il gagne ? » Mon père a dit qu’ils me laissaient partir car sinon j’allais peut-être leur reprocher toute ma vie de ne pas l’avoir fait. Je gagnais 3 250F à l’usine. Mon père a dit « autant. » Pierre Dao a répondu : « 5 000F ». Et il a donné 10 000F au club. J’ai signé comme espoir.
J’avais le poster du Limoges CSP dans ma chambre et trois mois après j’étais avec eux dans le vestiaire. On les avait vus en mars en finale de la Coupe Korac à la TV (NDLR : en direct sur Antenne 2) et je suis arrivé en mai. Il y avait Ed Murphy, Apollo Faye, tout ça. Et à Limoges, tu es vite sollicité. Tu ne payes pas les boîtes de nuit. Quand tu es jeune, ça va vite. C’est bien de savoir d’où tu viens, de galérer un peu avant. Si j’avais eu une vie facile avant de venir ici, j’aurais peut-être été un petit con, enfin un grand con. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/franck-butter.jpg\")
« D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl »
« J’ai pratiquement fait ma carrière que sur une jambe. Je me suis fait une entorse à la cheville à Monaco quand j’étais avec les espoirs à Orthez en tombant sur le pied d’Angelo François-Elocie. On rentre en train. Je vois le médecin qui me dit « tu t’es fait une entorse ». Je me fais soigner pendant trois mois et j’ai repris les entraînements. Durant les deux premiers mois d’arrêt, je n’ai pas été chercher mon salaire. A l’époque, tu allais chez le trésorier, tu signais le registre. C’est mon agent qui m’a appelé en me disant que le président venait de le prévenir que je n’avais pas été chercher mon salaire. C’était mon premier contrat et j’étais mal à l’aise d’être payé alors que je ne jouais pas. Il m’a dit que ça n’avait rien à voir. Je suis allé signer le registre et j’ai touché mon salaire.
J’ai repris et au bout de deux mois le président (Pierre) Seillant m’a dit « Franck, on n’est pas content de toi ». Je venais de Limoges et j’étais sensé être un bon joueur en devenir. Je lui ai répondu que « le problème c’est que lorsque je finis les entraînements, j’ai la cheville qui me fait mal ». Je lui ai dit aussi « jouons franc jeu : on va voir un bon spécialiste et s’il dit qu’il n’y a rien c’est que je suis un fainéant ». On a pris rendez-vous chez le professeur (Gérard) Saillant. Il m’a dit que j’avais les ligaments pétés. J’étais rassuré parce que j’avais quelque chose mais il fallait que je me fasse opérer. Et donc j’ai toujours compensé sur l’autre jambe gauche. Et c’est pour ça qu’en 1990 je me pète le talon d’Achille de mon pied gauche. D’ailleurs, j’allais toujours à droite. Le mec qui aurait eu un peu de jugeote et qui m’aurait fait aller à gauche, j’aurais été incapable de jouer ! Il y avait moins de scouting à l’époque, ça m’arrangeait ! A chaque fois que j’allais au rebond, je ne sautais que sur une jambe.
Dans tous les clubs que j’ai fait, les corps médicaux étaient catastrophiques. A Montpellier on faisait les déplacements sans kiné parce qu’il fallait l’indemniser, et ça c’était en 96-98. On s’est professionnalisé au niveau des salaires mais pas du médical. On allait voir parfois des guérisseurs, des acupuncteurs, des gourous !
J’avais un peu de douleur mais rien de comparable avec maintenant. Je n’ai jamais été guéri. Dès l’instant que tu as une entorse et que tu t’entraînes un mois et demi dessus, tu te pètes tous les cartilages et tu n’as pas de calcification. En équipe de France, ils rigolaient quand ils voyaient ma cheville. Moi aussi j’en rigolais mais aujourd’hui j’en pleure plus que j’en rigole. Ça n’a fait qu’empirer. Faire une carrière sur une jambe et avoir Boja (Maljkovic) comme coach, je peux dire que j’ai souffert le martyr. Ça fait dix ans qu’ils m’ont bloqué la cheville et là je me suis fait opérer des orteils car comme je n’avais pas d’amplitude au niveau de la cheville ce sont eux qui compensaient. J’ai une douleur aigüe, comme un coup de cutter, tout le temps.
En 2000, j’ai arrêté le basket et le sport, toutes activités physiques. Pendant dix ans, je n’ai pas pu marcher. Quand je descendais des brouettes de bois, au bout de dix mètres, il fallait que j’attende car j’avais l’impression d’avoir le pied dans un étau. Quand tu es sportif de haut niveau et que tu te vois diminué comme ça, il y a des moments tu chiales. A 46 ans, j’ai vu le remplaçant du Professeur Saillant -qui lui-même est venu au rendez-vous pour me voir et me dire que j’étais entre de bonnes mains-, il m’a fait une prothèse et j’ai pu remarcher même si au boulot je piétine pas mal. Mais il y a quatre ans, j’ai failli y passer, j’ai fait une double embolie pulmonaire car mon Talon d’Achille, qui a été opéré deux fois en six mois en 1990, a re-pété. Déchirure. Je suis allé aux urgences mais ils ne m’ont pas donné tout ce qu’il fallait et j’ai fait une phlébite. J’avais du mal à avaler, j’ai passé un examen et un scanner et ils m’ont hospitalisé en urgence. J’avais une partie du poumon qui n’était pas vascularisé et j’avais plein de caillots de sang. Le médecin m’a dit, « heureusement que vous êtes un ancien sportif de haut niveau, vous avez un cœur musclé. Sinon, je pense que vous ne seriez pas là avec nous aujourd’hui. » Je me suis mis à beaucoup marcher, 20-25km, et donc j’ai eu des problèmes d’orteils. Je suis au centre antidouleurs, avec un psy, je fais de la relaxation pour accepter la douleur.
D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl (rires). Se retrouver à 55 ans dans cet état-là… Malgré ça, si c’était à refaire à 18 ans, je resigne de suite. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/21406-maxibasket-27-page-027.jpg\")
« Un Français qui se serait comporté comme Boja (Maljkovic) ne serait pas resté, il se serait fait virer. Les joueurs auraient trouvé que c’était trop dur. »
“C’était le début du professionnalisme. Des mecs comme Apollo (Faye) jouaient avec des baskets pas terribles, pas toujours sur du parquet, parfois du béton. Nous, sauf une année sur la moquette à Orthez, on jouait sur du parquet avec de bonnes chaussures mais les niveaux d’entraînement étaient différents.
J’ai joué avec Tom Scheffler comme Américain et George Fisher comme coach, la Coupe des Champions contre Kaunas et (Arvydas) Sabonis. Je me blesse la première année mais comme je revenais de blessure, j’ai très peu joué la deuxième année. Mon agent, Didier Rose, me dit que plein de clubs me voulaient et essentiellement Nantes. Et aussi Caen où je n’avais que 2 000F d’augmentation. Didier me dit, « je sais quels joueurs ils veulent prendre dans les deux équipes. Si tu vas à Nantes, tu vas être troisième voire quatrième pivot et il faut que tu joues 40 minutes car là tu as perdu du temps, sinon après tu seras grillé. C’est lui qui m’a orienté vers Caen. A Caen, j’ai eu Djordje Andrijasevic comme coach (NDLR : Et aussi Frédéric Forte comme jeune équipier).
Il fallait rattraper le temps perdu. J’ai commencé le basket très tard, à 18 ans et demi. Je suis arrivé d’Excellence Départementale ici à Limoges sans fondamentaux. Tu passes de deux entraînements par semaine à trois par jour. Pierre Dao (NDLR : le coach) ne voulait pas que je reste dans ma chambre à glander entre les entraînements, alors j’allais chez André Sardin (NDLR : un dirigeant du club), qui avait un magasin d’électro-ménager, je livrais des machines à laver. J’allais manger au Foyer des Jeunes Travailleurs. Je m’entraînais le matin et l’après-midi avec l’équipe Une et les espoirs.
On se plaignait que l’on n’avait pas de grands mais est-ce qu’on savait les modeler ? Non. Joby (NDLR : Georges Vestris) n’avait pas le droit à l’erreur car il faisait 2,14m. Et puis les grands explosent beaucoup plus tard, ils sont à point à 26-27 ans. Ce que j’entends au CSP ou même au rugby, c’est « il n’y a pas de leader, de mec qui en veut. » Comment en 2018 avec les salaires qu’il y a tu peux entendre ça ? Je n’avais pas de fondamentaux mais quand il y avait une balle par terre, je plongeais dessus. En 1995, Michel Gomez me dit, « Franck, il faut que tu viennes en équipe de France. » Je lui réponds, « Michel, j’ai le bras dans le plâtre. » Il insiste. « Tu veux que je fasse GO ? » (Il rit). J’y suis allé. Du coup, quand j’entends ça, ça me révolte. Comme j’ai démarré tard, j’ai toujours été un joueur qui a travaillé pour l’autre. Quand ici je faisais des blocs et que Michael Young marquait un panier, j’étais super content. De toutes façons, j’étais incapable de marquer 20 points par match. C’est l’avantage au basket, tu as d’autres possibilités. Tu prends des rebonds -avec ma taille, ça aide-, tu fais des blocs, et tu défends. Mais il y en a, ça ne les intéresse pas. Ce qu’ils veulent, c’est marquer des points. A ce moment-là, tu fais un sport individuel. C’est vrai que là, tu peux changer de joueur tout le temps. Nous, il n’y avait que deux étrangers.
Un Français qui se serait comporté comme Boja (Maljkovic) ne serait pas resté, il se serait fait virer. Les joueurs auraient trouvé que c’était trop dur. Je m’en rappellerai toujours : on fait un match amical, il reste trois minutes, il demande de nous échauffer, nous qui étions sur le banc. On se demandait ce qu’il voulait, ce n’était pas le mec a changer cinq joueurs d’un coup… Fin du match. Ligne de fond. On a fait au moins une dizaine de suicides ! Ça a payé !
L’année d’après je voulais partir mais les dirigeants m’ont demandé de rester pour compenser l’année où j’avais été blessé. Je ne pouvais pas dire non. Je suis parti en 1994 donc je n’ai pas fait le deuxième Final Four avec Boja en 1995. »
« J’ai fait des burgers pendant trois mois et certaines personnes me voyant disaient que j’étais descendu bien bas »
« J’ai revu Michael Young pour la première fois pour les « vingt ans » (NDLR : en 2013, les champions d’Europe de 1993 se sont retrouvés à Paris et à Limoges et Michael Young avait beaucoup grossi). C’est impressionnant ! Richard (Dacoury) s’est occupé de le chambrer. Il rigolait, il savait très bien qu’il allait se faire chambrer. Quand on arrête, on appelle ça la « petite mort ». Quand il a arrêté le footballeur (José) Touré a failli se suicider. C’est ça qui est difficile. Sous prétexte que le mec a gagné du fric, il n’a pas le droit d’être fragile. Les gens pensent qu’il l’a cherché. Mais non ! C’est hyper dur. J’ai fait deux ans au Mans, deux ans de trop. Physiquement j’étais cuit mais je n’avais pas envie d’arrêter.
Je suis revenu ici car j’avais une maison. Ma femme est d’ici. Tu es à Limoges, tu continues à voir les matches. Tu reviens toujours à l’endroit où tu as eu de bons souvenirs. J’ai passé deux ans au centre de formation de Limoges, trois ans ici où on a eu de super résultats plus les beaux-parents qui sont là. Je savais que je n’allais pas rester dans le milieu. Entraîneur ? Reprendre le baluchon ? Non. Et puis je ne suis pas méchant. C’est ce que je vois avec Jean-Marc Dupraz (NDLR : son équipier quand le CSP a été champion d’Europe) qui considère qu’il a en face de lui des joueurs professionnels et donc il y a des choses qu’on n’a même pas à dire, c’est logique. Je m’aperçois que finalement, non. Répétez tout le temps, « l’envie, la gnac… » J’ai pris un petit club en Excellence Départementale, Panazol. Ils sont venus me chercher, ils voulaient changer d’entraîneur. OK. Ils voulaient monter mais aux entraînements, je me retrouvais avec 6 joueurs, 4 joueurs… Et le samedi ils veulent tous jouer. Non ! Ce n’est pas une question de voir de haut les petits clubs mais quand tu t’engages, c’est à fond. C’est ce que je vais dire à mon petit-fils. Un club ce n’est pas une garderie. Du coup, même si les mecs ont un boulot à côté, je ne comprends pas qu’on ne se fasse pas ça à fond. Je suis déjà très dur avec moi. Je me suis rendu compte que j’ai beaucoup d’humour mais c’est beaucoup nerveux, c’est une façon d’évacuer les choses (il rit). Je chambrais mais je me chambrais aussi moi-même. Quand tu es à l’école avec des mecs comme Freddy Hufnagel, Philip Szanyiel, Franck Cazalon, tu prends des notes.
Oui, je me sens un peu en représentation du champion d’Europe 1993. A Limoges, au boulot, et même ailleurs. Sous forme de boutade, je dirais que ce sont plus les petits-fils aujourd’hui ! Les deux titres qu’il y a eu avec Fred (Forte) ont permis d’avoir une nouvelle génération. Ça te colle à la peau et ce n’est pas désagréable plutôt que d’entendre « la grande gigue ». Même si ça me gêne un peu car en gros, il faut que tu avances en regardant dans le rétroviseur. Il faut que tu te serves de ce que tu as fait.
J’ai été consultant sur Pathé Sport pour les matches de basket. Je faisais le bord terrain, notamment au All-Star Game. Ce n’était pas évident. Mais je crois que je n’ai jamais trop voulu rester dans le milieu du basket même si j’avais le projet éventuel d’intégrer le club. Mais comme en 2000 ça s’est cassé la gueule… Donc je me suis fait un nettoyage de la cheville et j’ai fait une formation à l’AFPA. J’ai fait une remise à niveau… Le mien était bas (rires). J’ai fait une formation de vendeur délégué commercial pendant huit mois. J’ai eu le diplôme. Je suis rentré chez Paru-Vendu pour vendre de l’espace publicitaire à Limoges. C’était agréable car je rencontrais des anciens dirigeants ou des gens qui continuaient à aller au basket. J’avais une Smart comme voiture et tout le monde rigolait en me voyant. Après, j’avais un ami en commun, le franchisé de Quick, qui en ouvrait un autre. Il recherchait un directeur et il m’a demandé si ça m’intéressait. Je n’y suis pas allé tête baissée, parfois je me pose trop de questions. On a discuté. J’ai dit OK mais avec une période d’essai de trois mois. J’ai fait des burgers pendant trois mois et certaines personnes me voyant disaient que j’étais descendu bien bas. Les plus âgés ce sont les managers, ils ont trente ans et moi j’en avais quarante-deux. C’est super intéressant et je remercie la personne qui m’a tendu la perche. Je suis directeur. Je ne me suis jamais lancé comme propriétaire d’un restaurant par peur de foutre tout en l’air ce que j’avais construit.
Actuellement, je suis en accident de travail. Je suis arrêté depuis mars 2017 et je me suis fait opérer en juin 2017. Je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé. Je vais voir comment ça va se passer avec mon employeur. Les gens ont parfois honte de parler de choses comme ça car il galère. Moi, je ne galère pas, je souffre !
Je sais que Laura Flessel a voulu mettre en place quelque chose pour la reconversion des sportifs de haut niveau. Il y a du gros boulot à faire. Quand tu es jeune, tu as déjà beaucoup moins de douleurs. Et puis tu t’entraînes, tu te dépenses. Alors que là tu te retrouves avec un corps qui est dans le rouge dans tous les sens. Tu n’as pas envie d’avoir mal parce que tu es une chochotte mais parce que tu souffres. Du coup, tu ne fais plus rien car t’as peur d’avoir mal. Tu te lèves de la chaise, tu as mal au dos. Tu as un problème de pied. Mais à côté de ça, je re-signe tellement j’ai eu à côté de bons moments qui te permettent d’oublier certaines douleurs.
J’ai regardé les rugbymen d’Afrique du Sud, qui ont la Maladie de Charcot, des trucs comme ça. Je suis intransigeant et c’est dur ce que je vais dire : les mecs qui sont chargés, c’est bien fait pour eux. Je me rappellerai toujours du sondage qu’ils avaient fait à l’époque des Jeux de Los Angeles. « Vous vous chargez, vous allez être champion olympique, mais vous mourrez à quarante ans. » 80% des gens, quelque chose comme ça, disaient « oui ». Mais comment peux-tu déjà te dire dès le matin, « je triche » ? Je sais bien que le dimanche matin quand ils vont faire un tour de vélo avec des copains certains sont chargés. Si l’un de mes petits-fils veut faire du vélo, je ferai tout pour le convaincre de faire autre chose. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/maxibasket-118-mai-1993k-e1544619906434.jpg\")
« A Limoges, le public est exigeant mais patient. Il ne va pas prendre un grippe un joueur parce qu’il a raté deux lancers-francs. Ce qu’il faut, c’est éviter que la mèche s’allume. Une fois qu’elle est allumée c’est trop tard »
« Je continue d’aller à tous les matches du CSP. C’est mon seul plaisir -même si cette année il est un peu effrité- car comme je ne peux pas marcher longtemps -si je reste debout les douleurs s’accentuent-, je reste chez moi. Et je m’estime heureux car je ne suis pas dans un fauteuil roulant.
Quand tu viens à Limoges, il faut savoir que tu dois toujours être à 120%, minimum. A l’époque, tu venais pour avoir des titres, être champion de France, minimum. A Mulhouse, j’étais troisième pivot derrière Curtis Kitchen et Sza-Sza (Philip Szanyiel) et donc j’étais habitué à ne pas jouer 40 minutes. Mais quand un mec a l’habitude de jouer 40 minutes ça ne sera pas le cas à Limoges surtout quand tu as cinq étrangers et qu’il y a forcément un Américain qui va être devant toi. Il faut accepter de baisser ton temps de jeu.
Premier entraînement, 2 500 personnes, tu sais à quoi t’attendre. Il faut sortir du terrain en ayant mouillé le maillot et si c’est le cas jamais le public ne va te critiquer. Si tu ne te fais pas respecter, si un mec marque deux ou trois layups, si tu ne lui fais pas comprendre qu’ici c’est Limoges, si tu ne défends pas ton territoire, le public va te prendre en grippe. Pour moi, ça me parait logique. C’était déjà comme ça quand je jouais. Quand tu mets le maillot de Limoges, tu es une autre personne. Les Limoges-Pau, c’était extraordinaire. Quand Pau est venu gagner de vingt points l’année dernière, j’ai vu les mecs à la fin se serrer la main, discuter, moi, je serai rentré direct dans les vestiaires. Ça m’aurait rendu malade. Et quand je vois ça aujourd’hui, j’en suis toujours malade. Tu as le droit de perdre contre une équipe plus forte que toi mais donne tout ! Et si tu ne donnes pas tout, ça va se retourner contre toi. A Limoges, le public est exigeant mais patient. Il ne va pas prendre un grippe un joueur parce qu’il a raté deux lancers-francs. Ce qu’il faut, c’est éviter que la mèche s’allume. Une fois qu’elle est allumée c’est trop tard. Il ne faut pas toucher à leur bébé. Donc, à mon avis, quand tu recrutes un joueur, il faut lui demander s’il a le mental pour faire ça.
Nous, on avait la chance d’avoir seulement deux étrangers, ce qui fait que les Français avaient plus de temps de jeu. Là, quand tu vois les mecs devant toi qui ne se bougent pas le cul, qui savent que s’ils vont en Italie ou en Espagne, ils multiplient par deux leurs salaires, et que malgré tout ils jouent plus que toi, pfttt… Les boules. Que le public gronde, c’est logique. Il est connaisseur. C’est la quatrième génération de spectateurs. Celle des Korac, la nôtre avec le titre de champion d’Europe, celle du triplé en 2000 et l’actuelle. Il y a des gens qui pleurent quand ils perdent un match. Certains sont partis en déplacement avec une voiture en Allemagne. Il faut respecter ça. C’est pour ça, quand on parle d’une nouvelle salle ici, j’aurai peur que ça change l’ambiance. Il y aura des règles de sécurité à respecter, tu seras vachement plus loin. A Beaublanc, il y a le bois de la charpente… L’odeur… Quand je rentre au palais des sports, je ressens tout ça. »
CLUBS ET PALMARES
1984-85 : Limoges CSP, 1985-87 : Elan Béarnais Orthez, 1987-88 : Caen BC, 1988-90 : Mulhouse BC, 1990-94 : Limoges CSP, 1994-97 : Montpellier PB, 1997-99 : Le Mans SB.
68 sélections en équipe de France entre 1985 et 1996. Participation aux championnats d’Euroe 1989 et 1995 .
Champion d’Europe (1993), champion de France (1985, 86, 91, 93, 94),
De gauche à droite, premier rang: Frédéric Forte, Franck Butter, Richard Dacoury, Michael Young. Deuxième rang: Marc Mbahia, Willie Redden, Jim Bilba, Jimmy Verove, Jean-Marc Dupraz. Il manque Jurij Zdovc sur la photo.
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« J’ai été recruté par Pierre Dao, qui était au Bataillon de Joinville et qui intégrait Limoges. Je suis natif de Montereau, à côté de Fontainebleau, là où il y avait le BJ. Il est venu discuter avec mes parents. Il les a fait venir trois jours ici pour visiter la ville, les infrastructures, le centre de formation. Ils étaient hébergés à l’hôtel. Vraiment un mec super, Dao. J’avais des problèmes de santé car je grandissais beaucoup et comme j’étais le dernier de la famille, j’étais très chouchouté. J’avais commencé le basket très tard car il ne fallait pas que je me fatigue. Ce fut d’ailleurs un problème sur les terrains car j’avais du mal à me rendre méchant car j’étais très couvé. C’est à force de prendre des coups dans la gueule que j’ai réagi.
J’ai donc intégré le centre de formation du CSP avec Hugues Occansey, Jean-Manuel Sousa, Emile Popo, Olivier Garry, Jean-Philippe Blanchet, Christian Dussoulier. On mettait des doudounes aux clubs de Nationale 2 de l’époque comme La Rochelle. On avait un coach extraordinaire, Fabien Texier, qui était scout en même temps. Ce qui m’a marqué, c’est qu’un jour, il me dit « Franck, reviens en défense. » Je lui réponds que je suis fatigué. Il me met sur le banc et je ne rentre pas de la deuxième mi-temps. Je prends la douche, on monte dans le bus. Fabien me dit de venir le voir. « Qu’est-ce que tu m’as dit sur le terrain ? » « J’étais fatigué, coach. » « Tu a fais quoi avant de faire du basket ? » « Je travaillais en usine. 8h-12h, 14h-17h. » « D’accord. La semaine prochaine, tu fais 8h-12h, 14h-17h au palais des sports. Tu te débrouilles, tu fais des shoots, de la musculation, je passerai. » Je l’ai fait. Le vendredi soir, il me dit « t’es fatigué ? » (Rires).
Quand je suis parti de chez moi, dans La République de Seine-et-Marne, c’était marqué, « Le Limoges CSP en contact avec Franck Butter ». Le club était en Excellence Départementale. Je travaillais à la chaîne. Je faisais des sabots pour les semoirs agricoles. J’en faisais tant à l’heure. Toute la journée. J’avais trois-quart d’heure pour manger, j’amenais ma gamelle. J’avais un CAP d’employé de bureau. J’aurais pu faire autre chose mais comme tous les étés en juillet, août -je ne partais pas en vacances-, je travaillais pour gagner de l’argent, je suis resté en contrat intérimaire jusqu’en décembre et après ils m’ont fait signer mon contrat. J’ai fait ça pendant huit mois.
Mon père, qui était allemand, était menuisier dans cette usine-là, ma mère était femme de ménage. Mon père est arrivé après la guerre clandestinement. Il était rentré dans la Jeunesse Hitlérienne (NDLR : organisation qui, de 1926 à 1945, regroupa les jeunes du Parti Nazi et qui était obligatoire sous peine de lourdes sanctions). Il avait une vingtaine d’années et il a appris le français sur le tas. Il est décédé il y a deux ans, il aurait eu 89 ans. Ma mère est née du côté de Bar-le-Duc. Elle s’appelle Koch. Ça veut dire Cuisinier. Et mon père Butter. Cuisine au Beurre (rires). Mon père a eu son permis à 44 ans. Avant il avait une mobylette. Ils ont eu une voiture très tard et on est parti en vacances très tard. Il faisait 1,80m et ma mère 1,70m. Ma sœur qui a huit ans de plus que moi fait 1,69m, mon frère 1,92m. Et puis moi 2,10m. S’ils en avaient fait un autre, il aurait fait 2,75m (rires) !
Je suis arrivé au boulot et les mecs m’ont dit, « Frank, tu vas au Limoges CSP ? » « Je ne sais pas, j’ai mon boulot ici. » « Vas-y ! » Et quand Pierre Dao est revenu une deuxième fois à la maison, il a posé la question cruciale, « combien voulez-vous qu’il gagne ? » Mon père a dit qu’ils me laissaient partir car sinon j’allais peut-être leur reprocher toute ma vie de ne pas l’avoir fait. Je gagnais 3 250F à l’usine. Mon père a dit « autant. » Pierre Dao a répondu : « 5 000F ». Et il a donné 10 000F au club. J’ai signé comme espoir.
J’avais le poster du Limoges CSP dans ma chambre et trois mois après j’étais avec eux dans le vestiaire. On les avait vus en mars en finale de la Coupe Korac à la TV (NDLR : en direct sur Antenne 2) et je suis arrivé en mai. Il y avait Ed Murphy, Apollo Faye, tout ça. Et à Limoges, tu es vite sollicité. Tu ne payes pas les boîtes de nuit. Quand tu es jeune, ça va vite. C’est bien de savoir d’où tu viens, de galérer un peu avant. Si j’avais eu une vie facile avant de venir ici, j’aurais peut-être été un petit con, enfin un grand con. »
« D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl »
« J’ai pratiquement fait ma carrière que sur une jambe.
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", "comment_id":"446971", "plaintext":"Suite à un reportage sur place, nous consacrons toute cette semaine, du dimanche à vendredi, au Limoges CSP. Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique.\n\nFranck Butter fait partie des champions d’Europe limougeauds de 1993. Il a aujourd’hui 55 ans. Vous pouvez apercevoir sa longue carcasse de 210 cm les soirs de match à Beaublanc mais rarement en ville car l’ancien pivot international est sérieusement handicapé au pied et doit s’appuyer sur une béquille. On s’est donné rendez-vous dans un café proche de la gare des Bénédictins pour qu’il nous raconte sa vie d’avant, de héros, et aussi celle d’aujourd’hui, de souffrance.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n« J’ai été recruté par Pierre Dao, qui était au Bataillon de Joinville et qui intégrait Limoges. Je suis natif de Montereau, à côté de Fontainebleau, là où il y avait le BJ. Il est venu discuter avec mes parents. Il les a fait venir trois jours ici pour visiter la ville, les infrastructures, le centre de formation. Ils étaient hébergés à l’hôtel. Vraiment un mec super, Dao. J’avais des problèmes de santé car je grandissais beaucoup et comme j’étais le dernier de la famille, j’étais très chouchouté. J’avais commencé le basket très tard car il ne fallait pas que je me fatigue. Ce fut d’ailleurs un problème sur les terrains car j’avais du mal à me rendre méchant car j’étais très couvé. C’est à force de prendre des coups dans la gueule que j’ai réagi.\n\nJ’ai donc intégré le centre de formation du CSP avec Hugues Occansey, Jean-Manuel Sousa, Emile Popo, Olivier Garry, Jean-Philippe Blanchet, Christian Dussoulier. On mettait des doudounes aux clubs de Nationale 2 de l’époque comme La Rochelle. On avait un coach extraordinaire, Fabien Texier, qui était scout en même temps. Ce qui m’a marqué, c’est qu’un jour, il me dit « Franck, reviens en défense. » Je lui réponds que je suis fatigué. Il me met sur le banc et je ne rentre pas de la deuxième mi-temps. Je prends la douche, on monte dans le bus. Fabien me dit de venir le voir. « Qu’est-ce que tu m’as dit sur le terrain ? » « J’étais fatigué, coach. » « Tu a fais quoi avant de faire du basket ? » « Je travaillais en usine. 8h-12h, 14h-17h. » « D’accord. La semaine prochaine, tu fais 8h-12h, 14h-17h au palais des sports. Tu te débrouilles, tu fais des shoots, de la musculation, je passerai. » Je l’ai fait. Le vendredi soir, il me dit « t’es fatigué ? » (Rires).\n\nQuand je suis parti de chez moi, dans La République de Seine-et-Marne, c’était marqué, « Le Limoges CSP en contact avec Franck Butter ». Le club était en Excellence Départementale. Je travaillais à la chaîne. Je faisais des sabots pour les semoirs agricoles. J’en faisais tant à l’heure. Toute la journée. J’avais trois-quart d’heure pour manger, j’amenais ma gamelle. J’avais un CAP d’employé de bureau. J’aurais pu faire autre chose mais comme tous les étés en juillet, août -je ne partais pas en vacances-, je travaillais pour gagner de l’argent, je suis resté en contrat intérimaire jusqu’en décembre et après ils m’ont fait signer mon contrat. J’ai fait ça pendant huit mois.\n\nMon père, qui était allemand, était menuisier dans cette usine-là, ma mère était femme de ménage. Mon père est arrivé après la guerre clandestinement. Il était rentré dans la Jeunesse Hitlérienne (NDLR : organisation qui, de 1926 à 1945, regroupa les jeunes du Parti Nazi et qui était obligatoire sous peine de lourdes sanctions). Il avait une vingtaine d’années et il a appris le français sur le tas. Il est décédé il y a deux ans, il aurait eu 89 ans. Ma mère est née du côté de Bar-le-Duc. Elle s’appelle Koch. Ça veut dire Cuisinier. Et mon père Butter. Cuisine au Beurre (rires). Mon père a eu son permis à 44 ans. Avant il avait une mobylette. Ils ont eu une voiture très tard et on est parti en vacances très tard. Il faisait 1,80m et ma mère 1,70m. Ma sœur qui a huit ans de plus que moi fait 1,69m, mon frère 1,92m. Et puis moi 2,10m. S’ils en avaient fait un autre, il aurait fait 2,75m (rires) !\n\nJe suis arrivé au boulot et les mecs m’ont dit, « Franck, tu vas au Limoges CSP ? » « Je ne sais pas, j’ai mon boulot ici. » « Vas-y ! » Et quand Pierre Dao est revenu une deuxième fois à la maison, il a posé la question cruciale, « combien voulez-vous qu’il gagne ? » Mon père a dit qu’ils me laissaient partir car sinon j’allais peut-être leur reprocher toute ma vie de ne pas l’avoir fait. Je gagnais 3 250F à l’usine. Mon père a dit « autant. » Pierre Dao a répondu : « 5 000F ». Et il a donné 10 000F au club. J’ai signé comme espoir.\n\nJ’avais le poster du Limoges CSP dans ma chambre et trois mois après j’étais avec eux dans le vestiaire. On les avait vus en mars en finale de la Coupe Korac à la TV (NDLR : en direct sur Antenne 2) et je suis arrivé en mai. Il y avait Ed Murphy, Apollo Faye, tout ça. Et à Limoges, tu es vite sollicité. Tu ne payes pas les boîtes de nuit. Quand tu es jeune, ça va vite. C’est bien de savoir d’où tu viens, de galérer un peu avant. Si j’avais eu une vie facile avant de venir ici, j’aurais peut-être été un petit con, enfin un grand con. »\n\n« D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl »\n\n« J’ai pratiquement fait ma carrière que sur une jambe. Je me suis fait une entorse à la cheville à Monaco quand j’étais avec les espoirs à Orthez en tombant sur le pied d’Angelo François-Elocie. On rentre en train. Je vois le médecin qui me dit « tu t’es fait une entorse ». Je me fais soigner pendant trois mois et j’ai repris les entraînements. Durant les deux premiers mois d’arrêt, je n’ai pas été chercher mon salaire. A l’époque, tu allais chez le trésorier, tu signais le registre. C’est mon agent qui m’a appelé en me disant que le président venait de le prévenir que je n’avais pas été chercher mon salaire. C’était mon premier contrat et j’étais mal à l’aise d’être payé alors que je ne jouais pas. Il m’a dit que ça n’avait rien à voir. Je suis allé signer le registre et j’ai touché mon salaire.\n\nJ’ai repris et au bout de deux mois le président (Pierre) Seillant m’a dit « Franck, on n’est pas content de toi ». Je venais de Limoges et j’étais sensé être un bon joueur en devenir. Je lui ai répondu que « le problème c’est que lorsque je finis les entraînements, j’ai la cheville qui me fait mal ». Je lui ai dit aussi « jouons franc jeu : on va voir un bon spécialiste et s’il dit qu’il n’y a rien c’est que je suis un fainéant ». On a pris rendez-vous chez le professeur (Gérard) Saillant. Il m’a dit que j’avais les ligaments pétés. J’étais rassuré parce que j’avais quelque chose mais il fallait que je me fasse opérer. Et donc j’ai toujours compensé sur l’autre jambe gauche. Et c’est pour ça qu’en 1990 je me pète le talon d’Achille de mon pied gauche. D’ailleurs, j’allais toujours à droite. Le mec qui aurait eu un peu de jugeote et qui m’aurait fait aller à gauche, j’aurais été incapable de jouer ! Il y avait moins de scouting à l’époque, ça m’arrangeait ! A chaque fois que j’allais au rebond, je ne sautais que sur une jambe.\n\nDans tous les clubs que j’ai fait, les corps médicaux étaient catastrophiques. A Montpellier on faisait les déplacements sans kiné parce qu’il fallait l’indemniser, et ça c’était en 96-98. On s’est professionnalisé au niveau des salaires mais pas du médical. On allait voir parfois des guérisseurs, des acupuncteurs, des gourous !\n\nJ’avais un peu de douleur mais rien de comparable avec maintenant. Je n’ai jamais été guéri. Dès l’instant que tu as une entorse et que tu t’entraînes un mois et demi dessus, tu te pètes tous les cartilages et tu n’as pas de calcification. En équipe de France, ils rigolaient quand ils voyaient ma cheville. Moi aussi j’en rigolais mais aujourd’hui j’en pleure plus que j’en rigole. Ça n’a fait qu’empirer. Faire une carrière sur une jambe et avoir Boja (Maljkovic) comme coach, je peux dire que j’ai souffert le martyr. Ça fait dix ans qu’ils m’ont bloqué la cheville et là je me suis fait opérer des orteils car comme je n’avais pas d’amplitude au niveau de la cheville ce sont eux qui compensaient. J’ai une douleur aigüe, comme un coup de cutter, tout le temps.\n\nEn 2000, j’ai arrêté le basket et le sport, toutes activités physiques. Pendant dix ans, je n’ai pas pu marcher. Quand je descendais des brouettes de bois, au bout de dix mètres, il fallait que j’attende car j’avais l’impression d’avoir le pied dans un étau. Quand tu es sportif de haut niveau et que tu te vois diminué comme ça, il y a des moments tu chiales. A 46 ans, j’ai vu le remplaçant du Professeur Saillant -qui lui-même est venu au rendez-vous pour me voir et me dire que j’étais entre de bonnes mains-, il m’a fait une prothèse et j’ai pu remarcher même si au boulot je piétine pas mal. Mais il y a quatre ans, j’ai failli y passer, j’ai fait une double embolie pulmonaire car mon Talon d’Achille, qui a été opéré deux fois en six mois en 1990, a re-pété. Déchirure. Je suis allé aux urgences mais ils ne m’ont pas donné tout ce qu’il fallait et j’ai fait une phlébite. J’avais du mal à avaler, j’ai passé un examen et un scanner et ils m’ont hospitalisé en urgence. J’avais une partie du poumon qui n’était pas vascularisé et j’avais plein de caillots de sang. Le médecin m’a dit, « heureusement que vous êtes un ancien sportif de haut niveau, vous avez un cœur musclé. Sinon, je pense que vous ne seriez pas là avec nous aujourd’hui. » Je me suis mis à beaucoup marcher, 20-25km, et donc j’ai eu des problèmes d’orteils. Je suis au centre antidouleurs, avec un psy, je fais de la relaxation pour accepter la douleur.\n\nD’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl (rires). Se retrouver à 55 ans dans cet état-là… Malgré ça, si c’était à refaire à 18 ans, je resigne de suite. »\n\n« Un Français qui se serait comporté comme Boja (Maljkovic) ne serait pas resté, il se serait fait virer. Les joueurs auraient trouvé que c’était trop dur. »\n\n“C’était le début du professionnalisme. Des mecs comme Apollo (Faye) jouaient avec des baskets pas terribles, pas toujours sur du parquet, parfois du béton. Nous, sauf une année sur la moquette à Orthez, on jouait sur du parquet avec de bonnes chaussures mais les niveaux d’entraînement étaient différents.\n\nJ’ai joué avec Tom Scheffler comme Américain et George Fisher comme coach, la Coupe des Champions contre Kaunas et (Arvydas) Sabonis. Je me blesse la première année mais comme je revenais de blessure, j’ai très peu joué la deuxième année. Mon agent, Didier Rose, me dit que plein de clubs me voulaient et essentiellement Nantes. Et aussi Caen où je n’avais que 2 000F d’augmentation. Didier me dit, « je sais quels joueurs ils veulent prendre dans les deux équipes. Si tu vas à Nantes, tu vas être troisième voire quatrième pivot et il faut que tu joues 40 minutes car là tu as perdu du temps, sinon après tu seras grillé. C’est lui qui m’a orienté vers Caen. A Caen, j’ai eu Djordje Andrijasevic comme coach (NDLR : Et aussi Frédéric Forte comme jeune équipier).\n\nIl fallait rattraper le temps perdu. J’ai commencé le basket très tard, à 18 ans et demi. Je suis arrivé d’Excellence Départementale ici à Limoges sans fondamentaux. Tu passes de deux entraînements par semaine à trois par jour. Pierre Dao (NDLR : le coach) ne voulait pas que je reste dans ma chambre à glander entre les entraînements, alors j’allais chez André Sardin (NDLR : un dirigeant du club), qui avait un magasin d’électro-ménager, je livrais des machines à laver. J’allais manger au Foyer des Jeunes Travailleurs. Je m’entraînais le matin et l’après-midi avec l’équipe Une et les espoirs.\n\nOn se plaignait que l’on n’avait pas de grands mais est-ce qu’on savait les modeler ? Non. Joby (NDLR : Georges Vestris) n’avait pas le droit à l’erreur car il faisait 2,14m. Et puis les grands explosent beaucoup plus tard, ils sont à point à 26-27 ans. Ce que j’entends au CSP ou même au rugby, c’est « il n’y a pas de leader, de mec qui en veut. » Comment en 2018 avec les salaires qu’il y a tu peux entendre ça ? Je n’avais pas de fondamentaux mais quand il y avait une balle par terre, je plongeais dessus. En 1995, Michel Gomez me dit, « Franck, il faut que tu viennes en équipe de France. » Je lui réponds, « Michel, j’ai le bras dans le plâtre. » Il insiste. « Tu veux que je fasse GO ? » (Il rit). J’y suis allé. Du coup, quand j’entends ça, ça me révolte. Comme j’ai démarré tard, j’ai toujours été un joueur qui a travaillé pour l’autre. Quand ici je faisais des blocs et que Michael Young marquait un panier, j’étais super content. De toutes façons, j’étais incapable de marquer 20 points par match. C’est l’avantage au basket, tu as d’autres possibilités. Tu prends des rebonds -avec ma taille, ça aide-, tu fais des blocs, et tu défends. Mais il y en a, ça ne les intéresse pas. Ce qu’ils veulent, c’est marquer des points. A ce moment-là, tu fais un sport individuel. C’est vrai que là, tu peux changer de joueur tout le temps. Nous, il n’y avait que deux étrangers.\n\nUn Français qui se serait comporté comme Boja (Maljkovic) ne serait pas resté, il se serait fait virer. Les joueurs auraient trouvé que c’était trop dur. Je m’en rappellerai toujours : on fait un match amical, il reste trois minutes, il demande de nous échauffer, nous qui étions sur le banc. On se demandait ce qu’il voulait, ce n’était pas le mec a changer cinq joueurs d’un coup… Fin du match. Ligne de fond. On a fait au moins une dizaine de suicides ! Ça a payé !\n\nL’année d’après je voulais partir mais les dirigeants m’ont demandé de rester pour compenser l’année où j’avais été blessé. Je ne pouvais pas dire non. Je suis parti en 1994 donc je n’ai pas fait le deuxième Final Four avec Boja en 1995. »\n\n« J’ai fait des burgers pendant trois mois et certaines personnes me voyant disaient que j’étais descendu bien bas »\n\n« J’ai revu Michael Young pour la première fois pour les « vingt ans » (NDLR : en 2013, les champions d’Europe de 1993 se sont retrouvés à Paris et à Limoges et Michael Young avait beaucoup grossi). C’est impressionnant ! Richard (Dacoury) s’est occupé de le chambrer. Il rigolait, il savait très bien qu’il allait se faire chambrer. Quand on arrête, on appelle ça la « petite mort ». Quand il a arrêté le footballeur (José) Touré a failli se suicider. C’est ça qui est difficile. Sous prétexte que le mec a gagné du fric, il n’a pas le droit d’être fragile. Les gens pensent qu’il l’a cherché. Mais non ! C’est hyper dur. J’ai fait deux ans au Mans, deux ans de trop. Physiquement j’étais cuit mais je n’avais pas envie d’arrêter.\n\nJe suis revenu ici car j’avais une maison. Ma femme est d’ici. Tu es à Limoges, tu continues à voir les matches. Tu reviens toujours à l’endroit où tu as eu de bons souvenirs. J’ai passé deux ans au centre de formation de Limoges, trois ans ici où on a eu de super résultats plus les beaux-parents qui sont là. Je savais que je n’allais pas rester dans le milieu. Entraîneur ? Reprendre le baluchon ? Non. Et puis je ne suis pas méchant. C’est ce que je vois avec Jean-Marc Dupraz (NDLR : son équipier quand le CSP a été champion d’Europe) qui considère qu’il a en face de lui des joueurs professionnels et donc il y a des choses qu’on n’a même pas à dire, c’est logique. Je m’aperçois que finalement, non. Répétez tout le temps, « l’envie, la gnac… » J’ai pris un petit club en Excellence Départementale, Panazol. Ils sont venus me chercher, ils voulaient changer d’entraîneur. OK. Ils voulaient monter mais aux entraînements, je me retrouvais avec 6 joueurs, 4 joueurs… Et le samedi ils veulent tous jouer. Non ! Ce n’est pas une question de voir de haut les petits clubs mais quand tu t’engages, c’est à fond. C’est ce que je vais dire à mon petit-fils. Un club ce n’est pas une garderie. Du coup, même si les mecs ont un boulot à côté, je ne comprends pas qu’on ne se fasse pas ça à fond. Je suis déjà très dur avec moi. Je me suis rendu compte que j’ai beaucoup d’humour mais c’est beaucoup nerveux, c’est une façon d’évacuer les choses (il rit). Je chambrais mais je me chambrais aussi moi-même. Quand tu es à l’école avec des mecs comme Freddy Hufnagel, Philip Szanyiel, Franck Cazalon, tu prends des notes.\n\nOui, je me sens un peu en représentation du champion d’Europe 1993. A Limoges, au boulot, et même ailleurs. Sous forme de boutade, je dirais que ce sont plus les petits-fils aujourd’hui ! Les deux titres qu’il y a eu avec Fred (Forte) ont permis d’avoir une nouvelle génération. Ça te colle à la peau et ce n’est pas désagréable plutôt que d’entendre « la grande gigue ». Même si ça me gêne un peu car en gros, il faut que tu avances en regardant dans le rétroviseur. Il faut que tu te serves de ce que tu as fait.\n\nJ’ai été consultant sur Pathé Sport pour les matches de basket. Je faisais le bord terrain, notamment au All-Star Game. Ce n’était pas évident. Mais je crois que je n’ai jamais trop voulu rester dans le milieu du basket même si j’avais le projet éventuel d’intégrer le club. Mais comme en 2000 ça s’est cassé la gueule… Donc je me suis fait un nettoyage de la cheville et j’ai fait une formation à l’AFPA. J’ai fait une remise à niveau… Le mien était bas (rires). J’ai fait une formation de vendeur délégué commercial pendant huit mois. J’ai eu le diplôme. Je suis rentré chez Paru-Vendu pour vendre de l’espace publicitaire à Limoges. C’était agréable car je rencontrais des anciens dirigeants ou des gens qui continuaient à aller au basket. J’avais une Smart comme voiture et tout le monde rigolait en me voyant. Après, j’avais un ami en commun, le franchisé de Quick, qui en ouvrait un autre. Il recherchait un directeur et il m’a demandé si ça m’intéressait. Je n’y suis pas allé tête baissée, parfois je me pose trop de questions. On a discuté. J’ai dit OK mais avec une période d’essai de trois mois. J’ai fait des burgers pendant trois mois et certaines personnes me voyant disaient que j’étais descendu bien bas. Les plus âgés ce sont les managers, ils ont trente ans et moi j’en avais quarante-deux. C’est super intéressant et je remercie la personne qui m’a tendu la perche. Je suis directeur. Je ne me suis jamais lancé comme propriétaire d’un restaurant par peur de foutre tout en l’air ce que j’avais construit.\n\nActuellement, je suis en accident de travail. Je suis arrêté depuis mars 2017 et je me suis fait opérer en juin 2017. Je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé. Je vais voir comment ça va se passer avec mon employeur. Les gens ont parfois honte de parler de choses comme ça car il galère. Moi, je ne galère pas, je souffre !\n\nJe sais que Laura Flessel a voulu mettre en place quelque chose pour la reconversion des sportifs de haut niveau. Il y a du gros boulot à faire. Quand tu es jeune, tu as déjà beaucoup moins de douleurs. Et puis tu t’entraînes, tu te dépenses. Alors que là tu te retrouves avec un corps qui est dans le rouge dans tous les sens. Tu n’as pas envie d’avoir mal parce que tu es une chochotte mais parce que tu souffres. Du coup, tu ne fais plus rien car t’as peur d’avoir mal. Tu te lèves de la chaise, tu as mal au dos. Tu as un problème de pied. Mais à côté de ça, je re-signe tellement j’ai eu à côté de bons moments qui te permettent d’oublier certaines douleurs.\n\nJ’ai regardé les rugbymen d’Afrique du Sud, qui ont la Maladie de Charcot, des trucs comme ça. Je suis intransigeant et c’est dur ce que je vais dire : les mecs qui sont chargés, c’est bien fait pour eux. Je me rappellerai toujours du sondage qu’ils avaient fait à l’époque des Jeux de Los Angeles. « Vous vous chargez, vous allez être champion olympique, mais vous mourrez à quarante ans. » 80% des gens, quelque chose comme ça, disaient « oui ». Mais comment peux-tu déjà te dire dès le matin, « je triche » ? Je sais bien que le dimanche matin quand ils vont faire un tour de vélo avec des copains certains sont chargés. Si l’un de mes petits-fils veut faire du vélo, je ferai tout pour le convaincre de faire autre chose. »\n\n« A Limoges, le public est exigeant mais patient. Il ne va pas prendre un grippe un joueur parce qu’il a raté deux lancers-francs. Ce qu’il faut, c’est éviter que la mèche s’allume. Une fois qu’elle est allumée c’est trop tard »\n\n« Je continue d’aller à tous les matches du CSP. C’est mon seul plaisir -même si cette année il est un peu effrité- car comme je ne peux pas marcher longtemps -si je reste debout les douleurs s’accentuent-, je reste chez moi. Et je m’estime heureux car je ne suis pas dans un fauteuil roulant.\n\nQuand tu viens à Limoges, il faut savoir que tu dois toujours être à 120%, minimum. A l’époque, tu venais pour avoir des titres, être champion de France, minimum. A Mulhouse, j’étais troisième pivot derrière Curtis Kitchen et Sza-Sza (Philip Szanyiel) et donc j’étais habitué à ne pas jouer 40 minutes. Mais quand un mec a l’habitude de jouer 40 minutes ça ne sera pas le cas à Limoges surtout quand tu as cinq étrangers et qu’il y a forcément un Américain qui va être devant toi. Il faut accepter de baisser ton temps de jeu.\n\nPremier entraînement, 2 500 personnes, tu sais à quoi t’attendre. Il faut sortir du terrain en ayant mouillé le maillot et si c’est le cas jamais le public ne va te critiquer. Si tu ne te fais pas respecter, si un mec marque deux ou trois layups, si tu ne lui fais pas comprendre qu’ici c’est Limoges, si tu ne défends pas ton territoire, le public va te prendre en grippe. Pour moi, ça me parait logique. C’était déjà comme ça quand je jouais. Quand tu mets le maillot de Limoges, tu es une autre personne. Les Limoges-Pau, c’était extraordinaire. Quand Pau est venu gagner de vingt points l’année dernière, j’ai vu les mecs à la fin se serrer la main, discuter, moi, je serai rentré direct dans les vestiaires. Ça m’aurait rendu malade. Et quand je vois ça aujourd’hui, j’en suis toujours malade. Tu as le droit de perdre contre une équipe plus forte que toi mais donne tout ! Et si tu ne donnes pas tout, ça va se retourner contre toi. A Limoges, le public est exigeant mais patient. Il ne va pas prendre un grippe un joueur parce qu’il a raté deux lancers-francs. Ce qu’il faut, c’est éviter que la mèche s’allume. Une fois qu’elle est allumée c’est trop tard. Il ne faut pas toucher à leur bébé. Donc, à mon avis, quand tu recrutes un joueur, il faut lui demander s’il a le mental pour faire ça.\n\nNous, on avait la chance d’avoir seulement deux étrangers, ce qui fait que les Français avaient plus de temps de jeu. Là, quand tu vois les mecs devant toi qui ne se bougent pas le cul, qui savent que s’ils vont en Italie ou en Espagne, ils multiplient par deux leurs salaires, et que malgré tout ils jouent plus que toi, pfttt… Les boules. Que le public gronde, c’est logique. Il est connaisseur. C’est la quatrième génération de spectateurs. Celle des Korac, la nôtre avec le titre de champion d’Europe, celle du triplé en 2000 et l’actuelle. Il y a des gens qui pleurent quand ils perdent un match. Certains sont partis en déplacement avec une voiture en Allemagne. Il faut respecter ça. C’est pour ça, quand on parle d’une nouvelle salle ici, j’aurai peur que ça change l’ambiance. Il y aura des règles de sécurité à respecter, tu seras vachement plus loin. A Beaublanc, il y a le bois de la charpente… L’odeur… Quand je rentre au palais des sports, je ressens tout ça. »\n\nCLUBS ET PALMARES\n\n1984-85 : Limoges CSP, 1985-87 : Elan Béarnais Orthez, 1987-88 : Caen BC, 1988-90 : Mulhouse BC, 1990-94 : Limoges CSP, 1994-97 : Montpellier PB, 1997-99 : Le Mans SB.\n\n68 sélections en équipe de France entre 1985 et 1996. Participation aux championnats d’Euroe 1989 et 1995 .\n\nChampion d’Europe (1993), champion de France (1985, 86, 91, 93, 94),\n\nDe gauche à droite, premier rang: Frédéric Forte, Franck Butter, Richard Dacoury, Michael Young. Deuxième rang: Marc Mbahia, Willie Redden, Jim Bilba, Jimmy Verove, Jean-Marc Dupraz. Il manque Jurij Zdovc sur la photo.\n\n[armelse]\n\n« J’ai été recruté par Pierre Dao, qui était au Bataillon de Joinville et qui intégrait Limoges. Je suis natif de Montereau, à côté de Fontainebleau, là où il y avait le BJ. Il est venu discuter avec mes parents. Il les a fait venir trois jours ici pour visiter la ville, les infrastructures, le centre de formation. Ils étaient hébergés à l’hôtel. Vraiment un mec super, Dao. J’avais des problèmes de santé car je grandissais beaucoup et comme j’étais le dernier de la famille, j’étais très chouchouté. J’avais commencé le basket très tard car il ne fallait pas que je me fatigue. Ce fut d’ailleurs un problème sur les terrains car j’avais du mal à me rendre méchant car j’étais très couvé. C’est à force de prendre des coups dans la gueule que j’ai réagi.\n\nJ’ai donc intégré le centre de formation du CSP avec Hugues Occansey, Jean-Manuel Sousa, Emile Popo, Olivier Garry, Jean-Philippe Blanchet, Christian Dussoulier. On mettait des doudounes aux clubs de Nationale 2 de l’époque comme La Rochelle. On avait un coach extraordinaire, Fabien Texier, qui était scout en même temps. Ce qui m’a marqué, c’est qu’un jour, il me dit « Franck, reviens en défense. » Je lui réponds que je suis fatigué. Il me met sur le banc et je ne rentre pas de la deuxième mi-temps. Je prends la douche, on monte dans le bus. Fabien me dit de venir le voir. « Qu’est-ce que tu m’as dit sur le terrain ? » « J’étais fatigué, coach. » « Tu a fais quoi avant de faire du basket ? » « Je travaillais en usine. 8h-12h, 14h-17h. » « D’accord. La semaine prochaine, tu fais 8h-12h, 14h-17h au palais des sports. Tu te débrouilles, tu fais des shoots, de la musculation, je passerai. » Je l’ai fait. Le vendredi soir, il me dit « t’es fatigué ? » (Rires).\n\nQuand je suis parti de chez moi, dans La République de Seine-et-Marne, c’était marqué, « Le Limoges CSP en contact avec Franck Butter ». Le club était en Excellence Départementale. Je travaillais à la chaîne. Je faisais des sabots pour les semoirs agricoles. J’en faisais tant à l’heure. Toute la journée. J’avais trois-quart d’heure pour manger, j’amenais ma gamelle. J’avais un CAP d’employé de bureau. J’aurais pu faire autre chose mais comme tous les étés en juillet, août -je ne partais pas en vacances-, je travaillais pour gagner de l’argent, je suis resté en contrat intérimaire jusqu’en décembre et après ils m’ont fait signer mon contrat. J’ai fait ça pendant huit mois.\n\nMon père, qui était allemand, était menuisier dans cette usine-là, ma mère était femme de ménage. Mon père est arrivé après la guerre clandestinement. Il était rentré dans la Jeunesse Hitlérienne (NDLR : organisation qui, de 1926 à 1945, regroupa les jeunes du Parti Nazi et qui était obligatoire sous peine de lourdes sanctions). Il avait une vingtaine d’années et il a appris le français sur le tas. Il est décédé il y a deux ans, il aurait eu 89 ans. Ma mère est née du côté de Bar-le-Duc. Elle s’appelle Koch. Ça veut dire Cuisinier. Et mon père Butter. Cuisine au Beurre (rires). Mon père a eu son permis à 44 ans. Avant il avait une mobylette. Ils ont eu une voiture très tard et on est parti en vacances très tard. Il faisait 1,80m et ma mère 1,70m. Ma sœur qui a huit ans de plus que moi fait 1,69m, mon frère 1,92m. Et puis moi 2,10m. S’ils en avaient fait un autre, il aurait fait 2,75m (rires) !\n\nJe suis arrivé au boulot et les mecs m’ont dit, « Frank, tu vas au Limoges CSP ? » « Je ne sais pas, j’ai mon boulot ici. » « Vas-y ! » Et quand Pierre Dao est revenu une deuxième fois à la maison, il a posé la question cruciale, « combien voulez-vous qu’il gagne ? » Mon père a dit qu’ils me laissaient partir car sinon j’allais peut-être leur reprocher toute ma vie de ne pas l’avoir fait. Je gagnais 3 250F à l’usine. Mon père a dit « autant. » Pierre Dao a répondu : « 5 000F ». Et il a donné 10 000F au club. J’ai signé comme espoir.\n\nJ’avais le poster du Limoges CSP dans ma chambre et trois mois après j’étais avec eux dans le vestiaire. On les avait vus en mars en finale de la Coupe Korac à la TV (NDLR : en direct sur Antenne 2) et je suis arrivé en mai. Il y avait Ed Murphy, Apollo Faye, tout ça. Et à Limoges, tu es vite sollicité. Tu ne payes pas les boîtes de nuit. Quand tu es jeune, ça va vite. C’est bien de savoir d’où tu viens, de galérer un peu avant. Si j’avais eu une vie facile avant de venir ici, j’aurais peut-être été un petit con, enfin un grand con. »\n\n« D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl »\n\n« J’ai pratiquement fait ma carrière que sur une jambe.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/limoges-champion-deurope-93.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-01T14:22:14.000Z", "updated_at":"2018-12-20T09:28:19.000Z", "published_at":"2019-01-01T14:22:14.000Z", "custom_excerpt":"Suite à un reportage sur place, nous consacrons toute cette semaine, du dimanche à vendredi, au Limoges CSP. Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique. Franck Butter fait partie des champions d’Europe limougeauds de 1993. 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La question est: le Limougeaud va t-il se présenter à la draft dès juin prochain? Réponse:
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Déjà parce qu’elle est la seule femme et d’autre part en raison de son immense palmarès avec deux titres de championnes d’Europe, trois Euroleague et huit titres de championnes de France. Et puis aussi parce qu’elle a comme meneuse à Basket Landes Céline Dumerc, une amie, avec qui elle a gagné plusieurs couronnes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’entretien est en deux parties.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"A quel moment avez-vous choisi de faire une carrière de coach professionnel ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je ne l’ai pas décidé ! \"],[0,[1],1,\"(Sourire)\"],[0,[],0,\" Je n’avais aucun plan de carrière en tant qu’entraîneur. C’est l’occasion qui s’est présentée. Après ma carrière, Jean-Pierre De Vincenzi \"],[0,[1],1,\"(NDLR : à l’époque DTN)\"],[0,[],0,\" m’avait conseillée de passer le concours de professerat de sport et d’intégrer la formation française au sein des équipes de France jeune et ensuite à l’INSEP. J’étais plus partie sur de la formation. Ça me plaît d’entraîner les jeunes et je ne voulais pas dès mon arrêt de carrière entraîner des pros direct.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"De quels coaches avez-vous le plus appris ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a des choses qui nous plaisent et d’autres qui nous déplaisent de chaque coach. Tous m’ont inspirée et m’ont permis de me dire quel coach je veux être. C’est vrai que j’ai des sensibilités avec certains coaches que j’ai beaucoup apprécié mais je ne me suis pas dit telle personne fait ça, je dois faire ça car on a chacun notre personnalité et il faut que je sois en cohérence avec ce que je suis. C’est s’inspirer mais pas faire du copier/coller. Si je décide de faire comme quelqu’un d’autre, je m’y perds donc il faut rester soi-même.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le stress est-il plus important que lorsqu’on est joueuse ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il est complètement différent. Quand on est joueuse, on est dans l’action alors que lorsqu’on est entraîneur, on se sent un peu en dehors de tout ça. On n’a pas la possibilité d’avoir la main sur quelque chose. On a le stress de ne pas avoir autant de maîtrise qu’en tant que joueuse.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Depuis que vous êtes coach, êtes-vous toujours une aussi grosse consommatrice de matchs à la télé et d’articles sur le basket ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui même s’il y a beaucoup de vidéos qui sont liées au scouting. J’en regarde autant mais plus sur des équipes du championnat de France et d’Eurocup et ensuite pour recruter les gens. Et puis quand il me reste du temps, je regarde d’autres matchs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Céline Dumerc disait qu’avant que vous preniez le coaching de l’équipe, vous vous demandiez si c’était possible d’être amies et d’avoir une relation professionnelle comme celle-ci. Alors quel est le bilan un an après ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Oui c’est possible mais ça demande des ajustements. Quand on est amies, on peut partager le fin fond de sa pensée, avoir une forme de confidence importante. Mais il ne faut pas qu’elle fasse mon métier et que je fasse le sien. Pour certaines choses, il faut mettre un mur car ce ne sont pas des discussions qu’il faut avoir. C’est vrai que si elle n’était pas ma joueuse, je discuterais sur des aspects basket, du coaching, des choix, comment je ressens les choses. Mais c’est ma joueuse et il ne faut pas que je rentre sur ces choses-là. C’était le réglage qu’il a été nécessaire de faire. Après, il y a des choses qui sont très intéressantes. Pour ma première année, c’était un énorme avantage de l’avoir dans l’équipe car je la connais, je lui fais confiance, je sais ce qu’elle pense, quels sont les messages qu’elle va faire passer dans le vestiaire, du moins l’idée générale. Je savais très bien que je pouvais m’appuyer sur son leadership.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Cette saison, vous allez la décaler comme deuxième arrière. Elle qui pense aux autres avant de penser à elle-même et qui rechigne parfois à prendre des shoots, il va falloir qu’elle change cette mentalité-là ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est le challenge qu’on lui donne et elle a adhéré totalement car elle se rend compte que comme elle est perfectionniste et que ça ne se passe pas exactement comme elle l’a imaginée, ça l’énerve. C’est sa grande qualité et c’est ce qui a fait cette joueuse-là car elle est hyper rigoureuse. Mais à un moment donné, elle se prenait plus la tête à savoir si le jeu était fait comme il le fallait plutôt qu’à mettre en place son jeu à elle. Comme ça, c’est lui libérer l’esprit.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Elle a 36 ans. Est-ce aussi l’économiser physiquement ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sur certaines choses mais il y en a d’autres où il va falloir qu’elle prenne l’habitude. Mine de rien, lorsque tu es extérieure, tu as beaucoup plus de courses, sur les contre-attaques, le jeu demi-terrain. Ce qu’elle va gagner en passant à l’aile, elle va le dépenser autrement. Elle ne va pas être sous des pressions tout terrain mais elle va prendre beaucoup d’écrans. Ça va être différent comme fatigue physique à part si elle la joue tranquille mais j’en doute (sourire). Ça va toujours être intense car elle est intense naturellement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Ça fait maintenant six ans qu’elle a été exposée aux Jeux de Londres. Est-elle encore la chouchoute du public quand vous vous déplacez ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est toujours le cas mais un peu moindre. Quoiqu’il arrive les gens la connaissent, viennent la voir. C’est effectivement moins important qu’à la sortie des JO où c’était monstrueux, inimaginables mais ça reste un centre d’intention.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous qui avez connu le succès mais dans un cercle plus fermé, avez-vous été surpris qu’une basketteuse puisse être adulée ainsi ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un choc, non, car c’est juste la preuve du « pouvoir » des JO. Les Jeux Olympiques ont un impact qui est incomparable avec n’importe quelle compétition. Dans l’esprit des gens, ce n’est pas du tout la même chose d’être champion du monde que d’être champion olympique parce qu’on va tabler sur un cercle beaucoup plus importants de spectateurs. Des spectateurs sportifs et pas uniquement basket.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"C’était télévisé sur France Télévisions.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est pour ça que c’est l’impact des JO avec tout ce que ça comprend. Effectivement, ça passe sur la télé publique. Je n’aime pas l’expression « sport mineur » mais disons que sont exposés des sports qui ne passent pas souvent à la télé. Et si ces sports-là sont performants, les gens regardent. Moi la première, aux JO je regarde des sports que je ne regarde jamais.\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[0,1],2,\"« J’ai eu un seul entraîneur femme dans ma carrière de joueuse, Jacky Delachet, quand je suis entrée à l’INSEP. Ça remonte ! »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Est-ce une fierté pour Basket Landes et les deux intéressées, Marie-Laure Lafargue* et vous, d’être des femmes comme présidente et coach alors qu’il n’y a pas d’autres doublettes comme ça ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On a même une assistante femme ! (NDLR : Julie Barennes). Il n’y a pas d’actions féministes, ce n’est pas fait pour que l’on parle de nous. Il y a un trio de dirigeants qui fonctionnent ensemble et pour amener toujours une dynamique, ils se passent la main. On a eu Pierre Dartiguelongue comme président, ensuite Didier Massy et maintenant c’est Marie-Laure, qui est redevenue salariée du club. Avoir une présidence tournante permet de rester en activité. On ne s’endort pas sur ses lauriers, ça stimule les uns et les autres. Je trouve ça hyper intéressant. J’ose espérer que l’on a choisi une coach et une président sans faire attention à leur sexe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"A l’inverse, vous êtes la seule femme coach en Ligue Féminine. A quoi attribuez ça ? Au manque de vocation ? A un certain sexisme ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il n’y a pas que moi, il y a aussi Valérie Garnier en équipe de France. Je pense qu’il y a peut-être un manque d’ambition des femmes et aussi des habitudes. C’est la réalité, il y a beaucoup, beaucoup plus d’entraîneurs hommes que de femmes à n’importe quel niveau. Nous, les femmes, sommes-nous un peu plus sages dans nos ambitions ? On a plus de mal à y croire donc à l’affirmer et donc à se vendre. Il y en a moins sur le marché donc il y en a moins en poste. J’ai eu un seul entraîneur femme dans ma carrière de joueuse, Jacky Delachet, quand je suis entrée à l’INSEP. Ça remonte ! C’est vrai que j’ai été habituée à des hommes. Est-ce cette habitude qui fait qu’il y en a toujours beaucoup plus ? Il faudrait demander à ceux qui décident (rires).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Pour vous, Valérie Garnier, qui a été internationale, qui a longtemps coaché en Ligue Féminine notamment à Bourges, en équipe de France, et maintenant en Turquie -c’est la première femme à l’étranger-, c’est un exemple à suivre ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai un grand respect pour ce qu’elle a réussi à faire. Elle a eu une progression constante dans la proposition des postes qu’elle a eu. Je ne dirais pas que c’est un exemple dans le sens où je n’en suis pas à me dire que je vais faire comme elle. En fait, je vie au jour le jour. Je ne me dis pas, si Valérie a réussi à faire ça, je vais faire ça. J’ai un grand respect pour ce qu’elle a fait mais je ne suis pas dans la comparaison.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"A ce propos, que pensez-vous de la génération 2018 de l’équipe de France ? Elle est dans le top 8 des compétitions internationales depuis 1999. C’est votre génération qui a initié ça ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ça ne me rend pas fière de ce que j’ai pu faire mais d’être française en règle générale. Je suis super heureuse que l’on soit un pays qui soit toujours présent, qui soit capable de toujours évoluer quelque soit les générations, les gens qui passent. Ce n’est pas lié à une génération, à deux ou trois personnes, mais à un pays. Ça valorise tout le travail qui est fait, dès que les personnes commencent, tout au long de la formation, puis ensuite les mettre dans des conditions pour évoluer au plus haut niveau en pro pour qu’elles continuent à progresser et maintenir une sorte de statut de ce qu’est maintenant l’équipe de France. Le plus dur c’est d’avoir cette continuité. Certains pays tombent sur une génération dorée et vont être performants tant qu’ils sont là et le jour où ils s’en vont, il n’y a plus rien. Alors qu’en ayant fait le travail autour, on est présent quelque soit les individus qui composent l’équipe de France.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’équipe de France juniors a eu des médailles depuis 2008 jusqu’à l’année dernière. C’est l’assurance ensuite d’avoir de bons résultats à l’âge adulte ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je considère que la génération qui est la plus « importante », c’est U18. C’est là qu’on y voit l’effet de la formation française du plus jeune âge aux pôles, aux centres de formation et au Centre Fédéral. C’est vrai qu’avoir des performances en U18 ce sont de bons signes pour la suite. Ce n’est pas une vérité, on ne peut pas affirmer que si on est champion ou sur le podium en U18 pendant dix ans notre équipe senior va être performante. Mais il y a des effets. Chez les U20, les meilleures de la génération commencent déjà à intégrer l’équipe senior. On le voit dans l’équipe de France actuelle avec les générations 94 et 98 championnes d’Europe et d’autres qui ont fait des médailles. 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L’entretien est en deux parties.
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A quel moment avez-vous choisi de faire une carrière de coach professionnel ?
Je ne l’ai pas décidé ! (Sourire) Je n’avais aucun plan de carrière en tant qu’entraîneur. C’est l’occasion qui s’est présentée. Après ma carrière, Jean-Pierre De Vincenzi (NDLR : à l’époque DTN) m’avait conseillée de passer le concours de professerat de sport et d’intégrer la formation française au sein des équipes de France jeune et ensuite à l’INSEP. J’étais plus partie sur de la formation. Ça me plaît d’entraîner les jeunes et je ne voulais pas dès mon arrêt de carrière entraîner des pros direct.
De quels coaches avez-vous le plus appris ?
Il y a des choses qui nous plaisent et d’autres qui nous déplaisent de chaque coach. Tous m’ont inspirée et m’ont permis de me dire quel coach je veux être. C’est vrai que j’ai des sensibilités avec certains coaches que j’ai beaucoup apprécié mais je ne me suis pas dit telle personne fait ça, je dois faire ça car on a chacun notre personnalité et il faut que je sois en cohérence avec ce que je suis. C’est s’inspirer mais pas faire du copier/coller. Si je décide de faire comme quelqu’un d’autre, je m’y perds donc il faut rester soi-même.
Le stress est-il plus important que lorsqu’on est joueuse ?
Il est complètement différent. Quand on est joueuse, on est dans l’action alors que lorsqu’on est entraîneur, on se sent un peu en dehors de tout ça. On n’a pas la possibilité d’avoir la main sur quelque chose. On a le stress de ne pas avoir autant de maîtrise qu’en tant que joueuse.
Depuis que vous êtes coach, êtes-vous toujours une aussi grosse consommatrice de matchs à la télé et d’articles sur le basket ?
Oui même s’il y a beaucoup de vidéos qui sont liées au scouting. J’en regarde autant mais plus sur des équipes du championnat de France et d’Eurocup et ensuite pour recruter les gens. Et puis quand il me reste du temps, je regarde d’autres matchs.
Céline Dumerc disait qu’avant que vous preniez le coaching de l’équipe, vous vous demandiez si c’était possible d’être amies et d’avoir une relation professionnelle comme celle-ci. Alors quel est le bilan un an après ?
Oui c’est possible mais ça demande des ajustements. Quand on est amies, on peut partager le fin fond de sa pensée, avoir une forme de confidence importante. Mais il ne faut pas qu’elle fasse mon métier et que je fasse le sien. Pour certaines choses, il faut mettre un mur car ce ne sont pas des discussions qu’il faut avoir. C’est vrai que si elle n’était pas ma joueuse, je discuterais sur des aspects basket, du coaching, des choix, comment je ressens les choses. Mais c’est ma joueuse et il ne faut pas que je rentre sur ces choses-là. C’était le réglage qu’il a été nécessaire de faire. Après, il y a des choses qui sont très intéressantes. Pour ma première année, c’était un énorme avantage de l’avoir dans l’équipe car je la connais, je lui fais confiance, je sais ce qu’elle pense, quels sont les messages qu’elle va faire passer dans le vestiaire, du moins l’idée générale. Je savais très bien que je pouvais m’appuyer sur son leadership.
Cette saison, vous allez la décaler comme deuxième arrière. Elle qui pense aux autres avant de penser à elle-même et qui rechigne parfois à prendre des shoots, il va falloir qu’elle change cette mentalité-là ?
C’est le challenge qu’on lui donne et elle a adhéré totalement car elle se rend compte que comme elle est perfectionniste et que ça ne se passe pas exactement comme elle l’a imaginée, ça l’énerve. C’est sa grande qualité et c’est ce qui a fait cette joueuse-là car elle est hyper rigoureuse. Mais à un moment donné, elle se prenait plus la tête à savoir si le jeu était fait comme il le fallait plutôt qu’à mettre en place son jeu à elle. Comme ça, c’est lui libérer l’esprit.
Elle a 36 ans. Est-ce aussi l’économiser physiquement ?
Sur certaines choses mais il y en a d’autres où il va falloir qu’elle prenne l’habitude. Mine de rien, lorsque tu es extérieure, tu as beaucoup plus de courses, sur les contre-attaques, le jeu demi-terrain. Ce qu’elle va gagner en passant à l’aile, elle va le dépenser autrement. Elle ne va pas être sous des pressions tout terrain mais elle va prendre beaucoup d’écrans. Ça va être différent comme fatigue physique à part si elle la joue tranquille mais j’en doute (sourire). Ça va toujours être intense car elle est intense naturellement.
Ça fait maintenant six ans qu’elle a été exposée aux Jeux de Londres. Est-elle encore la chouchoute du public quand vous vous déplacez ?
C’est toujours le cas mais un peu moindre. Quoiqu’il arrive les gens la connaissent, viennent la voir. C’est effectivement moins important qu’à la sortie des JO où c’était monstrueux, inimaginables mais ça reste un centre d’intention.
Vous qui avez connu le succès mais dans un cercle plus fermé, avez-vous été surpris qu’une basketteuse puisse être adulée ainsi ?
Un choc, non, car c’est juste la preuve du « pouvoir » des JO. Les Jeux Olympiques ont un impact qui est incomparable avec n’importe quelle compétition. Dans l’esprit des gens, ce n’est pas du tout la même chose d’être champion du monde que d’être champion olympique parce qu’on va tabler sur un cercle beaucoup plus importants de spectateurs. Des spectateurs sportifs et pas uniquement basket.
C’était télévisé sur France Télévisions.
C’est pour ça que c’est l’impact des JO avec tout ce que ça comprend. Effectivement, ça passe sur la télé publique. Je n’aime pas l’expression « sport mineur » mais disons que sont exposés des sports qui ne passent pas souvent à la télé. Et si ces sports-là sont performants, les gens regardent. Moi la première, aux JO je regarde des sports que je ne regarde jamais.
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« J’ai eu un seul entraîneur femme dans ma carrière de joueuse, Jacky Delachet, quand je suis entrée à l’INSEP. Ça remonte ! »
Est-ce une fierté pour Basket Landes et les deux intéressées, Marie-Laure Lafargue* et vous, d’être des femmes comme présidente et coach alors qu’il n’y a pas d’autres doublettes comme ça ?
On a même une assistante femme ! (NDLR : Julie Barennes). Il n’y a pas d’actions féministes, ce n’est pas fait pour que l’on parle de nous. Il y a un trio de dirigeants qui fonctionnent ensemble et pour amener toujours une dynamique, ils se passent la main. On a eu Pierre Dartiguelongue comme président, ensuite Didier Massy et maintenant c’est Marie-Laure, qui est redevenue salariée du club. Avoir une présidence tournante permet de rester en activité. On ne s’endort pas sur ses lauriers, ça stimule les uns et les autres. Je trouve ça hyper intéressant. J’ose espérer que l’on a choisi une coach et une président sans faire attention à leur sexe.
A l’inverse, vous êtes la seule femme coach en Ligue Féminine. A quoi attribuez ça ? Au manque de vocation ? A un certain sexisme ?
Il n’y a pas que moi, il y a aussi Valérie Garnier en équipe de France. Je pense qu’il y a peut-être un manque d’ambition des femmes et aussi des habitudes. C’est la réalité, il y a beaucoup, beaucoup plus d’entraîneurs hommes que de femmes à n’importe quel niveau. Nous, les femmes, sommes-nous un peu plus sages dans nos ambitions ? On a plus de mal à y croire donc à l’affirmer et donc à se vendre. Il y en a moins sur le marché donc il y en a moins en poste. J’ai eu un seul entraîneur femme dans ma carrière de joueuse, Jacky Delachet, quand je suis entrée à l’INSEP. Ça remonte ! C’est vrai que j’ai été habituée à des hommes. Est-ce cette habitude qui fait qu’il y en a toujours beaucoup plus ? Il faudrait demander à ceux qui décident (rires).
Pour vous, Valérie Garnier, qui a été internationale, qui a longtemps coaché en Ligue Féminine notamment à Bourges, en équipe de France, et maintenant en Turquie -c’est la première femme à l’étranger-, c’est un exemple à suivre ?
J’ai un grand respect pour ce qu’elle a réussi à faire. Elle a eu une progression constante dans la proposition des postes qu’elle a eu. Je ne dirais pas que c’est un exemple dans le sens où je n’en suis pas à me dire que je vais faire comme elle. En fait, je vie au jour le jour. Je ne me dis pas, si Valérie a réussi à faire ça, je vais faire ça. J’ai un grand respect pour ce qu’elle a fait mais je ne suis pas dans la comparaison.
A ce propos, que pensez-vous de la génération 2018 de l’équipe de France ? Elle est dans le top 8 des compétitions internationales depuis 1999. C’est votre génération qui a initié ça ?
Ça ne me rend pas fière de ce que j’ai pu faire mais d’être française en règle générale. Je suis super heureuse que l’on soit un pays qui soit toujours présent, qui soit capable de toujours évoluer quelque soit les générations, les gens qui passent. Ce n’est pas lié à une génération, à deux ou trois personnes, mais à un pays. Ça valorise tout le travail qui est fait, dès que les personnes commencent, tout au long de la formation, puis ensuite les mettre dans des conditions pour évoluer au plus haut niveau en pro pour qu’elles continuent à progresser et maintenir une sorte de statut de ce qu’est maintenant l’équipe de France. Le plus dur c’est d’avoir cette continuité. Certains pays tombent sur une génération dorée et vont être performants tant qu’ils sont là et le jour où ils s’en vont, il n’y a plus rien. Alors qu’en ayant fait le travail autour, on est présent quelque soit les individus qui composent l’équipe de France.
L’équipe de France juniors a eu des médailles depuis 2008 jusqu’à l’année dernière. C’est l’assurance ensuite d’avoir de bons résultats à l’âge adulte ?
Je considère que la génération qui est la plus « importante », c’est U18. C’est là qu’on y voit l’effet de la formation française du plus jeune âge aux pôles, aux centres de formation et au Centre Fédéral. C’est vrai qu’avoir des performances en U18 ce sont de bons signes pour la suite. Ce n’est pas une vérité, on ne peut pas affirmer que si on est champion ou sur le podium en U18 pendant dix ans notre équipe senior va être performante. Mais il y a des effets. Chez les U20, les meilleures de la génération commencent déjà à intégrer l’équipe senior. On le voit dans l’équipe de France actuelle avec les générations 94 et 98 championnes d’Europe et d’autres qui ont fait des médailles. Il y a des jeunes sur qui on peut s’appuyer, qui ont toutes les qualités requises pour faire perdurer l’équipe de France au plus haut niveau.
PARCOURSJOUEUSE
1984-1989 Rennes (NF2)
1999-1993 Centre Fédéral (NF1)
1993-1994 Tarbes
1994-1995 Aix en Provence
1995-2003 Bourges
2003-2005 Venise
2005-2009 BourgesENTRAÎNEUR :
CLUBS
2011-2013 Bourges (centre de formation)
2013-2017 Centre Fédéral
Depuis 2017 Basket LandesEQUIPES NATIONALES
2008-2009 Équipe de France U16F (assistante)
2010 Équipe de France U17 (assistante)
2012 Équipe de France U18F (assistante)
2013 Équipe de France U19F (assistante)
2014-2015 Équipe de France U16F
2016 Équipe de France U17F
2017 Équipe de France U18F
*Lors de sa prise de présidence, Marie-Laure Lafargue a fourni quelques chiffres sur le club:
Basket Landes a le 7 ème budget de LFB avec 1.487 M€ en dessous de la moyenne des clubs de Ligue qui est à 1.716 M€ et Bourges est à 3.354 M€
23% de recettes spectateurs contre 7,5 % au plan national
30,8% de subventions publiques contre 47,5% au plan national
44,62% partenariat privé contre 38,6% au plan national
50 000 spectateurs en 2018 à Mitterrand et 88,7 % de remplissage sur la saison, probablement le plus important public de France en remplissage et en recettes sur 2017-2018
1 008 abonnés , 29% de l’agglomération montoise, 26% de Tursan/chalosse , 15% pays dacquois et côte sud , 12% du Gabardan/Armagnac , 6% du nord des Landes et 12% hors département.
468 partenaires de 150€ a 80000€ , contre 10 partenaires pour 150000€ en tout en 2008.
26% des partenaires sont issus de l’agglo montoise, 44% du reste du département, 12% de Nouvelle Aquitaine et 18% National.
29% de subventions publiques , soit l’un des plus faible taux de la LFB, réparties entre 310,5M€ du Conseil Départemental (dont 260M€ pour le centre de formation) , 70 M€ de la Région , et 30M€ de l’agglo.
A suivre demain.
[armelse]
A quel moment avez-vous choisi de faire une carrière de coach professionnel ?
Je ne l’ai pas décidé ! (Sourire) Je n’avais aucun plan de carrière en tant qu’entraîneur. C’est l’occasion qui s’est présentée. Après ma carrière, Jean-Pierre De Vincenzi (NDLR : à l’époque DTN) m’avait conseillée de passer le concours de professerat de sport et d’intégrer la formation française au sein des équipes de France jeune et ensuite à l’INSEP. J’étais plus partie sur de la formation. Ça me plaît d’entraîner les jeunes et je ne voulais pas dès mon arrêt de carrière entraîner des pros direct.
De quels coaches avez-vous le plus appris ?
Il y a des choses qui nous plaisent et d’autres qui nous déplaisent de chaque coach. Tous m’ont inspirée et m’ont permis de me dire quel coach je veux être. C’est vrai que j’ai des sensibilités avec certains coaches que j’ai beaucoup apprécié mais je ne me suis pas dit telle personne fait ça, je dois faire ça car on a chacun notre personnalité et il faut que je sois en cohérence avec ce que je suis. C’est s’inspirer mais pas faire du copier/coller. Si je décide de faire comme quelqu’un d’autre, je m’y perds donc il faut rester soi-même.
Le stress est-il plus important que lorsqu’on est joueuse ?
Il est complètement différent. Quand on est joueuse, on est dans l’action alors que lorsqu’on est entraîneur, on se sent un peu en dehors de tout ça. On n’a pas la possibilité d’avoir la main sur quelque chose. On a le stress de ne pas avoir autant de maîtrise qu’en tant que joueuse.
Depuis que vous êtes coach, êtes-vous toujours une aussi grosse consommatrice de matchs à la télé et d’articles sur le basket ?
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Photos: Cathy Melain et Céline Dumerc (FIBA)
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J’étais plus partie sur de la formation. Ça me plaît d’entraîner les jeunes et je ne voulais pas dès mon arrêt de carrière entraîner des pros direct.\n\nDe quels coaches avez-vous le plus appris ?\n\nIl y a des choses qui nous plaisent et d’autres qui nous déplaisent de chaque coach. Tous m’ont inspirée et m’ont permis de me dire quel coach je veux être. C’est vrai que j’ai des sensibilités avec certains coaches que j’ai beaucoup apprécié mais je ne me suis pas dit telle personne fait ça, je dois faire ça car on a chacun notre personnalité et il faut que je sois en cohérence avec ce que je suis. C’est s’inspirer mais pas faire du copier/coller. Si je décide de faire comme quelqu’un d’autre, je m’y perds donc il faut rester soi-même.\n\nLe stress est-il plus important que lorsqu’on est joueuse ?\n\nIl est complètement différent. Quand on est joueuse, on est dans l’action alors que lorsqu’on est entraîneur, on se sent un peu en dehors de tout ça. On n’a pas la possibilité d’avoir la main sur quelque chose. On a le stress de ne pas avoir autant de maîtrise qu’en tant que joueuse.\n\nDepuis que vous êtes coach, êtes-vous toujours une aussi grosse consommatrice de matchs à la télé et d’articles sur le basket ?\n\nOui même s’il y a beaucoup de vidéos qui sont liées au scouting. J’en regarde autant mais plus sur des équipes du championnat de France et d’Eurocup et ensuite pour recruter les gens. Et puis quand il me reste du temps, je regarde d’autres matchs.\n\nCéline Dumerc disait qu’avant que vous preniez le coaching de l’équipe, vous vous demandiez si c’était possible d’être amies et d’avoir une relation professionnelle comme celle-ci. Alors quel est le bilan un an après ?\n\nOui c’est possible mais ça demande des ajustements. Quand on est amies, on peut partager le fin fond de sa pensée, avoir une forme de confidence importante. Mais il ne faut pas qu’elle fasse mon métier et que je fasse le sien. Pour certaines choses, il faut mettre un mur car ce ne sont pas des discussions qu’il faut avoir. C’est vrai que si elle n’était pas ma joueuse, je discuterais sur des aspects basket, du coaching, des choix, comment je ressens les choses. Mais c’est ma joueuse et il ne faut pas que je rentre sur ces choses-là. C’était le réglage qu’il a été nécessaire de faire. Après, il y a des choses qui sont très intéressantes. Pour ma première année, c’était un énorme avantage de l’avoir dans l’équipe car je la connais, je lui fais confiance, je sais ce qu’elle pense, quels sont les messages qu’elle va faire passer dans le vestiaire, du moins l’idée générale. Je savais très bien que je pouvais m’appuyer sur son leadership.\n\nCette saison, vous allez la décaler comme deuxième arrière. Elle qui pense aux autres avant de penser à elle-même et qui rechigne parfois à prendre des shoots, il va falloir qu’elle change cette mentalité-là ?\n\nC’est le challenge qu’on lui donne et elle a adhéré totalement car elle se rend compte que comme elle est perfectionniste et que ça ne se passe pas exactement comme elle l’a imaginée, ça l’énerve. C’est sa grande qualité et c’est ce qui a fait cette joueuse-là car elle est hyper rigoureuse. Mais à un moment donné, elle se prenait plus la tête à savoir si le jeu était fait comme il le fallait plutôt qu’à mettre en place son jeu à elle. Comme ça, c’est lui libérer l’esprit.\n\nElle a 36 ans. Est-ce aussi l’économiser physiquement ?\n\nSur certaines choses mais il y en a d’autres où il va falloir qu’elle prenne l’habitude. Mine de rien, lorsque tu es extérieure, tu as beaucoup plus de courses, sur les contre-attaques, le jeu demi-terrain. Ce qu’elle va gagner en passant à l’aile, elle va le dépenser autrement. Elle ne va pas être sous des pressions tout terrain mais elle va prendre beaucoup d’écrans. Ça va être différent comme fatigue physique à part si elle la joue tranquille mais j’en doute (sourire). Ça va toujours être intense car elle est intense naturellement.\n\nÇa fait maintenant six ans qu’elle a été exposée aux Jeux de Londres. Est-elle encore la chouchoute du public quand vous vous déplacez ?\n\nC’est toujours le cas mais un peu moindre. Quoiqu’il arrive les gens la connaissent, viennent la voir. C’est effectivement moins important qu’à la sortie des JO où c’était monstrueux, inimaginables mais ça reste un centre d’intention.\n\nVous qui avez connu le succès mais dans un cercle plus fermé, avez-vous été surpris qu’une basketteuse puisse être adulée ainsi ?\n\nUn choc, non, car c’est juste la preuve du « pouvoir » des JO. Les Jeux Olympiques ont un impact qui est incomparable avec n’importe quelle compétition. Dans l’esprit des gens, ce n’est pas du tout la même chose d’être champion du monde que d’être champion olympique parce qu’on va tabler sur un cercle beaucoup plus importants de spectateurs. Des spectateurs sportifs et pas uniquement basket.\n\nC’était télévisé sur France Télévisions.\n\nC’est pour ça que c’est l’impact des JO avec tout ce que ça comprend. Effectivement, ça passe sur la télé publique. Je n’aime pas l’expression « sport mineur » mais disons que sont exposés des sports qui ne passent pas souvent à la télé. Et si ces sports-là sont performants, les gens regardent. Moi la première, aux JO je regarde des sports que je ne regarde jamais.\n\n« J’ai eu un seul entraîneur femme dans ma carrière de joueuse, Jacky Delachet, quand je suis entrée à l’INSEP. Ça remonte ! »\n\nEst-ce une fierté pour Basket Landes et les deux intéressées, Marie-Laure Lafargue* et vous, d’être des femmes comme présidente et coach alors qu’il n’y a pas d’autres doublettes comme ça ?\n\nOn a même une assistante femme ! (NDLR : Julie Barennes). Il n’y a pas d’actions féministes, ce n’est pas fait pour que l’on parle de nous. Il y a un trio de dirigeants qui fonctionnent ensemble et pour amener toujours une dynamique, ils se passent la main. On a eu Pierre Dartiguelongue comme président, ensuite Didier Massy et maintenant c’est Marie-Laure, qui est redevenue salariée du club. Avoir une présidence tournante permet de rester en activité. On ne s’endort pas sur ses lauriers, ça stimule les uns et les autres. Je trouve ça hyper intéressant. J’ose espérer que l’on a choisi une coach et une président sans faire attention à leur sexe.\n\nA l’inverse, vous êtes la seule femme coach en Ligue Féminine. A quoi attribuez ça ? Au manque de vocation ? A un certain sexisme ?\n\nIl n’y a pas que moi, il y a aussi Valérie Garnier en équipe de France. Je pense qu’il y a peut-être un manque d’ambition des femmes et aussi des habitudes. C’est la réalité, il y a beaucoup, beaucoup plus d’entraîneurs hommes que de femmes à n’importe quel niveau. Nous, les femmes, sommes-nous un peu plus sages dans nos ambitions ? On a plus de mal à y croire donc à l’affirmer et donc à se vendre. Il y en a moins sur le marché donc il y en a moins en poste. J’ai eu un seul entraîneur femme dans ma carrière de joueuse, Jacky Delachet, quand je suis entrée à l’INSEP. Ça remonte ! C’est vrai que j’ai été habituée à des hommes. Est-ce cette habitude qui fait qu’il y en a toujours beaucoup plus ? Il faudrait demander à ceux qui décident (rires).\n\nPour vous, Valérie Garnier, qui a été internationale, qui a longtemps coaché en Ligue Féminine notamment à Bourges, en équipe de France, et maintenant en Turquie -c’est la première femme à l’étranger-, c’est un exemple à suivre ?\n\nJ’ai un grand respect pour ce qu’elle a réussi à faire. Elle a eu une progression constante dans la proposition des postes qu’elle a eu. Je ne dirais pas que c’est un exemple dans le sens où je n’en suis pas à me dire que je vais faire comme elle. En fait, je vie au jour le jour. Je ne me dis pas, si Valérie a réussi à faire ça, je vais faire ça. J’ai un grand respect pour ce qu’elle a fait mais je ne suis pas dans la comparaison.\n\nA ce propos, que pensez-vous de la génération 2018 de l’équipe de France ? Elle est dans le top 8 des compétitions internationales depuis 1999. C’est votre génération qui a initié ça ?\n\nÇa ne me rend pas fière de ce que j’ai pu faire mais d’être française en règle générale. Je suis super heureuse que l’on soit un pays qui soit toujours présent, qui soit capable de toujours évoluer quelque soit les générations, les gens qui passent. Ce n’est pas lié à une génération, à deux ou trois personnes, mais à un pays. Ça valorise tout le travail qui est fait, dès que les personnes commencent, tout au long de la formation, puis ensuite les mettre dans des conditions pour évoluer au plus haut niveau en pro pour qu’elles continuent à progresser et maintenir une sorte de statut de ce qu’est maintenant l’équipe de France. Le plus dur c’est d’avoir cette continuité. Certains pays tombent sur une génération dorée et vont être performants tant qu’ils sont là et le jour où ils s’en vont, il n’y a plus rien. Alors qu’en ayant fait le travail autour, on est présent quelque soit les individus qui composent l’équipe de France.\n\nL’équipe de France juniors a eu des médailles depuis 2008 jusqu’à l’année dernière. C’est l’assurance ensuite d’avoir de bons résultats à l’âge adulte ?\n\nJe considère que la génération qui est la plus « importante », c’est U18. C’est là qu’on y voit l’effet de la formation française du plus jeune âge aux pôles, aux centres de formation et au Centre Fédéral. C’est vrai qu’avoir des performances en U18 ce sont de bons signes pour la suite. Ce n’est pas une vérité, on ne peut pas affirmer que si on est champion ou sur le podium en U18 pendant dix ans notre équipe senior va être performante. Mais il y a des effets. Chez les U20, les meilleures de la génération commencent déjà à intégrer l’équipe senior. On le voit dans l’équipe de France actuelle avec les générations 94 et 98 championnes d’Europe et d’autres qui ont fait des médailles. Il y a des jeunes sur qui on peut s’appuyer, qui ont toutes les qualités requises pour faire perdurer l’équipe de France au plus haut niveau.\n\nPARCOURSJOUEUSE\n1984-1989 Rennes (NF2)\n1999-1993 Centre Fédéral (NF1)\n1993-1994 Tarbes\n1994-1995 Aix en Provence\n1995-2003 Bourges\n2003-2005 Venise\n2005-2009 BourgesENTRAÎNEUR :\nCLUBS\n2011-2013 Bourges (centre de formation)\n2013-2017 Centre Fédéral\nDepuis 2017 Basket LandesEQUIPES NATIONALES\n2008-2009 Équipe de France U16F (assistante)\n2010 Équipe de France U17 (assistante)\n2012 Équipe de France U18F (assistante)\n2013 Équipe de France U19F (assistante)\n2014-2015 Équipe de France U16F\n2016 Équipe de France U17F\n2017 Équipe de France U18F\n\n*Lors de sa prise de présidence, Marie-Laure Lafargue a fourni quelques chiffres sur le club:\n\nBasket Landes a le 7 ème budget de LFB avec 1.487 M€ en dessous de la moyenne des clubs de Ligue qui est à 1.716 M€ et Bourges est à 3.354 M€\n\n23% de recettes spectateurs contre 7,5 % au plan national\n\n30,8% de subventions publiques contre 47,5% au plan national\n\n44,62% partenariat privé contre 38,6% au plan national\n\n50 000 spectateurs en 2018 à Mitterrand et 88,7 % de remplissage sur la saison, probablement le plus important public de France en remplissage et en recettes sur 2017-2018\n\n1 008 abonnés , 29% de l’agglomération montoise, 26% de Tursan/chalosse , 15% pays dacquois et côte sud , 12% du Gabardan/Armagnac , 6% du nord des Landes et 12% hors département.\n\n468 partenaires de 150€ a 80000€ , contre 10 partenaires pour 150000€ en tout en 2008.\n\n26% des partenaires sont issus de l’agglo montoise, 44% du reste du département, 12% de Nouvelle Aquitaine et 18% National.\n\n29% de subventions publiques , soit l’un des plus faible taux de la LFB, réparties entre 310,5M€ du Conseil Départemental (dont 260M€ pour le centre de formation) , 70 M€ de la Région , et 30M€ de l’agglo.\n\nA suivre demain.\n\n[armelse]\n\nA quel moment avez-vous choisi de faire une carrière de coach professionnel ?\n\nJe ne l’ai pas décidé ! (Sourire) Je n’avais aucun plan de carrière en tant qu’entraîneur. C’est l’occasion qui s’est présentée. Après ma carrière, Jean-Pierre De Vincenzi (NDLR : à l’époque DTN) m’avait conseillée de passer le concours de professerat de sport et d’intégrer la formation française au sein des équipes de France jeune et ensuite à l’INSEP. J’étais plus partie sur de la formation. Ça me plaît d’entraîner les jeunes et je ne voulais pas dès mon arrêt de carrière entraîner des pros direct.\n\nDe quels coaches avez-vous le plus appris ?\n\nIl y a des choses qui nous plaisent et d’autres qui nous déplaisent de chaque coach. Tous m’ont inspirée et m’ont permis de me dire quel coach je veux être. C’est vrai que j’ai des sensibilités avec certains coaches que j’ai beaucoup apprécié mais je ne me suis pas dit telle personne fait ça, je dois faire ça car on a chacun notre personnalité et il faut que je sois en cohérence avec ce que je suis. C’est s’inspirer mais pas faire du copier/coller. Si je décide de faire comme quelqu’un d’autre, je m’y perds donc il faut rester soi-même.\n\nLe stress est-il plus important que lorsqu’on est joueuse ?\n\nIl est complètement différent. Quand on est joueuse, on est dans l’action alors que lorsqu’on est entraîneur, on se sent un peu en dehors de tout ça. On n’a pas la possibilité d’avoir la main sur quelque chose. On a le stress de ne pas avoir autant de maîtrise qu’en tant que joueuse.\n\nDepuis que vous êtes coach, êtes-vous toujours une aussi grosse consommatrice de matchs à la télé et d’articles sur le basket ?\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhotos: Cathy Melain et Céline Dumerc (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/09/cathy-melain-e1538227363602.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2019-01-01T08:20:25.000Z", "updated_at":"2018-12-20T09:29:42.000Z", "published_at":"2019-01-01T08:20:25.000Z", "custom_excerpt":"Cathy Melain, 44 ans, n’était pas la saison dernière une rookie comme les autres en Ligue Féminine. 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L’ancien international et actuellement consultant sur RMC Sport Stephen Brun a mis en ligne sur twitter le mail que Frédéric Forte adressa aux collaborateurs du Limoges CSP le 31 décembre 2017 à 17h18. Soit quelques instants avant son décès.
Un supporter du club, Jean-Marc Bégouin, a pour sa part re-tweeté une réponse que le président du CSP lui avait adressé. Un message incroyablement prémonitoire:
« J’ai appris que le bonheur d’un jour pouvait ne pas passer la nuit. »
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Vous pouvez commander le magazine SPECIAL SALAIRES ici sur notre boutique.
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Voici en préambule les top 10 des salaires des Français et le top 10 des salaires des étrangers.
Que remarque t-on ?
Que 15 des 20 top-salaires sont réservés à Villeurbanne, Monaco et Strasbourg. Les trois plus grosses masses salariales.
Que ce sont les étrangers les mieux payés. Trois Français seulement figureraient dans un top 10 scratch.
A propos des Français, Youssoupha Fall grâce son contrat avec Vitoria flirte avec le salaire de Charles Kahudi, indéboulonnable numéro 1 depuis son arrivée à l’ASVEL en 2015.
On mesure le décalage entre les espérances de Limoges à propos de Mam Jaiteh comparé à ses performances. Cela s’appelle un flop.
Côté étrangers, en fait Mantas Kalnietis est de très loin le numéro 1 puisqu’il est toujours sous contrat avec Milan et le club lombard met de sa poche la moitié du salaire de 650 000€. Le Lituanie est un VRAI joueur majeur d’Euroleague comme l’atteste son CV et son style de jeu cérébral.
Les big men de valeur sont prisés, ce qui explique les salaires de Miro Bilan et Elmedin Kikanovic. Le Croate a signé à l’ASVEL jusqu’en 2020 et le Bosniaque a prolongé à Monaco pour la même durée.
Le Manceau Richard Hendrix est un peu cher étant donné son rendement depuis le début de saison, mais pas vis-à-vis de son passé en Euroleague/Eurocup.
Neuf joueurs de Jeep Elite sont ainsi à 250 000 euros et davantage. Ils n’étaient que cinq l’an dernier et quatre il y a six ans.
C’est par ordre alphabétique que nous allons publier chaque jour une équipe de Jeep Eliteavec ses salaires. Bonne lecture !
*Les salaires sont en Euros et annuels nets. Ce ne sont pas des chiffres officiels mais des estimations obtenues auprès d’acteurs de la Jeep Elite. La marge d’erreur est de +ou- 10%.
Voir ici les salaires de 2016-17.
Voir ici les salaires de 2017-18.
Les tops 20 des salaires des joueurs français et des joueurs étrangers :
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[armelse]
Voici en préambule les top 10 des salaires des Français et le top 10 des salaires des étrangers.
Que remarque t-on ?
Que 16 des 20 top-salaires sont réservés à Villeurbanne, Monaco et Strasbourg. Les trois plus grosses masses salariales.
Que ce sont les étrangers les mieux payés. Trois Français seulement figureraient dans un top 10 scratch.
A propos des Français,
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Photo: Mantas Kalnietis, Villeurbanne (Eurocupbasketball)
", "comment_id":"444145", "plaintext":"Pour la troisième saison consécutive, BasketEurope.com offre en exclusivité à ses abonnés les salaires des joueurs de Jeep Elite après ceux des coaches. Nous prenons ainsi le relai de BasketHebdo, BasketNews, Maxi-Basket et BasketHebdo deuxième version, qui les ont tour à tour publiés sur les deux dernières décennies.\n\nVous pouvez commander le magazine SPECIAL SALAIRES ici sur notre boutique.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nVoici en préambule les top 10 des salaires des Français et le top 10 des salaires des étrangers.\n\nQue remarque t-on ?\n\nQue 15 des 20 top-salaires sont réservés à Villeurbanne, Monaco et Strasbourg. Les trois plus grosses masses salariales.\n\nQue ce sont les étrangers les mieux payés. Trois Français seulement figureraient dans un top 10 scratch.\n\nA propos des Français, Youssoupha Fall grâce son contrat avec Vitoria flirte avec le salaire de Charles Kahudi, indéboulonnable numéro 1 depuis son arrivée à l’ASVEL en 2015.\n\nOn mesure le décalage entre les espérances de Limoges à propos de Mam Jaiteh comparé à ses performances. Cela s’appelle un flop.\n\nCôté étrangers, en fait Mantas Kalnietis est de très loin le numéro 1 puisqu’il est toujours sous contrat avec Milan et le club lombard met de sa poche la moitié du salaire de 650 000€. Le Lituanie est un VRAI joueur majeur d’Euroleague comme l’atteste son CV et son style de jeu cérébral.\n\nLes big men de valeur sont prisés, ce qui explique les salaires de Miro Bilan et Elmedin Kikanovic. Le Croate a signé à l’ASVEL jusqu’en 2020 et le Bosniaque a prolongé à Monaco pour la même durée.\n\nLe Manceau Richard Hendrix est un peu cher étant donné son rendement depuis le début de saison, mais pas vis-à-vis de son passé en Euroleague/Eurocup.\n\nNeuf joueurs de Jeep Elite sont ainsi à 250 000 euros et davantage. Ils n’étaient que cinq l’an dernier et quatre il y a six ans.\n\nC’est par ordre alphabétique que nous allons publier chaque jour une équipe de Jeep Eliteavec ses salaires. Bonne lecture !\n\n*Les salaires sont en Euros et annuels nets. Ce ne sont pas des chiffres officiels mais des estimations obtenues auprès d’acteurs de la Jeep Elite. La marge d’erreur est de +ou- 10%.\n\nVoir ici les salaires de 2016-17.\n\nVoir ici les salaires de 2017-18.\n\nLes tops 20 des salaires des joueurs français et des joueurs étrangers :\n\n[table id=165 /]\n\n[table id=159 /]\n\nVous pouvez commander le magazine SPECIAL SALAIRES ici sur notre boutique.\n\n[armelse]\n\nVoici en préambule les top 10 des salaires des Français et le top 10 des salaires des étrangers.\n\nQue remarque t-on ?\n\nQue 16 des 20 top-salaires sont réservés à Villeurbanne, Monaco et Strasbourg. Les trois plus grosses masses salariales.\n\nQue ce sont les étrangers les mieux payés. Trois Français seulement figureraient dans un top 10 scratch.\n\nA propos des Français,\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto: Mantas Kalnietis, Villeurbanne (Eurocupbasketball)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/11/mantas-kalnietis-ldlc-asvel-villeurbanne-photo-infinity-nine-media-alexia-leduc-ec18-e1541432563475.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-31T16:45:45.000Z", "updated_at":"2022-01-17T13:50:43.000Z", "published_at":"2018-12-31T16:45:45.000Z", "custom_excerpt":"Pour la troisième saison consécutive, BasketEurope.com offre en exclusivité à ses abonnés les salaires des joueurs de Jeep Elite après ceux des coaches. 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Voici notamment trois photos que Hervé Beddeleem, le directeur exécutif du BCM Gravelines-Dunkerque partage sur twitter, en rappelant que Frédéric Forte fut l’équipier d’Olivier Bourgain, l’actuel directeur sportif du CSP, au sein du club du nord.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/forte-2-1-e1546267794229.jpg\")
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/forte-3-1-e1546267875554.jpg\")
Photo : LNB / IS / Bellenger
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Un qui était très, très adroit c’est Juice Thompson avec qui j’étais à Pau et qui joue maintenant au Mans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Le meilleur shooteur contre qui vous avez joué :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je ne me souviens plus de son nom, mais il y avait un bon shooteur à Capo d’Orlando l’année dernière. Il avait une super gestuelle. Il a bien joué contre nous, mais je ne sais pas si c’était sur un match ou s’il a fait ça toute la saison. Il m’avait impressionné, j’avais kiffé le joueur (ndlr, Mirza Alibegovic a fait 4/6 puis 5/10 à trois points contre Chalon en Champions League. Il tournait l’année dernière à 36% à trois-points). Ah non, je dirais Jarell Eddie ! Il a planté quand on a joué à Strasbourg (ndlr, 6/8 à trois points) !\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Un shooteur qui vous inspire :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Jaycee Carroll, le shooteur du Real Madrid. En France, je dirais Cédric Ferchaud. Une grosse gestuelle du basket français.\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Si vous pouviez prendre le shoot d’un joueur :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ray Allen j’adorais, vraiment. Le gainage, les appuis, c’était un truc de malade. Ce joueur c’était une machine de guerre. Dans n’importe quel sens où il arrivait, il était capable de se re-situer !\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Les secrets d’un bon tir :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Travailler. Je ne pense pas que le secret ce soit une gestuelle parfaite parce que plein de shooteur ont des gestuelles pas très élégantes. Il faut se sentir à l’aise, avoir confiance en soi, ne pas avoir peur de balancer. Et la répétition.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Une ligne à quatre-points :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ça serait marrant ! On rajoute une ligne entre le milieu de terrain et celle à trois points. Une ligne à quatre-points ça serait bien et pas bien parce que ça spécialiserait encore plus les shooteurs en shooteurs. Ce serait rigolo, mais à voir…\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Un tir en carrière à raconter :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mon tir derrière la planche, bien sûr. On est à moins deux, le match c’est Evreux contre Boulazac en demi-finale des playoffs de Pro B. Il doit rester six secondes en sortie de temps mort. On fait un système pour donner le ballon à Joe Burton au post-up à la base parce qu’il était inarrêtable. Finalement, BA Walker se retrouve avec le ballon dans le corner et il shoot. Il est bien défendu et fait air ball. Guillaume Constantin fait une petite tape sur la balle qui se dirige vers la touche bordure de raquette à gauche et je pense que pour une des seules fois de ma carrière je vais au rebond offensif – parce que défensif j’y vais parfois (sourire) -, je trainais par là et après je n’ai pas réfléchi. Je savais qu’il restait peut-être une ou deux secondes, j’ai pris la balle je l’ai balancé au-dessus, ça a tapé deux ou trois fois le cercle et c’est tombé dedans. Je pense que je peux faire difficilement mieux pour l’instant…\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Comment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mon père, que j’ai amené avec moi ici au All Star Game. C’était un shooteur de base et il m’a un peu transmis les caractéristiques du shoot je pense. J’ai tout de suite été attiré part ça dans mon jeu. C’est ce qui me fait « vibrer » sur le terrain. Mettre des gros trois points, importants ou pas importants, c’est toujours plaisant. Certains c’est le dunk, d’autres c’est le cross, moi c’est le trois points. Il faut de tout pour faire une équipe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Votre tir préféré :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mon tir préféré je dirais une petite sortie de stagger (ndlr, double écran) avec appuis droite-gauche. Au niveau du poste de deuxième arrière. 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Comment avez-vous appris à aussi bien shooter ?
Mon père, que j’ai amené avec moi ici au All Star Game. C’était un shooteur de base et il m’a un peu transmis les caractéristiques du shoot je pense. J’ai mis très longtemps avant de réussir à le battre à un concours de shoots. J’ai tout de suite été attiré part ça dans mon jeu. C’est ce qui me fait « vibrer » sur le terrain. Mettre des gros trois-points, importants ou pas importants, c’est toujours plaisant. Certains c’est le dunk, d’autres c’est le cross, moi c’est le trois points. Il faut de tout pour faire une équipe.
Votre tir préféré :
Mon tir préféré, je dirais une petite sortie de stagger (ndlr, double écran) avec appuis droite-gauche. Au niveau du poste de deuxième arrière. Ceux-là je les kiffe.
Votre spot préféré :
Je ne sais même pas si j’ai de spot préféré. Dans le corner c’est souvent le cadeau, mais je ne pense pas que j’ai de spot favori. Ça dépend de la confiance du moment. En même temps, au shoot, soit c’est partout soit c’est nulle part.
Le tir le plus compliqué :
Les tirs en fin de possession. Quand tu es à trois ou quatre derrière la ligne et qu’on te balance une balle et qu’après il faut te débrouiller, genre « tiens Bastien, vas-y ! » (rires). Je pense que c’est le plus dur.
Le meilleur shooteur de l’histoire :
Ray Allen ! Tous les jours ! Les doigts dans le nez !
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/ray-allen-retraite-pas.jpg\")
Votre shooteur préféré :
Ray Allen aussi, évidemment.
Un shooteur sous-côté :
Je n’en ai vraiment aucune idée…
Le meilleur shooteur avec qui vous avez joué :
Moi-même (rires) ! Un qui était très, très adroit c’est Juice Thompson avec qui j’étais à Pau et qui joue maintenant au Mans.
Le meilleur shooteur contre qui vous avez joué :
Je ne me souviens plus de son nom, mais il y avait un bon shooteur à Capo d’Orlando l’année dernière. Il avait une super gestuelle. Il a bien joué contre nous, mais je ne sais pas si c’était sur un match ou s’il a fait ça toute la saison. Il m’avait impressionné, j’avais kiffé le joueur (ndlr, Mirza Alibegovic a fait 4/6 puis 5/10 à trois points contre Chalon en Champions League. Il tournait l’année dernière à 36% à trois-points). Ah non, je dirais Jarell Eddie ! Il a planté quand on a joué à Strasbourg (ndlr, 6/8 à trois points) !
Un shooteur qui vous inspire :
Jaycee Carroll, le shooteur du Real Madrid. En France, je dirais Cédric Ferchaud. Une grosse gestuelle du basket français.
Si vous pouviez prendre le shoot d’un joueur :
Ray Allen j’adorais, vraiment. Le gainage, les appuis, c’était un truc de malade. Ce joueur c’était une machine de guerre. Dans n’importe quel sens où il arrivait, il était capable de se re-situer !
Les secrets d’un bon tir :
Travailler. Je ne pense pas que le secret ce soit une gestuelle parfaite parce que plein de shooteur ont des gestuelles pas très élégantes. Il faut se sentir à l’aise, avoir confiance en soi, ne pas avoir peur de balancer. Et la répétition.
Une ligne à quatre-points :
Ça serait marrant ! On rajoute une ligne entre le milieu de terrain et celle à trois points. Une ligne à quatre-points ça serait bien et pas bien parce que ça spécialiserait encore plus les shooteurs en shooteurs. Ce serait rigolo, mais à voir…
Un tir en carrière à raconter :
Mon tir derrière la planche, bien sûr. On est à moins deux, le match c’est Evreux contre Boulazac en demi-finale des playoffs de Pro B. Il doit rester six secondes en sortie de temps mort. On fait un système pour donner le ballon à Joe Burton au post-up à la base parce qu’il était inarrêtable. Finalement, BA Walker se retrouve avec le ballon dans le corner et il shoot. Il est bien défendu et fait air ball. Guillaume Constantin fait une petite tape sur la balle qui se dirige vers la touche bordure de raquette à gauche et je pense que pour une des seules fois de ma carrière je vais au rebond offensif – parce que défensif j’y vais parfois (sourire) -, je trainais par là et après je n’ai pas réfléchi. Je savais qu’il restait peut-être une ou deux secondes, j’ai pris la balle je l’ai balancé au-dessus, ça a tapé deux ou trois fois le cercle et c’est tombé dedans. Je pense que je peux faire difficilement mieux pour l’instant…
[armelse]
Comment avez-vous appris à aussi bien shooter ?
Mon père, que j’ai amené avec moi ici au All Star Game. C’était un shooteur de base et il m’a un peu transmis les caractéristiques du shoot je pense. J’ai tout de suite été attiré part ça dans mon jeu. C’est ce qui me fait « vibrer » sur le terrain. Mettre des gros trois points, importants ou pas importants, c’est toujours plaisant. Certains c’est le dunk, d’autres c’est le cross, moi c’est le trois points. Il faut de tout pour faire une équipe.
Votre tir préféré :
Mon tir préféré je dirais une petite sortie de stagger (ndlr, double écran) avec appuis droite-gauche. Au niveau du poste de deuxième arrière. Ceux-là je les kiffe.
Votre spot préféré :
Je ne sais même pas si j’ai de spot préféré. Dans le corner c’est souvent le cadeau, mais je ne pense pas que j’ai de spot favori. Ça dépend de la confiance du moment. En même temps soit c’est partout soit c’est nulle part au shoot.[/arm_restrict_content]
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Photo : LNB / IS / Bellenger
", "comment_id":"448424", "plaintext":"Vainqueur du concours à trois points du All Star Game LNB 2018, Bastien Pinault (1,95m, 25 ans) est de plus en plus reconnu en France pour ses aptitudes de shooteur à longue distance. La veille, alors qu’il avait enchaîné plusieurs séries à plus de 20 réussites, le sniper de l’Elan Chalon a répondu à nos « questions spéciales shooteurs. » Les interviews des trois autres concurrents du concours de tirs suivront cette semaine.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\n\nMon père, que j’ai amené avec moi ici au All Star Game. C’était un shooteur de base et il m’a un peu transmis les caractéristiques du shoot je pense. J’ai mis très longtemps avant de réussir à le battre à un concours de shoots. J’ai tout de suite été attiré part ça dans mon jeu. C’est ce qui me fait « vibrer » sur le terrain. Mettre des gros trois-points, importants ou pas importants, c’est toujours plaisant. Certains c’est le dunk, d’autres c’est le cross, moi c’est le trois points. Il faut de tout pour faire une équipe.\n\nVotre tir préféré :\n\nMon tir préféré, je dirais une petite sortie de stagger (ndlr, double écran) avec appuis droite-gauche. Au niveau du poste de deuxième arrière. Ceux-là je les kiffe.\n\nVotre spot préféré :\n\nJe ne sais même pas si j’ai de spot préféré. Dans le corner c’est souvent le cadeau, mais je ne pense pas que j’ai de spot favori. Ça dépend de la confiance du moment. En même temps, au shoot, soit c’est partout soit c’est nulle part.\n\nLe tir le plus compliqué :\n\nLes tirs en fin de possession. Quand tu es à trois ou quatre derrière la ligne et qu’on te balance une balle et qu’après il faut te débrouiller, genre « tiens Bastien, vas-y ! » (rires). Je pense que c’est le plus dur.\n\nLe meilleur shooteur de l’histoire :\n\nRay Allen ! Tous les jours ! Les doigts dans le nez !\n\nVotre shooteur préféré :\n\nRay Allen aussi, évidemment.\n\nUn shooteur sous-côté :\n\nJe n’en ai vraiment aucune idée…\n\nLe meilleur shooteur avec qui vous avez joué :\n\nMoi-même (rires) ! Un qui était très, très adroit c’est Juice Thompson avec qui j’étais à Pau et qui joue maintenant au Mans.\n\nLe meilleur shooteur contre qui vous avez joué :\n\nJe ne me souviens plus de son nom, mais il y avait un bon shooteur à Capo d’Orlando l’année dernière. Il avait une super gestuelle. Il a bien joué contre nous, mais je ne sais pas si c’était sur un match ou s’il a fait ça toute la saison. Il m’avait impressionné, j’avais kiffé le joueur (ndlr, Mirza Alibegovic a fait 4/6 puis 5/10 à trois points contre Chalon en Champions League. Il tournait l’année dernière à 36% à trois-points). Ah non, je dirais Jarell Eddie ! Il a planté quand on a joué à Strasbourg (ndlr, 6/8 à trois points) !\n\nUn shooteur qui vous inspire :\n\nJaycee Carroll, le shooteur du Real Madrid. En France, je dirais Cédric Ferchaud. Une grosse gestuelle du basket français.\n\nSi vous pouviez prendre le shoot d’un joueur :\n\nRay Allen j’adorais, vraiment. Le gainage, les appuis, c’était un truc de malade. Ce joueur c’était une machine de guerre. Dans n’importe quel sens où il arrivait, il était capable de se re-situer !\n\nLes secrets d’un bon tir :\n\nTravailler. Je ne pense pas que le secret ce soit une gestuelle parfaite parce que plein de shooteur ont des gestuelles pas très élégantes. Il faut se sentir à l’aise, avoir confiance en soi, ne pas avoir peur de balancer. Et la répétition.\n\nUne ligne à quatre-points :\n\nÇa serait marrant ! On rajoute une ligne entre le milieu de terrain et celle à trois points. Une ligne à quatre-points ça serait bien et pas bien parce que ça spécialiserait encore plus les shooteurs en shooteurs. Ce serait rigolo, mais à voir…\n\nUn tir en carrière à raconter :\n\nMon tir derrière la planche, bien sûr. On est à moins deux, le match c’est Evreux contre Boulazac en demi-finale des playoffs de Pro B. Il doit rester six secondes en sortie de temps mort. On fait un système pour donner le ballon à Joe Burton au post-up à la base parce qu’il était inarrêtable. Finalement, BA Walker se retrouve avec le ballon dans le corner et il shoot. Il est bien défendu et fait air ball. Guillaume Constantin fait une petite tape sur la balle qui se dirige vers la touche bordure de raquette à gauche et je pense que pour une des seules fois de ma carrière je vais au rebond offensif – parce que défensif j’y vais parfois (sourire) -, je trainais par là et après je n’ai pas réfléchi. Je savais qu’il restait peut-être une ou deux secondes, j’ai pris la balle je l’ai balancé au-dessus, ça a tapé deux ou trois fois le cercle et c’est tombé dedans. Je pense que je peux faire difficilement mieux pour l’instant…\n\n[armelse]\n\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\n\nMon père, que j’ai amené avec moi ici au All Star Game. C’était un shooteur de base et il m’a un peu transmis les caractéristiques du shoot je pense. J’ai tout de suite été attiré part ça dans mon jeu. C’est ce qui me fait « vibrer » sur le terrain. Mettre des gros trois points, importants ou pas importants, c’est toujours plaisant. Certains c’est le dunk, d’autres c’est le cross, moi c’est le trois points. Il faut de tout pour faire une équipe.\n\nVotre tir préféré :\n\nMon tir préféré je dirais une petite sortie de stagger (ndlr, double écran) avec appuis droite-gauche. Au niveau du poste de deuxième arrière. Ceux-là je les kiffe.\n\nVotre spot préféré :\n\nJe ne sais même pas si j’ai de spot préféré. Dans le corner c’est souvent le cadeau, mais je ne pense pas que j’ai de spot favori. Ça dépend de la confiance du moment. 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C’est le General Manager Chris Wallace qui a annoncé la nouvelle.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Alors qu’il avait re-signé au Mans pour une saison supplémentaire, Dalent Jameral (ce sont ses prénoms) Stephens avait finalement préféré s’engager avec les Grizzlies pour retourner en NBA à travers un two-way contract; il y avait joué trois matches en 2013-14.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mais s’il est apparu 10 fois en G League’s pour 7,9 points et 5,0 rebonds en 23 minutes, il n’a joué qu’un seul match en NBA, le 8 décembre face aux Los Angeles Lakers pour 2 points et 1 interception en 7 minutes.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Un an après avoir remporté le concours de dunk du all-Star Game LNB, DJ Stephens (1,96m, 28 ans) a été coupé par les Memphis Grizzlies. C’est le General Manager Chris Wallace qui a annoncé la nouvelle.
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\\n— LFB (@basketlfb) December 31, 2018
La Ligue Féminine a demandé à plusieurs joueuses étrangères de présenter leurs meilleurs voeux pour 2019. Voici le résultat…
Avec Endy Miyem en bonus.
\n⌚️Plus que quelques heures avant la nouvelle année 🎉 , il reste encore un peu de travail pour @dreamingtree44 #MailisPokk #TinaTrebec @anasuarez500 @zofi_hruscakova @Clars_santos @NathalieEsie @Endidi711 pic.twitter.com/Li9591Mt3T
\n— LFB (@basketlfb) December 31, 2018
| Saison | \\nMatch | \\nPublique | \\nLes équipes | \\n
| 2018-19 | \\nSaison régulière | \\n15 544 | \\nKIROLBET Baskonia-Real Madrid | \\n
| 2015-16 | \\nSaison régulière | \\n15 544 | \\nLaboral Kutxa Baskonia – Real Madrid | \\n
| 2017-18 | \\nPlayoffs (Finale, 3ème) | \\n15 512 | \\nKIROLBET Baskonia-Real Madrid | \\n
| 2011-12 | \\nSaison régulière | \\n15,504 | \\nCaja Laboral – Real Madrid | \\n
| 2006-07 | \\nSaison régulière | \\n15 414 | \\nL. A Ceramica Bilbao Basket-Tau | \\n
| 2003-04 | \\nPlayoffs (Finale, 4ème) | \\n15 350 | \\nAdecco Estudiantes – FC Barcelone | \\n
| 2011-12 | \\nPlayoffs (demi-finales, 4ème) | \\n15 219 | \\nCaja Laboral – Real Madrid | \\n
| 2003-04 | \\nPlayoffs (1/4 de finale, 3ème) | \\n15 200 | \\nEstudiantes Adecco – Real Madrid | \\n
| 2003-04 | \\nPlayoffs (Finale, 3ème) | \\n15 200 | \\nAdecco Estudiantes – FC Barcelone | \\n
| 1990-91 | \\nPlayoffs (demi-finales, 2e) | \\n15.104 | \\nFC Barcelone – Estudiantes CP | \\n
| 1990-91 | \\nPlayoffs (4ème finale) | \\n15.101 | \\nFC Barcelone – Montigalá Joventut | \\n
La Buesa Arena de Vitoria était à guichets fermés hier pour la réception du Real Madrid, égalant ainsi le record de l’histoire de la Liga Endesa, Vitoria-Real Madrid du 3 janvier 2016: 15 544 spectateurs.
Les quatre meilleures affluences de la Liga Endesa ont été réalisées à Vitoria.
| Saison | \nMatch | \nPublique | \nLes équipes | \n
| 2018-19 | \nSaison régulière | \n15 544 | \nKIROLBET Baskonia-Real Madrid | \n
| 2015-16 | \nSaison régulière | \n15 544 | \nLaboral Kutxa Baskonia – Real Madrid | \n
| 2017-18 | \nPlayoffs (Finale, 3ème) | \n15 512 | \nKIROLBET Baskonia-Real Madrid | \n
| 2011-12 | \nSaison régulière | \n15,504 | \nCaja Laboral – Real Madrid | \n
| 2006-07 | \nSaison régulière | \n15 414 | \nL. A Ceramica Bilbao Basket-Tau | \n
| 2003-04 | \nPlayoffs (Finale, 4ème) | \n15 350 | \nAdecco Estudiantes – FC Barcelone | \n
| 2011-12 | \nPlayoffs (demi-finales, 4ème) | \n15 219 | \nCaja Laboral – Real Madrid | \n
| 2003-04 | \nPlayoffs (1/4 de finale, 3ème) | \n15 200 | \nEstudiantes Adecco – Real Madrid | \n
| 2003-04 | \nPlayoffs (Finale, 3ème) | \n15 200 | \nAdecco Estudiantes – FC Barcelone | \n
| 1990-91 | \nPlayoffs (demi-finales, 2e) | \n15.104 | \nFC Barcelone – Estudiantes CP | \n
| 1990-91 | \nPlayoffs (4ème finale) | \n15.101 | \nFC Barcelone – Montigalá Joventut | \n
Cette fresque a été dénichée par nos confrères de Basket 24 dans le centre-ville d’Athènes. Elle représente la légende Nick Galis, un Américano-Grec qui propulsa la Grèce vers le titre de championne d’Europe en 1987. Une preuve supplémentaire que le basket fait véritablement partie de la culture du pays.
", "comment_id":"448455", "plaintext":"Cette fresque a été dénichée par nos confrères de Basket 24 dans le centre-ville d’Athènes. Elle représente la légende Nick Galis, un Américano-Grec qui propulsa la Grèce vers le titre de championne d’Europe en 1987. Une preuve supplémentaire que le basket fait véritablement partie de la culture du pays.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/gallis-e1546244129156.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-31T08:16:33.000Z", "updated_at":"2018-12-31T08:16:33.000Z", "published_at":"2018-12-31T08:16:33.000Z", "custom_excerpt":"Cette fresque a été dénichée par nos confrères de Basket 24 dans le centre-ville d’Athènes. Elle représente la légende Nick Galis, un Américano-Grec qui propulsa la Grèce vers le titre de championne d’Europe en 1987. Une preuve supplémentaire que le basket fait véritablement partie de la culture du ", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da529", "uuid":"2aaf5dab-8dd1-411f-83ac-efd836976a5f", "title":"Programme TV: Le départ du top 16 de l’Eurocup", "slug":"programme-tv-le-depart-du-top-16-de-leurocup", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Semaine allégée puisque la Jeep Elite et la BCL font relâche mais appétissante néanmoins avec notamment le départ du top 16 de l’Eurocup et le choc en Ligue Féminine, Bourges-Montpellier.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Mercredi 2 janvier:\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h30 – Krasnodar/Villeurbanne – Eurocup – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Belgrade/Limoges – Eurocup – RMC Sport 3\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jeudi 3 janvier:\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h – Berlin/Monaco – Eurocup – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h30 – Efes Istanbul/Munich – Euroleague – RMC Sport Live 5\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h45 – Madrid/ Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h45 – Milan/Podgoricia – Euroleague – RMC Sport Live 6\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"21h30 – Gran Canaria/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 7\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vendredi 4 janvier\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h45 – Fenerbahçe/Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 5\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"19h00 – Kaunas/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sort Live 6\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h00 – Olympiakos/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"21h00 – Barcelone/Darussafaka – Euroleague – RMC Sport Live 7\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Dimanche 6 janvier\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"18h30 – Bourges/Montpellier – LFB – RMC Sport 2\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: Jonathan Rousselle (Limoges, Eurocupbasketball)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Semaine allégée puisque la Jeep Elite et la BCL font relâche mais appétissante néanmoins avec notamment le départ du top 16 de l’Eurocup et le choc en Ligue Féminine, Bourges-Montpellier.
Mercredi 2 janvier:
18h30 – Krasnodar/Villeurbanne – Eurocup – RMC Sport 2
20h00 – Belgrade/Limoges – Eurocup – RMC Sport 3
Jeudi 3 janvier:
18h – Berlin/Monaco – Eurocup – RMC Sport 2
18h30 – Efes Istanbul/Munich – Euroleague – RMC Sport Live 5
20h45 – Madrid/ Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport 2
20h45 – Milan/Podgoricia – Euroleague – RMC Sport Live 6
21h30 – Gran Canaria/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 7
Vendredi 4 janvier
18h45 – Fenerbahçe/Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 5
19h00 – Kaunas/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sort Live 6
20h00 – Olympiakos/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport 2
21h00 – Barcelone/Darussafaka – Euroleague – RMC Sport Live 7
Dimanche 6 janvier
18h30 – Bourges/Montpellier – LFB – RMC Sport 2
Photo: Jonathan Rousselle (Limoges, Eurocupbasketball)
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Mais la façon dont ça s’est terminé ça m’a vraiment touché parce que nous voulions tous jouer ces playoffs. C’est d’autant plus difficile quand on voit comment se passe la saison. Elle a très bien commencé, mais très mal terminé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le meilleur souvenir de joueur :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je pense que c’est le titre de Pro B remporté avec la JL Bourg en 2017. Être élu MVP de la saison l’an dernier reste aussi un très bon souvenir.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je dirais Trey Lewis qui est passé par Bourg la saison dernière. Il a été très impressionnant dans sa façon de shooter, d’aller au cercle. C’est le plus talentueux avec qui j’ai joué.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’adversaire le plus coriace :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Tim Blue ! Son niveau, son talent. Il me rappelle un peu Kevin Durant. 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Depuis cette période, nous sommes très proches, on se voit tous les étés. Il y a lui et aussi Anthony Smith. Nous avons commencé nos carrières ensemble dans les deux même clubs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La ville ou vous avez joué que vous préférez :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’ai beaucoup apprécié Francfort. C’est ce genre de villes dans lesquelles chaque jour de la semaine il y a quelque chose à faire, à voir. C’est bien sûr parce que c’était une base américaine donc la ville a un peu été américanisée. Ça aide.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Principale occupation entre deux entraînements :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En dehors du basket j’adore faire des grandes balades avec mon chien, un bulldog anglais ! Ça semble bizarre, mais je suis très sérieux ! Si je suis en forme, je veux que toutes les personnes qui vivent chez moi soient en forme donc on va beaucoup marcher. Je joue beaucoup avec lui. J’aime bien jouer au tennis de table aussi. J’ai également la chance de pouvoir jouer au golf et je pense que je vais prendre une licence parce que j’adore le challenge qu’il y a dans ce sport. Sinon, il y a la lecture et j’aime regarder des films.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le principal sujet de conversation dans le vestiaire :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On parle beaucoup du fait de rester concentrés.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Une règle à changer dans le basket :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je n’aime pas les nouveaux critères des fautes antisportives. Surtout quand on essaye de stopper la balle et que c’est tout de suite considéré comme étant antisportif. Même si dans ta tête tu y vas pour chercher la balle, pour les arbitres non et c’est tout de suite antisportif.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Si vous ne jouiez pas au basket :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’aurais été dans le business d’une manière ou d’une autre. Dans l’entrepreunariat parce que je ne vois pas travailler pour quelqu’un. 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Il es toujours mon modèle aujourd’hui.[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[10,1]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"MVP en titre de Jeep Elite et leader incontesté de la JL Bourg, Zachery Peacock (2,03m) qui a fêté ses 31 ans samedi dernier était présent au Media Day LNB il y a quelques semaines à Paris. L’intérieur burgien s’est prête au jeu du « En Direct ».
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Votre premier match en pro :
Oui je m’en souviens ! Je jouais en Allemagne, à Giessen. C’était un match à domicile mais je ne me souviens plus contre qui c’était. Ça reste un bon souvenir, j’avais bien joué (ndlr, le 2 octobre 2010 victoire face à Bonn, Zachery Peacock a commencé dans le cinq de départ pour 21 points et 6 rebonds en 24 minutes).
Le joueur qui vous a rendu meilleur :
C’est difficile pour moi de donner ça à quelqu’un. Je suis le joueur que je suis parce que je me pousse et je me critique encore plus que n’importe qui. Je voudrais dire : moi.
Votre modèle étant plus jeune :
Quand j’étais plus jeune, le premier joueur que j’ai vu qui m’a coupé le souffle était Vince Carter. Il jouait contre Miami et la façon dont il sautait, dunkait et la façon dont il jouait ça m’a vraiment donné envie de faire la même chose. Je n’ai eu le même don que lui concernant la détente, mais il m’a vraiment permis de m’intéresser au basket. Il est toujours mon modèle aujourd’hui.
Le meilleur coach pour lequel vous avez joué :
J’ai envie de dire que je joue actuellement pour lui, Savo Vucevic. Je pense que l’une des meilleures qualités pour un coach est de savoir parler, faire passer son message et savoir apprendre. Je pense qu’il est très bon là-dedans. Il fait aussi attention à notre condition physique, à notre santé physique. C’est important pour un coach de le faire. Comme il a été joueur, il comprend exactement ce qu’on ressent.
« Tim Blue me rappelle un peu Kevin Durant. Il est grand mais il peut tout faire. »
La salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :
J’ai envie de dire Bourg-en-Bresse. L’amour que je reçois ici c’est incroyable ! C’est la première fois que… Je ne sais pas si c’est la première fois que je le réalise ou si c’est la première fois que ça arrive, mais ici c’est incroyable. L’atmosphère est folle.
Le pire souvenir de joueur :
Je n’en ai pas vraiment. Si on parle de douleur, je dirais l’année dernière. Nous avions de grandes ambitions, faire les playoffs. Mais la façon dont ça s’est terminé ça m’a vraiment touché parce que nous voulions tous jouer ces playoffs. C’est d’autant plus difficile quand on voit comment se passe la saison. Elle a très bien commencé, mais très mal terminé.
Le meilleur souvenir de joueur :
Je pense que c’est le titre de Pro B remporté avec la JL Bourg en 2017. Être élu MVP de la saison l’an dernier reste aussi un très bon souvenir.
Le meilleur joueur avec qui vous avez joué :
Je dirais Trey Lewis qui est passé par Bourg la saison dernière. Il a été très impressionnant dans sa façon de shooter, d’aller au cercle. C’est le plus talentueux avec qui j’ai joué.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/peacock-blue.jpg\")
L’adversaire le plus coriace :
Tim Blue ! Son niveau, son talent. Il me rappelle un peu Kevin Durant. Il est grand mais il peut tout faire.
Le trophée dont vous êtes le plus fier :
Celui de MVP de Jeep Elite. Je suis très fier d’avoir remporté ce trophée. Après avoir gagné le titre en Pro B et le championnat je comprends que les gens aient pu dire que je n’allais pas pouvoir avoir ce même rendement au niveau au-dessus. Je suis très fier d’être resté concentré, d’avoir travailler dur pour remporter ce trophée en première division aussi.
Votre match référence en carrière :
Je n’en ai aucune idée. Je ne regarde pas vraiment les stats. Je suis plus inquiet par le fait de gagner le match ou pas. Si nous avons gagné c’est un bon match, tant pis pour les stats (rires).
« En dehors du basket j’adore faire des grandes balades avec mon chien, un bulldog anglais ! Ça semble bizarre, mais je suis très sérieux ! »
Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :
J’irais chercher chez le nouveau poste 4 de Levallois, Julian Wright. Il a un très bon crossover. C’est très simple mais vraiment efficace. Si je pouvais voler un move et l’ajouter à mon jeu, ça serait ça. Ça serait fou.
Si vous deviez payer pour voir un joueur :
Actuellement je dirais LeBron James. Evidemment je payerais pour voir jouer mon gars Vince Carter, même s’il ne lui reste plus beaucoup de temps ! (rires)
Pourquoi le numéro 15 :
Vince Carter, bien sûr ! Depuis le début il est avec moi, c’est comme ça ! (sourire)
Votre meilleur pote dans le basket :
Il est aujourd’hui retraité. Il s’est retiré il y a quelques années. C’est Vedran Morovic avec qui j’ai joué à Boulogne-sur-Mer. Depuis cette période, nous sommes très proches, on se voit tous les étés. Il y a lui et aussi Anthony Smith. Nous avons commencé nos carrières ensemble dans les deux même clubs.
La ville ou vous avez joué que vous préférez :
J’ai beaucoup apprécié Francfort. C’est ce genre de villes dans lesquelles chaque jour de la semaine il y a quelque chose à faire, à voir. C’est bien sûr parce que c’était une base américaine donc la ville a un peu été américanisée. Ça aide.
Principale occupation entre deux entraînements :
En dehors du basket j’adore faire des grandes balades avec mon chien, un bulldog anglais ! Ça semble bizarre, mais je suis très sérieux ! Si je suis en forme, je veux que toutes les personnes qui vivent chez moi soient en forme donc on va beaucoup marcher. Je joue beaucoup avec lui. J’aime bien jouer au tennis de table aussi. J’ai également la chance de pouvoir jouer au golf et je pense que je vais prendre une licence parce que j’adore le challenge qu’il y a dans ce sport. Sinon, il y a la lecture et j’aime regarder des films.
Le principal sujet de conversation dans le vestiaire :
On parle beaucoup du fait de rester concentrés.
Une règle à changer dans le basket :
Je n’aime pas les nouveaux critères des fautes antisportives. Surtout quand on essaye de stopper la balle et que c’est tout de suite considéré comme étant antisportif. Même si dans ta tête tu y vas pour chercher la balle, pour les arbitres non et c’est tout de suite antisportif.
Si vous ne jouiez pas au basket :
J’aurais été dans le business d’une manière ou d’une autre. Dans l’entrepreunariat parce que je ne vois pas travailler pour quelqu’un. J’aime être mon propre boss.
L’après basket :
Je pense que je continuerai dans le basket. Faire quelque chose autour du basket pour aider les jeunes générations à comprendre que ce n’est pas que la partie physique qui importe pour être professionnel mais aussi et surtout la partie mentale. Je serai sans doute dans le développement de joueurs. Ça serait l’idéal pour moi.
[armelse]
Votre premier match en pro :
Oui je m’en souviens ! Je jouais en Allemagne, à Giessen. C’était un match à domicile mais je ne me souviens plus contre qui c’était. Ça reste un bon souvenir, j’avais bien joué (ndlr, le 2 octobre 2010 victoire face à Bonn, Zachery Peacock a commencé dans le cinq de départ pour 21 points et 6 rebonds en 24 minutes).
Le joueur qui vous a rendu meilleur :
C’est difficile pour moi de donner ça à quelqu’un. Je suis le joueur que je suis parce que je me pousse et je me critique encore plus que n’importe qui. Je voudrais dire : moi.
Votre modèle étant plus jeune :
Quand j’étais plus jeune, le premier joueur que j’ai vu qui m’a coupé le souffle était Vince Carter. Il jouait contre Miami et la façon dont il sautait, dunkait et la façon dont il jouait ça m’a vraiment donné envie de faire la même chose. Je n’ai eu le même don que lui concernant la détente, mais il m’a vraiment permis de m’intéressé au basket. Il es toujours mon modèle aujourd’hui.[/arm_restrict_content]
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Photo : Guilherme Amorin
", "comment_id":"442564", "plaintext":"MVP en titre de Jeep Elite et leader incontesté de la JL Bourg, Zachery Peacock (2,03m) qui a fêté ses 31 ans samedi dernier était présent au Media Day LNB il y a quelques semaines à Paris. L’intérieur burgien s’est prête au jeu du « En Direct ».\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nVotre premier match en pro :\n\nOui je m’en souviens ! Je jouais en Allemagne, à Giessen. C’était un match à domicile mais je ne me souviens plus contre qui c’était. Ça reste un bon souvenir, j’avais bien joué (ndlr, le 2 octobre 2010 victoire face à Bonn, Zachery Peacock a commencé dans le cinq de départ pour 21 points et 6 rebonds en 24 minutes).\n\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\n\nC’est difficile pour moi de donner ça à quelqu’un. Je suis le joueur que je suis parce que je me pousse et je me critique encore plus que n’importe qui. Je voudrais dire : moi.\n\nVotre modèle étant plus jeune :\n\nQuand j’étais plus jeune, le premier joueur que j’ai vu qui m’a coupé le souffle était Vince Carter. Il jouait contre Miami et la façon dont il sautait, dunkait et la façon dont il jouait ça m’a vraiment donné envie de faire la même chose. Je n’ai eu le même don que lui concernant la détente, mais il m’a vraiment permis de m’intéresser au basket. Il est toujours mon modèle aujourd’hui.\n\nLe meilleur coach pour lequel vous avez joué :\n\nJ’ai envie de dire que je joue actuellement pour lui, Savo Vucevic. Je pense que l’une des meilleures qualités pour un coach est de savoir parler, faire passer son message et savoir apprendre. Je pense qu’il est très bon là-dedans. Il fait aussi attention à notre condition physique, à notre santé physique. C’est important pour un coach de le faire. Comme il a été joueur, il comprend exactement ce qu’on ressent.\n\n« Tim Blue me rappelle un peu Kevin Durant. Il est grand mais il peut tout faire. »\n\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\n\nJ’ai envie de dire Bourg-en-Bresse. L’amour que je reçois ici c’est incroyable ! C’est la première fois que… Je ne sais pas si c’est la première fois que je le réalise ou si c’est la première fois que ça arrive, mais ici c’est incroyable. L’atmosphère est folle.\n\nLe pire souvenir de joueur :\n\nJe n’en ai pas vraiment. Si on parle de douleur, je dirais l’année dernière. Nous avions de grandes ambitions, faire les playoffs. Mais la façon dont ça s’est terminé ça m’a vraiment touché parce que nous voulions tous jouer ces playoffs. C’est d’autant plus difficile quand on voit comment se passe la saison. Elle a très bien commencé, mais très mal terminé.\n\nLe meilleur souvenir de joueur :\n\nJe pense que c’est le titre de Pro B remporté avec la JL Bourg en 2017. Être élu MVP de la saison l’an dernier reste aussi un très bon souvenir.\n\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\n\nJe dirais Trey Lewis qui est passé par Bourg la saison dernière. Il a été très impressionnant dans sa façon de shooter, d’aller au cercle. C’est le plus talentueux avec qui j’ai joué.\n\nL’adversaire le plus coriace :\n\nTim Blue ! Son niveau, son talent. Il me rappelle un peu Kevin Durant. Il est grand mais il peut tout faire.\n\nLe trophée dont vous êtes le plus fier :\n\nCelui de MVP de Jeep Elite. Je suis très fier d’avoir remporté ce trophée. Après avoir gagné le titre en Pro B et le championnat je comprends que les gens aient pu dire que je n’allais pas pouvoir avoir ce même rendement au niveau au-dessus. Je suis très fier d’être resté concentré, d’avoir travailler dur pour remporter ce trophée en première division aussi.\n\nVotre match référence en carrière :\n\nJe n’en ai aucune idée. Je ne regarde pas vraiment les stats. Je suis plus inquiet par le fait de gagner le match ou pas. Si nous avons gagné c’est un bon match, tant pis pour les stats (rires).\n\n« En dehors du basket j’adore faire des grandes balades avec mon chien, un bulldog anglais ! Ça semble bizarre, mais je suis très sérieux ! »\n\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\n\nJ’irais chercher chez le nouveau poste 4 de Levallois, Julian Wright. Il a un très bon crossover. C’est très simple mais vraiment efficace. Si je pouvais voler un move et l’ajouter à mon jeu, ça serait ça. Ça serait fou.\n\nSi vous deviez payer pour voir un joueur :\n\nActuellement je dirais LeBron James. Evidemment je payerais pour voir jouer mon gars Vince Carter, même s’il ne lui reste plus beaucoup de temps ! (rires)\n\nPourquoi le numéro 15 :\n\nVince Carter, bien sûr ! Depuis le début il est avec moi, c’est comme ça ! (sourire)\n\nVotre meilleur pote dans le basket :\n\nIl est aujourd’hui retraité. Il s’est retiré il y a quelques années. C’est Vedran Morovic avec qui j’ai joué à Boulogne-sur-Mer. Depuis cette période, nous sommes très proches, on se voit tous les étés. Il y a lui et aussi Anthony Smith. Nous avons commencé nos carrières ensemble dans les deux même clubs.\n\nLa ville ou vous avez joué que vous préférez :\n\nJ’ai beaucoup apprécié Francfort. C’est ce genre de villes dans lesquelles chaque jour de la semaine il y a quelque chose à faire, à voir. C’est bien sûr parce que c’était une base américaine donc la ville a un peu été américanisée. Ça aide.\n\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\n\nEn dehors du basket j’adore faire des grandes balades avec mon chien, un bulldog anglais ! Ça semble bizarre, mais je suis très sérieux ! Si je suis en forme, je veux que toutes les personnes qui vivent chez moi soient en forme donc on va beaucoup marcher. Je joue beaucoup avec lui. J’aime bien jouer au tennis de table aussi. J’ai également la chance de pouvoir jouer au golf et je pense que je vais prendre une licence parce que j’adore le challenge qu’il y a dans ce sport. Sinon, il y a la lecture et j’aime regarder des films.\n\nLe principal sujet de conversation dans le vestiaire :\n\nOn parle beaucoup du fait de rester concentrés.\n\nUne règle à changer dans le basket :\n\nJe n’aime pas les nouveaux critères des fautes antisportives. Surtout quand on essaye de stopper la balle et que c’est tout de suite considéré comme étant antisportif. Même si dans ta tête tu y vas pour chercher la balle, pour les arbitres non et c’est tout de suite antisportif.\n\nSi vous ne jouiez pas au basket :\n\nJ’aurais été dans le business d’une manière ou d’une autre. Dans l’entrepreunariat parce que je ne vois pas travailler pour quelqu’un. J’aime être mon propre boss.\n\nL’après basket :\n\nJe pense que je continuerai dans le basket. Faire quelque chose autour du basket pour aider les jeunes générations à comprendre que ce n’est pas que la partie physique qui importe pour être professionnel mais aussi et surtout la partie mentale. Je serai sans doute dans le développement de joueurs. Ça serait l’idéal pour moi.\n\n[armelse]\n\nVotre premier match en pro :\n\nOui je m’en souviens ! Je jouais en Allemagne, à Giessen. C’était un match à domicile mais je ne me souviens plus contre qui c’était. Ça reste un bon souvenir, j’avais bien joué (ndlr, le 2 octobre 2010 victoire face à Bonn, Zachery Peacock a commencé dans le cinq de départ pour 21 points et 6 rebonds en 24 minutes).\n\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\n\nC’est difficile pour moi de donner ça à quelqu’un. Je suis le joueur que je suis parce que je me pousse et je me critique encore plus que n’importe qui. Je voudrais dire : moi.\n\nVotre modèle étant plus jeune :\n\nQuand j’étais plus jeune, le premier joueur que j’ai vu qui m’a coupé le souffle était Vince Carter. Il jouait contre Miami et la façon dont il sautait, dunkait et la façon dont il jouait ça m’a vraiment donné envie de faire la même chose. Je n’ai eu le même don que lui concernant la détente, mais il m’a vraiment permis de m’intéressé au basket. Il es toujours mon modèle aujourd’hui.[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Guilherme Amorin", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/zachery-peacock.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-31T07:00:35.000Z", "updated_at":"2021-11-12T16:54:09.000Z", "published_at":"2018-12-31T07:00:35.000Z", "custom_excerpt":"MVP en titre de Jeep Elite et leader incontesté de la JL Bourg, Zachery Peacock (2,03m) qui a fêté ses 31 ans samedi dernier était présent au Media Day LNB il y a quelques semaines à Paris. 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Photo: Alexey Shved
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Photo: Hermine
Le Nantérien Lahou Konate a été élu MVP du All-Star Game LNB 2018. Voici ses meilleures actions de la soirée.
Photo: Hervé Bellenger, LNB
De par son parcours et sa compétence, David Cozette est devenu la voix du basket français. Il a popularisé des expressions comme « saucisse » ou « chaud-brûlant » et, toujours bien documenté et avec un allant jamais pris en défaut, il peut s’enflammer dans les grandes occasions et aussi -ce qui est encore plus remarquable- rendre captivant des matches qui intrinsèquement ne le méritent pas. Voici la deuxième partie de l’entretien longue durée.
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Existe-t-il une concurrence entre RMC et Canal+ Sport qui diffuse la Basketball Champions League et les compétitions internationales des équipes nationales ?
Je ne crois pas. Ce que je sais, c’est que le basket est quelque chose d’importantissime pour le groupe RMC. Ce n’est pas une posture. François Pesenti (NDLR/ Directeur des sports du groupe) le répète souvent. Ça a été le droit le plus important derrière le foot anglais avant la saison dernière sachant que maintenant il y a la Ligue des Champions et la Ligue Europa. Et on n’a pas laissé tomber le basket en faisant moins de match pour autant. Ça reste un enjeu fort pour la chaîne et le groupe. Sans polémiquer, je ne suis pas certain que le basket soit aussi important pour le groupe Canal qu’il ne l’est pour le groupe RMC parce qu’ils ont beaucoup d’autres sports et parce que culturellement ça n’a jamais été la première des priorités.
Le basket a pris de l’importance cette saison sur vos différents supports ?
C’est bien la preuve que lorsque François Pesenti dit ça, ce n’est pas du pipeau. Il passe souvent le message aux gens de la radio et à ceux d’émissions plus grand public qui ne vont pas avoir le réflexe, que telle chose sur le basket est importante. Stephen (Brun) va ponctuellement dans le Moscato Show qui est une émission qui a une énorme audience, c’est un vrai signe. Que sur la chaîne de news ou les documentaires, il y ait systématiquement un sujet de basket, c’est pareil.
Les audiences du basket ont-elles progressé depuis que RMC Sport diffuse la ligue de champion de foot ?
Honnêtement, je n’en sais rien. On ne me donne pas les chiffres mais je sais que c’est l’objectif, évidemment. On se dit que c’est juste quelque chose de mécanique quand on sait qu’il y avait beaucoup moins de gens qui avaient nos chaînes il y a encore quelques mois. On l’a vu avec le grand embouteillage du premier jour, beaucoup de gens se sont rués sur les opérateurs pour récupérer RMC (NDLR : 200 000). Lorsqu’il y a des matches de Ligue des Champions de foot, il y a des matches d’Eurocup les mêmes soirs et quand il y a des matches d’Europa il y a des matches d’Euroleague. On a tous le même réflexe : à la mi-temps du match de foot, tu ne vas pas regarder les pubs mais tu vas aller sur la chaîne juste après et dans ce cas c’est le basket. On espère que les gens qui regardent le foot vont basculer vers le basket et à ce moment-là c’est à nous d’être bons et de réussir à les interpeller en racontant des histoires. Il faut que ces gens-là qui sont le grand public et pas le microcosme basket qui suit ça depuis longtemps, se rendent compte que ça peut être spectaculaire, compétitif, etc.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/pau-1.jpg\")
« La ligue met aussi la pression pour que les éclairages dans les salles soient améliorés car pour nous diffuseur c’est hyper important »
A votre niveau, ressentez-vous une progression au fil du temps dans les structures des clubs de Jeep Elite ?
Oui. Déjà, il y a encore quelque temps il y avait des salles qui n’étaient pas de grandes salles de basket, à la Maison des Sports de Chalon, sans remonter à La Moutète d’Orthez. Rouen jouait en Pro B à la salle des Cotonniers (NDLR : Et même en Pro A). Je crois aussi que la ligue pousse à ce que les staffs aient plus le réflexe marketing. Ils sont sensibles à leur image. On a vu le débat qui a été lancé sur les maillots et qui a fait avancer les choses. La ligue met aussi la pression pour que les éclairages dans les salles soient améliorés car pour nous diffuseur c’est hyper important. Le même match bien éclairé va sembler très bien et moyen s’il est mal éclairé. Il faut se rappeler qu’il y a quelque temps il y avait des salles avec les lignes dans tous les sens du handball et du volleyball. Il y a eu l’apparition des panneaux LED. Tout le package a sensiblement évolué et c’est tellement important pour par exemple les gens qui regardent la Ligue des Champions et qui basculent à Pau où c’est une grande et belle salle avec en plus des jeux de lumière. Il y a peut-être des gens qui ne sont excités que par la NBA et qui trouvent que le reste est ringard et qui vont regarder ça en se disant que c’est sexy aussi.
Vous êtes aussi accueilli par des pros dans les clubs alors qu’auparavant c’était des bénévoles ?
A chaque fois que je vais dans un club, je rencontre celui qui incarne le club, le manager général, le directeur sportif et ou le président et le coach. C’est toujours avec eux que l’on va à la salle le matin ou au match directement et avec qui on va discuter. Effectivement, on voit tout autour d’autres personnes mais je n’ai pas une vision assez proche pour pouvoir juger. Dans le passé, on tombait déjà sur le président, le manager général et le coach. Je ne me rends pas assez compte que les staff en back office ce sont déployés mais je me doute que oui car je vois plus de monde graviter autour des équipes que par le passé où c’était une personne et trois bénévoles. Aujourd’hui, il y a partout quelqu’un qui s’occupe des réseaux sociaux.
Et lors de vos déplacements à l’étranger, comment sont les relations avec les clubs sur un plan organisationnel ?
C’est variable. J’ai le souvenir que lorsqu’on allait faire des matches d’Euroleague dans les années quatre-vingt-dix en Italie c’était la classe absolue avec des média guides super luxueux, tout un staff qui t’accueillait, la salle de presse et tout. Mais il y avait aussi des clubs d’Euroleague où il y avait rien du tout. C’est l’Europe avec ses différences culturelles et de moyens. C’est aussi difficile de comparer la France avec les autres clubs en Europe car chez nous parfois les clubs n’ont pas beaucoup de moyens et mettent tout sur l’équipe et il n’y a pas grand monde autour. Tu sais qu’aujourd’hui en Euroleague, tu es obligé d’avoir un staff de ouf derrière tellement il y a de contraintes. D’ailleurs quand on se déplace, là où l’on voit qu’il y a le plus de monde autour de l’équipe c’est à l’ASVEL. J’ai identifié plein de gens là-bas et d’autres encore dont je ne sais pas exactement ce qu’ils font. Oui, tu ressens qu’il y a du monde.
Ressentez-vous que les clubs de Jeep Elite multiplient leur communication sur les réseaux sociaux depuis quelques mois et spécialement depuis la rentrée ?
Oui, je pense qu’ils ont tous pris ce pli-là. La com’, c’est quand ils vont tourner des petites vidéos. A ce niveau-là, Bourg-en-Bresse est vraiment remarquable. Il ne fait pas partie des trois, quatre clubs historiques prestigieux du championnat de France mais au niveau des structures ils sont vachement en pointe au niveau com et marketing. Certains sont un peu à la ramasse et d’autres sont vraiment épatants sur ce qu’ils font sur les réseaux sociaux.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/eito-1-e1540740492733.jpg\")
« Parfois avec Antoine (Eito) ça va quasiment trop loin quand il fait des références qui deviennent de la private joke et il faut que j’arrive à le rendre audible par tous les gens qui regardent »
Il y a trois ans, vous me disiez que le meilleur joueur à l’interview était Stephen Brun. Et maintenant qu’il est consultant sur RMC Sport, qui est-ce ?
(Il réfléchit) Il n’y a plus de mec aussi cinglé que Stephen Brun, c’est pour ça que je ne trouve pas en fait (sourire). Celui qui a le sens de la formule, de la punch line pour utiliser un mot de jeune, ce que Stephen a clairement. Celui qui a un peu le sens de l’humour, qui quand ça ne va pas ne va pas avoir un discours tiède. Jonathan Rousselle est plutôt un bon candidat. A la fin du match à Strasbourg, je lui ai posé des questions de façon claire et il a répondu de façon claire. Il n’a pas caché le fait que ça n’allait pas au CSP.
Antoine Eito ?
Si ! Quand je dis qu’il n’y a plus de joueur aussi fou que Stephen Brun, ce n’est pas vrai puisqu’il y a Antoine Eito qui est largement aussi fou que Stephen. Parfois avec Antoine ça va quasiment trop loin quand il fait des références qui deviennent de la private joke et il faut que j’arrive à le rendre audible par tous les gens qui regardent. Il ne faut pas que les gens puissent se dire, « ils sont entre-eux, je ne vais pas les déranger, je vais changer de chaîne. » C’est un exercice délicat, la limite est fine.
Vous êtes souvent pris à partie -dans le bon sens du terme- par des joueurs au cours d’un match ?
Très souvent des mecs se tournent plus vers Stephen que vers moi. Quand Jeremy Nzeulie était à 1/23 aux shoots ou quelque chose comme ça au bout de trois matches, Stephen discutait avec lui car ils sont très complices depuis Nanterre, et quand il lui dit « touche ma main , tu vas avoir un fluide », et qu’il met deux shoots à trois-points, évidemment que Jeremy regarde Stephen et qu’il y a un bel échange entre les deux au cours du match. Il fait ça avec pas mal de joueurs. Ils nous prennent aussi à témoins sur des décisions d’arbitre comme si nous on pouvait influer là-dessus (sourire).
D’Etienne Lalou, Jo Choupin, Jean Raynal, Bernard Père, Patrick Chêne, Patrick Montel, qui vous a inspiré ?
Je n’ai jamais entendu parlé d’Etienne Lalou ! (NDLR : Un romancier, essayiste et journaliste qui commenta du basket à l’ORTF dans les années soixante au même titre que par exemple Léon Zitrone). Je n’ai jamais vraiment eu de modèle. Lorsque je regardais des matches quand j’étais adolescent c’était Antenne 2 qui diffusait des matches en deuxième partie de soirée, le mercredi ou le jeudi, de Limoges et Orthez. C’était plus les joueurs qui me faisaient rêver et les commentateurs, je ne les identifiais pas forcément, aussi je n’ai jamais eu de vrais modèles. Plus qu’un journaliste, ce qui m’a fait rêver durant mes années d’adolescence et d’école de journalisme, c’est le traitement du sport par Canal.
Donc plutôt Charles Biétry ?
Oui complètement mais plus pour l’école qu’il représentait même si je dois être un peu trop familier avec un peu trop de folie pour Charles qui aime bien la rigueur. Je ne lui ai jamais demandé. J’étais complètement admiratif de ce qu’il a représenté à la tête de Canal et de la façon dont ils ont révolutionné dans le traitement du sport à la télé, de l’âge de 15 à 25 ans avant que je commence à bosser vraiment dedans.
A Canal+, ils prenaient le micro après avoir travaillé leur sujet en amont, ce qui n’était pas toujours le cas avant ?
Oui et même si je ne ressemble pas par exemple à Grégoire Margotton, j’ai appris cette rigueur-là aussi au-delà de parfois s’enflammer, de faire un peu le show. Ça c’est la personnalité de chacun et heureusement que l’on est un peu différent. Mais à la base on est journaliste, on a quand même plaisir à sortir une info, à avoir de la rigueur, de ne pas dire n’importe quoi quand on raconte des histoires. Au-delà des « saucisses », je me suis quand même inspiré de la rigueur des traitements du sport à Canal.
Vous allez voir les joueurs chaque matin du match ?
Ça dépend. Plus en début de saison. Limoges, je les ai quand même fait cinq fois en trois semaines entre la coupe d’Europe et le championnat et dans ce cas, je viens plutôt deux heures avant à la salle, ils arrivent en même temps, et c’est là que je me pose avec le coach, avec un joueur qui arrive sur le parquet. Par contre, si c’est une équipe que je ne connais pas du tout ou peu, on essaiera de s’organiser pour les voir avant pour discuter un peu.
Vous avez ainsi des notes avant de commenter les matches ?
Oui, chacun à ses marottes. Je sais que Charles c’est une chemise cartonnée. Moi, je préfère avoir des feuilles sous plastique avec les infos intemporelles et les bios précises de chacun des joueurs qui me servent toute l’année et que je ne retouche pas. Quand tu fais 150 matches dans l’année, tu ne vas pas réécrire des fiches ! Et juste au milieu un espace pour écrire au crayon à papier tout ce qui est info du moment, blessures, statistiques réactualisées.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/2010jeff6sept427-e1540740187123.jpg\")
« Je suis identifié par les « saucisses », « chaud-brûlant » ou « que fait la police ? »
Des expressions comme « chaud-brûlant » sont donc le fruit de votre imagination, ce ne sont pas des reprises d’autres journalistes de télé ou de radio ?
Ça a dû m’arriver de reprendre ponctuellement des expressions déjà sorties par George Eddy ou Jacques Monclar mais j’essaie autant que faire se peut d’avoir mon propre vocabulaire. C’est comme ça que tu es identifié. George est identifié par « attention ! messieurs, dames » ou « contre en haute altitude » et moi par les « saucisses », « chaud-brûlant » ou « que fait la police ? ». Il faut être vigilant car tu ne dois pas les sortir trop souvent car sinon ça devient relou mais pas plus du tout car c’est aussi ce qui fait ta marque. Il faut les utiliser à bon escient pour que les gens aient plaisir à les entendre mais il ne faut pas les saouler. C’est toujours une question de dosage.
Jacques Monclar a laissé au basket français beaucoup de ses expression et aussi de ses surnoms car c’était le roi pour en donner aux joueurs, et qui sont repris aujourd’hui par tout le monde ?
C’est quelqu’un qui a le sens ultime de la formule. Quand ça passe à la postérité c’est plutôt valorisant. Tout commentateur rêve de ça. A mon tout petit niveau ça me fait toujours un plaisir fou. Je ne sais même pas pourquoi ça a été le cas de « Thomas Heurtel, donne-moi ton short ! ». C’était lié à un moment tellement fort que ça a plus imprimé. Quatre ans plus tard, il y a encore des gens qui viennent me brancher lors de matches et qui font une photo en répétant ça.
Avez-vous senti une différence de notoriété en fonction des chaînes où vous avez commenté des matches ?
Oui mais pas du tout pour ce que vous pouvez imaginer ! J’ai connu une énorme différence de notoriété à partir du moment où je suis sorti du basket et que j’ai fait L’Equipe du Soir sur L’Equipe 21. C’est une émission qui est présentée par Olivier Ménard du lundi au vendredi de 22h30 à minuit et c’est à 95% foot. J’étais chroniqueur pendant un an et en plus quand Mémé était en vacances c’est moi qui l’ai remplacé à la présentation. En terme de notoriété, ça a tout changé mais c’est redescendu juste après ! C’était 1, une chaîne de la TNT, et 2, on traitait du foot. Après, je suis retourné sur une chaîne à péage pour parler de basket et forcément ce n’est plus la même chose.
Et quand vous changez de chaîne, vous avez l’impression que le vrai fan de basket vous suit et vous reconnaît ?
Les gens viennent me voir, oui, quand même. Mais je peux aller passer un week-end au bord de la mer avec Hervé Mathoux et Grégoire Margotton, je suis sûr que je ne serai jamais emmerdé.
Photos: Palais des sports de Pau (ville de Pau), Antoine Eito et Boris Diaw (FIBA)
[armelse]
Existe-t-il une concurrence entre RMC et Canal+ Sport qui diffuse la Basketball Champions League et les compétitions internationales des équipes nationales ?
Je ne crois pas. Ce que je sais, c’est que le basket est quelque chose d’importantissime pour le groupe RMC. Ce n’est pas une posture. François Pesenti (NDLR/ Directeur des sports du groupe) le répète souvent. Ça a été le droit le plus important derrière le foot anglais avant la saison dernière sachant que maintenant il y a la Ligue des Champions et la Ligue Europa. Et on n’a pas laissé tomber le basket en faisant moins de match pour autant. Ça reste un enjeu fort pour la chaîne et le groupe. Sans polémiquer, je ne suis pas certain que le basket soit aussi important pour le groupe Canal qu’il ne l’est pour le groupe RMC parce qu’ils ont beaucoup d’autres sports et parce que culturellement ça n’a jamais été la première des priorités.
Le basket a pris de l’importance cette saison sur vos différents supports ?
C’est bien la preuve que lorsque François Pesenti dit ça, ce n’est pas du pipeau. Il passe souvent le message aux gens de la radio et à ceux d’émissions plus grand public qui ne vont pas avoir le réflexe, que telle chose sur le basket est importante. Stephen (Brun) va ponctuellement dans le Moscato Show qui est une émission qui a une énorme audience, c’est un vrai signe. Que sur la chaîne de news ou les documentaires, il y ait systématiquement un sujet de basket, c’est pareil.
Les audiences du basket ont-elles progressé depuis que RMC Sport diffuse la ligue de champion de foot ?
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Ça a été le droit le plus important derrière le foot anglais avant la saison dernière sachant que maintenant il y a la Ligue des Champions et la Ligue Europa. Et on n’a pas laissé tomber le basket en faisant moins de match pour autant. Ça reste un enjeu fort pour la chaîne et le groupe. Sans polémiquer, je ne suis pas certain que le basket soit aussi important pour le groupe Canal qu’il ne l’est pour le groupe RMC parce qu’ils ont beaucoup d’autres sports et parce que culturellement ça n’a jamais été la première des priorités.\n\nLe basket a pris de l’importance cette saison sur vos différents supports ?\n\nC’est bien la preuve que lorsque François Pesenti dit ça, ce n’est pas du pipeau. Il passe souvent le message aux gens de la radio et à ceux d’émissions plus grand public qui ne vont pas avoir le réflexe, que telle chose sur le basket est importante. Stephen (Brun) va ponctuellement dans le Moscato Show qui est une émission qui a une énorme audience, c’est un vrai signe. Que sur la chaîne de news ou les documentaires, il y ait systématiquement un sujet de basket, c’est pareil.\n\nLes audiences du basket ont-elles progressé depuis que RMC Sport diffuse la ligue de champion de foot ?\n\nHonnêtement, je n’en sais rien. On ne me donne pas les chiffres mais je sais que c’est l’objectif, évidemment. On se dit que c’est juste quelque chose de mécanique quand on sait qu’il y avait beaucoup moins de gens qui avaient nos chaînes il y a encore quelques mois. On l’a vu avec le grand embouteillage du premier jour, beaucoup de gens se sont rués sur les opérateurs pour récupérer RMC (NDLR : 200 000). Lorsqu’il y a des matches de Ligue des Champions de foot, il y a des matches d’Eurocup les mêmes soirs et quand il y a des matches d’Europa il y a des matches d’Euroleague. On a tous le même réflexe : à la mi-temps du match de foot, tu ne vas pas regarder les pubs mais tu vas aller sur la chaîne juste après et dans ce cas c’est le basket. On espère que les gens qui regardent le foot vont basculer vers le basket et à ce moment-là c’est à nous d’être bons et de réussir à les interpeller en racontant des histoires. Il faut que ces gens-là qui sont le grand public et pas le microcosme basket qui suit ça depuis longtemps, se rendent compte que ça peut être spectaculaire, compétitif, etc.\n\n« La ligue met aussi la pression pour que les éclairages dans les salles soient améliorés car pour nous diffuseur c’est hyper important »\n\nA votre niveau, ressentez-vous une progression au fil du temps dans les structures des clubs de Jeep Elite ?\n\nOui. Déjà, il y a encore quelque temps il y avait des salles qui n’étaient pas de grandes salles de basket, à la Maison des Sports de Chalon, sans remonter à La Moutète d’Orthez. Rouen jouait en Pro B à la salle des Cotonniers (NDLR : Et même en Pro A). Je crois aussi que la ligue pousse à ce que les staffs aient plus le réflexe marketing. Ils sont sensibles à leur image. On a vu le débat qui a été lancé sur les maillots et qui a fait avancer les choses. La ligue met aussi la pression pour que les éclairages dans les salles soient améliorés car pour nous diffuseur c’est hyper important. Le même match bien éclairé va sembler très bien et moyen s’il est mal éclairé. Il faut se rappeler qu’il y a quelque temps il y avait des salles avec les lignes dans tous les sens du handball et du volleyball. Il y a eu l’apparition des panneaux LED. Tout le package a sensiblement évolué et c’est tellement important pour par exemple les gens qui regardent la Ligue des Champions et qui basculent à Pau où c’est une grande et belle salle avec en plus des jeux de lumière. Il y a peut-être des gens qui ne sont excités que par la NBA et qui trouvent que le reste est ringard et qui vont regarder ça en se disant que c’est sexy aussi.\n\nVous êtes aussi accueilli par des pros dans les clubs alors qu’auparavant c’était des bénévoles ?\n\nA chaque fois que je vais dans un club, je rencontre celui qui incarne le club, le manager général, le directeur sportif et ou le président et le coach. C’est toujours avec eux que l’on va à la salle le matin ou au match directement et avec qui on va discuter. Effectivement, on voit tout autour d’autres personnes mais je n’ai pas une vision assez proche pour pouvoir juger. Dans le passé, on tombait déjà sur le président, le manager général et le coach. Je ne me rends pas assez compte que les staff en back office ce sont déployés mais je me doute que oui car je vois plus de monde graviter autour des équipes que par le passé où c’était une personne et trois bénévoles. Aujourd’hui, il y a partout quelqu’un qui s’occupe des réseaux sociaux.\n\nEt lors de vos déplacements à l’étranger, comment sont les relations avec les clubs sur un plan organisationnel ?\n\nC’est variable. J’ai le souvenir que lorsqu’on allait faire des matches d’Euroleague dans les années quatre-vingt-dix en Italie c’était la classe absolue avec des média guides super luxueux, tout un staff qui t’accueillait, la salle de presse et tout. Mais il y avait aussi des clubs d’Euroleague où il y avait rien du tout. C’est l’Europe avec ses différences culturelles et de moyens. C’est aussi difficile de comparer la France avec les autres clubs en Europe car chez nous parfois les clubs n’ont pas beaucoup de moyens et mettent tout sur l’équipe et il n’y a pas grand monde autour. Tu sais qu’aujourd’hui en Euroleague, tu es obligé d’avoir un staff de ouf derrière tellement il y a de contraintes. D’ailleurs quand on se déplace, là où l’on voit qu’il y a le plus de monde autour de l’équipe c’est à l’ASVEL. J’ai identifié plein de gens là-bas et d’autres encore dont je ne sais pas exactement ce qu’ils font. Oui, tu ressens qu’il y a du monde.\n\nRessentez-vous que les clubs de Jeep Elite multiplient leur communication sur les réseaux sociaux depuis quelques mois et spécialement depuis la rentrée ?\n\nOui, je pense qu’ils ont tous pris ce pli-là. La com’, c’est quand ils vont tourner des petites vidéos. A ce niveau-là, Bourg-en-Bresse est vraiment remarquable. Il ne fait pas partie des trois, quatre clubs historiques prestigieux du championnat de France mais au niveau des structures ils sont vachement en pointe au niveau com et marketing. Certains sont un peu à la ramasse et d’autres sont vraiment épatants sur ce qu’ils font sur les réseaux sociaux.\n\n« Parfois avec Antoine (Eito) ça va quasiment trop loin quand il fait des références qui deviennent de la private joke et il faut que j’arrive à le rendre audible par tous les gens qui regardent »\n\nIl y a trois ans, vous me disiez que le meilleur joueur à l’interview était Stephen Brun. Et maintenant qu’il est consultant sur RMC Sport, qui est-ce ?\n\n(Il réfléchit) Il n’y a plus de mec aussi cinglé que Stephen Brun, c’est pour ça que je ne trouve pas en fait (sourire). Celui qui a le sens de la formule, de la punch line pour utiliser un mot de jeune, ce que Stephen a clairement. Celui qui a un peu le sens de l’humour, qui quand ça ne va pas ne va pas avoir un discours tiède. Jonathan Rousselle est plutôt un bon candidat. A la fin du match à Strasbourg, je lui ai posé des questions de façon claire et il a répondu de façon claire. Il n’a pas caché le fait que ça n’allait pas au CSP.\n\nAntoine Eito ?\n\nSi ! Quand je dis qu’il n’y a plus de joueur aussi fou que Stephen Brun, ce n’est pas vrai puisqu’il y a Antoine Eito qui est largement aussi fou que Stephen. Parfois avec Antoine ça va quasiment trop loin quand il fait des références qui deviennent de la private joke et il faut que j’arrive à le rendre audible par tous les gens qui regardent. Il ne faut pas que les gens puissent se dire, « ils sont entre-eux, je ne vais pas les déranger, je vais changer de chaîne. » C’est un exercice délicat, la limite est fine.\n\nVous êtes souvent pris à partie -dans le bon sens du terme- par des joueurs au cours d’un match ?\n\nTrès souvent des mecs se tournent plus vers Stephen que vers moi. Quand Jeremy Nzeulie était à 1/23 aux shoots ou quelque chose comme ça au bout de trois matches, Stephen discutait avec lui car ils sont très complices depuis Nanterre, et quand il lui dit « touche ma main , tu vas avoir un fluide », et qu’il met deux shoots à trois-points, évidemment que Jeremy regarde Stephen et qu’il y a un bel échange entre les deux au cours du match. Il fait ça avec pas mal de joueurs. Ils nous prennent aussi à témoins sur des décisions d’arbitre comme si nous on pouvait influer là-dessus (sourire).\n\nD’Etienne Lalou, Jo Choupin, Jean Raynal, Bernard Père, Patrick Chêne, Patrick Montel, qui vous a inspiré ?\n\nJe n’ai jamais entendu parlé d’Etienne Lalou ! (NDLR : Un romancier, essayiste et journaliste qui commenta du basket à l’ORTF dans les années soixante au même titre que par exemple Léon Zitrone). Je n’ai jamais vraiment eu de modèle. Lorsque je regardais des matches quand j’étais adolescent c’était Antenne 2 qui diffusait des matches en deuxième partie de soirée, le mercredi ou le jeudi, de Limoges et Orthez. C’était plus les joueurs qui me faisaient rêver et les commentateurs, je ne les identifiais pas forcément, aussi je n’ai jamais eu de vrais modèles. Plus qu’un journaliste, ce qui m’a fait rêver durant mes années d’adolescence et d’école de journalisme, c’est le traitement du sport par Canal.\n\nDonc plutôt Charles Biétry ?\n\nOui complètement mais plus pour l’école qu’il représentait même si je dois être un peu trop familier avec un peu trop de folie pour Charles qui aime bien la rigueur. Je ne lui ai jamais demandé. J’étais complètement admiratif de ce qu’il a représenté à la tête de Canal et de la façon dont ils ont révolutionné dans le traitement du sport à la télé, de l’âge de 15 à 25 ans avant que je commence à bosser vraiment dedans.\n\nA Canal+, ils prenaient le micro après avoir travaillé leur sujet en amont, ce qui n’était pas toujours le cas avant ?\n\nOui et même si je ne ressemble pas par exemple à Grégoire Margotton, j’ai appris cette rigueur-là aussi au-delà de parfois s’enflammer, de faire un peu le show. Ça c’est la personnalité de chacun et heureusement que l’on est un peu différent. Mais à la base on est journaliste, on a quand même plaisir à sortir une info, à avoir de la rigueur, de ne pas dire n’importe quoi quand on raconte des histoires. Au-delà des « saucisses », je me suis quand même inspiré de la rigueur des traitements du sport à Canal.\n\nVous allez voir les joueurs chaque matin du match ?\n\nÇa dépend. Plus en début de saison. Limoges, je les ai quand même fait cinq fois en trois semaines entre la coupe d’Europe et le championnat et dans ce cas, je viens plutôt deux heures avant à la salle, ils arrivent en même temps, et c’est là que je me pose avec le coach, avec un joueur qui arrive sur le parquet. Par contre, si c’est une équipe que je ne connais pas du tout ou peu, on essaiera de s’organiser pour les voir avant pour discuter un peu.\n\nVous avez ainsi des notes avant de commenter les matches ?\n\nOui, chacun à ses marottes. Je sais que Charles c’est une chemise cartonnée. Moi, je préfère avoir des feuilles sous plastique avec les infos intemporelles et les bios précises de chacun des joueurs qui me servent toute l’année et que je ne retouche pas. Quand tu fais 150 matches dans l’année, tu ne vas pas réécrire des fiches ! Et juste au milieu un espace pour écrire au crayon à papier tout ce qui est info du moment, blessures, statistiques réactualisées.\n\n« Je suis identifié par les « saucisses », « chaud-brûlant » ou « que fait la police ? »\n\nDes expressions comme « chaud-brûlant » sont donc le fruit de votre imagination, ce ne sont pas des reprises d’autres journalistes de télé ou de radio ?\n\nÇa a dû m’arriver de reprendre ponctuellement des expressions déjà sorties par George Eddy ou Jacques Monclar mais j’essaie autant que faire se peut d’avoir mon propre vocabulaire. C’est comme ça que tu es identifié. George est identifié par « attention ! messieurs, dames » ou « contre en haute altitude » et moi par les « saucisses », « chaud-brûlant » ou « que fait la police ? ». Il faut être vigilant car tu ne dois pas les sortir trop souvent car sinon ça devient relou mais pas plus du tout car c’est aussi ce qui fait ta marque. Il faut les utiliser à bon escient pour que les gens aient plaisir à les entendre mais il ne faut pas les saouler. C’est toujours une question de dosage.\n\nJacques Monclar a laissé au basket français beaucoup de ses expression et aussi de ses surnoms car c’était le roi pour en donner aux joueurs, et qui sont repris aujourd’hui par tout le monde ?\n\nC’est quelqu’un qui a le sens ultime de la formule. Quand ça passe à la postérité c’est plutôt valorisant. Tout commentateur rêve de ça. A mon tout petit niveau ça me fait toujours un plaisir fou. Je ne sais même pas pourquoi ça a été le cas de « Thomas Heurtel, donne-moi ton short ! ». C’était lié à un moment tellement fort que ça a plus imprimé. Quatre ans plus tard, il y a encore des gens qui viennent me brancher lors de matches et qui font une photo en répétant ça.\n\nAvez-vous senti une différence de notoriété en fonction des chaînes où vous avez commenté des matches ?\n\nOui mais pas du tout pour ce que vous pouvez imaginer ! J’ai connu une énorme différence de notoriété à partir du moment où je suis sorti du basket et que j’ai fait L’Equipe du Soir sur L’Equipe 21. C’est une émission qui est présentée par Olivier Ménard du lundi au vendredi de 22h30 à minuit et c’est à 95% foot. J’étais chroniqueur pendant un an et en plus quand Mémé était en vacances c’est moi qui l’ai remplacé à la présentation. En terme de notoriété, ça a tout changé mais c’est redescendu juste après ! C’était 1, une chaîne de la TNT, et 2, on traitait du foot. Après, je suis retourné sur une chaîne à péage pour parler de basket et forcément ce n’est plus la même chose.\n\nEt quand vous changez de chaîne, vous avez l’impression que le vrai fan de basket vous suit et vous reconnaît ?\n\nLes gens viennent me voir, oui, quand même. Mais je peux aller passer un week-end au bord de la mer avec Hervé Mathoux et Grégoire Margotton, je suis sûr que je ne serai jamais emmerdé.\n\nPhotos: Palais des sports de Pau (ville de Pau), Antoine Eito et Boris Diaw (FIBA)\n\n[armelse]\n\nExiste-t-il une concurrence entre RMC et Canal+ Sport qui diffuse la Basketball Champions League et les compétitions internationales des équipes nationales ?\n\nJe ne crois pas. Ce que je sais, c’est que le basket est quelque chose d’importantissime pour le groupe RMC. Ce n’est pas une posture. François Pesenti (NDLR/ Directeur des sports du groupe) le répète souvent. Ça a été le droit le plus important derrière le foot anglais avant la saison dernière sachant que maintenant il y a la Ligue des Champions et la Ligue Europa. Et on n’a pas laissé tomber le basket en faisant moins de match pour autant. Ça reste un enjeu fort pour la chaîne et le groupe. Sans polémiquer, je ne suis pas certain que le basket soit aussi important pour le groupe Canal qu’il ne l’est pour le groupe RMC parce qu’ils ont beaucoup d’autres sports et parce que culturellement ça n’a jamais été la première des priorités.\n\nLe basket a pris de l’importance cette saison sur vos différents supports ?\n\nC’est bien la preuve que lorsque François Pesenti dit ça, ce n’est pas du pipeau. Il passe souvent le message aux gens de la radio et à ceux d’émissions plus grand public qui ne vont pas avoir le réflexe, que telle chose sur le basket est importante. Stephen (Brun) va ponctuellement dans le Moscato Show qui est une émission qui a une énorme audience, c’est un vrai signe. Que sur la chaîne de news ou les documentaires, il y ait systématiquement un sujet de basket, c’est pareil.\n\nLes audiences du basket ont-elles progressé depuis que RMC Sport diffuse la ligue de champion de foot ?\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/cozette-1-e1540740043722.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-30T15:15:37.000Z", "updated_at":"2018-12-30T09:42:54.000Z", "published_at":"2018-12-30T15:15:37.000Z", "custom_excerpt":"De par son parcours et sa compétence, David Cozette est devenu la voix du basket français. 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Jaron Johnson (Levallois)
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Paul Lacombe (Monaco)
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Lahaou Konate (Nanterre)
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Photo: Kevin Harley (LNB)
Grand artisan de la victoire de la sélection française face à la sélection étrangère lors du 33e All Star Game LNB, Lahaou Konaté a été élu MVP du match des étoiles avec 33 points à 13/17 aux shoots.
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Après la rencontre, l’ailier nanterrien s’est exprimé sur cette récompense. Il a juste savouré ce moment particulier dans une saison.
« C’est un accomplissement dans une carrière de participer au All Star Game. C’est juste un sentiment de bonheur. Même dans ces matchs-là je reste un compétiteur. Ça s’est fait tout seul, c’est monté crescendo, mais on avait quand même à coeur de gagner même sans défense. J’ai juste profité de l’instant et mes tirs ouverts sont rentrés. Ce n’était vraiment pas de prise de tête, c’est juste du kiffe. J’ai déjà fait Bercy donc j’étais assez libéré dans cette salle, même si rien n’est facile avec le peu d’échauffement qu’on a. C’est anecdotique d’être MVP du All Star Game pour un joueur mais c’est plaisant d’avoir cette distinction dans ce genre d’événement. Je profite de tous les trophées. Toute la soirée j’étais sur mon téléphone, j’ai filmé, j’ai essayé de kiffer le moment et faire profiter les gens qui me suivent sur les réseaux sociaux. C’est plaisant, c’est un moment unique dans une carrière. J’étais un peu déçu du concours de tirs, mais bon. Par contre j’ai bien aimé le concours de dunks et Kevin Harley avait vraiment a coeur de gagner. »
[armelse]
Après la rencontre, l’ailier nanterrien s’est exprimé sur cette récompense. Il a juste savouré ce moment particulier dans une saison.
« C’est un accomplissement dans une carrière de participer au All Star Game. C’est juste un sentiment de bonheur. Même dans ces matchs-là je reste un compétiteur. Ça s’est fait tout seul, c’est monté crescendo, mais on avait quand même a coeur de gagner même sans défense.[/arm_restrict_content]
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Photo : BCL", "comment_id":"448386", "plaintext":"Grand artisan de la victoire de la sélection française face à la sélection étrangère lors du 33e All Star Game LNB, Lahaou Konaté a été élu MVP du match des étoiles avec 33 points à 13/17 aux shoots.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nAprès la rencontre, l’ailier nanterrien s’est exprimé sur cette récompense. Il a juste savouré ce moment particulier dans une saison.\n\n« C’est un accomplissement dans une carrière de participer au All Star Game. C’est juste un sentiment de bonheur. Même dans ces matchs-là je reste un compétiteur. Ça s’est fait tout seul, c’est monté crescendo, mais on avait quand même à coeur de gagner même sans défense. J’ai juste profité de l’instant et mes tirs ouverts sont rentrés. Ce n’était vraiment pas de prise de tête, c’est juste du kiffe. J’ai déjà fait Bercy donc j’étais assez libéré dans cette salle, même si rien n’est facile avec le peu d’échauffement qu’on a. C’est anecdotique d’être MVP du All Star Game pour un joueur mais c’est plaisant d’avoir cette distinction dans ce genre d’événement. Je profite de tous les trophées. Toute la soirée j’étais sur mon téléphone, j’ai filmé, j’ai essayé de kiffer le moment et faire profiter les gens qui me suivent sur les réseaux sociaux. C’est plaisant, c’est un moment unique dans une carrière. J’étais un peu déçu du concours de tirs, mais bon. Par contre j’ai bien aimé le concours de dunks et Kevin Harley avait vraiment a coeur de gagner. »\n\n[armelse]\n\nAprès la rencontre, l’ailier nanterrien s’est exprimé sur cette récompense. Il a juste savouré ce moment particulier dans une saison.\n\n« C’est un accomplissement dans une carrière de participer au All Star Game. C’est juste un sentiment de bonheur. Même dans ces matchs-là je reste un compétiteur. 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Sûr que les all-stars ne risquaient pas la blessure !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme à l’habitude, on a vu quelques frivolités qui n’ont pas cours en compétition comme un numéro de dribbles de Julian Wright, un vol plané de Paul Lacombe, une tentative de coast to coast de Youssoupha Fall et surtout les attractions qui, comme on le dit, font la joie des petits et des grands.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On aura noté aussi que le joueur le plus jeune à avoir jamais participé à un All-Star Game, le Villeurbannais Théo Maledon, 17 ans, est entré en jeu au bout de 7 minutes, a marqué son premier panier sur un layup, le second sur un dunk et le troisième sur un trois-points. Il est sorti du terrain avec 11 points, 5 passes et 4 rebonds. Comme pour un match de Jeep Elite finalement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Donc, on en était à 41 partout après un quart-temps, à 88-83 pour la sélection française à la mi-temps -avec 20 points du Nanterrien Lahou Konate- et à 123-117 après 30’… Ce qui serait déjà pas mal sur un match entier. Même que George Eddy, le speaker de la cérémonie, demandait un peu de défense pour la gagne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les 170 points en 1990 à Nancy -qui sont au All-Star Game LNB ce que fut le 8,90m de Bob Beamon aux JO de Mexico pour le saut en longueur- ne furent pas approchés mais 153 à 147 est un beau score !\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sur l’ensemble, les Français, qui ont presque toujours mené au score, méritent leur victoire. Ils ont atteint le score faramineux de 200 à l’évaluation. Ils égalisent ainsi à 14 le nombre de victoires des Etrangers dans l’histoire de ce All-Star Game.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et avec ses 33 points à 13/17 aux shoots (!), Lahou Konate mérite amplement son trophée de MVP. Si les Etrangers l’avaient emporté, Justin Robinson (21 points, 14 rebonds) se serait probablement vu attribuer le trophée, ce qui aurait permis à Chalon de réaliser un improbable triplé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La boxscore est \"],[0,[0],1,\"ici\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: Lahaou Konate (LNB)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Sur une échelle défensive de 0 à 10, pas sûr qu’il faille indiquer le chiffre 1 pour cette édition 2018 du All-Star Game suivi à l’AccorHôtels Arena par un record de 15 988 spectateurs. Beaucoup (trop ?) de dunks, de shoots à trois-points dans un fauteuil, de rebonds d’une main, d’allers-retours sans opposition. Sûr que les all-stars ne risquaient pas la blessure !
Comme à l’habitude, on a vu quelques frivolités qui n’ont pas cours en compétition comme un numéro de dribbles de Julian Wright, un vol plané de Paul Lacombe, une tentative de coast to coast de Youssoupha Fall et surtout les attractions qui, comme on le dit, font la joie des petits et des grands.
On aura noté aussi que le joueur le plus jeune à avoir jamais participé à un All-Star Game, le Villeurbannais Théo Maledon, 17 ans, est entré en jeu au bout de 7 minutes, a marqué son premier panier sur un layup, le second sur un dunk et le troisième sur un trois-points. Il est sorti du terrain avec 11 points, 5 passes et 4 rebonds. Comme pour un match de Jeep Elite finalement.
Donc, on en était à 41 partout après un quart-temps, à 88-83 pour la sélection française à la mi-temps -avec 20 points du Nanterrien Lahou Konate- et à 123-117 après 30’… Ce qui serait déjà pas mal sur un match entier. Même que George Eddy, le speaker de la cérémonie, demandait un peu de défense pour la gagne.
Les 170 points en 1990 à Nancy -qui sont au All-Star Game LNB ce que fut le 8,90m de Bob Beamon aux JO de Mexico pour le saut en longueur- ne furent pas approchés mais 153 à 147 est un beau score !
Sur l’ensemble, les Français, qui ont presque toujours mené au score, méritent leur victoire. Ils ont atteint le score faramineux de 200 à l’évaluation. Ils égalisent ainsi à 14 le nombre de victoires des Etrangers dans l’histoire de ce All-Star Game.
Et avec ses 33 points à 13/17 aux shoots (!), Lahou Konate mérite amplement son trophée de MVP. Si les Etrangers l’avaient emporté, Justin Robinson (21 points, 14 rebonds) se serait probablement vu attribuer le trophée, ce qui aurait permis à Chalon de réaliser un improbable triplé.
La boxscore est ici.
Photo: Lahaou Konate (LNB)
", "comment_id":"448380", "plaintext":"Sur une échelle défensive de 0 à 10, pas sûr qu’il faille indiquer le chiffre 1 pour cette édition 2018 du All-Star Game suivi à l’AccorHôtels Arena par un record de 15 988 spectateurs. Beaucoup (trop ?) de dunks, de shoots à trois-points dans un fauteuil, de rebonds d’une main, d’allers-retours sans opposition. Sûr que les all-stars ne risquaient pas la blessure !\n\nComme à l’habitude, on a vu quelques frivolités qui n’ont pas cours en compétition comme un numéro de dribbles de Julian Wright, un vol plané de Paul Lacombe, une tentative de coast to coast de Youssoupha Fall et surtout les attractions qui, comme on le dit, font la joie des petits et des grands.\n\nOn aura noté aussi que le joueur le plus jeune à avoir jamais participé à un All-Star Game, le Villeurbannais Théo Maledon, 17 ans, est entré en jeu au bout de 7 minutes, a marqué son premier panier sur un layup, le second sur un dunk et le troisième sur un trois-points. Il est sorti du terrain avec 11 points, 5 passes et 4 rebonds. Comme pour un match de Jeep Elite finalement.\n\nDonc, on en était à 41 partout après un quart-temps, à 88-83 pour la sélection française à la mi-temps -avec 20 points du Nanterrien Lahou Konate- et à 123-117 après 30’… Ce qui serait déjà pas mal sur un match entier. Même que George Eddy, le speaker de la cérémonie, demandait un peu de défense pour la gagne.\n\nLes 170 points en 1990 à Nancy -qui sont au All-Star Game LNB ce que fut le 8,90m de Bob Beamon aux JO de Mexico pour le saut en longueur- ne furent pas approchés mais 153 à 147 est un beau score !\n\nSur l’ensemble, les Français, qui ont presque toujours mené au score, méritent leur victoire. Ils ont atteint le score faramineux de 200 à l’évaluation. Ils égalisent ainsi à 14 le nombre de victoires des Etrangers dans l’histoire de ce All-Star Game.\n\nEt avec ses 33 points à 13/17 aux shoots (!), Lahou Konate mérite amplement son trophée de MVP. Si les Etrangers l’avaient emporté, Justin Robinson (21 points, 14 rebonds) se serait probablement vu attribuer le trophée, ce qui aurait permis à Chalon de réaliser un improbable triplé.\n\nLa boxscore est ici.\n\nPhoto: Lahaou Konate (LNB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/konate-lahaou-42969_37.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-29T21:46:33.000Z", "updated_at":"2018-12-30T17:49:38.000Z", "published_at":"2018-12-29T21:46:33.000Z", "custom_excerpt":"Sur une échelle défensive de 0 à 10, pas sûr qu’il faille indiquer le chiffre 1 pour cette édition 2018 du All-Star Game suivi à l’AccorHôtels Arena par un record de 15 988 spectateurs. Beaucoup (trop ?) de dunks, de shoots à trois-points dans un fauteuil, de rebonds d’une main, d’allers-retours san", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da535", "uuid":"eb5dd1f8-cede-4acc-bf7e-7eca0e16a694", "title":"Kevin Harley (Poitiers), vainqueur du concours de dunk : « Cette ambiance nous porte »", "slug":"kevin-harley-poitiers-vainqueur-du-concours-de-dunk-cette-ambiance-nous-porte", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Photo : Poitiers Basket 86
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Après le concours, Kevin Harley s’est exprimé sur sa victoire.
« C’est énorme. Je l’avais déjà fait l’année dernière mais je ne pense pas que j’étais favori. C’est une satisfaction de dire qu’il n’y a pas de Pro B ou Pro A. Ça montre que ce n’est pas parce qu’ils sont en Pro A qu’ils sont plus athlétiques. C’est un plaisir. L’année dernière m’a vraiment appris à m’imprégner de l’ambiance de la salle, du fonctionnement du concours et de l’organisation. L’année dernière je suis venu le jour même donc c’était dans le rush, même si ça s’est vraiment bien passé. J’appréhendais vachement plus l’année dernière que cette année. Il y a une petite pression parce qu’on sait que c’est ce que tout le monde attend. Les gens nous attendent, mais ce n’est pas méchant, ils veulent juste nous voir. On a des entrées de feu à chaque fois. Cette ambiance nous porte vraiment, ça nous pousse à nous dépasser pour faire plaisir au public. »
[armelse]
Après le concours, Kevin Harley s’est exprimé sur sa victoire.
« C’est énorme. Je l’avais déjà fait l’année dernière mais je ne pense pas que j’étais favori. C’est une satisfaction de dire qu’il n’y a pas de Pro B ou Pro A. Ça montre que ce n’est pas parce qu’ils sont en Pro A qu’ils sont plus athlétiques. C’est un plaisir.[/arm_restrict_content]
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Photo : Poitiers Basket 86
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L’année dernière je suis venu le jour même donc c’était dans le rush, même si ça s’est vraiment bien passé. J’appréhendais vachement plus l’année dernière que cette année. Il y a une petite pression parce qu’on sait que c’est ce que tout le monde attend. Les gens nous attendent, mais ce n’est pas méchant, ils veulent juste nous voir. On a des entrées de feu à chaque fois. Cette ambiance nous porte vraiment, ça nous pousse à nous dépasser pour faire plaisir au public. »\n\n[armelse]\n\nAprès le concours, Kevin Harley s’est exprimé sur sa victoire.\n\n« C’est énorme. Je l’avais déjà fait l’année dernière mais je ne pense pas que j’étais favori. C’est une satisfaction de dire qu’il n’y a pas de Pro B ou Pro A. Ça montre que ce n’est pas parce qu’ils sont en Pro A qu’ils sont plus athlétiques. 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Pas de susperstar cette fois comme en 2018 avec le Manceau DJ Stephens mais des spécialistes venus de Jeep Elite mais aussi pour moitié de Pro B.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Akil Mitchell a laissé s’envoler toutes ses chances de succès en ratant tous ses dunks lors du premier passage. Dommage, le Boulazacois a réussi ensuite un dunk de la ligne des lancers… mais en mordant. Jaron Johnson n’a pas été aidé par les mauvaises passes de ses équipiers de Levallois, Julian Wright et Roko-Leni Ukic, ce qui lui a fait perdre beaucoup de temps.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Finale entre joueurs de Pro B. Tarvis Cohn, 1,88m, a fait des bonds de Marsupilami mais Kevin Harley, le seul Français du lot, a décroché la queue du Mickey en sautant par-dessus Yakuba Ouattara -un double vainqueur du concours- ponctué d’un dunk arrière, puis lors de l’ultime passage toujours avec un dunk arrière mais avec rebond du ballon au préalable.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Kevin Harley avait été éliminé en demi-finale l’an dernier. Travis Cohn possède à son palmarès une victoire au concours de dunks en Islande (2014), Jaron Johnson en Israël (2018) et Akil Mitchell fut finaliste en Australie (2016).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Demi-finale: \"],[0,[],0,\"1) Kevin Harley (193 décibels), Travis Cohn (193), 3) Jaron Johnson (189), 4) Akil Mitchell (98).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Finale:\"],[0,[],0,\" 1) Kevin Harley (194), 2) Travis Cohn (188).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Classement: \"],[0,[],0,\"1) Kevin Harley (Poitiers), 2) Travis Cohn (Quimper), 3) Jaron Johnson (Levallois), 4) Akil Mitchell (Boulazac)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: Kevin Harley (LNB)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"C’est après une excellente vidéo musicale d’entrée en scène avec les quatre acteurs qu’a débuté ce qui est toujours la cerise du gâteau du All-Star Game : le concours de dunks. Pas de susperstar cette fois comme en 2018 avec le Manceau DJ Stephens mais des spécialistes venus de Jeep Elite mais aussi pour moitié de Pro B.
Akil Mitchell a laissé s’envoler toutes ses chances de succès en ratant tous ses dunks lors du premier passage. Dommage, le Boulazacois a réussi ensuite un dunk de la ligne des lancers… mais en mordant. Jaron Johnson n’a pas été aidé par les mauvaises passes de ses équipiers de Levallois, Julian Wright et Roko-Leni Ukic, ce qui lui a fait perdre beaucoup de temps.
Finale entre joueurs de Pro B. Tarvis Cohn, 1,88m, a fait des bonds de Marsupilami mais Kevin Harley, le seul Français du lot, a décroché la queue du Mickey en sautant par-dessus Yakuba Ouattara -un double vainqueur du concours- ponctué d’un dunk arrière, puis lors de l’ultime passage toujours avec un dunk arrière mais avec rebond du ballon au préalable.
Kevin Harley avait été éliminé en demi-finale l’an dernier. Travis Cohn possède à son palmarès une victoire au concours de dunks en Islande (2014), Jaron Johnson en Israël (2018) et Akil Mitchell fut finaliste en Australie (2016).
Demi-finale: 1) Kevin Harley (193 décibels), Travis Cohn (193), 3) Jaron Johnson (189), 4) Akil Mitchell (98).
Finale: 1) Kevin Harley (194), 2) Travis Cohn (188).
Classement: 1) Kevin Harley (Poitiers), 2) Travis Cohn (Quimper), 3) Jaron Johnson (Levallois), 4) Akil Mitchell (Boulazac)
Photo: Kevin Harley (LNB)
", "comment_id":"448370", "plaintext":"C’est après une excellente vidéo musicale d’entrée en scène avec les quatre acteurs qu’a débuté ce qui est toujours la cerise du gâteau du All-Star Game : le concours de dunks. Pas de susperstar cette fois comme en 2018 avec le Manceau DJ Stephens mais des spécialistes venus de Jeep Elite mais aussi pour moitié de Pro B.\n\nAkil Mitchell a laissé s’envoler toutes ses chances de succès en ratant tous ses dunks lors du premier passage. Dommage, le Boulazacois a réussi ensuite un dunk de la ligne des lancers… mais en mordant. Jaron Johnson n’a pas été aidé par les mauvaises passes de ses équipiers de Levallois, Julian Wright et Roko-Leni Ukic, ce qui lui a fait perdre beaucoup de temps.\n\nFinale entre joueurs de Pro B. Tarvis Cohn, 1,88m, a fait des bonds de Marsupilami mais Kevin Harley, le seul Français du lot, a décroché la queue du Mickey en sautant par-dessus Yakuba Ouattara -un double vainqueur du concours- ponctué d’un dunk arrière, puis lors de l’ultime passage toujours avec un dunk arrière mais avec rebond du ballon au préalable.\n\nKevin Harley avait été éliminé en demi-finale l’an dernier. Travis Cohn possède à son palmarès une victoire au concours de dunks en Islande (2014), Jaron Johnson en Israël (2018) et Akil Mitchell fut finaliste en Australie (2016).\n\nDemi-finale: 1) Kevin Harley (193 décibels), Travis Cohn (193), 3) Jaron Johnson (189), 4) Akil Mitchell (98).\n\nFinale: 1) Kevin Harley (194), 2) Travis Cohn (188).\n\nClassement: 1) Kevin Harley (Poitiers), 2) Travis Cohn (Quimper), 3) Jaron Johnson (Levallois), 4) Akil Mitchell (Boulazac)\n\nPhoto: Kevin Harley (LNB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/kevin-harley-49784_37.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-29T20:51:40.000Z", "updated_at":"2018-12-29T20:51:40.000Z", "published_at":"2018-12-29T20:51:40.000Z", "custom_excerpt":"C’est après une excellente vidéo musicale d’entrée en scène avec les quatre acteurs qu’a débuté ce qui est toujours la cerise du gâteau du All-Star Game : le concours de dunks. Pas de susperstar cette fois comme en 2018 avec le Manceau DJ Stephens mais des spécialistes venus de Jeep Elite mais aussi", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da537", "uuid":"f1a63a78-fba9-4d67-874c-9233048935c2", "title":"Bastien Pinault (Chalon) : « Les deux concours c’est un super bonus pour Chalon qui est un super club »", "slug":"bastien-pinault-chalon-les-deux-concours-cest-un-super-bonus-pour-chalon-qui-est-un-super-club", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Photo : Charlotte Geoffray
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Après le match, les deux joueurs se sont exprimés sur ce concours.
Bastien Pinault :
« Pour l’instant c’est un bon départ pour Chalon, maintenant il ne manquerait plus que Justin Robinson soit MVP du match et ça serait parfait. On était surtout venus pour s’amuser et passer un bon moment parce que c’est quand même la fête du basket français. Gagner les deux concours c’est un super bonus et c’est une belle pub pour l’Elan Chalon qui est un super club. C’est la première fois que ça se joue au tie break, mais c’est mieux de faire compliqué, la victoire est plus belle… Même si j’avoue qu’à 17 je n’étais pas serein parce que sur les entraînements qu’on a fait je pense que ça ne s’est pas joué en dessous de 20 entre Jarell et moi.«
Jarell Eddie :
« Je suis déçu de moi parce que je pense que je suis passé à côté, j’ai perdu ce concours. C’est proche, j’aurais vraiment pu le gagner mais je ne l’ai pas fait, j’ai fait une sous-performance. Je suis un shooteur facile, c’est aussi un bon shooteur. Il y avait de bons compétiteurs, c’est un bon concours. C’est une belle atmosphère ici, il y a un bon public. La seule comparaison que je peux faire avec le concours de G-League c’est que je suis venu ici, mais que j’ai perdu au deuxième round. Il y a aussi le fait de faire le premier tour, de retourner s’asseoir et de se relever, c’est assez compliqué, mais ça fait partie du jeu. »
[armelse]
Bastien Pinault :
« Pour l’instant c’est un bon départ pour Chalon, maintenant il ne manquerait plus que Justin Robinson soit MVP du match et ça serait parfait. On était surtout venus pour s’amuser et passer un bon moment parce que c’est quand même la fête du basket français. Gagner les deux concours c’est un super bonus et c’est une belle pub pour l’Elan Chalon qui est un super club. C’est la première fois que ça se joue au tie-break, mais c’est mieux de faire compliqué, la victoire est plus belle… Même si j’avoue qu’à 17 je n’étais pas serein parce que sur les entraînements qu’on a fait je pense que ça ne s’est pas joué en dessous de 20 entre Jarell et moi.« [/arm_restrict_content]
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Photo : Charlotte Geoffray
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En finale, il a loupé ses quatre premiers essais dans le coin gauche, mais il n’a pas perdu son sang-froid pour autant. Il a aussi prouvé qu’il avait un gros mental quand il a marqué 4 de ses 5 shoots supplémentaires face au cercle dont le dernier panier bonus alors que l’Américain Jarrel Eddieau au même endroit a craqué. 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S’il n’y a pas eu de super crack, le niveau du concours à trois-points a été homogène au point qu’il a fallu aussi cinq shoots supplémentaires pour départager Bastien Pinault et Adas Juskevicius en demi-finale.
Demi-finale : Jarrel Eddie (23 points), Bastien Pinault (21 points + 6), Adas Juskevicius (21 points +4), Scott Wood (15 points).
Finale : Bastien Pinault (17 points +5), Jarrel Eddie (17 points +2).
Classement : 1) Bastien Pinault (Chalon), 2) Jarrel Eddie (Strasbourg), Adas Juskevicius (Nanterre), 4) Scott Wood (Gravelines).
Photo: Bastien Pinault (LNB)
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Après la rencontre, le joueur de Jean-Denys Choulet a tenu à souligner le talent des deux jeunes Théo Maledon et Killian Hayes qui, à 17 ans, participent à leur premier All Star Game.
« J’étais notamment contre deux très jeunes joueurs, mais très bons. Dans quelques années, ils seront très forts. Ça fait forcément quelque chose de gagner ce concours, je n’aime pas perdre (sourire) ! A chaque fois que je fais quelque chose je me donne à fond et ce soir ça m’a amené jusqu’à la victoire. J’ai dit à Bastien (Pinault) que j’ai gagné le concours de meneurs et qu’il doit donc maintenant gagner celui à trois points ! Je suis maintenant très impatient de jouer le match. »
Killian Hayes s’est aussi exprimé sur cette expérience unique.
« Déjà voir 15 000 personnes en entrant dans Bercy c’est quelque chose. J’étais déjà venu jouer en Coupe de France ici, mais ce n’était pas rempli. C’est une super expérience et on voit bien que tout le monde est là pour passer un bon moment. Ce qui est difficile dans ce concours c’est de trouver son rythme, on était tous un peu froid, on n’a pas vraiment pu s’échauffer. C’est surtout ça. Justin Robinson ? Il est tout petit, il se faufile dans le slalom, c’est plus facile pour lui, mais c’est aussi un vrai shooteur. »
La pépite de l’ASVEL, Théo Maledon a malheureusement été éliminé en deux manches sèches mais il retient l’atmosphère de cette salle à guichets fermés.
« C’est la première fois que je viens à Bercy pour jouer. C’est impressionnant de voir tout ce monde. Malheureusement ça a tourné court, j’ai perdu 2-0. Ça reste toujours un bon moment, c’est toujours bien d’être là et de voir comment c’est fait. Ça s’est joué sur des petits détails. J’ai glissé, une petite passe qui part sur le côté, un petit tir raté. Ça crée la différence et tout de suite on paye ce retard. Justin Robinson est un très bon joueur qui mérite ce trophée, il a été élu joueur du mois en octobre. C’est un des meilleurs… même je pense peut-être le meilleur meneur de Jeep Elite. Félicitations à lui.C’est vraiment une très belle expérience de venir ici. »
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Après la rencontre, le joueur de Jean-Denys Choulet a tenu à souligner le talent des deux jeunes Théo Maledon et Killian Hayes qui, à 17 ans, participent à leur premier All Star Game.
« J’étais notamment contre deux très jeunes joueurs, mais très bons. Dans quelques années, ils seront très forts. Ça fait forcément quelque chose de gagner ce concours, je n’aime pas perdre (sourire) ! A chaque fois que je fais quelque chose je me donne à fond et ce soir ça m’a amené jusqu’à la victoire. J’ai dit à Bastien (Pinault) que j’ai gagné le concours de meneurs et qu’il doit donc maintenant gagner celui à trois points ! Je suis maintenant très impatient de jouer le match. »[/arm_restrict_content]
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Photo : Antibes Sharks
", "comment_id":"448355", "plaintext":"En ouverture du 33e All Star Game LNB, le traditionnel concours des meneurs opposait Justin Robinson, Killian Hayes, Théo Maledon et Roko Ukic. C’est le micro meneur de l’Elan Chalon qui l’a emporté.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nAprès la rencontre, le joueur de Jean-Denys Choulet a tenu à souligner le talent des deux jeunes Théo Maledon et Killian Hayes qui, à 17 ans, participent à leur premier All Star Game.\n\n« J’étais notamment contre deux très jeunes joueurs, mais très bons. Dans quelques années, ils seront très forts. Ça fait forcément quelque chose de gagner ce concours, je n’aime pas perdre (sourire) ! A chaque fois que je fais quelque chose je me donne à fond et ce soir ça m’a amené jusqu’à la victoire. J’ai dit à Bastien (Pinault) que j’ai gagné le concours de meneurs et qu’il doit donc maintenant gagner celui à trois points ! Je suis maintenant très impatient de jouer le match. »\n\nKillian Hayes s’est aussi exprimé sur cette expérience unique.\n\n« Déjà voir 15 000 personnes en entrant dans Bercy c’est quelque chose. J’étais déjà venu jouer en Coupe de France ici, mais ce n’était pas rempli. C’est une super expérience et on voit bien que tout le monde est là pour passer un bon moment. Ce qui est difficile dans ce concours c’est de trouver son rythme, on était tous un peu froid, on n’a pas vraiment pu s’échauffer. C’est surtout ça. Justin Robinson ? Il est tout petit, il se faufile dans le slalom, c’est plus facile pour lui, mais c’est aussi un vrai shooteur. »\n\nLa pépite de l’ASVEL, Théo Maledon a malheureusement été éliminé en deux manches sèches mais il retient l’atmosphère de cette salle à guichets fermés.\n\n« C’est la première fois que je viens à Bercy pour jouer. C’est impressionnant de voir tout ce monde. Malheureusement ça a tourné court, j’ai perdu 2-0. Ça reste toujours un bon moment, c’est toujours bien d’être là et de voir comment c’est fait. Ça s’est joué sur des petits détails. J’ai glissé, une petite passe qui part sur le côté, un petit tir raté. Ça crée la différence et tout de suite on paye ce retard. Justin Robinson est un très bon joueur qui mérite ce trophée, il a été élu joueur du mois en octobre. C’est un des meilleurs… même je pense peut-être le meilleur meneur de Jeep Elite. Félicitations à lui.C’est vraiment une très belle expérience de venir ici. »\n\n[armelse]\n\nAprès la rencontre, le joueur de Jean-Denys Choulet a tenu à souligner le talent des deux jeunes Théo Maledon et Killian Hayes qui, à 17 ans, participent à leur premier All Star Game.\n\n« J’étais notamment contre deux très jeunes joueurs, mais très bons. Dans quelques années, ils seront très forts. Ça fait forcément quelque chose de gagner ce concours, je n’aime pas perdre (sourire) ! A chaque fois que je fais quelque chose je me donne à fond et ce soir ça m’a amené jusqu’à la victoire. J’ai dit à Bastien (Pinault) que j’ai gagné le concours de meneurs et qu’il doit donc maintenant gagner celui à trois points ! Je suis maintenant très impatient de jouer le match. »[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Antibes Sharks", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/11/robinson-e1543246154835.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-29T19:13:05.000Z", "updated_at":"2018-12-29T19:35:44.000Z", "published_at":"2018-12-29T19:13:05.000Z", "custom_excerpt":"En ouverture du 33e All Star Game LNB, le traditionnel concours des meneurs opposait Justin Robinson, Killian Hayes, Théo Maledon et Roko Ukic. C’est le micro meneur de l’Elan Chalon qui l’a emporté.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568c5bad0748f00016da53a", "uuid":"c93a6c32-cc09-4416-aff3-cf0267d995a5", "title":"All-Star Game – Concours des meneurs: Justin Robinson (Chalon) vainqueur de Roko-Leni Ukic (Levallois) en finale", "slug":"concours-des-meneurs-justin-robinson-chalon-vainqueur-de-roko-leni-ukic-levallois-en-finale", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/SFR?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\\n\"}],[\"html\",{\"html\":\"Retrouvez en vidéo les manches de la finale du @SFR #SkillsChallenge entre @Callmescoop12 et @RokoLeni10 #ASG2018 pic.twitter.com/8VcKvMW2VS
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Photo: LNB
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Le duel de générations a tourné en faveur des aînés puisqu’en demi-finale Roko-Leni Ukic et Justin Robinson ont battu respectivement Théo Maledon et Killian Hayes, 17 ans, deux manches à zéro.
Classement : 1- Justin Robinson (Chalon), 2- Roko-Leni Ukic (Levallois), 3-Killian Hayes (Cholet) et Théo Maledon (Villeurbanne).
Les réactions des joueurs sont ici.
\nRetrouvez en vidéo les manches de la finale du @SFR #SkillsChallenge entre @Callmescoop12 et @RokoLeni10 #ASG2018 pic.twitter.com/8VcKvMW2VS
\n— LNB (@LNBofficiel) December 29, 2018
Photo: LNB
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Seulement pour avoir le droit de recruter, le staff choletais doit obtenir le feu vert de la DNCCG.
« Nous avons déposé un dossier la semaine passée, nous attendons la réponse début janvier », indique le président Didier Barré à Ouest France. « Soit elle est refusée, soit elle est acceptée, soit elle est acceptée en partie, c’est-à-dire avec une augmentation mais en deçà de celle demandée. En tout cas, cela ne remettrait pas du tout en cause la pérennité du club. »
Le club précise qu’à l’exception de l’interrogation qui existe pour Frank Hassell, aucun départ n’est prévu de l’effectif.
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\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 28, 2018
Crédits photo : Euroleague
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Une seconde phase qui s’annonce palpitante avec pas moins de 6 équipes qui se tiennent dans un mouchoir de poche, entre 8 victoires – 7 défaites et 7 victoires – 8 défaites.\"],[1,[],0,0]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Rick Pitino abat le CSKA pour sa première\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec beaucoup de trappes sur les scoreurs du CSKA, qui ont forcé 14 ballons perdus, le Panathinaikos s’est imposé avec brio pour la première de Rick Pitino (96-84). Nick Calathes (14 points, 10 passes) a comme toujours alimenté l’attaque hellène, avec Ioannis Papapetrou (17 points) qui revient fort après sa blessure.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nando De Colo (17 points, 4 ballons perdus) a notamment été pris pour cible des trappes du Pana. 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Munich est en forme avec 4 victoires sur ses 5 derniers matchs.\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Gran Canaria reste dans le coup\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans le dernier match de 2018, Gran Canaria a fait régner la logique du terrain. Face à Kaunas, les insulaires ont pu compter sur un collectif de 11 joueurs et un gros effort défensif en 2e quart (16-9). Ils ont tenu leur écart de bout en bout (73-66) derrière un bon Xavier Rabaseda (15 points, 8 rebonds).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"GranCa remporte là une victoire importante face à un concurrent direct. A 6 victoires pour 9 défaites, le club de Kim Tillie est encore dans le coup pour les playoffs. Il faudra évidemment jouer serré avec 6 équipes qui se tiennent entre la 6e et la 12e place…\"]]],[10,3],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Les Français d’Euroleague\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Nando De Colo\"],[0,[],0,\" (CSKA Moscou) : 17 points (4/10 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 25 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Kevin Séraphin\"],[0,[],0,\" (Barcelone) : 13 points (6/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 5 balles perdues en 22 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Rodrigue Beaubois\"],[0,[],0,\" (Efes) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 14 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Thomas Heurtel\"],[0,[],0,\" (Barcelone) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 22 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Adrien Moerman\"],[0,[],0,\" (Efes) : 7 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Vincent Poirier\"],[0,[],0,\" (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 2 balles perdues en 20 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Axel Toupane\"],[0,[],0,\" (Olympiakos) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds en 16 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Joffrey Lauvergne\"],[0,[],0,\" (Fenerbahçe) : 4 points (2/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 14 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Edwin Jackson\"],[0,[],0,\" (Podgorica) : 4 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 24 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Kim Tillie\"],[0,[],0,\" (Gran Canaria) : 4 points (2/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre en 11 minutes\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Fabien Causeur\"],[0,[],0,\" (Real Madrid) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes en 12 minutes\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"L’action de la soirée\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est le basket moderne ! Le pivot remonte le terrain en dribble et sert parfaitement son compère de raquette, Joffrey Lauvergne qui dunke les deux mains dans la marmite. Le Fener remporte une 11e victoire d’affilée et creuse l’écart avec ses poursuivants qui ont tous deux perdu…\"]]],[10,4],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Les résultats de la 15e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Mercredi 27 décembre :\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Khimki Moscou – Vitoria (77-85)\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"Darussafaka – Olympiakos (79-75)\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"Maccabi Tel Aviv – Milan (94-92)\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"Barcelone – Efes Istanbul (80-65)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jeudi 28 décembre :\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"Fenerbahçe – Real Madrid (65-63)\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"Panathinaikos – CSKA Moscou (95-83)\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"Bayern Munich – Podgorica (93-88)\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"Gran Canaria – Zalgiris Kaunas (73-66)\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le classement provisoire\"]]],[10,5],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le programme de la 16e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jeudi 3 janvier :\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"Efes Istanbul – Bayern Munich (18h30)\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"Milan – Podgorica (20h45)\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"Real Madrid – Maccabi Tel Aviv (20h45)\"],[1,[],0,12],[0,[],0,\"Gran Canaria – Khimki Moscou (21h30)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Vendredi 4 janvier :\"],[1,[],0,13],[0,[],0,\"Fenerbahçe – Vitoria (18h45)\"],[1,[],0,14],[0,[],0,\"Zalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\"],[1,[],0,15],[0,[],0,\"Olympiakos – Panathinaikos (20h)\"],[1,[],0,16],[0,[],0,\"Barcelone – Darussafaka (21h)\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"A lire aussi : Barcelone et Vitoria se requinquent\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Rick Pitino abat le CSKA pour sa première\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Avec beaucoup de trappes sur les scoreurs du CSKA, qui ont forcé 14 ballons perdus, le Panathinaikos s’est imposé avec brio pour la première de Rick Pitino (96-84). 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Le Bayern Munich et Gran Canaria sont les deux autres gagnants de la soirée. Munich peut encore espérer quelque chose dans la deuxième partie de saison l’an prochain. Une seconde phase qui s’annonce palpitante avec pas moins de 6 équipes qui se tiennent dans un mouchoir de poche, entre 8 victoires – 7 défaites et 7 victoires – 8 défaites.
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Avec beaucoup de trappes sur les scoreurs du CSKA, qui ont forcé 14 ballons perdus, le Panathinaikos s’est imposé avec brio pour la première de Rick Pitino (96-84). Nick Calathes (14 points, 10 passes) a comme toujours alimenté l’attaque hellène, avec Ioannis Papapetrou (17 points) qui revient fort après sa blessure.
Nando De Colo (17 points, 4 ballons perdus) a notamment été pris pour cible des trappes du Pana. Will Clyburn (24 points, 10 rebonds) a brillé mais le CSKA n’a jamais pu se remettre d’un 2e quart à sens unique (36-18).
A -6 sous les 2 minutes, Fenerbahçe n’a pas craqué devant son public. Au contraire, la troupe d’Obradovic a passé un 8-0 conclu d’un panier plus la faute de Luigi Datome (17 points, 7 rebonds). Dans un match fermé à double tour, qui a vu l’expulsion de Sergio Llull dans un mauvais soir, le Real a failli faire le hold up mais le Fener veillait (65-63).
Joffrey Lauvergne (4 points, 2 rebonds) et Fabien Causeur (2 points, 2 rebonds, 2 passes) ont contribué dans ce match sous haute intensité défensive. Sans Kostas Sloukas, Marko Guduric a encore délivré dans le crunch time pour lancer le run décisif. Avec ce nouveau succès arraché de haute lutte, le Fener en est à 11 victoires d’affilée et seul en tête du classement !
Les nouveaux venus se sont mis en valeur pour Podgorica avec Norris Cole (27 points, 6 passes) et Goga Bitadze (17 points, 7 rebonds) qui ont longtemps donné du fil à retordre aux Munichois. Mais le Bayern a fini par s’imposer à domicile (93-88). Derrick Williams (21 points) a torturé la défense monténégrine avec des dunks à répétition.
A -16 en 3e quart, Williams mais aussi Braydon Hobbs (14 points) ont lancé le retour des Bavarois. Avec un 10/12 à trois points au retour des vestiaires, le Bayern a repris le contrôle du match pour de bon. Podgorica n’avait pas le répondant en dernier quart (28-18). Edwin Jackson termine à 4 points, 2 rebonds, 2 passes. Munich est en forme avec 4 victoires sur ses 5 derniers matchs.
Dans le dernier match de 2018, Gran Canaria a fait régner la logique du terrain. Face à Kaunas, les insulaires ont pu compter sur un collectif de 11 joueurs et un gros effort défensif en 2e quart (16-9). Ils ont tenu leur écart de bout en bout (73-66) derrière un bon Xavier Rabaseda (15 points, 8 rebonds).
GranCa remporte là une victoire importante face à un concurrent direct. A 6 victoires pour 9 défaites, le club de Kim Tillie est encore dans le coup pour les playoffs. Il faudra évidemment jouer serré avec 6 équipes qui se tiennent entre la 6e et la 12e place…
Nando De Colo (CSKA Moscou) : 17 points (4/10 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 25 minutes
Kevin Séraphin (Barcelone) : 13 points (6/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 5 balles perdues en 22 minutes
Rodrigue Beaubois (Efes) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 14 minutes
Thomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 22 minutes
Adrien Moerman (Efes) : 7 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes
Vincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 2 balles perdues en 20 minutes
Axel Toupane (Olympiakos) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds en 16 minutes
Joffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (2/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 14 minutes
Edwin Jackson (Podgorica) : 4 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 24 minutes
Kim Tillie (Gran Canaria) : 4 points (2/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre en 11 minutes
Fabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes en 12 minutes
C’est le basket moderne ! Le pivot remonte le terrain en dribble et sert parfaitement son compère de raquette, Joffrey Lauvergne qui dunke les deux mains dans la marmite. Le Fener remporte une 11e victoire d’affilée et creuse l’écart avec ses poursuivants qui ont tous deux perdu…
\nThe @JanVesely24 DIME ➡ The STRONG @1JOLOLO finish!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/M7n37efQTx
\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 28, 2018
Mercredi 27 décembre :
Khimki Moscou – Vitoria (77-85)
Darussafaka – Olympiakos (79-75)
Maccabi Tel Aviv – Milan (94-92)
Barcelone – Efes Istanbul (80-65)
Jeudi 28 décembre :
Fenerbahçe – Real Madrid (65-63)
Panathinaikos – CSKA Moscou (95-83)
Bayern Munich – Podgorica (93-88)
Gran Canaria – Zalgiris Kaunas (73-66)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/screen-shot-2018-12-28-at-5.40.07-pm.png\")
Jeudi 3 janvier :
Efes Istanbul – Bayern Munich (18h30)
Milan – Podgorica (20h45)
Real Madrid – Maccabi Tel Aviv (20h45)
Gran Canaria – Khimki Moscou (21h30)
Vendredi 4 janvier :
Fenerbahçe – Vitoria (18h45)
Zalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)
Olympiakos – Panathinaikos (20h)
Barcelone – Darussafaka (21h)
A lire aussi : Barcelone et Vitoria se requinquent
Crédits photo : Euroleague
[armelse]
Avec beaucoup de trappes sur les scoreurs du CSKA, qui ont forcé 14 ballons perdus, le Panathinaikos s’est imposé avec brio pour la première de Rick Pitino (96-84). Nick Calathes (14 points, 10 passes) a comme toujours alimenté l’attaque hellène, avec Ioannis Papapetrou (17 points) qui revient fort après sa blessure.
Nando De Colo (17 points, 4 ballons perdus) a notamment été pris pour cible des trappes du Pana. Will Clyburn (24 points
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[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
", "comment_id":"448301", "plaintext":"Alors que Fenerbahçe confirme sa prise de pouvoir au sommet avec le CSKA Moscou et le Real Madrid qui ont chuté chez les poursuivants directs, le Panathinaikos s’est offert une bonne bouffée d’air frais avec la première réussie de Rick Pitino. Le Pana a battu le CSKA Moscou de 12 points, avec une grosse pression défensive et du spectacle en attaque (96-84).\n\nLe Bayern Munich et Gran Canaria sont les deux autres gagnants de la soirée. Munich peut encore espérer quelque chose dans la deuxième partie de saison l’an prochain. Une seconde phase qui s’annonce palpitante avec pas moins de 6 équipes qui se tiennent dans un mouchoir de poche, entre 8 victoires – 7 défaites et 7 victoires – 8 défaites.\n\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nRick Pitino abat le CSKA pour sa première\n\nAvec beaucoup de trappes sur les scoreurs du CSKA, qui ont forcé 14 ballons perdus, le Panathinaikos s’est imposé avec brio pour la première de Rick Pitino (96-84). Nick Calathes (14 points, 10 passes) a comme toujours alimenté l’attaque hellène, avec Ioannis Papapetrou (17 points) qui revient fort après sa blessure.\n\nNando De Colo (17 points, 4 ballons perdus) a notamment été pris pour cible des trappes du Pana. Will Clyburn (24 points, 10 rebonds) a brillé mais le CSKA n’a jamais pu se remettre d’un 2e quart à sens unique (36-18).\n\n\nLe Fener s’impose au finish\n\nA -6 sous les 2 minutes, Fenerbahçe n’a pas craqué devant son public. Au contraire, la troupe d’Obradovic a passé un 8-0 conclu d’un panier plus la faute de Luigi Datome (17 points, 7 rebonds). Dans un match fermé à double tour, qui a vu l’expulsion de Sergio Llull dans un mauvais soir, le Real a failli faire le hold up mais le Fener veillait (65-63).\n\nJoffrey Lauvergne (4 points, 2 rebonds) et Fabien Causeur (2 points, 2 rebonds, 2 passes) ont contribué dans ce match sous haute intensité défensive. Sans Kostas Sloukas, Marko Guduric a encore délivré dans le crunch time pour lancer le run décisif. Avec ce nouveau succès arraché de haute lutte, le Fener en est à 11 victoires d’affilée et seul en tête du classement !\n\n\nLe Bayern fait 4 sur 5\n\nLes nouveaux venus se sont mis en valeur pour Podgorica avec Norris Cole (27 points, 6 passes) et Goga Bitadze (17 points, 7 rebonds) qui ont longtemps donné du fil à retordre aux Munichois. Mais le Bayern a fini par s’imposer à domicile (93-88). Derrick Williams (21 points) a torturé la défense monténégrine avec des dunks à répétition.\n\nA -16 en 3e quart, Williams mais aussi Braydon Hobbs (14 points) ont lancé le retour des Bavarois. Avec un 10/12 à trois points au retour des vestiaires, le Bayern a repris le contrôle du match pour de bon. Podgorica n’avait pas le répondant en dernier quart (28-18). Edwin Jackson termine à 4 points, 2 rebonds, 2 passes. Munich est en forme avec 4 victoires sur ses 5 derniers matchs.\n\n\nGran Canaria reste dans le coup\n\nDans le dernier match de 2018, Gran Canaria a fait régner la logique du terrain. Face à Kaunas, les insulaires ont pu compter sur un collectif de 11 joueurs et un gros effort défensif en 2e quart (16-9). Ils ont tenu leur écart de bout en bout (73-66) derrière un bon Xavier Rabaseda (15 points, 8 rebonds).\n\nGranCa remporte là une victoire importante face à un concurrent direct. A 6 victoires pour 9 défaites, le club de Kim Tillie est encore dans le coup pour les playoffs. Il faudra évidemment jouer serré avec 6 équipes qui se tiennent entre la 6e et la 12e place…\n\n\nLes Français d’Euroleague\n\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 17 points (4/10 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 25 minutes\n\nKevin Séraphin (Barcelone) : 13 points (6/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 5 balles perdues en 22 minutes\n\nRodrigue Beaubois (Efes) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 14 minutes\n\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 22 minutes\n\nAdrien Moerman (Efes) : 7 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes\n\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 2 balles perdues en 20 minutes\n\nAxel Toupane (Olympiakos) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds en 16 minutes\n\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (2/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 14 minutes\n\nEdwin Jackson (Podgorica) : 4 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 24 minutes\n\nKim Tillie (Gran Canaria) : 4 points (2/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre en 11 minutes\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes en 12 minutes\n\n\nL’action de la soirée\n\nC’est le basket moderne ! Le pivot remonte le terrain en dribble et sert parfaitement son compère de raquette, Joffrey Lauvergne qui dunke les deux mains dans la marmite. Le Fener remporte une 11e victoire d’affilée et creuse l’écart avec ses poursuivants qui ont tous deux perdu…\n\n\n\n\nThe @JanVesely24 DIME ➡ The STRONG @1JOLOLO finish!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/M7n37efQTx\n\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 28, 2018\n\n\nLes résultats de la 15e journée\n\nMercredi 27 décembre :\nKhimki Moscou – Vitoria (77-85)\nDarussafaka – Olympiakos (79-75)\nMaccabi Tel Aviv – Milan (94-92)\nBarcelone – Efes Istanbul (80-65)\n\nJeudi 28 décembre :\nFenerbahçe – Real Madrid (65-63)\nPanathinaikos – CSKA Moscou (95-83)\nBayern Munich – Podgorica (93-88)\nGran Canaria – Zalgiris Kaunas (73-66)\n\n\nLe classement provisoire\n\n\nLe programme de la 16e journée\n\nJeudi 3 janvier :\nEfes Istanbul – Bayern Munich (18h30)\nMilan – Podgorica (20h45)\nReal Madrid – Maccabi Tel Aviv (20h45)\nGran Canaria – Khimki Moscou (21h30)\n\nVendredi 4 janvier :\nFenerbahçe – Vitoria (18h45)\nZalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\nOlympiakos – Panathinaikos (20h)\nBarcelone – Darussafaka (21h)\n\nA lire aussi : Barcelone et Vitoria se requinquent\n\nCrédits photo : Euroleague\n\n[armelse]\n\n\nRick Pitino abat le CSKA pour sa première\n\nAvec beaucoup de trappes sur les scoreurs du CSKA, qui ont forcé 14 ballons perdus, le Panathinaikos s’est imposé avec brio pour la première de Rick Pitino (96-84). Nick Calathes (14 points, 10 passes) a comme toujours alimenté l’attaque hellène, avec Ioannis Papapetrou (17 points) qui revient fort après sa blessure.\n\nNando De Colo (17 points, 4 ballons perdus) a notamment été pris pour cible des trappes du Pana. Will Clyburn (24 points\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/rick-pitino-panathinaikos.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-29T08:56:26.000Z", "updated_at":"2018-12-29T08:56:37.000Z", "published_at":"2018-12-29T08:56:26.000Z", "custom_excerpt":"Alors que Fenerbahçe confirme sa prise de pouvoir au sommet avec le CSKA Moscou et le Real Madrid qui ont chuté chez les poursuivants directs, le Panathinaikos s’est offert une bonne bouffée d’air frais avec la première réussie de Rick Pitino. 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Véritable référence en Europe, le All Star Game LNB affichera complet pour la 16ème fois consécutive.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"LE PROGRAMME\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"17h30 : Ouverture des portes\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"19h00: Début du All Star Game 19h05 : « SFR Skills Challenge »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Concours des Meneurs – Qualifications et Finale\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"19h30: « PEAK 3 points Shoot-Out »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Concours de Tirs à 3 Points – Qualifications\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"19h40 : Présentation des Equipes All Stars\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"20h15 : All Star Game\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Arbitres : Hugues THEPENIER, Paul ANTIPHON et Maxime BOUBERT Commissaire : Philippe MAILHABIAU\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Fin du 1er Quart-Temps : « PEAK 3 points Shoot-Out » Concours de Tirs à 3 Points – Finale\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Fin du 2ème Quart-Temps : « Jeep® Dunk Contest » Concours de Dunks – Qualifications et Finale\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Fin du 3ème Quart-Temps : « AMAZON Shoot à 100.000 » Fin du match : Remise des Trophées\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: Théo Maledon (ASVEL)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Ce soir, c’est la 33e édition du All-Star Game LNB. Voici quelques chiffres et quelques records:
0
Aucun des tenants de 2017 ne sera pas présent. DJ Stephens (dunk) et Heiko Schaffartzik (trois-points) ne sont plus dans la ligue -les organisateurs avaient envisagé d’inviter l’Allemand-, alors que Benjamin Sene (meneurs) et Amara Sy (MVP du match) sont blessés.
1
Le nombre de fois où un quidam a marqué du milieu du terrain lors du « tir à 100 000€. C’était en 2013. Son nom: Thomas Béreau. Deux autres ont touché l’anneau, un la planche, les sept autres ont fait un airball.
2,21m
Le pivot de Strasbourg Youssoupha Fall est le plus grand joueur à disputer un All Star Game LNB depuis sa création en 1987.
4
Germain Castano (Orléans) est assistant coach au All Star Game pour la 4ème fois, un record. La première fois, c’était en 2005.
6
Le nombre de fois où Eddie Viator a sifflé au All-Star Game.
7
Le nombre de fois où Jean-Luc Monschau a coaché au All-Star Game. Il détient le nombre de participations devant Michel Gomez (6) et Greg Beugnot (5).
8
Le nombre de sélections au All-Star Game de l’intérieur de Gravelines, Alain Koffi. Le record est de 13 sélections par Jim Bilba.
17
Le nombre de rebonds captés par Andy Fields en 1988.
17 ans, 6 mois et 17 jours
Le meneur de l’ASVEL Théo Maledon est le plus jeune participant de l’histoire du All-Star Game. Il bat ainsi le record de Fabien Dubos en 1996 (17 ans, 10 mois et 2 jours). Antoine Rigaudeau (18 ans, 5 mois et 15 jours) et Tony Parker (18 ans, 7 mois et 12 jours) sont les suivants au palmarès.
19h25
La soirée sera diffusée en direct à 19h25 sur RMC SPORT 2. Le match sera également diffusé en léger différé sur RMC SPORT 1 à 21h30 ce même samedi puis rediffusé le dimanche 30 décembre à 22h30 sur RMC SPORT 2 et le lundi 31 décembre sur RMC SPORT 3 à 11h30.
21
Le nombre de passes effectuées par Andrew Albicy en 2015.
27
Une sélection française affrontent une sélection étrangère depuis 1992. Les Etrangers mènent 14-13.
44
Le nombre de points inscrits par Yann Bonato. C’était en 1995 à Pau.
226
Le nombre de points inscrits par Stéphane Ostrowski lors de ses 11 All-Star Game.
5 000
Chaque équipe jouant le match All-Star représentera une association. Ainsi, l’équipe des All Stars français représentera la Fondation CAP NF tandis que l’équipe des All Stars étrangers représentera l’association PLAY International. Chaque association se verra remettre un chèque de 5.000 € à la fin du match. Ce don sera bonifié de 5.000 € supplémentaires en faveur de l’association représentée par l’équipe gagnante.
15 988
Le nombre record de spectateurs qui ont réservé leurs places. Véritable référence en Europe, le All Star Game LNB affichera complet pour la 16ème fois consécutive.
LE PROGRAMME
17h30 : Ouverture des portes
19h00: Début du All Star Game 19h05 : « SFR Skills Challenge »
Concours des Meneurs – Qualifications et Finale
19h30: « PEAK 3 points Shoot-Out »
Concours de Tirs à 3 Points – Qualifications
19h40 : Présentation des Equipes All Stars
20h15 : All Star Game
Arbitres : Hugues THEPENIER, Paul ANTIPHON et Maxime BOUBERT Commissaire : Philippe MAILHABIAU
Fin du 1er Quart-Temps : « PEAK 3 points Shoot-Out » Concours de Tirs à 3 Points – Finale
Fin du 2ème Quart-Temps : « Jeep® Dunk Contest » Concours de Dunks – Qualifications et Finale
Fin du 3ème Quart-Temps : « AMAZON Shoot à 100.000 » Fin du match : Remise des Trophées
Photo: Théo Maledon (ASVEL)
", "comment_id":"448317", "plaintext":"Ce soir, c’est la 33e édition du All-Star Game LNB. Voici quelques chiffres et quelques records:\n\n0\n\nAucun des tenants de 2017 ne sera pas présent. DJ Stephens (dunk) et Heiko Schaffartzik (trois-points) ne sont plus dans la ligue -les organisateurs avaient envisagé d’inviter l’Allemand-, alors que Benjamin Sene (meneurs) et Amara Sy (MVP du match) sont blessés.\n\n1\n\nLe nombre de fois où un quidam a marqué du milieu du terrain lors du « tir à 100 000€. C’était en 2013. Son nom: Thomas Béreau. Deux autres ont touché l’anneau, un la planche, les sept autres ont fait un airball.\n\n2,21m\n\nLe pivot de Strasbourg Youssoupha Fall est le plus grand joueur à disputer un All Star Game LNB depuis sa création en 1987.\n\n4\n\nGermain Castano (Orléans) est assistant coach au All Star Game pour la 4ème fois, un record. La première fois, c’était en 2005.\n\n6\n\nLe nombre de fois où Eddie Viator a sifflé au All-Star Game.\n\n7\n\nLe nombre de fois où Jean-Luc Monschau a coaché au All-Star Game. Il détient le nombre de participations devant Michel Gomez (6) et Greg Beugnot (5).\n\n8\n\nLe nombre de sélections au All-Star Game de l’intérieur de Gravelines, Alain Koffi. Le record est de 13 sélections par Jim Bilba.\n\n17\n\nLe nombre de rebonds captés par Andy Fields en 1988.\n\n17 ans, 6 mois et 17 jours\n\nLe meneur de l’ASVEL Théo Maledon est le plus jeune participant de l’histoire du All-Star Game. Il bat ainsi le record de Fabien Dubos en 1996 (17 ans, 10 mois et 2 jours). Antoine Rigaudeau (18 ans, 5 mois et 15 jours) et Tony Parker (18 ans, 7 mois et 12 jours) sont les suivants au palmarès.\n\n19h25\n\nLa soirée sera diffusée en direct à 19h25 sur RMC SPORT 2. Le match sera également diffusé en léger différé sur RMC SPORT 1 à 21h30 ce même samedi puis rediffusé le dimanche 30 décembre à 22h30 sur RMC SPORT 2 et le lundi 31 décembre sur RMC SPORT 3 à 11h30.\n\n21\n\nLe nombre de passes effectuées par Andrew Albicy en 2015.\n\n27\n\nUne sélection française affrontent une sélection étrangère depuis 1992. Les Etrangers mènent 14-13.\n\n44\n\nLe nombre de points inscrits par Yann Bonato. C’était en 1995 à Pau.\n\n226\n\nLe nombre de points inscrits par Stéphane Ostrowski lors de ses 11 All-Star Game.\n\n5 000\n\nChaque équipe jouant le match All-Star représentera une association. Ainsi, l’équipe des All Stars français représentera la Fondation CAP NF tandis que l’équipe des All Stars étrangers représentera l’association PLAY International. Chaque association se verra remettre un chèque de 5.000 € à la fin du match. Ce don sera bonifié de 5.000 € supplémentaires en faveur de l’association représentée par l’équipe gagnante.\n\n15 988\n\nLe nombre record de spectateurs qui ont réservé leurs places. Véritable référence en Europe, le All Star Game LNB affichera complet pour la 16ème fois consécutive.\n\nLE PROGRAMME\n\n17h30 : Ouverture des portes\n\n19h00: Début du All Star Game 19h05 : « SFR Skills Challenge »\n\nConcours des Meneurs – Qualifications et Finale\n\n19h30: « PEAK 3 points Shoot-Out »\n\nConcours de Tirs à 3 Points – Qualifications\n\n19h40 : Présentation des Equipes All Stars\n\n20h15 : All Star Game\n\nArbitres : Hugues THEPENIER, Paul ANTIPHON et Maxime BOUBERT Commissaire : Philippe MAILHABIAU\n\nFin du 1er Quart-Temps : « PEAK 3 points Shoot-Out » Concours de Tirs à 3 Points – Finale\n\nFin du 2ème Quart-Temps : « Jeep® Dunk Contest » Concours de Dunks – Qualifications et Finale\n\nFin du 3ème Quart-Temps : « AMAZON Shoot à 100.000 » Fin du match : Remise des Trophées\n\nPhoto: Théo Maledon (ASVEL)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/the-cc-81o-maledon-1-e1546070721577.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-29T08:08:44.000Z", "updated_at":"2018-12-29T08:08:44.000Z", "published_at":"2018-12-29T08:08:44.000Z", "custom_excerpt":"Ce soir, c’est la 33e édition du All-Star Game LNB. 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Le pivot tricolore a signé avec l’ASVEL pour la fin de saison, et si tout se passe bien pour un projet ambitieux qui verra le club de Villeurbanne de retour en Euroleague la saison prochaine. C’est un deal gagnant – gagnant a priori car le joueur aussi bien que le club peuvent en tirer un gros bénéfice.
Mais il y a également quelques questions en suspens, dont la première concerne évidemment le genou gauche d’Ajinça, opéré à plusieurs reprises, et plus généralement le niveau de jeu du pivot après un an et demi sans la moindre minute officielle.
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Privé de compétition depuis avril 2017, Ajinça devrait revenir petit à petit en forme, pour la Leaders Cup selon Tony Parker, en février. Et ensuite à pleine puissance pour les playoffs. Opéré au tendon rotulien du genou gauche en décembre 2017, puis de nouveau en mars 2018, Ajinça n’a plus joué depuis deux saisons pour ainsi dire. Ça commence à faire…
Un an et demi plus tard, le pivot de 2,18m va avoir besoin de temps pour retrouver son souffle déjà, puis son niveau de jeu. Si la santé tient, et c’est un assez gros « si » à l’heure de ces lignes, Ajinça est évidemment un sacré joker pour l’Asvel en championnat, comme en EuroCup.
Son talent offensif et son gabarit en font aisément un des meilleurs pivots dans les deux compétitions. Pour rappel, il tournait à 17 points, 5 rebonds en Euroleague et 14 points, 7 rebonds en Pro A juste avant de rallier la Nouvelle Orléans.
Avec l’Asvel en Euroleague la saison prochaine, ça aurait de la gueule avec une French Team revisitée. Mais tout ça dépend encore de la forme de l’ancien Champion d’Europe… Mais honnêtement, on a envie de revoir un Ajinça dominateur. Surtout après un deuxième passage NBA finalement assez terne.
A 6 points (53% de réussite aux tirs), 4 rebonds et 1 contre de moyenne avec les Pélicans sur ses 4 dernières saisons, le Stéphanois a fait ce qu’il a pu dans un temps de jeu limité derrière Anthony Davis. L’opération financière est réussie mais l’expérience sportive restera frustrante…
En concurrence avec Omer Asik pendant trois saisons en Louisiane, Ajinça n’a jamais vraiment réussi à le dépasser dans la rotation, malgré ses qualités offensives bien supérieures. A cause de blessures ou de choix sportifs, le pivot français n’a pas réussi à s’inscrire sur le long-terme à la Nouvelle Orléans, avec l’arrivée de DeMarcus Cousins qui a considérablement restreint son temps de jeu.
Capable de grosses sorties, comme ce soir d’avril 2016 quand il a placé 28 points et 15 rebonds dans une victoire (pour du beurre) contre les Lakers, Ajinça a toujours été au niveau offensivement. Sur de courtes séquences ou sur des plus longues quand il était titulaire « pour se montrer« , Ajinça a toujours été assez productif avec ses bonnes mains et sa capacité à étirer le jeu pour un pivot.
Simplement, pour lui comme pour d’autres pivots massifs, le jeu est devenu de plus en plus compliqué car trop rapide. Comme pour ses collègues Omer Asik (sans club), Jeff Withey (au Tofas Bursa) ou encore Donatas Motiejunas (à Shandong), Ajinça n’a pas trouvé sa place dans le « small ball » de la NBA.
A 30 ans seulement, Ajinça est cependant loin d’être fini. Dans le contexte européen, le néo-Villeurbannais devrait pouvoir faire quelques dégâts offensivement. Le jeu plus posé, sur demi terrain, lui permettra de peser davantage. De même, avec moins de matchs, il n’en sera que plus efficace.
Et, à vrai dire, ce rôle de revanchard qui a beaucoup à prouver, c’est un rôle taillé sur-mesure. Il faudra un peu de patience aussi à l’image de l’adaptation d’un Derrick Williams sur plusieurs semaines au Bayern. Mais on dire ce qu’on voudra : Alexis Ajinça à l’Asvel, c’est une sacrée bonne nouvelle pour le basket français !
Avec l’occasion de se relancer individuellement, tout en participant au retour d’un club tricolore en Euroleague, Ajinça a une opportunité en or devant lui. On espère qu’il pourra la saisir à pleines pognes, à savoir en pleine possessions de ses moyens physiques.
Son record en carrière à 28 points
https://www.youtube.com/watch?v=M0baeQPfzew
Alexis Ajinça en Euroleague, il y a cinq ans
[armelse]
Privé de compétition depuis avril 2017, Ajinça devrait revenir petit à petit en forme, pour la Leaders Cup selon Tony Parker, en février. Et ensuite à pleine puissance pour les playoffs. Opéré au tendon rotulien du genou gauche en décembre 2017, puis de nouveau en mars 2018, Ajinça n’a plus joué depuis deux saisons pour ainsi dire. Ça commence à faire…
Un an et demi plus tard, le pivot de 2m38
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Et ensuite à pleine puissance pour les playoffs. Opéré au tendon rotulien du genou gauche en décembre 2017, puis de nouveau en mars 2018, Ajinça n’a plus joué depuis deux saisons pour ainsi dire. Ça commence à faire…\n\nUn an et demi plus tard, le pivot de 2,18m va avoir besoin de temps pour retrouver son souffle déjà, puis son niveau de jeu. Si la santé tient, et c’est un assez gros « si » à l’heure de ces lignes, Ajinça est évidemment un sacré joker pour l’Asvel en championnat, comme en EuroCup.\n\nSon talent offensif et son gabarit en font aisément un des meilleurs pivots dans les deux compétitions. Pour rappel, il tournait à 17 points, 5 rebonds en Euroleague et 14 points, 7 rebonds en Pro A juste avant de rallier la Nouvelle Orléans.\n\nAvec l’Asvel en Euroleague la saison prochaine, ça aurait de la gueule avec une French Team revisitée. Mais tout ça dépend encore de la forme de l’ancien Champion d’Europe… Mais honnêtement, on a envie de revoir un Ajinça dominateur. Surtout après un deuxième passage NBA finalement assez terne.\n\n\nUn deuxième passage NBA frustrant\n\nA 6 points (53% de réussite aux tirs), 4 rebonds et 1 contre de moyenne avec les Pélicans sur ses 4 dernières saisons, le Stéphanois a fait ce qu’il a pu dans un temps de jeu limité derrière Anthony Davis. L’opération financière est réussie mais l’expérience sportive restera frustrante…\n\nEn concurrence avec Omer Asik pendant trois saisons en Louisiane, Ajinça n’a jamais vraiment réussi à le dépasser dans la rotation, malgré ses qualités offensives bien supérieures. A cause de blessures ou de choix sportifs, le pivot français n’a pas réussi à s’inscrire sur le long-terme à la Nouvelle Orléans, avec l’arrivée de DeMarcus Cousins qui a considérablement restreint son temps de jeu.\n\nCapable de grosses sorties, comme ce soir d’avril 2016 quand il a placé 28 points et 15 rebonds dans une victoire (pour du beurre) contre les Lakers, Ajinça a toujours été au niveau offensivement. Sur de courtes séquences ou sur des plus longues quand il était titulaire « pour se montrer« , Ajinça a toujours été assez productif avec ses bonnes mains et sa capacité à étirer le jeu pour un pivot.\n\nSimplement, pour lui comme pour d’autres pivots massifs, le jeu est devenu de plus en plus compliqué car trop rapide. Comme pour ses collègues Omer Asik (sans club), Jeff Withey (au Tofas Bursa) ou encore Donatas Motiejunas (à Shandong), Ajinça n’a pas trouvé sa place dans le « small ball » de la NBA.\n\n\nUne sacrée bonne nouvelle pour le basket français\n\nA 30 ans seulement, Ajinça est cependant loin d’être fini. Dans le contexte européen, le néo-Villeurbannais devrait pouvoir faire quelques dégâts offensivement. Le jeu plus posé, sur demi terrain, lui permettra de peser davantage. De même, avec moins de matchs, il n’en sera que plus efficace.\n\nEt, à vrai dire, ce rôle de revanchard qui a beaucoup à prouver, c’est un rôle taillé sur-mesure. Il faudra un peu de patience aussi à l’image de l’adaptation d’un Derrick Williams sur plusieurs semaines au Bayern. Mais on dire ce qu’on voudra : Alexis Ajinça à l’Asvel, c’est une sacrée bonne nouvelle pour le basket français !\n\nAvec l’occasion de se relancer individuellement, tout en participant au retour d’un club tricolore en Euroleague, Ajinça a une opportunité en or devant lui. On espère qu’il pourra la saisir à pleines pognes, à savoir en pleine possessions de ses moyens physiques.\n\nSon record en carrière à 28 points\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=M0baeQPfzew\n\nAlexis Ajinça en Euroleague, il y a cinq ans\n\n[armelse]\n\n\nRetrouver la forme physique\n\nPrivé de compétition depuis avril 2017, Ajinça devrait revenir petit à petit en forme, pour la Leaders Cup selon Tony Parker, en février. Et ensuite à pleine puissance pour les playoffs. 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Photo: Mamignan Toure (FIBA)
De par son parcours et sa compétence, David Cozette est devenu la voix du basket français. Il a popularisé des expressions comme « saucisse » ou « chaud-brûlant » et, toujours bien documenté et avec un allant jamais pris en défaut, il peut s’enflammer dans les grandes occasions et aussi -ce qui est encore plus remarquable- rendre captivant des matches qui intrinsèquement ne le méritent pas. L’entretien longue durée est en deux parties.
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Sur combien de chaînes avez-vous commenté du basket ?
Pour faire de manière sommaire, et sachant que certaines chaînes changent de nom, depuis 1992 ça fait : Eurosport, Pathé Sport, le groupe Canal+ donc Canal ponctuellement avec des matches de championnat d’Europe, Sport+ et Canal+ Sport, L’Equipe et SFR devenu RMC. Quand je suis arrivé à Pathé à l’été 99, ça s’appelait encore AB Sport les derniers mois.
Comment vous êtes-vous retrouvé de Canal+ à L’Equipe puis à Ma Chaîne Sport/SFR/RMC ? C’est vous qui avez suivi le basket ou le basket qui vous a suivi ?
Quand je suis arrivé d’Europort à Pathé qui avait récupéré les droits, c’est eux qui m’ont appelé pour que je continue à commenter le basket chez eux. Ensuite Pathé a été croqué par le groupe Canal+ et c’est comme ça que je me suis retrouvé à continuer à faire du basket sur Canal. Ensuite c’est de moi-même que je suis parti du groupe Canal. C’est moi qui voulait aller à L’Equipe et eux qui voulaient m’accueillir. Ce sont Fabrice Jouhaud (NDLR : Directeur de la Rédaction) et Cyrille Linette (Directeur Général) qui m’ont dit qu’ils étaient intéressés. L’Equipe venait de récupérer les douze matches en clair du championnat de France en plus du championnat espagnol. Ils avaient besoin de quelqu’un et ils ont pensé à moi et moi je cherchais du taf. On s’est trouvé facilement. Je suis parti de L’Equipe parce que le groupe SFR récupérait Ma Chaîne Sport, augmentait le nombre de matchs diffusés et ils m’ont sollicité.
Avez-vous commenté d’autres sports que le basket durant toutes ces années ?
J’ai très longtemps fait du hockey-sur-glace que j’aimais beaucoup, de 1992 à 1999. J’étais arrivé à Eursport pour le commenter aux Jeux Olympiques d’Albertville. J’ai eu droit à des championnats du monde chaque année et j’ai eu la chance d’en faire une petite dizaine et les Jeux Olympiques de Lillehammer et Nagano sur place. Je connaissais le hockey car j’ai passé toute mon enfance à Rouen où il y avait une grande équipe de hockey-sur-glace et je la suivais pour les médias pour lesquels je bossais, principalement Radio France Normandie.
Pour bien connaître des sports comme le basket et le hockey, il vaut mieux être né dans une ville où il existe une équipe de première division ?
Oui car c’est comme ça que tu te construis ta culture et que tu te découvres ta passion. Pour beaucoup il y a un lien de ce genre-là. Je n’ai jamais joué au hockey mais j’ai trouvé ça formidable à l’adolescence et j’ai suivi l’équipe de Rouen et le basket c’est parce que j’y jouais gamin. Ensuite, quand tu es jeune journaliste, tu dépannes à droite, à gauche, et j’ai fait un nombre de sports incalculable mais très ponctuellement. J’ai commenté tout le volley-ball aux Jeux Olympiques d’Athènes pour le groupe Canal car Bruno Poulain, qui était le numéro 1, commentait le basket avec George Eddy. J’ai aussi commenté pas mal de handball à L’Equipe et même du hockey-sur-glace. J’avais aussi fait le championnat d’Europe de hand en 98 en Autriche pour le groupe Canal. Basket, hand, volley, c’est de la même famille mais à l’époque d’Eurosport on était tous jeunes et on faisait plein de choses et c’était hyper formateur. J’ai fait de l’équitation, du hockey-sur-gazon aux Jeux Olympiques d’Atlanta, du patinage artistique à Bercy, une fois en cabine pour dépanner une course de karting parce que le mec ne s’est jamais présenté. J’ai fait des interviews en bord de court au tennis, à Bercy ou Monaco, quand Canal avait les droits.
Votre passage à L’Equipe vous a aussi permis d’écrire ?
J’en garde encore maintenant un souvenir ému et fier quelque part car depuis que je suis arrivé en école de journalisme, je crois qu’il n’y a pas eu une seule journée où je n’ai pas lu L’Equipe. Même quand je partais deux semaines en vacances à l’époque où je ne pouvais pas l’avoir sur tablette, je lisais tout à la suite en rentrant. Je me suis donc retrouvé à écrire alors que ça paraissait improbable parce que ce n’était pas mon média et que j’étais loin de ça quand j’étais à Canal. Quand on me l’a proposé la première fois, j’étais comme un gamin. C’était pour une « chandelle », une sorte de billet d’humeur sur le basket. J’ai dû peser chaque mot pendant plus d’une journée alors que les mecs doivent mettre quarante-cinq minutes à l’écrire. Je voulais que ça soit parfait.
Cela fait combien d’années que vous commentez du basket. Et combien de matches par an ?
Sinon l’année de L’Equipe, j’ai dû en commenter au minium 60-70. Ça va très vite puisqu’à un championnat d’Europe, tu en fais une quinzaine plus toute la saison. Et les grosses années, comme l’année dernière, j’en ait fait pas loin de 150 avec championnat et coupes d’Europe. J’ai commencé à faire le championnat de France en 1994 et au départ j’étais le backup de Bruno (Poulain) et George (Eddy). Il faut compter une grosse vingtaine d’années et une moyenne d’un peu plus de 100 par an. Donc ça fait plus de 2 000 matches.
Vous êtes un peu comme dans une représentation de théâtre. Est-ce une sorte de routine ou avez-vous toujours le trac ou le stress ?
Du stress, j’en ai jamais eu. Du trac, oui, mais honnêtement avant un match j’en n’ai plus du tout. Ce qui n’est peut-être pas une bonne chose ! Ça s’enchaîne tellement et c’est au bout d’un moment le même cadre. Avant une émission en plateau, un peu. La dernière fois que j’ai eu le trac ça devait être pour des gros rendez-vous, sur Canal quand je commentais l’équipe de France et qu’on savait que l’on touchait un autre public. J’avais moins l’impression d’être entre amis et il fallait que je fasse attention à ce que je disais pour rendre mon propos compréhensible à tout le monde.
Vos commentaires sont intimistes, complices avec le téléspectateur alors qu’à France Télévisions, ils disaient s’adresser à un grand public et qu’ils ne pouvaient pas se permettre ça ?
Quand on change d’audience, ça peut changer la façon de commenter, tout à fait.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/clint-chapman-alba-berlin-photo-limoges-ec18-e1540563966400.jpg\")
« L’année dernière, on a fait 294 matches et on aurait pu en faire 300 si des séries en quarts de la Jeep Elite et la finale de Ligue féminine avaient été plus loin »
Cette année, RMC Sport diffuse un nombre considérable de matches avec de nouveaux canaux qui sont apparus pour l’Euroleague ?
Ceux-là ne sont pas commentés mais il y a au minimum un match le jeudi et un autre le vendredi et parfois deux par jour. Et les autres sont effectivement sur des canaux live avec juste le signal mais pas de commentaires. L’année dernière, on a fait 294 matches et on aurait pu en faire 300 si des séries en quarts de la Jeep Elite et la finale de Ligue féminine avaient été plus loin. Et surtout ce n’est pas sur 365 jours car il ne faut pas compter juillet-août. C’est donc une moyenne d’un match par jour et je crois que le max que l’on ait fait c’est trois, plusieurs fois. Par exemple, on a fait des samedis en playoffs avec deux matches féminins et un match de garçons. On a fait des semaines avec une quinzaine de matches produits, ce qui est énorme. Ça coûte quand même cher.
C’est un record de tous les temps ?
Je n’ai pas souvenir de ça et j’ai été fidèle au suivi du basket à la télé. Il y a une époque avec Sport+ quand on avait encore l’Euroleague en plus du championnat où on en faisait pas mal mais jamais autant. Déjà parce qu’il y a chaque semaine trois matches de championnat de France alors qu’avant ça ne se faisait jamais, c’était deux maximum. Ça change tout. Ça fait un tiers de matière en plus à produire. Et surtout parce qu’on a l’Euroleague et en plus l’Eurocup avec trois clubs français. A l’époque de Canal, on a eu championnat + Euroleague mais jamais championnat + deux coupes d’Europe où l’on diffuse à chaque fois les trois clubs français. Non, jamais, et en plus la différence est très importante.
Avez-vous des retours de téléspectateurs sur votre programmation ? Les gens ont-ils conscience de cette profusion ?
Tu vois passer parfois des commentaires sur les réseaux sociaux. Des gens qui disent « encore un match, je ne sais plus où donner de la tête ! » J’imagine qu’à part quelques psychopathes, tu es obligé de faire des choix sinon tu n’as plus de vie sociale. Ou alors tu as du temps en journée pour les enregistrer et les regarder le lendemain. Les gens sont bien sûr contents d’avoir un choix.
Avez-vous des retours qualitatifs sur l’émission Buzzer, sur ce que vous faites, ce que vous dites, sur vos scoops ?
L’année dernière, on avait plutôt des bons retours. On essaye à chaque fois de choisir des angles particuliers plus que de montrer des résumés de match car au basket on ne peut pas montrer les deux buts d’un match de foot. On préfère mettre en valeur des gens, raconter des histoires humaines sur des joueurs. On a mis des images d’Euroleague. Nicolas Baillou a tourné l’année dernière aux quatre coins de l’Europe et j’étais très content de montrer chaque semaine soit un sujet sur un joueur français en Euroleague ou de montrer de grandes histoires comme la rivalité entre le Pana et l’Olympiakos. On était même sur place pour commenter ce match. On a montré la rivalité du clasico, Pau-Limoges. Je pense que les gens ont apprécié.
Qui se charge d’assurer la programmation ? Ça doit être un casse-tête sachant que les principaux clubs français sont dans deux coupes d’Europe différentes ?
Sans trahir de secrets industriels, oui, la programmation, c’est compliqué. Avec la ligue et les clubs, on essaye de trouver les meilleures solutions pour ne pas trop léser les clubs mais aussi pour nous pour avoir une programmation qui soit intéressante pour le grand public. Le grand public veut des noms de clubs prestigieux, des marques comme ça serait pour le Real Madrid et Barcelone, des clubs qui marchent bien sur le moment, les derbies, tout ça. Quand on voit que 40% des clubs jouent en coupes d’Europe, mardi et mercredi, c’est vrai que c’est compliqué pour leur laisser suffisamment de repos entre deux matches. Ce n’est pas toujours simple pour le match du lundi.
Qui a le final cut ?
Dans l’absolu, c’est la ligue. Si tout d’un coup on était devenu fou et que l’on décidait de mettre un Monaco-Strasbourg un lundi soir et que tous les deux jouent le mardi en coupes d’Europe, ça nous serait refusé. Il y a des règles, il faut 48h entre deux matches, etc. Parfois il faut argumenter pour avoir le meilleur compromis, des affiches qui soient sexys pour le téléspectateur et le fait que l’on ne peut pas faire jouer une équipe à 24h d’intervalle.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/david-cozette-1-e1540563785112.jpg\")
« Tout est beaucoup plus facile avec Internet même quand tu ne vas pas sur place. Avec le recul, je n’arrive même pas à me souvenir, à concevoir comment on arrivait tous à préparer nos matches »
Combien de journalistes et de consultants êtes-vous à vous partager le travail ?
Sans prendre en compte ceux qui nous dépannent ponctuellement, il y a trois consultants : Stephen Brun, Fred Weis et Raphaël Desroses. En journalistes staffés qui sont commentateurs, il y a moi, Alex Biggerstaff et Nicolas Baillou. Il y a des journalistes de desk qui font les sujets, etc, des chefs d’édition qui préparent les émissions. Il y a des journalistes qui nous dépannent ponctuellement comme Fred Mazéas quand Nicolas Baillou est parti tourner un bout de temps à l’étranger et que Alex Biggerstaff et moi ont enchaînent. Romain Grimaud peut le faire aussi en cabine sur des matches d’Euroleague ou d’Eurocup.
Vis-à-vis des années quatre-vingt-dix, existe-t-il une grande évolution en matière de production, de travail journalistique ?
Le grand changement c’est pour préparer des matches. Tout est beaucoup plus facile avec Internet même quand tu ne vas pas sur place. Avec le recul, je n’arrive même pas à me souvenir, à concevoir comment on arrivait tous à préparer nos matches. A l’époque d’Eurosport, on faisait des matches en cabine et on ne tapait pas 3615 Euroleague sur son Minitel. Internet a été un énorme changement. Le traitement du sport à la télé en production a vraiment changé ces dernières années. Il y a eu l’âge d’or du sport à la télé et depuis, du fait que les droits coûtent très chers, tous les diffuseurs font très attention aux moyens de production. Sans doute que pour un match de foot de l’équipe de France, tu auras tous les moyens ultimes mais en fonction de ce que ça génère en audience, chacun va faire attention aux moyens de prod qu’il met. En plus, avec la nouvelle technologie, il y a beaucoup de nouveaux moyens de produire de façon différente. Quand tu produits un match, que ça te coûte une fortune et qu’il faut en faire plus de 100 dans la saison, tu es obligé de faire attention. Ça ne s’applique pas qu’au basket mais à tous les autres sports et à toutes les chaînes.
Pour la production, il y a moins de personnel qu’il y a vingt ans ?
Oui car on arrive à produire différemment. Je vais schématiser, c’est un peu comme quand j’avais vingt ans et que je partais en reportage pour France 3 Haute-Normandie. Il y avait le caméraman, le preneur de son, l’éclairagiste, moi, et parfois même celui qui conduisait la voiture ! Là, Nicolas Baillou est parti en Turquie, il a fait une interview de (Zeljko) Obradovic et fait plein de sujets toute la semaine à Istanbul, il est tout seul. Sans rentrer dans les détails, dans la façon aussi de capter le match et de le retransmettre, il y a une évolution.
A suivre.
[armelse]
Sur combien de chaînes avez-vous commenté du basket ?
Pour faire de manière sommaire, et sachant que certaines chaînes changent de nom, depuis 1992 ça fait : Eurosport, Pathé Sport, le groupe Canal+ donc Canal ponctuellement avec des matches de championnat d’Europe, Sport+ et Canal+ Sport, L’Equipe et SFR devenu RMC. Quand je suis arrivé à Pathé à l’été 99, ça s’appelait encore AB Sport les derniers mois.
Comment vous êtes-vous retrouvé de Canal+ à L’Equipe puis à SFR/Ma Chaîne Sport/RMC ? C’est vous qui avez suivi le basket ou le basket qui vous a suivi ?
Quand je suis arrivé d’Europort à Pathé qui avait récupéré les droits, c’est eux qui m’ont appelé pour que je continue à commenter le basket chez eux. Ensuite Pathé a été croqué par le groupe Canal+ et c’est comme ça que je me suis retrouvé à continuer à faire du basket sur Canal. Ensuite c’est de moi-même que je suis parti du groupe Canal. C’est moi qui voulait aller à L’Equipe et eux qui voulaient m’accueillir. Ce sont Fabrice Jouhaud (NDLR : Directeur de la Rédaction) et Cyrille Linette (Directeur Général) qui m’ont dit qu’ils étaient intéressés. L’Equipe venait de récupérer les douze matches en clair du championnat de France en plus du championnat espagnol. Ils avaient besoin de quelqu’un et ils ont pensé à moi et moi je cherchais du taf. On s’est trouvé facilement. Je suis parti de L’Equipe parce que le groupe SFR récupérait Ma Chaîne Sport, augmentait le nombre de matchs diffusés et ils m’ont sollicité.
Avez-vous commenté d’autres sports que le basket durant toutes ces années ?
J’ai très longtemps fait du hockey-sur-glace que j’aimais beaucoup, de 1992 à 1999. J’étais arrivé à Eursport pour le commenter aux Jeux Olympiques d’Albertville. J’ai eu droit à des championnats du monde chaque année et j’ai eu la chance d’en faire une petite dizaine et les Jeux Olympiques de Lillehammer et Nagano sur place. Je connaissais le hockey car j’ai passé toute mon enfance à Rouen où il y avait une grande équipe de hockey-sur-glace et je la suivais pour les médias pour lesquels je bossais, principalement Radio France Normandie.
Pour bien connaître des sports comme le basket et le hockey, il vaut mieux être né dans une ville où il existe une équipe de première division ?
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Photos: David Cozette avec Edwin jackson (RMC) et Limoges-Berlin (Eurocupbasketball)
", "comment_id":"443489", "plaintext":"De par son parcours et sa compétence, David Cozette est devenu la voix du basket français. Il a popularisé des expressions comme « saucisse » ou « chaud-brûlant » et, toujours bien documenté et avec un allant jamais pris en défaut, il peut s’enflammer dans les grandes occasions et aussi -ce qui est encore plus remarquable- rendre captivant des matches qui intrinsèquement ne le méritent pas. L’entretien longue durée est en deux parties.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nSur combien de chaînes avez-vous commenté du basket ?\n\nPour faire de manière sommaire, et sachant que certaines chaînes changent de nom, depuis 1992 ça fait : Eurosport, Pathé Sport, le groupe Canal+ donc Canal ponctuellement avec des matches de championnat d’Europe, Sport+ et Canal+ Sport, L’Equipe et SFR devenu RMC. Quand je suis arrivé à Pathé à l’été 99, ça s’appelait encore AB Sport les derniers mois.\n\nComment vous êtes-vous retrouvé de Canal+ à L’Equipe puis à Ma Chaîne Sport/SFR/RMC ? C’est vous qui avez suivi le basket ou le basket qui vous a suivi ?\n\nQuand je suis arrivé d’Europort à Pathé qui avait récupéré les droits, c’est eux qui m’ont appelé pour que je continue à commenter le basket chez eux. Ensuite Pathé a été croqué par le groupe Canal+ et c’est comme ça que je me suis retrouvé à continuer à faire du basket sur Canal. Ensuite c’est de moi-même que je suis parti du groupe Canal. C’est moi qui voulait aller à L’Equipe et eux qui voulaient m’accueillir. Ce sont Fabrice Jouhaud (NDLR : Directeur de la Rédaction) et Cyrille Linette (Directeur Général) qui m’ont dit qu’ils étaient intéressés. L’Equipe venait de récupérer les douze matches en clair du championnat de France en plus du championnat espagnol. Ils avaient besoin de quelqu’un et ils ont pensé à moi et moi je cherchais du taf. On s’est trouvé facilement. Je suis parti de L’Equipe parce que le groupe SFR récupérait Ma Chaîne Sport, augmentait le nombre de matchs diffusés et ils m’ont sollicité.\n\nAvez-vous commenté d’autres sports que le basket durant toutes ces années ?\n\nJ’ai très longtemps fait du hockey-sur-glace que j’aimais beaucoup, de 1992 à 1999. J’étais arrivé à Eursport pour le commenter aux Jeux Olympiques d’Albertville. J’ai eu droit à des championnats du monde chaque année et j’ai eu la chance d’en faire une petite dizaine et les Jeux Olympiques de Lillehammer et Nagano sur place. Je connaissais le hockey car j’ai passé toute mon enfance à Rouen où il y avait une grande équipe de hockey-sur-glace et je la suivais pour les médias pour lesquels je bossais, principalement Radio France Normandie.\n\nPour bien connaître des sports comme le basket et le hockey, il vaut mieux être né dans une ville où il existe une équipe de première division ?\n\nOui car c’est comme ça que tu te construis ta culture et que tu te découvres ta passion. Pour beaucoup il y a un lien de ce genre-là. Je n’ai jamais joué au hockey mais j’ai trouvé ça formidable à l’adolescence et j’ai suivi l’équipe de Rouen et le basket c’est parce que j’y jouais gamin. Ensuite, quand tu es jeune journaliste, tu dépannes à droite, à gauche, et j’ai fait un nombre de sports incalculable mais très ponctuellement. J’ai commenté tout le volley-ball aux Jeux Olympiques d’Athènes pour le groupe Canal car Bruno Poulain, qui était le numéro 1, commentait le basket avec George Eddy. J’ai aussi commenté pas mal de handball à L’Equipe et même du hockey-sur-glace. J’avais aussi fait le championnat d’Europe de hand en 98 en Autriche pour le groupe Canal. Basket, hand, volley, c’est de la même famille mais à l’époque d’Eurosport on était tous jeunes et on faisait plein de choses et c’était hyper formateur. J’ai fait de l’équitation, du hockey-sur-gazon aux Jeux Olympiques d’Atlanta, du patinage artistique à Bercy, une fois en cabine pour dépanner une course de karting parce que le mec ne s’est jamais présenté. J’ai fait des interviews en bord de court au tennis, à Bercy ou Monaco, quand Canal avait les droits.\n\nVotre passage à L’Equipe vous a aussi permis d’écrire ?\n\nJ’en garde encore maintenant un souvenir ému et fier quelque part car depuis que je suis arrivé en école de journalisme, je crois qu’il n’y a pas eu une seule journée où je n’ai pas lu L’Equipe. Même quand je partais deux semaines en vacances à l’époque où je ne pouvais pas l’avoir sur tablette, je lisais tout à la suite en rentrant. Je me suis donc retrouvé à écrire alors que ça paraissait improbable parce que ce n’était pas mon média et que j’étais loin de ça quand j’étais à Canal. Quand on me l’a proposé la première fois, j’étais comme un gamin. C’était pour une « chandelle », une sorte de billet d’humeur sur le basket. J’ai dû peser chaque mot pendant plus d’une journée alors que les mecs doivent mettre quarante-cinq minutes à l’écrire. Je voulais que ça soit parfait.\n\nCela fait combien d’années que vous commentez du basket. Et combien de matches par an ?\n\nSinon l’année de L’Equipe, j’ai dû en commenter au minium 60-70. Ça va très vite puisqu’à un championnat d’Europe, tu en fais une quinzaine plus toute la saison. Et les grosses années, comme l’année dernière, j’en ait fait pas loin de 150 avec championnat et coupes d’Europe. J’ai commencé à faire le championnat de France en 1994 et au départ j’étais le backup de Bruno (Poulain) et George (Eddy). Il faut compter une grosse vingtaine d’années et une moyenne d’un peu plus de 100 par an. Donc ça fait plus de 2 000 matches.\n\nVous êtes un peu comme dans une représentation de théâtre. Est-ce une sorte de routine ou avez-vous toujours le trac ou le stress ?\n\nDu stress, j’en ai jamais eu. Du trac, oui, mais honnêtement avant un match j’en n’ai plus du tout. Ce qui n’est peut-être pas une bonne chose ! Ça s’enchaîne tellement et c’est au bout d’un moment le même cadre. Avant une émission en plateau, un peu. La dernière fois que j’ai eu le trac ça devait être pour des gros rendez-vous, sur Canal quand je commentais l’équipe de France et qu’on savait que l’on touchait un autre public. J’avais moins l’impression d’être entre amis et il fallait que je fasse attention à ce que je disais pour rendre mon propos compréhensible à tout le monde.\n\nVos commentaires sont intimistes, complices avec le téléspectateur alors qu’à France Télévisions, ils disaient s’adresser à un grand public et qu’ils ne pouvaient pas se permettre ça ?\n\nQuand on change d’audience, ça peut changer la façon de commenter, tout à fait.\n\n« L’année dernière, on a fait 294 matches et on aurait pu en faire 300 si des séries en quarts de la Jeep Elite et la finale de Ligue féminine avaient été plus loin »\n\nCette année, RMC Sport diffuse un nombre considérable de matches avec de nouveaux canaux qui sont apparus pour l’Euroleague ?\n\nCeux-là ne sont pas commentés mais il y a au minimum un match le jeudi et un autre le vendredi et parfois deux par jour. Et les autres sont effectivement sur des canaux live avec juste le signal mais pas de commentaires. L’année dernière, on a fait 294 matches et on aurait pu en faire 300 si des séries en quarts de la Jeep Elite et la finale de Ligue féminine avaient été plus loin. Et surtout ce n’est pas sur 365 jours car il ne faut pas compter juillet-août. C’est donc une moyenne d’un match par jour et je crois que le max que l’on ait fait c’est trois, plusieurs fois. Par exemple, on a fait des samedis en playoffs avec deux matches féminins et un match de garçons. On a fait des semaines avec une quinzaine de matches produits, ce qui est énorme. Ça coûte quand même cher.\n\nC’est un record de tous les temps ?\n\nJe n’ai pas souvenir de ça et j’ai été fidèle au suivi du basket à la télé. Il y a une époque avec Sport+ quand on avait encore l’Euroleague en plus du championnat où on en faisait pas mal mais jamais autant. Déjà parce qu’il y a chaque semaine trois matches de championnat de France alors qu’avant ça ne se faisait jamais, c’était deux maximum. Ça change tout. Ça fait un tiers de matière en plus à produire. Et surtout parce qu’on a l’Euroleague et en plus l’Eurocup avec trois clubs français. A l’époque de Canal, on a eu championnat + Euroleague mais jamais championnat + deux coupes d’Europe où l’on diffuse à chaque fois les trois clubs français. Non, jamais, et en plus la différence est très importante.\n\nAvez-vous des retours de téléspectateurs sur votre programmation ? Les gens ont-ils conscience de cette profusion ?\n\nTu vois passer parfois des commentaires sur les réseaux sociaux. Des gens qui disent « encore un match, je ne sais plus où donner de la tête ! » J’imagine qu’à part quelques psychopathes, tu es obligé de faire des choix sinon tu n’as plus de vie sociale. Ou alors tu as du temps en journée pour les enregistrer et les regarder le lendemain. Les gens sont bien sûr contents d’avoir un choix.\n\nAvez-vous des retours qualitatifs sur l’émission Buzzer, sur ce que vous faites, ce que vous dites, sur vos scoops ?\n\nL’année dernière, on avait plutôt des bons retours. On essaye à chaque fois de choisir des angles particuliers plus que de montrer des résumés de match car au basket on ne peut pas montrer les deux buts d’un match de foot. On préfère mettre en valeur des gens, raconter des histoires humaines sur des joueurs. On a mis des images d’Euroleague. Nicolas Baillou a tourné l’année dernière aux quatre coins de l’Europe et j’étais très content de montrer chaque semaine soit un sujet sur un joueur français en Euroleague ou de montrer de grandes histoires comme la rivalité entre le Pana et l’Olympiakos. On était même sur place pour commenter ce match. On a montré la rivalité du clasico, Pau-Limoges. Je pense que les gens ont apprécié.\n\nQui se charge d’assurer la programmation ? Ça doit être un casse-tête sachant que les principaux clubs français sont dans deux coupes d’Europe différentes ?\n\nSans trahir de secrets industriels, oui, la programmation, c’est compliqué. Avec la ligue et les clubs, on essaye de trouver les meilleures solutions pour ne pas trop léser les clubs mais aussi pour nous pour avoir une programmation qui soit intéressante pour le grand public. Le grand public veut des noms de clubs prestigieux, des marques comme ça serait pour le Real Madrid et Barcelone, des clubs qui marchent bien sur le moment, les derbies, tout ça. Quand on voit que 40% des clubs jouent en coupes d’Europe, mardi et mercredi, c’est vrai que c’est compliqué pour leur laisser suffisamment de repos entre deux matches. Ce n’est pas toujours simple pour le match du lundi.\n\nQui a le final cut ?\n\nDans l’absolu, c’est la ligue. Si tout d’un coup on était devenu fou et que l’on décidait de mettre un Monaco-Strasbourg un lundi soir et que tous les deux jouent le mardi en coupes d’Europe, ça nous serait refusé. Il y a des règles, il faut 48h entre deux matches, etc. Parfois il faut argumenter pour avoir le meilleur compromis, des affiches qui soient sexys pour le téléspectateur et le fait que l’on ne peut pas faire jouer une équipe à 24h d’intervalle.\n\n« Tout est beaucoup plus facile avec Internet même quand tu ne vas pas sur place. Avec le recul, je n’arrive même pas à me souvenir, à concevoir comment on arrivait tous à préparer nos matches »\n\nCombien de journalistes et de consultants êtes-vous à vous partager le travail ?\n\nSans prendre en compte ceux qui nous dépannent ponctuellement, il y a trois consultants : Stephen Brun, Fred Weis et Raphaël Desroses. En journalistes staffés qui sont commentateurs, il y a moi, Alex Biggerstaff et Nicolas Baillou. Il y a des journalistes de desk qui font les sujets, etc, des chefs d’édition qui préparent les émissions. Il y a des journalistes qui nous dépannent ponctuellement comme Fred Mazéas quand Nicolas Baillou est parti tourner un bout de temps à l’étranger et que Alex Biggerstaff et moi ont enchaînent. Romain Grimaud peut le faire aussi en cabine sur des matches d’Euroleague ou d’Eurocup.\n\nVis-à-vis des années quatre-vingt-dix, existe-t-il une grande évolution en matière de production, de travail journalistique ?\n\nLe grand changement c’est pour préparer des matches. Tout est beaucoup plus facile avec Internet même quand tu ne vas pas sur place. Avec le recul, je n’arrive même pas à me souvenir, à concevoir comment on arrivait tous à préparer nos matches. A l’époque d’Eurosport, on faisait des matches en cabine et on ne tapait pas 3615 Euroleague sur son Minitel. Internet a été un énorme changement. Le traitement du sport à la télé en production a vraiment changé ces dernières années. Il y a eu l’âge d’or du sport à la télé et depuis, du fait que les droits coûtent très chers, tous les diffuseurs font très attention aux moyens de production. Sans doute que pour un match de foot de l’équipe de France, tu auras tous les moyens ultimes mais en fonction de ce que ça génère en audience, chacun va faire attention aux moyens de prod qu’il met. En plus, avec la nouvelle technologie, il y a beaucoup de nouveaux moyens de produire de façon différente. Quand tu produits un match, que ça te coûte une fortune et qu’il faut en faire plus de 100 dans la saison, tu es obligé de faire attention. Ça ne s’applique pas qu’au basket mais à tous les autres sports et à toutes les chaînes.\n\nPour la production, il y a moins de personnel qu’il y a vingt ans ?\n\nOui car on arrive à produire différemment. Je vais schématiser, c’est un peu comme quand j’avais vingt ans et que je partais en reportage pour France 3 Haute-Normandie. Il y avait le caméraman, le preneur de son, l’éclairagiste, moi, et parfois même celui qui conduisait la voiture ! Là, Nicolas Baillou est parti en Turquie, il a fait une interview de (Zeljko) Obradovic et fait plein de sujets toute la semaine à Istanbul, il est tout seul. Sans rentrer dans les détails, dans la façon aussi de capter le match et de le retransmettre, il y a une évolution.\n\nA suivre.\n\n[armelse]\n\nSur combien de chaînes avez-vous commenté du basket ?\n\nPour faire de manière sommaire, et sachant que certaines chaînes changent de nom, depuis 1992 ça fait : Eurosport, Pathé Sport, le groupe Canal+ donc Canal ponctuellement avec des matches de championnat d’Europe, Sport+ et Canal+ Sport, L’Equipe et SFR devenu RMC. Quand je suis arrivé à Pathé à l’été 99, ça s’appelait encore AB Sport les derniers mois.\n\nComment vous êtes-vous retrouvé de Canal+ à L’Equipe puis à SFR/Ma Chaîne Sport/RMC ? C’est vous qui avez suivi le basket ou le basket qui vous a suivi ?\n\nQuand je suis arrivé d’Europort à Pathé qui avait récupéré les droits, c’est eux qui m’ont appelé pour que je continue à commenter le basket chez eux. Ensuite Pathé a été croqué par le groupe Canal+ et c’est comme ça que je me suis retrouvé à continuer à faire du basket sur Canal. Ensuite c’est de moi-même que je suis parti du groupe Canal. C’est moi qui voulait aller à L’Equipe et eux qui voulaient m’accueillir. Ce sont Fabrice Jouhaud (NDLR : Directeur de la Rédaction) et Cyrille Linette (Directeur Général) qui m’ont dit qu’ils étaient intéressés. L’Equipe venait de récupérer les douze matches en clair du championnat de France en plus du championnat espagnol. Ils avaient besoin de quelqu’un et ils ont pensé à moi et moi je cherchais du taf. On s’est trouvé facilement. Je suis parti de L’Equipe parce que le groupe SFR récupérait Ma Chaîne Sport, augmentait le nombre de matchs diffusés et ils m’ont sollicité.\n\nAvez-vous commenté d’autres sports que le basket durant toutes ces années ?\n\nJ’ai très longtemps fait du hockey-sur-glace que j’aimais beaucoup, de 1992 à 1999. J’étais arrivé à Eursport pour le commenter aux Jeux Olympiques d’Albertville. J’ai eu droit à des championnats du monde chaque année et j’ai eu la chance d’en faire une petite dizaine et les Jeux Olympiques de Lillehammer et Nagano sur place. Je connaissais le hockey car j’ai passé toute mon enfance à Rouen où il y avait une grande équipe de hockey-sur-glace et je la suivais pour les médias pour lesquels je bossais, principalement Radio France Normandie.\n\nPour bien connaître des sports comme le basket et le hockey, il vaut mieux être né dans une ville où il existe une équipe de première division ?\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhotos: David Cozette avec Edwin jackson (RMC) et Limoges-Berlin (Eurocupbasketball)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/10/cozette-e1540563680926.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-29T07:00:24.000Z", "updated_at":"2018-12-27T12:47:04.000Z", "published_at":"2018-12-29T07:00:24.000Z", "custom_excerpt":"De par son parcours et sa compétence, David Cozette est devenu la voix du basket français. 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Si l’Elan a remporté 9 de ses 11 matches alors qu’il tenait la mène, c’est que Richard Barton « Mickey » McConnell est devenu le boss de l’équipe à laquelle il apporte 12,9 points, 5,9 passes et 3,9 rebonds en moyenne.
« Depuis que Mickey a intégré l’équipe, chacun est à sa place, ça défend, ça attaque. C’est « l’alchimiste » du groupe ! les négociations ont été difficiles car jusqu’au cours de ces toutes dernières heures, Mickey et ses représentants ont été approchés par des clubs français mais aussi espagnols. C’est forcément une excellente nouvelle pour notre club et au nom de l’ensemble des dirigeants, je tiens à remercier tous nos partenaires et supporters qui ont su, encore hier soir dans ce magnifique Palais des Sports, nous témoigner de leur soutien et ont contribué eux aussi à cette réussite », a commenté le Directeur Exécutif Didier Gadou.
Photo: FIBA
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Crédits photo : Euroleague
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L’Olympiakos s’est fait surprendre dès le 1er quart (24-12) et a été incapable de surmonter son débours initial (79-75).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Toney Douglas (19 points, 9 passes et 5 interceptions) a été le grand artisan de cette victoire, bien aidé par Zanis Peiners qui termine à 16 points et 9 rebonds. Chez les Reds, Janis Strelnieks (15 points) a terminé meilleur scoreur, seul joueur adroit à trois points pour l’Oly qui finit à 8/27 de loin…\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"L’heure de gloire de Johnny O’Bryant\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Anonyme en NBA après quatre saisons entre Milwaukee, Denver et Charlotte, Johnny O’Bryant a débarqué en Europe cet été. Face à Milan, il a lâché le meilleur match de sa vie à 32 points, plus 5 rebonds, 3 passes et 3 interceptions en 31 minutes, à 10/15 aux tirs, pour 44 d’évaluation dans une victoire sur le fil (94-92). Le dernier à avoir fait 44 d’éval’ pour le Maccabi ? Un certain Nikola Vujcic en 2006/07…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Milan continue de perdre des matchs, malgré le retour la semaine passée de Nemanja Nedovic (17 points) et les efforts de Mike James (16 points, 8 passes) et Vladimir Micov (16 points, 8 rebonds, 6 passes). 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Sur cette action, Thomas Heurtel déborde la défense turque et sert parfaitement Kevin Séraphin qui détonne par-dessus Rodrigue Beaubois !\"]]],[10,4],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Les résultats de la 15e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Mercredi 27 décembre :\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Khimki Moscou – Vitoria (77-85)\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"Darussafaka – Olympiakos (79-75)\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"Maccabi Tel Aviv – Milan (94-92)\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"Barcelone – Efes Istanbul (80-65)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jeudi 28 décembre :\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"Fenerbahçe – Real Madrid (18h30)\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"Panathinaikos – CSKA Moscou (20h)\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"Bayern Munich – Podgorica (20h30)\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"Gran Canaria – Zalgiris Kaunas (21h)\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le classement provisoire\"]]],[10,5],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le programme de la 16e journée\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Jeudi 3 janvier :\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"Efes Istanbul – Bayern Munich (18h30)\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"Milan – Podgorica (20h45)\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"Real Madrid – Maccabi Tel Aviv (20h45)\"],[1,[],0,12],[0,[],0,\"Gran Canaria – Khimki Moscou (21h30)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Vendredi 4 janvier :\"],[1,[],0,13],[0,[],0,\"Fenerbahçe – Vitoria (18h45)\"],[1,[],0,14],[0,[],0,\"Zalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\"],[1,[],0,15],[0,[],0,\"Olympiakos – Panathinaikos (20h)\"],[1,[],0,16],[0,[],0,\"Barcelone – Darussafaka (21h)\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Le Barça renverse l’Efes\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Kevin Séraphin a annoncé la couleur \"],[0,[0],1,\"sur sa page Twitter\"],[0,[],0,\" après le match : « On n’abandonne jamais ». Et de fait, de -17 en 1ère mi-temps, le Barça a réussi à inverser la tendance pour emporter le match de 15 points (80-65). Séraphin termine à 13 points et 8 rebonds, juste derrière Pierre Oriola à 14 points tandis que Thomas Heurtel apporte 8 points et 3 passes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Outre les victoires des mal classés, Darussafaka contre l’Olympiakos et le Maccabi Tel Aviv face à Milan, ce sont les clubs espagnols qui sortent vainqueurs de cette première soirée de la 15e journée d’Euroleague. Barcelone et Vitoria se sont effectivement imposés, respectivement face à l’Efes Istanbul et le Khimki Moscou.
Ce soir, on a droit à un duel de poids-lourds entre le Fener et le Real Madrid, une reprise de la dernière finale de l’an passé pour finir l’année comme il se doit.
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Kevin Séraphin a annoncé la couleur sur sa page Twitter après le match : « On n’abandonne jamais ». Et de fait, de -17 en 1ère mi-temps, le Barça a réussi à inverser la tendance pour emporter le match de 15 points (80-65). Séraphin termine à 13 points et 8 rebonds, juste derrière Pierre Oriola à 14 points tandis que Thomas Heurtel apporte 8 points et 3 passes.
L’Efes a été complètement étouffé en 2e mi-temps avec 7 points en 3e quart, et à peine mieux en 4e avec 8 points ! Rodrigue Beaubois (8 points) et Adrien Moerman (7 points) n’ont rien pu faire dans l’échec stambouliote, avec un 0/13 à trois points qui fait très mal en 2e mi-temps…
A part pour la pause technique de 20 minutes pour remplacer le plexi brisé par Tornike Shengelia en 3e quart, tout s’est passé comme sur des roulettes pour Vitoria en déplacement à Moscou (85-77). Darrun Hillard a été le détonateur en dernier quart, scorant 12 des ses 14 points dans les 8 dernières minutes du match.
Auteur d’un contre de folie sur Garlon Green qui partait au dunk, Vincent Poirier finit sa soirée à 6 points, 4 rebonds et 2 contres. Ça fait surtout 5 victoires sur les 7 dernières journées pour Vitoria qui s’est bien redressé après un début de saison coton. Luca Vildoza (10 points, 7 passes) a fait le show avec des passes à la pelle (tout comme Marcelinho à 10) et un shoot de très loin à trois points au buzzer !
Le Darussafaka a profité de la venue de son ancien coach, David Blatt, pour mettre fin à une série de 12 revers de rang. Le Dacka n’avait plus gagné depuis le 16 octobre dernier et sa seule victoire contre Podgorica. L’Olympiakos s’est fait surprendre dès le 1er quart (24-12) et a été incapable de surmonter son débours initial (79-75).
Toney Douglas (19 points, 9 passes et 5 interceptions) a été le grand artisan de cette victoire, bien aidé par Zanis Peiners qui termine à 16 points et 9 rebonds. Chez les Reds, Janis Strelnieks (15 points) a terminé meilleur scoreur, seul joueur adroit à trois points pour l’Oly qui finit à 8/27 de loin…
Anonyme en NBA après quatre saisons entre Milwaukee, Denver et Charlotte, Johnny O’Bryant a débarqué en Europe cet été. Face à Milan, il a lâché le meilleur match de sa vie à 32 points, plus 5 rebonds, 3 passes et 3 interceptions en 31 minutes, à 10/15 aux tirs, pour 44 d’évaluation dans une victoire sur le fil (94-92). Le dernier à avoir fait 44 d’éval’ pour le Maccabi ? Un certain Nikola Vujcic en 2006/07…
Milan continue de perdre des matchs, malgré le retour la semaine passée de Nemanja Nedovic (17 points) et les efforts de Mike James (16 points, 8 passes) et Vladimir Micov (16 points, 8 rebonds, 6 passes). Alex Tyus (16 points, 7 rebonds, 3 contres) a rentré les lancers de la gagne sans trembler, et le Maccabi peut encore espérer aux playoffs…
Kevin Séraphin (Barcelone) : 13 points (6/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 5 balles perdues en 22 minutes
Rodrigue Beaubois (Efes) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 14 minutes
Thomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 22 minutes
Adrien Moerman (Efes) : 7 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes
Vincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 2 balles perdues en 20 minutes
Axel Toupane (Olympiakos) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds en 16 minutes
Le duo français de Barcelone a été dominant face à l’autre duo français de l’Efes Istanbul. Sur cette action, Thomas Heurtel déborde la défense turque et sert parfaitement Kevin Séraphin qui détonne par-dessus Rodrigue Beaubois !
\n.@MT28APRIL turns the corner and feeds @french_savage who IGNITES the 'Dunk of the Night' 💥 pic.twitter.com/jwya234A7B
\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 28, 2018
Mercredi 27 décembre :
Khimki Moscou – Vitoria (77-85)
Darussafaka – Olympiakos (79-75)
Maccabi Tel Aviv – Milan (94-92)
Barcelone – Efes Istanbul (80-65)
Jeudi 28 décembre :
Fenerbahçe – Real Madrid (18h30)
Panathinaikos – CSKA Moscou (20h)
Bayern Munich – Podgorica (20h30)
Gran Canaria – Zalgiris Kaunas (21h)
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/screen-shot-2018-12-27-at-5.43.42-pm.png\")
Jeudi 3 janvier :
Efes Istanbul – Bayern Munich (18h30)
Milan – Podgorica (20h45)
Real Madrid – Maccabi Tel Aviv (20h45)
Gran Canaria – Khimki Moscou (21h30)
Vendredi 4 janvier :
Fenerbahçe – Vitoria (18h45)
Zalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)
Olympiakos – Panathinaikos (20h)
Barcelone – Darussafaka (21h)
Crédits photo : Euroleague
[armelse]
Kevin Séraphin a annoncé la couleur sur sa page Twitter après le match : « On n’abandonne jamais ». Et de fait, de -17 en 1ère mi-temps, le Barça a réussi à inverser la tendance pour emporter le match de 15 points (80-65). Séraphin termine à 13 points et 8 rebonds, juste derrière Pierre Oriola à 14 points tandis que Thomas Heurtel apporte 8 points et 3 passes.
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", "comment_id":"448201", "plaintext":"Outre les victoires des mal classés, Darussafaka contre l’Olympiakos et le Maccabi Tel Aviv face à Milan, ce sont les clubs espagnols qui sortent vainqueurs de cette première soirée de la 15e journée d’Euroleague. Barcelone et Vitoria se sont effectivement imposés, respectivement face à l’Efes Istanbul et le Khimki Moscou.\n\nCe soir, on a droit à un duel de poids-lourds entre le Fener et le Real Madrid, une reprise de la dernière finale de l’an passé pour finir l’année comme il se doit.\n\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nLe Barça renverse l’Efes\n\nKevin Séraphin a annoncé la couleur sur sa page Twitter après le match : « On n’abandonne jamais ». Et de fait, de -17 en 1ère mi-temps, le Barça a réussi à inverser la tendance pour emporter le match de 15 points (80-65). Séraphin termine à 13 points et 8 rebonds, juste derrière Pierre Oriola à 14 points tandis que Thomas Heurtel apporte 8 points et 3 passes.\n\nL’Efes a été complètement étouffé en 2e mi-temps avec 7 points en 3e quart, et à peine mieux en 4e avec 8 points ! Rodrigue Beaubois (8 points) et Adrien Moerman (7 points) n’ont rien pu faire dans l’échec stambouliote, avec un 0/13 à trois points qui fait très mal en 2e mi-temps…\n\n\nVitoria enchaîne\n\nA part pour la pause technique de 20 minutes pour remplacer le plexi brisé par Tornike Shengelia en 3e quart, tout s’est passé comme sur des roulettes pour Vitoria en déplacement à Moscou (85-77). Darrun Hillard a été le détonateur en dernier quart, scorant 12 des ses 14 points dans les 8 dernières minutes du match.\n\nAuteur d’un contre de folie sur Garlon Green qui partait au dunk, Vincent Poirier finit sa soirée à 6 points, 4 rebonds et 2 contres. Ça fait surtout 5 victoires sur les 7 dernières journées pour Vitoria qui s’est bien redressé après un début de saison coton. Luca Vildoza (10 points, 7 passes) a fait le show avec des passes à la pelle (tout comme Marcelinho à 10) et un shoot de très loin à trois points au buzzer !\n\n\nDavid Blatt piégé contre son ancien club\n\nLe Darussafaka a profité de la venue de son ancien coach, David Blatt, pour mettre fin à une série de 12 revers de rang. Le Dacka n’avait plus gagné depuis le 16 octobre dernier et sa seule victoire contre Podgorica. L’Olympiakos s’est fait surprendre dès le 1er quart (24-12) et a été incapable de surmonter son débours initial (79-75).\n\nToney Douglas (19 points, 9 passes et 5 interceptions) a été le grand artisan de cette victoire, bien aidé par Zanis Peiners qui termine à 16 points et 9 rebonds. Chez les Reds, Janis Strelnieks (15 points) a terminé meilleur scoreur, seul joueur adroit à trois points pour l’Oly qui finit à 8/27 de loin…\n\n\nL’heure de gloire de Johnny O’Bryant\n\nAnonyme en NBA après quatre saisons entre Milwaukee, Denver et Charlotte, Johnny O’Bryant a débarqué en Europe cet été. Face à Milan, il a lâché le meilleur match de sa vie à 32 points, plus 5 rebonds, 3 passes et 3 interceptions en 31 minutes, à 10/15 aux tirs, pour 44 d’évaluation dans une victoire sur le fil (94-92). Le dernier à avoir fait 44 d’éval’ pour le Maccabi ? Un certain Nikola Vujcic en 2006/07…\n\nMilan continue de perdre des matchs, malgré le retour la semaine passée de Nemanja Nedovic (17 points) et les efforts de Mike James (16 points, 8 passes) et Vladimir Micov (16 points, 8 rebonds, 6 passes). Alex Tyus (16 points, 7 rebonds, 3 contres) a rentré les lancers de la gagne sans trembler, et le Maccabi peut encore espérer aux playoffs…\n\n\nLes Français d’Euroleague\n\nKevin Séraphin (Barcelone) : 13 points (6/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 5 balles perdues en 22 minutes\n\nRodrigue Beaubois (Efes) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 14 minutes\n\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 22 minutes\n\nAdrien Moerman (Efes) : 7 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes\n\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 2 balles perdues en 20 minutes\n\nAxel Toupane (Olympiakos) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds en 16 minutes\n\n\nL’action de la soirée\n\nLe duo français de Barcelone a été dominant face à l’autre duo français de l’Efes Istanbul. Sur cette action, Thomas Heurtel déborde la défense turque et sert parfaitement Kevin Séraphin qui détonne par-dessus Rodrigue Beaubois !\n\n\n\n\n.@MT28APRIL turns the corner and feeds @french_savage who IGNITES the 'Dunk of the Night' 💥 pic.twitter.com/jwya234A7B\n\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 28, 2018\n\n\nLes résultats de la 15e journée\n\nMercredi 27 décembre :\nKhimki Moscou – Vitoria (77-85)\nDarussafaka – Olympiakos (79-75)\nMaccabi Tel Aviv – Milan (94-92)\nBarcelone – Efes Istanbul (80-65)\n\nJeudi 28 décembre :\nFenerbahçe – Real Madrid (18h30)\nPanathinaikos – CSKA Moscou (20h)\nBayern Munich – Podgorica (20h30)\nGran Canaria – Zalgiris Kaunas (21h)\n\n\nLe classement provisoire\n\n\nLe programme de la 16e journée\n\nJeudi 3 janvier :\nEfes Istanbul – Bayern Munich (18h30)\nMilan – Podgorica (20h45)\nReal Madrid – Maccabi Tel Aviv (20h45)\nGran Canaria – Khimki Moscou (21h30)\n\nVendredi 4 janvier :\nFenerbahçe – Vitoria (18h45)\nZalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\nOlympiakos – Panathinaikos (20h)\nBarcelone – Darussafaka (21h)\n\nCrédits photo : Euroleague\n\n[armelse]\n\n\nLe Barça renverse l’Efes\n\nKevin Séraphin a annoncé la couleur sur sa page Twitter après le match : « On n’abandonne jamais ». Et de fait, de -17 en 1ère mi-temps, le Barça a réussi à inverser la tendance pour emporter le match de 15 points (80-65). Séraphin termine à 13 points et 8 rebonds, juste derrière Pierre Oriola à 14 points tandis que Thomas Heurtel apporte 8 points et 3 passes.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/12/thomas-heurtel-e1559568499992.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2018-12-28T17:40:04.000Z", "updated_at":"2018-12-28T17:40:18.000Z", "published_at":"2018-12-28T17:40:04.000Z", "custom_excerpt":"Outre les victoires des mal classés, Darussafaka contre l’Olympiakos et le Maccabi Tel Aviv face à Milan, ce sont les clubs espagnols qui sortent vainqueurs de cette première soirée de la 15e journée d’Euroleague. 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Lors du match à domicile en Croatie, nous et les joueurs avons manifesté ensemble pour la paix, une collecte de fonds a été lancée au profit des victimes de la guerre et de nombreuses associations suédoises de basket-ball ont manifesté leur solidarité de diverses manières au cours du mois dernier. De plus, la SBBF a ouvertement soutenu la décision de la Fédération internationale de basketball (FIBA) d’exclure la Russie de tous les tournois et matches.
En tant que joueur de l’équipe nationale, vous êtes un représentant du basket-ball suédois, et bien sûr aussi une personne avec laquelle nous, en tant qu’organisation, avons une relation humaine. Pour cette raison, il était essentiel pour nous d’avoir un dialogue direct avec Jonas Jerebko avant d’annoncer notre position. Mercredi, Fredrik Joulamo, secrétaire général de l’Association suédoise de basket-ball, s’est entretenu avec Jonas Jerebko de son choix de jouer en Russie et a souligné à quel point cela est directement contraire aux valeurs du basket-ball suédois et à notre position claire sur la question de la Russie. Après ce dialogue, nous avons malheureusement été contraints de déclarer qu’il n’y a aucune condition pour que Jonas Jerebko représente une équipe nationale suédoise de basket. »
Depuis l’invasion russe en Ukraine, et à l’image des pays baltes, la Suède est en état d’alerte, d’autant que quatre avions de combat russes ont déjà violé son espace aérien. Et la volonté de se préparer au pire est dans la culture nationale. On comprend dès lors que la décision de Jonas Jerebko (2,08m, 35 as) est considérée comme une trahison. Après un long parcours en NBA, celui avait passé deux ans au Khimki Moscou de 2019 à 2021.
Photo : Euroleague
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Le coach Ettore Messina prend comme référence la dernière victoire sur le Bayern Munich (84-77). Il se méfie de Mike James, qui, insuffisamment remis d’une blessure avait joué moins de trois minutes à l’aller -victoire de Milan, 65-71-, un joueur qu’il n’avait pas voulu conserver dans son effectif quand il a pris l’équipe en 2019, se méfiant de son caractère incontrôlable.
« C’est un match difficile, contre un adversaire qui se débrouille très bien, extrêmement athlétique, avec des marqueurs de haut niveau dans tous les rôles du périmètre et Mike James qui, bien sûr, peut changer n’importe quel match par lui-même. Dès lors l’aspect défensif et la maîtrise des rebonds seront une fois de plus fondamentaux. Il faudra repartir de l’intensité montrée en seconde période de la victoire sur le Bayern ».
Le coach milanais a forcément été interrogé sur le cas du grec Dinos Mitoglou, qui a été convaincu de dopage, et qui fait suite à celui de Riccardo Moraschini.
« En tant que club, ces dernières années et cette année, nous avons toujours fait de notre mieux pour jouer de façon équitable, en nous respectant, en respectant nos adversaires et le jeu. Nous n’avons aucune tolérance vis-à-vis du dopage, que ce soit pour la superficialité ou l’inconduite volontaire. C’est la seule chose qui compte, nous ne pouvons jamais envisager le dopage, c’est important pour nous en tant que club et c’est important pour le groupe que nous représentons. J’espère que Mitoglou pourra s’expliquer, que c’était une erreur, évidemment nous attendons plus d’informations sur cette affaire, mais l’aspect le plus important – je le répète – est le respect de notre travail. Je suis extrêmement désolé pour toutes les personnes qui travaillent dans notre staff médical. Ce sont des gens qui se souviennent chaque jour des règles, qui sont très attentifs à tout. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/shavon-shields-1.jpg\")
Photos : Mike James (Monaco, Euroleague) et Shavon Shields (Armani Milan)
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Numéro 1 lors de la saison précédente, la Française Gabby Williams de Sopron termine deuxième du classement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les capacités défensives d’Elizabeth Williams (1,90m, 28 ans) ont été au cœur des succès de Fenerbahce (11 victoires et 3 défaites). Elle est la meilleure contreuse de la compétition avec pas moins de 2,5 blocs par match. On remarque que c’est le vote des fans qui a fait basculer le résultat en faveur de l’Américaine. Alyssa Thomas (Prague) termine troisième et Olivia Epoupa (Lattes-Montpellier) quatrième.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Gabby Williams (Sopron, Euroleague)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Les capacités défensives d’Elizabeth Williams (1,90m, 28 ans) ont été au cœur des succès de Fenerbahce (11 victoires et 3 défaites). Elle est la meilleure contreuse de la compétition avec pas moins de 2,5 blocs par match. On remarque que c’est le vote des fans qui a fait basculer le résultat en faveur de l’Américaine. Alyssa Thomas (Prague) termine troisième et Olivia Epoupa (Lattes-Montpellier) quatrième.
Photo : Gabby Williams (Sopron, Euroleague)
", "comment_id":"594795", "plaintext":"Elizabeth Williams de Fenerbahçe a été élue joueuse défensive de l’année en EuroLeague féminine. Numéro 1 lors de la saison précédente, la Française Gabby Williams de Sopron termine deuxième du classement.\n\nLes capacités défensives d’Elizabeth Williams (1,90m, 28 ans) ont été au cœur des succès de Fenerbahce (11 victoires et 3 défaites). Elle est la meilleure contreuse de la compétition avec pas moins de 2,5 blocs par match. On remarque que c’est le vote des fans qui a fait basculer le résultat en faveur de l’Américaine. Alyssa Thomas (Prague) termine troisième et Olivia Epoupa (Lattes-Montpellier) quatrième.\n\nPhoto : Gabby Williams (Sopron, Euroleague)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/12/gabby-williams.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-31T07:31:37.000Z", "updated_at":"2022-03-31T07:31:45.000Z", "published_at":"2022-03-31T07:31:37.000Z", "custom_excerpt":"Elizabeth Williams de Fenerbahçe a été élue joueuse défensive de l’année en EuroLeague féminine. Numéro 1 lors de la saison précédente, la Française Gabby Williams de Sopron termine deuxième du classement.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99432", "uuid":"11e45b8e-0f35-4a94-99a4-b83ea366715a", "title":"Décès de Jacques Cicofran, personnage-clé du basket guadeloupéen", "slug":"deces-de-jacques-cicofran-personnage-cle-du-basket-guadeloupeen", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/ffbasketball?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Jacques Cicofran est décédé à l’âge de 80 ans. Il avait notamment fondé en 1969 le club de Ban E Lot.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En 1982, il avait été nommé conseiller technique régional en Guadeloupe, afin d’épauler Charles Fédelin qui officiait également pour la Martinique. Un poste qu’il a conservé jusqu’à sa retraite en 2003, et qui fut confié alors à l’international Patrick Cham.\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"Ban E Lot a été le club formateur de Jim Bilba, Jérôme Moiso, Rudy Bourgarel -le père de Rudy Gobert-, Juhann Begarin, Jonathan Jeanne, et encore Rudy Nelhomme.\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"En 1982, il avait été nommé conseiller technique régional en Guadeloupe, afin d’épauler Charles Fédelin qui officiait également pour la Martinique. Un poste qu’il a conservé jusqu’à sa retraite en 2003, et qui fut confié alors à l’international Patrick Cham.
Ban E Lot a été le club formateur de Jim Bilba, Jérôme Moiso, Rudy Bourgarel -le père de Rudy Gobert-, Juhann Begarin, Jonathan Jeanne, et encore Rudy Nelhomme.
De la NBA à la NCAA en passant par la G-League, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français aux Etats-Unis.
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Sur la période, le joueur formé à l’ASVEL a tourné à des moyennes de 22,7 points (à 51,1% de réussite aux tirs), 6 rebonds et 4,7 passes en 34 minutes. Il a également réussi 16 de ses 17 lancers-francs. Il a ainsi collecté 24,3 d’évaluation par match. Il a tout simplement été le meilleur Français de la semaine.\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Killian Hayes très bon en sortie de banc\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Killian Hayes a presque doublé ses statistiques de la saison en cette période. Offensivement, il a été très efficace avec la moitié de ses 9 tirs par match transformés. Il a marqué 10,5 points en moyenne. Il est même monté deux fois à 13 points et égalé son meilleur score de la saison. Il a également établi son nouveau record de la saison aux rebonds avec 8 unités contre Atlanta. Avec 6 rebonds et 3,5 passes, l’ancien joueur d’Ulm a obtenu une évaluation moyenne de 16. 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En effet, celle-ci a débuté par un déplacement à Charlotte. Cette rencontre a été l’occasion de vivre un moment marqué dans les livres d’histoire. Dans le troisième quart temps, l’ancien joueur d’Orlando a inscrit son 218ème tir à trois points de la saison. Il est devenu le Knick le plus prolifique en la matière de l’histoire. Il a effacé des tablettes John Starks, détenteur du précédent record depuis 1995. Cet évènement a cependant été quelque peu terni par ses performances suivantes. Ainsi, sur la période, il n’a marqué que presque 9 points par match avec un maigre 25,5% aux tirs. Il s’est un peu rattrapé dans le secteur des passes décisives. avec 4,5 de moyenne, il est bien au-dessus de ses standards. Il a même établi sa meilleure performance de la saison dans la catégorie avec 7 unités contre les Hornets. Avec seulement 5 d’évaluation, le bilan est peu flatteur. 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La semaine d’Evan Fournier a été pour le moins paradoxale. En effet, celle-ci a débuté par un déplacement à Charlotte. Cette rencontre a été l’occasion de vivre un moment à marquer dans les livres d’histoire. Dans le troisième quart temps, l’ancien joueur d’Orlando a inscrit son 218ème tir à trois points de la saison. Il est devenu le Knick le plus prolifique en la matière de l’histoire. Il a effacé des tablettes John Starks, détenteur du précédent record depuis 1995. Cet évènement a cependant été quelque peu terni par ses performances suivantes. Ainsi, sur la période, il n’a marqué que presque 9 points par match avec un maigre 25,5% aux tirs. Il s’est un peu rattrapé dans le secteur des passes décisives. avec 4,5 de moyenne, il est bien au-dessus de ses standards. Il a même établi sa meilleure performance de la saison dans la catégorie avec 7 unités contre les Hornets. Avec seulement 5 d’évaluation, le bilan est peu flatteur. Mais New York a remporté ses quatre rencontres.
Lors du premier match de la semaine face à Orlando, Théo Maledon a réussi une grosse performance. En 32 minutes en sortie de banc, il a marqué 25 points à 9/13 aux tirs. Il a terminé meilleur marqueur de la rencontre. Il s’agit aussi de son meilleur score offensif de la saison. Il a ajouté 4 rebonds et 6 passes pour obtenir une évaluation de 31. Celle-ci constitue son meilleur match en carrière dans la meilleure ligue du Monde. Sur la période, le joueur formé à l’ASVEL a tourné à des moyennes de 22,7 points (à 51,1% de réussite aux tirs), 6 rebonds et 4,7 passes en 34 minutes. Il a également réussi 16 de ses 17 lancers-francs. Il a ainsi collecté 24,3 d’évaluation par match. Il a tout simplement été le meilleur Français de la semaine.
Killian Hayes a presque doublé ses statistiques de la saison en cette période. Offensivement, il a été très efficace avec la moitié de ses 9 tirs par match transformés. Il a marqué 10,5 points en moyenne. Il est même monté deux fois à 13 points et égalé son meilleur score de la saison. Il a également établi son nouveau record de la saison aux rebonds avec 8 unités contre Atlanta. Avec 6 rebonds et 3,5 passes, l’ancien joueur d’Ulm a obtenu une évaluation moyenne de 16. Collectivement, les Pistons n’ont gagné qu’une seule de leurs quatre rencontres.
Killian Hayes (Detroit) : 10,5 points (50% aux tirs dont 44,4% à trois points, 66,7% aux lancers-francs), 6 rebonds, 3,5 passes pour 16 d’évaluation en 29,5 minutes (4 matchs, 1 victoire-3 défaites).
Théo Maledon (Oklahoma City) : 22,7 points (51,2% aux tirs dont 47,1% à trois points, 94,1% aux lancers-francs), 6 rebonds, 4,7 passes pour 24,3 d’évaluation en 34,3 minutes (3 matchs, 2 titularisations, 2 victoires-1 défaite).
Evan Fournier (New York) : 8,8 points (25,5% aux tirs dont 26,3% à trois points, 50% aux lancers-francs), 2,8 rebond, 4,5 passes pour 5 d’évaluation en 28 minutes (4 matchs, 4 titularisations, 4 victoires).
Olivier Sarr (Oklahoma City) : 8,3 points (62,5% aux tirs dont 25% à trois points, 66,7% aux lancers-francs), 3 rebonds, 1,3 passe pour 10 d’évaluation en 24 minutes (3 matchs, 2 victoires-1 défaite).
Rudy Gobert (Utah) : 11,3 points (65% aux tirs, 57,1% aux lancers-francs), 15,3 rebonds, 1 passe pour 24 d’évaluation en 35 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 3 défaites).
Nicolas Batum (Los Angeles Clippers) : 8,5 points (53,8% aux tirs dont 40% à trois points, 100% aux lancers-francs), 3,5 rebonds pour 8,5 d’évaluation en 22 minutes (2 matchs, 2 titularisations, 1 victoire-1 défaite).
Timothé Luwawu-Cabarrot (Atlanta) : 7 points (33,3% aux tirs dont 33,3% à trois points, 87,5% aux lancers-francs), 2,7 rebonds, 0,7 passe pour 7 d’évaluation en 22,3 minutes (3 matchs, 2 titularisations, 2 victoires-1 défaite).
Frank Ntilikina (Dallas) : 6,7 points (56,3% aux tirs dont 40% à trois points), 1,3 rebond, 2,3 passes pour 7,7 d’évaluation en 11 minutes (3 matchs, 2 victoires-1 défaite).
Killian Tillie (Memphis) : N’a pas joué.
Yves Pons (Memphis) : 0 point (0% à trois points) pour -1 d’évaluation en 3 minutes (1 match, 1 victoire).
Joël Ayayi (Washington) : N’a pas joué.
Jaylen Hoard (Oklahoma City) : N’a pas joué.
Jaylen Hoard (Oklahoma City) : 12,7 points (50% aux tirs dont 0% à trois points, 33,3% aux lancers-francs), 13,3 rebonds, 3 passes pour 22 d’évaluation en 32 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 1 victoire-2 défaites).
Olivier Sarr (Oklahoma City) : N’a pas joué.
Joël Ayayi (Capital City) : 17 points (73,3% aux tirs dont 42,9% à trois points, 100% aux lancers-francs), 6,3 rebonds, 8 passes pour 23,7 d’évaluation en 27 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 3 victoires).
Killian Tillie (Memphis) : N’a pas joué.
Yves Pons (Memphis) : 6,7 points (36,4% aux tirs dont 33,3% à trois points), 4 rebonds, 1,3 passe pour 7,3 d’évaluation en 25,3 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 1 victoire-2 défaites).
Petr Cornelie (Grand Rapids) : 28,5 points (62,9% aux tirs dont 64,7% à trois points, 33,3% aux lancers-francs), 12,5 rebonds, 2,5 passes pour 34 d’évaluation en 40 minutes (2 matchs, 2 titularisations, 1 victoire-1 défaite).
Théo Malédon (Oklahoma City) : N’a pas joué.
Moussa Diabaté (Michigan) : 7 points (42,9% aux tirs, 50% aux lancers-francs), 6 rebonds pour 8 d’évaluation en 21 minutes (1 match, 1 titularisation, 1 défaite).
Adama Bal (Arizona) : N’a pas joué.
Daniel Batcho (Texas Tech) : N’a pas joué.
Clarence Nadolny (Texas Tech) : 0 point pour 0 d’évaluation en 3 minutes (1 match, 1 défaite).
Photo d’ouverture : Evan Fournier (New York-NBA)
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La semaine d’Evan Fournier a été pour le moins paradoxale. En effet, celle-ci a débuté par un déplacement à Charlotte. Cette rencontre a été l’occasion de vivre un moment marqué dans les livres d’histoire. Dans le troisième quart temps, l’ancien joueur d’Orlando a inscrit son 218ème tir à trois points de la saison. Il est devenu le Knick le plus prolifique en la matière de l’histoire. Il a effacé des tablettes John Starks, détenteur du précédent record depuis 1995. Cet évènement a cependant été quelque peu terni par ses performances suivantes. Ainsi, sur la période, il n’a marqué que presque 9 points par match avec un maigre 25,5% aux tirs. Il s’est un peu rattrapé dans le secteur des passes décisives. avec 4,5 de moyenne, il est bien au-dessus de ses standards. Il a même établi sa meilleure performance de la saison dans la catégorie avec 7 unités contre les Hornets. Avec seulement 5 d’évaluation, le bilan est peu flatteur. Mais New York a remporté ses quatre rencontres.
Lors du premier match de la semaine face à Orlando, Théo Maledon a réussi une grosse performance. En 32 minutes en sortie de banc, il a marqué 25 points à 9/13 aux tirs. Il a terminé meilleur marqueur de la rencontre. Il s’agit aussi de son meilleur score offensif de la saison. Il a ajouté 4 rebonds et 6 passes pour obtenir une évaluation de 31. Celle-ci constitue son meilleur match en carrière dans la meilleure ligue du Monde. Sur la période, le joueur formé à l’ASVEL a tourné à des moyennes de 22,7 points (à 51,1% de réussite aux tirs), 6 rebonds et 4,7 passes en 34 minutes.
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Photo : Evan Fournier (New York-NBA)
", "comment_id":"594770", "plaintext":"Malgré des performances en demi-teinte, Evan Fournier a été sous le feu des projecteurs en laissant son emprunte sur la franchise new yorkaise. De plus, la génération 2001 de Théo Maledon et Killian Hayes a été excellente à l’instar de Rudy Gobert. Dans la ligue de développement, c’est Petr Cornelie qui s’est montré.\n\nDe la NBA à la NCAA en passant par la G-League, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français aux Etats-Unis.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nEvan Fournier nouveau recordman de New York du nombre de trois points marqués sur une saison\n\nLa semaine d’Evan Fournier a été pour le moins paradoxale. En effet, celle-ci a débuté par un déplacement à Charlotte. Cette rencontre a été l’occasion de vivre un moment à marquer dans les livres d’histoire. Dans le troisième quart temps, l’ancien joueur d’Orlando a inscrit son 218ème tir à trois points de la saison. Il est devenu le Knick le plus prolifique en la matière de l’histoire. Il a effacé des tablettes John Starks, détenteur du précédent record depuis 1995. Cet évènement a cependant été quelque peu terni par ses performances suivantes. Ainsi, sur la période, il n’a marqué que presque 9 points par match avec un maigre 25,5% aux tirs. Il s’est un peu rattrapé dans le secteur des passes décisives. avec 4,5 de moyenne, il est bien au-dessus de ses standards. Il a même établi sa meilleure performance de la saison dans la catégorie avec 7 unités contre les Hornets. Avec seulement 5 d’évaluation, le bilan est peu flatteur. Mais New York a remporté ses quatre rencontres.\n\n\nThéo Maledon réussit le meilleur match de sa carrière en NBA\n\nLors du premier match de la semaine face à Orlando, Théo Maledon a réussi une grosse performance. En 32 minutes en sortie de banc, il a marqué 25 points à 9/13 aux tirs. Il a terminé meilleur marqueur de la rencontre. Il s’agit aussi de son meilleur score offensif de la saison. Il a ajouté 4 rebonds et 6 passes pour obtenir une évaluation de 31. Celle-ci constitue son meilleur match en carrière dans la meilleure ligue du Monde. Sur la période, le joueur formé à l’ASVEL a tourné à des moyennes de 22,7 points (à 51,1% de réussite aux tirs), 6 rebonds et 4,7 passes en 34 minutes. Il a également réussi 16 de ses 17 lancers-francs. Il a ainsi collecté 24,3 d’évaluation par match. Il a tout simplement été le meilleur Français de la semaine.\n\n\nKillian Hayes très bon en sortie de banc\n\nKillian Hayes a presque doublé ses statistiques de la saison en cette période. Offensivement, il a été très efficace avec la moitié de ses 9 tirs par match transformés. Il a marqué 10,5 points en moyenne. Il est même monté deux fois à 13 points et égalé son meilleur score de la saison. Il a également établi son nouveau record de la saison aux rebonds avec 8 unités contre Atlanta. Avec 6 rebonds et 3,5 passes, l’ancien joueur d’Ulm a obtenu une évaluation moyenne de 16. Collectivement, les Pistons n’ont gagné qu’une seule de leurs quatre rencontres.\n\n\nLe 5 majeur de la semaine :\n\nKillian Hayes (Detroit) : 10,5 points (50% aux tirs dont 44,4% à trois points, 66,7% aux lancers-francs), 6 rebonds, 3,5 passes pour 16 d’évaluation en 29,5 minutes (4 matchs, 1 victoire-3 défaites).\n\nThéo Maledon (Oklahoma City) : 22,7 points (51,2% aux tirs dont 47,1% à trois points, 94,1% aux lancers-francs), 6 rebonds, 4,7 passes pour 24,3 d’évaluation en 34,3 minutes (3 matchs, 2 titularisations, 2 victoires-1 défaite).\n\nEvan Fournier (New York) : 8,8 points (25,5% aux tirs dont 26,3% à trois points, 50% aux lancers-francs), 2,8 rebond, 4,5 passes pour 5 d’évaluation en 28 minutes (4 matchs, 4 titularisations, 4 victoires).\n\nOlivier Sarr (Oklahoma City) : 8,3 points (62,5% aux tirs dont 25% à trois points, 66,7% aux lancers-francs), 3 rebonds, 1,3 passe pour 10 d’évaluation en 24 minutes (3 matchs, 2 victoires-1 défaite).\n\nRudy Gobert (Utah) : 11,3 points (65% aux tirs, 57,1% aux lancers-francs), 15,3 rebonds, 1 passe pour 24 d’évaluation en 35 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 3 défaites).\n\nNBA\n\nNicolas Batum (Los Angeles Clippers) : 8,5 points (53,8% aux tirs dont 40% à trois points, 100% aux lancers-francs), 3,5 rebonds pour 8,5 d’évaluation en 22 minutes (2 matchs, 2 titularisations, 1 victoire-1 défaite).\n\nTimothé Luwawu-Cabarrot (Atlanta) : 7 points (33,3% aux tirs dont 33,3% à trois points, 87,5% aux lancers-francs), 2,7 rebonds, 0,7 passe pour 7 d’évaluation en 22,3 minutes (3 matchs, 2 titularisations, 2 victoires-1 défaite).\n\nFrank Ntilikina (Dallas) : 6,7 points (56,3% aux tirs dont 40% à trois points), 1,3 rebond, 2,3 passes pour 7,7 d’évaluation en 11 minutes (3 matchs, 2 victoires-1 défaite).\n\nKillian Tillie (Memphis) : N’a pas joué.\n\nYves Pons (Memphis) : 0 point (0% à trois points) pour -1 d’évaluation en 3 minutes (1 match, 1 victoire).\n\nJoël Ayayi (Washington) : N’a pas joué.\n\nJaylen Hoard (Oklahoma City) : N’a pas joué.\n\nG-LEAGUE\n\nJaylen Hoard (Oklahoma City) : 12,7 points (50% aux tirs dont 0% à trois points, 33,3% aux lancers-francs), 13,3 rebonds, 3 passes pour 22 d’évaluation en 32 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 1 victoire-2 défaites).\n\nOlivier Sarr (Oklahoma City) : N’a pas joué.\n\nJoël Ayayi (Capital City) : 17 points (73,3% aux tirs dont 42,9% à trois points, 100% aux lancers-francs), 6,3 rebonds, 8 passes pour 23,7 d’évaluation en 27 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 3 victoires).\n\nKillian Tillie (Memphis) : N’a pas joué.\n\nYves Pons (Memphis) : 6,7 points (36,4% aux tirs dont 33,3% à trois points), 4 rebonds, 1,3 passe pour 7,3 d’évaluation en 25,3 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 1 victoire-2 défaites).\n\nPetr Cornelie (Grand Rapids) : 28,5 points (62,9% aux tirs dont 64,7% à trois points, 33,3% aux lancers-francs), 12,5 rebonds, 2,5 passes pour 34 d’évaluation en 40 minutes (2 matchs, 2 titularisations, 1 victoire-1 défaite).\n\nThéo Malédon (Oklahoma City) : N’a pas joué.\n\nNCAA\n\nMoussa Diabaté (Michigan) : 7 points (42,9% aux tirs, 50% aux lancers-francs), 6 rebonds pour 8 d’évaluation en 21 minutes (1 match, 1 titularisation, 1 défaite).\n\nAdama Bal (Arizona) : N’a pas joué.\n\nDaniel Batcho (Texas Tech) : N’a pas joué.\n\nClarence Nadolny (Texas Tech) : 0 point pour 0 d’évaluation en 3 minutes (1 match, 1 défaite).\n\nPhoto d’ouverture : Evan Fournier (New York-NBA)\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nEvan Fournier nouveau recordman de New York du nombre de trois points marqués sur une saison\n\nLa semaine d’Evan Fournier a été pour le moins paradoxale. En effet, celle-ci a débuté par un déplacement à Charlotte. Cette rencontre a été l’occasion de vivre un moment marqué dans les livres d’histoire. Dans le troisième quart temps, l’ancien joueur d’Orlando a inscrit son 218ème tir à trois points de la saison. Il est devenu le Knick le plus prolifique en la matière de l’histoire. Il a effacé des tablettes John Starks, détenteur du précédent record depuis 1995. Cet évènement a cependant été quelque peu terni par ses performances suivantes. Ainsi, sur la période, il n’a marqué que presque 9 points par match avec un maigre 25,5% aux tirs. Il s’est un peu rattrapé dans le secteur des passes décisives. avec 4,5 de moyenne, il est bien au-dessus de ses standards. Il a même établi sa meilleure performance de la saison dans la catégorie avec 7 unités contre les Hornets. Avec seulement 5 d’évaluation, le bilan est peu flatteur. Mais New York a remporté ses quatre rencontres.\n\n\nThéo Maledon réussit le meilleur match de sa carrière en NBA\n\nLors du premier match de la semaine face à Orlando, Théo Maledon a réussi une grosse performance. En 32 minutes en sortie de banc, il a marqué 25 points à 9/13 aux tirs. Il a terminé meilleur marqueur de la rencontre. Il s’agit aussi de son meilleur score offensif de la saison. Il a ajouté 4 rebonds et 6 passes pour obtenir une évaluation de 31. Celle-ci constitue son meilleur match en carrière dans la meilleure ligue du Monde. Sur la période, le joueur formé à l’ASVEL a tourné à des moyennes de 22,7 points (à 51,1% de réussite aux tirs), 6 rebonds et 4,7 passes en 34 minutes.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Evan Fournier (New York-NBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/fournier310322.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-31T06:47:49.000Z", "updated_at":"2022-11-02T10:33:28.000Z", "published_at":"2022-03-31T06:47:49.000Z", "custom_excerpt":"Malgré des performances en demi-teinte, Evan Fournier a été sous le feu des projecteurs en laissant son emprunte sur la franchise new yorkaise. De plus, la génération 2001 de Théo Maledon et Killian Hayes a été excellente à l’instar de Rudy Gobert. 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Pour quel rendement ? Ont-ils contribué à changer la face de leur équipe ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nate Wolters serait-il un contre-exemple ? Lors de l’exercice 2017-18, Chalon-sur-Saône avait commencé sa saison de manière catastrophique (6 victoires pour 13 défaites), par la faute d’un recrutement raté (Adam Smith, Jevohn Shepherd et Raphiael Putney notamment). Puis est arrivé Nate Wolters, qui a totalement changé la face de l’Élan Chalonnais. Avec lui aux manettes, l’équipe de Jean-Denys Choulet a gagné 9 matchs sur 15, éloignant le spectre de la relégation.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Des joueurs ou coachs ont-ils eu le même impact cette saison ? Nous nous sommes intéressés aux 31 joueurs et 2 coachs arrivés en cours de saison – pour remplacer un joueur ou coach coupé ou en renforcement de l’effectif – en comparant les résultats de l’équipe avant leur arrivée et une fois sur la feuille de match. En modulant évidemment cet apport en fonction du rendement de chaque joueur : un nouveau venu tournant à 2,0 d’évaluation en moins de 10 minutes n’a logiquement qu’un faible impact sur l’évolution du bilan de son équipe. Et il est impossible d’établir une comparaison fiable pour des joueurs ayant tout juste intégré leur nouveau club ou pour d’autres ayant remplacé un joueur n’ayant pratiquement pas joué (la faute à une blessure longue durée le plus souvent).\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"L’impact du changement de coach\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Très souvent, lorsqu’un club est en difficulté au classement ou dans son fonds de jeu, la première décision prise par les dirigeants consiste à remplacer le coach. Ils sont seulement deux à avoir connu cette avanie, Serge Crevecoeur au Portel et Zvezdan Mitrovic à Monaco. Deux cas bien différents. Au Portel, le coach belge n’a pu faire gagner que 3 des 11 matchs qu’il a dirigé, mettant l’ESSM en position de relégable. Il a donc été remplacé par Éric Girard, le directeur sportif du club et ancien coach. Pour une évolution plutôt positive : sous sa férule, Le Portel a remporté 38,46 % de ses rencontres, contre 27,27 % auparavant. Il y a du mieux, donc, même si les Stellistes ne sont pas encore sauvés de la relégation.\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À Monaco, les objectifs sont bien différents. Et si l’on se focalise sur la Betclic Élite, on pourrait penser que l’apport de Sasa Obradovic (69,23 % de victoires sur 13 matchs) n’est même pas à la hauteur de celui de Zvezdan Mitrovic (72,73 % de victoires en 11 matchs). Mais, dans le cas de la Roca Team, ce n’est pas tant la saison régulière du championnat de France que l’Euroleague qui occupe les esprits : avec son premier coach, l’équipe présentait dans la compétition européenne un bilan de 5 victoires pour 9 défaites, il est désormais de 12 victoires pour 5 défaites avec le second, un changement considérable.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Qu’apportent réellement les nouveaux arrivants ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Si l’on prend en compte les 31 nouveaux joueurs arrivés en cours de saison, on en dénombre 13 qui ont eu un impact positif sur le rendement de leur équipe. Mais cinq d’entre-eux n’ont pas joué suffisamment de matchs (entre 3 et 5) pour que l’on puisse vraiment mesurer leur réel apport, alors que trois de ces nouveaux (Terrell Gomez à Dijon, Ingus Jakovics à Limoges et Vyacheslav Bobrov à Nanterre) n’ont contribué que très modérément aux résultats de leur club, avec des évaluations entre 1,7 et 2,6. De leur côté, OD Anosike (62,5 % de victoires) et TJ Campbell (66,67 %) à Cholet, Khadeen Carrington (76,92 %) ou Dwayne Bacon (85,71 %) à Monaco ont largement contribué à l’amélioration de leur équipe.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Par ailleurs, cinq joueurs ont été coupés mais leurs remplaçants n’ont rien changé aux résultats du club, même s’il est pour le moment impossible de réellement juger l’apport d’Egidijus Mockevicius à Fos et de Junior Mbida à Orléans, où ils n’ont disputé que trois rencontres.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"De leur côté, Michael Stockton (un match) à Cholet, Zack Peacock (remplaçant un Nik Caner-Medley qui s’est blessé après un seul match) à Fos et James Gist (remplaçant un Raymar Morgan blessé avant même le début de la saison) à l’Asvel ne peuvent être évalués concrètement.\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Restent enfin 10 joueurs dont l’équipe fait moins bien qu’avant leur arrivée. Là encore, cinq d’entre-eux sont arrivés trop récemment (5 matchs maximum) pour que leur apport soit réellement jugé. D’un autre côté, quatre ont contribué aux mauvais résultats de leur équipe avec un rendement des plus médiocres : Dustin Ware (4,3 d’évaluation) à Champagne Basket, Sadio Doucouré (5,3) à Fos, Landing Sane (5,0) à Pau et Loic Schwartz (3,7) à Orléans. À l’inverse, le cas d’un Marcos Knight (11,7 d’éval) à Villeurbanne mérite d’être modulé, le joueur n’étant qu’une pièce d’un large effectif tout de même bien fatigué (tout comme celui de Monaco) par sa participation à l’Euroleague.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Des changements de joueur sans réel impact\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Si l’on se concentre sur les joueurs venus remplacer un autre membre de l’effectif (8 pour suppléer un joueur coupé ou parti de lui-même, 8 comme pigiste médical sur le long terme), on ne peut que constater qu’il est assez rare que ces changements aient un impact positif.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ils ne sont que six dans ce cas et encore faut-il moduler le contexte. Ainsi, si CJ Massinburg (remplaçant médical de Gerry Blakes à Limoges) apporte beaucoup au CSP, de même qu’Adam Mokoka (remplaçant de Patricio Garino, parti après 8 matchs à Nanterre), Kameron Taylor (remplaçant tardif de Jarrell Eddie à Strasbourg) et Khadeen Carrington (remplaçant de Sek Henry coupé après 6 matchs à Dijon), Jordan Howard (remplaçant médical de John Roberson à Strasbourg) et Ray McCallum (remplaçant médical de Brandon Taylor à Gravelines) sont là depuis trop peu de temps (5 et 4 matchs respectivement) pour que l’on considère réellement son impact sur la SIG supérieur à celui de John Roberson.\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À l’opposé, trois autres joueurs ont vu leur équipe baisser de pied depuis leur arrivée, même s’ils n’y sont pas forcément pour grand-chose. Ainsi, Jeremiah Hill (remplaçant médical de Marcquise Reed à Gravelines), Deishuan Booker (remplaçant tardif de D’Mitrick Trice à Fos) et Tadas Pazera (remplaçant de Mehdy Ngouama parti du Portel) n’ont joué que trois matchs. Et si le premier a un rôle majeur dans son équipe (16,3 d’évaluation), et a été époustouflant au top 8 de la Coupe de France à Trélazé, c’est loin d’être le cas des deux autres (respectivement 8,0 et 1,3 d’évaluation).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Entre ces deux extrêmes, cinq joueurs n’ont pas changé grand-chose à la destinée de leur équipe, là encore avec des cas variés. Ainsi, si Orlando Coleman présente le même ratio victoires-défaites que son prédécesseur Myke Henry à Champagne Basket et si Le Mans fait quasiment aussi bien avec Darius Johnson-Odom qu’avec Deishuan Booker (le premier se montrant toutefois plus performant que le second), Junior Mbida (arrivé à Orléans en échange de Jean-Philippe Dally) et Egidijus Mockevicius (remplaçant très tardif d’un Terrell Parks qui n’a disputé que deux rencontres en début de saison) n’ont disputé que trois rencontres sous leurs nouvelles couleurs. Quant à Mouph’ Yarou (qui a pris la place de David Skara au Portel), il n’a pas permis à l’ESSM de faire vraiment mieux malgré un apport nettement plus conséquent (15,8 d’évaluation contre 3,2).\"]]],[10,5],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Enfin, il reste impossible de juger l’impact d’un James Gist par rapport à Raymar Morgan à l’ASVEL, ce dernier n’ayant pas joué un match à l’heure où ces lignes sont écrites (il a fait son retour au jeu en Euroleague puis en coupe de France). Quant à Zack Peacock à Fos, comme nous l’avons déjà dit, il a remplacé avant de se blesser un Nik Caner-Medley qui n’a disputé qu’une seule rencontre en début de saison.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La conclusion de tout cela, c’est que l’arrivée d’un nouveau joueur, remplaçant un autre ou renforcant l’effectif, n’a d’impact qu’à de rares exceptions : sur 31 arrivées dans un club, 8 se sont révélées positives sur le long terme, soit 25,8 % des cas. À se demander si le jeu en vaut la chandelle…\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],0,\"Ouverture : de gauche à droite Zvezdan Mitrovic (ex-Monaco – photo : Euroleague), Sasa Obradovic (Monaco – \"],[0,[0],1,\"photo : Thomas Savoja\"],[0,[],0,\"), \"],[0,[0],2,\"Adam Mokoka (Nanterre – photo : Thomas Savoja)\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nate Wolters serait-il un contre-exemple ? Lors de l’exercice 2017-18, Chalon-sur-Saône avait commencé sa saison de manière catastrophique (6 victoires pour 13 défaites), par la faute d’un recrutement raté (Adam Smith, Jevohn Shepherd et Raphiael Putney notamment). Puis est arrivé Nate Wolters, qui a totalement changé la face de l’Élan Chalonnais. Avec lui aux manettes, l’équipe de Jean-Denys Choulet a gagné 9 matchs sur 15, éloignant le spectre de la relégation.\"]]],[10,7],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Des joueurs ou coachs ont-ils eu le même impact cette saison ? Nous nous sommes intéressés aux 31 joueurs et 2 coachs arrivés en cours de saison – pour remplacer un joueur ou coach coupé ou en renforcement de l’effectif – en comparant les résultats de l’équipe avant leur arrivée et une fois sur la feuille de match. En modulant évidemment cet apport en fonction du rendement de chaque joueur : un nouveau venu tournant à 2,0 d’évaluation en moins de 10 minutes n’a logiquement qu’un faible impact sur l’évolution du bilan de son équipe. Et il est impossible d’établir une comparaison fiable pour des joueurs ayant tout juste intégré leur nouveau club ou pour d’autres ayant remplacé un joueur n’ayant pratiquement pas joué (la faute à une blessure longue durée le plus souvent).\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"L’impact du changement de coach\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Très souvent, lorsqu’un club est en difficulté au classement ou dans son fond de jeu, la première décision prise par les dirigeants consiste à remplacer le coach. Ils sont seulement deux à avoir connu cette avanie, Serge Crevecoeur au Portel et Zvezdan Mitrovic à Monaco. Deux cas bien différents.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
Nate Wolters serait-il un contre-exemple ? Lors de l’exercice 2017-18, Chalon-sur-Saône avait commencé sa saison de manière catastrophique (6 victoires pour 13 défaites), par la faute d’un recrutement raté (Adam Smith, Jevohn Shepherd et Raphiael Putney notamment). Puis est arrivé Nate Wolters, qui a totalement changé la face de l’Élan Chalonnais. Avec lui aux manettes, l’équipe de Jean-Denys Choulet a gagné 9 matchs sur 15, éloignant le spectre de la relégation.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/nate-wolters-chalon-17-18-elan-chalon.jpg\")
Des joueurs ou coachs ont-ils eu le même impact cette saison ? Nous nous sommes intéressés aux 31 joueurs et 2 coachs arrivés en cours de saison – pour remplacer un joueur ou coach coupé ou en renforcement de l’effectif – en comparant les résultats de l’équipe avant leur arrivée et une fois sur la feuille de match. En modulant évidemment cet apport en fonction du rendement de chaque joueur : un nouveau venu tournant à 2,0 d’évaluation en moins de 10 minutes n’a logiquement qu’un faible impact sur l’évolution du bilan de son équipe. Et il est impossible d’établir une comparaison fiable pour des joueurs ayant tout juste intégré leur nouveau club ou pour d’autres ayant remplacé un joueur n’ayant pratiquement pas joué (la faute à une blessure longue durée le plus souvent).
Très souvent, lorsqu’un club est en difficulté au classement ou dans son fonds de jeu, la première décision prise par les dirigeants consiste à remplacer le coach. Ils sont seulement deux à avoir connu cette avanie, Serge Crevecoeur au Portel et Zvezdan Mitrovic à Monaco. Deux cas bien différents. Au Portel, le coach belge n’a pu faire gagner que 3 des 11 matchs qu’il a dirigé, mettant l’ESSM en position de relégable. Il a donc été remplacé par Éric Girard, le directeur sportif du club et ancien coach. Pour une évolution plutôt positive : sous sa férule, Le Portel a remporté 38,46 % de ses rencontres, contre 27,27 % auparavant. Il y a du mieux, donc, même si les Stellistes ne sont pas encore sauvés de la relégation.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/sasa-obradovic-monaco-thomas-savoja-bercy-accor-arena.jpg\")
À Monaco, les objectifs sont bien différents. Et si l’on se focalise sur la Betclic Élite, on pourrait penser que l’apport de Sasa Obradovic (69,23 % de victoires sur 13 matchs) n’est même pas à la hauteur de celui de Zvezdan Mitrovic (72,73 % de victoires en 11 matchs). Mais, dans le cas de la Roca Team, ce n’est pas tant la saison régulière du championnat de France que l’Euroleague qui occupe les esprits : avec son premier coach, l’équipe présentait dans la compétition européenne un bilan de 5 victoires pour 9 défaites, il est désormais de 12 victoires pour 5 défaites avec le second, un changement considérable.
Si l’on prend en compte les 31 nouveaux joueurs arrivés en cours de saison, on en dénombre 13 qui ont eu un impact positif sur le rendement de leur équipe. Mais cinq d’entre-eux n’ont pas joué suffisamment de matchs (entre 3 et 5) pour que l’on puisse vraiment mesurer leur réel apport, alors que trois de ces nouveaux (Terrell Gomez à Dijon, Ingus Jakovics à Limoges et Vyacheslav Bobrov à Nanterre) n’ont contribué que très modérément aux résultats de leur club, avec des évaluations entre 1,7 et 2,6. De leur côté, OD Anosike (62,5 % de victoires) et TJ Campbell (66,67 %) à Cholet, Khadeen Carrington (76,92 %) ou Dwayne Bacon (85,71 %) à Monaco ont largement contribué à l’amélioration de leur équipe.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/dwyane-bacon-as-monaco-euroleague.jpg\")
Par ailleurs, cinq joueurs ont été coupés mais leurs remplaçants n’ont rien changé aux résultats du club, même s’il est pour le moment impossible de réellement juger l’apport d’Egidijus Mockevicius à Fos et de Junior Mbida à Orléans, où ils n’ont disputé que trois rencontres.
De leur côté, Michael Stockton (un match) à Cholet, Zack Peacock (remplaçant un Nik Caner-Medley qui s’est blessé après un seul match) à Fos et James Gist (remplaçant un Raymar Morgan blessé avant même le début de la saison) à l’Asvel ne peuvent être évalués concrètement.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/michael-stockton-champagne-basket-champagne-basket-teddy-picaude.jpg\")
Restent enfin 10 joueurs dont l’équipe fait moins bien qu’avant leur arrivée. Là encore, cinq d’entre-eux sont arrivés trop récemment (5 matchs maximum) pour que leur apport soit réellement jugé. D’un autre côté, quatre ont contribué aux mauvais résultats de leur équipe avec un rendement des plus médiocres : Dustin Ware (4,3 d’évaluation) à Champagne Basket, Sadio Doucouré (5,3) à Fos, Landing Sane (5,0) à Pau et Loic Schwartz (3,7) à Orléans. À l’inverse, le cas d’un Marcos Knight (11,7 d’éval) à Villeurbanne mérite d’être modulé, le joueur n’étant qu’une pièce d’un large effectif tout de même bien fatigué (tout comme celui de Monaco) par sa participation à l’Euroleague.
Si l’on se concentre sur les joueurs venus remplacer un autre membre de l’effectif (8 pour suppléer un joueur coupé ou parti de lui-même, 8 comme pigiste médical sur le long terme), on ne peut que constater qu’il est assez rare que ces changements aient un impact positif.
Ils ne sont que six dans ce cas et encore faut-il moduler le contexte. Ainsi, si CJ Massinburg (remplaçant médical de Gerry Blakes à Limoges) apporte beaucoup au CSP, de même qu’Adam Mokoka (remplaçant de Patricio Garino, parti après 8 matchs à Nanterre), Kameron Taylor (remplaçant tardif de Jarrell Eddie à Strasbourg) et Khadeen Carrington (remplaçant de Sek Henry coupé après 6 matchs à Dijon), Jordan Howard (remplaçant médical de John Roberson à Strasbourg) et Ray McCallum (remplaçant médical de Brandon Taylor à Gravelines) sont là depuis trop peu de temps (5 et 4 matchs respectivement) pour que l’on considère réellement son impact sur la SIG supérieur à celui de John Roberson.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/kameron-taylor-sig-strasbourg-fiba-europe.jpg\")
À l’opposé, trois autres joueurs ont vu leur équipe baisser de pied depuis leur arrivée, même s’ils n’y sont pas forcément pour grand-chose. Ainsi, Jeremiah Hill (remplaçant médical de Marcquise Reed à Gravelines), Deishuan Booker (remplaçant tardif de D’Mitrick Trice à Fos) et Tadas Pazera (remplaçant de Mehdy Ngouama parti du Portel) n’ont joué que trois matchs. Et si le premier a un rôle majeur dans son équipe (16,3 d’évaluation), et a été époustouflant au top 8 de la Coupe de France à Trélazé, c’est loin d’être le cas des deux autres (respectivement 8,0 et 1,3 d’évaluation).
Entre ces deux extrêmes, cinq joueurs n’ont pas changé grand-chose à la destinée de leur équipe, là encore avec des cas variés. Ainsi, si Orlando Coleman présente le même ratio victoires-défaites que son prédécesseur Myke Henry à Champagne Basket et si Le Mans fait quasiment aussi bien avec Darius Johnson-Odom qu’avec Deishuan Booker (le premier se montrant toutefois plus performant que le second), Junior Mbida (arrivé à Orléans en échange de Jean-Philippe Dally) et Egidijus Mockevicius (remplaçant très tardif d’un Terrell Parks qui n’a disputé que deux rencontres en début de saison) n’ont disputé que trois rencontres sous leurs nouvelles couleurs. Quant à Mouph’ Yarou (qui a pris la place de David Skara au Portel), il n’a pas permis à l’ESSM de faire vraiment mieux malgré un apport nettement plus conséquent (15,8 d’évaluation contre 3,2).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/01/marcos-knight-asvel-etoile-rouge-i9m.jpg\")
Enfin, il reste impossible de juger l’impact d’un James Gist par rapport à Raymar Morgan à l’ASVEL, ce dernier n’ayant pas joué un match à l’heure où ces lignes sont écrites (il a fait son retour au jeu en Euroleague puis en coupe de France). Quant à Zack Peacock à Fos, comme nous l’avons déjà dit, il a remplacé avant de se blesser un Nik Caner-Medley qui n’a disputé qu’une seule rencontre en début de saison.
La conclusion de tout cela, c’est que l’arrivée d’un nouveau joueur, remplaçant un autre ou renforcant l’effectif, n’a d’impact qu’à de rares exceptions : sur 31 arrivées dans un club, 8 se sont révélées positives sur le long terme, soit 25,8 % des cas. À se demander si le jeu en vaut la chandelle…
Ouverture : de gauche à droite Zvezdan Mitrovic (ex-Monaco – photo : Euroleague), Sasa Obradovic (Monaco – photo : Thomas Savoja), Adam Mokoka (Nanterre – photo : Thomas Savoja)
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[armelse]
Nate Wolters serait-il un contre-exemple ? Lors de l’exercice 2017-18, Chalon-sur-Saône avait commencé sa saison de manière catastrophique (6 victoires pour 13 défaites), par la faute d’un recrutement raté (Adam Smith, Jevohn Shepherd et Raphiael Putney notamment). Puis est arrivé Nate Wolters, qui a totalement changé la face de l’Élan Chalonnais. Avec lui aux manettes, l’équipe de Jean-Denys Choulet a gagné 9 matchs sur 15, éloignant le spectre de la relégation.
Des joueurs ou coachs ont-ils eu le même impact cette saison ? Nous nous sommes intéressés aux 31 joueurs et 2 coachs arrivés en cours de saison – pour remplacer un joueur ou coach coupé ou en renforcement de l’effectif – en comparant les résultats de l’équipe avant leur arrivée et une fois sur la feuille de match. En modulant évidemment cet apport en fonction du rendement de chaque joueur : un nouveau venu tournant à 2,0 d’évaluation en moins de 10 minutes n’a logiquement qu’un faible impact sur l’évolution du bilan de son équipe. Et il est impossible d’établir une comparaison fiable pour des joueurs ayant tout juste intégré leur nouveau club ou pour d’autres ayant remplacé un joueur n’ayant pratiquement pas joué (la faute à une blessure longue durée le plus souvent).
Très souvent, lorsqu’un club est en difficulté au classement ou dans son fond de jeu, la première décision prise par les dirigeants consiste à remplacer le coach. Ils sont seulement deux à avoir connu cette avanie, Serge Crevecoeur au Portel et Zvezdan Mitrovic à Monaco. Deux cas bien différents.
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", "comment_id":"594402", "plaintext":"Ils sont 33 (dont deux coachs) qui ne figuraient pas dans l’effectif d’un club de Betclic Élite en début de saison. 18 (dont deux coachs) sont arrivés en remplacement d’un autre élément (dont 8 pour remplacer un blessé longue durée) alors que 15 autres venaient renforcer l’effectif existant. Pour quel rendement ? Ont-ils contribué à changer la face de leur équipe ?\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nNate Wolters serait-il un contre-exemple ? Lors de l’exercice 2017-18, Chalon-sur-Saône avait commencé sa saison de manière catastrophique (6 victoires pour 13 défaites), par la faute d’un recrutement raté (Adam Smith, Jevohn Shepherd et Raphiael Putney notamment). Puis est arrivé Nate Wolters, qui a totalement changé la face de l’Élan Chalonnais. Avec lui aux manettes, l’équipe de Jean-Denys Choulet a gagné 9 matchs sur 15, éloignant le spectre de la relégation.\n\nDes joueurs ou coachs ont-ils eu le même impact cette saison ? Nous nous sommes intéressés aux 31 joueurs et 2 coachs arrivés en cours de saison – pour remplacer un joueur ou coach coupé ou en renforcement de l’effectif – en comparant les résultats de l’équipe avant leur arrivée et une fois sur la feuille de match. En modulant évidemment cet apport en fonction du rendement de chaque joueur : un nouveau venu tournant à 2,0 d’évaluation en moins de 10 minutes n’a logiquement qu’un faible impact sur l’évolution du bilan de son équipe. Et il est impossible d’établir une comparaison fiable pour des joueurs ayant tout juste intégré leur nouveau club ou pour d’autres ayant remplacé un joueur n’ayant pratiquement pas joué (la faute à une blessure longue durée le plus souvent).\n\n\nL’impact du changement de coach\n\nTrès souvent, lorsqu’un club est en difficulté au classement ou dans son fonds de jeu, la première décision prise par les dirigeants consiste à remplacer le coach. Ils sont seulement deux à avoir connu cette avanie, Serge Crevecoeur au Portel et Zvezdan Mitrovic à Monaco. Deux cas bien différents. Au Portel, le coach belge n’a pu faire gagner que 3 des 11 matchs qu’il a dirigé, mettant l’ESSM en position de relégable. Il a donc été remplacé par Éric Girard, le directeur sportif du club et ancien coach. Pour une évolution plutôt positive : sous sa férule, Le Portel a remporté 38,46 % de ses rencontres, contre 27,27 % auparavant. Il y a du mieux, donc, même si les Stellistes ne sont pas encore sauvés de la relégation.\n\nÀ Monaco, les objectifs sont bien différents. Et si l’on se focalise sur la Betclic Élite, on pourrait penser que l’apport de Sasa Obradovic (69,23 % de victoires sur 13 matchs) n’est même pas à la hauteur de celui de Zvezdan Mitrovic (72,73 % de victoires en 11 matchs). Mais, dans le cas de la Roca Team, ce n’est pas tant la saison régulière du championnat de France que l’Euroleague qui occupe les esprits : avec son premier coach, l’équipe présentait dans la compétition européenne un bilan de 5 victoires pour 9 défaites, il est désormais de 12 victoires pour 5 défaites avec le second, un changement considérable.\n\n\nQu’apportent réellement les nouveaux arrivants ?\n\nSi l’on prend en compte les 31 nouveaux joueurs arrivés en cours de saison, on en dénombre 13 qui ont eu un impact positif sur le rendement de leur équipe. Mais cinq d’entre-eux n’ont pas joué suffisamment de matchs (entre 3 et 5) pour que l’on puisse vraiment mesurer leur réel apport, alors que trois de ces nouveaux (Terrell Gomez à Dijon, Ingus Jakovics à Limoges et Vyacheslav Bobrov à Nanterre) n’ont contribué que très modérément aux résultats de leur club, avec des évaluations entre 1,7 et 2,6. De leur côté, OD Anosike (62,5 % de victoires) et TJ Campbell (66,67 %) à Cholet, Khadeen Carrington (76,92 %) ou Dwayne Bacon (85,71 %) à Monaco ont largement contribué à l’amélioration de leur équipe.\n\nPar ailleurs, cinq joueurs ont été coupés mais leurs remplaçants n’ont rien changé aux résultats du club, même s’il est pour le moment impossible de réellement juger l’apport d’Egidijus Mockevicius à Fos et de Junior Mbida à Orléans, où ils n’ont disputé que trois rencontres.\n\nDe leur côté, Michael Stockton (un match) à Cholet, Zack Peacock (remplaçant un Nik Caner-Medley qui s’est blessé après un seul match) à Fos et James Gist (remplaçant un Raymar Morgan blessé avant même le début de la saison) à l’Asvel ne peuvent être évalués concrètement.\n\nRestent enfin 10 joueurs dont l’équipe fait moins bien qu’avant leur arrivée. Là encore, cinq d’entre-eux sont arrivés trop récemment (5 matchs maximum) pour que leur apport soit réellement jugé. D’un autre côté, quatre ont contribué aux mauvais résultats de leur équipe avec un rendement des plus médiocres : Dustin Ware (4,3 d’évaluation) à Champagne Basket, Sadio Doucouré (5,3) à Fos, Landing Sane (5,0) à Pau et Loic Schwartz (3,7) à Orléans. À l’inverse, le cas d’un Marcos Knight (11,7 d’éval) à Villeurbanne mérite d’être modulé, le joueur n’étant qu’une pièce d’un large effectif tout de même bien fatigué (tout comme celui de Monaco) par sa participation à l’Euroleague.\n\n\nDes changements de joueur sans réel impact\n\nSi l’on se concentre sur les joueurs venus remplacer un autre membre de l’effectif (8 pour suppléer un joueur coupé ou parti de lui-même, 8 comme pigiste médical sur le long terme), on ne peut que constater qu’il est assez rare que ces changements aient un impact positif.\n\nIls ne sont que six dans ce cas et encore faut-il moduler le contexte. Ainsi, si CJ Massinburg (remplaçant médical de Gerry Blakes à Limoges) apporte beaucoup au CSP, de même qu’Adam Mokoka (remplaçant de Patricio Garino, parti après 8 matchs à Nanterre), Kameron Taylor (remplaçant tardif de Jarrell Eddie à Strasbourg) et Khadeen Carrington (remplaçant de Sek Henry coupé après 6 matchs à Dijon), Jordan Howard (remplaçant médical de John Roberson à Strasbourg) et Ray McCallum (remplaçant médical de Brandon Taylor à Gravelines) sont là depuis trop peu de temps (5 et 4 matchs respectivement) pour que l’on considère réellement son impact sur la SIG supérieur à celui de John Roberson.\n\nÀ l’opposé, trois autres joueurs ont vu leur équipe baisser de pied depuis leur arrivée, même s’ils n’y sont pas forcément pour grand-chose. Ainsi, Jeremiah Hill (remplaçant médical de Marcquise Reed à Gravelines), Deishuan Booker (remplaçant tardif de D’Mitrick Trice à Fos) et Tadas Pazera (remplaçant de Mehdy Ngouama parti du Portel) n’ont joué que trois matchs. Et si le premier a un rôle majeur dans son équipe (16,3 d’évaluation), et a été époustouflant au top 8 de la Coupe de France à Trélazé, c’est loin d’être le cas des deux autres (respectivement 8,0 et 1,3 d’évaluation).\n\nEntre ces deux extrêmes, cinq joueurs n’ont pas changé grand-chose à la destinée de leur équipe, là encore avec des cas variés. Ainsi, si Orlando Coleman présente le même ratio victoires-défaites que son prédécesseur Myke Henry à Champagne Basket et si Le Mans fait quasiment aussi bien avec Darius Johnson-Odom qu’avec Deishuan Booker (le premier se montrant toutefois plus performant que le second), Junior Mbida (arrivé à Orléans en échange de Jean-Philippe Dally) et Egidijus Mockevicius (remplaçant très tardif d’un Terrell Parks qui n’a disputé que deux rencontres en début de saison) n’ont disputé que trois rencontres sous leurs nouvelles couleurs. Quant à Mouph’ Yarou (qui a pris la place de David Skara au Portel), il n’a pas permis à l’ESSM de faire vraiment mieux malgré un apport nettement plus conséquent (15,8 d’évaluation contre 3,2).\n\nEnfin, il reste impossible de juger l’impact d’un James Gist par rapport à Raymar Morgan à l’ASVEL, ce dernier n’ayant pas joué un match à l’heure où ces lignes sont écrites (il a fait son retour au jeu en Euroleague puis en coupe de France). Quant à Zack Peacock à Fos, comme nous l’avons déjà dit, il a remplacé avant de se blesser un Nik Caner-Medley qui n’a disputé qu’une seule rencontre en début de saison.\n\nLa conclusion de tout cela, c’est que l’arrivée d’un nouveau joueur, remplaçant un autre ou renforcant l’effectif, n’a d’impact qu’à de rares exceptions : sur 31 arrivées dans un club, 8 se sont révélées positives sur le long terme, soit 25,8 % des cas. À se demander si le jeu en vaut la chandelle…\n\nOuverture : de gauche à droite Zvezdan Mitrovic (ex-Monaco – photo : Euroleague), Sasa Obradovic (Monaco – photo : Thomas Savoja), Adam Mokoka (Nanterre – photo : Thomas Savoja)\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nNate Wolters serait-il un contre-exemple ? Lors de l’exercice 2017-18, Chalon-sur-Saône avait commencé sa saison de manière catastrophique (6 victoires pour 13 défaites), par la faute d’un recrutement raté (Adam Smith, Jevohn Shepherd et Raphiael Putney notamment). Puis est arrivé Nate Wolters, qui a totalement changé la face de l’Élan Chalonnais. Avec lui aux manettes, l’équipe de Jean-Denys Choulet a gagné 9 matchs sur 15, éloignant le spectre de la relégation.\n\nDes joueurs ou coachs ont-ils eu le même impact cette saison ? Nous nous sommes intéressés aux 31 joueurs et 2 coachs arrivés en cours de saison – pour remplacer un joueur ou coach coupé ou en renforcement de l’effectif – en comparant les résultats de l’équipe avant leur arrivée et une fois sur la feuille de match. En modulant évidemment cet apport en fonction du rendement de chaque joueur : un nouveau venu tournant à 2,0 d’évaluation en moins de 10 minutes n’a logiquement qu’un faible impact sur l’évolution du bilan de son équipe. Et il est impossible d’établir une comparaison fiable pour des joueurs ayant tout juste intégré leur nouveau club ou pour d’autres ayant remplacé un joueur n’ayant pratiquement pas joué (la faute à une blessure longue durée le plus souvent).\n\n\nL’impact du changement de coach\n\nTrès souvent, lorsqu’un club est en difficulté au classement ou dans son fond de jeu, la première décision prise par les dirigeants consiste à remplacer le coach. 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« Ça fait dix ans qu’on joue au Kindarena, notre siège social est là, nos bureaux également, insiste-t-il. On y a aussi intégré notre centre de formation depuis cette saison. Il faudrait vraiment un changement d’orientation au niveau de la Métropole pour que nous partions. Mais, pour l’instant, nous n’avons jamais évoqué le sujet. Aujourd’hui, on est club résident. »
Il n’empêche que le basket à Rouen… C’est un sacré gâchis !
Photo : RMB
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Pour poursuivre l’aventure dans le top 8, il est nécessaire de bien appréhender les deux derniers rendez-vous de la saison, à commencer par ce déplacement en terre italienne, face à Milan. Le club lombard (18 victoires pour 8 défaites), est déjà qualifié pour la suite de la compétition. Les hommes du légendaire coach Ettore Messina, vainqueur de l’Euroleague à 4 reprises et avec 2 clubs différents, ont battu avant-hier le Munich (84-77).
Au match aller à Gaston-Médecin, la Roca Team s’était inclinée 65-71 malgré une belle remontée en fin de match. L’expérimenté meneur espagnol Sergio Rodriguez et le pivot américain Kyle Hines avaient été les deux principaux artisans de la victoire italienne en Principauté. Ils seront à surveiller de près demain soir au même titre que l’ailier-fort italien Nicolo Melli (8,2 points et 6,4 rebonds de moyenne par match cette saison) ainsi que l’ailier danois Shavon Shields (12,3 points et 2,9 passes décisives). De son côté, l’AS Monaco pourra s’appuyer sur son arme numéro 1, Mike James (16,4 points et 5,7 passes décisives), lui qui a porté le maillot du club milanais lors de la saison 2018-2019.
« Les deux matches qui restent sont comme deux finales. Est-ce que nous aurons besoin de deux victoires ou d’une seule pour accéder aux playoffs ? Je n’en sais rien. Il y a tellement de calculs. Nous avons de grandes chances de nous qualifier. Quoiqu’il arrive, nous ne pourrons pas choisir notre adversaire en playoffs. Il est plus judicieux de rester concentrer et donner le maximum », déclare Sasa Obradovic.
Photo : Yakuba Ouattara (Thomas Savoja)
", "comment_id":"594711", "plaintext":"Après trois victoires de rang à domicile, la Roca Team, qui entre dans le money time de sa saison européenne, se déplace ce jeudi en Italie pour y défier Armani Milan, pour le compte de l’avant-dernier match de saison régulière.\n\nLa Roca Team y est presque . Actuellement 7e au classement avec un bilan à l’équilibre – 13 victoires pour autant de défaites – le club de la Principauté entrevoit les playoffs dès sa première participation dans la plus prestigieuse des compétitions européennes. Les hommes de Sasa Obradovic, qui terminent la saison régulière en boulet de canon avec 7 victoires sur les 9 derniers matches, ont leur destin entre leurs mains.\n\nPour poursuivre l’aventure dans le top 8, il est nécessaire de bien appréhender les deux derniers rendez-vous de la saison, à commencer par ce déplacement en terre italienne, face à Milan. Le club lombard (18 victoires pour 8 défaites), est déjà qualifié pour la suite de la compétition. Les hommes du légendaire coach Ettore Messina, vainqueur de l’Euroleague à 4 reprises et avec 2 clubs différents, ont battu avant-hier le Munich (84-77).\n\nAu match aller à Gaston-Médecin, la Roca Team s’était inclinée 65-71 malgré une belle remontée en fin de match. L’expérimenté meneur espagnol Sergio Rodriguez et le pivot américain Kyle Hines avaient été les deux principaux artisans de la victoire italienne en Principauté. Ils seront à surveiller de près demain soir au même titre que l’ailier-fort italien Nicolo Melli (8,2 points et 6,4 rebonds de moyenne par match cette saison) ainsi que l’ailier danois Shavon Shields (12,3 points et 2,9 passes décisives). De son côté, l’AS Monaco pourra s’appuyer sur son arme numéro 1, Mike James (16,4 points et 5,7 passes décisives), lui qui a porté le maillot du club milanais lors de la saison 2018-2019.\n\n« Les deux matches qui restent sont comme deux finales. Est-ce que nous aurons besoin de deux victoires ou d’une seule pour accéder aux playoffs ? Je n’en sais rien. Il y a tellement de calculs. Nous avons de grandes chances de nous qualifier. Quoiqu’il arrive, nous ne pourrons pas choisir notre adversaire en playoffs. Il est plus judicieux de rester concentrer et donner le maximum », déclare Sasa Obradovic.\n\n\n🧠 La #RocaTeam pleinement concentrée sur le match 🆚 @OlimpiaMI1936 avec l’idée de poursuivre la bonne dynamique en @EuroLeague 🏀\n🎙 @Westermann_Leo & @YakubaOuattara pic.twitter.com/69hoPLj8bA\n\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) March 30, 2022\n\n\nPhoto : Yakuba Ouattara (Thomas Savoja)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/yakuba-ouattara-2-paris-monaco-thomas-savoja.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-31T05:09:00.000Z", "updated_at":"2022-03-31T19:21:58.000Z", "published_at":"2022-03-31T05:09:00.000Z", "custom_excerpt":"Après trois victoires de rang à domicile, la Roca Team, qui entre dans le money time de sa saison européenne, se déplace ce jeudi en Italie pour y défier Armani Milan, pour le compte de l’avant-dernier match de saison régulière.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99437", "uuid":"0885409b-6ac8-47fc-bc6d-9114ee509853", "title":"Photos : Voici à quoi ressemblera le nouveau Sportica de Gravelines", "slug":"photos-voici-a-quoi-ressemblera-le-nouveau-sportica-de-gravelines", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/sportica-2.jpg\",\"width\":483,\"height\":500}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/sportica-4.jpg\",\"width\":500,\"height\":355}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/sportica.jpg\",\"width\":500,\"height\":167}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La salle Roger-Lemaire, au sein de Sportica, lieu de résidence du BCM Gravellines-Dunkerque, sera en travaux de 2023 à 2025 afin notamment de faire passer sa capacité de 3 200 à 4 000 places. Un lifting nécessaire pour une salle qui date de 1986. La mairie a publié ces photos fin que l’on ait une idée du futur équipement.\"]]],[10,0],[10,1],[10,2]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/sportica-2.jpg\")
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Un groupe restreint de 20 joueurs éligibles ont été désignés par un panel européen composé de médias, d’influenceurs et de célébrités. Le vote de ce panel comptera pour moitié, et l’autre moitié est entre les mains des fans.
Trois Français figurent parmis les candidats : Boris Diaw, Rudy Gobert et Tony Parker.
Pour voter, c’est ici : NBA.com/Eurovote
", "comment_id":"594729", "plaintext":"Pour sa 75e saison, la NBA organise un vote pour désigner les deux meilleurs cinq européens de son histoire.\n\nUn groupe restreint de 20 joueurs éligibles ont été désignés par un panel européen composé de médias, d’influenceurs et de célébrités. Le vote de ce panel comptera pour moitié, et l’autre moitié est entre les mains des fans.\n\nTrois Français figurent parmis les candidats : Boris Diaw, Rudy Gobert et Tony Parker.\n\nPour voter, c’est ici : NBA.com/Eurovote", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/nba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-31T04:41:00.000Z", "updated_at":"2022-03-30T16:43:21.000Z", "published_at":"2022-03-31T04:41:00.000Z", "custom_excerpt":"Pour sa 75e saison, la NBA organise un vote pour désigner les deux meilleurs cinq européens de son histoire.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99439", "uuid":"3aabf505-88ec-46df-937d-de97166cd5c1", "title":"Sans club depuis plusieurs mois, Jonas Jerebko s’engage avec le CSKA Moscou", "slug":"sans-club-depuis-plusieurs-mois-jonas-jerebko-sengage-avec-le-cska-moscou", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://t.co/014WkR5SPY\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/lancien-villeurbannais-casper-ware-va-jouer-pour-le-cska-moscou/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/le-cska-moscou-envisage-la-possibilite-de-se-retirer-de-leuroleague/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"À 35 ans et après plusieurs mois d’inactivité, Jonas Jerebko va reprendre du service. Le Suédois rejoint le CSKA Moscou jusqu’à la fin de la saison.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le \"],[0,[0],1,\"CSKA Moscou\"],[0,[],0,\" a engagé un nouveau joueur jusqu’au terme de la saison, en la personne de Jonas Jerebko (2,08 m, 35 ans). L’intérieur suédois, qui n’a plus joué depuis l’été 2021, restait sur deux saisons sous les couleurs du Khimki Moscou. À 35 ans et avec toute l’expérience accumulée par le passé, lui qui a notamment évolué en NBA, il s’est montré désireux et impatient de prouver qu’il avait encore les capacités de jouer au plus haut niveau. Pour se faire, Jonas Jerebko va rapidement devoir s’intégrer dans un effectif remanié à la suite des départs de nombreux joueurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour rappel, à la suite de l’invasion militaire de l’Ukraine par la Russie, les dirigeants de l’Euroleague ont décidé d’exclure les clubs russes de la compétition et de nombreux joueurs sont partis. Mais l\"],[0,[1],1,\"e club moscovite\"],[0,[],0,\" évolue toujours en VTB League, le championnat local, où il fait la course en tête avec 15 victoires et 3 défaites.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Nous voulions signer un joueur expérimenté sur le poste 4. Il est évident que le marché n’offre pas plusieurs options à l’heure actuelle. Jonas voulait vraiment jouer pour nous et avoir une nouvelle chance à un haut niveau. Pour la petite histoire, je l’ai coaché quand il a joué sa première Summer League à Las Vegas avec les Pistons de Detroit. Shved le connaît également bien pour l’avoir côtoyé avec le Khimki. Nous devrons le mettre rapidement dans le bain et lui faire apprendre nos systèmes. »\"],[0,[2],1,\"Dimitris Itoudis, entraîneur du CSKA Moscou, via un communiqué du club\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[3],1,\"Photo : Jonas Jerebko (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le CSKA Moscou a engagé un nouveau joueur jusqu’au terme de la saison, en la personne de Jonas Jerebko (2,08 m, 35 ans). L’intérieur suédois, qui n’a plus joué depuis l’été 2021, restait sur deux saisons sous les couleurs du Khimki Moscou. À 35 ans et avec toute l’expérience accumulée par le passé, lui qui a notamment évolué en NBA, il s’est montré désireux et impatient de prouver qu’il avait encore les capacités de jouer au plus haut niveau. Pour se faire, Jonas Jerebko va rapidement devoir s’intégrer dans un effectif remanié à la suite des départs de nombreux joueurs.
Pour rappel, à la suite de l’invasion militaire de l’Ukraine par la Russie, les dirigeants de l’Euroleague ont décidé d’exclure les clubs russes de la compétition et de nombreux joueurs sont partis. Mais le club moscovite évolue toujours en VTB League, le championnat local, où il fait la course en tête avec 15 victoires et 3 défaites.
« Nous voulions signer un joueur expérimenté sur le poste 4. Il est évident que le marché n’offre pas plusieurs options à l’heure actuelle. Jonas voulait vraiment jouer pour nous et avoir une nouvelle chance à un haut niveau. Pour la petite histoire, je l’ai coaché quand il a joué sa première Summer League à Las Vegas avec les Pistons de Detroit. Shved le connaît également bien pour l’avoir côtoyé avec le Khimki. Nous devrons le mettre rapidement dans le bain et lui faire apprendre nos systèmes. »Dimitris Itoudis, entraîneur du CSKA Moscou, via un communiqué du club
Photo : Jonas Jerebko (FIBA)
", "comment_id":"594703", "plaintext":"À 35 ans et après plusieurs mois d’inactivité, Jonas Jerebko va reprendre du service. Le Suédois rejoint le CSKA Moscou jusqu’à la fin de la saison.\n\nLe CSKA Moscou a engagé un nouveau joueur jusqu’au terme de la saison, en la personne de Jonas Jerebko (2,08 m, 35 ans). L’intérieur suédois, qui n’a plus joué depuis l’été 2021, restait sur deux saisons sous les couleurs du Khimki Moscou. À 35 ans et avec toute l’expérience accumulée par le passé, lui qui a notamment évolué en NBA, il s’est montré désireux et impatient de prouver qu’il avait encore les capacités de jouer au plus haut niveau. Pour se faire, Jonas Jerebko va rapidement devoir s’intégrer dans un effectif remanié à la suite des départs de nombreux joueurs.\n\nPour rappel, à la suite de l’invasion militaire de l’Ukraine par la Russie, les dirigeants de l’Euroleague ont décidé d’exclure les clubs russes de la compétition et de nombreux joueurs sont partis. Mais le club moscovite évolue toujours en VTB League, le championnat local, où il fait la course en tête avec 15 victoires et 3 défaites.\n\n« Nous voulions signer un joueur expérimenté sur le poste 4. Il est évident que le marché n’offre pas plusieurs options à l’heure actuelle. Jonas voulait vraiment jouer pour nous et avoir une nouvelle chance à un haut niveau. Pour la petite histoire, je l’ai coaché quand il a joué sa première Summer League à Las Vegas avec les Pistons de Detroit. Shved le connaît également bien pour l’avoir côtoyé avec le Khimki. Nous devrons le mettre rapidement dans le bain et lui faire apprendre nos systèmes. »Dimitris Itoudis, entraîneur du CSKA Moscou, via un communiqué du club\n\n\n⚡️ Йонас Йеребко – игрок ЦСКА! ⚡️\n\nТяжелый форвард подписал контракт с нашей командой до конца сезона 📄\n\nРоссийским болельщикам Йеребко известен по выступлениям за «Химки» с 2019 по 2021 годы.\n\nДобро пожаловать, Йонас! 🔴🔵 pic.twitter.com/014WkR5SPY\n\n— CSKA Moscow (@cskabasket) March 30, 2022\n\n\nPhoto : Jonas Jerebko (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/capture-decran-2022-03-30-a-17.40.23.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-31T04:30:00.000Z", "updated_at":"2022-03-30T15:43:38.000Z", "published_at":"2022-03-31T04:30:00.000Z", "custom_excerpt":"À 35 ans et après plusieurs mois d’inactivité, Jonas Jerebko va reprendre du service. Le Suédois rejoint le CSKA Moscou jusqu’à la fin de la saison.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d9943a", "uuid":"9fc0363f-ceef-48ae-b01f-7761b95e0f4b", "title":"Cholet : vers un départ d’OD Anosike ? Laurent Vila confirme des contacts", "slug":"cholet-vers-un-depart-dod-anosike-laurent-vila-confirme-quil-a-ete-contacte", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/cholet-enchaine-face-a-gravelines-dunkerque-et-clame-ses-ambitions-de-playoffs/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Alors qu’il n’a pas été retenu par Laurent Vila pour jouer les deux derniers matchs de Cholet, OD Anosike se rapprocherait inévitablement d’un départ.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les deux dernières victoires de \"],[0,[0],1,\"Cholet\"],[0,[],0,\", contre le Limoges CSP et le BCM Gravelines-Dunkerque, OD Anosike (2,03 m, 30 ans) n’y a pas pris part. Et pour cause, l’intérieur americano-nigérian serait sur le départ. Selon les informations de \"],[0,[1],1,\"Ouest France\"],[0,[],0,\", il serait même pressenti du côté de l’Uruguay. Après le succès de son équipe face au BCM, ce mardi soir, Laurent Vila a confirmé qu’OD Anosike avait été contacté par un autre club.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Il n’y a pas de fumée sans feu, comme vous l’avez lu. Il y a une situation particulière car il a été contacté. On est en train de résoudre tout ça. Sera-t-il là contre Strasbourg ? Je pense que oui. »Laurent Vila, entraîneur de Cholet\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En 7 matchs disputés sous le maillot choletais depuis son arrivée, OD Anosike tourne à 9,1 points et 7,3 rebonds pour 13,3 d’évaluation de moyenne. Un apport qui, au delà des statistiques, semblait pourtant avoir conquis le club. Affaire à suivre…\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Les deux dernières victoires de Cholet, contre le Limoges CSP et le BCM Gravelines-Dunkerque, OD Anosike (2,03 m, 30 ans) n’y a pas pris part. Et pour cause, l’intérieur americano-nigérian serait sur le départ. Selon les informations de Ouest France, il serait même pressenti du côté de l’Uruguay. Après le succès de son équipe face au BCM, ce mardi soir, Laurent Vila a confirmé qu’OD Anosike avait été contacté par un autre club.
« Il n’y a pas de fumée sans feu, comme vous l’avez lu. Il y a une situation particulière car il a été contacté. On est en train de résoudre tout ça. Sera-t-il là contre Strasbourg ? Je pense que oui. »Laurent Vila, entraîneur de Cholet
En 7 matchs disputés sous le maillot choletais depuis son arrivée, OD Anosike tourne à 9,1 points et 7,3 rebonds pour 13,3 d’évaluation de moyenne. Un apport qui, au delà des statistiques, semblait pourtant avoir conquis le club. Affaire à suivre…
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/11/banniere-c82-lnb-1000x275-1-min.jpg\")
Depuis la mi-février, Endy Miyem est contrainte de rester éloignée des parquets. La faute à une blessure à la cheville qui l’handicape et qui va lui faire rater encore plusieurs semaines de compétition. C’est en tout cas ce qu’a annoncé Bourges, qui a dans le même temps officialisé l’arrivée de Djéné Diawara. L’intérieure franco-malienne de 34 ans, qui arrive en provenance de Villeneuve d’Ascq (où elle tournait à 8,2 points et 5,9 rebonds pour 11,2 d’évaluation de moyenne lors de la saison 2020-2021), pourra prendre part aux matchs de LFB mais elle ne pourra pas participer au Final Four de l’Eurocup féminine.
« Djéné Diawara est une joueuse de devoir, qui a le sens du rebond et d’excellentes mains. Sa belle expérience du Championnat de France et sa connaissance du jeu font que je sais qu’elle s’intègrera parfaitement dans l’effectif actuel pour cette fin de saison qui va nécessiter des rotations supplémentaires. »Olivier Lafargue, entraîneur de Bourges
Énorme choc en perspective, entre Pau-Lacq-Orthez et Le Mans, ce mercredi soir. Si on regarde le classement de Betclic Élite, les deux équipes sont respectivement cinquième (avec 15 victoires et 9 défaites) et quatrième (avec 14 victoires et 9 défaites). À y regarder de plus près, le MSB doit depuis quelques journées déjà, manoeuvrer avec un effectif réduit pour cause de blessures et d’absences à répétition (Kaza Kajami-Keane, Terry Tarpey et Scott Bamforth seront à nouveau absents), tandis que l’Élan Béarnais sort d’un week-end de Coupe de France à très haute intensité (avec deux matchs en deux jours pour se qualifier pour la finale) et n’est pas sûr de pouvoir compter sur Brandon Jefferson, endeuillé par le décès de son grand-père.
Pour autant, selon Elric Delord, l’effectif de l’EBPLO reste plus fourni que celui qu’il a à disposition – et avec lequel il a tout de même réussi à empocher quelques victoires. C’est en tout cas ce qu’il a laissé entendre dans des propos rapportés par Ouest-France.
« Pour moi, Pau est une équipe du top 4 de notre championnat. Des investisseurs américains ont repris le club et comptent investir, d’ailleurs Pau fait déjà partie des plus gros budgets en France. Le danger vient de partout et ils ont des rotations importantes. On ne peut pas se concentrer sur un ou deux joueurs, car c’est le meilleur moyen de se prendre la marée. C’est un groupe armé, digne d’un effectif de Coupe d’Europe. On les prend en plus au mauvais moment, lorsqu’ils sont au complet alors que nous non. Mais, on n’aura rien à perdre qui plus est chez eux, et, on a montré que malgré la série de blessures, on pouvait encore prendre des matchs. »Elric Delord, entraîneur du Mans
Présent en conférence de presse, Eric Bartecheky s’est également exprimé. L’entraîneur de l’Élan Béarnais a notamment évoqué l’enchaînement des matchs et le choc face au Mans, une équipe dont il se méfie aussi.
« On n’a pas vraiment le temps de se remettre de notre week-end. On enchaîne un troisième match, sans avoir vraiment pu se reposer ni s’entraîner. Ce n’est pas facile de savoir où en est le groupe au niveau physique. Parce qu’au niveau mental, le groupe est positif, après la qualification. Après, tous les matchs sont importants et on veut tous les gagner. Il reste encore 11 matchs, tout peut se jouer encore. On sait juste qu’on va affronter une équipe dure à jouer, qui a du répondant, du talent, du physique… Ce match face au Mans va permettre de savoir où on en est face à une équipe aussi physique, si on sera en mesure de faire face et de prendre le dessus ou non. »Eric Bartecheky, entraîneur de l’Élan Béarnais
Pour rappel, au match aller, c’est l’EBPLO qui s’était imposé, après prolongation, sur le parquet du Mans (100 à 106). Le coup d’envoi du match retour sera donné ce mercredi soir, à 20 heures. Une rencontre à suivre sur beIN Sports.
Photo : LNB
", "comment_id":"594691", "plaintext":"Suite de la 25ème journée de Betclic Elite, l’Élan Béarnais reçoit Le Mans. Elric Delord se méfie de l’effectif adverse. La forme physique de ce dernier inquiète Eric Bartecheky.\n\nÉnorme choc en perspective, entre Pau-Lacq-Orthez et Le Mans, ce mercredi soir. Si on regarde le classement de Betclic Élite, les deux équipes sont respectivement cinquième (avec 15 victoires et 9 défaites) et quatrième (avec 14 victoires et 9 défaites). À y regarder de plus près, le MSB doit depuis quelques journées déjà, manoeuvrer avec un effectif réduit pour cause de blessures et d’absences à répétition (Kaza Kajami-Keane, Terry Tarpey et Scott Bamforth seront à nouveau absents), tandis que l’Élan Béarnais sort d’un week-end de Coupe de France à très haute intensité (avec deux matchs en deux jours pour se qualifier pour la finale) et n’est pas sûr de pouvoir compter sur Brandon Jefferson, endeuillé par le décès de son grand-père.\n\nPour autant, selon Elric Delord, l’effectif de l’EBPLO reste plus fourni que celui qu’il a à disposition – et avec lequel il a tout de même réussi à empocher quelques victoires. C’est en tout cas ce qu’il a laissé entendre dans des propos rapportés par Ouest-France.\n\n« Pour moi, Pau est une équipe du top 4 de notre championnat. Des investisseurs américains ont repris le club et comptent investir, d’ailleurs Pau fait déjà partie des plus gros budgets en France. Le danger vient de partout et ils ont des rotations importantes. On ne peut pas se concentrer sur un ou deux joueurs, car c’est le meilleur moyen de se prendre la marée. C’est un groupe armé, digne d’un effectif de Coupe d’Europe. On les prend en plus au mauvais moment, lorsqu’ils sont au complet alors que nous non. Mais, on n’aura rien à perdre qui plus est chez eux, et, on a montré que malgré la série de blessures, on pouvait encore prendre des matchs. »Elric Delord, entraîneur du Mans\n\nPrésent en conférence de presse, Eric Bartecheky s’est également exprimé. L’entraîneur de l’Élan Béarnais a notamment évoqué l’enchaînement des matchs et le choc face au Mans, une équipe dont il se méfie aussi.\n\n« On n’a pas vraiment le temps de se remettre de notre week-end. On enchaîne un troisième match, sans avoir vraiment pu se reposer ni s’entraîner. Ce n’est pas facile de savoir où en est le groupe au niveau physique. Parce qu’au niveau mental, le groupe est positif, après la qualification. Après, tous les matchs sont importants et on veut tous les gagner. Il reste encore 11 matchs, tout peut se jouer encore. On sait juste qu’on va affronter une équipe dure à jouer, qui a du répondant, du talent, du physique… Ce match face au Mans va permettre de savoir où on en est face à une équipe aussi physique, si on sera en mesure de faire face et de prendre le dessus ou non. »Eric Bartecheky, entraîneur de l’Élan Béarnais\n\nPour rappel, au match aller, c’est l’EBPLO qui s’était imposé, après prolongation, sur le parquet du Mans (100 à 106). Le coup d’envoi du match retour sera donné ce mercredi soir, à 20 heures. Une rencontre à suivre sur beIN Sports.\n\n\n⚔️🍿 Choc du haut de tableau ce soir sur @beinsports_FR !\n\nPau-Lacq-Orthez (5ème) reçoit Le Mans (4ème), coup d'envoi à 20h 🔥#BetclicELITE #LNBextra pic.twitter.com/OrNnboM0Uj\n\n— LNB (@LNBofficiel) March 30, 2022\n\n\nPhoto : LNB", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/capture-decran-2022-03-30-a-17.03.14.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-30T16:30:00.000Z", "updated_at":"2022-03-30T15:08:15.000Z", "published_at":"2022-03-30T16:30:00.000Z", "custom_excerpt":"Suite de la 25ème journée de Betclic Elite, l’Élan Béarnais reçoit Le Mans. Elric Delord se méfie de l’effectif adverse. 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Lassi Tuovi, coach de la SIG Strasbourg, et Léopold Cavalière (l’un des meilleurs strasbourgeois de la rencontre avec 16 points et 13 rebonds pour 23 d’évaluation), ont livré leurs impressions au terme de la rencontre, dans des propos rapportés par le site officiel du club.
« Il nous fallait encore un stop après le temps mort pour avoir la balle et finir le match, et on n’a pas pu le faire puisque Paris a enchaîné un 0-13 sur les deux dernières minutes. Parfois, le basket ball est superbe comme on l’a vu les deux derniers jours et ce soir on a vu l’autre côté du basket.Oui on a 28 fautes et eux 15… Ce sont des chiffres importants, suffisamment parlants. On est habitué à jouer des matchs très physiques. Si tu n’es pas totalement concentré, tu as quelques secondes de retard et quand tu te fais stopper, on te siffle une faute. C’est la même chose quand tu essayes de prendre des rebonds et que tu prends des coups. C’était dur pour nous, mais quand tu as 8 points d’avance à domicile à 2 minutes de la fin, personne ne doit te prendre le match et encore moins perdre. Soyons honnêtes ! Quand tu as 27 rebonds offensifs 82 tirs sur un match, tu ne peux pas dire qu’ils n’ont pas essayé ! C’est un match dur, donc maintenant il faut vraiment qu’on récupère. On va analyser le match et se préparer au match à Cholet de ce week-end. Cholet gagne tous leurs matchs en ce moment et se rapproche du Top 8, donc il ne faut pas passer à côté de ce match. »Lassi Tuovi, entraîneur de Strasbourg
« Beaucoup, beaucoup de frustration. C’est un match qui ne fait pas forcément du bien quand tu le prends, mais qui fait très mal quand tu ne le prends pas. Et ce soir, ça fait très mal. Je pense qu’on aurait dû tuer le match en première mi-temps. On ne doit pas leur laisser l’occasion d’espérer. Et ce soir, on ne l’a pas fait. C’est dommage, parce que laisser espérer cette équipe qui a un jeu un peu brouillon et du talent, leur a permis de mettre des tirs un peu fous à la fin et c’est à ce moment que la confiance grimpe. J’avais l’impression que l’énergie était là, mais il n’y avait peut-être pas assez de concentration. Pourtant, le coach avait insisté là-dessus. Il nous avait dit : « Les gars avec nos résultats du week-end, le Rhenus poussera, l’énergie sera là » et c’est ce qu’il s’est passé. Pour autant, ,on n’a pas su rester concentré et on a fait ce match de trainard qu’avait fait Nanterre avant nous et qu’on voulait impérativement éviter.
Est-ce que je considère que l’arbitrage a pesé dans cette fin de match ? Oui. Est-ce que c’était juste ? Je ne sais pas. L’erreur a été de laisser la possibilité aux arbitres de décider du match. On doit faire en sorte qu’ils n’en aient même pas la possibilité. Ils peuvent donner 6 fautes à la fin, ce n’est pas grave si on est à +20. Mais ce soir, nous étions à +3, ils donnent énormément de lancer à la fin. »Léo Cavalière, joueur de Strasbourg
Photo : Léopold Cavalière (Basketball Champions League)
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Si tu n’es pas totalement concentré, tu as quelques secondes de retard et quand tu te fais stopper, on te siffle une faute. C’est la même chose quand tu essayes de prendre des rebonds et que tu prends des coups. C’était dur pour nous, mais quand tu as 8 points d’avance à domicile à 2 minutes de la fin, personne ne doit te prendre le match et encore moins perdre. Soyons honnêtes ! Quand tu as 27 rebonds offensifs 82 tirs sur un match, tu ne peux pas dire qu’ils n’ont pas essayé ! C’est un match dur, donc maintenant il faut vraiment qu’on récupère. On va analyser le match et se préparer au match à Cholet de ce week-end. Cholet gagne tous leurs matchs en ce moment et se rapproche du Top 8, donc il ne faut pas passer à côté de ce match. »Lassi Tuovi, entraîneur de Strasbourg\n\n« Beaucoup, beaucoup de frustration. C’est un match qui ne fait pas forcément du bien quand tu le prends, mais qui fait très mal quand tu ne le prends pas. Et ce soir, ça fait très mal. Je pense qu’on aurait dû tuer le match en première mi-temps. On ne doit pas leur laisser l’occasion d’espérer. Et ce soir, on ne l’a pas fait. C’est dommage, parce que laisser espérer cette équipe qui a un jeu un peu brouillon et du talent, leur a permis de mettre des tirs un peu fous à la fin et c’est à ce moment que la confiance grimpe. J’avais l’impression que l’énergie était là, mais il n’y avait peut-être pas assez de concentration. Pourtant, le coach avait insisté là-dessus. Il nous avait dit : « Les gars avec nos résultats du week-end, le Rhenus poussera, l’énergie sera là » et c’est ce qu’il s’est passé. Pour autant, ,on n’a pas su rester concentré et on a fait ce match de trainard qu’avait fait Nanterre avant nous et qu’on voulait impérativement éviter.\nEst-ce que je considère que l’arbitrage a pesé dans cette fin de match ? Oui. Est-ce que c’était juste ? Je ne sais pas. L’erreur a été de laisser la possibilité aux arbitres de décider du match. On doit faire en sorte qu’ils n’en aient même pas la possibilité. Ils peuvent donner 6 fautes à la fin, ce n’est pas grave si on est à +20. Mais ce soir, nous étions à +3, ils donnent énormément de lancer à la fin. »Léo Cavalière, joueur de Strasbourg\n\nPhoto : Léopold Cavalière (Basketball Champions League)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/capture-decran-2022-03-30-a-15.09.56.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-30T15:30:00.000Z", "updated_at":"2022-03-30T14:22:32.000Z", "published_at":"2022-03-30T15:30:00.000Z", "custom_excerpt":"Alors qu’elle semblait avoir le match en main, la SIG Strasbourg s’est fait surprendre par le Paris Basketball. 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À noter que les matchs disponibles en direct sont accessibles par le biais d’un abonnement annuel ou événementiel. Un abonnement gratuit existe aussi, permettant aux fans d’accéder à des extraits vidéo, des scores, des calendriers et des statistiques. La FIBA espère, via ce service, aider ses partenaires de diffusion à transmettre ses actions au plus grand nombre.
Le communiqué de la Fédération internationale de basketball :
« La FIBA, la Fédération internationale de basketball, et la société Two Circles, spécialisée dans le marketing sportif et la technologie des données, ont annoncé aujourd’hui la création d’une entreprise stratégique à long terme qui va révolutionner le marché de la vente directe aux consommateurs de contenu de basketball dans le monde entier.
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Le produit de lancement initial de Courtside 1891 a été mis à disposition en version limitée pour la récente deuxième fenêtre de qualification de la Coupe du monde de basket-ball 2023 de la FIBA, jouée en février dans toutes les régions de la FIBA.
L’entreprise Courtside 1891 permettra à la FIBA de développer des relations directes et à long terme avec les fans dans le monde entier et de mieux comprendre les comportements et les attitudes des fans de basket-ball dans le monde afin de créer de nouveaux produits et de nouvelles stratégies. Elle permettra également d’accroître l’exposition et la visibilité des compétitions de la FIBA aux côtés des ligues pan-régionales et nationales dans le monde entier. »
« Nous sommes ravis de nous lancer dans cette aventure avec Two Circles. Développer le profil mondial du basket et unifier la communauté du basket est un élément fondamental de notre vision. Avec l’expertise de Two Circles en matière de stratégies numériques qui engagent les audiences et développent des relations directes avec les fans, ce partenariat a déjà fourni une nouvelle plateforme numérique dont tous les membres de la famille FIBA bénéficieront et qui créera des niveaux d’engagement sans précédent avec notre fanbase de basket. »Andreas Zagklis, secrétaire général de la FIBA
« Les relations directes avec les fans sont devenues une monnaie précieuse alors que les propriétés sportives passent de l’ère analogique de la télédiffusion à l’ère de la consommation et de la distribution numériques. En tant que fédération internationale, la FIBA a fait ses preuves en matière d’innovation, et nous sommes enthousiasmés par l’impact que notre approche axée sur les données peut avoir pour repousser les limites et initier la prochaine phase de distribution médiatique et d’engagement numérique des fans de la FIBA. »Gareth Balch, PDG de Two Circles
Photo : Courtside 1981
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Ainsi est née Courtside 1891, une entreprise qui a pour but de mettre à la disposition de la communauté mondiale du basket, des flux en direct et à la demande, des calendriers et des scores du monde entier.\n\nÀ noter que les matchs disponibles en direct sont accessibles par le biais d’un abonnement annuel ou événementiel. Un abonnement gratuit existe aussi, permettant aux fans d’accéder à des extraits vidéo, des scores, des calendriers et des statistiques. La FIBA espère, via ce service, aider ses partenaires de diffusion à transmettre ses actions au plus grand nombre.\n\nLe communiqué de la Fédération internationale de basketball :\n\n« La FIBA, la Fédération internationale de basketball, et la société Two Circles, spécialisée dans le marketing sportif et la technologie des données, ont annoncé aujourd’hui la création d’une entreprise stratégique à long terme qui va révolutionner le marché de la vente directe aux consommateurs de contenu de basketball dans le monde entier.\n\nConformément à la vision de la FIBA de faire du basket la communauté sportive la plus populaire au monde et à l’objectif stratégique d’élargir la famille FIBA, le partenariat verra la FIBA et Two Circles développer, commercialiser et mettre sur le marché une toute nouvelle offre directe aux consommateurs sous la marque Courtside 1891.\n\nLe nouveau produit Courtside 1891 regroupe les scores, les flux et les calendriers d’une grande variété d’événements et de ligues de basket-ball à travers le monde. Cette offre de contenu complète, associée à une nouvelle marque fraîche et unique, représente une rupture audacieuse et innovante par rapport aux offres numériques habituelles des fédérations sportives.\n\nLe produit de lancement initial de Courtside 1891 a été mis à disposition en version limitée pour la récente deuxième fenêtre de qualification de la Coupe du monde de basket-ball 2023 de la FIBA, jouée en février dans toutes les régions de la FIBA.\n\nL’entreprise Courtside 1891 permettra à la FIBA de développer des relations directes et à long terme avec les fans dans le monde entier et de mieux comprendre les comportements et les attitudes des fans de basket-ball dans le monde afin de créer de nouveaux produits et de nouvelles stratégies. Elle permettra également d’accroître l’exposition et la visibilité des compétitions de la FIBA aux côtés des ligues pan-régionales et nationales dans le monde entier. »\n\n« Nous sommes ravis de nous lancer dans cette aventure avec Two Circles. Développer le profil mondial du basket et unifier la communauté du basket est un élément fondamental de notre vision. Avec l’expertise de Two Circles en matière de stratégies numériques qui engagent les audiences et développent des relations directes avec les fans, ce partenariat a déjà fourni une nouvelle plateforme numérique dont tous les membres de la famille FIBA bénéficieront et qui créera des niveaux d’engagement sans précédent avec notre fanbase de basket. »Andreas Zagklis, secrétaire général de la FIBA\n\n« Les relations directes avec les fans sont devenues une monnaie précieuse alors que les propriétés sportives passent de l’ère analogique de la télédiffusion à l’ère de la consommation et de la distribution numériques. En tant que fédération internationale, la FIBA a fait ses preuves en matière d’innovation, et nous sommes enthousiasmés par l’impact que notre approche axée sur les données peut avoir pour repousser les limites et initier la prochaine phase de distribution médiatique et d’engagement numérique des fans de la FIBA. »Gareth Balch, PDG de Two Circles\n\nPhoto : Courtside 1981", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/4245ef50-f492-4255-cdd8-54e1ed2b34e3.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-30T14:30:00.000Z", "updated_at":"2022-03-30T14:24:35.000Z", "published_at":"2022-03-30T14:30:00.000Z", "custom_excerpt":"La Fédération Internationale vient d’officialiser son partenariat avec Two Circles et la création de Courtside 1891, « une entreprise stratégique à long terme qui va révolutionner le marché de la vente directe aux consommateurs de contenu de basket dans le monde entier ».", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99440", "uuid":"0641f72b-7b1a-4497-baaa-488091399521", "title":"Coupe de France : La Chaîne L’Équipe va diffuser les finales en direct", "slug":"coupe-de-france-la-chaine-lequipe-va-diffuser-les-finales-en-direct", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/CDFBasket?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/coupe-de-france-feminine-une-finale-basket-landes-vs-bourges/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/coupe-de-france-malgre-lheroisme-de-gravelines-pau-ira-defier-strasbourg-en-finale-a-paris/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Les finales de la Coupe de France, qui opposeront Basket Landes à Bourges et Pau-Lacq-Orthez à Strasbourg, seront diffusées sur \"],[0,[0],1,\"La Chaîne L’Équipe\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Fédération Française de Basketball vient d’annoncer avoir conclu \"],[0,[0,0,0],3,\"«\"],[0,[],0,\" \"],[0,[0],1,\"un accord de partenariat avec La Chaîne L’Équipe »\"],[0,[],0,\" pour la diffusion, en direct et en exclusivité, des finales de la Coupe de France. \"],[0,[1],1,\"Chez les femmes\"],[0,[],0,\", les joueuses de Basket Landes affronteront celles de Bourges. 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Deux matchs à suivre le samedi 23 avril à partir de 14h30, sur La Chaîne L’Équipe donc, qui proposera pas moins de quatre heures de diffusion. Le duo composé de Benoit Cosset et de Christophe Denis sera comme toujours aux commentaires, accompagné de France Pierron en bord terrain.
Il ne peut pas y avoir scénario plus cruel pour les Alsaciens. Ils avaient a priori le gain du match dans la poche lorsque, sur une remise en jeu, Léo Westerman, de sa ligne de fond, a effectué une longue passe à Dwayne Bacon (24 points) et celui-ci, de dix mètres, avec un adversaire dans le nez, et avec la planche, a fait plonger la balle dans le filet au buzzer. Jusque là l’Américain avait loupé ses trois shoots à plus de 6,75m.
Les regrets sont d’autant plus vifs que la SIG a possédé jusqu’à 15 points d’avance dans le troisième quart-temps, portée par Ike Udanoh (26 d’évaluation), Kameron Taylor, Matt Mitchell (20 chacun) et DeAndre Lansdowne (17).
« On a vu ce que c’était l’Euroleague », a commenté Gaylor Curier. « Ce n’est pas la première fois qu’on a un match entre les mains et qu’on ne le tue pas. On est tombé dans le rythme de l’équipe adverse. J’ai quand même envie de dire que je suis fier de mon équipe ce soir. En termes d’agressivité, de combat, d’engagement, j’ai vu des guerriers sur le terrain et une vraie cohésion de groupe jusqu’à la fin du match. J’espère que notre public qui a regardé le match à la maison sera fier de notre équipe aussi ! On n’a pas à rougir de notre prestation. La fin, c’est une pièce jetée en l’air… ça tombe du bon côté pour Monaco mais ça aurait pu tomber du bon coté pour nous. On a la déception de perdre, mais aussi de la frustration par rapport à ce shoot là en particulier. On venait ici sans se mettre trop de pression. On sait qu’il nous manque quelques joueurs, mais on ne s’est jamais caché derrière cette excuse. »
Photo : Gaylor Curier (FIBA)
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Jusque là l’Américain avait loupé ses trois shoots à plus de 6,75m.\n\nLes regrets sont d’autant plus vifs que la SIG a possédé jusqu’à 15 points d’avance dans le troisième quart-temps, portée par Ike Udanoh (26 d’évaluation), Kameron Taylor, Matt Mitchell (20 chacun) et DeAndre Lansdowne (17).\n\n« On a vu ce que c’était l’Euroleague », a commenté Gaylor Curier. « Ce n’est pas la première fois qu’on a un match entre les mains et qu’on ne le tue pas. On est tombé dans le rythme de l’équipe adverse. J’ai quand même envie de dire que je suis fier de mon équipe ce soir. En termes d’agressivité, de combat, d’engagement, j’ai vu des guerriers sur le terrain et une vraie cohésion de groupe jusqu’à la fin du match. J’espère que notre public qui a regardé le match à la maison sera fier de notre équipe aussi ! On n’a pas à rougir de notre prestation. La fin, c’est une pièce jetée en l’air… ça tombe du bon côté pour Monaco mais ça aurait pu tomber du bon coté pour nous. 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Nous sentions qu’il portait un petit fardeau et il ne savait pas forcément comment le gérer. Au début, cela pouvait être un peu pesant. Quand nous avons crevé l’abcès et qu’il a décidé d’assumer ça, cela s’est beaucoup mieux passé. Nous l’avons senti un peu libéré. C’est vrai qu’en parler dans les médias, c’est encore autre chose. Je le trouve super-courageux. S’il l’avait fait durant sa carrière, il aurait été un porte-drapeau extraordinaire pour cette cause en tant que champion du monde. Mais le faire dans tous les cas, c’est déjà fort. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quel regard portez-vous sur le fait que Florent Manaudou ait décroché l’argent sur 50 m nage libre aux JO de Tokyo après avoir mis sa carrière en pause pendant près de trois ans et s’être essayé notamment au handball, un autre sport collectif ?\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"« Flo est un génie du sport, pas seulement de la natation. 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Avec votre taille (2,00 m), vous auriez pu jouer au basket. Quel est votre lien avec ce sport ?
« Cela s’est pas trop mal passé dans les piscines donc voilà… (rires) Je n’ai pas vu beaucoup de matches de basket en France. Les seuls que j’ai eu la chance de voir en vrai, c’était en NBA quand j’étais en stage aux Etats-Unis ou à l’occasion des Jeux Olympiques. Je suis ça de loin. Mais je trouve que ce qui se passe en France est très intéressant, avec des clubs en train de sortir de leur confort et montrer qu’ils peuvent atteindre les sommets européens, que ce soit l’ASVEL ou Monaco qui sont en train de montrer la voie. J’espère qu’on en verra bientôt un peu plus à la télévision. »
Nous sommes ici sur les terres de la JL Bourg. Que vous inspire ce club ?
« Je ne le connaissais pas en profondeur mais j’ai fait aujourd’hui la visite des infrastructures. Et je vois que c’est un club très bien pensé, qui a été réfléchi intelligemment. C’est très porté business et reconversion également, et je pense que c’est ce qu’il faut faire aujourd’hui dans le sport pour arriver à le développer aujourd’hui. Les valeurs que le club et ce sport reflètent montrent le potentiel. »
Cinq ans après avoir stoppé votre carrière de nageur, comment occupez-vous votre reconversion ?
« Ça fait longtemps, cinq ans (rires) ! Aujourd’hui, je suis conférencier en entreprise. Dès que j’ai rangé le maillot, j’ai pris le micro pour faire le parallèle entre le monde de l’entreprise et le sport de haut niveau, avec leurs points communs dans les objectifs, le management, le leadership. Je partage les expériences que j’ai eues dans la natation. Je suis aussi à la télévision sur Canal+ dans l’univers du sport. D’autres projets avancent sur les plateaux télé. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/camille-lacourt-rencontre-leadership-millon.png\")
Dans l’univers du sport, voire du basket ?
« Je suis un fan de sports avec un grand « s », donc je m’intéresse à tout ce qui tourne autour du sport. Parler de sport. ce n’est pas que les émotions derrière sa télé, c’est aussi toute cette abnégation qu’il y a besoin pour réussir. Aujourd’hui, dans le monde dans lequel on vit, on a besoin de montrer que les champions qu’on voit sur les podiums ont aussi eu des moments difficiles, des échecs, qu’ils ont dû se relever, et que ce ne sont pas des êtres aussi extraordinaires que ça. »
Certains sportifs vivent leur fin de carrière comme une petite mort. Vous avez parlé à l’inverse de « la naissance d’un homme ». Pourquoi ?
« Déjà parce que je suis quelqu’un de positif. Mais aussi parce que c’est moi qui aie décidé de la fin de ma carrière. Il n’y a pas eu de petite mort. C’était la fin d’une chouette période de ma vie, et j’avais hâte de repartir sur autre chose. C’était cool à 32 ans de vivre une deuxième vie, en étant riche de toutes ces expériences. »
Votre vie d’après était anticipée ?
« L’avantage et l’inconvénient de la natation, c’est qu’il n’y a pas d’argent. On est obligés de se préparer à l’après. Sur les trois dernières années de ma carrière, j’ai repris mes études pour avoir un bagage. »
Vous êtes venu à Bourg parler de leadership. Est-ce une notion concrète dans un sport individuel ?
« Je n’aime pas le terme car le sport individuel n’existe pas. Il y a toujours un entraîneur, des collègues d’entraînement, des kinés. Le leadership existe évidemment dans la natation et les sports individuels, peut-être encore plus que dans les sports collectifs, où l’on peut se cacher derrière un leader et suivre la barque. Dans un sport individuel, si l’on décide de suivre, on ne sera jamais devant. On est obligé d’être maître de son destin. »
Jérémy Stravius, avec qui vous aviez partagé l’or sur 100 m dos au championnat du monde 2011, a fait, dans un documentaire commun avec Céline Dumerc et quatre autres sportifs, son coming out dans un documentaire de Canal +. Avez-vous trouvé cette démarche courageuse ?
« C’est courageux. Nous, les nageurs de l’équipe de France, étions au courant depuis des années et nous l’encouragions à faire son coming out. Nous sentions qu’il portait un petit fardeau et il ne savait pas forcément comment le gérer. Au début, cela pouvait être un peu pesant. Quand nous avons crevé l’abcès et qu’il a décidé d’assumer ça, cela s’est beaucoup mieux passé. Nous l’avons senti un peu libéré. C’est vrai qu’en parler dans les médias, c’est encore autre chose. Je le trouve super-courageux. S’il l’avait fait durant sa carrière, il aurait été un porte-drapeau extraordinaire pour cette cause en tant que champion du monde. Mais le faire dans tous les cas, c’est déjà fort. »
Quel regard portez-vous sur le fait que Florent Manaudou ait décroché l’argent sur 50 m nage libre aux JO de Tokyo après avoir mis sa carrière en pause pendant près de trois ans et s’être essayé notamment au handball, un autre sport collectif ?
« Flo est un génie du sport, pas seulement de la natation. Au handball, il était à un doigt d’intégrer une équipe pro (NDLR : en référence au doigt qu’il s’était cassé) et il est revenu dans les piscines. Tant mieux pour la France car il est allé chercher une médaille. En sport, la notion de retard n’existe pas. Il a travaillé le bas du corps quand il voulait faire du hand. Et quand il est revenu dans les bassins, il s’est réadapté après ses changements physiques. Mais il avait fait beaucoup de sport, gardé une forme extraordinaire et pris beaucoup de force. Pour moi, c’était évident qu’il réussirait son retour à la natation. Je suis ravi pour lui qu’il ait décroché cette médaille, et je lui souhaite que celle de Paris soit encore plus brillante. »
Vous avez fait partie d’une génération en or qui ramenait de nombreuses médailles à la France à chaque compétition. Comment expliquez-vous que les nageurs tricolores soient plus en difficulté aujourd’hui ?
« Avant notre génération, on n’avait jamais connu cela. Nous avons eu la chance d’avoir autant de nageurs talentueux en même temps, qui pouvaient accéder à des podiums internationaux. Parce que nous n’avons pas beaucoup de piscines, pas beaucoup d’infrastructures et peu de possibilités de joindre études et natation. Le fait d’avoir eu une génération comme la nôtre ne doit pas être banalisé. La nouvelle génération a mis un peu de temps à s’affirmer, mais elle est très prometteuse avec de vraies chances de médailles pour 2024. »
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Avec votre taille (2,00 m), vous auriez pu jouer au basket. Quel est votre lien avec ce sport ?
« Cela s’est pas trop mal passé dans les piscines donc voilà… (rires) Je n’ai pas vu beaucoup de matches de basket en France. Les seuls que j’ai eu la chance de voir en vrai, c’était en NBA quand j’étais en stage aux Etats-Unis ou à l’occasion des Jeux Olympiques. Je suis ça de loin. Mais je trouve que ce qui se passe en France est très intéressant, avec des clubs en train de sortir de leur confort et montrer qu’ils peuvent atteindre les sommets européens, que ce soit l’ASVEL ou Monaco qui sont en train de montrer la voie. J’espère qu’on en verra bientôt un peu plus à la télévision. »
Cinq ans après avoir stoppé votre carrière de nageur, comment occupez-vous votre reconversion ?
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Photo : Camille Lacourt (Jacques Cormarèche)
", "comment_id":"592446", "plaintext":"L’ancien nageur Camille Lacourt, 36 ans, était cette semaine le grand témoin des rencontres du leadership organisées par la JL Bourg. À cette occasion, le quintuple champion du monde s’est confié sur sa reconversion et ses liens – proches ou lointains – avec le basket.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nAvec votre taille (2,00 m), vous auriez pu jouer au basket. Quel est votre lien avec ce sport ?\n« Cela s’est pas trop mal passé dans les piscines donc voilà… (rires) Je n’ai pas vu beaucoup de matches de basket en France. Les seuls que j’ai eu la chance de voir en vrai, c’était en NBA quand j’étais en stage aux Etats-Unis ou à l’occasion des Jeux Olympiques. Je suis ça de loin. Mais je trouve que ce qui se passe en France est très intéressant, avec des clubs en train de sortir de leur confort et montrer qu’ils peuvent atteindre les sommets européens, que ce soit l’ASVEL ou Monaco qui sont en train de montrer la voie. J’espère qu’on en verra bientôt un peu plus à la télévision. »\n\nNous sommes ici sur les terres de la JL Bourg. Que vous inspire ce club ?\n« Je ne le connaissais pas en profondeur mais j’ai fait aujourd’hui la visite des infrastructures. Et je vois que c’est un club très bien pensé, qui a été réfléchi intelligemment. C’est très porté business et reconversion également, et je pense que c’est ce qu’il faut faire aujourd’hui dans le sport pour arriver à le développer aujourd’hui. Les valeurs que le club et ce sport reflètent montrent le potentiel. »\n\n\n« Dans les sports collectifs, on peut se cacher derrière un leader et suivre la barque. Dans un sport individuel, si l’on décide de suivre, on ne sera jamais devant »\n\nCinq ans après avoir stoppé votre carrière de nageur, comment occupez-vous votre reconversion ?\n« Ça fait longtemps, cinq ans (rires) ! Aujourd’hui, je suis conférencier en entreprise. Dès que j’ai rangé le maillot, j’ai pris le micro pour faire le parallèle entre le monde de l’entreprise et le sport de haut niveau, avec leurs points communs dans les objectifs, le management, le leadership. Je partage les expériences que j’ai eues dans la natation. Je suis aussi à la télévision sur Canal+ dans l’univers du sport. D’autres projets avancent sur les plateaux télé. »\n\nDans l’univers du sport, voire du basket ?\n« Je suis un fan de sports avec un grand « s », donc je m’intéresse à tout ce qui tourne autour du sport. Parler de sport. ce n’est pas que les émotions derrière sa télé, c’est aussi toute cette abnégation qu’il y a besoin pour réussir. Aujourd’hui, dans le monde dans lequel on vit, on a besoin de montrer que les champions qu’on voit sur les podiums ont aussi eu des moments difficiles, des échecs, qu’ils ont dû se relever, et que ce ne sont pas des êtres aussi extraordinaires que ça. »\n\nCertains sportifs vivent leur fin de carrière comme une petite mort. Vous avez parlé à l’inverse de « la naissance d’un homme ». Pourquoi ?\n« Déjà parce que je suis quelqu’un de positif. Mais aussi parce que c’est moi qui aie décidé de la fin de ma carrière. Il n’y a pas eu de petite mort. C’était la fin d’une chouette période de ma vie, et j’avais hâte de repartir sur autre chose. C’était cool à 32 ans de vivre une deuxième vie, en étant riche de toutes ces expériences. »\n\nVotre vie d’après était anticipée ?\n« L’avantage et l’inconvénient de la natation, c’est qu’il n’y a pas d’argent. On est obligés de se préparer à l’après. Sur les trois dernières années de ma carrière, j’ai repris mes études pour avoir un bagage. »\n\nVous êtes venu à Bourg parler de leadership. Est-ce une notion concrète dans un sport individuel ?\n« Je n’aime pas le terme car le sport individuel n’existe pas. Il y a toujours un entraîneur, des collègues d’entraînement, des kinés. Le leadership existe évidemment dans la natation et les sports individuels, peut-être encore plus que dans les sports collectifs, où l’on peut se cacher derrière un leader et suivre la barque. Dans un sport individuel, si l’on décide de suivre, on ne sera jamais devant. On est obligé d’être maître de son destin. »\n\n\n« Florent Manaudou est un génie du sport, pas seulement de la natation. Au handball, il était à un doigt d’intégrer une équipe pro et il est revenu dans les piscines. En sport, la notion de retard n’existe pas. Il a travaillé le bas du corps quand il voulait faire du hand. Et quand il est revenu dans les bassins, il a s’est réadapté après ses changements physiques »\n\nJérémy Stravius, avec qui vous aviez partagé l’or sur 100 m dos au championnat du monde 2011, a fait, dans un documentaire commun avec Céline Dumerc et quatre autres sportifs, son coming out dans un documentaire de Canal +. Avez-vous trouvé cette démarche courageuse ?\n« C’est courageux. Nous, les nageurs de l’équipe de France, étions au courant depuis des années et nous l’encouragions à faire son coming out. Nous sentions qu’il portait un petit fardeau et il ne savait pas forcément comment le gérer. Au début, cela pouvait être un peu pesant. Quand nous avons crevé l’abcès et qu’il a décidé d’assumer ça, cela s’est beaucoup mieux passé. Nous l’avons senti un peu libéré. C’est vrai qu’en parler dans les médias, c’est encore autre chose. Je le trouve super-courageux. S’il l’avait fait durant sa carrière, il aurait été un porte-drapeau extraordinaire pour cette cause en tant que champion du monde. Mais le faire dans tous les cas, c’est déjà fort. »\n\nQuel regard portez-vous sur le fait que Florent Manaudou ait décroché l’argent sur 50 m nage libre aux JO de Tokyo après avoir mis sa carrière en pause pendant près de trois ans et s’être essayé notamment au handball, un autre sport collectif ?\n« Flo est un génie du sport, pas seulement de la natation. Au handball, il était à un doigt d’intégrer une équipe pro (NDLR : en référence au doigt qu’il s’était cassé) et il est revenu dans les piscines. Tant mieux pour la France car il est allé chercher une médaille. En sport, la notion de retard n’existe pas. Il a travaillé le bas du corps quand il voulait faire du hand. Et quand il est revenu dans les bassins, il s’est réadapté après ses changements physiques. Mais il avait fait beaucoup de sport, gardé une forme extraordinaire et pris beaucoup de force. Pour moi, c’était évident qu’il réussirait son retour à la natation. Je suis ravi pour lui qu’il ait décroché cette médaille, et je lui souhaite que celle de Paris soit encore plus brillante. »\n\nVous avez fait partie d’une génération en or qui ramenait de nombreuses médailles à la France à chaque compétition. Comment expliquez-vous que les nageurs tricolores soient plus en difficulté aujourd’hui ?\n« Avant notre génération, on n’avait jamais connu cela. Nous avons eu la chance d’avoir autant de nageurs talentueux en même temps, qui pouvaient accéder à des podiums internationaux. Parce que nous n’avons pas beaucoup de piscines, pas beaucoup d’infrastructures et peu de possibilités de joindre études et natation. Le fait d’avoir eu une génération comme la nôtre ne doit pas être banalisé. La nouvelle génération a mis un peu de temps à s’affirmer, mais elle est très prometteuse avec de vraies chances de médailles pour 2024. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nAvec votre taille (2,00 m), vous auriez pu jouer au basket. Quel est votre lien avec ce sport ?\n« Cela s’est pas trop mal passé dans les piscines donc voilà… (rires) Je n’ai pas vu beaucoup de matches de basket en France. Les seuls que j’ai eu la chance de voir en vrai, c’était en NBA quand j’étais en stage aux Etats-Unis ou à l’occasion des Jeux Olympiques. Je suis ça de loin. Mais je trouve que ce qui se passe en France est très intéressant, avec des clubs en train de sortir de leur confort et montrer qu’ils peuvent atteindre les sommets européens, que ce soit l’ASVEL ou Monaco qui sont en train de montrer la voie. J’espère qu’on en verra bientôt un peu plus à la télévision. »\n\nCinq ans après avoir stoppé votre carrière de nageur, comment occupez-vous votre reconversion ?\n« Ça fait longtemps, cinq ans (rires) ! 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Pablo Laso a également donné son avis sur l’équipe villeurbannaise :
« C’est une équipe très physique, athlétique. Ils ont de bons marqueurs avec Elie Okobo et Dylan Osetkowski. Ils jouent bien au poste bas et en un-contre-un. Ensuite, ils ont une large rotation au centre avec Fall, Gist, Antetokounmpo et Wembanyama, un jeune gars avec beaucoup de potentiel. Nous avons beaucoup de respect pour eux et ils ont perdu par moins de quatre points lors des quatre derniers matchs », a-t-il souligné.
Guerschon Yabusele et Thomas Heurtel vont affronter leur ancienne équipe et l’Argentin Gaby Deck s’intègre de plus en plus.
« Jouer contre son ancienne équipe apporte toujours une motivation supplémentaire. Quant à Deck, je dis toujours que c’est un joueur important pour nous. Bien qu’il nous ait connus et que nous l’ayons connu, un temps d’adaptation est nécessaire et petit à petit il nous montre sa meilleure version », a souligné Pablo Laso, qui n’a pas souhaité commenter l’amende que l’Euroleague a infligée à Sergio Llul pour « manque de respect envers les arbitres » lors du match face à l’Etoile Rouge de Belgrade.", "comment_id":"592577", "plaintext":"Dans la perspective du match de ce jeudi face à l’ASVEL, le coach du Real Madrid, Pablo Laso, s’est exprimé sur la situation médicale de son équipe et sur son adversaire :\n\n« Carlos Alocen, Fabien Causeur et Jeff Taylor sont sains et saufs. Il y a encore des doutes pour certains autres. Trey Thompkins a un virus qui semble être le même que celui qui a touché Nigel Williams-Goss, qui va déjà bien. Alberto Alocén et Walter Tavares ont eu un malaise. 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La ligue, pour sa part, donne aux clubs la possibilité de se renforcer, d’élargir leur roster (NDLR : désormais, les clubs peuvent utiliser 20 joueurs au cours de la saison). Pour maintenir le basket à un niveau élevé. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sur la situation des joueurs étrangers, Sergei Kushchenko répond :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« A ce propos, ça vaut plutôt la peine de contacter les clubs, ils ont plus d’informations à ce sujet. Je peux seulement dire que si un étranger n’a pas d’offre comparable après avoir quitté la Russie et qu’il n’y a aucune raison idéologique de ne pas jouer dans notre pays, alors il reviendra. C’est ce qu’on fait les étrangers du Zenit ou même Marco Spissu d’UNICS. Si un joueur étranger ne veut pas jouer ici, vous ne devez pas le conserver de force. Par conséquent, le CSKA a libéré ses étrangers sous certaines conditions. Ils ont dit qu’ils ne pouvaient certainement pas jouer en Russie (NDLR: Daniel Hackett et Tornike Shengelia ont signé à la Virtus Bologne et Iffe Lundberg aux Phoenix Suns). Peut-être que l’équipe de l’armée sera renforcée par d’autres étrangers. Ils ont de telles opportunités. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’Euroleague doit décider le 21 mars si elle exclue définitivement -du moins pour la saison- les trois clubs russes. Sergei Kushchenko ne se fait pas d’illusions.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« L’Euroleague ne précise pas sa position pour l’instant. En marge, il y avait des informations selon lesquelles l’Eurocup est un tournoi déficitaire et que nos clubs peuvent y être invités pour la saison prochaine. Je pense que la décision sera prise au plus tôt pendant la période du Final Four à Belgrade (19-21 mai). Si nous parlons de l’Euroleague et de l’Eurocup actuelles, il est peu probable que nos clubs soient réintégrés. Bien que la suspension de leur participation et l’annulation des résultats soient contraires à toutes les réglementations par lesquelles le sport international vivait auparavant. Et maintenant toutes les décisions sont prises sans statut légal. (NDLR : Parce que la Russie a envahi l’Ukraine avec un « statut légal »? «\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A la question de savoir si le nombre d’équipes en VTB League pourrait augmenter si les clubs russes sont bannis des coupes d’Europe la saison prochaine, son président répond :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je ne commenterai pas le nombre possible d’équipes, mais nous acceptons les candidatures. Il est peu probable que le règlement change. Comme auparavant, nous avons besoin d’une image de télévision de haute qualité, de certaines conditions financières et d’une arèna spacieuse et moderne. Même en l’absence de concurrence européenne, la barre ne peut être abaissée. De plus, nous essaierons de comprendre l’histoire européenne. 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« La principale conclusion est que le basket est vivant. Et de très haut niveau. Le CSKA et le Zenit l’ont démontré. UNICS (Kazan) n’a pas perdu son niveau. Le BC Lokomotiv-Kouban et nos autres clubs ont de grandes ambitions de se montrer dans toute leur splendeur. On attend donc un dénouement lumineux de la saison régulière et des playoffs. En saison régulière, la plupart des clubs ont encore 7 à 8 matchs à jouer. Pendant ce temps, les clubs qui ont été contraints de reconstruire le jeu devraient retrouver leur style et aborder les playoffs en pleine forme. Les matchs récents ont montré que les entraîneurs et la direction peuvent s’adapter rapidement aux nouvelles conditions. La ligue, pour sa part, donne aux clubs la possibilité de se renforcer, d’élargir leur roster (NDLR : désormais, les clubs peuvent utiliser 20 joueurs au cours de la saison). Pour maintenir le basket à un niveau élevé. »
Sur la situation des joueurs étrangers, Sergei Kushchenko répond :
« A ce propos, ça vaut plutôt la peine de contacter les clubs, ils ont plus d’informations à ce sujet. Je peux seulement dire que si un étranger n’a pas d’offre comparable après avoir quitté la Russie et qu’il n’y a aucune raison idéologique de ne pas jouer dans notre pays, alors il reviendra. C’est ce qu’on fait les étrangers du Zenit ou même Marco Spissu d’UNICS. Si un joueur étranger ne veut pas jouer ici, vous ne devez pas le conserver de force. Par conséquent, le CSKA a libéré ses étrangers sous certaines conditions. Ils ont dit qu’ils ne pouvaient certainement pas jouer en Russie (NDLR: Daniel Hackett et Tornike Shengelia ont signé à la Virtus Bologne et Iffe Lundberg aux Phoenix Suns). Peut-être que l’équipe de l’armée sera renforcée par d’autres étrangers. Ils ont de telles opportunités. »
L’Euroleague doit décider le 21 mars si elle exclue définitivement -du moins pour la saison- les trois clubs russes. Sergei Kushchenko ne se fait pas d’illusions.
« L’Euroleague ne précise pas sa position pour l’instant. En marge, il y avait des informations selon lesquelles l’Eurocup est un tournoi déficitaire et que nos clubs peuvent y être invités pour la saison prochaine. Je pense que la décision sera prise au plus tôt pendant la période du Final Four à Belgrade (19-21 mai). Si nous parlons de l’Euroleague et de l’Eurocup actuelles, il est peu probable que nos clubs soient réintégrés. Bien que la suspension de leur participation et l’annulation des résultats soient contraires à toutes les réglementations par lesquelles le sport international vivait auparavant. Et maintenant toutes les décisions sont prises sans statut légal. (NDLR : Parce que la Russie a envahi l’Ukraine avec un « statut légal »? «
A la question de savoir si le nombre d’équipes en VTB League pourrait augmenter si les clubs russes sont bannis des coupes d’Europe la saison prochaine, son président répond :
« Je ne commenterai pas le nombre possible d’équipes, mais nous acceptons les candidatures. Il est peu probable que le règlement change. Comme auparavant, nous avons besoin d’une image de télévision de haute qualité, de certaines conditions financières et d’une arèna spacieuse et moderne. Même en l’absence de concurrence européenne, la barre ne peut être abaissée. De plus, nous essaierons de comprendre l’histoire européenne. Nous avons eu des candidatures de clubs européens. A voir si les fédérations nationales leur permettront de participer. Nous devons être patients. »
Photo : VTB League
", "comment_id":"592608", "plaintext":"Avec le départ de plusieurs joueurs étrangers, les mesures économiques prises par l’Union Européenne et les Etats-Unis contre la Russie, et encore la mise à l’écart des trois clubs russes de l’Euroleague, la VTB United League vit des moments difficiles. Pourtant, méthode Coué ou pas, dans une interview aux Izveztia, son président Sergei Kushchenko se montre optimiste pour son avenir :\n\n« La principale conclusion est que le basket est vivant. Et de très haut niveau. Le CSKA et le Zenit l’ont démontré. UNICS (Kazan) n’a pas perdu son niveau. Le BC Lokomotiv-Kouban et nos autres clubs ont de grandes ambitions de se montrer dans toute leur splendeur. On attend donc un dénouement lumineux de la saison régulière et des playoffs. En saison régulière, la plupart des clubs ont encore 7 à 8 matchs à jouer. Pendant ce temps, les clubs qui ont été contraints de reconstruire le jeu devraient retrouver leur style et aborder les playoffs en pleine forme. Les matchs récents ont montré que les entraîneurs et la direction peuvent s’adapter rapidement aux nouvelles conditions. La ligue, pour sa part, donne aux clubs la possibilité de se renforcer, d’élargir leur roster (NDLR : désormais, les clubs peuvent utiliser 20 joueurs au cours de la saison). Pour maintenir le basket à un niveau élevé. »\n\nSur la situation des joueurs étrangers, Sergei Kushchenko répond :\n\n« A ce propos, ça vaut plutôt la peine de contacter les clubs, ils ont plus d’informations à ce sujet. Je peux seulement dire que si un étranger n’a pas d’offre comparable après avoir quitté la Russie et qu’il n’y a aucune raison idéologique de ne pas jouer dans notre pays, alors il reviendra. C’est ce qu’on fait les étrangers du Zenit ou même Marco Spissu d’UNICS. Si un joueur étranger ne veut pas jouer ici, vous ne devez pas le conserver de force. Par conséquent, le CSKA a libéré ses étrangers sous certaines conditions. Ils ont dit qu’ils ne pouvaient certainement pas jouer en Russie (NDLR: Daniel Hackett et Tornike Shengelia ont signé à la Virtus Bologne et Iffe Lundberg aux Phoenix Suns). Peut-être que l’équipe de l’armée sera renforcée par d’autres étrangers. Ils ont de telles opportunités. »\n\nL’Euroleague doit décider le 21 mars si elle exclue définitivement -du moins pour la saison- les trois clubs russes. Sergei Kushchenko ne se fait pas d’illusions.\n\n« L’Euroleague ne précise pas sa position pour l’instant. En marge, il y avait des informations selon lesquelles l’Eurocup est un tournoi déficitaire et que nos clubs peuvent y être invités pour la saison prochaine. Je pense que la décision sera prise au plus tôt pendant la période du Final Four à Belgrade (19-21 mai). Si nous parlons de l’Euroleague et de l’Eurocup actuelles, il est peu probable que nos clubs soient réintégrés. Bien que la suspension de leur participation et l’annulation des résultats soient contraires à toutes les réglementations par lesquelles le sport international vivait auparavant. Et maintenant toutes les décisions sont prises sans statut légal. (NDLR : Parce que la Russie a envahi l’Ukraine avec un « statut légal »? «\n\nA la question de savoir si le nombre d’équipes en VTB League pourrait augmenter si les clubs russes sont bannis des coupes d’Europe la saison prochaine, son président répond :\n\n« Je ne commenterai pas le nombre possible d’équipes, mais nous acceptons les candidatures. Il est peu probable que le règlement change. Comme auparavant, nous avons besoin d’une image de télévision de haute qualité, de certaines conditions financières et d’une arèna spacieuse et moderne. Même en l’absence de concurrence européenne, la barre ne peut être abaissée. De plus, nous essaierons de comprendre l’histoire européenne. Nous avons eu des candidatures de clubs européens. 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Le problème commence par le fait que la plupart des sports féminins sont considérés comme amateurs par opposition aux hommes. Comme si le sport était un privilège des hommes en raison de la supériorité musculaire. En raison de cette catégorisation, des problèmes sans fin commencent qui affectent la vie quotidienne de l’athlète féminine. Une équipe féminine n’a pas la capacité d’attirer les mêmes sponsors qu’une équipe masculine, donc un match féminin n’aura pas de couverture télévisée. 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Comme si le sport était un privilège des hommes en raison de la supériorité musculaire. En raison de cette catégorisation, des problèmes sans fin commencent qui affectent la vie quotidienne de l’athlète féminine. Une équipe féminine n’a pas la capacité d’attirer les mêmes sponsors qu’une équipe masculine, donc un match féminin n’aura pas de couverture télévisée. Les salaires sont maigres comparés à ceux des hommes, qui peuvent assurer et assurent leur vie après le sport. Aussi, l’athlète féminine aura du mal à concilier famille et championnat, puisque par exemple en basket notamment, ses meilleures années se situent autour de 30 ans, un âge que la société juge convenable d’avoir un enfant ».
Elle complète :
« Nous vivons dans un domaine dominé par les hommes, ce qui fait que nous n’avons pas les mêmes chances. Les médias mettent à leur tour l’accent sur la sexualité d’une femme et l’apparence est plus importante que la performance sportive », souligne-t-elle. « Il est arrivé dans les commentaires sportifs que des caractérisations soient utilisées, alors que les hommes sont appelés par leur nom. Ils profitent de notre côté féminin et nous dégradent en tant qu’athlètes. Je suis très en colère quand ça arrive ! Comme je l’ai dit, il y a des stéréotypes et une mentalité rétrograde. Je crois principalement que l’égalité des sexes est une question de pouvoir parce que notre société a créé un grand écart entre les sexes. Il est nécessaire de donner plus d’opportunités aux femmes d’entrer dans le domaine du sport. Nous voulons des femmes aux postes de direction à tous les niveaux afin que la parole des femmes soit représentée. À leur tour, les médias devraient promouvoir la participation égale des femmes dans le sport . »
Photo : FIBA
", "comment_id":"592534", "plaintext":"L’internationale grecque d’Olympiakos Evina Stamati (1,78m, 37 ans) milite pour la promotion du sport féminin dans son pays. C’est ce qui transparait dans une interview qu’elle a donné à Gazzetta.\n\n« Il y a beaucoup de stéréotypes et un système de conservatisme auquel il faut s’attaquer. Le problème commence par le fait que la plupart des sports féminins sont considérés comme amateurs par opposition aux hommes. Comme si le sport était un privilège des hommes en raison de la supériorité musculaire. En raison de cette catégorisation, des problèmes sans fin commencent qui affectent la vie quotidienne de l’athlète féminine. Une équipe féminine n’a pas la capacité d’attirer les mêmes sponsors qu’une équipe masculine, donc un match féminin n’aura pas de couverture télévisée. Les salaires sont maigres comparés à ceux des hommes, qui peuvent assurer et assurent leur vie après le sport. Aussi, l’athlète féminine aura du mal à concilier famille et championnat, puisque par exemple en basket notamment, ses meilleures années se situent autour de 30 ans, un âge que la société juge convenable d’avoir un enfant ».\n\nElle complète :\n\n« Nous vivons dans un domaine dominé par les hommes, ce qui fait que nous n’avons pas les mêmes chances. Les médias mettent à leur tour l’accent sur la sexualité d’une femme et l’apparence est plus importante que la performance sportive », souligne-t-elle. « Il est arrivé dans les commentaires sportifs que des caractérisations soient utilisées, alors que les hommes sont appelés par leur nom. Ils profitent de notre côté féminin et nous dégradent en tant qu’athlètes. Je suis très en colère quand ça arrive ! Comme je l’ai dit, il y a des stéréotypes et une mentalité rétrograde. Je crois principalement que l’égalité des sexes est une question de pouvoir parce que notre société a créé un grand écart entre les sexes. 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Le dossier a fait également réagir les élus d’Orléans qui se disent prêts à accueillir le tournoi olympique au sein de leur arèna actuellement en construction.
« Je ne comprends pas que l’on puisse transformer, comme ça, un hall à Paris alors qu’on a, chez nous, ici, à une heure de la capitale, un outil qui répond à tous les standards. Un équipement de la dernière génération, financé, qui n’entraînera pas de dépenses supplémentaires pour les organisateurs », annonce Thomas Renault, l’adjoint chargé des sports, dans La République du Centre.
Pourquoi le basketball ne pourrait-il pas été délocalisé à Orléans, alors que le tournoi de handball va l’être à Villeneuve d’Ascq ? Ce dossier brûlant met en tous les cas en lumière le dramatique manque d’équipements sportifs de la capitale française, même pour le Jour J, et qui a déjà bien de la chance, dans ces conditions, de s’être vu attribuer l’organisation des Jeux Olympiques.
Le Maccabi occupe actuellement la 13e place de l’Euroleague, et le club serait déjà en construction de la saison prochaine. Hall fournit 7,7 points et 5,2 rebonds dans la compétition, tandis que Bacon est à 13,7 points et 2,8 rebonds.
Evidemment, les bruits en coulisses ne vont pas manquer d’ici la prochaine rentrée. Et il faut attendre la fin de la saison régulière actuelle pour que l’AS Monaco connaisse son avenir dans la compétition européenne phare.
Photo: Dwayne Bacon (Euroleague)
", "comment_id":"592627", "plaintext":"Les Américains de la Roca Team, Donta Hall (2,08m, 24 ans) et Dwayne Bacon (1,98m, 26 ans), intéresseraient le Maccabi Tel-Aviv selon le site israélien, Sports Walla.\n\nLe Maccabi occupe actuellement la 13e place de l’Euroleague, et le club serait déjà en construction de la saison prochaine. Hall fournit 7,7 points et 5,2 rebonds dans la compétition, tandis que Bacon est à 13,7 points et 2,8 rebonds.\n\nEvidemment, les bruits en coulisses ne vont pas manquer d’ici la prochaine rentrée. Et il faut attendre la fin de la saison régulière actuelle pour que l’AS Monaco connaisse son avenir dans la compétition européenne phare.\n\nPhoto: Dwayne Bacon (Euroleague)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/01/dwayne-bacon-monaco-euroleague.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-16T16:35:28.000Z", "updated_at":"2022-03-16T16:35:35.000Z", "published_at":"2022-03-16T16:35:28.000Z", "custom_excerpt":"Les Américains de la Roca Team, Donta Hall (2,08m, 24 ans) et Dwayne Bacon (1,98m, 26 ans), intéresseraient le Maccabi Tel-Aviv selon le site israélien, Sports Walla.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99448", "uuid":"e370b2a7-8f0c-4e89-ad02-8d5eaade8053", "title":"Vidéo : Le résumé de la 22e journée de Betclic Elite", "slug":"video-le-resume-de-la-22e-journee-de-betclic-elite", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/IYAzVXqYlqw?start=4&feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Voici le résumé de la 22ème journée de Betclic Elite en images.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Ismaël Kamagate (Paris Basketball)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Photo : Ismaël Kamagate (Paris Basketball)
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Rolands Freimanis est un intérieur, international letton, qui a quitté le club russe de Nizhny Novgorod où il évoluait depuis le début de saison (9,5 points et 3,5 rebonds de moyenne en VTB League, 9,7 points et 3,8 rebonds en Basketball Champions League).
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Dans un communiqué, David Kahn, le président du Paris Basketball remercie Kyle O’Quinn, mais sans donner d’explications supplémentaires sur son départ. L’ex NBA-er a tourné en moyenne à 10,5 points, 6,1 rebonds et 2,7 passes décisives par match pour le Paris Basketball.
« Nous remercions Kyle O’Quinn pour ce qu’il a apporté au club cette saison. Sans lui, nous n’aurions probablement pas remporté les matches face à l’Asvel et Boulogne-Levallois. Nos deux victoires de prestige cette saison. A ce stade de la saison, il est important pour nous d’augmenter le temps de jeu d’Ismaël Kamagate. Nous mettons tout en oeuvre pour le préparer au mieux à son futur en NBA.»
Le Paris Basketball doit aussi assurer son maintien en Betlic Elite. Il ne possède qu’une victoire d’avance sur Le Portel, qui est relégable.
Photo : NC State
", "comment_id":"592526", "plaintext":"Le Paris Basketball fait appel à DJ Funderburk, un ailier-fort américain capable de jouer pivot de 2,08m et 24 ans, qui est le pigiste médical d’Amara Sy, opéré de la cheville fin février, mais qui dans les faits remplace Kyle O’Quinn.\n\nDJ Funderburk fait partie des joueurs étrangers qui évoluaient dans le championnat russe, et qui ont quitté le pays suite à l’invasion de l’Ukraine. Il tournait à 10,7 points et 2,6 rebonds avec Avtodor en VTB League. Il s’agissait pour lui de sa première expérience en professionnelle après sa sortie, en 2021, de North Carolina State (12,6 points et 6,5 rebonds en senior).\n\nDans un communiqué, David Kahn, le président du Paris Basketball remercie Kyle O’Quinn, mais sans donner d’explications supplémentaires sur son départ. L’ex NBA-er a tourné en moyenne à 10,5 points, 6,1 rebonds et 2,7 passes décisives par match pour le Paris Basketball.\n\n« Nous remercions Kyle O’Quinn pour ce qu’il a apporté au club cette saison. Sans lui, nous n’aurions probablement pas remporté les matches face à l’Asvel et Boulogne-Levallois. Nos deux victoires de prestige cette saison. A ce stade de la saison, il est important pour nous d’augmenter le temps de jeu d’Ismaël Kamagate. Nous mettons tout en oeuvre pour le préparer au mieux à son futur en NBA.»\n\nLe Paris Basketball doit aussi assurer son maintien en Betlic Elite. Il ne possède qu’une victoire d’avance sur Le Portel, qui est relégable.\n\nPhoto : NC State", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/dj-funderburk-e1647422797173.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-16T09:29:02.000Z", "updated_at":"2022-03-16T09:29:11.000Z", "published_at":"2022-03-16T09:29:02.000Z", "custom_excerpt":"Le Paris Basketball fait appel à DJ Funderburk, un ailier-fort américain capable de jouer pivot de 2,08m et 24 ans, qui est le pigiste médical d’Amara Sy, opéré de la cheville fin février, mais qui dans les faits remplace Kyle O’Quinn.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d9944b", "uuid":"d3a9b197-03cd-414b-aa07-56e001609463", "title":"Belgique : Le périple de l’Ukrainienne Viktoriya Balaban pour rejoindre les Castors de Braine", "slug":"belgique-le-periple-de-lukrainienne-viktoriya-balaban-pour-rejoindre-les-castors-de-braine", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/belgique-braine-accueille-une-joueuse-ukrainienne-par-solidarite/\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Dans une interview à \"],[0,[0],1,\"La Dernière Heure,\"],[0,[],0,\" l’Ukrainienne Viktoriya Balaban explique comment elle a quitté son pays et son mari pour \"],[0,[1],1,\"rejoindre la Belgique et les Castors de Braine\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Viktoriya Balaban, 25 ans, jouait pour Prometey, et face à la menace russe, le 8e de finale d’Eurocup face aux Turques de Mersin avait été délocalisé en Bulgarie. Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, Viktoriya embrassait une dernière fois son mari, Yevgen, lui aussi basketteur professionnel pour le club d’Odessa. Elle pensait juste faire un aller-retour, mais depuis, le couple ne s’est pas revu.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"“Heureusement, je l’ai souvent au téléphone. J’ai peur pour lui, comme j’ai peur pour ma fa mille. J’entends les sirènes\"],[0,[],0,\" \"],[0,[0],1,\"d’alerte quand Yevgen m’appelle. C’est très dur mentalement. Je regarde la télé tous les jours mais ma famille et mes amis me manquent.”\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après le match face à Mersin, Viktoriya a quitté le Bulgarie pour passer en Pologne. De là, elle a pris une voiture pour l’Allemagne et Berlin, puis un vol en direction de Bruxelles. Elle devrait jouer son premier match avec Braine le week-end à venir.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"“Je suis contente de pouvoir continuer à jouer au basket. Ça va me changer les idées par rapport à l’enfer que vit mon pays. Ma famille me sait aujourd’hui en sécurité et c’est le plus important pour elle\"],[0,[],0,\". »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Viktoriya Balaban, 25 ans, jouait pour Prometey, et face à la menace russe, le 8e de finale d’Eurocup face aux Turques de Mersin avait été délocalisé en Bulgarie. Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, Viktoriya embrassait une dernière fois son mari, Yevgen, lui aussi basketteur professionnel pour le club d’Odessa. Elle pensait juste faire un aller-retour, mais depuis, le couple ne s’est pas revu.
“Heureusement, je l’ai souvent au téléphone. J’ai peur pour lui, comme j’ai peur pour ma fa mille. J’entends les sirènes d’alerte quand Yevgen m’appelle. C’est très dur mentalement. Je regarde la télé tous les jours mais ma famille et mes amis me manquent.”
Après le match face à Mersin, Viktoriya a quitté le Bulgarie pour passer en Pologne. De là, elle a pris une voiture pour l’Allemagne et Berlin, puis un vol en direction de Bruxelles. Elle devrait jouer son premier match avec Braine le week-end à venir.
“Je suis contente de pouvoir continuer à jouer au basket. Ça va me changer les idées par rapport à l’enfer que vit mon pays. Ma famille me sait aujourd’hui en sécurité et c’est le plus important pour elle. »
Photo : FIBA
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De là, elle a pris une voiture pour l’Allemagne et Berlin, puis un vol en direction de Bruxelles. Elle devrait jouer son premier match avec Braine le week-end à venir.\n\n“Je suis contente de pouvoir continuer à jouer au basket. Ça va me changer les idées par rapport à l’enfer que vit mon pays. Ma famille me sait aujourd’hui en sécurité et c’est le plus important pour elle. »\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/viktoriya-balaban.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-16T09:09:56.000Z", "updated_at":"2022-03-16T09:10:06.000Z", "published_at":"2022-03-16T09:09:56.000Z", "custom_excerpt":"Dans une interview à La Dernière Heure, l’Ukrainienne Viktoriya Balaban explique comment elle a quitté son pays et son mari pour rejoindre la Belgique et les Castors de Braine.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d9944c", "uuid":"f7c2228e-0739-4697-928c-211d45727834", "title":"Paris 2024 : Evan Fournier en colère en apprenant que le tournoi de basket sera relégué Porte de Versailles", "slug":"jo-paris2024-evan-fournier-en-colere-en-apprenant-que-le-tournoi-de-basket-sera-relegue-porte-de-versailles", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/jpsiutat?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://t.co/5g6xqFbxJE\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/paris-2024-le-basket-encore-et-toujours-au-coeur-des-debats/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Alors que le tournoi de basket des Jeux Olympiques de Paris’2024 devait se jouer à Bercy et à l’Arena 2, les organisateurs ont finalement relégué sa première partie \"],[0,[0],1,\"dans le pavillon 6 du Parc des expositions de la porte de Versailles\"],[0,[],0,\". 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Photo : FIBA
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A la même heure, Angers a croqué Lyon (85-53 avec 25 points et 8 interceptions de Akemji Williams) et possède désormais une victoire de plus que Poitiers et un point-average favorable.
Photo : Yvann Mbaya (PB86)
Les Espagnols de Tenerife menaient 26 à 52 à la mi-temps, et en regardant le match, les Alsaciens pouvaient déjà être rassurés : avant même la dernière journée, la qualification était en poche avec une deuxième place du groupe L. Eux avaient déjà fait le travail la veille face aux Hongrois de Szombathely (96-88 a.p.).
La SIG sera en quart-de-finale le 5 avril, en affrontant le premier d’une autre poule en match aller, retour avec un éventuel match d’appui sur le terrain de l’adversaire. Mais en attendant, elle est ce soir à Monaco pour le compte du championnat de France, et la semaine prochaine aux Canaries, juste pour le plaisir.
Photo : Léo Cavalière (FIBA)
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À cette occasion, l’ancienne joueuse de l’équipe de France s’est confiée sur sa reconversion et sur l’évolution du basket féminin.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À même pas 20 ans, Yacine Sene était déjà championne de France et vainqueur de l’Euroleague avec Bourges. 15 saisons de Ligue Féminine (346 matches avec Reims, Aix, Clermont-Ferrand, Mondeville et Charleville-Mézières) plus tard, l’ancienne internationale (25 sélections) a pris sa retraite sportive et s’est installée dans les Ardennes où elle s’investit pleinement dans la vie associative et municipale. Tout en gardant un pied dans le basket, notamment auprès de son club de coeur, les Flammes Carolo. Discussion avec une femme optimiste, dynamique et expérimentée qui n’est pas prête, sept ans après la fin de sa carrière professionnelle, de quitter l’univers du basket.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous avez arrêté votre carrière de basketteuse pro en 2015. Que devenez-vous ?\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"« 2015, ça remonte (rires). Depuis sept ans, j’ai attaqué une autre partie de ma vie. Je l’avais anticipée puisque j’ai fini mes études de droit en 2010. J’avais déjà assuré ma reconversion en tant que juriste, au tribunal. En même temps, j’ai eu ma fille… Tout s’est enchainé un peu naturellement après ma carrière. Après, j’ai travaillé dans une association d’aide aux victimes et comme mandataire judiciaire. Et, depuis un an et demi, je suis chargée de mission au conseil départemental des Ardennes et adjointe aux sports et à la vie associative à Charleville-Mézières. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous qui avez cumulé basket et études pendant votre carrière de joueuse, est-ce facile, aujourd’hui en France, de basculer du basket professionnel au monde du travail traditionnel ?\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"« Pour moi, ça a été facile parce que j’ai pu choisir le moment où je voulais m’arrêter, ce moment où j’avais l’impression d’être allée au bout de ce que je pouvais donner. Je n’avais pas le sentiment de me dire « il faut que je continue ». Vraiment, j’étais au bout du bout du bout. Et puis, j’avais anticipé, je savais ce que je voulais faire après au-delà du basket. A côté du basket et à la fin de mes études notamment, j’ai fait du bénévolat dans une asso. J’ai toujours eu un pied dans autre chose que le basket, ça a toujours été important. Donc j’avais déjà un aperçu de ce qu’était la vie « réelle » . Et, vraiment, la transition a été facile. La seule difficulté, c’était de trouver du travail sur mon territoire, car ce n’est le territoire le plus attractif. Mais, à force de m’acharner, de chercher, de postuler malgré le fait qu’on me ferme plein de portes, je suis rentrée par d’autres (rires). Au final, j’ai eu l’impression d’une transition en douceur que j’avais préparé dans quelque chose qui me plaisait aussi. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« Le premier critère pour combiner études et basket pro, c’est la motivation »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Avant l’entrée dans le monde professionnel, combiner études et basket professionnel n’est pas adapté à tous les cursus et envies de chacun, du moins chez les filles…\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"« À mon époque, il commençait à y avoir des aménagements pour les sportifs de haut niveau, mais c’était déjà compliqué, parce qu’on me disait déjà par exemple « t’es pas payée pour faire des études » (rires). Et de l’autre côté, on a l’autre discours, « c’est quoi ces sportifs qui demandent des aménagements ? » Donc, en effet, ça demande de la persévérance. Pour combiner les deux, quelque chose me paraît essentiel, c’est de trouver un autre domaine que le basket et pour lequel on se passionne parce que c’est plus facile de se tenir à quelque chose qu’on aime. Je dis ça car aujourd’hui, il y a beaucoup de sportifs qui se lancent dans STAPS (\"],[0,[1],1,\"NDLR : sciences et techniques des activités physiques et sportives, fac de sport)\"],[0,[],0,\" par défaut. Mais il faut déjà aimer ça ! C’est un ensemble de choses. Maintenant, je crois que le premier critère pour combiner études et basket pro, c’est la motivation parce qu’en effet, c’est dur. Dur dans le rythme, dans la négociation entre club et côté scolaire pour arriver à combiner. »\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Y’a-t-il une amélioration ces dernières années dans l’aménagement des études pour les basketteuses ?\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"« Oui, je crois. Malgré tout, il y a de plus en plus de filières où le sportif de haut niveau est valorisé, et où on l’accompagne, notamment la Fondation Lagardère qui a ouvert un cursus permettant aux sportifs de haut niveau de pouvoir intégrer Sciences Po. Il valorise le sportif et prend en compte ses contraintes. Il y a de plus en plus d’opportunités. Et, pour l’avoir vécu certaines saisons, c’est plus facile de se concentrer que sur le sport, on peut se dire qu’on va être moins performant, qu’on va avoir moins d’énergie. Mais, d’un autre côté, ça nourrit et ça enrichit différemment. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Etes-vous toujours impliquée aujourd’hui, de près ou de loin, dans le monde du basket ?\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"« Je suis toujours proche des terrains de basket, forcément, c’est un sport que j’adore. J’ai aussi eu la chance de finir ma carrière dans un club qui m’a énormément donné (\"],[0,[1],1,\"NDLR : Charleville-Mézières\"],[0,[],0,\") et qui m’a aussi accompagné dans ma transition, m’a aidé dans plein de domaines de ma vie. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« Il y a une forme de stabilité, ne serait-ce qu’au niveau de la structuration des clubs de LFB. On n’a plus ces phénomènes de disparitions de clubs pour des raisons budgétaires. On a une équipe de France qui, à l’image de ce championnat, performe. Il y a une progression et le basket français, dans son ensemble, est très attractif »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous êtes engagée dans le milieu associatif, notamment en tant qu’adjointe aux sports et à la vie associative de Charleville-Mézières. Quels sont vos combats, en lien ou non avec le basket ?\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"« Certains de mes combats associatifs sont liés indirectement au sport. Je pense notamment que le sportif de haut niveau a un rôle qui va au-delà du sportif, notamment sur des territoires où les gens qui viennent aux matches n’ont pas forcément des vies simples et évidentes. Il faut savoir redonner vers les enfants, les familles en souffrance. C’est quelque chose qui doit être de plus en plus inscrit dans l’ADN des clubs. À Charleville, cela existe depuis longtemps. Lyon est depuis peu de temps devenu \"],[0,[2],1,\"un club à mission\"],[0,[],0,\". C’est quelque chose d’important. Il y a d’autres sujets. C’était une chance dans le basket de travailler avec des personnes d’origines extrêmement différentes. J’ai toujours eu cette appétence pour accompagner les personnes qui arrivent dans notre pays, c’est d’autant plus d’actualité en ce moment. Je donne de l’énergie aux associations d’accompagnement des migrants, ça me parait important. Et puis forcément, tout ce qui concerne la place des femmes dans la société, et notamment dans le sport féminin. Il y a encore du boulot, ça avance, mais quand on a été confrontée directement à ce que ça implique d’être une femme, et de devoir, au-delà de la performance, défendre sa place et exister encore plus, c’est important. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comment cela se traduit-il au quotidien ?\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"« Dans le cadre de mes nouvelles missions, j’essaie d’insuffler et de prôner une égalité femmes-hommes, ne serait-ce que dans la médiatisation. Le sport féminin a toute sa place, et il faut qu’il y ait un traitement équivalent en termes de visibilité. Il y a du chemin, je vous assure. Sinon au niveau du club de Charleville-Mézières, j’ai aidé à la structuration de « Flammes de Coeur » qui est devenue une association. Je ne suis plus présidente de l’association du fait de mes fonctions d’élue. Mais j’essaie toujours d’agir en étant actrice au niveau d’associations ou en mettant en avant des femmes qui font avancer les choses. »\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comment se porte le basket féminin français selon vous ?\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"« Je trouve que le championnat de France s’est homogénéisé avec le temps. Il y a une forme de stabilité, ne serait-ce qu’au niveau de la structuration des clubs. On n’a plus ces phénomènes de disparitions de clubs pour des raisons budgétaires (\"],[0,[1],1,\"NDLR : Valenciennes, Challes-les-Eaux, Aix-en-Provence, Clermont-Ferrand notamment\"],[0,[],0,\"). On arrive également à garder nos Françaises dans le championnat, même si certaines tentent parfois une expérience à l’étranger. En termes d’attractivité, les championnats russes, turques, espagnols, arrivent à attirer des superstars américaines. Là, on n’y est pas encore. Mais ça reste l’un des tous meilleurs championnats en Europe. On a une équipe de France qui, à l’image de ce championnat, performe. En coupe d’Europe, c’est plus difficile qu’à la grande époque des Valenciennes et Bourges (\"],[0,[1],1,\"NDLR : avec laquelle Yacine Sene a remporté l’Euroleague en 2001\"],[0,[],0,\") mais on reste au contact. Je trouve qu’il y a une progression et que le basket français, dans son ensemble, est très attractif. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« Charleville-Mézières, c’est un petit qui devient grand »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quel est votre regard sur la saison des Flammes Carolo ?\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"« Malgré le Covid, les blessures, les mouvements en cours de saison, la construction d’un équipe jeune, l’équipe s’en sort vraiment bien. Il n’y a plus de coupe d’Europe ni de coupe de France à l’heure où on se parle mais une belle deuxième place en championnat. Et il ne faut pas oublier tout ce qui a été fait ces dernières années, et la transition qui a dû être mise en place pour, un peu comme tout le monde, passer la crise liée à la pandémie. Chaque année, cette équipe a passé des paliers. Charleville-Mézières, c’est un petit qui devient grand. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Et sur sa structuration du club ?\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"« La structuration du club s’est faite étape par étape, en partant quand même de Départementale il y a un peu plus de 20 ans ! C’est, pour moi, un des clubs qui s’est inscrit dans le paysage du basket féminin français. On le compare par exemple à Basket Landes pour son côté identité de territoire assez forte. C’est un club qui a su construire sur la durée, étape après étape, et qui aujourd’hui existe dans le haut de tableau et en coupe d’Europe (\"],[0,[1],1,\"NDLR : élimination en huitièmes de finale de l’Eurocup contre Mersin\"],[0,[],0,\"). Après, ça reste mon club de coeur, c’est difficile de rester totalement objective (rires). »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Il y a quelques années, vous continuiez de jouer au basket à un niveau plus modeste dans une « équipe de mamans ». Est-ce toujours le cas ?\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"« La crise est passée par là (rires). J’ai toujours ma licence, je m’entraîne encore, mais j’ai un peu ralenti. J’ai commencé en Départementale il y a maintenant trois ans avec des copines, et pas que des « mamans », avec des jeunes de 18 ans également. C’est un mélange intéressant. On est montées en Pré-Nationale, on est championnes Grand Est, quand même. C’est le titre dont je suis le plus fière (rires). Malheureusement, cette année, on a eu énormément de blessées, on a dû faire un forfait général. Mais, quand on aime autant un sport, c’est difficile de s’arrêter. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"A suivre jeudi : interview avec Camille Lacourt, quintuple champion du monde de natation.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À même pas 20 ans, Yacine Sene était déjà championne de France et vainqueur de l’Euroleague avec Bourges. 15 saisons de Ligue Féminine (346 matches avec Reims, Aix, Clermont-Ferrand, Mondeville et Charleville-Mézières) plus tard, l’ancienne internationale (25 sélections) a pris sa retraite sportive et s’est installée dans les Ardennes où elle s’investit pleinement dans la vie associative et municipale. Tout en gardant un pied dans le basket, notamment auprès de son club de coeur, les Flammes Carolo. Discussion avec une femme optimiste, dynamique et expérimentée qui n’est pas prête, sept ans après la fin de sa carrière professionnelle, de quitter l’univers du basket.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous avez arrêté votre carrière de basketteuse pro en 2015. Que devenez-vous ?\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"« 2015, ça remonte (rires). Depuis sept ans, j’ai attaqué une autre partie de ma vie. Je l’avais anticipée puisque j’ai fini mes études de droit en 2010. J’avais déjà assuré ma reconversion en tant que juriste, au tribunal. En même temps, j’ai eu ma fille… Tout s’est enchainé un peu naturellement après ma carrière. Après, j’ai travaillé dans une association d’aide aux victimes et comme mandataire judiciaire. Et, depuis un an et demi, je suis chargée de mission au conseil départemental des Ardennes et adjointe aux sports et à la vie associative à Charleville-Mézières. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous qui avez cumulé basket et études pendant votre carrière de joueuse, est-ce facile, aujourd’hui en France, de basculer du basket professionnel au monde du travail traditionnel ?\"],[1,[],0,12],[0,[],0,\"« Pour moi, ça a été facile parce que j’ai pu choisir le moment où je voulais m’arrêter…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Yacine Sene (Bellenger-Allée/IS/FFBB)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
À même pas 20 ans, Yacine Sene était déjà championne de France et vainqueur de l’Euroleague avec Bourges. 15 saisons de Ligue Féminine (346 matches avec Reims, Aix, Clermont-Ferrand, Mondeville et Charleville-Mézières) plus tard, l’ancienne internationale (25 sélections) a pris sa retraite sportive et s’est installée dans les Ardennes où elle s’investit pleinement dans la vie associative et municipale. Tout en gardant un pied dans le basket, notamment auprès de son club de coeur, les Flammes Carolo. Discussion avec une femme optimiste, dynamique et expérimentée qui n’est pas prête, sept ans après la fin de sa carrière professionnelle, de quitter l’univers du basket.
Vous avez arrêté votre carrière de basketteuse pro en 2015. Que devenez-vous ?
« 2015, ça remonte (rires). Depuis sept ans, j’ai attaqué une autre partie de ma vie. Je l’avais anticipée puisque j’ai fini mes études de droit en 2010. J’avais déjà assuré ma reconversion en tant que juriste, au tribunal. En même temps, j’ai eu ma fille… Tout s’est enchainé un peu naturellement après ma carrière. Après, j’ai travaillé dans une association d’aide aux victimes et comme mandataire judiciaire. Et, depuis un an et demi, je suis chargée de mission au conseil départemental des Ardennes et adjointe aux sports et à la vie associative à Charleville-Mézières. »
Vous qui avez cumulé basket et études pendant votre carrière de joueuse, est-ce facile, aujourd’hui en France, de basculer du basket professionnel au monde du travail traditionnel ?
« Pour moi, ça a été facile parce que j’ai pu choisir le moment où je voulais m’arrêter, ce moment où j’avais l’impression d’être allée au bout de ce que je pouvais donner. Je n’avais pas le sentiment de me dire « il faut que je continue ». Vraiment, j’étais au bout du bout du bout. Et puis, j’avais anticipé, je savais ce que je voulais faire après au-delà du basket. A côté du basket et à la fin de mes études notamment, j’ai fait du bénévolat dans une asso. J’ai toujours eu un pied dans autre chose que le basket, ça a toujours été important. Donc j’avais déjà un aperçu de ce qu’était la vie « réelle » . Et, vraiment, la transition a été facile. La seule difficulté, c’était de trouver du travail sur mon territoire, car ce n’est le territoire le plus attractif. Mais, à force de m’acharner, de chercher, de postuler malgré le fait qu’on me ferme plein de portes, je suis rentrée par d’autres (rires). Au final, j’ai eu l’impression d’une transition en douceur que j’avais préparé dans quelque chose qui me plaisait aussi. »
Avant l’entrée dans le monde professionnel, combiner études et basket professionnel n’est pas adapté à tous les cursus et envies de chacun, du moins chez les filles…
« À mon époque, il commençait à y avoir des aménagements pour les sportifs de haut niveau, mais c’était déjà compliqué, parce qu’on me disait déjà par exemple « t’es pas payée pour faire des études » (rires). Et de l’autre côté, on a l’autre discours, « c’est quoi ces sportifs qui demandent des aménagements ? » Donc, en effet, ça demande de la persévérance. Pour combiner les deux, quelque chose me paraît essentiel, c’est de trouver un autre domaine que le basket et pour lequel on se passionne parce que c’est plus facile de se tenir à quelque chose qu’on aime. Je dis ça car aujourd’hui, il y a beaucoup de sportifs qui se lancent dans STAPS (NDLR : sciences et techniques des activités physiques et sportives, fac de sport) par défaut. Mais il faut déjà aimer ça ! C’est un ensemble de choses. Maintenant, je crois que le premier critère pour combiner études et basket pro, c’est la motivation parce qu’en effet, c’est dur. Dur dans le rythme, dans la négociation entre club et côté scolaire pour arriver à combiner. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/yacine-sene-cormareche-rencontres-leadership.png\")
Y’a-t-il une amélioration ces dernières années dans l’aménagement des études pour les basketteuses ?
« Oui, je crois. Malgré tout, il y a de plus en plus de filières où le sportif de haut niveau est valorisé, et où on l’accompagne, notamment la Fondation Lagardère qui a ouvert un cursus permettant aux sportifs de haut niveau de pouvoir intégrer Sciences Po. Il valorise le sportif et prend en compte ses contraintes. Il y a de plus en plus d’opportunités. Et, pour l’avoir vécu certaines saisons, c’est plus facile de se concentrer que sur le sport, on peut se dire qu’on va être moins performant, qu’on va avoir moins d’énergie. Mais, d’un autre côté, ça nourrit et ça enrichit différemment. »
Etes-vous toujours impliquée aujourd’hui, de près ou de loin, dans le monde du basket ?
« Je suis toujours proche des terrains de basket, forcément, c’est un sport que j’adore. J’ai aussi eu la chance de finir ma carrière dans un club qui m’a énormément donné (NDLR : Charleville-Mézières) et qui m’a aussi accompagné dans ma transition, m’a aidé dans plein de domaines de ma vie. »
Vous êtes engagée dans le milieu associatif, notamment en tant qu’adjointe aux sports et à la vie associative de Charleville-Mézières. Quels sont vos combats, en lien ou non avec le basket ?
« Certains de mes combats associatifs sont liés indirectement au sport. Je pense notamment que le sportif de haut niveau a un rôle qui va au-delà du sportif, notamment sur des territoires où les gens qui viennent aux matches n’ont pas forcément des vies simples et évidentes. Il faut savoir redonner vers les enfants, les familles en souffrance. C’est quelque chose qui doit être de plus en plus inscrit dans l’ADN des clubs. À Charleville, cela existe depuis longtemps. Lyon est depuis peu de temps devenu un club à mission. C’est quelque chose d’important. Il y a d’autres sujets. C’était une chance dans le basket de travailler avec des personnes d’origines extrêmement différentes. J’ai toujours eu cette appétence pour accompagner les personnes qui arrivent dans notre pays, c’est d’autant plus d’actualité en ce moment. Je donne de l’énergie aux associations d’accompagnement des migrants, ça me parait important. Et puis forcément, tout ce qui concerne la place des femmes dans la société, et notamment dans le sport féminin. Il y a encore du boulot, ça avance, mais quand on a été confrontée directement à ce que ça implique d’être une femme, et de devoir, au-delà de la performance, défendre sa place et exister encore plus, c’est important. »
Comment cela se traduit-il au quotidien ?
« Dans le cadre de mes nouvelles missions, j’essaie d’insuffler et de prôner une égalité femmes-hommes, ne serait-ce que dans la médiatisation. Le sport féminin a toute sa place, et il faut qu’il y ait un traitement équivalent en termes de visibilité. Il y a du chemin, je vous assure. Sinon au niveau du club de Charleville-Mézières, j’ai aidé à la structuration de « Flammes de Coeur » qui est devenue une association. Je ne suis plus présidente de l’association du fait de mes fonctions d’élue. Mais j’essaie toujours d’agir en étant actrice au niveau d’associations ou en mettant en avant des femmes qui font avancer les choses. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/yacine-sene.png\")
Comment se porte le basket féminin français selon vous ?
« Je trouve que le championnat de France s’est homogénéisé avec le temps. Il y a une forme de stabilité, ne serait-ce qu’au niveau de la structuration des clubs. On n’a plus ces phénomènes de disparitions de clubs pour des raisons budgétaires (NDLR : Valenciennes, Challes-les-Eaux, Aix-en-Provence, Clermont-Ferrand notamment). On arrive également à garder nos Françaises dans le championnat, même si certaines tentent parfois une expérience à l’étranger. En termes d’attractivité, les championnats russes, turques, espagnols, arrivent à attirer des superstars américaines. Là, on n’y est pas encore. Mais ça reste l’un des tous meilleurs championnats en Europe. On a une équipe de France qui, à l’image de ce championnat, performe. En coupe d’Europe, c’est plus difficile qu’à la grande époque des Valenciennes et Bourges (NDLR : avec laquelle Yacine Sene a remporté l’Euroleague en 2001) mais on reste au contact. Je trouve qu’il y a une progression et que le basket français, dans son ensemble, est très attractif. »
Quel est votre regard sur la saison des Flammes Carolo ?
« Malgré le Covid, les blessures, les mouvements en cours de saison, la construction d’un équipe jeune, l’équipe s’en sort vraiment bien. Il n’y a plus de coupe d’Europe ni de coupe de France à l’heure où on se parle mais une belle deuxième place en championnat. Et il ne faut pas oublier tout ce qui a été fait ces dernières années, et la transition qui a dû être mise en place pour, un peu comme tout le monde, passer la crise liée à la pandémie. Chaque année, cette équipe a passé des paliers. Charleville-Mézières, c’est un petit qui devient grand. »
Et sur sa structuration du club ?
« La structuration du club s’est faite étape par étape, en partant quand même de Départementale il y a un peu plus de 20 ans ! C’est, pour moi, un des clubs qui s’est inscrit dans le paysage du basket féminin français. On le compare par exemple à Basket Landes pour son côté identité de territoire assez forte. C’est un club qui a su construire sur la durée, étape après étape, et qui aujourd’hui existe dans le haut de tableau et en coupe d’Europe (NDLR : élimination en huitièmes de finale de l’Eurocup contre Mersin). Après, ça reste mon club de coeur, c’est difficile de rester totalement objective (rires). »
Il y a quelques années, vous continuiez de jouer au basket à un niveau plus modeste dans une « équipe de mamans ». Est-ce toujours le cas ?
« La crise est passée par là (rires). J’ai toujours ma licence, je m’entraîne encore, mais j’ai un peu ralenti. J’ai commencé en Départementale il y a maintenant trois ans avec des copines, et pas que des « mamans », avec des jeunes de 18 ans également. C’est un mélange intéressant. On est montées en Pré-Nationale, on est championnes Grand Est, quand même. C’est le titre dont je suis le plus fière (rires). Malheureusement, cette année, on a eu énormément de blessées, on a dû faire un forfait général. Mais, quand on aime autant un sport, c’est difficile de s’arrêter. »
A suivre jeudi : interview avec Camille Lacourt, quintuple champion du monde de natation.
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À même pas 20 ans, Yacine Sene était déjà championne de France et vainqueur de l’Euroleague avec Bourges. 15 saisons de Ligue Féminine (346 matches avec Reims, Aix, Clermont-Ferrand, Mondeville et Charleville-Mézières) plus tard, l’ancienne internationale (25 sélections) a pris sa retraite sportive et s’est installée dans les Ardennes où elle s’investit pleinement dans la vie associative et municipale. Tout en gardant un pied dans le basket, notamment auprès de son club de coeur, les Flammes Carolo. Discussion avec une femme optimiste, dynamique et expérimentée qui n’est pas prête, sept ans après la fin de sa carrière professionnelle, de quitter l’univers du basket.
Vous avez arrêté votre carrière de basketteuse pro en 2015. Que devenez-vous ?
« 2015, ça remonte (rires). Depuis sept ans, j’ai attaqué une autre partie de ma vie. Je l’avais anticipée puisque j’ai fini mes études de droit en 2010. J’avais déjà assuré ma reconversion en tant que juriste, au tribunal. En même temps, j’ai eu ma fille… Tout s’est enchainé un peu naturellement après ma carrière. Après, j’ai travaillé dans une association d’aide aux victimes et comme mandataire judiciaire. Et, depuis un an et demi, je suis chargée de mission au conseil départemental des Ardennes et adjointe aux sports et à la vie associative à Charleville-Mézières. »
Vous qui avez cumulé basket et études pendant votre carrière de joueuse, est-ce facile, aujourd’hui en France, de basculer du basket professionnel au monde du travail traditionnel ?
« Pour moi, ça a été facile parce que j’ai pu choisir le moment où je voulais m’arrêter…
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Photo : Yacine Sene (Bellenger-Allée/IS/FFBB)
", "comment_id":"592387", "plaintext":"Cette semaine, Yacine Sene, 39 ans, participait aux Rencontres du Leadership organisées par la JL Bourg. À cette occasion, l’ancienne joueuse de l’équipe de France s’est confiée sur sa reconversion et sur l’évolution du basket féminin.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nÀ même pas 20 ans, Yacine Sene était déjà championne de France et vainqueur de l’Euroleague avec Bourges. 15 saisons de Ligue Féminine (346 matches avec Reims, Aix, Clermont-Ferrand, Mondeville et Charleville-Mézières) plus tard, l’ancienne internationale (25 sélections) a pris sa retraite sportive et s’est installée dans les Ardennes où elle s’investit pleinement dans la vie associative et municipale. Tout en gardant un pied dans le basket, notamment auprès de son club de coeur, les Flammes Carolo. Discussion avec une femme optimiste, dynamique et expérimentée qui n’est pas prête, sept ans après la fin de sa carrière professionnelle, de quitter l’univers du basket.\n\nVous avez arrêté votre carrière de basketteuse pro en 2015. Que devenez-vous ?\n« 2015, ça remonte (rires). Depuis sept ans, j’ai attaqué une autre partie de ma vie. Je l’avais anticipée puisque j’ai fini mes études de droit en 2010. J’avais déjà assuré ma reconversion en tant que juriste, au tribunal. En même temps, j’ai eu ma fille… Tout s’est enchainé un peu naturellement après ma carrière. Après, j’ai travaillé dans une association d’aide aux victimes et comme mandataire judiciaire. Et, depuis un an et demi, je suis chargée de mission au conseil départemental des Ardennes et adjointe aux sports et à la vie associative à Charleville-Mézières. »\n\nVous qui avez cumulé basket et études pendant votre carrière de joueuse, est-ce facile, aujourd’hui en France, de basculer du basket professionnel au monde du travail traditionnel ?\n« Pour moi, ça a été facile parce que j’ai pu choisir le moment où je voulais m’arrêter, ce moment où j’avais l’impression d’être allée au bout de ce que je pouvais donner. Je n’avais pas le sentiment de me dire « il faut que je continue ». Vraiment, j’étais au bout du bout du bout. Et puis, j’avais anticipé, je savais ce que je voulais faire après au-delà du basket. A côté du basket et à la fin de mes études notamment, j’ai fait du bénévolat dans une asso. J’ai toujours eu un pied dans autre chose que le basket, ça a toujours été important. Donc j’avais déjà un aperçu de ce qu’était la vie « réelle » . Et, vraiment, la transition a été facile. La seule difficulté, c’était de trouver du travail sur mon territoire, car ce n’est le territoire le plus attractif. Mais, à force de m’acharner, de chercher, de postuler malgré le fait qu’on me ferme plein de portes, je suis rentrée par d’autres (rires). Au final, j’ai eu l’impression d’une transition en douceur que j’avais préparé dans quelque chose qui me plaisait aussi. »\n\n\n« Le premier critère pour combiner études et basket pro, c’est la motivation »\n\nAvant l’entrée dans le monde professionnel, combiner études et basket professionnel n’est pas adapté à tous les cursus et envies de chacun, du moins chez les filles…\n« À mon époque, il commençait à y avoir des aménagements pour les sportifs de haut niveau, mais c’était déjà compliqué, parce qu’on me disait déjà par exemple « t’es pas payée pour faire des études » (rires). Et de l’autre côté, on a l’autre discours, « c’est quoi ces sportifs qui demandent des aménagements ? » Donc, en effet, ça demande de la persévérance. Pour combiner les deux, quelque chose me paraît essentiel, c’est de trouver un autre domaine que le basket et pour lequel on se passionne parce que c’est plus facile de se tenir à quelque chose qu’on aime. Je dis ça car aujourd’hui, il y a beaucoup de sportifs qui se lancent dans STAPS (NDLR : sciences et techniques des activités physiques et sportives, fac de sport) par défaut. Mais il faut déjà aimer ça ! C’est un ensemble de choses. Maintenant, je crois que le premier critère pour combiner études et basket pro, c’est la motivation parce qu’en effet, c’est dur. Dur dans le rythme, dans la négociation entre club et côté scolaire pour arriver à combiner. »\n\nY’a-t-il une amélioration ces dernières années dans l’aménagement des études pour les basketteuses ?\n« Oui, je crois. Malgré tout, il y a de plus en plus de filières où le sportif de haut niveau est valorisé, et où on l’accompagne, notamment la Fondation Lagardère qui a ouvert un cursus permettant aux sportifs de haut niveau de pouvoir intégrer Sciences Po. Il valorise le sportif et prend en compte ses contraintes. Il y a de plus en plus d’opportunités. Et, pour l’avoir vécu certaines saisons, c’est plus facile de se concentrer que sur le sport, on peut se dire qu’on va être moins performant, qu’on va avoir moins d’énergie. Mais, d’un autre côté, ça nourrit et ça enrichit différemment. »\n\nEtes-vous toujours impliquée aujourd’hui, de près ou de loin, dans le monde du basket ?\n« Je suis toujours proche des terrains de basket, forcément, c’est un sport que j’adore. J’ai aussi eu la chance de finir ma carrière dans un club qui m’a énormément donné (NDLR : Charleville-Mézières) et qui m’a aussi accompagné dans ma transition, m’a aidé dans plein de domaines de ma vie. »\n\n\n« Il y a une forme de stabilité, ne serait-ce qu’au niveau de la structuration des clubs de LFB. On n’a plus ces phénomènes de disparitions de clubs pour des raisons budgétaires. On a une équipe de France qui, à l’image de ce championnat, performe. Il y a une progression et le basket français, dans son ensemble, est très attractif »\n\nVous êtes engagée dans le milieu associatif, notamment en tant qu’adjointe aux sports et à la vie associative de Charleville-Mézières. Quels sont vos combats, en lien ou non avec le basket ?\n« Certains de mes combats associatifs sont liés indirectement au sport. Je pense notamment que le sportif de haut niveau a un rôle qui va au-delà du sportif, notamment sur des territoires où les gens qui viennent aux matches n’ont pas forcément des vies simples et évidentes. Il faut savoir redonner vers les enfants, les familles en souffrance. C’est quelque chose qui doit être de plus en plus inscrit dans l’ADN des clubs. À Charleville, cela existe depuis longtemps. Lyon est depuis peu de temps devenu un club à mission. C’est quelque chose d’important. Il y a d’autres sujets. C’était une chance dans le basket de travailler avec des personnes d’origines extrêmement différentes. J’ai toujours eu cette appétence pour accompagner les personnes qui arrivent dans notre pays, c’est d’autant plus d’actualité en ce moment. Je donne de l’énergie aux associations d’accompagnement des migrants, ça me parait important. Et puis forcément, tout ce qui concerne la place des femmes dans la société, et notamment dans le sport féminin. Il y a encore du boulot, ça avance, mais quand on a été confrontée directement à ce que ça implique d’être une femme, et de devoir, au-delà de la performance, défendre sa place et exister encore plus, c’est important. »\n\nComment cela se traduit-il au quotidien ?\n« Dans le cadre de mes nouvelles missions, j’essaie d’insuffler et de prôner une égalité femmes-hommes, ne serait-ce que dans la médiatisation. Le sport féminin a toute sa place, et il faut qu’il y ait un traitement équivalent en termes de visibilité. Il y a du chemin, je vous assure. Sinon au niveau du club de Charleville-Mézières, j’ai aidé à la structuration de « Flammes de Coeur » qui est devenue une association. Je ne suis plus présidente de l’association du fait de mes fonctions d’élue. Mais j’essaie toujours d’agir en étant actrice au niveau d’associations ou en mettant en avant des femmes qui font avancer les choses. »\n\nComment se porte le basket féminin français selon vous ?\n« Je trouve que le championnat de France s’est homogénéisé avec le temps. Il y a une forme de stabilité, ne serait-ce qu’au niveau de la structuration des clubs. On n’a plus ces phénomènes de disparitions de clubs pour des raisons budgétaires (NDLR : Valenciennes, Challes-les-Eaux, Aix-en-Provence, Clermont-Ferrand notamment). On arrive également à garder nos Françaises dans le championnat, même si certaines tentent parfois une expérience à l’étranger. En termes d’attractivité, les championnats russes, turques, espagnols, arrivent à attirer des superstars américaines. Là, on n’y est pas encore. Mais ça reste l’un des tous meilleurs championnats en Europe. On a une équipe de France qui, à l’image de ce championnat, performe. En coupe d’Europe, c’est plus difficile qu’à la grande époque des Valenciennes et Bourges (NDLR : avec laquelle Yacine Sene a remporté l’Euroleague en 2001) mais on reste au contact. Je trouve qu’il y a une progression et que le basket français, dans son ensemble, est très attractif. »\n\n\n« Charleville-Mézières, c’est un petit qui devient grand »\n\nQuel est votre regard sur la saison des Flammes Carolo ?\n« Malgré le Covid, les blessures, les mouvements en cours de saison, la construction d’un équipe jeune, l’équipe s’en sort vraiment bien. Il n’y a plus de coupe d’Europe ni de coupe de France à l’heure où on se parle mais une belle deuxième place en championnat. Et il ne faut pas oublier tout ce qui a été fait ces dernières années, et la transition qui a dû être mise en place pour, un peu comme tout le monde, passer la crise liée à la pandémie. Chaque année, cette équipe a passé des paliers. Charleville-Mézières, c’est un petit qui devient grand. »\n\nEt sur sa structuration du club ?\n« La structuration du club s’est faite étape par étape, en partant quand même de Départementale il y a un peu plus de 20 ans ! C’est, pour moi, un des clubs qui s’est inscrit dans le paysage du basket féminin français. On le compare par exemple à Basket Landes pour son côté identité de territoire assez forte. C’est un club qui a su construire sur la durée, étape après étape, et qui aujourd’hui existe dans le haut de tableau et en coupe d’Europe (NDLR : élimination en huitièmes de finale de l’Eurocup contre Mersin). Après, ça reste mon club de coeur, c’est difficile de rester totalement objective (rires). »\n\nIl y a quelques années, vous continuiez de jouer au basket à un niveau plus modeste dans une « équipe de mamans ». Est-ce toujours le cas ?\n« La crise est passée par là (rires). J’ai toujours ma licence, je m’entraîne encore, mais j’ai un peu ralenti. J’ai commencé en Départementale il y a maintenant trois ans avec des copines, et pas que des « mamans », avec des jeunes de 18 ans également. C’est un mélange intéressant. On est montées en Pré-Nationale, on est championnes Grand Est, quand même. C’est le titre dont je suis le plus fière (rires). Malheureusement, cette année, on a eu énormément de blessées, on a dû faire un forfait général. Mais, quand on aime autant un sport, c’est difficile de s’arrêter. »\n\nA suivre jeudi : interview avec Camille Lacourt, quintuple champion du monde de natation.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nÀ même pas 20 ans, Yacine Sene était déjà championne de France et vainqueur de l’Euroleague avec Bourges. 15 saisons de Ligue Féminine (346 matches avec Reims, Aix, Clermont-Ferrand, Mondeville et Charleville-Mézières) plus tard, l’ancienne internationale (25 sélections) a pris sa retraite sportive et s’est installée dans les Ardennes où elle s’investit pleinement dans la vie associative et municipale. Tout en gardant un pied dans le basket, notamment auprès de son club de coeur, les Flammes Carolo. Discussion avec une femme optimiste, dynamique et expérimentée qui n’est pas prête, sept ans après la fin de sa carrière professionnelle, de quitter l’univers du basket.\n\nVous avez arrêté votre carrière de basketteuse pro en 2015. Que devenez-vous ?\n« 2015, ça remonte (rires). Depuis sept ans, j’ai attaqué une autre partie de ma vie. Je l’avais anticipée puisque j’ai fini mes études de droit en 2010. J’avais déjà assuré ma reconversion en tant que juriste, au tribunal. En même temps, j’ai eu ma fille… Tout s’est enchainé un peu naturellement après ma carrière. Après, j’ai travaillé dans une association d’aide aux victimes et comme mandataire judiciaire. Et, depuis un an et demi, je suis chargée de mission au conseil départemental des Ardennes et adjointe aux sports et à la vie associative à Charleville-Mézières. »\n\nVous qui avez cumulé basket et études pendant votre carrière de joueuse, est-ce facile, aujourd’hui en France, de basculer du basket professionnel au monde du travail traditionnel ?\n« Pour moi, ça a été facile parce que j’ai pu choisir le moment où je voulais m’arrêter…\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Yacine Sene (Bellenger-Allée/IS/FFBB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/yacine-sene-rvb_5011-scaled.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-16T06:00:00.000Z", "updated_at":"2022-03-15T13:03:02.000Z", "published_at":"2022-03-16T06:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Cette semaine, Yacine Sene, 39 ans, participait aux Rencontres du Leadership organisées par la JL Bourg. 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Il est certain que le financement de la plupart des clubs ne sera plus le même qu’avant. Probablement, la politique de l’État concernant l’invitation des étrangers changera également. J’espère vraiment qu’il y aura un virage vers la jeunesse locale. Ces dernières années, pour un certain nombre de raisons, seuls quelques-uns ont eu l’opportunité de prendre pied dans la rotation des clubs sérieux. D’où les faibles résultats de notre équipe nationale. La Russie a atteint la finale de la Coupe du monde deux fois de suite en 1994 et 1998, lorsque les joueurs locaux étaient les leaders de leurs clubs. Il n’y avait pratiquement pas d’étrangers dans le basket russe à cette époque. » Il ajoute : « Il est clair que ces dernières années, les meilleurs clubs se sont appuyés sur les étrangers pour réussir dans la compétition européenne. 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« Puisque nous avons une telle situation et que la plupart des étrangers quittent les clubs de la United League (NDLR: VTB League), alors nos gars devraient assumer les premiers rôles. Et j’espère passer au niveau supérieur. Quant au « nettoyage », il s’agit d’un enjeu politique plus global. Il est certain que le financement de la plupart des clubs ne sera plus le même qu’avant. Probablement, la politique de l’État concernant l’invitation des étrangers changera également. J’espère vraiment qu’il y aura un virage vers la jeunesse locale. Ces dernières années, pour un certain nombre de raisons, seuls quelques-uns ont eu l’opportunité de prendre pied dans la rotation des clubs sérieux. D’où les faibles résultats de notre équipe nationale. La Russie a atteint la finale de la Coupe du monde deux fois de suite en 1994 et 1998, lorsque les joueurs locaux étaient les leaders de leurs clubs. Il n’y avait pratiquement pas d’étrangers dans le basket russe à cette époque. » Il ajoute : « Il est clair que ces dernières années, les meilleurs clubs se sont appuyés sur les étrangers pour réussir dans la compétition européenne. Mais il est fort probable que dans un avenir proche nous ne reviendrons pas dans les tournois européens. »
Il lui est demandé si la décision de l’Euroleague de suspendre la participation des trois clubs russes l’a surpris.
« Honnêtement, j’ai été choqué. Les trois participants russes à l’Euroleague étaient dans la zone des playoffs et avaient de bonnes chances de concourir pour une place au Final Four. Cela a suscité l’intérêt du public. La plupart des matches UNICS de l’Euroleague ont été vendus. Nous avons fait un travail de sélection très cool, notre jeu a été une surprise pour de nombreux adversaires. Bien qu’avant le début de la saison, peu croyaient aux perspectives d’UNICS. Mais que faire, c’est une décision politique qui n’a rien à voir avec le sport. Je ne vois pas l’intérêt d’en discuter. »", "comment_id":"592415", "plaintext":"Stanislav Eremine est l’ancien meneur de jeu de l’équipe d’URSS des années 70. Il est désormais le chef du conseil des entraîneurs de la Fédération russe de basket-ball (RBF), et l’assistant du président de l’UNICS Kazan pour le développement des jeunes. 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Ces dernières années, pour un certain nombre de raisons, seuls quelques-uns ont eu l’opportunité de prendre pied dans la rotation des clubs sérieux. D’où les faibles résultats de notre équipe nationale. La Russie a atteint la finale de la Coupe du monde deux fois de suite en 1994 et 1998, lorsque les joueurs locaux étaient les leaders de leurs clubs. Il n’y avait pratiquement pas d’étrangers dans le basket russe à cette époque. » Il ajoute : « Il est clair que ces dernières années, les meilleurs clubs se sont appuyés sur les étrangers pour réussir dans la compétition européenne. Mais il est fort probable que dans un avenir proche nous ne reviendrons pas dans les tournois européens. »\n\nIl lui est demandé si la décision de l’Euroleague de suspendre la participation des trois clubs russes l’a surpris.\n\n« Honnêtement, j’ai été choqué. Les trois participants russes à l’Euroleague étaient dans la zone des playoffs et avaient de bonnes chances de concourir pour une place au Final Four. 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Maintenant, il faut espérer qu’Armani ou Zanetti (NDLR : les propriétaires de Milan et de la Virtus Bologne) continueront à investir dans les années à venir. Pour le reste j’en vois très peu aux alentours. Les équipes changent beaucoup, les supporters se fidélisent peu, et puis il y a aussi eu le Covid ces dernières années. Pourtant, de temps en temps, des flashs de bon basket apparaissent ici et là ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Carlton Myers confirme que la prestation de l’équipe nationale aux JO de Tokyo -elle a été éliminée par la France en quart-de-finale (84-75)- a bénéficié à tout le basket transalpin.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« L’équipe nationale est le pivot de tout le mouvement. Il est scandaleux que les joueurs des clubs de l’Euroleague ne puissent pas être appelés pendant les fenêtres de qualification pour les Coupes d’Europe et du Monde. Parfois, nous sommes satisfaits en prenant des choses comme la qualification pour les Jeux olympiques pour de grands succès. 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« Tout ce que nous avons vu lors des années 1980 à 2004, jusqu’à l’argent à Athènes, était le meilleur que notre basket ait jamais eu. Et les succès de l’équipe nationale étaient la conséquence logique de ce spectacle », assure t-il.
Carlton Myers souscrit aux affirmations du coach américain Dan Peterson, qui a déclaré que la chance du basket italien était alors le fait que les équipes étaient basées sur les joueurs nationaux.
« C’est vrai : il y avait des porte-drapeaux, des joueurs, des symboles auxquels les supporters s’attachaient. Les places les plus chaudes ont poussé les présidents à investir. Et nous sommes arrivés à ces derbies fougueux, ou aux nombreuses batailles contre Trévise, Milan, Rome, Pesaro, Vérone, Trieste. Maintenant, il faut espérer qu’Armani ou Zanetti (NDLR : les propriétaires de Milan et de la Virtus Bologne) continueront à investir dans les années à venir. Pour le reste j’en vois très peu aux alentours. Les équipes changent beaucoup, les supporters se fidélisent peu, et puis il y a aussi eu le Covid ces dernières années. Pourtant, de temps en temps, des flashs de bon basket apparaissent ici et là ».
Carlton Myers confirme que la prestation de l’équipe nationale aux JO de Tokyo -elle a été éliminée par la France en quart-de-finale (84-75)- a bénéficié à tout le basket transalpin.
« L’équipe nationale est le pivot de tout le mouvement. Il est scandaleux que les joueurs des clubs de l’Euroleague ne puissent pas être appelés pendant les fenêtres de qualification pour les Coupes d’Europe et du Monde. Parfois, nous sommes satisfaits en prenant des choses comme la qualification pour les Jeux olympiques pour de grands succès. C’est une réussite, mais cela ne peut pas être un objectif. L’objectif doit être de revenir à des tournois gagnants. Le dernier en date est encore le Championnat d’Europe 1999. Le nôtre ».
Il estime que les jeunes peuvent se souvenir de lui pour trois raisons :
« La balle sous le maillot à la fin d’Italie-Espagne, lors de la finale du Championnat d’Europe 1999 ».
« Le record de points, 87, en A-2, en 1995. J’étais revenu à Rimini en otage de Pesaro. Dans ce match contre Udine, j’y ai mis toute la colère que j’avais dans mon corps. Je suis toujours le Wilt Chamberlain italien, disons ».
« J’ai été le premier Italien noir à porter le drapeau lors d’une cérémonie d’ouverture olympique, à Sydney en 2000 ».
Et à propos de la situation des Noirs en Italie, il affirme :
« Toujours très mauvais. On est surpris quand un Italien noir fait quelque chose d’important, on le souligne, comme pour dire « eux aussi, maintenant ». En 2018, l’Italie du football avait évoqué la possibilité de confier le capitanat à Mario Balotelli. Ils m’ont appelé pour un entretien, ils m’ont demandé un commentaire, comme on fait devant un événement exceptionnel. En Angleterre ou en France, cela ne serait jamais arrivé. »", "comment_id":"592270", "plaintext":"Né, il y a 50 ans, à Londres, d’un père originaire de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, et d’une mère italienne, Carlton Myers fut un extraordinaire scoreur dans les années 1990-2000, notamment avec la Fortitudo Bologne. Pour la Repubblica, il est revenu sur son parcours et ses sensations.\n\n« Tout ce que nous avons vu lors des années 1980 à 2004, jusqu’à l’argent à Athènes, était le meilleur que notre basket ait jamais eu. 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Pourtant, de temps en temps, des flashs de bon basket apparaissent ici et là ».\n\nCarlton Myers confirme que la prestation de l’équipe nationale aux JO de Tokyo -elle a été éliminée par la France en quart-de-finale (84-75)- a bénéficié à tout le basket transalpin.\n\n« L’équipe nationale est le pivot de tout le mouvement. Il est scandaleux que les joueurs des clubs de l’Euroleague ne puissent pas être appelés pendant les fenêtres de qualification pour les Coupes d’Europe et du Monde. Parfois, nous sommes satisfaits en prenant des choses comme la qualification pour les Jeux olympiques pour de grands succès. C’est une réussite, mais cela ne peut pas être un objectif. L’objectif doit être de revenir à des tournois gagnants. Le dernier en date est encore le Championnat d’Europe 1999. 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Originaire de l’Etat de New York, et arrivé en Europe via la Slovaquie en 2015, John Petrucelli veut profiter de ses ascendances italiennes par ses arrières grands-parents, qui sont partis en 1911 d’Orta di Atella, dans la province de Caserte, pour émigrer aux Etats-Unis.
En cas d’obtention du passeport italien, Petrucelli, serait « inscrit » sans avoir besoin d’un visa non-UE, mais il serait toujours dans le quota des étrangers n’étant pas formé localement (JFL). Il pourrait aussi postuler à l’équipe nationale, comme cela a déjà été le cas pour son coéquipier Christian Burns.
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Photo : Eurocupbasketball
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Confronté à la guerre en Ukraine, le Californien de San Diego a quitté la Russie et son club de Enisey Krasnoyarsk dans l’urgence après avoir disputé un dernier match le 22 février. En Sibérie, cet arrière polyvalent disputait la relevée VTB League et tournait à 10,9 points à 42,7 % aux tirs, 2,6 passes décisives, 2,3 rebonds et 1,1 interception pour 8,9 d’évaluation en 27 minutes (10 matches).
Auparavant, et après un cursus universitaire à UC Davis (16,1 points de moyenne en 2017), il avait lancé sa carrière professionnelle… en France, en Pro B. Au SLUC Nancy dans un premier temps (9,7 points), avec pour coéquipiers Valentin Chéry et Williams Narace, puis à Caen pour terminer l’exercice (14,4 points). C’est ensuite en Hongrie (18,9 points de moyenne à Sopron) puis en Pologne (16,7 points à Lublin) qu’il a pris de l’épaisseur, avant de découvrir l’an dernier le championnat turc à Gaziantep, sous les ordres de Nenad Markovic, actuel coach de Dijon. Des raisons extrasportives l’avaient poussé à filer en Italie début mars 2021 au Reggio Emilia. Réputé pour sa mentalité irréprochable, ses qualités d’arrière et son aptitude à se faire rapidement à la vie de groupe, il débarque avec l’objectif d’être de suite performant.
Elric Delord, coach du MSB : « Brynton est un combo que l’on suit depuis quelque temps et qui n’est donc pas un inconnu pour nous. Avec l’incertitude autour de la blessure de Scott, et en se prémunissant de toute éventuelle nouvelle blessure dans l’effectif, nous avons décidé de signer Brynton pour compléter notre effectif. C’est un joueur qui est complet dans le sens où il fait beaucoup de bonnes choses sur un terrain sans être un spécialiste dans un domaine particulier. C’est ce profil que je voulais car un couteau suisse est plus facile à intégrer pour cette fin de saison. Son altruisme devrait lui permettre de se fondre dans notre identité de jeu. Capable de défendre sur les postes 1, 2 et 3, il devra néanmoins appréhender notre défense collective, ce qui nécessite toujours un peu de temps. Enfin, compétiteur, il a soif d’apprendre, de progresser et de partager avec ses futurs coéquipiers dont certains qu’il connait déjà. »
Photo : Brynton Lemar (FIBA)
", "comment_id":"592472", "plaintext":"Scott Bamforth arrêté jusqu’à fin avril, Le Mans a choisi de se renforcer dans la lutte pour les playoffs avec l’arrière Brynton Lemar (1,91 m, 27 ans) en provenance de Russie.\n\n« Après avoir pris le temps de la réflexion et mesuré les enjeux à venir, avec un calendrier de fin de saison particulièrement compliqué, Le Mans Sarthe Basket a décidé de recruter un joker », peut-on lire sur le communiqué officiel annonçant la venue de Brynton Lemar. C’est ainsi pour une mission playoffs que l’arrière américain a posé ses valises en Sarthe, lui qui avait déjà été sollicité par le MSB l’été dernier.\n\nConfronté à la guerre en Ukraine, le Californien de San Diego a quitté la Russie et son club de Enisey Krasnoyarsk dans l’urgence après avoir disputé un dernier match le 22 février. En Sibérie, cet arrière polyvalent disputait la relevée VTB League et tournait à 10,9 points à 42,7 % aux tirs, 2,6 passes décisives, 2,3 rebonds et 1,1 interception pour 8,9 d’évaluation en 27 minutes (10 matches).\n\nAuparavant, et après un cursus universitaire à UC Davis (16,1 points de moyenne en 2017), il avait lancé sa carrière professionnelle… en France, en Pro B. Au SLUC Nancy dans un premier temps (9,7 points), avec pour coéquipiers Valentin Chéry et Williams Narace, puis à Caen pour terminer l’exercice (14,4 points). C’est ensuite en Hongrie (18,9 points de moyenne à Sopron) puis en Pologne (16,7 points à Lublin) qu’il a pris de l’épaisseur, avant de découvrir l’an dernier le championnat turc à Gaziantep, sous les ordres de Nenad Markovic, actuel coach de Dijon. Des raisons extrasportives l’avaient poussé à filer en Italie début mars 2021 au Reggio Emilia. Réputé pour sa mentalité irréprochable, ses qualités d’arrière et son aptitude à se faire rapidement à la vie de groupe, il débarque avec l’objectif d’être de suite performant.\n\nElric Delord, coach du MSB : « Brynton est un combo que l’on suit depuis quelque temps et qui n’est donc pas un inconnu pour nous. Avec l’incertitude autour de la blessure de Scott, et en se prémunissant de toute éventuelle nouvelle blessure dans l’effectif, nous avons décidé de signer Brynton pour compléter notre effectif. C’est un joueur qui est complet dans le sens où il fait beaucoup de bonnes choses sur un terrain sans être un spécialiste dans un domaine particulier. C’est ce profil que je voulais car un couteau suisse est plus facile à intégrer pour cette fin de saison. Son altruisme devrait lui permettre de se fondre dans notre identité de jeu. Capable de défendre sur les postes 1, 2 et 3, il devra néanmoins appréhender notre défense collective, ce qui nécessite toujours un peu de temps. Enfin, compétiteur, il a soif d’apprendre, de progresser et de partager avec ses futurs coéquipiers dont certains qu’il connait déjà. »\n\nPhoto : Brynton Lemar (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/brynton-lemar-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-15T16:41:08.000Z", "updated_at":"2022-03-15T16:42:53.000Z", "published_at":"2022-03-15T16:41:08.000Z", "custom_excerpt":"Scott Bamforth arrêté jusqu’à fin avril, Le Mans a choisi de se renforcer dans la lutte pour les playoffs avec l’arrière Brynton Lemar (1,91 m, 27 ans) en provenance de Russie.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99454", "uuid":"29d6295e-c702-49e5-9cb7-b8e2456bc506", "title":"Féminines : L’Espagnole Laura Nicholls annonce que sa retraite est définitive", "slug":"feminines-lespagnole-laura-nicholls-annonce-que-sa-retraite-est-definitive", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Laura Nicholls, 33 ans, l’une des meilleures joueuses espagnoles de sa génération, a annoncé hier lors du gala de \"],[0,[0],1,\"Gigantes del Basket\"],[0,[],0,\", que son retrait du basket est définitif.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En mai 2021, Laura Nicholls avait déclaré qu’elle prenait congé de l’équipe nationale, mais que sa décision d’arrêter le basket n’était pas un \"],[0,[0],1,\"« dernier adieu »\"],[0,[],0,\". Cette fois, c’est le cas.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Nicholls laisse derrière elle une carrière avec pas moins de 9 médailles en 197 matches avec l’équipe nationale (trois médailles d’or européennes, une médaille d’argent olympique et une mondiale, deux bronzes mondiaux et deux bronzes européens). Son dernier club aura été Fenerbahçe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"En mai 2021, Laura Nicholls avait déclaré qu’elle prenait congé de l’équipe nationale, mais que sa décision d’arrêter le basket n’était pas un « dernier adieu ». Cette fois, c’est le cas.
Nicholls laisse derrière elle une carrière avec pas moins de 9 médailles en 197 matches avec l’équipe nationale (trois médailles d’or européennes, une médaille d’argent olympique et une mondiale, deux bronzes mondiaux et deux bronzes européens). Son dernier club aura été Fenerbahçe.
Photo : FIBA
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Après avoir été 3 fois All-Star en ABA, 9 fois en NBA, dont il a été aussi 4 fois le meilleur marqueur, George « The Iceman » Gervin avait terminé sa carrière en Europe, en Italie (Rome), puis en Espagne (Manresa). Il avait marqué 31 points lors de son dernier match dans le championnat espagnol alors qu’il avait 38 ans et 29 jours.
Dans ce match, Marcelinho Huertas a ajouté 7 passes, qui se sont matérialisées en 15 points pour son équipe et quatre rebonds.
A la fin de la rencontre, Huertas a déclaré vouloir « continuer à s’amuser ». « Je le fais tous les jours. J’aime venir m’entraîner, être avec mes coéquipiers, les matchs bien sûr… Si tu aimes ce que tu fais, ça devient plus facile pour toi. »
Ce sera un évènement parisien et certainement un record national de spectateurs pour la saison. Le Paris Basketball annonce que toutes les billets en catégorie 1 ont été vendues et que de nouvelles places ont été ouvertes.
Quelques jours après la journée du Droit des Femmes, ce match placé sous le thème « Women’s Game » rendra hommage aux femmes, dans le basket, dans le sport via différentes activations :
Le match sera diffusé à 15h15 sur France 3 Paris Ile-de-France et France 3 Côte d’Azur.
Photo : Juhann Begarin (Thomas Savoja)
", "comment_id":"592431", "plaintext":"7 250 places ont déjà été vendues pour le match Paris BasketBall vs AS Monaco, qui va se tenir le dimanche 20 mars, à 15h15, à l’Accor Arena de Paris-Bercy.\n\nCe sera un évènement parisien et certainement un record national de spectateurs pour la saison. Le Paris Basketball annonce que toutes les billets en catégorie 1 ont été vendues et que de nouvelles places ont été ouvertes.\n\nQuelques jours après la journée du Droit des Femmes, ce match placé sous le thème « Women’s Game » rendra hommage aux femmes, dans le basket, dans le sport via différentes activations :\n\n * Diffusé sur les antennes de France Televisions, le match sera co-présenté par la championne, médaillée olympique Diandra Tchatchouang.\n * Un show à la mi-temps d’une artiste dont le nom sera révélé prochainement\n * Un tee-shirt d’entrainement designé par le collectif Jdid Club édité à 100 exemplaires\n * Des animations 100% féminines\n * Invitation d’une cinquantaine de basketteuses et entrepreneuses par notre partenaire majeur SNIPES\n\nLe match sera diffusé à 15h15 sur France 3 Paris Ile-de-France et France 3 Côte d’Azur.\n\n\nParis 🆚 Monaco J-5 💥\n\n👋 @feed est notre partenaire de match\n\n🚨 7250 places ont été vendues, la catégorie 1 est SOLD OUT… alors on a décidé d’ouvrir des nouvelles places en balcons pour les retardataires 🎟🤷♂️\n\n👉 https://t.co/na1UN5MyAS 👈\n👉 https://t.co/na1UN5MyAS 👈 pic.twitter.com/rIWpDLimid\n\n— Paris Basketball (@ParisBasketball) March 15, 2022\n\n\nPhoto : Juhann Begarin (Thomas Savoja)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/juhann-begarin-paris-thomas-savoja.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-15T11:50:00.000Z", "updated_at":"2022-03-15T15:23:11.000Z", "published_at":"2022-03-15T11:50:00.000Z", "custom_excerpt":"7 250 places ont déjà été vendues pour le match Paris BasketBall vs AS Monaco, qui va se tenir le dimanche 20 mars, à 15h15, à l’Accor Arena de Paris-Bercy.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99457", "uuid":"20fb77d6-82c7-4c76-9c9d-9536dfb60b70", "title":"Une ligue Jr NBA FFBB UNSS lancée dans les Bouches du Rhône et le Vaucluse", "slug":"une-ligue-jr-nba-ffbb-unss-lancee-dans-les-bouches-du-rhone-et-le-vaucluse", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://tjed.maillist-manage.eu/click.zc?m=1&mrd=1aeaef1eb691557&od=3z451b62959c6defe526c2741dc76f66d4&linkDgs=1aeaef1eb68bb0a&repDgs=1aeaef1eb6916f1\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://beinsports.com/\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://tjed.maillist-manage.eu/click.zc?m=1&mrd=1aeaef1eb691557&od=3z451b62959c6defe526c2741dc76f66d4&linkDgs=1aeaef1eb68bb0c&repDgs=1aeaef1eb6916f1\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://tjed.maillist-manage.eu/click.zc?m=1&mrd=1aeaef1eb691557&od=3z451b62959c6defe526c2741dc76f66d4&linkDgs=1aeaef1eb68bb0e&repDgs=1aeaef1eb6916f1\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://tjed.maillist-manage.eu/click.zc?m=1&mrd=1aeaef1eb691557&od=3z451b62959c6defe526c2741dc76f66d4&linkDgs=1aeaef1eb68bb10&repDgs=1aeaef1eb6916f1\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://tjed.maillist-manage.eu/click.zc?m=1&mrd=1aeaef1eb691557&od=3z451b62959c6defe526c2741dc76f66d4&linkDgs=1aeaef1eb68bb12&repDgs=1aeaef1eb6916f1\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La \"],[0,[0],1,\"NBA\"],[0,[],0,\", la FFBB et l’\"],[0,[0],1,\"Union Nationale du Sport Scolaire\"],[0,[],0,\" (UNSS) ont annoncé aujourd’hui le lancement de la première ligue \"],[0,[0],1,\"Jr. NBA FFBB UNSS\"],[0,[],0,\" pour les garçons et les filles âgés de 11 à 12 ans de 30 collèges des Bouches du Rhône et du Vaucluse. Ce nouveau programme à Marseille s’appuie sur la \"],[0,[0],1,\"Jr. NBA FFBB UNSS League\"],[0,[],0,\" à Paris qui a touché 1 350 jeunes joueurs depuis 2018.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La ligue débutera avec une draft demain, mercredi 16 mars, en compagnie de l’ancien joueur NBA et international français (44 sélections en Equipe de France) Mickaël Pietrus. Durant l’événement, chacun des 30 collèges participants et 450 joueurs des Bouches du Rhône et du Vaucluse se verront assignés une équipe NBA et recevront des maillots aux couleurs de l’équipe pour les matchs qui débuteront le 30 mars jusqu’aux finales le 22 juin.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je me réjouis de la réalisation de ce projet à Marseille, qui s’inscrit dans le prolongement de notre partenariat avec la NBA débuté en 2010, autour de notre programme Challenge Benjamin(e)s », a déclaré Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB. « L’objectif de la FFBB est de proposer la plus large palette d’activités basket et cette collaboration avec la NBA et l’UNSS, initiée à Paris il y a quatre ans, est une évidence. Je félicite les clubs de Marseille, et notamment le SMUC (Stade Marseillais Université Club) de notre ancien joueur international Mickaël Pietrus, ainsi que le Comité des Bouches du Rhône et la Ligue Sud de Basket-ball impliqués dans ce projet. »\"],[1,[],0,0],[1,[],0,1]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Tout au long du mois de février, les associations sportives des collèges des Bouches du Rhône et du Vaucluse ont organisé une série de Skills Challenge pour les jeunes, destinée à tester les capacités au tir, de maniement du ballon et de passe des participants, tout en gardant leur sang- froid sous pression. Le ou la meilleure de chaque AS sera invité à participer aux finales organisées avant la draft de la Jr. NBA FFBB UNSS League à Marseille.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Jr. NBA est le programme de basket-ball mondial de la ligue destiné aux garçons et aux filles, qui enseigne les compétences fondamentales et les valeurs essentielles du jeu – le travail d’équipe, le respect, la détermination et le vivre ensemble – dans le but de contribuer à la croissance et à l’amélioration de l’expérience du basket-ball chez les jeunes pour les joueurs, les entraîneurs et les parents. Au cours de la saison 2021-22, la Jr. NBA touchera plus de 37 000 jeunes dans 28 pays à travers l’Europe et du Moyen-Orient.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les fans peuvent trouver plus d’information sur \"],[0,[1],1,\"NBA.com/France\"],[0,[],0,\", le site officiel de la NBA hébergé sur \"],[0,[2],1,\"beinsports.com\"],[0,[],0,\", à partir de la NBA App (\"],[0,[3],1,\"App Store\"],[0,[],0,\" \"],[0,[4],1,\"Google Play\"],[0,[],0,\"), et sur Facebook (\"],[0,[5],1,\"NBA France\"],[0,[],0,\") et Twitter (\"],[0,[6],1,\"@NBAFrance\"],[0,[],0,\").\"]]],[1,\"p\",[[0,[7],1,\"Photo : FFBB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"La ligue débutera avec une draft demain, mercredi 16 mars, en compagnie de l’ancien joueur NBA et international français (44 sélections en Equipe de France) Mickaël Pietrus. Durant l’événement, chacun des 30 collèges participants et 450 joueurs des Bouches du Rhône et du Vaucluse se verront assignés une équipe NBA et recevront des maillots aux couleurs de l’équipe pour les matchs qui débuteront le 30 mars jusqu’aux finales le 22 juin.
« Je me réjouis de la réalisation de ce projet à Marseille, qui s’inscrit dans le prolongement de notre partenariat avec la NBA débuté en 2010, autour de notre programme Challenge Benjamin(e)s », a déclaré Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB. « L’objectif de la FFBB est de proposer la plus large palette d’activités basket et cette collaboration avec la NBA et l’UNSS, initiée à Paris il y a quatre ans, est une évidence. Je félicite les clubs de Marseille, et notamment le SMUC (Stade Marseillais Université Club) de notre ancien joueur international Mickaël Pietrus, ainsi que le Comité des Bouches du Rhône et la Ligue Sud de Basket-ball impliqués dans ce projet. »
Tout au long du mois de février, les associations sportives des collèges des Bouches du Rhône et du Vaucluse ont organisé une série de Skills Challenge pour les jeunes, destinée à tester les capacités au tir, de maniement du ballon et de passe des participants, tout en gardant leur sang- froid sous pression. Le ou la meilleure de chaque AS sera invité à participer aux finales organisées avant la draft de la Jr. NBA FFBB UNSS League à Marseille.
La Jr. NBA est le programme de basket-ball mondial de la ligue destiné aux garçons et aux filles, qui enseigne les compétences fondamentales et les valeurs essentielles du jeu – le travail d’équipe, le respect, la détermination et le vivre ensemble – dans le but de contribuer à la croissance et à l’amélioration de l’expérience du basket-ball chez les jeunes pour les joueurs, les entraîneurs et les parents. Au cours de la saison 2021-22, la Jr. NBA touchera plus de 37 000 jeunes dans 28 pays à travers l’Europe et du Moyen-Orient.
Les fans peuvent trouver plus d’information sur NBA.com/France, le site officiel de la NBA hébergé sur beinsports.com, à partir de la NBA App (App Store Google Play), et sur Facebook (NBA France) et Twitter (@NBAFrance).
Photo : FFBB
", "comment_id":"592419", "plaintext":"La NBA, la FFBB et l’Union Nationale du Sport Scolaire (UNSS) ont annoncé aujourd’hui le lancement de la première ligue Jr. NBA FFBB UNSS pour les garçons et les filles âgés de 11 à 12 ans de 30 collèges des Bouches du Rhône et du Vaucluse. Ce nouveau programme à Marseille s’appuie sur la Jr. NBA FFBB UNSS League à Paris qui a touché 1 350 jeunes joueurs depuis 2018.\n\nLa ligue débutera avec une draft demain, mercredi 16 mars, en compagnie de l’ancien joueur NBA et international français (44 sélections en Equipe de France) Mickaël Pietrus. Durant l’événement, chacun des 30 collèges participants et 450 joueurs des Bouches du Rhône et du Vaucluse se verront assignés une équipe NBA et recevront des maillots aux couleurs de l’équipe pour les matchs qui débuteront le 30 mars jusqu’aux finales le 22 juin.\n\n« Je me réjouis de la réalisation de ce projet à Marseille, qui s’inscrit dans le prolongement de notre partenariat avec la NBA débuté en 2010, autour de notre programme Challenge Benjamin(e)s », a déclaré Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB. « L’objectif de la FFBB est de proposer la plus large palette d’activités basket et cette collaboration avec la NBA et l’UNSS, initiée à Paris il y a quatre ans, est une évidence. Je félicite les clubs de Marseille, et notamment le SMUC (Stade Marseillais Université Club) de notre ancien joueur international Mickaël Pietrus, ainsi que le Comité des Bouches du Rhône et la Ligue Sud de Basket-ball impliqués dans ce projet. »\n\n\n\nTout au long du mois de février, les associations sportives des collèges des Bouches du Rhône et du Vaucluse ont organisé une série de Skills Challenge pour les jeunes, destinée à tester les capacités au tir, de maniement du ballon et de passe des participants, tout en gardant leur sang- froid sous pression. 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Photo : Ricky Rubio (FIBA)
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Photo : ASA
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En fait, Ponitka ne voulait pas retourner en Russie. Il a été contraint de le faire pour des raisons financières car il a un contrat de trois ans qui a été paraphé avant cette saison. Il y a beaucoup d’argent en jeu et le club russe n’a pas accepté une résiliation à l’amiable du contrat, à moins que Ponitka ne paie une énorme indemnité de sa propre poche.
« Le contrat est valable jusqu’en 2024. Le Zenit aurait réclamé une indemnité à sept chiffres pour une rupture. De plus, Mateusz est menacé de ne pas jouer pendant deux ans en cas de rupture », affirme, Polsat Sport. » « Je ne veux pas aller trop loin sur cette question. Je comprends les critiques qui m’ont été adressées, mais – comme d’autres athlètes évoluant en Russie – j’ai un contrat, » a simplement répondu le joueur.
Le 25 mars, la FIBA doit décider si elle exclue la fédération de Russie. Si c’est le cas, les joueurs pourront quitter les clubs russes sans se faire sanctionner, mais évidemment sans indemnités. En attendant, pour les Polonais, Mateusz Ponitka est coupable de haute trahison.
Photo: Euroleague
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Photo : Jordan Howard (FIBA)
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Sinon, il faudra aller gagner aux Canaries, ce qui sera une autre affaire.\n\nPhoto : Jordan Howard (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/jordan-howard-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-15T07:02:39.000Z", "updated_at":"2022-03-15T07:02:48.000Z", "published_at":"2022-03-15T07:02:39.000Z", "custom_excerpt":"Après avoir battu dans la douleur Szombathely (98-86 après prolongation), la SIG Strasbourg est dans l’attente d’une victoire de Tenerife à Vilnius pour se qualifier au top-8.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d9945c", "uuid":"3d46d291-5a18-48e1-bdc4-4bf0d2311748", "title":"La femme de Livio Jean-Charles joue en A2 grecque", "slug":"la-femme-de-livio-jean-charles-joue-en-a2-grecque", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Anne-Laure Geisser est une ancienne joueuse de Nationale 1, à l’AS Villeurbanne Basket Féminin. 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« J’ai commencé à m’entraîner en octobre par hasard. Je voulais recommencer à m’entraîner après ma grossesse et j’ai demandé s’il y avait des équipes à proximité. Un jour, je me promenais avec mon fils et j’ai vu le gymnase de Voula. Je suis entrée et j’ai vu qu’ils étaient en train de jouer au basket, Immédiatement après le match, j’ai parlé à l’entraîneur et il m’a dit de venir à une séance d’entraînement pour me voir jouer. J’ai fait mes premiers entraînements et ce qui m’a impressionné, c’est à quel point toutes les filles étaient amicales. Je pense que c’est aussi une question de mentalité ici en Grèce, elles sont toutes très amicales, mais j’ai été très impressionnée par la rapidité avec laquelle les filles de l’équipe m’ont adoptée. Puis j’ai rencontré le président et les responsables et c’est comme ça que j’ai commencé. Au début, j’étais inquiète parce que j’ai entendu dire par des connaissances que je ne pourrais peut-être pas jouer parce que je ne suis pas grecque, mais j’ai reçu la confirmation de l’équipe qu’il n’y aurait pas de problème (…) Il y a une bonne organisation à Voula. Ce n’est pas très différent de la ligue et de l’équipe où j’étais en France. J’aime beaucoup le fait qu’ils voient l’équipe comme une famille. Je ne parle peut-être pas la même langue que les filles, je suis peut-être l’unique étrangère, mais elles sont toutes très amicales avec moi et m’aident à chaque entraînement »
Anne-Laure Geisser est ambitieuse pour son équipe :
« Pouvoir combiner le basket avec ma famille, c’est un peu difficile, c’est un challenge. Ma priorité est bien sûr mon mari et notre fils et après le basket. Maintenant, il reste environ 5-6 matchs avec l’équipe de Voula jusqu’à la fin de la saison en avril, alors j’ai dit à mon mari que pour cette période, je veux jouer tous les week-ends parce que j’en ai besoin (…) Mon objectif est de disputer les prochains matchs et d’aider l’équipe à monter d’une catégorie, pour aller en A1 féminine. Si je reste l’année prochaine et que je suis en Grèce, j’aimerais rester à Proteas Voulas et renforcer l’équipe en A1 . J’aimerais beaucoup rester ici la saison prochaine, j’aime beaucoup la Grèce ».
Elle raconte que son mari et elle se retrouve face à face sur les terrains de basket :
« L’été, je joue parfois avec mon mari en tête-à-tête. Bien sûr, cela ne lui convient pas très bien car je suis très compétitive, je n’aime pas perdre. Je joue pour gagner alors qu’il joue pour passer un bon moment. Il me dit souvent « calme-toi. Nous jouons pour notre plaisir » et je suis folle. Bien sûr à la fin, la plupart du temps je perds, mais c’est amusant. Nous aimons avoir le basket dans nos vies. »
Photo : Sport 24
", "comment_id":"591894", "plaintext":"Anne-Laure Geisser est une ancienne joueuse de Nationale 1, à l’AS Villeurbanne Basket Féminin. C’est aussi la compagne de Livio Jean-Charles, l’intérieur de l’Olympiakos, et elle joue à Proteas Voulas en A2 féminine.\n\nAnne-Laure Geisser raconte à Sport 24 comment elle s’est retrouvée en contact avec Proteas Voulas.\n\n« J’ai commencé à m’entraîner en octobre par hasard. Je voulais recommencer à m’entraîner après ma grossesse et j’ai demandé s’il y avait des équipes à proximité. Un jour, je me promenais avec mon fils et j’ai vu le gymnase de Voula. Je suis entrée et j’ai vu qu’ils étaient en train de jouer au basket, Immédiatement après le match, j’ai parlé à l’entraîneur et il m’a dit de venir à une séance d’entraînement pour me voir jouer. J’ai fait mes premiers entraînements et ce qui m’a impressionné, c’est à quel point toutes les filles étaient amicales. Je pense que c’est aussi une question de mentalité ici en Grèce, elles sont toutes très amicales, mais j’ai été très impressionnée par la rapidité avec laquelle les filles de l’équipe m’ont adoptée. Puis j’ai rencontré le président et les responsables et c’est comme ça que j’ai commencé. Au début, j’étais inquiète parce que j’ai entendu dire par des connaissances que je ne pourrais peut-être pas jouer parce que je ne suis pas grecque, mais j’ai reçu la confirmation de l’équipe qu’il n’y aurait pas de problème (…) Il y a une bonne organisation à Voula. Ce n’est pas très différent de la ligue et de l’équipe où j’étais en France. J’aime beaucoup le fait qu’ils voient l’équipe comme une famille. 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J’aimerais beaucoup rester ici la saison prochaine, j’aime beaucoup la Grèce ».\n\nElle raconte que son mari et elle se retrouve face à face sur les terrains de basket :\n\n« L’été, je joue parfois avec mon mari en tête-à-tête. Bien sûr, cela ne lui convient pas très bien car je suis très compétitive, je n’aime pas perdre. Je joue pour gagner alors qu’il joue pour passer un bon moment. Il me dit souvent « calme-toi. Nous jouons pour notre plaisir » et je suis folle. Bien sûr à la fin, la plupart du temps je perds, mais c’est amusant. 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Orthez, commune rurale des Pyrénées-Atlantique, à quarante kilomètres de Pau, recensait alors tout juste un peu plus de dix mille habitants, et grimpa à la troisième place de la Coupe des Champions 1987. Une compétition qui n’était pas hypertrophiée comme l’Euroleague de 2021, mais qui regroupait l’essentiel des meilleures équipes continentales. Et si à l’issue d’une poule finale à six clubs, l’Elan Béarnais laissa s’échapper, pour une seule victoire, une place en finale au Tracer Milan et au Maccabi Tel-Aviv, il mit derrière lui le KK Zadar, le Zalgiris Kaunas d’Arvydas Sabonis et le Real Madrid. Peut-être à l’époque n’avait-on pas exactement conscience de l’immensité de la tâche accomplie. Avec le recul, cela parait juste extraordinaire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le symbole de cette épopée, c’est ce triomphe à Madrid. Comme un coup de tonnerre. Les Béarnais ne sont que des gueux et la Coupe Korac gagnée en 1984 ne pèse pas lourd face à la salle des trophées du Real que le Président Pierre Seillant et son coach George Fisher s’empressent de visiter lors du déplacement en terre madrilène. \"],[0,[0],1,\"« Je suis davantage fasciné par le Real et Barcelone que par tout le foot français »,\"],[0,[],0,\" expliqua alors Seillant.\"]]],[10,0],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Freddy Hufnagel, le rocker\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette année-là, l’Elan possède en son sein un véritable prodige. un joueur old school, éduqué par Alain Larrouquis, Mathieu Bisseni, Jean-Noël Perpère et les vieux briscards, qui porte un tee-shirt des Rolling Stones quand il fait son marché à La Moutète, un mec naturel, adorable, pote avec chaque villageois, qui possède un goût affiché pour la fête, à Pampelune ou ailleurs, et aussi un besoin physique de s’entrainer comme un GI. Le toréador Freedy Hufnagel va ensorceler le meneur au crâne dégarni Juan-Antonio Corbalan, finaliste olympique à Los Angeles, l’ensemble de ses équipiers du Real et leurs 12 000 aficionados. Huffy plante neuf paniers à trois-points dans le flanc du taureau espagnol qui tombe à terre ensanglanté.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au retour à La Moutète, les Béarnais sont de nouveau en lévitation, Hufnagel martyrise encore Corbalan et le score est de 44-21 à la 13ème minutes. Insensé. Vexés, courroucés, les Madrilènes reviendront à la charge mais ils s’inclineront tout de même de deux points, 82-84. \"],[0,[0],1,\"« Ce soir, nous avons réussi un doublé historique. Battre le Real Madrid deux fois en finale de la Coupe d’Europe des clubs champions, c’est vraiment le signe qu’Orthez est une très grande équipe »,\"],[0,[],0,\" s’enthousiasma Pierre Seillant. \"],[0,[0],1,\"« Notre première mi-temps est digne, je crois, de rentrer dans l’anthologie du basket. Nous avons joué dans un rêve, c’était magnifique, c’était fabuleux. »\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Pierre Seillant, le chef de meute\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’Elan Béarnais, c’est son chef d’œuvre à Pierre Seillant, lui le fils du créateur du club en 1908. Comme fédérateur, motivateur, innovateur, Seillant était le meilleur d’entre tous. Un bourreau de travail, capable d’être en activité seize à dix-sept heures chaque jour pour diriger le cabinet d’assurances qu’il possédait dans le village, et accompagner ses joueurs, qui avaient besoin d’être surveillés pour ne pas dégoupiller lors d’interminables voyages ferroviaires jusqu’à Joeuf et Antibes, et que l’on retrouvait trinquant une dernière fois au petit matin. Un chef de meute.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Aucun autre président n’a jamais su magnifier avec autant de talent une aventure que ce Gascon dont la faconde n’avait d’égale que la volonté de promouvoir nationalement un club, un village, une façon de vivre. Il trouva aussi en Gérard Bouscarel, journaliste à \"],[0,[0],1,\"La République des Pyrénées,\"],[0,[],0,\" puis directeur sportif de l’Elan, le hiérographe pour rapporter la parole présidentielle pour les générations futures. Jouer sur une moquette – remplacée ensuite par du parquet – et dans un marché couvert, la légendaire Moutète, non chauffé, était un phénomène unique à ce niveau, à la limite du tolérable quand même. L’Elan Béarnais y faucha ses cinq adversaires de la poule finale de la Coupe des Champions. Bouscarel raconta que lors de la séance d’entraînement du Zalgiris Kaunas ce 20 janvier 1987, il faisait moins 7°C à l’intérieur de la salle et que les joueurs se réchauffèrent en se servant de l’autre comme d’un punching ball !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"« La Moutète a contribué à la légende, Seillant s’en est très bien servi »\"],[0,[],0,\", témoigna Freddy Hufnagel. \"],[0,[0],1,\"« Mais je peux dire que s’ils avaient construit un palais des sports comme à Pau on l’aurait pris de suite. Il ne faut pas oublier que les zozos qui s’y entraînaient, c’était nous. Au mois de janvier, quand il n’y avait pas les gradins, que les portes étaient ouvertes et qu’il y avait des courants d’air qui passent… Tu t’entraînais avec le K-way. Tu ne disais pas : « Tiens, je vais me mettre en tee-shirt pour montrer que je suis un dur ». Tu avais la sueur qui gelait sous les bras. Après, ça conserve, apparemment ! J’imagine la tête de Bob McAdoo\"],[0,[],0,\" (Américain du Tracer Milan, une fois MVP de la NBA et trois fois son meilleur marqueur) \"],[0,[0],1,\"quand il est rentré dans les vestiaires et que ça puait la merde de canard. Seillant disait que c’était un anachronisme, c’était tout à fait ça. Orthez était une ville de 10 000 habitants et n’avait pas les moyens, une enceinte, pour recevoir 5 000 personnes dans de meilleures conditions. Tu jouais devant un public de folie parce que le truc avait été bien monté : le petit poucet contre les grosses structures. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Moutète était au cœur d’Orthez, accessible au joueurs suivant leur envie. A trois cent mètres, il y avait « Moulia », la cantine des joueurs dont les murs résonnent encore des fiestas mémorables qui ont salué les exploits de l’équipe. Il n’y avait aucune distance entre les joueurs et le public. \"],[0,[0],1,\"« Il ne faut pas croire qu’on faisait les fous tous les soirs. » nuanca Freddy. Parfois tu te faisais vraiment chier. Tu n’avais qu’une chose à faire, aller t’entraîner. Mais je n’étais pas malheureux, c’est un contexte qui favorisait l’entraînement. Tu avais la campagne magnifique autour de toi… »\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"George Fisher, le professionnel\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans la construction de cette équipe de légende, l’Elan piocha un as : Howard Carter, un shooting guard, qui passa un peu plus d’une saison en NBA et dont la vie et donc la carrière fut tourmentée par l’absorption de drogues délétères. Cette saison-là, Carter tourna à 19,5 points en moyenne en Coupe des Champions. \"],[0,[0],1,\"« On a eu beaucoup de chance déjà avec Paul Henderson »,\"],[0,[],0,\" estima Hufnagel. \"],[0,[0],1,\"« Paul a mis la tête là où je ne mettrais même pas les pieds ! il a apporté beaucoup d’énergie. Celui qui pour moi est le détonateur, c’est Howard Carter. Il a fait de grosses conneries aux Etats-Unis, mail il faut se rendre compte à quel niveau il était là-bas. C’est un mec qui avait été drafté tout en haut\"],[0,[],0,\" (15ème choix en 1983). \"],[0,[0],1,\"On a eu de la chance de le récupérer. Daniel Haquet, on aimait ou pas son style, mais c’était un joueur d’équipe. Ben Kaba était doué. Mais Carter, ça a été le bienfait du Béarn. On ne s’en rendait pas compte. C’était un mec cool, tranquille, effacé, timide. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le coach George Fisher sut apporter sa science américaine et aussi gérer des personnalités fortes. Il succédait à Jean Luent, qui était davantage impliqué dans la vie orthézienne. \"],[0,[0],1,\"« Avec Jean, on a fait mille coups ensemble. On était comme deux copains d’enfance. Pas avec George, George, c’est un professionnel. Il part du principe, il a raison, qu’il faut qu’il conserve une certaine distance avec les joueurs, et il pense que je suis le président, qu’il faut que chacun reste à sa place »\"],[0,[],0,\", nous disait alors Pierre Seillant. L’Elan Béarnais fut deux fois champion de France, en 1986 et 87, une coupure dans l’hégémonie de son meilleur ennemi limougeaud. Pierre Seillant savait qu’il vivait dans un moment à la fois unique et fugace. « \"],[0,[0],1,\"Les gens de Milan m’ont dit que nous étions une anomalie, j’ai même envie de dire que nous sommes une incongruité »\"],[0,[],0,\", confia-t-il au mensuel \"],[0,[0],1,\"Maxi-Basket \"],[0,[],0,\"en 1987. \"],[0,[0],1,\"« De par nos moyens, nos structures, notre taille, nous arrivons comme un cheveu sur la soupe. Orthez est la première mais aussi la dernière ville de cette importance à réussir ce que l’on réussit. On disparaîtra dans deux, trois, quatre, cinq ans, alors que le Real sera là dans cent ans encore. Parce que derrière, il y a tout, et nous, nous n’avons rien sinon une équipe. Mais une équipe par essence, ça disparaît. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quatre ans plus tard, Pierre Seillant emmenait son équipe et tout son club à Pau qui venait de s’offrir un palais des sports géant, pour survivre et même pour mieux vivre, se développer, continuer à amasser les trophées. Mais la terre de légende, elle est là au fin fond du Béarn, à Orthez.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il s’agit sans contradiction possible, du plus bel exploit d’un club français et aussi européen au rapport population/performance. Orthez, commune rurale des Pyrénées-Atlantique, à quarante kilomètres de Pau, recensait alors tout juste un peu plus de dix mille habitants, et grimpa à la troisième place de la Coupe des Champions 1987. Une compétition qui n’était pas hypertrophiée comme l’Euroleague de 2021, mais qui regroupait l’essentiel des meilleures équipes continentales. Et si à l’issue d’une poule finale à six clubs, l’Elan Béarnais laissa s’échapper, pour une seule victoire, une place en finale au Tracer Milan et au Maccabi Tel-Aviv, il mit derrière lui le KK Zadar, le Zalgiris Kaunas d’Arvydas Sabonis et le Real Madrid. Peut-être à l’époque n’avait-on pas exactement conscience de l’immensité de la tâche accomplie. Avec le recul, cela parait juste extraordinaire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le symbole de cette épopée, c’est ce triomphe à Madrid. Comme un coup de tonnerre. Les Béarnais ne sont que des gueux et la Coupe Korac gagnée en 1984 ne pèse pas lourd face à la salle des trophées du Real que le Président Pierre Seillant et son coach George Fisher s’empressent de visiter lors du déplacement en terre madrilène. \"],[0,[0],1,\"« Je suis davantage fasciné par le Real et Barcelone que par tout le foot français »,\"],[0,[],0,\" expliqua alors Seillant.\"]]],[10,4],[10,5],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Freddy Hufnagel, le rocker\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette année-là, l’Elan possède en son sein un véritable prodige. un joueur old school, éduqué par Alain Larrouquis, Mathieu Bisseni, Jean-Noël Perpère et les vieux briscards, qui porte un tee-shirt des Rolling Stones quand il fait son marché à La Moutète, un mec naturel, adorable, pote avec chaque villageois, qui possède un goût affiché pour la fête, à Pampelune ou ailleurs, et aussi un besoin physique de s’entrainer comme un GI. Le toréador Freedy Hufnagel va ensorceler le meneur au crâne dégarni Juan-Antonio Corbalan, finaliste olympique à Los Angeles, l’ensemble de ses équipiers du Real et leurs 12 000 aficionados. Huffy plante neuf paniers à trois-points dans le flanc du taureau espagnol qui tombe à terre ensanglanté.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Au retour à La Moutète, les Béarnais sont de nouveau en lévitation, Hufnagel\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content]\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Paru dans un Hors-Série de Basket Hebdo en 2014.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo d’ouverture: Maxi-Basket\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
Il s’agit sans contradiction possible, du plus bel exploit d’un club français et aussi européen au rapport population/performance. Orthez, commune rurale des Pyrénées-Atlantique, à quarante kilomètres de Pau, recensait alors tout juste un peu plus de dix mille habitants, et grimpa à la troisième place de la Coupe des Champions 1987. Une compétition qui n’était pas hypertrophiée comme l’Euroleague de 2021, mais qui regroupait l’essentiel des meilleures équipes continentales. Et si à l’issue d’une poule finale à six clubs, l’Elan Béarnais laissa s’échapper, pour une seule victoire, une place en finale au Tracer Milan et au Maccabi Tel-Aviv, il mit derrière lui le KK Zadar, le Zalgiris Kaunas d’Arvydas Sabonis et le Real Madrid. Peut-être à l’époque n’avait-on pas exactement conscience de l’immensité de la tâche accomplie. Avec le recul, cela parait juste extraordinaire.
Le symbole de cette épopée, c’est ce triomphe à Madrid. Comme un coup de tonnerre. Les Béarnais ne sont que des gueux et la Coupe Korac gagnée en 1984 ne pèse pas lourd face à la salle des trophées du Real que le Président Pierre Seillant et son coach George Fisher s’empressent de visiter lors du déplacement en terre madrilène. « Je suis davantage fasciné par le Real et Barcelone que par tout le foot français », expliqua alors Seillant.
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Freddy Hufnagel, le rocker
Cette année-là, l’Elan possède en son sein un véritable prodige. un joueur old school, éduqué par Alain Larrouquis, Mathieu Bisseni, Jean-Noël Perpère et les vieux briscards, qui porte un tee-shirt des Rolling Stones quand il fait son marché à La Moutète, un mec naturel, adorable, pote avec chaque villageois, qui possède un goût affiché pour la fête, à Pampelune ou ailleurs, et aussi un besoin physique de s’entrainer comme un GI. Le toréador Freedy Hufnagel va ensorceler le meneur au crâne dégarni Juan-Antonio Corbalan, finaliste olympique à Los Angeles, l’ensemble de ses équipiers du Real et leurs 12 000 aficionados. Huffy plante neuf paniers à trois-points dans le flanc du taureau espagnol qui tombe à terre ensanglanté.
Au retour à La Moutète, les Béarnais sont de nouveau en lévitation, Hufnagel martyrise encore Corbalan et le score est de 44-21 à la 13ème minutes. Insensé. Vexés, courroucés, les Madrilènes reviendront à la charge mais ils s’inclineront tout de même de deux points, 82-84. « Ce soir, nous avons réussi un doublé historique. Battre le Real Madrid deux fois en finale de la Coupe d’Europe des clubs champions, c’est vraiment le signe qu’Orthez est une très grande équipe », s’enthousiasma Pierre Seillant. « Notre première mi-temps est digne, je crois, de rentrer dans l’anthologie du basket. Nous avons joué dans un rêve, c’était magnifique, c’était fabuleux. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/01/orthez-1-scaled.jpg\")
Pierre Seillant, le chef de meute
L’Elan Béarnais, c’est son chef d’œuvre à Pierre Seillant, lui le fils du créateur du club en 1908. Comme fédérateur, motivateur, innovateur, Seillant était le meilleur d’entre tous. Un bourreau de travail, capable d’être en activité seize à dix-sept heures chaque jour pour diriger le cabinet d’assurances qu’il possédait dans le village, et accompagner ses joueurs, qui avaient besoin d’être surveillés pour ne pas dégoupiller lors d’interminables voyages ferroviaires jusqu’à Joeuf et Antibes, et que l’on retrouvait trinquant une dernière fois au petit matin. Un chef de meute.
Aucun autre président n’a jamais su magnifier avec autant de talent une aventure que ce Gascon dont la faconde n’avait d’égale que la volonté de promouvoir nationalement un club, un village, une façon de vivre. Il trouva aussi en Gérard Bouscarel, journaliste à La République des Pyrénées, puis directeur sportif de l’Elan, le hiérographe pour rapporter la parole présidentielle pour les générations futures. Jouer sur une moquette – remplacée ensuite par du parquet – et dans un marché couvert, la légendaire Moutète, non chauffé, était un phénomène unique à ce niveau, à la limite du tolérable quand même. L’Elan Béarnais y faucha ses cinq adversaires de la poule finale de la Coupe des Champions. Bouscarel raconta que lors de la séance d’entraînement du Zalgiris Kaunas ce 20 janvier 1987, il faisait moins 7°C à l’intérieur de la salle et que les joueurs se réchauffèrent en se servant de l’autre comme d’un punching ball !
« La Moutète a contribué à la légende, Seillant s’en est très bien servi », témoigna Freddy Hufnagel. « Mais je peux dire que s’ils avaient construit un palais des sports comme à Pau on l’aurait pris de suite. Il ne faut pas oublier que les zozos qui s’y entraînaient, c’était nous. Au mois de janvier, quand il n’y avait pas les gradins, que les portes étaient ouvertes et qu’il y avait des courants d’air qui passent… Tu t’entraînais avec le K-way. Tu ne disais pas : « Tiens, je vais me mettre en tee-shirt pour montrer que je suis un dur ». Tu avais la sueur qui gelait sous les bras. Après, ça conserve, apparemment ! J’imagine la tête de Bob McAdoo (Américain du Tracer Milan, une fois MVP de la NBA et trois fois son meilleur marqueur) quand il est rentré dans les vestiaires et que ça puait la merde de canard. Seillant disait que c’était un anachronisme, c’était tout à fait ça. Orthez était une ville de 10 000 habitants et n’avait pas les moyens, une enceinte, pour recevoir 5 000 personnes dans de meilleures conditions. Tu jouais devant un public de folie parce que le truc avait été bien monté : le petit poucet contre les grosses structures. »
La Moutète était au cœur d’Orthez, accessible au joueurs suivant leur envie. A trois cent mètres, il y avait « Moulia », la cantine des joueurs dont les murs résonnent encore des fiestas mémorables qui ont salué les exploits de l’équipe. Il n’y avait aucune distance entre les joueurs et le public. « Il ne faut pas croire qu’on faisait les fous tous les soirs. » nuanca Freddy. Parfois tu te faisais vraiment chier. Tu n’avais qu’une chose à faire, aller t’entraîner. Mais je n’étais pas malheureux, c’est un contexte qui favorisait l’entraînement. Tu avais la campagne magnifique autour de toi… »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/01/orthez-b2-scaled.jpg\")
George Fisher, le professionnel
Dans la construction de cette équipe de légende, l’Elan piocha un as : Howard Carter, un shooting guard, qui passa un peu plus d’une saison en NBA et dont la vie et donc la carrière fut tourmentée par l’absorption de drogues délétères. Cette saison-là, Carter tourna à 19,5 points en moyenne en Coupe des Champions. « On a eu beaucoup de chance déjà avec Paul Henderson », estima Hufnagel. « Paul a mis la tête là où je ne mettrais même pas les pieds ! il a apporté beaucoup d’énergie. Celui qui pour moi est le détonateur, c’est Howard Carter. Il a fait de grosses conneries aux Etats-Unis, mail il faut se rendre compte à quel niveau il était là-bas. C’est un mec qui avait été drafté tout en haut (15ème choix en 1983). On a eu de la chance de le récupérer. Daniel Haquet, on aimait ou pas son style, mais c’était un joueur d’équipe. Ben Kaba était doué. Mais Carter, ça a été le bienfait du Béarn. On ne s’en rendait pas compte. C’était un mec cool, tranquille, effacé, timide. »
Le coach George Fisher sut apporter sa science américaine et aussi gérer des personnalités fortes. Il succédait à Jean Luent, qui était davantage impliqué dans la vie orthézienne. « Avec Jean, on a fait mille coups ensemble. On était comme deux copains d’enfance. Pas avec George, George, c’est un professionnel. Il part du principe, il a raison, qu’il faut qu’il conserve une certaine distance avec les joueurs, et il pense que je suis le président, qu’il faut que chacun reste à sa place », nous disait alors Pierre Seillant. L’Elan Béarnais fut deux fois champion de France, en 1986 et 87, une coupure dans l’hégémonie de son meilleur ennemi limougeaud. Pierre Seillant savait qu’il vivait dans un moment à la fois unique et fugace. « Les gens de Milan m’ont dit que nous étions une anomalie, j’ai même envie de dire que nous sommes une incongruité », confia-t-il au mensuel Maxi-Basket en 1987. « De par nos moyens, nos structures, notre taille, nous arrivons comme un cheveu sur la soupe. Orthez est la première mais aussi la dernière ville de cette importance à réussir ce que l’on réussit. On disparaîtra dans deux, trois, quatre, cinq ans, alors que le Real sera là dans cent ans encore. Parce que derrière, il y a tout, et nous, nous n’avons rien sinon une équipe. Mais une équipe par essence, ça disparaît. »
Quatre ans plus tard, Pierre Seillant emmenait son équipe et tout son club à Pau qui venait de s’offrir un palais des sports géant, pour survivre et même pour mieux vivre, se développer, continuer à amasser les trophées. Mais la terre de légende, elle est là au fin fond du Béarn, à Orthez.
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[armelse]
Il s’agit sans contradiction possible, du plus bel exploit d’un club français et aussi européen au rapport population/performance. Orthez, commune rurale des Pyrénées-Atlantique, à quarante kilomètres de Pau, recensait alors tout juste un peu plus de dix mille habitants, et grimpa à la troisième place de la Coupe des Champions 1987. Une compétition qui n’était pas hypertrophiée comme l’Euroleague de 2021, mais qui regroupait l’essentiel des meilleures équipes continentales. Et si à l’issue d’une poule finale à six clubs, l’Elan Béarnais laissa s’échapper, pour une seule victoire, une place en finale au Tracer Milan et au Maccabi Tel-Aviv, il mit derrière lui le KK Zadar, le Zalgiris Kaunas d’Arvydas Sabonis et le Real Madrid. Peut-être à l’époque n’avait-on pas exactement conscience de l’immensité de la tâche accomplie. Avec le recul, cela parait juste extraordinaire.
Le symbole de cette épopée, c’est ce triomphe à Madrid. Comme un coup de tonnerre. Les Béarnais ne sont que des gueux et la Coupe Korac gagnée en 1984 ne pèse pas lourd face à la salle des trophées du Real que le Président Pierre Seillant et son coach George Fisher s’empressent de visiter lors du déplacement en terre madrilène. « Je suis davantage fasciné par le Real et Barcelone que par tout le foot français », expliqua alors Seillant.
Freddy Hufnagel, le rocker
Cette année-là, l’Elan possède en son sein un véritable prodige. un joueur old school, éduqué par Alain Larrouquis, Mathieu Bisseni, Jean-Noël Perpère et les vieux briscards, qui porte un tee-shirt des Rolling Stones quand il fait son marché à La Moutète, un mec naturel, adorable, pote avec chaque villageois, qui possède un goût affiché pour la fête, à Pampelune ou ailleurs, et aussi un besoin physique de s’entrainer comme un GI. Le toréador Freedy Hufnagel va ensorceler le meneur au crâne dégarni Juan-Antonio Corbalan, finaliste olympique à Los Angeles, l’ensemble de ses équipiers du Real et leurs 12 000 aficionados. Huffy plante neuf paniers à trois-points dans le flanc du taureau espagnol qui tombe à terre ensanglanté.
Au retour à La Moutète, les Béarnais sont de nouveau en lévitation, Hufnagel
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Paru dans un Hors-Série de Basket Hebdo en 2014.
Photo d’ouverture: Maxi-Basket
", "comment_id":"533431", "plaintext":"Après avoir gagné la Coupe Korac (C3) en 1984, l’Elan Béarnais Orthez a réalisé trois ans plus tard un exploit encore plus extraordinaire: finir à la 3e place de la Coupe des Champions, l’ancêtre de l’Euroleague.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nIl s’agit sans contradiction possible, du plus bel exploit d’un club français et aussi européen au rapport population/performance. Orthez, commune rurale des Pyrénées-Atlantique, à quarante kilomètres de Pau, recensait alors tout juste un peu plus de dix mille habitants, et grimpa à la troisième place de la Coupe des Champions 1987. Une compétition qui n’était pas hypertrophiée comme l’Euroleague de 2021, mais qui regroupait l’essentiel des meilleures équipes continentales. Et si à l’issue d’une poule finale à six clubs, l’Elan Béarnais laissa s’échapper, pour une seule victoire, une place en finale au Tracer Milan et au Maccabi Tel-Aviv, il mit derrière lui le KK Zadar, le Zalgiris Kaunas d’Arvydas Sabonis et le Real Madrid. Peut-être à l’époque n’avait-on pas exactement conscience de l’immensité de la tâche accomplie. Avec le recul, cela parait juste extraordinaire.\n\nLe symbole de cette épopée, c’est ce triomphe à Madrid. Comme un coup de tonnerre. Les Béarnais ne sont que des gueux et la Coupe Korac gagnée en 1984 ne pèse pas lourd face à la salle des trophées du Real que le Président Pierre Seillant et son coach George Fisher s’empressent de visiter lors du déplacement en terre madrilène. « Je suis davantage fasciné par le Real et Barcelone que par tout le foot français », expliqua alors Seillant.\n\nFreddy Hufnagel, le rocker\n\nCette année-là, l’Elan possède en son sein un véritable prodige. un joueur old school, éduqué par Alain Larrouquis, Mathieu Bisseni, Jean-Noël Perpère et les vieux briscards, qui porte un tee-shirt des Rolling Stones quand il fait son marché à La Moutète, un mec naturel, adorable, pote avec chaque villageois, qui possède un goût affiché pour la fête, à Pampelune ou ailleurs, et aussi un besoin physique de s’entrainer comme un GI. Le toréador Freedy Hufnagel va ensorceler le meneur au crâne dégarni Juan-Antonio Corbalan, finaliste olympique à Los Angeles, l’ensemble de ses équipiers du Real et leurs 12 000 aficionados. Huffy plante neuf paniers à trois-points dans le flanc du taureau espagnol qui tombe à terre ensanglanté.\n\nAu retour à La Moutète, les Béarnais sont de nouveau en lévitation, Hufnagel martyrise encore Corbalan et le score est de 44-21 à la 13ème minutes. Insensé. Vexés, courroucés, les Madrilènes reviendront à la charge mais ils s’inclineront tout de même de deux points, 82-84. « Ce soir, nous avons réussi un doublé historique. Battre le Real Madrid deux fois en finale de la Coupe d’Europe des clubs champions, c’est vraiment le signe qu’Orthez est une très grande équipe », s’enthousiasma Pierre Seillant. « Notre première mi-temps est digne, je crois, de rentrer dans l’anthologie du basket. Nous avons joué dans un rêve, c’était magnifique, c’était fabuleux. »\n\nPierre Seillant, le chef de meute\n\nL’Elan Béarnais, c’est son chef d’œuvre à Pierre Seillant, lui le fils du créateur du club en 1908. Comme fédérateur, motivateur, innovateur, Seillant était le meilleur d’entre tous. Un bourreau de travail, capable d’être en activité seize à dix-sept heures chaque jour pour diriger le cabinet d’assurances qu’il possédait dans le village, et accompagner ses joueurs, qui avaient besoin d’être surveillés pour ne pas dégoupiller lors d’interminables voyages ferroviaires jusqu’à Joeuf et Antibes, et que l’on retrouvait trinquant une dernière fois au petit matin. Un chef de meute.\n\nAucun autre président n’a jamais su magnifier avec autant de talent une aventure que ce Gascon dont la faconde n’avait d’égale que la volonté de promouvoir nationalement un club, un village, une façon de vivre. Il trouva aussi en Gérard Bouscarel, journaliste à La République des Pyrénées, puis directeur sportif de l’Elan, le hiérographe pour rapporter la parole présidentielle pour les générations futures. Jouer sur une moquette – remplacée ensuite par du parquet – et dans un marché couvert, la légendaire Moutète, non chauffé, était un phénomène unique à ce niveau, à la limite du tolérable quand même. L’Elan Béarnais y faucha ses cinq adversaires de la poule finale de la Coupe des Champions. Bouscarel raconta que lors de la séance d’entraînement du Zalgiris Kaunas ce 20 janvier 1987, il faisait moins 7°C à l’intérieur de la salle et que les joueurs se réchauffèrent en se servant de l’autre comme d’un punching ball !\n\n« La Moutète a contribué à la légende, Seillant s’en est très bien servi », témoigna Freddy Hufnagel. « Mais je peux dire que s’ils avaient construit un palais des sports comme à Pau on l’aurait pris de suite. Il ne faut pas oublier que les zozos qui s’y entraînaient, c’était nous. Au mois de janvier, quand il n’y avait pas les gradins, que les portes étaient ouvertes et qu’il y avait des courants d’air qui passent… Tu t’entraînais avec le K-way. Tu ne disais pas : « Tiens, je vais me mettre en tee-shirt pour montrer que je suis un dur ». Tu avais la sueur qui gelait sous les bras. Après, ça conserve, apparemment ! J’imagine la tête de Bob McAdoo (Américain du Tracer Milan, une fois MVP de la NBA et trois fois son meilleur marqueur) quand il est rentré dans les vestiaires et que ça puait la merde de canard. Seillant disait que c’était un anachronisme, c’était tout à fait ça. Orthez était une ville de 10 000 habitants et n’avait pas les moyens, une enceinte, pour recevoir 5 000 personnes dans de meilleures conditions. Tu jouais devant un public de folie parce que le truc avait été bien monté : le petit poucet contre les grosses structures. »\n\nLa Moutète était au cœur d’Orthez, accessible au joueurs suivant leur envie. A trois cent mètres, il y avait « Moulia », la cantine des joueurs dont les murs résonnent encore des fiestas mémorables qui ont salué les exploits de l’équipe. Il n’y avait aucune distance entre les joueurs et le public. « Il ne faut pas croire qu’on faisait les fous tous les soirs. » nuanca Freddy. Parfois tu te faisais vraiment chier. Tu n’avais qu’une chose à faire, aller t’entraîner. Mais je n’étais pas malheureux, c’est un contexte qui favorisait l’entraînement. Tu avais la campagne magnifique autour de toi… »\n\nGeorge Fisher, le professionnel\n\nDans la construction de cette équipe de légende, l’Elan piocha un as : Howard Carter, un shooting guard, qui passa un peu plus d’une saison en NBA et dont la vie et donc la carrière fut tourmentée par l’absorption de drogues délétères. Cette saison-là, Carter tourna à 19,5 points en moyenne en Coupe des Champions. « On a eu beaucoup de chance déjà avec Paul Henderson », estima Hufnagel. « Paul a mis la tête là où je ne mettrais même pas les pieds ! il a apporté beaucoup d’énergie. Celui qui pour moi est le détonateur, c’est Howard Carter. Il a fait de grosses conneries aux Etats-Unis, mail il faut se rendre compte à quel niveau il était là-bas. C’est un mec qui avait été drafté tout en haut (15ème choix en 1983). On a eu de la chance de le récupérer. Daniel Haquet, on aimait ou pas son style, mais c’était un joueur d’équipe. Ben Kaba était doué. Mais Carter, ça a été le bienfait du Béarn. On ne s’en rendait pas compte. C’était un mec cool, tranquille, effacé, timide. »\n\nLe coach George Fisher sut apporter sa science américaine et aussi gérer des personnalités fortes. Il succédait à Jean Luent, qui était davantage impliqué dans la vie orthézienne. « Avec Jean, on a fait mille coups ensemble. On était comme deux copains d’enfance. Pas avec George, George, c’est un professionnel. Il part du principe, il a raison, qu’il faut qu’il conserve une certaine distance avec les joueurs, et il pense que je suis le président, qu’il faut que chacun reste à sa place », nous disait alors Pierre Seillant. L’Elan Béarnais fut deux fois champion de France, en 1986 et 87, une coupure dans l’hégémonie de son meilleur ennemi limougeaud. Pierre Seillant savait qu’il vivait dans un moment à la fois unique et fugace. « Les gens de Milan m’ont dit que nous étions une anomalie, j’ai même envie de dire que nous sommes une incongruité », confia-t-il au mensuel Maxi-Basket en 1987. « De par nos moyens, nos structures, notre taille, nous arrivons comme un cheveu sur la soupe. Orthez est la première mais aussi la dernière ville de cette importance à réussir ce que l’on réussit. On disparaîtra dans deux, trois, quatre, cinq ans, alors que le Real sera là dans cent ans encore. Parce que derrière, il y a tout, et nous, nous n’avons rien sinon une équipe. Mais une équipe par essence, ça disparaît. »\n\nQuatre ans plus tard, Pierre Seillant emmenait son équipe et tout son club à Pau qui venait de s’offrir un palais des sports géant, pour survivre et même pour mieux vivre, se développer, continuer à amasser les trophées. Mais la terre de légende, elle est là au fin fond du Béarn, à Orthez.\n\nx\n\n[armelse]\n\nIl s’agit sans contradiction possible, du plus bel exploit d’un club français et aussi européen au rapport population/performance. Orthez, commune rurale des Pyrénées-Atlantique, à quarante kilomètres de Pau, recensait alors tout juste un peu plus de dix mille habitants, et grimpa à la troisième place de la Coupe des Champions 1987. Une compétition qui n’était pas hypertrophiée comme l’Euroleague de 2021, mais qui regroupait l’essentiel des meilleures équipes continentales. Et si à l’issue d’une poule finale à six clubs, l’Elan Béarnais laissa s’échapper, pour une seule victoire, une place en finale au Tracer Milan et au Maccabi Tel-Aviv, il mit derrière lui le KK Zadar, le Zalgiris Kaunas d’Arvydas Sabonis et le Real Madrid. Peut-être à l’époque n’avait-on pas exactement conscience de l’immensité de la tâche accomplie. Avec le recul, cela parait juste extraordinaire.\n\nLe symbole de cette épopée, c’est ce triomphe à Madrid. Comme un coup de tonnerre. Les Béarnais ne sont que des gueux et la Coupe Korac gagnée en 1984 ne pèse pas lourd face à la salle des trophées du Real que le Président Pierre Seillant et son coach George Fisher s’empressent de visiter lors du déplacement en terre madrilène. « Je suis davantage fasciné par le Real et Barcelone que par tout le foot français », expliqua alors Seillant.\n\nFreddy Hufnagel, le rocker\n\nCette année-là, l’Elan possède en son sein un véritable prodige. un joueur old school, éduqué par Alain Larrouquis, Mathieu Bisseni, Jean-Noël Perpère et les vieux briscards, qui porte un tee-shirt des Rolling Stones quand il fait son marché à La Moutète, un mec naturel, adorable, pote avec chaque villageois, qui possède un goût affiché pour la fête, à Pampelune ou ailleurs, et aussi un besoin physique de s’entrainer comme un GI. Le toréador Freedy Hufnagel va ensorceler le meneur au crâne dégarni Juan-Antonio Corbalan, finaliste olympique à Los Angeles, l’ensemble de ses équipiers du Real et leurs 12 000 aficionados. 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« Son mari doit rester en Ukraine. En fin de semaine passée, Viktoriya et son agent nous ont contactés depuis la frontière polonaise. D’abord pour se loger et vivre dans un pays en paix. Nous accueillons donc Viktoriya sans aucune hésitation et elle pourra rester à Braine le temps nécessaire. Elle rejoindra notre Team D1, nous y travaillons bien évidemment« , a expliqué le club sur les réseaux sociaux. « Son papa est toujours retenu à Kiev, sa maman vient d’arriver en Pologne et cherche à présent à rejoindre sa fille à Braine. Nous l’accueillerons aussi à bras ouverts. »
Si les Castors, dont le coach est Frédéric Dusart, connaissaient Viktoriya, c’est que Prometey les avait éliminés en 8e de finale de l’Eurocup.
Photo : FIBA
", "comment_id":"592337", "plaintext":"Viktoriya Balaban est une Ukrainienne de 25 ans, qui jouait jusqu’ici dans son pays, à Prometey. Si le Royal Castors Braine l’a fait signer, c’est autant pour ses qualités de basketteuse que pour lui venir en aide.\n\n« Son mari doit rester en Ukraine. En fin de semaine passée, Viktoriya et son agent nous ont contactés depuis la frontière polonaise. D’abord pour se loger et vivre dans un pays en paix. Nous accueillons donc Viktoriya sans aucune hésitation et elle pourra rester à Braine le temps nécessaire. Elle rejoindra notre Team D1, nous y travaillons bien évidemment« , a expliqué le club sur les réseaux sociaux. « Son papa est toujours retenu à Kiev, sa maman vient d’arriver en Pologne et cherche à présent à rejoindre sa fille à Braine. Nous l’accueillerons aussi à bras ouverts. »\n\n\n\nSi les Castors, dont le coach est Frédéric Dusart, connaissaient Viktoriya, c’est que Prometey les avait éliminés en 8e de finale de l’Eurocup.\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/viktoriya-balaban.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-15T05:47:00.000Z", "updated_at":"2022-03-14T19:15:52.000Z", "published_at":"2022-03-15T05:47:00.000Z", "custom_excerpt":"Viktoriya Balaban est une Ukrainienne de 25 ans, qui jouait jusqu’ici dans son pays, à Prometey. Si le Royal Castors Braine l’a fait signer, c’est autant pour ses qualités de basketteuse que pour lui venir en aide.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99460", "uuid":"016f26e5-6db1-4045-a2fe-9c1cddf841ac", "title":"Italie – Toto Shengelia (Virtus Bologne) : « Je sais que l’objectif est de gagner le titre en Lega Basket et en Eurocup »", "slug":"italie-toto-shengelia-virtus-bologne-je-sais-que-lobjectif-est-de-gagner-le-titre-en-lega-basket-et-en-eurocup", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La Virtus Bologne a présenté, hier à la presse, sa nouvelle recrue, l’ailier géorgien Tornike Shengelia (2,06m, 30 ans), qui a quitté le CSKA Moscou en raison de la guerre en Ukraine.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le Géorgien a voulu minimiser la « perte de son emploi » en Russie, et a rappelé les ambitions du club italien qui s’est également renforcé avec un autre ancien joueur du CSKA Moscou, l’Italien Daniel Hackett:\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[0],1,\"Je ne dirais pas que c’était une période difficile pour moi. Personnellement, je suis sûr d’avoir fait le meilleur choix. Je suis content d’être à la Virtus Bologne. Les problèmes sont ailleurs sur la planète, pas ici\"],[0,[],0,\". \"],[0,[0],1,\"C’est un honneur d’être ici, j’étais excité quand j’ai accepté l’offre de jouer pour ce club. Je voulais en faire partie, je sais que le but est de gagner le titre en Lega Basket et en Eurocup \"],[0,[],0,\". »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"De son côté, le directeur général de la Virtus Bologna, Luca Baraldi, a expliqué la stratégie de son club :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[0],1,\"Nous essaierons de le persuader de rester, au-delà de cette saison. Nous jouerons toutes nos cartes pour le garder avec nous la saison prochaine\"],[0,[],0,\" ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour que la Virtus Bologne puisse conserver Shengelia, il faudra probablement qu’elle joue l’Euroleague la saison prochaine. A savoir quel format celle-ci aura alors sans -probablement- club russe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Virtus\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le Géorgien a voulu minimiser la « perte de son emploi » en Russie, et a rappelé les ambitions du club italien qui s’est également renforcé avec un autre ancien joueur du CSKA Moscou, l’Italien Daniel Hackett:
« Je ne dirais pas que c’était une période difficile pour moi. Personnellement, je suis sûr d’avoir fait le meilleur choix. Je suis content d’être à la Virtus Bologne. Les problèmes sont ailleurs sur la planète, pas ici. C’est un honneur d’être ici, j’étais excité quand j’ai accepté l’offre de jouer pour ce club. Je voulais en faire partie, je sais que le but est de gagner le titre en Lega Basket et en Eurocup . »
De son côté, le directeur général de la Virtus Bologna, Luca Baraldi, a expliqué la stratégie de son club :
« Nous essaierons de le persuader de rester, au-delà de cette saison. Nous jouerons toutes nos cartes pour le garder avec nous la saison prochaine ».
Pour que la Virtus Bologne puisse conserver Shengelia, il faudra probablement qu’elle joue l’Euroleague la saison prochaine. A savoir quel format celle-ci aura alors sans -probablement- club russe.
Photo : Virtus
", "comment_id":"592327", "plaintext":"La Virtus Bologne a présenté, hier à la presse, sa nouvelle recrue, l’ailier géorgien Tornike Shengelia (2,06m, 30 ans), qui a quitté le CSKA Moscou en raison de la guerre en Ukraine.\n\nLe Géorgien a voulu minimiser la « perte de son emploi » en Russie, et a rappelé les ambitions du club italien qui s’est également renforcé avec un autre ancien joueur du CSKA Moscou, l’Italien Daniel Hackett:\n\n« Je ne dirais pas que c’était une période difficile pour moi. Personnellement, je suis sûr d’avoir fait le meilleur choix. Je suis content d’être à la Virtus Bologne. Les problèmes sont ailleurs sur la planète, pas ici. C’est un honneur d’être ici, j’étais excité quand j’ai accepté l’offre de jouer pour ce club. Je voulais en faire partie, je sais que le but est de gagner le titre en Lega Basket et en Eurocup . »\n\nDe son côté, le directeur général de la Virtus Bologna, Luca Baraldi, a expliqué la stratégie de son club :\n\n« Nous essaierons de le persuader de rester, au-delà de cette saison. Nous jouerons toutes nos cartes pour le garder avec nous la saison prochaine ».\n\nPour que la Virtus Bologne puisse conserver Shengelia, il faudra probablement qu’elle joue l’Euroleague la saison prochaine. A savoir quel format celle-ci aura alors sans -probablement- club russe.\n\nPhoto : Virtus", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/tornike-shengelia.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-15T05:44:00.000Z", "updated_at":"2022-03-14T17:25:12.000Z", "published_at":"2022-03-15T05:44:00.000Z", "custom_excerpt":"La Virtus Bologne a présenté, hier à la presse, sa nouvelle recrue, l’ailier géorgien Tornike Shengelia (2,06m, 30 ans), qui a quitté le CSKA Moscou en raison de la guerre en Ukraine.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99461", "uuid":"8fca13eb-9c47-4012-b8d6-f3f564b089d9", "title":"Euroleague : Le président du CSKA Moscou pense que les équipes russes ne seront pas réintégrées cette saison", "slug":"euroleague-le-president-du-cska-moscou-pense-que-les-equipes-russes-ne-seront-pas-reintegrees-cette-saison", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le président du CSKA Moscou, Andrei Vatoutine a déclaré à l’agence russe, \"],[0,[0],1,\"TASS\"],[0,[],0,\", qu’il ne croit pas que les clubs russes joueront de nouveau cette saison en Euroleague.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le 28 février, la direction de l’Euroleague a suspendu temporairement les clubs russes de participation à l’Euroleague et à l’Eurocup, se donnant un mois pour prendre une décision définitive.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« L’Euroleague a fixé une date limite pour la décision finale, le 21 mars, mais je connais la réponse que nous recevrons. Je pense que tout le monde la connaît. Je serai heureux de me tromper et je promets de boire du champagne si la décision prise me surprend… Pour le moment il n’y a pas de grands changements. Il est difficile d’imaginer que les équipes russes auront la possibilité de poursuivre la saison d’Euroleague. Non seulement à cause de la politique, mais il y a aussi des problèmes logistiques. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : CSKA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le 28 février, la direction de l’Euroleague a suspendu temporairement les clubs russes de participation à l’Euroleague et à l’Eurocup, se donnant un mois pour prendre une décision définitive.
« L’Euroleague a fixé une date limite pour la décision finale, le 21 mars, mais je connais la réponse que nous recevrons. Je pense que tout le monde la connaît. Je serai heureux de me tromper et je promets de boire du champagne si la décision prise me surprend… Pour le moment il n’y a pas de grands changements. Il est difficile d’imaginer que les équipes russes auront la possibilité de poursuivre la saison d’Euroleague. Non seulement à cause de la politique, mais il y a aussi des problèmes logistiques. »
Photo : CSKA
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Mateusz Ponitka est Polonais, les quatre autres joueurs Américains. Dès le 28 février, les Etats-Unis ont recommandé à leurs concitoyens de quitter « immédiatement » la Russie à la suite de l’invasion de l’Ukraine par Moscou.
Exclu de l’Euroleague, le Zenit est toujours engagé en VTB League.
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» Domas (Sabonis] et Jonas (Valanciunas) m’ont confirmé qu’ils joueront à l’EuroBasket 2022. Je pense que nous aurons certainement trois centres. J’ai parlé à tous, Donatas Motiejunas aussi, peut-être un peu moins avec Arturas Gudaitis. »
La Lituanie sera l’adversaire de la France lors de la 2e phase des qualifications à la Coupe du monde 2023, qui débutera cet été, et aussi à l’EuroBasket en septembre.
Kazys Maksvytis était l’entraîneur du BC Parma, qui joue en VTB League, mais en raison de la guerre en Ukraine, il n’est pas retourné en Russie. Il n’aura pas à payer une amende, mais bien sûr, il ne touchera pas ses salaires jusqu’à la fin de la saison.
« D’une part, vous perdez un contrat garanti, d’autre part quand une porte se ferme, une autre s’ouvre », a t-il déclaré. « Les clubs russes eux-mêmes ont une situation très désagréable car tous leurs budgets sont prévus en roubles. Je pense qu’il y aura des problèmes avec le basket russe dans les années à venir. Il y aura des problèmes avec les finances, avec les tournois internationaux également. »
Photo : Donatas Motiejunas (AS Monaco, Euroleague)
", "comment_id":"592314", "plaintext":"Le Monégasque Donatas Motiejunas (2,13m, 31 ans) pourrait retrouver cet été l’équipe nationale lituanienne, en compagnie de Domantas Sabonis (2,11m, 25 ans, Sacramento) et Jonas Valanciunas (2,11m, 29 ans, New Orleans).\n\nLe coach de la sélection nationale, Kazys Maksvytis, a donné à BasketNews une nouvelle qui a de quoi réjouir les fans lituaniens, et… pas forcément les français :\n\n» Domas (Sabonis] et Jonas (Valanciunas) m’ont confirmé qu’ils joueront à l’EuroBasket 2022. Je pense que nous aurons certainement trois centres. J’ai parlé à tous, Donatas Motiejunas aussi, peut-être un peu moins avec Arturas Gudaitis. »\n\nLa Lituanie sera l’adversaire de la France lors de la 2e phase des qualifications à la Coupe du monde 2023, qui débutera cet été, et aussi à l’EuroBasket en septembre.\n\nKazys Maksvytis était l’entraîneur du BC Parma, qui joue en VTB League, mais en raison de la guerre en Ukraine, il n’est pas retourné en Russie. 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Les fans peuvent ainsi élire leurs joueuses et entraîneurs préférés.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sept catégories différentes sont proposées avec des candidates nommées par le panel d’experts de la FIBA Europe. Les gagnantes des trophées individuels seront déterminées après avoir combiné les votes des entraîneurs de l’Euroleague, des médias sélectionnés, des fans et, pour la première fois, des capitaines d’équipe de chaque club.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’édition 2022 verra également l’introduction du \"],[0,[1],1,\"Proudly Woman\"],[0,[],0,\" Award, qui sera décerné au club qui a le plus fait pour promouvoir les valeurs au cœur de \"],[0,[1],1,\"la campagne nouvellement lancée\"],[0,[],0,\" à travers diverses activités telles que des initiatives caritatives, du contenu numérique et de activations dans les arénas.\"]]],[1,\"h4\",[[0,[],0,\"Les catégories pour les EuroLeague Women Awards 2021-22 sont les suivantes :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"– EuroLeague Women Most Valuable Player\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"– All-EuroLeague Women 1st Team\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"– All-EuroLeague Women 2nd Team\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"– EuroLeague Women Coach of the Year\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"– EuroLeague Women Young Player of the Year\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"– EuroLeague Women Defensive Player of the Year\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"– Proudly Woman Award\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le vote des fans est maintenant ouvert et se poursuivra jusqu’au dimanche 27 mars à 11h59.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les gagnantes recevront les trophées lors du Final Four de l’Euroleague.\"]]],[1,\"h4\",[[0,[],0,\"Comment les fans peuvent voter :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les fans peuvent voter pour les EuroLeague Women Awards sur le site officiel de l’Euroleague en remplissant un bulletin de vote par appareil toutes les 24 heures.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors de leurs sélections All-EuroLeague Women, les fans peuvent choisir jusqu’à deux joueuses en zone arrière et trois joueuses en zone avant. Pour les autres trophées, une seule sélection par catégorie est autorisée.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le vote se fait \"],[0,[0],1,\"ICI\"],[0,[],0,\" .\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Sept catégories différentes sont proposées avec des candidates nommées par le panel d’experts de la FIBA Europe. Les gagnantes des trophées individuels seront déterminées après avoir combiné les votes des entraîneurs de l’Euroleague, des médias sélectionnés, des fans et, pour la première fois, des capitaines d’équipe de chaque club.
L’édition 2022 verra également l’introduction du Proudly Woman Award, qui sera décerné au club qui a le plus fait pour promouvoir les valeurs au cœur de la campagne nouvellement lancée à travers diverses activités telles que des initiatives caritatives, du contenu numérique et de activations dans les arénas.
– EuroLeague Women Most Valuable Player
– All-EuroLeague Women 1st Team
– All-EuroLeague Women 2nd Team
– EuroLeague Women Coach of the Year
– EuroLeague Women Young Player of the Year
– EuroLeague Women Defensive Player of the Year
– Proudly Woman Award
Le vote des fans est maintenant ouvert et se poursuivra jusqu’au dimanche 27 mars à 11h59.
Les gagnantes recevront les trophées lors du Final Four de l’Euroleague.
Les fans peuvent voter pour les EuroLeague Women Awards sur le site officiel de l’Euroleague en remplissant un bulletin de vote par appareil toutes les 24 heures.
Lors de leurs sélections All-EuroLeague Women, les fans peuvent choisir jusqu’à deux joueuses en zone arrière et trois joueuses en zone avant. Pour les autres trophées, une seule sélection par catégorie est autorisée.
Le vote se fait ICI .
", "comment_id":"592293", "plaintext":"Le vote pour les EuroLeague Women Awards 2021-22 est désormais ouvert. Les fans peuvent ainsi élire leurs joueuses et entraîneurs préférés.\n\nSept catégories différentes sont proposées avec des candidates nommées par le panel d’experts de la FIBA Europe. Les gagnantes des trophées individuels seront déterminées après avoir combiné les votes des entraîneurs de l’Euroleague, des médias sélectionnés, des fans et, pour la première fois, des capitaines d’équipe de chaque club.\n\nL’édition 2022 verra également l’introduction du Proudly Woman Award, qui sera décerné au club qui a le plus fait pour promouvoir les valeurs au cœur de la campagne nouvellement lancée à travers diverses activités telles que des initiatives caritatives, du contenu numérique et de activations dans les arénas.\n\nLes catégories pour les EuroLeague Women Awards 2021-22 sont les suivantes :\n\n– EuroLeague Women Most Valuable Player\n– All-EuroLeague Women 1st Team\n– All-EuroLeague Women 2nd Team\n– EuroLeague Women Coach of the Year\n– EuroLeague Women Young Player of the Year\n– EuroLeague Women Defensive Player of the Year\n– Proudly Woman Award\n\nLe vote des fans est maintenant ouvert et se poursuivra jusqu’au dimanche 27 mars à 11h59.\n\nLes gagnantes recevront les trophées lors du Final Four de l’Euroleague.\n\nComment les fans peuvent voter :\n\nLes fans peuvent voter pour les EuroLeague Women Awards sur le site officiel de l’Euroleague en remplissant un bulletin de vote par appareil toutes les 24 heures.\n\nLors de leurs sélections All-EuroLeague Women, les fans peuvent choisir jusqu’à deux joueuses en zone arrière et trois joueuses en zone avant. Pour les autres trophées, une seule sélection par catégorie est autorisée.\n\nLe vote se fait ICI .", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/euroleague-fe-cc-81minine.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-14T13:18:55.000Z", "updated_at":"2022-03-14T13:19:01.000Z", "published_at":"2022-03-14T13:18:55.000Z", "custom_excerpt":"Le vote pour les EuroLeague Women Awards 2021-22 est désormais ouvert. Les fans peuvent ainsi élire leurs joueuses et entraîneurs préférés.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99465", "uuid":"c71ca802-b2c1-4c01-a32d-aec32d077b64", "title":"LFB : Stéphane Leite sera le nouveau coach de Charnay", "slug":"lfb-stephane-leite-sera-le-nouveau-coach-de-charnay", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Stéphane Leite va prendre la place de Matthieu Chauvet à la tête de Charnay, la saison prochaine. Il a signé un contrat de trois ans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Stéphane Leite, 34 ans, aurait du prendre cette saison le coaching de Lattes-Montpellier, mais il avait été écarté dès la mi-septembre avant même d’avoir officié lors d’un match officiel, puis remplacé par Valéry Demory. \"],[0,[0],1,\"Le Télégramme\"],[0,[],0,\" et les \"],[0,[0],1,\"JSL\"],[0,[],0,\" ont annoncé sa venue chez les Pinkies, actuellement lanternes rouges de Ligue Féminine (2 victoires pour 13 défaites), et qui vont devoir sauver leur place dans l’élite lors des playdowns.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Stéphane Leite a été auparavant le coach de l’AS Montferrand, Trégueux et Landerneau.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Stéphane Leite, 34 ans, aurait du prendre cette saison le coaching de Lattes-Montpellier, mais il avait été écarté dès la mi-septembre avant même d’avoir officié lors d’un match officiel, puis remplacé par Valéry Demory. Le Télégramme et les JSL ont annoncé sa venue chez les Pinkies, actuellement lanternes rouges de Ligue Féminine (2 victoires pour 13 défaites), et qui vont devoir sauver leur place dans l’élite lors des playdowns.
Stéphane Leite a été auparavant le coach de l’AS Montferrand, Trégueux et Landerneau.
", "comment_id":"592281", "plaintext":"Stéphane Leite va prendre la place de Matthieu Chauvet à la tête de Charnay, la saison prochaine. Il a signé un contrat de trois ans.\n\nStéphane Leite, 34 ans, aurait du prendre cette saison le coaching de Lattes-Montpellier, mais il avait été écarté dès la mi-septembre avant même d’avoir officié lors d’un match officiel, puis remplacé par Valéry Demory. Le Télégramme et les JSL ont annoncé sa venue chez les Pinkies, actuellement lanternes rouges de Ligue Féminine (2 victoires pour 13 défaites), et qui vont devoir sauver leur place dans l’élite lors des playdowns.\n\nStéphane Leite a été auparavant le coach de l’AS Montferrand, Trégueux et Landerneau.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/04/leite.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-14T10:58:57.000Z", "updated_at":"2022-03-14T10:59:06.000Z", "published_at":"2022-03-14T10:58:57.000Z", "custom_excerpt":"Stéphane Leite va prendre la place de Matthieu Chauvet à la tête de Charnay, la saison prochaine. Il a signé un contrat de trois ans.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99466", "uuid":"48d395c0-8884-4c22-ab2e-0685bc0a0b90", "title":"Michael Stockton est le nouveau meneur du Champagne Basket", "slug":"michael-stockton-est-le-nouveau-meneur-du-champagne-basket", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/YOumONkpzM4?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le meneur américain Michael Stockton (1,85m, 32 ans) vient renforcer le Champagne Basket qui est en lutte pour le maintien en Betclic Elite.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le club de la Marne profite ainsi du départ du fils de la légende de la NBA, John Stockton, de l’Ukraine actuellement en guerre. Après deux saisons à Cholet, Michael Stockton portait cette saison le maillot du Budivelnyk Kiev (28 matchs, 10,1 points et 6,3 passes pour 13,5 d’évaluation).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Michael Stockton est le pigiste médical de Scottie Reynolds, toujours à l’arrêt. A la fois chef d’orchestre et capable de prendre le jeu à son compte, il va apporter un bonus appréciable à l’équipe de Cédric Heitz actuellement 16e avec 7 victoires et 15 défaites.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le club de la Marne profite ainsi du départ du fils de la légende de la NBA, John Stockton, de l’Ukraine actuellement en guerre. Après deux saisons à Cholet, Michael Stockton portait cette saison le maillot du Budivelnyk Kiev (28 matchs, 10,1 points et 6,3 passes pour 13,5 d’évaluation).
Michael Stockton est le pigiste médical de Scottie Reynolds, toujours à l’arrêt. A la fois chef d’orchestre et capable de prendre le jeu à son compte, il va apporter un bonus appréciable à l’équipe de Cédric Heitz actuellement 16e avec 7 victoires et 15 défaites.
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Photo : Daniel Hackett (Virtus)
", "comment_id":"592220", "plaintext":"Virtus Segafredo Bologne a gagné un beau 112e derby de Basket City en battant le Fortitudo Bologne au sprint (82-85), et dans une ambiance colorée.\n\nEn provenance du CSKA Moscou, Daniel Hackett (17 points, 7 rebonds et 4 passes) n’a pas manqué ses débuts sous le maillot de la Virtus. Isaia Cordinier a assuré 9 points et 5 rebonds, et Mam Jaiteh 5 points et 6 rebonds. Avec 19 points, l’Allemand Robin Benzing a été le meilleur marqueur de la Fortitudo.\n\nPhoto : Daniel Hackett (Virtus)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/daniel-hackett.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-14T08:47:00.000Z", "updated_at":"2022-03-14T08:46:43.000Z", "published_at":"2022-03-14T08:47:00.000Z", "custom_excerpt":"Virtus Segafredo Bologne a gagné un beau 112e derby de Basket City en battant le Fortitudo Bologne au sprint (82-85), et dans une ambiance colorée.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99468", "uuid":"e2ab0119-9386-4d8e-ace8-c47fbbc1c40a", "title":"L’ancien Palois Artur Drozdov a pris les armes pour défendre l’Ukraine", "slug":"lancien-palois-artur-drozdov-a-pris-les-armes-pour-defendre-lukraine", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/ElanBearnais?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/champion-olympique-en-1988-oleksandr-volkov-apparait-arme-pour-defendre-lukraine/\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"A l’instar de nombreux sportifs, \"],[0,[0],1,\"dont l’ancien champion olympique Oleksandr Volkov\"],[0,[],0,\", l’ex-international ukrainien Artur Drozdov, 41 ans, a pris les armes pour défendre son pays contre l’envahissement des troupes russes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est l’ancien Directeur Général de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, Didier Gadou qui en fait l’écho sur les réseaux sociaux car Artur Drozdov, génération Boris Diaw et des frères Piétrus, y fut formé (2000-06) et y revint en 2014 pour 8 matches, alors qu’il fit l’essentiel de sa carrière dans son pays.\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"C’est l’ancien Directeur Général de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, Didier Gadou qui en fait l’écho sur les réseaux sociaux car Artur Drozdov, génération Boris Diaw et des frères Piétrus, y fut formé (2000-06) et y revint en 2014 pour 8 matches, alors qu’il fit l’essentiel de sa carrière dans son pays.
Kyle O’Quinn parti, le Paris Basketball libéré ? C’est en tout cas ce qu’a confié Jean-Christophe Prat en conférence de presse d’après match, dans des propos rapportés par Paris Basketball On Air. Sans détour, il a affirmé qu’il y avait un problème entre les différentes parties et que la séparation a enlevé un poids à tout le monde.
« Oui certainement, le groupe est soulagé, on ne va pas faire de langue de bois. On ne va pas se le cacher, on avait un problème et quand il y a un problème, les responsabilités sont partagées. Ce n’est pas 100% lui, ni 100% le club. Il y a des choses que l’on a pas bien faites, d’autres si, et réciproquement pour lui. Le plus important c’est vraiment de se concentrer sur ceux qui sont là et d’apprendre de ce qu’il s’est passé. Ça arrive dans tous les clubs, il faudra juste en tirer des enseignements mais ce n’est pas le bon moment pour l’instant. »
Ce départ pourrait-il permettre à des jeunes espoirs de gagner quelques minutes avec l’effectif professionnnel ? Jean-Christophe Prat ne s’interdit rien, notamment en ce qui concerne la formation, aspect primordial du projet sportif du Paris Basketball. Mais il garde à l’idée qu’il est préférable de commencer par lancer les jeunes du club, comme Mohammed Diawara, qui a pris part à la victoire face à Bourg-en-Bresse.
« On a un département scouting. Le weekend dernier on est allé voir des 2008 et des 2009 à Poissy. On a trouvé des perles rares, qui sont déjà très grands et très bons. Donc oui, on avance déjà là-dessus. On essaye toujours d’avoir un coup d’avance, mais on va d’abord s’occuper de nous et essayer d’avancer avec nos joueurs. On a Juhann (Begarin) et Ismaël (Kamagate) qui vont sûrement nous quitter à la fin d’année, on a Milan (Barbitch) qui est toujours là. Avant d’aller recruter à l’extérieur on va déjà s’occuper des nôtres, c’est ça notre priorité. Si je mets Mo sur le terrain c’est qu’il le mérite. Je peux me permettre de les faire jouer quand on a un petit peu de marge, parce qu’on est quand même dans une lutte pour le maintien pour l’instant, mais après si ça se passe bien on les mettra de plus en plus. Si on se sécurise assez vite et qu’on ne peut pas jouer au-dessus, on n’hésitera pas à les mettre sur le terrain. »
Photo : Kyle O’Quinn (Thomas Savoja)
", "comment_id":"592144", "plaintext":"Alors que le Paris Basketball a renoué avec la victoire, Jean-Christophe Prat s’est exprimé sur un élément qui a fait du bien à tout un groupe : le départ de Kyle O’Quinn.\n\nKyle O’Quinn parti, le Paris Basketball libéré ? C’est en tout cas ce qu’a confié Jean-Christophe Prat en conférence de presse d’après match, dans des propos rapportés par Paris Basketball On Air. Sans détour, il a affirmé qu’il y avait un problème entre les différentes parties et que la séparation a enlevé un poids à tout le monde.\n\n« Oui certainement, le groupe est soulagé, on ne va pas faire de langue de bois. On ne va pas se le cacher, on avait un problème et quand il y a un problème, les responsabilités sont partagées. Ce n’est pas 100% lui, ni 100% le club. Il y a des choses que l’on a pas bien faites, d’autres si, et réciproquement pour lui. Le plus important c’est vraiment de se concentrer sur ceux qui sont là et d’apprendre de ce qu’il s’est passé. 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On a Juhann (Begarin) et Ismaël (Kamagate) qui vont sûrement nous quitter à la fin d’année, on a Milan (Barbitch) qui est toujours là. Avant d’aller recruter à l’extérieur on va déjà s’occuper des nôtres, c’est ça notre priorité. Si je mets Mo sur le terrain c’est qu’il le mérite. Je peux me permettre de les faire jouer quand on a un petit peu de marge, parce qu’on est quand même dans une lutte pour le maintien pour l’instant, mais après si ça se passe bien on les mettra de plus en plus. 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Basket Landes b. Landerneau* : 44-72.
C’est dans l’ultime tranche de 10 minutes que Bourges a fait la différence, passant un 12-29 à Villeneuve d’Ascq, qui jusque là avait tenu bon. Iliana Rupert a réalisé une prestation de première classe avec 19 points à 8/11 aux shoots, dont 3/4 à trois-points, 10 rebonds, 6 passes, 5 interceptions et 1 contre pour une évaluation de 36. Jo Gomis (21 points) a été la top marqueuse des Nordistes.
Bourges b. Villeneuve d’Ascq* : 69-85.
Photo : Basket Landes
De la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Turquie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.
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En Eurocup, la Virtus Bologne effectuait le court déplacement à Venise. Mam Jaiteh a débuté le match aux côtés de Kevin Hervey dans la raquette bolognaise. Première option offensive de son équipe avec 11 tirs, il en a transformés 9 pour marquer 24 points. Il a ainsi terminé meilleur marqueur de la rencontre. Il en a également été le meilleur rebondeur avec 12 rebonds. Son double-double lui a permis d’obtenir une évaluation de 41 en 29 minutes. Il a logiquement été le meilleur joueur de la rencontre et a mené son équipe à la victoire 83-72. Cerise sur le gâteau, l’ancien Strasbourgeois s’est vu attribuer le trophée de MVP de la journée en Eurocup. Il s’agit du premier de sa carrière dans cette compétition. Sa performance constitue aussi le record pour un joueur de la Virtus Bologne en Eurocup. Elle est de plus la quatrième meilleure de la saison. Enfin, pour l’occasion, il a établi ses records de la saison que ce soit en terme d’évaluation, de points, de rebonds ou de passes (2).
En Euroleague, le Zalgiris Kaunas recevait le leader, le FC Barcelone. Joffrey Lauvergne était parmi les starters et était opposé à Sertac Sanli. Impliqué en attaque, il a marqué 18 points. Il a surtout provoqué 6 fautes et tiré 9 lancers-francs. Avec 8 réussis, il a eu une adresse impressionnante dans ce domaine surtout pour un pivot. A sa production offensive, il a ajouté 4 rebonds et 2 passes. En 22 minutes, il a pu collecter 22 d’évaluation. Il a ainsi égalé sa meilleure performance de la saison dans la compétition. Le trio qu’il a formé avec Edgaras Ulanovas et Lukas Lekavicius a apporté les trois quarts de l’évaluation de l’équipe. De plus, il a été le meilleur Français de la semaine dans la compétition continentale majeure. Le club lituanien a réussi l’exploit de battre le club catalan 91-84. Malgré cette victoire, il reste dernier de l’Euroleague.
En Espagne, Bilbao se déplaçait chez l’une des surprises de la saison, Lugo. Sur le banc au coup d’envoi, Damien Inglis a tout de même disputé 25 minutes. Il a été la première option offensive de son équipe tout juste devant Andrew Goudelock. Très adroit aux tirs, il a transformé 9 de ses 13 shoots (dont 2/2 à longue distance). Il a été le deuxième marqueur de son équipe avec 22 points. L’ancien Monégasque a également été le meilleur rebondeur de la rencontre avec 9 unités. Il a aussi ajouté 3 passes. Avec 29 d’évaluation, il a été le meilleur joueur de la rencontre. Il a été le leader de l’équipe basque qui s’est imposée à Lugo 94-86. Elle revient dans la course aux Playoffs avec un bilan équilibré.
Sylvain Francisco (Manresa) : 14 points (6/12 aux tirs dont 2/7 à trois points), 3 rebonds, 5 passes et 3 interceptions pour 18 d’évaluation en 19 minutes (victoire 108-88 contre Treviso en BCL).
Axel Bouteille (Malaga) : Starter à l’aile. 21 points (8/19 aux tirs dont 3/7 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 5 rebonds, 4 passes pour 21 d’évaluation en 25 minutes (victoire 86-70 à Cluj-Napoca en BCL).
Damien Inglis (Bilbao) : 22 points (9/13 aux tirs dont 2/2 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 9 rebonds, 3 passes pour 29 d’évaluation en 25 minutes (victoire 94-86 à Lugo en Espagne).
Joffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : Starter au pivot. 18 points (5/9 aux tirs, 8/9 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 passes pour 22 d’évaluation en 22 minutes (victoire 91-84 contre Barcelona en Euroleague).
Mouhammadou Jaiteh (Virtus Bologna) : Starter au pivot. 24 points (9/11 aux tirs, 6/8 aux lancers-francs), 12 rebonds, 2 passes pour 41 d’évaluation en 29 minutes (victoire 83-72 à Venezia en Eurocup).
Thomas Heurtel (Real Madrid) : 2 points (1/7 aux tirs dont 0/4 à trois points), 4 rebonds, 5 passes pour 3 d’évaluation en 20 minutes (défaite 65-62 à l’Etoile Rouge Belgrade).
8 points (3/7 aux tirs dont 2/3 à trois points), 1 rebond, 2 passes pour 7 d’évaluation en 16 minutes (victoire 92-88 contre Milan).
Fabien Causeur (Real Madrid) : N’a pas joué (à l’Etoile Rouge Belgrade et contre Milan).
Guerschon Yabusele (Real Madrid) : Starter à l’intérieur. 8 points (3/9 aux tirs dont 1/5 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 4 rebonds, 3 ballons perdus pour 4 d’évaluation en 22 minutes (défaite 65-62 à l’Etoile Rouge Belgrade).
Starter à l’intérieur. 16 points (6/9 aux tirs dont 4/6 à trois points), 3 rebonds, 1 passe pour 17 d’évaluation en 35 minutes (victoire 92-88 contre Milan).
Vincent Poirier (Real Madrid) : 4 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes pour 12 d’évaluation en 13 minutes (défaite 65-62 à l’Etoile Rouge Belgrade).
4 points (2/2 aux tirs), 4 rebonds, 3 contres pour 8 d’évaluation en 24 minutes (victoire 92-88 contre Milan).
Rodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : Starter à l’intérieur. 5 points (2/7 aux tirs dont 1/5 à trois points), 3 rebonds, 2 passes pour 4 d’évaluation en 30 minutes (défaite 87-74 à Baskonia).
Starter à l’arrière. 13 points (5/10 aux tirs dont 3/6 à trois points), 4 rebonds pour 11 d’évaluation en 31 minutes (défaite 102-80 à Monaco).
Adrien Moerman (Anadolu Efes) : Starter à l’intérieur. 4 points (2/3 aux tirs), 3 rebonds pour 5 d’évaluation en 19 minutes (défaite 87-74 à Baskonia).
5 points (2/8 aux tirs dont 1/4 à trois points), 7 rebonds, 3 passes pour 6 d’évaluation en 28 minutes (défaite 102-80 à Monaco).
Moustapha Fall (Olympiacos) : Starter au pivot. 8 points (3/6 aux tirs, 2/2 aux lancers-francs), 4 rebonds pour 14 d’évaluation en 16 minutes (défaite 90-75 à l’Alba Berlin).
Livio Jean-Charles (Olympiacos) : 2 points (0/1 à trois points, 2/2 aux lancers-francs) pour 2 d’évaluation en 4 minutes (défaite 90-75 à l’Alba Berlin).
Louis Labeyrie (Valencia) : Starter à l’intérieur. 7 points (3/8 aux tirs dont 1/4 à trois points), 4 rebonds, 1 passe pour 7 d’évaluation en 17 minutes (victoire 88-77 à Bourg).
Andrew Albicy (Gran Canaria) : 10 point (4/8 aux tirs dont 1/3 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 3 passes pour 11 d’évaluation en 21 minutes (victoire 87-81 contre Bursaspor).
Amine Noua (Andorra) : Starter à l’intérieur. 5 points (2/6 aux tirs dont 0/1 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe pour 2 d’évaluation en 20 minutes (victoire 72-71 contre Badalona).
Isaia Cordinier (Virtus Bologne) : 10 points (5/9 aux tirs dont 0/2 à trois points), 3 rebonds, 2 passes pour 6 d’évaluation en 28 minutes (victoire 83-72 à Venezia).
Mathias Lessort (Partizan Belgrade) : 7 points (1/5 aux tirs, 5/5 aux lancers-francs), 4 rebonds, 1 passe pour 8 d’évaluation en 20 minutes (défaite 93-78 à Lietkabelis).
Frédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 0 point (0/1 à trois points), 2 rebonds pour -1 d’évaluation en 11 minutes (victoire 98-89 contre Galatasaray).
0 point (0/2 aux tirs dont 0/1 à trois points), 2 passes pour -1 d’évaluation en 10 minutes (défaite 74-71 à Galatasaray).
Alexandre Gavrilovic (Oradea) : 8 points (4/7 aux tirs dont 0/3 à trois points), 9 rebonds, 1 passe pour 14 d’évaluation en 14 minutes (défaite 84-82 aux Bakken Bears).
Thomas Heurtel (Real Madrid) : 4 points (1/3 à trois points, 1/1 aux lancers-francs), 1 rebond, 6 passes et 5 ballons perdus pour 4 d’évaluation en 23 minutes (victoire 85-70 au San Pablo Burgos).
Fabien Causeur (Real Madrid) : N’a pas joué (au San Pablo Burgos).
Guerschon Yabusele (Real Madrid) : Starter à l’intérieur. 20 points (6/7 aux tirs dont 5/6 à trois points, 3/3 aux lancers-francs), 1 rebond pour 20 d’évaluation en 19 minutes (victoire 85-70 au San Pablo Burgos).
Vincent Poirier (Real Madrid) : 12 points (3/8 aux tirs dont 0/1 à trois points, 6/8 aux lancers-francs), 10 rebonds, 2 passes pour 24 d’évaluation en 25 minutes (victoire 85-70 au San Pablo Burgos).
Louis Labeyrie (Valencia) : 7 points (2/4 aux tirs dont 1/3 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 6 rebonds pour 10 d’évaluation en 19 minutes (défaite 76-68 à Badalona).
10 points (4/5 aux tirs dont 1/1 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 8 rebonds, 2 passes pour 21 d’évaluation en 24 minutes (victoire 90-85 contre Manresa).
Andrew Albicy (Gran Canaria) : Starter à la mène. 8 points (3/7 aux tirs dont 2/3 à trois points), 2 rebonds, 8 passes pour 12 d’évaluation en 24 minutes (victoire 76-59 contre Malaga).
Amine Noua (Andorra) : Starter à l’intérieur. 6 points (2/5 à trois points), 2 rebonds pour 4 d’évaluation en 14 minutes (défaite 96-67 à Murcia).
Axel Bouteille (Malaga) : N’a pas joué (à Gran Canaria).
Sylvain Francisco (Manresa) : N’a pas joué (à Valencia).
11 points (4/11 aux tirs dont 3/8 à trois points), 2 rebonds, 2 passes et 4 ballons perdus pour 5 d’évaluation en 22 minutes (défaite 90-85 à Valencia).
Ibrahim Magassa (Sevilla) : N’a pas joué (à Barcelona).
Jonathan Rousselle (Bilbao) : 9 points (3/6 aux tirs dont 2/3 à trois points, 1/1 aux lancers-francs), 2 rebonds, 3 passes et 3 ballons perdus pour 11 d’évaluation en 17 minutes (victoire 94-86 à Lugo).
Nando De Colo (Fenerbahçe) : 19 points (6/12 aux tirs dont 3/6 à trois points, 4/5 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe et 3 ballons perdus pour 14 d’évaluation en 23 minutes (victoire 82-76 à Merkezefendi).
Mam Jaiteh (Virtus Bologna) : Starter au pivot. 5 points (2/4 aux tirs, 1/2 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 passe pour 8 d’évaluation en 17 minutes (victoire 85-82 à la Fortitudo Bologna).
Isaia Cordinier (Virtus Bologna) : 9 points (4/10 aux tirs dont 1/3 à trois points), 5 rebonds, 2 passes pour 10 d’évaluation en 28 minutes (victoire 85-82 à la Fortitudo Bologna).
Moustapha Fall (Olympiacos) : N’a pas joué (contre l’Iraklis Salonique).
Livio Jean-Charles (Olympiacos) : Starter au pivot. 0 point (0/1 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe et 3 ballons perdus pour 7 d’évaluation en 22 minutes (victoire 94-65 contre l’Iraklis Salonique).
Mathias Lessort (Partizan Belgrade) : 7 points (1/1 aux tirs, 5/7 aux lancers-francs), 4 rebonds, 3 passes et 3 ballons perdus pour 10 d’évaluation en 18 minutes (victoire 80-72 au Buducnost Podgorica).
Malcolm Cazalon (Mega Mozzart Belgrade) : N’a pas joué (au Cedevita Olimpija Ljubljana).
Frédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 8 points (3/7 aux tirs dont 2/6 à trois points), 1 rebond, 1 passe pour 6 d’évaluation en 23 minutes (victoire 78-62 au Maccabi Rishon LeZion).
Joffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : Starter au pivot. 21 points (10/11 aux tirs, 1/3 aux lancers-francs), 3 rebonds pour 25 d’évaluation en 13 minutes (victoire 93-70 contre Jonava).
Daryl Doualla (Nevezis) : 3 points (1/5 aux tirs dont 1/4 à trois points), 2 rebonds pour 1 d’évaluation en 19 minutes (défaite 79-66 contre Siaulai).
Aaron Cel (Torun) : Starter à l’intérieur. 12 points (6/8 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes pour 21 d’évaluation en 28 minutes (victoire 83-70 à Gliwice).
Starter à l’intérieur. 14 points (6/13 aux tirs dont 2/6 à trois points), 4 rebonds, 2 passes pour 13 d’évaluation en 27 minutes (victoire 81-70 à Bydgoszcz).
Alexandre Gavrilovic (Oradea) : Starter au pivot. 6 points (3/3 aux tirs), 2 rebonds pour 8 d’évaluation en 18 minutes (défaite 82-63 à Pitesti).
Joris Ortega (Miercurea Ciuc) : Starter à l’arrière. 0 point (0/4 aux tirs dont 0/1 à trois points), 2 rebonds pour -2 d’évaluation en 18 minutes (défaite 79-65 à Ploiesti).
N’a pas joué (contre Voluntari).
Emmanuel Monceau (Kolubara) : N’a pas joué (contre Radnicki et le Dynamic Belgrade).
Edwin Jackson (Estudiantes Madrid) : N’a pas joué (à Prat).
Darel Poirier (Estudiantes Madrid) : N’a pas joué (à Prat).
Sidy Cissoko (Juaristi) : 14 points (5/11 aux tirs dont 2/4 à trois points, 2/4 aux lancers-francs), 6 rebonds, 5 passes pour 22 d’évaluation en 26 minutes (victoire 85-69 contre Alicante).
Yannis Mendy (Palma) : N’a pas joué (contre Gipuzkoa).
Tom Digbeu (Brisbane) : 2 points (1/1 aux tirs), 1 passe pour 2 d’évaluation en 7 minutes (défaite 95-83 contre Perth).
Hugo Besson (New Zealand) : 17 points (6/11 aux tirs dont 3/6 à trois points, 2/3 aux lancers-francs), 3 rebonds, 4 passes et 4 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 24 minutes (victoire 84-75 contre Adelaide).
23 points (8/16 aux tirs dont 6/11 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 3 passes et 4 ballons perdus pour 16 d’évaluation en 32 minutes (défaite 104-102 contre Perth).
Ousmane Dieng (New Zealand) : Starter à l’aile. 13 points (6/8 aux tirs dont 0/1 à trois points, 1/1 aux lancers-francs), 4 rebonds pour 15 d’évaluation en 24 minutes (victoire 84-75 contre Adelaide).
Starter à l’aile. 8 points (3/9 aux tirs dont 0/3 à trois points, 2/2aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 passe pour 6 d’évaluation en 20 minutes (défaite 104-102 contre Perth).
Photo d’ouverture : Mam Jaiteh (Virtus Bologna-Eurocup)
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En Eurocup, la Virtus Bologna effectuait le court déplacement à Venise. Mam Jaiteh a débuté le match aux côtés de Kevin Hervey dans la raquette bolognaise. Première option offensive de son équipe avec 11 tirs, il en a transformés 9 pour marquer 24 points. Il a ainsi terminé meilleur marqueur de la rencontre. Il en a également été le meilleur rebondeur avec 12 rebonds. Son double-double lui a permis d’obtenir une évaluation de 41 en 29 minutes. Il a logiquement été le meilleur joueur de la rencontre et a mené son équipe à la victoire 83-72. Cerise sur le gâteau, l’ancien Strasbourgeois s’est vu attribuer le trophée de MVP de la journée en Eurocup. Il s’agit du premier de sa carrière dans cette compétition. Sa performance constitue aussi le record pour un joueur de la Virtus Bologna en Eurocup. Elle est de plus la quatrième meilleure de la saison. Enfin, pour l’occasion, il a établi ses records de la saison que ce soit en terme d’évaluation, de points, de rebonds ou de passes (2).
En Euroleague, le Zalgiris Kaunas recevait le leader, le FC Barcelona. Joffrey Lauvergne était parmi les starters et était opposé à Sertac Sanli. Impliqué en attaque, il a marqué 18 points. Il a surtout provoqué 6 fautes et tiré 9 lancers-francs. Avec 8 réussis, il a eu une adresse impressionnante dans ce domaine surtout pour un pivot. A sa production offensive, il a ajouté 4 rebonds et 2 passes. En 22 minutes, il a pu collecter 22 d’évaluation. Il a ainsi égalé sa meilleure performance de la saison dans la compétition. Le trio qu’il a formé avec Edgaras Ulanovas et Lukas Lekavicius a apporté les trois quarts de l’évaluation de l’équipe.
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Photo : Mam Jaiteh (Virtus Bologna-Eurocup)
", "comment_id":"592050", "plaintext":"Cette semaine a vu la performance record de Mam Jaiteh en Eurocup. En Euroleague, c’est Joffrey Lauvergne qui s’est mis en évidence face au Barca. Enfin, Sylvain Francisco et Axel Bouteille en BCL ainsi que Damien Inglis en Liga Endesa ont marqué les esprits.\n\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Turquie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nMam Jaiteh réussit son meilleur match en Eurocup\n\nEn Eurocup, la Virtus Bologne effectuait le court déplacement à Venise. Mam Jaiteh a débuté le match aux côtés de Kevin Hervey dans la raquette bolognaise. Première option offensive de son équipe avec 11 tirs, il en a transformés 9 pour marquer 24 points. Il a ainsi terminé meilleur marqueur de la rencontre. Il en a également été le meilleur rebondeur avec 12 rebonds. Son double-double lui a permis d’obtenir une évaluation de 41 en 29 minutes. Il a logiquement été le meilleur joueur de la rencontre et a mené son équipe à la victoire 83-72. Cerise sur le gâteau, l’ancien Strasbourgeois s’est vu attribuer le trophée de MVP de la journée en Eurocup. Il s’agit du premier de sa carrière dans cette compétition. Sa performance constitue aussi le record pour un joueur de la Virtus Bologne en Eurocup. Elle est de plus la quatrième meilleure de la saison. Enfin, pour l’occasion, il a établi ses records de la saison que ce soit en terme d’évaluation, de points, de rebonds ou de passes (2).\n\n\n\nJoffrey Lauvergne important dans la victoire du Zalgiris contre le Barca\n\nEn Euroleague, le Zalgiris Kaunas recevait le leader, le FC Barcelone. Joffrey Lauvergne était parmi les starters et était opposé à Sertac Sanli. Impliqué en attaque, il a marqué 18 points. Il a surtout provoqué 6 fautes et tiré 9 lancers-francs. Avec 8 réussis, il a eu une adresse impressionnante dans ce domaine surtout pour un pivot. A sa production offensive, il a ajouté 4 rebonds et 2 passes. En 22 minutes, il a pu collecter 22 d’évaluation. Il a ainsi égalé sa meilleure performance de la saison dans la compétition. Le trio qu’il a formé avec Edgaras Ulanovas et Lukas Lekavicius a apporté les trois quarts de l’évaluation de l’équipe. De plus, il a été le meilleur Français de la semaine dans la compétition continentale majeure. Le club lituanien a réussi l’exploit de battre le club catalan 91-84. Malgré cette victoire, il reste dernier de l’Euroleague.\n\n\nDamien Inglis emmène Bilbao au succès\n\nEn Espagne, Bilbao se déplaçait chez l’une des surprises de la saison, Lugo. Sur le banc au coup d’envoi, Damien Inglis a tout de même disputé 25 minutes. Il a été la première option offensive de son équipe tout juste devant Andrew Goudelock. Très adroit aux tirs, il a transformé 9 de ses 13 shoots (dont 2/2 à longue distance). Il a été le deuxième marqueur de son équipe avec 22 points. L’ancien Monégasque a également été le meilleur rebondeur de la rencontre avec 9 unités. Il a aussi ajouté 3 passes. Avec 29 d’évaluation, il a été le meilleur joueur de la rencontre. Il a été le leader de l’équipe basque qui s’est imposée à Lugo 94-86. Elle revient dans la course aux Playoffs avec un bilan équilibré.\n\n\nLe 5 majeur de la semaine :\n\nSylvain Francisco (Manresa) : 14 points (6/12 aux tirs dont 2/7 à trois points), 3 rebonds, 5 passes et 3 interceptions pour 18 d’évaluation en 19 minutes (victoire 108-88 contre Treviso en BCL).\n\nAxel Bouteille (Malaga) : Starter à l’aile. 21 points (8/19 aux tirs dont 3/7 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 5 rebonds, 4 passes pour 21 d’évaluation en 25 minutes (victoire 86-70 à Cluj-Napoca en BCL).\n\nDamien Inglis (Bilbao) : 22 points (9/13 aux tirs dont 2/2 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 9 rebonds, 3 passes pour 29 d’évaluation en 25 minutes (victoire 94-86 à Lugo en Espagne).\n\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : Starter au pivot. 18 points (5/9 aux tirs, 8/9 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 passes pour 22 d’évaluation en 22 minutes (victoire 91-84 contre Barcelona en Euroleague).\n\nMouhammadou Jaiteh (Virtus Bologna) : Starter au pivot. 24 points (9/11 aux tirs, 6/8 aux lancers-francs), 12 rebonds, 2 passes pour 41 d’évaluation en 29 minutes (victoire 83-72 à Venezia en Eurocup).\n\nEUROLEAGUE\n\nThomas Heurtel (Real Madrid) : 2 points (1/7 aux tirs dont 0/4 à trois points), 4 rebonds, 5 passes pour 3 d’évaluation en 20 minutes (défaite 65-62 à l’Etoile Rouge Belgrade).\n\n8 points (3/7 aux tirs dont 2/3 à trois points), 1 rebond, 2 passes pour 7 d’évaluation en 16 minutes (victoire 92-88 contre Milan).\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : N’a pas joué (à l’Etoile Rouge Belgrade et contre Milan).\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid) : Starter à l’intérieur. 8 points (3/9 aux tirs dont 1/5 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 4 rebonds, 3 ballons perdus pour 4 d’évaluation en 22 minutes (défaite 65-62 à l’Etoile Rouge Belgrade).\n\nStarter à l’intérieur. 16 points (6/9 aux tirs dont 4/6 à trois points), 3 rebonds, 1 passe pour 17 d’évaluation en 35 minutes (victoire 92-88 contre Milan).\n\nVincent Poirier (Real Madrid) : 4 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes pour 12 d’évaluation en 13 minutes (défaite 65-62 à l’Etoile Rouge Belgrade).\n\n4 points (2/2 aux tirs), 4 rebonds, 3 contres pour 8 d’évaluation en 24 minutes (victoire 92-88 contre Milan).\n\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : Starter à l’intérieur. 5 points (2/7 aux tirs dont 1/5 à trois points), 3 rebonds, 2 passes pour 4 d’évaluation en 30 minutes (défaite 87-74 à Baskonia).\n\nStarter à l’arrière. 13 points (5/10 aux tirs dont 3/6 à trois points), 4 rebonds pour 11 d’évaluation en 31 minutes (défaite 102-80 à Monaco).\n\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : Starter à l’intérieur. 4 points (2/3 aux tirs), 3 rebonds pour 5 d’évaluation en 19 minutes (défaite 87-74 à Baskonia).\n\n5 points (2/8 aux tirs dont 1/4 à trois points), 7 rebonds, 3 passes pour 6 d’évaluation en 28 minutes (défaite 102-80 à Monaco).\n\nMoustapha Fall (Olympiacos) : Starter au pivot. 8 points (3/6 aux tirs, 2/2 aux lancers-francs), 4 rebonds pour 14 d’évaluation en 16 minutes (défaite 90-75 à l’Alba Berlin).\n\nLivio Jean-Charles (Olympiacos) : 2 points (0/1 à trois points, 2/2 aux lancers-francs) pour 2 d’évaluation en 4 minutes (défaite 90-75 à l’Alba Berlin).\n\nEUROCUP\n\nLouis Labeyrie (Valencia) : Starter à l’intérieur. 7 points (3/8 aux tirs dont 1/4 à trois points), 4 rebonds, 1 passe pour 7 d’évaluation en 17 minutes (victoire 88-77 à Bourg).\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : 10 point (4/8 aux tirs dont 1/3 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 3 passes pour 11 d’évaluation en 21 minutes (victoire 87-81 contre Bursaspor).\n\nAmine Noua (Andorra) : Starter à l’intérieur. 5 points (2/6 aux tirs dont 0/1 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe pour 2 d’évaluation en 20 minutes (victoire 72-71 contre Badalona).\n\nIsaia Cordinier (Virtus Bologne) : 10 points (5/9 aux tirs dont 0/2 à trois points), 3 rebonds, 2 passes pour 6 d’évaluation en 28 minutes (victoire 83-72 à Venezia).\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade) : 7 points (1/5 aux tirs, 5/5 aux lancers-francs), 4 rebonds, 1 passe pour 8 d’évaluation en 20 minutes (défaite 93-78 à Lietkabelis).\n\nBASKETBALL CHAMPIONS LEAGUE\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 0 point (0/1 à trois points), 2 rebonds pour -1 d’évaluation en 11 minutes (victoire 98-89 contre Galatasaray).\n\n0 point (0/2 aux tirs dont 0/1 à trois points), 2 passes pour -1 d’évaluation en 10 minutes (défaite 74-71 à Galatasaray).\n\nFIBA EUROPE CUP\n\nAlexandre Gavrilovic (Oradea) : 8 points (4/7 aux tirs dont 0/3 à trois points), 9 rebonds, 1 passe pour 14 d’évaluation en 14 minutes (défaite 84-82 aux Bakken Bears).\n\nESPAGNE\n\nThomas Heurtel (Real Madrid) : 4 points (1/3 à trois points, 1/1 aux lancers-francs), 1 rebond, 6 passes et 5 ballons perdus pour 4 d’évaluation en 23 minutes (victoire 85-70 au San Pablo Burgos).\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : N’a pas joué (au San Pablo Burgos).\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid) : Starter à l’intérieur. 20 points (6/7 aux tirs dont 5/6 à trois points, 3/3 aux lancers-francs), 1 rebond pour 20 d’évaluation en 19 minutes (victoire 85-70 au San Pablo Burgos).\n\nVincent Poirier (Real Madrid) : 12 points (3/8 aux tirs dont 0/1 à trois points, 6/8 aux lancers-francs), 10 rebonds, 2 passes pour 24 d’évaluation en 25 minutes (victoire 85-70 au San Pablo Burgos).\n\nLouis Labeyrie (Valencia) : 7 points (2/4 aux tirs dont 1/3 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 6 rebonds pour 10 d’évaluation en 19 minutes (défaite 76-68 à Badalona).\n\n10 points (4/5 aux tirs dont 1/1 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 8 rebonds, 2 passes pour 21 d’évaluation en 24 minutes (victoire 90-85 contre Manresa).\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : Starter à la mène. 8 points (3/7 aux tirs dont 2/3 à trois points), 2 rebonds, 8 passes pour 12 d’évaluation en 24 minutes (victoire 76-59 contre Malaga).\n\nAmine Noua (Andorra) : Starter à l’intérieur. 6 points (2/5 à trois points), 2 rebonds pour 4 d’évaluation en 14 minutes (défaite 96-67 à Murcia).\n\nAxel Bouteille (Malaga) : N’a pas joué (à Gran Canaria).\n\nSylvain Francisco (Manresa) : N’a pas joué (à Valencia).\n\n11 points (4/11 aux tirs dont 3/8 à trois points), 2 rebonds, 2 passes et 4 ballons perdus pour 5 d’évaluation en 22 minutes (défaite 90-85 à Valencia).\n\nIbrahim Magassa (Sevilla) : N’a pas joué (à Barcelona).\n\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 9 points (3/6 aux tirs dont 2/3 à trois points, 1/1 aux lancers-francs), 2 rebonds, 3 passes et 3 ballons perdus pour 11 d’évaluation en 17 minutes (victoire 94-86 à Lugo).\n\nTURQUIE\n\nNando De Colo (Fenerbahçe) : 19 points (6/12 aux tirs dont 3/6 à trois points, 4/5 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe et 3 ballons perdus pour 14 d’évaluation en 23 minutes (victoire 82-76 à Merkezefendi).\n\nITALIE\n\nMam Jaiteh (Virtus Bologna) : Starter au pivot. 5 points (2/4 aux tirs, 1/2 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 passe pour 8 d’évaluation en 17 minutes (victoire 85-82 à la Fortitudo Bologna).\n\nIsaia Cordinier (Virtus Bologna) : 9 points (4/10 aux tirs dont 1/3 à trois points), 5 rebonds, 2 passes pour 10 d’évaluation en 28 minutes (victoire 85-82 à la Fortitudo Bologna).\n\nGRECE\n\nMoustapha Fall (Olympiacos) : N’a pas joué (contre l’Iraklis Salonique).\n\nLivio Jean-Charles (Olympiacos) : Starter au pivot. 0 point (0/1 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe et 3 ballons perdus pour 7 d’évaluation en 22 minutes (victoire 94-65 contre l’Iraklis Salonique).\n\nLIGUE ADRIATIQUE\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade) : 7 points (1/1 aux tirs, 5/7 aux lancers-francs), 4 rebonds, 3 passes et 3 ballons perdus pour 10 d’évaluation en 18 minutes (victoire 80-72 au Buducnost Podgorica).\n\nMalcolm Cazalon (Mega Mozzart Belgrade) : N’a pas joué (au Cedevita Olimpija Ljubljana).\n\nISRAEL\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 8 points (3/7 aux tirs dont 2/6 à trois points), 1 rebond, 1 passe pour 6 d’évaluation en 23 minutes (victoire 78-62 au Maccabi Rishon LeZion).\n\nLITUANIE\n\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : Starter au pivot. 21 points (10/11 aux tirs, 1/3 aux lancers-francs), 3 rebonds pour 25 d’évaluation en 13 minutes (victoire 93-70 contre Jonava).\n\nDaryl Doualla (Nevezis) : 3 points (1/5 aux tirs dont 1/4 à trois points), 2 rebonds pour 1 d’évaluation en 19 minutes (défaite 79-66 contre Siaulai).\n\nPOLOGNE\n\nAaron Cel (Torun) : Starter à l’intérieur. 12 points (6/8 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes pour 21 d’évaluation en 28 minutes (victoire 83-70 à Gliwice).\n\nStarter à l’intérieur. 14 points (6/13 aux tirs dont 2/6 à trois points), 4 rebonds, 2 passes pour 13 d’évaluation en 27 minutes (victoire 81-70 à Bydgoszcz).\n\nROUMANIE\n\nAlexandre Gavrilovic (Oradea) : Starter au pivot. 6 points (3/3 aux tirs), 2 rebonds pour 8 d’évaluation en 18 minutes (défaite 82-63 à Pitesti).\n\nJoris Ortega (Miercurea Ciuc) : Starter à l’arrière. 0 point (0/4 aux tirs dont 0/1 à trois points), 2 rebonds pour -2 d’évaluation en 18 minutes (défaite 79-65 à Ploiesti).\n\nN’a pas joué (contre Voluntari).\n\nSERBIE\n\nEmmanuel Monceau (Kolubara) : N’a pas joué (contre Radnicki et le Dynamic Belgrade).\n\nESPAGNE (LEB Oro)\n\nEdwin Jackson (Estudiantes Madrid) : N’a pas joué (à Prat).\n\nDarel Poirier (Estudiantes Madrid) : N’a pas joué (à Prat).\n\nSidy Cissoko (Juaristi) : 14 points (5/11 aux tirs dont 2/4 à trois points, 2/4 aux lancers-francs), 6 rebonds, 5 passes pour 22 d’évaluation en 26 minutes (victoire 85-69 contre Alicante).\n\nYannis Mendy (Palma) : N’a pas joué (contre Gipuzkoa).\n\nNBL\n\nTom Digbeu (Brisbane) : 2 points (1/1 aux tirs), 1 passe pour 2 d’évaluation en 7 minutes (défaite 95-83 contre Perth).\n\nHugo Besson (New Zealand) : 17 points (6/11 aux tirs dont 3/6 à trois points, 2/3 aux lancers-francs), 3 rebonds, 4 passes et 4 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 24 minutes (victoire 84-75 contre Adelaide).\n\n23 points (8/16 aux tirs dont 6/11 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 3 passes et 4 ballons perdus pour 16 d’évaluation en 32 minutes (défaite 104-102 contre Perth).\n\nOusmane Dieng (New Zealand) : Starter à l’aile. 13 points (6/8 aux tirs dont 0/1 à trois points, 1/1 aux lancers-francs), 4 rebonds pour 15 d’évaluation en 24 minutes (victoire 84-75 contre Adelaide).\n\nStarter à l’aile. 8 points (3/9 aux tirs dont 0/3 à trois points, 2/2aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 passe pour 6 d’évaluation en 20 minutes (défaite 104-102 contre Perth).\n\nPhoto d’ouverture : Mam Jaiteh (Virtus Bologna-Eurocup)\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nMam Jaiteh réussit son meilleur match en Eurocup\n\nEn Eurocup, la Virtus Bologna effectuait le court déplacement à Venise. Mam Jaiteh a débuté le match aux côtés de Kevin Hervey dans la raquette bolognaise. Première option offensive de son équipe avec 11 tirs, il en a transformés 9 pour marquer 24 points. Il a ainsi terminé meilleur marqueur de la rencontre. Il en a également été le meilleur rebondeur avec 12 rebonds. Son double-double lui a permis d’obtenir une évaluation de 41 en 29 minutes. Il a logiquement été le meilleur joueur de la rencontre et a mené son équipe à la victoire 83-72. Cerise sur le gâteau, l’ancien Strasbourgeois s’est vu attribuer le trophée de MVP de la journée en Eurocup. Il s’agit du premier de sa carrière dans cette compétition. Sa performance constitue aussi le record pour un joueur de la Virtus Bologna en Eurocup. Elle est de plus la quatrième meilleure de la saison. Enfin, pour l’occasion, il a établi ses records de la saison que ce soit en terme d’évaluation, de points, de rebonds ou de passes (2).\n\n\n\nJoffrey Lauvergne important dans la victoire du Zalgiris contre le Barca\n\nEn Euroleague, le Zalgiris Kaunas recevait le leader, le FC Barcelona. Joffrey Lauvergne était parmi les starters et était opposé à Sertac Sanli. Impliqué en attaque, il a marqué 18 points. Il a surtout provoqué 6 fautes et tiré 9 lancers-francs. Avec 8 réussis, il a eu une adresse impressionnante dans ce domaine surtout pour un pivot. A sa production offensive, il a ajouté 4 rebonds et 2 passes. En 22 minutes, il a pu collecter 22 d’évaluation. Il a ainsi égalé sa meilleure performance de la saison dans la compétition. Le trio qu’il a formé avec Edgaras Ulanovas et Lukas Lekavicius a apporté les trois quarts de l’évaluation de l’équipe.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Mam Jaiteh (Virtus Bologna-Eurocup)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/jaiteh1503.webp", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-14T06:49:01.000Z", "updated_at":"2022-03-17T07:14:55.000Z", "published_at":"2022-03-14T06:49:01.000Z", "custom_excerpt":"Cette semaine a vu la performance record de Mam Jaiteh en Eurocup. En Euroleague, c’est Joffrey Lauvergne qui s’est mis en évidence face au Barca. Enfin, Sylvain Francisco et Axel Bouteille en BCL ainsi que Damien Inglis en Liga Endesa ont marqué les esprits. 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20h00 – Strasbourg/Szombately – BCL – LNBTV
Mardi 15 mars :
18h30 – Vilnius/Tenerife – BCL – LNBTV
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20h30 – Dijon/Galatasaray – BCL – LNBTV
Jeudi 17 mars :
20h45 – Madrid/ASVEL – Euroleague – Euroleague TV et OL Play
Samedi 19 mars :
20h30 – Roanne/Nanterre – Betclic Elite – Sport en France
Dimanche 20 mars :
15h15 – Paris/Monaco – Betclic Elite – France 3 Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur
15h15 – Vichy/Evreux – Pro B – France 3 Auvergne et Normandie
18h00 – Limoges/Boulogne-Levallois – Betclic Elite – BeIN Sports 2
beIN SPORTS
beIN SPORTS 1, 2 et 3 sont accessible sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52 – Canal Sat : canaux 66 à 68 – Free : canaux 31 à 33 – Orange: canaux 45 à 47 ou 176 à 178 – SFR : canaux 115 à 117)
SPORT EN FRANCE
Accessible gratuitement sur les Boxes : Bouygues : canal 192 – Free : canal 190 – Orange : canal 174 – SFR : canal 129 – sur Molotov TV et Samsung TV Plus
et sur www.sportenfrance.com
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Les chaînes sont accessibles gratuitement localement sur la TNT. Elles sont accessibles également sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 301 à 324 – Canal Sat : canaux 350 à 373 – Free : canaux 301 à 326 – Orange : canaux 211 à 236 – SFR : canaux 431 à 456)
LNB TV – LA PLATEFORME DIGITALE OTT DE LA LNB
La plateforme diffuse l’ensemble des matches* de Betclic ÉLITE et de PROB. Ils sont disponibles dans leur intégralité, en live et en replay et sont tous commentés.
Trois façons d’accéder
– Sur le site LNB
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Photo : Juhann Begarin (Paris, Thomas Savoja)
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En octobre 2013, Edwige Lawson et James Wade nous avaient confié pour Basket Hebdo comment il s’étaient rencontrés.
« C’est toi qui a flashé, c’est toi qui doit parler », demande en souriant Edwige à son mari. Alors James « Coco » Wade, meneur de jeu de poche, raconte comment il est tombé amoureux virtuellement d’Edwige Lawson, jugée de par son nom, son apparence et son style de jeu comme la plus Américaine des internationales françaises. Nous sommes à l’été 2001. James mène déjà une vie de vagabond. Il a fréquenté trois facs, des ligues américaines mineures, et effectué cinq matches aux Newcastle Eagles, au Royaume-Uni. Il vient de signer avec Cambrai, en Nationale 3. James est avec l’un de ses coéquipiers quand il tombe sur un exemplaire du numéro 226 de Maxi-Basket. Il ne comprend pas un traitre mot, se contente de tourner les pages pour regarder les photos, et tombe en arrêt sur celles d’une jeune femme métis de 22 ans qui explique que la France à « 99,9% de chances d’aller en finale ».
Edwige est alors considérée comme une meneuse à l’avenir radieux et l’US Valenciennes Olympique, aux dents longues, vient de la convaincre de quitter Aix-en-Provence et de rejoindre le pays des Ch’tis. En attendant, elle prépare l’EuroBasket qui va se tenir en septembre et où les « filles en or » seront consacrées. James livre sa confidence : « J’ai fait une blague avec mon coéquipier, je lui ai dit : c’est ma future femme ! »
Ce n’est pas à une basketteuse que l’on va apprendre que dans la vie, la motivation est un facteur fondamental de réussite. Or, James a désormais une idée fixe. « Une semaine plus tard, on est dans le bureau de mon président à Cambrai et, en voyant un poster de l’équipe de France, mon équipier dit : c’est la future Madame Wade ! Le président rigole et il me dit que la fille joue à trente minutes de là et qu’elle doit faire un match amical dans notre salle la semaine suivante. » Évidemment, James se rend au match, un Valenciennes-Villeneuve d’Ascq d’avant saison. « Mon président et mon entraineur m’ont invité au repas d’après match », continue James. « Devant tout le monde mon président a annoncé mon intention de me marier avec Edwige ! »
« Le président est venu me voir et il m’a dit : mon meneur américain voudrait t’épouser », se marre aujourd’hui Edwige. Sauf qu’évidemment, sur le moment, la Rennaise se fait chambrer par toute la tablée. « Et moi, je ne comprenais rien du tout, c’est quelqu’un qui me traduisait », se souvient James. La suite de leur relation intime n’appartient qu’à eux…
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James Wade est sous contrat avec le Chicago Sky, comme directeur général et head coach jusqu’à la fin de la saison 2024-2025. Une prolongation méritée de par son trophée de coach de l’Année en 2019 et son titre de champion en 2021 avec une franchise qui jusque-là n’avait jamais gagné et s’était contentée d’une finale. Le Sky a pris tout le monde par surprise puisque son bilan en saison régulière avait été tout juste équilibré ; il a ensuite gagné 8 de ses 10 matches en playoffs. James « Coco » Wade a également remporté l’Euroleague en 2018, avec UMMC Ekaterinbourg, comme assistant-coach.
« James a fait un travail remarquable pour établir un environnement, une culture et une camaraderie d’équipe de gagnants », a déclaré le propriétaire du Sky, Michael Alter. « C’est un excellent professeur et entraîneur, sur et en dehors du terrain. Cette prolongation bien méritée représente une continuité pour notre équipe et nous sommes fiers que James nous mène vers l’avant. » Sa notoriété aux Etats-Unis est telle qu’il a intégré en février le staff de Team USA comme assistant dans l’équipe féminine.
James Wade est arrivé de nulle part. Ou plutôt de France où il a effectué une bonne partie de sa carrière de joueur. Meneur de jeu de petite taille, il a vagabondé dans différentes ligues mineures, Newcastle Eagles (Royaume-Uni), à Cambrai en N3, puis deux saisons à Samara (SuperLeague russe B), à Castro (LEB 2 espagnole), Alicante (LEB Gold espagnole), Labem (République Tchèque), Nivelles (D2 belge), et enfin en France, à Carquefou (N2), Vitré (N2), Golbey-Épinal (N1) et Castelnau-le-Lez (N3). Le natif de Memphis a commencé sa trajectoire de coach comme stagiaire avec les San Antonio Stars en 2012, où il est passé assistant-coach l’année suivante, un rôle qu’il a eu ensuite au Minnesota Lynx en 2017, avant de devenir head coach au Chicago Sky deux ans plus tard.
La rencontre qui a tout changé dans la carrière et la vie de James Wade, c’est celle avec Edwige Lawson, une Bretonne, qui a gagné deux Euroleague avec Valenciennes et une avec Samara, une médaille d’argent aux Jeux de Londres, qui fut championne d’Europe en 2001, deux fois en argent, une fois en bronze, finaliste WNBA avec San Antonio. C’est elle qui, en quelque sorte, a mis le pied à l’étrier à son mari, qui a servi d’étincelle. Elle fut ensuite general manager à Lattes-Montpellier, vice-présidente de la ligue féminine, et membre du comité directeur de la fédération. Elle fut et est toujours l’assistante numéro un de son mari.
Interview avec un Franco-Américain qui transpire la modestie, qui s’est fait à la force du poignet, et qui n’a pas dans l’Hexagone la reconnaissance qu’il mérite.
Croyez-vous qu’il y a beaucoup de gens en France qui savent qu’il y a un Français qui est champion WNBA comme coach ?
C’est difficile… Même si je me considère moi-même comme un Français, mon fils est né ici, ma femme a joué pour l’équipe nationale pendant longtemps, plus de 200 matches, j’habite ici, je ne pense pas que la plupart des gens me considère comme un Français. Malheureusement.
Quand avez-vous été naturalisé français ?
Avec mon mariage, il y a 15 ans. Ça fait longtemps que je suis un vrai Français ! (sourire). Et j’avais vécu auparavant plusieurs années en France… C’est quelque chose qui me fait un peu mal.
Combien de temps vivez-vous par an en France et aux Etats-Unis ?
Je partage, six mois, six mois. Ma maison est près de Montpellier. Je suis vraiment maintenant un gars du sud (sourire).
C’est lorsqu’Edwige était joueuse aux San Antonio Silver Stars que vous avez pu entrer en contact avec Dan Hugues, qui était le head coach et le manager general de la franchise ? Vous avez intégré le staff comme stagiaire et ensuite vous êtes devenu assistant-coach ?
Oui, c’était vraiment par chance. Je regardais les matches avec toute la famille, les maris, les parents, frères, sœurs, cousins, cousines, tout ça. J’allais aussi de temps en temps aux entraînements. Un jour, j’ai déjeuné avec Dan Hugues, et on a fait connaissance. Il m’a demandé ce que je voulais faire après le basket, et je lui ai expliqué que je voulais peut-être devenir coach, au niveau du lycée, cadets, cadettes, je ne savais pas… Il m’a dit qu’après ma carrière de joueur, peut-être qu’il pourrait m’aider. On est resté en contact. Mais, tu sais, aux Etats-Unis, tout le monde parle comme ça, pour rester poli. Mais, en fait, après un an et demi, il m’a appelé dans la période de Noël et il m’a offert un poste de stagiaire dans son groupe. J’ai accepté tout de suite (sourire). C’était une opportunité d’une vie ! Je n’avais jamais imaginé que je puisse travailler en WNBA. Ma femme vivait son rêve d’y jouer, et pour moi c’était suffisant.
En même temps, vous étiez deuxième assistant à Lattes-Montpellier, auprès de Valéry Demory et Guy Prat. Cela a commencé avant ou après la WNBA ?
C’était directement après. En fait, j’ai été stagiaire à San Antonio, et l’année suivante, j’étais accepté comme assistant-coach, et c’est après que j’ai été assistant à Montpellier. Comme stagiaire, j’étais en charge du perfectionnement individuel. C’était un vrai job. C’est juste qu’il y a des règles aux Etats-Unis qui font que tu ne peux avoir que deux assistants. J’étais le troisième, aussi je ne pouvais pas être sur le banc, mais derrière. Je n’étais pas non plus payé comme les assistants, mais, oui, c’était du vrai boulot. J’étais surpris parce qu’il m’a donné beaucoup de responsabilités, et je ne sais pas si j’étais prêt pour ça. J’ai essayé de donner le meilleur de moi-même.
C’est plus dur d’être head coach en WNBA quand on n’a pas joué en NBA ?
Je ne pense pas car j’ai passé toute ma vie dans le basket. J’ai eu des expériences différentes, je pense différemment, et si vous avez tout le monde avec le même background, la même façon de faire, ce n’est pas bon pour le basket. Je pense qu’il y a toujours besoin de gens comme moi.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/james-wade-sky.jpg\")
Votre femme a dit de vous que vous étiez une encyclopédie du basket…
Oui. Je suis quelqu’un qui est dans le basket tout le temps. Je connais beaucoup de trucs de basket, et j’en suis très fier, et j’essaye de toujours apprendre un maximum.
Une fois que vous étiez lancé, c’est plus facile ? Le plus dur, c’est le premier pas, entrer dans l’univers de la WNBA ?
Oui, avec l’expérience, avec le fait de toujours apprendre. A certains moments, c’était dur mais quand vous gagnez la confiance, c’est comme en voiture, ça roule facilement.
Quelle sensation ça fait de faire une parade dans les rues de Chicago ?
C’est quelque chose que je ne peux pas traduire par des mots. Parfois, quand j’y pense, je n’y crois pas. Je ne peux pas imaginer que l’on dise à un stagiaire, t’inquiète, dans dix ans, tu vas être champion de WNBA avec une équipe qui n’avait pas la réputation de rivaliser avec les équipes de haut de tableau, et tu vas gérer cette équipe. Lorsque j’ai pris l’équipe, elle était en bas de tableau. Elle avait fini 10e. Et trois ans plus tard, on gagne le trophée. C’est un rêve, comme un film. La dernière fois où il y avait eu une parade à Chicago, c’était pour les Bulls de Michael Jordan, il y a vingt-quatre ans. Pour nous, c’est énorme.
Dans le staff du Sky, il y a Yoann Cabioc’h, le coach de Cherbourg en Ligue 2, qui est analyste vidéo. Comment s’est fait son recrutement ?
Je le connaissais par le biais de ma femme. Ils sont originaires de la même ville, Pacé (NDLR : en Ille-et-Vilaine) et en allant là-bas pour visiter sa mère, on a fait connaissance, on est resté en contact. Je savais que c’était un bosseur, quelqu’un qui a la même passion pour le basket que moi.
Ann Wauters est désormais assistante au Sky. C’est quelqu’un que vous avez rencontré aussi par le biais d’Edwige ?
Oui. C’est quelqu’un que je connais depuis vingt ans et même plus.
Cette année, il y aura deux autres Belges dans l’équipe, Julie Allemand et Emma Meesseman. C’est une volonté d’avoir des Européennes ou est-ce le hasard ?
J’adore les Européennes… Les Européennes avec beaucoup de talent (rires). Ce sont des joueuses qui ont prouvé qu’elles peuvent jouer à un niveau exceptionnel. Ce sont peut-être les meilleures à leur position en Europe.
Pensez-vous que les meilleures européennes ont progressé au point d’être au niveau des Américaines ?
Je ne sais pas. Je pense que les Américaines sont toujours à un niveau exceptionnel, et elles gagnent toujours, mais le niveau mondial est monté très haut.
Aviez-vous joué un rôle dans la venue de Gabby Williams, qui était à l’époque au Chicago Sky, à Montpellier ?
Non, c’était ma femme. Elle appréciait vraiment son jeu. On avait eu des discussions à son sujet, elle m’avait posé des questions, ce n’est pas moi qui ai pris une décision, mais j’étais d’accord.
En plus de votre job de head coach au Sky, vous êtes aussi assistant-coach au sein de l’équipe américaine. C’est quoi votre travail ?
C’est du scouting, apporter mon expérience du scouting européen. Je peux aider là-dessus.
Vous êtes coach et aussi directeur général au Chicago Sky. Quelle est la part de travail supplémentaire ?
Beaucoup. Je construis l’équipe, je négocie les contrats, je m’occupe de la préparation des salles, les dates pour la cérémonie de remise des bagues. C’est beaucoup de choses différentes qui prennent du temps.
Auparavant, vous étiez à la fois en France, aux Etats-Unis et aussi à Ekaterinbourg comme assistant-coach, au fond de la Russie. C’est vous qui aviez souhaité arrêter cette collaboration ?
J’ai arrêté à la fin de mon contrat. C’était très difficile pour moi d’avoir les deux boulots en même temps. Il fallait aussi que je passe du temps avec ma famille. Les deux premières années, je suis allé là-bas avec ma femme et mon fils, mais pas la troisième année car mon fils a commencé l’école en petite section. Pour moi, c’était dur. J’ai de bons souvenirs avec eux, j’ai passé trois bonnes années.
Votre fils parle français, anglais et russe ?
Oui, et moi aussi. Je continue de prendre des leçons de russe chaque semaine depuis quatre ans. Ici, en France, on a une nounou qui est russe et elle ne parle que russe avec mon fils. Tu peux gagner de l’argent dans ta vie, c’est important, mais le plus important ce sont les souvenirs et les amis. L’argent, c’est quelque chose qui passe et pouvoir parler aux russes dans leur langue, parler trois langues, c’est quelque chose qui est pour moi plus important.
Seriez-vous intéressé à l’avenir pour être coach de l’équipe de France ?
Je suis fier d’être français, mais je ne sais pas si c’est quelque chose qui peut intéresser la fédération française. Je ne suis pas né ici, je ne sais pas si je serais accepté. Je reste à ma place, je continue de supporter la France de loin. Maintenant, je suis avec l’équipe des Etats-Unis et je suis fier d’être avec eux.
Edwige a joué un rôle important dans votre carrière. Votre réussite, c’est celle d’un couple ?
Oui. Elle m’a aidé dans toutes les étapes dans ma carrière. Elle m’a donné de bons conseils. Je suis célébré pour certaines décisions que je prends, alors qu’en fait c’est elle (rires). C’est quelqu’un qui est vraiment très intelligent, c’est une winner. Elle a gagné à tous les niveaux. C’est quelqu’un qui a eu le poste de manager général (NDLR : à Lattes-Montpellier) avant moi, elle a de l’expérience. Je sais que mon CV ne serait pas le même, je n’aurais pas gagné la même chose, si elle n’avait pas été là à mes côtés. Là, elle fait beaucoup de scouting pour nous. Elle m’aide comme mes assistants, elle fait un boulot très important. Elle est avec moi 24 heures sur 24. Je peux appeler mes assistants dans la journée quand j’en ai besoin, mais j’ai un autre coach avec moi à la maison.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/james-wade-et-edwige-lawson.jpg\")
Rétro : « C’est la future Madame Wade ! »
En octobre 2013, Edwige Lawson et James Wade nous avaient confié pour Basket Hebdo comment il s’étaient rencontrés.
« C’est toi qui a flashé, c’est toi qui doit parler », demande en souriant Edwige à son mari. Alors James « Coco » Wade, meneur de jeu de poche, raconte comment il est tombé amoureux virtuellement d’Edwige Lawson, jugée de par son nom, son apparence et son style de jeu comme la plus Américaine des internationales françaises. Nous sommes à l’été 2001. James mène déjà une vie de vagabond. Il a fréquenté trois facs, des ligues américaines mineures, et effectué cinq matches aux Newcastle Eagles, au Royaume-Uni. Il vient de signer avec Cambrai, en Nationale 3. James est avec l’un de ses coéquipiers quand il tombe sur un exemplaire du numéro 226 de Maxi-Basket. Il ne comprend pas un traitre mot, se contente de tourner les pages pour regarder les photos, et tombe en arrêt sur celles d’une jeune femme métis de 22 ans qui explique que la France à « 99,9% de chances d’aller en finale ».
Edwige est alors considérée comme une meneuse à l’avenir radieux et l’US Valenciennes Olympique, aux dents longues, vient de la convaincre de quitter Aix-en-Provence et de rejoindre le pays des Ch’tis. En attendant, elle prépare l’EuroBasket qui va se tenir en septembre et où les « filles en or » seront consacrées. James livre sa confidence : « J’ai fait une blague avec mon coéquipier, je lui ai dit : c’est ma future femme ! »
Ce n’est pas à une basketteuse que l’on va apprendre que dans la vie, la motivation est un facteur fondamental de réussite. Or, James a désormais une idée fixe. « Une semaine plus tard, on est dans le bureau de mon président à Cambrai et, en voyant un poster de l’équipe de France, mon équipier dit : c’est la future Madame Wade ! Le président rigole et il me dit que la fille joue à trente minutes de là et qu’elle doit faire un match amical dans notre salle la semaine suivante. » Évidemment, James se rend au match, un Valenciennes-Villeneuve d’Ascq d’avant saison. « Mon président et mon entraineur m’ont invité au repas d’après match », continue James. « Devant tout le monde mon président a annoncé mon intention de me marier avec Edwige ! »
« Le président est venu me voir et il m’a dit : mon meneur américain voudrait t’épouser », se marre aujourd’hui Edwige. Sauf qu’évidemment, sur le moment, la Rennaise se fait chambrer par toute la tablée. « Et moi, je ne comprenais rien du tout, c’est quelqu’un qui me traduisait », se souvient James. La suite de leur relation intime n’appartient qu’à eux…
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James Wade est sous contrat avec le Chicago Sky, comme directeur général et head coach jusqu’à la fin de la saison 2024-2025. Une prolongation méritée de par son trophée de coach de l’Année en 2019 et son titre de champion en 2021 avec une franchise qui jusque-là n’avait jamais gagné et s’était contentée d’une finale. Le Sky a pris tout le monde par surprise puisque son bilan en saison régulière avait été tout juste équilibré ; il a ensuite gagné 8 de ses 10 matches en playoffs. James « Coco » Wade a également remporté l’Euroleague en 2018, avec UMMC Ekaterinbourg, comme assistant-coach.
« James a fait un travail remarquable pour établir un environnement, une culture et une camaraderie d’équipe de gagnants », a déclaré le propriétaire du Sky, Michael Alter. « C’est un excellent professeur et entraîneur, sur et en dehors du terrain. Cette prolongation bien méritée représente une continuité pour notre équipe et nous sommes fiers que James nous mène vers l’avant. » Sa notoriété aux Etats-Unis est telle qu’il a intégré en février le staff de Team USA comme assistant dans l’équipe féminine.
James Wade est arrivé de nulle part. Ou plutôt de France où il a effectué une bonne partie de sa carrière de joueur. Meneur de jeu de petite taille, il a vagabondé dans différentes ligues mineures, Newcastle Eagles (Royaume-Uni), à Cambrai en N3, puis deux saisons à Samara (SuperLeague russe B), à Castro (LEB 2 espagnole), Alicante (LEB Gold espagnole), Labem (République Tchèque), Nivelles (D2 belge), et enfin en France, à Carquefou (N2), Vitré (N2), Golbey-Épinal (N1) et Castelnau-le-Lez (N3). Le natif de Memphis a commencé sa trajectoire de coach comme stagiaire avec les San Antonio Stars en 2012, où il est passé assistant-coach l’année suivante, un rôle qu’il a eu ensuite au Minnesota Lynx en 2017, avant de devenir head coach au Chicago Sky deux ans plus tard.
La rencontre qui a tout changé dans la carrière et la vie de James Wade, c’est celle avec Edwige Lawson, une Bretonne, qui a gagné deux Euroleague avec Valenciennes et une avec Samara, une médaille d’argent aux Jeux de Londres, qui fut championne d’Europe en 2001, deux fois en argent, une fois en bronze, finaliste WNBA avec San Antonio. C’est elle qui, en quelque sorte, a mis le pied à l’étrier à son mari, qui a servi d’étincelle. Elle fut ensuite…
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Vilsbiburg a battu s.oliver Baskets Würzburg Academy 209 à 39, et l’Américain Jonathan Paul Braeger s’est taillé la part du lion avec 100 points obtenus notamment avec 22 tirs à trois-points. Il a complété son festin avec 12 rebonds, 16 passes, et 12 interceptions.
Les Würzburgers avaient demandé à la direction de la ligue de déplacer le match, et ils n’ont pas été entendus. Aussi, ils se sont rendus au match à seulement cinq joueurs, et ils ont porté des masques FFP2 sur le terrain. L’un d’entre-eux a été exclu en raison de deux antisportives, et un autre l’a imité dans le troisième quart-temps, ce qui explique qu’ils n’étaient plus ensuite que trois en jeu.
Comme Wilt Chamberlain, il y a 60 ans, Jonathan Paul Braeger a posé à la fin du match avec une feuille où était écrit le chiffre magique « 100 ». Pas sûr qu’il obtienne la même notoriété que la légende de la NBA.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/allemagne.jpg\")
Le Mans avait une revanche à prendre après la correction reçue contre Dijon, c’est désormais chose faite. Elric Delord attendait un sursaut d’orgueil de la part de ses joueurs, il l’a eu et de quelle manière. Dans un Sportica aux airs de Carnaval, où l’ambiance était évidemment festive, les Manceaux se sont offerts un succès mérité, tant ils sont parvenus à dominer leur adversaire du soir, le BCM Gravelines-Dunkerque. Après avoir pris un meilleur départ (27 à 21), c’est bien emmené par un Dante Cunningham dans tous les bons coups (21 points et 7 rebonds pour 22 d’évaluation) que Le Mans a réussi à résister aux assauts adverses. Les Maritimes ont tant bien que mal tenté de revenir au score sous la houlette de Jeremiah Hill, qui aura mis du temps à entrer dans son tout premier match sous ses nouvelles couleurs avant de dégainer de part et d’autres (17 points à 6 sur 8 aux tirs dont 5 sur 7 à 3-points), en vain. La faute notamment à de nombreuses erreurs, que ce soient des pertes de balles (9 au total) ou des lancers francs manqués dans des moments charnières de la rencontre. De quoi permettre au Mans de conserver son avance, grâce à un jeu offensif et spectaculaire, jusqu’au terme de la rencontre, achevée sur le score de 87 à 98.
Une victoire qui permet aux hommes d’Elric Delord de conserver leur cinquième place au classement (avec 14 victoires et 8 défaites), tandis que le BCM pointe en dixième position (avec 10 victoires et 12 défaites). À noter le double-double d’Abdoulaye Ndoye, côté Gravelines-Dunkerque (10 points, 11 rebonds et 6 passes décisives pour 23 d’évaluation), ainsi que celui de Darius Johnson-Odom du côté du Mans (12 points et 13 passes décisives pour 19 d’évaluation). Le boxscore complet est à retrouver ici.
Les matchs s’enchaînent à vitesse grand V pour Monaco. Après avoir infligé une défaite mémorable à l’Anadolu Efes deux jours plus tôt (+22), la Roca Team recevait une équipe de la Chorale de Roanne qui s’est fièrement dressée face à l’ogre monégasque. À tel point que ce dernier a mis un bon quart-temps à rentrer dans son match. Sans forcément étinceler, les joueurs de Sasa Obradovic sont parvenus à refaire le retard accumulé au cours des dix premières minutes (-8) et à prendre les devants jusqu’à la fin du match, malgré les coups d’éclats de Johnny Berhanemeskel (23 points). Le tout grâce notamment à un certain Dwayne Bacon, qui termine meilleur marqueur de son équipe avec 15 points, et d’un Rob Gray de retour (13 points). Un succès tout en contrôle (86 à 80), au terme d’une rencontre finalement assez équilibrée, sur tous les plans, qui permet à Monaco de s’emparer de la deuxième place du classement, profitant de la défaite de l’ASVEL. Les hommes de Jean-Denys Choulet figurent, quant à eux, à la onzième place du classement de Betclic Élite.
Le boxscore complet est à retrouver ici.
Présent en conférence de presse d’après-match, Jean-Christophe Prat est revenu sur le visage affiché par le Paris Basketball contre Bourg-en-Bresse, bien plus défensif qu’auparavant. Un souhait du coach de 50 ans, rendue possible par un groupe dont les contours ont quelque peu été retouchés (notamment avec le départ de Kyle O’Quinn) et qui affiche une véritable volonté de progresser dans ce domaine. En effet, habituellement, Paris n’est autre que la 16ème pire défense du championnat, avec 86 points encaissés en moyenne, contre « seulement » 72 face à Bourg-en-Bresse. De quoi satisfaire Jean-Christophe Prat.
« On sait qu’on a du talent en attaque. On est une équipe qui met des points, qui est capable de scorer parce qu’on est un collectif mais aussi parce qu’on a des individualités. Depuis la trêve, on a beaucoup travaillé sur les aspects défensifs. Même si au Mans, on a pris un éclat dans les dernières minutes, on était plutôt en place. Toupane n’était pas là et Milan revenait de blessure, du coup on avait une rotation très resserrée et on n’a pas tenu la distance. Néanmoins, ce match a montré qu’on était dans la bonne direction et le match de ce soir nous l’a prouvé. On a retrouvé tout ce qu’on travaillait depuis le retour de trêve. »
Cette victoire, qui est venue briser une série de quatre défaites de suite, Jean-Christophe Prat la savoure, même s’il sait que rien n’est joué pour le moment. Dans des propos recueillis par Paris Basketball On Air, il a évoqué son objectif pour la fin de la saison, tout en félicitant son groupe.
« C’est compliqué d’être dans une série de défaites. Notre dernière victoire était face à Pau. Ça fait 5 à 6 semaines sans victoire, c’est compliqué mais le groupe a vraiment été exemplaire. À aucun moment je ne les ai senti démobilisés. J’ai trouvé des joueurs responsables, impliqués et qui ne se cherchent pas d’excuses. Je sais qu’à 12 victoires, dans l’histoire de la LNB, aucune équipe n’est descendue. Je n’en ai même pas parlé aux joueurs, mais je suis focus sur cet objectif. On ne va pas commencer à regarder ce que font les autres, on va se concentrer sur nous. Je pense que quand on commence à regarder les résultats des autres, quelque part on se dit que notre destin n’est pas entre nos mains. Il restait 13 matchs avant ce match là, c’est presque 40% de la saison. C’est énorme. Depuis le retour de la trêve, je leur ai dit que le plus important c’est nous, c’est le jeu qu’on est capable de produire en attaque et en défense. Derrière, les résultats et le classement suivront. Ça fait 15 jours qu’on s’entraîne très fort, sincèrement. Oui, le groupe est restreint, oui, on compte beaucoup sur nos jeunes joueurs, mais on a une bonne qualité de travail et ce soir, je suis content pour eux parce que c’est la récompense de tout ce qu’on a bien mis en place. »
Photo : Jean-Christophe Prat (Thomas Savoja)
", "comment_id":"592143", "plaintext":"À force d’entraînements et de persévérance, avec un groupe concerné et désireux de progresser, Jean-Christophe Prat est parvenu à donner un nouveau souffle au Paris Basketball, comme en atteste la victoire contre Bourg-en-Bresse (83 à 72).\n\nPrésent en conférence de presse d’après-match, Jean-Christophe Prat est revenu sur le visage affiché par le Paris Basketball contre Bourg-en-Bresse, bien plus défensif qu’auparavant. Un souhait du coach de 50 ans, rendue possible par un groupe dont les contours ont quelque peu été retouchés (notamment avec le départ de Kyle O’Quinn) et qui affiche une véritable volonté de progresser dans ce domaine. En effet, habituellement, Paris n’est autre que la 16ème pire défense du championnat, avec 86 points encaissés en moyenne, contre « seulement » 72 face à Bourg-en-Bresse. De quoi satisfaire Jean-Christophe Prat.\n\n« On sait qu’on a du talent en attaque. On est une équipe qui met des points, qui est capable de scorer parce qu’on est un collectif mais aussi parce qu’on a des individualités. Depuis la trêve, on a beaucoup travaillé sur les aspects défensifs. Même si au Mans, on a pris un éclat dans les dernières minutes, on était plutôt en place. Toupane n’était pas là et Milan revenait de blessure, du coup on avait une rotation très resserrée et on n’a pas tenu la distance. Néanmoins, ce match a montré qu’on était dans la bonne direction et le match de ce soir nous l’a prouvé. On a retrouvé tout ce qu’on travaillait depuis le retour de trêve. »\n\nCette victoire, qui est venue briser une série de quatre défaites de suite, Jean-Christophe Prat la savoure, même s’il sait que rien n’est joué pour le moment. Dans des propos recueillis par Paris Basketball On Air, il a évoqué son objectif pour la fin de la saison, tout en félicitant son groupe.\n\n« C’est compliqué d’être dans une série de défaites. Notre dernière victoire était face à Pau. Ça fait 5 à 6 semaines sans victoire, c’est compliqué mais le groupe a vraiment été exemplaire. À aucun moment je ne les ai senti démobilisés. J’ai trouvé des joueurs responsables, impliqués et qui ne se cherchent pas d’excuses. Je sais qu’à 12 victoires, dans l’histoire de la LNB, aucune équipe n’est descendue. Je n’en ai même pas parlé aux joueurs, mais je suis focus sur cet objectif. On ne va pas commencer à regarder ce que font les autres, on va se concentrer sur nous. Je pense que quand on commence à regarder les résultats des autres, quelque part on se dit que notre destin n’est pas entre nos mains. Il restait 13 matchs avant ce match là, c’est presque 40% de la saison. C’est énorme. Depuis le retour de la trêve, je leur ai dit que le plus important c’est nous, c’est le jeu qu’on est capable de produire en attaque et en défense. Derrière, les résultats et le classement suivront. Ça fait 15 jours qu’on s’entraîne très fort, sincèrement. Oui, le groupe est restreint, oui, on compte beaucoup sur nos jeunes joueurs, mais on a une bonne qualité de travail et ce soir, je suis content pour eux parce que c’est la récompense de tout ce qu’on a bien mis en place. »\n\nPhoto : Jean-Christophe Prat (Thomas Savoja)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/jc-prat-jean-christophe-prat-paris-basketball-thomas-savoja.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-13T16:30:22.000Z", "updated_at":"2022-03-13T16:30:31.000Z", "published_at":"2022-03-13T16:30:22.000Z", "custom_excerpt":"À force d’entraînements et de persévérance, avec un groupe concerné et désireux de progresser, Jean-Christophe Prat est parvenu à donner un nouveau souffle au Paris Basketball, comme en atteste la victoire contre Bourg-en-Bresse (83 à 72).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99472", "uuid":"20858044-3dd7-4ea1-91ee-2cccab267f8b", "title":"Vidéo : Les highlights d’Ismael Kamagate (Paris Basketball) face à Bourg-en-Bresse", "slug":"video-les-highlights-dismael-kamagate-paris-basketball-face-a-bourg-en-bresse", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/NBA?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/special-salaires-2021-2022-paris-leclosion-de-kamagate-latout-toupane/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/ismael-kamagate-nouveau-record-de-contres-pour-un-francais-en-lnb/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Après quatre défaites consécutives, le Paris Basketball a retrouvé le chemin de la victoire en écartant Bourg-en-Bresse à domicile. 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Et s’il y en a un bien un qui s’est régalé pendant ce match, c’est Ismael Kamagate. À seulement 20 ans et du haut de ses 2,11 m, il impose de plus en plus sa loi dans les raquettes de Betclic Elite, que ce soit offensivement ou défensivement. Et ce ne sont pas les joueurs de la JL Bourg qui vont dire le contraire. En 35 minutes de jeu, il a compilé 21 points à 9 sur 13 aux tirs, 10 rebonds et 2 contres pour 27 d’évaluation. Des statistiques impressionnantes, tant et si bien que le jeune pivot a établi son nouveau record de points marqués cette saison (NDLR : il en avait déjà inscrit 23 en Pro B, le 30 janvier 2021, face à Évreux). Une performance sur laquelle le club de la capitale est revenue, en images évidemment !
Photo : Ismael Kamagate (FIBA)
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Elric Delord espère un sursaut d’orgueil de ses joueurs mais se méfie de son adversaire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"« Là-bas, il y a des choses qui ne m’ont pas plus. Mais aux joueurs non plus. Et de voir en image certaines attitudes, ça fait mal. Il y a comme un sentiment de honte. »\"],[0,[],0,\" Ces propos, rapportés par \"],[0,[0,1],2,\"Ouest France\"],[0,[],0,\", ne sont autre que ceux d’Elric Delord, l’entraîneur du Mans, qui ne semble pas près d’oublier \"],[0,[2],1,\"la gifle reçue à Dijon\"],[0,[],0,\" et l’attitude de ses joueurs au cours de ce match-là. Et pourtant, il va leur falloir se relever rapidement s’ils veulent espérer faire tomber le BCM Gravelines-Dunkerque, dans le cadre de la 22ème journée de Betclic Élite. Pour cela, Elric Delord avoue volontiers qu’avec ses assistants, ils ont augmenté leur niveau d’exigence pour faire en sorte que leurs joueurs perdent leurs mauvaises habitudes.\"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Profiter d’une équipe en reconstruction pour repartir de l’avant ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Amoindrie par les blessures de Kaza Kajami-Keane et Scott Bamforth (respectivement pour une lésion aux ischios et une entorse de la cheville), le MSB n’avait rien pu faire face à Dijon. Sur le parquet du Sportica, la formation sarthoise aura à faire à une équipe en reconstruction et à un J.D. Jackson contraint de s’adapter à une toute nouvelle paire de joueurs sur la ligne arrière. Écartés des terrains, Brandon Taylor et Marcquise Reed ont été remplacés par Ray McCallum et Jeremiah Hill. À noter que le second a déjà croisé le chemin du Mans, lors du tour préliminaire de la Basketball Champions League, en septembre dernier. 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Amoindrie par les blessures de Kaza Kajami-Keane et Scott Bamforth (respectivement pour une lésion aux ischios et une entorse de la cheville), le MSB n’avait rien pu faire face à Dijon. Sur le parquet du Sportica, la formation sarthoise aura à faire à une équipe en reconstruction et à un J.D. Jackson contraint de s’adapter à une toute nouvelle paire de joueurs sur la ligne arrière. Écartés des terrains, Brandon Taylor et Marcquise Reed ont été remplacés par Ray McCallum et Jeremiah Hill. À noter que le second a déjà croisé le chemin du Mans, lors du tour préliminaire de la Basketball Champions League, en septembre dernier. Alors qu’il évoluait sous le maillot de l’équipe russe de Perm, l’arrière de 26 ans avait planté 17 points et distribué 6 passes décisives. « La bonne nouvelle, c’est qu’on sait comment il joue. La mauvaise, c’est qu’il nous avait fait la chanson », témoigne Elric Delord, pour qui ce mauvais souvenir pourrait un tant soit peu l’aider pour le match face au BCM.
Cet équilibre relatif entre les deux équipes fait d’ailleurs sourire J.D. Jackson, l’entraîneur du BCM : « Au moins, aucune des deux équipes ne pourra se trouver d’excuses. » Reste à savoir laquelle de ces deux formations parviendra à prendre le dessus, Le Mans ayant pour objectif de rester dans le Top 5 alors que Gravelines-Dunkerque doit gagner pour espérer une place en playoffs. Pour le savoir, rendez-vous dès 18h00. Un match à suivre sur les antennes de beIN Sports.
Photo : Elric Delord (MSB)
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Pour cela, Elric Delord avoue volontiers qu’avec ses assistants, ils ont augmenté leur niveau d’exigence pour faire en sorte que leurs joueurs perdent leurs mauvaises habitudes.\n\n\nProfiter d’une équipe en reconstruction pour repartir de l’avant ?\n\nAmoindrie par les blessures de Kaza Kajami-Keane et Scott Bamforth (respectivement pour une lésion aux ischios et une entorse de la cheville), le MSB n’avait rien pu faire face à Dijon. Sur le parquet du Sportica, la formation sarthoise aura à faire à une équipe en reconstruction et à un J.D. Jackson contraint de s’adapter à une toute nouvelle paire de joueurs sur la ligne arrière. Écartés des terrains, Brandon Taylor et Marcquise Reed ont été remplacés par Ray McCallum et Jeremiah Hill. À noter que le second a déjà croisé le chemin du Mans, lors du tour préliminaire de la Basketball Champions League, en septembre dernier. Alors qu’il évoluait sous le maillot de l’équipe russe de Perm, l’arrière de 26 ans avait planté 17 points et distribué 6 passes décisives. « La bonne nouvelle, c’est qu’on sait comment il joue. La mauvaise, c’est qu’il nous avait fait la chanson », témoigne Elric Delord, pour qui ce mauvais souvenir pourrait un tant soit peu l’aider pour le match face au BCM.\n\nCet équilibre relatif entre les deux équipes fait d’ailleurs sourire J.D. Jackson, l’entraîneur du BCM : « Au moins, aucune des deux équipes ne pourra se trouver d’excuses. » Reste à savoir laquelle de ces deux formations parviendra à prendre le dessus, Le Mans ayant pour objectif de rester dans le Top 5 alors que Gravelines-Dunkerque doit gagner pour espérer une place en playoffs. Pour le savoir, rendez-vous dès 18h00. Un match à suivre sur les antennes de beIN Sports.\n\n\n🏟📺 Direction Sportica et sa grosse ambiance pour l'affiche @beinsports_FR du week-end !\n\nLe @BCMBasket reçoit le @MSB_Officiel 🍿#BetclicELITE #LNBextra pic.twitter.com/cBWSI8Ed7K\n\n— LNB (@LNBofficiel) March 13, 2022\n\n\nPhoto : Elric Delord (MSB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/capture-decran-2022-03-13-a-14.04.25.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-13T13:30:00.000Z", "updated_at":"2022-03-13T13:12:32.000Z", "published_at":"2022-03-13T13:30:00.000Z", "custom_excerpt":"Après la correction reçue à Dijon, Le Mans enchaîne avec un nouveau déplacement délicat, face à Gravelines-Dunkerque. 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Seule ombre au tableau, son manque de réussite longue distance, lui qui s’est essayé à de nombreuses reprises dans cet exercice ce samedi soir, terminant la rencontre avec un 1/7 à 3-points qui fait tâche. Nul doute que le jeune français va profiter de tous les enseignements de ce match pour aller encore plus haut.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Victor Wembanyama (Infinity Nine Media)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"De plus en plus responsabilisé, c’est inévitablement et incontestablement que Victor Wembanyama (2,19 m, 18 ans) progresse, au contact des meilleurs joueurs du championnat et même d’Europe. Contre la JDA Dijon, l’ASVEL s’est inclinée, après un départ délicat sur le parquet du Palais des Sports, mais le jeune pivot a une nouvelle fois séduit. 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Au-delà de ça, il a même établi de nouveaux records personnels sur cette saison, au niveau des points marqués et de l’évaluation, et a égalisé ceux au niveau des rebonds et des contres. Sa ligne de statistiques, en 28 minutes de jeu : 14 points à 46.2% de réussite aux tirs, 8 rebonds dont 3 offensifs et 5 contres pour 19 d’évaluation. Seule ombre au tableau, son manque de réussite longue distance, lui qui s’est essayé à de nombreuses reprises dans cet exercice ce samedi soir, terminant la rencontre avec un 1/7 à 3-points qui fait tâche. Nul doute que le jeune français va profiter de tous les enseignements de ce match pour aller encore plus haut.
Photo : Victor Wembanyama (Infinity Nine Media)
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Aussi bien capable de protéger le cercle – voire de le nettoyer, souvent – que de l’attaquer, le plus grand et le plus attendu des jeunes espoirs du basket français a tout simplement bouclé ce match, qui comptait pour la 22ème journée de Betclic Élite, en étant le meilleur marqueur de son équipe.\n\nAu-delà de ça, il a même établi de nouveaux records personnels sur cette saison, au niveau des points marqués et de l’évaluation, et a égalisé ceux au niveau des rebonds et des contres. Sa ligne de statistiques, en 28 minutes de jeu : 14 points à 46.2% de réussite aux tirs, 8 rebonds dont 3 offensifs et 5 contres pour 19 d’évaluation. Seule ombre au tableau, son manque de réussite longue distance, lui qui s’est essayé à de nombreuses reprises dans cet exercice ce samedi soir, terminant la rencontre avec un 1/7 à 3-points qui fait tâche. Nul doute que le jeune français va profiter de tous les enseignements de ce match pour aller encore plus haut.\n\n\nWEMBANYAMA ON FIRE ! 🔥\n\nDunk, contre… la totale ! Le jeune français régale 🤩@LNBofficiel @ffbasketball @LDLCASVEL pic.twitter.com/9T5F6rgP4y\n\n— Sport en France (@sport_en_france) March 12, 2022\n\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Infinity Nine Media)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/img_8667.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-13T11:36:00.000Z", "updated_at":"2022-03-13T10:20:26.000Z", "published_at":"2022-03-13T11:36:00.000Z", "custom_excerpt":"S’il y a bien un aspect positif à retenir de la défaite contre Dijon pour l’ASVEL, c’est le match réalisé par Victor Wembanyama, qui a profité des 28 minutes qui lui ont été accordées pour se montrer.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99475", "uuid":"93834f24-8286-4774-9ad9-2d37ac339439", "title":"Trois des quatre derniers matchs d’Euroleague de Monaco sur La Chaîne L’Équipe, et plus encore en cas de qualification en playoffs ?", "slug":"trois-des-quatre-derniers-matchs-deuroleague-de-monaco-sur-la-chaine-lequipe-et-plus-encore-si-qualification", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/la-chaine-lequipe-va-diffuser-au-moins-10-matches-deuroleague-de-lasvel/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Selon les informations de \"],[0,[0],1,\"Monaco Matin\"],[0,[],0,\", \"],[0,[0],1,\"La Chaîne L’Équipe\"],[0,[],0,\" va diffuser trois des quatre derniers matchs de Monaco en Euroleague et pourrait prolonger cet engagement en cas de qualification en playoffs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après avoir fait le choix, en novembre dernier, de diffuser \"],[0,[1],1,\"10 matchs de l’ASVEL en Euroleague\"],[0,[],0,\" cette saison, \"],[0,[0],1,\"La Chaîne L’Équipe\"],[0,[],0,\" aurait pris la décision de diffuser trois des quatre dernières rencontres de Monaco au sein de la plus prestigieuse des compétitions européennes. 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Ainsi, La Chaîne L’Équipe pourrait commencer par diffuser Monaco-Olympiakos, le 23 mars prochain. Suivront ensuite Milan-Monaco, le 31 mars, et Monaco-Berlin le 8 avril. De quoi permettre au plus grand nombre de regarder, en clair et en direct, des matchs de la plus haute importance dans la saison monégasque, qui jusqu’à présent n’étaient diffusés que sur EuroleagueTV et Monaco Info. À noter que si qualification en playoffs il y a, les matchs de Monaco pourraient aussi être diffusés, toujours selon le quotidien local. Affaire à suivre…
Photo : Mike James (Euroleague)
", "comment_id":"592112", "plaintext":"Selon les informations de Monaco Matin, La Chaîne L’Équipe va diffuser trois des quatre derniers matchs de Monaco en Euroleague et pourrait prolonger cet engagement en cas de qualification en playoffs.\n\nAprès avoir fait le choix, en novembre dernier, de diffuser 10 matchs de l’ASVEL en Euroleague cette saison, La Chaîne L’Équipe aurait pris la décision de diffuser trois des quatre dernières rencontres de Monaco au sein de la plus prestigieuse des compétitions européennes. Une information révélée par Monaco Matin, dans son édition du jour, qui précise que les derniers résultats de la Roca Team et le fait que cette dernière soit encore en course pour une qualification en playoffs (contrairement à l’ASVEL), aurait pesé dans ce choix.\n\nAinsi, La Chaîne L’Équipe pourrait commencer par diffuser Monaco-Olympiakos, le 23 mars prochain. Suivront ensuite Milan-Monaco, le 31 mars, et Monaco-Berlin le 8 avril. 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De l’autre, Cholet, quatre victoires de suite. De quoi donner lieu à une rencontre accrochée, entre deux équipes aux dynamiques diamétralement opposées. Et ce sont les locaux, de retour à Maurice-Thorez, qui ont affiché quelques difficultés en début de match, en faveur des joueurs de Laurent Vila, qui menaient de 3 points après dix minutes de jeu et de 7 à la pause. Sauf qu’à la reprise, \"],[0,[0],1,\"Cholet\"],[0,[],0,\" a affiché un tout autre visage et n’a pas réussi à poursuivre sur sa bonne lancée. Et \"],[0,[1],1,\"Nanterre\"],[0,[],0,\" de profiter de cela, devant son public, pour refaire son retard et revenir dans un match au cours duquel les dernière minutes ont été irrespirables. 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Bien emmenée par un Bastien Pinault qui a finalement bouclé la rencontre avec 20 points à 8 sur 14 aux tirs et 3 rebonds pour 14 d’évaluation, la formation des Hauts-de-Seine a aussi pu compter sur Benjamin Sene (17 points à 7 sur 12 aux tirs, 8 passes décisives et 4 rebonds pour 20 d’évaluation).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En conférence de presse d’après-match, Laurent Vila n’a pu cacher sa déception à la suite d’une seconde période pas assez prise au sérieux à son goût.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« On aurait dû faire tous les efforts nécessaires pour contenir Nanterre en deuxième mi-temps. C’est décevant parce qu’en première mi-temps, nous avons développé une bonne énergie et pratiqué notre basket, avec de l’adresse. Ensuite, tout s’est complètement inversé. Défensivement, on a lâché trop de points. On a laissé au moins huit lay-up faciles et cinq tirs à 3-points ouverts, c’est énorme. On joue sans énergie en deuxième mi-temps. Je ne pense pas que ce soit la fatigue, peut-être un peu de relâchement. C’est une bonne leçon pour la suite. On s’est peut-être vu un peu trop beaux après une première mi-temps maîtrisée. On a eu beaucoup moins de jeu rapide en deuxième mi-temps, on a manqué d’agressivité en défense. C’est décevant car on laisse filer une opportunité de gagner contre une équipe de Nanterre privée de (Jérémy) Senglin et de (Nick) Johnson, qui n’a joué que quelques minutes. »\"],[0,[2],1,\"Laurent Vila, entraîneur de Cholet (propos recueillis par Ouest-France)\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[3],1,\"Photo : Laurent Vila (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"D’un côté, Nanterre, trois défaites consécutives. De l’autre, Cholet, quatre victoires de suite. De quoi donner lieu à une rencontre accrochée, entre deux équipes aux dynamiques diamétralement opposées. Et ce sont les locaux, de retour à Maurice-Thorez, qui ont affiché quelques difficultés en début de match, en faveur des joueurs de Laurent Vila, qui menaient de 3 points après dix minutes de jeu et de 7 à la pause. Sauf qu’à la reprise, Cholet a affiché un tout autre visage et n’a pas réussi à poursuivre sur sa bonne lancée. Et Nanterre de profiter de cela, devant son public, pour refaire son retard et revenir dans un match au cours duquel les dernière minutes ont été irrespirables. Mais l’un des hommes de ce match s’appelle Bastien Pinault…
Titulaire lors de cette rencontre à la place de Jeremy Senglin, l’arrière de 28 ans a tout simplement réalisé son match référence, couronné de deux tirs longue distance dans le money-time, alors que le score était de 70 partout à trois minutes de la fin. Résultat, Nanterre a renversé Cholet, sur le score de 78 à 71. Bien emmenée par un Bastien Pinault qui a finalement bouclé la rencontre avec 20 points à 8 sur 14 aux tirs et 3 rebonds pour 14 d’évaluation, la formation des Hauts-de-Seine a aussi pu compter sur Benjamin Sene (17 points à 7 sur 12 aux tirs, 8 passes décisives et 4 rebonds pour 20 d’évaluation).
En conférence de presse d’après-match, Laurent Vila n’a pu cacher sa déception à la suite d’une seconde période pas assez prise au sérieux à son goût.
« On aurait dû faire tous les efforts nécessaires pour contenir Nanterre en deuxième mi-temps. C’est décevant parce qu’en première mi-temps, nous avons développé une bonne énergie et pratiqué notre basket, avec de l’adresse. Ensuite, tout s’est complètement inversé. Défensivement, on a lâché trop de points. On a laissé au moins huit lay-up faciles et cinq tirs à 3-points ouverts, c’est énorme. On joue sans énergie en deuxième mi-temps. Je ne pense pas que ce soit la fatigue, peut-être un peu de relâchement. C’est une bonne leçon pour la suite. On s’est peut-être vu un peu trop beaux après une première mi-temps maîtrisée. On a eu beaucoup moins de jeu rapide en deuxième mi-temps, on a manqué d’agressivité en défense. C’est décevant car on laisse filer une opportunité de gagner contre une équipe de Nanterre privée de (Jérémy) Senglin et de (Nick) Johnson, qui n’a joué que quelques minutes. »Laurent Vila, entraîneur de Cholet (propos recueillis par Ouest-France)
Photo : Laurent Vila (FIBA)
", "comment_id":"592109", "plaintext":"Fin de séries pour Nanterre et Cholet, qui restaient respectivement sur trois défaites et quatre victoires, puisque ce sont les hommes de Pascal Donnadieu qui ont renversé leurs adversaires d’un soir (79 à 71), pour le compte de la 22ème journée de Betclic Élite.\n\nD’un côté, Nanterre, trois défaites consécutives. De l’autre, Cholet, quatre victoires de suite. De quoi donner lieu à une rencontre accrochée, entre deux équipes aux dynamiques diamétralement opposées. Et ce sont les locaux, de retour à Maurice-Thorez, qui ont affiché quelques difficultés en début de match, en faveur des joueurs de Laurent Vila, qui menaient de 3 points après dix minutes de jeu et de 7 à la pause. Sauf qu’à la reprise, Cholet a affiché un tout autre visage et n’a pas réussi à poursuivre sur sa bonne lancée. Et Nanterre de profiter de cela, devant son public, pour refaire son retard et revenir dans un match au cours duquel les dernière minutes ont été irrespirables. Mais l’un des hommes de ce match s’appelle Bastien Pinault…\n\nTitulaire lors de cette rencontre à la place de Jeremy Senglin, l’arrière de 28 ans a tout simplement réalisé son match référence, couronné de deux tirs longue distance dans le money-time, alors que le score était de 70 partout à trois minutes de la fin. Résultat, Nanterre a renversé Cholet, sur le score de 78 à 71. Bien emmenée par un Bastien Pinault qui a finalement bouclé la rencontre avec 20 points à 8 sur 14 aux tirs et 3 rebonds pour 14 d’évaluation, la formation des Hauts-de-Seine a aussi pu compter sur Benjamin Sene (17 points à 7 sur 12 aux tirs, 8 passes décisives et 4 rebonds pour 20 d’évaluation).\n\nEn conférence de presse d’après-match, Laurent Vila n’a pu cacher sa déception à la suite d’une seconde période pas assez prise au sérieux à son goût.\n\n« On aurait dû faire tous les efforts nécessaires pour contenir Nanterre en deuxième mi-temps. C’est décevant parce qu’en première mi-temps, nous avons développé une bonne énergie et pratiqué notre basket, avec de l’adresse. Ensuite, tout s’est complètement inversé. Défensivement, on a lâché trop de points. On a laissé au moins huit lay-up faciles et cinq tirs à 3-points ouverts, c’est énorme. On joue sans énergie en deuxième mi-temps. Je ne pense pas que ce soit la fatigue, peut-être un peu de relâchement. C’est une bonne leçon pour la suite. On s’est peut-être vu un peu trop beaux après une première mi-temps maîtrisée. On a eu beaucoup moins de jeu rapide en deuxième mi-temps, on a manqué d’agressivité en défense. C’est décevant car on laisse filer une opportunité de gagner contre une équipe de Nanterre privée de (Jérémy) Senglin et de (Nick) Johnson, qui n’a joué que quelques minutes. »Laurent Vila, entraîneur de Cholet (propos recueillis par Ouest-France)\n\nPhoto : Laurent Vila (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/laurent-vila-infinity-nine-media-alexia-leduc.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-13T09:35:51.000Z", "updated_at":"2022-03-13T09:36:01.000Z", "published_at":"2022-03-13T09:35:51.000Z", "custom_excerpt":"Fin de séries pour Nanterre et Cholet, qui restaient respectivement sur trois défaites et quatre victoires, puisque ce sont les hommes de Pascal Donnadieu qui ont renversé leurs adversaires d’un soir (79 à 71), pour le compte de la 22ème journée de Betclic Élite.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99477", "uuid":"311602bf-5fa3-417b-afe1-6f93d70243fc", "title":"Nenad Markovic (JDA Dijon) : « Les joueurs de l’ASVEL ne pouvaient plus nous arrêter »", "slug":"nenad-markovic-entraineur-de-dijon-les-joueurs-de-lasvel-ne-pouvaient-plus-nous-arreter", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/yizrdTDSd8Y?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/special-salaires-2021-2022-dijon-vous-avez-le-bonjour-de-david-holston-36-ans/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/euroleague-lasvel-sans-charles-kahudi-face-a-baskonia-chris-jones-incertain/\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"C’est diminuée que la JDA Dijon s’est présentée devant son public pour affronter l’ASVEL, qui ne s’est semble-t-il pas suffisamment méfiée de la bête blessée. 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Mais du côté des joueurs dijonnais, la volonté de revanche a fait oublier ce déséquilibre, eux qui restaient, face à ce même adversaire, sur des défaites en finale du championnat de France, en finale de la Coupe de France, ainsi que sur un revers en début de saison (49 à 73).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après un premier quart-temps canon, remporté sur le score de 27 à 15, Dijon a pris l’avantage. Mais les joueurs de \"],[0,[1],1,\"Lyon-Villeurbanne\"],[0,[],0,\" ne se sont pas laissés faire pour autant, revenant à -5 à la pause (43 à 38). Au retour des vestiaires, les hommes de T.J. Parker ont continué sur leur lancée, jusqu’à compter 4 points d’avance. Mais c’était compter sur un trio Kelly-Holston-Alingue (28 points à 8 sur 13 aux tirs pour 24 d’évaluation pour le premier, 20 points et 12 passes décisives pour 19 d’évaluation pour le deuxième et 11 points et 10 rebonds pour 22 d’évaluation pour le troisième) qui a permis à la JDA Dijon de repasser devant et d’aller chercher cette victoire significative. De quoi agacer l’entraîneur rhodanien, qui s’est exprimé après le match :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Ce qui me frustre le plus, c’est que Dijon joue à sept et nous à beaucoup plus… On commence très bien le troisième quart-temps et on prend l’eau dès qu’on fait entrer les rotations… On était revenu, on était bien dans ce qu’on voulait, on était bien défensivement, on prend un éclat et derrière cela ne bouge pas. Si Chris Jones est là, ce n’est pas pareil, mais il était malade. On va récupérer Okobo et Jones la semaine prochaine. […] On a essayé d’attaquer David Holston, mais c’est un joueur intelligent… »\"],[0,[2],1,\"T.J. 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Quand ils ont commencé à marquer facilement et mené de quatre points, nous n’avons pas abandonné. On est resté au contact avant de reprendre la tête : de 2, 4, 6, 8 points… Ils ne pouvaient plus nous arrêter. C’était un match fantastique et une fantastique victoire pour nous. »\"],[0,[2],1,\"Nenad Markovic, entraîneur de la JDA Dijon (propos recueillis par Le Bien Public)\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[3],1,\"Photo : Nenad Markovic (Basketball Champions League)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Deux équipes amputées de plusieurs joueurs s’affrontaient ce samedi soir, dans le cadre de la 22ème journée de Betclic Élite, pour un match aux allures de choc malgré tout. D’un côté, la JDA Dijon qui a dû se passer de son ailier Chase Simon, touché à l’adducteur et de son pivot Gavin Ware, positif au Covid. De l’autre, l’ASVEL qui, même avec les absences d’Elie Okobo (épaule), de Charles Kahudi (genou), de Chris Jones (malade) et de Raymar Morgan (reprise), s’est présenté sur le parquet du palais des Sports de Dijon avec un effectif plus fourni sur le papier. Mais du côté des joueurs dijonnais, la volonté de revanche a fait oublier ce déséquilibre, eux qui restaient, face à ce même adversaire, sur des défaites en finale du championnat de France, en finale de la Coupe de France, ainsi que sur un revers en début de saison (49 à 73).
Après un premier quart-temps canon, remporté sur le score de 27 à 15, Dijon a pris l’avantage. Mais les joueurs de Lyon-Villeurbanne ne se sont pas laissés faire pour autant, revenant à -5 à la pause (43 à 38). Au retour des vestiaires, les hommes de T.J. Parker ont continué sur leur lancée, jusqu’à compter 4 points d’avance. Mais c’était compter sur un trio Kelly-Holston-Alingue (28 points à 8 sur 13 aux tirs pour 24 d’évaluation pour le premier, 20 points et 12 passes décisives pour 19 d’évaluation pour le deuxième et 11 points et 10 rebonds pour 22 d’évaluation pour le troisième) qui a permis à la JDA Dijon de repasser devant et d’aller chercher cette victoire significative. De quoi agacer l’entraîneur rhodanien, qui s’est exprimé après le match :
« Ce qui me frustre le plus, c’est que Dijon joue à sept et nous à beaucoup plus… On commence très bien le troisième quart-temps et on prend l’eau dès qu’on fait entrer les rotations… On était revenu, on était bien dans ce qu’on voulait, on était bien défensivement, on prend un éclat et derrière cela ne bouge pas. Si Chris Jones est là, ce n’est pas pareil, mais il était malade. On va récupérer Okobo et Jones la semaine prochaine. […] On a essayé d’attaquer David Holston, mais c’est un joueur intelligent… »T.J. Parker, entraîneur de l’ASVEL (propos recueillis par Le Bien Public)
Au final, l’ASVEL laisse Boulogne-Levallois s’échapper au classement, tandis que la JDA Dijon s’installe à la quatrième place du championnat. Un résultat qui satisfait pleinement Nenad Markovic, qui était pourtant en proie aux doutes avant la rencontre :
« J’espérais vraiment pouvoir compter sur un roster complet contre une équipe d’Euroligue, dans une salle pleine et avec une bonne ambiance, pour voir si on pouvait rivaliser dans ce type de match. Mon ardeur a un peu fléchi quand j’ai su que Gavin était positif et que Chase ne jouerait probablement pas. Mais ce samedi, je me suis dit ok, peut-être qu’ils seraient plus relâchés en face parce qu’on n’était pas à dix joueurs, et si tu mets l’énergie dès le début… Dans ce genre de match, c’est souvent une question de momentum. On a eu le premier, et le deuxième a été le plus important. Quand ils ont commencé à marquer facilement et mené de quatre points, nous n’avons pas abandonné. On est resté au contact avant de reprendre la tête : de 2, 4, 6, 8 points… Ils ne pouvaient plus nous arrêter. C’était un match fantastique et une fantastique victoire pour nous. »Nenad Markovic, entraîneur de la JDA Dijon (propos recueillis par Le Bien Public)
Photo : Nenad Markovic (Basketball Champions League)
", "comment_id":"592095", "plaintext":"C’est diminuée que la JDA Dijon s’est présentée devant son public pour affronter l’ASVEL, qui ne s’est semble-t-il pas suffisamment méfiée de la bête blessée. Résultat, victoire revancharde des locaux (82 à 75).\n\nDeux équipes amputées de plusieurs joueurs s’affrontaient ce samedi soir, dans le cadre de la 22ème journée de Betclic Élite, pour un match aux allures de choc malgré tout. D’un côté, la JDA Dijon qui a dû se passer de son ailier Chase Simon, touché à l’adducteur et de son pivot Gavin Ware, positif au Covid. De l’autre, l’ASVEL qui, même avec les absences d’Elie Okobo (épaule), de Charles Kahudi (genou), de Chris Jones (malade) et de Raymar Morgan (reprise), s’est présenté sur le parquet du palais des Sports de Dijon avec un effectif plus fourni sur le papier. Mais du côté des joueurs dijonnais, la volonté de revanche a fait oublier ce déséquilibre, eux qui restaient, face à ce même adversaire, sur des défaites en finale du championnat de France, en finale de la Coupe de France, ainsi que sur un revers en début de saison (49 à 73).\n\nAprès un premier quart-temps canon, remporté sur le score de 27 à 15, Dijon a pris l’avantage. Mais les joueurs de Lyon-Villeurbanne ne se sont pas laissés faire pour autant, revenant à -5 à la pause (43 à 38). Au retour des vestiaires, les hommes de T.J. Parker ont continué sur leur lancée, jusqu’à compter 4 points d’avance. Mais c’était compter sur un trio Kelly-Holston-Alingue (28 points à 8 sur 13 aux tirs pour 24 d’évaluation pour le premier, 20 points et 12 passes décisives pour 19 d’évaluation pour le deuxième et 11 points et 10 rebonds pour 22 d’évaluation pour le troisième) qui a permis à la JDA Dijon de repasser devant et d’aller chercher cette victoire significative. De quoi agacer l’entraîneur rhodanien, qui s’est exprimé après le match :\n\n« Ce qui me frustre le plus, c’est que Dijon joue à sept et nous à beaucoup plus… On commence très bien le troisième quart-temps et on prend l’eau dès qu’on fait entrer les rotations… On était revenu, on était bien dans ce qu’on voulait, on était bien défensivement, on prend un éclat et derrière cela ne bouge pas. Si Chris Jones est là, ce n’est pas pareil, mais il était malade. On va récupérer Okobo et Jones la semaine prochaine. […] On a essayé d’attaquer David Holston, mais c’est un joueur intelligent… »T.J. Parker, entraîneur de l’ASVEL (propos recueillis par Le Bien Public)\n\nAu final, l’ASVEL laisse Boulogne-Levallois s’échapper au classement, tandis que la JDA Dijon s’installe à la quatrième place du championnat. Un résultat qui satisfait pleinement Nenad Markovic, qui était pourtant en proie aux doutes avant la rencontre :\n\n« J’espérais vraiment pouvoir compter sur un roster complet contre une équipe d’Euroligue, dans une salle pleine et avec une bonne ambiance, pour voir si on pouvait rivaliser dans ce type de match. Mon ardeur a un peu fléchi quand j’ai su que Gavin était positif et que Chase ne jouerait probablement pas. Mais ce samedi, je me suis dit ok, peut-être qu’ils seraient plus relâchés en face parce qu’on n’était pas à dix joueurs, et si tu mets l’énergie dès le début… Dans ce genre de match, c’est souvent une question de momentum. On a eu le premier, et le deuxième a été le plus important. Quand ils ont commencé à marquer facilement et mené de quatre points, nous n’avons pas abandonné. On est resté au contact avant de reprendre la tête : de 2, 4, 6, 8 points… Ils ne pouvaient plus nous arrêter. 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En l’absence de C.J. Massinburg (ménagé « en raison de quelques douleurs »), c’est Nicolas Lang qui a pris, comme souvent, ses responsabilités et qui a réalisé un match plein. 13 points, 6 rebonds et 9 passes décisives pour 20 d’évaluation pour le double champion de France, qui a notamment pu compter sur l’aide précieuse d’Hugo Invernizzi : 9 points, 5 rebonds et 5 passes décisives pour 18 d’évaluation.
Avant de se tourner vers le prochain match, face au leader du championnat qu’est Boulogne-Levallois, Massimo Cancellieri est revenu sur cette victoire, via les réseaux sociaux du club d’abord…
« C’était une victoire importante à ramener à la maison. Cette atmosphère était amusante et je donne un gros crédit aux joueurs pour ce match. Déjà, parce que ce n’était pas facile sans C.J Massinburg. Mais aussi, parce que tout le monde a fait un pas en avant, ils ont tous été solides, avec une bonne application du plan de jeu : ce qui nous a permis de gagner la rencontre. Nous sommes très heureux, car ce match était décisif pour nous. »
…mais aussi en conférence de presse d’après match :
« Je préfère avoir des hauts et des bas mais avoir toujours plus de 10 points d’avance. On n’a jamais eu moins de 10 points d’avance de tout le match. J’aimerais que tous les matchs soient comme ça. C’est une victoire importante pour nous. On devait prendre ce match. Et ce que j’ai aimé, c’est qu’on a été capable de défendre en zone. On a joué une zone agressive aujourd’hui. Ils l’ont très bien fait. A Strasbourg, c’était l’opposé. Nous étions passifs et c’était tir, rebond. Tir, rebond. J’espère que c’est un pas en avant de ce point de vue là. »Propos recueillis par France Bleu Limousin
Photo : Massimo Cancellieri (Limoges)
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Pas suffisant pour empêcher Limoges de s’imposer : 59 à 73.\n\nEn l’absence de C.J. Massinburg (ménagé « en raison de quelques douleurs »), c’est Nicolas Lang qui a pris, comme souvent, ses responsabilités et qui a réalisé un match plein. 13 points, 6 rebonds et 9 passes décisives pour 20 d’évaluation pour le double champion de France, qui a notamment pu compter sur l’aide précieuse d’Hugo Invernizzi : 9 points, 5 rebonds et 5 passes décisives pour 18 d’évaluation.\n\nAvant de se tourner vers le prochain match, face au leader du championnat qu’est Boulogne-Levallois, Massimo Cancellieri est revenu sur cette victoire, via les réseaux sociaux du club d’abord…\n\n« C’était une victoire importante à ramener à la maison. Cette atmosphère était amusante et je donne un gros crédit aux joueurs pour ce match. Déjà, parce que ce n’était pas facile sans C.J Massinburg. Mais aussi, parce que tout le monde a fait un pas en avant, ils ont tous été solides, avec une bonne application du plan de jeu : ce qui nous a permis de gagner la rencontre. Nous sommes très heureux, car ce match était décisif pour nous. »\n\n…mais aussi en conférence de presse d’après match :\n\n« Je préfère avoir des hauts et des bas mais avoir toujours plus de 10 points d’avance. On n’a jamais eu moins de 10 points d’avance de tout le match. J’aimerais que tous les matchs soient comme ça. C’est une victoire importante pour nous. On devait prendre ce match. Et ce que j’ai aimé, c’est qu’on a été capable de défendre en zone. On a joué une zone agressive aujourd’hui. Ils l’ont très bien fait. A Strasbourg, c’était l’opposé. Nous étions passifs et c’était tir, rebond. Tir, rebond. 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« Les finales de la Coupe de janvier ont été une fantastique reconnaissance de la popularité et du potentiel du basket-ball au Royaume-Uni. Nous avons eu une foule record de spectateurs, témoins de la meilleure action sportive que British Basketball puisse offrir, et nous sommes ravis de voir cela à nouveau lors des finales du trophée de ce mois-ci à Glasgow », commente Andy Webb, Chief Operating Officer (COO) de la British Basketball League
Les Trophy Finals verront les équipes masculine et féminine des London Lions tenter de conserver leurs titres. L’équipe féminine, invaincue tout au long de la saison, affrontera les Sevenoaks Suns lors de la finale, avant que l’équipe masculine soit confrontée au Phoenix Cheshire.
Photo : BBL
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Le Parisien a recueilli son témoignage. C’est poignant. L’ancien joueur de Dnipro a laissé ses affaires en Ukkraine, mais il est soulagé car sa femme et son fils ont pu le rejoindre en France.
« J’ai appelé mon agent pour lui dire que je ne voulais pas retourner en Ukraine, qu’il fallait trouver une solution. Je savais que si je traversais la frontière, les autorités ne me laisseraient pas repartir dans un club en Europe. Les hommes de 18 à 55 ans doivent rester pour défendre le pays. Je ne voulais pas. Mon agent m’a parlé de Nanterre le vendredi, j’ai signé le contrat le samedi et j’arrivais le lundi. (…) Je ne voulais pas rentrer en Ukraine. Usyk (Oleksandr, multiple champion du monde de boxe, qui s’est engagé dans l’armée) a expliqué qu’il ne voulait pas faire la guerre, mais que s’ils voyaient des Russes s’en prendre à sa famille, il n’aurait d’autre choix que de tuer ces gens. Ce sont les Russes qui nous ont envahis, qui sont venus chez nous. Je ne suis pas un militaire, mais si je dois tuer pour protéger ma famille, je n’aurai pas le choix… Les Russes tirent même sur des enfants. »
A propos de son avenir, il est affirmatif :
« Je ne serai plus jamais le même. Ma femme ne veut plus retourner en Ukraine. On a vécu deux guerres, celle de Donetsk en 2014 (aussi appelée Guerre du Donbass) et celle-là maintenant. On veut une vie normale pour notre enfant. Souvent, elle me dit que je pourrais être sur le front actuellement si je n’avais pas été en Espagne au début des combats. Ça fait peur… »
Photo: FIBA
", "comment_id":"592040", "plaintext":"Viatcheslav « Boby » Bobrov (2,03m, 29 ans) est la nouvelle signature de Nanterre 92. Ce n’est pas anodin. Il est Ukrainien. La France est pour lui un refuge.\n\nBoby Brobov faisait partie de l’équipe ukrainienne qui a disputé, en Espagne, un match de qualification à la Coupe du monde 2023, juste au moment du début de l’envahissement de l’Ukraine par l’armée de Poutine.\n\nLe Parisien a recueilli son témoignage. C’est poignant. L’ancien joueur de Dnipro a laissé ses affaires en Ukkraine, mais il est soulagé car sa femme et son fils ont pu le rejoindre en France.\n\n« J’ai appelé mon agent pour lui dire que je ne voulais pas retourner en Ukraine, qu’il fallait trouver une solution. Je savais que si je traversais la frontière, les autorités ne me laisseraient pas repartir dans un club en Europe. Les hommes de 18 à 55 ans doivent rester pour défendre le pays. Je ne voulais pas. Mon agent m’a parlé de Nanterre le vendredi, j’ai signé le contrat le samedi et j’arrivais le lundi. (…) Je ne voulais pas rentrer en Ukraine. Usyk (Oleksandr, multiple champion du monde de boxe, qui s’est engagé dans l’armée) a expliqué qu’il ne voulait pas faire la guerre, mais que s’ils voyaient des Russes s’en prendre à sa famille, il n’aurait d’autre choix que de tuer ces gens. Ce sont les Russes qui nous ont envahis, qui sont venus chez nous. Je ne suis pas un militaire, mais si je dois tuer pour protéger ma famille, je n’aurai pas le choix… Les Russes tirent même sur des enfants. »\n\nA propos de son avenir, il est affirmatif :\n\n« Je ne serai plus jamais le même. Ma femme ne veut plus retourner en Ukraine. On a vécu deux guerres, celle de Donetsk en 2014 (aussi appelée Guerre du Donbass) et celle-là maintenant. On veut une vie normale pour notre enfant. Souvent, elle me dit que je pourrais être sur le front actuellement si je n’avais pas été en Espagne au début des combats. Ça fait peur… »\n\nPhoto: FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/vyacheslav-bobrov-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-12T17:27:32.000Z", "updated_at":"2022-03-12T17:27:40.000Z", "published_at":"2022-03-12T17:27:32.000Z", "custom_excerpt":"Viatcheslav « Boby » Bobrov (2,03m, 29 ans) est la nouvelle signature de Nanterre 92. Ce n’est pas anodin. Il est Ukrainien. 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« Dans la situation actuelle, le club essaie de comprendre quelles mesures peuvent être prises pour s’améliorer, et nous avons rapidement pris une décision à ce sujet. Nous avons trouvé un langage commun avec Casper, il a l’expérience de jouer dans la VTB League, il voulait jouer pour notre équipe. Nous avions besoin d’un meneur, car pour le moment nous n’avons que Khomenko à ce poste, et Ukhov fait un excellent travail, nous devions donc ajouter un joueur », commente le coach grec Dimitris Itoudis.
Pour sa part, le joueur commente :
Tout d’abord, je tiens à remercier Enisey. J’ai passé une excellente saison là-bas, j’ai été accueilli à bras ouverts, les coéquipiers, le front office, les entraîneurs m’ont très bien traité, et j’ai beaucoup d’amour pour eux. Maintenant, je suis heureux d’avoir eu l’opportunité de jouer pour le CSKA, je suis très excité de jouer pour un club historique comme celui-ci. J’ai hâte de me mettre au travail. »
Contrairement à nombre de joueurs étrangers, Casper Ware n’a donc pas d’états d’âme de jouer en Russie, le pays qui a déclenché la guerre en Ukraine.
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« La jauge est réaliste par rapport au bassin de vie. Elle répondra à tous les usages sportifs et aussi culturels, puisque six grands événements y seront organisés chaque année. Ce n’est pas une Arena, sinon les prix auraient été le double, ce n’est pas une salle de sport, mais c’est un bon compromis, » estime la présidente de l’agglomération Isabelle Assih, propos rapportés par Le Télégramme.
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Photos : Groupement Marc Mimran
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Avec les clubs russes :
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/euroleague-a.jpg\")
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/euroleague-1-1.jpg\")
Sans les clubs russes :
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![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/euroleague-4.jpg\")
L’AS Monaco n’a plus que 4 matches au programme. Elle va recevoir Olympiakos, Vitoria et Berlin et se rendre à Milan.
Photo : Donta Hall (Monaco, Euroleague)
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Lukas Lekavicius a inscrit 22 points, Joffrey Lauvergne en a mis 18, alors que Edgaras Ulanovas a frôlé le triple double (16 points et 9 rebonds). Les 26 points et 8 rebonds de Nikola Mirotic se sont ainsi montrés insuffisants.
« Nous avons gagné grâce à nos beaux uniformes pour soutenir l’Ukraine », a souligné Ulanovas. « C’est la chose la plus importante. Je suis content, tout d’abord, pour l’ambiance créée par les fans. Concernant le match, quand tu es à la dernière place, tu n’as pas beaucoup de pression. Vous ne pouvez pas descendre plus bas. Nous nous sommes battus. Il y a eu beaucoup de moments cruciaux, beaucoup de ballons 50-50 que nous avons pris. Je ne peux pas dire que c’était une victoire tactique, mais plutôt un combat. Nous avons prouvé que nous pouvions nous battre contre les meilleures équipes. »
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Photo d’ouverture : Joffrey Lauvergne (Zalgiris)
", "comment_id":"591968", "plaintext":"Le Zalgiris Kaunas a fêté l’indépendance de la Lituanie (11 mars 1990) en arborant des maillots aux couleurs jaune et bleu de l’Ukraine et en s’offrant le FC Barcelone.\n\nC’est un run final de 9-0 qui a permis au Zalgiris de surpasser le Barça, 91-84. C’est donc une victoire de David sur Goliath puisque l’équipe lituanienne est lanterne rouge et celle de Catalogne leader de l’Euroleague.\n\nLukas Lekavicius a inscrit 22 points, Joffrey Lauvergne en a mis 18, alors que Edgaras Ulanovas a frôlé le triple double (16 points et 9 rebonds). Les 26 points et 8 rebonds de Nikola Mirotic se sont ainsi montrés insuffisants.\n\n« Nous avons gagné grâce à nos beaux uniformes pour soutenir l’Ukraine », a souligné Ulanovas. « C’est la chose la plus importante. Je suis content, tout d’abord, pour l’ambiance créée par les fans. Concernant le match, quand tu es à la dernière place, tu n’as pas beaucoup de pression. Vous ne pouvez pas descendre plus bas. Nous nous sommes battus. Il y a eu beaucoup de moments cruciaux, beaucoup de ballons 50-50 que nous avons pris. Je ne peux pas dire que c’était une victoire tactique, mais plutôt un combat. Nous avons prouvé que nous pouvions nous battre contre les meilleures équipes. »\n\n\n\nPhoto d’ouverture : Joffrey Lauvergne (Zalgiris)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/lauvergne-scaled-e1647075651492.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-12T09:06:43.000Z", "updated_at":"2022-03-12T09:06:51.000Z", "published_at":"2022-03-12T09:06:43.000Z", "custom_excerpt":"Le Zalgiris Kaunas a fêté l’indépendance de la Lituanie (11 mars 1990) en arborant des maillots aux couleurs jaune et bleu de l’Ukraine et en s’offrant le FC Barcelone.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99480", "uuid":"6af692a2-ecd6-481b-9da3-bbd712e99902", "title":"Après avoir quitté le CSKA Moscou, Iffe Lundberg vise la NBA", "slug":"apres-avoir-quitte-le-cska-moscou-iffe-lundberg-vise-la-nba", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le Danois Iffe Lundberg (1,93m, 27 ans) a résilié son contrat avec le CSKA Moscou, et différentes sources annoncent qu’il est en passe de signer un two way contract avec une franchise NBA, qui pourrait être les Phoenix Suns.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« J’ai dû prendre une décision très difficile, une décision basée sur la sécurité du bien-être de ma famille. Je voudrais remercier tout le personnel et l’organisation du CSKA. Je voudrais remercier personnellement M. Andrei Vatoutine (NDLR: le président), Mlle Natalia Furaeva et le plus important, l’entraîneur Dimitris Itoudis pour avoir misé sur moi et m’avoir donné l’opportunité de jouer en Euroleague pour la première fois », a t-il commenté.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’été dernier, le Danois avait déjà eu des opportunités en NBA mais le CSKA l’avait convaincu de demeurer en Russie avec un contrat lucratif de 2+1. Cette saison, il a été l’auteur de 9,1 points, 2,4 rebonds et 2,0 passes en Euroleague. La guerre en Ukraine lui a donc fait changer ses plans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Euroleague\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"« J’ai dû prendre une décision très difficile, une décision basée sur la sécurité du bien-être de ma famille. Je voudrais remercier tout le personnel et l’organisation du CSKA. Je voudrais remercier personnellement M. Andrei Vatoutine (NDLR: le président), Mlle Natalia Furaeva et le plus important, l’entraîneur Dimitris Itoudis pour avoir misé sur moi et m’avoir donné l’opportunité de jouer en Euroleague pour la première fois », a t-il commenté.
L’été dernier, le Danois avait déjà eu des opportunités en NBA mais le CSKA l’avait convaincu de demeurer en Russie avec un contrat lucratif de 2+1. Cette saison, il a été l’auteur de 9,1 points, 2,4 rebonds et 2,0 passes en Euroleague. La guerre en Ukraine lui a donc fait changer ses plans.
Photo : Euroleague
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« Je suis déçu de notre prestation parce qu’on n’a pas réussi à rester assez calme. Les changements défensifs aixois nous ont perturbés et on a perdu notre maîtrise. Il faut reconnaître aussi que l’envie était beaucoup plus du côté de nos adversaires ce soir. On a manqué d’agressivité défensive en se laissant transpercer à plusieurs reprises par Lucas Beaufort. Tout n’est pas à jeter non plus puisque c’est seulement notre sixième revers de la saison. On va apprendre de cette défaite. Elle nous a montré que ce n’est pas facile d’assumer la place de leader du championnat, » a commenté Alain Thinet, propos rapportés par Le Progrès.
L’Elan Chalon reçoit ce soir Boulazac, et a ainsi l’opportunité de rejoindre Saint-Chamond en tête du classement.
Photo : Alain Thinet (Saint-Chamond)
", "comment_id":"591958", "plaintext":"Non seulement le leader Saint-Chamond a chuté à Aix-Maurienne, mais il s’est fait mal au crâne (88-71).\n\nRien ne laissait présager un tel scénario après un quart-temps puisque les hommes d’Alain Thinet menaient 22-26. Mais ils ont complètement cédé dans le deuxième (12-29). Si Kadri Moendadze (19 points) a été le meilleur marqueur des Savoyards, on remarque les 14 rebonds de Cheik Sane, ce qui est exactement la différence des deux équipes dans ce secteur (45-31).\n\n« Je suis déçu de notre prestation parce qu’on n’a pas réussi à rester assez calme. Les changements défensifs aixois nous ont perturbés et on a perdu notre maîtrise. Il faut reconnaître aussi que l’envie était beaucoup plus du côté de nos adversaires ce soir. On a manqué d’agressivité défensive en se laissant transpercer à plusieurs reprises par Lucas Beaufort. Tout n’est pas à jeter non plus puisque c’est seulement notre sixième revers de la saison. On va apprendre de cette défaite. Elle nous a montré que ce n’est pas facile d’assumer la place de leader du championnat, » a commenté Alain Thinet, propos rapportés par Le Progrès.\n\nL’Elan Chalon reçoit ce soir Boulazac, et a ainsi l’opportunité de rejoindre Saint-Chamond en tête du classement.\n\nPhoto : Alain Thinet (Saint-Chamond)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/10/alain-thinet-4.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-12T07:42:02.000Z", "updated_at":"2022-03-12T07:42:10.000Z", "published_at":"2022-03-12T07:42:02.000Z", "custom_excerpt":"Non seulement le leader Saint-Chamond a chuté à Aix-Maurienne, mais il s’est fait mal au crâne (88-71).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99482", "uuid":"100f9c03-05d9-4056-8aa8-00b6a348a8e6", "title":"Vidéo : Les highlights et l’inside de Monaco – Anadolu Efes", "slug":"video-les-highlights-de-monaco-anadolu-efes", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/DyZDXetzmYE?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/euroleague-monaco-balaye-anadolu-efes-et-peut-croire-plus-que-jamais-aux-playoffs/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Retour en vidéo sur \"],[0,[0],1,\"la somptueuse victoire de l’AS Monaco\"],[0,[],0,\", hier soir, face à Anadolu Efes (102-80), qui donne un coup de fouet aux ambitions de la Roca Team. Les highlights du match et l’inside réalisé par le club.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"https://www.youtube.com/watch?v=3Ja6t1En1CQ&ab_channel=ILoveBasketball\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Mike James (Euroleague)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"https://www.youtube.com/watch?v=3Ja6t1En1CQ&ab_channel=ILoveBasketball
Photo : Mike James (Euroleague)
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Ainsi, les Metropolitans demeurent en tête de la Betclic Elite (17 victoires, 6 défaites), alors qu’Orléans (14e, 8-14) doit toujours se battre pour ne pas descendre.
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Mais Vince Hunter a douché les espoirs de l’OLB.\n\nAinsi, les Metropolitans demeurent en tête de la Betclic Elite (17 victoires, 6 défaites), alors qu’Orléans (14e, 8-14) doit toujours se battre pour ne pas descendre.\n\n\n🚨𝘼𝙇𝙀𝙍𝙏𝙀 𝘽𝙐𝙕𝙕𝙀𝙍 𝘽𝙀𝘼𝙏𝙀𝙍🚨\nVince Hunter @2easy32 pour la victoire ‼️🤩\nScore final 79-78 pour les @Metropolitans92 💥💪#GoMets92 #Metropolitans92 @LNBofficiel #BetclicElite pic.twitter.com/lq57QzejHN\n\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) March 11, 2022\n\n\n\nINCROYABLE PANIER POUR LA VICTOIRE DES METS AU BOUT DU CHRONO 🎉⏰#BetclicELITE @Metropolitans92 pic.twitter.com/0j5GDRstYM\n\n— LNB (@LNBofficiel) March 11, 2022\n\n\nPhoto : Vince Hunter (Thomas Savoja)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/01/vincent-hunter-boulogne-levallois-thomas-savoja.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-12T07:07:14.000Z", "updated_at":"2022-03-12T07:07:22.000Z", "published_at":"2022-03-12T07:07:14.000Z", "custom_excerpt":"Vince Hunter (2,03m, 27 ans) a sorti Boulogne-Levallois d’un mauvais pas face à Orléans en réalisant un superbe buzzer beater en se faufilant entre une forêt de joueurs (79-78).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99484", "uuid":"acf3565b-55d9-4d1f-89c3-6a44ab1bc47b", "title":"Arvydas Sabonis : « Il ne fait aucun doute que les clubs russes doivent être exclus de l’EuroLeague »", "slug":"arvydas-sabonis-il-ne-fait-aucun-doute-que-les-clubs-russes-doivent-etre-exclus-de-leuroleague", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/champion-olympique-en-1988-oleksandr-volkov-apparait-arme-pour-defendre-lukraine/\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://www.15min.lt/24sek/naujiena/lietuva/arvydas-sabonis-reiskia-parama-a-volkovui-ir-visai-ukrainai-rusija-daugiau-niekada-netikesime-875-1652530\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Arvydas Sabonis, l’un des meilleurs basketteurs européens de tous les temps, s’est exprimé sur la guerre en Ukraine avec des paroles fortes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sabonis a joué pour l’URSS, et il est devenu champion olympique, du monde et d’Europe avec des coéquipiers russes et ukrainiens dont \"],[0,[0],1,\"Oleksandr Volkov, qui a pris les armes pour défendre son pays\"],[0,[],0,\". 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« Les statistiques montrent que 70% des personnes en Russie soutiennent cette guerre. Bien sûr, j’espère que ce nombre est beaucoup plus faible. Mais le fait est que ma parole ne changera pas les choses là-bas. Vous ne pouvez pas faire grand-chose. Vous ne changerez pas l’opinion des autres. La Russie a montré au monde entier que nous ne pouvons pas croire en ce pays (…) Quand la guerre a éclaté, j’étais tout le temps assis devant la télé. Après que Poutine ait reconnu l’indépendance de Donetsk et de Lougansk, je pensais que les Russes prendraient cette partie de l’Ukraine et que cela se terminerait. Mais ils ont attaqué l’Ukraine sur tous les fronts. Qui aurait pu croire ça ? Qui aurait pensé qu’une telle guerre pouvait se produire de nos jours ? Je ne suis ni un expert ni un politicien, je n’avais pas anticipé cela. »
Comme beaucoup de Lituaniens, Sabonis, qui a été président de la fédération lituanienne de basket pendant dix ans, a une position tranchée sur l’avenir des clubs russes en Euroleague :
« Il ne fait aucun doute que les clubs russes doivent être exclus de l’Euroleague. Quand pourront-ils revenir ? C’est difficile à dire. On ne sait pas ce qui se passera avec cette guerre. Je n’ai aucune idée de la façon dont les Ukrainiens pourraient faire du sport avec des représentants russes à l’avenir. Difficile d’imaginer un tel scénario. Maintenant, les Slaves tuent les Slaves. Cruel. Un frère tue un frère. Cela peut prendre un demi-siècle, mais les griefs persisteront. »", "comment_id":"591901", "plaintext":"Arvydas Sabonis, l’un des meilleurs basketteurs européens de tous les temps, s’est exprimé sur la guerre en Ukraine avec des paroles fortes.\n\nSabonis a joué pour l’URSS, et il est devenu champion olympique, du monde et d’Europe avec des coéquipiers russes et ukrainiens dont Oleksandr Volkov, qui a pris les armes pour défendre son pays. A 15 minutes, il dit n’avoir aucune envie d’entrer en contact avec des connaissances russes qui bombardent des enfants :\n\n« Les statistiques montrent que 70% des personnes en Russie soutiennent cette guerre. Bien sûr, j’espère que ce nombre est beaucoup plus faible. Mais le fait est que ma parole ne changera pas les choses là-bas. Vous ne pouvez pas faire grand-chose. Vous ne changerez pas l’opinion des autres. La Russie a montré au monde entier que nous ne pouvons pas croire en ce pays (…) Quand la guerre a éclaté, j’étais tout le temps assis devant la télé. Après que Poutine ait reconnu l’indépendance de Donetsk et de Lougansk, je pensais que les Russes prendraient cette partie de l’Ukraine et que cela se terminerait. Mais ils ont attaqué l’Ukraine sur tous les fronts. Qui aurait pu croire ça ? Qui aurait pensé qu’une telle guerre pouvait se produire de nos jours ? Je ne suis ni un expert ni un politicien, je n’avais pas anticipé cela. »\n\n\n\nComme beaucoup de Lituaniens, Sabonis, qui a été président de la fédération lituanienne de basket pendant dix ans, a une position tranchée sur l’avenir des clubs russes en Euroleague :\n\n« Il ne fait aucun doute que les clubs russes doivent être exclus de l’Euroleague. Quand pourront-ils revenir ? C’est difficile à dire. On ne sait pas ce qui se passera avec cette guerre. Je n’ai aucune idée de la façon dont les Ukrainiens pourraient faire du sport avec des représentants russes à l’avenir. Difficile d’imaginer un tel scénario. Maintenant, les Slaves tuent les Slaves. Cruel. Un frère tue un frère. Cela peut prendre un demi-siècle, mais les griefs persisteront. »", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/06/arvidas-sabonis.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-12T06:24:00.000Z", "updated_at":"2022-03-11T18:46:09.000Z", "published_at":"2022-03-12T06:24:00.000Z", "custom_excerpt":"Arvydas Sabonis, l’un des meilleurs basketteurs européens de tous les temps, s’est exprimé sur la guerre en Ukraine avec des paroles fortes.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99485", "uuid":"fd24ccf2-2d1f-4f0a-a0d6-1cc97c0ed107", "title":"Italie : Milan aura sa nouvelle arèna de 16 000 places en 2026", "slug":"italie-milan-aura-sa-nouvelle-arena-de-16-000-places-en-2026", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/milan-2.jpg\",\"width\":500,\"height\":313}]],\"markups\":[[\"strong\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Armani Milan disposera d’une arèna ultra moderne de 16 000 places, à l’issue des Jeux olympiques d’hiver de 2026.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour les besoins des Jeux d’hiver 2026, la ville italienne se dotera d’une nouvelle arèna, qui accueillera le tournoi de hockey-sur-glace. Le Palaitalia, c’est son nom, passera ensuite entre les mains d’Armani Milan. Il y a aura près de 15 000 places en tribunes et 1 500 en skybox.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Armani Milan joue actuellement au MediolanumForum\"],[0,[0],1,\",\"],[0,[],0,\" qui a été construit en 1990, et qui a été rénové depuis à plusieurs reprises.\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Pour les besoins des Jeux d’hiver 2026, la ville italienne se dotera d’une nouvelle arèna, qui accueillera le tournoi de hockey-sur-glace. Le Palaitalia, c’est son nom, passera ensuite entre les mains d’Armani Milan. Il y a aura près de 15 000 places en tribunes et 1 500 en skybox.
Armani Milan joue actuellement au MediolanumForum, qui a été construit en 1990, et qui a été rénové depuis à plusieurs reprises.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/03/milan-2.jpg\")
KIN Partners est un leader du marché dans la représentation des droits d’image des joueurs et des clubs et représente quelques icones du sport comme David Beckham, Usain Bolt, Lionel Messi and Neymar Jr ainsi que le Real Madrid. La société a lancé l’année dernière une division Basket-ball et représente des talents de premier plan européen.
La collaboration KIN-Fusion Sports qui combine les forces de deux leaders dans leurs spécialités veut représenter une force disruptive dans le basket français et européen dans le domaine purement sportif et commercial.
Fondé en 2013, KIN a évolué comme une agence full-service opérant à tous les niveaux du sport business avec une équipé composé de personnel multi disciplinaire de marketing, sponsoring, stratégie digitale, production
KIN représente actuellement plus de 60 footballeurs à travers l’Europe incluant l’international Allemand de Manchester City, Ilkay Gundogan, L’international Danois de Chelsea, Andreas Christensen et l’icône mondial, Samuel Eto’o. En 2020 Kin Partners s’est associé avec la famille Messi pour développer son marché en Europe du Sud et Amérique Latine.
Hirant Manakian, Président de Fusion Sports :
« Nous sommes très satisfaits d’unir nos forces avec Kin Partners pour apporter en France un niveau de service qui n’a jamais pu exister dans le passé. Kin a travaillé avec les plus grands athlètes du monde et les plus grands clubs. Nos compétences réunis, nous pourrons grandir en apportant une dimension de service jamais atteint et offrir à nos clients des services dans le domaine du marketing et droit d’image. »
Photo : Elie Okobo (Infinity Nine Media)
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En 2020 Kin Partners s’est associé avec la famille Messi pour développer son marché en Europe du Sud et Amérique Latine.\n\nHirant Manakian, Président de Fusion Sports :\n\n« Nous sommes très satisfaits d’unir nos forces avec Kin Partners pour apporter en France un niveau de service qui n’a jamais pu exister dans le passé. Kin a travaillé avec les plus grands athlètes du monde et les plus grands clubs. 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Au fur et à mesure, la Roca Team se constituait un bon petit matelas : 25-16, 35-21 (13e). La paire Rodrigue Beaubois – Vasilije Micic (18 points à eux deux sur les 20 premières minutes)) compensait l’impossibilité de Shane Larkin de scorer (0/2 en 15′), mais Monaco parvenait à bien gérer ses temps faibles pour pouvoir conserver 11 points d’avance (49-38) à la pause avec pour conclusion un somptueux un-contre-un de Mike James, qui malheureusement ne parvenait pas à transformer le lancer-franc bonus.
Mike James, qui prenait délibérément le jeu à son compte et son investissement était illustré par un dunk rageur après une incursion ligne de fond. Ses équipiers ne se contentaient pas de le regarder. Ils se jetaient sur chaque balle, à terre comme dans les airs. Chaque passe des Turcs était contestée. Et Monaco faisait une pointe à 75-56 juste avant la fin du troisième quart-temps.
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La boxscore est ICI.
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Le superbe début de l’ASVEL semble très loin. Privée de plusieurs joueurs, l’équipe de T.J. Parker a concédé jeudi soir une septième défaite d’affilée en Euroleague et une seizième en dix-neuf matches face à Baskonia. Monaco affronte vendredi soir les champions d’Europe en titre, Anadolu Efes, et Rodrigue Beaubois – qui nous a accordé un long entretien cette semaine -, un concurrent direct pour les playoffs alors que les résultats contre les clubs russes ne seront pas pris en compte dans le classement final. Ce qui n’a pas manqué de faire réagir Fenerbahçe. Par ailleurs, le Real Madrid a concédé, à Belgrade, sa 4e défaite de rang en Euroleague et sa 8e sur les 13 derniers matches, toutes compétitions confondues.
En Eurocup, Boulogne-Levallois n’a fait qu’une bouchée d’une équipe d’Hambourg diminuée et Bourg a failli créer l’exploit contre le coleader Valence. La perf de la semaine est à noter pour l’international Mam Jaiteh, 41 d’évaluation, dans la victoire de la Virtus Bologne – qui accueille Tornike Shengelia du CSKA Moscou – sur Venise. En BCL, Dijon et Strasbourg se sont inclinés respectivement contre Ludwigsbourg et le Rytas Vilnius mais restent dans la course aux playoffs.
L’info de la semaine en France, c’est l’officialisation de la prolongation de contrat de Jean-Denys Choulet, doyen des coachs en Betclic Elite, à la Chorale de Roanne. Tandis que, sur les terrains, les blessures s’enchaînent. Notamment celle de Jaromir Bohacik (Strasbourg) et celle de Marcquise Reed (Gravelines). Le dernier cité est suppléé par l’arrière américain Jeremiah Hill, qui vient de quitter la Russie suite à l’invasion de l’Ukraine.
En octobre, Alain Thinet l’avait promis : c’était sa dernière saison à la tête de Saint-Chamond. Mais, les Couramiauds étant en tête de Pro B, le doyen des coachs de Pro B (68 ans) a prolongé son contrat d’une saison, et connaîtra ainsi l’arrivée de la nouvelle Arena. A l’inverse, Rouen – et sa salle Céline Dumerc de 6 000 places – risquent fort de descendre sportivement en Nationale 1, après l’enchaînement de mauvais résultats. A noter les blessures longue durée de Mickaël Gelabale (Chalon) et de Nic Moore (Boulazac).
Battu largement en Hongrie, Lattes-Montpellier a concédé une deuxième défaite jeudi soir face à Sopron – emmenée par une Gabby Williams de feu – et se retrouve ainsi éliminé de l’Euroleague. Il n’y aura donc aucun club français en demi-finale cette année. En Eurocup, le choc franco-français en quarts de finale a tourné en faveur de Basket Landes – qui vient de signer l’Italienne Marzia Tagliamento – malgré la bonne entame de Bourges. L’ASVEL – qui a fait appel à Kayla Alexander pour suppléer Helena Ciak – a quant à elle perdu une belle munition à l’aller contre Mersin (64-77) avant le retour jeudi prochain. À noter en LFB le départ prochain du coach de Charnay Matthieu Chauvet.
Mais aussi…
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Photo : Victor Wembanyama – ASVEL (Infinity Nine Media)
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L’ASVEL – qui a fait appel à Kayla Alexander pour suppléer Helena Ciak – a quant à elle perdu une belle munition à l’aller contre Mersin (64-77) avant le retour jeudi prochain. À noter en LFB le départ prochain du coach de Charnay Matthieu Chauvet.\n\nMais aussi…\n\n * Abonnés : Relire notre dossier salaires / le podcast salaire de Basket Europe avec Ficelle\n * Abonnés : L’interview avec Sylvain Francisco, rookie chez les Bleus / Les Français de l’étranger / Les Français des Etats-Unis\n * Paris 2024 : le basket encore et toujours au coeur des débats\n * Ranking FIBA : la France remonte à la 4e place\n * Décès de Edith Tavert, grande figure du basket féminin français\n * Joffrey Lauvergne et l’équipe de France : « S’ils veulent me revoir un jour, on en reparlera »\n * NM1 : Poitiers fera son entrée à l’Arena Futuroscope au mois d’avril\n\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. 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Il lui est demandé combien de fois il a été interrogé sur la personnalité de son coach, Zeljko Obradovic :
« (il rigole) Une centaine de fois ! Mais les gens ont une image erronée de lui. Il est tout rouge, tout le temps énervé. C’est juste qu’il est à fond. Il est prêt à mourir pour ses joueurs et son club. Il essaye de transmettre ça. Il est très expressif mais très humain. Je l’imaginais comme Zvezdan Mitrovic à Monaco et c’est exactement ça. En dehors du terrain ce sont des gens très marrants avec qui on peut parler de tout et de rien. Je n’apprendrais rien à qui que ce soit en disant que c’est un très bon coach.«
Photo : FIBA
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« Mathématiquement, c’est encore faisable, mais il faut avoir l’envie de le faire. Aujourd’hui, on est dans une situation qui ne sent pas bon. Il faut pouvoir mettre les mains là où ça sent mauvais. Quand ça sent un peu meilleur pendant une rencontre, il faut savoir fermer le match, lâche t-il à Paris Normandie. « C’est dommage , c’est très frustrant. Les quinze premiers matches de la saison leur ont fait vraiment mal à la tête, parce que quand je vois ça, ça fait très mal au crâne. Je n’étais pas là avant, mais je pense qu’à certains moments, ils ont vraiment dû souffrir. Sincèrement, ce sont tous des bons mecs, je pense, et j’espère, qu’il n’y en a pas un qui triche. Ils travaillent dur, je leur demande beaucoup de choses, beaucoup d’implication. »", "comment_id":"591825", "plaintext":"Le Rouen Métropole Basket avait accédé à la Pro A par le biais d’une Wild Card. Lui et sa salle Céline Dumerc de 6 000 places risquent fort de descendre -sportivement- en Nationale 1.\n\nSuite à sa défaite -la 8e en 9 matches cette année-, rageante -84-90 après prolongation- contre Saint-Quentin, les Normands (4 victoires, 17 défaites) ont désormais deux fois moins de succès (8-13) que l’Alliance Sport Alsace, le dernier des équipes non-relégables. Autant dire que vu de l’extérieur, c’est quasiment mission impossible. Il n’y a pas eu d’effet Ludovic Pouillart, qui a remplacé en cours de toute Alexandre Ménard, mais bien entendu le coach du RMB a le devoir d’y croire :\n\n« Mathématiquement, c’est encore faisable, mais il faut avoir l’envie de le faire. Aujourd’hui, on est dans une situation qui ne sent pas bon. Il faut pouvoir mettre les mains là où ça sent mauvais. Quand ça sent un peu meilleur pendant une rencontre, il faut savoir fermer le match, lâche t-il à Paris Normandie. « C’est dommage , c’est très frustrant. Les quinze premiers matches de la saison leur ont fait vraiment mal à la tête, parce que quand je vois ça, ça fait très mal au crâne. Je n’étais pas là avant, mais je pense qu’à certains moments, ils ont vraiment dû souffrir. Sincèrement, ce sont tous des bons mecs, je pense, et j’espère, qu’il n’y en a pas un qui triche. Ils travaillent dur, je leur demande beaucoup de choses, beaucoup d’implication. »", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/06/ludovic-pouillart.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-03-11T10:31:05.000Z", "updated_at":"2022-03-11T10:31:14.000Z", "published_at":"2022-03-11T10:31:05.000Z", "custom_excerpt":"Le Rouen Métropole Basket avait accédé à la Pro A par le biais d’une Wild Card. Lui et sa salle Céline Dumerc de 6 000 places risquent fort de descendre -sportivement- en Nationale 1.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ec9", "uuid":"a485a055-8422-482b-b1e0-a76c5b9a221c", "title":"Mike James déclare gagner 2,1M€ au CSKA Moscou… sans jouer", "slug":"mike-james-declare-gagner-21me-au-cska-moscou-sans-jouer", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://t.co/WiMDQaYc2q\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/mike-james-a-joue-avec-lequipe-2-du-cska-moscou/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0,1],1,\"Mike James, qui s’entraîne et joue actuellement avec l’équipe 2 du CSKA Moscou\"],[0,[],1,\", en raison de sa mise à l’écart par le coach grec Dimitris Itoudis, a annoncé son salaire sur twitter.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le meneur américain utilise les réseaux sociaux pour donner de ses nouvelles, et éventuellement répondre à des fans, même s’il assure :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[2],1,\"« Je déteste parler de moi, de mon parcours et surtout je déteste donner des interviews. Non merci. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"James a ajouté qu’il n’y avait pas de honte à ne pas avoir un job dans le basket en ce moment, sachant que la Chine a fermé ses portes aux étrangers, et que les opportunités en NBA, se raréfient. Un fan lui a alors proposé un travail dans la chaîne de restauration \"],[0,[2],1,\"Popeyes\"],[0,[],0,\", ce à quoi il a répondu :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Peuvent-ils payer mes 2,5 millions de salaires en dollars ? Parce que si c’e\"],[0,[2],1,\"st le cas, je serai là »\"],[0,[],0,\", a promis James.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"2,5 millions de dollars correspondent à 2,1 millions en euros.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo: Euroleague\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Mike James, qui s’entraîne et joue actuellement avec l’équipe 2 du CSKA Moscou, en raison de sa mise à l’écart par le coach grec Dimitris Itoudis, a annoncé son salaire sur twitter.
Le meneur américain utilise les réseaux sociaux pour donner de ses nouvelles, et éventuellement répondre à des fans, même s’il assure :
« Je déteste parler de moi, de mon parcours et surtout je déteste donner des interviews. Non merci. »
James a ajouté qu’il n’y avait pas de honte à ne pas avoir un job dans le basket en ce moment, sachant que la Chine a fermé ses portes aux étrangers, et que les opportunités en NBA, se raréfient. Un fan lui a alors proposé un travail dans la chaîne de restauration Popeyes, ce à quoi il a répondu :
« Peuvent-ils payer mes 2,5 millions de salaires en dollars ? Parce que si c’est le cas, je serai là », a promis James.
2,5 millions de dollars correspondent à 2,1 millions en euros.
Photo: Euroleague
", "comment_id":"563867", "plaintext":"Mike James, qui s’entraîne et joue actuellement avec l’équipe 2 du CSKA Moscou, en raison de sa mise à l’écart par le coach grec Dimitris Itoudis, a annoncé son salaire sur twitter.\n\nLe meneur américain utilise les réseaux sociaux pour donner de ses nouvelles, et éventuellement répondre à des fans, même s’il assure :\n\n« Je déteste parler de moi, de mon parcours et surtout je déteste donner des interviews. Non merci. »\n\nJames a ajouté qu’il n’y avait pas de honte à ne pas avoir un job dans le basket en ce moment, sachant que la Chine a fermé ses portes aux étrangers, et que les opportunités en NBA, se raréfient. Un fan lui a alors proposé un travail dans la chaîne de restauration Popeyes, ce à quoi il a répondu :\n\n« Peuvent-ils payer mes 2,5 millions de salaires en dollars ? Parce que si c’est le cas, je serai là », a promis James.\n\n2,5 millions de dollars correspondent à 2,1 millions en euros.\n\n\nCan they pay my 2.5 million dollar salary? Bcuz if so I’m there https://t.co/WiMDQaYc2q\n\n— Mike James (@TheNatural_05) September 2, 2021\n\n\nPhoto: Euroleague", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/02/mike-james-2-e1614323646477.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-04T09:11:18.000Z", "updated_at":"2021-09-04T09:11:26.000Z", "published_at":"2021-09-04T09:11:18.000Z", "custom_excerpt":"Mike James, qui s’entraîne et joue actuellement avec l’équipe 2 du CSKA Moscou, en raison de sa mise à l’écart par le coach grec Dimitris Itoudis, a annoncé son salaire sur twitter.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99eca", "uuid":"203125fe-6ef2-4273-ab77-35631dadf181", "title":"Ain Star Game : L’ASVEL perd deux fois, mais avec des circonstances atténuantes", "slug":"ain-star-game-lasvel-perd-deux-fois-mais-avec-des-circonstances-attenuantes", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’ASVEL, équipe d’Euroleague, va jouer cet après-midi un match contre Chalon pour éviter la dernière place de l’Ain Star Game. Mais elle peut présenter des circonstances atténuantes.\"],[0,[],0,\" \"],[0,[0],1,\"Pus ennuyeux: Paul Lacombe est out pour probablement plusieurs semaines.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il faut se méfier des résultats des matches de préparation. L’équipe de France n’a t-elle pas perdu ainsi ses trois matches d’avant JO avant de décrocher l’argent à Tokyo ? On sait, par définition que les équipes sont en construction, que les coaches procèdent à des essais, et que… les résultats ne sont pas leur priorité.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Malgré tout, à la lecture du premier résultat de l’ASVEL à l’Ain Star Game face à Dijon (55-77), on pouvait être stupéfait. Seulement, il faut savoir aussi que David Lighty, Chris Jones, Dylan Osetkowski, Youssoupha Fall, Elie Obobo et Victor Membayama étaient absents. Ce n’est pas rien, même quand on a un effectif à rallonge. Ce sont les anciens, Antoine Diot (14 points) et Charles Kahudi (11), qui ont essayé de sauver les meubles. En vain.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Hier, les Villeurbannais ont de nouveau chuté face à Boulogne-Levallois, mais beaucoup moins lourdement: 88-90 après prolongation. Les hommes de TJ Parker étaient menés de 12 points à 5 minutes de la fin, et ont perdu Paul Lacombe sur une blessure à un doigt, qui parait assez sérieuse, ils ont donc su se rebiffer, même si la victoire leur a échappé. C’est Williams Howard (18 points) et Matthew Strazel (14) qui ont été les meilleurs marqueurs, mais pour leur retour Victor Wembanyama (13) et l’Allemand Dylan Osetkowski (10) ont contribué.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Conséquence: l’ASVEL jouera cet après-midi le match pour la 5e place face à Chalon, Nanterre et Paris-Levallois pour la 3e, et Bourg et Dijon vont se retrouver en finale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: Paul Lacombe, ASVEL\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"L’ASVEL, équipe d’Euroleague, va jouer cet après-midi un match contre Chalon pour éviter la dernière place de l’Ain Star Game. Mais elle peut présenter des circonstances atténuantes. Pus ennuyeux: Paul Lacombe est out pour probablement plusieurs semaines.
Il faut se méfier des résultats des matches de préparation. L’équipe de France n’a t-elle pas perdu ainsi ses trois matches d’avant JO avant de décrocher l’argent à Tokyo ? On sait, par définition que les équipes sont en construction, que les coaches procèdent à des essais, et que… les résultats ne sont pas leur priorité.
Malgré tout, à la lecture du premier résultat de l’ASVEL à l’Ain Star Game face à Dijon (55-77), on pouvait être stupéfait. Seulement, il faut savoir aussi que David Lighty, Chris Jones, Dylan Osetkowski, Youssoupha Fall, Elie Obobo et Victor Membayama étaient absents. Ce n’est pas rien, même quand on a un effectif à rallonge. Ce sont les anciens, Antoine Diot (14 points) et Charles Kahudi (11), qui ont essayé de sauver les meubles. En vain.
Hier, les Villeurbannais ont de nouveau chuté face à Boulogne-Levallois, mais beaucoup moins lourdement: 88-90 après prolongation. Les hommes de TJ Parker étaient menés de 12 points à 5 minutes de la fin, et ont perdu Paul Lacombe sur une blessure à un doigt, qui parait assez sérieuse, ils ont donc su se rebiffer, même si la victoire leur a échappé. C’est Williams Howard (18 points) et Matthew Strazel (14) qui ont été les meilleurs marqueurs, mais pour leur retour Victor Wembanyama (13) et l’Allemand Dylan Osetkowski (10) ont contribué.
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Photo: Paul Lacombe, ASVEL
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Il faut aussi savoir s’adapter. Et quand on aspire jouer pour une équipe européenne, c’est bien quand on y arrive, mais quand on n’y arrive pas, on essaie d’aller dans une équipe où on va avoir plus de responsabilités, pour essayer de l’amener le plus haut possible. Pourquoi ne pas jouer la Coupe d’Europe avec Cholet la saison prochaine ? L’idée, c’est que ce soit gagnant-gagnant. Je sais aussi que Cholet va m’aider à me développer dans certains aspects. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Boris Dallo a notamment l’intention d’améliorer son leadership, d’être performant dans la régularité.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo: FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Boris Dallo (1,96m, 27 ans) a signé à Cholet Basket. Enfin, est-on tenté d’écrire car il a déjà failli par deux fois rejoindre le club des Mauges.
Boris Dallo est Nantais est, jeune, il est venu à La Meilleraie pour voir notamment des matches d’Euroleague. C’est ce qu’il raconte dans le Courrier de l’Ouest. Mais aussi que le centre de formation de CB était prêt à l’accueillir, mais il a préféré alors rejoindre l’INSEP, et quelques années plus tard, c’est le coach Erman Kunter qui lui a fait une proposition. Il aura donc attendu 2021 pour contracter avec le club d’élite de sa région, et il arrive avec des ambitions, même s’il ne jouera pas une Coupe d’Europe comme espéré.
« Il y a une différence entre ce à quoi on aspire et la réalité du marché », confie t-il au quotidien du Maine-et-Loire. « Il y a des timings, des moments où c’est notre tour et d’autres où ça l’est moins. Il faut le comprendre dans le métier qu’on fait. Il faut aussi savoir s’adapter. Et quand on aspire jouer pour une équipe européenne, c’est bien quand on y arrive, mais quand on n’y arrive pas, on essaie d’aller dans une équipe où on va avoir plus de responsabilités, pour essayer de l’amener le plus haut possible. Pourquoi ne pas jouer la Coupe d’Europe avec Cholet la saison prochaine ? L’idée, c’est que ce soit gagnant-gagnant. Je sais aussi que Cholet va m’aider à me développer dans certains aspects. »
Boris Dallo a notamment l’intention d’améliorer son leadership, d’être performant dans la régularité.
Photo: FIBA
", "comment_id":"563858", "plaintext":"Boris Dallo (1,96m, 27 ans) a signé à Cholet Basket. Enfin, est-on tenté d’écrire car il a déjà failli par deux fois rejoindre le club des Mauges.\n\nBoris Dallo est Nantais est, jeune, il est venu à La Meilleraie pour voir notamment des matches d’Euroleague. C’est ce qu’il raconte dans le Courrier de l’Ouest. Mais aussi que le centre de formation de CB était prêt à l’accueillir, mais il a préféré alors rejoindre l’INSEP, et quelques années plus tard, c’est le coach Erman Kunter qui lui a fait une proposition. Il aura donc attendu 2021 pour contracter avec le club d’élite de sa région, et il arrive avec des ambitions, même s’il ne jouera pas une Coupe d’Europe comme espéré.\n\n« Il y a une différence entre ce à quoi on aspire et la réalité du marché », confie t-il au quotidien du Maine-et-Loire. « Il y a des timings, des moments où c’est notre tour et d’autres où ça l’est moins. Il faut le comprendre dans le métier qu’on fait. Il faut aussi savoir s’adapter. Et quand on aspire jouer pour une équipe européenne, c’est bien quand on y arrive, mais quand on n’y arrive pas, on essaie d’aller dans une équipe où on va avoir plus de responsabilités, pour essayer de l’amener le plus haut possible. Pourquoi ne pas jouer la Coupe d’Europe avec Cholet la saison prochaine ? L’idée, c’est que ce soit gagnant-gagnant. Je sais aussi que Cholet va m’aider à me développer dans certains aspects. »\n\nBoris Dallo a notamment l’intention d’améliorer son leadership, d’être performant dans la régularité.\n\nPhoto: FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/09/boris-dallo-fiba-europe.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-04T07:35:26.000Z", "updated_at":"2021-09-04T07:35:34.000Z", "published_at":"2021-09-04T07:35:26.000Z", "custom_excerpt":"Boris Dallo (1,96m, 27 ans) a signé à Cholet Basket. Enfin, est-on tenté d’écrire car il a déjà failli par deux fois rejoindre le club des Mauges.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ecc", "uuid":"35112973-31ef-4286-95d8-396866957bf0", "title":"Le Mans : Le meneur Kaza Kajami-Keane toujours à l’infirmerie", "slug":"le-mans-le-meneur-kaza-kajami-keane-toujours-a-linfirmerie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://www.ouest-france.fr/sport/basket/basket-elric-delord-coach-du-msb-le-dernier-week-end-pour-poser-les-fondations-be1985f2-0cd3-11ec-8f66-1caeab7b63b1\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le Mans a un drôle de programme de pré-saison puisqu’il va être interrompue par un tournoi de qualifications à la saison régulière de Basketball Champions League. Le MSB devra peut-être se passer à cette occasion de son meneur canadien au passeport jamaïcain, Kaza Kajami-Keane (1,85m, 27 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour un match de préparation ce soir face à Cholet, le coach Elric Delord va pouvoir compter sur le retour de Williams Narace de l’AfroBasket, qu’il a disputé avec le Cameroun, et de deux de ses nouveaux Américains, Dante Cunningham et Deishuan Booker, mais pas sur son meneur Kaza Kajami-Keane, dont le contrat a été renouvelé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après avoir été handicapé par une blessure à la cheville, l’international canadien est victime d’une gêne au genou persistante. C’est d’autant plus ennuyeux que se profile à l’horizon le tournoi de qualification de la BCL, à Sofia, avec un match le jeudi 16 septembre face au vainqueur de Parma Perm/Hapoel Eilat.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Son protocole de soin se passe très bien, il est en forte progression, mais il faut lui laisser le temps » révèle le coach dans les colonnes du \"],[0,[1],1,\"Maine Libre\"],[0,[],0,\". « S’il joue le tournoi BCL, mi-septembre, il ne sera pas à 100% donc on verra si on prend le risque de l’aligner à ce moment-là selon ses progrès. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le MSB s’est prémuni cette saison contre des forfaits à ce poste avec l’embauche du combo guard Deishuan Booker et le retour de prêt de Matthieu Gauzin.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo: MSB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le Mans a un drôle de programme de pré-saison puisqu’il va être interrompue par un tournoi de qualifications à la saison régulière de Basketball Champions League. Le MSB devra peut-être se passer à cette occasion de son meneur canadien au passeport jamaïcain, Kaza Kajami-Keane (1,85m, 27 ans).
Pour un match de préparation ce soir face à Cholet, le coach Elric Delord va pouvoir compter sur le retour de Williams Narace de l’AfroBasket, qu’il a disputé avec le Cameroun, et de deux de ses nouveaux Américains, Dante Cunningham et Deishuan Booker, mais pas sur son meneur Kaza Kajami-Keane, dont le contrat a été renouvelé.
Après avoir été handicapé par une blessure à la cheville, l’international canadien est victime d’une gêne au genou persistante. C’est d’autant plus ennuyeux que se profile à l’horizon le tournoi de qualification de la BCL, à Sofia, avec un match le jeudi 16 septembre face au vainqueur de Parma Perm/Hapoel Eilat.
« Son protocole de soin se passe très bien, il est en forte progression, mais il faut lui laisser le temps » révèle le coach dans les colonnes du Maine Libre. « S’il joue le tournoi BCL, mi-septembre, il ne sera pas à 100% donc on verra si on prend le risque de l’aligner à ce moment-là selon ses progrès. »
Le MSB s’est prémuni cette saison contre des forfaits à ce poste avec l’embauche du combo guard Deishuan Booker et le retour de prêt de Matthieu Gauzin.
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Carlos Cabezas est le fils et le petit-fils de basketteurs professionnels uruguayens et le neveu du footballeur Hugo Cabezas. Sa carrière a été notamment riche d’un titre de champion du monde en 2006, et il a joué pour six clubs espagnols et 531 matches, et aussi pour Orléans lors de la saison 2016-17.
Hier, Unicaja Malaga a battu le Real Madrid 88-75, et Cabezas est entré dans le cinq de départ d’Unicaja, le club de ses débuts en pro en 1998, pour deux passes décisives et un panier à mi-distance. Après un peu plus de cinq minutes, il est sorti du terrain sous les vivas et il a reçu un « numéro 10 » en cadeau.
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Sur la victoire :
J’ai beaucoup de fierté et je suis vraiment, vraiment content pour le club, pour tout le monde. Il y a eu un travail monstrueux pendant toute l’année, ce fut une longue, longue saison. De terminer avec un doublé (NDLR : Coupe de France et championnat) et de la façon dont ça a été fait -parce qu’il nous manquait pas mal de joueurs, la moitié de l’équipe-, ça a montré la force collective et comment on construit nos équipes. Tout le monde peut apporter. Sur ce Final Four, on a montré du caractère. Félicitations à Dijon pour une saison incroyable, mais sûr ce match-là, notre équipe a vraiment montré beaucoup de caractère, et l’expérience a aussi aidé.
Sur le 3e titre en tant que propriétaire :
C’est très difficile de gagner un titre, et celui-là était dur à aller chercher. Toute la saison d’Euroleague a été très longue. Après, on a dû enchainer pendant deux mois avec beaucoup de matches du championnat de France. Ce titre est vraiment spécial. En plus, c’est le 20e titre pour le club, et en plus la 10e Coupe de France, la même année, c’est encore un doublé historique, comme en 2019. On est à Rouen, à la maison, il y a tous mes amis d’enfance, mes coaches de benjamins, minimes, tout le monde était là. Je suis content aussi pour Paul Lacombe. Lorsque je l’ai recruté, je lui ai dit que s’il voulait gagner un titre, il fallait venir à l’ASVEL. Il y a des raisons qui font que des équipes gagnent des titres. Je suis vraiment content pour lui car je sais que ça lui tenait à cœur. Antoine (Diot) n’avait jamais gagné un titre (NDLR : de champion de France), et ils sont tous venus pour ça. Je suis bien sûr content pour mon frère, pour l’aventure humaine avec la famille, et pour tous ceux qui nous soutiennent. Et il y a tellement de gens qui nous soutiennent dans ce projet. On travaille tellement dur, on est tellement passionné. Je voulais tellement que cette équipe gagne un titre, que l’on se rappelle d’elle, parce qu’ils ont été monstrueux en Euroleague cette année. Faire six victoires d’affilée, c’est très rare. Ce n’est pas tous les jours que l’on aura des Moustapha Fall, des Thomas Heurtel, qui viennent nous aider dans le championnat français. On se rappellera de cette équipe 2021. Et puis nous et les journalistes, on pourra s’amuser à se dire : quelle est la meilleure équipe de l’ASVEL de tous les temps ? Quand on a commencé la saison, on disait que l’on avait la plus grosse équipe, mais je disais que tant que tu n’as pas gagné un titre, tu ne peux pas la comparer avec les autres. Maintenant, on va pouvoir commencer à s’amuser… Chacun des trois titres est différent. 2016, c’est le premier et c’est toujours spécial, surtout dans les circonstances dans lesquelles c’est arrivé. On perdait 2-0 et on fait un comeback de malade. 2019, pareil, c’était le doublé et ça faisait longtemps qu’on en avait fait un à l’ASVEL. En plus, on gagne au Game 5 à domicile devant notre public, et on gagne aussi avec les filles au Game 5. Et 2021 restera très spécial pour toutes les raisons que je vous ai évoqués.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/06/david-lighty.jpg\")
« J’aimerais bien garder tout le monde, mais on est un peu victimes de notre propre succès »
Sur le 1er titre de son frère TJ comme coach :
Ça m’a fait chaud au cœur de le voir pleurer à la fin du match. En tant que grand frère, je sais par quoi il est passé, comment ça a été dur toute la saison. Ce n’est pas facile d’être le frère. Et en début de saison, il y avait le Covid. On commence par un 1-6 en Euroleague et toutes les critiques arrivent. « Il faut le virer », tout ça. Lui, il prend tout ça, il emmagasine tout ça. On l’a tous soutenu, sa famille, ses amis, tout le club, à commencer par Gaétan (NDLR : Muller, le président délégué). Moi, je crois en lui, dans le jeu qu’il propose. Le jeu qu’il a proposé sur le Final Four, c’est encore plus révélateur que lorsqu’on avait tout le monde. Il a été vraiment fort tactiquement. Défensivement, on a vu ce soir les choix qu’il a fait. Je suis juste fier et content pour lui. Il le mérite car il travaille très dur, c’est toujours le premier arrivé à l’entraînement et le dernier à partir. Il a vraiment envie de réussir. Je dis toujours que le travail, ça paie, et sur ce Final Four, il a vraiment prouvé.
Sur la saison prochaine :
Il va falloir se concentrer sur la saison prochaine, et ça ne va pas être facile. On va essayer de tout faire pour garder David Lighty. Je sais qu’il y a beaucoup de rumeurs qui tourne autour de lui (NDLR : il est annoncé à Olympiakos). En plus, il ne m’arrange pas l’affaire en étant MVP ce soir (rires). Ça va être difficile de le garder mais on va essayer de tout faire. Moustapha Fall a été incroyable cette saison pour nous. Il a crû en nous, en notre projet, et il a fait une grosse saison, meilleur pivot et meilleur défenseur du championnat. Je suis très content pour lui qu’il parte à Olympiakos. Guerschon Yabusele aussi, incroyable. Il nous a fait confiance, et je suis très content qu’il signe au Real Madrid. Tout le reste, on va voir. Il va falloir que l’on manage le budget car il va vraiment baisser, par rapport à ce qui se passe avec l’OL, le fait que l’on n’ait pas la Champions League, le fait aussi que l’on doit payer un gros fees à l’Euroleague. D’un côté, on est super contents d’être en Euroleague pour les dix prochaines années, mais il y a un gros franchise fees à payer. Il va falloir être malin et intelligent dans le recrutement, faire des choix. Ce n’est jamais facile. J’aimerais bien garder tout le monde, mais on est un peu victimes de notre propre succès. On a fait une grosse saison en Euroleague avec six victoires d’affilée, le record pour un club français, des joueurs ont été performants. Si on fait de bonnes saisons, la moitié de l’équipe va partir. Il va falloir être fort au recrutement avec Nico Batum et François (Lamy). On va travailler dur pour essayer de trouver les joueurs qu’il faut pour construire une équipe en championnat de France pour défendre le titre, et encore faire une bonne saison en Euroleague (…) Ça va être un choix de diminuer le nombre de joueurs et de se concentrer sur un top 10 et de mettre nos jeunes de 10 à 15. On est déjà l’équipe d’Euroleague qui fait jouer le plus nos joueurs locaux. Il faut que l’on lance nos jeunes. Je crois beaucoup au basket français. On est quand même le pays le plus représenté en NBA (NDLR : derrière le Canada), on a un talent incroyable ici. TJ est dans cette mentalité-là et c’est très important d’avoir un coach qui respecte les jeunes, le plan de l’Académie, la vision sur le long terme. C’est pour ça que l’on a donné trois contrats à nos jeunes. On va continuer dans ce sens-là avec nos clubs satellites, continuer de faire grandir les jeunes formés chez nous.
Sur la venue de Victor Wembanyama à Villeurbanne :
J’espère ! Les discussions se passent bien, mais pour l’instant, il n’y a rien d’officiel.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/06/asvel-champion-2021.jpg\")
« Il y a des raisons pour lesquelles des équipes gagnent. C’est une discipline, un travail au quotidien, c’est une culture »
Sur les prochaines étapes :
Il faut continuer, ne pas se reposer sur nos lauriers. On va perdre la moitié de notre équipe. Il va falloir commencer à réfléchir. On sait que l’Académie, c’est une grosse base pour nous. Nos jeunes ont été champions de France espoirs, on veut construire sur ça. Il y en a trois à qui on a donné des contrats professionnels. On a une identité forte avec notre Académie. Bien sûr que l’on veut être une bonne locomotive et tirer le basket français vers le haut. Il y a encore plein de choses où l’on peut progresser. On va continuer à travailler dur (…) J’ai été des deux côtés : j’ai été joueur, je suis maintenant président et je suis dans tous les conseils d’administration, dans tous les boards. Si j’ai investi autant d’argent et que je passe autant de temps, jeunes, basket masculin, basket féminin, tout, c’est pour tirer le basket français vers le haut, que l’on soit reconnu en Europe. Si les gens n’arrivent pas à comprendre ça, je ne sais pas ce que je peux faire d’autre. Mon intérêt, c’est que le basket français soit en bonne santé, que l’on ait des contrats TV, que l’on arrive à fidéliser nos partenaires dans toute la France. Je suis content que Monaco soit en Euroleague et j’espère que l’on en aura trois. Strasbourg travaille très dur pour y arriver, il y a peut-être un projet parisien. Monaco, ça va leur donner des idées quand ils vont venir avec nous l’année prochaine. L’Euroleague, c’est quand même la deuxième meilleure ligue du monde. Et nous, l’ASVEL, on essaye d’être une bonne locomotive et de tirer tout le monde vers le haut (…) Il y a des raisons pour lesquelles des équipes gagnent. C’est une discipline, un travail au quotidien, c’est une culture. Et nous, cette culture, on la cultive tous les jours dans notre club. Cet esprit famille et d’être exigeants avec nous-mêmes. On travaille tellement dur, on mérite. On essaye aussi de prendre des joueurs qui ont la culture de la gagne. Si tu viens à l’ASVEL, on va être exigeant avec toi, on va te coacher parce que nous, on veut gagner des titres. On a des joueurs qui cultivent ça tous les jours et qui montrent le bon exemple pour nos jeunes. Norris Cole, très bon exemple, Antoine Diot, David Lighty. Des joueurs primordiaux quand tu veux gagner des titres. J’ai déjà reçu un texto de Jean-Michel Aulas, qui me dit « il faut absolument garder David Lighty. » Oui, oui, je sais (rires !).
QUELQUES DECLARATIONS :
David Lighty, joueur de LDLC ASVEL
« On savait que défensivement, il fallait stopper Axel Julien et David Holston. On avait tous un bon rythme, on a suivi le plan de jeu et ça a marché pour nous. Tous mes titres de champions de France sont importants. C’est marrant, ma première année à Nanterre, je finis MVP en marquant 21 points également en finale. Gagner 4 titres de champion de France sur 7 possibles, ca veut dire beaucoup pour moi «
Antoine Diot, joueur de LDLC ASVEL
« C’est une ligne qui manquait à mon palmarès. Ce groupe a montré énormément de caractère sur cette fin de saison. On a répondu, collectivement, présent et c’est grâce à ça qu’on gagne ce soir. Ce titre représente beaucoup. C’est l’aboutissement du travail de toute la saison «
Laurent Legname, coach JDA Dijon
« On savait que pour espérer gagner ce genre de match, il fallait que tout le monde soit à son meilleur niveau. Avec notre effectif restreint, on voit vite la différence quand nos joueurs leaders ne sont pas à leur meilleur niveau. Malgré ça, on était plutôt bien dans le match. On perd le match sur les 4 min avant la mi-temps, où malheureusement on oublie les fondamentaux défensifs. Défensivement on a manqué de jus. On a fait beaucoup trop d’erreurs. Je félicite l’ASVEL pour son titre. J’ai un petit clin d’œil à Paul Lacombe, qui mérite ce titre. Après avoir perdu plusieurs finales, je suis content pour ce joueur talentueux, qui a un état d’esprit remarquable. »
Jacques Alingue, joueur de la JDA Dijon
« Oui nous avons été mis en difficulté. Notre jeu est basé sur David et Axel, ce sont eux les 2 principaux créateurs. Ils ont été très très bien coupés et défendus. Ils avaient toujours deux joueurs sur eux, donc ça a été très compliqué pour nous de jouer notre jeu habituel. Tout le monde a essayé de donner son maximum jusqu’au bout. Ce n’est pas sur cette défaite qu’on va résumer notre saison. Malgré l’absence des internationaux, l’ASVEL a très bien géré son match. »
RESULTATS FINAL FOUR :
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Sur la victoire :
J’ai beaucoup de fierté et je suis vraiment, vraiment content pour le club, pour tout le monde. Il y a eu un travail monstrueux pendant toute l’année, ce fut une longue, longue saison. De terminer avec un doublé (NDLR : Coupe de France et championnat) et de la façon dont ça a été fait -parce qu’il nous manquait pas mal de joueurs, la moitié de l’équipe-, ça a montré la force collective et comment on construit nos équipes. Tout le monde peut apporter. Sur ce Final Four, on a montré du caractère. Félicitations à Dijon pour une saison incroyable, mais sûr ce match-là, notre équipe a vraiment montré beaucoup de caractère, et l’expérience a aussi aidé.
Sur le 3e titre en tant que propriétaire :
C’est très difficile de gagner un titre, et celui-là était dur à aller chercher. Toute la saison d’Euroleague a été très longue. Après, on a dû enchainer pendant deux mois avec beaucoup de matches du championnat de France. Ce titre est vraiment spécial. En plus, c’est le 20e titre pour le club, et en plus la 10e Coupe de France, la même année, c’est encore un doublé historique, comme en 2019. On est à Rouen, à la maison, il y a tous mes amis d’enfance, mes coaches de benjamins, minimes, tout le monde était là. Je suis content aussi pour Paul Lacombe. Lorsque je l’ai recruté, je lui ai dit que s’il voulait gagner un titre, il fallait venir à l’ASVEL. Il y a des raisons qui font que des équipes gagnent des titres. Je suis vraiment content pour lui car je sais que ça lui tenait à cœur. Antoine (Diot) n’avait jamais gagné un titre (NDLR : de champion de France), et ils sont tous venus pour ça. Je suis bien sûr content pour mon frère, pour l’aventure humaine avec la famille, et pour tous ceux qui nous soutiennent. Et il y a tellement de gens qui nous soutiennent dans ce projet. On travaille tellement dur, on est tellement passionné. Je voulais tellement que cette équipe gagne un titre, que l’on se rappelle d’elle, parce qu’ils ont été monstrueux en Euroleague cette année. Faire six victoires d’affilée, c’est très rare. Ce n’est pas tous les jours que l’on aura des Moustapha Fall, des Thomas Heurtel, qui viennent nous aider dans le championnat français. On se rappellera de cette équipe 2021. Et puis nous et les journalistes, on pourra s’amuser à se dire : quelle est la meilleure équipe de l’ASVEL de tous les temps ? Quand on a commencé la saison,
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Photo d’ouverture: Tony Parker et son frère TJ(LNB)
", "comment_id":"555388", "plaintext":"Tony Parker était au milieu de ses troupes à la Kindarena de Rouen pour son troisième titre de champion de France, en tant que président/propriétaire après ceux de 2016 et 2019. Voici ses réflexions d’après finale.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nSur la victoire :\n\nJ’ai beaucoup de fierté et je suis vraiment, vraiment content pour le club, pour tout le monde. Il y a eu un travail monstrueux pendant toute l’année, ce fut une longue, longue saison. De terminer avec un doublé (NDLR : Coupe de France et championnat) et de la façon dont ça a été fait -parce qu’il nous manquait pas mal de joueurs, la moitié de l’équipe-, ça a montré la force collective et comment on construit nos équipes. Tout le monde peut apporter. Sur ce Final Four, on a montré du caractère. Félicitations à Dijon pour une saison incroyable, mais sûr ce match-là, notre équipe a vraiment montré beaucoup de caractère, et l’expérience a aussi aidé.\n\nSur le 3e titre en tant que propriétaire :\n\nC’est très difficile de gagner un titre, et celui-là était dur à aller chercher. Toute la saison d’Euroleague a été très longue. Après, on a dû enchainer pendant deux mois avec beaucoup de matches du championnat de France. Ce titre est vraiment spécial. En plus, c’est le 20e titre pour le club, et en plus la 10e Coupe de France, la même année, c’est encore un doublé historique, comme en 2019. On est à Rouen, à la maison, il y a tous mes amis d’enfance, mes coaches de benjamins, minimes, tout le monde était là. Je suis content aussi pour Paul Lacombe. Lorsque je l’ai recruté, je lui ai dit que s’il voulait gagner un titre, il fallait venir à l’ASVEL. Il y a des raisons qui font que des équipes gagnent des titres. Je suis vraiment content pour lui car je sais que ça lui tenait à cœur. Antoine (Diot) n’avait jamais gagné un titre (NDLR : de champion de France), et ils sont tous venus pour ça. Je suis bien sûr content pour mon frère, pour l’aventure humaine avec la famille, et pour tous ceux qui nous soutiennent. Et il y a tellement de gens qui nous soutiennent dans ce projet. On travaille tellement dur, on est tellement passionné. Je voulais tellement que cette équipe gagne un titre, que l’on se rappelle d’elle, parce qu’ils ont été monstrueux en Euroleague cette année. Faire six victoires d’affilée, c’est très rare. Ce n’est pas tous les jours que l’on aura des Moustapha Fall, des Thomas Heurtel, qui viennent nous aider dans le championnat français. On se rappellera de cette équipe 2021. Et puis nous et les journalistes, on pourra s’amuser à se dire : quelle est la meilleure équipe de l’ASVEL de tous les temps ? Quand on a commencé la saison, on disait que l’on avait la plus grosse équipe, mais je disais que tant que tu n’as pas gagné un titre, tu ne peux pas la comparer avec les autres. Maintenant, on va pouvoir commencer à s’amuser… Chacun des trois titres est différent. 2016, c’est le premier et c’est toujours spécial, surtout dans les circonstances dans lesquelles c’est arrivé. On perdait 2-0 et on fait un comeback de malade. 2019, pareil, c’était le doublé et ça faisait longtemps qu’on en avait fait un à l’ASVEL. En plus, on gagne au Game 5 à domicile devant notre public, et on gagne aussi avec les filles au Game 5. Et 2021 restera très spécial pour toutes les raisons que je vous ai évoqués.\n\n« J’aimerais bien garder tout le monde, mais on est un peu victimes de notre propre succès »\n\nSur le 1er titre de son frère TJ comme coach :\n\nÇa m’a fait chaud au cœur de le voir pleurer à la fin du match. En tant que grand frère, je sais par quoi il est passé, comment ça a été dur toute la saison. Ce n’est pas facile d’être le frère. Et en début de saison, il y avait le Covid. On commence par un 1-6 en Euroleague et toutes les critiques arrivent. « Il faut le virer », tout ça. Lui, il prend tout ça, il emmagasine tout ça. On l’a tous soutenu, sa famille, ses amis, tout le club, à commencer par Gaétan (NDLR : Muller, le président délégué). Moi, je crois en lui, dans le jeu qu’il propose. Le jeu qu’il a proposé sur le Final Four, c’est encore plus révélateur que lorsqu’on avait tout le monde. Il a été vraiment fort tactiquement. Défensivement, on a vu ce soir les choix qu’il a fait. Je suis juste fier et content pour lui. Il le mérite car il travaille très dur, c’est toujours le premier arrivé à l’entraînement et le dernier à partir. Il a vraiment envie de réussir. Je dis toujours que le travail, ça paie, et sur ce Final Four, il a vraiment prouvé.\n\nSur la saison prochaine :\n\nIl va falloir se concentrer sur la saison prochaine, et ça ne va pas être facile. On va essayer de tout faire pour garder David Lighty. Je sais qu’il y a beaucoup de rumeurs qui tourne autour de lui (NDLR : il est annoncé à Olympiakos). En plus, il ne m’arrange pas l’affaire en étant MVP ce soir (rires). Ça va être difficile de le garder mais on va essayer de tout faire. Moustapha Fall a été incroyable cette saison pour nous. Il a crû en nous, en notre projet, et il a fait une grosse saison, meilleur pivot et meilleur défenseur du championnat. Je suis très content pour lui qu’il parte à Olympiakos. Guerschon Yabusele aussi, incroyable. Il nous a fait confiance, et je suis très content qu’il signe au Real Madrid. Tout le reste, on va voir. Il va falloir que l’on manage le budget car il va vraiment baisser, par rapport à ce qui se passe avec l’OL, le fait que l’on n’ait pas la Champions League, le fait aussi que l’on doit payer un gros fees à l’Euroleague. D’un côté, on est super contents d’être en Euroleague pour les dix prochaines années, mais il y a un gros franchise fees à payer. Il va falloir être malin et intelligent dans le recrutement, faire des choix. Ce n’est jamais facile. J’aimerais bien garder tout le monde, mais on est un peu victimes de notre propre succès. On a fait une grosse saison en Euroleague avec six victoires d’affilée, le record pour un club français, des joueurs ont été performants. Si on fait de bonnes saisons, la moitié de l’équipe va partir. Il va falloir être fort au recrutement avec Nico Batum et François (Lamy). On va travailler dur pour essayer de trouver les joueurs qu’il faut pour construire une équipe en championnat de France pour défendre le titre, et encore faire une bonne saison en Euroleague (…) Ça va être un choix de diminuer le nombre de joueurs et de se concentrer sur un top 10 et de mettre nos jeunes de 10 à 15. On est déjà l’équipe d’Euroleague qui fait jouer le plus nos joueurs locaux. Il faut que l’on lance nos jeunes. Je crois beaucoup au basket français. On est quand même le pays le plus représenté en NBA (NDLR : derrière le Canada), on a un talent incroyable ici. TJ est dans cette mentalité-là et c’est très important d’avoir un coach qui respecte les jeunes, le plan de l’Académie, la vision sur le long terme. C’est pour ça que l’on a donné trois contrats à nos jeunes. On va continuer dans ce sens-là avec nos clubs satellites, continuer de faire grandir les jeunes formés chez nous.\n\nSur la venue de Victor Wembanyama à Villeurbanne :\n\nJ’espère ! Les discussions se passent bien, mais pour l’instant, il n’y a rien d’officiel.\n\n« Il y a des raisons pour lesquelles des équipes gagnent. C’est une discipline, un travail au quotidien, c’est une culture »\n\nSur les prochaines étapes :\n\nIl faut continuer, ne pas se reposer sur nos lauriers. On va perdre la moitié de notre équipe. Il va falloir commencer à réfléchir. On sait que l’Académie, c’est une grosse base pour nous. Nos jeunes ont été champions de France espoirs, on veut construire sur ça. Il y en a trois à qui on a donné des contrats professionnels. On a une identité forte avec notre Académie. Bien sûr que l’on veut être une bonne locomotive et tirer le basket français vers le haut. Il y a encore plein de choses où l’on peut progresser. On va continuer à travailler dur (…) J’ai été des deux côtés : j’ai été joueur, je suis maintenant président et je suis dans tous les conseils d’administration, dans tous les boards. Si j’ai investi autant d’argent et que je passe autant de temps, jeunes, basket masculin, basket féminin, tout, c’est pour tirer le basket français vers le haut, que l’on soit reconnu en Europe. Si les gens n’arrivent pas à comprendre ça, je ne sais pas ce que je peux faire d’autre. Mon intérêt, c’est que le basket français soit en bonne santé, que l’on ait des contrats TV, que l’on arrive à fidéliser nos partenaires dans toute la France. Je suis content que Monaco soit en Euroleague et j’espère que l’on en aura trois. Strasbourg travaille très dur pour y arriver, il y a peut-être un projet parisien. Monaco, ça va leur donner des idées quand ils vont venir avec nous l’année prochaine. L’Euroleague, c’est quand même la deuxième meilleure ligue du monde. Et nous, l’ASVEL, on essaye d’être une bonne locomotive et de tirer tout le monde vers le haut (…) Il y a des raisons pour lesquelles des équipes gagnent. C’est une discipline, un travail au quotidien, c’est une culture. Et nous, cette culture, on la cultive tous les jours dans notre club. Cet esprit famille et d’être exigeants avec nous-mêmes. On travaille tellement dur, on mérite. On essaye aussi de prendre des joueurs qui ont la culture de la gagne. Si tu viens à l’ASVEL, on va être exigeant avec toi, on va te coacher parce que nous, on veut gagner des titres. On a des joueurs qui cultivent ça tous les jours et qui montrent le bon exemple pour nos jeunes. Norris Cole, très bon exemple, Antoine Diot, David Lighty. Des joueurs primordiaux quand tu veux gagner des titres. J’ai déjà reçu un texto de Jean-Michel Aulas, qui me dit « il faut absolument garder David Lighty. » Oui, oui, je sais (rires !).\n\nQUELQUES DECLARATIONS :\n\nDavid Lighty, joueur de LDLC ASVEL\n\n« On savait que défensivement, il fallait stopper Axel Julien et David Holston. On avait tous un bon rythme, on a suivi le plan de jeu et ça a marché pour nous. Tous mes titres de champions de France sont importants. C’est marrant, ma première année à Nanterre, je finis MVP en marquant 21 points également en finale. Gagner 4 titres de champion de France sur 7 possibles, ca veut dire beaucoup pour moi «\n\nAntoine Diot, joueur de LDLC ASVEL\n\n« C’est une ligne qui manquait à mon palmarès. Ce groupe a montré énormément de caractère sur cette fin de saison. On a répondu, collectivement, présent et c’est grâce à ça qu’on gagne ce soir. Ce titre représente beaucoup. C’est l’aboutissement du travail de toute la saison «\n\nLaurent Legname, coach JDA Dijon\n\n« On savait que pour espérer gagner ce genre de match, il fallait que tout le monde soit à son meilleur niveau. Avec notre effectif restreint, on voit vite la différence quand nos joueurs leaders ne sont pas à leur meilleur niveau. Malgré ça, on était plutôt bien dans le match. On perd le match sur les 4 min avant la mi-temps, où malheureusement on oublie les fondamentaux défensifs. Défensivement on a manqué de jus. On a fait beaucoup trop d’erreurs. Je félicite l’ASVEL pour son titre. J’ai un petit clin d’œil à Paul Lacombe, qui mérite ce titre. Après avoir perdu plusieurs finales, je suis content pour ce joueur talentueux, qui a un état d’esprit remarquable. »\n\nJacques Alingue, joueur de la JDA Dijon\n\n« Oui nous avons été mis en difficulté. Notre jeu est basé sur David et Axel, ce sont eux les 2 principaux créateurs. Ils ont été très très bien coupés et défendus. Ils avaient toujours deux joueurs sur eux, donc ça a été très compliqué pour nous de jouer notre jeu habituel. Tout le monde a essayé de donner son maximum jusqu’au bout. Ce n’est pas sur cette défaite qu’on va résumer notre saison. Malgré l’absence des internationaux, l’ASVEL a très bien géré son match. »\n\nRESULTATS FINAL FOUR :\n\n * Jeudi 24 Juin :\n * 15h30: JDA Dijon / AS Monaco Basket : 79 – 68\n * 21h: LDLC ASVEL / SIG Strasbourg: 83 – 67\n\n * Samedi 26 Juin : \n * 13H40: JDA Dijon / LDLC ASVEL: 74-87\n\n\nTop 5 des clubs les plus titrés dans le championnat de France\n\n1️⃣ ASVEL 20 🏆\n2️⃣ Limoges 11 🏆\n3️⃣ Pau-Orthez 9 🏆\n4️⃣ Mulhouse 7 🏆\n5️⃣ Le Mans 5 🏆\n\n— Basket le Mag (@basketlemag) June 26, 2021\n\n\nx\n\n[armelse]\n\nSur la victoire :\n\nJ’ai beaucoup de fierté et je suis vraiment, vraiment content pour le club, pour tout le monde. Il y a eu un travail monstrueux pendant toute l’année, ce fut une longue, longue saison. De terminer avec un doublé (NDLR : Coupe de France et championnat) et de la façon dont ça a été fait -parce qu’il nous manquait pas mal de joueurs, la moitié de l’équipe-, ça a montré la force collective et comment on construit nos équipes. Tout le monde peut apporter. 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« L’arrière Bria Hartley est sur le point de disputer son premier match depuis une opération majeure au genou en septembre. Son retour, sera peut-être effectif pour les six derniers matchs de la saison régulière à partir du 4 septembre, ce qui permettra pour la première fois au Mercury d’avoir son roster de 11 joueuses prévu lors de la pré-saison. »
La Franco-Américaine s’était fait opérer du genou en septembre, et sa rééducation a été très longue. Elle n’a pas pu ainsi prendre part à l’EuroBasket et aux JO de Tokyo, laissant la place de « naturalisée » -au sens FIBA du terme- à Gabby Williams. Elle est apparue sur la feuille de marque du Mercury face au Chicago Sky, mais sans entrer en jeu.
Sixième de la saison régulière, le Mercury est déjà assuré de faire les playoffs.
Photo: Mercury
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Valérie Garnier sera restée 8 ans à la tête des Bleues, pour un bilan de 101 victoires et 32 défaites (75,9%). Elle a remporté cinq médailles internationales depuis sa prise de fonction le 27 août 2013, un record.
Jean-Pierre Siutat – Président de la Fédération :
« Depuis sa prise de fonction en 2013, Valérie Garnier a remporté cinq médailles internationales, faisant en sorte que l’Equipe de France se maintienne au plus haut niveau tout en intégrant des jeunes joueuses au fil des compétitions, une condition indispensable pour assurer la continuité des bons résultats au niveau international. Un équilibre difficile qu’elle a pourtant su trouver et qui a permis à la France de terminer sur le podium des Jeux Olympiques de Tokyo. Je souhaite très sincèrement, de la part de notre grande famille fédérale, féliciter et remercier Valérie pour ces résultats dans le plus haut niveau de constance, ce palmarès exceptionnel et cet investissement et loyauté sans faille au basket français. Nos chemins se séparent aujourd’hui afin de donner une nouvelle dynamique à l’équipe nationale, alors que Paris 2024 se profile à l’horizon. L’Equipe de France demeure plus que jamais ambitieuse et cherchera à décrocher un titre qui lui échappe depuis 2009. Je remercie Valérie pour tout et lui souhaite le meilleur pour la suite de sa carrière. »
Alain Contensoux – Directeur Technique National :
« Le choix a été fait aujourd’hui de donner une nouvelle direction à l’Equipe de France féminine, qui débutera prochainement les qualifications pour l’EuroBasket 2023 et la Coupe du Monde 2022. Les Bleues ont fait preuve d’une remarquable régularité dans la performance depuis près de dix ans et la FFBB est persuadée de la capacité de l’Equipe de France à franchir encore un palier dans l’excellence. Si Valérie Garnier ne sera plus à la tête de l’Equipe de France, nous souhaitons réfléchir à lui confier des missions au sein de la FFBB afin de continuer à profiter de son expertise et de sa capacité à transmettre. »
Photo: FFBB
", "comment_id":"563832", "plaintext":"Valérie Garnier, 56 ans, double médaillée cet été au Championnat d’Europe et aux Jeux Olympiques, ne sera plus la coach des Bleues pour les prochaines compétitions internationales.\n\nLa FFBB mène actuellement une réflexion autour de la nouvelle constitution du staff technique de l’Equipe de France, en concertation avec le Directeur Technique National, Alain Contensoux, le Directeur de la Performance et des Equipes de France, Jacques Commères et la General Manager, Céline Dumerc.\n\n« Toutes les pistes seront étudiées afin de garantir les résultats de l’Equipe de France féminine dans les compétitions à venir et maintenir son statut au plus haut-niveau international, notamment dans la perspective des Jeux Olympiques de Paris en 2024 et Los Angeles en 2028 », est-il mentionné dans un communiqué.\n\nValérie Garnier sera restée 8 ans à la tête des Bleues, pour un bilan de 101 victoires et 32 défaites (75,9%). Elle a remporté cinq médailles internationales depuis sa prise de fonction le 27 août 2013, un record.\n\nJean-Pierre Siutat – Président de la Fédération :\n\n« Depuis sa prise de fonction en 2013, Valérie Garnier a remporté cinq médailles internationales, faisant en sorte que l’Equipe de France se maintienne au plus haut niveau tout en intégrant des jeunes joueuses au fil des compétitions, une condition indispensable pour assurer la continuité des bons résultats au niveau international. Un équilibre difficile qu’elle a pourtant su trouver et qui a permis à la France de terminer sur le podium des Jeux Olympiques de Tokyo. Je souhaite très sincèrement, de la part de notre grande famille fédérale, féliciter et remercier Valérie pour ces résultats dans le plus haut niveau de constance, ce palmarès exceptionnel et cet investissement et loyauté sans faille au basket français. Nos chemins se séparent aujourd’hui afin de donner une nouvelle dynamique à l’équipe nationale, alors que Paris 2024 se profile à l’horizon. L’Equipe de France demeure plus que jamais ambitieuse et cherchera à décrocher un titre qui lui échappe depuis 2009. Je remercie Valérie pour tout et lui souhaite le meilleur pour la suite de sa carrière. »\n\nAlain Contensoux – Directeur Technique National :\n\n« Le choix a été fait aujourd’hui de donner une nouvelle direction à l’Equipe de France féminine, qui débutera prochainement les qualifications pour l’EuroBasket 2023 et la Coupe du Monde 2022. Les Bleues ont fait preuve d’une remarquable régularité dans la performance depuis près de dix ans et la FFBB est persuadée de la capacité de l’Equipe de France à franchir encore un palier dans l’excellence. 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Photo: Nanterre 92
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Aussi, l’Américain s’entraîne avec l’équipe B et il a joué en amical contre Samara, marquant 5 points et prenant 2 rebonds.
Combien de temps va durer le bras de fer, sachant que Mike James est sous contrat avec le club de l’Armée jusqu’en 2023 ?
Photo: CSKA
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Né à Déville-lès-Rouen, Michel Veyronnet a passé quasiment 40 ans au SPO Rouen devenu RMB, avec qui il a été champion de France en N3, N2, N1 puis accédé à la Pro A, avec un Trophée de Meilleur Entraîneur de Pro B en 2008. Il a fait aussi un intermède tout près, à l’ALM Evreux, et il est devenu ensuite manager du RMB.
C’est à l’occasion de la tenue du Final 4 de la Jeep Elite à la Kindarena, fin juin, que le président de l’ASVEL, Tony Parker, lui a proposé de remplacer François Lamy, qui quittait le club pour rejoindre le Zalgiris Kaunas et en devenir le general manager adjoint.
« J’étais un peu surpris dans un premier temps, mais aussi extrêmement flatté. On ne peut qu’être fier quand quelqu’un comme Tony Parker vous offre un poste à responsabilité dans son club, au sein de son projet (…) On a une relation ancienne, faite d’amitié mais aussi de beaucoup de respect. C’est vraiment une personne incroyable. Il dit ce qu’il fait et il fait ce qu’il dit (…) Je pense que s’il s’est adressé à moi, c’est peut-être qu’au-delà de mes compétences, il a une grande confiance en moi. Il sait que je serai quelqu’un de déterminé, fidèle, et attaché à faire en sorte que tout se passe pour le mieux dans l’environnement qui est le sien. »
Michel Veyronnet est en poste à l’ASVEL depuis le 1er août, en sorte qu’il n’a pas participé à la construction de l’équipe villeurbannaise pour cette saison.
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On ne peut qu’être fier quand quelqu’un comme Tony Parker vous offre un poste à responsabilité dans son club, au sein de son projet (…) On a une relation ancienne, faite d’amitié mais aussi de beaucoup de respect. C’est vraiment une personne incroyable. Il dit ce qu’il fait et il fait ce qu’il dit (…) Je pense que s’il s’est adressé à moi, c’est peut-être qu’au-delà de mes compétences, il a une grande confiance en moi. 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Comme depuis le début du tournoi, le pivot du Real Madrid, Walter ‘Edy’ Tavares, a joué un rôle déterminant pour aider son équipe à se hisser dans le dernier carré de la compétition continentale -une première depuis 2007-, grâce à un succès 79-71 contre l’Ouganda. Tavares a dominé des deux côtés du terrain, finissant avec 23 points, 15 rebonds (son troisième double-double en quatre matchs), 4 passes et 5 contres.
L’arrière-shooteur Jeff Xavier, qui a passé la plupart du temps à la mène, a probablement disputé l’un de ses meilleurs matchs sous le maillot capverdien avec 16 points, 9 rebonds et 8 assists. Mais la victoire du Cap-Vert n’est pas que le fruit des prestations de Tavares et Xavier. Tous les membres de l’équipe ont apporté leur contribution, notamment Joel Almeida, auteur de paniers à trois points incroyables pour un total de 17 points, avec en plus 7 rebonds.
Parfois, le Cap-Vert a été maladroit avec le ballon, le perdant à 22 reprises, mais l’Ouganda n’a pas su en profiter, surtout à cause de l’agressivité défensive de Tavares pour protéger le panier. Ishmail Wainright et Arthur Kaluma – les seuls Ougandais à avoir inscrit au moins 10 points – ont fini la rencontre avec respectivement 13 et 21 points.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/images.fiba.com/Graphic/D/8/1/8/dskxmkgu-0gyg_hitmknda.jpg\")
Photo : Walter ‘Edy’ Tavares (FIBA)
La Tunisie s’est montrée impitoyable avec le Soudan du Sud, néophyte dans le tournoi. Elle a même compté 21 points d’avance à un moment de la partie, s’imposant finalement 80-65. Quatre joueurs du 5 majeur de la Tunisie – Omar Abada, Salah Mejri, Makram Ben Romdhane et Michael Roll – ont combiné leurs efforts en attaque pour inscrire 68 points. Le Soudan du Sud, pour sa part, a eu besoin de son banc pour ne pas complètement craquer et celui-ci a répondu présent en scorant 34 points, soit plus de la moitié de ceux de l’équipe.
Le coach de la Tunisie Dirk Bauermann a déclaré au sujet du Soudan du Sud :
« J’ai été très impressionné par cette jeune équipe sud-soudanaise. Elle a fait un formidable travail. Elle incarne vraiment la version la plus moderne du basket. »
Les deux demi-finales, Cap-Vert vs Tunisie et Côte d’Ivoire vs Sénéga, se joueront demain samedi.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/afrobasket.jpg\")
Photo: Salah Mejri (Tunisie, FIBA)
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Tous les membres de l’équipe ont apporté leur contribution, notamment Joel Almeida, auteur de paniers à trois points incroyables pour un total de 17 points, avec en plus 7 rebonds.\n\nParfois, le Cap-Vert a été maladroit avec le ballon, le perdant à 22 reprises, mais l’Ouganda n’a pas su en profiter, surtout à cause de l’agressivité défensive de Tavares pour protéger le panier. Ishmail Wainright et Arthur Kaluma – les seuls Ougandais à avoir inscrit au moins 10 points – ont fini la rencontre avec respectivement 13 et 21 points.\n\nPhoto : Walter ‘Edy’ Tavares (FIBA)\n\nLa Tunisie s’est montrée impitoyable avec le Soudan du Sud, néophyte dans le tournoi. Elle a même compté 21 points d’avance à un moment de la partie, s’imposant finalement 80-65. Quatre joueurs du 5 majeur de la Tunisie – Omar Abada, Salah Mejri, Makram Ben Romdhane et Michael Roll – ont combiné leurs efforts en attaque pour inscrire 68 points. Le Soudan du Sud, pour sa part, a eu besoin de son banc pour ne pas complètement craquer et celui-ci a répondu présent en scorant 34 points, soit plus de la moitié de ceux de l’équipe.\n\nLe coach de la Tunisie Dirk Bauermann a déclaré au sujet du Soudan du Sud :\n\n« J’ai été très impressionné par cette jeune équipe sud-soudanaise. Elle a fait un formidable travail. 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« L’un des domaines clés, c’est que Rick Pitino soit notre consultant pour l’académie des jeunes afin de nous aider à développer et à mettre en œuvre un programme de développement des compétences des joueurs. Il est le meilleur développeur de compétences sur la planète, témoin le fait que peu importe où il est et quels joueurs il a, ils ont tendance à jouer à un niveau beaucoup plus élevé que ce que les gens pensent. En fait, nous avions l’intention d’avoir l’université d’Iona pour un match ou deux en France, mais cela est devenu problématique sur le plan logistique car le voyage était initialement prévu en Grèce. »
. »Pour l’équipe de basket-ball, notre objectif principal est d’améliorer nos performances et notre classement de la saison dernière. Deuxièmement, à partir de maintenant, nous voulons pouvoir être dans la chasse au championnat de France. Troisièmement, notre objectif le plus élevé est d’avoir une équipe participant aux compétitions européennes : Champions League, EuroCup, EuroLeague, le plus haut niveau que nous puissions atteindre. »
« Je ne veux pas parler de chiffres précis, mais à titre d’exemple, cette année, notre budget a considérablement augmenté par rapport à l’année dernière. De ce fait, nous pourrions attirer plus de joueurs de qualité dans le club, ce qui, nous l’espérons, se traduira par de meilleures performances au cours de la saison. »
« Nous voulons utiliser la crypto-monnaie comme un mécanisme pour non seulement engager les fans, mais leur offrir la possibilité d’avoir la propriété (du club). Les fans de Pau sont très fidèles et enthousiastes, mais en leur donnant la propriété partielle de l’équipe, nous pensons qu’ils augmenteront leur niveau d’investissement émotionnel et pratique vis à vis du club. Après avoir éliminé les obstacles réglementaires dans le pays, nous espérons émettre des jetons d’ici cette année civile ou au début de l’année prochaine. Jusqu’à quel pourcentage, nous ne savons pas seulement encore ».
Avant d’investir dans l’Elan Béarnais, le groupe a eu des « discussions exhaustives avec de nombreuses personnes, y compris des équipes de l’EuroLeague, de l’EuroCup et de la Basketball Champions League pour simplement apprendre et écouter comment aborder notre projet avec nos meilleurs atouts. »
« (…) Alors qu’aujourd’hui on peut dire que l’EuroLeague est fermée, personne ne sait ce que demain réserve. Nous devons commencer à construire maintenant. »
« Les États-Unis ont dominé le basket-ball à l’échelle mondiale pendant de nombreuses décennies, mais si vous regardez vers l’avenir – et les récents Jeux olympiques en sont la preuve – la France est la plus grande menace pour la domination des États-Unis, en raison du grand nombre de joueurs jeunes, athlétiques et qualifiés que compte la France. »
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24 ans – 1,80 m – poste 3/2 – 8 sélections
Carrière aux Etats-Unis
2014-2018 : Connecticut Huskies (NCAA)
2018-2020 : Chicago Sky (WNBA, n°4 de la draft 2018)
Carrière en Europe
2018-2019 : Naples (Italie) et Gérone (Espagne)
2019-2020 : Lattes-Montpellier
2020-2021 : Sopron (Hongrie)
Ses stats à l’EuroBasket (3 matches)
8,0 points à 35,3 % aux tirs, 4,3 rebonds, 1,3 passe décisive pour 10,3 d’évaluation en 21 minutes
Gabby Williams dispute actuellement sa première grande compétition internationale, l’EuroBasket, à Strasbourg. Un accomplissement pour l’Américaine de naissance, Française par sa mère, qui rêve de soulever un premier trophée alors qu’elle a fait l’impasse sur la WNBA pour revêtir le maillot des Bleues.
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De Gabby Williams se dégage une impression de facilité, d’élégance et de fierté. De la fierté, oui, car derrière sous son jeu à l’américaine se cache une vraie reconnaissance de porter le maillot bleu. « Nous aimerions tous la voir faire porter le maillot de l’équipe de France », nous avait confié sa mère, Thérèse, en juillet 2019. Son voeu est exaucé. Surprise de la liste de Valérie Garnier, elle a remplacé Bria Hartley en tant que naturalisée FIBA dans le groupe France. « Quand Valérie a annoncé la liste, j’ai appelé mes proches et tout le monde pleurait. Nous étions si fiers d’accomplir ce qui était en fait un rêve, le fait représenter ce côté de la famille. »
Gabrielle, dit « Gabby » Williams, est Américaine par son père, Matthew, qui fut un bon joueur de basket dans le Nevada et Française par sa mère. Sa grand-mère maternelle est née à Paris. « Je ne me suis jamais sentie Américaine à part entière, martèle l’intéressée. La culture française, c’est la fierté de représenter son pays. On n’a pas ça aux Etats-Unis. » À 14 ans, embarquée par sa grande soeur Kayla, son aînée de 7 ans, elle encrait déjà sur son épaule gauche une maxime écrite dans la langue de Molière et traduite spécialement par sa grand-mère : « Rien ne peut briser notre lien ». Depuis, déjà, elle supporte les Bleues lors des grandes compétitions. Et ce lien si fort la rapproche de ses coéquipières. « C’est vraiment quelqu’un qui a la France en elle. Elle a toujours considéré la France comme son pays. Et en tant qu’amie, ça fait plaisir car je sais qu’elle travaille pour ça. Elle est en train de vivre son rêve et elle en est très heureuse », appuie Diandra Tchatchouang, qui l’a côtoyée à Lattes-Montpellier lors de la saison 2019-2020.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/06/williams-gruda-marine-johannes.jpg\")
C’est donc naturellement que la Franco-Américaine a trouvé ses marques sans tarder dans le groupe malgré une certaine timidité affichée, devant et derrière les caméras. « Elle fait l’unanimité au sein de l’équipe, apprécie la sélectionneuse Valérie Garnier. Son intégration a été très facile et sur le terrain, d’autant plus simple que c’est une joueuse qui correspond à nos valeurs sportives et au plan de jeu des Bleues. » Ce n’est pas étonnant de voir la totalité des joueuses de l’équipe de France interrogées en conférence de presse à son sujet répéter jour après jour le même crédo quant à son implication et sa volonté malgré la nervosité affichée au moment d’arriver dans un groupe où elle ne connaissait personne, ou presque, hormis Alix Duchet et Diandra Tchatchouang. C’est sûr, désormais, l’ailière vit un rêve éveillé, un doux rêve bleu.
Il faut dire que celle qui a dû écorcher quelques mots lors de sa première Marseillaise en compétition officielle jeudi à l’EuroBasket a fait valoir un atout formidable à son arrivée : sa maîtrise de la langue française. « Elle parle bien mieux que ce à quoi on s’attendait », a-t-on entendu à plusieurs reprises. Le fruit de son passage par la France, très exactement à Montpellier, là où elle a rencontré pour la première fois une partie de sa famille avec laquelle elle correspondait depuis son enfance. « Je me sens de plus en plus confiante chaque jour, explique la Franco-Américaine. J’hésite encore pendant les matches mais ça va de mieux en mieux. » Une chose est certaine, à l’applaudimètre, la meilleure défenseuse de l’Euroleague cette saison avec Sopron a déjà conquis le public français, que ce soit à Toulouse et Mulhouse en préparation ou au Rhénus de Strasbourg en compétition.
GABBY WILLIAMS EN BREF
24 ans – 1,80 m – poste 3/2 – 8 sélections
Carrière aux Etats-Unis
2014-2018 : Connecticut Huskies (NCAA)
2018-2020 : Chicago Sky (WNBA, n°4 de la draft 2018)
Carrière en Europe
2018-2019 : Naples (Italie) et Gérone (Espagne)
2019-2020 : Lattes-Montpellier
2020-2021 : Sopron (Hongrie)
Ses stats à l’EuroBasket (3 matches)
8,0 points à 35,3 % aux tirs, 4,3 rebonds, 1,3 passe décisive pour 10,3 d’évaluation en 21 minutes
Draftée en 4e position en 2018 après un cursus dans la meilleure université de basket du XXIe siècle, Connecticut, comme Bria Hartley, la double championne NCAA (2015, 2016) est l’une de ces joueuses prometteuses en WNBA. L’ancienne prodige de saut en hauteur – en 2012, elle sautait déjà à 1,89 m et a détenu le record du monde U15 avant de choisir le basket à la suite de deux blessures coup sur coup aux ligaments croisés – a passé ses trois premières saisons à Chicago où elle a compilé 6,8 points, 3,4 rebonds, 1,9 passe décisive et 1,2 interception en 21 minutes par match. Légitime pour prétendre à un rôle importance dans la suite de sa carrière, dès cet été.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/06/williams-gabby-alena-hanusova-fiba-republique-tche-cc-80que.jpg\")
Pourtant, la joueuse récemment transférée aux Los Angeles Sparks n’a pas douté longtemps lorsqu’il a fallu mettre sa carrière WNBA entre parenthèses. Elle a ainsi fait une croix sur son salaire estival -elle aurait gagné 70 000 dollars aux Los Angeles Sparks, soit 59 000 euros-… mais aussi une notoriété grandissante, alors que la petite star américaine a 71 000 followers sur Instagram, 17 500 abonnés sur Twitter et est par ailleurs très proche de la famille Bryant puisque Gigi l’idolâtrait et que Kobe l’avait prise sous son aile dès 2017. Mais, elle l’a dit et redit à plusieurs reprises, son objectif était de jouer avec les Bleues cet été. Raison pour laquelle elle est suspendue pour la saison actuelle de WNBA (de mai à septembre). « Ce n’est pas un effort pour moi, justifie celle qui rêve de décrocher une médaille d’or pour sa première campagne internationale. Aux Etats-Unis, on ne comprend pas pourquoi j’ai fait ce choix de venir en équipe de France plutôt que de jouer en WNBA. Mais moi, je sais que je voulais être là. » Un choix critiqué outre-Atlantique, présenté comme opportuniste ça et là, mais déjà grandement apprécié par les supporters et ses coéquipières.
Joueuse au profil défensif et athlétique, sa polyvalence lui permet d’évoluer à presque tous les postes, de meneuse à intérieure. De quoi faire de cette athlète hors norme une évidence pour la campagne à venir et de combler les trous… si toutefois il y en a dans cette équipe de France, désormais grande favorite de l’EuroBasket de par son tableau dégagé jusqu’en finale (sans affronter la Serbie, l’Espagne ou la Belgique, les trois autres nations favorites de la compétition). « C’est très important de porter ce maillot, pour moi, pour la fierté de ma famille, poursuit-elle. C’est aussi très important dans ma carrière de pouvoir jouer des compétitions internationales comme l’EuroBasket. Je suis ici pour gagner. »
Très intéressante en préparation pour ses premiers pas en Bleu lors des stages de Toulouse et de Mulhouse, elle est entrée dans l’EuroBasket sans réellement briller. Face à la Croatie et à la République Tchèque, elle a eu du mal à régler la mire (6,5 points à 3/11 aux tirs) mais a affiché de belles attitudes défensives (2 interceptions, 1 contre en ouverture) et au rebond (5,5 prises) ainsi qu’une combativité qui n’est pas à remettre en cause. Contre la Russie, où elle est cette fois-ci sortie du banc, Gabby Williams a pris davantage de responsabilités offensives (11 points à 3/6 aux tirs, 5/5 aux lancers) – notamment en transition où elle excelle – et montré pourquoi elle était reconnue depuis longtemps pour sa détente (voyez plutôt ci-dessus). Prometteur pour la suite de la compétition, mais il faudra débloquer le compteur à 3-points pour redevenir une menace extérieure (0/5 jusqu’ici).
Si tout le groupe France, Gabby Williams compris, est focus sur l’EuroBasket – à juste titre -, la fédération française de basketball (FFBB) a tenté de négocier un statut de Française de naissance pour sa nouvelle protégée. Tentative restée vaine. Jacques Commères, directeur de la performance des équipes de France, a confirmé à L’Équipe que le dossier soumis à la fédération internationale (FIBA) dans l’espoir de faire reconnaître le statut de Française de naissance de Gabby Williams n’a pas abouti, la joueuse ayant fait sa demande de nationalité après ses 16 ans.
Ce qui signifie qu’elle sera en concurrence avec Bria Hartley, qui occupait le poste jusqu’alors, pour la place de naturalisée à Tokyo. L’arrière de Phoenix, touchée aux ligaments croisés depuis août 2020, est en train de terminer sa réathlétisation et sera peut-être opérationnelle pour les JO. Aucun doute que Gabby Williams est d’ores et déjà partante pour le rendez-vous olympique même si elle compte d’abord confirmer son nouveau statut international. Mais, Valérie Garnier a prévenu, c’est un sujet qui sera tranché après l’EuroBasket… « Pour l’heure, nous sommes focus sur le quart de finale, pas plus », rappelle la sélectionneuse. Avec un titre continental en poche, l’équation serait certainement plus facile à résoudre.
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De Gabby Williams se dégage une impression de facilité, d’élégance et de fierté. De la fierté, oui, car derrière sous son jeu à l’américaine se cache une vraie reconnaissance de porter le maillot bleu. « Nous aimerions tous la voir faire porter le maillot de l’équipe de France », nous avait confié sa mère, Thérèse, en juillet 2019. Son voeu est exaucé. Surprise de la liste de Valérie Garnier, elle a remplacé Bria Hartley en tant que naturalisée FIBA dans le groupe France. « Quand Valérie a annoncé la liste, j’ai appelé mes proches et tout le monde pleurait. Nous étions si fiers d’accomplir ce qui était en fait un rêve, le fait représenter ce côté de la famille. »
Gabrielle, dit « Gabby » Williams, est Américaine par son père, Matthew, qui fut un bon joueur de basket dans le Nevada et Française par sa mère. Sa grand-mère maternelle est née à Paris. « Je ne me suis jamais sentie Américaine à part entière, martèle l’intéressée. La culture française, c’est la fierté de représenter son pays. On n’a pas ça aux Etats-Unis. » À 14 ans, embarquée par sa grande soeur Kayla, son aînée de 7 ans, elle encrait déjà sur son épaule gauche une maxime écrite dans la langue de Molière et traduite spécialement par sa grand-mère : « Rien ne peut briser notre lien ». Depuis, déjà, elle supporte les Bleues lors des grandes compétitions. Et ce lien si fort la rapproche de ses coéquipières. « C’est vraiment quelqu’un qui a la France en elle. Elle a toujours considéré la France comme son pays. Et en tant qu’amie, ça fait plaisir car je sais qu’elle travaille pour ça. Elle est en train de vivre son rêve et elle en est très heureuse », appuie Diandra Tchatchouang, qui l’a côtoyée à Lattes-Montpellier lors de la saison 2019-2020.
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Photos : Gabby Williams (FIBA)
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Nous étions si fiers d’accomplir ce qui était en fait un rêve, le fait représenter ce côté de la famille. »\n\nGabrielle, dit « Gabby » Williams, est Américaine par son père, Matthew, qui fut un bon joueur de basket dans le Nevada et Française par sa mère. Sa grand-mère maternelle est née à Paris. « Je ne me suis jamais sentie Américaine à part entière, martèle l’intéressée. La culture française, c’est la fierté de représenter son pays. On n’a pas ça aux Etats-Unis. » À 14 ans, embarquée par sa grande soeur Kayla, son aînée de 7 ans, elle encrait déjà sur son épaule gauche une maxime écrite dans la langue de Molière et traduite spécialement par sa grand-mère : « Rien ne peut briser notre lien ». Depuis, déjà, elle supporte les Bleues lors des grandes compétitions. Et ce lien si fort la rapproche de ses coéquipières. « C’est vraiment quelqu’un qui a la France en elle. Elle a toujours considéré la France comme son pays. Et en tant qu’amie, ça fait plaisir car je sais qu’elle travaille pour ça. Elle est en train de vivre son rêve et elle en est très heureuse », appuie Diandra Tchatchouang, qui l’a côtoyée à Lattes-Montpellier lors de la saison 2019-2020.\n\nRéservée mais intégrée… à l’unanimité\n\nC’est donc naturellement que la Franco-Américaine a trouvé ses marques sans tarder dans le groupe malgré une certaine timidité affichée, devant et derrière les caméras. « Elle fait l’unanimité au sein de l’équipe, apprécie la sélectionneuse Valérie Garnier. Son intégration a été très facile et sur le terrain, d’autant plus simple que c’est une joueuse qui correspond à nos valeurs sportives et au plan de jeu des Bleues. » Ce n’est pas étonnant de voir la totalité des joueuses de l’équipe de France interrogées en conférence de presse à son sujet répéter jour après jour le même crédo quant à son implication et sa volonté malgré la nervosité affichée au moment d’arriver dans un groupe où elle ne connaissait personne, ou presque, hormis Alix Duchet et Diandra Tchatchouang. C’est sûr, désormais, l’ailière vit un rêve éveillé, un doux rêve bleu.\n\nIl faut dire que celle qui a dû écorcher quelques mots lors de sa première Marseillaise en compétition officielle jeudi à l’EuroBasket a fait valoir un atout formidable à son arrivée : sa maîtrise de la langue française. « Elle parle bien mieux que ce à quoi on s’attendait », a-t-on entendu à plusieurs reprises. Le fruit de son passage par la France, très exactement à Montpellier, là où elle a rencontré pour la première fois une partie de sa famille avec laquelle elle correspondait depuis son enfance. « Je me sens de plus en plus confiante chaque jour, explique la Franco-Américaine. J’hésite encore pendant les matches mais ça va de mieux en mieux. » Une chose est certaine, à l’applaudimètre, la meilleure défenseuse de l’Euroleague cette saison avec Sopron a déjà conquis le public français, que ce soit à Toulouse et Mulhouse en préparation ou au Rhénus de Strasbourg en compétition.\n\nGABBY WILLIAMS EN BREF\n24 ans – 1,80 m – poste 3/2 – 8 sélections\nCarrière aux Etats-Unis\n2014-2018 : Connecticut Huskies (NCAA)\n2018-2020 : Chicago Sky (WNBA, n°4 de la draft 2018)\nCarrière en Europe\n2018-2019 : Naples (Italie) et Gérone (Espagne)\n2019-2020 : Lattes-Montpellier\n2020-2021 : Sopron (Hongrie)\nSes stats à l’EuroBasket (3 matches)\n8,0 points à 35,3 % aux tirs, 4,3 rebonds, 1,3 passe décisive pour 10,3 d’évaluation en 21 minutes\n\n« Aux Etats-Unis, on ne comprend pas pourquoi j’ai fait ce choix de venir en équipe de France plutôt que de jouer en WNBA »\n\nDraftée en 4e position en 2018 après un cursus dans la meilleure université de basket du XXIe siècle, Connecticut, comme Bria Hartley, la double championne NCAA (2015, 2016) est l’une de ces joueuses prometteuses en WNBA. L’ancienne prodige de saut en hauteur – en 2012, elle sautait déjà à 1,89 m et a détenu le record du monde U15 avant de choisir le basket à la suite de deux blessures coup sur coup aux ligaments croisés – a passé ses trois premières saisons à Chicago où elle a compilé 6,8 points, 3,4 rebonds, 1,9 passe décisive et 1,2 interception en 21 minutes par match. Légitime pour prétendre à un rôle importance dans la suite de sa carrière, dès cet été.\n\nPourtant, la joueuse récemment transférée aux Los Angeles Sparks n’a pas douté longtemps lorsqu’il a fallu mettre sa carrière WNBA entre parenthèses. Elle a ainsi fait une croix sur son salaire estival -elle aurait gagné 70 000 dollars aux Los Angeles Sparks, soit 59 000 euros-… mais aussi une notoriété grandissante, alors que la petite star américaine a 71 000 followers sur Instagram, 17 500 abonnés sur Twitter et est par ailleurs très proche de la famille Bryant puisque Gigi l’idolâtrait et que Kobe l’avait prise sous son aile dès 2017. Mais, elle l’a dit et redit à plusieurs reprises, son objectif était de jouer avec les Bleues cet été. Raison pour laquelle elle est suspendue pour la saison actuelle de WNBA (de mai à septembre). « Ce n’est pas un effort pour moi, justifie celle qui rêve de décrocher une médaille d’or pour sa première campagne internationale. Aux Etats-Unis, on ne comprend pas pourquoi j’ai fait ce choix de venir en équipe de France plutôt que de jouer en WNBA. Mais moi, je sais que je voulais être là. » Un choix critiqué outre-Atlantique, présenté comme opportuniste ça et là, mais déjà grandement apprécié par les supporters et ses coéquipières.\n\n« Je suis ici pour gagner »\n\nJoueuse au profil défensif et athlétique, sa polyvalence lui permet d’évoluer à presque tous les postes, de meneuse à intérieure. De quoi faire de cette athlète hors norme une évidence pour la campagne à venir et de combler les trous… si toutefois il y en a dans cette équipe de France, désormais grande favorite de l’EuroBasket de par son tableau dégagé jusqu’en finale (sans affronter la Serbie, l’Espagne ou la Belgique, les trois autres nations favorites de la compétition). « C’est très important de porter ce maillot, pour moi, pour la fierté de ma famille, poursuit-elle. C’est aussi très important dans ma carrière de pouvoir jouer des compétitions internationales comme l’EuroBasket. Je suis ici pour gagner. »\n\n\n😤 @gabbywilliams15 always find a way to go to the basket!@FRABasketball 🇫🇷 | #EuroBasketWomen\n\n📺 https://t.co/PtPOp6dbaD pic.twitter.com/CG4NzIIhh9\n\n— FIBA Women's EuroBasket (@EuroBasketWomen) June 20, 2021\n\n\nTrès intéressante en préparation pour ses premiers pas en Bleu lors des stages de Toulouse et de Mulhouse, elle est entrée dans l’EuroBasket sans réellement briller. Face à la Croatie et à la République Tchèque, elle a eu du mal à régler la mire (6,5 points à 3/11 aux tirs) mais a affiché de belles attitudes défensives (2 interceptions, 1 contre en ouverture) et au rebond (5,5 prises) ainsi qu’une combativité qui n’est pas à remettre en cause. Contre la Russie, où elle est cette fois-ci sortie du banc, Gabby Williams a pris davantage de responsabilités offensives (11 points à 3/6 aux tirs, 5/5 aux lancers) – notamment en transition où elle excelle – et montré pourquoi elle était reconnue depuis longtemps pour sa détente (voyez plutôt ci-dessus). Prometteur pour la suite de la compétition, mais il faudra débloquer le compteur à 3-points pour redevenir une menace extérieure (0/5 jusqu’ici).\n\nLes JO en ligne de mire ?\n\nSi tout le groupe France, Gabby Williams compris, est focus sur l’EuroBasket – à juste titre -, la fédération française de basketball (FFBB) a tenté de négocier un statut de Française de naissance pour sa nouvelle protégée. Tentative restée vaine. Jacques Commères, directeur de la performance des équipes de France, a confirmé à L’Équipe que le dossier soumis à la fédération internationale (FIBA) dans l’espoir de faire reconnaître le statut de Française de naissance de Gabby Williams n’a pas abouti, la joueuse ayant fait sa demande de nationalité après ses 16 ans.\n\nCe qui signifie qu’elle sera en concurrence avec Bria Hartley, qui occupait le poste jusqu’alors, pour la place de naturalisée à Tokyo. L’arrière de Phoenix, touchée aux ligaments croisés depuis août 2020, est en train de terminer sa réathlétisation et sera peut-être opérationnelle pour les JO. Aucun doute que Gabby Williams est d’ores et déjà partante pour le rendez-vous olympique même si elle compte d’abord confirmer son nouveau statut international. Mais, Valérie Garnier a prévenu, c’est un sujet qui sera tranché après l’EuroBasket… « Pour l’heure, nous sommes focus sur le quart de finale, pas plus », rappelle la sélectionneuse. Avec un titre continental en poche, l’équation serait certainement plus facile à résoudre.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nDe Gabby Williams se dégage une impression de facilité, d’élégance et de fierté. De la fierté, oui, car derrière sous son jeu à l’américaine se cache une vraie reconnaissance de porter le maillot bleu. « Nous aimerions tous la voir faire porter le maillot de l’équipe de France », nous avait confié sa mère, Thérèse, en juillet 2019. Son voeu est exaucé. Surprise de la liste de Valérie Garnier, elle a remplacé Bria Hartley en tant que naturalisée FIBA dans le groupe France. « Quand Valérie a annoncé la liste, j’ai appelé mes proches et tout le monde pleurait. Nous étions si fiers d’accomplir ce qui était en fait un rêve, le fait représenter ce côté de la famille. »\n\nGabrielle, dit « Gabby » Williams, est Américaine par son père, Matthew, qui fut un bon joueur de basket dans le Nevada et Française par sa mère. Sa grand-mère maternelle est née à Paris. « Je ne me suis jamais sentie Américaine à part entière, martèle l’intéressée. La culture française, c’est la fierté de représenter son pays. On n’a pas ça aux Etats-Unis. » À 14 ans, embarquée par sa grande soeur Kayla, son aînée de 7 ans, elle encrait déjà sur son épaule gauche une maxime écrite dans la langue de Molière et traduite spécialement par sa grand-mère : « Rien ne peut briser notre lien ». Depuis, déjà, elle supporte les Bleues lors des grandes compétitions. Et ce lien si fort la rapproche de ses coéquipières. « C’est vraiment quelqu’un qui a la France en elle. Elle a toujours considéré la France comme son pays. Et en tant qu’amie, ça fait plaisir car je sais qu’elle travaille pour ça. Elle est en train de vivre son rêve et elle en est très heureuse », appuie Diandra Tchatchouang, qui l’a côtoyée à Lattes-Montpellier lors de la saison 2019-2020.\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhotos : Gabby Williams (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/06/williams.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-03T05:00:00.000Z", "updated_at":"2021-08-24T07:24:48.000Z", "published_at":"2021-09-03T05:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Gabby Williams dispute actuellement sa première grande compétition internationale, l’EuroBasket, à Strasbourg. 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Selon Resto del Carlino, la Virtus est prête à faire grève si pour le début de la saison régulière, prévue le 26 septembre, la moitié des salles au moins n’est pas ouverte au public. Le club a lourdement investi avec cette saison la venue de Nico Mannion et du coach Sergio Scariolo, en plus de Milos Teodosic et Marco Belinelli, et il a besoin de public pour amortir le coup financièrement. D’autres clubs sont dans la même position.
« Depuis un certain temps, on parle d’une augmentation possible jusqu’à 50%, mais il n’y a aucun signe à l’horizon et nous ne comprenons pas la raison étant donné que la science dit que ceux qui ont terminé le processus de vaccination ont une très faible chance de s’infecter et être contagieux, c’est pourquoi le club bolognais préfère rester immobile et pas seulement pour un problème économique, » écrit le quotidien.
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« Nous paierons le montant de 70 875 euros selon le verdict et les instructions du BAT », a déclaré le président du Partizan Ostoja Mijailović à Mozartsport. « Dès le début, il était clair que le droit et la justice étaient de notre côté. Ce que nous devons payer, c’est cette partie de la saison perturbée par le Covid. Nous n’avons même pas contesté cela dans la procédure, mais nous ne sommes pas parvenus à un accord à l’amiable, mais uniquement au tribunal. »", "comment_id":"563738", "plaintext":"Le tribunal d’arbitrage de basket-ball (BAT) a ordonné au Partizan Belgrade de verser à son ancien entraîneur Andrea Trinchieri, 53 ans, 70 875 euros sur la base de ses salaires, plus une prime pour avoir atteint les quarts de finale de l’Eurocup. C’est dix fois moins que ce qu’espérait l’Italien qui réclamait 711 600 euros, plus les intérêts et les frais, soit près de 740 000 euros.\n\n« Nous paierons le montant de 70 875 euros selon le verdict et les instructions du BAT », a déclaré le président du Partizan Ostoja Mijailović à Mozartsport. « Dès le début, il était clair que le droit et la justice étaient de notre côté. Ce que nous devons payer, c’est cette partie de la saison perturbée par le Covid. Nous n’avons même pas contesté cela dans la procédure, mais nous ne sommes pas parvenus à un accord à l’amiable, mais uniquement au tribunal. »", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2018/03/andrea-trinchieri-brose-bamberg-eb16-e1520258465964.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-03T04:41:00.000Z", "updated_at":"2021-09-02T12:21:46.000Z", "published_at":"2021-09-03T04:41:00.000Z", "custom_excerpt":"Le tribunal d’arbitrage de basket-ball (BAT) a ordonné au Partizan Belgrade de verser à son ancien entraîneur Andrea Trinchieri, 53 ans, 70 875 euros sur la base de ses salaires, plus une prime pour avoir atteint les quarts de finale de l’Eurocup. C’est dix fois moins que ce qu’espérait l’Italien qu", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99eda", "uuid":"51a1e3f6-2c4a-4f42-b92d-22974da8d1f4", "title":"L’ancienne DG de la LFB, Irène Ottenhof, est désormais DG de la Fédération Française d’Education Physique et Gymnastique Volontaire", "slug":"lancienne-dg-de-la-lfb-irene-ottenhof-est-desormais-dg-de-la-federation-francaise-deducation-physique-et-gymnastique-volontaire", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/Mercato?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’ancienne Directrice Générale de la Ligue Féminine (2012-2019), Irène Ottenhof, est désormais la Directrice Générale Fédération Française d’Education Physique et Gymnastique Volontaire.\"]]],[1,\"p\",[[1,[],0,0],[0,[],0,\"Irène Ottenhoff avait été également Entraîneur des Equipes de France Féminine 3×3 Senior et U18 (2012-16), et après son départ de la FFBB, elle était devenue Directrice Nationale du Water-Polo, un mois DG de Landerneau en LFB, avant d’occuper un poste à la Croix-Rouge.\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
L’ancienne Directrice Générale de la Ligue Féminine (2012-2019), Irène Ottenhof, est désormais la Directrice Générale Fédération Française d’Education Physique et Gymnastique Volontaire.
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Absent des parquets depuis 2017 et son passage à Evreux (Pro B), Laurent Sciarra relance sa carrière de coach dans son club de coeur : Hyères-Toulon.
« Lolo » est de retour à la maison. À peine 48 heures après la démission de Vincent Chetail, le HTV officialisé l’arrivée de Laurent Sciarra sur le banc de son équipe première. Connu notamment pour son franc-parler, le médaillé d’argent à Sydney 2000 avait commencé sa carrière professionnelle en 1989 à Hyères-Toulon. Le meilleur passeur de l’histoire de la Pro A reprend donc les rênes de son équipe de coeur, en Nationale 2.
Passé par le PSG Racing, l’ASVEL, Dijon ou encore Pau-Orthez en tant que joueur, l’international français aux 113 sélections avait lancé sa carrière d’entraîneur à Vichy lors de la saison 2011-2012, avant de connaître des expériences mitigées à Rouen (de 2012 à 2014) et Evreux (2016-2017). Avec Laurent Sciarra, le HTV visera une remontée en Nationale 1, trois ans après avoir quitté le statut professionnel à l’issue de la saison 2017-2018.
Photo : Laurent Sciarra (Sabine De Leest)
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Formé à Chalon-Sur-Saône sous la houlette de Romain Chenaud, le poste 4/3 a évolué l’intégralité de sa carrière en Bourgogne, excepté deux saisons entre 2016 et 2018 à à Blois en Pro B. La saison dernière, il tournait à 5,6 points, 3,4 rebonds pour 7,6 d’évaluation en 18 minutes à Chalon en Jeep Elite.
« Assane Ndoye nous rejoint pour un essai d’un mois et doit nous apporter de la densité physique sur le poste 4-3. Son arrivée va nous permettre de le tester, et d’offrir une rotation sur ces postes pendant un mois chargé. Sur la fin de saison dernière à Chalon-sur-Saône, il a montré qu’avec du temps de jeu, il a de vraies qualités”, explique le directeur sportif Crawford Palmer par communiqué.
Photo : Assane Ndoye (Limoges CSP)
", "comment_id":"563764", "plaintext":"À un mois du début de la saison de Betclic Elite, le Limoges CSP met à l’essai l‘ailier français Assane Ndoye.\n\nPartenaire d’entraînement de l’AS Monaco lors du stage de présaison à Bormio, Assane Ndoye a désormais une porte ouverte à Limoges. Le natif de Nogent-sur-Marne (2,04 m, 25 ans) est mis à l’essai pour un mois par le Cercle Saint-Pierre et partira à Pau pour la Summer League Nouvelle-Aquitaine.\n\nFormé à Chalon-Sur-Saône sous la houlette de Romain Chenaud, le poste 4/3 a évolué l’intégralité de sa carrière en Bourgogne, excepté deux saisons entre 2016 et 2018 à à Blois en Pro B. La saison dernière, il tournait à 5,6 points, 3,4 rebonds pour 7,6 d’évaluation en 18 minutes à Chalon en Jeep Elite.\n\n« Assane Ndoye nous rejoint pour un essai d’un mois et doit nous apporter de la densité physique sur le poste 4-3. Son arrivée va nous permettre de le tester, et d’offrir une rotation sur ces postes pendant un mois chargé. Sur la fin de saison dernière à Chalon-sur-Saône, il a montré qu’avec du temps de jeu, il a de vraies qualités”, explique le directeur sportif Crawford Palmer par communiqué.\n\n\n✍️ Assane Ndoye à l’essai au Limoges CSP\nÀ un mois, du début de la Betclic Elite, le Limoges CSP est heureux de vous annoncer la mise à l’essai de l‘ailier français Assane Ndoye, pour un mois. \nPour lire l'article en intégralité : https://t.co/5Bzo2WpLBO pic.twitter.com/zbY9Mw55k2\n\n— Limoges CSP (@limogescsp) September 2, 2021\n\n\nPhoto : Assane Ndoye (Limoges CSP)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/assane-ndoye-limoges-essai-scaled.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-02T16:44:23.000Z", "updated_at":"2021-09-02T16:44:37.000Z", "published_at":"2021-09-02T16:44:23.000Z", "custom_excerpt":"À un mois du début de la saison de Betclic Elite, le Limoges CSP met à l’essai l‘ailier français Assane Ndoye.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99edd", "uuid":"667acdcd-8f95-48bb-9153-4a0dab6659c4", "title":"Jean-Christophe Prat : « C’est un grand privilège pour le Paris Basketball d’accueillir Kyle O’Quinn »", "slug":"jean-christophe-prat-cest-un-grand-privilege-pour-le-paris-basketball-daccueillir-kyle-oquinn", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/lancien-nbaer-kyle-oquinn-vers-le-paris-basket/\"]],[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"https://parisbasketball.paris/2021/09/from-nba-to-carpentier/\"]]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Après huit saisons en NBA et une du côté de Fenerbahçe, Kyle O’Quinn s’est officiellement engagé pour deux saisons avec le Paris Basketball, promu en Betclic Elite.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un mouvement inattendu qui fait passer le Paris Basket dans une autre dimension. \"],[0,[1],1,\"Comme révélé mercredi soir\"],[0,[],0,\", Kyle O’Quinn (2,06 m, 31 ans), huit saisons NBA au compteur, s’est engagé avec le club de la capitale. 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C’est un grand privilège pour le Paris Basketball d’accueillir Kyle qui, de par son parcours en NBA, son QI basket et aussi ses valeurs humaines, va nous permettre de vivre notre première saison en Betclic Élite avec beaucoup de détermination, sérénité, humilité et d’ambition », explique son futur coach Jean-Christophe Prat \"],[0,[3],1,\"par communiqué\"],[0,[],1,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Arrivé en Europe fin janvier, précisément au Fenerbahçe, le pivot américain avait compilé 7,2 points et 4,5 rebonds de moyenne entre l’Euroleague et le championnat de Turquie en 24 matches la saison dernière.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[2],1,\"« Je suis ravi de rejoindre le Paris Basketball. Les dirigeants, le staff, les coéquipiers et les fans… C’est Paris ! 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Un mouvement inattendu qui fait passer le Paris Basket dans une autre dimension. Comme révélé mercredi soir, Kyle O’Quinn (2,06 m, 31 ans), huit saisons NBA au compteur, s’est engagé avec le club de la capitale. Et ce, pour deux saisons. L’homme aux 472 apparitions dans la Grande Ligue portera le numéro 7. Le numéro 49 de la Draft 2012 avait la réputation de faire le travail de l’ombre, que ce soit à Orlando, New York, Indiana ou Philadelphie.
« Nous avons été extrêmement patients sur le marché afin de trouver le profil exact que l’on recherchait afin de compléter notre équipe. Nous étions à la recherche d’un poste 5/4 capable d’évoluer avec nos trois autres intérieurs : Ismael Kamagate, Amara Sy et Dustin Sleva. C’est un grand privilège pour le Paris Basketball d’accueillir Kyle qui, de par son parcours en NBA, son QI basket et aussi ses valeurs humaines, va nous permettre de vivre notre première saison en Betclic Élite avec beaucoup de détermination, sérénité, humilité et d’ambition », explique son futur coach Jean-Christophe Prat par communiqué.
Arrivé en Europe fin janvier, précisément au Fenerbahçe, le pivot américain avait compilé 7,2 points et 4,5 rebonds de moyenne entre l’Euroleague et le championnat de Turquie en 24 matches la saison dernière.
« Je suis ravi de rejoindre le Paris Basketball. Les dirigeants, le staff, les coéquipiers et les fans… C’est Paris ! Je suis heureux de rejoindre ce club », confie Kyle O’Quinn.
Kyle O’Quinn jouera son premier match officiel contre Angers lors des 64e de finale de la Coupe de France le 22 septembre à la Halle Carpentier.
Photo : Kyle O’Quinn (Euroleague)
", "comment_id":"563755", "plaintext":"Après huit saisons en NBA et une du côté de Fenerbahçe, Kyle O’Quinn s’est officiellement engagé pour deux saisons avec le Paris Basketball, promu en Betclic Elite.\n\nUn mouvement inattendu qui fait passer le Paris Basket dans une autre dimension. Comme révélé mercredi soir, Kyle O’Quinn (2,06 m, 31 ans), huit saisons NBA au compteur, s’est engagé avec le club de la capitale. Et ce, pour deux saisons. L’homme aux 472 apparitions dans la Grande Ligue portera le numéro 7. Le numéro 49 de la Draft 2012 avait la réputation de faire le travail de l’ombre, que ce soit à Orlando, New York, Indiana ou Philadelphie.\n\n« Nous avons été extrêmement patients sur le marché afin de trouver le profil exact que l’on recherchait afin de compléter notre équipe. Nous étions à la recherche d’un poste 5/4 capable d’évoluer avec nos trois autres intérieurs : Ismael Kamagate, Amara Sy et Dustin Sleva. C’est un grand privilège pour le Paris Basketball d’accueillir Kyle qui, de par son parcours en NBA, son QI basket et aussi ses valeurs humaines, va nous permettre de vivre notre première saison en Betclic Élite avec beaucoup de détermination, sérénité, humilité et d’ambition », explique son futur coach Jean-Christophe Prat par communiqué.\n\nArrivé en Europe fin janvier, précisément au Fenerbahçe, le pivot américain avait compilé 7,2 points et 4,5 rebonds de moyenne entre l’Euroleague et le championnat de Turquie en 24 matches la saison dernière.\n\n« Je suis ravi de rejoindre le Paris Basketball. Les dirigeants, le staff, les coéquipiers et les fans… C’est Paris ! Je suis heureux de rejoindre ce club », confie Kyle O’Quinn.\n\nKyle O’Quinn jouera son premier match officiel contre Angers lors des 64e de finale de la Coupe de France le 22 septembre à la Halle Carpentier.\n\nPhoto : Kyle O’Quinn (Euroleague)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/oquinn-paris-basket.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-02T13:44:07.000Z", "updated_at":"2021-09-02T13:44:14.000Z", "published_at":"2021-09-02T13:44:07.000Z", "custom_excerpt":"Après huit saisons en NBA et une du côté de Fenerbahçe, Kyle O’Quinn s’est officiellement engagé pour deux saisons avec le Paris Basketball, promu en Betclic Elite.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ede", "uuid":"ad4f4e14-9486-4562-a1e2-2776d26dfee0", "title":"LFB : Soana Lucet (ex-La Roche) rebondit en Turquie", "slug":"lfb-soana-lucet-ex-la-roche-rebondit-en-turquie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://t.co/WR0aXb1wzT\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Sans club depuis son départ de La Roche Vendée, Soana Lucet repart à l’étranger, direction la Turquie et Ankara.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après un passage en Belgique puis un autre en Allemagne il y a plusieurs saisons, l’internationale tricolore de 3×3 Soana Lucet (1,86 m, 34 ans) va découvrir un nouveau pays européen. La Néo-Calédonnienne s’est engagée avec club turc d’Ormanspor qui disputera le championnat de Turquie mais aussi l’Eurocup cette saison.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Depuis trois saisons à La Roche Vendée (6,4 points, 2,5 rebonds pour 5,6 d’évaluation en 20 minutes la saison passée), elle fait partie des joueuses qui ont qualifié l’équipe de France féminine aux premiers Jeux Olympiques de l’histoire du 3×3 lors du TQO de Graz en Autriche, en mai dernier.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Soana Lucet (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Sans club depuis son départ de La Roche Vendée, Soana Lucet repart à l’étranger, direction la Turquie et Ankara.
Après un passage en Belgique puis un autre en Allemagne il y a plusieurs saisons, l’internationale tricolore de 3×3 Soana Lucet (1,86 m, 34 ans) va découvrir un nouveau pays européen. La Néo-Calédonnienne s’est engagée avec club turc d’Ormanspor qui disputera le championnat de Turquie mais aussi l’Eurocup cette saison.
Depuis trois saisons à La Roche Vendée (6,4 points, 2,5 rebonds pour 5,6 d’évaluation en 20 minutes la saison passée), elle fait partie des joueuses qui ont qualifié l’équipe de France féminine aux premiers Jeux Olympiques de l’histoire du 3×3 lors du TQO de Graz en Autriche, en mai dernier.
Photo : Soana Lucet (FIBA)
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OGM Ormanspor ailesine hoş geldin Soana🔥😎 💐💪 pic.twitter.com/WR0aXb1wzT\n\n— OGM Ormanspor (@OGM_Ormanspor) September 1, 2021\n\n\nPhoto : Soana Lucet (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/soana-lucet-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-02T13:19:41.000Z", "updated_at":"2021-09-02T13:19:49.000Z", "published_at":"2021-09-02T13:19:41.000Z", "custom_excerpt":"Sans club depuis son départ de La Roche Vendée, Soana Lucet repart à l’étranger, direction la Turquie et Ankara.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99edf", "uuid":"c4c4a0ac-e16f-4988-87da-fd196f25a84e", "title":"La FIBA 3×3 Europe Cup diffusée en intégralité sur L’Équipe", "slug":"la-fiba-3x3-europe-cup-diffusee-en-integralite-sur-lequipe", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Le programme complet :\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://basketeurope.com/livenews-fr/563564/le-programme-de-la-fiba-3x3-europe-cup-du-10-au-12-septembre-au-trocadero-a-paris/embed/#?secret=eegVbUGsLG#?secret=bRGy0uj9wx\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’Equipe diffusera la FIBA 3×3 Europe Cup du 10 au 12 septembre à Paris. 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France Pierron sera, elle, au plus proche du terrain, au contact des joueurs et du public.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vendredi 10 septembre :\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"17h30 : Roumanie vs Belgique (féminin) – L’Équipe live \"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"17h55 : Pays-Bas vs Israël (masculin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,2],[0,[0],1,\"18h25 : France vs Israël (féminin) – la chaine L’Équipe \"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"18h50 : Slovénie vs Estonie (masculin) – L’Équipe live \"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"19h20 : Hongrie vs Belgique (féminin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"19h45 : Russie vs Israël (masculin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,6],[0,[0],1,\"20h15 : France vs Allemagne (féminin) – la chaine L’Équipe \"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"20h40 : Slovénie vs Pologne (masculin) – L’Équipe live \"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"21h10 : Roumanie vs Hongrie (féminin) – L’Équipe live \"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"21h35 : Russie vs Pays-Bas (masculin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"22h05 : Allemagne vs Israël (féminin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"22h30 : Pologne vs Estonie (masculin) – L’Équipe live\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Samedi 11 septembre :\"],[1,[],0,12],[0,[],0,\"17h30 : Russie vs Grande Bretagne (féminin) – L’Équipe live \"],[1,[],0,13],[0,[],0,\"17h55 : Belgique vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,14],[0,[],0,\"18h25 : Pays-Bas vs Espagne (féminin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,15],[0,[],0,\"18h50 : Lituanie vs Autriche (masculin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,16],[0,[],0,\"19h20 : Russie vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,17],[0,[],0,\"19h45 : Serbie vs Belgique (masculin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,18],[0,[0],1,\"20h15 : France vs Autriche (masculin) – la chaine L’Équipe \"],[1,[],0,19],[0,[],0,\"20h40 : Pays-Bas vs Lituanie (féminin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,20],[0,[],0,\"21h10 : Ukraine vs Grande Bretagne (féminin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,21],[0,[],0,\"21h35 : Serbie vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,22],[0,[],0,\"22h05 : Espagne vs Lituanie (féminin) – L’Équipe live\"],[1,[],0,23],[0,[0],1,\"22h30 : Lituanie vs France (masculin) – la chaine L’Équipe\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Dimanche 12 septembre :\"],[1,[],0,24],[0,[],0,\"14h15 : début des quarts de finale (féminin et masculin) – la chaine L’Équipe\"],[1,[],0,25],[0,[],0,\"18h25 : début des demi-finales (féminines et masculines) – la chaine L’Équipe \"],[1,[],0,26],[0,[],0,\"21h40 : finale femmes – la chaine L’Équipe\"],[1,[],0,27],[0,[],0,\"22h05 : finale hommes – la chaine L’Équipe\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : EDF 3×3 (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"L’Equipe diffusera la FIBA 3×3 Europe Cup du 10 au 12 septembre à Paris. 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Après les Jeux Olympiques, le 3×3 intéresse de plus en plus les diffuseurs. La FIBA 3×3 Europe Cup, qui se tiendra du 10 au 12 septembre au Trocadéro (Paris), sera retransmise en intégralité sur L’Equipe live, le nouvel univers de la plateforme l’Equipe (site et application). Frédéric Mazéas sera aux commentaires.
Les meilleurs matches des Équipes de France 3×3 seront quant à eux diffusés en direct sur la Chaine L’Équipe qui met en place un dispositif spécial avec Benoit Cosset et le consultant Sylvain Maynier, champion de France Pro B en 2002 et 2009 respectivement avec Vichy et Poitiers. France Pierron sera, elle, au plus proche du terrain, au contact des joueurs et du public.
Le programme complet :Vendredi 10 septembre :
17h30 : Roumanie vs Belgique (féminin) – L’Équipe live
17h55 : Pays-Bas vs Israël (masculin) – L’Équipe live
18h25 : France vs Israël (féminin) – la chaine L’Équipe
18h50 : Slovénie vs Estonie (masculin) – L’Équipe live
19h20 : Hongrie vs Belgique (féminin) – L’Équipe live
19h45 : Russie vs Israël (masculin) – L’Équipe live
20h15 : France vs Allemagne (féminin) – la chaine L’Équipe
20h40 : Slovénie vs Pologne (masculin) – L’Équipe live
21h10 : Roumanie vs Hongrie (féminin) – L’Équipe live
21h35 : Russie vs Pays-Bas (masculin) – L’Équipe live
22h05 : Allemagne vs Israël (féminin) – L’Équipe live
22h30 : Pologne vs Estonie (masculin) – L’Équipe live
Samedi 11 septembre :
17h30 : Russie vs Grande Bretagne (féminin) – L’Équipe live
17h55 : Belgique vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live
18h25 : Pays-Bas vs Espagne (féminin) – L’Équipe live
18h50 : Lituanie vs Autriche (masculin) – L’Équipe live
19h20 : Russie vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live
19h45 : Serbie vs Belgique (masculin) – L’Équipe live
20h15 : France vs Autriche (masculin) – la chaine L’Équipe
20h40 : Pays-Bas vs Lituanie (féminin) – L’Équipe live
21h10 : Ukraine vs Grande Bretagne (féminin) – L’Équipe live
21h35 : Serbie vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live
22h05 : Espagne vs Lituanie (féminin) – L’Équipe live
22h30 : Lituanie vs France (masculin) – la chaine L’Équipe
Dimanche 12 septembre :
14h15 : début des quarts de finale (féminin et masculin) – la chaine L’Équipe
18h25 : début des demi-finales (féminines et masculines) – la chaine L’Équipe
21h40 : finale femmes – la chaine L’Équipe
22h05 : finale hommes – la chaine L’Équipe
Photo : EDF 3×3 (FIBA)
", "comment_id":"563730", "plaintext":"L’Equipe diffusera la FIBA 3×3 Europe Cup du 10 au 12 septembre à Paris. Le groupe vient de dévoiler son dispositif.\n\nAprès les Jeux Olympiques, le 3×3 intéresse de plus en plus les diffuseurs. La FIBA 3×3 Europe Cup, qui se tiendra du 10 au 12 septembre au Trocadéro (Paris), sera retransmise en intégralité sur L’Equipe live, le nouvel univers de la plateforme l’Equipe (site et application). Frédéric Mazéas sera aux commentaires.\n\nLes meilleurs matches des Équipes de France 3×3 seront quant à eux diffusés en direct sur la Chaine L’Équipe qui met en place un dispositif spécial avec Benoit Cosset et le consultant Sylvain Maynier, champion de France Pro B en 2002 et 2009 respectivement avec Vichy et Poitiers. France Pierron sera, elle, au plus proche du terrain, au contact des joueurs et du public.\n\nLe programme complet :\n\nVendredi 10 septembre :\n17h30 : Roumanie vs Belgique (féminin) – L’Équipe live\n17h55 : Pays-Bas vs Israël (masculin) – L’Équipe live\n18h25 : France vs Israël (féminin) – la chaine L’Équipe\n18h50 : Slovénie vs Estonie (masculin) – L’Équipe live\n19h20 : Hongrie vs Belgique (féminin) – L’Équipe live\n19h45 : Russie vs Israël (masculin) – L’Équipe live\n20h15 : France vs Allemagne (féminin) – la chaine L’Équipe\n20h40 : Slovénie vs Pologne (masculin) – L’Équipe live\n21h10 : Roumanie vs Hongrie (féminin) – L’Équipe live\n21h35 : Russie vs Pays-Bas (masculin) – L’Équipe live\n22h05 : Allemagne vs Israël (féminin) – L’Équipe live\n22h30 : Pologne vs Estonie (masculin) – L’Équipe live\n\nSamedi 11 septembre :\n17h30 : Russie vs Grande Bretagne (féminin) – L’Équipe live\n17h55 : Belgique vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live\n18h25 : Pays-Bas vs Espagne (féminin) – L’Équipe live\n18h50 : Lituanie vs Autriche (masculin) – L’Équipe live\n19h20 : Russie vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live\n19h45 : Serbie vs Belgique (masculin) – L’Équipe live\n20h15 : France vs Autriche (masculin) – la chaine L’Équipe\n20h40 : Pays-Bas vs Lituanie (féminin) – L’Équipe live\n21h10 : Ukraine vs Grande Bretagne (féminin) – L’Équipe live\n21h35 : Serbie vs Ukraine (masculin) – L’Équipe live\n22h05 : Espagne vs Lituanie (féminin) – L’Équipe live\n22h30 : Lituanie vs France (masculin) – la chaine L’Équipe\n\nDimanche 12 septembre :\n14h15 : début des quarts de finale (féminin et masculin) – la chaine L’Équipe\n18h25 : début des demi-finales (féminines et masculines) – la chaine L’Équipe\n21h40 : finale femmes – la chaine L’Équipe\n22h05 : finale hommes – la chaine L’Équipe\n\nPhoto : EDF 3×3 (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/07/3x3-france-jo-tokyo.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-02T09:46:06.000Z", "updated_at":"2021-12-06T11:22:12.000Z", "published_at":"2021-09-02T09:46:06.000Z", "custom_excerpt":"L’Equipe diffusera la FIBA 3×3 Europe Cup du 10 au 12 septembre à Paris. Le groupe vient de dévoiler son dispositif.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ee0", "uuid":"c9bb0e97-eda5-463e-929b-b196fa8d91b1", "title":"Espagne : Le Real Madrid lance son projet français", "slug":"espagne-le-real-madrid-lance-son-projet-francais", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/kik4NePnm0U?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Malgré la défaite en préparation contre Murcie lors du tournoi d’Albacete (80-84), le Real Madrid a débuté une saison avec quatre joueurs tricolores dans ses rangs. Du jamais vu.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Vincent Poirier, Thomas Heurtel, Guerschon Yabusele et Fabien Causeur. Voici les quatre mousquetaires qui porteront le maillot du Real Madrid lors de la saison 2021-2022. Lors du premier match de préparation, les internationaux tricolores ont largement pesé sur l’équipe de Pablo Laso en inscrivant 54 des 80 points du Real dans la défaite contre Murcie (80-84).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans le détail, Guerschon Yabusele a inscrit 19 points, dont un posterdunk ravageur (voir ci-dessous). Fabien Causeur a ajouté 15 points, Vincent Poirier 14 et Thomas Heurtel 6. La préparation ne fait que débuter pour les Merengues, qui défieront Tenerife dans dix jours en Supercoupe d’Espagne.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Guerschon Yabusele (Real Madrid)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Malgré la défaite en préparation contre Murcie lors du tournoi d’Albacete (80-84), le Real Madrid a débuté une saison avec quatre joueurs tricolores dans ses rangs. Du jamais vu.
Vincent Poirier, Thomas Heurtel, Guerschon Yabusele et Fabien Causeur. Voici les quatre mousquetaires qui porteront le maillot du Real Madrid lors de la saison 2021-2022. Lors du premier match de préparation, les internationaux tricolores ont largement pesé sur l’équipe de Pablo Laso en inscrivant 54 des 80 points du Real dans la défaite contre Murcie (80-84).
Dans le détail, Guerschon Yabusele a inscrit 19 points, dont un posterdunk ravageur (voir ci-dessous). Fabien Causeur a ajouté 15 points, Vincent Poirier 14 et Thomas Heurtel 6. La préparation ne fait que débuter pour les Merengues, qui défieront Tenerife dans dix jours en Supercoupe d’Espagne.
Photo : Guerschon Yabusele (Real Madrid)
", "comment_id":"563724", "plaintext":"Malgré la défaite en préparation contre Murcie lors du tournoi d’Albacete (80-84), le Real Madrid a débuté une saison avec quatre joueurs tricolores dans ses rangs. Du jamais vu.\n\nVincent Poirier, Thomas Heurtel, Guerschon Yabusele et Fabien Causeur. Voici les quatre mousquetaires qui porteront le maillot du Real Madrid lors de la saison 2021-2022. Lors du premier match de préparation, les internationaux tricolores ont largement pesé sur l’équipe de Pablo Laso en inscrivant 54 des 80 points du Real dans la défaite contre Murcie (80-84).\n\nDans le détail, Guerschon Yabusele a inscrit 19 points, dont un posterdunk ravageur (voir ci-dessous). Fabien Causeur a ajouté 15 points, Vincent Poirier 14 et Thomas Heurtel 6. La préparation ne fait que débuter pour les Merengues, qui défieront Tenerife dans dix jours en Supercoupe d’Espagne.\n\nPhoto : Guerschon Yabusele (Real Madrid)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/guerschon-yabusele.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-02T07:30:22.000Z", "updated_at":"2021-12-08T14:58:16.000Z", "published_at":"2021-09-02T07:30:22.000Z", "custom_excerpt":"Malgré la défaite en préparation contre Murcie lors du tournoi d’Albacete (80-84), le Real Madrid a débuté une saison avec quatre joueurs tricolores dans ses rangs. Du jamais vu.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ee1", "uuid":"66380e61-c6c5-4420-9323-f3d75df2664b", "title":"Dijon et Bourg s’imposent en ouverture de l’Ain Star Game", "slug":"dijon-et-bourg-simposent-en-ouverture-de-lain-star-game", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Mercredi soir, la JDA Dijon et la JL Bourg ont respectivement dominé les Metropolitans et Chalon (Pro B) en ouverture de la 14e édition de l’Ain Star Game.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est parti pour l’Ain Star Game, le tournoi de préparation devenu référence au fil des années en Élite. Mercredi soir, la première rencontre a vu Dijon prendre le meilleur sur Boulogne-Levallois (73-67) alors qu’ils étaient menés de 7 unités à l’heure de débuter l’ultime quart-temps. Avec 20 points, le Dijonnais Chase Simon termine meilleur marqueur de la rencontre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Plus tard, la Bourg-en-Bresse n’a pas fait dans le détail contre le voisin Chalon-sur-Saône (79-51). Pierre Pelos (18 points et 7 rebonds pour 23 d’évaluation) et Hugo Benitez (13 points, 5 passes décisives et 4 interceptions pour 20 d’évaluation) ont mené la Jeu à la victoire en remportant chaque quart-temps.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’Ain Star Game se poursuit dès jeudi avec deux rencontres (à 20h30) : l’une entre Dijon et l’ASVEL à Lons-le-Saunier (Jura) et l’autre entre Nanterre et Chalon à La Balme-de-Sillingy (Haute-Savoie). Samedi, la journée finale aura lieu à Ekinox (Bourg-en-Bresse).\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : JL Bourg\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Mercredi soir, la JDA Dijon et la JL Bourg ont respectivement dominé les Metropolitans et Chalon (Pro B) en ouverture de la 14e édition de l’Ain Star Game.
C’est parti pour l’Ain Star Game, le tournoi de préparation devenu référence au fil des années en Élite. Mercredi soir, la première rencontre a vu Dijon prendre le meilleur sur Boulogne-Levallois (73-67) alors qu’ils étaient menés de 7 unités à l’heure de débuter l’ultime quart-temps. Avec 20 points, le Dijonnais Chase Simon termine meilleur marqueur de la rencontre.
Plus tard, la Bourg-en-Bresse n’a pas fait dans le détail contre le voisin Chalon-sur-Saône (79-51). Pierre Pelos (18 points et 7 rebonds pour 23 d’évaluation) et Hugo Benitez (13 points, 5 passes décisives et 4 interceptions pour 20 d’évaluation) ont mené la Jeu à la victoire en remportant chaque quart-temps.
L’Ain Star Game se poursuit dès jeudi avec deux rencontres (à 20h30) : l’une entre Dijon et l’ASVEL à Lons-le-Saunier (Jura) et l’autre entre Nanterre et Chalon à La Balme-de-Sillingy (Haute-Savoie). Samedi, la journée finale aura lieu à Ekinox (Bourg-en-Bresse).
Photo : JL Bourg
", "comment_id":"563717", "plaintext":"Mercredi soir, la JDA Dijon et la JL Bourg ont respectivement dominé les Metropolitans et Chalon (Pro B) en ouverture de la 14e édition de l’Ain Star Game.\n\nC’est parti pour l’Ain Star Game, le tournoi de préparation devenu référence au fil des années en Élite. Mercredi soir, la première rencontre a vu Dijon prendre le meilleur sur Boulogne-Levallois (73-67) alors qu’ils étaient menés de 7 unités à l’heure de débuter l’ultime quart-temps. Avec 20 points, le Dijonnais Chase Simon termine meilleur marqueur de la rencontre.\n\nPlus tard, la Bourg-en-Bresse n’a pas fait dans le détail contre le voisin Chalon-sur-Saône (79-51). Pierre Pelos (18 points et 7 rebonds pour 23 d’évaluation) et Hugo Benitez (13 points, 5 passes décisives et 4 interceptions pour 20 d’évaluation) ont mené la Jeu à la victoire en remportant chaque quart-temps.\n\nL’Ain Star Game se poursuit dès jeudi avec deux rencontres (à 20h30) : l’une entre Dijon et l’ASVEL à Lons-le-Saunier (Jura) et l’autre entre Nanterre et Chalon à La Balme-de-Sillingy (Haute-Savoie). Samedi, la journée finale aura lieu à Ekinox (Bourg-en-Bresse).\n\nPhoto : JL Bourg", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/jl-bourg.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-02T06:42:38.000Z", "updated_at":"2021-09-02T06:42:45.000Z", "published_at":"2021-09-02T06:42:38.000Z", "custom_excerpt":"Mercredi soir, la JDA Dijon et la JL Bourg ont respectivement dominé les Metropolitans et Chalon (Pro B) en ouverture de la 14e édition de l’Ain Star Game.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ee2", "uuid":"924a6ae0-20aa-4da2-9904-5d5ced1505b0", "title":"AfroBasket : le Sénégal et la Côte d’Ivoire dans le dernier carré", "slug":"afrobasket-le-senegal-et-la-cote-divoire-dans-le-dernier-carre", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"http://www.fiba.basketball/fr/afrobasket/2021/news/senegal-cote-divoire-to-meet-in-afrobasket-2021-semifinal\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://www.fiba.basketball/fr/afrobasket/2021/game/0109/Senegal-Angola/#tab=boxscore\"]],[\"a\",[\"href\",\"http://www.fiba.basketball/fr/afrobasket/2021/game/0109/Cote-d-Ivoire-Guinea#tab=boxscore\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Grâce à leurs victoires respectives face à l’Angola et la Guinée, le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont en demi-finale de l’AfroBasket 2021.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme en 2017, le Sénégal a passé l’obstacle de l’Angola en quarts de finale. Cette fois-ci, l’équipe de Boniface Ndong, pas montée sur la plus haute marche du podium depuis 1997 et encore invaincue dans ce tournoi, a décroché un succès au terme d’une rencontre disputée (79-74).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auteur de 28 points et 6 rebonds en sortie de banc, l’ancien MVP de la compétition Carlos Morais a tenu l’Angola à hauteur jusqu’au bout, avant de commettre une faute antisportive à 8 secondes du terme, offrant au Sénégal et au Barcelonais Brancou Badio la possibilité de tuer le match. Le NBAer Gorgui Dieng a compilé 13 points, 15 rebonds et 2 contres, Ibrahima Faye (Monaco) a ajouté 13 points, Youssou Ndoye (Orléans) 4 points et Boubacar Touré (Roanne) n’est pas entré en jeu.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Cela a été un match difficile. Le plus important est le fait que nous nous soyions imposés, mais c’était serré. Nous n’avons pas trouvé notre identité et notre rythme. J’ai demandé à mes joueurs et à mes assistants de m’expliquer pourquoi nous avons manqué d’énergie, pourquoi nous n’avons pas plus couru. Peut-être que c’est le résultat de la bonne préparation de l’Angola. Je pense que c’est une combinaison de facteurs, je vais revoir le match pour en retirer des enseignements », indique Boniface Ndong \"],[0,[1],1,\"sur le site de la FIBA\"],[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce samedi, le Sénégal défiera la Côte d’Ivoire, facile vainqueur de la Guinée (98-50), pour une place en finale. Les Eléphants retournent dans le dernier carré pour la première fois depuis 2009. Pour l’anecdote, les coéquipiers de Matt Costello (Baskonia) et Vafessa Fofana (Gravelines) ont battu le record de passes décisives (31 au total) à l’AfroBasket en quarts de finale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0,2],1,\"Boxscore Sénégal – Angola\"],[0,[],0,\" / \"],[0,[3],2,\"Boxscore Côte d’Ivoire – Guinée\"]]],[1,\"p\",[[0,[4],1,\"Photo : Gorgui Dieng (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Grâce à leurs victoires respectives face à l’Angola et la Guinée, le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont en demi-finale de l’AfroBasket 2021.
Comme en 2017, le Sénégal a passé l’obstacle de l’Angola en quarts de finale. Cette fois-ci, l’équipe de Boniface Ndong, pas montée sur la plus haute marche du podium depuis 1997 et encore invaincue dans ce tournoi, a décroché un succès au terme d’une rencontre disputée (79-74).
Auteur de 28 points et 6 rebonds en sortie de banc, l’ancien MVP de la compétition Carlos Morais a tenu l’Angola à hauteur jusqu’au bout, avant de commettre une faute antisportive à 8 secondes du terme, offrant au Sénégal et au Barcelonais Brancou Badio la possibilité de tuer le match. Le NBAer Gorgui Dieng a compilé 13 points, 15 rebonds et 2 contres, Ibrahima Faye (Monaco) a ajouté 13 points, Youssou Ndoye (Orléans) 4 points et Boubacar Touré (Roanne) n’est pas entré en jeu.
« Cela a été un match difficile. Le plus important est le fait que nous nous soyions imposés, mais c’était serré. Nous n’avons pas trouvé notre identité et notre rythme. J’ai demandé à mes joueurs et à mes assistants de m’expliquer pourquoi nous avons manqué d’énergie, pourquoi nous n’avons pas plus couru. Peut-être que c’est le résultat de la bonne préparation de l’Angola. Je pense que c’est une combinaison de facteurs, je vais revoir le match pour en retirer des enseignements », indique Boniface Ndong sur le site de la FIBA.
Ce samedi, le Sénégal défiera la Côte d’Ivoire, facile vainqueur de la Guinée (98-50), pour une place en finale. Les Eléphants retournent dans le dernier carré pour la première fois depuis 2009. Pour l’anecdote, les coéquipiers de Matt Costello (Baskonia) et Vafessa Fofana (Gravelines) ont battu le record de passes décisives (31 au total) à l’AfroBasket en quarts de finale.
Boxscore Sénégal – Angola / Boxscore Côte d’Ivoire – Guinée
Photo : Gorgui Dieng (FIBA)
", "comment_id":"563707", "plaintext":"Grâce à leurs victoires respectives face à l’Angola et la Guinée, le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont en demi-finale de l’AfroBasket 2021.\n\nComme en 2017, le Sénégal a passé l’obstacle de l’Angola en quarts de finale. Cette fois-ci, l’équipe de Boniface Ndong, pas montée sur la plus haute marche du podium depuis 1997 et encore invaincue dans ce tournoi, a décroché un succès au terme d’une rencontre disputée (79-74).\n\nAuteur de 28 points et 6 rebonds en sortie de banc, l’ancien MVP de la compétition Carlos Morais a tenu l’Angola à hauteur jusqu’au bout, avant de commettre une faute antisportive à 8 secondes du terme, offrant au Sénégal et au Barcelonais Brancou Badio la possibilité de tuer le match. Le NBAer Gorgui Dieng a compilé 13 points, 15 rebonds et 2 contres, Ibrahima Faye (Monaco) a ajouté 13 points, Youssou Ndoye (Orléans) 4 points et Boubacar Touré (Roanne) n’est pas entré en jeu.\n\n« Cela a été un match difficile. Le plus important est le fait que nous nous soyions imposés, mais c’était serré. Nous n’avons pas trouvé notre identité et notre rythme. J’ai demandé à mes joueurs et à mes assistants de m’expliquer pourquoi nous avons manqué d’énergie, pourquoi nous n’avons pas plus couru. Peut-être que c’est le résultat de la bonne préparation de l’Angola. Je pense que c’est une combinaison de facteurs, je vais revoir le match pour en retirer des enseignements », indique Boniface Ndong sur le site de la FIBA.\n\nCe samedi, le Sénégal défiera la Côte d’Ivoire, facile vainqueur de la Guinée (98-50), pour une place en finale. Les Eléphants retournent dans le dernier carré pour la première fois depuis 2009. Pour l’anecdote, les coéquipiers de Matt Costello (Baskonia) et Vafessa Fofana (Gravelines) ont battu le record de passes décisives (31 au total) à l’AfroBasket en quarts de finale.\n\nBoxscore Sénégal – Angola / Boxscore Côte d’Ivoire – Guinée\n\nPhoto : Gorgui Dieng (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/gorgui-dieng-senegal-afrobasket.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-02T06:17:48.000Z", "updated_at":"2021-09-02T07:07:06.000Z", "published_at":"2021-09-02T06:17:48.000Z", "custom_excerpt":"Grâce à leurs victoires respectives face à l’Angola et la Guinée, le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont en demi-finale de l’AfroBasket 2021.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ee3", 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C’est avec cette envie de laisser vivre le petit Mozart du basket à travers ses exploits mais aussi ceux d’autres grands sportifs yougoslaves qu’est né ce musée le 7 juin 2006, 13 ans après sa mort dans un accident de voiture à l’âge de 28 ans. Aujourd’hui, il est ouvert toute l’année grâce aux efforts conjoints de la fondation Drazen Petrovic, du gouvernement croate, de la ville de Zagreb et du musée des sports croates. Ce sont les parents de Drazen – Biserka et Joleta Petrovic – et les architectes Andrija Rusan et Niksa Bilic qui sont à l’origine du projet et de sa mise en action. On y trouve plus de 4 000 objets – médailles, coupes, maillots, photographies, vidéos – autour de la carrière exceptionnelle du virtuose croate, un grand athlète mais aussi un grand homme.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Très vite, un gamin à l’abondante coupe afro rappelant presque celle de Julius Erving se fait remarquer par son talent incroyable et une finition d’exception. 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La légende Maljkovic raconte qu’il ne s’agit pas de 500 tirs quotidiens mais bien de 500 shoots réussis… Un acharnement qui paie puisqu’il multiplie les sorties à plus de 50 points avant son vingtième anniversaire, faisant de lui un véritable prodige du ballon orange, à qui on prédit un avenir sans limite.\"]]],[1,\"h6\",[[0,[],0,\"QUELQUES OBJETS ET DONATIONS DU MUSÉE\"]]],[10,1],[10,2],[10,3],[10,4],[10,5],[10,6],[10,7],[10,8],[10,9],[10,10],[10,11],[10,12],[10,13],[10,14],[10,15],[10,16],[10,17],[10,18],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Parti rejoindre son frère au Cibona Zagreb en 1984, il réalise l’une des plus grandes performances individuelles de l’histoire en octobre 1985 en inscrivant 112 des 158 points de son équipe face à l’Olimpija Ljubljana de Jure Zdovc (à 40/60 aux tirs, et 22/24 aux lancers). Le génie slave passe également 51 points au Limoges CSP – \"],[0,[3],1,\"une rivalité évoquée dans le dernier numéro de Basket Le Mag\"],[0,[],0,\" – lors de la Coupe des Champions 1986 et inscrit 37,7 points de moyenne durant ses quatre années dans le championnat yougoslave avec le Cibona.\"]]],[10,19],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Parfois arrogant et bagarreur, son côté mauvais garçon n’empêche pas de susciter l’admiration de tous au regard de son talent. Il rejoint ensuite le Real Madrid en 1988 et brille au plus haut niveau européen, notamment en finale de la Coupe des Coupes face au Caserta d’Oscar Schmidt (62 points au compteur). Pendant cette décennie, il devient l’un des fers de lance de la sélection yougoslave aux côtés de Vlade Divac, Dino Radja ou encore Toni Kukoc et remporte le championnat d’Europe 1989 en dominant la compétition comme rarement auparavant (près de 30 points à 75% à 2-points et 70% à 3-points, et meilleur passeur avec 6 offrandes par match). 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Lors des deux saisons suivantes, il inscrit plus de 20 points par match, une première pour un Européen en NBA, et affiche le meilleur pourcentage de tous les arrières de NBA (52 % aux tirs, dont 44 % à 3-points). La meilleure ligue du monde reconnaît enfin le talent d’un joueur formé en Europe et le récompense logiquement du trophée de meilleure progression de l’année 1992.\"]]],[10,20],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A l’été 1992, la Croatie fait sa première sortie en compétition internationale et s’offre une finale olympique face à la grande Dream Team. Face à son coach, Drazen Petrovic finit meilleur marqueur de la finale avec 24 points, devançant même les 22 points de Michael Jordan. Petro est alors au sommet de son art lors de la saison 1992-1993. Il est élu dans le 3e cinq majeur de la saison, pas suffisant pourtant pour faire de lui le premier européen All-Star de l’histoire, malgré des stats hallucinantes. Se sentant trahi, Drazen Petrovic évoque un retour en Europe au Panathinaïkos. Tout cela n’arrivera malheureusement pas. La carrière et la vie du prodige prennent fin le 7 juin 1993, il y a 28 ans jour pour jour, sur une autoroute allemande. Le monde du basket pleure l’une des pionniers du basket international qui a réussi à faire tomber toutes les barrières sur les préjugés des basketteurs européens en NBA, ouvrant la voie à Dirk Nowitzki, Tony Parker ou encore Pau Gasol…\"]]],[10,21],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette histoire, et bien d’autres, vous seront racontées lors de votre passage au Drazen Petrovic Memorial Center par des guides passionnés et passionnants, en Anglais ou en langue étrangère. Vous y trouverez également des \"],[0,[4],1,\"donations exceptionnelles de Luka Doncic\"],[0,[],0,\", Goran Dragic, Stephen Curry ou encore de Novak Djokovic. Une expérience d’une petite heure dans le centre-ville de Zagreb conseillée à tout fan de basket visitant la capitale croate, dans un musée situé sur la place qui porte également son nom. 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Aujourd’hui, il est ouvert toute l’année grâce aux efforts conjoints de la fondation Drazen Petrovic, du gouvernement croate, de la ville de Zagreb et du musée des sports croates. Ce sont les parents de Drazen – Biserka et Joleta Petrovic – et les architectes Andrija Rusan et Niksa Bilic qui sont à l’origine du projet et de sa mise en action. On y trouve plus de 4 000 objets – médailles, coupes, maillots, photographies, vidéos – autour de la carrière exceptionnelle du virtuose croate, un grand athlète mais aussi un grand homme.\"]]],[10,24],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Très vite, un gamin à l’abondante coupe afro rappelant presque celle de Julius Erving se fait remarquer par son talent incroyable et une finition d’exception. Né le 22 octobre 1964 à Sibenik, il commence sa carrière à seulement 15 ans, presque par hasard, avec l’équipe première de Sibenka. En finale de la coupe Korac 1982 contre le Limoges CSP, le jeune Drazen inscrit 19 points à tout juste 17 ans. Un an plus tard, il offre le titre de champion à Sibenik. A l’entraînement, Drazen Petrovic répète ses gammes malgré une malformation à la hanche, censée le gêner dans ses déplacements. Chaque jour, il enfile 500 shoots et 200 lancers francs…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photos : Clément Carton / Memorial Center\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Comparé dès son plus jeune âge à Mozart pour sa précocité et son talent unique, Drazen Petrovic a comme lui consacré chaque instant de sa vie à sa seule passion : le basket. Il y a 28 ans jour pour jour, le meilleur basketteur croate de tous les temps nous quittait, laissant derrière lui un grand héritage. C’est ainsi que la ville de Zagreb a décidé de consacrer un musée à sa mémoire : le Drazen Petrovic Memorial Center. On en fait la visite.
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« Le musée rappellera les moments les plus brillants du basket croate. Beaucoup de jeunes ont entendu parler de Drazen mais ne l’ont pas connu. Ils en ont l’occasion ici. » Cette volonté de conserver l’héritage de Drazen Petrovic, c’est celle de Stojko Vrankovic, ancien pivot croate membre de la sélection nationale arrivé en NBA en 1990, une année après Petro. Il est aujourd’hui directeur de la fondation Drazen Petrovic qui est à l’origine du Memorial Center. C’est avec cette envie de laisser vivre le petit Mozart du basket à travers ses exploits mais aussi ceux d’autres grands sportifs yougoslaves qu’est né ce musée le 7 juin 2006, 13 ans après sa mort dans un accident de voiture à l’âge de 28 ans. Aujourd’hui, il est ouvert toute l’année grâce aux efforts conjoints de la fondation Drazen Petrovic, du gouvernement croate, de la ville de Zagreb et du musée des sports croates. Ce sont les parents de Drazen – Biserka et Joleta Petrovic – et les architectes Andrija Rusan et Niksa Bilic qui sont à l’origine du projet et de sa mise en action. On y trouve plus de 4 000 objets – médailles, coupes, maillots, photographies, vidéos – autour de la carrière exceptionnelle du virtuose croate, un grand athlète mais aussi un grand homme.
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Très vite, un gamin à l’abondante coupe afro rappelant presque celle de Julius Erving se fait remarquer par son talent incroyable et une finition d’exception. Né le 22 octobre 1964 à Sibenik, il commence sa carrière à seulement 15 ans, presque par hasard, avec l’équipe première de Sibenka. En finale de la coupe Korac 1982 contre le Limoges CSP, le jeune Drazen inscrit 19 points à tout juste 17 ans. Un an plus tard, il offre le titre de champion à Sibenik. A l’entraînement, Drazen Petrovic répète ses gammes avec son frère Aleksandar – futur international yougoslave – malgré une malformation à la hanche, censée le gêner dans ses déplacements. Chaque jour, il enfile 500 shoots et 200 lancers francs. La légende Maljkovic raconte qu’il ne s’agit pas de 500 tirs quotidiens mais bien de 500 shoots réussis… Un acharnement qui paie puisqu’il multiplie les sorties à plus de 50 points avant son vingtième anniversaire, faisant de lui un véritable prodige du ballon orange, à qui on prédit un avenir sans limite.
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Parti rejoindre son frère au Cibona Zagreb en 1984, il réalise l’une des plus grandes performances individuelles de l’histoire en octobre 1985 en inscrivant 112 des 158 points de son équipe face à l’Olimpija Ljubljana de Jure Zdovc (à 40/60 aux tirs, et 22/24 aux lancers). Le génie slave passe également 51 points au Limoges CSP – une rivalité évoquée dans le dernier numéro de Basket Le Mag – lors de la Coupe des Champions 1986 et inscrit 37,7 points de moyenne durant ses quatre années dans le championnat yougoslave avec le Cibona.
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Parfois arrogant et bagarreur, son côté mauvais garçon n’empêche pas de susciter l’admiration de tous au regard de son talent. Il rejoint ensuite le Real Madrid en 1988 et brille au plus haut niveau européen, notamment en finale de la Coupe des Coupes face au Caserta d’Oscar Schmidt (62 points au compteur). Pendant cette décennie, il devient l’un des fers de lance de la sélection yougoslave aux côtés de Vlade Divac, Dino Radja ou encore Toni Kukoc et remporte le championnat d’Europe 1989 en dominant la compétition comme rarement auparavant (près de 30 points à 75% à 2-points et 70% à 3-points, et meilleur passeur avec 6 offrandes par match). Des exploits repassés un à un au Memorial Center.
Après avoir tout gagné en Europe, Drazen Petrovic s’envole pour la NBA et Portland qui l’avait déjà drafté trois années auparavant (60e choix de draft 1986). Mais, pour la première fois de sa carrière, il n’est pas la star de son équipe, emmenée par ses américains Drexler, Kersey, Porter ou encore Duckworth et son coach Rick Adelman. La saison suivante, après les championnats du monde 1990 où il ridiculise en finale les jeunes Américains emmenés par Alonzo Mourning – le dernier titre de la sélection yougoslave avant la scission au cours de la Guerre des Balkans -, Drazen Petrovic est transféré aux New Jersey Nets, franchise avec laquelle il se fera définitivement un nom outre-Atlantique. Chuck Daly en fait son leader offensif aux côtés de Derrick Coleman ou encore Kenny Anderson. Lors des deux saisons suivantes, il inscrit plus de 20 points par match, une première pour un Européen en NBA, et affiche le meilleur pourcentage de tous les arrières de NBA (52 % aux tirs, dont 44 % à 3-points). La meilleure ligue du monde reconnaît enfin le talent d’un joueur formé en Europe et le récompense logiquement du trophée de meilleure progression de l’année 1992.
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A l’été 1992, la Croatie fait sa première sortie en compétition internationale et s’offre une finale olympique face à la grande Dream Team. Face à son coach, Drazen Petrovic finit meilleur marqueur de la finale avec 24 points, devançant même les 22 points de Michael Jordan. Petro est alors au sommet de son art lors de la saison 1992-1993. Il est élu dans le 3e cinq majeur de la saison, pas suffisant pourtant pour faire de lui le premier européen All-Star de l’histoire, malgré des stats hallucinantes. Se sentant trahi, Drazen Petrovic évoque un retour en Europe au Panathinaïkos. Tout cela n’arrivera malheureusement pas. La carrière et la vie du prodige prennent fin le 7 juin 1993, il y a 28 ans jour pour jour, sur une autoroute allemande. Le monde du basket pleure l’une des pionniers du basket international qui a réussi à faire tomber toutes les barrières sur les préjugés des basketteurs européens en NBA, ouvrant la voie à Dirk Nowitzki, Tony Parker ou encore Pau Gasol…
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Cette histoire, et bien d’autres, vous seront racontées lors de votre passage au Drazen Petrovic Memorial Center par des guides passionnés et passionnants, en Anglais ou en langue étrangère. Vous y trouverez également des donations exceptionnelles de Luka Doncic, Goran Dragic, Stephen Curry ou encore de Novak Djokovic. Une expérience d’une petite heure dans le centre-ville de Zagreb conseillée à tout fan de basket visitant la capitale croate, dans un musée situé sur la place qui porte également son nom. Si vous êtes anglophone, il est aussi possible de poursuivre l’expérience après la visite et de rester visionner plusieurs documentaires. Et en prime, vous repartirez avec votre carte postale du musée, une petite attention qui marquera sans doute les plus passionnés d’entre vous. A noter qu’une nouvelle exposition intitulée Drazen à travers les yeux des fans a été mise en place cette année pour continuer d’écrire la légende du petit Mozart du basket. Si le voyage en Croatie en temps de pandémie n’est pas à l’ordre du jour, on vous conseille le documentaire Once Brothers d’ESPN retraçant les carrières des meilleurs joueurs de la dernière grande génération yougoslave et la façon dont la guerre les a déchirés, avec Vlade Divac en narrateur, et un point d’honneur sur la carrière de Drazen Petrovic.
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Les sportifs qui possèdent un musée à leur effigie se comptent sur les doigts d’une main en Europe, preuve de l’impact laissé par leur carrière dans leur région d’origine mais aussi au-delà. L’immense footballeur Cristiano Ronaldo à Madère et Drazen Petrovic à Zagreb en sont deux parfaits exemples. Ceci pour situer aux plus jeunes d’entre nous la trace qu’a laissée Drazen dans les mémoires et l’histoire du basket mondial.
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« Le musée rappellera les moments les plus brillants du basket croate. Beaucoup de jeunes ont entendu parler de Drazen mais ne l’ont pas connu. Ils en ont l’occasion ici. » Cette volonté de conserver l’héritage de Drazen Petrovic, c’est celle de Stojko Vrankovic, ancien pivot croate membre de la sélection nationale arrivé en NBA en 1990, une année après Petro. Il est aujourd’hui directeur de la fondation Drazen Petrovic qui est à l’origine du Memorial Center. C’est avec cette envie de laisser vivre le petit Mozart du basket à travers ses exploits mais aussi ceux d’autres grands sportifs yougoslaves qu’est né ce musée le 7 juin 2006, 13 ans après sa mort dans un accident de voiture à l’âge de 28 ans. Aujourd’hui, il est ouvert toute l’année grâce aux efforts conjoints de la fondation Drazen Petrovic, du gouvernement croate, de la ville de Zagreb et du musée des sports croates. Ce sont les parents de Drazen – Biserka et Joleta Petrovic – et les architectes Andrija Rusan et Niksa Bilic qui sont à l’origine du projet et de sa mise en action. On y trouve plus de 4 000 objets – médailles, coupes, maillots, photographies, vidéos – autour de la carrière exceptionnelle du virtuose croate, un grand athlète mais aussi un grand homme.
Très vite, un gamin à l’abondante coupe afro rappelant presque celle de Julius Erving se fait remarquer par son talent incroyable et une finition d’exception. Né le 22 octobre 1964 à Sibenik, il commence sa carrière à seulement 15 ans, presque par hasard, avec l’équipe première de Sibenka. En finale de la coupe Korac 1982 contre le Limoges CSP, le jeune Drazen inscrit 19 points à tout juste 17 ans. Un an plus tard, il offre le titre de champion à Sibenik. A l’entraînement, Drazen Petrovic répète ses gammes malgré une malformation à la hanche, censée le gêner dans ses déplacements. Chaque jour, il enfile 500 shoots et 200 lancers francs…
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Photos : Clément Carton / Memorial Center
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Il est aujourd’hui directeur de la fondation Drazen Petrovic qui est à l’origine du Memorial Center. C’est avec cette envie de laisser vivre le petit Mozart du basket à travers ses exploits mais aussi ceux d’autres grands sportifs yougoslaves qu’est né ce musée le 7 juin 2006, 13 ans après sa mort dans un accident de voiture à l’âge de 28 ans. Aujourd’hui, il est ouvert toute l’année grâce aux efforts conjoints de la fondation Drazen Petrovic, du gouvernement croate, de la ville de Zagreb et du musée des sports croates. Ce sont les parents de Drazen – Biserka et Joleta Petrovic – et les architectes Andrija Rusan et Niksa Bilic qui sont à l’origine du projet et de sa mise en action. On y trouve plus de 4 000 objets – médailles, coupes, maillots, photographies, vidéos – autour de la carrière exceptionnelle du virtuose croate, un grand athlète mais aussi un grand homme.\n\nTrès vite, un gamin à l’abondante coupe afro rappelant presque celle de Julius Erving se fait remarquer par son talent incroyable et une finition d’exception. Né le 22 octobre 1964 à Sibenik, il commence sa carrière à seulement 15 ans, presque par hasard, avec l’équipe première de Sibenka. En finale de la coupe Korac 1982 contre le Limoges CSP, le jeune Drazen inscrit 19 points à tout juste 17 ans. Un an plus tard, il offre le titre de champion à Sibenik. A l’entraînement, Drazen Petrovic répète ses gammes avec son frère Aleksandar – futur international yougoslave – malgré une malformation à la hanche, censée le gêner dans ses déplacements. Chaque jour, il enfile 500 shoots et 200 lancers francs. La légende Maljkovic raconte qu’il ne s’agit pas de 500 tirs quotidiens mais bien de 500 shoots réussis… Un acharnement qui paie puisqu’il multiplie les sorties à plus de 50 points avant son vingtième anniversaire, faisant de lui un véritable prodige du ballon orange, à qui on prédit un avenir sans limite.\n\nQUELQUES OBJETS ET DONATIONS DU MUSÉE\n\nParti rejoindre son frère au Cibona Zagreb en 1984, il réalise l’une des plus grandes performances individuelles de l’histoire en octobre 1985 en inscrivant 112 des 158 points de son équipe face à l’Olimpija Ljubljana de Jure Zdovc (à 40/60 aux tirs, et 22/24 aux lancers). Le génie slave passe également 51 points au Limoges CSP – une rivalité évoquée dans le dernier numéro de Basket Le Mag – lors de la Coupe des Champions 1986 et inscrit 37,7 points de moyenne durant ses quatre années dans le championnat yougoslave avec le Cibona.\n\nParfois arrogant et bagarreur, son côté mauvais garçon n’empêche pas de susciter l’admiration de tous au regard de son talent. Il rejoint ensuite le Real Madrid en 1988 et brille au plus haut niveau européen, notamment en finale de la Coupe des Coupes face au Caserta d’Oscar Schmidt (62 points au compteur). Pendant cette décennie, il devient l’un des fers de lance de la sélection yougoslave aux côtés de Vlade Divac, Dino Radja ou encore Toni Kukoc et remporte le championnat d’Europe 1989 en dominant la compétition comme rarement auparavant (près de 30 points à 75% à 2-points et 70% à 3-points, et meilleur passeur avec 6 offrandes par match). Des exploits repassés un à un au Memorial Center.\n\nIl a ouvert la voie aux Européens en NBA\n\nAprès avoir tout gagné en Europe, Drazen Petrovic s’envole pour la NBA et Portland qui l’avait déjà drafté trois années auparavant (60e choix de draft 1986). Mais, pour la première fois de sa carrière, il n’est pas la star de son équipe, emmenée par ses américains Drexler, Kersey, Porter ou encore Duckworth et son coach Rick Adelman. La saison suivante, après les championnats du monde 1990 où il ridiculise en finale les jeunes Américains emmenés par Alonzo Mourning – le dernier titre de la sélection yougoslave avant la scission au cours de la Guerre des Balkans -, Drazen Petrovic est transféré aux New Jersey Nets, franchise avec laquelle il se fera définitivement un nom outre-Atlantique. Chuck Daly en fait son leader offensif aux côtés de Derrick Coleman ou encore Kenny Anderson. Lors des deux saisons suivantes, il inscrit plus de 20 points par match, une première pour un Européen en NBA, et affiche le meilleur pourcentage de tous les arrières de NBA (52 % aux tirs, dont 44 % à 3-points). La meilleure ligue du monde reconnaît enfin le talent d’un joueur formé en Europe et le récompense logiquement du trophée de meilleure progression de l’année 1992.\n\nA l’été 1992, la Croatie fait sa première sortie en compétition internationale et s’offre une finale olympique face à la grande Dream Team. Face à son coach, Drazen Petrovic finit meilleur marqueur de la finale avec 24 points, devançant même les 22 points de Michael Jordan. Petro est alors au sommet de son art lors de la saison 1992-1993. Il est élu dans le 3e cinq majeur de la saison, pas suffisant pourtant pour faire de lui le premier européen All-Star de l’histoire, malgré des stats hallucinantes. Se sentant trahi, Drazen Petrovic évoque un retour en Europe au Panathinaïkos. Tout cela n’arrivera malheureusement pas. La carrière et la vie du prodige prennent fin le 7 juin 1993, il y a 28 ans jour pour jour, sur une autoroute allemande. Le monde du basket pleure l’une des pionniers du basket international qui a réussi à faire tomber toutes les barrières sur les préjugés des basketteurs européens en NBA, ouvrant la voie à Dirk Nowitzki, Tony Parker ou encore Pau Gasol…\n\nCette histoire, et bien d’autres, vous seront racontées lors de votre passage au Drazen Petrovic Memorial Center par des guides passionnés et passionnants, en Anglais ou en langue étrangère. Vous y trouverez également des donations exceptionnelles de Luka Doncic, Goran Dragic, Stephen Curry ou encore de Novak Djokovic. Une expérience d’une petite heure dans le centre-ville de Zagreb conseillée à tout fan de basket visitant la capitale croate, dans un musée situé sur la place qui porte également son nom. Si vous êtes anglophone, il est aussi possible de poursuivre l’expérience après la visite et de rester visionner plusieurs documentaires. Et en prime, vous repartirez avec votre carte postale du musée, une petite attention qui marquera sans doute les plus passionnés d’entre vous. A noter qu’une nouvelle exposition intitulée Drazen à travers les yeux des fans a été mise en place cette année pour continuer d’écrire la légende du petit Mozart du basket. Si le voyage en Croatie en temps de pandémie n’est pas à l’ordre du jour, on vous conseille le documentaire Once Brothers d’ESPN retraçant les carrières des meilleurs joueurs de la dernière grande génération yougoslave et la façon dont la guerre les a déchirés, avec Vlade Divac en narrateur, et un point d’honneur sur la carrière de Drazen Petrovic.\n\nLes sportifs qui possèdent un musée à leur effigie se comptent sur les doigts d’une main en Europe, preuve de l’impact laissé par leur carrière dans leur région d’origine mais aussi au-delà. L’immense footballeur Cristiano Ronaldo à Madère et Drazen Petrovic à Zagreb en sont deux parfaits exemples. Ceci pour situer aux plus jeunes d’entre nous la trace qu’a laissée Drazen dans les mémoires et l’histoire du basket mondial.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n« Le musée rappellera les moments les plus brillants du basket croate. Beaucoup de jeunes ont entendu parler de Drazen mais ne l’ont pas connu. Ils en ont l’occasion ici. » Cette volonté de conserver l’héritage de Drazen Petrovic, c’est celle de Stojko Vrankovic, ancien pivot croate membre de la sélection nationale arrivé en NBA en 1990, une année après Petro. Il est aujourd’hui directeur de la fondation Drazen Petrovic qui est à l’origine du Memorial Center. C’est avec cette envie de laisser vivre le petit Mozart du basket à travers ses exploits mais aussi ceux d’autres grands sportifs yougoslaves qu’est né ce musée le 7 juin 2006, 13 ans après sa mort dans un accident de voiture à l’âge de 28 ans. Aujourd’hui, il est ouvert toute l’année grâce aux efforts conjoints de la fondation Drazen Petrovic, du gouvernement croate, de la ville de Zagreb et du musée des sports croates. Ce sont les parents de Drazen – Biserka et Joleta Petrovic – et les architectes Andrija Rusan et Niksa Bilic qui sont à l’origine du projet et de sa mise en action. On y trouve plus de 4 000 objets – médailles, coupes, maillots, photographies, vidéos – autour de la carrière exceptionnelle du virtuose croate, un grand athlète mais aussi un grand homme.\n\nTrès vite, un gamin à l’abondante coupe afro rappelant presque celle de Julius Erving se fait remarquer par son talent incroyable et une finition d’exception. Né le 22 octobre 1964 à Sibenik, il commence sa carrière à seulement 15 ans, presque par hasard, avec l’équipe première de Sibenka. En finale de la coupe Korac 1982 contre le Limoges CSP, le jeune Drazen inscrit 19 points à tout juste 17 ans. Un an plus tard, il offre le titre de champion à Sibenik. A l’entraînement, Drazen Petrovic répète ses gammes malgré une malformation à la hanche, censée le gêner dans ses déplacements. Chaque jour, il enfile 500 shoots et 200 lancers francs…\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhotos : Clément Carton / Memorial Center", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/06/drazenp.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-02T05:10:00.000Z", "updated_at":"2021-12-08T14:58:22.000Z", "published_at":"2021-09-02T05:10:00.000Z", "custom_excerpt":"Comparé dès son plus jeune âge à Mozart pour sa précocité et son talent unique, Drazen Petrovic a comme lui consacré chaque instant de sa vie à sa seule passion : le basket. 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Après Champagne Basket mardi, un autre club doit chambouler ses plans de présaison après la découverte de cas positifs au Covid-19. Le Maccabi Tel Aviv a annoncé cinq nouveaux cas – trois joueurs et deux membres du staff – et a décidé d’annuler sa venue au tournoi de présaison en Grèce. C’est le Peristeri qui remplace le club.
« Nous prenons toutes les précautions possibles et souhaitons rappeler que tous les joueurs et membres du staff sont vaccinés, y compris les cinq personnes qui ont eu un résultat PCR positif », rappelle le club israélien engagé en Euroleague par communiqué.
Photo : Ante Zizic (Euroleague)
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Arrivé fin janvier au Fenerbahçe, le pivot américain avait compilé 7,2 points et 4,5 rebonds de moyenne entre l’Euroleague et le championnat de Turquie en 24 matches la saison dernière. Le numéro 49 de la Draft 2012 aux 472 apparitions en NBA (5,4 points, 4,6 rebonds et 1,0 contre en moyenne) avait la réputation de faire le travail de l’ombre dans la Grande Ligue, entre Orlando, New York, Indiana et Philadelphie. Avec une signature comme celle-ci, le club de David Kahn va devoir assumer un tout nouveau statut.
Photo : Kyle O’Quinn (Euroleague)
", "comment_id":"563701", "plaintext":"Après huit saisons en NBA et une du côté de Fenerbahçe, Kyle O’Quinn se dirige vers le promu en Betclic Elite, le Paris Basketball.\n\nC’est un énorme coup que s’apprête à faire le Paris Basket. Kyle O’Quinn (2,06 m, 31 ans), huit saisons NBA au compteur, devrait rejoindre le club de la capitale. Selon le journaliste grec George Zakkas, les deux parties se sont mises d’accord. Par un tweet énigmatique, le Paris Basket a laissé entendre que l’intérieur a été proposé au club contre tout attente.\n\nArrivé fin janvier au Fenerbahçe, le pivot américain avait compilé 7,2 points et 4,5 rebonds de moyenne entre l’Euroleague et le championnat de Turquie en 24 matches la saison dernière. Le numéro 49 de la Draft 2012 aux 472 apparitions en NBA (5,4 points, 4,6 rebonds et 1,0 contre en moyenne) avait la réputation de faire le travail de l’ombre dans la Grande Ligue, entre Orlando, New York, Indiana et Philadelphie. Avec une signature comme celle-ci, le club de David Kahn va devoir assumer un tout nouveau statut.\n\n\nKyle O'Quinn is expected to stay in Europe, as he has agreed to terms with Paris Basketball, according to @SdnaGr sources.\n\n— George Zakkas (@ZakkasGeorge) September 1, 2021\n\n\nPhoto : Kyle O’Quinn (Euroleague)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/kyle-oquinn-euroleague.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-01T20:00:34.000Z", "updated_at":"2021-09-02T13:39:52.000Z", "published_at":"2021-09-01T20:00:34.000Z", "custom_excerpt":"Après huit saisons en NBA et une du côté de Fenerbahçe, Kyle O’Quinn se dirige vers le promu en Betclic Elite, le Paris Basketball.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ee7", "uuid":"e118e598-982e-48e5-8b76-4fed167b2680", "title":"Elan Chalon : Vincent Bergeret remplace l’historique Dominique Juillot à la présidence", "slug":"elan-chalon-vincent-bergeret-remplace-lhistorique-dominique-juillot-a-la-presidence", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Après 28 ans à la présidence de l’Elan Chalon, Dominique Juillot avait annoncé en mai dernier son intention de transmettre le flambeau après avoir mené le club de la troisième division au plus haut niveau national et international : 2 Coupes de France en 2011 et 2012, 2 titres de Champion de France en 2012 et 2017, et de multiples titres nationaux en U18 ou U21. Sur la scène internationale, ce sont 3 finales Européennes en 2001, 2012 et 2014, une participation à l’Euroleague en 2012/2013 et l’organisation d’un Final Four au Colisée en avril 2014.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Aujourd’hui, le club annonce l’arrivée de Vincent Bergeret à la Présidence du club. Après avoir travaillé pendant 20 ans dans l’industrie locale, puis 9 ans au port de commerce de Chalon sur Saône, il dirige toujours aujourd’hui l’entreprise Qual Gestion qu’il a créé en 2015, et il est maire de Châtenoy le Royal depuis 2017. Il suit l’Elan Chalon depuis 25 ans.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« J’ai été très surpris et sincèrement touché que Dominique Juillot et le nouveau Comité directeur aient pensé à moi. L’Elan Chalon est une passion de longue date, j’ai vibré avec ce club lors de nos grandes victoires en vivant des émotions que seul le sport peut apporter. C’est un très beau challenge, pour une direction du club que nous souhaitons collégiale, avec un seul objectif, la remontée en Betclic Elite dès la saison prochaine, » déclare le nouveau président.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Après 28 ans à la présidence de l’Elan Chalon, Dominique Juillot avait annoncé en mai dernier son intention de transmettre le flambeau après avoir mené le club de la troisième division au plus haut niveau national et international : 2 Coupes de France en 2011 et 2012, 2 titres de Champion de France en 2012 et 2017, et de multiples titres nationaux en U18 ou U21. Sur la scène internationale, ce sont 3 finales Européennes en 2001, 2012 et 2014, une participation à l’Euroleague en 2012/2013 et l’organisation d’un Final Four au Colisée en avril 2014.
Aujourd’hui, le club annonce l’arrivée de Vincent Bergeret à la Présidence du club. Après avoir travaillé pendant 20 ans dans l’industrie locale, puis 9 ans au port de commerce de Chalon sur Saône, il dirige toujours aujourd’hui l’entreprise Qual Gestion qu’il a créé en 2015, et il est maire de Châtenoy le Royal depuis 2017. Il suit l’Elan Chalon depuis 25 ans.
« J’ai été très surpris et sincèrement touché que Dominique Juillot et le nouveau Comité directeur aient pensé à moi. L’Elan Chalon est une passion de longue date, j’ai vibré avec ce club lors de nos grandes victoires en vivant des émotions que seul le sport peut apporter. C’est un très beau challenge, pour une direction du club que nous souhaitons collégiale, avec un seul objectif, la remontée en Betclic Elite dès la saison prochaine, » déclare le nouveau président.", "comment_id":"563679", "plaintext":"Après 28 ans à la présidence de l’Elan Chalon, Dominique Juillot avait annoncé en mai dernier son intention de transmettre le flambeau après avoir mené le club de la troisième division au plus haut niveau national et international : 2 Coupes de France en 2011 et 2012, 2 titres de Champion de France en 2012 et 2017, et de multiples titres nationaux en U18 ou U21. Sur la scène internationale, ce sont 3 finales Européennes en 2001, 2012 et 2014, une participation à l’Euroleague en 2012/2013 et l’organisation d’un Final Four au Colisée en avril 2014.\n\nAujourd’hui, le club annonce l’arrivée de Vincent Bergeret à la Présidence du club. Après avoir travaillé pendant 20 ans dans l’industrie locale, puis 9 ans au port de commerce de Chalon sur Saône, il dirige toujours aujourd’hui l’entreprise Qual Gestion qu’il a créé en 2015, et il est maire de Châtenoy le Royal depuis 2017. Il suit l’Elan Chalon depuis 25 ans.\n\n« J’ai été très surpris et sincèrement touché que Dominique Juillot et le nouveau Comité directeur aient pensé à moi. L’Elan Chalon est une passion de longue date, j’ai vibré avec ce club lors de nos grandes victoires en vivant des émotions que seul le sport peut apporter. C’est un très beau challenge, pour une direction du club que nous souhaitons collégiale, avec un seul objectif, la remontée en Betclic Elite dès la saison prochaine, » déclare le nouveau président.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/09/vincent-bergeret-e1630515402757.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-01T16:53:20.000Z", "updated_at":"2021-09-01T16:56:59.000Z", "published_at":"2021-09-01T16:53:20.000Z", "custom_excerpt":"Après 28 ans à la présidence de l’Elan Chalon, Dominique Juillot avait annoncé en mai dernier son intention de transmettre le flambeau après avoir mené le club de la troisième division au plus haut niveau national et international : 2 Coupes de France en 2011 et 2012, 2 titres de Champion de France ", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ee8", "uuid":"678bf313-5a80-4fc2-9263-3e8b38301bbc", "title":"LFB : Le Match des Champions Basket Landes vs Lattes-Montpellier sur Sport en France", "slug":"lfb-le-match-des-champions-basket-landes-vs-lattes-montpellier-sur-sport-en-france", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://t.co/1NJU93c6z9\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0,1],1,\"Sport en France \"],[0,[],1,\"a annoncé que dans son programme de rentrée s’inscrit Le Match des Champions, qui ouvrira officiellement la saison de la Ligue Féminine.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Celui-ci a été décalé au dimanche 26 septembre, à 15h. Il mettra aux prises, au Stade Pierre-de-Coubertin à Paris, le champion de France 2021, Basket Landes, au vainqueur de la Coupe de France, Lattes-Montpellier.\"]]],[10,0]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Sport en France a annoncé que dans son programme de rentrée s’inscrit Le Match des Champions, qui ouvrira officiellement la saison de la Ligue Féminine.
Celui-ci a été décalé au dimanche 26 septembre, à 15h. Il mettra aux prises, au Stade Pierre-de-Coubertin à Paris, le champion de France 2021, Basket Landes, au vainqueur de la Coupe de France, Lattes-Montpellier.
La SIG Strasbourg vient de signer Georgi Joseph (1,97m, 38 ans), afin de palier l’absence de Yannis Morin victime d’une fracture du gros orteil.
Qu’on se le dise, le pivot Georgi Joseph est toujours dans le circuit et peut rendre des services, cette fois comme pigiste médical à la SIG. Ce sera son 11e club, le précédent étant Le Portel.
« C’est bien d’avoir l’opportunité de signer un joueur tel que Georgi dans une période si difficile pour nous. Il va beaucoup nous aider en apportant sa dureté dans le jeu, mais aussi son expérience. De plus, son arrivée permettra à Yannis de ne pas se mettre une trop grosse pression, car nous voulons qu’il revienne en pleine possession de ses moyens et nous l’espérons pour le mois d’octobre, » commente le directeur sportif, Nicola Alberani.
Le coach Lassi Tuovi ajoute :
« C’est vraiment dommage pour Yannis. Sa carrière sous le maillot de la SIG Strasbourg est jusque maintenant malchanceuse. J’espère vraiment que ceci sera la dernière étape avant un retour et une saison sans blessure. Mais Yannis est très motivé, c’est une bonne chose car nous avons besoin de lui. Avec son absence, nous avions besoin d’un renfort rapide, qui connait la ligue et qui pouvait nous apporter de la maturité. Georgi va nous aider de nombreuses façons durant cette présaison et nous sommes très heureux de sa signature pour palier à l’absence de Yannis ».
Photo: ESSM Le Portel
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Scoreur dans l’âme, physique, ‘Américain était arrivé en Principauté à l’été 2021, en provenance d’Allemagne (MHP Riessen), et il avait apporté une sérieuse contribution aussi bien en Jeep Elite (11,3 points) qu’en Eurocup.
Photo: Eurocupbasketball
", "comment_id":"563648", "plaintext":"Surprise : l’AS Monaco se sépare de son poste 2, Marcos Knight (1,88m, 31 ans) en évoquant des « soucis d’ordre administratif. »\n\nScoreur dans l’âme, physique, ‘Américain était arrivé en Principauté à l’été 2021, en provenance d’Allemagne (MHP Riessen), et il avait apporté une sérieuse contribution aussi bien en Jeep Elite (11,3 points) qu’en Eurocup.\n\n\n🔴⚪️ La #RocaTeam continue sans 𝗠𝗮𝗿𝗰𝗼𝘀 𝗞𝗻𝗶𝗴𝗵𝘁 🔁 En proie à des soucis d’ordre administratif, Marcos n’a malheureusement pas pu rejoindre le stage de préparation à Bormio, terminé aujourd’hui. Merci pour ce qu’il a apporté au club et bonne chance pour la suite 🤞 pic.twitter.com/OPMWkYCZLk\n\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) September 1, 2021\n\n\nPhoto: Eurocupbasketball", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/marcos-knight-as-monaco-is-eurocup-champ-2020-21-ec-finals-kazan-ec2020.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-01T08:22:10.000Z", "updated_at":"2021-09-01T08:22:18.000Z", "published_at":"2021-09-01T08:22:10.000Z", "custom_excerpt":"Surprise : l’AS Monaco se sépare de son poste 2, Marcos Knight (1,88m, 31 ans) en évoquant des « soucis d’ordre administratif. »", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99eec", "uuid":"ecc66bf4-f4ab-4d0d-85b2-b3784f1c259a", "title":"La billetterie du All-Star Game de la LNB est ouverte", "slug":"la-billetterie-du-all-star-game-de-la-lnb-est-ouverte", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://tjed.maillist-manage.eu/click.zc?m=1&mrd=1aeaef1eb3278f1&od=3z451b62959c6defe526c2741dc76f66d4&linkDgs=1aeaef1eb32887f&repDgs=1aeaef1eb327a4d\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"u\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le All Star Game, l’évènement basket de fin d’année est de retour pour cette saison 21-22 après son annulation en 2020 en raison du COVID-19.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le All Star Game célébrera son retour et celui de son public, sur les parquets de l’Accor Arena, le mercredi 29 décembre. À guichets fermés depuis 2003, le All Star Game ouvre sa billetterie aujourd’hui à partir de 10h.\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"Véritable institution et inspiré du célèbre All Star Game NBA et son show à l’américaine, le rendez-vous incontournable du basket français réunira comme d’habitude les meilleurs joueurs de Betclic Élite pour un spectacle agrémenté d’une mise en scène dynamique, des animations toujours plus inédites, de nombreuses surprises sans oublier les fameux concours de dunks, de tir à 3 points et du meilleur meneur.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Cliquez sur ce lien \"],[0,[],0,\"pour acheter vos places.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0,2],2,\"INFOS BILLETTERIE\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Catégorie 4 : 19 euros Catégorie 3 : 27 euros Catégorie 2 : 39 euros Catégorie 1 : 49 euros Carré Or : 76 euros\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"LES DATES CLÉS\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"1er Septembre : Ouverture de la billetterie, 29 décembre : All Star Game LNB, 17h30 : Ouverture des portes, 19h00 : Début du show22h30 : Fin de l’événement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[3],1,\"Photo: LNB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le All Star Game, l’évènement basket de fin d’année est de retour pour cette saison 21-22 après son annulation en 2020 en raison du COVID-19.
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Véritable institution et inspiré du célèbre All Star Game NBA et son show à l’américaine, le rendez-vous incontournable du basket français réunira comme d’habitude les meilleurs joueurs de Betclic Élite pour un spectacle agrémenté d’une mise en scène dynamique, des animations toujours plus inédites, de nombreuses surprises sans oublier les fameux concours de dunks, de tir à 3 points et du meilleur meneur.
Cliquez sur ce lien pour acheter vos places.
INFOS BILLETTERIE
Catégorie 4 : 19 euros Catégorie 3 : 27 euros Catégorie 2 : 39 euros Catégorie 1 : 49 euros Carré Or : 76 euros
LES DATES CLÉS
1er Septembre : Ouverture de la billetterie, 29 décembre : All Star Game LNB, 17h30 : Ouverture des portes, 19h00 : Début du show22h30 : Fin de l’événement.
Photo: LNB
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Des membres de l’effectif marnais ont été contaminés par le virus, sans que le club en livre les noms. Un autre match de préparation face au SLUC Nancy a également été annulé.
« En attendant, les entraînements devraient se poursuivre normalement pour les joueurs non touchés par le Covid. En effet, une personne vaccinée n’est pas considérée comme cas contact, et peut donc continuer ses activités normalement », précise L’Union.
Pour son premier livre, Alain Moire, qui fut journaliste à Ouest France, et dans des télévisions et radios locales, a choisi un roman policier, qui a pour cadre le milieu qu’il connait le mieux, le basket, puisqu’il a suivi de nombreuses années Le Mans Sarthe Basket.
Son titre : L’ultime balle de match. « Elvin Deaton, basketteur professionnel, récemment recruté par le Sporting-Club, club phare de la Capitale du Maine, est retrouvé mort à son domicile, tué par balle. Le jeune journaliste Marc Morel et l’expérimenté capitaine de gendarmerie Francis Schubert, qui ne se sont jamais rencontrés, enquêtent en parallèle sur les circonstances du décès du joueur américain. La thèse du suicide rapidement écartée, l’affaire soulève de multiples interrogations et ouvre la voie à toutes les hypothèses. Qui avait intérêt à supprimer le sportif connu pour ses frasques, ses incartades ? Affaire de mœurs, histoire d’argent, rivalité sportive exacerbée entre coéquipiers, conflit d’intérêt ? Les pistes potentielles sont multiples… et les non-dits nombreux, » est t-il écrit en teasing. Interview de l’auteur.
Qu’est-ce qui vous a donné l’idée d’écrire un roman policier avec comme trame le basket ?
Il y a quelques années, j’ai lu un polar sur le foot et je me suis dit, « le mec qui a écrit ça, il n’est jamais allé dans le milieu pro du foot. » C’est une idée à creuser, il y a peu de polars dans le milieu du sport, et quand j’aurai un peu de temps, je pourrai en faire un. J’ai assez vite imaginé l’idée d’un joueur qui se ferait assassiner. Après, il a fallu échafauder tout ça, ce qui n’est pas si simple. Il faut avoir l’esprit un peu tordu ! Par définition, tu inventes des trucs que tu n’as jamais rencontré durant ta carrière professionnelle. J’ai fait ça sur les deux ou trois dernières années, et je l’ai fini cet hiver comme j’étais confiné. J’ai remanié mon histoire pour lui donner un peu plus de consistance. Je n’ai aucune prétention littéraire. Si on me dit que c’est de la littérature de gare, ça ne me vexe pas. Il y a quarante ans, quand j’ai commencé, je ne me suis jamais dit que je ferai un bouquin. Je fais ça en toute humilité. Je l’ai fait lire à ce qu’ils appellent des béta lecteurs, des testeurs avec un profil différent, quatre, cinq personnes que je connais, mais qui, à part un qui est journaliste, n’évolue pas dans le milieu. Il y a un musicos, un kiné, qui m’ont dit que ça se lit tranquille.
Visiblement, vous vous êtes servi de votre propre expérience pour le cadre car le club du joueur s’appelle le Sporting, or vous avez été un temps le président du Sporting Club Moderne dont le MSB est l’émanation ?
J’étais président de la structure amateur, et j’avais surtout hérité des dettes ! (rires) Mais j’ai inventé le club, un quartier, ça pourrait être le MSB, mais aussi un autre club pro. C’est quelqu’un qui se fait déssouder. Pourquoi ? Par qui ? Je me suis effectivement servi de mon expérience, mais ce n’est pas moi qui est en scène. Je n’ai pas de message à faire passer, c’est simplement pour passer un bon moment. C’est le plaisir d’écrire, et si les gens sont contents de lire ça, tant mieux.
Est-ce facile de trouver un éditeur pour un roman policier sur le basket ?
J’ai rencontré par hasard cette maison d’édition, Nombre 7, qui est nîmoise, à Lattes où j’habite, il y a deux mois et demis. Ils ont un booking truck et ils se déplacent avec deux ou trois auteurs. Je suis allé les voir. Je leur ai dit que j’avais un manuscrit. J’avais candidaté ailleurs. Certains me demandaient de l’argent, d’autres ne m’ont pas répondu. Je leur ai envoyé et deux semaines après, le directeur m’a appelé en disant qu’il l’avait lu et il m’a demandé ce que je faisais comme métier. Journaliste. Ils m’ont dit ok, on l’édite. C’est une petite maison, ça a matché humainement. Ils assurent la correction, la mise en page, le boulot auprès des libraires, les plates formes numériques, chez eux, ils suggèrent des choses. Ils ne peuvent pas tout faire au niveau de la promo, ils font un tout petit service de presse.
L’ultime balle de match est disponible chez l’éditeur et sur toutes les plateformes de vente (Amazon, Fnac, Decitre, Cultura). Il est également disponible en format e-book. Ou encore chez votre libraire habituel qui vous le commandera.
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J’ai remanié mon histoire pour lui donner un peu plus de consistance. Je n’ai aucune prétention littéraire. Si on me dit que c’est de la littérature de gare, ça ne me vexe pas. Il y a quarante ans, quand j’ai commencé, je ne me suis jamais dit que je ferai un bouquin. Je fais ça en toute humilité. Je l’ai fait lire à ce qu’ils appellent des béta lecteurs, des testeurs avec un profil différent, quatre, cinq personnes que je connais, mais qui, à part un qui est journaliste, n’évolue pas dans le milieu. Il y a un musicos, un kiné, qui m’ont dit que ça se lit tranquille.\n\nVisiblement, vous vous êtes servi de votre propre expérience pour le cadre car le club du joueur s’appelle le Sporting, or vous avez été un temps le président du Sporting Club Moderne dont le MSB est l’émanation ?\n\nJ’étais président de la structure amateur, et j’avais surtout hérité des dettes ! (rires) Mais j’ai inventé le club, un quartier, ça pourrait être le MSB, mais aussi un autre club pro. 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Au total, 12 équipes féminines et 12 équipes masculines constitueront le plateau et près de 2 000 places assises seront accessibles gratuitement aux spectateurs.
Les équipes qualifiées :
Femmes : Allemagne, Belgique, Espagne, France, Hongrie, Israël, Lituanie, Pays-Bas, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Ukraine Hommes : Autriche, Belgique, Estonie, France, Israël, Lituanie, Pays-Bas, Pologne, Russie, Serbie, Slovénie, Ukraine
Informations pratiques :
– Entrée gratuite- Pass sanitaire: Les spectateurs devront fournir, en format papier ou numérique, l’un des trois éléments listés ci-dessous accompagné d’une pièce d’identité :
• une attestation de vaccination (statut vaccinal complet) • un test négatif (PCR ou antigénique) datant de moins de 48h • un certificat de rétablissement de la Covid-19 (c’est à dire la production d’un résultat de test positif de plus de onze jours et de moins de six mois).Plus d’info sur le pass sanitaire–
Lieu: Place du Trocadéro – Métro ligne 6 et ligne 9, station Trocadéro – Bus 22, 30, 32, 63 et 72
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En fait, c’était un peu « cette saison ou rien » parce que, dans le deal que j’avais fait avec mes parents par rapport au basket, il fallait que je sois performant cette saison sinon ça allait devenir compliqué pour que je continue le sport de haut niveau sans miser sur l’école à fond. Après, on ne peut pas dire que j’avais prévu qu’on soit champions de France avec les pros, mon objectif était surtout d’être performant avec les Espoirs pour intégrer le groupe pro.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quelques jours après le titre en Jeep Elite, l’euphorie est-elle retombée ?\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Si vous m’aviez posé cette question pour le titre Espoirs, j’aurais encore été sur mon petit nuage. Mais en soi, pour le titre avec les pros, je garde les pieds sur terre. J’étais avec eux, mais je n’ai pas eu un rôle important. C’est normal, c’est le début de ma carrière. J’ai contribué un peu, mais pas tant que ça. J’ai plus été partenaire d’entraînement que j’ai joué en match. Il n’y a qu’un seul match où j’ai vraiment joué (\"],[0,[1],1,\"NDLR : 9 points, 2 rebonds en 19 minutes contre Monaco le 18 juin\"],[0,[],0,\"). Le reste, ce n’était que des bouts de minutes. Au final, je suis beaucoup plus les pieds sur terre qu’avant. J’ai un titre de champion de France entre guillemets. Mais le but, c’est de redevenir champion de France en ayant un rôle plus important cette fois-ci.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"De toutes les compétitions que vous avez joué cette année, le Trophée du Futur est celui où vous avez eu le plus de possibilités de vous exprimer sur le terrain. Comment avez-vous vécu ce titre, celui qui vous a le plus exposé au grand public ?\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"C’est un ensemble d’émotions. C’est beaucoup de joie, beaucoup de fatigue, de stress, d’énervement… parce qu’il y a certains matches qu’on a gagnés de beaucoup, d’autres où ça a été plus difficile. En finale contre Cholet, on est largués à la mi-temps… On est menés de 20 points, on revient, finalement on gagne le titre (\"],[0,[1],1,\"NDLR : victoire 74-57, 47-17 en deuxième mi-temps\"],[0,[],0,\"), je remporte le titre de MVP, je donne le trophée à mon coéquipier. Franchement, l’histoire, comment elle est racontée, c’est beau. Même dans un film, on ne peut pas penser à ça. Cette saison, c’était exactement dans les plans que je voulais quand je suis arrivé ici. Le but, c’était de me faire un nom, que je me montre, et de gagner. Au Trophée du Futur, on était en mission. Je me suis dit « c’est maintenant ou jamais »… Ce n’est pas une question de statistiques personnelles, c’est une question de gagner. Si je dois mettre 24 points en 19 minutes comme je l’ai fait en quart de finale pour qu’on gagne, tant mieux, mais si j’ai besoin de mettre 4 points pour qu’on gagne, il n’y a pas de soucis pour me mettre au service du collectif.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"En finale du Trophée du Futur, vous êtes menés de 13 points par Cholet à la mi-temps avant de passer un +30 en deuxième mi-temps. Que s’est-il passé à la pause ?\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"Je vais faire la version sans les gros mots mais on s’est parlés pour de vrai, avec notre langage à nous, on s’est dit les choses. On s’est dit, « les gars, on s’est toujours donné à fond sur le terrain depuis le début de la saison, on a toujours mis de l’intensité et là, on est en finale, ça fait X temps que l’ASVEL n’a pas gagné le Trophée du Futur, c’est pas maintenant qu’on va tout gâcher ». Mais c’était dans des termes bien plus crus et ça a fait la différence en deuxième mi-temps. On leur est rentrés dedans, on a mis énormément d’intensité, ils ne s’y attendaient pas. C’était juste une question d’intensité. Ça venait du public, chaque défense, tout le monde criait. Honnêtement, c’est le match le plus intense que j’ai vécu dans ma jeune carrière.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous terminez MVP en donnant le trophée à votre coéquipier Kevin Kokila. C’est un très beau geste…\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"Ce geste-là, il a fait beaucoup plus de bruit que je pensais. Franchement, ce n’était pas vraiment réfléchi au départ, c’était juste logique pour moi. Pour que je sois MVP, il fallait qu’on gagne la finale. Autrement, je peux faire n’importe quelle performance, si on ne gagne pas, je ne suis pas MVP. C’est grâce à lui qu’on gagne la finale (\"],[0,[1],1,\"NDLR : Kevin Kokila a inscrit 21 points, Elwin Ndjock 6\"],[0,[],0,\"). Pour moi, il y avait un trio qui se dessinait entre Kymany (Houinsou), Kevin et moi. Kymany et moi, on avait déjà eu notre trophée de 5 majeur de la saison et Kevin, il n’avait rien eu. Sans ça, sa saison n’aurait pas été appréciée à sa juste valeur.\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le coach des Espoirs de l’ASVEL, Anthony Brossard dit de vous : « Elwin a cru en lui avant que nous croyons en lui. Il est tellement travailleur qu’il a tendance parfois à se fondre dans l’équipe. Mais une fois qu’il a trouvé son rôle, il est devenu un leader. D’ailleurs, c’est magnifique ce qu’il a fait en donnant son titre de MVP à Kevin Kokila. C’est à son image. » C’est ce qui vous caractérise aujourd’hui ?\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"Je le remercie énormément pour ce qu’il a dit. C’est vrai qu’il m’a aidé sur beaucoup de choses, notamment sur la connaissance du jeu en me donnant énormément de conseils. C’est une des personnes qui a été le plus influentes pour moi dans le basket. Il a raison dans son discours : au début de la saison, personne ne me connaissait. J’ai toujours été là à l’ASVEL, j’ai fait le pôle Espoirs, mais j’étais le dernier, j’étais le 12e homme. J’ai toujours été là, mais dans l’ombre entre guillemets. Et ça, ça m’a donné un vrai avantage. Parce que maintenant, je fais partie de ceux qui sont sur le devant de la scène, mais je sais ce que ça fait d’être derrière la scène, et pas quand j’étais tout petit, dans un passé récent ! Je sais ce que ça fait quand un coach ne croit pas en toi, quand personne ne croit en toi à part toi-même. Quand Anthony Brossard dit « il a cru en lui avant que nous croyons en lui », c’est vraiment vrai. Après, en moindre mesure, c’est toujours le cas aujourd’hui. C’est-à-dire que là où je veux aller, je pense qu’il y a beaucoup de personnes qui croient que je ne peux pas aller là-bas. Il y a encore pas si longtemps, c’est vrai que c’était compliqué. Le seul refuge que j’avais, c’était le travail. Maintenant, le travail commence à payer. Même si c’est bien ce que j’ai fait cette année, je n’ai pas encore réussi.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Selon vous, quelles sont vos forces et faiblesses et sur quels points faut-il progresser ?\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"Je suis un scoreur naturel, je suis capable de scorer aux trois niveaux : je peux driver, shooter à mi-distance ou à 3-points, je suis capable de créer mon propre tir. J’ai un catch-and-shoot fiable. Aussi, je suis grand, athlétique. Après, je dois encore progresser dans tous les compartiments du jeu pour être le plus dominant possible dans la meilleure ligue possible. Tant qu’on n’est pas le meilleur du monde dans un domaine, on peut toujours continuer de travailler. Il faut encore que je progresse offensivement pour transférer ce que j’ai fait en Espoirs chez les pros. J’ai longtemps été petit donc ce n’est pas forcément naturel d’aller au rebond, il faut que je progresse là-dessus et que je joue un peu plus avec mon physique. Il faut aussi que je montre que je sais jouer au post-up et que je suis capable de tout faire en attaque, tout en étant capable d’être intense en défense.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous étiez annoncé à 1,90 m par la LNB la saison dernière, à 2,00 m cette saison, une croissance sur le tard…\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"Pour être honnête, je ne sais même pas si j’ai terminé de grandir. La chance que j’ai, c’est que je grandis mais que je garde mes qualités athlétiques. Si on me met sur un petit, je vais peut-être pouvoir provoquer au post-up. Maintenant, je peux être en mismatch par rapport à eux et amener des décalages, le tout en étant capable de scorer aux trois niveaux. Ce n’est pas un secret, être plus grand, ça aide dans le basket, ça m’aide dans tout.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Kymany Houinsou, Victor Diallo et vous, comment vous êtes-vous intégré dans cette équipe professionnelle, avec la possibilité de vous exprimer en fin de saison avec beaucoup de blessés et d’internationaux partis en équipe de France ?\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"Déjà, on espère jamais qu’il y ait des blessés, surtout dans l’équipe professionnelle. Après, je pense que je suis tombé sur un très bon groupe. Il y a beaucoup de personnes qui m’ont donné des conseils, que ce soit sur mon poste ou non d’ailleurs. Je ne connais pas vraiment le monde pro, je ne devais même pas être avec eux à la base, je n’avais pas signé de contrat en début de saison. C’est juste qu’il y a eu l’opportunité à un moment de la saison. Un jour, on s’entraînait sur demi-terrain chacun de notre côté. Il manquait un joueur, ils m’ont appelé, j’ai fait quelques highlights et ils m’ont gardé, j’ai continué avec eux. Je me suis dit « maintenant il faut prendre de l’avance sur l’année prochaine » pour être dans le groupe pro à part entière. Il faut que j’écoute et que je saisisse l’opportunité. L’expérience de cette année, voir ce qu’il faut faire pour gagner, ça vaut tout. C’est que du bonus pour la suite de ma carrière.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quelle relation avez-vous eu avec le coaching staff de l’ASVEL ? Quels joueurs vous ont le plus appris ?\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"Franchement, je pourrais remercier l’entièreté de l’équipe. Paul Lacombe, Antoine Diot, William Howard, Moustapha Fall, Guerschon Yabusele… J’ai eu une relation privilégiée avec Charles Kahudi, il me suit depuis tout petit, j’avais fait des entraînements avec lui il y a déjà trois ans… Il donne des conseils, il reste humble, c’est un exemple. Amine Noua aussi, il est jeune mais il a commencé sa carrière très tôt. Même les Américains, ce sont des personnes qui m’aident vraiment en profondeur. David Lighty, j’ai défendu sur lui pendant toute l’année, ça m’a fait grandir bien sûr. Pareil pour Norris Cole, on pourrait se dire qu’avec sa carrière, il pourrait être arrogant, mais pas du tout, il vient, il reste humble, c’est un super bon gars pour les jeunes. Après, bien sûr, je m’entends très bien avec Matthew Strazel, on était ensemble en Espoirs. Ça passe par tout le monde, le coaching staff évidemment.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous êtes à la Tony Parker Adequat Academy depuis deux ans en complément des Espoirs. Comment ça se passe là-bas ? Qu’est-ce qui fait la différence par rapport à un centre de formation classique ?\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"Il faut savoir que je fais partie de l’académie mais j’ai un statut d’externe, je ne loge pas là-bas parce que j’habite juste à côté. Je tiens aussi à les remercier pour leur disponibilité parce que j’ai toujours une salle à disposition pour que je puisse m’entrainer. Ce qui est différent là-bas, c’est qu’il s’agit d’une structure de haut niveau, on a trois terrains à disposition, une salle de muscu, des infrastructures pour la récupération… Et puis, il n’y a pas que les infrastructures, les personnes qui travaillent ici aussi sont de haut niveau. Cette année, Anthony Brossard a bossé à fond pour nous, il n’y avait pas de limite. Mathieu Fauchart, le préparateur physique, Matthieu Cassard, qui s’occupait de vidéos, pareil. Ce sont des personnes qui ne comptent pas les heures. Je peux aussi citer Pierre Parker, c’est la première personne qui m’a donné ma chance en U18 pour que je puisse intégrer l’équipe Espoirs, ce qui n’était pas donné. Il m’a donné une opportunité. J’ai fait du travail individuel avec Jo Gomis aussi. A l’ASVEL et à la TP Academy, c’est un ensemble de structure qui fait qu’on a tout pour aller au haut niveau. Après, soit tu décides de venir avant et après les entraînements, soit tu l’utilises pas. Mais si tu veux, tu peux, c’est pour de vrai.\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quels jeunes joueurs vous impressionnent le plus à la Tony Parker Academy, lesquels faut-il le plus surveiller dans les années à venir ?\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"Les principaux, tout le monde les connait, ils sont déjà passés pro : Matthew Strazel, Marcus Gomis… En termes de joueurs dans mes catégories d’âge, il y a Kevin Kokila, Victor Diallo, Kymany Houinsou… Enfin, tout le monde le connait lui (rires). Concernant les plus jeunes, il y a Romain Parmentelot qui a explosé en Euroleague junior, Zaccharie Risacher, qui est impressionnant pour son jeune âge et qui travaille beaucoup. Il y a d’autres jeunes impressionnants comme Kenny Kasiama, qui est très complet, d’autres qui sont un peu plus dans l’ombre comme Darryl Doualla, Noah Manet… Globalement, il y a vraiment de la qualité dans ce groupe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Est-ce que vous serez toujours à l’ASVEL l’an prochain ?\"],[1,[],0,12],[0,[],0,\"Pour moi, l’ASVEL est le meilleur club de France, que ce soit en termes de structure ou de niveau de jeu, c’est le club dans lequel il faut être. Avant d’engager toute autre procédure avec un autre club, je privilégie l’ASVEL. J’ai signé mon premier contrat avec Villeurbanne et je serai avec l’équipe professionnelle la saison prochaine. Mon objectif, ce sera de performer le plus vite possible avec le groupe professionnel. Si j’arrive à faire ma place tout de suite, tant mieux, sinon il faudra patienter. Je me donne 2-3 ans pour me faire un nom sur la scène française et européenne. Après ça, je regarderai le futur. Le rêve de tout basketteur, c’est d’aller en NBA, et c’est pas si loin que ça. Avant, la NBA c’était plutôt un rêve. Maintenant, c’est plutôt un objectif, même si bien sûr, je suis en retard par rapport aux autres joueurs de ma génération. Théo Maledon, c’est un 2001 comme moi, il est déjà en NBA depuis un an, Killian Hayes aussi. Mais bon, j’ai toujours été considéré comme l’underdog, la personne qui est là, qui arrive sur le tard mais qui arrive à performer donc je ne me donne pas de limite.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’ASVEL est réputé pour donner sa chance aux jeunes. C’est donc un moyen de pouvoir mixer entre visibilité et projet sportif ?\"],[1,[],0,13],[0,[],0,\"Clairement. Il y a beaucoup de matches dans la saison donc, de base, si tu prends soin de ton corps, tu peux avoir des opportunités. Mis à part ça, je n’ai pas envie de miser sur les blessés pour me faire une place, c’est une question de niveau. Si tu as le niveau, jeune ou pas, tu joues. 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Après, on ne peut pas dire que j’avais prévu qu’on soit champions de France avec les pros, mon objectif était surtout d’être performant avec les Espoirs pour intégrer le groupe pro.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quelques jours après le titre en Jeep Elite, l’euphorie est-elle retombée ?\"],[1,[],0,15],[0,[],0,\"Si vous m’aviez posé cette question pour le titre Espoirs, j’aurais encore été sur mon petit nuage. Mais en soi, pour le titre avec les pros, je garde les pieds sur terre. J’étais avec eux, mais je n’ai pas eu un rôle important. C’est normal, c’est le début de ma carrière. J’ai contribué un peu, mais pas tant que ça. J’ai plus été partenaire d’entraînement que j’ai joué en match. Il n’y a qu’un seul match où j’ai vraiment joué (\"],[0,[1],1,\"NDLR : 9 points, 2 rebonds en 19 minutes contre Monaco le 18 juin\"],[0,[],0,\"). Le reste, ce n’était que des bouts de minutes. Au final, je suis beaucoup plus les pieds sur terre qu’avant. J’ai un titre de champion de France entre guillemets. Mais le but, c’est de redevenir champion de France en ayant un rôle plus important cette fois-ci.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"De toutes les compétitions que vous avez joué cette année, le Trophée du Futur est celui où vous avez eu le plus de possibilités de vous exprimer sur le terrain. Comment avez-vous vécu ce titre, celui qui vous a le plus exposé au grand public ?\"],[1,[],0,16],[0,[],0,\"C’est un ensemble d’émotions. C’est beaucoup de joie, beaucoup de fatigue, de stress, d’énervement… parce qu’il y a certains matches qu’on a gagnés de beaucoup, d’autres où ça a été plus difficile. En finale contre Cholet, on est largués à la mi-temps… On est menés de 20 points, on revient, finalement on gagne le titre (\"],[0,[1],1,\"NDLR : victoire 74-57, 47-17 en deuxième mi-temps\"],[0,[],0,\"), je remporte le titre de MVP, je donne le trophée à mon coéquipier. Franchement, l’histoire, comment elle est racontée, c’est beau. Même dans un film, on ne peut pas penser à ça. Cette saison, c’était exactement dans les plans que je voulais quand je suis arrivé ici. Le but, c’était de me faire un nom, que je me montre, et de gagner. Au Trophée du Futur, on était en mission. Je me suis dit « c’est maintenant ou jamais »… Ce n’est pas une question de statistiques personnelles, c’est une question de gagner. Si je dois mettre 24 points en 19 minutes comme je l’ai fait en quart de finale pour qu’on gagne, tant mieux, mais si j’ai besoin de mettre 4 points pour qu’on gagne, il n’y a pas de soucis pour me mettre au service du collectif…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : LNB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Pur produit de la formation lyonnaise, Elwin Ndjock (2,00 m, 19 ans) a vécu l’exercice le plus intense de sa jeune carrière avec son club formateur. Champion de France Espoirs en terminant MVP du Trophée du Futur, premières minutes en Jeep Elite et en Euroleague avec les pros de l’ASVEL et enfin le titre de champion de France à Rouen… Il intégrera le groupe professionnel de T.J. Parker la saison prochaine.
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C’est un peu une saison de rêve que vous venez de vivre… Vous vous attendiez à vivre une année comme celle-ci ?
Honnêtement, ça peut sonner arrogant, mais oui, je l’espérais. De base, je travaille beaucoup. L’été dernier, j’ai travaillé encore plus dur, je suis passé à un autre niveau. En fait, c’était un peu « cette saison ou rien » parce que, dans le deal que j’avais fait avec mes parents par rapport au basket, il fallait que je sois performant cette saison sinon ça allait devenir compliqué pour que je continue le sport de haut niveau sans miser sur l’école à fond. Après, on ne peut pas dire que j’avais prévu qu’on soit champions de France avec les pros, mon objectif était surtout d’être performant avec les Espoirs pour intégrer le groupe pro.
Quelques jours après le titre en Jeep Elite, l’euphorie est-elle retombée ?
Si vous m’aviez posé cette question pour le titre Espoirs, j’aurais encore été sur mon petit nuage. Mais en soi, pour le titre avec les pros, je garde les pieds sur terre. J’étais avec eux, mais je n’ai pas eu un rôle important. C’est normal, c’est le début de ma carrière. J’ai contribué un peu, mais pas tant que ça. J’ai plus été partenaire d’entraînement que j’ai joué en match. Il n’y a qu’un seul match où j’ai vraiment joué (NDLR : 9 points, 2 rebonds en 19 minutes contre Monaco le 18 juin). Le reste, ce n’était que des bouts de minutes. Au final, je suis beaucoup plus les pieds sur terre qu’avant. J’ai un titre de champion de France entre guillemets. Mais le but, c’est de redevenir champion de France en ayant un rôle plus important cette fois-ci.
De toutes les compétitions que vous avez joué cette année, le Trophée du Futur est celui où vous avez eu le plus de possibilités de vous exprimer sur le terrain. Comment avez-vous vécu ce titre, celui qui vous a le plus exposé au grand public ?
C’est un ensemble d’émotions. C’est beaucoup de joie, beaucoup de fatigue, de stress, d’énervement… parce qu’il y a certains matches qu’on a gagnés de beaucoup, d’autres où ça a été plus difficile. En finale contre Cholet, on est largués à la mi-temps… On est menés de 20 points, on revient, finalement on gagne le titre (NDLR : victoire 74-57, 47-17 en deuxième mi-temps), je remporte le titre de MVP, je donne le trophée à mon coéquipier. Franchement, l’histoire, comment elle est racontée, c’est beau. Même dans un film, on ne peut pas penser à ça. Cette saison, c’était exactement dans les plans que je voulais quand je suis arrivé ici. Le but, c’était de me faire un nom, que je me montre, et de gagner. Au Trophée du Futur, on était en mission. Je me suis dit « c’est maintenant ou jamais »… Ce n’est pas une question de statistiques personnelles, c’est une question de gagner. Si je dois mettre 24 points en 19 minutes comme je l’ai fait en quart de finale pour qu’on gagne, tant mieux, mais si j’ai besoin de mettre 4 points pour qu’on gagne, il n’y a pas de soucis pour me mettre au service du collectif.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/06/ndjock-houinsou-diallo.jpg\")
En finale du Trophée du Futur, vous êtes menés de 13 points par Cholet à la mi-temps avant de passer un +30 en deuxième mi-temps. Que s’est-il passé à la pause ?
Je vais faire la version sans les gros mots mais on s’est parlés pour de vrai, avec notre langage à nous, on s’est dit les choses. On s’est dit, « les gars, on s’est toujours donné à fond sur le terrain depuis le début de la saison, on a toujours mis de l’intensité et là, on est en finale, ça fait X temps que l’ASVEL n’a pas gagné le Trophée du Futur, c’est pas maintenant qu’on va tout gâcher ». Mais c’était dans des termes bien plus crus et ça a fait la différence en deuxième mi-temps. On leur est rentrés dedans, on a mis énormément d’intensité, ils ne s’y attendaient pas. C’était juste une question d’intensité. Ça venait du public, chaque défense, tout le monde criait. Honnêtement, c’est le match le plus intense que j’ai vécu dans ma jeune carrière.
Vous terminez MVP en donnant le trophée à votre coéquipier Kevin Kokila. C’est un très beau geste…
Ce geste-là, il a fait beaucoup plus de bruit que je pensais. Franchement, ce n’était pas vraiment réfléchi au départ, c’était juste logique pour moi. Pour que je sois MVP, il fallait qu’on gagne la finale. Autrement, je peux faire n’importe quelle performance, si on ne gagne pas, je ne suis pas MVP. C’est grâce à lui qu’on gagne la finale (NDLR : Kevin Kokila a inscrit 21 points, Elwin Ndjock 6). Pour moi, il y avait un trio qui se dessinait entre Kymany (Houinsou), Kevin et moi. Kymany et moi, on avait déjà eu notre trophée de 5 majeur de la saison et Kevin, il n’avait rien eu. Sans ça, sa saison n’aurait pas été appréciée à sa juste valeur.
« J’ai toujours été là à l’ASVEL, j’ai fait le pôle Espoirs, mais j’étais le dernier, j’étais le 12e homme. J’ai toujours été là, mais dans l’ombre. Maintenant, je fais partie de ceux qui sont sur le devant de la scène, mais je sais ce que ça fait d’être derrière la scène, et pas quand j’étais tout petit, dans un passé récent »
Le coach des Espoirs de l’ASVEL, Anthony Brossard dit de vous : « Elwin a cru en lui avant que nous croyons en lui. Il est tellement travailleur qu’il a tendance parfois à se fondre dans l’équipe. Mais une fois qu’il a trouvé son rôle, il est devenu un leader. D’ailleurs, c’est magnifique ce qu’il a fait en donnant son titre de MVP à Kevin Kokila. C’est à son image. » C’est ce qui vous caractérise aujourd’hui ?
Je le remercie énormément pour ce qu’il a dit. C’est vrai qu’il m’a aidé sur beaucoup de choses, notamment sur la connaissance du jeu en me donnant énormément de conseils. C’est une des personnes qui a été le plus influentes pour moi dans le basket. Il a raison dans son discours : au début de la saison, personne ne me connaissait. J’ai toujours été là à l’ASVEL, j’ai fait le pôle Espoirs, mais j’étais le dernier, j’étais le 12e homme. J’ai toujours été là, mais dans l’ombre entre guillemets. Et ça, ça m’a donné un vrai avantage. Parce que maintenant, je fais partie de ceux qui sont sur le devant de la scène, mais je sais ce que ça fait d’être derrière la scène, et pas quand j’étais tout petit, dans un passé récent ! Je sais ce que ça fait quand un coach ne croit pas en toi, quand personne ne croit en toi à part toi-même. Quand Anthony Brossard dit « il a cru en lui avant que nous croyons en lui », c’est vraiment vrai. Après, en moindre mesure, c’est toujours le cas aujourd’hui. C’est-à-dire que là où je veux aller, je pense qu’il y a beaucoup de personnes qui croient que je ne peux pas aller là-bas. Il y a encore pas si longtemps, c’est vrai que c’était compliqué. Le seul refuge que j’avais, c’était le travail. Maintenant, le travail commence à payer. Même si c’est bien ce que j’ai fait cette année, je n’ai pas encore réussi.
Selon vous, quelles sont vos forces et faiblesses et sur quels points faut-il progresser ?
Je suis un scoreur naturel, je suis capable de scorer aux trois niveaux : je peux driver, shooter à mi-distance ou à 3-points, je suis capable de créer mon propre tir. J’ai un catch-and-shoot fiable. Aussi, je suis grand, athlétique. Après, je dois encore progresser dans tous les compartiments du jeu pour être le plus dominant possible dans la meilleure ligue possible. Tant qu’on n’est pas le meilleur du monde dans un domaine, on peut toujours continuer de travailler. Il faut encore que je progresse offensivement pour transférer ce que j’ai fait en Espoirs chez les pros. J’ai longtemps été petit donc ce n’est pas forcément naturel d’aller au rebond, il faut que je progresse là-dessus et que je joue un peu plus avec mon physique. Il faut aussi que je montre que je sais jouer au post-up et que je suis capable de tout faire en attaque, tout en étant capable d’être intense en défense.
Vous étiez annoncé à 1,90 m par la LNB la saison dernière, à 2,00 m cette saison, une croissance sur le tard…
Pour être honnête, je ne sais même pas si j’ai terminé de grandir. La chance que j’ai, c’est que je grandis mais que je garde mes qualités athlétiques. Si on me met sur un petit, je vais peut-être pouvoir provoquer au post-up. Maintenant, je peux être en mismatch par rapport à eux et amener des décalages, le tout en étant capable de scorer aux trois niveaux. Ce n’est pas un secret, être plus grand, ça aide dans le basket, ça m’aide dans tout.
« Charles Kahudi, il me suit depuis tout petit, j’avais fait des entraînements avec lui il y a déjà trois ans… Il donne des conseils, il reste humble, c’est un exemple. »
Kymany Houinsou, Victor Diallo et vous, comment vous êtes-vous intégré dans cette équipe professionnelle, avec la possibilité de vous exprimer en fin de saison avec beaucoup de blessés et d’internationaux partis en équipe de France ?
Déjà, on espère jamais qu’il y ait des blessés, surtout dans l’équipe professionnelle. Après, je pense que je suis tombé sur un très bon groupe. Il y a beaucoup de personnes qui m’ont donné des conseils, que ce soit sur mon poste ou non d’ailleurs. Je ne connais pas vraiment le monde pro, je ne devais même pas être avec eux à la base, je n’avais pas signé de contrat en début de saison. C’est juste qu’il y a eu l’opportunité à un moment de la saison. Un jour, on s’entraînait sur demi-terrain chacun de notre côté. Il manquait un joueur, ils m’ont appelé, j’ai fait quelques highlights et ils m’ont gardé, j’ai continué avec eux. Je me suis dit « maintenant il faut prendre de l’avance sur l’année prochaine » pour être dans le groupe pro à part entière. Il faut que j’écoute et que je saisisse l’opportunité. L’expérience de cette année, voir ce qu’il faut faire pour gagner, ça vaut tout. C’est que du bonus pour la suite de ma carrière.
Quelle relation avez-vous eu avec le coaching staff de l’ASVEL ? Quels joueurs vous ont le plus appris ?
Franchement, je pourrais remercier l’entièreté de l’équipe. Paul Lacombe, Antoine Diot, William Howard, Moustapha Fall, Guerschon Yabusele… J’ai eu une relation privilégiée avec Charles Kahudi, il me suit depuis tout petit, j’avais fait des entraînements avec lui il y a déjà trois ans… Il donne des conseils, il reste humble, c’est un exemple. Amine Noua aussi, il est jeune mais il a commencé sa carrière très tôt. Même les Américains, ce sont des personnes qui m’aident vraiment en profondeur. David Lighty, j’ai défendu sur lui pendant toute l’année, ça m’a fait grandir bien sûr. Pareil pour Norris Cole, on pourrait se dire qu’avec sa carrière, il pourrait être arrogant, mais pas du tout, il vient, il reste humble, c’est un super bon gars pour les jeunes. Après, bien sûr, je m’entends très bien avec Matthew Strazel, on était ensemble en Espoirs. Ça passe par tout le monde, le coaching staff évidemment.
Vous êtes à la Tony Parker Adequat Academy depuis deux ans en complément des Espoirs. Comment ça se passe là-bas ? Qu’est-ce qui fait la différence par rapport à un centre de formation classique ?
Il faut savoir que je fais partie de l’académie mais j’ai un statut d’externe, je ne loge pas là-bas parce que j’habite juste à côté. Je tiens aussi à les remercier pour leur disponibilité parce que j’ai toujours une salle à disposition pour que je puisse m’entrainer. Ce qui est différent là-bas, c’est qu’il s’agit d’une structure de haut niveau, on a trois terrains à disposition, une salle de muscu, des infrastructures pour la récupération… Et puis, il n’y a pas que les infrastructures, les personnes qui travaillent ici aussi sont de haut niveau. Cette année, Anthony Brossard a bossé à fond pour nous, il n’y avait pas de limite. Mathieu Fauchart, le préparateur physique, Matthieu Cassard, qui s’occupait de vidéos, pareil. Ce sont des personnes qui ne comptent pas les heures. Je peux aussi citer Pierre Parker, c’est la première personne qui m’a donné ma chance en U18 pour que je puisse intégrer l’équipe Espoirs, ce qui n’était pas donné. Il m’a donné une opportunité. J’ai fait du travail individuel avec Jo Gomis aussi. A l’ASVEL et à la TP Academy, c’est un ensemble de structure qui fait qu’on a tout pour aller au haut niveau. Après, soit tu décides de venir avant et après les entraînements, soit tu l’utilises pas. Mais si tu veux, tu peux, c’est pour de vrai.
« Pour moi, l’ASVEL est le meilleur club de France, que ce soit en termes de structure ou de niveau de jeu, c’est le club dans lequel il faut être »
Quels jeunes joueurs vous impressionnent le plus à la Tony Parker Academy, lesquels faut-il le plus surveiller dans les années à venir ?
Les principaux, tout le monde les connait, ils sont déjà passés pro : Matthew Strazel, Marcus Gomis… En termes de joueurs dans mes catégories d’âge, il y a Kevin Kokila, Victor Diallo, Kymany Houinsou… Enfin, tout le monde le connait lui (rires). Concernant les plus jeunes, il y a Romain Parmentelot qui a explosé en Euroleague junior, Zaccharie Risacher, qui est impressionnant pour son jeune âge et qui travaille beaucoup. Il y a d’autres jeunes impressionnants comme Kenny Kasiama, qui est très complet, d’autres qui sont un peu plus dans l’ombre comme Darryl Doualla, Noah Manet… Globalement, il y a vraiment de la qualité dans ce groupe.
Est-ce que vous serez toujours à l’ASVEL l’an prochain ?
Pour moi, l’ASVEL est le meilleur club de France, que ce soit en termes de structure ou de niveau de jeu, c’est le club dans lequel il faut être. Avant d’engager toute autre procédure avec un autre club, je privilégie l’ASVEL. J’ai signé mon premier contrat avec Villeurbanne et je serai avec l’équipe professionnelle la saison prochaine. Mon objectif, ce sera de performer le plus vite possible avec le groupe professionnel. Si j’arrive à faire ma place tout de suite, tant mieux, sinon il faudra patienter. Je me donne 2-3 ans pour me faire un nom sur la scène française et européenne. Après ça, je regarderai le futur. Le rêve de tout basketteur, c’est d’aller en NBA, et c’est pas si loin que ça. Avant, la NBA c’était plutôt un rêve. Maintenant, c’est plutôt un objectif, même si bien sûr, je suis en retard par rapport aux autres joueurs de ma génération. Théo Maledon, c’est un 2001 comme moi, il est déjà en NBA depuis un an, Killian Hayes aussi. Mais bon, j’ai toujours été considéré comme l’underdog, la personne qui est là, qui arrive sur le tard mais qui arrive à performer donc je ne me donne pas de limite.
L’ASVEL est réputé pour donner sa chance aux jeunes. C’est donc un moyen de pouvoir mixer entre visibilité et projet sportif ?
Clairement. Il y a beaucoup de matches dans la saison donc, de base, si tu prends soin de ton corps, tu peux avoir des opportunités. Mis à part ça, je n’ai pas envie de miser sur les blessés pour me faire une place, c’est une question de niveau. Si tu as le niveau, jeune ou pas, tu joues. Donc mon objectif, c’est de montrer que j’ai le niveau. J’ai réussi à mettre le pied dans la porte, maintenant je rentre dedans.
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C’est un peu une saison de rêve que vous venez de vivre… Vous vous attendiez à vivre une année comme celle-ci ?
Honnêtement, ça peut sonner arrogant, mais oui, je l’espérais. De base, je travaille beaucoup. L’été dernier, j’ai travaillé encore plus dur, je suis passé à un autre niveau. En fait, c’était un peu « cette saison ou rien » parce que, dans le deal que j’avais fait avec mes parents par rapport au basket, il fallait que je sois performant cette saison sinon ça allait devenir compliqué pour que je continue le sport de haut niveau sans miser sur l’école à fond. Après, on ne peut pas dire que j’avais prévu qu’on soit champions de France avec les pros, mon objectif était surtout d’être performant avec les Espoirs pour intégrer le groupe pro.
Quelques jours après le titre en Jeep Elite, l’euphorie est-elle retombée ?
Si vous m’aviez posé cette question pour le titre Espoirs, j’aurais encore été sur mon petit nuage. Mais en soi, pour le titre avec les pros, je garde les pieds sur terre. J’étais avec eux, mais je n’ai pas eu un rôle important. C’est normal, c’est le début de ma carrière. J’ai contribué un peu, mais pas tant que ça. J’ai plus été partenaire d’entraînement que j’ai joué en match. Il n’y a qu’un seul match où j’ai vraiment joué (NDLR : 9 points, 2 rebonds en 19 minutes contre Monaco le 18 juin). Le reste, ce n’était que des bouts de minutes. Au final, je suis beaucoup plus les pieds sur terre qu’avant. J’ai un titre de champion de France entre guillemets. Mais le but, c’est de redevenir champion de France en ayant un rôle plus important cette fois-ci.
De toutes les compétitions que vous avez joué cette année, le Trophée du Futur est celui où vous avez eu le plus de possibilités de vous exprimer sur le terrain. Comment avez-vous vécu ce titre, celui qui vous a le plus exposé au grand public ?
C’est un ensemble d’émotions. C’est beaucoup de joie, beaucoup de fatigue, de stress, d’énervement… parce qu’il y a certains matches qu’on a gagnés de beaucoup, d’autres où ça a été plus difficile. En finale contre Cholet, on est largués à la mi-temps… On est menés de 20 points, on revient, finalement on gagne le titre (NDLR : victoire 74-57, 47-17 en deuxième mi-temps), je remporte le titre de MVP, je donne le trophée à mon coéquipier. Franchement, l’histoire, comment elle est racontée, c’est beau. Même dans un film, on ne peut pas penser à ça. Cette saison, c’était exactement dans les plans que je voulais quand je suis arrivé ici. Le but, c’était de me faire un nom, que je me montre, et de gagner. Au Trophée du Futur, on était en mission. Je me suis dit « c’est maintenant ou jamais »… Ce n’est pas une question de statistiques personnelles, c’est une question de gagner. Si je dois mettre 24 points en 19 minutes comme je l’ai fait en quart de finale pour qu’on gagne, tant mieux, mais si j’ai besoin de mettre 4 points pour qu’on gagne, il n’y a pas de soucis pour me mettre au service du collectif…
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Photo : LNB
", "comment_id":"555956", "plaintext":"Pur produit de la formation lyonnaise, Elwin Ndjock (2,00 m, 19 ans) a vécu l’exercice le plus intense de sa jeune carrière avec son club formateur. Champion de France Espoirs en terminant MVP du Trophée du Futur, premières minutes en Jeep Elite et en Euroleague avec les pros de l’ASVEL et enfin le titre de champion de France à Rouen… Il intégrera le groupe professionnel de T.J. Parker la saison prochaine.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nC’est un peu une saison de rêve que vous venez de vivre… Vous vous attendiez à vivre une année comme celle-ci ?\nHonnêtement, ça peut sonner arrogant, mais oui, je l’espérais. De base, je travaille beaucoup. L’été dernier, j’ai travaillé encore plus dur, je suis passé à un autre niveau. En fait, c’était un peu « cette saison ou rien » parce que, dans le deal que j’avais fait avec mes parents par rapport au basket, il fallait que je sois performant cette saison sinon ça allait devenir compliqué pour que je continue le sport de haut niveau sans miser sur l’école à fond. Après, on ne peut pas dire que j’avais prévu qu’on soit champions de France avec les pros, mon objectif était surtout d’être performant avec les Espoirs pour intégrer le groupe pro.\n\nQuelques jours après le titre en Jeep Elite, l’euphorie est-elle retombée ?\nSi vous m’aviez posé cette question pour le titre Espoirs, j’aurais encore été sur mon petit nuage. Mais en soi, pour le titre avec les pros, je garde les pieds sur terre. J’étais avec eux, mais je n’ai pas eu un rôle important. C’est normal, c’est le début de ma carrière. J’ai contribué un peu, mais pas tant que ça. J’ai plus été partenaire d’entraînement que j’ai joué en match. Il n’y a qu’un seul match où j’ai vraiment joué (NDLR : 9 points, 2 rebonds en 19 minutes contre Monaco le 18 juin). Le reste, ce n’était que des bouts de minutes. Au final, je suis beaucoup plus les pieds sur terre qu’avant. J’ai un titre de champion de France entre guillemets. Mais le but, c’est de redevenir champion de France en ayant un rôle plus important cette fois-ci.\n\nDe toutes les compétitions que vous avez joué cette année, le Trophée du Futur est celui où vous avez eu le plus de possibilités de vous exprimer sur le terrain. Comment avez-vous vécu ce titre, celui qui vous a le plus exposé au grand public ?\nC’est un ensemble d’émotions. C’est beaucoup de joie, beaucoup de fatigue, de stress, d’énervement… parce qu’il y a certains matches qu’on a gagnés de beaucoup, d’autres où ça a été plus difficile. En finale contre Cholet, on est largués à la mi-temps… On est menés de 20 points, on revient, finalement on gagne le titre (NDLR : victoire 74-57, 47-17 en deuxième mi-temps), je remporte le titre de MVP, je donne le trophée à mon coéquipier. Franchement, l’histoire, comment elle est racontée, c’est beau. Même dans un film, on ne peut pas penser à ça. Cette saison, c’était exactement dans les plans que je voulais quand je suis arrivé ici. Le but, c’était de me faire un nom, que je me montre, et de gagner. Au Trophée du Futur, on était en mission. Je me suis dit « c’est maintenant ou jamais »… Ce n’est pas une question de statistiques personnelles, c’est une question de gagner. 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C’était juste une question d’intensité. Ça venait du public, chaque défense, tout le monde criait. Honnêtement, c’est le match le plus intense que j’ai vécu dans ma jeune carrière.\n\nVous terminez MVP en donnant le trophée à votre coéquipier Kevin Kokila. C’est un très beau geste…\nCe geste-là, il a fait beaucoup plus de bruit que je pensais. Franchement, ce n’était pas vraiment réfléchi au départ, c’était juste logique pour moi. Pour que je sois MVP, il fallait qu’on gagne la finale. Autrement, je peux faire n’importe quelle performance, si on ne gagne pas, je ne suis pas MVP. C’est grâce à lui qu’on gagne la finale (NDLR : Kevin Kokila a inscrit 21 points, Elwin Ndjock 6). Pour moi, il y avait un trio qui se dessinait entre Kymany (Houinsou), Kevin et moi. Kymany et moi, on avait déjà eu notre trophée de 5 majeur de la saison et Kevin, il n’avait rien eu. Sans ça, sa saison n’aurait pas été appréciée à sa juste valeur.\n\n« J’ai toujours été là à l’ASVEL, j’ai fait le pôle Espoirs, mais j’étais le dernier, j’étais le 12e homme. J’ai toujours été là, mais dans l’ombre. Maintenant, je fais partie de ceux qui sont sur le devant de la scène, mais je sais ce que ça fait d’être derrière la scène, et pas quand j’étais tout petit, dans un passé récent »\n\nLe coach des Espoirs de l’ASVEL, Anthony Brossard dit de vous : « Elwin a cru en lui avant que nous croyons en lui. Il est tellement travailleur qu’il a tendance parfois à se fondre dans l’équipe. Mais une fois qu’il a trouvé son rôle, il est devenu un leader. D’ailleurs, c’est magnifique ce qu’il a fait en donnant son titre de MVP à Kevin Kokila. C’est à son image. » C’est ce qui vous caractérise aujourd’hui ?\nJe le remercie énormément pour ce qu’il a dit. C’est vrai qu’il m’a aidé sur beaucoup de choses, notamment sur la connaissance du jeu en me donnant énormément de conseils. C’est une des personnes qui a été le plus influentes pour moi dans le basket. Il a raison dans son discours : au début de la saison, personne ne me connaissait. J’ai toujours été là à l’ASVEL, j’ai fait le pôle Espoirs, mais j’étais le dernier, j’étais le 12e homme. J’ai toujours été là, mais dans l’ombre entre guillemets. Et ça, ça m’a donné un vrai avantage. Parce que maintenant, je fais partie de ceux qui sont sur le devant de la scène, mais je sais ce que ça fait d’être derrière la scène, et pas quand j’étais tout petit, dans un passé récent ! Je sais ce que ça fait quand un coach ne croit pas en toi, quand personne ne croit en toi à part toi-même. Quand Anthony Brossard dit « il a cru en lui avant que nous croyons en lui », c’est vraiment vrai. Après, en moindre mesure, c’est toujours le cas aujourd’hui. C’est-à-dire que là où je veux aller, je pense qu’il y a beaucoup de personnes qui croient que je ne peux pas aller là-bas. Il y a encore pas si longtemps, c’est vrai que c’était compliqué. Le seul refuge que j’avais, c’était le travail. Maintenant, le travail commence à payer. Même si c’est bien ce que j’ai fait cette année, je n’ai pas encore réussi.\n\nSelon vous, quelles sont vos forces et faiblesses et sur quels points faut-il progresser ?\nJe suis un scoreur naturel, je suis capable de scorer aux trois niveaux : je peux driver, shooter à mi-distance ou à 3-points, je suis capable de créer mon propre tir. J’ai un catch-and-shoot fiable. Aussi, je suis grand, athlétique. Après, je dois encore progresser dans tous les compartiments du jeu pour être le plus dominant possible dans la meilleure ligue possible. Tant qu’on n’est pas le meilleur du monde dans un domaine, on peut toujours continuer de travailler. Il faut encore que je progresse offensivement pour transférer ce que j’ai fait en Espoirs chez les pros. J’ai longtemps été petit donc ce n’est pas forcément naturel d’aller au rebond, il faut que je progresse là-dessus et que je joue un peu plus avec mon physique. Il faut aussi que je montre que je sais jouer au post-up et que je suis capable de tout faire en attaque, tout en étant capable d’être intense en défense.\n\nVous étiez annoncé à 1,90 m par la LNB la saison dernière, à 2,00 m cette saison, une croissance sur le tard…\nPour être honnête, je ne sais même pas si j’ai terminé de grandir. La chance que j’ai, c’est que je grandis mais que je garde mes qualités athlétiques. Si on me met sur un petit, je vais peut-être pouvoir provoquer au post-up. Maintenant, je peux être en mismatch par rapport à eux et amener des décalages, le tout en étant capable de scorer aux trois niveaux. Ce n’est pas un secret, être plus grand, ça aide dans le basket, ça m’aide dans tout.\n\n« Charles Kahudi, il me suit depuis tout petit, j’avais fait des entraînements avec lui il y a déjà trois ans… Il donne des conseils, il reste humble, c’est un exemple. »\n\nKymany Houinsou, Victor Diallo et vous, comment vous êtes-vous intégré dans cette équipe professionnelle, avec la possibilité de vous exprimer en fin de saison avec beaucoup de blessés et d’internationaux partis en équipe de France ?\nDéjà, on espère jamais qu’il y ait des blessés, surtout dans l’équipe professionnelle. Après, je pense que je suis tombé sur un très bon groupe. Il y a beaucoup de personnes qui m’ont donné des conseils, que ce soit sur mon poste ou non d’ailleurs. Je ne connais pas vraiment le monde pro, je ne devais même pas être avec eux à la base, je n’avais pas signé de contrat en début de saison. C’est juste qu’il y a eu l’opportunité à un moment de la saison. Un jour, on s’entraînait sur demi-terrain chacun de notre côté. Il manquait un joueur, ils m’ont appelé, j’ai fait quelques highlights et ils m’ont gardé, j’ai continué avec eux. Je me suis dit « maintenant il faut prendre de l’avance sur l’année prochaine » pour être dans le groupe pro à part entière. Il faut que j’écoute et que je saisisse l’opportunité. L’expérience de cette année, voir ce qu’il faut faire pour gagner, ça vaut tout. C’est que du bonus pour la suite de ma carrière.\n\nQuelle relation avez-vous eu avec le coaching staff de l’ASVEL ? Quels joueurs vous ont le plus appris ?\nFranchement, je pourrais remercier l’entièreté de l’équipe. Paul Lacombe, Antoine Diot, William Howard, Moustapha Fall, Guerschon Yabusele… J’ai eu une relation privilégiée avec Charles Kahudi, il me suit depuis tout petit, j’avais fait des entraînements avec lui il y a déjà trois ans… Il donne des conseils, il reste humble, c’est un exemple. Amine Noua aussi, il est jeune mais il a commencé sa carrière très tôt. Même les Américains, ce sont des personnes qui m’aident vraiment en profondeur. David Lighty, j’ai défendu sur lui pendant toute l’année, ça m’a fait grandir bien sûr. Pareil pour Norris Cole, on pourrait se dire qu’avec sa carrière, il pourrait être arrogant, mais pas du tout, il vient, il reste humble, c’est un super bon gars pour les jeunes. Après, bien sûr, je m’entends très bien avec Matthew Strazel, on était ensemble en Espoirs. Ça passe par tout le monde, le coaching staff évidemment.\n\nVous êtes à la Tony Parker Adequat Academy depuis deux ans en complément des Espoirs. Comment ça se passe là-bas ? Qu’est-ce qui fait la différence par rapport à un centre de formation classique ?\nIl faut savoir que je fais partie de l’académie mais j’ai un statut d’externe, je ne loge pas là-bas parce que j’habite juste à côté. Je tiens aussi à les remercier pour leur disponibilité parce que j’ai toujours une salle à disposition pour que je puisse m’entrainer. Ce qui est différent là-bas, c’est qu’il s’agit d’une structure de haut niveau, on a trois terrains à disposition, une salle de muscu, des infrastructures pour la récupération… Et puis, il n’y a pas que les infrastructures, les personnes qui travaillent ici aussi sont de haut niveau. Cette année, Anthony Brossard a bossé à fond pour nous, il n’y avait pas de limite. Mathieu Fauchart, le préparateur physique, Matthieu Cassard, qui s’occupait de vidéos, pareil. Ce sont des personnes qui ne comptent pas les heures. Je peux aussi citer Pierre Parker, c’est la première personne qui m’a donné ma chance en U18 pour que je puisse intégrer l’équipe Espoirs, ce qui n’était pas donné. Il m’a donné une opportunité. J’ai fait du travail individuel avec Jo Gomis aussi. A l’ASVEL et à la TP Academy, c’est un ensemble de structure qui fait qu’on a tout pour aller au haut niveau. Après, soit tu décides de venir avant et après les entraînements, soit tu l’utilises pas. Mais si tu veux, tu peux, c’est pour de vrai.\n\n« Pour moi, l’ASVEL est le meilleur club de France, que ce soit en termes de structure ou de niveau de jeu, c’est le club dans lequel il faut être »\n\nQuels jeunes joueurs vous impressionnent le plus à la Tony Parker Academy, lesquels faut-il le plus surveiller dans les années à venir ?\nLes principaux, tout le monde les connait, ils sont déjà passés pro : Matthew Strazel, Marcus Gomis… En termes de joueurs dans mes catégories d’âge, il y a Kevin Kokila, Victor Diallo, Kymany Houinsou… Enfin, tout le monde le connait lui (rires). Concernant les plus jeunes, il y a Romain Parmentelot qui a explosé en Euroleague junior, Zaccharie Risacher, qui est impressionnant pour son jeune âge et qui travaille beaucoup. Il y a d’autres jeunes impressionnants comme Kenny Kasiama, qui est très complet, d’autres qui sont un peu plus dans l’ombre comme Darryl Doualla, Noah Manet… Globalement, il y a vraiment de la qualité dans ce groupe.\n\nEst-ce que vous serez toujours à l’ASVEL l’an prochain ?\nPour moi, l’ASVEL est le meilleur club de France, que ce soit en termes de structure ou de niveau de jeu, c’est le club dans lequel il faut être. Avant d’engager toute autre procédure avec un autre club, je privilégie l’ASVEL. J’ai signé mon premier contrat avec Villeurbanne et je serai avec l’équipe professionnelle la saison prochaine. Mon objectif, ce sera de performer le plus vite possible avec le groupe professionnel. Si j’arrive à faire ma place tout de suite, tant mieux, sinon il faudra patienter. Je me donne 2-3 ans pour me faire un nom sur la scène française et européenne. Après ça, je regarderai le futur. Le rêve de tout basketteur, c’est d’aller en NBA, et c’est pas si loin que ça. Avant, la NBA c’était plutôt un rêve. Maintenant, c’est plutôt un objectif, même si bien sûr, je suis en retard par rapport aux autres joueurs de ma génération. Théo Maledon, c’est un 2001 comme moi, il est déjà en NBA depuis un an, Killian Hayes aussi. Mais bon, j’ai toujours été considéré comme l’underdog, la personne qui est là, qui arrive sur le tard mais qui arrive à performer donc je ne me donne pas de limite.\n\nL’ASVEL est réputé pour donner sa chance aux jeunes. C’est donc un moyen de pouvoir mixer entre visibilité et projet sportif ?\nClairement. Il y a beaucoup de matches dans la saison donc, de base, si tu prends soin de ton corps, tu peux avoir des opportunités. Mis à part ça, je n’ai pas envie de miser sur les blessés pour me faire une place, c’est une question de niveau. Si tu as le niveau, jeune ou pas, tu joues. Donc mon objectif, c’est de montrer que j’ai le niveau. J’ai réussi à mettre le pied dans la porte, maintenant je rentre dedans.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nC’est un peu une saison de rêve que vous venez de vivre… Vous vous attendiez à vivre une année comme celle-ci ?\nHonnêtement, ça peut sonner arrogant, mais oui, je l’espérais. De base, je travaille beaucoup. L’été dernier, j’ai travaillé encore plus dur, je suis passé à un autre niveau. En fait, c’était un peu « cette saison ou rien » parce que, dans le deal que j’avais fait avec mes parents par rapport au basket, il fallait que je sois performant cette saison sinon ça allait devenir compliqué pour que je continue le sport de haut niveau sans miser sur l’école à fond. Après, on ne peut pas dire que j’avais prévu qu’on soit champions de France avec les pros, mon objectif était surtout d’être performant avec les Espoirs pour intégrer le groupe pro.\n\nQuelques jours après le titre en Jeep Elite, l’euphorie est-elle retombée ?\nSi vous m’aviez posé cette question pour le titre Espoirs, j’aurais encore été sur mon petit nuage. Mais en soi, pour le titre avec les pros, je garde les pieds sur terre. J’étais avec eux, mais je n’ai pas eu un rôle important. C’est normal, c’est le début de ma carrière. J’ai contribué un peu, mais pas tant que ça. J’ai plus été partenaire d’entraînement que j’ai joué en match. Il n’y a qu’un seul match où j’ai vraiment joué (NDLR : 9 points, 2 rebonds en 19 minutes contre Monaco le 18 juin). Le reste, ce n’était que des bouts de minutes. Au final, je suis beaucoup plus les pieds sur terre qu’avant. J’ai un titre de champion de France entre guillemets. Mais le but, c’est de redevenir champion de France en ayant un rôle plus important cette fois-ci.\n\nDe toutes les compétitions que vous avez joué cette année, le Trophée du Futur est celui où vous avez eu le plus de possibilités de vous exprimer sur le terrain. Comment avez-vous vécu ce titre, celui qui vous a le plus exposé au grand public ?\nC’est un ensemble d’émotions. C’est beaucoup de joie, beaucoup de fatigue, de stress, d’énervement… parce qu’il y a certains matches qu’on a gagnés de beaucoup, d’autres où ça a été plus difficile. En finale contre Cholet, on est largués à la mi-temps… On est menés de 20 points, on revient, finalement on gagne le titre (NDLR : victoire 74-57, 47-17 en deuxième mi-temps), je remporte le titre de MVP, je donne le trophée à mon coéquipier. Franchement, l’histoire, comment elle est racontée, c’est beau. Même dans un film, on ne peut pas penser à ça. Cette saison, c’était exactement dans les plans que je voulais quand je suis arrivé ici. Le but, c’était de me faire un nom, que je me montre, et de gagner. Au Trophée du Futur, on était en mission. Je me suis dit « c’est maintenant ou jamais »… Ce n’est pas une question de statistiques personnelles, c’est une question de gagner. Si je dois mettre 24 points en 19 minutes comme je l’ai fait en quart de finale pour qu’on gagne, tant mieux, mais si j’ai besoin de mettre 4 points pour qu’on gagne, il n’y a pas de soucis pour me mettre au service du collectif…\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : LNB", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/07/capture-de-cc-81cran-2021-07-01-a-cc-80-15.32.21.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-01T04:58:00.000Z", "updated_at":"2021-08-24T07:29:34.000Z", "published_at":"2021-09-01T04:58:00.000Z", "custom_excerpt":"Pur produit de la formation lyonnaise, Elwin Ndjock (2,00 m, 19 ans) a vécu l’exercice le plus intense de sa jeune carrière avec son club formateur. 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« Notre objectif principal, en tant que fédération, est de construire des bases solides pour que la jeunesse et que tout le monde sachent qu’il existe une plateforme pour leur permettre de se développer et de s’épanouir dans la vie, comme cela a été le cas pour moi », a-t-il déclaré au site de la FIBA. « Même si cela prendra un peu de temps avant que tout se matérialise comme nous le souhaitons, je peux affirmer que le Soudan du Sud sera bientôt une grande nation du basket. »
Luol Deng a même payé de sa personne sur le terrain puisqu’il a été le coach de la sélection lors des qualifications à l’AfroBasket avant de passer le relais à Lloyd Gardner. Il était hier soir forcément réjoui quand il a vu son équipe nationale obtenir une qualification historique pour les quarts-de-finale grâce à une victoire à l’arrache sur le Kenya, 60-58.
« Nous sommes capables de rivaliser avec tous nos adversaires et tout peut arriver, » avait-il prévenu.
Luol Deng , qui est par ailleurs le cousin du Choletais Peter Jok, s’est engagé à ce que les sélections de jeunes puissent participer à toutes les compétitions continentales, et il attend davantage d’aides de son gouvernement.
« Je tiens à remercier le gouvernement de nous avoir apporté un peu de soutien et je l’incite à s’engager davantage et à voir le sport comme un moyen de bâtir une nation et de l’unifier autour de la jeunesse », souligne-t-il.
Quarts de finale
Côte d’Ivoire-Guinée (mercredi 1er septembre)
Sénégal-Angola (mercredi 1er septembre)
Cap Vert-Ouganda (jeudi 2 septembre)
Tunisie-Soudan du Sud (jeudi 2 septembre)
Photo: FIBA
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"mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Voici le récapitulatif de l’ensemble des transferts et des effectifs de la saison 2021-2022 de Betclic Elite.\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Boulogne-Levallois\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Vincent Collet (sans club), Keith Hornsby (USA, Oldenburg/Allemagne, 1 an), Steeve Ho You Fat (Roanne, 2 ans), Will Cummings (USA, Lokomotiv Kuban/Russie, 1 an), Bandja Sy (Andorre/Espagne, 2 ans), Vince Hunter (USA, Virtus Bologne/Italie, 1 an), Jordan McRae (USA, Beijing Ducks/Chine, 1 an), Nobel Boungou colo (Paris/Pro B, pigiste médical de Bandja Sy).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Maxime Roos (Bourg-en-Bresse), Neal Sako (Champagne Basket), Brandon Brown (Cluj-Napoça/Roumanie), Vitalis Chikoko (Pau), Bastien Pinault (Nanterre), Archie Goodwin, Anthony Brown, Josh Owens, Jurij Zdovc (coach).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : David Michineau, Miralem Halilovic (Bosnie-Herzégovine), Tomer Ginat (Israël), Lahaou Konaté.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" :\"],[1,[],0,0],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : David Michineau (1,84 m, 27 ans), Will Cummings (1,86 m, 28 ans)\"],[1,[],0,1],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Lahaou Konaté (1,96 m, 29 ans), Keith Hornsby (1,92 m, 29 ans)\"],[1,[],0,2],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Jordan McRae (1,95 m, 30 ans), Bandja Sy (2,04 m, 31 ans), Nobel Boungou colo (33 ans, 2,02 m).\"],[1,[],0,3],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Tomer Ginat (2,02 m, 26 ans), Steeve Ho You Fat (2,01 m, 33 ans)\"],[1,[],0,4],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Vince Hunter (2,03 m, 27 ans), Miralem Halilovic (2,05 m, 30 ans)\"],[1,[],0,5],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Vincent Collet\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Bourg-en-Bresse\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Laurent Legname (coach, Dijon, 3 ans), Axel Julien (Dijon, 3 ans), Maxime Roos (Boulogne-Levallois, 2 ans), Eric Mika (USA, Partizan Belgrade/Serbie, 1 an), Rasheed Sulaimon (USA/Nigéria, Saragosse/Espagne, 1 an), JaCorey Williams (USA, Trente/Italie, 1 an), C.J. Harris (USA, Hapoel Holon/Israël, 1 an), Tyler Stone (USA, Nanterre, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Savo Vucevic (coach), Danilo Andjusic (Monaco), Luka Asceric (Slask Wroclaw/Pologne), Thomas Scrubb (Obradoiro/Espagne), Zack Wright, Zack Peacock, Alen Omic, Thibault Daval-Braquet (Évreux/Pro B), Bangaly Fofana, Codi McIntyre-Miller (Andorre/Espagne), Pierre Jackson.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Hugo Benitez, Pierre Pelos (prolongation, 3 ans), Maxime Courby (prolongation, 3 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" (complet) :\"],[1,[],0,6],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Axel Julien (1,80 m, 29 ans), Hugo Benitez (1,87 m, 20 ans)\"],[1,[],0,7],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Rasheed Sulaimon (1,94 m, 27 ans), C.J. Harris (1,90 m, 30 ans)\"],[1,[],0,8],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Maxime Roos (2,02 m, 26 ans), Maxime Courby (1,99 m, 30 ans)\"],[1,[],0,9],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Pierre Pelos (2,05 m, 28 ans), Tyler Stone (2,03 m, 29 ans)\"],[1,[],0,10],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : JaCorey Williams (2,03 m, 27 ans), Eric Mika (2,08 m, 26 ans)\"],[1,[],0,11],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Laurent Legname\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Champagne Basket\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Neal Sako (Boulogne-Levallois, 2 ans), Enzo Goudou-Sinha (Nancy, Pro B, 2 ans), Jean Salamu (Belgique, Rasta Vechta/Allemagne, 1 an), Mike Henry (USA, Trieste/Italie, 1 an), Donte Grantham (USA, Agua Caliente Clippers/G-League, 1 an), Scottie Reynolds (USA, Cibona Zagreb/Croatie), Elijah Brown (USA, Oviedo/Espagne D2, pigiste médical Jean Salamu), Jonathan Tabu (Belgique, Manresa/Espagne, pigiste médical Jean Salamu).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Matthieu Gauzin (Le Mans, retour de prêt), Joshiko Saibou (Dijon), Dominique Archie, Travis Leslie, Jimmie Taylor (Lublin/Pologne), Dominic Waters, Elijah Brown (fin de pige).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Gani Lawal (Nigéria, prolongation, 1 an), Junior Mbida (Cameroun, prolongation, 1 an), Jessie Begarin.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" :\"],[1,[],0,12],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Scottie Reynolds (1,88m, 31 ans), Enzo Goudou-Sinha (1,82 m, 22 ans), Jonathan Tabu (1,89 m, 36 ans, pigiste médical)\"],[1,[],0,13],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Jean Salamu (1,93 m, 30 ans), Jessie Begarin (1,90 m, 33 ans)\"],[1,[],0,14],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Mike Henry (1,98 m, 28 ans)\"],[1,[],0,15],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Donte Grantham (2,03 m, 26 ans), Junior Mbida (2,06 m, 31 ans)\"],[1,[],0,16],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Gani Lawal (2,06 m, 32 ans), Neal Sako (2,10 m, 22 ans)\"],[1,[],0,17],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Cédric Heitz\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Cholet\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées :\"],[0,[],0,\" Laurent Vila (coach, sans club), Dominic Artis (USA, Rhodes/Grèce, 1 an), Darrin Govens (USA/Hongrie, Szedeak-Szeged/Hongrie, 1 an), Peter Jok (USA/Soudan du Sud, Murcie/Espagne), Hugo Robineau (Gries, Pro B, retour de prêt), DJ Hogg (USA, Lakeland Magic, G-League), Boris Dallo (Le Portel), Kennedy Meeks (USA, Changwon LG Sakers/Corée-du-Sud)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs : \"],[0,[],0,\"Erman Kunter (coach), Aaron Jones (Trévise/Italie), Gregor Hrovat (Pau), Karlton Dimanche (ASA/Pro B, prêt), Léopold Delaunay (Vichy-Clermont/Pro B, prêt), Quentin Ruel (Quimper/Pro B, prêt), Florian Léopold (Quimper/Pro B, prêt), Vafessa Fofana (Gravelines-Dunkerque), Michael Stockton (Budivelnyk, Ukraine), Gerry Blakes (Limoges), Lasan Kromah (Fos), Ian Miller (Peristeri/Grèce), Chris Horton (Nanterre), Warren Woghiren.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Nathan de Sousa (premier contrat pro), Yoan Makoundou, Nanta Diarra, Kévin Marsillon-Noléo (Espoirs).\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Darrin Govens (1,85 m, 33 ans), Dominic Artis (1,92 m, 28 ans), Nathan de Sousa (1,91 m, 18 ans)\"],[1,[],0,18],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Boris Dallo (1,96 m, 27 ans), Hugo Robineau (1,92 m, 21 ans)\"],[1,[],0,19],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Peter Jok (1,97 m, 27 ans), Kévin Marsillon-Noléo (2,02 m, 19 ans)\"],[1,[],0,20],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Yoan Makoundou (2,07 m, 20 ans), DJ Hogg (2,06 m, 24 ans).\"],[1,[],0,21],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Kennedy Meeks (2,08m, 26 ans), Nanta Diarra (2,01 m, 28 ans)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Laurent Vila\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Dijon\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Nenad Markovic (coach, Bosnie/Espagne, Gaziantep/Turquie), Rashard Kelly (USA, Gaziantep/Turquie, 1 an), Joshiko Saibou (Allemagne, Champagne Basket, 2 ans), Gavin Ware (USA, Gravelines-Dunkerque, 1 an), Sek Henry (USA/Jamaïque, Pinar Karsiyaka/Turquie, 1 an), Khadeen Carrington (Trinidad, Séville/Espagne), Toni Katic (Croatie, Sassari/Italie, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Laurent Legname (coach, Bourg-en-Bresse), Axel Julien (Bourg-en-Bresse), Hans Vanwijn (Saragosse/Espagne), Jaron Johnson (Avtodor Saratov/Russie), Alexandre Chassang (Yalova/Turquie) Sek Henry (coupé).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Robin Ducoté (premier contrat pro, 1 an), Abdoulaye Loum (prolongation, 3 ans), David Holston (USA, prolongation, 2 ans), Charles Galliou (prolongation, 1 an), Jacques Alingué (prolongation, 1 an), Chase Simon (USA, prolongation, 2 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" (complet) :\"],[1,[],0,22],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : David Holston (1,73 m, 35 ans), Joshiko Saibou (1,87 m, 31 ans), Toni Katic (1,88 m, 29 ans)\"],[1,[],0,23],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Khadeen Carrington 26 ans, 1,93 m), Robin Ducoté (1,93 m, 20 ans)\"],[1,[],0,24],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Chase Simon (2,00 m, 32 ans), Charles Galliou (2,02 m, 25 ans)\"],[1,[],0,25],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Rashard Kelly (2,01 m, 25 ans), Abdoulaye Loum (2,09 m, 30 ans)\"],[1,[],0,26],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Gavin Ware (2,06 m, 27 ans), Jacques Alingué (2,03 m, 33 ans)\"],[1,[],0,27],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Nenad Markovic (Bosnie/Espagne)\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Fos Provence\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Lasan Kromah (USA/Libéria, Cholet, 1 an), Terell Parks (USA, Bnei Hertzelya/Israël), D’Mtrick Trice (USA, Wisconsin/NCAA), Zack Peacock (USA, Bourg-en-Bresse, pigiste médical Nik Caner-Medley), Sadio Doucouré (Antibes/Pro B).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Mamadou Dia (retraite), Sullivan Hernandez (Antibes/Pro B), Lucas Hergott (Blois/Pro B), Jaraun Burrows, Karim Atamna, Jonathan Augustin-Farrell.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Édouard Choquet (prolongation, 1 an), Jamar Diggs (USA, prolongation, 1 an), Nik Caner-Medley (USA/Azerbaïdjan, prolongation, 1 an), Kevin McClain (USA/Allemagne, prolongation, 1 an), Allan Dokossi, Bodian Massa, Jean-Michel Mipoka.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" :\"],[1,[],0,28],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Édouard Choquet (1,88 m, 33 ans), Jamar Diggs (1,90 m, 32 ans), D’Mtrick Trice (1,83 m, 25 ans)\"],[1,[],0,29],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Kevin McClain (1,90 m, 24 ans), Sadio Doucouré (29 ans, 2,01 m)\"],[1,[],0,30],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Lasan Kromah (1,98 m, 30 ans), Jean-Michel Mipoka (1,98 m, 35 ans)\"],[1,[],0,31],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Nik Caner-Medley (2,03 m, 37 ans), Allan Dokossi (2,03 m, 21 ans), Zack Peacock (33 ans, 2,03 m, pigiste médical).\"],[1,[],0,32],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Bodian Massa (23 ans, 2,10 m), Terell Parks (2,05 m, 30 ans)\"],[1,[],0,33],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Rémi Giuitta\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Gravelines-Dunkerque\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées :\"],[0,[],0,\" Dominik Olejniczak (Pologne, Sopot/Pologne, 2 ans), Vafessa Fofana (Cholet, 2 ans), Kenny Kadji (Cameroun, Bursaspor/Turquie, 1 an), Marcquise Reed (USA, Nanterre, 1 an), Brandon Taylor (USA, Reggio Emilia/Italie, 1 an), John Jenkins (USA, Bilbao/Espagne, 1 an), Tyler Stone (USA, Nanterre), Abdoulaye Ndoye (Monaco), Sheldon Mac (USA, Le Portel, pigiste médical John Jenkins)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs :\"],[0,[],0,\" Paul Rigot (Blois, Pro B), Corey Davis (Mornar Bar/Monténégro), Gavin Ware (Dijon), Eric McCree (Peristeri/Grèce), Aleksej Nikolic (Burgos/Espagne), Itay Segev (Hapoel Jérusalem/Israël), Pape Sy, Vojdan Stojanovski, Khalid Boukichou (Médine/Arabie Saoudite), Briante Weber.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : J.D. Jackson (Canada-France, coach, prolongation 2+1 ans), Lucas Bourhis, Romuald Morency, Fabien Damase (premier contrat pro).\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0,0],2,\"Effectif 2021-22\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Brandon Taylor (1,78 m, 27 ans), Lucas Bourhis (1,77 m, 21 ans)\"],[1,[],0,34],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Abdoulaye Ndoye (2,01m, 23 ans), John Jenkins (1,93 m, 30 ans), Marcquise Reed (1,90 m, 26 ans), Sheldon Mac (28 ans, 1,96 m, pigiste médical)\"],[1,[],0,35],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Romuald Morency (2,02 m, 26 ans), Fabien Damase (2,00 m, 19 ans)\"],[1,[],0,36],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Tyler Stone (2,03 m, 29 ans), Vafessa Fofana (1,98 m, 29 ans)\"],[1,[],0,37],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Kenny Kadji (2,11 m, 33 ans), Dominik Olejniczak (2,13 m, 24 ans)\"],[1,[],0,38],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : J.D. Jackson (Canada/France)\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Le Mans\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées :\"],[0,[],0,\" Matthieu Gauzin (Champagne Basket, retour de prêt), Valentin Chéry (Paris Basket, Pro B, 2 ans), TaShawn Thomas (USA, Hapoel Jérusalem/Israël, 1 an), Deishuan Booker (USA, Göttingen/Allemagne), Dante Cunningham (USA, Cangrejeros de Santurce/Porto-Rico, 1 an), Taylor Rochestie (USA/Monténégro, Hapoel Haifa/Israël), Darius Johnson-Odom (Orléans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Alain Koffi (retraite), Antoine Eïto (Chalon/Saône, Pro B), Valentin Bigote (Bilbao/Espagne), Vitto Brown (Séville/Espagne), Iggy Mockevicius, Ovie Soko (Shiga/Japon), Kenny Hayes (Forli/Italie D2), Darel Poirier (Estudiantes Madrid/Espagne D2), Jacques Eyoum (Pont-de-Cheruy/NM1), Taylor Rochestie (Chine).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club :\"],[0,[],0,\" Eric Delord (coach), Kaza Kajami-Keane (Canada, prolongation, 1 an), Scott Bamforth (USA-Kosovo, prolongation, 1 an), Hugo Mienandi (aspirant), Kenny Baptiste, Williams Narace (prolongation 3 ans), Terry Tarpey (prolongation 3 ans).\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Kaza Kajami-Keane (1,88 m, 27 ans), Matthieu Gauzin (1,90 m, 20 ans)\"],[1,[],0,39],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Scott Bamforth (1,88 m, 30 ans), Deishuan Booker (1,91 m, 24 ans), Darius Johnson Odom (1,87m, 32 ans)\"],[1,[],0,40],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Kenny Baptiste (2,04 m, 21 ans), Terry Tarpey (1,95 m, 27 ans)\"],[1,[],0,41],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Dante Cunningham (2,03 m, 34 ans), Williams Narace (2,02 m, 24 ans), Hugo Mienandi (1,99 m, 18 ans)\"],[1,[],0,42],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : TaShawn Thomas (2,03 m, 28 ans), Valentin Chéry (2,00 m, 23 ans)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Entraîneur :\"],[0,[],0,\" Elric Delord\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Le Portel\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Serge Crevecoeur (Belgique, coach, sans club), Devin Davis (USA, Lavrio/Grèce, 1 an), Luke Nelson (GB, Göttingen/Allemagne), David Skara (CRO/Denain/Pro B), Femi Olujobi (USA, Skopje/Macédoine), Mouphatou Yarou (Bénin, Nanterre, 1 saison).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : MiKyle McIntosh (Tasmania JackJumpers/Australie), Michael Umeh, Cyrille Eliezer-Vanerot (ASA/Pro B), Georgi Joseph, Théo Magrit (Saint-Chamond/Pro B, prêt), Boris Dallo (Cholet).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Benoît Mangin, Jo Passave-Ducteil, Mathieu Wojciechowski, Charles-Noé Abouo (Côte-d’Ivoire), Mehdy Ngouama, Éric Girard (coach, devient manager sportif).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" :\"],[1,[],0,43],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Benoît Mangin (1,88 m, 33 ans), Mehdy Ngouama (1,88 m, 26 ans)\"],[1,[],0,44],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Luke Nelson (1,90 m, 26 ans), Charles-Noé Abouo (1,96 m, 31 ans)\"],[1,[],0,45],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : David Skara (2,02m, 26 ans), Mathieu Wojciechowski (2,01 m, 28 ans)\"],[1,[],0,46],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Devin Davis (1,98 m, 26 ans), Femi Olujobi (2,06 m, 25 ans)\"],[1,[],0,47],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Jo Passave-Ducteil (1,98 m, 36 ans), Mouphtaou Yarou (2,08m, 30 ans)\"],[1,[],0,48],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Serge Crevecoeur (Belgique)\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Limoges\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Massimo Cancellieri (Italie, coach, Ravenne/Italie D2), Thimotée Bazille (Saint-Quentin/Pro B, retour de prêt), Demonte Harper (USA, saison blanche), Gerry Blakes (USA, Cholet), Horace Spencer (USA, Kagitspor/Turquie D2), C. J. Massinburg (USA, Long Island Nets/G-League, pigiste médical Ludovic Beyhurst), Kruize Pinkins (USA, Turin/Italie D2), Siim-Sander Vene (Estonie, Fuenlabrada/Espagne, pigiste médical Gerry Blakes).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Mehdy Mary (coach, ?), Jerry Boutsiele (Monaco), Phil Scrubb (Avtodor Saratov/Russie), Speedy Smith (Nizhny Novgorod/Russie), Marcus Ginyard, Maciej Lampe, Bruno Caboclo (San Paolo/Brésil), Badr Moujib (Espoir, Tours/Pro B), Siim-Sander Vene (fin de pige).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Ludovic Beyhurst, Thimoté Crusol, Hugo Invernizzi, Grismay Paumier (Cuba), Nicolas Lang.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" :\"],[1,[],0,49],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Demonte Harper (1,93 m, 32 ans), Ludovic Beyhurst (22 ans, 1,72 m), Thimoté Crusol (20 ans, 1,92 m), C.J. Massinburg (24 ans, 1,90 m)\"],[1,[],0,50],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Nicolas Lang (2,00 m, 31 ans), Gerry Blakes (1,93 m, 27 ans)\"],[1,[],0,51],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : \"],[1,[],0,52],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Hugo Invernizzi (1,98 m, 28 ans), Kruize Pinkins (28 ans, 2,01 m)\"],[1,[],0,53],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Horace Spencer (2,06 m, 24 ans), Thimotée Bazille (2,02 m, 22 ans), Grismay Paumier (2,05 m, 33 ans)\"],[1,[],0,54],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Massimo Cancellieri (Italie)\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Lyon-Villeurbanne\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Raymar Morgan (USA, Pinar Karskiyaka/Turquie, 1 an), Victor Wembanyama (Nanterre, 3 ans), Élie Okobo (Phoenix Suns/NBA, 1 an), Dylan Osetkowski (USA/Allemagne, Ulm/Allemagne, 2 ans), Chris Jones (USA, Maccabi Tel-Avis/Israël, 1 an), Kostas Antetokounmpo (Grèce, LA Lakers/USA, 2 ans), Youssoupha Fall (France-Sénégal, Vitoria/Espagne, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Amine Noua (Andorre/Espagne), Thomas Heurtel (Real Madrid/Espagne), Guerschon Yabusele (Real Madrid/Espagne), Moustapha Fall (Olympiakos/Grèce), Kevarrius Hayes (Bursaspor/Turquie), Norris Cole (Unicaja Malaga/Espagne), Ismaël Bako (Manresa/Espagne).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Charles Kahudi (1 an), Paul Lacombe, Antoine Diot (prolongation, 3 ans), David Lighty (USA, 5 ans), Matthew Strazel (4 ans), William Howard, Kymany Houinsou, Elwin Ndjock\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" (complet) :\"],[1,[],0,55],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Chris Jones (1,88 m, 28 ans), Antoine Diot (1,93 m, 32 ans), Matthew Strazel (1,82 m, 19 ans)\"],[1,[],0,56],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Paul Lacombe (1,95 m, 32 ans), Élie Okobo (1,91 m, 23 ans), Kymany Houinsou (1,96 m, 17 ans)\"],[1,[],0,57],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : David Lighty (1,98 m, 33 ans), Charles Kahudi (1,99 m, 35 ans), William Howard (2,03 m, 27 ans), Elwin Ndjock (1,93 m, 20 ans)\"],[1,[],0,58],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Raymar Morgan (2,03 m, 33 ans), Dylan Osetkowski (2,06 m, 25 ans), Victor Wembanyama (2,20 m, 17 ans)\"],[1,[],0,59],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Kostas Antetokounmpo (2,08 m, 23 ans), Youssoupha Fall (2,21 m, 26 ans)\"],[1,[],0,60],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : T.J. Parker\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Monaco\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Jerry Boutsiele (Limoges, 1 an), Danilo Andjusic (Serbie, Bourg-en-Bresse, 1 an), Armel Traoré (Pôle France/NM1, 3 ans), Paris Lee (USA, Orléans, 1 an), Yakuba Ouattara (Séville/Espagne, 1 an), Léo Westermann (Barcelone/Espagne), Donta Hall (USA, Orlando Magic/NBA et G-League Ignite/G-League, 1 an), Donatas Motiejunas (Lituanie, Chine/Xinjiang Flying Tigers, 1 an), Alpha Diallo (USA, Lavrio, Grèce), Brock Botum (Australie, Nanterre), Mike James (USA, CSKA Moscou/VTB League), Dwayne Bacon (USA, Orlando Magic/NBA)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Yohan Choupas (Lille, Pro B), Wilfried Yeguete, Dee Bost (Galatasaray/Turquie), Damien Inglis, Abdoulaye Ndoye, JJ O’Brien, Mathias Lessort, Rasid Mahalbasic (Breogan/Espagne), Branden Frazier (Zielona Gora/Pologne), Khadeen Carrington (Séville/Espagne), Marcos Knight.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Zvezdan Mitrovic (Monténégro, coach, prolongation 3 ans), Rob Gray (USA, prolongation, 2 ans), Ibrahima Fall Faye (Sénégal, prolongation, 1 an), Rudy Demahis-Ballou (prolongation, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" :\"],[1,[],0,61],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Paris Lee (1,83 m, 26 ans), Léo Westermann (1,98 m, 29 ans), Rudy Demahis-Ballou (1,87 m, 19 ans), Mike James (1,85 m, 31 ans)\"],[1,[],0,62],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Rob Gray (1,86 m, 27 ans), Danilo Andjusic (1,95 m, 30 ans), Dwayne Bacon (1,98 m, 26 ans)\"],[1,[],0,63],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Alpha Diallo (2,01m, 24 ans), Armel Traoré (2,02 m, 18 ans), Yakuba Ouattara (1,92 m, 29 ans)\"],[1,[],0,64],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Donatas Motiejunas (2,13 m, 30 ans), Donta Hall (2,08 m, 23 ans), Broke Motum (2,08m, 30 ans)\"],[1,[],0,65],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Jerry Boutsiele (2,07 m, 28 ans), Ibrahima Fall Faye (2,09 m, 24 ans)\"],[1,[],0,66],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Zvezdan Mitrovic (Monténégro)\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Nanterre\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Bastien Pinault (Boulogne-Levallois, 1 an), Benjamin Sene (Boulazac, 2 ans), Jeremy Senglin (USA, Andorre/Espagne, 2 ans), Luke Fischer (USA/Arménie, Orléans, 1 an), Chris Horton (USA, Cholet, 1 an), Nick Johnson (USA, TT Ankara/Turquie, 1 an), Patricio Garino (ARG, Zalgiris Kaunas, 1 an), Thomas Wimbush (USA, Socar Petkimspor, 1 an), Adam Mokoka (Chicago Bulls/NBA, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Damien Bouquet (Chalon-sur-Saône/Pro B), Alpha Kaba (Gaziantep/Turquie), Victor Wembanyama (Lyon-Villeurbanne), Brian Conklin (Mayaguez/Porto Rico), Nikola Rebic (Serbie, Syntainics MBC/Allemagne), Johnny Berhanemeskel (Roanne), Ivan Février (Boulazac/Pro B), Armand Mensah (Denain/Pro B, prêt), Isaïa Cordinier (Virtus Bologne/Italie), Tyler Stone (Bourg-en-Bresse), Chris Warren (Orléans), Marcquise Reed (Gravelines-Dunkerque), Brock Motum (Monaco).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Lucas Dussoulier (retour de blessure), Samuel Eyango-Dingo (contrat pro).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" :\"]]],[1,\"p\",[[1,[],0,67],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Nick Johnson (1,91 m, 28 ans), Benjamin Sene (1,88 m, 27 ans)\"],[1,[],0,68],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Jeremy Senglin (1,88 m, 26 ans), Bastien Pinault (1,95 m, 27 ans)\"],[1,[],0,69],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Patricio Garino (2,01 m, 28 ans), Lucas Dussoulier (2,03 m, 25 ans), Adam Mokoka (23 ans, 1,96 m)\"],[1,[],0,70],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Chris Horton (2,02 m, 27 ans), Thomas Wimbush (2,01 m, 27 ans)\"],[1,[],0,71],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Luke Fischer (2,11 m, 26 ans), Samuel Eyango-Dingo (2,07 m, 20 ans)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Entraîneur : \"],[0,[],0,\"Pascal Donnadieu\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Orléans\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Chris Warren (USA, Nanterre, 1 an), Marcus Paige (USA, Partizan Belgrade/Serbie/VTB League, 1 an), Jean-Philippe Dally (Évreux, Pro B, 1 an), Bruno Cingala-Mata (Nancy, Pro B, 1 an), Kévin Dinal (Gries-Oberhoffen, Pro B, 1 an), Youssou Ndoye (Sénégal, Bétis Séville/Espagne, 1 an), Kyvon Davenport (USA, BK Boudivelnyk Kiev/Ukraine/1 an), Jéremy Nzeulie (Boulazac, pigiste médical), DJ Strawberry (USA/Cameroun, Pau-Lacq-Orthez, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Gary Florimont (Metz/NM2), Govian Oniangue (Pau), Luke Fischer (Nanterre), Paris Lee (Monaco), Jamel Morris (Bamberg/Allemagne), Neftali Difuidi (Saint-Quentin/Pro B, prêt), Darius Johnson-Odom (Le Mans), Chima Moneke (Manresa/Espagne), Landing Sane, Tahjere McCall (Cairns Taipans/Australie), Jean-Philippe Dossou (Blois/Pro B, prêt), Jérémy Nzeulie (fin de pige).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Germain Castano (coach), Malela Mutuale (prolongation, 1 an), LaMonte Ulmer (USA, prolongation, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"]]],[1,\"p\",[[1,[],0,72],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Chris Warren (1,76m, 32 ans),Malela Mutuale (1,88 m, 30 ans)\"],[1,[],0,73],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Marcus Paige (1,83m, 28 ans), DJ Strawberry (1,96 m, 26 ans)\"],[1,[],0,74],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : LaMonte Ulmer (1,98 m, 34 ans), Jean-Philippe Dally (1,99 m, 25 ans)\"],[1,[],0,75],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Kyvon Davenport (2,01m, 24 ans), Kévin Dinal (2,02 m, 28 ans), Bruno Cingala-Mata (2,00 m, 28 ans)\"],[1,[],0,76],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Youssou Ndoye (2,13 m, 30 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Germain Castano \"],[1,[],0,77]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Paris Basket\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Les changements de l’intersaison\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Kyle Allman Jr (USA, VEF Riga/Lettonie, 1 an), Kyle O’Quinn (USA, Fenerbahçe, Turquie)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Valentin Chéry (Le Mans), Nobel Boungou-colo, Evans Ganapamo, Sheck Wes, Kévin Franceschi.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Juhann Begarin, Lois Gendrey, Amara Sy, Ismaël Kamagaté, Gauthier Denis, Milan Barbitch, Dustin Sleva (USA), Ryan Boatright (USA/Arménie).\"]]],[1,\"p\",[[1,[],0,78],[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"]]],[1,\"p\",[[1,[],0,79],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Ryan Boatright (1,83m, 28 ans), Kyle Allman Jr (1,93 m, 24 ans), Lois Gendrey (1,75 m, 21 ans)\"],[1,[],0,80],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Juhann Begarin (1,96 m, 19 ans), Milan Barbitch (1,96 m, 19 ans)\"],[1,[],0,81],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Gauthier Denis (2,02 m, 24 ans), Amara Sy (2,02 m, 40 ans)\"],[1,[],0,82],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Dustin Sleva (2,03 m, 25 ans)\"],[1,[],0,83],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Kyle O’Quinn (2,06m, 31 ans), Ismaël Kamagaté (2,11 m, 20 ans)\"],[1,[],0,84],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Jean-Christophe Prat\"],[1,[],0,85]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Pau\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Gregor Hrovat (Slovénie, Cholet, 1 an), Vitalis Chikoko (Zimbabwe, Boulogne-Levallois, 3 ans), Dominique Archie (USA, Champagne Basket, 1 an), Brandon Jefferson (USA, Strasbourg, 2 ans), Giovan Oniangue (Orléans, 2 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Rémi Lesca (Tarbes-Lourdes/NM1), Digué Diawara (Quimper/Pro B), Petr Cornélie, Ousmane Dramé, Nicolas De Jong, Vee Sanford (Pesaro/Italie), CJ Williams (Yalova/Turquie), Jay Threatt (Larisa/Grèce), Ioannis Kouzeloglou.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Éric Bartecheky (coach, prolongation, 2 ans), Justin Bibbins (USA, prolongation, 1 an), Gérald Ayayi, Jérémy Leloup, Hamady Ndiaye (Sénégal, prolongation, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" :\"],[1,[],0,86],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Brandon Jefferson (1,75 m, 29 ans), Justin Bibbins (1,73 m, 25 ans)\"],[1,[],0,87],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Gérald Ayayi (1,88 m, 19 ans)\"],[1,[],0,88],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Jérémy Leloup (1,99 m, 33 ans), Gregor Hrovat (1,96 m, 26 ans), Giovan Oniangue (1,96m, 30 ans)\"],[1,[],0,89],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Dominique Archie (2,01 m, 33 ans)\"],[1,[],0,90],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Vitalis Chikoko (2,08 m, 30 ans), Hamady Ndiaye (2,13 m, 34 ans)\"],[1,[],0,91],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Éric Bartecheky\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Roanne\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Loren Cristian Jackson (USA, Akron/NCAA, 1 an), Louis Marnette (Souffelweiersheim, Pro B, 2 ans), Louis Cassier (Gries-Oberhoffen, Pro B, 2 ans), Johnny Berhanemeskel (Canada/Erythrée, Nanterre, 1 an), JaKeenan Gant (USA, Saskatchewan Rattlers/Canada, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs\"],[0,[],0,\" : Sylvain Francisco (Manresa/Espagne), Thomas Ville (Vichy-Clermont/Pro B), Steeve Ho You Fat (Boulogne-Levallois), Jackson Rowe (Norrkoping/Suède), Arthur Bruyas (Saint-Vallier/Pro B, prêt), Jamel Artis, Justin Wright-Foreman (Kulubuspor/Turquie), Ekene Ibekwe, Teyvon Myers (Sopron/Hongrie).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Renathan Ona Embo (prolongation, 2 ans), Clément Cavallo, Boubacar Touré (Sénégal, prolongation, 1 an), Juvonte Reddic (USA, prolongation, 1 an), Ronald March (USA, prolongation, 1 an).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"],[0,[],0,\" (complet) :\"],[1,[],0,92],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : Loren Cristian Jackson (1,73 m, 26 ans), Renathan Ona Embo (1,94 m, 22 ans)\"],[1,[],0,93],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Johnny Berhanemeskel (1,88 m, 28 ans), Louis Marnette (1,93 m, 20 ans)\"],[1,[],0,94],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Ronald March (1,96 m, 28 ans), Clément Cavallo (2,00 m, 30 ans)\"],[1,[],0,95],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : JaKeenan Gant (2,03 m, 25 ans), Louis Cassier (2,01 m, 24 ans)\"],[1,[],0,96],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Juvonte Reddic (2,06 m, 29 ans), Boubacar Touré (2,11 m, 25 ans)\"],[1,[],0,97],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Jean-Denys Choulet\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Strasbourg\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Les changements de l’intersaison\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivées\"],[0,[],0,\" : Jarell Eddie (USA, Fenerbahçe, Turquie), Gaylor Curier (Lille, Pro B, 1 an), Matt Mitchell (USA, San Diego State/NCAA), John Roberson (USA, Espagne, Estudiantes Madrid), Georgi Joseph (Le Portel)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Départs : \"],[0,[],0,\"Clément Frisch (Denain/Pro B), Bonzie Colson (Pinar Karsiyaka/Turquie), Ishmail Wainwright (Toronto Raptors/NBA), Essomé Miyem (Lille/Pro B), Brandon Jefferson (Pau), Jayson Tchicamboud (Tours/Pro B, prêt), Kris Richard (Oradea/Roumanie), Thomas Hieu-Courtois (retour à Lille/Pro B), Georgi Joseph (fin de pige médicale).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Restent au club\"],[0,[],0,\" : Lassi Tuovi (Finlande, coach, prolongation, 2 ans), DeAndre Lansdowne (USA, prolongation, 2 ans), Jean-Baptiste Maille, Léopold Cavalière, Yannis Morin, Ike Udanoh (USA/Nigéria, prolongation, 1 an), Jaromir Bohacik (Rép. Tchèque, prolongation, 1 an).\"]]],[1,\"h5\",[[0,[0],1,\"Effectif 2021-22\"]]],[1,\"p\",[[1,[],0,98],[0,[0],1,\"Meneurs\"],[0,[],0,\" : John Roberson (1,80m, 32 ans), Jean-Baptiste Maille (1,90 m, 27 ans)\"],[1,[],0,99],[0,[0],1,\"Arrières\"],[0,[],0,\" : Jarell Eddie (2,01m, 31 ans), DeAndre Lansdowne (1,88 m, 32 ans), Gaylor Curier (1,97 m, 29 ans)\"],[1,[],0,100],[0,[0],1,\"Ailiers\"],[0,[],0,\" : Matt Mitchell (1,98 m, 22 ans), Jaromir Bohacik (1,97 m, 29 ans)\"],[1,[],0,101],[0,[0],1,\"Ailier-forts\"],[0,[],0,\" : Léopold Cavalière (2,03 m, 25 ans)\"],[1,[],0,102],[0,[0],1,\"Pivots\"],[0,[],0,\" : Ike Udanoh (2,02 m, 32 ans), Yannis Morin (2,08 m, 27 ans)\"],[1,[],0,103],[0,[0],1,\"Entraîneur\"],[0,[],0,\" : Lassi Tuovi (34 ans)\"],[1,[],0,104]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Victor Wembanyama (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Voici le récapitulatif de l’ensemble des transferts et des effectifs de la saison 2021-2022 de Betclic Elite.
Arrivées : Vincent Collet (sans club), Keith Hornsby (USA, Oldenburg/Allemagne, 1 an), Steeve Ho You Fat (Roanne, 2 ans), Will Cummings (USA, Lokomotiv Kuban/Russie, 1 an), Bandja Sy (Andorre/Espagne, 2 ans), Vince Hunter (USA, Virtus Bologne/Italie, 1 an), Jordan McRae (USA, Beijing Ducks/Chine, 1 an), Nobel Boungou colo (Paris/Pro B, pigiste médical de Bandja Sy).
Départs : Maxime Roos (Bourg-en-Bresse), Neal Sako (Champagne Basket), Brandon Brown (Cluj-Napoça/Roumanie), Vitalis Chikoko (Pau), Bastien Pinault (Nanterre), Archie Goodwin, Anthony Brown, Josh Owens, Jurij Zdovc (coach).
Restent au club : David Michineau, Miralem Halilovic (Bosnie-Herzégovine), Tomer Ginat (Israël), Lahaou Konaté.
Effectif 2021-22 :
Meneurs : David Michineau (1,84 m, 27 ans), Will Cummings (1,86 m, 28 ans)
Arrières : Lahaou Konaté (1,96 m, 29 ans), Keith Hornsby (1,92 m, 29 ans)
Ailiers : Jordan McRae (1,95 m, 30 ans), Bandja Sy (2,04 m, 31 ans), Nobel Boungou colo (33 ans, 2,02 m).
Ailier-forts : Tomer Ginat (2,02 m, 26 ans), Steeve Ho You Fat (2,01 m, 33 ans)
Pivots : Vince Hunter (2,03 m, 27 ans), Miralem Halilovic (2,05 m, 30 ans)
Entraîneur : Vincent Collet
Arrivées : Laurent Legname (coach, Dijon, 3 ans), Axel Julien (Dijon, 3 ans), Maxime Roos (Boulogne-Levallois, 2 ans), Eric Mika (USA, Partizan Belgrade/Serbie, 1 an), Rasheed Sulaimon (USA/Nigéria, Saragosse/Espagne, 1 an), JaCorey Williams (USA, Trente/Italie, 1 an), C.J. Harris (USA, Hapoel Holon/Israël, 1 an), Tyler Stone (USA, Nanterre, 1 an).
Départs : Savo Vucevic (coach), Danilo Andjusic (Monaco), Luka Asceric (Slask Wroclaw/Pologne), Thomas Scrubb (Obradoiro/Espagne), Zack Wright, Zack Peacock, Alen Omic, Thibault Daval-Braquet (Évreux/Pro B), Bangaly Fofana, Codi McIntyre-Miller (Andorre/Espagne), Pierre Jackson.
Restent au club : Hugo Benitez, Pierre Pelos (prolongation, 3 ans), Maxime Courby (prolongation, 3 ans).
Effectif 2021-22 (complet) :
Meneurs : Axel Julien (1,80 m, 29 ans), Hugo Benitez (1,87 m, 20 ans)
Arrières : Rasheed Sulaimon (1,94 m, 27 ans), C.J. Harris (1,90 m, 30 ans)
Ailiers : Maxime Roos (2,02 m, 26 ans), Maxime Courby (1,99 m, 30 ans)
Ailier-forts : Pierre Pelos (2,05 m, 28 ans), Tyler Stone (2,03 m, 29 ans)
Pivots : JaCorey Williams (2,03 m, 27 ans), Eric Mika (2,08 m, 26 ans)
Entraîneur : Laurent Legname
Arrivées : Neal Sako (Boulogne-Levallois, 2 ans), Enzo Goudou-Sinha (Nancy, Pro B, 2 ans), Jean Salamu (Belgique, Rasta Vechta/Allemagne, 1 an), Mike Henry (USA, Trieste/Italie, 1 an), Donte Grantham (USA, Agua Caliente Clippers/G-League, 1 an), Scottie Reynolds (USA, Cibona Zagreb/Croatie), Elijah Brown (USA, Oviedo/Espagne D2, pigiste médical Jean Salamu), Jonathan Tabu (Belgique, Manresa/Espagne, pigiste médical Jean Salamu).
Départs : Matthieu Gauzin (Le Mans, retour de prêt), Joshiko Saibou (Dijon), Dominique Archie, Travis Leslie, Jimmie Taylor (Lublin/Pologne), Dominic Waters, Elijah Brown (fin de pige).
Restent au club : Gani Lawal (Nigéria, prolongation, 1 an), Junior Mbida (Cameroun, prolongation, 1 an), Jessie Begarin.
Effectif 2021-22 :
Meneurs : Scottie Reynolds (1,88m, 31 ans), Enzo Goudou-Sinha (1,82 m, 22 ans), Jonathan Tabu (1,89 m, 36 ans, pigiste médical)
Arrières : Jean Salamu (1,93 m, 30 ans), Jessie Begarin (1,90 m, 33 ans)
Ailiers : Mike Henry (1,98 m, 28 ans)
Ailier-forts : Donte Grantham (2,03 m, 26 ans), Junior Mbida (2,06 m, 31 ans)
Pivots : Gani Lawal (2,06 m, 32 ans), Neal Sako (2,10 m, 22 ans)
Entraîneur : Cédric Heitz
Arrivées : Laurent Vila (coach, sans club), Dominic Artis (USA, Rhodes/Grèce, 1 an), Darrin Govens (USA/Hongrie, Szedeak-Szeged/Hongrie, 1 an), Peter Jok (USA/Soudan du Sud, Murcie/Espagne), Hugo Robineau (Gries, Pro B, retour de prêt), DJ Hogg (USA, Lakeland Magic, G-League), Boris Dallo (Le Portel), Kennedy Meeks (USA, Changwon LG Sakers/Corée-du-Sud)
Départs : Erman Kunter (coach), Aaron Jones (Trévise/Italie), Gregor Hrovat (Pau), Karlton Dimanche (ASA/Pro B, prêt), Léopold Delaunay (Vichy-Clermont/Pro B, prêt), Quentin Ruel (Quimper/Pro B, prêt), Florian Léopold (Quimper/Pro B, prêt), Vafessa Fofana (Gravelines-Dunkerque), Michael Stockton (Budivelnyk, Ukraine), Gerry Blakes (Limoges), Lasan Kromah (Fos), Ian Miller (Peristeri/Grèce), Chris Horton (Nanterre), Warren Woghiren.
Restent au club : Nathan de Sousa (premier contrat pro), Yoan Makoundou, Nanta Diarra, Kévin Marsillon-Noléo (Espoirs).
Meneurs : Darrin Govens (1,85 m, 33 ans), Dominic Artis (1,92 m, 28 ans), Nathan de Sousa (1,91 m, 18 ans)
Arrières : Boris Dallo (1,96 m, 27 ans), Hugo Robineau (1,92 m, 21 ans)
Ailiers : Peter Jok (1,97 m, 27 ans), Kévin Marsillon-Noléo (2,02 m, 19 ans)
Ailier-forts : Yoan Makoundou (2,07 m, 20 ans), DJ Hogg (2,06 m, 24 ans).
Pivots : Kennedy Meeks (2,08m, 26 ans), Nanta Diarra (2,01 m, 28 ans)
Entraîneur : Laurent Vila
Arrivées : Nenad Markovic (coach, Bosnie/Espagne, Gaziantep/Turquie), Rashard Kelly (USA, Gaziantep/Turquie, 1 an), Joshiko Saibou (Allemagne, Champagne Basket, 2 ans), Gavin Ware (USA, Gravelines-Dunkerque, 1 an), Sek Henry (USA/Jamaïque, Pinar Karsiyaka/Turquie, 1 an), Khadeen Carrington (Trinidad, Séville/Espagne), Toni Katic (Croatie, Sassari/Italie, 1 an).
Départs : Laurent Legname (coach, Bourg-en-Bresse), Axel Julien (Bourg-en-Bresse), Hans Vanwijn (Saragosse/Espagne), Jaron Johnson (Avtodor Saratov/Russie), Alexandre Chassang (Yalova/Turquie) Sek Henry (coupé).
Restent au club : Robin Ducoté (premier contrat pro, 1 an), Abdoulaye Loum (prolongation, 3 ans), David Holston (USA, prolongation, 2 ans), Charles Galliou (prolongation, 1 an), Jacques Alingué (prolongation, 1 an), Chase Simon (USA, prolongation, 2 ans).
Effectif 2021-22 (complet) :
Meneurs : David Holston (1,73 m, 35 ans), Joshiko Saibou (1,87 m, 31 ans), Toni Katic (1,88 m, 29 ans)
Arrières : Khadeen Carrington 26 ans, 1,93 m), Robin Ducoté (1,93 m, 20 ans)
Ailiers : Chase Simon (2,00 m, 32 ans), Charles Galliou (2,02 m, 25 ans)
Ailier-forts : Rashard Kelly (2,01 m, 25 ans), Abdoulaye Loum (2,09 m, 30 ans)
Pivots : Gavin Ware (2,06 m, 27 ans), Jacques Alingué (2,03 m, 33 ans)
Entraîneur : Nenad Markovic (Bosnie/Espagne)
Arrivées : Lasan Kromah (USA/Libéria, Cholet, 1 an), Terell Parks (USA, Bnei Hertzelya/Israël), D’Mtrick Trice (USA, Wisconsin/NCAA), Zack Peacock (USA, Bourg-en-Bresse, pigiste médical Nik Caner-Medley), Sadio Doucouré (Antibes/Pro B).
Départs : Mamadou Dia (retraite), Sullivan Hernandez (Antibes/Pro B), Lucas Hergott (Blois/Pro B), Jaraun Burrows, Karim Atamna, Jonathan Augustin-Farrell.
Restent au club : Édouard Choquet (prolongation, 1 an), Jamar Diggs (USA, prolongation, 1 an), Nik Caner-Medley (USA/Azerbaïdjan, prolongation, 1 an), Kevin McClain (USA/Allemagne, prolongation, 1 an), Allan Dokossi, Bodian Massa, Jean-Michel Mipoka.
Effectif 2021-22 :
Meneurs : Édouard Choquet (1,88 m, 33 ans), Jamar Diggs (1,90 m, 32 ans), D’Mtrick Trice (1,83 m, 25 ans)
Arrières : Kevin McClain (1,90 m, 24 ans), Sadio Doucouré (29 ans, 2,01 m)
Ailiers : Lasan Kromah (1,98 m, 30 ans), Jean-Michel Mipoka (1,98 m, 35 ans)
Ailier-forts : Nik Caner-Medley (2,03 m, 37 ans), Allan Dokossi (2,03 m, 21 ans), Zack Peacock (33 ans, 2,03 m, pigiste médical).
Pivots : Bodian Massa (23 ans, 2,10 m), Terell Parks (2,05 m, 30 ans)
Entraîneur : Rémi Giuitta
Arrivées : Dominik Olejniczak (Pologne, Sopot/Pologne, 2 ans), Vafessa Fofana (Cholet, 2 ans), Kenny Kadji (Cameroun, Bursaspor/Turquie, 1 an), Marcquise Reed (USA, Nanterre, 1 an), Brandon Taylor (USA, Reggio Emilia/Italie, 1 an), John Jenkins (USA, Bilbao/Espagne, 1 an), Tyler Stone (USA, Nanterre), Abdoulaye Ndoye (Monaco), Sheldon Mac (USA, Le Portel, pigiste médical John Jenkins)
Départs : Paul Rigot (Blois, Pro B), Corey Davis (Mornar Bar/Monténégro), Gavin Ware (Dijon), Eric McCree (Peristeri/Grèce), Aleksej Nikolic (Burgos/Espagne), Itay Segev (Hapoel Jérusalem/Israël), Pape Sy, Vojdan Stojanovski, Khalid Boukichou (Médine/Arabie Saoudite), Briante Weber.
Restent au club : J.D. Jackson (Canada-France, coach, prolongation 2+1 ans), Lucas Bourhis, Romuald Morency, Fabien Damase (premier contrat pro).
Meneurs : Brandon Taylor (1,78 m, 27 ans), Lucas Bourhis (1,77 m, 21 ans)
Arrières : Abdoulaye Ndoye (2,01m, 23 ans), John Jenkins (1,93 m, 30 ans), Marcquise Reed (1,90 m, 26 ans), Sheldon Mac (28 ans, 1,96 m, pigiste médical)
Ailiers : Romuald Morency (2,02 m, 26 ans), Fabien Damase (2,00 m, 19 ans)
Ailier-forts : Tyler Stone (2,03 m, 29 ans), Vafessa Fofana (1,98 m, 29 ans)
Pivots : Kenny Kadji (2,11 m, 33 ans), Dominik Olejniczak (2,13 m, 24 ans)
Entraîneur : J.D. Jackson (Canada/France)
Arrivées : Matthieu Gauzin (Champagne Basket, retour de prêt), Valentin Chéry (Paris Basket, Pro B, 2 ans), TaShawn Thomas (USA, Hapoel Jérusalem/Israël, 1 an), Deishuan Booker (USA, Göttingen/Allemagne), Dante Cunningham (USA, Cangrejeros de Santurce/Porto-Rico, 1 an), Taylor Rochestie (USA/Monténégro, Hapoel Haifa/Israël), Darius Johnson-Odom (Orléans).
Départs : Alain Koffi (retraite), Antoine Eïto (Chalon/Saône, Pro B), Valentin Bigote (Bilbao/Espagne), Vitto Brown (Séville/Espagne), Iggy Mockevicius, Ovie Soko (Shiga/Japon), Kenny Hayes (Forli/Italie D2), Darel Poirier (Estudiantes Madrid/Espagne D2), Jacques Eyoum (Pont-de-Cheruy/NM1), Taylor Rochestie (Chine).
Restent au club : Eric Delord (coach), Kaza Kajami-Keane (Canada, prolongation, 1 an), Scott Bamforth (USA-Kosovo, prolongation, 1 an), Hugo Mienandi (aspirant), Kenny Baptiste, Williams Narace (prolongation 3 ans), Terry Tarpey (prolongation 3 ans).
Meneurs : Kaza Kajami-Keane (1,88 m, 27 ans), Matthieu Gauzin (1,90 m, 20 ans)
Arrières : Scott Bamforth (1,88 m, 30 ans), Deishuan Booker (1,91 m, 24 ans), Darius Johnson Odom (1,87m, 32 ans)
Ailiers : Kenny Baptiste (2,04 m, 21 ans), Terry Tarpey (1,95 m, 27 ans)
Ailier-forts : Dante Cunningham (2,03 m, 34 ans), Williams Narace (2,02 m, 24 ans), Hugo Mienandi (1,99 m, 18 ans)
Pivots : TaShawn Thomas (2,03 m, 28 ans), Valentin Chéry (2,00 m, 23 ans)
Entraîneur : Elric Delord
Arrivées : Serge Crevecoeur (Belgique, coach, sans club), Devin Davis (USA, Lavrio/Grèce, 1 an), Luke Nelson (GB, Göttingen/Allemagne), David Skara (CRO/Denain/Pro B), Femi Olujobi (USA, Skopje/Macédoine), Mouphatou Yarou (Bénin, Nanterre, 1 saison).
Départs : MiKyle McIntosh (Tasmania JackJumpers/Australie), Michael Umeh, Cyrille Eliezer-Vanerot (ASA/Pro B), Georgi Joseph, Théo Magrit (Saint-Chamond/Pro B, prêt), Boris Dallo (Cholet).
Restent au club : Benoît Mangin, Jo Passave-Ducteil, Mathieu Wojciechowski, Charles-Noé Abouo (Côte-d’Ivoire), Mehdy Ngouama, Éric Girard (coach, devient manager sportif).
Effectif 2021-22 :
Meneurs : Benoît Mangin (1,88 m, 33 ans), Mehdy Ngouama (1,88 m, 26 ans)
Arrières : Luke Nelson (1,90 m, 26 ans), Charles-Noé Abouo (1,96 m, 31 ans)
Ailiers : David Skara (2,02m, 26 ans), Mathieu Wojciechowski (2,01 m, 28 ans)
Ailier-forts : Devin Davis (1,98 m, 26 ans), Femi Olujobi (2,06 m, 25 ans)
Pivots : Jo Passave-Ducteil (1,98 m, 36 ans), Mouphtaou Yarou (2,08m, 30 ans)
Entraîneur : Serge Crevecoeur (Belgique)
Arrivées : Massimo Cancellieri (Italie, coach, Ravenne/Italie D2), Thimotée Bazille (Saint-Quentin/Pro B, retour de prêt), Demonte Harper (USA, saison blanche), Gerry Blakes (USA, Cholet), Horace Spencer (USA, Kagitspor/Turquie D2), C. J. Massinburg (USA, Long Island Nets/G-League, pigiste médical Ludovic Beyhurst), Kruize Pinkins (USA, Turin/Italie D2), Siim-Sander Vene (Estonie, Fuenlabrada/Espagne, pigiste médical Gerry Blakes).
Départs : Mehdy Mary (coach, ?), Jerry Boutsiele (Monaco), Phil Scrubb (Avtodor Saratov/Russie), Speedy Smith (Nizhny Novgorod/Russie), Marcus Ginyard, Maciej Lampe, Bruno Caboclo (San Paolo/Brésil), Badr Moujib (Espoir, Tours/Pro B), Siim-Sander Vene (fin de pige).
Restent au club : Ludovic Beyhurst, Thimoté Crusol, Hugo Invernizzi, Grismay Paumier (Cuba), Nicolas Lang.
Effectif 2021-22 :
Meneurs : Demonte Harper (1,93 m, 32 ans), Ludovic Beyhurst (22 ans, 1,72 m), Thimoté Crusol (20 ans, 1,92 m), C.J. Massinburg (24 ans, 1,90 m)
Arrières : Nicolas Lang (2,00 m, 31 ans), Gerry Blakes (1,93 m, 27 ans)
Ailiers :
Ailier-forts : Hugo Invernizzi (1,98 m, 28 ans), Kruize Pinkins (28 ans, 2,01 m)
Pivots : Horace Spencer (2,06 m, 24 ans), Thimotée Bazille (2,02 m, 22 ans), Grismay Paumier (2,05 m, 33 ans)
Entraîneur : Massimo Cancellieri (Italie)
Arrivées : Raymar Morgan (USA, Pinar Karskiyaka/Turquie, 1 an), Victor Wembanyama (Nanterre, 3 ans), Élie Okobo (Phoenix Suns/NBA, 1 an), Dylan Osetkowski (USA/Allemagne, Ulm/Allemagne, 2 ans), Chris Jones (USA, Maccabi Tel-Avis/Israël, 1 an), Kostas Antetokounmpo (Grèce, LA Lakers/USA, 2 ans), Youssoupha Fall (France-Sénégal, Vitoria/Espagne, 1 an).
Départs : Amine Noua (Andorre/Espagne), Thomas Heurtel (Real Madrid/Espagne), Guerschon Yabusele (Real Madrid/Espagne), Moustapha Fall (Olympiakos/Grèce), Kevarrius Hayes (Bursaspor/Turquie), Norris Cole (Unicaja Malaga/Espagne), Ismaël Bako (Manresa/Espagne).
Restent au club : Charles Kahudi (1 an), Paul Lacombe, Antoine Diot (prolongation, 3 ans), David Lighty (USA, 5 ans), Matthew Strazel (4 ans), William Howard, Kymany Houinsou, Elwin Ndjock
Effectif 2021-22 (complet) :
Meneurs : Chris Jones (1,88 m, 28 ans), Antoine Diot (1,93 m, 32 ans), Matthew Strazel (1,82 m, 19 ans)
Arrières : Paul Lacombe (1,95 m, 32 ans), Élie Okobo (1,91 m, 23 ans), Kymany Houinsou (1,96 m, 17 ans)
Ailiers : David Lighty (1,98 m, 33 ans), Charles Kahudi (1,99 m, 35 ans), William Howard (2,03 m, 27 ans), Elwin Ndjock (1,93 m, 20 ans)
Ailier-forts : Raymar Morgan (2,03 m, 33 ans), Dylan Osetkowski (2,06 m, 25 ans), Victor Wembanyama (2,20 m, 17 ans)
Pivots : Kostas Antetokounmpo (2,08 m, 23 ans), Youssoupha Fall (2,21 m, 26 ans)
Entraîneur : T.J. Parker
Arrivées : Jerry Boutsiele (Limoges, 1 an), Danilo Andjusic (Serbie, Bourg-en-Bresse, 1 an), Armel Traoré (Pôle France/NM1, 3 ans), Paris Lee (USA, Orléans, 1 an), Yakuba Ouattara (Séville/Espagne, 1 an), Léo Westermann (Barcelone/Espagne), Donta Hall (USA, Orlando Magic/NBA et G-League Ignite/G-League, 1 an), Donatas Motiejunas (Lituanie, Chine/Xinjiang Flying Tigers, 1 an), Alpha Diallo (USA, Lavrio, Grèce), Brock Botum (Australie, Nanterre), Mike James (USA, CSKA Moscou/VTB League), Dwayne Bacon (USA, Orlando Magic/NBA)
Départs : Yohan Choupas (Lille, Pro B), Wilfried Yeguete, Dee Bost (Galatasaray/Turquie), Damien Inglis, Abdoulaye Ndoye, JJ O’Brien, Mathias Lessort, Rasid Mahalbasic (Breogan/Espagne), Branden Frazier (Zielona Gora/Pologne), Khadeen Carrington (Séville/Espagne), Marcos Knight.
Restent au club : Zvezdan Mitrovic (Monténégro, coach, prolongation 3 ans), Rob Gray (USA, prolongation, 2 ans), Ibrahima Fall Faye (Sénégal, prolongation, 1 an), Rudy Demahis-Ballou (prolongation, 1 an).
Effectif 2021-22 :
Meneurs : Paris Lee (1,83 m, 26 ans), Léo Westermann (1,98 m, 29 ans), Rudy Demahis-Ballou (1,87 m, 19 ans), Mike James (1,85 m, 31 ans)
Arrières : Rob Gray (1,86 m, 27 ans), Danilo Andjusic (1,95 m, 30 ans), Dwayne Bacon (1,98 m, 26 ans)
Ailiers : Alpha Diallo (2,01m, 24 ans), Armel Traoré (2,02 m, 18 ans), Yakuba Ouattara (1,92 m, 29 ans)
Ailier-forts : Donatas Motiejunas (2,13 m, 30 ans), Donta Hall (2,08 m, 23 ans), Broke Motum (2,08m, 30 ans)
Pivots : Jerry Boutsiele (2,07 m, 28 ans), Ibrahima Fall Faye (2,09 m, 24 ans)
Entraîneur : Zvezdan Mitrovic (Monténégro)
Arrivées : Bastien Pinault (Boulogne-Levallois, 1 an), Benjamin Sene (Boulazac, 2 ans), Jeremy Senglin (USA, Andorre/Espagne, 2 ans), Luke Fischer (USA/Arménie, Orléans, 1 an), Chris Horton (USA, Cholet, 1 an), Nick Johnson (USA, TT Ankara/Turquie, 1 an), Patricio Garino (ARG, Zalgiris Kaunas, 1 an), Thomas Wimbush (USA, Socar Petkimspor, 1 an), Adam Mokoka (Chicago Bulls/NBA, 1 an).
Départs : Damien Bouquet (Chalon-sur-Saône/Pro B), Alpha Kaba (Gaziantep/Turquie), Victor Wembanyama (Lyon-Villeurbanne), Brian Conklin (Mayaguez/Porto Rico), Nikola Rebic (Serbie, Syntainics MBC/Allemagne), Johnny Berhanemeskel (Roanne), Ivan Février (Boulazac/Pro B), Armand Mensah (Denain/Pro B, prêt), Isaïa Cordinier (Virtus Bologne/Italie), Tyler Stone (Bourg-en-Bresse), Chris Warren (Orléans), Marcquise Reed (Gravelines-Dunkerque), Brock Motum (Monaco).
Restent au club : Lucas Dussoulier (retour de blessure), Samuel Eyango-Dingo (contrat pro).
Effectif 2021-22 :
Meneurs : Nick Johnson (1,91 m, 28 ans), Benjamin Sene (1,88 m, 27 ans)
Arrières : Jeremy Senglin (1,88 m, 26 ans), Bastien Pinault (1,95 m, 27 ans)
Ailiers : Patricio Garino (2,01 m, 28 ans), Lucas Dussoulier (2,03 m, 25 ans), Adam Mokoka (23 ans, 1,96 m)
Ailier-forts : Chris Horton (2,02 m, 27 ans), Thomas Wimbush (2,01 m, 27 ans)
Pivots : Luke Fischer (2,11 m, 26 ans), Samuel Eyango-Dingo (2,07 m, 20 ans)
Entraîneur : Pascal Donnadieu
Arrivées : Chris Warren (USA, Nanterre, 1 an), Marcus Paige (USA, Partizan Belgrade/Serbie/VTB League, 1 an), Jean-Philippe Dally (Évreux, Pro B, 1 an), Bruno Cingala-Mata (Nancy, Pro B, 1 an), Kévin Dinal (Gries-Oberhoffen, Pro B, 1 an), Youssou Ndoye (Sénégal, Bétis Séville/Espagne, 1 an), Kyvon Davenport (USA, BK Boudivelnyk Kiev/Ukraine/1 an), Jéremy Nzeulie (Boulazac, pigiste médical), DJ Strawberry (USA/Cameroun, Pau-Lacq-Orthez, 1 an).
Départs : Gary Florimont (Metz/NM2), Govian Oniangue (Pau), Luke Fischer (Nanterre), Paris Lee (Monaco), Jamel Morris (Bamberg/Allemagne), Neftali Difuidi (Saint-Quentin/Pro B, prêt), Darius Johnson-Odom (Le Mans), Chima Moneke (Manresa/Espagne), Landing Sane, Tahjere McCall (Cairns Taipans/Australie), Jean-Philippe Dossou (Blois/Pro B, prêt), Jérémy Nzeulie (fin de pige).
Restent au club : Germain Castano (coach), Malela Mutuale (prolongation, 1 an), LaMonte Ulmer (USA, prolongation, 1 an).
Effectif 2021-22
Meneurs : Chris Warren (1,76m, 32 ans),Malela Mutuale (1,88 m, 30 ans)
Arrières : Marcus Paige (1,83m, 28 ans), DJ Strawberry (1,96 m, 26 ans)
Ailiers : LaMonte Ulmer (1,98 m, 34 ans), Jean-Philippe Dally (1,99 m, 25 ans)
Ailier-forts : Kyvon Davenport (2,01m, 24 ans), Kévin Dinal (2,02 m, 28 ans), Bruno Cingala-Mata (2,00 m, 28 ans)
Pivots : Youssou Ndoye (2,13 m, 30 ans).
Entraîneur : Germain Castano
Les changements de l’intersaison
Arrivées : Kyle Allman Jr (USA, VEF Riga/Lettonie, 1 an), Kyle O’Quinn (USA, Fenerbahçe, Turquie)
Départs : Valentin Chéry (Le Mans), Nobel Boungou-colo, Evans Ganapamo, Sheck Wes, Kévin Franceschi.
Restent au club : Juhann Begarin, Lois Gendrey, Amara Sy, Ismaël Kamagaté, Gauthier Denis, Milan Barbitch, Dustin Sleva (USA), Ryan Boatright (USA/Arménie).
Effectif 2021-22
Meneurs : Ryan Boatright (1,83m, 28 ans), Kyle Allman Jr (1,93 m, 24 ans), Lois Gendrey (1,75 m, 21 ans)
Arrières : Juhann Begarin (1,96 m, 19 ans), Milan Barbitch (1,96 m, 19 ans)
Ailiers : Gauthier Denis (2,02 m, 24 ans), Amara Sy (2,02 m, 40 ans)
Ailier-forts : Dustin Sleva (2,03 m, 25 ans)
Pivots : Kyle O’Quinn (2,06m, 31 ans), Ismaël Kamagaté (2,11 m, 20 ans)
Entraîneur : Jean-Christophe Prat
Arrivées : Gregor Hrovat (Slovénie, Cholet, 1 an), Vitalis Chikoko (Zimbabwe, Boulogne-Levallois, 3 ans), Dominique Archie (USA, Champagne Basket, 1 an), Brandon Jefferson (USA, Strasbourg, 2 ans), Giovan Oniangue (Orléans, 2 ans).
Départs : Rémi Lesca (Tarbes-Lourdes/NM1), Digué Diawara (Quimper/Pro B), Petr Cornélie, Ousmane Dramé, Nicolas De Jong, Vee Sanford (Pesaro/Italie), CJ Williams (Yalova/Turquie), Jay Threatt (Larisa/Grèce), Ioannis Kouzeloglou.
Restent au club : Éric Bartecheky (coach, prolongation, 2 ans), Justin Bibbins (USA, prolongation, 1 an), Gérald Ayayi, Jérémy Leloup, Hamady Ndiaye (Sénégal, prolongation, 1 an).
Effectif 2021-22 :
Meneurs : Brandon Jefferson (1,75 m, 29 ans), Justin Bibbins (1,73 m, 25 ans)
Arrières : Gérald Ayayi (1,88 m, 19 ans)
Ailiers : Jérémy Leloup (1,99 m, 33 ans), Gregor Hrovat (1,96 m, 26 ans), Giovan Oniangue (1,96m, 30 ans)
Ailier-forts : Dominique Archie (2,01 m, 33 ans)
Pivots : Vitalis Chikoko (2,08 m, 30 ans), Hamady Ndiaye (2,13 m, 34 ans)
Entraîneur : Éric Bartecheky
Arrivées : Loren Cristian Jackson (USA, Akron/NCAA, 1 an), Louis Marnette (Souffelweiersheim, Pro B, 2 ans), Louis Cassier (Gries-Oberhoffen, Pro B, 2 ans), Johnny Berhanemeskel (Canada/Erythrée, Nanterre, 1 an), JaKeenan Gant (USA, Saskatchewan Rattlers/Canada, 1 an).
Départs : Sylvain Francisco (Manresa/Espagne), Thomas Ville (Vichy-Clermont/Pro B), Steeve Ho You Fat (Boulogne-Levallois), Jackson Rowe (Norrkoping/Suède), Arthur Bruyas (Saint-Vallier/Pro B, prêt), Jamel Artis, Justin Wright-Foreman (Kulubuspor/Turquie), Ekene Ibekwe, Teyvon Myers (Sopron/Hongrie).
Restent au club : Renathan Ona Embo (prolongation, 2 ans), Clément Cavallo, Boubacar Touré (Sénégal, prolongation, 1 an), Juvonte Reddic (USA, prolongation, 1 an), Ronald March (USA, prolongation, 1 an).
Effectif 2021-22 (complet) :
Meneurs : Loren Cristian Jackson (1,73 m, 26 ans), Renathan Ona Embo (1,94 m, 22 ans)
Arrières : Johnny Berhanemeskel (1,88 m, 28 ans), Louis Marnette (1,93 m, 20 ans)
Ailiers : Ronald March (1,96 m, 28 ans), Clément Cavallo (2,00 m, 30 ans)
Ailier-forts : JaKeenan Gant (2,03 m, 25 ans), Louis Cassier (2,01 m, 24 ans)
Pivots : Juvonte Reddic (2,06 m, 29 ans), Boubacar Touré (2,11 m, 25 ans)
Entraîneur : Jean-Denys Choulet
Arrivées : Jarell Eddie (USA, Fenerbahçe, Turquie), Gaylor Curier (Lille, Pro B, 1 an), Matt Mitchell (USA, San Diego State/NCAA), John Roberson (USA, Espagne, Estudiantes Madrid), Georgi Joseph (Le Portel)
Départs : Clément Frisch (Denain/Pro B), Bonzie Colson (Pinar Karsiyaka/Turquie), Ishmail Wainwright (Toronto Raptors/NBA), Essomé Miyem (Lille/Pro B), Brandon Jefferson (Pau), Jayson Tchicamboud (Tours/Pro B, prêt), Kris Richard (Oradea/Roumanie), Thomas Hieu-Courtois (retour à Lille/Pro B), Georgi Joseph (fin de pige médicale).
Restent au club : Lassi Tuovi (Finlande, coach, prolongation, 2 ans), DeAndre Lansdowne (USA, prolongation, 2 ans), Jean-Baptiste Maille, Léopold Cavalière, Yannis Morin, Ike Udanoh (USA/Nigéria, prolongation, 1 an), Jaromir Bohacik (Rép. Tchèque, prolongation, 1 an).
Meneurs : John Roberson (1,80m, 32 ans), Jean-Baptiste Maille (1,90 m, 27 ans)
Arrières : Jarell Eddie (2,01m, 31 ans), DeAndre Lansdowne (1,88 m, 32 ans), Gaylor Curier (1,97 m, 29 ans)
Ailiers : Matt Mitchell (1,98 m, 22 ans), Jaromir Bohacik (1,97 m, 29 ans)
Ailier-forts : Léopold Cavalière (2,03 m, 25 ans)
Pivots : Ike Udanoh (2,02 m, 32 ans), Yannis Morin (2,08 m, 27 ans)
Entraîneur : Lassi Tuovi (34 ans)
Photo : Victor Wembanyama (FIBA)
", "comment_id":"562264", "plaintext":"Voici le récapitulatif de l’ensemble des transferts et des effectifs de la saison 2021-2022 de Betclic Elite.\n\nBoulogne-Levallois\n\nArrivées : Vincent Collet (sans club), Keith Hornsby (USA, Oldenburg/Allemagne, 1 an), Steeve Ho You Fat (Roanne, 2 ans), Will Cummings (USA, Lokomotiv Kuban/Russie, 1 an), Bandja Sy (Andorre/Espagne, 2 ans), Vince Hunter (USA, Virtus Bologne/Italie, 1 an), Jordan McRae (USA, Beijing Ducks/Chine, 1 an), Nobel Boungou colo (Paris/Pro B, pigiste médical de Bandja Sy).\n\nDéparts : Maxime Roos (Bourg-en-Bresse), Neal Sako (Champagne Basket), Brandon Brown (Cluj-Napoça/Roumanie), Vitalis Chikoko (Pau), Bastien Pinault (Nanterre), Archie Goodwin, Anthony Brown, Josh Owens, Jurij Zdovc (coach).\n\nRestent au club : David Michineau, Miralem Halilovic (Bosnie-Herzégovine), Tomer Ginat (Israël), Lahaou Konaté.\n\nEffectif 2021-22 :\nMeneurs : David Michineau (1,84 m, 27 ans), Will Cummings (1,86 m, 28 ans)\nArrières : Lahaou Konaté (1,96 m, 29 ans), Keith Hornsby (1,92 m, 29 ans)\nAiliers : Jordan McRae (1,95 m, 30 ans), Bandja Sy (2,04 m, 31 ans), Nobel Boungou colo (33 ans, 2,02 m).\nAilier-forts : Tomer Ginat (2,02 m, 26 ans), Steeve Ho You Fat (2,01 m, 33 ans)\nPivots : Vince Hunter (2,03 m, 27 ans), Miralem Halilovic (2,05 m, 30 ans)\nEntraîneur : Vincent Collet\n\nBourg-en-Bresse\n\nArrivées : Laurent Legname (coach, Dijon, 3 ans), Axel Julien (Dijon, 3 ans), Maxime Roos (Boulogne-Levallois, 2 ans), Eric Mika (USA, Partizan Belgrade/Serbie, 1 an), Rasheed Sulaimon (USA/Nigéria, Saragosse/Espagne, 1 an), JaCorey Williams (USA, Trente/Italie, 1 an), C.J. Harris (USA, Hapoel Holon/Israël, 1 an), Tyler Stone (USA, Nanterre, 1 an).\n\nDéparts : Savo Vucevic (coach), Danilo Andjusic (Monaco), Luka Asceric (Slask Wroclaw/Pologne), Thomas Scrubb (Obradoiro/Espagne), Zack Wright, Zack Peacock, Alen Omic, Thibault Daval-Braquet (Évreux/Pro B), Bangaly Fofana, Codi McIntyre-Miller (Andorre/Espagne), Pierre Jackson.\n\nRestent au club : Hugo Benitez, Pierre Pelos (prolongation, 3 ans), Maxime Courby (prolongation, 3 ans).\n\nEffectif 2021-22 (complet) :\nMeneurs : Axel Julien (1,80 m, 29 ans), Hugo Benitez (1,87 m, 20 ans)\nArrières : Rasheed Sulaimon (1,94 m, 27 ans), C.J. Harris (1,90 m, 30 ans)\nAiliers : Maxime Roos (2,02 m, 26 ans), Maxime Courby (1,99 m, 30 ans)\nAilier-forts : Pierre Pelos (2,05 m, 28 ans), Tyler Stone (2,03 m, 29 ans)\nPivots : JaCorey Williams (2,03 m, 27 ans), Eric Mika (2,08 m, 26 ans)\nEntraîneur : Laurent Legname\n\nChampagne Basket\n\nArrivées : Neal Sako (Boulogne-Levallois, 2 ans), Enzo Goudou-Sinha (Nancy, Pro B, 2 ans), Jean Salamu (Belgique, Rasta Vechta/Allemagne, 1 an), Mike Henry (USA, Trieste/Italie, 1 an), Donte Grantham (USA, Agua Caliente Clippers/G-League, 1 an), Scottie Reynolds (USA, Cibona Zagreb/Croatie), Elijah Brown (USA, Oviedo/Espagne D2, pigiste médical Jean Salamu), Jonathan Tabu (Belgique, Manresa/Espagne, pigiste médical Jean Salamu).\n\nDéparts : Matthieu Gauzin (Le Mans, retour de prêt), Joshiko Saibou (Dijon), Dominique Archie, Travis Leslie, Jimmie Taylor (Lublin/Pologne), Dominic Waters, Elijah Brown (fin de pige).\n\nRestent au club : Gani Lawal (Nigéria, prolongation, 1 an), Junior Mbida (Cameroun, prolongation, 1 an), Jessie Begarin.\n\nEffectif 2021-22 :\nMeneurs : Scottie Reynolds (1,88m, 31 ans), Enzo Goudou-Sinha (1,82 m, 22 ans), Jonathan Tabu (1,89 m, 36 ans, pigiste médical)\nArrières : Jean Salamu (1,93 m, 30 ans), Jessie Begarin (1,90 m, 33 ans)\nAiliers : Mike Henry (1,98 m, 28 ans)\nAilier-forts : Donte Grantham (2,03 m, 26 ans), Junior Mbida (2,06 m, 31 ans)\nPivots : Gani Lawal (2,06 m, 32 ans), Neal Sako (2,10 m, 22 ans)\nEntraîneur : Cédric Heitz\n\nCholet\n\nArrivées : Laurent Vila (coach, sans club), Dominic Artis (USA, Rhodes/Grèce, 1 an), Darrin Govens (USA/Hongrie, Szedeak-Szeged/Hongrie, 1 an), Peter Jok (USA/Soudan du Sud, Murcie/Espagne), Hugo Robineau (Gries, Pro B, retour de prêt), DJ Hogg (USA, Lakeland Magic, G-League), Boris Dallo (Le Portel), Kennedy Meeks (USA, Changwon LG Sakers/Corée-du-Sud)\n\nDéparts : Erman Kunter (coach), Aaron Jones (Trévise/Italie), Gregor Hrovat (Pau), Karlton Dimanche (ASA/Pro B, prêt), Léopold Delaunay (Vichy-Clermont/Pro B, prêt), Quentin Ruel (Quimper/Pro B, prêt), Florian Léopold (Quimper/Pro B, prêt), Vafessa Fofana (Gravelines-Dunkerque), Michael Stockton (Budivelnyk, Ukraine), Gerry Blakes (Limoges), Lasan Kromah (Fos), Ian Miller (Peristeri/Grèce), Chris Horton (Nanterre), Warren Woghiren.\n\nRestent au club : Nathan de Sousa (premier contrat pro), Yoan Makoundou, Nanta Diarra, Kévin Marsillon-Noléo (Espoirs).\n\nEffectif 2021-22\n\nMeneurs : Darrin Govens (1,85 m, 33 ans), Dominic Artis (1,92 m, 28 ans), Nathan de Sousa (1,91 m, 18 ans)\nArrières : Boris Dallo (1,96 m, 27 ans), Hugo Robineau (1,92 m, 21 ans)\nAiliers : Peter Jok (1,97 m, 27 ans), Kévin Marsillon-Noléo (2,02 m, 19 ans)\nAilier-forts : Yoan Makoundou (2,07 m, 20 ans), DJ Hogg (2,06 m, 24 ans).\nPivots : Kennedy Meeks (2,08m, 26 ans), Nanta Diarra (2,01 m, 28 ans)\n\nEntraîneur : Laurent Vila\n\nDijon\n\nArrivées : Nenad Markovic (coach, Bosnie/Espagne, Gaziantep/Turquie), Rashard Kelly (USA, Gaziantep/Turquie, 1 an), Joshiko Saibou (Allemagne, Champagne Basket, 2 ans), Gavin Ware (USA, Gravelines-Dunkerque, 1 an), Sek Henry (USA/Jamaïque, Pinar Karsiyaka/Turquie, 1 an), Khadeen Carrington (Trinidad, Séville/Espagne), Toni Katic (Croatie, Sassari/Italie, 1 an).\n\nDéparts : Laurent Legname (coach, Bourg-en-Bresse), Axel Julien (Bourg-en-Bresse), Hans Vanwijn (Saragosse/Espagne), Jaron Johnson (Avtodor Saratov/Russie), Alexandre Chassang (Yalova/Turquie) Sek Henry (coupé).\n\nRestent au club : Robin Ducoté (premier contrat pro, 1 an), Abdoulaye Loum (prolongation, 3 ans), David Holston (USA, prolongation, 2 ans), Charles Galliou (prolongation, 1 an), Jacques Alingué (prolongation, 1 an), Chase Simon (USA, prolongation, 2 ans).\n\nEffectif 2021-22 (complet) :\nMeneurs : David Holston (1,73 m, 35 ans), Joshiko Saibou (1,87 m, 31 ans), Toni Katic (1,88 m, 29 ans)\nArrières : Khadeen Carrington 26 ans, 1,93 m), Robin Ducoté (1,93 m, 20 ans)\nAiliers : Chase Simon (2,00 m, 32 ans), Charles Galliou (2,02 m, 25 ans)\nAilier-forts : Rashard Kelly (2,01 m, 25 ans), Abdoulaye Loum (2,09 m, 30 ans)\nPivots : Gavin Ware (2,06 m, 27 ans), Jacques Alingué (2,03 m, 33 ans)\nEntraîneur : Nenad Markovic (Bosnie/Espagne)\n\nFos Provence\n\nArrivées : Lasan Kromah (USA/Libéria, Cholet, 1 an), Terell Parks (USA, Bnei Hertzelya/Israël), D’Mtrick Trice (USA, Wisconsin/NCAA), Zack Peacock (USA, Bourg-en-Bresse, pigiste médical Nik Caner-Medley), Sadio Doucouré (Antibes/Pro B).\n\nDéparts : Mamadou Dia (retraite), Sullivan Hernandez (Antibes/Pro B), Lucas Hergott (Blois/Pro B), Jaraun Burrows, Karim Atamna, Jonathan Augustin-Farrell.\n\nRestent au club : Édouard Choquet (prolongation, 1 an), Jamar Diggs (USA, prolongation, 1 an), Nik Caner-Medley (USA/Azerbaïdjan, prolongation, 1 an), Kevin McClain (USA/Allemagne, prolongation, 1 an), Allan Dokossi, Bodian Massa, Jean-Michel Mipoka.\n\nEffectif 2021-22 :\nMeneurs : Édouard Choquet (1,88 m, 33 ans), Jamar Diggs (1,90 m, 32 ans), D’Mtrick Trice (1,83 m, 25 ans)\nArrières : Kevin McClain (1,90 m, 24 ans), Sadio Doucouré (29 ans, 2,01 m)\nAiliers : Lasan Kromah (1,98 m, 30 ans), Jean-Michel Mipoka (1,98 m, 35 ans)\nAilier-forts : Nik Caner-Medley (2,03 m, 37 ans), Allan Dokossi (2,03 m, 21 ans), Zack Peacock (33 ans, 2,03 m, pigiste médical).\nPivots : Bodian Massa (23 ans, 2,10 m), Terell Parks (2,05 m, 30 ans)\nEntraîneur : Rémi Giuitta\n\nGravelines-Dunkerque\n\nArrivées : Dominik Olejniczak (Pologne, Sopot/Pologne, 2 ans), Vafessa Fofana (Cholet, 2 ans), Kenny Kadji (Cameroun, Bursaspor/Turquie, 1 an), Marcquise Reed (USA, Nanterre, 1 an), Brandon Taylor (USA, Reggio Emilia/Italie, 1 an), John Jenkins (USA, Bilbao/Espagne, 1 an), Tyler Stone (USA, Nanterre), Abdoulaye Ndoye (Monaco), Sheldon Mac (USA, Le Portel, pigiste médical John Jenkins)\n\nDéparts : Paul Rigot (Blois, Pro B), Corey Davis (Mornar Bar/Monténégro), Gavin Ware (Dijon), Eric McCree (Peristeri/Grèce), Aleksej Nikolic (Burgos/Espagne), Itay Segev (Hapoel Jérusalem/Israël), Pape Sy, Vojdan Stojanovski, Khalid Boukichou (Médine/Arabie Saoudite), Briante Weber.\n\nRestent au club : J.D. Jackson (Canada-France, coach, prolongation 2+1 ans), Lucas Bourhis, Romuald Morency, Fabien Damase (premier contrat pro).\n\nEffectif 2021-22\n\nMeneurs : Brandon Taylor (1,78 m, 27 ans), Lucas Bourhis (1,77 m, 21 ans)\nArrières : Abdoulaye Ndoye (2,01m, 23 ans), John Jenkins (1,93 m, 30 ans), Marcquise Reed (1,90 m, 26 ans), Sheldon Mac (28 ans, 1,96 m, pigiste médical)\nAiliers : Romuald Morency (2,02 m, 26 ans), Fabien Damase (2,00 m, 19 ans)\nAilier-forts : Tyler Stone (2,03 m, 29 ans), Vafessa Fofana (1,98 m, 29 ans)\nPivots : Kenny Kadji (2,11 m, 33 ans), Dominik Olejniczak (2,13 m, 24 ans)\nEntraîneur : J.D. Jackson (Canada/France)\n\nLe Mans\n\nArrivées : Matthieu Gauzin (Champagne Basket, retour de prêt), Valentin Chéry (Paris Basket, Pro B, 2 ans), TaShawn Thomas (USA, Hapoel Jérusalem/Israël, 1 an), Deishuan Booker (USA, Göttingen/Allemagne), Dante Cunningham (USA, Cangrejeros de Santurce/Porto-Rico, 1 an), Taylor Rochestie (USA/Monténégro, Hapoel Haifa/Israël), Darius Johnson-Odom (Orléans).\n\nDéparts : Alain Koffi (retraite), Antoine Eïto (Chalon/Saône, Pro B), Valentin Bigote (Bilbao/Espagne), Vitto Brown (Séville/Espagne), Iggy Mockevicius, Ovie Soko (Shiga/Japon), Kenny Hayes (Forli/Italie D2), Darel Poirier (Estudiantes Madrid/Espagne D2), Jacques Eyoum (Pont-de-Cheruy/NM1), Taylor Rochestie (Chine).\n\nRestent au club : Eric Delord (coach), Kaza Kajami-Keane (Canada, prolongation, 1 an), Scott Bamforth (USA-Kosovo, prolongation, 1 an), Hugo Mienandi (aspirant), Kenny Baptiste, Williams Narace (prolongation 3 ans), Terry Tarpey (prolongation 3 ans).\n\nEffectif 2021-22\n\nMeneurs : Kaza Kajami-Keane (1,88 m, 27 ans), Matthieu Gauzin (1,90 m, 20 ans)\nArrières : Scott Bamforth (1,88 m, 30 ans), Deishuan Booker (1,91 m, 24 ans), Darius Johnson Odom (1,87m, 32 ans)\nAiliers : Kenny Baptiste (2,04 m, 21 ans), Terry Tarpey (1,95 m, 27 ans)\nAilier-forts : Dante Cunningham (2,03 m, 34 ans), Williams Narace (2,02 m, 24 ans), Hugo Mienandi (1,99 m, 18 ans)\nPivots : TaShawn Thomas (2,03 m, 28 ans), Valentin Chéry (2,00 m, 23 ans)\n\nEntraîneur : Elric Delord\n\nLe Portel\n\nArrivées : Serge Crevecoeur (Belgique, coach, sans club), Devin Davis (USA, Lavrio/Grèce, 1 an), Luke Nelson (GB, Göttingen/Allemagne), David Skara (CRO/Denain/Pro B), Femi Olujobi (USA, Skopje/Macédoine), Mouphatou Yarou (Bénin, Nanterre, 1 saison).\n\nDéparts : MiKyle McIntosh (Tasmania JackJumpers/Australie), Michael Umeh, Cyrille Eliezer-Vanerot (ASA/Pro B), Georgi Joseph, Théo Magrit (Saint-Chamond/Pro B, prêt), Boris Dallo (Cholet).\n\nRestent au club : Benoît Mangin, Jo Passave-Ducteil, Mathieu Wojciechowski, Charles-Noé Abouo (Côte-d’Ivoire), Mehdy Ngouama, Éric Girard (coach, devient manager sportif).\n\nEffectif 2021-22 :\nMeneurs : Benoît Mangin (1,88 m, 33 ans), Mehdy Ngouama (1,88 m, 26 ans)\nArrières : Luke Nelson (1,90 m, 26 ans), Charles-Noé Abouo (1,96 m, 31 ans)\nAiliers : David Skara (2,02m, 26 ans), Mathieu Wojciechowski (2,01 m, 28 ans)\nAilier-forts : Devin Davis (1,98 m, 26 ans), Femi Olujobi (2,06 m, 25 ans)\nPivots : Jo Passave-Ducteil (1,98 m, 36 ans), Mouphtaou Yarou (2,08m, 30 ans)\nEntraîneur : Serge Crevecoeur (Belgique)\n\nLimoges\n\nArrivées : Massimo Cancellieri (Italie, coach, Ravenne/Italie D2), Thimotée Bazille (Saint-Quentin/Pro B, retour de prêt), Demonte Harper (USA, saison blanche), Gerry Blakes (USA, Cholet), Horace Spencer (USA, Kagitspor/Turquie D2), C. J. Massinburg (USA, Long Island Nets/G-League, pigiste médical Ludovic Beyhurst), Kruize Pinkins (USA, Turin/Italie D2), Siim-Sander Vene (Estonie, Fuenlabrada/Espagne, pigiste médical Gerry Blakes).\n\nDéparts : Mehdy Mary (coach, ?), Jerry Boutsiele (Monaco), Phil Scrubb (Avtodor Saratov/Russie), Speedy Smith (Nizhny Novgorod/Russie), Marcus Ginyard, Maciej Lampe, Bruno Caboclo (San Paolo/Brésil), Badr Moujib (Espoir, Tours/Pro B), Siim-Sander Vene (fin de pige).\n\nRestent au club : Ludovic Beyhurst, Thimoté Crusol, Hugo Invernizzi, Grismay Paumier (Cuba), Nicolas Lang.\n\nEffectif 2021-22 :\nMeneurs : Demonte Harper (1,93 m, 32 ans), Ludovic Beyhurst (22 ans, 1,72 m), Thimoté Crusol (20 ans, 1,92 m), C.J. Massinburg (24 ans, 1,90 m)\nArrières : Nicolas Lang (2,00 m, 31 ans), Gerry Blakes (1,93 m, 27 ans)\nAiliers :\nAilier-forts : Hugo Invernizzi (1,98 m, 28 ans), Kruize Pinkins (28 ans, 2,01 m)\nPivots : Horace Spencer (2,06 m, 24 ans), Thimotée Bazille (2,02 m, 22 ans), Grismay Paumier (2,05 m, 33 ans)\nEntraîneur : Massimo Cancellieri (Italie)\n\nLyon-Villeurbanne\n\nArrivées : Raymar Morgan (USA, Pinar Karskiyaka/Turquie, 1 an), Victor Wembanyama (Nanterre, 3 ans), Élie Okobo (Phoenix Suns/NBA, 1 an), Dylan Osetkowski (USA/Allemagne, Ulm/Allemagne, 2 ans), Chris Jones (USA, Maccabi Tel-Avis/Israël, 1 an), Kostas Antetokounmpo (Grèce, LA Lakers/USA, 2 ans), Youssoupha Fall (France-Sénégal, Vitoria/Espagne, 1 an).\n\nDéparts : Amine Noua (Andorre/Espagne), Thomas Heurtel (Real Madrid/Espagne), Guerschon Yabusele (Real Madrid/Espagne), Moustapha Fall (Olympiakos/Grèce), Kevarrius Hayes (Bursaspor/Turquie), Norris Cole (Unicaja Malaga/Espagne), Ismaël Bako (Manresa/Espagne).\n\nRestent au club : Charles Kahudi (1 an), Paul Lacombe, Antoine Diot (prolongation, 3 ans), David Lighty (USA, 5 ans), Matthew Strazel (4 ans), William Howard, Kymany Houinsou, Elwin Ndjock\n\nEffectif 2021-22 (complet) :\nMeneurs : Chris Jones (1,88 m, 28 ans), Antoine Diot (1,93 m, 32 ans), Matthew Strazel (1,82 m, 19 ans)\nArrières : Paul Lacombe (1,95 m, 32 ans), Élie Okobo (1,91 m, 23 ans), Kymany Houinsou (1,96 m, 17 ans)\nAiliers : David Lighty (1,98 m, 33 ans), Charles Kahudi (1,99 m, 35 ans), William Howard (2,03 m, 27 ans), Elwin Ndjock (1,93 m, 20 ans)\nAilier-forts : Raymar Morgan (2,03 m, 33 ans), Dylan Osetkowski (2,06 m, 25 ans), Victor Wembanyama (2,20 m, 17 ans)\nPivots : Kostas Antetokounmpo (2,08 m, 23 ans), Youssoupha Fall (2,21 m, 26 ans)\nEntraîneur : T.J. Parker\n\nMonaco\n\nArrivées : Jerry Boutsiele (Limoges, 1 an), Danilo Andjusic (Serbie, Bourg-en-Bresse, 1 an), Armel Traoré (Pôle France/NM1, 3 ans), Paris Lee (USA, Orléans, 1 an), Yakuba Ouattara (Séville/Espagne, 1 an), Léo Westermann (Barcelone/Espagne), Donta Hall (USA, Orlando Magic/NBA et G-League Ignite/G-League, 1 an), Donatas Motiejunas (Lituanie, Chine/Xinjiang Flying Tigers, 1 an), Alpha Diallo (USA, Lavrio, Grèce), Brock Botum (Australie, Nanterre), Mike James (USA, CSKA Moscou/VTB League), Dwayne Bacon (USA, Orlando Magic/NBA)\n\nDéparts : Yohan Choupas (Lille, Pro B), Wilfried Yeguete, Dee Bost (Galatasaray/Turquie), Damien Inglis, Abdoulaye Ndoye, JJ O’Brien, Mathias Lessort, Rasid Mahalbasic (Breogan/Espagne), Branden Frazier (Zielona Gora/Pologne), Khadeen Carrington (Séville/Espagne), Marcos Knight.\n\nRestent au club : Zvezdan Mitrovic (Monténégro, coach, prolongation 3 ans), Rob Gray (USA, prolongation, 2 ans), Ibrahima Fall Faye (Sénégal, prolongation, 1 an), Rudy Demahis-Ballou (prolongation, 1 an).\n\nEffectif 2021-22 :\nMeneurs : Paris Lee (1,83 m, 26 ans), Léo Westermann (1,98 m, 29 ans), Rudy Demahis-Ballou (1,87 m, 19 ans), Mike James (1,85 m, 31 ans)\nArrières : Rob Gray (1,86 m, 27 ans), Danilo Andjusic (1,95 m, 30 ans), Dwayne Bacon (1,98 m, 26 ans)\nAiliers : Alpha Diallo (2,01m, 24 ans), Armel Traoré (2,02 m, 18 ans), Yakuba Ouattara (1,92 m, 29 ans)\nAilier-forts : Donatas Motiejunas (2,13 m, 30 ans), Donta Hall (2,08 m, 23 ans), Broke Motum (2,08m, 30 ans)\nPivots : Jerry Boutsiele (2,07 m, 28 ans), Ibrahima Fall Faye (2,09 m, 24 ans)\nEntraîneur : Zvezdan Mitrovic (Monténégro)\n\nNanterre\n\nArrivées : Bastien Pinault (Boulogne-Levallois, 1 an), Benjamin Sene (Boulazac, 2 ans), Jeremy Senglin (USA, Andorre/Espagne, 2 ans), Luke Fischer (USA/Arménie, Orléans, 1 an), Chris Horton (USA, Cholet, 1 an), Nick Johnson (USA, TT Ankara/Turquie, 1 an), Patricio Garino (ARG, Zalgiris Kaunas, 1 an), Thomas Wimbush (USA, Socar Petkimspor, 1 an), Adam Mokoka (Chicago Bulls/NBA, 1 an).\n\nDéparts : Damien Bouquet (Chalon-sur-Saône/Pro B), Alpha Kaba (Gaziantep/Turquie), Victor Wembanyama (Lyon-Villeurbanne), Brian Conklin (Mayaguez/Porto Rico), Nikola Rebic (Serbie, Syntainics MBC/Allemagne), Johnny Berhanemeskel (Roanne), Ivan Février (Boulazac/Pro B), Armand Mensah (Denain/Pro B, prêt), Isaïa Cordinier (Virtus Bologne/Italie), Tyler Stone (Bourg-en-Bresse), Chris Warren (Orléans), Marcquise Reed (Gravelines-Dunkerque), Brock Motum (Monaco).\n\nRestent au club : Lucas Dussoulier (retour de blessure), Samuel Eyango-Dingo (contrat pro).\n\nEffectif 2021-22 :\n\n\nMeneurs : Nick Johnson (1,91 m, 28 ans), Benjamin Sene (1,88 m, 27 ans)\nArrières : Jeremy Senglin (1,88 m, 26 ans), Bastien Pinault (1,95 m, 27 ans)\nAiliers : Patricio Garino (2,01 m, 28 ans), Lucas Dussoulier (2,03 m, 25 ans), Adam Mokoka (23 ans, 1,96 m)\nAilier-forts : Chris Horton (2,02 m, 27 ans), Thomas Wimbush (2,01 m, 27 ans)\nPivots : Luke Fischer (2,11 m, 26 ans), Samuel Eyango-Dingo (2,07 m, 20 ans)\n\nEntraîneur : Pascal Donnadieu\n\nOrléans\n\nArrivées : Chris Warren (USA, Nanterre, 1 an), Marcus Paige (USA, Partizan Belgrade/Serbie/VTB League, 1 an), Jean-Philippe Dally (Évreux, Pro B, 1 an), Bruno Cingala-Mata (Nancy, Pro B, 1 an), Kévin Dinal (Gries-Oberhoffen, Pro B, 1 an), Youssou Ndoye (Sénégal, Bétis Séville/Espagne, 1 an), Kyvon Davenport (USA, BK Boudivelnyk Kiev/Ukraine/1 an), Jéremy Nzeulie (Boulazac, pigiste médical), DJ Strawberry (USA/Cameroun, Pau-Lacq-Orthez, 1 an).\n\nDéparts : Gary Florimont (Metz/NM2), Govian Oniangue (Pau), Luke Fischer (Nanterre), Paris Lee (Monaco), Jamel Morris (Bamberg/Allemagne), Neftali Difuidi (Saint-Quentin/Pro B, prêt), Darius Johnson-Odom (Le Mans), Chima Moneke (Manresa/Espagne), Landing Sane, Tahjere McCall (Cairns Taipans/Australie), Jean-Philippe Dossou (Blois/Pro B, prêt), Jérémy Nzeulie (fin de pige).\n\nRestent au club : Germain Castano (coach), Malela Mutuale (prolongation, 1 an), LaMonte Ulmer (USA, prolongation, 1 an).\n\nEffectif 2021-22\n\n\nMeneurs : Chris Warren (1,76m, 32 ans),Malela Mutuale (1,88 m, 30 ans)\nArrières : Marcus Paige (1,83m, 28 ans), DJ Strawberry (1,96 m, 26 ans)\nAiliers : LaMonte Ulmer (1,98 m, 34 ans), Jean-Philippe Dally (1,99 m, 25 ans)\nAilier-forts : Kyvon Davenport (2,01m, 24 ans), Kévin Dinal (2,02 m, 28 ans), Bruno Cingala-Mata (2,00 m, 28 ans)\nPivots : Youssou Ndoye (2,13 m, 30 ans).\n\nEntraîneur : Germain Castano\n\n\nParis Basket\n\nLes changements de l’intersaison\n\nArrivées : Kyle Allman Jr (USA, VEF Riga/Lettonie, 1 an), Kyle O’Quinn (USA, Fenerbahçe, Turquie)\n\nDéparts : Valentin Chéry (Le Mans), Nobel Boungou-colo, Evans Ganapamo, Sheck Wes, Kévin Franceschi.\n\nRestent au club : Juhann Begarin, Lois Gendrey, Amara Sy, Ismaël Kamagaté, Gauthier Denis, Milan Barbitch, Dustin Sleva (USA), Ryan Boatright (USA/Arménie).\n\n\nEffectif 2021-22\n\n\nMeneurs : Ryan Boatright (1,83m, 28 ans), Kyle Allman Jr (1,93 m, 24 ans), Lois Gendrey (1,75 m, 21 ans)\nArrières : Juhann Begarin (1,96 m, 19 ans), Milan Barbitch (1,96 m, 19 ans)\nAiliers : Gauthier Denis (2,02 m, 24 ans), Amara Sy (2,02 m, 40 ans)\nAilier-forts : Dustin Sleva (2,03 m, 25 ans)\nPivots : Kyle O’Quinn (2,06m, 31 ans), Ismaël Kamagaté (2,11 m, 20 ans)\nEntraîneur : Jean-Christophe Prat\n\n\nPau\n\nArrivées : Gregor Hrovat (Slovénie, Cholet, 1 an), Vitalis Chikoko (Zimbabwe, Boulogne-Levallois, 3 ans), Dominique Archie (USA, Champagne Basket, 1 an), Brandon Jefferson (USA, Strasbourg, 2 ans), Giovan Oniangue (Orléans, 2 ans).\n\nDéparts : Rémi Lesca (Tarbes-Lourdes/NM1), Digué Diawara (Quimper/Pro B), Petr Cornélie, Ousmane Dramé, Nicolas De Jong, Vee Sanford (Pesaro/Italie), CJ Williams (Yalova/Turquie), Jay Threatt (Larisa/Grèce), Ioannis Kouzeloglou.\n\nRestent au club : Éric Bartecheky (coach, prolongation, 2 ans), Justin Bibbins (USA, prolongation, 1 an), Gérald Ayayi, Jérémy Leloup, Hamady Ndiaye (Sénégal, prolongation, 1 an).\n\nEffectif 2021-22 :\nMeneurs : Brandon Jefferson (1,75 m, 29 ans), Justin Bibbins (1,73 m, 25 ans)\nArrières : Gérald Ayayi (1,88 m, 19 ans)\nAiliers : Jérémy Leloup (1,99 m, 33 ans), Gregor Hrovat (1,96 m, 26 ans), Giovan Oniangue (1,96m, 30 ans)\nAilier-forts : Dominique Archie (2,01 m, 33 ans)\nPivots : Vitalis Chikoko (2,08 m, 30 ans), Hamady Ndiaye (2,13 m, 34 ans)\nEntraîneur : Éric Bartecheky\n\nRoanne\n\nArrivées : Loren Cristian Jackson (USA, Akron/NCAA, 1 an), Louis Marnette (Souffelweiersheim, Pro B, 2 ans), Louis Cassier (Gries-Oberhoffen, Pro B, 2 ans), Johnny Berhanemeskel (Canada/Erythrée, Nanterre, 1 an), JaKeenan Gant (USA, Saskatchewan Rattlers/Canada, 1 an).\n\nDéparts : Sylvain Francisco (Manresa/Espagne), Thomas Ville (Vichy-Clermont/Pro B), Steeve Ho You Fat (Boulogne-Levallois), Jackson Rowe (Norrkoping/Suède), Arthur Bruyas (Saint-Vallier/Pro B, prêt), Jamel Artis, Justin Wright-Foreman (Kulubuspor/Turquie), Ekene Ibekwe, Teyvon Myers (Sopron/Hongrie).\n\nRestent au club : Renathan Ona Embo (prolongation, 2 ans), Clément Cavallo, Boubacar Touré (Sénégal, prolongation, 1 an), Juvonte Reddic (USA, prolongation, 1 an), Ronald March (USA, prolongation, 1 an).\n\nEffectif 2021-22 (complet) :\nMeneurs : Loren Cristian Jackson (1,73 m, 26 ans), Renathan Ona Embo (1,94 m, 22 ans)\nArrières : Johnny Berhanemeskel (1,88 m, 28 ans), Louis Marnette (1,93 m, 20 ans)\nAiliers : Ronald March (1,96 m, 28 ans), Clément Cavallo (2,00 m, 30 ans)\nAilier-forts : JaKeenan Gant (2,03 m, 25 ans), Louis Cassier (2,01 m, 24 ans)\nPivots : Juvonte Reddic (2,06 m, 29 ans), Boubacar Touré (2,11 m, 25 ans)\nEntraîneur : Jean-Denys Choulet\n\nStrasbourg\n\nLes changements de l’intersaison\n\nArrivées : Jarell Eddie (USA, Fenerbahçe, Turquie), Gaylor Curier (Lille, Pro B, 1 an), Matt Mitchell (USA, San Diego State/NCAA), John Roberson (USA, Espagne, Estudiantes Madrid), Georgi Joseph (Le Portel)\n\nDéparts : Clément Frisch (Denain/Pro B), Bonzie Colson (Pinar Karsiyaka/Turquie), Ishmail Wainwright (Toronto Raptors/NBA), Essomé Miyem (Lille/Pro B), Brandon Jefferson (Pau), Jayson Tchicamboud (Tours/Pro B, prêt), Kris Richard (Oradea/Roumanie), Thomas Hieu-Courtois (retour à Lille/Pro B), Georgi Joseph (fin de pige médicale).\n\nRestent au club : Lassi Tuovi (Finlande, coach, prolongation, 2 ans), DeAndre Lansdowne (USA, prolongation, 2 ans), Jean-Baptiste Maille, Léopold Cavalière, Yannis Morin, Ike Udanoh (USA/Nigéria, prolongation, 1 an), Jaromir Bohacik (Rép. Tchèque, prolongation, 1 an).\n\nEffectif 2021-22\n\n\nMeneurs : John Roberson (1,80m, 32 ans), Jean-Baptiste Maille (1,90 m, 27 ans)\nArrières : Jarell Eddie (2,01m, 31 ans), DeAndre Lansdowne (1,88 m, 32 ans), Gaylor Curier (1,97 m, 29 ans)\nAiliers : Matt Mitchell (1,98 m, 22 ans), Jaromir Bohacik (1,97 m, 29 ans)\nAilier-forts : Léopold Cavalière (2,03 m, 25 ans)\nPivots : Ike Udanoh (2,02 m, 32 ans), Yannis Morin (2,08 m, 27 ans)\nEntraîneur : Lassi Tuovi (34 ans)\n\n\nPhoto : Victor Wembanyama (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/07/victor-wembanyama.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-09-01T04:30:00.000Z", "updated_at":"2021-12-09T18:11:45.000Z", "published_at":"2021-09-01T04:30:00.000Z", "custom_excerpt":"Voici le récapitulatif de l’ensemble des transferts et des effectifs de la saison 2021-2022 de Betclic Elite.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ef3", "uuid":"ac52dbe4-7243-4ac3-a063-5d05cb8c1a32", "title":"Qualifications Coupe du monde 2023 : Probable futur adversaire de la France, la Lituanie se cherche un coach", "slug":"qualifications-coupe-du-monde-2023-probable-futur-adversaire-de-la-france-la-lituanie-se-cherche-un-coach", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/qualifications-coupe-du-monde-2023-la-france-avec-la-hongrie-le-montenegro-et-le-portugal/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],0,\"La Lituanie, qui sera très probablement \"],[0,[1],1,\"un des adversaires de la France au 2e tour des qualifications à la Coupe du Monde 2023 \"],[0,[],1,\"se cherche toujours un entraîneur.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’équipe nationale lituanienne n’a actuellement pas d’entraîneur. 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L’équipe nationale lituanienne n’a actuellement pas d’entraîneur. Le poste est vacant depuis que Darius Maskoliūnas a démissionné après la défaite face à la Slovénie, synonyme d’élimination, lors du Tournoi de Qualification Olympique. C’est le futur président de la fédération, qui sera élu mardi en remplacement d’Arvidas Sabonis, qui aura pour mission de lui trouver un successeur.
Selon les médias du pays, Kazys Maksvytis, Dainius Adomaitis, qui a déjà eu le poste avant Maskoliūnas, Kęstutis Kemzūra et la légende Rimas Kurtinaitis semblent être les principaux candidats.
Lors des éliminatoires à la Coupe du monde de 2019, les Lituaniens entraînés par Adomaitis ont remporté 11 matches, et perdu une seule fois face à l’Italie. En Chine, l’Australie et la France leur avaient interdit l’accès aux quarts-de-finale.
La meilleure performance de la Lituanie à la Coupe du monde remonte à 2010 avec une médaille de bronze.
Photo: Dainius Adomaitis (FIBA)
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Celui qui a eu une carrière originale, en passant par la Serbie, la Grèce et la G-League était la saison dernière au Portel où il a pointé à 8,1 points, 3,7 rebonds, et 3 passe pour 7,9 d’évaluation en 25′ de moyenne.
« Afin de poursuivre notre recrutement, nous souhaitions engager un joueur extérieur supplémentaire, avec un profil polyvalent pour nous aider dans tous les secteurs du jeu. Boris est capable de jouer sur les 3 postes extérieurs, ce qui apporte de la consistance à notre effectif. Il peut faire jouer l’équipe en amenant du liant entre le secteur intérieur et le secteur extérieur et il possède un physique intéressant sur les lignes arrières. Nous comptons sur lui pour partager son expérience du championnat de France avec les plus jeunes et les joueurs étrangers et créer une osmose au sein de l’effectif, » commente le coach Laurent Vila.
Photo: FIBA
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Chris Warren fut membre de l’équipe de Nanterre championne de France en 2013, et il y est revenu deux fois, en 2016-17, réalisant le doublé Fiba Europe Cup/Coupe de France, et la saison dernière où il a tourné à 15,8 points à 52,6% à 3-points, 3,9 passes, et 14,6 d’évaluation en Eurocup, alors que ses stats en Jeep Elite ont été moindres : 12,8 points à 42,6% à 3-points, 3,0 passes et 11,8 d’évaluation.
« C’est un joueur qui possède une grosse expérience de ce championnat. C’est un meneur de petite taille qui va très vite. Sa principale qualité est le tir à 3-points, il est capable sur un match de faire d’immense performance. Il possède également une belle qualité de passes. Humainement, c’est un formidable garçon qui devrait très vite d’adapter à notre équipe, » estime le coach Germain Castano.
Photo: FIBA
", "comment_id":"563575", "plaintext":"C’est une figure de la Jeep Elite qui arrive à Orléans pour cette saison avec le meneur américain Chris Warren (1,76m, 32 ans).\n\nChris Warren fut membre de l’équipe de Nanterre championne de France en 2013, et il y est revenu deux fois, en 2016-17, réalisant le doublé Fiba Europe Cup/Coupe de France, et la saison dernière où il a tourné à 15,8 points à 52,6% à 3-points, 3,9 passes, et 14,6 d’évaluation en Eurocup, alors que ses stats en Jeep Elite ont été moindres : 12,8 points à 42,6% à 3-points, 3,0 passes et 11,8 d’évaluation.\n\n« C’est un joueur qui possède une grosse expérience de ce championnat. C’est un meneur de petite taille qui va très vite. Sa principale qualité est le tir à 3-points, il est capable sur un match de faire d’immense performance. Il possède également une belle qualité de passes. Humainement, c’est un formidable garçon qui devrait très vite d’adapter à notre équipe, » estime le coach Germain Castano.\n\nPhoto: FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/09/chris-warren-e1504522095963.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-31T15:49:13.000Z", "updated_at":"2021-08-31T15:49:21.000Z", "published_at":"2021-08-31T15:49:13.000Z", "custom_excerpt":"C’est une figure de la Jeep Elite qui arrive à Orléans pour cette saison avec le meneur américain Chris Warren (1,76m, 32 ans).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ef6", "uuid":"4275ddea-071d-45f4-8db4-d396fd14f6c5", "title":"Euroleague : Mathias Lessort et l’Etoile Rouge de Belgrade, ça se refroidit", "slug":"euroleague-mathias-lessort-et-letoile-rouge-de-belgrade-ca-se-refroidit", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"https://www.mozzartsport.com/ko%C5%A1arka/vesti/zastali-pregovori-crvene-zvezde-i-lesora/397279\"]],[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Selon le site serbe \"],[0,[0],1,\"Mozzartsport\"],[0,[],0,\", les pourparlers entre Mathias Lessort (2,06m, 26 ans) et l’Etoile Rouge de \"],[0,[1],1,\"Belgrade sont au point mort.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Où Mathias Lessort va t-il jouer cette saison ? Il y a quelques jours, c’était semble t-il chaud du côté de l’Etoile Rouge de Belgrade, engagée en Euroleague, mais la piste a sérieusement refroidi. La raison serait à a fois de « nature privée » et les exigences financières trop élevées du joueur pour la bourse du club serbe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le Martiniquais a déjà joué pour les rouges et blancs lors de la saison 2017-18.\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo: Eurocupbasketball\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Selon le site serbe Mozzartsport, les pourparlers entre Mathias Lessort (2,06m, 26 ans) et l’Etoile Rouge de Belgrade sont au point mort.
Où Mathias Lessort va t-il jouer cette saison ? Il y a quelques jours, c’était semble t-il chaud du côté de l’Etoile Rouge de Belgrade, engagée en Euroleague, mais la piste a sérieusement refroidi. La raison serait à a fois de « nature privée » et les exigences financières trop élevées du joueur pour la bourse du club serbe.
Le Martiniquais a déjà joué pour les rouges et blancs lors de la saison 2017-18.
Photo: Eurocupbasketball
", "comment_id":"563570", "plaintext":"Selon le site serbe Mozzartsport, les pourparlers entre Mathias Lessort (2,06m, 26 ans) et l’Etoile Rouge de Belgrade sont au point mort.\n\nOù Mathias Lessort va t-il jouer cette saison ? Il y a quelques jours, c’était semble t-il chaud du côté de l’Etoile Rouge de Belgrade, engagée en Euroleague, mais la piste a sérieusement refroidi. La raison serait à a fois de « nature privée » et les exigences financières trop élevées du joueur pour la bourse du club serbe.\n\nLe Martiniquais a déjà joué pour les rouges et blancs lors de la saison 2017-18.\n\nPhoto: Eurocupbasketball", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/04/mathias-lessort-as-monaco-photo-monaco-ec20.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-31T14:03:25.000Z", "updated_at":"2021-08-31T14:03:33.000Z", "published_at":"2021-08-31T14:03:25.000Z", "custom_excerpt":"Selon le site serbe Mozzartsport, les pourparlers entre Mathias Lessort (2,06m, 26 ans) et l’Etoile Rouge de Belgrade sont au point mort.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99ef7", "uuid":"33830e04-a1e2-491e-adf7-1c4b7c5903ac", "title":"Vincent Collet et les qualifications à la Coupe du Monde 2023 : « Ce tirage au sort est plus compliqué qu’il n’y parait »", "slug":"vincent-collet-et-les-qualifications-a-la-coupe-du-monde-2023-ce-tirage-au-sort-est-plus-complique-quil-ny-parait", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/qualifications-coupe-du-monde-2023-la-france-avec-la-hongrie-le-montenegro-et-le-portugal/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le coach national, Vincent Collet, a commenté le tirage au sort des \"],[0,[0],1,\"qualifications à la Coupe du Monde 2023\"],[0,[],0,\", qui a eu lieu ce midi à Mies, en Suisse, au siège de la FIBA.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"« Ce tirage au sort est plus compliqué qu’il n’y parait. En effet, si les équipes du premier tour semblent abordables, le croisement avec la poule F nous obligera à réaliser un parcours parfait dès le début de ces qualifications. Il faudra assumer notre rang, même si nous savons que la configuration de l’Équipe de France sera très éloignée de celle médaillée d’argent aux Jeux de Tokyo. Rien ne sera facile dans ce parcours jusqu’en 2023. Il faudra être prêt dès le début. Nous savons que nous devrons faire appel à un grand nombre de joueurs du Team France Basket pour atteindre nos objectifs mais je suis convaincu que les joueurs appelés feront le maximum pour aider l’Équipe de France à se qualifier pour la Coupe du Monde. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo: FFBB\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le coach national, Vincent Collet, a commenté le tirage au sort des qualifications à la Coupe du Monde 2023, qui a eu lieu ce midi à Mies, en Suisse, au siège de la FIBA.
« Ce tirage au sort est plus compliqué qu’il n’y parait. En effet, si les équipes du premier tour semblent abordables, le croisement avec la poule F nous obligera à réaliser un parcours parfait dès le début de ces qualifications. Il faudra assumer notre rang, même si nous savons que la configuration de l’Équipe de France sera très éloignée de celle médaillée d’argent aux Jeux de Tokyo. Rien ne sera facile dans ce parcours jusqu’en 2023. Il faudra être prêt dès le début. Nous savons que nous devrons faire appel à un grand nombre de joueurs du Team France Basket pour atteindre nos objectifs mais je suis convaincu que les joueurs appelés feront le maximum pour aider l’Équipe de France à se qualifier pour la Coupe du Monde. »
Photo: FFBB
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Le système de qualification:
32 pays constituent le plateau de la zone européenne et les 12 meilleures seront qualifiées à la Coupe du monde.
Ces équipes européennes se qualifieront pour la Coupe du Monde à travers six fenêtres sur 15 mois. Les qualifications se déroulent de novembre 2021 à février 2023, les équipes nationales jouant des matchs à domicile et à l’extérieur dans chacune de ces fenêtres.
Il y a 8 groupes de 4 équipes lors de la première phase et les 3 premières de chaque groupe seront qualifiées pour la deuxième phase. Les 24 équipes seront alors réparties en 4 groupes de 6, et les 3 premières de chaque groupe seront qualifiées pour la Coupe du Monde.
On remarque ainsi que l’équipe de France sera privée 4 fois de ses joueurs de NBA (et de G-League) et d’Euroleague, et pourra les aligner en juin et en août, ce qui évidemment dénature la compétition. L’objectif du coach Vincent Collet va être de dénombrer les joueurs disponibles pour novembre et février, sachant qu’avec l’ASVEL et Monaco, il y a cette saison deux équipes en Euroleague au lieu d’une !
Les adversaires de la France:
Montenegro:
C’était déjà notre adversaire pour les qualifications à l’EuroBasket 2019. Les Bleus avaient gagné les deux matches, largement en France (85-66) et de justesse à Podgirica (71-73). Le Montégéno, c’est bien entendu l’école yougoslave, et il n’est pas bon de les jouer à domicile. Les Monténégrins ont gagné leurs 4 matches de pré-qualification mais de justesse face à l’Islande (+2). Meilleurs joueurs: Marko Todoric (17,5 points) et Marko Radoncic (14,5) plus le meneur américain Justin Cobbs (ex-Gravelines et Le Mans). Sa star est le pivot des Bulls de Chicago Nikola Vucevic (2,13m, 30 ans), qui est bien sûr indisponible en hiver.
Hongrie:
Une ancienne place forte du basket européen, mais c’était il y a très longtemps. Les Bleus n’ont pas joué les Hongrois depuis 2002. En février 2020, Ceux-ci avaient réalisé un coup d’éclat, pour le compte des qualifications à l’EuroBasket 2022, en battant… la Slovénie (77-75), évidemment privée de ses stars, puis l’Ukraine chez elle (60-62). Et, bizarrement, au retour, ils ont pris une trempe face à cette même Ukraine, 63-97. Son meilleur joueur est Rosco Allen, né à Budapest, mais qui a émigré aux Etats-Unis à l’âge de 12 ans. Il jouait la saison dernière au Japon.
Portugal:
De 1931 à 2007, la France a joué 6 fois le Portugal et remporté autant de victoires. Aux pré-qualifications à la Coupe du Monde, les Portugais ont gagné 8 matches et en ont perdu 2 face à la Biélorussie et la Suède. Ils ont aussi été accrochés par… le Luxembourg (74-80), ce qui n’est évidemment pas glorieux. Celui qui s’est mis le plus en lumière est Diego de Sousa Anjo Brito (12,4 points et 13,2 d’évaluation).
Il faudra emmagasiner un maximum de points lors de cette première phase, car lors de la deuxième, les Bleus croiseront avec trois du groupe F, soit Lituanie, République Tchèque, Bosnie-Herzégovine et Bulgarie. A voir, évidemment, qui sera dispo au moment de jouer Lituaniens et Tchèques.
Les groupes par continent:
EUROPE
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/europe.jpg\")
AFRIQUE
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/afrique.jpg\")
ASIE-OCEANIE
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/asie.jpg\")
AMERIQUE
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/ame-cc-81rique.jpg\")
Photo: Rudy Gobert (FIBA)
", "comment_id":"563509", "plaintext":"La cérémonie de tirage au sort des qualifications à la Coupe du monde 2023 a eu lieu aujourd’hui, à Mies, en Suisse, au siège de la Fédération Internationale. Cette édition se tiendra en Indonésie, au Japon et aux Philippines, à Manille pour la phase finale. L’équipe de France a été placée pour la première phase dans un groupe avec la Hongrie, le Monténégro et le Portugal. Ca sera beaucoup plus ardu lors de la deuxième.\n\nLe système de qualification:\n\n32 pays constituent le plateau de la zone européenne et les 12 meilleures seront qualifiées à la Coupe du monde.\n\nCes équipes européennes se qualifieront pour la Coupe du Monde à travers six fenêtres sur 15 mois. Les qualifications se déroulent de novembre 2021 à février 2023, les équipes nationales jouant des matchs à domicile et à l’extérieur dans chacune de ces fenêtres.\n\nIl y a 8 groupes de 4 équipes lors de la première phase et les 3 premières de chaque groupe seront qualifiées pour la deuxième phase. Les 24 équipes seront alors réparties en 4 groupes de 6, et les 3 premières de chaque groupe seront qualifiées pour la Coupe du Monde.\n\n * 22 novembre 21. 1ère fenêtre | Qualifications, 1ère phase\n * 21 février 22. 2e fenêtre | Qualifications, 1ère phase\n * 27 juin 22. 3e fenêtre | Qualifications, 1ère phase\n * 22 août 22. 4ème fenêtre | Qualifications, 2e phase\n * 11 novembre 22. 5ème fenêtre | Qualifications, 2e phase\n * 20 février 23. 6ème fenêtre | Qualifications, 2e phase\n * 6 mars 23. Tirage au sort\n * 25 août 23. Début de la Coupe du monde\n\nOn remarque ainsi que l’équipe de France sera privée 4 fois de ses joueurs de NBA (et de G-League) et d’Euroleague, et pourra les aligner en juin et en août, ce qui évidemment dénature la compétition. L’objectif du coach Vincent Collet va être de dénombrer les joueurs disponibles pour novembre et février, sachant qu’avec l’ASVEL et Monaco, il y a cette saison deux équipes en Euroleague au lieu d’une !\n\nLes adversaires de la France:\n\nMontenegro:\n\nC’était déjà notre adversaire pour les qualifications à l’EuroBasket 2019. Les Bleus avaient gagné les deux matches, largement en France (85-66) et de justesse à Podgirica (71-73). Le Montégéno, c’est bien entendu l’école yougoslave, et il n’est pas bon de les jouer à domicile. Les Monténégrins ont gagné leurs 4 matches de pré-qualification mais de justesse face à l’Islande (+2). Meilleurs joueurs: Marko Todoric (17,5 points) et Marko Radoncic (14,5) plus le meneur américain Justin Cobbs (ex-Gravelines et Le Mans). Sa star est le pivot des Bulls de Chicago Nikola Vucevic (2,13m, 30 ans), qui est bien sûr indisponible en hiver.\n\nHongrie:\n\nUne ancienne place forte du basket européen, mais c’était il y a très longtemps. Les Bleus n’ont pas joué les Hongrois depuis 2002. En février 2020, Ceux-ci avaient réalisé un coup d’éclat, pour le compte des qualifications à l’EuroBasket 2022, en battant… la Slovénie (77-75), évidemment privée de ses stars, puis l’Ukraine chez elle (60-62). Et, bizarrement, au retour, ils ont pris une trempe face à cette même Ukraine, 63-97. Son meilleur joueur est Rosco Allen, né à Budapest, mais qui a émigré aux Etats-Unis à l’âge de 12 ans. Il jouait la saison dernière au Japon.\n\nPortugal:\n\nDe 1931 à 2007, la France a joué 6 fois le Portugal et remporté autant de victoires. Aux pré-qualifications à la Coupe du Monde, les Portugais ont gagné 8 matches et en ont perdu 2 face à la Biélorussie et la Suède. Ils ont aussi été accrochés par… le Luxembourg (74-80), ce qui n’est évidemment pas glorieux. Celui qui s’est mis le plus en lumière est Diego de Sousa Anjo Brito (12,4 points et 13,2 d’évaluation).\n\nIl faudra emmagasiner un maximum de points lors de cette première phase, car lors de la deuxième, les Bleus croiseront avec trois du groupe F, soit Lituanie, République Tchèque, Bosnie-Herzégovine et Bulgarie. A voir, évidemment, qui sera dispo au moment de jouer Lituaniens et Tchèques.\n\nLes groupes par continent:\n\nEUROPE\n\nAFRIQUE\n\nASIE-OCEANIE\n\nAMERIQUE\n\nPhoto: Rudy Gobert (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/rudy-gobert-5.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-31T11:54:29.000Z", "updated_at":"2021-08-31T11:54:37.000Z", "published_at":"2021-08-31T11:54:29.000Z", "custom_excerpt":"La cérémonie de tirage au sort des qualifications à la Coupe du monde 2023 a eu lieu aujourd’hui, à Mies, en Suisse, au siège de la Fédération Internationale. Cette édition se tiendra en Indonésie, au Japon et aux Philippines, à Manille pour la phase finale. 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La Guinée a pu compter sur 6 points de Cédric Mansaré, 15 de Cheick Sekou Condé, 13 de Mohamed Queta et 12 de Abdoulaye Sy. 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Pour se faire, les Angolais ont maîtrisé l’Egypte (70-62) avec 16 points de Carlos Morais, alors que la Guinée a pris la mesure du pays hôte, le Rwanda (72-68), alors que celui-ci était en tête à 12 minutes de la fin (44-54). La Guinée a pu compter sur 6 points de Cédric Mansaré, 15 de Cheick Sekou Condé, 13 de Mohamed Queta et 12 de Abdoulaye Sy. C’est la première fois que la Guinée se hisse en quarts.
Il reste encore deux matches de barrages, à jouer ce mardi, avant de disputer les quarts-de-finale.
Barrages qualificatifs pour les quarts de finale
Nigeria-Ouganda (mardi 31 août)
Soudan du Sud-Kenya (mardi 31 août)
Quarts de finale
Côte d’Ivoire-Guinée (mercredi 1er septembre)
Sénégal-Angola (mercredi 1er septembre)
Cap Vert-Nigera ou Ouganda (jeudi 2 septembre)
Tunisie-Soudan du Sud ou Kenya (jeudi 2 septembre)
Photo: Mohamed Queta (Guinée, FIBA)
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C’est le premier quart-temps qui a été le plus difficile lorsque Danilo Andjusic (deux fautes) et Rob Gray (adducteurs) n’étaient plus sur le terrain. Vasilije Micic a emmené l’équipe turque vers une avance confortable (16-29), mais insuffisante puisque la Roca Team est revenu tout d’abord à 6 points (49-55), puis plus tard à 2 (71-73) avec un Danilo Andjusic très efficace. Micic et Rodrigue Beaubois ont alors assuré la victoire d’Anadolu Efes.
Zvezdan Mitrovic (entraîneur) sur le site du club : « Ce match face à l’Anadolu était la première étape dans la découverte de l’équipe. Ce soir j’ai vu de bonnes choses et ça montre que nous sommes capables de proposer du beau basket. »
Armel Traoré (ailier) : « Pendant nos deux semaines de préparation avec l’équipe, on a appris à se connaître, et ça nous a permis de tenir tête aux champions d’Europe en titre. Nous on était les « rookies ». Le résultat n’est pas déméritant, même si on voulait gagner. En deuxième période, on a montré un bien meilleur visage, et ça prouve qu’on a les capacités pour performer en Euroleague. Malgré la défaite, il y a de nombreux enseignements positifs. Maintenant il faut être focus sur les prochains entraînements et les prochains tournois qui vont arriver, en travaillant dur. »", "comment_id":"563488", "plaintext":"Pour son premier match de préparation, sans Jerry Boutsiele et Brock Motum, l’AS Monaco s’est attaqué au vainqueur de l’Euroleague 2021, Anadolu Efes Istanbul, et s’en est plutôt bien sorti avec une défaite 75-85.\n\nC’est le premier quart-temps qui a été le plus difficile lorsque Danilo Andjusic (deux fautes) et Rob Gray (adducteurs) n’étaient plus sur le terrain. Vasilije Micic a emmené l’équipe turque vers une avance confortable (16-29), mais insuffisante puisque la Roca Team est revenu tout d’abord à 6 points (49-55), puis plus tard à 2 (71-73) avec un Danilo Andjusic très efficace. Micic et Rodrigue Beaubois ont alors assuré la victoire d’Anadolu Efes.\n\nZvezdan Mitrovic (entraîneur) sur le site du club : « Ce match face à l’Anadolu était la première étape dans la découverte de l’équipe. Ce soir j’ai vu de bonnes choses et ça montre que nous sommes capables de proposer du beau basket. »\n\nArmel Traoré (ailier) : « Pendant nos deux semaines de préparation avec l’équipe, on a appris à se connaître, et ça nous a permis de tenir tête aux champions d’Europe en titre. Nous on était les « rookies ». Le résultat n’est pas déméritant, même si on voulait gagner. En deuxième période, on a montré un bien meilleur visage, et ça prouve qu’on a les capacités pour performer en Euroleague. Malgré la défaite, il y a de nombreux enseignements positifs. Maintenant il faut être focus sur les prochains entraînements et les prochains tournois qui vont arriver, en travaillant dur. »", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/monaco-e1630389211727.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-31T05:54:56.000Z", "updated_at":"2021-08-31T07:45:38.000Z", "published_at":"2021-08-31T05:54:56.000Z", "custom_excerpt":"Pour son premier match de préparation, sans Jerry Boutsiele et Brock Motum, l’AS Monaco s’est attaqué au vainqueur de l’Euroleague 2021, Anadolu Efes Istanbul, et s’en est plutôt bien sorti avec une défaite 75-85.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99efb", "uuid":"0459eb7f-09a6-4e93-9db4-3ff27675e8a3", "title":"[REDIFF] Étude – Les tirs à trois-points – 2e partie : en Europe, la Jeep Élite dans la moyenne, l’Allemagne, Milan et Kyle Kuric au top", "slug":"etude-les-tirs-a-trois-points-2e-partie-en-europe-la-jeep-elite-dans-la-moyenne-lallemagne-milan-et-kyle-kuric-au-top", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/branko-lazic-etoile-rouge-f-crvena-zvezda-mts.jpg\",\"width\":1000,\"height\":666,\"caption\":\"Branko Lazic – Etoile Rouge de Belgrade (Photo : Crvena Zvezda MTS)\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/jordan-mickey-khimki-moscou-f-vtb-league.jpg\",\"width\":1000,\"height\":750,\"caption\":\"Jordan Mickey – Khimki Moscou (Photo : VTB League)\"}],[\"html\",{\"html\":\"
| Championnat | Matchs joués | 3P réussis | 3P tentés | Moyenne | Tentatives par match |
| VTB League | 23,85 | 2846 | 7621 | 37,34% | 24,58 |
| Allemagne | 32,89 | 5754 | 15458 | 37,22% | 26,11 |
| Espagne | 32,63 | 5689 | 15591 | 36,49% | 25,15 |
| Jeep Elite | 22,33 | 3403 | 9330 | 36,47% | 23,21 |
| Ligue ABA | 24,31 | 2945 | 8142 | 36,17% | 23,92 |
| Turquie | 29,5 | 4195 | 11658 | 35,98% | 24,70 |
| Italie | 27,07 | 3808 | 10606 | 35,90% | 26,12 |
| Pays | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Italie | Olimpia Milan | 286/663 | 43,10% |
| Allemagne | Ratiopharm Ulm | 351/824 | 42,60% |
| Espagne | Barcelone | 290/689 | 42,10% |
| Allemagne | Oldenburg | 378/899 | 42,00% |
| Espagne | Ténérife | 333/796 | 41,80% |
| Italie | Sassari | 272/656 | 41,50% |
| France | Villeurbanne | 215/513 | 41,50% |
| Ligue Adriatique | Etoile Rouge | 294/709 | 41,47% |
| Ligue Adriatique | Cedevita Olimpija Ljubljana | 288/718 | 40,11% |
| Espagne | Valence | 336/837 | 40,10% |
| VTB League | CSKA Moscou | 248/619 | 40,06% |
| France | Boulogne-Levallois | 219/548 | 40,00% |
| France | Bourg-en-Bresse | 248/623 | 39,80% |
| Turquie | Fenerbahce | 297/749 | 39,65% |
| Turquie | Galatasaray | 279/705 | 39,57% |
| Turquie | Tofas | 239/604 | 39,57% |
| VTB League | Zenit St-Petersbourg | 238/605 | 39,34% |
| Allemagne | Crailsheim | 361/939 | 38,40% |
| VTB League | Zielona Gora | 242/631 | 38,35% |
| Ligue Adriatique | Igokea | 217/580 | 37,41% |
| Italie | Venise | 285/767 | 37,20% |
| Pays | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| VTB League | Lokomotiv Kuban | 173/486 | 35,60% |
| VTB League | Khimki Moscou | 213/610 | 34,92% |
| Allemagne | Wurzburg | 252/723 | 34,90% |
| Allemagne | Vechta | 299/860 | 34,80% |
| Italie | Fortitudo Bologne | 212/618 | 34,30% |
| Italie | Trévise | 251/733 | 34,2% |
| Ligue Adriatique | Zadar | 156/458 | 34,06% |
| Allemagne | MBC | 311/915 | 34,00% |
| VTB League | Tsmoki-Minsk | 189/561 | 33,69% |
| Ligue Adriatique | FMP Belgrade | 210/625 | 33,60% |
| France | Champagne Basket | 167/503 | 33,20% |
| Turquie | Gaziantep | 251/762 | 32,94% |
| France | Le Portel | 180/549 | 32,80% |
| Turquie | Besiktas | 217/663 | 32,73% |
| Espagne | Séville | 246/759 | 32,41% |
| Espagne | San Sebastian | 275/854 | 32,20% |
| Italie | Brindisi | 231/719 | 32,13% |
| Espagne | Fuenlabrada | 232/723 | 32,10% |
| Ligue Adriatique | Borac | 224/702 | 31,91% |
| France | Nanterre | 165/530 | 31,10% |
| Turquie | Ormanspor | 210/680 | 30,88% |
| Pays | Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Ligue Adriatique | Marko Josilo | Igokea | 48/83 | 57,83% |
| VTB League | Daniel Hackett | CSKA Moscou | 26/46 | 56,52% |
| France | Lamonte Ulmer | Orléans | 30/55 | 54,50% |
| Espagne | Adam Hanga | Barcelone | 33/61 | 54,10% |
| Ligue Adriatique | Branko Lazic | Étoile Rouge | 30/56 | 53,57% |
| France | Guerschon Yabusele | Villeurbanne | 28/53 | 52,80% |
| VTB League | Jordan Mickey | Khimki | 20/38 | 52,63% |
| Turquie | Adrien Moerman | Anadolu Efes | 41/78 | 52,56% |
| Italie | Austin Daye | Venise | 45/86 | 52,30% |
| Allemagne | Keith Hornsby | Oldenburg | 79/151 | 52,30% |
| Ligue Adriatique | Luka Rupnik | Cedevita Olimpija Ljubljana | 23/44 | 52,27% |
| France | Hans Vanwijn | Dijon | 27/52 | 51,90% |
| Allemagne | Andeas Obst | Ratiopharm Ulm | 86/169 | 50,90% |
| VTB League | Ivan Ukhov | CSKA Moscou | 36/71 | 50,70% |
| Italie | Sergio Rodriguez | Milan | 63/126 | 50,00% |
| Allemagne | Dominic Lockhart | Bamberg | 62/125 | 49,60% |
| Turquie | Brock Motum | Galatasaray | 55/111 | 49,55% |
| Turquie | Tarik Biberovic | Fenerbahce | 31/63 | 49,21% |
| Espagne | Nikola Mirotic | Barcelone | 48/98 | 49,00% |
| Italie | Eimantas Bendzius | Sassari | 76/156 | 48,70% |
| Espagne | Tomasz Gielo | Andorre | 31/64 | 48,40% |
| Pays | Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Italie | Ariel Filloy | Pesaro | 39/138 | 28,30% |
| Italie | James Bell | Brindisi | 39/140 | 27,90% |
| Italie | Jeremy Chappell | Venise | 23/84 | 27,40% |
| VTB League | Maxim Grigoryev | Parma | 15/55 | 27,27% |
| Allemagne | Brandon Bowman | Giessen | 22/81 | 27,20% |
| VTB League | Andrei Stabrouski | Tmoki-Minsk | 11/43 | 25,58% |
| Ligue Adriatique | Vasilije Vucetic | Krka Novo Mesto | 12/47 | 25,53% |
| VTB League | Sergey Karasev | Khimki Moscou | 13/51 | 25,49% |
| France | Rémi Lesca | Pau-Lacq-Orthez | 18/71 | 25,40% |
| Allemagne | Kyndhal Hill | MBC | 19/76 | 25,00% |
| Ligue Adriatique | Domagoj Vukovic | Zadar | 17/68 | 25,00% |
| Turquie | Sehmus Hazer | Besiktas | 24/97 | 24,74% |
| France | Mehdy Ngouama | Le Portel | 16/65 | 24,60% |
| Turquie | Cevher Ozer | Ormanspor | 24/98 | 24,49% |
| Ligue Adriatique | Milenko Tepic | Mega Soccerbet | 17/70 | 24,29% |
| Allemagne | Stefan Peno | Vechta | 16/66 | 24,20% |
| Espagne | Bandja Sy | Andorre | 13/54 | 24,10% |
| Espagne | Oriol Pauli | Andorre | 16/67 | 23,90% |
| Espagne | Jan Span | San Sebastian | 37/160 | 23,10% |
| Turquie | Ismail Cem Ulusoy | Gaziantep | 20/94 | 21,28% |
| France | Boris Dallo | Le Portel | 17/81 | 21,00% |
| Coupe | Matchs joués | 3P réussis | 3P tentés | Moyenne |
| Euroleague | 34 | 5533 | 14612 | 37,87% |
| Eurocup | 10 à 24 | 3336 | 9182 | 36,33% |
| BCL | 6 à 15 | 2682 | 7570 | 35,43% |
| Coupe d’Europe | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| BCL | Galatasaray | 59/131 | 45,04% |
| Euroleague | Zalgiris Kaunas | 287/681 | 42,14% |
| Eurocup | Malaga | 186/442 | 42,08% |
| BCL | Nizhny Novgorod | 137/326 | 42,02% |
| Euroleague | Milan | 323/777 | 41,57% |
| BCL | Ténérife | 145/354 | 40,96% |
| Eurocup | Nanterre | 154/380 | 40,53% |
| Euroleague | Barcelone | 274/687 | 39,88% |
| Eurocup | Ratiopharm Ulm | 97/249 | 38,96% |
| Coupe d’Europe | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Euroleague | Maccabi Tel-Aviv | 300/853 | 35,17% |
| Euroleague | Olympiakos | 298/856 | 34,81% |
| Euroleague | Khimki Moscou | 315/910 | 34,62% |
| Eurocup | Brescia | 68/207 | 32,85% |
| Eurocup | Trente | 133/408 | 32,60% |
| Eurocup | Venise | 88/273 | 32,23% |
| BCL | Bakken Bears | 57/185 | 30,81% |
| BCL | Bilbao | 41/142 | 28,87% |
| BCL | Fortitudo Bologne | 30/128 | 23,44% |
| Coupe d’Europe | Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| BCL | Andrew Andrews | Darussafaka | 15/24 | 62,50% |
| BCL | Evan Bruinsma | Szombathely | 13/21 | 61,90% |
| Euroleague | Kyle Kuric | Barcelone | 58/99 | 58,59% |
| BCL | RJ Hunter | Galatasaray | 16/28 | 57,10% |
| Eurocup | Tim Abromaitis | Malaga | 24/44 | 54,55% |
| Euroleague | Luigi Datome | Milan | 43/81 | 53,09% |
| Eurocup | Johnny Berhanemeskel | Nanterre | 27/51 | 52,94% |
| Eurocup | Chris Warren | Nanterre | 40/76 | 52,63% |
| Euroleague | Antoine Diot | Asvel | 42/80 | 52,50% |
| Coupe d’Europe | Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Euroleague | Vassilis Spanoulis | Olympiakos | 34/120 | 28,33% |
| Euroleague | Aaron Harrison | Olympiakos | 25/94 | 26,60% |
| Eurocup | Rashawn Thomas | Partizan Belgrade | 8/32 | 25,00% |
| Eurocup | Rade Zagorac | Partizan Belgrade | 9/37 | 24,32% |
| Euroleague | Jordan Mickey | Khimki Moscou | 17/71 | 23,94% |
| BCL | Xabi Rabaseda | Burgos | 4/29 | 13,80% |
| BCL | Dovis Bickauskis | Rytas Vilnius | 2/15 | 13,30% |
| Eurocup | Hugo Benitez | Bourg-en-Bresse | 4/31 | 12,90% |
| BCL | Gherardo Sabatini | Fortitudo Bologne | 2/18 | 11,10% |
| BCL | Arnoldas Kulbolka | Bilbao | 3/27 | 11,10% |
Photo d’ouverture : Kyle Kuric – Barcelone (Photo : Euroleague)
Après nous être intéressé aux lancers francs (voir ICI), nous nous sommes penchés sur l’art du shoot à trois-points. Depuis son introduction dans les compétitions FIBA en 1984 (1979 pour la NBA), le tir de loin a pris une importance croissante dans le jeu, au point de devenir l’arme majeure de certaines équipes. Nous nous sommes donc posé la question : quels sont les championnats, les équipes et les joueurs les plus efficaces dans ce domaine. D’où cette étude en deux parties, avec la France hier (voir ICI), l’Europe aujourd’hui.
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Après avoir fait le tour des championnats français professionnels (et Espoir), nous poursuivons aujourd’hui notre étude sur l’adresse derrière la ligne à trois-points en Europe, en faisant en sorte également de mesurer la place de la Jeep Élite dans le concert européen.
Nous nous sommes intéressés dans un premier temps aux principaux championnats domestiques européens : BBL allemande, Liga ACB espagnole, Serie A italienne, BSL turque, Ligue Adriatique (ou ABA) regroupant des clubs de pays de l’ex-Yougoslavie et VTB League (qui réunit des clubs russes, polonais, kazakh et biélorusse).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/branko-lazic-etoile-rouge-f-crvena-zvezda-mts.jpg\")
Dans un second temps, nous avons également pris en compte les statistiques à trois-points (relevés effectués les 8 et 9 mai, comme pour les divers championnats domestiques) des trois principales coupes d’Europe, à savoir l’Euroleague, l’Eurocup et la BCL.
Notre première analyse porte sur la comparaison des championnats domestiques majeurs en Europe. En cherchant à mettre en lumière deux types d’informations : quelle compétition parmi les sept étudiées propose la meilleure adresse à trois-points et quelles sont celles où il y a le plus grand nombre de tentatives de tir lointain par match.
Sur le premier point, deux championnats sortent du lot, la VTB League et la BBL allemande, les seuls dont l’ensemble des clubs shoote à plus de 37 % à trois-points. Un chiffre élevé en comparaison de ceux des autres compétitions domestiques, qui se tiennent dans un mouchoir de poche : entre la Liga ACB espagnole et la Serie A italienne, il n’y a même pas 0,6 % d’écart. Et où se situe la France, avec la Jeep Élite, dans ce concert européen ? Pile au milieu du classement, à la 4e position. Avec 36,47 % de réussite aux tirs à trois-points, elle fait presqu’aussi bien que la Liga ACB (-0,02 %, l’équivalent d’une vingtaine de tirs sur plus de 9 300 tentés) et notablement mieux que le trio de queue, qui se situe autour des 36 %.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/jordan-mickey-khimki-moscou-f-vtb-league.jpg\")
Si l’on se base sur les résultats en coupes d’Europe des clubs issus de ces championnats, on peut considérer que la hiérarchie de ces compétitions domestiques est la suivante : Espagne, Turquie, VTB League, France, Italie, Allemagne, Ligue Adriatique. Ce qui permet de constater qu’il n’y a pas forcément un lien direct entre puissance d’une ligue et adresse à trois-points de ses clubs, la BBL allemande étant en fin de hiérarchie tout en figurant parmi les ligues les plus adroites, au contraire du fort championnat turc, moins précis dans l’exercice du shoot lointain que la plupart de ses homologues.
Deuxième point, les tentatives par match. On constate que l’Italie et l’Allemagne, de loin les pays où l’on tente le plus de tirs à trois-points à chaque rencontre (pratiquement un tir de plus par match que le troisème et presque 3 sur le championnat où l’on tire le moins à trois-points), figurent aux deux extrémités du classement : la BBL allemande regroupe des clubs globalement très adroits, à l’opposé des clubs de Serie A italienne. Quant à la Jeep Élite, elle se classe bonne dernière dans ce domaine, ses clubs tentant 0,7 tir à trois-poins de moins que son plus proche prédécesseur, la Ligue ABA.
Autre constatation : le nombre de tentatives par match n’influe pas sur le taux de réussite. Les clubs de VTB League prennent plutôt peu de tirs à trois-point alors que ceux de la BBL allemande en tentent beaucoup et figurent pourtant aux deux premières places en matière d’adresse.
| Championnat | Matchs joués | 3P réussis | 3P tentés | Moyenne | Tentatives par match |
| VTB League | 23,85 | 2846 | 7621 | 37,34% | 24,58 |
| Allemagne | 32,89 | 5754 | 15458 | 37,22% | 26,11 |
| Espagne | 32,63 | 5689 | 15591 | 36,49% | 25,15 |
| Jeep Elite | 22,33 | 3403 | 9330 | 36,47% | 23,21 |
| Ligue ABA | 24,31 | 2945 | 8142 | 36,17% | 23,92 |
| Turquie | 29,5 | 4195 | 11658 | 35,98% | 24,70 |
| Italie | 27,07 | 3808 | 10606 | 35,90% | 26,12 |
Pour chaque compétition domestique, nous avons constitué un « top 3 » (les trois meilleurs clubs au pourcentage de réussite à trois-points) et un « flop 3 » (les trois clubs les moins adroits). Nous avons ensuite établi un classement de ces trios toutes compétitions confondues.
Pour en arriver à un paradoxe : alors que la Serie A italienne est le championnat le moins adroit à trois-points de notre étude, c’est un club y évoluant, Milan, qui présente la meilleure moyenne de tous les clubs, avec 43,10 %. Qui plus est, l’écart avec son premier poursuivant, le Ratiopharm Ulm allemand, est conséquent : 0,5 %.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/luigi-datome-milan-f-ligue-italienne.jpg\")
On remarquera également que si la VTB League est globalement très adroite à trois-points, c’est plus parce que l’ensemble des clubs y évoluant présente un taux de réussite intéressant que parce qu’un ou plusieurs clubs se distingueraient dans l’exercice. Ainsi, le CSKA Moscou, club le plus adroit à trois-points de VTB League (40,06 %) ne figure qu’à la 11e place (sur 21) de notre classement.
Quant aux clubs français, hormis LDLC Asvel 7e, aucun ne figure dans le premier tiers de la liste, mais les deux autres équipes de Jeep Élite les plus adroites à trois-points sont installées dans le deuxième tiers. En résumé, on peut donc dire que les clubs français les plus précis dans ce secteur de jeu sont très concurrentiels en Europe, sur cet aspect spécifique.
| Pays | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Italie | Olimpia Milan | 286/663 | 43,10% |
| Allemagne | Ratiopharm Ulm | 351/824 | 42,60% |
| Espagne | Barcelone | 290/689 | 42,10% |
| Allemagne | Oldenburg | 378/899 | 42,00% |
| Espagne | Ténérife | 333/796 | 41,80% |
| Italie | Sassari | 272/656 | 41,50% |
| France | Villeurbanne | 215/513 | 41,50% |
| Ligue Adriatique | Etoile Rouge | 294/709 | 41,47% |
| Ligue Adriatique | Cedevita Olimpija Ljubljana | 288/718 | 40,11% |
| Espagne | Valence | 336/837 | 40,10% |
| VTB League | CSKA Moscou | 248/619 | 40,06% |
| France | Boulogne-Levallois | 219/548 | 40,00% |
| France | Bourg-en-Bresse | 248/623 | 39,80% |
| Turquie | Fenerbahce | 297/749 | 39,65% |
| Turquie | Galatasaray | 279/705 | 39,57% |
| Turquie | Tofas | 239/604 | 39,57% |
| VTB League | Zenit St-Petersbourg | 238/605 | 39,34% |
| Allemagne | Crailsheim | 361/939 | 38,40% |
| VTB League | Zielona Gora | 242/631 | 38,35% |
| Ligue Adriatique | Igokea | 217/580 | 37,41% |
| Italie | Venise | 285/767 | 37,20% |
La remarque que nous faisions au sujet de l’homogénéité de la VTB League en matière d’adresse à trois-points est confirmée par l’examen du classement des équipes figurant dans le « flop 3 » de chaque championnat. Deux clubs du championnat de l’Est, de grosses écuries qui plus est, peuvent ainsi être considérées comme les « moins mauvaises » de notre étude, suivis par deux clubs allemands, ce qui là encore explique l’excellente adresse globale de la BBL.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/daniel-hackett-cska-moscou.jpg\")
Tout en bas de ce classement, on retrouve un club turc, Ormanspor, et un tout petit peu au-dessus la surprise Nanterre. Surprise dans le sens où le club des Hauts-de-Seine a plutôt figuré dans les meilleures équipes de Jeep Élite ces dernières années que dans les moins adroites à trois-points. Et l’on verra plus loin à quel point Nanterre est surprenant, se hissant parmi les clubs les plus adroits de loin dans les coupes d’Europe… Il nous faut avouer avoir renoncé à trouver une explication rationnelle à ce phénomène…
| Pays | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| VTB League | Lokomotiv Kuban | 173/486 | 35,60% |
| VTB League | Khimki Moscou | 213/610 | 34,92% |
| Allemagne | Wurzburg | 252/723 | 34,90% |
| Allemagne | Vechta | 299/860 | 34,80% |
| Italie | Fortitudo Bologne | 212/618 | 34,30% |
| Italie | Trévise | 251/733 | 34,2% |
| Ligue Adriatique | Zadar | 156/458 | 34,06% |
| Allemagne | MBC | 311/915 | 34,00% |
| VTB League | Tsmoki-Minsk | 189/561 | 33,69% |
| Ligue Adriatique | FMP Belgrade | 210/625 | 33,60% |
| France | Champagne Basket | 167/503 | 33,20% |
| Turquie | Gaziantep | 251/762 | 32,94% |
| France | Le Portel | 180/549 | 32,80% |
| Turquie | Besiktas | 217/663 | 32,73% |
| Espagne | Séville | 246/759 | 32,41% |
| Espagne | San Sebastian | 275/854 | 32,20% |
| Italie | Brindisi | 231/719 | 32,13% |
| Espagne | Fuenlabrada | 232/723 | 32,10% |
| Ligue Adriatique | Borac | 224/702 | 31,91% |
| France | Nanterre | 165/530 | 31,10% |
| Turquie | Ormanspor | 210/680 | 30,88% |
Comme pour les clubs, nous avons établi des « top 3 » et « flop 3 » des joueurs évoluant dans les championnats étudiés. Le plus adroit est, et de loin, le Serbe évoluant dans le club bosnien d’Igokea Marko Josilo. Son remarquable pourcentage de 57,83 % (sur 83 tentatives) le place 1,3 % devant son plus proche poursuivant, l’Italien du CSKA Moscou Daniel Hackett.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/marko-josilo-igokea-aba-league-dragana-stjepanovic.jpg\")
On appréciera par ailleurs de voir sur le podium des joueurs les plus adroits en compétitions domestiques un Américain évoluant en Jeep Élite, Lamonte Ulmer (Orléans). Et pas bien loin derrière arrive Guerschon Yabusele (LDLC Asvel), qui figure en bonne compagnie, précédant notamment de peu Adrien Moerman (Anadolu Efes).
On remarquera par ailleurs que les 15 meilleurs shooteurs de loin de ce classement dépassent les 50 % dans l’exercice, alors que le « moins bon » tourne quand même à 48,40 %.
| Pays | Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Ligue Adriatique | Marko Josilo | Igokea | 48/83 | 57,83% |
| VTB League | Daniel Hackett | CSKA Moscou | 26/46 | 56,52% |
| France | Lamonte Ulmer | Orléans | 30/55 | 54,50% |
| Espagne | Adam Hanga | Barcelone | 33/61 | 54,10% |
| Ligue Adriatique | Branko Lazic | Étoile Rouge | 30/56 | 53,57% |
| France | Guerschon Yabusele | Villeurbanne | 28/53 | 52,80% |
| VTB League | Jordan Mickey | Khimki | 20/38 | 52,63% |
| Turquie | Adrien Moerman | Anadolu Efes | 41/78 | 52,56% |
| Italie | Austin Daye | Venise | 45/86 | 52,30% |
| Allemagne | Keith Hornsby | Oldenburg | 79/151 | 52,30% |
| Ligue Adriatique | Luka Rupnik | Cedevita Olimpija Ljubljana | 23/44 | 52,27% |
| France | Hans Vanwijn | Dijon | 27/52 | 51,90% |
| Allemagne | Andeas Obst | Ratiopharm Ulm | 86/169 | 50,90% |
| VTB League | Ivan Ukhov | CSKA Moscou | 36/71 | 50,70% |
| Italie | Sergio Rodriguez | Milan | 63/126 | 50,00% |
| Allemagne | Dominic Lockhart | Bamberg | 62/125 | 49,60% |
| Turquie | Brock Motum | Galatasaray | 55/111 | 49,55% |
| Turquie | Tarik Biberovic | Fenerbahce | 31/63 | 49,21% |
| Espagne | Nikola Mirotic | Barcelone | 48/98 | 49,00% |
| Italie | Eimantas Bendzius | Sassari | 76/156 | 48,70% |
| Espagne | Tomasz Gielo | Andorre | 31/64 | 48,40% |
À l’autre extrémité du spectre, les joueurs figurant dans le « flop 3 » de leur championnat montrent peu d’appétence pour le tir à trois-points, le « moins mauvais » d’entre-eux, Ariel Filloy (Pesaro), tournant à la moyenne de 28,30 %. On notera de manière globable que ce n’est pas parce qu’ils sont peu adroits de loin que ces joueurs rechignent à prendre ce genre de tirs, comme le démontre les 140 tentatives de James Bell (pour 39 réussites, Brindisi) ou les 160 (pour 37 réussites) de Jan Span (San Sebastian).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/vasilije-vucetic-krkra-novo-mesto-f-partizan-nis.jpg\")
Et la Jeep Élite ne tirera aucune gloire de voir que le joueur le moins adroit des sept championnats auscultés joue au Portel, Boris Dallo…
| Pays | Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Italie | Ariel Filloy | Pesaro | 39/138 | 28,30% |
| Italie | James Bell | Brindisi | 39/140 | 27,90% |
| Italie | Jeremy Chappell | Venise | 23/84 | 27,40% |
| VTB League | Maxim Grigoryev | Parma | 15/55 | 27,27% |
| Allemagne | Brandon Bowman | Giessen | 22/81 | 27,20% |
| VTB League | Andrei Stabrouski | Tmoki-Minsk | 11/43 | 25,58% |
| Ligue Adriatique | Vasilije Vucetic | Krka Novo Mesto | 12/47 | 25,53% |
| VTB League | Sergey Karasev | Khimki Moscou | 13/51 | 25,49% |
| France | Rémi Lesca | Pau-Lacq-Orthez | 18/71 | 25,40% |
| Allemagne | Kyndhal Hill | MBC | 19/76 | 25,00% |
| Ligue Adriatique | Domagoj Vukovic | Zadar | 17/68 | 25,00% |
| Turquie | Sehmus Hazer | Besiktas | 24/97 | 24,74% |
| France | Mehdy Ngouama | Le Portel | 16/65 | 24,60% |
| Turquie | Cevher Ozer | Ormanspor | 24/98 | 24,49% |
| Ligue Adriatique | Milenko Tepic | Mega Soccerbet | 17/70 | 24,29% |
| Allemagne | Stefan Peno | Vechta | 16/66 | 24,20% |
| Espagne | Bandja Sy | Andorre | 13/54 | 24,10% |
| Espagne | Oriol Pauli | Andorre | 16/67 | 23,90% |
| Espagne | Jan Span | San Sebastian | 37/160 | 23,10% |
| Turquie | Ismail Cem Ulusoy | Gaziantep | 20/94 | 21,28% |
| France | Boris Dallo | Le Portel | 17/81 | 21,00% |
Après les compétitions domestiques, nous nous sommes intéressés aux trois principales coupes d’Europe sans, cette fois, calculer le nombre de tentatives par match, les équipes d’Eurocup comme celles de BCL ayant joué un nombre de matchs différent. On notera juste qu’avec 23,88 tentatives par match, l’Euroleague voit les clubs y évoluant tirer globalement moins souvent à trois-points que dans leur championnat national.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/adam-hanga-barcelona-euroleague.jpg\")
Il est par ailleurs intéressant de noter que l’Euroleague, sans conteste la plus forte des trois coupes d’Europe, est aussi celle où l’adresse à trois-points est la meilleure, avec un pourcentage global plus élevé que dans le championnat domestique le plus adroit, la VTB League. Ce qui est plutôt logique, l’Euroleague regroupant pratiquement les meilleurs clubs d’Europe.
Derrière, si l’on peut considérer que le niveau général de l’Eurocup et de la BCL est identique, la présence au premier tour de la seconde de ces coupes d’Europe d’équipes de niveau moyen se traduit par une moyenne générale à trois-points assez nettement inférieure (-0,9 % par rapport à l’Eurocup, -2,44 % par rapport à l’Euroleague).
| Coupe | Matchs joués | 3P réussis | 3P tentés | Moyenne |
| Euroleague | 34 | 5533 | 14612 | 37,87% |
| Eurocup | 10 à 24 | 3336 | 9182 | 36,33% |
| BCL | 6 à 15 | 2682 | 7570 | 35,43% |
À la lumière de ce que nous venons d’énoncer dans notre précédente question, l’on aurait pu déduire que les clubs les plus adroits à trois-points se retrouvaient forcément en Euroleague. Ce qui n’est pas le cas. C’est en effet un club ayant joué la BCL, Galatasaray, qui figure en tête du classement. Avec une nuance importante : n’ayant joué que 6 matchs, le club turc n’a logiquement pas tenté un grand nombre de tirs à trois-points (21,83 par match en moyenne).
Les clubs qui suivent Galatasaray dans la hiérarchie que nous avons établie figurent à distance respectable, à pratiquement 3 % de moins de réussite moyenne. Mais sur des volumes de tirs bien plus importants.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/adrien-moerman-e1550610278627.jpg\")
Plus généralement, on retiendra que 7 des 9 clubs figurant dans ces « top 3 » dépassent la barre des 40 %, ce qui est plutôt remarquable. Plus surprenant encore, le dernier de ces clubs à plus de 40 % est Nanterre, avec 40,53 %, alors que le même club est bonnet d’âne de la Jeep Élite avec un piteux 31,10 % dans le même exercice. Allez comprendre…
On notera également que Galatasaray, Ulm, Milan, Ténérife et Barcelone figurent dans nos « top 3 », à la fois dans leur championnat national et dans la coupe d’Europe qu’ils ont jouée. Outre « l’intrus » Nanterre, seul Nizhny Novgorod ne figure pas dans le « top 3 » de son championnat, la VTB League.
| Coupe d’Europe | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| BCL | Galatasaray | 59/131 | 45,04% |
| Euroleague | Zalgiris Kaunas | 287/681 | 42,14% |
| Eurocup | Malaga | 186/442 | 42,08% |
| BCL | Nizhny Novgorod | 137/326 | 42,02% |
| Euroleague | Milan | 323/777 | 41,57% |
| BCL | Ténérife | 145/354 | 40,96% |
| Eurocup | Nanterre | 154/380 | 40,53% |
| Euroleague | Barcelone | 274/687 | 39,88% |
| Eurocup | Ratiopharm Ulm | 97/249 | 38,96% |
En ce qui concerne le « flop 3 », il est tout d’abord intéressant de noter que la hiérarchie dessinée est des plus parlantes : les trois clubs d’Euroleague les moins adroits devancent les trois clubs d’Eurocup dans la même situation qui eux-mêmes précèdent ceux de BCL…
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/antoine-diot-asvel-f-el.jpg\")
Du reste, avec un club le moins adroit à trois-points tournant tout de même à 34,62 % comme le Khimki Moscou, difficile de parler de « flop » pour l’Euroleague. Même en étant moins bons dans cet exercice que leurs concurrents en coupe d’Europe, les joueurs du Khimki se montrent rentables (rappelons que tirer à 33,3 % à trois-points équivaut en termes de rentabilité à une adresse de 50 % à deux-points).
En ce qui concerne les trois clubs ayant joué la BCL, on constatera que leur piteux rendement à trois-points a contribué à ce que ces équipes ne passent pas le premier tour de la compétition, le Fortitudo Bologne (auteur d’un horrible 23,44 % à trois-points) ayant même terminé fanny (0 victoire pour 6 défaites) sa campagne européenne.
| Coupe d’Europe | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Euroleague | Maccabi Tel-Aviv | 300/853 | 35,17% |
| Euroleague | Olympiakos | 298/856 | 34,81% |
| Euroleague | Khimki Moscou | 315/910 | 34,62% |
| Eurocup | Brescia | 68/207 | 32,85% |
| Eurocup | Trente | 133/408 | 32,60% |
| Eurocup | Venise | 88/273 | 32,23% |
| BCL | Bakken Bears | 57/185 | 30,81% |
| BCL | Bilbao | 41/142 | 28,87% |
| BCL | Fortitudo Bologne | 30/128 | 23,44% |
Si l’on s’intéresse aux joueurs les plus adroits à trois-points en coupes d’Europe, il faut apporter un modulo en fonction du nombre de matchs joués par chacun. Ainsi, les deux premiers de notre classement, Andrew Andrew (Darussafaka) et Evan Bruinsma (Szombathely) n’ont pu jouer que 6 matchs. Ce qui n’empêche, par ailleurs, que leur pourcentage de réussite au-dessus de 60 % reste remarquable.
Mais, en tenant compte de ce modulo, les 58,59 % à trois-points de Kyle Kuric (Barcelone) en Euroleague nous semblent encore plus remarquables. D’autant qu’il a encore élevé son niveau d’adresse en play-offs, tournant à 8/12 (66,67 % !) sur cinq matchs contre le Zenit Saint-Petersburg. Un sacré sniper !
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/andrew-andrews-galatasaray-f-bcl.jpg\")
Motif de satisfaction pour la Jeep Élite, elle place trois de ses ressortissants dans ce « top 3 », dont Antoine Diot (LDLC Asvel) en plus du Canado-Érythréen Johnny Berhanemeskel et de l’Américain Chris Warren (tous deux de Nanterre).
Autre point quelque peu surprenant : aucun des tireurs d’élite de ces trois coupes d’Europe ne figure dans le « top 3 » de leur championnat domestique, se montrant le plus souvent plus adroit au niveau européen que national. Certains se subliment face à une plus forte adversité, le signe des champions…
| Coupe d’Europe | Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| BCL | Andrew Andrews | Darussafaka | 15/24 | 62,50% |
| BCL | Evan Bruinsma | Szombathely | 13/21 | 61,90% |
| Euroleague | Kyle Kuric | Barcelone | 58/99 | 58,59% |
| BCL | RJ Hunter | Galatasaray | 16/28 | 57,10% |
| Eurocup | Tim Abromaitis | Malaga | 24/44 | 54,55% |
| Euroleague | Luigi Datome | Milan | 43/81 | 53,09% |
| Eurocup | Johnny Berhanemeskel | Nanterre | 27/51 | 52,94% |
| Eurocup | Chris Warren | Nanterre | 40/76 | 52,63% |
| Euroleague | Antoine Diot | Asvel | 42/80 | 52,50% |
À l’autre bout du classement, le « flop 3 » des trois coupes d’Europe trouve à sa tête un nom bien connu sur le continent, celui de Vassilis Spanoulis. S’il n’a jamais été un grand spécialiste de l’exercice (32,1 % d’adresse à trois-points en 15 campagnes d’Euroleague), l’historique international grec semble toutefois atteint par le poids des ans, lui qui fêtera ses 39 ans en août.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/tim-abromaitis2-unicaja-malaga-photo-nanterre-claire-macel-ec20.jpg\")
Par ailleurs, on ne peut que déplorer le terrible pourcentage de « réussite » des cinq derniers de ce classement, en-dessous de 15 %. Ces cinq joueurs ont peu tenté leur chance à trois-points (mais tout de même au moins deux fois par match, minimum pour figurer dans ces statistiques), mais avec une adresse catastrophique. Et, malheureusement pour lui, Hugo Benitez, le jeune meneur de la JL Bourg, figure dans ce quintette, avec un moche 4/31 (12,90 %…). Il faut dire qu’il semble cette saison peu à l’aise dans l’exercice, ne tentant en Jeep Élite que 1,3 shoot de loin pour 23,8 % de réussite, lui qui la saison passée tournait à 47,2 % dans la même discipline, mais sur un faible volume de tentatives (0,9 par match).
| Coupe d’Europe | Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Euroleague | Vassilis Spanoulis | Olympiakos | 34/120 | 28,33% |
| Euroleague | Aaron Harrison | Olympiakos | 25/94 | 26,60% |
| Eurocup | Rashawn Thomas | Partizan Belgrade | 8/32 | 25,00% |
| Eurocup | Rade Zagorac | Partizan Belgrade | 9/37 | 24,32% |
| Euroleague | Jordan Mickey | Khimki Moscou | 17/71 | 23,94% |
| BCL | Xabi Rabaseda | Burgos | 4/29 | 13,80% |
| BCL | Dovis Bickauskis | Rytas Vilnius | 2/15 | 13,30% |
| Eurocup | Hugo Benitez | Bourg-en-Bresse | 4/31 | 12,90% |
| BCL | Gherardo Sabatini | Fortitudo Bologne | 2/18 | 11,10% |
| BCL | Arnoldas Kulbolka | Bilbao | 3/27 | 11,10% |
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[armelse]
Après avoir fait le tour des championnats français professionnels (et Espoir), nous poursuivons aujourd’hui notre étude sur l’adresse derrière la ligne à trois-points en Europe, en faisant en sorte également de mesurer la place de la Jeep Élite dans le concert européen.
Nous nous sommes intéressés dans un premier temps aux principaux championnats domestiques européens : BBL allemande, Liga ACB espagnole, Serie A italienne, BSL turque, Ligue Adriatique (ou ABA) regroupant des clubs de pays de l’ex-Yougoslavie et VTB League (qui réunit des clubs russes, polonais, kazakh et biélorusse).
Dans un second temps, nous avons également pris en compte les statistiques à trois-points (relevés effectués les 8 et 9 mai, comme pour les divers championnats domestiques) des trois principales coupes d’Europe, à savoir l’Euroleague, l’Eurocup et la BCL.
Notre première analyse porte sur la comparaison des championnats domestiques majeurs en Europe. En cherchant à mettre en lumière deux types d’informations : quelle compétition parmi les sept étudiées propose la meilleure adresse à trois-points et quelles sont celles où il y a le plus grand nombre de tentatives de tir lointain par match.
Sur le premier point, deux championnats sortent du lot, la VTB League et la BBL allemande, les seuls dont l’ensemble des clubs shoote à plus de 37 % à trois-points. Un chiffre élevé en comparaison de ceux des autres compétitions domestiques, qui se tiennent dans un mouchoir de poche :
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", "comment_id":"551498", "plaintext":"Photo d’ouverture : Kyle Kuric – Barcelone (Photo : Euroleague)\n\nAprès nous être intéressé aux lancers francs (voir ICI), nous nous sommes penchés sur l’art du shoot à trois-points. Depuis son introduction dans les compétitions FIBA en 1984 (1979 pour la NBA), le tir de loin a pris une importance croissante dans le jeu, au point de devenir l’arme majeure de certaines équipes. Nous nous sommes donc posé la question : quels sont les championnats, les équipes et les joueurs les plus efficaces dans ce domaine. D’où cette étude en deux parties, avec la France hier (voir ICI), l’Europe aujourd’hui.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nAprès avoir fait le tour des championnats français professionnels (et Espoir), nous poursuivons aujourd’hui notre étude sur l’adresse derrière la ligne à trois-points en Europe, en faisant en sorte également de mesurer la place de la Jeep Élite dans le concert européen.\n\nNous nous sommes intéressés dans un premier temps aux principaux championnats domestiques européens : BBL allemande, Liga ACB espagnole, Serie A italienne, BSL turque, Ligue Adriatique (ou ABA) regroupant des clubs de pays de l’ex-Yougoslavie et VTB League (qui réunit des clubs russes, polonais, kazakh et biélorusse).\n\nDans un second temps, nous avons également pris en compte les statistiques à trois-points (relevés effectués les 8 et 9 mai, comme pour les divers championnats domestiques) des trois principales coupes d’Europe, à savoir l’Euroleague, l’Eurocup et la BCL.\n\nQuel est le championnat domestique européen avec le meilleur pourcentage aux tirs à trois-points ?\n\nNotre première analyse porte sur la comparaison des championnats domestiques majeurs en Europe. En cherchant à mettre en lumière deux types d’informations : quelle compétition parmi les sept étudiées propose la meilleure adresse à trois-points et quelles sont celles où il y a le plus grand nombre de tentatives de tir lointain par match.\n\nSur le premier point, deux championnats sortent du lot, la VTB League et la BBL allemande, les seuls dont l’ensemble des clubs shoote à plus de 37 % à trois-points. Un chiffre élevé en comparaison de ceux des autres compétitions domestiques, qui se tiennent dans un mouchoir de poche : entre la Liga ACB espagnole et la Serie A italienne, il n’y a même pas 0,6 % d’écart. Et où se situe la France, avec la Jeep Élite, dans ce concert européen ? Pile au milieu du classement, à la 4e position. Avec 36,47 % de réussite aux tirs à trois-points, elle fait presqu’aussi bien que la Liga ACB (-0,02 %, l’équivalent d’une vingtaine de tirs sur plus de 9 300 tentés) et notablement mieux que le trio de queue, qui se situe autour des 36 %.\n\nSi l’on se base sur les résultats en coupes d’Europe des clubs issus de ces championnats, on peut considérer que la hiérarchie de ces compétitions domestiques est la suivante : Espagne, Turquie, VTB League, France, Italie, Allemagne, Ligue Adriatique. Ce qui permet de constater qu’il n’y a pas forcément un lien direct entre puissance d’une ligue et adresse à trois-points de ses clubs, la BBL allemande étant en fin de hiérarchie tout en figurant parmi les ligues les plus adroites, au contraire du fort championnat turc, moins précis dans l’exercice du shoot lointain que la plupart de ses homologues.\n\nDeuxième point, les tentatives par match. On constate que l’Italie et l’Allemagne, de loin les pays où l’on tente le plus de tirs à trois-points à chaque rencontre (pratiquement un tir de plus par match que le troisème et presque 3 sur le championnat où l’on tire le moins à trois-points), figurent aux deux extrémités du classement : la BBL allemande regroupe des clubs globalement très adroits, à l’opposé des clubs de Serie A italienne. Quant à la Jeep Élite, elle se classe bonne dernière dans ce domaine, ses clubs tentant 0,7 tir à trois-poins de moins que son plus proche prédécesseur, la Ligue ABA.\n\nAutre constatation : le nombre de tentatives par match n’influe pas sur le taux de réussite. Les clubs de VTB League prennent plutôt peu de tirs à trois-point alors que ceux de la BBL allemande en tentent beaucoup et figurent pourtant aux deux premières places en matière d’adresse.\n\nChampionnatMatchs joués3P réussis3P tentésMoyenneTentatives par matchVTB League23,852846762137,34%24,58Allemagne32,8957541545837,22%26,11Espagne32,6356891559136,49%25,15Jeep Elite22,333403933036,47%23,21Ligue ABA24,312945814236,17%23,92Turquie29,541951165835,98%24,70Italie27,0738081060635,90%26,12\n\nQuels sont les clubs européens les plus (et les moins) en réussite dans cet exercice ?\n\nPour chaque compétition domestique, nous avons constitué un « top 3 » (les trois meilleurs clubs au pourcentage de réussite à trois-points) et un « flop 3 » (les trois clubs les moins adroits). Nous avons ensuite établi un classement de ces trios toutes compétitions confondues.\n\nPour en arriver à un paradoxe : alors que la Serie A italienne est le championnat le moins adroit à trois-points de notre étude, c’est un club y évoluant, Milan, qui présente la meilleure moyenne de tous les clubs, avec 43,10 %. Qui plus est, l’écart avec son premier poursuivant, le Ratiopharm Ulm allemand, est conséquent : 0,5 %.\n\nOn remarquera également que si la VTB League est globalement très adroite à trois-points, c’est plus parce que l’ensemble des clubs y évoluant présente un taux de réussite intéressant que parce qu’un ou plusieurs clubs se distingueraient dans l’exercice. Ainsi, le CSKA Moscou, club le plus adroit à trois-points de VTB League (40,06 %) ne figure qu’à la 11e place (sur 21) de notre classement.\n\nQuant aux clubs français, hormis LDLC Asvel 7e, aucun ne figure dans le premier tiers de la liste, mais les deux autres équipes de Jeep Élite les plus adroites à trois-points sont installées dans le deuxième tiers. En résumé, on peut donc dire que les clubs français les plus précis dans ce secteur de jeu sont très concurrentiels en Europe, sur cet aspect spécifique.\n\nPaysClubTrois-points réussis/tentésMoyenneItalieOlimpia Milan286/66343,10%AllemagneRatiopharm Ulm351/82442,60%EspagneBarcelone290/68942,10%AllemagneOldenburg378/89942,00%EspagneTénérife333/79641,80%ItalieSassari272/65641,50%FranceVilleurbanne215/51341,50%Ligue AdriatiqueEtoile Rouge294/70941,47%Ligue AdriatiqueCedevita Olimpija Ljubljana288/71840,11%EspagneValence336/83740,10%VTB LeagueCSKA Moscou248/61940,06%FranceBoulogne-Levallois219/54840,00%FranceBourg-en-Bresse248/62339,80%TurquieFenerbahce297/74939,65%TurquieGalatasaray279/70539,57%TurquieTofas239/60439,57%VTB LeagueZenit St-Petersbourg238/60539,34%AllemagneCrailsheim361/93938,40%VTB LeagueZielona Gora242/63138,35%Ligue AdriatiqueIgokea217/58037,41%ItalieVenise285/76737,20%\n\nLa remarque que nous faisions au sujet de l’homogénéité de la VTB League en matière d’adresse à trois-points est confirmée par l’examen du classement des équipes figurant dans le « flop 3 » de chaque championnat. Deux clubs du championnat de l’Est, de grosses écuries qui plus est, peuvent ainsi être considérées comme les « moins mauvaises » de notre étude, suivis par deux clubs allemands, ce qui là encore explique l’excellente adresse globale de la BBL.\n\nTout en bas de ce classement, on retrouve un club turc, Ormanspor, et un tout petit peu au-dessus la surprise Nanterre. Surprise dans le sens où le club des Hauts-de-Seine a plutôt figuré dans les meilleures équipes de Jeep Élite ces dernières années que dans les moins adroites à trois-points. Et l’on verra plus loin à quel point Nanterre est surprenant, se hissant parmi les clubs les plus adroits de loin dans les coupes d’Europe… Il nous faut avouer avoir renoncé à trouver une explication rationnelle à ce phénomène…\n\nPaysClubTrois-points réussis/tentésMoyenneVTB LeagueLokomotiv Kuban173/48635,60%VTB LeagueKhimki Moscou213/61034,92%AllemagneWurzburg252/72334,90%AllemagneVechta299/86034,80%ItalieFortitudo Bologne212/61834,30%ItalieTrévise251/73334,2%Ligue AdriatiqueZadar156/45834,06%AllemagneMBC311/91534,00%VTB LeagueTsmoki-Minsk189/56133,69%Ligue AdriatiqueFMP Belgrade210/62533,60%FranceChampagne Basket167/50333,20%TurquieGaziantep251/76232,94%FranceLe Portel180/54932,80%TurquieBesiktas217/66332,73%EspagneSéville246/75932,41%EspagneSan Sebastian275/85432,20%ItalieBrindisi231/71932,13%EspagneFuenlabrada232/72332,10%Ligue AdriatiqueBorac224/70231,91%FranceNanterre165/53031,10%TurquieOrmanspor210/68030,88%\n\nQuels sont les joueurs les plus (et les moins) en réussite en Europe ?\n\nComme pour les clubs, nous avons établi des « top 3 » et « flop 3 » des joueurs évoluant dans les championnats étudiés. Le plus adroit est, et de loin, le Serbe évoluant dans le club bosnien d’Igokea Marko Josilo. Son remarquable pourcentage de 57,83 % (sur 83 tentatives) le place 1,3 % devant son plus proche poursuivant, l’Italien du CSKA Moscou Daniel Hackett.\n\nOn appréciera par ailleurs de voir sur le podium des joueurs les plus adroits en compétitions domestiques un Américain évoluant en Jeep Élite, Lamonte Ulmer (Orléans). Et pas bien loin derrière arrive Guerschon Yabusele (LDLC Asvel), qui figure en bonne compagnie, précédant notamment de peu Adrien Moerman (Anadolu Efes).\n\nOn remarquera par ailleurs que les 15 meilleurs shooteurs de loin de ce classement dépassent les 50 % dans l’exercice, alors que le « moins bon » tourne quand même à 48,40 %.\n\nPaysJoueurClubTrois-points réussis/tentésMoyenneLigue AdriatiqueMarko JosiloIgokea48/8357,83%VTB LeagueDaniel HackettCSKA Moscou26/4656,52%FranceLamonte UlmerOrléans30/5554,50%EspagneAdam HangaBarcelone33/6154,10%Ligue AdriatiqueBranko LazicÉtoile Rouge30/5653,57%FranceGuerschon YabuseleVilleurbanne28/5352,80%VTB LeagueJordan MickeyKhimki20/3852,63%TurquieAdrien MoermanAnadolu Efes41/7852,56%ItalieAustin DayeVenise45/8652,30%AllemagneKeith HornsbyOldenburg79/15152,30%Ligue AdriatiqueLuka RupnikCedevita Olimpija Ljubljana23/4452,27%FranceHans VanwijnDijon27/5251,90%AllemagneAndeas ObstRatiopharm Ulm86/16950,90%VTB LeagueIvan UkhovCSKA Moscou36/7150,70%ItalieSergio RodriguezMilan63/12650,00%AllemagneDominic LockhartBamberg62/12549,60%TurquieBrock MotumGalatasaray55/11149,55%TurquieTarik BiberovicFenerbahce31/6349,21%EspagneNikola MiroticBarcelone48/9849,00%ItalieEimantas BendziusSassari76/15648,70%EspagneTomasz GieloAndorre31/6448,40%\n\nÀ l’autre extrémité du spectre, les joueurs figurant dans le « flop 3 » de leur championnat montrent peu d’appétence pour le tir à trois-points, le « moins mauvais » d’entre-eux, Ariel Filloy (Pesaro), tournant à la moyenne de 28,30 %. On notera de manière globable que ce n’est pas parce qu’ils sont peu adroits de loin que ces joueurs rechignent à prendre ce genre de tirs, comme le démontre les 140 tentatives de James Bell (pour 39 réussites, Brindisi) ou les 160 (pour 37 réussites) de Jan Span (San Sebastian).\n\nEt la Jeep Élite ne tirera aucune gloire de voir que le joueur le moins adroit des sept championnats auscultés joue au Portel, Boris Dallo…\n\nPaysJoueurClubTrois-points réussis/tentésMoyenneItalieAriel FilloyPesaro39/13828,30%ItalieJames BellBrindisi39/14027,90%ItalieJeremy ChappellVenise23/8427,40%VTB LeagueMaxim GrigoryevParma15/5527,27%AllemagneBrandon BowmanGiessen22/8127,20%VTB LeagueAndrei StabrouskiTmoki-Minsk11/4325,58%Ligue AdriatiqueVasilije VuceticKrka Novo Mesto12/4725,53%VTB LeagueSergey KarasevKhimki Moscou13/5125,49%FranceRémi LescaPau-Lacq-Orthez18/7125,40%AllemagneKyndhal HillMBC19/7625,00%Ligue AdriatiqueDomagoj VukovicZadar17/6825,00%TurquieSehmus HazerBesiktas24/9724,74%FranceMehdy NgouamaLe Portel16/6524,60%TurquieCevher OzerOrmanspor24/9824,49%Ligue AdriatiqueMilenko TepicMega Soccerbet17/7024,29%AllemagneStefan PenoVechta16/6624,20%EspagneBandja SyAndorre13/5424,10%EspagneOriol PauliAndorre16/6723,90%EspagneJan SpanSan Sebastian37/16023,10%TurquieIsmail Cem UlusoyGaziantep20/9421,28%FranceBoris DalloLe Portel17/8121,00%\n\nQuelle est la coupe d’Europe avec le meilleur pourcentage aux tirs à trois-points ?\n\nAprès les compétitions domestiques, nous nous sommes intéressés aux trois principales coupes d’Europe sans, cette fois, calculer le nombre de tentatives par match, les équipes d’Eurocup comme celles de BCL ayant joué un nombre de matchs différent. On notera juste qu’avec 23,88 tentatives par match, l’Euroleague voit les clubs y évoluant tirer globalement moins souvent à trois-points que dans leur championnat national.\n\nIl est par ailleurs intéressant de noter que l’Euroleague, sans conteste la plus forte des trois coupes d’Europe, est aussi celle où l’adresse à trois-points est la meilleure, avec un pourcentage global plus élevé que dans le championnat domestique le plus adroit, la VTB League. Ce qui est plutôt logique, l’Euroleague regroupant pratiquement les meilleurs clubs d’Europe.\n\nDerrière, si l’on peut considérer que le niveau général de l’Eurocup et de la BCL est identique, la présence au premier tour de la seconde de ces coupes d’Europe d’équipes de niveau moyen se traduit par une moyenne générale à trois-points assez nettement inférieure (-0,9 % par rapport à l’Eurocup, -2,44 % par rapport à l’Euroleague).\n\nCoupeMatchs joués3P réussis3P tentésMoyenneEuroleague3455331461237,87%Eurocup10 à 243336918236,33%BCL6 à 152682757035,43%\n\nQuels sont les clubs jouant une coupe d’Europe les plus (et les moins) en réussite dans cet exercice ?\n\nÀ la lumière de ce que nous venons d’énoncer dans notre précédente question, l’on aurait pu déduire que les clubs les plus adroits à trois-points se retrouvaient forcément en Euroleague. Ce qui n’est pas le cas. C’est en effet un club ayant joué la BCL, Galatasaray, qui figure en tête du classement. Avec une nuance importante : n’ayant joué que 6 matchs, le club turc n’a logiquement pas tenté un grand nombre de tirs à trois-points (21,83 par match en moyenne).\n\nLes clubs qui suivent Galatasaray dans la hiérarchie que nous avons établie figurent à distance respectable, à pratiquement 3 % de moins de réussite moyenne. Mais sur des volumes de tirs bien plus importants.\n\nPlus généralement, on retiendra que 7 des 9 clubs figurant dans ces « top 3 » dépassent la barre des 40 %, ce qui est plutôt remarquable. Plus surprenant encore, le dernier de ces clubs à plus de 40 % est Nanterre, avec 40,53 %, alors que le même club est bonnet d’âne de la Jeep Élite avec un piteux 31,10 % dans le même exercice. Allez comprendre…\n\nOn notera également que Galatasaray, Ulm, Milan, Ténérife et Barcelone figurent dans nos « top 3 », à la fois dans leur championnat national et dans la coupe d’Europe qu’ils ont jouée. Outre « l’intrus » Nanterre, seul Nizhny Novgorod ne figure pas dans le « top 3 » de son championnat, la VTB League.\n\nCoupe d’EuropeClubTrois-points réussis/tentésMoyenneBCLGalatasaray59/13145,04%EuroleagueZalgiris Kaunas287/68142,14%EurocupMalaga186/44242,08%BCLNizhny Novgorod137/32642,02%EuroleagueMilan323/77741,57%BCLTénérife145/35440,96%EurocupNanterre154/38040,53%EuroleagueBarcelone274/68739,88%EurocupRatiopharm Ulm97/24938,96%\n\nEn ce qui concerne le « flop 3 », il est tout d’abord intéressant de noter que la hiérarchie dessinée est des plus parlantes : les trois clubs d’Euroleague les moins adroits devancent les trois clubs d’Eurocup dans la même situation qui eux-mêmes précèdent ceux de BCL…\n\nDu reste, avec un club le moins adroit à trois-points tournant tout de même à 34,62 % comme le Khimki Moscou, difficile de parler de « flop » pour l’Euroleague. Même en étant moins bons dans cet exercice que leurs concurrents en coupe d’Europe, les joueurs du Khimki se montrent rentables (rappelons que tirer à 33,3 % à trois-points équivaut en termes de rentabilité à une adresse de 50 % à deux-points).\n\nEn ce qui concerne les trois clubs ayant joué la BCL, on constatera que leur piteux rendement à trois-points a contribué à ce que ces équipes ne passent pas le premier tour de la compétition, le Fortitudo Bologne (auteur d’un horrible 23,44 % à trois-points) ayant même terminé fanny (0 victoire pour 6 défaites) sa campagne européenne.\n\nCoupe d’EuropeClubTrois-points réussis/tentésMoyenneEuroleagueMaccabi Tel-Aviv300/85335,17%EuroleagueOlympiakos298/85634,81%EuroleagueKhimki Moscou315/91034,62%EurocupBrescia68/20732,85%EurocupTrente133/40832,60%EurocupVenise88/27332,23%BCLBakken Bears57/18530,81%BCLBilbao41/14228,87%BCLFortitudo Bologne30/12823,44%\n\nQuels sont les joueurs les plus (et les moins) en réussite des coupes d’Europe ?\n\nSi l’on s’intéresse aux joueurs les plus adroits à trois-points en coupes d’Europe, il faut apporter un modulo en fonction du nombre de matchs joués par chacun. Ainsi, les deux premiers de notre classement, Andrew Andrew (Darussafaka) et Evan Bruinsma (Szombathely) n’ont pu jouer que 6 matchs. Ce qui n’empêche, par ailleurs, que leur pourcentage de réussite au-dessus de 60 % reste remarquable.\n\nMais, en tenant compte de ce modulo, les 58,59 % à trois-points de Kyle Kuric (Barcelone) en Euroleague nous semblent encore plus remarquables. D’autant qu’il a encore élevé son niveau d’adresse en play-offs, tournant à 8/12 (66,67 % !) sur cinq matchs contre le Zenit Saint-Petersburg. Un sacré sniper !\n\nMotif de satisfaction pour la Jeep Élite, elle place trois de ses ressortissants dans ce « top 3 », dont Antoine Diot (LDLC Asvel) en plus du Canado-Érythréen Johnny Berhanemeskel et de l’Américain Chris Warren (tous deux de Nanterre).\n\nAutre point quelque peu surprenant : aucun des tireurs d’élite de ces trois coupes d’Europe ne figure dans le « top 3 » de leur championnat domestique, se montrant le plus souvent plus adroit au niveau européen que national. Certains se subliment face à une plus forte adversité, le signe des champions…\n\nCoupe d’EuropeJoueurClubTrois-points réussis/tentésMoyenneBCLAndrew AndrewsDarussafaka15/2462,50%BCLEvan BruinsmaSzombathely13/2161,90%EuroleagueKyle KuricBarcelone58/9958,59%BCLRJ HunterGalatasaray16/2857,10%EurocupTim AbromaitisMalaga24/4454,55%EuroleagueLuigi DatomeMilan43/8153,09%EurocupJohnny BerhanemeskelNanterre27/5152,94%EurocupChris WarrenNanterre40/7652,63%EuroleagueAntoine DiotAsvel42/8052,50%\n\nÀ l’autre bout du classement, le « flop 3 » des trois coupes d’Europe trouve à sa tête un nom bien connu sur le continent, celui de Vassilis Spanoulis. S’il n’a jamais été un grand spécialiste de l’exercice (32,1 % d’adresse à trois-points en 15 campagnes d’Euroleague), l’historique international grec semble toutefois atteint par le poids des ans, lui qui fêtera ses 39 ans en août.\n\nPar ailleurs, on ne peut que déplorer le terrible pourcentage de « réussite » des cinq derniers de ce classement, en-dessous de 15 %. Ces cinq joueurs ont peu tenté leur chance à trois-points (mais tout de même au moins deux fois par match, minimum pour figurer dans ces statistiques), mais avec une adresse catastrophique. Et, malheureusement pour lui, Hugo Benitez, le jeune meneur de la JL Bourg, figure dans ce quintette, avec un moche 4/31 (12,90 %…). Il faut dire qu’il semble cette saison peu à l’aise dans l’exercice, ne tentant en Jeep Élite que 1,3 shoot de loin pour 23,8 % de réussite, lui qui la saison passée tournait à 47,2 % dans la même discipline, mais sur un faible volume de tentatives (0,9 par match).\n\nCoupe d’EuropeJoueurClubTrois-points réussis/tentésMoyenneEuroleagueVassilis SpanoulisOlympiakos34/12028,33%EuroleagueAaron HarrisonOlympiakos25/9426,60%EurocupRashawn ThomasPartizan Belgrade8/3225,00%EurocupRade ZagoracPartizan Belgrade9/3724,32%EuroleagueJordan MickeyKhimki Moscou17/7123,94%BCLXabi RabasedaBurgos4/2913,80%BCLDovis BickauskisRytas Vilnius2/1513,30%EurocupHugo BenitezBourg-en-Bresse4/3112,90%BCLGherardo SabatiniFortitudo Bologne2/1811,10%BCLArnoldas KulbolkaBilbao3/2711,10%\n\n–\n\nx\n\n[armelse]\n\nAprès avoir fait le tour des championnats français professionnels (et Espoir), nous poursuivons aujourd’hui notre étude sur l’adresse derrière la ligne à trois-points en Europe, en faisant en sorte également de mesurer la place de la Jeep Élite dans le concert européen.\n\nNous nous sommes intéressés dans un premier temps aux principaux championnats domestiques européens : BBL allemande, Liga ACB espagnole, Serie A italienne, BSL turque, Ligue Adriatique (ou ABA) regroupant des clubs de pays de l’ex-Yougoslavie et VTB League (qui réunit des clubs russes, polonais, kazakh et biélorusse).\n\nDans un second temps, nous avons également pris en compte les statistiques à trois-points (relevés effectués les 8 et 9 mai, comme pour les divers championnats domestiques) des trois principales coupes d’Europe, à savoir l’Euroleague, l’Eurocup et la BCL.\n\nQuel est le championnat domestique européen avec le meilleur pourcentage aux tirs à trois-points ?\n\nNotre première analyse porte sur la comparaison des championnats domestiques majeurs en Europe. En cherchant à mettre en lumière deux types d’informations : quelle compétition parmi les sept étudiées propose la meilleure adresse à trois-points et quelles sont celles où il y a le plus grand nombre de tentatives de tir lointain par match.\n\nSur le premier point, deux championnats sortent du lot, la VTB League et la BBL allemande, les seuls dont l’ensemble des clubs shoote à plus de 37 % à trois-points. Un chiffre élevé en comparaison de ceux des autres compétitions domestiques, qui se tiennent dans un mouchoir de poche :\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/kyle-kuric-barcelone-f-el.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-31T05:00:00.000Z", "updated_at":"2021-12-08T14:58:34.000Z", "published_at":"2021-08-31T05:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Photo d’ouverture : Kyle Kuric – Barcelone (Photo : Euroleague) Après nous être intéressé aux lancers francs (voir ICI), nous nous sommes penchés sur l’art du shoot à trois-points. 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Certaines équipes doivent limiter le nombre de spectateurs en terme de pourcentage et d’autres en nombre. C’est Armani Milan qui a les conditions les plus draconiennes avec 35% de la capacité de la salle, suivis par les trois clubs espagnols, Vitoria, Barcelone et Madrid à 40%. Monaco, qui n’est pas régit par la réglementation française est à 70%.
« Le Maccabi Playtika Tel Aviv semble être à l’avant-garde de la vague de retour à la normale. Le club israélien a déjà vendu 9 500 abonnements de saison et s’attend à ce que les 500 restants disparaissent également bientôt, » précise le site lituanien.
Photo : Astroballe (ASVEL)
", "comment_id":"563449", "plaintext":"Suivant une étude réalisée par le site Basketnews, Villeurbanne serait l’un des trois seuls clubs d’Euroleague, avec le Maccabi Tel-Aviv et le Zalgiris Kaunas, à pouvoir bénéficier d’une jauge à 100%, sachant que les directives peuvent changer d’ici l’ouverture de la saison.\n\nCertaines équipes doivent limiter le nombre de spectateurs en terme de pourcentage et d’autres en nombre. C’est Armani Milan qui a les conditions les plus draconiennes avec 35% de la capacité de la salle, suivis par les trois clubs espagnols, Vitoria, Barcelone et Madrid à 40%. Monaco, qui n’est pas régit par la réglementation française est à 70%.\n\n« Le Maccabi Playtika Tel Aviv semble être à l’avant-garde de la vague de retour à la normale. Le club israélien a déjà vendu 9 500 abonnements de saison et s’attend à ce que les 500 restants disparaissent également bientôt, » précise le site lituanien.\n\nPhoto : Astroballe (ASVEL)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2019/02/astroballe-antibes-1_1551187584_optimized-e1551347232429.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-31T04:59:00.000Z", "updated_at":"2021-08-30T19:57:34.000Z", "published_at":"2021-08-31T04:59:00.000Z", "custom_excerpt":"Suivant une étude réalisée par le site Basketnews, Villeurbanne serait l’un des trois seuls clubs d’Euroleague, avec le Maccabi Tel-Aviv et le Zalgiris Kaunas, à pouvoir bénéficier d’une jauge à 100%, sachant que les directives peuvent changer d’ici l’ouverture de la saison.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99efd", "uuid":"f0f58603-9515-4d93-92e7-37711f574217", "title":"LFB : La Bosnienne de Charleville, Marica Gajic, absente jusqu’à huit semaines", "slug":"lfb-la-bosnienne-de-charleville-marica-gajic-absente-jusqua-huit-semaines", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Charleville a engagé l’internationale bosnienne Marica Gajic (1,85m, 26 ans), en provenance de Salamanque, mais celle-ci va être indisponible pour une période pouvant aller jusqu’à huit semaines.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Bosnienne avait été blessée au mollet durant la saison puis lors de l’EuroBasket. Elle avait tourné à 12,3 points et 10,5 rebonds sur trois matches, mais n’avait pu jouer face à la France. Le club a écarté la possibilité d’un remplacement, comme l’indique le coach Romuald Yernaux.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"» Nous savions depuis plusieurs semaines que Marica ne pourrait reprendre l’entraînement à son arrivée. Nous avons la volonté d’être patients avec elle et de tout faire pour l’aider à se remettre rapidement sur pied. Le club souhaite s’inscrire à court et moyen terme avec cette joueuse plutôt que de prendre une décision radicale qui nous aurait amené à changer ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo: FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Charleville a engagé l’internationale bosnienne Marica Gajic (1,85m, 26 ans), en provenance de Salamanque, mais celle-ci va être indisponible pour une période pouvant aller jusqu’à huit semaines.
La Bosnienne avait été blessée au mollet durant la saison puis lors de l’EuroBasket. Elle avait tourné à 12,3 points et 10,5 rebonds sur trois matches, mais n’avait pu jouer face à la France. Le club a écarté la possibilité d’un remplacement, comme l’indique le coach Romuald Yernaux.
» Nous savions depuis plusieurs semaines que Marica ne pourrait reprendre l’entraînement à son arrivée. Nous avons la volonté d’être patients avec elle et de tout faire pour l’aider à se remettre rapidement sur pied. Le club souhaite s’inscrire à court et moyen terme avec cette joueuse plutôt que de prendre une décision radicale qui nous aurait amené à changer ».
Photo: FIBA
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Finalistes des Jeux Olympiques chez les femmes comme chez les hommes, les Russes sont tombés amoureux du 3×3 à Tokyo. Selon Tina Kandelaki, productrice de la chaîne Match TV, le diffuseur sportif russe détenteur des droits olympiques, la finale entre le Comité olympique russe et la Lettonie était l’événement sportif le plus regardé de la quinzaine.
« Plus de 28,6 millions de personnes ont regardé les Jeux Olympiques sur Match TV, et la durée totale de diffusion était de 269 heures. Les sports les plus populaires sont le basketball 3×3, le volleyball, l’athlétisme, la gymnastique artistique et le judo… L’événement le mieux regardé a été la finale de l’équipe nationale masculine de basketball 3×3 contre la Lettonie, recueillant une part d’audiences de 17 % », a-t-elle dévoilé sur Instagram.
Photo : FIBA
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« Les conséquences économiques sont extrêmes. C’est une menace pour l’existence même de très nombreux clubs en Bavière. Des mesures doivent être prises », a déclaré Wolfgang Gastner, directeur général du club de hockey sur glace de première division Nürnberg Ice Tigers.
Le ministre bavarois de l’Intérieur Joachim Herrmann a laissé entendre que la jauge pourrait passer à 5 000 spectateurs et même jusqu’à 50% de la capacité de la salle. La réglementation actuelle en Bavière impose non seulement une exigence de masque FFP2 et une interdiction d’alcool, mais également une distance de 1,5 mètre entre les sièges. Il faudra de plus être vacciné ou présenter des tests négatifs.
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Avec 16 joueurs sur la feuille de match, le Barça a tué le suspense dans l’oeuf: 12-2. Il s’est ensuite détaché à sa guise: 24-10, 43-21 à la mi-temps et 59-25. Il avait alors inscrit 10 triples sur 18 tirs contre 1/10 aux Limougeauds. Le CSP a eu alors une réaction avec un 0-10 partiel (59-35). Mais l’accalmie fut de courte durée. 74-39 et donc 83-47 pour finir.
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Originaire de Huntsville (Alabama), formé à l’université de Villanova avec laquelle il atteint le final four NCAA en 2009, le meneur capitalise une grosse expérience européenne lors des 10 dernières saisons en Italie, Turquie, Grèce, Israël, Russie, ou encore Croatie. En novembre 2019, il se met en valeur à Strasbourg lors de sa première apparition en France (14 matches à 9,9 points, 2,9 rebonds, 6,2 passes pour 14 d’évaluation). Il était la saison dernière au Cibona Zagreb (12,3 points, 2,3 passes et 3,5 interception en 4 matches de ABA League).
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Né à New-York, Alpha Diallo a été formé à l’université de Providence et n’a pas été drafté. Il a obtenu la médaille de bronze aux Jeux Panaméricains avec l’équipe des Etats-Unis en 2019 en se fendant de 15 points, 5,6 rebonds et 1,6 interception.
Il a joué sa première saison en pro à Lavrio, en Grèce, pour 12,9 points, 5,4 rebonds, 2 passes et 1,3 interception par match et disputé la finale des playoffs face au Panathinaikos (défaite 3-1). Reconnu comme un très bon défenseur, il devait signer pour trois saisons au Pana mais le coach Dimitris Priftis a fait volte-face.
« Oui c’est un grand saut, et une très belle progression. J’ai beaucoup à apprendre auprès du coach Zvezdan Mitrovic, et des joueurs confirmés qui ont déjà participé à cette compétition. De mon côté, je mise sur ma jeunesse, ma fougue et mon énergie pour aider l’équipe à atteindre ses objectifs », commente t-il sur le site du club à propos de sa première expérience à venir en Euroleague.
Pour son premier match de préparation, Olympiakos a dominé les Bulgares de Rilski Sportist Samokov, 100-77, et Moustapha Fall (2,18m, 29 ans) a fait forte impression.
Le pivot vice-champion olympique a cumulé 18 points, 7 rebonds et 2 passes décisives. Taylor Dorsey et Sasha Vezenkov ont été les deux autres meilleurs marqueurs de l’équipe du Pirée.
Livio Jean-Charles, retourné en France pour des « problèmes personnels », était absent de ce match.
", "comment_id":"563431", "plaintext":"Pour son premier match de préparation, Olympiakos a dominé les Bulgares de Rilski Sportist Samokov, 100-77, et Moustapha Fall (2,18m, 29 ans) a fait forte impression.\n\nLe pivot vice-champion olympique a cumulé 18 points, 7 rebonds et 2 passes décisives. Taylor Dorsey et Sasha Vezenkov ont été les deux autres meilleurs marqueurs de l’équipe du Pirée.\n\nLivio Jean-Charles, retourné en France pour des « problèmes personnels », était absent de ce match.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/moustapha-fall-1-e1630307532237.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-30T07:12:46.000Z", "updated_at":"2021-08-30T07:12:53.000Z", "published_at":"2021-08-30T07:12:46.000Z", "custom_excerpt":"Pour son premier match de préparation, Olympiakos a dominé les Bulgares de Rilski Sportist Samokov, 100-77, et Moustapha Fall (2,18m, 29 ans) a fait forte impression.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f04", "uuid":"21a45608-0689-4a99-b2f4-9f5ad980037b", "title":"3×3 U18 : Les Etats-Unis triomphent chez les garçons et chez les filles", "slug":"3x3-u18-les-etats-unis-triomphent-chez-les-garcons-et-chez-les-filles", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Les États-Unis prennent le 3×3 au sérieux. 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Espagne\"],[1,[],0,26],[0,[],0,\"3. Hongrie\"],[1,[],0,27],[0,[],0,\"4. Allemagne\"],[1,[],0,28],[0,[],0,\"5. Russie\"],[1,[],0,29],[0,[],0,\"6. Lettonie\"],[1,[],0,30],[0,[],0,\"7. Ukraine\"],[1,[],0,31],[0,[],0,\"8. Estonie\"],[1,[],0,32],[0,[],0,\"9. Biélorussie\"],[1,[],0,33],[0,[],0,\"10. Pays-Bas\"],[1,[],0,34],[0,[],0,\"11. Israël\"],[1,[],0,35],[0,[],0,\"12. Slovénie\"],[1,[],0,36],[0,[],0,\"13. Roumanie\"],[1,[],0,37],[0,[],0,\"14. Égypte\"],[1,[],0,38],[0,[],0,\"15. Mongolie\"],[1,[],0,39],[0,[],0,\"16. Suisse\"],[1,[],0,40],[0,[],0,\"17. Indonésie\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo: FIBA\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Les États-Unis prennent le 3×3 au sérieux. Leurs équipes masculine et féminine ont remporté la Coupe du monde U18, qui a eu lieu à Debrecen, en Hongrie, du 24 au 29 août 2021.
Il s’agit du deuxième doublé après celui réalisé, il y a deux ans, en Mongolie. Les Américains sont restés invaincus durant le tournoi, alors que les Américaines n’ont subi qu’une défaite, face à la Russie en phase de poule.
À seulement 16 ans, Mikaylah Williams a été sensationnelle, menant confortablement le classement des marqueuses -avec 56 points au total, la deuxième s’est contentée 36- et elle s’est vu attribuer le trophée de MVP. Elle a marqué 10 points lors de la victoire contre l’Espagne en finale (21-14).
Chez les hommes, les États-Unis ont remporté tous les matchs avant la limite des 10 minutes. L’Estonie a été la seule équipe à leur avoir résisté lors de son premier match (21-17) et en finale (21-14). Keyonte George a été élu MVP du tournoi.
La France n’était pas qualifiée dans les deux catégories.
Hommes
1. États-Unis
2. Estonie
3. Biélorussie
4. Égypte
5. Ukraine
6. Lituanie
7. République dominicaine
8. Kazakhstan
9. Russie
10. Slovénie
11. Brésil
12. Mongolie
13. Israël
14. Hongrie
15. Allemagne
16. Roumanie
17. Lettonie
18. Indonésie
Femmes
1. États-Unis
2. Espagne
3. Hongrie
4. Allemagne
5. Russie
6. Lettonie
7. Ukraine
8. Estonie
9. Biélorussie
10. Pays-Bas
11. Israël
12. Slovénie
13. Roumanie
14. Égypte
15. Mongolie
16. Suisse
17. Indonésie
Photo: FIBA
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| Jeep Élite | 22,33 | 3403 | 9330 | 36,47% | 23,21 |
| Pro B | 23,11 | 3494 | 10046 | 34,78% | 24,15 |
| LFB | 22,5 | 1669 | 5279 | 31,62% | 19,55 |
| Espoirs | 15,22 | 1774 | 6063 | 29,26% | 22,13 |
| Matchs joués | 3P réussis | 3P tentés | Moyenne | Tentatives/match | |
| 2020-21 | 22,33 | 3403 | 9330 | 36,47% | 23,21 |
| 2019-20 | 24,89 | 3884 | 10299 | 37,71% | 22,99 |
| 2018-19 | 34 | 4969 | 13658 | 36,38% | 22,32 |
| 2017-18 | 34 | 4965 | 13913 | 35,69% | 22,73 |
| 2016-17 | 34 | 4811 | 13536 | 35,54% | 22,12 |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Asvel | 215/513 | 41,50% |
| Metropolitans 92 | 219/548 | 40,00% |
| Bourg-en-Bresse | 248/623 | 39,80% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Champagne Basket | 167/503 | 33,20% |
| Le Portel | 180/549 | 32,80% |
| Nanterre | 165/530 | 31,10% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Fos/Mer | 233/586 | 39,80% |
| Vichy-Clermont | 207/535 | 38,70% |
| Nancy | 217/582 | 37,30% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Aix-Maurienne | 153/479 | 31,90% |
| Denain | 169/557 | 30,30% |
| Antibes | 151/512 | 29,50% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Bourges | 128/357 | 35,85% |
| Montpellier | 181/542 | 33,39% |
| Villeurbanne | 151/453 | 33,33% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Villeneuve d’Ascq | 137/459 | 29,85% |
| Roche Vendée | 139/467 | 29,76% |
| Charnay | 117/415 | 28,19% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Dijon | 88/260 | 33,80% |
| Orléans | 114/344 | 33,10% |
| Strasbourg | 141/429 | 32,90% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Chalon/Saône | 92/349 | 26,40% |
| Limoges | 76/308 | 24,70% |
| Boulazac | 65/306 | 21,20% |
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Lamonte Ulmer | Orléans | 30/55 | 54,50% |
| Guerschon Yabusele | Villeurbanne | 28/53 | 52,80% |
| Hans Vanwijn | Dijon | 27/52 | 51,90% |
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Rémi Lesca | Pau-Lacq-Orthez | 18/71 | 25,40% |
| Mehdy Ngouama | Le Portel | 16/65 | 24,60% |
| Boris Dallo | Le Portel | 17/81 | 21,00% |
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| James Washington | Vichy-Clermont | 18/34 | 52,90% |
| Abdoulaye Mbaye | Poitiers | 24/46 | 52,20% |
| Yunio Barrueta | Évreux | 40/85 | 46,90% |
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Josip Bilinovac | Quimper | 9/41 | 22,00% |
| Matthieu Missonnier | Denain | 12/55 | 21,80% |
| Zimmy Nwogbo | Rouen | 5/35 | 14,30% |
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Margaux Galliou-Loko | Tarbes | 47/101 | 46,50% |
| Diandra Tchatchouang | Montpellier | 23/50 | 46,00% |
| Marine Johannès | Villeurbanne | 34/77 | 44,16% |
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Sarah Michel | Bourges | 8/39 | 20,51% |
| Yvonne Turner | Charleville | 5/35 | 14,30% |
| Marie Pardon | Tarbes | 8/59 | 13,56% |
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Mathis Vaudelin | Chalon | 12/23 | 52,20% |
| Alexander Doyle | Cholet | 15/32 | 46,90% |
| Thomas Duchêne | CCRB | 22/48 | 45,80% |
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Wesley Ouatango | Roanne | 3/20 | 15,00% |
| Thibault Trouillaut | Boulazac | 4/31 | 12,90% |
| Tine Kotnik | Boulazac | 3/27 | 11,10% |
Photo d’ouverture : James Washington – Vichy-Clermont (Photo : Alain Chenevière-JA VCM)
Après nous être intéressé aux lancers francs (voir ICI pour le dernier article du dossier, où figurent les liens pour les deux premières parties), nous nous sommes penchés sur l’art du shoot à trois-points. Depuis son introduction dans les compétitions FIBA en 1984 (1979 pour la NBA), le tir de loin a pris une importance croissante dans le jeu, au point de devenir l’arme majeure de certaines équipes. Nous nous sommes donc posé la question : quels sont les championnats, les équipes et les joueurs les plus efficaces dans ce domaine. D’où cette étude en deux parties, avec la France aujourd’hui, l’Europe demain.
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D’abord installée, pour les compétitions régies par la FIBA, à 6,25 m du panier en 1984, la ligne du tir à trois-points est passée en 2010 (pour les compétitions internationales, 2012 pour les championnats domestiques) à 6,75 m (elle est toujours à 7,23 m en NBA). Ce qui n’a pas empêché le tir longue distance de prendre de plus en plus d’importance dans le jeu de nombreuses équipes, aussi bien de clubs que de sélections nationales. Ce qui est assez logique : alors qu’il n’est pas forcément évident d’atteindre les 50 % de réussite aux tirs à deux-points, il est plus facile (pour des joueurs de haut niveau s’entend) d’arriver à 33,3 % de réussite à trois-points, pour un résultat équivalent : réussir 3 tirs sur 6 à deux-points rapporte 6 points, tout comme 2 tirs sur 6 à trois-points.
Nous nous sommes donc intéressés à ce domaine un peu particulier, qui tend toutefois à se populariser puisque de nos jours, même les pivots tentent de plus en plus souvent leur chance à trois-points. Nous avons voulu discerner quels étaient les championnats où l’adresse à trois-points était la plus importante, comment cette adresse avait évolué au fil du temps en Jeep Élite, quels étaient les meilleurs (et moins bons) clubs et joueurs ou joueuses dans l’exercice.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/hans-vanwijn-dijon-bcl.jpg\")
Il est à noter que les statistiques utilisées dans ce dossier ont été arrêtées au 9 mai et peuvent donc avoir légèrement évolué depuis.
Tout d’abord, est-ce que le niveau de jeu a une influence sur la réussite à trois-points ? Le tableau ci-dessous apporte une réponse ferme : oui. Même s’ils tirent un peu moins à longue distance qu’en Pro B, les joueurs de Jeep Élite sont les plus adroits en France dans cet exercice, avec une réussite très correcte de 36,47 %. De leur côté, les féminines de la LFB se révèlent moins adroites que leurs homologues masculins, la différence de force physique (en moyenne) faisant son œuvre. Du coup, les joueuses de LFB tentent nettement moins souvent leur chance à longue distance que les garçons, prenant globalement 3 ou 4 tirs de moins à trois-points que les joueurs de Jeep Élite et de Pro B. Enfin, les Espoirs n’hésitent pas particulièrement à shooter de loin, mais avec un taux de réussite très faible, inférieur à 30 %. Ce qui est à mettre sur le compte d’une maturité physique et technique pas encore totale chez des jeunes gens ayant entre 16 et 21 ans pour la plupart. Cela étant, le niveau global d’adresse à trois-points du championnat Espoirs n’est pas brillant.
| Matchs joués | 3P réussis | 3P tentés | Moyenne | Tentatives/match | |
| Jeep Élite | 22,33 | 3403 | 9330 | 36,47% | 23,21 |
| Pro B | 23,11 | 3494 | 10046 | 34,78% | 24,15 |
| LFB | 22,5 | 1669 | 5279 | 31,62% | 19,55 |
| Espoirs | 15,22 | 1774 | 6063 | 29,26% | 22,13 |
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/guerschon-yabusele-el.jpg\")
Cette saison, en Jeep Élite, l’ensemble des clubs a donc shooté à 36,47 % à trois-points pour 23,21 tentatives par match. Est-ce mieux ou moins bien que les saisons précédentes ?
À l’examen des statistiques de ces cinq dernières saisons (l’actuelle incluse), on s’aperçoit que le pourcentage d’adresse augmente, avec « l’anomalie » de la saison passée, où les clubs de Jeep Élite se sont montrés particulièrement adroits dans l’exercice. Parallèlement, on peut s’apercevoir que les joueurs tentent de plus en plus de tirs à trois-points : si l’on comptabilisait 22,12 tentatives par match en 2016-17, on est progressivement arrivé à 23,21 tentatives cette saison, soit un shoot de plus par match. On peut donc considérer que le tir à trois-points rentre de plus en plus dans les mœurs des équipes de haut niveau.
| Matchs joués | 3P réussis | 3P tentés | Moyenne | Tentatives/match | |
| 2020-21 | 22,33 | 3403 | 9330 | 36,47% | 23,21 |
| 2019-20 | 24,89 | 3884 | 10299 | 37,71% | 22,99 |
| 2018-19 | 34 | 4969 | 13658 | 36,38% | 22,32 |
| 2017-18 | 34 | 4965 | 13913 | 35,69% | 22,73 |
| 2016-17 | 34 | 4811 | 13536 | 35,54% | 22,12 |
Quel que soit le championnat, certains clubs se montrent plus adroits que d’autres dans l’exercice du tir à longue distance. Ce qui n’est généralement pas sans avoir une incidence sur les résultats de l’équipe.
En Jeep Élite
Prenons tout d’abord l’exemple de la Jeep Élite, avec les « top 3 » et « flop «3 » (respectivement les trois équipes les plus et les moins adroites à trois-points) de la division.
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Asvel | 215/513 | 41,50% |
| Metropolitans 92 | 219/548 | 40,00% |
| Bourg-en-Bresse | 248/623 | 39,80% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Champagne Basket | 167/503 | 33,20% |
| Le Portel | 180/549 | 32,80% |
| Nanterre | 165/530 | 31,10% |
Première constatation, les deux premiers de ce classement réussissent au moins 40 % de leurs tirs à trois-points, un excellent pourcentage. À l’inverse, les trois derniers sont en-dessous de la barre des 33,3 %, signe qu’ils réussissent moins d’une tentative sur trois. Par ailleurs, si l’on regarde le classement de ces équipes, on constate que les « top 3 » figurent dans les six premiers du classement alors que les « flop 3 » sont installées dans la deuxième partie de ce classement, semblant toutefois ne pas être menacées par la relégation.
À l’étude de ce classement et de l’historique de la réussite à trois-points en Jeep Élite, un fait est frappant : Nanterre figure cette saison en dernière place du championnat pour la réussite à trois-points et n’est pas très bien classé, autour de la 10-12e place, après avoir un moment frôlé la zone de relégation. Avec 31,1 % de réussite à trois-points, le Nanterre de cette saison est bien loin de ses rendements passés, avec des conséquences sur son classement : en 2019-20, 40,8 % (1er de Jeep Élite dans l’exercice) pour une 7e place, en 2018-19 41,2 % (1er à trois-points) pour une 4e place finale, en 2017-18, 36,9 % (5e de Jeep Élite) pour une 7e place au classement, en 2016-17, 37,2 % (4e) pour une 3e place finale. Ainsi, on peut constater que, même si cela ne s’est pas vérifié la saison passée, le classement de Nanterre est le plus souvent étroitement corrélé à la réussite à trois-points de ses joueurs. Le peu de réussite en la matière cette saison explique en bonne partie les résultats moyens du club.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/yunio-barrueta.jpg\")
En Pro B
Le parallèle entre réussite aux tirs à trois-points et classement de l’équipe est un peu moins valide en Pro B, avec Vichy-Clermont qui figure dans la deuxième partie du classement (11e à l’heure actuelle) tout en figurant parmi les équipes les plus adroites de loin du championnat. Mais c’est un peu l’exception qui confirme la règle : Fos et Nancy sont toujours en lice pour l’accession à la Jeep Élite alors que des trois clubs les moins adroits à trois-points, seul Denain n’est pas concerné par la lutte pour le maintien tout en figurant en deuxième partie de tableau.
On notera également que, comme en Jeep Élite, il existe un gouffre entre les clubs les plus adroits et les moins précis, de l’ordre de 10 % de réussite entre le premier et le dernier.
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Fos/Mer | 233/586 | 39,80% |
| Vichy-Clermont | 207/535 | 38,70% |
| Nancy | 217/582 | 37,30% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Aix-Maurienne | 153/479 | 31,90% |
| Denain | 169/557 | 30,30% |
| Antibes | 151/512 | 29,50% |
En LFB
Nous l’avons vu, en Ligue féminine, les chiffres à trois-points ne sont pas de même niveau que ceux des championnats masculins. Du reste, seuls les trois premiers clubs en termes de réussite à trois-points atteignent ou dépassent la barre des 33,3 %. Sans doute pas une coïncidence, ces clubs ont terminé aux trois premières places de la saison régulière, même si c’est Basket Landes, 4e de la saison régulière, qui a coiffé la couronne de champion de France.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/diandra-tchatchouang-blma-fiba.jpg\")
À l’autre bout de ce classement, Villeneuve-d’Ascq et La Roche Vendée ont terminé juste derrière le quatuor de tête au classement, mais pas grâce à leur adresse de loin. Et Charnay, 9e de la saison régulière, n’a pas évité les affres de la relégation à cause de sa réussite aux tirs lointains. Comme quoi si l’adresse à trois-points contribue à un bon classement, cela ne fait évidemment pas tout…
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Bourges | 128/357 | 35,85% |
| Montpellier | 181/542 | 33,39% |
| Villeurbanne | 151/453 | 33,33% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Villeneuve d’Ascq | 137/459 | 29,85% |
| Roche Vendée | 139/467 | 29,76% |
| Charnay | 117/415 | 28,19% |
En championnat Espoirs
Reste le cas un peu particulier des équipes du championnat Espoirs. Particulier notamment parce que le championnat a connu plusieurs phases, dont une de poules de deux fois neuf équipes. Mais aussi parce que, nous l’avons déjà évoqué, il met en scène des joueurs parfois très jeunes (15 ans pour les plus précoces), n’ayant pas toujours fini leur croissance et pas toujours à l’aise techniquement. D’où des pourcentages de réussite à trois-points peu élevées, avec le seul Dijon pour dépasser la barre des 33,3 %.
On notera par ailleurs que si les trois clubs les plus précis à trois-points se sont qualifiés pour le Trophée du futur, c’est aussi le cas de Limoges (malgré ses 24,7 % à trois-points) alors que les deux autres équipes les plus maladroites ont frôlé la qualification pour l’une (Chalon-sur-Saône) ou terminé bonnes dernières de leur poule (Boulazac, 2 victoires pour 14 défaites).
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Dijon | 88/260 | 33,80% |
| Orléans | 114/344 | 33,10% |
| Strasbourg | 141/429 | 32,90% |
| Club | Trois-points réussis/tentés | Moyenne |
| Chalon/Saône | 92/349 | 26,40% |
| Limoges | 76/308 | 24,70% |
| Boulazac | 65/306 | 21,20% |
Il est d’usage de considérer qu’un joueur se montre très adroit à trois-points s’il réussit plus de 40 % de ses tirs à longue distance. Ce qui est le cas, par exemple, de 41 joueurs en Jeep Élite et de 31 en Pro B. Bien plus rares sont ceux qui atteignent ou dépassent la barre des 50 %, ils sont trois en première division, deux en deuxième (au moment de l’arrêt de nos statistiques, les chiffres et les classements ont changé depuis).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/lamonte-ulmer-2-lnb.jpg\")
En Jeep Élite
En Jeep Élite, Lamonte Ulmer occupe une surprenante première place avec ses 54,5 %, lui qui les trois saisons précédentes n’avait jamais réussi à tirer à plus de 36,2 % à trois-points. Pour sa part, Guerschon Yabusele n’avait jamais particulièrement brillé dans l’exercice outre-Atlantique (36,4 % au mieux) alors que le Belge Hans Vanwijn se montre encore plus précis en France qu’il ne l’était à Anvers (entre 40,0 et 46,3 % en trois saisons).
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Lamonte Ulmer | Orléans | 30/55 | 54,50% |
| Guerschon Yabusele | Villeurbanne | 28/53 | 52,80% |
| Hans Vanwijn | Dijon | 27/52 | 51,90% |
À l’autre bout de ce classement, on trouve trois joueurs français, tous trois meneurs ou arrières, présentant des stats piteuses dans l’exercice, qui plus est sur un fort volume de tirs : entre 10 et 30 tentatives de plus que les plus adroits. On notera que, bien malgré eux, Mehdy Ngouama et Boris Dallo contribuent largement au manque de réussite du Portel dans les tirs de loin.
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Rémi Lesca | Pau-Lacq-Orthez | 18/71 | 25,40% |
| Mehdy Ngouama | Le Portel | 16/65 | 24,60% |
| Boris Dallo | Le Portel | 17/81 | 21,00% |
En Pro B
En Pro B, deux joueurs dominaient le classement à l’heure où nous avons arrêté nos stats, mais ils ne figurent plus dans le trio de tête aujourd’hui, l’un (Washington) parce qu’il a vu son adresse baisser (44,6 % aujourd’hui), l’autre (Mbaye) parce qu’il n’a pas tenté suffisamment de tirs à trois-points (au moins 2 tentatives par match) pour figurer encore dans la hiérarchie (52,9 % de réussite mais sur 1,9 tentative). Quant à Yunio Barrueta, il se distingue par sa réussite sur un nombre important de tentatives, prenant au moins deux fois plus de shoots longue distance que ses compères, sachant qu’il a joué 14 matchs avant de se blesser. Soit un peu plus de 6 tirs à trois-points par match…
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| James Washington | Vichy-Clermont | 18/34 | 52,90% |
| Abdoulaye Mbaye | Poitiers | 24/46 | 52,20% |
| Yunio Barrueta | Évreux | 40/85 | 46,90% |
Pour leur part, les trois joueurs de Pro B les moins adroits à trois-points au moment où ces stats ont été arrêtées figurent toujours dans les profondeurs de ce classement, seul Matthieu Missonnier ayant un peu amélioré son rendement, passant à 25,0 % – ce qui reste faible. Mais Josip Bilinovac en est à 1/10 depuis ce relevé de stats et Zimmy Nwogbo à 0/4.
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Josip Bilinovac | Quimper | 9/41 | 22,00% |
| Matthieu Missonnier | Denain | 12/55 | 21,80% |
| Zimmy Nwogbo | Rouen | 5/35 | 14,30% |
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/margaux-galliou-loko-1-tarbes.jpg\")
En LFB
Si la LFB n’est pas un repaire de snipers, elle n’en recèle pas moins quelques jeunes femmes capables de tirer de loin avec une belle adresse. La plus remarquable est sans nul doute Margaux Galliou-Loko (la sœur de Charles Galliou, de Dijon), qui présente l’impeccable taux de réussite de 46,5 % pour un fort volume de tirs, alors que les femmes ont tendance (voir plus haut) à moins prendre leur chance à trois-points que les hommes. Pour les deux autres joueuses figurant parmi les plus adroites de LFB, on peut noter qu’il s’agit de deux internationales en titre, l’une (Johannès) tentant nettement plus souvent sa chance que l’autre (Tchatchouang). Mais toutes deux avec des pourcentages de réussite très convaincants.
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Margaux Galliou-Loko | Tarbes | 47/101 | 46,50% |
| Diandra Tchatchouang | Montpellier | 23/50 | 46,00% |
| Marine Johannès | Villeurbanne | 34/77 | 44,16% |
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/marine-johannes-1.jpg\")
Une autre internationale en titre fait pour sa part partie du « flop 3 » de la LFB en matière de réussite à trois-points, preuve qu’elle apporte bien d’autres choses sur le parquet. Mais à peine plus de 20 % à longue distance, ce n’est pas très brillant. Que dire, du reste, des deux autres joueuses, qui tournent à moins de 15 % sur un nombre de tentatives non-négligeable ?
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Sarah Michel | Bourges | 8/39 | 20,51% |
| Yvonne Turner | Charleville | 5/35 | 14,30% |
| Marie Pardon | Tarbes | 8/59 | 13,56% |
En championnat Espoirs
Nous l’avons vu, le championnat Espoirs ne se distingue guère par l’adresse lointaine de ses joueurs. Mais, comme toujours, il y a des exceptions. Certes, Mathis Vaudelin (18 ans) ne tente pas très souvent sa chance (il a en définitive pris 24 tirs à trois-points en 10 matchs) mais il le fait à bon escient (avec 13 réussites aujourd’hui, il est à 54,2 %). Quant à ses deux suivants, à distance respectable, ils arrivent à produire des pourcentages très intéressants, plus encore pour Alexander Doyle, à tout juste 17 ans, que pour Thomas Duchêne (20 ans). S’ils se montrent réguliers dans l’exercice, ces trois joueurs pourront se garantir un avenir à haut niveau.
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Mathis Vaudelin | Chalon | 12/23 | 52,20% |
| Alexander Doyle | Cholet | 15/32 | 46,90% |
| Thomas Duchêne | CCRB | 22/48 | 45,80% |
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/alexander-doyle-cholet-c.macel_.jpg\")
Si Thibaut Trouillaut est dans sa première véritable saison Espoirs (il n’était entré que deux fois en jeu la saison dernière avec le centre de formation de Roanne), Wesley Ouatango et Tine Kotnik présentent des pourcentages de réussite étonnamment bas par rapport à leurs précédentes prestations. Certes, ni l’un ni l’autre n’avaient impressionné dans le domaine la saison passée (30,1 % pour Ouatango, 31,8 % pour Kotnik) mais de là à se rapprocher dangereusement des 10 % de « réussite »…
| Joueur | Club | Trois-points réussis/tentés | Pourcentage |
| Wesley Ouatango | Roanne | 3/20 | 15,00% |
| Thibault Trouillaut | Boulazac | 4/31 | 12,90% |
| Tine Kotnik | Boulazac | 3/27 | 11,10% |
Demain, la seconde partie de notre étude avec les championnats étrangers et les principales coupes d’Europe
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[armelse]
D’abord installée, pour les compétitions régies par la FIBA, à 6,25 m du panier en 1984, la ligne du tir à trois-points est passée en 2010 (pour les compétitions internationales, 2012 pour les championnats domestiques) à 6,75 m (elle est toujours à 7,23 m en NBA). Ce qui n’a pas empêché le tir longue distance de prendre de plus en plus d’importance dans le jeu de nombreuses équipes, aussi bien de clubs que de sélections nationales. Ce qui est assez logique : alors qu’il n’est pas forcément évident d’atteindre les 50 % de réussite aux tirs à deux-points, il est plus facile (pour des joueurs de haut niveau s’entend) d’arriver à 33,3 % de réussite à trois-points, pour un résultat équivalent : réussir 3 tirs sur 6 à deux-points rapporte 6 points, tout comme 2 tirs sur 6 à trois-points.
Nous nous sommes donc intéressés à ce domaine un peu particulier, qui tend toutefois à se populariser puisque de nos jours, même les pivots tentent de plus en plus souvent leur chance à trois-points. Nous avons voulu discerner quels étaient les championnats où l’adresse à trois-points était la plus importante, comment cette adresse avait évolué au fil du temps en Jeep Élite, quels étaient les meilleurs (et moins bons) clubs et joueurs ou joueuses dans l’exercice.
Il est à noter que les statistiques utilisées dans ce dossier ont été arrêtées au 9 mai (et peuvent donc avoir légèrement évolué depuis).
Tout d’abord, est-ce que le niveau de jeu a une influence sur la réussite à trois-points ? Le tableau ci-dessous apporte une réponse ferme : oui. Même s’ils tirent un peu moins à longue distance qu’en Pro B, les joueurs de Jeep Élite sont les plus adroits en France dans cet exercice, avec une réussite très correcte de 36,47 %. De leur côté, les féminines de la LFB se révèlent
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", "comment_id":"551202", "plaintext":"Photo d’ouverture : James Washington – Vichy-Clermont (Photo : Alain Chenevière-JA VCM)\n\nAprès nous être intéressé aux lancers francs (voir ICI pour le dernier article du dossier, où figurent les liens pour les deux premières parties), nous nous sommes penchés sur l’art du shoot à trois-points. Depuis son introduction dans les compétitions FIBA en 1984 (1979 pour la NBA), le tir de loin a pris une importance croissante dans le jeu, au point de devenir l’arme majeure de certaines équipes. Nous nous sommes donc posé la question : quels sont les championnats, les équipes et les joueurs les plus efficaces dans ce domaine. D’où cette étude en deux parties, avec la France aujourd’hui, l’Europe demain.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nD’abord installée, pour les compétitions régies par la FIBA, à 6,25 m du panier en 1984, la ligne du tir à trois-points est passée en 2010 (pour les compétitions internationales, 2012 pour les championnats domestiques) à 6,75 m (elle est toujours à 7,23 m en NBA). Ce qui n’a pas empêché le tir longue distance de prendre de plus en plus d’importance dans le jeu de nombreuses équipes, aussi bien de clubs que de sélections nationales. Ce qui est assez logique : alors qu’il n’est pas forcément évident d’atteindre les 50 % de réussite aux tirs à deux-points, il est plus facile (pour des joueurs de haut niveau s’entend) d’arriver à 33,3 % de réussite à trois-points, pour un résultat équivalent : réussir 3 tirs sur 6 à deux-points rapporte 6 points, tout comme 2 tirs sur 6 à trois-points.\n\nNous nous sommes donc intéressés à ce domaine un peu particulier, qui tend toutefois à se populariser puisque de nos jours, même les pivots tentent de plus en plus souvent leur chance à trois-points. Nous avons voulu discerner quels étaient les championnats où l’adresse à trois-points était la plus importante, comment cette adresse avait évolué au fil du temps en Jeep Élite, quels étaient les meilleurs (et moins bons) clubs et joueurs ou joueuses dans l’exercice.\n\nIl est à noter que les statistiques utilisées dans ce dossier ont été arrêtées au 9 mai et peuvent donc avoir légèrement évolué depuis.\n\nQuel est le championnat français avec le meilleur pourcentage aux tirs à trois-points ?\n\nTout d’abord, est-ce que le niveau de jeu a une influence sur la réussite à trois-points ? Le tableau ci-dessous apporte une réponse ferme : oui. Même s’ils tirent un peu moins à longue distance qu’en Pro B, les joueurs de Jeep Élite sont les plus adroits en France dans cet exercice, avec une réussite très correcte de 36,47 %. De leur côté, les féminines de la LFB se révèlent moins adroites que leurs homologues masculins, la différence de force physique (en moyenne) faisant son œuvre. Du coup, les joueuses de LFB tentent nettement moins souvent leur chance à longue distance que les garçons, prenant globalement 3 ou 4 tirs de moins à trois-points que les joueurs de Jeep Élite et de Pro B. Enfin, les Espoirs n’hésitent pas particulièrement à shooter de loin, mais avec un taux de réussite très faible, inférieur à 30 %. Ce qui est à mettre sur le compte d’une maturité physique et technique pas encore totale chez des jeunes gens ayant entre 16 et 21 ans pour la plupart. Cela étant, le niveau global d’adresse à trois-points du championnat Espoirs n’est pas brillant.\n\n Matchs joués3P réussis3P tentésMoyenneTentatives/matchJeep Élite22,333403933036,47%23,21Pro B23,1134941004634,78%24,15LFB22,51669527931,62%19,55Espoirs15,221774606329,26%22,13\n\nQuelle est l’évolution de l’adresse aux tirs à trois-points en Jeep Élite ?\n\nCette saison, en Jeep Élite, l’ensemble des clubs a donc shooté à 36,47 % à trois-points pour 23,21 tentatives par match. Est-ce mieux ou moins bien que les saisons précédentes ?\n\nÀ l’examen des statistiques de ces cinq dernières saisons (l’actuelle incluse), on s’aperçoit que le pourcentage d’adresse augmente, avec « l’anomalie » de la saison passée, où les clubs de Jeep Élite se sont montrés particulièrement adroits dans l’exercice. Parallèlement, on peut s’apercevoir que les joueurs tentent de plus en plus de tirs à trois-points : si l’on comptabilisait 22,12 tentatives par match en 2016-17, on est progressivement arrivé à 23,21 tentatives cette saison, soit un shoot de plus par match. On peut donc considérer que le tir à trois-points rentre de plus en plus dans les mœurs des équipes de haut niveau.\n\n Matchs joués3P réussis3P tentésMoyenneTentatives/match2020-2122,333403933036,47%23,212019-2024,8938841029937,71%22,992018-193449691365836,38%22,322017-183449651391335,69%22,732016-173448111353635,54%22,12\n\nQuels sont les clubs les plus (et les moins) en réussite dans cet exercice ?\n\nQuel que soit le championnat, certains clubs se montrent plus adroits que d’autres dans l’exercice du tir à longue distance. Ce qui n’est généralement pas sans avoir une incidence sur les résultats de l’équipe.\n\nEn Jeep Élite\n\nPrenons tout d’abord l’exemple de la Jeep Élite, avec les « top 3 » et « flop «3 » (respectivement les trois équipes les plus et les moins adroites à trois-points) de la division.\n\nClubTrois-points réussis/tentésMoyenneAsvel215/51341,50%Metropolitans 92219/54840,00%Bourg-en-Bresse248/62339,80%\n\nClubTrois-points réussis/tentésMoyenneChampagne Basket167/50333,20%Le Portel180/54932,80%Nanterre165/53031,10%\n\nPremière constatation, les deux premiers de ce classement réussissent au moins 40 % de leurs tirs à trois-points, un excellent pourcentage. À l’inverse, les trois derniers sont en-dessous de la barre des 33,3 %, signe qu’ils réussissent moins d’une tentative sur trois. Par ailleurs, si l’on regarde le classement de ces équipes, on constate que les « top 3 » figurent dans les six premiers du classement alors que les « flop 3 » sont installées dans la deuxième partie de ce classement, semblant toutefois ne pas être menacées par la relégation.\n\nÀ l’étude de ce classement et de l’historique de la réussite à trois-points en Jeep Élite, un fait est frappant : Nanterre figure cette saison en dernière place du championnat pour la réussite à trois-points et n’est pas très bien classé, autour de la 10-12e place, après avoir un moment frôlé la zone de relégation. Avec 31,1 % de réussite à trois-points, le Nanterre de cette saison est bien loin de ses rendements passés, avec des conséquences sur son classement : en 2019-20, 40,8 % (1er de Jeep Élite dans l’exercice) pour une 7e place, en 2018-19 41,2 % (1er à trois-points) pour une 4e place finale, en 2017-18, 36,9 % (5e de Jeep Élite) pour une 7e place au classement, en 2016-17, 37,2 % (4e) pour une 3e place finale. Ainsi, on peut constater que, même si cela ne s’est pas vérifié la saison passée, le classement de Nanterre est le plus souvent étroitement corrélé à la réussite à trois-points de ses joueurs. Le peu de réussite en la matière cette saison explique en bonne partie les résultats moyens du club.\n\nEn Pro B\n\nLe parallèle entre réussite aux tirs à trois-points et classement de l’équipe est un peu moins valide en Pro B, avec Vichy-Clermont qui figure dans la deuxième partie du classement (11e à l’heure actuelle) tout en figurant parmi les équipes les plus adroites de loin du championnat. Mais c’est un peu l’exception qui confirme la règle : Fos et Nancy sont toujours en lice pour l’accession à la Jeep Élite alors que des trois clubs les moins adroits à trois-points, seul Denain n’est pas concerné par la lutte pour le maintien tout en figurant en deuxième partie de tableau.\n\nOn notera également que, comme en Jeep Élite, il existe un gouffre entre les clubs les plus adroits et les moins précis, de l’ordre de 10 % de réussite entre le premier et le dernier.\n\nClubTrois-points réussis/tentésMoyenneFos/Mer233/58639,80%Vichy-Clermont207/53538,70%Nancy217/58237,30%\n\nClubTrois-points réussis/tentésMoyenneAix-Maurienne153/47931,90%Denain169/55730,30%Antibes151/51229,50%\n\nEn LFB\n\nNous l’avons vu, en Ligue féminine, les chiffres à trois-points ne sont pas de même niveau que ceux des championnats masculins. Du reste, seuls les trois premiers clubs en termes de réussite à trois-points atteignent ou dépassent la barre des 33,3 %. Sans doute pas une coïncidence, ces clubs ont terminé aux trois premières places de la saison régulière, même si c’est Basket Landes, 4e de la saison régulière, qui a coiffé la couronne de champion de France.\n\nÀ l’autre bout de ce classement, Villeneuve-d’Ascq et La Roche Vendée ont terminé juste derrière le quatuor de tête au classement, mais pas grâce à leur adresse de loin. Et Charnay, 9e de la saison régulière, n’a pas évité les affres de la relégation à cause de sa réussite aux tirs lointains. Comme quoi si l’adresse à trois-points contribue à un bon classement, cela ne fait évidemment pas tout…\n\nClubTrois-points réussis/tentésMoyenneBourges128/35735,85%Montpellier181/54233,39%Villeurbanne151/45333,33%\n\nClubTrois-points réussis/tentésMoyenneVilleneuve d’Ascq137/45929,85%Roche Vendée139/46729,76%Charnay117/41528,19%\n\nEn championnat Espoirs\n\nReste le cas un peu particulier des équipes du championnat Espoirs. Particulier notamment parce que le championnat a connu plusieurs phases, dont une de poules de deux fois neuf équipes. Mais aussi parce que, nous l’avons déjà évoqué, il met en scène des joueurs parfois très jeunes (15 ans pour les plus précoces), n’ayant pas toujours fini leur croissance et pas toujours à l’aise techniquement. D’où des pourcentages de réussite à trois-points peu élevées, avec le seul Dijon pour dépasser la barre des 33,3 %.\n\nOn notera par ailleurs que si les trois clubs les plus précis à trois-points se sont qualifiés pour le Trophée du futur, c’est aussi le cas de Limoges (malgré ses 24,7 % à trois-points) alors que les deux autres équipes les plus maladroites ont frôlé la qualification pour l’une (Chalon-sur-Saône) ou terminé bonnes dernières de leur poule (Boulazac, 2 victoires pour 14 défaites).\n\nClubTrois-points réussis/tentésMoyenneDijon88/26033,80%Orléans114/34433,10%Strasbourg141/42932,90%\n\nClubTrois-points réussis/tentésMoyenneChalon/Saône92/34926,40%Limoges76/30824,70%Boulazac65/30621,20%\n\nQuels sont les joueurs et joueuses les plus (et les moins) en réussite par championnat ?\n\nIl est d’usage de considérer qu’un joueur se montre très adroit à trois-points s’il réussit plus de 40 % de ses tirs à longue distance. Ce qui est le cas, par exemple, de 41 joueurs en Jeep Élite et de 31 en Pro B. Bien plus rares sont ceux qui atteignent ou dépassent la barre des 50 %, ils sont trois en première division, deux en deuxième (au moment de l’arrêt de nos statistiques, les chiffres et les classements ont changé depuis).\n\nEn Jeep Élite\n\nEn Jeep Élite, Lamonte Ulmer occupe une surprenante première place avec ses 54,5 %, lui qui les trois saisons précédentes n’avait jamais réussi à tirer à plus de 36,2 % à trois-points. Pour sa part, Guerschon Yabusele n’avait jamais particulièrement brillé dans l’exercice outre-Atlantique (36,4 % au mieux) alors que le Belge Hans Vanwijn se montre encore plus précis en France qu’il ne l’était à Anvers (entre 40,0 et 46,3 % en trois saisons).\n\nJoueurClubTrois-points réussis/tentésPourcentageLamonte UlmerOrléans30/5554,50%Guerschon YabuseleVilleurbanne28/5352,80%Hans VanwijnDijon27/5251,90%\n\nÀ l’autre bout de ce classement, on trouve trois joueurs français, tous trois meneurs ou arrières, présentant des stats piteuses dans l’exercice, qui plus est sur un fort volume de tirs : entre 10 et 30 tentatives de plus que les plus adroits. On notera que, bien malgré eux, Mehdy Ngouama et Boris Dallo contribuent largement au manque de réussite du Portel dans les tirs de loin.\n\nJoueurClubTrois-points réussis/tentésPourcentageRémi LescaPau-Lacq-Orthez18/7125,40%Mehdy NgouamaLe Portel16/6524,60%Boris DalloLe Portel17/8121,00%\n\nEn Pro B\n\nEn Pro B, deux joueurs dominaient le classement à l’heure où nous avons arrêté nos stats, mais ils ne figurent plus dans le trio de tête aujourd’hui, l’un (Washington) parce qu’il a vu son adresse baisser (44,6 % aujourd’hui), l’autre (Mbaye) parce qu’il n’a pas tenté suffisamment de tirs à trois-points (au moins 2 tentatives par match) pour figurer encore dans la hiérarchie (52,9 % de réussite mais sur 1,9 tentative). Quant à Yunio Barrueta, il se distingue par sa réussite sur un nombre important de tentatives, prenant au moins deux fois plus de shoots longue distance que ses compères, sachant qu’il a joué 14 matchs avant de se blesser. Soit un peu plus de 6 tirs à trois-points par match…\n\nJoueurClubTrois-points réussis/tentésPourcentageJames WashingtonVichy-Clermont18/3452,90%Abdoulaye MbayePoitiers24/4652,20%Yunio BarruetaÉvreux40/8546,90%\n\nPour leur part, les trois joueurs de Pro B les moins adroits à trois-points au moment où ces stats ont été arrêtées figurent toujours dans les profondeurs de ce classement, seul Matthieu Missonnier ayant un peu amélioré son rendement, passant à 25,0 % – ce qui reste faible. Mais Josip Bilinovac en est à 1/10 depuis ce relevé de stats et Zimmy Nwogbo à 0/4.\n\nJoueurClubTrois-points réussis/tentésPourcentageJosip BilinovacQuimper9/4122,00%Matthieu MissonnierDenain12/5521,80%Zimmy NwogboRouen5/3514,30%\n\nEn LFB\n\nSi la LFB n’est pas un repaire de snipers, elle n’en recèle pas moins quelques jeunes femmes capables de tirer de loin avec une belle adresse. La plus remarquable est sans nul doute Margaux Galliou-Loko (la sœur de Charles Galliou, de Dijon), qui présente l’impeccable taux de réussite de 46,5 % pour un fort volume de tirs, alors que les femmes ont tendance (voir plus haut) à moins prendre leur chance à trois-points que les hommes. Pour les deux autres joueuses figurant parmi les plus adroites de LFB, on peut noter qu’il s’agit de deux internationales en titre, l’une (Johannès) tentant nettement plus souvent sa chance que l’autre (Tchatchouang). Mais toutes deux avec des pourcentages de réussite très convaincants.\n\nJoueurClubTrois-points réussis/tentésPourcentageMargaux Galliou-LokoTarbes47/10146,50%Diandra TchatchouangMontpellier23/5046,00%Marine JohannèsVilleurbanne34/7744,16%\n\nUne autre internationale en titre fait pour sa part partie du « flop 3 » de la LFB en matière de réussite à trois-points, preuve qu’elle apporte bien d’autres choses sur le parquet. Mais à peine plus de 20 % à longue distance, ce n’est pas très brillant. Que dire, du reste, des deux autres joueuses, qui tournent à moins de 15 % sur un nombre de tentatives non-négligeable ?\n\nJoueurClubTrois-points réussis/tentésPourcentageSarah MichelBourges8/3920,51%Yvonne TurnerCharleville5/3514,30%Marie PardonTarbes8/5913,56%\n\nEn championnat Espoirs\n\nNous l’avons vu, le championnat Espoirs ne se distingue guère par l’adresse lointaine de ses joueurs. Mais, comme toujours, il y a des exceptions. Certes, Mathis Vaudelin (18 ans) ne tente pas très souvent sa chance (il a en définitive pris 24 tirs à trois-points en 10 matchs) mais il le fait à bon escient (avec 13 réussites aujourd’hui, il est à 54,2 %). Quant à ses deux suivants, à distance respectable, ils arrivent à produire des pourcentages très intéressants, plus encore pour Alexander Doyle, à tout juste 17 ans, que pour Thomas Duchêne (20 ans). S’ils se montrent réguliers dans l’exercice, ces trois joueurs pourront se garantir un avenir à haut niveau.\n\nJoueurClubTrois-points réussis/tentésPourcentageMathis VaudelinChalon12/2352,20%Alexander DoyleCholet15/3246,90%Thomas DuchêneCCRB22/4845,80%\n\nSi Thibaut Trouillaut est dans sa première véritable saison Espoirs (il n’était entré que deux fois en jeu la saison dernière avec le centre de formation de Roanne), Wesley Ouatango et Tine Kotnik présentent des pourcentages de réussite étonnamment bas par rapport à leurs précédentes prestations. Certes, ni l’un ni l’autre n’avaient impressionné dans le domaine la saison passée (30,1 % pour Ouatango, 31,8 % pour Kotnik) mais de là à se rapprocher dangereusement des 10 % de « réussite »…\n\nJoueurClubTrois-points réussis/tentésPourcentageWesley OuatangoRoanne3/2015,00%Thibault TrouillautBoulazac4/3112,90%Tine KotnikBoulazac3/2711,10%\n\nDemain, la seconde partie de notre étude avec les championnats étrangers et les principales coupes d’Europe\n\n–\n\nx\n\n[armelse]\n\nD’abord installée, pour les compétitions régies par la FIBA, à 6,25 m du panier en 1984, la ligne du tir à trois-points est passée en 2010 (pour les compétitions internationales, 2012 pour les championnats domestiques) à 6,75 m (elle est toujours à 7,23 m en NBA). Ce qui n’a pas empêché le tir longue distance de prendre de plus en plus d’importance dans le jeu de nombreuses équipes, aussi bien de clubs que de sélections nationales. Ce qui est assez logique : alors qu’il n’est pas forcément évident d’atteindre les 50 % de réussite aux tirs à deux-points, il est plus facile (pour des joueurs de haut niveau s’entend) d’arriver à 33,3 % de réussite à trois-points, pour un résultat équivalent : réussir 3 tirs sur 6 à deux-points rapporte 6 points, tout comme 2 tirs sur 6 à trois-points.\n\nNous nous sommes donc intéressés à ce domaine un peu particulier, qui tend toutefois à se populariser puisque de nos jours, même les pivots tentent de plus en plus souvent leur chance à trois-points. Nous avons voulu discerner quels étaient les championnats où l’adresse à trois-points était la plus importante, comment cette adresse avait évolué au fil du temps en Jeep Élite, quels étaient les meilleurs (et moins bons) clubs et joueurs ou joueuses dans l’exercice.\n\nIl est à noter que les statistiques utilisées dans ce dossier ont été arrêtées au 9 mai (et peuvent donc avoir légèrement évolué depuis).\n\nQuel est le championnat français avec le meilleur pourcentage aux tirs à trois-points ?\n\nTout d’abord, est-ce que le niveau de jeu a une influence sur la réussite à trois-points ? Le tableau ci-dessous apporte une réponse ferme : oui. Même s’ils tirent un peu moins à longue distance qu’en Pro B, les joueurs de Jeep Élite sont les plus adroits en France dans cet exercice, avec une réussite très correcte de 36,47 %. De leur côté, les féminines de la LFB se révèlent\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/05/james-washington-vichy-clermont-alain-cheneviere-ja-vcm.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-30T05:00:00.000Z", "updated_at":"2021-08-24T07:21:03.000Z", "published_at":"2021-08-30T05:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Photo d’ouverture : James Washington – Vichy-Clermont (Photo : Alain Chenevière-JA VCM) Après nous être intéressé aux lancers francs (voir ICI pour le dernier article du dossier, où figurent les liens pour les deux premières parties), nous nous sommes penchés sur l’art du shoot à trois-points. 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Je suis quelqu’un qui est responsable du terrain et du vestiaire. Zoran fait son travail et nous sommes tous une équipe qui travaille (…) Je n’ai pas de contrat avec Partizan, je n’ai pas signé de contrat, je n’ai pas besoin d’un contrat avec Partizan. M. Ostoja Mijailović est un homme en qui j’ai confiance, et il me fait confiance. Quand je signerai ? Je ne sais pas. C’est beaucoup plus important pour moi d’avoir tous les joueurs à l’entraînement. Je sais qui je suis et ce que je suis. Juste pour clarifier, j’ai dit que je serai ici pendant trois ans, au moins »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La signature de Kevin Punter a surpris le monde du basket, qui se demande… D’où vient l’argent. 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« J’ai eu des contacts avec Ostoja Mijailović (NDLR: le président du Partizan), nous nous sommes rencontrés à Istanbul il y a quelques années. De toutes les manières, j’ai essayé d’aider Partizan avec des conseils. Après cela, mon grand ami Zoran Savić (NDLR: le directeur sportif) est venu. Nous nous sommes tous vus et avons parlé en plaisantant de ce que ce serait de revenir au club. À la fin de la saison, j’ai décidé que je voulais retravailler. Des messages sont arrivés des clubs de l’Euroleague, mais je savais que j’avais besoin d’une motivation supplémentaire. J’ai eu l’opportunité de choisir où je travaillerais, j’ai choisi Partizan par pure raison sentimentale. J’ai parlé à des gens du Partizan, le président était d’accord avec mes idées sur ce à quoi ressemblerait la coopération. Je suis quelqu’un qui est responsable du terrain et du vestiaire. Zoran fait son travail et nous sommes tous une équipe qui travaille (…) Je n’ai pas de contrat avec Partizan, je n’ai pas signé de contrat, je n’ai pas besoin d’un contrat avec Partizan. M. Ostoja Mijailović est un homme en qui j’ai confiance, et il me fait confiance. Quand je signerai ? Je ne sais pas. C’est beaucoup plus important pour moi d’avoir tous les joueurs à l’entraînement. Je sais qui je suis et ce que je suis. Juste pour clarifier, j’ai dit que je serai ici pendant trois ans, au moins »
La signature de Kevin Punter a surpris le monde du basket, qui se demande… D’où vient l’argent. Ostoja Mijailović a précisé que le budget du Partizan tourne toujours autour de 6 millions d’euros, mais n’a pas voulu préciser les salaires de chacun de ses joueurs.
« La nouvelle est arrivée quand j’étais à Belgrade, je regardais les matchs de l’équipe nationale serbe, puis Milan a décidé de ne pas prolonger son contrat avec Kevin Punter. Au même moment, j’ai appelé Zoran pour vérifier, et j’ai contacté (Luigi) Datome pour voir s’il y avait un problème, il a dit qu’il ne savait pas de quoi il s’agissait et que c’était un gars super, un professionnel. Zoran m’a envoyé le numéro de téléphone de Kevin quelques minutes plus tard et je l’ai appelé. Nous avons eu une excellente conversation. J’ai été surpris par sa réponse, le lendemain il m’a répondu qu’il signerait un contrat. Il comprenait de quoi je parlais et quel genre de vision j’avais. Quant à l’argent et au budget, Zoran Savić et les dirigeants du club s’en occupent. Ce n’est pas une question pour moi. 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J’ai eu l’opportunité de choisir où je travaillerais, j’ai choisi Partizan par pure raison sentimentale. J’ai parlé à des gens du Partizan, le président était d’accord avec mes idées sur ce à quoi ressemblerait la coopération. Je suis quelqu’un qui est responsable du terrain et du vestiaire. Zoran fait son travail et nous sommes tous une équipe qui travaille (…) Je n’ai pas de contrat avec Partizan, je n’ai pas signé de contrat, je n’ai pas besoin d’un contrat avec Partizan. M. Ostoja Mijailović est un homme en qui j’ai confiance, et il me fait confiance. Quand je signerai ? Je ne sais pas. C’est beaucoup plus important pour moi d’avoir tous les joueurs à l’entraînement. Je sais qui je suis et ce que je suis. Juste pour clarifier, j’ai dit que je serai ici pendant trois ans, au moins »\n\nLa signature de Kevin Punter a surpris le monde du basket, qui se demande… D’où vient l’argent. Ostoja Mijailović a précisé que le budget du Partizan tourne toujours autour de 6 millions d’euros, mais n’a pas voulu préciser les salaires de chacun de ses joueurs.\n\n« La nouvelle est arrivée quand j’étais à Belgrade, je regardais les matchs de l’équipe nationale serbe, puis Milan a décidé de ne pas prolonger son contrat avec Kevin Punter. Au même moment, j’ai appelé Zoran pour vérifier, et j’ai contacté (Luigi) Datome pour voir s’il y avait un problème, il a dit qu’il ne savait pas de quoi il s’agissait et que c’était un gars super, un professionnel. Zoran m’a envoyé le numéro de téléphone de Kevin quelques minutes plus tard et je l’ai appelé. Nous avons eu une excellente conversation. J’ai été surpris par sa réponse, le lendemain il m’a répondu qu’il signerait un contrat. Il comprenait de quoi je parlais et quel genre de vision j’avais. Quant à l’argent et au budget, Zoran Savić et les dirigeants du club s’en occupent. Ce n’est pas une question pour moi. 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L’ancien Strasbourgeois Ishmail Wainright (1,96 m, 26 ans) a réussi à décrocher un contrat de deux ans avec les Toronto Raptors. Mais, en attendant de rejoindre la NBA, il participe à l’AfroBasket avec l’Ouganda.
Depuis que Wainwright a fait ses débuts avec les « Silverbacks » durant les qualifications à l’AfroBasket 2021 en novembre, il a été la pièce maîtresse de la sélection ougandaise. Et il n’était pas question pour lui de faire faux bond à l’équipe de ce pays de l’Afrique de l’Est de langue anglaise.
« Oui, accéder à la NBA est un rêve qui se réalise. Tous les joueurs du monde souhaitent avoir ce genre d’occasions. Je suis très content. Mais actuellement, je veux concentrer mes efforts pour aider mon pays, l’Ouganda, à atteindre ses objectifs dans la compétition majeure d’Afrique. Je jure ma loyauté aux Raptors et à l’Ouganda, ce sera un plaisir de contribuer à l’épanouissement de mon club et de mon équipe nationale », confie-t-il sur le site de la FIBA.
Lors de la victoire contre le Cameroun, Wainwright est passé tout près d’un triple double avec 12 rebonds, 11 assists et 9 points, le tout pour une évaluation de 25. Et lors du troisième match, face au Soudan du Sud, il l’a accompli en cumulant 22 points, 12 rebonds et 10 passes. Seulement, cette fois l’Ouganda s’est avouée battue (86-88).
Photo : FIBA
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Le budget de l’Etoile Rouge de Belgrade ne différera pas beaucoup de celui de la saison dernière. Celui-ci avait été fixé à environ cinq millions d’euros, soit une baisse de près de 30 % par rapport à la campagne 2019-2020 (huit millions d’euros), marquée par la pandémie de Covid-19.
« Notre budget brut pour l’équipe première sera d’environ 5,1 millions d’euros. Il n’y a pas seulement des frais pour les joueurs, mais aussi pour les managers, pour les appartements et leur mise à disposition de voitures. Nous avons essayé d’être clair avec l’administration fiscale, leur décision est attendue », explique le président de l’Etoile Rouge dans une interview à TV Prva.
Cette intersaison, le club serbe a perdu Jordan Loyd (Zenit), Corey Walden (Bayern Munich) ou encore Landry Nnoko (Baskonia) mais a récupéré, entre autres, Austin Hollins (Zenit), Nikola Kalinic (Valence) et Nate Wolters (UNICS Kazan). Le club serbe viserait également l’international français Mathias Lessort.
A noter que le rival du Partizan Belgrade, qui disputera l’Eurocup la saison prochaine, aura un budget supérieur et annoncé à six millions d’euros.
Photo : Dejan Davidovac (Euroleague)
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Dans un entretien à Hugo Roure, le meneur dévoile ses anecdotes sur et en dehors des terrains, l’importance du mental dans le basket, sa vie d’entrepreneur… Si la balle orange n’est jamais loin, Edouard Choquet a lancé de nombreux projets : une association pour accompagner des jeunes ou encore une agence pour gérer l’image des sportifs.
Photo : Edouard Choquet
", "comment_id":"563336", "plaintext":"Le meneur Edouard Choquet raconte ses projets en dehors du basket et de Fos Provence.\n\nA 33 ans, Edouard Choquet est un joueur confirmé du championnat de France. Dans la lignée de sa carrière, le meneur tournait à 7,5 points (dont 43,4 % à 3-points) et 4,7 passes décisives pour 9,9 d’évaluation la saison dernière en Pro B. Il fut l’un des artisans de la remontée de Fos-sur-Mer en Elite.\n\nDans un entretien à Hugo Roure, le meneur dévoile ses anecdotes sur et en dehors des terrains, l’importance du mental dans le basket, sa vie d’entrepreneur… Si la balle orange n’est jamais loin, Edouard Choquet a lancé de nombreux projets : une association pour accompagner des jeunes ou encore une agence pour gérer l’image des sportifs.\n\nPhoto : Edouard Choquet", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/11/choquet.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-30T04:00:00.000Z", "updated_at":"2021-08-29T08:30:00.000Z", "published_at":"2021-08-30T04:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Le meneur Edouard Choquet raconte ses projets en dehors du basket et de Fos Provence.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f0a", "uuid":"4e1dd5f3-8449-4d87-86fd-6c4b898b7016", "title":"Avant Barcelone, Limoges lance sa préparation par une défaite contre Andorre", "slug":"avant-barcelone-limoges-lance-sa-preparation-par-une-defaite-contre-andorre", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/CSPr%C3%A9pa?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le Limoges CSP débute sa préparation par une défaite face à Andorre (93-80) dans la principauté.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a encore du boulot avant la rentrée des classes. L’entrée en matière du Limoges CSP version 2021-2022 fut délicate. La formation de Massimo Cancellieri a largement été dominée par Andorre (93-80), une équipe de calibre Eurocup ayant accueilli Amine Noua (ex-ASVEL) dans ses rangs. Même si l’addition aurait pu être plus salée puisque l’écart était de 27 points à dix minutes du terme (75-48). Gerry Blakes (20 points) et Timothé Crusol (13 points en 13 minutes) ont malgré tout montré quelques fulgurances.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Limoges va devoir rebondir dès lundi (18h30) pour s’exprimer lors d’un deuxième match amical – de prestige – en Andorre, face au FC Barcelone, finaliste de l’Euroleague 2020-2021.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[1],1,\"« Cette année, nous devons être prêts à affronter toutes les équipes comme si c’était le dernier match à jouer. Je voudrais tester l’équipe immédiatement et ce match est une très grande opportunité », réagissait le coach Massimo Cancellieri au moment de l’annonce.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Nicolas Lang (Limoges)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le Limoges CSP débute sa préparation par une défaite face à Andorre (93-80) dans la principauté.
Il y a encore du boulot avant la rentrée des classes. L’entrée en matière du Limoges CSP version 2021-2022 fut délicate. La formation de Massimo Cancellieri a largement été dominée par Andorre (93-80), une équipe de calibre Eurocup ayant accueilli Amine Noua (ex-ASVEL) dans ses rangs. Même si l’addition aurait pu être plus salée puisque l’écart était de 27 points à dix minutes du terme (75-48). Gerry Blakes (20 points) et Timothé Crusol (13 points en 13 minutes) ont malgré tout montré quelques fulgurances.
Limoges va devoir rebondir dès lundi (18h30) pour s’exprimer lors d’un deuxième match amical – de prestige – en Andorre, face au FC Barcelone, finaliste de l’Euroleague 2020-2021.
« Cette année, nous devons être prêts à affronter toutes les équipes comme si c’était le dernier match à jouer. Je voudrais tester l’équipe immédiatement et ce match est une très grande opportunité », réagissait le coach Massimo Cancellieri au moment de l’annonce.
Photo : Nicolas Lang (Limoges)
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Jerry Boutsiele (2,07 m, 28 ans) respire le calme et sérénité à Bormio (Italie) lors du traditionnel stage de préparation de la Roca Team. Interviewé par Monaco Info, l’international français se montre heureux d’intégrer un groupe avec de très grandes ambitions.
« La préparation se passe bien. On apprend tous à se connaître, le groupe vit bien, on a des super gars. Concernant le basket, on est une toute nouvelle équipe. On n’a pas encore certains automatismes qu’on aura au cours de l’année. Mais c’est à ça que sert cette préparation à Bormio. Petit-à-petit, on va construire l’équipe collectivement pour préparer cette grande saison qui nous attend », explique le pivot monégasque.
L’interview en vidéo :
Photo : Jerry Boutsiele (FIBA)
", "comment_id":"563357", "plaintext":"Arrivé cet été en provenance de Limoges, Jerry Boutsiele se prépare à une saison pleine en Betclic Elite mais surtout en Euroleague avec Monaco.\n\nJerry Boutsiele (2,07 m, 28 ans) respire le calme et sérénité à Bormio (Italie) lors du traditionnel stage de préparation de la Roca Team. Interviewé par Monaco Info, l’international français se montre heureux d’intégrer un groupe avec de très grandes ambitions.\n\n« La préparation se passe bien. On apprend tous à se connaître, le groupe vit bien, on a des super gars. Concernant le basket, on est une toute nouvelle équipe. On n’a pas encore certains automatismes qu’on aura au cours de l’année. Mais c’est à ça que sert cette préparation à Bormio. Petit-à-petit, on va construire l’équipe collectivement pour préparer cette grande saison qui nous attend », explique le pivot monégasque.\n\nL’interview en vidéo :\n\nPhoto : Jerry Boutsiele (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/01/jerry-boutsiele.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-29T12:02:54.000Z", "updated_at":"2021-08-29T11:59:18.000Z", "published_at":"2021-08-29T12:02:54.000Z", "custom_excerpt":"Arrivé cet été en provenance de Limoges, Jerry Boutsiele se prépare à une saison pleine en Betclic Elite mais surtout en Euroleague avec Monaco.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f0c", "uuid":"18fb46b2-6b76-4914-b065-e447689db13e", "title":"Espagne : Sylvain Francisco (ex-Roanne) s’engage officiellement avec Manresa", "slug":"espagne-sylvain-francisco-ex-roanne-sengage-officiellement-avec-manresa", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/Manresa?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/sylvain-francisco-ex-roanne-file-en-espagne-a-manresa/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Arrivé mi-août en qualité de partenaire d’entraînement, l’ancien Roannais Sylvain Francisco s’engage officiellement avec Manresa en Espagne.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après quatre saisons professionnelles en France entre l’Elite et la Pro B, Sylvain Francisco file en Espagne. Il est désormais officiellement sous contrat avec Manresa pour la saison 2021-2022. Le meneur de jeu (1,85 m, 23 ans) va découvrir la Liga Endesa mais aussi la Basketball Champions League après une saison réussie sous les ordres de Jean-Denys Choulet à la Chorale de Roanne (14,7 points, 4,7 passes décisives et 2,9 rebonds pour 14,3 d’évaluation).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Passé par Levallois et le Paris Basketball, le natif de Créteil avait été libéré par Roanne avant de filer en Catalogne\"],[0,[1],1,\", à Manresa, pour les entraînements\"],[0,[],0,\". Le joueur a convaincu le staff technique et son coach Pedro Martinez et restera avec l’équipe de Bages. Il y retrouvera notamment deux anciens pensionnaires d’Elite : le pivot belge Ismaël Bako (ex-ASVEL) et Chima Moneke (ex-Orléans).\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : Sylvain Francisco (Manresa)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Arrivé mi-août en qualité de partenaire d’entraînement, l’ancien Roannais Sylvain Francisco s’engage officiellement avec Manresa en Espagne.
Après quatre saisons professionnelles en France entre l’Elite et la Pro B, Sylvain Francisco file en Espagne. Il est désormais officiellement sous contrat avec Manresa pour la saison 2021-2022. Le meneur de jeu (1,85 m, 23 ans) va découvrir la Liga Endesa mais aussi la Basketball Champions League après une saison réussie sous les ordres de Jean-Denys Choulet à la Chorale de Roanne (14,7 points, 4,7 passes décisives et 2,9 rebonds pour 14,3 d’évaluation).
Passé par Levallois et le Paris Basketball, le natif de Créteil avait été libéré par Roanne avant de filer en Catalogne, à Manresa, pour les entraînements. Le joueur a convaincu le staff technique et son coach Pedro Martinez et restera avec l’équipe de Bages. Il y retrouvera notamment deux anciens pensionnaires d’Elite : le pivot belge Ismaël Bako (ex-ASVEL) et Chima Moneke (ex-Orléans).
Photo : Sylvain Francisco (Manresa)
", "comment_id":"563361", "plaintext":"Arrivé mi-août en qualité de partenaire d’entraînement, l’ancien Roannais Sylvain Francisco s’engage officiellement avec Manresa en Espagne.\n\nAprès quatre saisons professionnelles en France entre l’Elite et la Pro B, Sylvain Francisco file en Espagne. Il est désormais officiellement sous contrat avec Manresa pour la saison 2021-2022. Le meneur de jeu (1,85 m, 23 ans) va découvrir la Liga Endesa mais aussi la Basketball Champions League après une saison réussie sous les ordres de Jean-Denys Choulet à la Chorale de Roanne (14,7 points, 4,7 passes décisives et 2,9 rebonds pour 14,3 d’évaluation).\n\nPassé par Levallois et le Paris Basketball, le natif de Créteil avait été libéré par Roanne avant de filer en Catalogne, à Manresa, pour les entraînements. Le joueur a convaincu le staff technique et son coach Pedro Martinez et restera avec l’équipe de Bages. Il y retrouvera notamment deux anciens pensionnaires d’Elite : le pivot belge Ismaël Bako (ex-ASVEL) et Chima Moneke (ex-Orléans).\n\n\n🔏 𝙾𝙵𝙸𝙲𝙸𝙰𝙻\n👇SE QUEDA.\n\n⏩Sylvain Francisco es queda tota la temporada al BAXI #Manresa\n\n🙌🏻 Benvingut! ¡Bienvenido! Welcome!\n\n🇫🇷 FRA 👤 23 📏 1,85m 🧭 Aler\n🛬 @choraleroanne 🇫🇷 pic.twitter.com/PVmgaD9PZ7\n\n— BAXI Manresa (@BasquetManresa) August 29, 2021\n\n\nPhoto : Sylvain Francisco (Manresa)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/francisco-sylvain-manresa-preparation.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-29T11:57:20.000Z", "updated_at":"2021-12-08T14:58:42.000Z", "published_at":"2021-08-29T11:57:20.000Z", "custom_excerpt":"Arrivé mi-août en qualité de partenaire d’entraînement, l’ancien Roannais Sylvain Francisco s’engage officiellement avec Manresa en Espagne.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f0d", "uuid":"71fd5d43-2c1f-49f5-802c-5a73c11a81c1", "title":"L’ASVEL et l’OL dévoilent un maillot commun pour la saison prochaine", "slug":"lasvel-et-lol-porteront-un-maillot-commun-la-saison-prochaine", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/TeamASVEL?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Adidas, équipementier de l’ASVEL et de l’OL, vient de dévoiler officiellement un maillot unique porté par les quatre équipes féminines et masculines lyonnaises.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est une petite révolution. Les équipes féminines et masculines de l’OL et de l’ASVEL porteront un même maillot pendant la saison 2021-2022. Il s’agira de la tenue extérieure pour l’ASVEL féminin et l’ASVEL et du troisième maillot pour les équipes féminine et masculine de l’OL.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est une première pour la marque car aucun autre maillot n’a été partagé par plusieurs clubs aux disciplines différentes sur l’ensemble des effectifs féminins comme masculins. Il sera porté la première fois par les joueurs de l’OL lors d’un prochain match d’Europa League et par ceux de l’ASVEL début octobre.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : OL/ASVEL/Adidas\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Adidas, équipementier de l’ASVEL et de l’OL, vient de dévoiler officiellement un maillot unique porté par les quatre équipes féminines et masculines lyonnaises.
C’est une petite révolution. Les équipes féminines et masculines de l’OL et de l’ASVEL porteront un même maillot pendant la saison 2021-2022. Il s’agira de la tenue extérieure pour l’ASVEL féminin et l’ASVEL et du troisième maillot pour les équipes féminine et masculine de l’OL.
C’est une première pour la marque car aucun autre maillot n’a été partagé par plusieurs clubs aux disciplines différentes sur l’ensemble des effectifs féminins comme masculins. Il sera porté la première fois par les joueurs de l’OL lors d’un prochain match d’Europa League et par ceux de l’ASVEL début octobre.
Photo : OL/ASVEL/Adidas
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Après cinq saisons en NBA, Willy Hernangomez s’attendait à un rôle plus important en équipe nationale dans le collectif de Sergio Scariolo aux Jeux Olympiques. L’intérieur (2,09 m, 27 ans) a compilé 6,5 points, 4,5 rebonds et 0,8 contre pour 7,8 d’évaluation en 12 minutes (4 matches) à Tokyo, soit le 5e meilleur scoreur et le meilleur contreur de l’équipe tout en étant le 10e temps de jeu le plus faible.
« Je me suis senti très à l’aise cette année, même si j’aurais aimé avoir plus de responsabilités pour aider davantage l’équipe. Parfois, j’avais l’impression de devoir jouer avec le frein à main. Mais toutes les minutes que j’ai jouées, j’ai essayé de donner le maximum, ce qui est une façon de prétendre que nous sommes prêts et que nous voulons passer à l’étape suivante avec beaucoup d’enthousiasme pour la suite », explique-t-il dans un entretien à Marca.
S’il n’a aucun regret d’être tombé sur les Etats-Unis dès les quarts de finale, l’Espagnol est tourné vers le futur. Il souhaite devenir l’un des prochains leaders de l’équipe espagnole.
« Nous n’avons pas eu de chance à cause du nouveau format avec le tirage au sort, mais je suis heureux d’avoir participé à mes deuxièmes Jeux Olympiques et d’avoir tenter d’amener l’Espagne au sommet du monde. Pensons maintenant à l’EuroBasket, qui arrive vite. »
Photo : Willy Hernangomez (FIBA)
", "comment_id":"563321", "plaintext":"Willy Henangomez, intérieur des New Orleans Pelicans et depuis cinq saisons en NBA, se revendique comme l’un des prochains leaders de l’équipe espagnole.\n\nAprès cinq saisons en NBA, Willy Hernangomez s’attendait à un rôle plus important en équipe nationale dans le collectif de Sergio Scariolo aux Jeux Olympiques. L’intérieur (2,09 m, 27 ans) a compilé 6,5 points, 4,5 rebonds et 0,8 contre pour 7,8 d’évaluation en 12 minutes (4 matches) à Tokyo, soit le 5e meilleur scoreur et le meilleur contreur de l’équipe tout en étant le 10e temps de jeu le plus faible.\n\n« Je me suis senti très à l’aise cette année, même si j’aurais aimé avoir plus de responsabilités pour aider davantage l’équipe. Parfois, j’avais l’impression de devoir jouer avec le frein à main. Mais toutes les minutes que j’ai jouées, j’ai essayé de donner le maximum, ce qui est une façon de prétendre que nous sommes prêts et que nous voulons passer à l’étape suivante avec beaucoup d’enthousiasme pour la suite », explique-t-il dans un entretien à Marca.\n\nS’il n’a aucun regret d’être tombé sur les Etats-Unis dès les quarts de finale, l’Espagnol est tourné vers le futur. Il souhaite devenir l’un des prochains leaders de l’équipe espagnole.\n\n« Nous n’avons pas eu de chance à cause du nouveau format avec le tirage au sort, mais je suis heureux d’avoir participé à mes deuxièmes Jeux Olympiques et d’avoir tenter d’amener l’Espagne au sommet du monde. Pensons maintenant à l’EuroBasket, qui arrive vite. »\n\nPhoto : Willy Hernangomez (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/willy-hernangomez.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-29T07:47:21.000Z", "updated_at":"2021-08-29T07:47:28.000Z", "published_at":"2021-08-29T07:47:21.000Z", "custom_excerpt":"Willy Henangomez, intérieur des New Orleans Pelicans et depuis cinq saisons en NBA, se revendique comme l’un des prochains leaders de l’équipe espagnole.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f0f", "uuid":"b34ab312-4769-4ac5-b097-10a0559d1f8f", "title":"Présaison : les Metropolitans dominent Bourg, Roanne se reprend contre Antibes", "slug":"presaison-les-metropolitans-dominent-bourg-roanne-se-reprend-contre-antibes", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/BucketManRon?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://basketeurope.com/livenews-fr/562938/betclic-elite-le-programme-complet-des-matches-de-pre-saison/embed/#?secret=I99Zo2jBFo#?secret=Pr2G248GHO\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Plusieurs clubs de Betclic Elite débutaient leur préparation estivale samedi, notamment Boulogne-Levallois, qui a pris le meilleur sur Bourg-en-Bresse, à Marcel Cerdan, ou encore Pau.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Metropolitans 92 lancent leur préparation par une victoire contre la JL Bourg. Les Bressans avaient pris un départ canon (15-27, 10e) mais l’équipe de Sacha Giffa et Jean-Paul Besson (en attendant Vincent Collet), malgré les absences de Jordan McRae, Keith Hornsby, David Michineau et Vince Hunter, a réussi à inverser la tendance en deuxième mi-temps (68-65).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour son premier match de la saison, l’Elan Béarnais a renversé le relégué voisin Boulazac (77-74). Justin Bibbins (21 points, 10 passes décisives) et Gregor Hrovat (13 points) se sont mis en valeur. Brandon Jefferson a lui été préservé en fin de match après une alerte au genou.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Parmi les autres rencontres, Champagne Basket a dominé les Belges d’Anvers (70-66). Neal Sako s’est mis en évidence (10 points à 4/6 aux tirs, 14 rebonds et 3 contres pour 25 d’évaluation en 23 minutes), tout comme le jeune meneur Enzo Goudou-Sinha (14 points, 3 passes).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Enfin, Roanne a relevé la tête au Tournoi Riviera des Alpes d’Aix-les-Bains. 24 heures après sa défaite contre Aix-Maurienne, le collectif de Jean-Denys Choulet a battu Antibes (99-91). Ronald March a inscrit pas moins de 38 points, et surtout un superbe alley-oop renversé.\"]]],[10,0],[10,1],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Metropolitans 92\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Plusieurs clubs de Betclic Elite débutaient leur préparation estivale samedi, notamment Boulogne-Levallois, qui a pris le meilleur sur Bourg-en-Bresse, à Marcel Cerdan, ou encore Pau.
Les Metropolitans 92 lancent leur préparation par une victoire contre la JL Bourg. Les Bressans avaient pris un départ canon (15-27, 10e) mais l’équipe de Sacha Giffa et Jean-Paul Besson (en attendant Vincent Collet), malgré les absences de Jordan McRae, Keith Hornsby, David Michineau et Vince Hunter, a réussi à inverser la tendance en deuxième mi-temps (68-65).
Pour son premier match de la saison, l’Elan Béarnais a renversé le relégué voisin Boulazac (77-74). Justin Bibbins (21 points, 10 passes décisives) et Gregor Hrovat (13 points) se sont mis en valeur. Brandon Jefferson a lui été préservé en fin de match après une alerte au genou.
Parmi les autres rencontres, Champagne Basket a dominé les Belges d’Anvers (70-66). Neal Sako s’est mis en évidence (10 points à 4/6 aux tirs, 14 rebonds et 3 contres pour 25 d’évaluation en 23 minutes), tout comme le jeune meneur Enzo Goudou-Sinha (14 points, 3 passes).
Enfin, Roanne a relevé la tête au Tournoi Riviera des Alpes d’Aix-les-Bains. 24 heures après sa défaite contre Aix-Maurienne, le collectif de Jean-Denys Choulet a battu Antibes (99-91). Ronald March a inscrit pas moins de 38 points, et surtout un superbe alley-oop renversé.
Photo : Metropolitans 92
", "comment_id":"563313", "plaintext":"Plusieurs clubs de Betclic Elite débutaient leur préparation estivale samedi, notamment Boulogne-Levallois, qui a pris le meilleur sur Bourg-en-Bresse, à Marcel Cerdan, ou encore Pau.\n\nLes Metropolitans 92 lancent leur préparation par une victoire contre la JL Bourg. Les Bressans avaient pris un départ canon (15-27, 10e) mais l’équipe de Sacha Giffa et Jean-Paul Besson (en attendant Vincent Collet), malgré les absences de Jordan McRae, Keith Hornsby, David Michineau et Vince Hunter, a réussi à inverser la tendance en deuxième mi-temps (68-65).\n\nPour son premier match de la saison, l’Elan Béarnais a renversé le relégué voisin Boulazac (77-74). Justin Bibbins (21 points, 10 passes décisives) et Gregor Hrovat (13 points) se sont mis en valeur. Brandon Jefferson a lui été préservé en fin de match après une alerte au genou.\n\nParmi les autres rencontres, Champagne Basket a dominé les Belges d’Anvers (70-66). Neal Sako s’est mis en évidence (10 points à 4/6 aux tirs, 14 rebonds et 3 contres pour 25 d’évaluation en 23 minutes), tout comme le jeune meneur Enzo Goudou-Sinha (14 points, 3 passes).\n\nEnfin, Roanne a relevé la tête au Tournoi Riviera des Alpes d’Aix-les-Bains. 24 heures après sa défaite contre Aix-Maurienne, le collectif de Jean-Denys Choulet a battu Antibes (99-91). Ronald March a inscrit pas moins de 38 points, et surtout un superbe alley-oop renversé.\n\n\n3️⃣8️⃣ points pour @BucketManRon face aux @AntibesSharks et un alley hoop dunk arrière en prime 👀#ChoraleNation #BetclicELITE pic.twitter.com/p2uQqUJpiv\n\n— Chorale Roanne Basket (@ChoraleRoanne) August 28, 2021\n\n\nPhoto : Metropolitans 92", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/cummings-metropolitans-e1633444994191.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-29T06:42:29.000Z", "updated_at":"2021-08-29T07:57:17.000Z", "published_at":"2021-08-29T06:42:29.000Z", "custom_excerpt":"Plusieurs clubs de Betclic Elite débutaient leur préparation estivale samedi, notamment Boulogne-Levallois, qui a pris le meilleur sur Bourg-en-Bresse, à Marcel Cerdan, ou encore Pau.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f10", "uuid":"9f3b2415-af16-4d63-b98c-0ea2ae8f8f72", "title":"Ostoja Mijailovic, président du Partizan Belgrade : « Le budget est d’environ six millions d’euros »", "slug":"ostoja-mijailovic-president-du-partizan-belgrade-le-budget-est-denviron-six-millions-deuros", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://basketeurope.com/livenews-fr/562212/rodions-kurucs-partizan-belgrade-cest-dur-detre-sur-le-banc-en-nba/embed/#?secret=1s1cNpnyCw#?secret=ldqaHbVt0r\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"https://24sedam.rs/sport/otkriven-budzet-partizana-za-narednu-sezonu-mijailovic-za-24sedam-o-svim-brojkama/\"]]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La refonte de l’effectif du Partizan n’a pas augmenté de manière significative le budget de la saison, selon le président du club Ostoja Mijailovic.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après avoir épongé des dettes pendant plusieurs années, le chef d’entreprise et homme politique, Ostoja Mijailovic, président du Partizan Belgrade depuis quatre ans, n’a qu’un seul souhait : rejoindre son rival de l’Etoile Rouge en Euroleague.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cet été, il a mis les petits plats dans les grands en signant le coach légendaire Zeljko Obradovic mais aussi Zach LeDay, Kevin Punter, Rodions Kurucs, Yam Madar, Dallas Moore, Alen Smailagic, Balsa Koprivica ou encore Aleksa Avramovic… Autant de joueurs expérimentés et de jeunes prospects européens réunis dans une même équipe qui peinait à se réinventer depuis quelques saisons. 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Après avoir épongé des dettes pendant plusieurs années, le chef d’entreprise et homme politique, Ostoja Mijailovic, président du Partizan Belgrade depuis quatre ans, n’a qu’un seul souhait : rejoindre son rival de l’Etoile Rouge en Euroleague.
Cet été, il a mis les petits plats dans les grands en signant le coach légendaire Zeljko Obradovic mais aussi Zach LeDay, Kevin Punter, Rodions Kurucs, Yam Madar, Dallas Moore, Alen Smailagic, Balsa Koprivica ou encore Aleksa Avramovic… Autant de joueurs expérimentés et de jeunes prospects européens réunis dans une même équipe qui peinait à se réinventer depuis quelques saisons. Mais selon le président, cette refonte de l’effectif du Partizan n’a pas augmenté de manière significative le budget de la saison.
« Je divulgue le budget du Partizan suite aux préoccupations exprimées. Le budget de l’équipe senior, de l’équipe jeunes et du staff est d’environ six millions d’euros. C’est proche du budget des deux dernières saisons. Je ne discuterai pas des contrats de chaque joueur séparément. Ce ne serait pas juste pour eux et leurs familles. Je précise que si l’argent était un facteur décisif, le Partizan ne serait pas le premier choix de notre entraîneur ou des nouveaux joueurs », présente Mijailovic à 24sedam.
Le Partizan est actuellement en présaison avant sa participation à l’Eurocup et à l’ABA League.
Photo : Partizan Belgrade
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Mais selon le président, cette refonte de l’effectif du Partizan n’a pas augmenté de manière significative le budget de la saison.\n\n« Je divulgue le budget du Partizan suite aux préoccupations exprimées. Le budget de l’équipe senior, de l’équipe jeunes et du staff est d’environ six millions d’euros. C’est proche du budget des deux dernières saisons. Je ne discuterai pas des contrats de chaque joueur séparément. Ce ne serait pas juste pour eux et leurs familles. Je précise que si l’argent était un facteur décisif, le Partizan ne serait pas le premier choix de notre entraîneur ou des nouveaux joueurs », présente Mijailovic à 24sedam.\n\nLe Partizan est actuellement en présaison avant sa participation à l’Eurocup et à l’ABA League.\n\nPhoto : Partizan Belgrade", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/12/ostoja-mijailovic.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-29T06:19:47.000Z", "updated_at":"2021-08-29T06:19:54.000Z", "published_at":"2021-08-29T06:19:47.000Z", "custom_excerpt":"La refonte de l’effectif du Partizan n’a pas augmenté de manière significative le budget de la saison, selon le président du club Ostoja Mijailovic.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f11", "uuid":"8331b9a7-53b3-4f26-aa96-002e3bfbfb5d", "title":"AfroBasket : le Cap-Vert et la Tunisie premiers qualifiés pour les quarts de finale", "slug":"afrobasket-le-cap-vert-et-la-tunisie-premiers-qualifies-pour-les-quarts-de-finale", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/CPV?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"http://www.fiba.basketball/fr/afrobasket/2021/news/mendonca-sparks-cape-verde-into-quarterfinals-tunisia-stay-perfect\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le Cap-Vert et la Tunisie sont les deux premières équipes qualifiées pour les quarts de finale de l’AfroBasket 2021 grâce à leurs victoires respectives sur le Rwanda et la République centrafricaine.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pour la deuxième fois de son histoire, le Cap-Vert est en quarts de finale de l’AfroBasket. Ce n’était pas arrivé depuis 2007. Un petit exploit grâce à sa victoire séduisante contre le pays-hôte, le Rwanda (82-74), après avoir compté 25 points d’avance dans le dernier quart-temps. Le Madrilène Walter Tavares (14 points, 14 rebonds, 2 contres, 2 interceptions pour 30 d’évaluation en 31 minutes) a joué les agitateurs en défense pour son deuxième double-double du tournoi.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Le Rwanda nous a donné du fil à retordre. Nous sommes heureux de nous être qualifiés pour les quarts de finale. Je tiens à remercier tous ceux qui ont rendu cette aventure au Rwanda possible. Dans un tournoi comme celui-ci, le repos est très important. Toute l’équipe est heureuse d’avoir trois jours sans match devant elle. 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Je suis sûr que les autres équipes vont davantage se méfier de nous dorénavant. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Deuxième de son groupe, le Rwanda affrontera la Guinée, qui a pris le 3e rang du Groupe B, lors du tour qualificatif pour les quarts de finale. Dans le Groupe A, l’Angola, ancien multiple champion d’Afrique, n’a pas dit son dernier mot en s’imposant contre la République démocratique du Congo (73-58) pour prendre la 3e place du groupe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans l’ultime rencontre de la journée, la Tunisie, championne en titre, a dominé la République centrafricaine (68-51) pour s’adjuger la première place du groupe avec un bilan de 3-0. Avec ce succès, la Tunisie rejoint le Cap-Vert en quarts de finale. Les vainqueurs des Groupes C et D les accompagneront parmi les pays directement qualifiés.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La République centrafricaine et la République démocratique du Congo sont elles les deux premières équipes éliminées de l’AfroBasket 2021.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : Walter Tavares (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le Cap-Vert et la Tunisie sont les deux premières équipes qualifiées pour les quarts de finale de l’AfroBasket 2021 grâce à leurs victoires respectives sur le Rwanda et la République centrafricaine.
Pour la deuxième fois de son histoire, le Cap-Vert est en quarts de finale de l’AfroBasket. Ce n’était pas arrivé depuis 2007. Un petit exploit grâce à sa victoire séduisante contre le pays-hôte, le Rwanda (82-74), après avoir compté 25 points d’avance dans le dernier quart-temps. Le Madrilène Walter Tavares (14 points, 14 rebonds, 2 contres, 2 interceptions pour 30 d’évaluation en 31 minutes) a joué les agitateurs en défense pour son deuxième double-double du tournoi.
« Le Rwanda nous a donné du fil à retordre. Nous sommes heureux de nous être qualifiés pour les quarts de finale. Je tiens à remercier tous ceux qui ont rendu cette aventure au Rwanda possible. Dans un tournoi comme celui-ci, le repos est très important. Toute l’équipe est heureuse d’avoir trois jours sans match devant elle. Peu importe notre adversaire en quarts de finale », confie-t-il sur le site de la FIBA.
Emanuel Trovoada, l’homme qui a guidé le Cap-Vert sur la 3e marche du podium de l’AfroBasket 2007, rappelle que la route qui mène à un autre podium est encore très longue.
« Nous avons surmonté de nombreux obstacles pour être présents dans ce tournoi. Nous avons eu des problèmes pour se préparer mais notre confiance et notre détermination à progresser jour après jour nous ont aidés à en arriver là aujourd’hui. Nous sommes arrivés à Kigali dans la peau de challengers et nous avons finalement gagné notre groupe. J’ai dit à mes joueurs que s’ils voulaient avoir du succès, il fallait battre les hôtes, qui ont investi énormément pour conquérir ce trophée chez eux. Nous sommes confiants, mais nous allons prendre les matches les uns après les autres. Je suis sûr que les autres équipes vont davantage se méfier de nous dorénavant. »
Deuxième de son groupe, le Rwanda affrontera la Guinée, qui a pris le 3e rang du Groupe B, lors du tour qualificatif pour les quarts de finale. Dans le Groupe A, l’Angola, ancien multiple champion d’Afrique, n’a pas dit son dernier mot en s’imposant contre la République démocratique du Congo (73-58) pour prendre la 3e place du groupe.
Dans l’ultime rencontre de la journée, la Tunisie, championne en titre, a dominé la République centrafricaine (68-51) pour s’adjuger la première place du groupe avec un bilan de 3-0. Avec ce succès, la Tunisie rejoint le Cap-Vert en quarts de finale. Les vainqueurs des Groupes C et D les accompagneront parmi les pays directement qualifiés.
La République centrafricaine et la République démocratique du Congo sont elles les deux premières équipes éliminées de l’AfroBasket 2021.
Photo : Walter Tavares (FIBA)
", "comment_id":"563304", "plaintext":"Le Cap-Vert et la Tunisie sont les deux premières équipes qualifiées pour les quarts de finale de l’AfroBasket 2021 grâce à leurs victoires respectives sur le Rwanda et la République centrafricaine.\n\nPour la deuxième fois de son histoire, le Cap-Vert est en quarts de finale de l’AfroBasket. Ce n’était pas arrivé depuis 2007. Un petit exploit grâce à sa victoire séduisante contre le pays-hôte, le Rwanda (82-74), après avoir compté 25 points d’avance dans le dernier quart-temps. Le Madrilène Walter Tavares (14 points, 14 rebonds, 2 contres, 2 interceptions pour 30 d’évaluation en 31 minutes) a joué les agitateurs en défense pour son deuxième double-double du tournoi.\n\n« Le Rwanda nous a donné du fil à retordre. Nous sommes heureux de nous être qualifiés pour les quarts de finale. Je tiens à remercier tous ceux qui ont rendu cette aventure au Rwanda possible. Dans un tournoi comme celui-ci, le repos est très important. Toute l’équipe est heureuse d’avoir trois jours sans match devant elle. Peu importe notre adversaire en quarts de finale », confie-t-il sur le site de la FIBA.\n\nEmanuel Trovoada, l’homme qui a guidé le Cap-Vert sur la 3e marche du podium de l’AfroBasket 2007, rappelle que la route qui mène à un autre podium est encore très longue.\n\n« Nous avons surmonté de nombreux obstacles pour être présents dans ce tournoi. Nous avons eu des problèmes pour se préparer mais notre confiance et notre détermination à progresser jour après jour nous ont aidés à en arriver là aujourd’hui. Nous sommes arrivés à Kigali dans la peau de challengers et nous avons finalement gagné notre groupe. J’ai dit à mes joueurs que s’ils voulaient avoir du succès, il fallait battre les hôtes, qui ont investi énormément pour conquérir ce trophée chez eux. Nous sommes confiants, mais nous allons prendre les matches les uns après les autres. Je suis sûr que les autres équipes vont davantage se méfier de nous dorénavant. »\n\nDeuxième de son groupe, le Rwanda affrontera la Guinée, qui a pris le 3e rang du Groupe B, lors du tour qualificatif pour les quarts de finale. Dans le Groupe A, l’Angola, ancien multiple champion d’Afrique, n’a pas dit son dernier mot en s’imposant contre la République démocratique du Congo (73-58) pour prendre la 3e place du groupe.\n\nDans l’ultime rencontre de la journée, la Tunisie, championne en titre, a dominé la République centrafricaine (68-51) pour s’adjuger la première place du groupe avec un bilan de 3-0. Avec ce succès, la Tunisie rejoint le Cap-Vert en quarts de finale. Les vainqueurs des Groupes C et D les accompagneront parmi les pays directement qualifiés.\n\nLa République centrafricaine et la République démocratique du Congo sont elles les deux premières équipes éliminées de l’AfroBasket 2021.\n\n\nHey #CPV🇨🇻 fans! You know it! HUGE win over #RWA🇷🇼! @fcbbcaboverde #AfroBasket pic.twitter.com/LdszXyoJhW\n\n— FIBA #AfroBasket (@AfroBasket) August 28, 2021\n\n\nPhoto : Walter Tavares (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/walter-tavares-cap-vert.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-29T05:56:42.000Z", "updated_at":"2021-08-29T05:56:50.000Z", "published_at":"2021-08-29T05:56:42.000Z", "custom_excerpt":"Le Cap-Vert et la Tunisie sont les deux premières équipes qualifiées pour les quarts de finale de l’AfroBasket 2021 grâce à leurs victoires respectives sur le Rwanda et la République centrafricaine.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f12", "uuid":"458882c7-bbd9-4901-9ca4-350440480b1b", "title":"Une première édition de l’Open de France Juniorleague 3×3 détonnante à Poitiers", "slug":"une-premiere-edition-de-lopen-de-france-juniorleague-3x3-detonnante-au-futuroscope", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://t.co/0YJm9jboRs\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/juniorleague3x3?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/VFxlgq8p5CI?start=1070&feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://play.fiba3x3.com/events/d22838bd-1f75-49c8-b2fa-8d2c85ec96c6/schedule\",\"rel\",\"noreferrer noopener\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La première édition de l’Open de France Juniorleague 3×3 s’est déroulée à Poitiers ce vendredi et samedi. 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Chez les garçons, les Parisiens de la team Wakanda ont pris le meilleur sur Monaco en finale (15-13). C’est Curtin Chaudrin qui remporte le titre de MVP du tournoi.\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[0,1],2,\"Retrouvez tous les résulats ici\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le replay des phases finales :\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : 3×3 (Guillaume Karli – FFBB)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"La première édition de l’Open de France Juniorleague 3×3 s’est déroulée à Poitiers ce vendredi et samedi. La team Spicy Girls et la team Wakanda ont soulevé le trophée.
Après s’être qualifiés en remportant l’un des Opens Plus régionaux, les 12 meilleures équipes U18 masculines et féminines de l’Hexagone s’affrontaient dans un même lieu avec un objectif commun : être les premiers à inscrire leurs noms au palmarès de la Juniorleague 3×3. Voici le tableau proposé aux fans de basket à Poitiers pendant deux jours. Pour cette grande première, la Fédération Française de BasketBall (FFBB) s’est installée sur le playground du Jardin des Plantes. Vendredi, les phases de poules ont réservé quelques highlights…
Les phases finales ont également tenu leurs promesses. Prolongations, game winners, concours de dunks et finales à spectacles… la jeune génération s’est fait plaisir. Chez les filles, les Nordistes de la team Spicy Girls ont battu la team des Dunkerquoises en finale (15-10). Daphné Lebrun (Spicy Girls) est élue MVP du tournoi. Chez les garçons, les Parisiens de la team Wakanda ont pris le meilleur sur Monaco en finale (15-13). C’est Curtin Chaudrin qui remporte le titre de MVP du tournoi.
Retrouvez tous les résulats ici
Le replay des phases finales :
Photo : 3×3 (Guillaume Karli – FFBB)
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Vendredi, les phases de poules ont réservé quelques highlights…\n\n\n😱😱\n\n\"Le poster va être affiché à Poitiers pendant longtemps\"\n\nEt ça se passe en direct sur Youtube FFBB : https://t.co/0YJm9jboRs#Juniorleague3x3 pic.twitter.com/lrf5Qmv5uo\n\n— 3×3 FFBB (@3x3ffbb) August 28, 2021\n\n\nLes phases finales ont également tenu leurs promesses. Prolongations, game winners, concours de dunks et finales à spectacles… la jeune génération s’est fait plaisir. Chez les filles, les Nordistes de la team Spicy Girls ont battu la team des Dunkerquoises en finale (15-10). Daphné Lebrun (Spicy Girls) est élue MVP du tournoi. Chez les garçons, les Parisiens de la team Wakanda ont pris le meilleur sur Monaco en finale (15-13). C’est Curtin Chaudrin qui remporte le titre de MVP du tournoi.\n\n\nWOW ce concours de dunk 😵😵\n\n1️⃣, 2️⃣ ou 3️⃣ ?\n\nLe Talent n'Attend Pas 👊#juniorleague3x3 @poitiersfr @futuroscope pic.twitter.com/Co7FANvNwT\n\n— 3×3 FFBB (@3x3ffbb) August 28, 2021\n\n\nRetrouvez tous les résulats ici\n\nLe replay des phases finales :\n\nPhoto : 3×3 (Guillaume Karli – FFBB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/3x3-juniorleague-poitiers-2021-karli-guillaume-ffbb.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-29T05:36:40.000Z", "updated_at":"2021-08-29T12:06:12.000Z", "published_at":"2021-08-29T05:36:40.000Z", "custom_excerpt":"La première édition de l’Open de France Juniorleague 3×3 s’est déroulée à Poitiers ce vendredi et samedi. 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Le 53ème choix de la draft NBA 2016 espère toujours rejoindre le Colorado et les Denver Nuggets, franchise qui a cru en lui.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le premier match que vous avez joué en pro :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mon premier, c’était contre Levallois, avec le MSB, en 2014-2015. On avait pas mal de blessés, on manquait d’intérieurs. Erman Kunter est venu me voir le matin du match dans ma chambre d’hôtel pour me dire que j’allais démarrer la rencontre. Il ne m’a pas mis de pression supplémentaire, il voulait seulement que je me concentre avant tout sur le rebond et la défense. Cela m’a permis de me lancer en LNB puisque j’ai continué à beaucoup jouer (\"],[0,[1],1,\"NDLR : ce jour-là, il termine à 7 points, 3 rebonds et 2 passes décisives en 14 minutes\"],[0,[],0,\").\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le joueur qui vous a rendu meilleur :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’hésite mais j’ai envie de dire Alain Koffi et Dounia Issa. C’étaient mes premiers partenaires à l’intérieur quand j’ai débuté. Ils m’ont permis de comprendre la dureté du monde professionnel. Ils n’ont pas le même profil, Alain est plus longiligne alors que Dounia est plus en puissance. Ils m’ont donné de nombreux conseils sur comment attaquer, comment défendre. C’était très dur, surtout qu’à l’époque, Dounia était l’un des meilleurs défenseurs de la ligue (\"],[0,[1],1,\"NDLR : élu meilleur défenseur en 2007-2008\"],[0,[],0,\") !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le meilleur joueur actuel de votre championnat :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bonzie Colson de Strasbourg. C’est un très fort joueur, assez polyvalent. « Clutch » ? Cela ne s’est pas forcément vu sur les derniers matchs mais il est très régulier. Pour moi, le meilleur joueur, cela doit être quelqu’un qui porte l’équipe tout en étant complet. Il est présent à chaque match mais avant tout c’est celui qui fait gagner l’équipe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le joueur le plus râleur du championnat :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’en ai deux et j’ai joué avec. D’un côté, Valentin Bigote, de l’autre Rémi Lesca. Sur le terrain, ils ont toujours un truc à dire aux arbitres, en dehors c’est pareil ! Je ne sais pas qui est le pire mais ce sont des râleurs professionnels. Les deux sont des mauvais perdants mais je dirais surtout Rémi sur ce point-là.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le coach qui vous a le plus marqué :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Erman Kunter. C’est le coach qui m’a fait démarrer, tout simplement. C’est aussi quelqu’un qui a un charisme, il est très impressionnant. Dans sa communication, il est un peu particulier avec les joueurs. Il arrive à tirer soit le meilleur soit le pire d’eux-mêmes. Il lance des piques donc c’est à double tranchant. Avec moi, on ne discutait pas tellement mais quand j’ai eu un coup de moins bien dans la saison, il était venu me voir pour savoir comment j’allais.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le club où vous aimeriez jouer :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Denver Nuggets. J’ai été drafté là-bas (53ème position en 2016), j’y ai fait des Summer Leagues, des training camps. J’adore le staff, la ville, les infrastructures sont justes folles. Il y a une salle d’entraînement, la salle de musculation juste à côté, des bains chaud et froid, des salles de cryothérapie. Tous les appareils de récupération possibles et inimaginables sont présents. Le staff est géant, il y a 3 kinés, 2 physiothérapeutes… C’est professionnel mais 2.0. Je n’ai pas de regrets de ne pas être en NBA à l’heure actuelle, car pour moi, ce n’est pas fini. Je me donne à fond sur le terrain et on verra la suite. Je reste toujours en contact avec Denver, c’est un point positif.\"]]],[10,0],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Avant, je disais que je ne voulais jamais jouer à Paris, que c’était trop grand, que je ne m’y ferais pas »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le club où vous ne voulez pas jouer :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il n’y a pas vraiment de club sur lequel je suis fermé. Avant, je disais que je ne voudrais jamais jouer à Paris, que c’était trop grand, que je ne m’y ferais pas. C’est alors que mon agent m’appelle et me dit que Levallois souhaite me recruter. Au final, j’ai adoré ! C’était une des meilleures saisons de ma carrière (\"],[0,[1],1,\"NDLR : saison 2017-2018\"],[0,[],0,\"). C’est sûr qu’il y a des régions ou clubs moins sexys que d’autres mais je ne suis pas fermé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Votre pire souvenir de joueur :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’essaie de les oublier (rires). Je pense à la défaite en demi-finale de championnat d’Europe U20 contre l’Espagne en 2015. En face, il y avait Willy Hernangomez, Ilimane Diop de Baskonia. Jusqu’au milieu du 3ème quart, on faisait un très bon match, on mène de bout en bout. À partir de ce moment-là, ils commencent à faire des trucs d’Espagnols, des petits coups bas par ci par là. On sort un peu du match et au final, on s’incline (\"],[0,[1],1,\"NDLR : 70-61 contre l’Espagne, qui perd en finale contre la Serbie de Marko Guduric\"],[0,[],0,\").\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Votre adversaire le plus coriace :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En club, je dirais Dijon sur les 2-3 dernières années ou Strasbourg quand on perd contre eux en demi-finales en 2016. En joueur, je dirais Amara Sy. Il était chiant, c’était pas simple de défendre sur lui. Avec lui, j’ai eu une très mauvaise expérience quand j’étais à Levallois. Pour mon premier match avec eux, il m’avait fait la misère. Il inscrit 10 points sur ma tête en 1ère mi-temps, je crois. David Holston aussi, c’est très chiant de défendre sur lui, surtout quand t’es grand.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le trophée que vous êtes le plus fier d’exposer :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Coupe de France de 2016 avec Le Mans. J’ai gagné la Leaders Cup avec JD Jackson avant mais je jouais peu. Certes, j’ai marqué 2 points mais pour moi je ne le compte pas vraiment comme un titre que j’ai gagné. La Coupe de France, je jouais bien plus. C’était devant plus de 16 000 personnes à Bercy, c’était la folie ! Ce n’est pas tous les jours qu’on joue là-bas. Quand on démarre une carrière et que l’on gagne rapidement, on se dit qu’il y en aura d’autres très vite, que c’est banal. Au final, on remarque très vite que c’est difficile, il faut les savourer. J’en parle par expérience.\"]]],[10,1],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[0],1,\"Il faudrait donc fixer une bonne fois la règle du marcher. Que ce soit clair et égal pour tout le monde \"],[0,[],0,\"»\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je pense que je prendrais le « fadeway ». Par contre, choisir le joueur, c’est plus compliqué, tellement de mecs l’utilisent. Je vais dire celui de Dirk Nowitzki. Tout simplement, ce move est d’une grâce et puis il est quasiment indéfendable. Dirk le réalisait à un pied, c’était encore plus fort !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Si vous deviez payer votre place pour voir un joueur :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’irais voir les Lakers pour LeBron et Davis ou sinon Bam Adebayo à Miami. 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Cela a toujours été une des mes forces. 43% à 3-points ? Je pense que ça pourrait être mieux, j’ai raté beaucoup de tirs en début de saison. Pour ce qui est des deux points, 52% c’est pas mal on est au-dessus des 50% mais je dois me rapprocher des 60%. Un endroit où je dois bosser également, c’est le rebond. Sur un match, je peux être à 10 et l’autre à 6. J’ai cette capacité d’être un fort rebondeur, je dois être plus régulier tout simplement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Si vous aviez une règle à changer dans le basket :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Je dirais une bonne fois pour toute sur la règle du marcher. Un coup, on siffle sur les départs directs alors qu’il n’y a forcément marcher, de l’autre en NBA les joueurs font trois pas mais personne ne dit rien. Il faudrait donc fixer une bonne fois la règle. Que ce soit clair et égal pour tout le monde.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Est-ce que ça vaut la peine de discuter avec les arbitres :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’avais tendance à le faire avant mais maintenant, plus trop. Je préfère réagir sur le terrain. Malgré tout, c’est intéressant de leur parler pour avoir des réponses. Il ne faut pas rentrer dans l’adversité par contre, l’arbitre se ferme sinon et le dialogue est impossible. \"],[0,[0],1,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le principal sujet de conversation entre joueurs :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cela dépend selon les équipes où j’ai joué. Je dirais principalement la NBA ou l’Euroleague, la musique en 2 et en 3 les jeux vidéos. À Pau, le sujet principal est la NBA. On n’a pas beaucoup de fans d’une franchise mais on parle des performances, des meilleurs joueurs. Un sujet revient chaque année en mars, la « March Madness ». On ne fait pas de « bracket » car on ne connaît pas toutes les universités mais on regarde les matchs. On aurait voulu que Joel Ayayi gagne mais il a tout de même réussi un beau parcours.\"]]],[10,2],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[0],1,\"Me résumer en quelques mots ? Je suis quelqu’un qui cherche son plein potentiel, c’est tout !\"],[0,[],0,\" »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Votre meilleur pote dans le basket :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Valentin Bigote. On se connait depuis 3 ans, on a joué ensemble au Mans. On s’est directement très bien entendu. Depuis on ne se quitte plus, on part même en vacances ensemble.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Aimez-vous lire ou regarder des reportages sur vous :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pas tellement. Après, c’est\"],[0,[0],1,\" \"],[0,[],0,\"toujours intéressant de voir ce qui se dit mais en général plus tellement. Si c’est bien, tu te sens pousser des ailes, s’il y a de la critique, tu perds en confiance. À un moment, au début de ma carrière, je les regardais beaucoup. J’avais fait une bonne première saison, il y avait beaucoup d’espoirs donc bien entendu de la pression. Le plus dur au final est après cette saison, quand il fallait reproduire. Cela engendre encore plus de pression.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Votre principale occupation entre deux entraînements :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Principalement la récupération. Dès que je rentre de l’entraînement, je mange et je dors. J’essaie de lire également, en ce moment je suis sur la biographie de Michael Jordan. C’est pas mal, j’aime beaucoup. Le soir, je me pose sur mon canapé pour regarder l’Euroleague.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La ville où vous avez joué et que vous préférez :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Levallois. Ce qui est génial, c’est qu’on est à côté de Paris mais on dirait une petite ville. C’est super cool, je me suis vraiment plu là-bas. La salle par contre, on va pas se le cacher, ce n’est pas la meilleure, mais vraiment Levallois, j’adore y retourner !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous en quelques mots :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quelqu’un qui cherche son plein potentiel. C’est tout !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Si vous ne jouiez pas au basket :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bonne question… Je pense dans l’univers de la vidéo et de la photographie. J’aime beaucoup ce milieu artistique. Je suis quelqu’un de créatif donc je me serais sûrement orienté là-dedans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La musique préférée avant un début de match :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’aime bien écouter les vidéos de motivation sur YouTube avant les rencontres. Je ne suis pas trop musique, enfin cela dépend du « mood ».\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Si vous deviez faire un 1VS1 face à une légende, ce serait laquelle ? :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce n’est pas très original ce que je vais dire mais ce serait contre Michael Jordan. J’aimerais jouer face à lui juste pour me rendre compte à quel point il était fort. Si je devais choisir un joueur actuel, je dirais Anthony Davis. Un peu comme Jordan, pour voir comment il est fort, comment il domine la ligue. C’est en jouant contre ces joueurs qu’on apprend, que l’on s’améliore.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"],[1,[],0,0]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le premier match que vous avez joué en pro :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Mon premier, c’était contre Levallois, avec le MSB, en 2014-2015. On avait pas mal de blessés, on manquait d’intérieurs. Erman Kunter est venu me voir le matin du match dans ma chambre d’hôtel pour me dire que j’allais démarrer la rencontre. Il ne m’a pas mis de pression supplémentaire, il voulait seulement que je me concentre avant tout sur le rebond et la défense. Cela m’a permis de me lancer en LNB puisque j’ai continué à beaucoup jouer (\"],[0,[1],1,\"NDLR : ce jour-là, il termine à 7 points, 3 rebonds et 2 passes décisives en 14 minutes\"],[0,[],0,\").\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le joueur qui vous a rendu meilleur :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"J’hésite mais j’ai envie de dire Alain Koffi et Dounia Issa. C’étaient mes premiers partenaires à l’intérieur quand j’ai débuté. Ils m’ont permis de comprendre la dureté du monde professionnel. Ils n’ont pas le même profil, Alain est plus longiligne alors que Dounia est plus en puissance. Ils m’ont donné de nombreux conseils sur comment attaquer, comment défendre. C’était très dur, surtout qu’à l’époque, Dounia était l’un des meilleurs défenseurs de la ligue (\"],[0,[1],1,\"NDLR : élu meilleur défenseur en 2007-2008\"],[0,[],0,\") !\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le meilleur joueur actuel de votre championnat :\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bonzie Colson de Strasbourg. 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Le premier match que vous avez joué en pro :
Mon premier, c’était contre Levallois, avec le MSB, en 2014-2015. On avait pas mal de blessés, on manquait d’intérieurs. Erman Kunter est venu me voir le matin du match dans ma chambre d’hôtel pour me dire que j’allais démarrer la rencontre. Il ne m’a pas mis de pression supplémentaire, il voulait seulement que je me concentre avant tout sur le rebond et la défense. Cela m’a permis de me lancer en LNB puisque j’ai continué à beaucoup jouer (NDLR : ce jour-là, il termine à 7 points, 3 rebonds et 2 passes décisives en 14 minutes).
Le joueur qui vous a rendu meilleur :
J’hésite mais j’ai envie de dire Alain Koffi et Dounia Issa. C’étaient mes premiers partenaires à l’intérieur quand j’ai débuté. Ils m’ont permis de comprendre la dureté du monde professionnel. Ils n’ont pas le même profil, Alain est plus longiligne alors que Dounia est plus en puissance. Ils m’ont donné de nombreux conseils sur comment attaquer, comment défendre. C’était très dur, surtout qu’à l’époque, Dounia était l’un des meilleurs défenseurs de la ligue (NDLR : élu meilleur défenseur en 2007-2008) !
Le meilleur joueur actuel de votre championnat :
Bonzie Colson de Strasbourg. C’est un très fort joueur, assez polyvalent. « Clutch » ? Cela ne s’est pas forcément vu sur les derniers matchs mais il est très régulier. Pour moi, le meilleur joueur, cela doit être quelqu’un qui porte l’équipe tout en étant complet. Il est présent à chaque match mais avant tout c’est celui qui fait gagner l’équipe.
Le joueur le plus râleur du championnat :
J’en ai deux et j’ai joué avec. D’un côté, Valentin Bigote, de l’autre Rémi Lesca. Sur le terrain, ils ont toujours un truc à dire aux arbitres, en dehors c’est pareil ! Je ne sais pas qui est le pire mais ce sont des râleurs professionnels. Les deux sont des mauvais perdants mais je dirais surtout Rémi sur ce point-là.
Le coach qui vous a le plus marqué :
Erman Kunter. C’est le coach qui m’a fait démarrer, tout simplement. C’est aussi quelqu’un qui a un charisme, il est très impressionnant. Dans sa communication, il est un peu particulier avec les joueurs. Il arrive à tirer soit le meilleur soit le pire d’eux-mêmes. Il lance des piques donc c’est à double tranchant. Avec moi, on ne discutait pas tellement mais quand j’ai eu un coup de moins bien dans la saison, il était venu me voir pour savoir comment j’allais.
Le club où vous aimeriez jouer :
Les Denver Nuggets. J’ai été drafté là-bas (53ème position en 2016), j’y ai fait des Summer Leagues, des training camps. J’adore le staff, la ville, les infrastructures sont justes folles. Il y a une salle d’entraînement, la salle de musculation juste à côté, des bains chaud et froid, des salles de cryothérapie. Tous les appareils de récupération possibles et inimaginables sont présents. Le staff est géant, il y a 3 kinés, 2 physiothérapeutes… C’est professionnel mais 2.0. Je n’ai pas de regrets de ne pas être en NBA à l’heure actuelle, car pour moi, ce n’est pas fini. Je me donne à fond sur le terrain et on verra la suite. Je reste toujours en contact avec Denver, c’est un point positif.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/04/cornelie.jpg\")
« Avant, je disais que je ne voulais jamais jouer à Paris, que c’était trop grand, que je ne m’y ferais pas »
Le club où vous ne voulez pas jouer :
Il n’y a pas vraiment de club sur lequel je suis fermé. Avant, je disais que je ne voudrais jamais jouer à Paris, que c’était trop grand, que je ne m’y ferais pas. C’est alors que mon agent m’appelle et me dit que Levallois souhaite me recruter. Au final, j’ai adoré ! C’était une des meilleures saisons de ma carrière (NDLR : saison 2017-2018). C’est sûr qu’il y a des régions ou clubs moins sexys que d’autres mais je ne suis pas fermé.
Votre pire souvenir de joueur :
J’essaie de les oublier (rires). Je pense à la défaite en demi-finale de championnat d’Europe U20 contre l’Espagne en 2015. En face, il y avait Willy Hernangomez, Ilimane Diop de Baskonia. Jusqu’au milieu du 3ème quart, on faisait un très bon match, on mène de bout en bout. À partir de ce moment-là, ils commencent à faire des trucs d’Espagnols, des petits coups bas par ci par là. On sort un peu du match et au final, on s’incline (NDLR : 70-61 contre l’Espagne, qui perd en finale contre la Serbie de Marko Guduric).
Votre adversaire le plus coriace :
En club, je dirais Dijon sur les 2-3 dernières années ou Strasbourg quand on perd contre eux en demi-finales en 2016. En joueur, je dirais Amara Sy. Il était chiant, c’était pas simple de défendre sur lui. Avec lui, j’ai eu une très mauvaise expérience quand j’étais à Levallois. Pour mon premier match avec eux, il m’avait fait la misère. Il inscrit 10 points sur ma tête en 1ère mi-temps, je crois. David Holston aussi, c’est très chiant de défendre sur lui, surtout quand t’es grand.
Le trophée que vous êtes le plus fier d’exposer :
La Coupe de France de 2016 avec Le Mans. J’ai gagné la Leaders Cup avec JD Jackson avant mais je jouais peu. Certes, j’ai marqué 2 points mais pour moi je ne le compte pas vraiment comme un titre que j’ai gagné. La Coupe de France, je jouais bien plus. C’était devant plus de 16 000 personnes à Bercy, c’était la folie ! Ce n’est pas tous les jours qu’on joue là-bas. Quand on démarre une carrière et que l’on gagne rapidement, on se dit qu’il y en aura d’autres très vite, que c’est banal. Au final, on remarque très vite que c’est difficile, il faut les savourer. J’en parle par expérience.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/04/petr-cornelie.png\")
« Il faudrait donc fixer une bonne fois la règle du marcher. Que ce soit clair et égal pour tout le monde »
Si vous pouviez prendre le move d’un joueur :
Je pense que je prendrais le « fadeway ». Par contre, choisir le joueur, c’est plus compliqué, tellement de mecs l’utilisent. Je vais dire celui de Dirk Nowitzki. Tout simplement, ce move est d’une grâce et puis il est quasiment indéfendable. Dirk le réalisait à un pied, c’était encore plus fort !
Si vous deviez payer votre place pour voir un joueur :
J’irais voir les Lakers pour LeBron et Davis ou sinon Bam Adebayo à Miami. En ce moment, ça va être difficile pour les voir (NDLR : les deux Lakers étaient blessés au moment de l’interview) mais ce sont des joueurs qui font ma taille à peu près donc à qui j’essaie de m’identifier pour tenter de m’améliorer. Je regarde beaucoup leur jeu pour m’en inspirer. Sinon, en « all time », je dirais Kobe ou Jordan, bien sûr.
Pourquoi le numéro 12 :
C’est une affaire de famille, tout simplement. Ma soeur porte le 12, mon père avait le 12 quand il jouait, donc c’était logique de le choisir (NDLR: Petr Cornelie est le fils de deux anciens basketteurs, la Tchèque Pavla Sigmundova et Martial Cornelie)
L’exercice que vous faites en plus que les autres à l’entraînement :
Je shoote pas mal pour avoir le tir le plus fiable possible. Cela a toujours été une des mes forces. 43% à 3-points ? Je pense que ça pourrait être mieux, j’ai raté beaucoup de tirs en début de saison. Pour ce qui est des deux points, 52% c’est pas mal on est au-dessus des 50% mais je dois me rapprocher des 60%. Un endroit où je dois bosser également, c’est le rebond. Sur un match, je peux être à 10 et l’autre à 6. J’ai cette capacité d’être un fort rebondeur, je dois être plus régulier tout simplement.
Si vous aviez une règle à changer dans le basket :
Je dirais une bonne fois pour toute sur la règle du marcher. Un coup, on siffle sur les départs directs alors qu’il n’y a forcément marcher, de l’autre en NBA les joueurs font trois pas mais personne ne dit rien. Il faudrait donc fixer une bonne fois la règle. Que ce soit clair et égal pour tout le monde.
Est-ce que ça vaut la peine de discuter avec les arbitres :
J’avais tendance à le faire avant mais maintenant, plus trop. Je préfère réagir sur le terrain. Malgré tout, c’est intéressant de leur parler pour avoir des réponses. Il ne faut pas rentrer dans l’adversité par contre, l’arbitre se ferme sinon et le dialogue est impossible.
Le principal sujet de conversation entre joueurs :
Cela dépend selon les équipes où j’ai joué. Je dirais principalement la NBA ou l’Euroleague, la musique en 2 et en 3 les jeux vidéos. À Pau, le sujet principal est la NBA. On n’a pas beaucoup de fans d’une franchise mais on parle des performances, des meilleurs joueurs. Un sujet revient chaque année en mars, la « March Madness ». On ne fait pas de « bracket » car on ne connaît pas toutes les universités mais on regarde les matchs. On aurait voulu que Joel Ayayi gagne mais il a tout de même réussi un beau parcours.
« Me résumer en quelques mots ? Je suis quelqu’un qui cherche son plein potentiel, c’est tout ! »
Votre meilleur pote dans le basket :
Valentin Bigote. On se connait depuis 3 ans, on a joué ensemble au Mans. On s’est directement très bien entendu. Depuis on ne se quitte plus, on part même en vacances ensemble.
Aimez-vous lire ou regarder des reportages sur vous :
Pas tellement. Après, c’est toujours intéressant de voir ce qui se dit mais en général plus tellement. Si c’est bien, tu te sens pousser des ailes, s’il y a de la critique, tu perds en confiance. À un moment, au début de ma carrière, je les regardais beaucoup. J’avais fait une bonne première saison, il y avait beaucoup d’espoirs donc bien entendu de la pression. Le plus dur au final est après cette saison, quand il fallait reproduire. Cela engendre encore plus de pression.
Votre principale occupation entre deux entraînements :
Principalement la récupération. Dès que je rentre de l’entraînement, je mange et je dors. J’essaie de lire également, en ce moment je suis sur la biographie de Michael Jordan. C’est pas mal, j’aime beaucoup. Le soir, je me pose sur mon canapé pour regarder l’Euroleague.
La ville où vous avez joué et que vous préférez :
Levallois. Ce qui est génial, c’est qu’on est à côté de Paris mais on dirait une petite ville. C’est super cool, je me suis vraiment plu là-bas. La salle par contre, on va pas se le cacher, ce n’est pas la meilleure, mais vraiment Levallois, j’adore y retourner !
Vous en quelques mots :
Quelqu’un qui cherche son plein potentiel. C’est tout !
Si vous ne jouiez pas au basket :
Bonne question… Je pense dans l’univers de la vidéo et de la photographie. J’aime beaucoup ce milieu artistique. Je suis quelqu’un de créatif donc je me serais sûrement orienté là-dedans.
La musique préférée avant un début de match :
J’aime bien écouter les vidéos de motivation sur YouTube avant les rencontres. Je ne suis pas trop musique, enfin cela dépend du « mood ».
Si vous deviez faire un 1VS1 face à une légende, ce serait laquelle ? :
Ce n’est pas très original ce que je vais dire mais ce serait contre Michael Jordan. J’aimerais jouer face à lui juste pour me rendre compte à quel point il était fort. Si je devais choisir un joueur actuel, je dirais Anthony Davis. Un peu comme Jordan, pour voir comment il est fort, comment il domine la ligue. C’est en jouant contre ces joueurs qu’on apprend, que l’on s’améliore.
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[armelse]
Le premier match que vous avez joué en pro :
Mon premier, c’était contre Levallois, avec le MSB, en 2014-2015. On avait pas mal de blessés, on manquait d’intérieurs. Erman Kunter est venu me voir le matin du match dans ma chambre d’hôtel pour me dire que j’allais démarrer la rencontre. Il ne m’a pas mis de pression supplémentaire, il voulait seulement que je me concentre avant tout sur le rebond et la défense. Cela m’a permis de me lancer en LNB puisque j’ai continué à beaucoup jouer (NDLR : ce jour-là, il termine à 7 points, 3 rebonds et 2 passes décisives en 14 minutes).
Le joueur qui vous a rendu meilleur :
J’hésite mais j’ai envie de dire Alain Koffi et Dounia Issa. C’étaient mes premiers partenaires à l’intérieur quand j’ai débuté. Ils m’ont permis de comprendre la dureté du monde professionnel. Ils n’ont pas le même profil, Alain est plus longiligne alors que Dounia est plus en puissance. Ils m’ont donné de nombreux conseils sur comment attaquer, comment défendre. C’était très dur, surtout qu’à l’époque, Dounia était l’un des meilleurs défenseurs de la ligue (NDLR : élu meilleur défenseur en 2007-2008) !
Le meilleur joueur actuel de votre championnat :
Bonzie Colson de Strasbourg. C’est un très fort joueur, assez
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Photos : LNB, Elan Béarnais
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Cela m’a permis de me lancer en LNB puisque j’ai continué à beaucoup jouer (NDLR : ce jour-là, il termine à 7 points, 3 rebonds et 2 passes décisives en 14 minutes).\n\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\n\nJ’hésite mais j’ai envie de dire Alain Koffi et Dounia Issa. C’étaient mes premiers partenaires à l’intérieur quand j’ai débuté. Ils m’ont permis de comprendre la dureté du monde professionnel. Ils n’ont pas le même profil, Alain est plus longiligne alors que Dounia est plus en puissance. Ils m’ont donné de nombreux conseils sur comment attaquer, comment défendre. C’était très dur, surtout qu’à l’époque, Dounia était l’un des meilleurs défenseurs de la ligue (NDLR : élu meilleur défenseur en 2007-2008) !\n\nLe meilleur joueur actuel de votre championnat :\n\nBonzie Colson de Strasbourg. C’est un très fort joueur, assez polyvalent. « Clutch » ? Cela ne s’est pas forcément vu sur les derniers matchs mais il est très régulier. Pour moi, le meilleur joueur, cela doit être quelqu’un qui porte l’équipe tout en étant complet. Il est présent à chaque match mais avant tout c’est celui qui fait gagner l’équipe.\n\nLe joueur le plus râleur du championnat :\n\nJ’en ai deux et j’ai joué avec. D’un côté, Valentin Bigote, de l’autre Rémi Lesca. Sur le terrain, ils ont toujours un truc à dire aux arbitres, en dehors c’est pareil ! Je ne sais pas qui est le pire mais ce sont des râleurs professionnels. Les deux sont des mauvais perdants mais je dirais surtout Rémi sur ce point-là.\n\nLe coach qui vous a le plus marqué :\n\nErman Kunter. C’est le coach qui m’a fait démarrer, tout simplement. C’est aussi quelqu’un qui a un charisme, il est très impressionnant. Dans sa communication, il est un peu particulier avec les joueurs. Il arrive à tirer soit le meilleur soit le pire d’eux-mêmes. Il lance des piques donc c’est à double tranchant. Avec moi, on ne discutait pas tellement mais quand j’ai eu un coup de moins bien dans la saison, il était venu me voir pour savoir comment j’allais.\n\nLe club où vous aimeriez jouer :\n\nLes Denver Nuggets. J’ai été drafté là-bas (53ème position en 2016), j’y ai fait des Summer Leagues, des training camps. J’adore le staff, la ville, les infrastructures sont justes folles. Il y a une salle d’entraînement, la salle de musculation juste à côté, des bains chaud et froid, des salles de cryothérapie. Tous les appareils de récupération possibles et inimaginables sont présents. Le staff est géant, il y a 3 kinés, 2 physiothérapeutes… C’est professionnel mais 2.0. Je n’ai pas de regrets de ne pas être en NBA à l’heure actuelle, car pour moi, ce n’est pas fini. Je me donne à fond sur le terrain et on verra la suite. Je reste toujours en contact avec Denver, c’est un point positif.\n\n« Avant, je disais que je ne voulais jamais jouer à Paris, que c’était trop grand, que je ne m’y ferais pas »\n\nLe club où vous ne voulez pas jouer :\n\nIl n’y a pas vraiment de club sur lequel je suis fermé. Avant, je disais que je ne voudrais jamais jouer à Paris, que c’était trop grand, que je ne m’y ferais pas. C’est alors que mon agent m’appelle et me dit que Levallois souhaite me recruter. Au final, j’ai adoré ! C’était une des meilleures saisons de ma carrière (NDLR : saison 2017-2018). C’est sûr qu’il y a des régions ou clubs moins sexys que d’autres mais je ne suis pas fermé.\n\nVotre pire souvenir de joueur :\n\nJ’essaie de les oublier (rires). Je pense à la défaite en demi-finale de championnat d’Europe U20 contre l’Espagne en 2015. En face, il y avait Willy Hernangomez, Ilimane Diop de Baskonia. Jusqu’au milieu du 3ème quart, on faisait un très bon match, on mène de bout en bout. À partir de ce moment-là, ils commencent à faire des trucs d’Espagnols, des petits coups bas par ci par là. On sort un peu du match et au final, on s’incline (NDLR : 70-61 contre l’Espagne, qui perd en finale contre la Serbie de Marko Guduric).\n\nVotre adversaire le plus coriace :\n\nEn club, je dirais Dijon sur les 2-3 dernières années ou Strasbourg quand on perd contre eux en demi-finales en 2016. En joueur, je dirais Amara Sy. Il était chiant, c’était pas simple de défendre sur lui. Avec lui, j’ai eu une très mauvaise expérience quand j’étais à Levallois. Pour mon premier match avec eux, il m’avait fait la misère. Il inscrit 10 points sur ma tête en 1ère mi-temps, je crois. David Holston aussi, c’est très chiant de défendre sur lui, surtout quand t’es grand.\n\nLe trophée que vous êtes le plus fier d’exposer :\n\nLa Coupe de France de 2016 avec Le Mans. J’ai gagné la Leaders Cup avec JD Jackson avant mais je jouais peu. Certes, j’ai marqué 2 points mais pour moi je ne le compte pas vraiment comme un titre que j’ai gagné. La Coupe de France, je jouais bien plus. C’était devant plus de 16 000 personnes à Bercy, c’était la folie ! Ce n’est pas tous les jours qu’on joue là-bas. Quand on démarre une carrière et que l’on gagne rapidement, on se dit qu’il y en aura d’autres très vite, que c’est banal. Au final, on remarque très vite que c’est difficile, il faut les savourer. J’en parle par expérience.\n\n« Il faudrait donc fixer une bonne fois la règle du marcher. Que ce soit clair et égal pour tout le monde »\n\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\n\nJe pense que je prendrais le « fadeway ». Par contre, choisir le joueur, c’est plus compliqué, tellement de mecs l’utilisent. Je vais dire celui de Dirk Nowitzki. Tout simplement, ce move est d’une grâce et puis il est quasiment indéfendable. Dirk le réalisait à un pied, c’était encore plus fort !\n\nSi vous deviez payer votre place pour voir un joueur :\n\nJ’irais voir les Lakers pour LeBron et Davis ou sinon Bam Adebayo à Miami. En ce moment, ça va être difficile pour les voir (NDLR : les deux Lakers étaient blessés au moment de l’interview) mais ce sont des joueurs qui font ma taille à peu près donc à qui j’essaie de m’identifier pour tenter de m’améliorer. Je regarde beaucoup leur jeu pour m’en inspirer. Sinon, en « all time », je dirais Kobe ou Jordan, bien sûr.\n\nPourquoi le numéro 12 :\n\nC’est une affaire de famille, tout simplement. Ma soeur porte le 12, mon père avait le 12 quand il jouait, donc c’était logique de le choisir (NDLR: Petr Cornelie est le fils de deux anciens basketteurs, la Tchèque Pavla Sigmundova et Martial Cornelie)\n\nL’exercice que vous faites en plus que les autres à l’entraînement :\n\nJe shoote pas mal pour avoir le tir le plus fiable possible. Cela a toujours été une des mes forces. 43% à 3-points ? Je pense que ça pourrait être mieux, j’ai raté beaucoup de tirs en début de saison. Pour ce qui est des deux points, 52% c’est pas mal on est au-dessus des 50% mais je dois me rapprocher des 60%. Un endroit où je dois bosser également, c’est le rebond. Sur un match, je peux être à 10 et l’autre à 6. J’ai cette capacité d’être un fort rebondeur, je dois être plus régulier tout simplement.\n\nSi vous aviez une règle à changer dans le basket :\n\nJe dirais une bonne fois pour toute sur la règle du marcher. Un coup, on siffle sur les départs directs alors qu’il n’y a forcément marcher, de l’autre en NBA les joueurs font trois pas mais personne ne dit rien. Il faudrait donc fixer une bonne fois la règle. Que ce soit clair et égal pour tout le monde.\n\nEst-ce que ça vaut la peine de discuter avec les arbitres :\n\nJ’avais tendance à le faire avant mais maintenant, plus trop. Je préfère réagir sur le terrain. Malgré tout, c’est intéressant de leur parler pour avoir des réponses. Il ne faut pas rentrer dans l’adversité par contre, l’arbitre se ferme sinon et le dialogue est impossible.\n\nLe principal sujet de conversation entre joueurs :\n\nCela dépend selon les équipes où j’ai joué. Je dirais principalement la NBA ou l’Euroleague, la musique en 2 et en 3 les jeux vidéos. À Pau, le sujet principal est la NBA. On n’a pas beaucoup de fans d’une franchise mais on parle des performances, des meilleurs joueurs. Un sujet revient chaque année en mars, la « March Madness ». On ne fait pas de « bracket » car on ne connaît pas toutes les universités mais on regarde les matchs. On aurait voulu que Joel Ayayi gagne mais il a tout de même réussi un beau parcours.\n\n« Me résumer en quelques mots ? Je suis quelqu’un qui cherche son plein potentiel, c’est tout ! »\n\nVotre meilleur pote dans le basket :\n\nValentin Bigote. On se connait depuis 3 ans, on a joué ensemble au Mans. On s’est directement très bien entendu. Depuis on ne se quitte plus, on part même en vacances ensemble.\n\nAimez-vous lire ou regarder des reportages sur vous :\n\nPas tellement. Après, c’est toujours intéressant de voir ce qui se dit mais en général plus tellement. Si c’est bien, tu te sens pousser des ailes, s’il y a de la critique, tu perds en confiance. À un moment, au début de ma carrière, je les regardais beaucoup. J’avais fait une bonne première saison, il y avait beaucoup d’espoirs donc bien entendu de la pression. Le plus dur au final est après cette saison, quand il fallait reproduire. Cela engendre encore plus de pression.\n\nVotre principale occupation entre deux entraînements :\n\nPrincipalement la récupération. Dès que je rentre de l’entraînement, je mange et je dors. J’essaie de lire également, en ce moment je suis sur la biographie de Michael Jordan. C’est pas mal, j’aime beaucoup. Le soir, je me pose sur mon canapé pour regarder l’Euroleague.\n\nLa ville où vous avez joué et que vous préférez :\n\nLevallois. Ce qui est génial, c’est qu’on est à côté de Paris mais on dirait une petite ville. C’est super cool, je me suis vraiment plu là-bas. La salle par contre, on va pas se le cacher, ce n’est pas la meilleure, mais vraiment Levallois, j’adore y retourner !\n\nVous en quelques mots :\n\nQuelqu’un qui cherche son plein potentiel. C’est tout !\n\nSi vous ne jouiez pas au basket :\n\nBonne question… Je pense dans l’univers de la vidéo et de la photographie. J’aime beaucoup ce milieu artistique. Je suis quelqu’un de créatif donc je me serais sûrement orienté là-dedans.\n\nLa musique préférée avant un début de match :\n\nJ’aime bien écouter les vidéos de motivation sur YouTube avant les rencontres. Je ne suis pas trop musique, enfin cela dépend du « mood ».\n\nSi vous deviez faire un 1VS1 face à une légende, ce serait laquelle ? :\n\nCe n’est pas très original ce que je vais dire mais ce serait contre Michael Jordan. J’aimerais jouer face à lui juste pour me rendre compte à quel point il était fort. Si je devais choisir un joueur actuel, je dirais Anthony Davis. Un peu comme Jordan, pour voir comment il est fort, comment il domine la ligue. C’est en jouant contre ces joueurs qu’on apprend, que l’on s’améliore.\n\nx\n\n[armelse]\n\n\nLe premier match que vous avez joué en pro :\n\nMon premier, c’était contre Levallois, avec le MSB, en 2014-2015. On avait pas mal de blessés, on manquait d’intérieurs. Erman Kunter est venu me voir le matin du match dans ma chambre d’hôtel pour me dire que j’allais démarrer la rencontre. Il ne m’a pas mis de pression supplémentaire, il voulait seulement que je me concentre avant tout sur le rebond et la défense. Cela m’a permis de me lancer en LNB puisque j’ai continué à beaucoup jouer (NDLR : ce jour-là, il termine à 7 points, 3 rebonds et 2 passes décisives en 14 minutes).\n\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\n\nJ’hésite mais j’ai envie de dire Alain Koffi et Dounia Issa. C’étaient mes premiers partenaires à l’intérieur quand j’ai débuté. Ils m’ont permis de comprendre la dureté du monde professionnel. Ils n’ont pas le même profil, Alain est plus longiligne alors que Dounia est plus en puissance. Ils m’ont donné de nombreux conseils sur comment attaquer, comment défendre. C’était très dur, surtout qu’à l’époque, Dounia était l’un des meilleurs défenseurs de la ligue (NDLR : élu meilleur défenseur en 2007-2008) !\n\nLe meilleur joueur actuel de votre championnat :\n\nBonzie Colson de Strasbourg. 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Photo: FIBA
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« L’occasion avant de repartir pour Madrid, d’évoquer sa carrière NBA aux Boston Celtics et aux Philadelphia Sixers, son histoire en bleu, ses débuts au Paris Levallois ou ses aventures en EuroLeague. On mentionnera diverses personnalités comme Rudy Gobert, Victor Wembanyama, Brad Stevens, Doc Rivers, Joel Embiid, Dwight Howard, Vincent Collet, ou encore Enes Kanter. »
Photo: Real Madrid
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Le Martiniquais a déjà porté le maillot rouge et blanc lors de la saison 2017-18 et fut sacré champion de Serbie. Il est passé ensuite par Malaga, le Bayern Munich et donc Monaco. Au Bayern, il avait déjà eu Dejan Radonjic comme coach, qui est devenu depuis celui de l’Etoile Rouge.
L’Etoile Rouge de Belgrade est engagée pour cette saison en Euroleague.
Photo: Eurocupbasketball
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L’Américain de Counterpointe Sports Group (CSG), le groupe qui a repris le club, ne s’installe pas en France, comme il l’a précisé lors d’une conférence de presse :
« J’essaierai de faire des allers-retours autant que mon emploi du temps aux Etats-Unis me le permet. Mais comme vous le savez, grâce à la technologie, je suis en contact avec le club quotidiennement. Et comme je le dis en plaisantant à Tom Huston, le décalage horaire fait bien les choses parce que mes journées démarrent toujours avec Pau! »
C’est avec le directeur sportif, Dominique Loueilh, et le coach Eric Bartecheky qu’il a construit l’équipe paloise pour cette saison. Il affirme qu’il aura la main sur chacune des décisions prises dans son domaine. Et pas question évidemment de connaître les frayeurs de l’exercice précédent:
« A court terme, l’objectif est d’améliorer notre classement par rapport à la saison dernière. A plus long terme, on souhaite faire partie de l’élite en retrouvant notamment le niveau européen. L’objectif ultime, c’est de gagner. Il n’y a que ça qui compte (…) L’Asvel, c’est la référence du moment. Nous ne sommes pas encore là, mais c’est ce que nous aspirons à devenir. Ce qui est génial avec le basket, c’est que c’est le meilleur sport collectif de la planète. »", "comment_id":"563243", "plaintext":"C’est un évènement. Stu Jackson, ancien vice-président de la NBA, et nouveau directeur des opérations basket de l’Elan Béarnais, est à Pau pour quelques jours afin de rencontrer les gens du club et les médias. L’édition du Béarn de Sud Ouest ne s’y est pas trompé en titrant plein pot sur sa Une, « Elan Béarnais. L’ancien boss de la NBA est arrivé ». L’association des deux identités, ça fait écarquiller les yeux, et on mesure le chemin parcouru depuis l’époque d’Orthez.\n\nL’Américain de Counterpointe Sports Group (CSG), le groupe qui a repris le club, ne s’installe pas en France, comme il l’a précisé lors d’une conférence de presse :\n\n« J’essaierai de faire des allers-retours autant que mon emploi du temps aux Etats-Unis me le permet. Mais comme vous le savez, grâce à la technologie, je suis en contact avec le club quotidiennement. Et comme je le dis en plaisantant à Tom Huston, le décalage horaire fait bien les choses parce que mes journées démarrent toujours avec Pau! »\n\nC’est avec le directeur sportif, Dominique Loueilh, et le coach Eric Bartecheky qu’il a construit l’équipe paloise pour cette saison. Il affirme qu’il aura la main sur chacune des décisions prises dans son domaine. Et pas question évidemment de connaître les frayeurs de l’exercice précédent:\n\n« A court terme, l’objectif est d’améliorer notre classement par rapport à la saison dernière. A plus long terme, on souhaite faire partie de l’élite en retrouvant notamment le niveau européen. L’objectif ultime, c’est de gagner. Il n’y a que ça qui compte (…) L’Asvel, c’est la référence du moment. Nous ne sommes pas encore là, mais c’est ce que nous aspirons à devenir. Ce qui est génial avec le basket, c’est que c’est le meilleur sport collectif de la planète. »", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/stu-jackson-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-28T07:51:55.000Z", "updated_at":"2021-08-28T07:52:03.000Z", "published_at":"2021-08-28T07:51:55.000Z", "custom_excerpt":"C’est un évènement. Stu Jackson, ancien vice-président de la NBA, et nouveau directeur des opérations basket de l’Elan Béarnais, est à Pau pour quelques jours afin de rencontrer les gens du club et les médias. L’édition du Béarn de Sud Ouest ne s’y est pas trompé en titrant plein pot sur sa Une, « E", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f18", "uuid":"08539ecc-51b8-4dda-bae6-66293b68dc44", "title":"Le groupe Canal+ serait intéressé par la diffusion de la Betclic Elite", "slug":"le-groupe-canal-serait-interesse-par-la-diffusion-de-la-betclic-elite", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[],0,\"Selon les informations du journal \"],[0,[0],1,\"L’Equipe\"],[0,[],0,\", l’expérience en clair de la Jeep Elite/Betclic Elite sur \"],[0,[0],1,\"La Chaîne L’Equipe\"],[0,[],0,\" n’aura duré qu’une saison. La Ligue Nationale de Basket cherche un diffuseur pour le long terme.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Celui-ci pourrait être le groupe \"],[0,[0],1,\"Canal+\"],[0,[],0,\" qui envisage d’enrichir son offre puisqu’il doit renouveler ou pas ses droits avec les équipes de France masculines et féminines. Si elle investit sur le basket, la chaîne cryptée, qui a diffusé la Basketball Champions League depuis sa création, serait aussi intéressée par l’Euroleague et l’Europe. Mais \"],[0,[0],1,\"RMC Sport,\"],[0,[],0,\" qui est l’actuel diffuseur ne serait pas disposé à lâcher l’affaire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Par ailleurs, la LNB a affirmé vouloir continuer à diffuser des matches en clair, ce qui pourrait se faire via \"],[0,[0],1,\"lnb.tv\"],[0,[],0,\".\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Selon les informations du journal L’Equipe, l’expérience en clair de la Jeep Elite/Betclic Elite sur La Chaîne L’Equipe n’aura duré qu’une saison. La Ligue Nationale de Basket cherche un diffuseur pour le long terme.
Celui-ci pourrait être le groupe Canal+ qui envisage d’enrichir son offre puisqu’il doit renouveler ou pas ses droits avec les équipes de France masculines et féminines. Si elle investit sur le basket, la chaîne cryptée, qui a diffusé la Basketball Champions League depuis sa création, serait aussi intéressée par l’Euroleague et l’Europe. Mais RMC Sport, qui est l’actuel diffuseur ne serait pas disposé à lâcher l’affaire.
Par ailleurs, la LNB a affirmé vouloir continuer à diffuser des matches en clair, ce qui pourrait se faire via lnb.tv.
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Le système de compétition comprend six fenêtres jouées sur 15 mois dans les quatre régions d’Afrique, des Amériques, d’Asie/Océanie et d’Europe, de novembre 2021 à février 2023. Chaque fenêtre durera neuf jours.
80 pays sont en lice pour figurer parmi les 32 équipes de la Coupe du monde et il faudra aux équipes effectuer un total de 420 matchs, sachant que les équipes nationales disputent des matchs à domicile et à l’extérieur dans chacune de ces fenêtres.
L’Afrique comptera 16 équipes nationales en lice pour 5 places en Coupe du monde.
Lien explicatif des qualifications en Afrique.
Les Amériques compteront 16 pays pour 7 places.
Lien explicatif des qualifications en Amérique.
La région Asie/Océanie comptera 16 équipes pour 6 places.
Lien explicatif des qualifications en Asie/Océanie
En tant qu’hôte, les Philippines et le Japon sont automatiquement qualifiés pour la Coupe du Monde. Les deux équipes joueront toutefois les qualifications. Suite à une décision du Comité Exécutif de la FIBA, l’Indonésie doit être classée parmi les huit meilleures équipes de la FIBA Asia Cup 2021 afin de recevoir une qualification automatique.
Les éliminatoires européens mettront en vedette 32 pays et les 12 meilleures équipes européennes seront qualifiées à la Coupe du monde.
Lien explicatif des qualifications en Europe
Vous pourrez suivre le tirage en direct sur la chaîne YouTube de la FIBA .
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A cela une bonne raison : l’indisponibilité des joueurs NBA à ce moment de l’année. Le coach Mike Brown a dû construire une nouvelle équipe en trois semaines. Sur les 16 joueurs qui ont porté les couleurs du Nigeria durant les six matchs des Éliminatoires, seul deux joueurs du banc, Omotayo Ogundiran et Emanuel Omogbo, sont de retour pour l’AfroBasket 2021. Ibe Abuchi Agu avait été choisi pour les Éliminatoires, mais il n’avait pas joué la moindre minute.
Parmi les joueurs présents à Kigali, il y en a quatre basés au pays : Ikechukwu Benjamin, Victor Anthony Koko, Ibe Abuchi Agu et Celestine Benjamin. Avec autant de changements dans l’effectif, le plus grand problème du Nigeria ne serait-il pas simplement son manque de cohésion ?
« Ce qui est fantastique dans le basket nigérian, c’est que de nombreux joueurs veulent se rendre disponibles. La difficulté, c’est que cette compétition arrive à un mauvais moment, ce qui complique les choses, » commente coach Brown sur le site de la FIBA. « Ceci nous met dans une situation difficile, beaucoup de gars voulaient jouer, mais leurs clubs ne voulaient pas les laisser venir, parce que les camps de préparation commencent maintenant. Toutefois, la profondeur du réservoir nigérian est très stimulante. »
Brown poursuit : « Caleb Agada voulait être là [à Kigali]. Il a pris part aux JO et il a ensuite rejoint les Denver Nuggets pour la NBA Summer League. Lui demander de venir maintenant et de nous consacrer deux autres semaines et demie et puis enchaîner avec la saison, cela n’aurait pas été sain pour son corps. Comme coach – je suis entré en fonction le 20 juin, mais je m’y suis préparé bien avant cela – cela fait deux mois que je suis à la tête de ce groupe, avec juste une semaine de pause pour aller visiter mes parents. Dès que je partirai d’ici, je vais aller retrouver le staff des coachs des Warriors. Deux semaines plus tard, nous commencerons la saison NBA. Oui, notre équipe est jeune et inexpérimentée, mais tout ce temps que nous passons ensemble pour mettre en place notre philosophie et nos systèmes de jeu offensifs et défensifs permettra de faire progresser le programme. Cela nous sera extrêmement utile ultérieurement, surtout avec ces quatre joueurs basés au pays. Le basket nigérian en récoltera les fruits plus tard. »
Photo: FIBA
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Avec autant de changements dans l’effectif, le plus grand problème du Nigeria ne serait-il pas simplement son manque de cohésion ?\n\n« Ce qui est fantastique dans le basket nigérian, c’est que de nombreux joueurs veulent se rendre disponibles. La difficulté, c’est que cette compétition arrive à un mauvais moment, ce qui complique les choses, » commente coach Brown sur le site de la FIBA. « Ceci nous met dans une situation difficile, beaucoup de gars voulaient jouer, mais leurs clubs ne voulaient pas les laisser venir, parce que les camps de préparation commencent maintenant. Toutefois, la profondeur du réservoir nigérian est très stimulante. »\n\nBrown poursuit : « Caleb Agada voulait être là [à Kigali]. Il a pris part aux JO et il a ensuite rejoint les Denver Nuggets pour la NBA Summer League. Lui demander de venir maintenant et de nous consacrer deux autres semaines et demie et puis enchaîner avec la saison, cela n’aurait pas été sain pour son corps. Comme coach – je suis entré en fonction le 20 juin, mais je m’y suis préparé bien avant cela – cela fait deux mois que je suis à la tête de ce groupe, avec juste une semaine de pause pour aller visiter mes parents. Dès que je partirai d’ici, je vais aller retrouver le staff des coachs des Warriors. Deux semaines plus tard, nous commencerons la saison NBA. Oui, notre équipe est jeune et inexpérimentée, mais tout ce temps que nous passons ensemble pour mettre en place notre philosophie et nos systèmes de jeu offensifs et défensifs permettra de faire progresser le programme. Cela nous sera extrêmement utile ultérieurement, surtout avec ces quatre joueurs basés au pays. 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Shved n’a pas participé aux matchs de l’équipe de Russie lors du Tournoi de Qualification Olympique. L’entraîneur Sergei Bazarevich a déclaré dans une interview au journal Sport-Express que de nombreuses blessures ne lui ont pas permis de répondre à la sollicitation.
« C’est hors de question », a déclaré Shved en répondant à une question sur le fait de rejouer un jour pour l’équipe nationale. « Presque tous mes anciens équipiers en ont terminé, et c’est mon tour. «
Alexey Shved jouait depuis la saison 2015-16 avec le Khimki Moscou mais le club a fait faillite. Le 12 août, il a signé en faveur du CSKA Moscou. Un club avec lequel il a déjà gagné l’Euroleague en 2008. Il a également joué en NBA pour Minnesota, Philadelphie, Houston et New York. En tant que membre de l’équipe nationale russe, il a obtenu la médaille de bronze aux Jeux olympiques de 2012 et au Championnat d’Europe 2011. C’est un fort scoreur mais qui n’implique pas forcément ses équipiers.
Photo: FIBA
", "comment_id":"563188", "plaintext":"Alexey Shved (1,98m, 32 ans) et l’équipe nationale russe, le chapitre est définitivement clos, a affirmé le joueur sur la chaîne Match TV.\n\nShved n’a pas participé aux matchs de l’équipe de Russie lors du Tournoi de Qualification Olympique. L’entraîneur Sergei Bazarevich a déclaré dans une interview au journal Sport-Express que de nombreuses blessures ne lui ont pas permis de répondre à la sollicitation.\n\n« C’est hors de question », a déclaré Shved en répondant à une question sur le fait de rejouer un jour pour l’équipe nationale. « Presque tous mes anciens équipiers en ont terminé, et c’est mon tour. «\n\nAlexey Shved jouait depuis la saison 2015-16 avec le Khimki Moscou mais le club a fait faillite. Le 12 août, il a signé en faveur du CSKA Moscou. Un club avec lequel il a déjà gagné l’Euroleague en 2008. Il a également joué en NBA pour Minnesota, Philadelphie, Houston et New York. En tant que membre de l’équipe nationale russe, il a obtenu la médaille de bronze aux Jeux olympiques de 2012 et au Championnat d’Europe 2011. C’est un fort scoreur mais qui n’implique pas forcément ses équipiers.\n\nPhoto: FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/09/shved-russie-e1504372726289.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-28T04:48:00.000Z", "updated_at":"2021-08-29T06:50:51.000Z", "published_at":"2021-08-28T04:48:00.000Z", "custom_excerpt":"Alexey Shved (1,98m, 32 ans) et l’équipe nationale russe, le chapitre est définitivement clos, a affirmé le joueur sur la chaîne Match TV.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f1c", "uuid":"4d049f5b-6be7-497b-aa64-4b812cfae03f", "title":"Ligue Féminine : Le Match des Champions décalé au dimanche 26 septembre", "slug":"ligue-feminine-le-match-des-champions-decale-au-dimanche-26-septembre", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le Match des Champions qui opposera le Champion de France 2021, Basket Landes, au vainqueur de la Coupe de France, Lattes Montpellier, et qui ouvrira officiellement la saison 2021-22 de Ligue Féminine, a été décalé au dimanche 26 septembre à 15h00. Il aura pour cadre le Stade Pierre de Coubertin à Paris.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les internationales en exercice, Olivia Epoupa, Diandra Tchatchouang, Marine Fauthoux, ainsi que la… manager général des Bleues, Céline Dumerc seront présentes à cette occasion.\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le Match des Champions qui opposera le Champion de France 2021, Basket Landes, au vainqueur de la Coupe de France, Lattes Montpellier, et qui ouvrira officiellement la saison 2021-22 de Ligue Féminine, a été décalé au dimanche 26 septembre à 15h00. Il aura pour cadre le Stade Pierre de Coubertin à Paris.
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Je suis fan de certains joueurs, et je suis vraiment très fière et très contente.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous avez la possibilité de faire découvrir le 3×3 au très grand public dans sa dimension olympique. Est-ce quelque chose dont vous avez conscience et qui va aussi vous porter ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bien sûr, c’est un honneur déjà de représenter mon pays pour les premiers Jeux Olympiques du 3×3. C’est aussi une responsabilité en quelque sorte dans la mesure où c’est une discipline qui ne fait que grandir, et qui a un très bel avenir. C’est une manière de marquer l’histoire, tout simplement, de cette discipline, au niveau national et international. Je prends ça à cœur, c’est une chance d’être une ambassadrice de cette discipline, qui est magnifique. 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La qualification aux Jeux Olympiques, c’est juste la récompense légitime de ce que l’on a pu faire, et ce n’est que le début pour le basket 3×3 français. Les garçons sont passé à ça des qualifications. Honnêtement, c’est une discipline qui a énormément d’avenir, et le fait d’être médiatisé de plus en plus, c’est bien, mais je pense que l’on peut encore faire mieux.\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\"x\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Dans son Power rankings du tournoi olympique de 3×3, la FIBA place les Etats-Unis en premier, la France en deuxième et le Japon en troisième. Qu’en pensez-vous sachant que sur le plan individuel vous êtes 4 Françaises dans le top 5 ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Forcément, je ne suis pas d’accord (sourire), mais je trouve ça challengeant de ne pas être considéré comme les favoris. C’est de toutes façons un tournoi olympique qui est très relevé avec de très belles équipes, ça va être difficile. 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Celle qui la remplace, Jackie Young est très bonne, et je n’ai pas de mal à dire que ça sera quand même une belle équipe. Je suis juste désolée pour elle car en tant qu’athlète, c’est le Graal et elle le manquera, malheureusement.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Comment se sont déroulés vos entraînements sachant que vous étiez six avant l’entrée au Village Olympique puisque Caroline Hériaud et Marie Mané vous ont prêté main forte à Oshino ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les entraînements sont très spécifiques 3×3, c’est-à-dire beaucoup de jeu réduit. On fait beaucoup de sessions avec du un-contre-un sous différentes formes avec démarquages, situations arrêtées, en dribbles, des situations très spécifiques. On fait aussi du 2×2 et du 3×3. 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Dans son Power rankings du tournoi olympique de 3×3, la FIBA place les Etats-Unis en premier, la France en deuxième et le Japon en troisième. Qu’en pensez-vous sachant que sur le plan individuel vous êtes 4 Françaises dans le top 5 ?
Forcément, je ne suis pas d’accord (sourire), mais je trouve ça challengeant de ne pas être considéré comme les favoris. C’est de toutes façons un tournoi olympique qui est très relevé avec de très belles équipes, ça va être difficile. Chaque match sera sérieux, aura son histoire. Les Etats-Unis, le Japon, nous, on est de très bonnes équipes. Il va juste falloir faire le nécessaire.
Katie Lou Samuelson est forfait en raison du COVID. Cela change beaucoup de choses dans une équipe de 3×3 où il n’y a que 4 joueuses ?
Je suis désolée pour elle car c’est la fin du rêve olympique, mais la santé prime avant tout. Les conditions de vie au 3×3 sont très particulières car tout est partagé, tout est exponentiel. Ça a dû être très difficile pour elle et pour elles en tant qu’équipe de faire face à ça, parce que justement tout doit être partagé, l’implication est plus importante. Il y a du travail en amont en tant qu’équipe pour arriver à cette échéance, et malheureusement, elle n’en fera pas partie. D’un autre côté, les Etats-Unis c’est un roster hyper riche avec de très belles joueuses. Celle qui la remplace, Jackie Young est très bonne, et je n’ai pas de mal à dire que ça sera quand même une belle équipe. Je suis juste désolée pour elle car en tant qu’athlète, c’est le Graal et elle le manquera, malheureusement.
Comment se sont déroulés vos entraînements sachant que vous étiez six avant l’entrée au Village Olympique puisque Caroline Hériaud et Marie Mané vous ont prêté main forte à Oshino ?
Les entraînements sont très spécifiques 3×3, c’est-à-dire beaucoup de jeu réduit. On fait beaucoup de sessions avec du un-contre-un sous différentes formes avec démarquages, situations arrêtées, en dribbles, des situations très spécifiques. On fait aussi du 2×2 et du 3×3. La chance que l’on a, c’est d’avoir 6 joueuses hyper fortes et ça nous a permis de nous préparer dans les meilleures conditions pour aborder les Jeux.
Le 3×3 vient de la rue et s’appuie beaucoup sur les gens qui sont au bord du terrain, et là, vous allez jouer à huis clos. Ça change votre préparation ?
Je ne suis pas trop d’accord sur le fait que les spectateurs influencent le jeu. Ça en fait partie, les spectateurs, la musique, le bruit, c’est interactif, mais, honnêtement, sur le terrain, on est dans une bulle, et on ne se rend même pas compte que c’est parfois la chanson d’Aya qui passe alors qu’on adore. On est vraiment concentré sur ce qui se passe sur le terrain, et c’est tellement intense, rapide, qu’on ne fait pas tellement attention à ce qui se passe en dehors. Donc, pour ma part, ce n’est pas tant que ça gênant, surtout qu’il y a un DJ qui vient, ce qui veut dire qu’il y a la volonté de créer cette ambiance qui fait partie de l’identité du 3×3. Je vis bien le fait que l’on soit à huis clos car je suis reconnaissante de pouvoir participer aux Jeux malgré la situation sanitaire, et les conditions qui sont assez strictes. Si c’est le prix à payer pour participer à la plus belle compétition, je le fais tous les jours.
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« La qualification aux Jeux Olympiques, c’est juste la récompense légitime de ce que l’on a pu faire, et ce n’est que le début pour le basket 3×3 français »
La formule de la compétition diffère avec deux matches par jour. Est-ce un paramètre important ?
C’est un tournoi qui a une formule inédite pour nous avec cinq jours pleins de compétition, et ça va aller crescendo. Chaque journée sera importante et ça le sera de plus en plus. Ça va être un challenge sportif, qui va comprendre des efforts, des sacrifices, physiques, de concentration, de mobilisation de toutes et tous dans ce projet, et c’est aussi en ça que je le trouve excitant. Ce sont des Jeux Olympiques… olympiques !
A Oshino, vous étiez avec les équipes de 5×5 garçons et filles. Qu’est-ce que ça vous a apporté en échanges ?
On a fait partie d’une bulle sanitaire. On est à l’hôtel, mais on a des emplois du temps un peu différent, on se croise, on se fait un petit coucou, il n’y a pas de vrais contacts, malheureusement. Mais le peu de moments d’échanges que l’on a pu avoir c’était notamment au gymnase. On a une salle de fitness qui n’est pas très loin du terrain, et on a eu l’occasion de s’entraîner et pendant leurs temps de récupération, ils ont assisté à quelques phases de jeu. Ils ont pu voir à quoi correspondait le 3×3, et surtout tout ce qui se passe en amont en termes de préparation. Il y a eu une vraie reconnaissance de ce que l’on peut faire, et de ce que ça représente de porter le maillot. Personnellement, je suis hyper fière de faire partie de cette équipe de France olympique, d’être à côté de mes compatriotes de 5×5 que je croise, avec qui je joue l’année, et aussi les garçons. Je suis fan de certains joueurs, et je suis vraiment très fière et très contente.
Vous avez la possibilité de faire découvrir le 3×3 au très grand public dans sa dimension olympique. Est-ce quelque chose dont vous avez conscience et qui va aussi vous porter ?
Bien sûr, c’est un honneur déjà de représenter mon pays pour les premiers Jeux Olympiques du 3×3. C’est aussi une responsabilité en quelque sorte dans la mesure où c’est une discipline qui ne fait que grandir, et qui a un très bel avenir. C’est une manière de marquer l’histoire, tout simplement, de cette discipline, au niveau national et international. Je prends ça à cœur, c’est une chance d’être une ambassadrice de cette discipline, qui est magnifique. On en est toutes conscientes, on a toutes cet objectif d’être ambitieuses et surtout d’être récompensées pour ce que l’on a dû faire jusqu’à présent, que ce ne soit que le début d’une très belle histoire.
Depuis que vous êtes qualifié aux JO, avez-vous eu l’impression que les spotlights se soient davantage braqués sur vous ?
Oui, bien sûr, la qualification olympique a permis de mettre en lumière notre discipline et nous-mêmes, mais je tiens à dire que ça fait plusieurs années que l’on est sur le circuit, que l’on performe à l’échelle internationale, on est double championne d’Europe en titre, médaille de bronze au championnat du monde, vainqueur de la Women’Series, qui est la plus grosse compétition organisée pour les femmes, et j’en suis d’ailleurs la MVP. Toutes ces choses-là, ce sont des faits. La qualification aux Jeux Olympiques, c’est juste la récompense légitime de ce que l’on a pu faire, et ce n’est que le début pour le basket 3×3 français. Les garçons sont passé à ça des qualifications. Honnêtement, c’est une discipline qui a énormément d’avenir, et le fait d’être médiatisé de plus en plus, c’est bien, mais je pense que l’on peut encore faire mieux.
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Dans son Power rankings du tournoi olympique de 3×3, la FIBA place les Etats-Unis en premier, la France en deuxième et le Japon en troisième. Qu’en pensez-vous sachant que sur le plan individuel vous êtes 4 Françaises dans le top 5 ?
Forcément, je ne suis pas d’accord (sourire), mais je trouve ça challengeant de ne pas être considéré comme les favoris. C’est de toutes façons un tournoi olympique qui est très relevé avec de très belles équipes, ça va être difficile. Chaque match sera sérieux, aura son histoire. Les Etats-Unis, le Japon, nous, on est de très bonnes équipes. Il va juste falloir faire le nécessaire.
Katie Lou Samuelson est forfait en raison du COVID. Cela change beaucoup de choses dans une équipe de 3×3 où il n’y a que 4 joueuses ?
Je suis désolée pour elle car c’est la fin du rêve olympique, mais la santé prime avant tout. Les conditions de vie au 3×3 sont très particulières car tout est partagé, tout est exponentiel. Ça a dû être très difficile pour elle et pour elles en tant qu’équipe de faire face à ça, parce que justement tout doit être partagé, l’implication est plus importante. Il y a du travail en amont en tant qu’équipe pour arriver à cette échéance, et malheureusement, elle n’en fera pas partie. D’un autre côté, les Etats-Unis c’est un roster hyper riche avec de très belles joueuses. Celle qui la remplace, Jackie Young est très bonne, et je n’ai pas de mal à dire que ça sera quand même une belle équipe. Je suis juste désolée pour elle car en tant qu’athlète, c’est le Graal et elle le manquera, malheureusement.
Comment se sont déroulés vos entraînements sachant que vous étiez six avant l’entrée au Village Olympique puisque Caroline Hériaud et Marie Mané vous ont prêté main forte à Oshino ?
Les entraînements sont très spécifiques 3×3, c’est-à-dire beaucoup de jeu réduit. On fait beaucoup de sessions avec du un-contre-un sous différentes formes avec démarquages, situations arrêtées, en dribbles, des situations très spécifiques. On fait aussi du 2×2 et du 3×3. La chance que l’on a, c’est d’avoir 6 joueuses hyper fortes et ça nous a permis de
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Il va juste falloir faire le nécessaire.\n\nKatie Lou Samuelson est forfait en raison du COVID. Cela change beaucoup de choses dans une équipe de 3×3 où il n’y a que 4 joueuses ?\n\nJe suis désolée pour elle car c’est la fin du rêve olympique, mais la santé prime avant tout. Les conditions de vie au 3×3 sont très particulières car tout est partagé, tout est exponentiel. Ça a dû être très difficile pour elle et pour elles en tant qu’équipe de faire face à ça, parce que justement tout doit être partagé, l’implication est plus importante. Il y a du travail en amont en tant qu’équipe pour arriver à cette échéance, et malheureusement, elle n’en fera pas partie. D’un autre côté, les Etats-Unis c’est un roster hyper riche avec de très belles joueuses. Celle qui la remplace, Jackie Young est très bonne, et je n’ai pas de mal à dire que ça sera quand même une belle équipe. Je suis juste désolée pour elle car en tant qu’athlète, c’est le Graal et elle le manquera, malheureusement.\n\nComment se sont déroulés vos entraînements sachant que vous étiez six avant l’entrée au Village Olympique puisque Caroline Hériaud et Marie Mané vous ont prêté main forte à Oshino ?\n\nLes entraînements sont très spécifiques 3×3, c’est-à-dire beaucoup de jeu réduit. On fait beaucoup de sessions avec du un-contre-un sous différentes formes avec démarquages, situations arrêtées, en dribbles, des situations très spécifiques. On fait aussi du 2×2 et du 3×3. La chance que l’on a, c’est d’avoir 6 joueuses hyper fortes et ça nous a permis de nous préparer dans les meilleures conditions pour aborder les Jeux.\n\nLe 3×3 vient de la rue et s’appuie beaucoup sur les gens qui sont au bord du terrain, et là, vous allez jouer à huis clos. Ça change votre préparation ?\n\nJe ne suis pas trop d’accord sur le fait que les spectateurs influencent le jeu. Ça en fait partie, les spectateurs, la musique, le bruit, c’est interactif, mais, honnêtement, sur le terrain, on est dans une bulle, et on ne se rend même pas compte que c’est parfois la chanson d’Aya qui passe alors qu’on adore. On est vraiment concentré sur ce qui se passe sur le terrain, et c’est tellement intense, rapide, qu’on ne fait pas tellement attention à ce qui se passe en dehors. Donc, pour ma part, ce n’est pas tant que ça gênant, surtout qu’il y a un DJ qui vient, ce qui veut dire qu’il y a la volonté de créer cette ambiance qui fait partie de l’identité du 3×3. Je vis bien le fait que l’on soit à huis clos car je suis reconnaissante de pouvoir participer aux Jeux malgré la situation sanitaire, et les conditions qui sont assez strictes. Si c’est le prix à payer pour participer à la plus belle compétition, je le fais tous les jours.\n\n« La qualification aux Jeux Olympiques, c’est juste la récompense légitime de ce que l’on a pu faire, et ce n’est que le début pour le basket 3×3 français »\n\nLa formule de la compétition diffère avec deux matches par jour. Est-ce un paramètre important ?\n\nC’est un tournoi qui a une formule inédite pour nous avec cinq jours pleins de compétition, et ça va aller crescendo. Chaque journée sera importante et ça le sera de plus en plus. Ça va être un challenge sportif, qui va comprendre des efforts, des sacrifices, physiques, de concentration, de mobilisation de toutes et tous dans ce projet, et c’est aussi en ça que je le trouve excitant. Ce sont des Jeux Olympiques… olympiques !\n\nA Oshino, vous étiez avec les équipes de 5×5 garçons et filles. Qu’est-ce que ça vous a apporté en échanges ?\n\nOn a fait partie d’une bulle sanitaire. On est à l’hôtel, mais on a des emplois du temps un peu différent, on se croise, on se fait un petit coucou, il n’y a pas de vrais contacts, malheureusement. Mais le peu de moments d’échanges que l’on a pu avoir c’était notamment au gymnase. On a une salle de fitness qui n’est pas très loin du terrain, et on a eu l’occasion de s’entraîner et pendant leurs temps de récupération, ils ont assisté à quelques phases de jeu. Ils ont pu voir à quoi correspondait le 3×3, et surtout tout ce qui se passe en amont en termes de préparation. Il y a eu une vraie reconnaissance de ce que l’on peut faire, et de ce que ça représente de porter le maillot. Personnellement, je suis hyper fière de faire partie de cette équipe de France olympique, d’être à côté de mes compatriotes de 5×5 que je croise, avec qui je joue l’année, et aussi les garçons. Je suis fan de certains joueurs, et je suis vraiment très fière et très contente.\n\nVous avez la possibilité de faire découvrir le 3×3 au très grand public dans sa dimension olympique. Est-ce quelque chose dont vous avez conscience et qui va aussi vous porter ?\n\nBien sûr, c’est un honneur déjà de représenter mon pays pour les premiers Jeux Olympiques du 3×3. C’est aussi une responsabilité en quelque sorte dans la mesure où c’est une discipline qui ne fait que grandir, et qui a un très bel avenir. C’est une manière de marquer l’histoire, tout simplement, de cette discipline, au niveau national et international. Je prends ça à cœur, c’est une chance d’être une ambassadrice de cette discipline, qui est magnifique. On en est toutes conscientes, on a toutes cet objectif d’être ambitieuses et surtout d’être récompensées pour ce que l’on a dû faire jusqu’à présent, que ce ne soit que le début d’une très belle histoire.\n\nDepuis que vous êtes qualifié aux JO, avez-vous eu l’impression que les spotlights se soient davantage braqués sur vous ?\n\nOui, bien sûr, la qualification olympique a permis de mettre en lumière notre discipline et nous-mêmes, mais je tiens à dire que ça fait plusieurs années que l’on est sur le circuit, que l’on performe à l’échelle internationale, on est double championne d’Europe en titre, médaille de bronze au championnat du monde, vainqueur de la Women’Series, qui est la plus grosse compétition organisée pour les femmes, et j’en suis d’ailleurs la MVP. Toutes ces choses-là, ce sont des faits. La qualification aux Jeux Olympiques, c’est juste la récompense légitime de ce que l’on a pu faire, et ce n’est que le début pour le basket 3×3 français. Les garçons sont passé à ça des qualifications. Honnêtement, c’est une discipline qui a énormément d’avenir, et le fait d’être médiatisé de plus en plus, c’est bien, mais je pense que l’on peut encore faire mieux.\n\nx\n\n[armelse]\n\nDans son Power rankings du tournoi olympique de 3×3, la FIBA place les Etats-Unis en premier, la France en deuxième et le Japon en troisième. Qu’en pensez-vous sachant que sur le plan individuel vous êtes 4 Françaises dans le top 5 ?\n\nForcément, je ne suis pas d’accord (sourire), mais je trouve ça challengeant de ne pas être considéré comme les favoris. C’est de toutes façons un tournoi olympique qui est très relevé avec de très belles équipes, ça va être difficile. Chaque match sera sérieux, aura son histoire. Les Etats-Unis, le Japon, nous, on est de très bonnes équipes. Il va juste falloir faire le nécessaire.\n\nKatie Lou Samuelson est forfait en raison du COVID. Cela change beaucoup de choses dans une équipe de 3×3 où il n’y a que 4 joueuses ?\n\nJe suis désolée pour elle car c’est la fin du rêve olympique, mais la santé prime avant tout. Les conditions de vie au 3×3 sont très particulières car tout est partagé, tout est exponentiel. Ça a dû être très difficile pour elle et pour elles en tant qu’équipe de faire face à ça, parce que justement tout doit être partagé, l’implication est plus importante. Il y a du travail en amont en tant qu’équipe pour arriver à cette échéance, et malheureusement, elle n’en fera pas partie. D’un autre côté, les Etats-Unis c’est un roster hyper riche avec de très belles joueuses. Celle qui la remplace, Jackie Young est très bonne, et je n’ai pas de mal à dire que ça sera quand même une belle équipe. Je suis juste désolée pour elle car en tant qu’athlète, c’est le Graal et elle le manquera, malheureusement.\n\nComment se sont déroulés vos entraînements sachant que vous étiez six avant l’entrée au Village Olympique puisque Caroline Hériaud et Marie Mané vous ont prêté main forte à Oshino ?\n\nLes entraînements sont très spécifiques 3×3, c’est-à-dire beaucoup de jeu réduit. On fait beaucoup de sessions avec du un-contre-un sous différentes formes avec démarquages, situations arrêtées, en dribbles, des situations très spécifiques. On fait aussi du 2×2 et du 3×3. 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Nouveau venu en Euroleague grâce à sa victoire en Eurocup, le club de la Principauté ne dispose que de la modeste salle Gaston-Médecin, située sous le stade Louis II, et qui ne peut accueillir qu’environ trois milliers de spectateurs. Bien loin des standards de l’Euroleague, qui envisage des arénas d’au moins 10 000 places. Le club souhaitait obtenir une dérogation. Lui a t-elle été refusée ?
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Né à New York, Femi Olujobi a la particularité d’avoir fréquenté trois universités (Oakland, North Carolina A&T, De Paul). Il en ensuite venu en 2019 en Europe dans le club lituanien de Lietkabelis pour seulement 5,8 points et 5,2 d’évaluation.
Ses stats furent beaucoup plus conséquentes à Skopje puisqu’il a obtenu la meilleure évaluation de son équipe dans le championnat national (17,0) grâce à ses 14,1 points (58,8% aux tirs) et 6,1 rebonds, tout comme en ABA League (16,8) avec 14,4 points (66,7%) et 5,4 rebonds.
« Je suis très heureux d’avoir pu signer Femi. On le suit depuis plusieurs semaines. C’est un poste 5 moderne qui peut jouer comme un poste 5 classique avec des Pick and Roll et du jeu low post. Il peut aussi s’écarter car il a un bon shoot à trois-points. Il aime aussi attaquer son défenseur en vitesse et faire face au cercle. Pour son gabarit et pour sa taille, il a un très bon jeu de jambes et une très bonne vitesse. On va évidemment essayer de jouer sur ces qualités et je suis sur qu’il va bien s’intégrer aussi bien défensivement qu’offensivement. Il va amener à coup sur des choses différentes par sa modernité et c’est ce qu’on recherchait. »
« L’arrivée du poste 5 Femi Olujobi, vient clore notre recrutement intérieur où il sera complémentaire avec Jo (Passave-Ducteil), David (Skara) et Devin (Davis). Femi apportera une présence athlétique et physique dans la raquette, du rebond, une certaine capacité à scorer dans la peinture et à l’extérieur grâce à son tir performant à 3 points. À 25 ans, Femi aura l’occasion de progresser sous les ordres de nos coachs et prouver qu’il saura relever le challenge de la Betclic Élite. »
Pour suppléer Zachery Peacock, qui lui a fait faux bond, Le Mans Sarthe Basket vient d’obtenir la signature, pour une saison, de l’États-Unien Dante Cunningham (2,03 m, 34 ans).
Après les recrutements successifs des deux intérieurs Valentin Chéry (Paris Basket, Pro B) et TaShawn Thomas (Hapoel Jérusalem, Israël), puis celui du combo Deishuan Booker (Göttingen, Allemagne), d’ailleurs arrivé ce jeudi en début d’après-midi, le MSB met une touche finale à la construction de sa raquette avec un basketteur au très long cursus professionnel (10 saisons, 736 matches, dont 21 de playoffs) dans la plus prestigieuse ligue au monde : la NBA.
Confronté à la défection de l’ancien Burgien et MVP de Pro A, le MSB n’avait d’autre choix que de retourner à la chasse à la perle rare pour compléter son secteur intérieur. Soucieux de préserver l’équilibre initialement trouvé, le staff a recherché un profil polyvalent sur les postes 4 et 5 mais, plus encore, une menace sur le tir bonifié à 3-pts. Vétéran de NBA, Dante Cunningham a fait carrière de l’autre côté de l’Atlantique sur des qualités jamais démenties depuis ses années universitaires. A Villanova, une très solide fac de la non moins relevée conférence Big East, son job était de défendre dur, de poser des écrans, d’attaquer le rebond pour des finitions au près et de placer un petit tir intermédiaire au besoin.
Drafté en 2009, il n’a eu alors de cesse, en NBA, dans un rôle évidemment plus secondaire mais toujours utile de coéquipier au service du groupe, d’afficher les mêmes qualités de col bleu. Pour ne rien gâcher, il a aussi appris à s’écarter de plus en plus pour finir par devenir un shooteur recherché sur le pick and pop. A tel point que, sur la fin, il fallait le prendre au sérieux derrière la ligne des 3-pts, placée à 7,24 m là-bas contre 6,75 m en FIBA. Ses 34.5% en carrière dans l’exercice majoré, dans sept franchises différentes, rassurent d’autant plus que, à Brooklyn en 2018 (23/60 pour 38.3%) puis à San Antonio en 2019 (30/65 pour 46.2%), Dante était souvent recherché sur ses qualités de tir pour un pur intérieur.
Après une saison 2020 tronquée par le Covid-19 en Chine, puis une expérience qu’il qualifiera de malheureuse cet été à Porto-Rico, Dante a été séduit par la perspective de découvrir un autre basket avec la possibilité offerte d’être investi de responsabilités importantes dans une quête de victoires qui lui rappellera ses années universitaires.
Avec Scott Bamforth (EUR), Deishuan Booker (JNFL), Kenny Baptiste (JFL), Valentin Chery (JFL), Matthieu Gauzin (JFL), Kaza Kajami-Keane (COT), Williams Narace (JFL), Terry Tarpey (EUR) et TaShawn Thomas (JNFL), Dante est le dixième joueur à être sous contrat professionnel avec le MSB pour la saison prochaine. Son arrivée est attendue ce samedi au Mans.
Les Espoirs Hugo Mienandi (2003), Mathias Van den Beemt (2001) et Lucas Veraghe (2001), tous trois sous contrat, sont intégrés au groupe.
Déclaration d’Elric Delord :
« Sur un marché résolument tendu, Dante est une prise assez inespérée pour nous. Il correspond d’abord au profil idoine, à savoir un 4/5 qui allie dureté défensive, rebonds, qualité de passe et shoot à 3pts. Ayant passé 10 ans en NBA, il a l’expertise du très haut niveau et permettra le partage d’expérience avec nos jeunes joueurs qui rêvent d’y aller. Enfin, il découvre l’Europe pour la première fois, un temps d’adaptation sera peut-être nécessaire mais il devrait être court, tant sa réputation dans l’engagement et le sens du collectif le précèdent. »
Repères
Clubs : Villanova (NCAA) de 2006 à 2009. Portland Trail Blazers (NBA) en 2010 et 2011. Charlotte Bobcats (NBA) en 2011. Memphis Grizzlies (NBA) en 2012. Minnesota Timberwolves (NBA) en 2013 et 2014. New Orleans Pelicans (NBA) de 2015 à 2018. Brooklyn Nets (NBA) en 2018. San Antonio Spurs (NBA) en 2019. Fujian Sturgeons (Chine) en 2020. Cangrejeros de Santurce (Porto-Rico) en 2021.
Statistiques 2021 (Porto-Rico) : 11,5pts à 46.4% aux tirs, dont 13/37 à 3-pts (35.1%), 70.6% aux lancers-francs, 6,1rbds, 1,6int, 1,1pd, 0,8ctre et 12,3 d’évaluation en 10 matches (27 min/m)
Signe particulier : a joué avec Nicolas Batum à Portland, Boris Diaw à Charlotte, Mickaël Gélabale à Minnesota, Alexis Ajinça et Axel Toupane à New Orleans, pour ne citer que les Français.
Elena Delle Donne (1,96m, 32 ans le 5 septembre), double MVP de la WNBA, a fait son retour sur les parquets 22 mois après sa dernière apparition.
Pendant deux ans, la superstar des Washington Mystics a dû subir des chirurgies du dos, et c’est ainsi qu’elle a notamment manqué les Jeux Olympiques de Tokyo. Elle avait joué pour la dernière fois en octobre 2019, lorsque les Mystics ont remporté le championnat WNBA. Elle s’est retirée de la saison 2020 en raison de la pandémie de coronavirus après s’être vu refuser une exemption médicale par la ligue.
Delle Donne est le seul membre de la WNBA du club 50-40-90, après avoir shooté en moyenne à 52%, 43% à 3-points et 97% sur la ligne des lancers francs au cours de la saison 2019.
Elle a fait un très bon retour dimanche, face à Seattle, avec 16 points et 3 rebonds en 22 minutes, puis 18 points et 5 rebonds en 18 minutes mardi face à Los Angeles. Cette nuit, en revanche, elle a été retirée du terrain par « précaution », après 12 minutes de jeu, lors d’un match face à Dallas suite à une action où elle a cherché à prendre son propre rebond. Le coach Mike Thibault n’a pas donné d’autres explications.
Les Mystics, qui ne peuvent compter sur la Belge Emma Meesseman, qui a préféré prendre du repos après l’EuroBasket et les Jeux Olympiques, sont actuellement positionnées à la 10e place sur 12 équipes avec 9 victoires et 15 défaites.
", "comment_id":"563142", "plaintext":"Elena Delle Donne (1,96m, 32 ans le 5 septembre), double MVP de la WNBA, a fait son retour sur les parquets 22 mois après sa dernière apparition.\n\nPendant deux ans, la superstar des Washington Mystics a dû subir des chirurgies du dos, et c’est ainsi qu’elle a notamment manqué les Jeux Olympiques de Tokyo. Elle avait joué pour la dernière fois en octobre 2019, lorsque les Mystics ont remporté le championnat WNBA. Elle s’est retirée de la saison 2020 en raison de la pandémie de coronavirus après s’être vu refuser une exemption médicale par la ligue.\n\nDelle Donne est le seul membre de la WNBA du club 50-40-90, après avoir shooté en moyenne à 52%, 43% à 3-points et 97% sur la ligne des lancers francs au cours de la saison 2019.\n\nElle a fait un très bon retour dimanche, face à Seattle, avec 16 points et 3 rebonds en 22 minutes, puis 18 points et 5 rebonds en 18 minutes mardi face à Los Angeles. Cette nuit, en revanche, elle a été retirée du terrain par « précaution », après 12 minutes de jeu, lors d’un match face à Dallas suite à une action où elle a cherché à prendre son propre rebond. Le coach Mike Thibault n’a pas donné d’autres explications.\n\nLes Mystics, qui ne peuvent compter sur la Belge Emma Meesseman, qui a préféré prendre du repos après l’EuroBasket et les Jeux Olympiques, sont actuellement positionnées à la 10e place sur 12 équipes avec 9 victoires et 15 défaites.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2020/07/elena-delle-donne.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-27T07:36:34.000Z", "updated_at":"2021-08-27T07:36:42.000Z", "published_at":"2021-08-27T07:36:34.000Z", "custom_excerpt":"Elena Delle Donne (1,96m, 32 ans le 5 septembre), double MVP de la WNBA, a fait son retour sur les parquets 22 mois après sa dernière apparition.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f22", "uuid":"29e4ecca-db27-40b6-bbca-b0e4aac53bae", "title":"JD Jackson, coach du BCM : « Gravelines peut retrouver son standing »", "slug":"jd-jackson-coach-du-bcm-gravelines-peut-retrouver-son-standing", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://www.lavoixdunord.fr/1061068/article/2021-08-26/basket-jd-jackson-le-bcm-s-est-un-peu-perdu\"]]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"JD Jackson est arrivé en pompier de service en cours de saison dernière, et le BCM Gravelines-Dunkerque a réussi à gagner 3 matches précieux -en 10 journées- et ainsi sauvé sa peau en Jeep Elite/Betclic Elite.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Dans une interview à \"],[0,[1],1,\"La Voix du Nord\"],[0,[],0,\", le Franco-Canadien, 52 ans, montre sa détermination a obtenir des résultats notamment dans le style de jeu :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« C’est une donnée importante à mes yeux : qu’est-ce que les gens de l’extérieur pensent quand ils regardent le BCM ? Quelle identité a cette équipe ? Pour Gravelines-Dunkerque, j’avoue que depuis deux, trois ans, j’avais du mal à le dire. Il y avait du talent, mais beaucoup de changement, un fonds de jeu qui évoluait souvent. J’ai l’impression que le BCM s’est un peu perdu. Il y a de très grands projets dans le championnat, des clubs phares ont émergé avec l’Euroleague, mais Gravelines peut retrouver son standing. Il ne sera pas parmi les favoris mais il a une place à tenir de par ses infrastructures, les partenaires. On doit aborder tout ça avec humilité, la réussite ne s’achète pas, elle prend du temps. «\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"JD Jackson est arrivé en pompier de service en cours de saison dernière, et le BCM Gravelines-Dunkerque a réussi à gagner 3 matches précieux -en 10 journées- et ainsi sauvé sa peau en Jeep Elite/Betclic Elite.
Dans une interview à La Voix du Nord, le Franco-Canadien, 52 ans, montre sa détermination a obtenir des résultats notamment dans le style de jeu :
« C’est une donnée importante à mes yeux : qu’est-ce que les gens de l’extérieur pensent quand ils regardent le BCM ? Quelle identité a cette équipe ? Pour Gravelines-Dunkerque, j’avoue que depuis deux, trois ans, j’avais du mal à le dire. Il y avait du talent, mais beaucoup de changement, un fonds de jeu qui évoluait souvent. J’ai l’impression que le BCM s’est un peu perdu. Il y a de très grands projets dans le championnat, des clubs phares ont émergé avec l’Euroleague, mais Gravelines peut retrouver son standing. Il ne sera pas parmi les favoris mais il a une place à tenir de par ses infrastructures, les partenaires. On doit aborder tout ça avec humilité, la réussite ne s’achète pas, elle prend du temps. «", "comment_id":"563138", "plaintext":"JD Jackson est arrivé en pompier de service en cours de saison dernière, et le BCM Gravelines-Dunkerque a réussi à gagner 3 matches précieux -en 10 journées- et ainsi sauvé sa peau en Jeep Elite/Betclic Elite.\n\nDans une interview à La Voix du Nord, le Franco-Canadien, 52 ans, montre sa détermination a obtenir des résultats notamment dans le style de jeu :\n\n« C’est une donnée importante à mes yeux : qu’est-ce que les gens de l’extérieur pensent quand ils regardent le BCM ? Quelle identité a cette équipe ? Pour Gravelines-Dunkerque, j’avoue que depuis deux, trois ans, j’avais du mal à le dire. Il y avait du talent, mais beaucoup de changement, un fonds de jeu qui évoluait souvent. J’ai l’impression que le BCM s’est un peu perdu. Il y a de très grands projets dans le championnat, des clubs phares ont émergé avec l’Euroleague, mais Gravelines peut retrouver son standing. Il ne sera pas parmi les favoris mais il a une place à tenir de par ses infrastructures, les partenaires. On doit aborder tout ça avec humilité, la réussite ne s’achète pas, elle prend du temps. «", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/06/jd-jackson-e1623949188734.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2021-08-27T06:39:08.000Z", "updated_at":"2021-08-27T06:39:15.000Z", "published_at":"2021-08-27T06:39:08.000Z", "custom_excerpt":"JD Jackson est arrivé en pompier de service en cours de saison dernière, et le BCM Gravelines-Dunkerque a réussi à gagner 3 matches précieux -en 10 journées- et ainsi sauvé sa peau en Jeep Elite/Betclic Elite. Dans une interview à La Voix du Nord, le Franco-Canadien, 52 ans, montre sa détermination ", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568e7b6ed65850001d99f23", "uuid":"fba1ac85-3076-4788-a795-0cb6b44bb5e1", "title":"AfroBasket : La chute de l’Angola, le peps du Rwanda", "slug":"afrobasket-la-chute-de-langola-le-peps-du-rwanda", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/5GMyBwjIh18?start=4&feature=oembed\",\"html\":\"\"}],[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/public.jpg\",\"width\":500,\"height\":334}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vainqueur de 10 éditions de l’AfroBasket entre 1989 et 2013, l’Angola a définitivement perdu de sa superbe.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après avoir été vaincu par le Cap Vert (71-77), les Angolais ont perdu une deuxième fois face au Rwanda cette fois (68-71), qui a su combler le retard de 6 points concédé à la fin du 3e quart-temps. Il s’agit de son deuxième succès d’affilée. Le capitaine rwandais Kenny Gasana s’est offert 18 points, 3 rebonds, 4 passes et 4 ballons récupérés, pour une évaluation de 17.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Nous sommes allés chercher ce succès et battre un ancien champion d’Afrique procure un sentiment particulier. Je tiens à dédier cette précieuse victoire à mes coéquipiers, pour leur engagement et leur détermination, » a t-il commenté.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Rwandais profitent ainsi à fond du fait d’organiser la compétition dans leur capitale Kigali :\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Cela fait du bien de voir que notre travail pour représenter au mieux notre pays est autant apprécié, » se félicite Alex Mpoyo. « Honnêtement, je ne saurais remercier assez les milliers de fans venus nous encourager, avec leurs chants et leurs danses tout au long du match, même quand nous étions menés au score. Leur soutien inconditionnel a été une formidable source de motivation pour nous. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le double double de Jilson Bango, auteur de 14 points et 16 rebonds, n’a donc pas suffi pour éviter à l’Angola un deuxième revers de rang.\"]]],[10,0],[10,1],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Photo d’ouverture: Kenny Ga\"],[0,[1],1,\"sana (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
Vainqueur de 10 éditions de l’AfroBasket entre 1989 et 2013, l’Angola a définitivement perdu de sa superbe.
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« Nous sommes allés chercher ce succès et battre un ancien champion d’Afrique procure un sentiment particulier. Je tiens à dédier cette précieuse victoire à mes coéquipiers, pour leur engagement et leur détermination, » a t-il commenté.
Les Rwandais profitent ainsi à fond du fait d’organiser la compétition dans leur capitale Kigali :
« Cela fait du bien de voir que notre travail pour représenter au mieux notre pays est autant apprécié, » se félicite Alex Mpoyo. « Honnêtement, je ne saurais remercier assez les milliers de fans venus nous encourager, avec leurs chants et leurs danses tout au long du match, même quand nous étions menés au score. Leur soutien inconditionnel a été une formidable source de motivation pour nous. »
Le double double de Jilson Bango, auteur de 14 points et 16 rebonds, n’a donc pas suffi pour éviter à l’Angola un deuxième revers de rang.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/public.jpg\")
Photo d’ouverture: Kenny Gasana (FIBA)
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Photo : Franz Wagner / Jonas Valanciunas (FIBA)
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Aussi, ne tardez pas si ce n’est déjà fait : abonnez-vous à BasketEurope et rejoignez ainsi une équipe de passionnés, de plus en plus nombreux au fil des saisons.
Vincent Collet, sélectionneur de l’équipe de France : « Il y a des choses à dire. Hier (samedi) soir, j’avais l’impression qu’on avait commencé à construire notre équipe et démarré enfin le championnat d’Europe. On a rechuté ce soir, et ça n’avait rien à voir avec l’Allemagne, car ce n’était pas une question de basket. Au-delà du résultat et de la manière peu glorieuse, il y a le comportement. On a manqué d’enthousiasme, de fraicheur, et on le montre à nos adversaires qui plus est. Ce n’est pas acceptable, il faut qu’on réagisse. On était tout proche de la catastrophe. Quand on n’avait plus que 2 points d’avance, la situation n’était pas évidente du tout…. ça pouvait être encore pire que ça a été, en l’occurrence (…) Notre pourcentage n’est pas si mauvais mais 20 pertes de balles… on ne s’est pas battus comme on doit se battre dans un match international. Nous avons joué sans fondamentaux et sans enthousiasme, c’est ce qui me chagrine le plus.
On n’est pas davantage à l’abri puisque tout peut encore se passer. Il faut qu’on réagisse clairement contre des adversaires supérieurs en fin de groupe, avec la Bosnie et la Slovénie. On ne peut pas se permettre de perdre ces matches-là. On n’a gagné que de 4 points contre la Lituanie… La Bosnie manque un peu de rotation mais elle a un quatuor majeur qui marque 60 points à tous les matches. Elle joue avec beaucoup de coeur. Il est clair que si on n’élève pas notre niveau comme on l’a fait hier (samedi), on sera en grand danger. Il faut absolument que ça nous serve de leçon. Le match de ce soir doit déclencher une vraie prise de conscience sur notre comportement général. »
Rudy Gobert, pivot de l’équipe de France : « Les Hongrois se sont bien battus, ils ont joué avec du coeur, jusqu’à la dernière seconde. Nous, nous avons eu quelques trous de concentration, on a fait trop de balles perdues et on leur a donné trop de confiance. On doit continuer de travailler dur pour s’améliorer et être sûr que ça ne se reproduise pas. Mon moment de tension avec Thomas (Heurtel) ? Ça arrive, avec l’adrénaline des matches, il y a des moments chauds. Après, ce sont des moments qui restent dans le vestiaire, c’est entre nous. L’état d’esprit, ça reste toujours de jouer ensemble et de gagner. Avec Thomas, ça fait des années qu’on joue ensemble et parfois, le sang est toujours chaud. Ça vient de l’envie de gagner. Ce soir, il y a eu des moments où on sentait qu’on pouvait mieux jouer, ça engendre de la frustration, et ce sont des choses qui se règlent entre deux êtres humains. »
Evan Fournier, capitaine de l’équipe de France : « La Hongrie n’avait rien à perdre, on les a laissés nous rentrer dedans. C’est un problème d’état d’esprit, de mindset. Quand t’es dans le match, c’est trop tard, c’est bien avant qu’il faut changer. Après-demain (mardi), on aura une revanche à prendre contre la Bosnie, par fierté. Il faut qu’on soit bien mieux que ce soir. »
Guerschon Yabusele, ailier-fort de l’équipe de France : « Ils ont eu de la confiance, mais je retiens qu’on a su tenir pour gagner. Ce n’est pas une frustration de les avoir vu revenir. C’était un back-to-back. Forcément, il y a moins d’énergie. On fait plus d’erreurs, on est moins rigoureux, mais on finit par rapporter la victoire, c’est le plus important. Si Evan dit qu’il y a un problème d’état d’esprit, je le rejoins. C’est le capitaine, c’est ce que lui voit, il a beaucoup d’expérience. S’il le dit, c’est qu’il a complètement raison. »
Andrew Albicy, meneur de l’équipe de France : « On n’a pas été sérieux. On s’est mis en difficulté pour rien. On va passer à autre chose, c’est vrai que c’était un back-to-back, donc on avait moins d’énergie. Je retiens la victoire. On a envie de gagner avec la manière, chaque équipe est là pour se battre. On attend la Bosnie, on va surtout se reposer. »
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Vincent Collet (FIBA)
", "comment_id":"623607", "plaintext":"Dimanche soir à Cologne, l’équipe de France a frôlé la catastrophe contre la Hongrie (78-74). C’est une deuxième victoire de rang, mais sans la manière. Réactions.\n\nVincent Collet, sélectionneur de l’équipe de France : « Il y a des choses à dire. Hier (samedi) soir, j’avais l’impression qu’on avait commencé à construire notre équipe et démarré enfin le championnat d’Europe. On a rechuté ce soir, et ça n’avait rien à voir avec l’Allemagne, car ce n’était pas une question de basket. Au-delà du résultat et de la manière peu glorieuse, il y a le comportement. On a manqué d’enthousiasme, de fraicheur, et on le montre à nos adversaires qui plus est. Ce n’est pas acceptable, il faut qu’on réagisse. On était tout proche de la catastrophe. Quand on n’avait plus que 2 points d’avance, la situation n’était pas évidente du tout…. ça pouvait être encore pire que ça a été, en l’occurrence (…) Notre pourcentage n’est pas si mauvais mais 20 pertes de balles… on ne s’est pas battus comme on doit se battre dans un match international. Nous avons joué sans fondamentaux et sans enthousiasme, c’est ce qui me chagrine le plus.\nOn n’est pas davantage à l’abri puisque tout peut encore se passer. Il faut qu’on réagisse clairement contre des adversaires supérieurs en fin de groupe, avec la Bosnie et la Slovénie. On ne peut pas se permettre de perdre ces matches-là. On n’a gagné que de 4 points contre la Lituanie… La Bosnie manque un peu de rotation mais elle a un quatuor majeur qui marque 60 points à tous les matches. Elle joue avec beaucoup de coeur. Il est clair que si on n’élève pas notre niveau comme on l’a fait hier (samedi), on sera en grand danger. Il faut absolument que ça nous serve de leçon. Le match de ce soir doit déclencher une vraie prise de conscience sur notre comportement général. »\n\nRudy Gobert, pivot de l’équipe de France : « Les Hongrois se sont bien battus, ils ont joué avec du coeur, jusqu’à la dernière seconde. Nous, nous avons eu quelques trous de concentration, on a fait trop de balles perdues et on leur a donné trop de confiance. On doit continuer de travailler dur pour s’améliorer et être sûr que ça ne se reproduise pas. Mon moment de tension avec Thomas (Heurtel) ? Ça arrive, avec l’adrénaline des matches, il y a des moments chauds. Après, ce sont des moments qui restent dans le vestiaire, c’est entre nous. L’état d’esprit, ça reste toujours de jouer ensemble et de gagner. Avec Thomas, ça fait des années qu’on joue ensemble et parfois, le sang est toujours chaud. Ça vient de l’envie de gagner. Ce soir, il y a eu des moments où on sentait qu’on pouvait mieux jouer, ça engendre de la frustration, et ce sont des choses qui se règlent entre deux êtres humains. »\n\nEvan Fournier, capitaine de l’équipe de France : « La Hongrie n’avait rien à perdre, on les a laissés nous rentrer dedans. C’est un problème d’état d’esprit, de mindset. Quand t’es dans le match, c’est trop tard, c’est bien avant qu’il faut changer. Après-demain (mardi), on aura une revanche à prendre contre la Bosnie, par fierté. Il faut qu’on soit bien mieux que ce soir. »\n\nGuerschon Yabusele, ailier-fort de l’équipe de France : « Ils ont eu de la confiance, mais je retiens qu’on a su tenir pour gagner. Ce n’est pas une frustration de les avoir vu revenir. C’était un back-to-back. Forcément, il y a moins d’énergie. On fait plus d’erreurs, on est moins rigoureux, mais on finit par rapporter la victoire, c’est le plus important. Si Evan dit qu’il y a un problème d’état d’esprit, je le rejoins. C’est le capitaine, c’est ce que lui voit, il a beaucoup d’expérience. S’il le dit, c’est qu’il a complètement raison. »\n\nAndrew Albicy, meneur de l’équipe de France : « On n’a pas été sérieux. On s’est mis en difficulté pour rien. On va passer à autre chose, c’est vrai que c’était un back-to-back, donc on avait moins d’énergie. Je retiens la victoire. On a envie de gagner avec la manière, chaque équipe est là pour se battre. 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Les Hongrois ne sont peut-être pas puissants, pas plus que référencés, mais ils n’ont pas froid aux yeux, sont solidaires, et ils n’ont jamais décroché même lorsque le bateau a tangué. Avec 18 points, Adam Hanga (1,99 m, 33 ans) a parfaitement joué son rôle de leader, et toute l’équipe a trouvé dans les tirs primés (11/29) un bon moyen de compenser son infériorité au rebond (25 à 36).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’équipe de France a évité un revers comparable à celui de triste mémoire face au Liban au championnat du monde 2006, et se retrouve nantie de 2 victoires pour 1 défaite. 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L’équipe de France a évité un revers comparable à celui de triste mémoire face au Liban au championnat du monde 2006, et se retrouve nantie de 2 victoires pour 1 défaite. C’est ce que l’on retiendra de ce match, et aussi les inquiétudes nées de la production de quelques uns des joueurs du banc, de Elie Okobo à Théo Maledon, en passant par Amath Mbaye.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/adam-hanga-hongrie-fiba.jpg\")
Terry Tarpey a de nouveau été introduit dans le cinq de départ -mais est-ce désormais une information ?- tout comme Andrew Albicy avec la triplette Fournier-Yabusele-Gobert. On a pu remarquer que Guerschon Yabusele et Adam Hanga, équipiers au Real Madrid, se sont fait l’accolade avant l’entre-deux. Le Hongrois, qui avait fait l’impasse sur le match précédent contre la Slovénie en raison de douleurs aux ischo-jambiers, a inscrit 12 des 20 premiers points de son équipe.
A ce moment-là, les Hongrois étaient revenus à hauteur des Français après s’être fait décoller, 17-5, en 5 minutes 30. Deux dunks de Rudy Gobert et un de Guerschon Yabusele avaient pu laisser croire que l’affaire était déjà enveloppée. Seulement, ces mêmes Hongrois ont fait un run de 11-0, profitant que la deuxième vague française -Vincent Collet a fait jouer ses 12 joueurs dès les 15 premières minutes- était nettement moins attentive en défense.
Si les Hongrois tenaient bon, malgré un repli défectueux, c’était en grande partie grâce à un 5/7 à trois-points alors que le score indiquait une marge minime, 29-28. La brique monumentale de Rudy Gobert, sur un tir pris hors de son périmètre, illustrait les difficultés des Bleus à imposer leur jeu. Trois points d’avance à la mi-temps (42-39), c’était très peu.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/szilard-benke-terry-tarpey.jpg\")
C’est grâce à son starting five que la France a re-creusé l’écart. A 52-42, tous ses membres étaient au moins à +13 au +/- alors que cinq des sept joueurs du banc étaient négatifs. Dans le quart-temps, l’écart est monté à +15 (65-50, 28e) via Evan Fournier qui avait repris les choses en mains en attaque (7 points dans le quart-temps).
Tout le monde commençait à s’assoupir… sauf les Hongrois, qui revenaient une première fois dans les shorts des Français (67-59 à 7’30 de la fin). Du côté bleu quelque chose se déréglait dès que le banc entrait en piste. C’était brouillon, mal assuré. Les supporters hongrois chantaient à tue-tête et hurlait « MVP ! MVP » lorsque Adam Hanga planta 2 lancers puis un trois-points. 74-72 à 1’3 de la fin.
Ce fut tendu jusqu’au bout. Une attaque sur jeu placé fut mal fagotée et mal conclue par Thomas Heurtel. Une tentative à 6,75 m de David Vojvoda échoua sur le cercle. Andrew Albicy rata deux lancers-francs. Heureusement, Guerschon Yabusele et Evan Fournier convertirent chacun leur paire. On était passé tout près d’un upset comparable à celui de l’Espagne face à la Belgique.
La journée de lundi est consacrée au repos, et le prochain rendez-vous des Bleus est programmé face à la coriace Bosnie-Herzégovine, mardi, à 14h30.
La boxscore est ICI.
Photo d’ouverture : Rudy Gobert FIBA
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C’est ce que l’on retiendra de ce match, et aussi les inquiétudes nées de la production de quelques uns des joueurs du banc, de Elie Okobo à Théo Maledon, en passant par Amath Mbaye.\n\n\nUn faux bon départ\n\nTerry Tarpey a de nouveau été introduit dans le cinq de départ -mais est-ce désormais une information ?- tout comme Andrew Albicy avec la triplette Fournier-Yabusele-Gobert. On a pu remarquer que Guerschon Yabusele et Adam Hanga, équipiers au Real Madrid, se sont fait l’accolade avant l’entre-deux. Le Hongrois, qui avait fait l’impasse sur le match précédent contre la Slovénie en raison de douleurs aux ischo-jambiers, a inscrit 12 des 20 premiers points de son équipe.\n\nA ce moment-là, les Hongrois étaient revenus à hauteur des Français après s’être fait décoller, 17-5, en 5 minutes 30. Deux dunks de Rudy Gobert et un de Guerschon Yabusele avaient pu laisser croire que l’affaire était déjà enveloppée. 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Luka Doncic a été trop maladroit, à l’inverse de l’ancien Strasbourgeois John Roberson, précieux dans le moneytime.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quelques dizaines de minutes après la défaite de l’Espagne \"],[0,[1],1,\"contre la Belgique\"],[0,[],0,\", les champions d’Europe en titre sont tombés. Au terme d’un mano-a-mano équilibré, les Slovènes ont été battus par la Bosnie-Herzégovine. Le même adversaire contre lequel les Bleus s’étaient cassés les dents lors de leur dernier match avant l’Euro.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Devant leur bruyant kop de supporters, les Bosniens avaient donné le ton dès le début du match, passant un 8-0 en à peine deux minutes de jeu. Dès la fin du premier quart-temps, les Slovènes étaient pourtant passés – et restés – devant la majeure partie du match (40-32, 14e ; 73-67, 29e). Mais la Bosnie n’a jamais été décramponnée, et a été récompensée de ses efforts dans l’ultime quart-temps.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’ancien Strasbourgeois John Roberson a été flamboyant, inscrivant 23 points à 7/13 à 3-points, dont deux tirs dans le moneytime tandis que la Slovénie lorgnait à une possession. En leader, Dzanan Musa a également compilé 22 unités, 5 rebonds et 5 passes en 35 minutes. Deux apports précieux, auxquels il faut ajouter ceux de Jusuf Nurkic (12 points à 3/13 aux tirs, 9 rebonds) et le double double de Miralem Halilovic (13 points à 6/9 aux tirs, 10 rebonds).\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Tout est encore possible dans le groupe de la France\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Côté Slovène, Luka Doncic a pesé dans le jeu mais a manqué d’adresse longue distance et a moins vu la balle dans les moments chauds. 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Devant leur bruyant kop de supporters, les Bosniens avaient donné le ton dès le début du match, passant un 8-0 en à peine deux minutes de jeu. Dès la fin du premier quart-temps, les Slovènes étaient pourtant passés – et restés – devant la majeure partie du match (40-32, 14e ; 73-67, 29e). Mais la Bosnie n’a jamais été décramponnée, et a été récompensée de ses efforts dans l’ultime quart-temps.
L’ancien Strasbourgeois John Roberson a été flamboyant, inscrivant 23 points à 7/13 à 3-points, dont deux tirs dans le moneytime tandis que la Slovénie lorgnait à une possession. En leader, Dzanan Musa a également compilé 22 unités, 5 rebonds et 5 passes en 35 minutes. Deux apports précieux, auxquels il faut ajouter ceux de Jusuf Nurkic (12 points à 3/13 aux tirs, 9 rebonds) et le double double de Miralem Halilovic (13 points à 6/9 aux tirs, 10 rebonds).
Côté Slovène, Luka Doncic a pesé dans le jeu mais a manqué d’adresse longue distance et a moins vu la balle dans les moments chauds. Il termine à 16 points à 8/10 à 2-points et… 0/8 à 3-points, 8 rebonds et 8 passes décisives.
Un résultat qui rebat les cartes dans le groupe B, où seule l’Allemagne est encore invaincue après sa victoire sur la Lituanie. La France affronte la Hongrie ce dimanche soir (20h30, à suivre sur Canal + 360).
À Cologne (Allemagne).
Boxscore Slovénie – Bosnie-Herzégovine / Classement Groupe B
Photo : Luka Doncic (FIBA)
", "comment_id":"623558", "plaintext":"Dans le groupe des Bleus à Cologne, la Slovénie est tombée ce dimanche après-midi contre une conquérante équipe de Bosnie-Herzégovine (97-93). Luka Doncic a été trop maladroit, à l’inverse de l’ancien Strasbourgeois John Roberson, précieux dans le moneytime.\n\nQuelques dizaines de minutes après la défaite de l’Espagne contre la Belgique, les champions d’Europe en titre sont tombés. Au terme d’un mano-a-mano équilibré, les Slovènes ont été battus par la Bosnie-Herzégovine. Le même adversaire contre lequel les Bleus s’étaient cassés les dents lors de leur dernier match avant l’Euro.\n\nDevant leur bruyant kop de supporters, les Bosniens avaient donné le ton dès le début du match, passant un 8-0 en à peine deux minutes de jeu. Dès la fin du premier quart-temps, les Slovènes étaient pourtant passés – et restés – devant la majeure partie du match (40-32, 14e ; 73-67, 29e). Mais la Bosnie n’a jamais été décramponnée, et a été récompensée de ses efforts dans l’ultime quart-temps.\n\n\nYou can be sure that @BFBiH 🇧🇦 backs down to noone. 😤#EuroBasket x #BringTheNoise\n\n📺 https://t.co/XA74Vlj3Yw pic.twitter.com/RpqGTZFirw\n\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) September 4, 2022\n\n\nL’ancien Strasbourgeois John Roberson a été flamboyant, inscrivant 23 points à 7/13 à 3-points, dont deux tirs dans le moneytime tandis que la Slovénie lorgnait à une possession. En leader, Dzanan Musa a également compilé 22 unités, 5 rebonds et 5 passes en 35 minutes. Deux apports précieux, auxquels il faut ajouter ceux de Jusuf Nurkic (12 points à 3/13 aux tirs, 9 rebonds) et le double double de Miralem Halilovic (13 points à 6/9 aux tirs, 10 rebonds).\n\n\nTout est encore possible dans le groupe de la France\n\nCôté Slovène, Luka Doncic a pesé dans le jeu mais a manqué d’adresse longue distance et a moins vu la balle dans les moments chauds. Il termine à 16 points à 8/10 à 2-points et… 0/8 à 3-points, 8 rebonds et 8 passes décisives.\n\nUn résultat qui rebat les cartes dans le groupe B, où seule l’Allemagne est encore invaincue après sa victoire sur la Lituanie. La France affronte la Hongrie ce dimanche soir (20h30, à suivre sur Canal + 360).\n\nÀ Cologne (Allemagne).\n\nBoxscore Slovénie – Bosnie-Herzégovine / Classement Groupe B\n\nPhoto : Luka Doncic (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/luka-doncic-fiba-slove-cc-81nie.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-04T17:58:00.000Z", "updated_at":"2022-09-04T17:59:17.000Z", "published_at":"2022-09-04T17:58:00.000Z", "custom_excerpt":"Dans le groupe des Bleus à Cologne, la Slovénie est tombée ce dimanche après-midi contre une conquérante équipe de Bosnie-Herzégovine (97-93). 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L’équipe de Sergio Scariolo a shooté à 8/29 à 3-points, et a perdu la bataille du rebond. Symbole de son naufrage, Rudy Fernandez est passé à côté (2 points à 0/5 aux tirs), tout comme le jeune pivot Joel Parra (3 points, 4 rebonds en 21 minutes).
La défaite de l’Espagne est aussi, et surtout, la victoire de la Belgique. Elle a renversé la vapeur grâce à l’ancien Palois Manu Lecomte (20 points à 7/18 aux tirs, 5 rebonds et 4 passes décisives), l’ancien Chalonnais Pierre-Antoine Gillet (14 points à 4/5 aux tirs, 5 rebonds, 2 passes, 2 interceptions) et l’ancien Villeurbannais Ismael Bako (10 points, 9 rebonds). Et le néo-Villeurbannais Retin Obasohan a ajouté 11 points.
C’est un grand pas vers la qualification en huitièmes de finale pour les Belges, car il y a maintenant une égalité à trois à 2-1 entre la Belgique, l’Espagne et le Monténégro au classement du groupe A.
Boxscore Espagne – Belgique / Classement Groupe A
Photo : Rudy Fernandez (FIBA)
", "comment_id":"623583", "plaintext":"Dans le groupe A, l’Espagne a grillé une belle cartouche ce dimanche après-midi en s’inclinant contre la Belgique (73-83). L’un des plus gros upsets de l’ère moderne à l’Euro.\n\nC’est la première très grosse surprise de cet Euro. L’Espagne, médaillée de bronze du dernier championnat d’Europe, 2e nation au classement FIBA, s’est faite surprendre par la Belgique, 37e de ce même classement. D’autant plus surprenant que la Roja menait 33-32 à la pause, et encore 73-71 à trois minutes du terme, et qu’elle a encaissé un 12-0 final !\n\nL’équipe de Sergio Scariolo a shooté à 8/29 à 3-points, et a perdu la bataille du rebond. Symbole de son naufrage, Rudy Fernandez est passé à côté (2 points à 0/5 aux tirs), tout comme le jeune pivot Joel Parra (3 points, 4 rebonds en 21 minutes).\n\n\n🇧🇪 Belgium are not messing around! 😳\n\nThis game will go down to the wire! 🔥#EuroBasket x #BringTheNoise\n\n📺 https://t.co/XA74Vlj3Yw pic.twitter.com/2nfDdxWdVw\n\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) September 4, 2022\n\n\n\nLes anciens du championnat de France ont brillé !\n\nLa défaite de l’Espagne est aussi, et surtout, la victoire de la Belgique. Elle a renversé la vapeur grâce à l’ancien Palois Manu Lecomte (20 points à 7/18 aux tirs, 5 rebonds et 4 passes décisives), l’ancien Chalonnais Pierre-Antoine Gillet (14 points à 4/5 aux tirs, 5 rebonds, 2 passes, 2 interceptions) et l’ancien Villeurbannais Ismael Bako (10 points, 9 rebonds). Et le néo-Villeurbannais Retin Obasohan a ajouté 11 points.\n\nC’est un grand pas vers la qualification en huitièmes de finale pour les Belges, car il y a maintenant une égalité à trois à 2-1 entre la Belgique, l’Espagne et le Monténégro au classement du groupe A.\n\nBoxscore Espagne – Belgique / Classement Groupe A\n\n\nBELGIUM BEATS SPAIN IN A EUROPEAN TOURNAMENT FOR THE FIRST TIME IN 60+ YEARS 😳😳😳\n\n— Dionysis Aravantinos (@AravantinosDA) September 4, 2022\n\n\nPhoto : Rudy Fernandez (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/rudy-fernandez-espagne-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-04T16:44:02.000Z", "updated_at":"2022-09-04T16:52:26.000Z", "published_at":"2022-09-04T16:44:02.000Z", "custom_excerpt":"Dans le groupe A, l’Espagne a grillé une belle cartouche ce dimanche après-midi en s’inclinant contre la Belgique (73-83). L’un des plus gros upsets de l’ère moderne à l’Euro.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153faff", "uuid":"9f6c1597-e53d-436c-a9f9-498c26f93c7c", "title":"Equipe de France féminine : Une deuxième victoire sur la Belgique mi-figue, mi-raisin", "slug":"equipe-de-france-feminine-une-deuxieme-victoire-sur-la-belgique-mi-figue-mi-raisin", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"| Vendredi 16 septembre à 12h30 | France – Australie | Sydney |
| Dimanche 18 septembre à 06h00 | France – Belgique | Sydney |
| Lundi 19 septembre à 08h00 | France – États-Unis | Sydney |
| Jeudi 22 septembre au samedi 1er octobre – Coupe du monde 2022 | Sydney (Australie) |
Est-ce dû aux absences de sa meneuse Julie Allemand et de son intérieure Emma Meesseman, retenues en WNBA, et aussi aux retraites internationales des soeurs Kim et Hanne Mestdagh ? Dans tous les cas, sur les trois matches de préparation face à la France – dont un scrimmage -, la Belgique* est apparue très loin de son niveau antérieur qui a fait d’elle l’une des meilleures équipe d’Europe, et même du monde.
Face à elle, une équipe de France expérimentale, privée de trois joueuses WNBA (Marine Johannès, de retour en France mais pas en tenue, Gabby Williams et Iliana Rupert) a longtemps été dominatrice avant de perdre un peu les pédales dans le dernier quart-temps, ce qui a limité l’ampleur de son succès.
Il n’est pas facile de faire une analyse détaillée car la fédération belge n’a pas communiqué de statistiques en direct et la retransmission TV à Courtrai fut, disons, approximative. On se serait crû 40 ans en arrière. Jean-Aimé Toupane a pu procéder à de nombreux essais, notamment au poste de meneuse en reconstruction avec les forfaits de Olivia Epoupa et Alix Duchet. Il a ainsi placé d’entrée Marine Fauthoux et Marie-Eve Paget ensemble sur le terrain. On a pu apprécier ensuite le shoot et les gestes « à la Johannes » de Lisa Berkani, le toucher de Marie Pardon, et encore la maturité de Pauline Astier qui a couplé son été avec l’Euro U20. Au coach maintenant de faire le tri.
La défense française a fait passer de mauvais moments à la Belgique, au pain sec et à l’eau un bon moment dans le deuxième quart-temps, ce qui a donné un temps une avance de 14 points à la France (39-25), réduite à la mi-temps (41-33).
Le speaker hurlait « Let’s go, Belgium, let’s go! » pour tenter de réveiller le public et les Belgian Cats. La France a eu plusieurs fois une quinzaine de points d’avance (47-33, 66-51) avant de perdre ses repères. Avec notamment des paniers longue distance de Julie Vanloo (15 points), et la constance de la solide Kyara Linskens (16 points), la Belgique a effacé alors une partie de son ardoise malgré un nombre considérable de déchets. D’un trois-points puis d’un layup, c’est Alexia Chartereau (11 points) qui a classé l’affaire.
Les Bleues vont maintenant s’envoler vers l’Australie où l’attendent de nouveau la Belgique, et surtout l’Australie et les Etats-Unis. Les tests seront plus significatifs. Mais l’équipe de France ne sera peut-être au complet que pour la Coupe du monde elle-même. Pas évident comme préparation, alors qu’elle a déjà subi nombre conséquent de forfaits et qu’elle doit se réinventer.
*Valéry Demory a d’ores et déjà sélectionné 11 joueuses pour la Coupe du monde : Antonia Delaere, Laure Résimont, Emma Meesseman, Kyara Linskens, Hind Ben Adbelkader, Becky Massey, Maxuelle Lisowa-Mbaka, Billie Massey, Julie Vanloo, Julie Allemand et Ine Joris.
| Vendredi 16 septembre à 12h30 | France – Australie | Sydney |
| Dimanche 18 septembre à 06h00 | France – Belgique | Sydney |
| Lundi 19 septembre à 08h00 | France – États-Unis | Sydney |
| Jeudi 22 septembre au samedi 1er octobre – Coupe du monde 2022 | Sydney (Australie) |
Coupe du Monde 2022 – Sydney (Australie) – 22 septembre au 1er octobre 2022
Jeudi 22 septembre à 12h30 : Australie-France
Vendredi 23 septembre à 10h00 : France-Canada
Dimanche 25 septembre à 6h30 : Mali-France
Lundi 26 septembre à 8h00 : France-Japon
Mardi 27 septembre à 9h30 : Serbie-France
Jeudi 29 septembre : Quarts de finale
Vendredi 30 septembre : Demi-finale
Samedi 1er octobre : Finale
*heure française
Photo : Marine Fauthoux (FFBB)
", "comment_id":"623488", "plaintext":"Face à une équipe belge en manque d’intensité, brouillonne, l’équipe de France a assuré, à Courtrai, un deuxième succès (76-69) après celui de Pau, avec des hauts et des bas.\n\nEst-ce dû aux absences de sa meneuse Julie Allemand et de son intérieure Emma Meesseman, retenues en WNBA, et aussi aux retraites internationales des soeurs Kim et Hanne Mestdagh ? Dans tous les cas, sur les trois matches de préparation face à la France – dont un scrimmage -, la Belgique* est apparue très loin de son niveau antérieur qui a fait d’elle l’une des meilleures équipe d’Europe, et même du monde.\n\nFace à elle, une équipe de France expérimentale, privée de trois joueuses WNBA (Marine Johannès, de retour en France mais pas en tenue, Gabby Williams et Iliana Rupert) a longtemps été dominatrice avant de perdre un peu les pédales dans le dernier quart-temps, ce qui a limité l’ampleur de son succès.\n\nIl n’est pas facile de faire une analyse détaillée car la fédération belge n’a pas communiqué de statistiques en direct et la retransmission TV à Courtrai fut, disons, approximative. On se serait crû 40 ans en arrière. Jean-Aimé Toupane a pu procéder à de nombreux essais, notamment au poste de meneuse en reconstruction avec les forfaits de Olivia Epoupa et Alix Duchet. Il a ainsi placé d’entrée Marine Fauthoux et Marie-Eve Paget ensemble sur le terrain. On a pu apprécier ensuite le shoot et les gestes « à la Johannes » de Lisa Berkani, le toucher de Marie Pardon, et encore la maturité de Pauline Astier qui a couplé son été avec l’Euro U20. Au coach maintenant de faire le tri.\n\nLa défense française a fait passer de mauvais moments à la Belgique, au pain sec et à l’eau un bon moment dans le deuxième quart-temps, ce qui a donné un temps une avance de 14 points à la France (39-25), réduite à la mi-temps (41-33).\n\n\nLes Etats-Unis et l’Australie comme tests avant la Coupe du monde\n\nLe speaker hurlait « Let’s go, Belgium, let’s go! » pour tenter de réveiller le public et les Belgian Cats. La France a eu plusieurs fois une quinzaine de points d’avance (47-33, 66-51) avant de perdre ses repères. Avec notamment des paniers longue distance de Julie Vanloo (15 points), et la constance de la solide Kyara Linskens (16 points), la Belgique a effacé alors une partie de son ardoise malgré un nombre considérable de déchets. D’un trois-points puis d’un layup, c’est Alexia Chartereau (11 points) qui a classé l’affaire.\n\nLes Bleues vont maintenant s’envoler vers l’Australie où l’attendent de nouveau la Belgique, et surtout l’Australie et les Etats-Unis. Les tests seront plus significatifs. Mais l’équipe de France ne sera peut-être au complet que pour la Coupe du monde elle-même. Pas évident comme préparation, alors qu’elle a déjà subi nombre conséquent de forfaits et qu’elle doit se réinventer.\n\n*Valéry Demory a d’ores et déjà sélectionné 11 joueuses pour la Coupe du monde : Antonia Delaere, Laure Résimont, Emma Meesseman, Kyara Linskens, Hind Ben Adbelkader, Becky Massey, Maxuelle Lisowa-Mbaka, Billie Massey, Julie Vanloo, Julie Allemand et Ine Joris.\n\n\nLe programme de préparation\n\nVendredi 16 septembre à 12h30France – Australie Sydney Dimanche 18 septembre à 06h00France – BelgiqueSydneyLundi 19 septembre à 08h00France – États-UnisSydneyJeudi 22 septembre au samedi 1er octobre – Coupe du monde 2022Sydney (Australie)\n\n\nCoupe du Monde 2022 – Sydney (Australie) – 22 septembre au 1er octobre 2022\nJeudi 22 septembre à 12h30 : Australie-France\nVendredi 23 septembre à 10h00 : France-Canada\nDimanche 25 septembre à 6h30 : Mali-France\nLundi 26 septembre à 8h00 : France-Japon\nMardi 27 septembre à 9h30 : Serbie-France\nJeudi 29 septembre : Quarts de finale\nVendredi 30 septembre : Demi-finale\nSamedi 1er octobre : Finale\n*heure française\n\nPhoto : Marine Fauthoux (FFBB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/pre-cc-81paration-cmf2022_fra_bih_marine-fauthoux-scaled.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-04T16:00:20.000Z", "updated_at":"2022-09-04T16:36:48.000Z", "published_at":"2022-09-04T16:00:20.000Z", "custom_excerpt":"Face à une équipe belge en manque d’intensité, brouillonne, l’équipe de France a assuré, à Courtrai, un deuxième succès (76-69) après celui de Pau, avec des hauts et des bas.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb00", "uuid":"13d65746-603a-4235-8b4b-5c0a29faadc8", "title":"Après deux prolongations et au bout du suspens, l’Allemagne remporte le thriller du début de l’Euro !", "slug":"apres-deux-prolongations-et-au-bout-du-suspens-lallemagne-remporte-le-thriller-du-debut-de-leuro", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/lXZcPxS6pUI?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/eurobasket/2022/game/0409/Lithuania-Germany#|tab=boxscore\"]],[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/eurobasket/2022/groups\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"Dans le groupe des Bleus à Cologne, l’Allemagne a arraché dimanche après-midi son troisième succès en autant de matches en battant la Lituanie, après deux prolongations (109-107). Elle a tremblé jusqu’à la dernière seconde et peut remercier Franz Wagner, Dennis Schroder et Maodo Lo, ses héros.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Quel coeur ! La Mannschaft n’en finit plus de surprendre. Après ses victoires sur les Bleus puis les Bosniens, l’Allemagne a confirmé son excellent début d’EuroBasket en dominant la Lituanie ce dimanche après-midi. A quel prix ? Il a fallu deux prolongations, 50 minutes de bataille intense, et un moneytime de folie pour vaincre les Baltes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le mano-a-mano aurait pu tourner au plus court si les hommes de Gordon Herbert n’avaient pas gâché leur avance à plusieurs reprises. Ils menaient 46-41 à la pause, et encore 89-82 à 120 secondes du buzzer final. Mais Jonas Valanciunas, transcendé tout au long de la partie (34 points à 10/15 aux tirs, 14/17 aux lancers, 5 passes décisives et 2 contres pour 45 d’évaluation en 35 minutes !), a envoyé le match en prolongation.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Dennis Schroder et Maodo Lo sauveurs de la prolongation, Wagner récite sa partition\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Seulement, portée par une Lanxess Arena à guichets fermés (18 000 spectateurs), la sélection allemande s’en est relevée. Plutôt bien contenu durant la partie, Dennis Schroder a d’abord manqué le shoot de la gagne dans le temps réglementaire, puis, alors que l’Allemagne perdait le fil durant la première prolongation, il a porté son équipe à bout de bras et fini par égaliser, d’un 2+1 fantastique (96-96, 45e).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Lors de la deuxième prolongation, l’Allemagne n’a plus gâché les occasions. Déjà clutch en première mi-temps, Maodo Lo a pris le relais en envoyant coup sur coup deux pépites derrière l’arc (109-104, 49e). Mais les Lituaniens ne s’avouaient pas encore vaincus. Après être revenus à 109-107, ils ont eu la dernière possession dans les mains. Et, après un rebond offensif, Arnas Butkevicius a eu l’occasion de tuer le match à 3-points à la dernière seconde. En vain.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Auparavant, l’équipe de Gordon Herbert a été portée par sa justesse collective (seulement 7 pertes de balles en 50 minutes !) et surtout, son héros du jour, Franz Wagner. Le jeune ailier du Orlando Magic était partout, en attaque mais aussi en défense. On l’a vu en transe, chiper des ballons à Jonas Valanciunas, contrer Ignas Brazdeikis… et compiler pas moins de 32 points à 12/20 aux tirs (dont 4/7 à 3-points), 8 rebonds, 2 passes, 2 contres et 1 interceptions pour 36 d’évaluation. Il a seulement manqué le shoot de la victoire en fin de première prolongation.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"L’Allemagne qualifiée, la Lituanie en grand danger\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Décidément, comme contre les Slovènes et les Français, les Lituaniens ont lutté mais s’avouent vaincus. A 0-3, l’équipe de de Kazys Maksvytis est en grand danger. Elle n’aura pas le droit à l’erreur contre la Hongrie (mardi à 17h15) puis la Bosnie-Herzégovine (mercredi à 14h30) si elle veut rejoindre Berlin pour la deuxième phase.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En revanche, l’Allemagne est, grâce à ce ce succès, déjà qualifiée pour les 8e de finale avant même les deux derniers jours de compétition, où elle sera opposée à la Slovénie mardi soir (20h30) puis la Hongrie le lendemain (20h30).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Plus tard dans l’après-midi, la bande à Luka Doncic sera apposée à la Bosnie-Herzégovine (17h45) et, dans la soirée, l’équipe de France défiera la Hongrie, qui n’a pas encore sécurisé le moindre succès jusqu’à présent.\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0,2],1,\"Boxscore Allemagne – Lituanie\"],[0,[],1,\" / \"],[0,[3,0],2,\"Classement Groupe B\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Franz Wagner (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Quel coeur ! La Mannschaft n’en finit plus de surprendre. Après ses victoires sur les Bleus puis les Bosniens, l’Allemagne a confirmé son excellent début d’EuroBasket en dominant la Lituanie ce dimanche après-midi. A quel prix ? Il a fallu deux prolongations, 50 minutes de bataille intense, et un moneytime de folie pour vaincre les Baltes.
Le mano-a-mano aurait pu tourner au plus court si les hommes de Gordon Herbert n’avaient pas gâché leur avance à plusieurs reprises. Ils menaient 46-41 à la pause, et encore 89-82 à 120 secondes du buzzer final. Mais Jonas Valanciunas, transcendé tout au long de la partie (34 points à 10/15 aux tirs, 14/17 aux lancers, 5 passes décisives et 2 contres pour 45 d’évaluation en 35 minutes !), a envoyé le match en prolongation.
Seulement, portée par une Lanxess Arena à guichets fermés (18 000 spectateurs), la sélection allemande s’en est relevée. Plutôt bien contenu durant la partie, Dennis Schroder a d’abord manqué le shoot de la gagne dans le temps réglementaire, puis, alors que l’Allemagne perdait le fil durant la première prolongation, il a porté son équipe à bout de bras et fini par égaliser, d’un 2+1 fantastique (96-96, 45e).
Lors de la deuxième prolongation, l’Allemagne n’a plus gâché les occasions. Déjà clutch en première mi-temps, Maodo Lo a pris le relais en envoyant coup sur coup deux pépites derrière l’arc (109-104, 49e). Mais les Lituaniens ne s’avouaient pas encore vaincus. Après être revenus à 109-107, ils ont eu la dernière possession dans les mains. Et, après un rebond offensif, Arnas Butkevicius a eu l’occasion de tuer le match à 3-points à la dernière seconde. En vain.
Auparavant, l’équipe de Gordon Herbert a été portée par sa justesse collective (seulement 7 pertes de balles en 50 minutes !) et surtout, son héros du jour, Franz Wagner. Le jeune ailier du Orlando Magic était partout, en attaque mais aussi en défense. On l’a vu en transe, chiper des ballons à Jonas Valanciunas, contrer Ignas Brazdeikis… et compiler pas moins de 32 points à 12/20 aux tirs (dont 4/7 à 3-points), 8 rebonds, 2 passes, 2 contres et 1 interceptions pour 36 d’évaluation. Il a seulement manqué le shoot de la victoire en fin de première prolongation.
Décidément, comme contre les Slovènes et les Français, les Lituaniens ont lutté mais s’avouent vaincus. A 0-3, l’équipe de de Kazys Maksvytis est en grand danger. Elle n’aura pas le droit à l’erreur contre la Hongrie (mardi à 17h15) puis la Bosnie-Herzégovine (mercredi à 14h30) si elle veut rejoindre Berlin pour la deuxième phase.
En revanche, l’Allemagne est, grâce à ce ce succès, déjà qualifiée pour les 8e de finale avant même les deux derniers jours de compétition, où elle sera opposée à la Slovénie mardi soir (20h30) puis la Hongrie le lendemain (20h30).
Plus tard dans l’après-midi, la bande à Luka Doncic sera apposée à la Bosnie-Herzégovine (17h45) et, dans la soirée, l’équipe de France défiera la Hongrie, qui n’a pas encore sécurisé le moindre succès jusqu’à présent.
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Boxscore Allemagne – Lituanie / Classement Groupe B
Photo : Franz Wagner (FIBA)
", "comment_id":"623493", "plaintext":"Dans le groupe des Bleus à Cologne, l’Allemagne a arraché dimanche après-midi son troisième succès en autant de matches en battant la Lituanie, après deux prolongations (109-107). Elle a tremblé jusqu’à la dernière seconde et peut remercier Franz Wagner, Dennis Schroder et Maodo Lo, ses héros.\n\nQuel coeur ! La Mannschaft n’en finit plus de surprendre. Après ses victoires sur les Bleus puis les Bosniens, l’Allemagne a confirmé son excellent début d’EuroBasket en dominant la Lituanie ce dimanche après-midi. A quel prix ? Il a fallu deux prolongations, 50 minutes de bataille intense, et un moneytime de folie pour vaincre les Baltes.\n\nLe mano-a-mano aurait pu tourner au plus court si les hommes de Gordon Herbert n’avaient pas gâché leur avance à plusieurs reprises. Ils menaient 46-41 à la pause, et encore 89-82 à 120 secondes du buzzer final. Mais Jonas Valanciunas, transcendé tout au long de la partie (34 points à 10/15 aux tirs, 14/17 aux lancers, 5 passes décisives et 2 contres pour 45 d’évaluation en 35 minutes !), a envoyé le match en prolongation.\n\n\nDennis Schroder et Maodo Lo sauveurs de la prolongation, Wagner récite sa partition\n\nSeulement, portée par une Lanxess Arena à guichets fermés (18 000 spectateurs), la sélection allemande s’en est relevée. Plutôt bien contenu durant la partie, Dennis Schroder a d’abord manqué le shoot de la gagne dans le temps réglementaire, puis, alors que l’Allemagne perdait le fil durant la première prolongation, il a porté son équipe à bout de bras et fini par égaliser, d’un 2+1 fantastique (96-96, 45e).\n\nLors de la deuxième prolongation, l’Allemagne n’a plus gâché les occasions. Déjà clutch en première mi-temps, Maodo Lo a pris le relais en envoyant coup sur coup deux pépites derrière l’arc (109-104, 49e). Mais les Lituaniens ne s’avouaient pas encore vaincus. Après être revenus à 109-107, ils ont eu la dernière possession dans les mains. Et, après un rebond offensif, Arnas Butkevicius a eu l’occasion de tuer le match à 3-points à la dernière seconde. En vain.\n\nAuparavant, l’équipe de Gordon Herbert a été portée par sa justesse collective (seulement 7 pertes de balles en 50 minutes !) et surtout, son héros du jour, Franz Wagner. Le jeune ailier du Orlando Magic était partout, en attaque mais aussi en défense. On l’a vu en transe, chiper des ballons à Jonas Valanciunas, contrer Ignas Brazdeikis… et compiler pas moins de 32 points à 12/20 aux tirs (dont 4/7 à 3-points), 8 rebonds, 2 passes, 2 contres et 1 interceptions pour 36 d’évaluation. Il a seulement manqué le shoot de la victoire en fin de première prolongation.\n\n\nL’Allemagne qualifiée, la Lituanie en grand danger\n\nDécidément, comme contre les Slovènes et les Français, les Lituaniens ont lutté mais s’avouent vaincus. A 0-3, l’équipe de de Kazys Maksvytis est en grand danger. Elle n’aura pas le droit à l’erreur contre la Hongrie (mardi à 17h15) puis la Bosnie-Herzégovine (mercredi à 14h30) si elle veut rejoindre Berlin pour la deuxième phase.\n\nEn revanche, l’Allemagne est, grâce à ce ce succès, déjà qualifiée pour les 8e de finale avant même les deux derniers jours de compétition, où elle sera opposée à la Slovénie mardi soir (20h30) puis la Hongrie le lendemain (20h30).\n\nPlus tard dans l’après-midi, la bande à Luka Doncic sera apposée à la Bosnie-Herzégovine (17h45) et, dans la soirée, l’équipe de France défiera la Hongrie, qui n’a pas encore sécurisé le moindre succès jusqu’à présent.\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\n\nBoxscore Allemagne – Lituanie / Classement Groupe B\n\nPhoto : Franz Wagner (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/wagner-franz.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-04T15:22:25.000Z", "updated_at":"2022-09-04T17:05:34.000Z", "published_at":"2022-09-04T15:22:25.000Z", "custom_excerpt":"Dans le groupe des Bleus à Cologne, l’Allemagne a arraché dimanche après-midi son troisième succès en autant de matches en battant la Lituanie, après deux prolongations (109-107). 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Mike James, meilleur marqueur monégasque avec 22 points, a manqué le panier de la gagne. Les nouvelles recrues Jordan Loyd, Jaron Blossomgame et John Brown ont respectivement ajouté 15, 12 et 11 unités. À noter que Matthew Strazel et le nouveau capitaine Adrien Moerman ont également fait leurs débuts, mais aussi que l’ASM s’est retirée du tournoi pour favoriser sa tournée en Allemagne.
La suite de la préparation monégasque :
Mercredi 7 septembre : Bayern Munich – Monaco / Munich (Allemagne)
Jeudi 8 septembre : Ratiopharm Ulm – Monaco / Ulm (Allemagne)
Dimanche 11 septembre : Brose Bamberg – Monaco / Bamberg (Allemagne)
Mercredi 14 septembre : Monaco – Etoile Rouge Belgrade / Antalya (Turquie)
Vendredi 16 septembre : Monaco – Anadolu Efes / Antalya (Turquie)
Dimanche 18 septembre : Bahcesehir – Monaco / Antalya (Turquie)
https://www.youtube.com/watch?v=jUjN5s0rGKE
Photo : Mike James (AS Monaco)
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L’équipe de France U24 a pris une belle deuxième place.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après avoir remporté leurs 4 premiers matchs avec une marge de 10 points en moyenne, les Canadiennes ont été poussés à leurs limites en finale par une surprenante équipe de France U24. Katherine Plouffe a marqué un sommet de 12 points dans la finale pour aider le Canada à remporter un thriller de 19-18. Sa coéquipière Paige Crozon a été nommée MVP de la compétition.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après avoir gagné à Edmonton et à Bucarest, le Canada est devenu la seule équipe à remporter 3 étapes cette saison, bien que les Canadiennes ne se classent que troisièmes au classement de la compétition. 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Après avoir gagné à Edmonton et à Bucarest, le Canada est devenu la seule équipe à remporter 3 étapes cette saison, bien que les Canadiennes ne se classent que troisièmes au classement de la compétition. Elles n’ont perdu que 3 fois en 23 matchs (87% de victoires), ce qui en fait l’un des favoris pour la finale de Costanta, les 17 et 18 septembre, où il y aura un total de 279 000 dollars de prix.
La France, l’Allemagne, le Canada, l’Espagne, les États-Unis, la Lituanie et les hôtes roumains avaient déjà décroché leur qualification pour la finale. L’équipe allemande du Zoo de Düsseldorf a tamponné le dernier billet pour la Roumanie à Montréal. Elles ont battu les États-Unis en quart de finale et ont terminé 4e du classement, juste assez pour contenir la montée tardive de France U24 au classement de la saison régulière.
CLASSEMENT FINAL MONTREAL
1. Canada
2. France U24
3. Espagne
4. Zoos de Düsseldorf (GER)
5. USA
6. Lituanie
7. France
8. Hongrie
9. EXEWING (JPN)
10. Lettonie
11. Pays-Bas
12.Toronto (CAN)
Equipe de France U24 : : Camille Droguet, Emma Peytour Coline Franchelin, et Océane Montpierre.
« Maodo sera le prochain joueur allemand de la NBA », a déclaré péremptoire le capitaine de la Mannschaft Dennis Schröder. « Si le chemin mène là-bas, alors ce serait formidable », a répondu l’intéressé. « Si non, alors ça me va aussi. Mon ambition est de toujours m’améliorer. »
Né d’un père sénégalais et d’une mère allemande, Maodo Lo a déjà eu une expérience américaine, mais à l’université de Columbia dans l’Etat de New York. Et sa carrière professionnelle, il l’a effectué dans son pays, à Brose Bamberg, au Bayern Munich et à l’Alba Berlin depuis 2020.
« Il y avait des contacts à l’époque », a déclaré Lo, mais le contrat qui lui a été proposé n’était qu’à moitié garanti. « C’est pourquoi j’ai choisi Bamberg. Il y a toujours eu de l’intérêt de la part de la NBA, mais jamais de vrai contrat, sinon je l’aurais probablement accepté. Vous devez obtenir le contrat, sinon ça ne marchera pas. »
Après sa solide performance contre la France (13 points, 5 passes), Maodo Lo a reçu un compliment de Chauncey Billups. L’entraîneur des Portland Trail Blazers est à Cologne en tant qu’assistant de la Bosnie-Herzégovine, et a déclaré que Lo avait tout ce qu’il faut pour une carrière en NBA.
« C’est un honneur d’entendre quelque chose comme ça de la part d’un ancien joueur », a déclaré le meneur allemand.
Photo : FIBA
", "comment_id":"623406", "plaintext":"Malgré son âge déjà avancé, le talentueux mais aussi versatile meneur allemand Maodo Lo (1,92 m, 29 ans) peut croire encore en ses chances de rejoindre la NBA.\n\n« Maodo sera le prochain joueur allemand de la NBA », a déclaré péremptoire le capitaine de la Mannschaft Dennis Schröder. « Si le chemin mène là-bas, alors ce serait formidable », a répondu l’intéressé. « Si non, alors ça me va aussi. Mon ambition est de toujours m’améliorer. »\n\nNé d’un père sénégalais et d’une mère allemande, Maodo Lo a déjà eu une expérience américaine, mais à l’université de Columbia dans l’Etat de New York. Et sa carrière professionnelle, il l’a effectué dans son pays, à Brose Bamberg, au Bayern Munich et à l’Alba Berlin depuis 2020.\n\n« Il y avait des contacts à l’époque », a déclaré Lo, mais le contrat qui lui a été proposé n’était qu’à moitié garanti. « C’est pourquoi j’ai choisi Bamberg. Il y a toujours eu de l’intérêt de la part de la NBA, mais jamais de vrai contrat, sinon je l’aurais probablement accepté. Vous devez obtenir le contrat, sinon ça ne marchera pas. »\n\nAprès sa solide performance contre la France (13 points, 5 passes), Maodo Lo a reçu un compliment de Chauncey Billups. L’entraîneur des Portland Trail Blazers est à Cologne en tant qu’assistant de la Bosnie-Herzégovine, et a déclaré que Lo avait tout ce qu’il faut pour une carrière en NBA.\n\n« C’est un honneur d’entendre quelque chose comme ça de la part d’un ancien joueur », a déclaré le meneur allemand.\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/maodo-lo.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-04T10:55:00.000Z", "updated_at":"2022-09-04T07:59:10.000Z", "published_at":"2022-09-04T10:55:00.000Z", "custom_excerpt":"Malgré son âge déjà avancé, le talentueux mais aussi versatile meneur allemand Maodo Lo (1,92 m, 29 ans) peut croire encore en ses chances de rejoindre la NBA.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb04", "uuid":"f91d1ac3-21ee-4ba7-9907-4bd2605758e5", "title":"Vincent Collet après la victoire contre la Lituanie : « On a retrouvé l’agressivité d’Evan Fournier »", "slug":"vincent-collet-apres-la-victoire-contre-la-lituanie-on-a-retrouve-lagressivite-devan-fournier", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"image\",{\"src\":\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/vincent-collet-france-fiba.jpg\",\"width\":500,\"height\":327,\"caption\":\"(c) FIBA\"}],[\"html\",{\"html\":\"> Terry Tarpey, héros du soir
> Le retour de Mous Fall, game changer
Si l’on excepte l’entame où elle n’a pas su contrer le coup de chaud inaugural lituanien (8-21, 6e), dans la lignée de son non-match d’ouverture face aux Allemands, l’équipe de France a réalisé samedi soir un match quasi-parfait. Même poussés par leurs 5 000 supporters, les Baltes ont été limités à 52 points en 35 minutes. Un rendement qui ressemble aux standards tricolores des dernières compétitions internationales.
« Ce qui a fait la différence, c’est notre détermination, souligne le sélectionneur Vincent Collet en conférence de presse. On a mal commencé le match, contrairement à la Lituanie. Mais cette fois, on n’a pas abandonné, juste élevé notre niveau défensivement. On a été plus patients en attaque, on a mieux bougé la balle. Et nous avons surtout été sérieux en ce qui concerne les balles perdues (9 contre 17 jeudi soir face à l’Allemagne). C’est cela la grosse progression. Si on y ajoute les 11 interceptions, c’est ce ratio qui est la clé pour nous. La progression la plus notoire par rapport aux deux derniers matches, c’est qu’on a continué à jouer au basket quand on était en difficulté, comme en fin de troisième quart-temps. On ne s’est pas affolés, on est repartis du bon pied en début de quatrième. Là, on a été beaucoup plus sereins dans l’adversité. Pour nous, ce match contre la Lituanie est le vrai départ de ce championnat d’Europe. On a commencé cet Euro en jouant à l’envers, notre réaction est intéressante. Maintenant, nous devons continuer de bâtir cette équipe, ce qui n’est pas encore le cas. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/vincent-collet-france-fiba.jpg\")
Les choix du sélectionneur dans le match d’ouverture n’avaient pas payé. Contre la Lituanie, on ne peut pas en dire autant. Les impacts de Terry Tarpey, Moustapha Fall et Andrew Albicy, trois joueurs de devoir, ont pesé lourd dans la balance.
« Je reconnais que quand on a construit le premier groupe, nous étions 17, et je ne pensais pas que Terry (Tarpey) ferait partie de l’équipe finale. Il avait une chance, bien sûr, mais je n’étais pas sûr du tout. Mais ce qu’il a montré en préparation a prouvé qu’il avoir un rôle dans l’équipe. Terry fait partie de ceux qui ont trouvé leur rôle, comme Andrew (Albicy), qui a su élever le niveau défensif de l’équipe. Là où on nous imposait un tempo, Andrew l’a par exemple cassé par sa pression tout terrain. Et que dire de la prestation de Mous Fall, après un mois sans jouer ? Sa première mi-temps fut incroyable. Tout ça influence aussi les autres », reconnait Vincent Collet.
> Terry Tarpey, héros du soir
> Le retour de Mous Fall, game changer
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/tarpey-albicy-fall-france-fiba.jpg\")
Le capitaine Evan Fournier est bien sûr le détonateur principal, le leader offensif des Bleus, qui termine la partie à 27 points à 9/20 aux tirs, 5 rebonds, 3 passes décisives et 2 interceptions pour 24 d’évaluation en 33 minutes… et le meilleur +/- de l’équipe de France (+13 quand il est sur le terrain).
« Ce que j’ai aimé ce soir, c’est qu’on a retrouvé l’agressivité d’Evan, a indiqué Vincent Collet. Jeudi, comme en préparation, je trouvais qu’il attaquait moins le panier, et le problème, c’est que peu de joueurs sont capables d’apporter cette percussion. Aujourd’hui, on lui a donné des situations pour pouvoir le faire. Cette agressivité-là, elle est fondamentale dans notre jeu. D’entrée de jeu, il a mis les points sur les « i » sur sa prise de responsabilités. Il a eu une influence capitale sur le scoring. Même quand il a eu un mauvais passage d’adresse en début de deuxième, il a tout fait sur le bon tempo, tous les tirs étaient bons. Quand on a cette justesse-là, on arrive à monter. Et au-delà de la réussite, je le répète, les situations qu’on lui a provoquées étaient beaucoup plus propres que le match de jeudi. »
Avec sa victoire sur la Lituanie, la France reste en course pour la première place du groupe. « Je l’ai dit aux joueurs dans le vestiaire. Mais, pour l’instant, on doit prendre les matches les uns après les autres. On n’oublie pas où on était jeudi soir », insiste le sélectionneur. Les Bleus devront évidemment d’abord passer les obstacles hongrois (dimanche à 20h30) et bosniens (mardi à 14h30), avant la Slovénie, un duel qui vaudra probablement cher (mercredi à 17h15)… Tout en espérant que l’Allemagne ne fasse pas carton plein.
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Evan Fournier (FIBA)
", "comment_id":"623386", "plaintext":"Méconnaissable contre l’Allemagne en ouverture, la France a rebondi samedi soir face à la Lituanie (77-73). Une performance globale qui redonne le sourire au sélectionneur de l’équipe de France, Vincent Collet.\n\nSi l’on excepte l’entame où elle n’a pas su contrer le coup de chaud inaugural lituanien (8-21, 6e), dans la lignée de son non-match d’ouverture face aux Allemands, l’équipe de France a réalisé samedi soir un match quasi-parfait. Même poussés par leurs 5 000 supporters, les Baltes ont été limités à 52 points en 35 minutes. Un rendement qui ressemble aux standards tricolores des dernières compétitions internationales.\n\n« Ce qui a fait la différence, c’est notre détermination, souligne le sélectionneur Vincent Collet en conférence de presse. On a mal commencé le match, contrairement à la Lituanie. Mais cette fois, on n’a pas abandonné, juste élevé notre niveau défensivement. On a été plus patients en attaque, on a mieux bougé la balle. Et nous avons surtout été sérieux en ce qui concerne les balles perdues (9 contre 17 jeudi soir face à l’Allemagne). C’est cela la grosse progression. Si on y ajoute les 11 interceptions, c’est ce ratio qui est la clé pour nous. La progression la plus notoire par rapport aux deux derniers matches, c’est qu’on a continué à jouer au basket quand on était en difficulté, comme en fin de troisième quart-temps. On ne s’est pas affolés, on est repartis du bon pied en début de quatrième. Là, on a été beaucoup plus sereins dans l’adversité. Pour nous, ce match contre la Lituanie est le vrai départ de ce championnat d’Europe. On a commencé cet Euro en jouant à l’envers, notre réaction est intéressante. Maintenant, nous devons continuer de bâtir cette équipe, ce qui n’est pas encore le cas. »\n\n\nDe Tarpey à Fall, des choix payants\n\nLes choix du sélectionneur dans le match d’ouverture n’avaient pas payé. Contre la Lituanie, on ne peut pas en dire autant. Les impacts de Terry Tarpey, Moustapha Fall et Andrew Albicy, trois joueurs de devoir, ont pesé lourd dans la balance.\n\n« Je reconnais que quand on a construit le premier groupe, nous étions 17, et je ne pensais pas que Terry (Tarpey) ferait partie de l’équipe finale. Il avait une chance, bien sûr, mais je n’étais pas sûr du tout. Mais ce qu’il a montré en préparation a prouvé qu’il avoir un rôle dans l’équipe. Terry fait partie de ceux qui ont trouvé leur rôle, comme Andrew (Albicy), qui a su élever le niveau défensif de l’équipe. Là où on nous imposait un tempo, Andrew l’a par exemple cassé par sa pression tout terrain. Et que dire de la prestation de Mous Fall, après un mois sans jouer ? Sa première mi-temps fut incroyable. Tout ça influence aussi les autres », reconnait Vincent Collet.\n\n> Terry Tarpey, héros du soir\n> Le retour de Mous Fall, game changer\n\n\nEvan Fournier, capitaine du navire\n\nLe capitaine Evan Fournier est bien sûr le détonateur principal, le leader offensif des Bleus, qui termine la partie à 27 points à 9/20 aux tirs, 5 rebonds, 3 passes décisives et 2 interceptions pour 24 d’évaluation en 33 minutes… et le meilleur +/- de l’équipe de France (+13 quand il est sur le terrain).\n\n« Ce que j’ai aimé ce soir, c’est qu’on a retrouvé l’agressivité d’Evan, a indiqué Vincent Collet. Jeudi, comme en préparation, je trouvais qu’il attaquait moins le panier, et le problème, c’est que peu de joueurs sont capables d’apporter cette percussion. Aujourd’hui, on lui a donné des situations pour pouvoir le faire. Cette agressivité-là, elle est fondamentale dans notre jeu. D’entrée de jeu, il a mis les points sur les « i » sur sa prise de responsabilités. Il a eu une influence capitale sur le scoring. Même quand il a eu un mauvais passage d’adresse en début de deuxième, il a tout fait sur le bon tempo, tous les tirs étaient bons. Quand on a cette justesse-là, on arrive à monter. Et au-delà de la réussite, je le répète, les situations qu’on lui a provoquées étaient beaucoup plus propres que le match de jeudi. »\n\n\nLa première place en ligne de mire ?\n\nAvec sa victoire sur la Lituanie, la France reste en course pour la première place du groupe. « Je l’ai dit aux joueurs dans le vestiaire. Mais, pour l’instant, on doit prendre les matches les uns après les autres. On n’oublie pas où on était jeudi soir », insiste le sélectionneur. Les Bleus devront évidemment d’abord passer les obstacles hongrois (dimanche à 20h30) et bosniens (mardi à 14h30), avant la Slovénie, un duel qui vaudra probablement cher (mercredi à 17h15)… Tout en espérant que l’Allemagne ne fasse pas carton plein.\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\n\nPhoto : Evan Fournier (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/fournier-france-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-04T08:47:30.000Z", "updated_at":"2022-09-04T08:47:38.000Z", "published_at":"2022-09-04T08:47:30.000Z", "custom_excerpt":"Méconnaissable contre l’Allemagne en ouverture, la France a rebondi samedi soir face à la Lituanie (77-73). 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« J’ai trouvé que je n’étais pas été assez dur en première mi-temps, répond l’intéressé en zone mixte. En deuxième mi-temps, j’ai essayé d’être plus agressif. Ça n’a pas trop payé dans le troisième quart-temps mais j’ai gardé mon agressivité et j’ai essayé de poser de bons écrans pour mes coéquipiers et puis finir quand j’avais l’opportunité de finir. C’est arrivé dans les dernières minutes. Il faut rester concentré, et c’est ce que j’ai essayé de faire. »
Ses rebonds, sa claquette et son… 6/6 aux lancers francs dans le moneytime ont permis aux Bleus de sceller une victoire précieuse, si ce n’est indispensable pour la suite de la compétition.
« Ce soir, nous étions l’équipe que nous voulions être. Nous avons commencé le match un peu mollement défensivement mais on a su élever notre niveau de jeu au fil du match. Dès que l’intensité est montée, notre communication aussi. C’était une autre équipe de France : c’est l’équipe qu’on veut être, une équipe monstrueuse défensivement, et c’est avec ce niveau d’intensité là qu’on peut atteindre nos objectifs. Sur les 35 dernières minutes, c’était la vraie équipe de France. Je ne dirais pas que cette victoire rassure mais il faut gagner des matches si on veut se qualifier pour les huitièmes. On savait que rien n’allait être facile dans ce groupe. On est le 3 septembre ? On peut dire que cette équipe de France est née aujourd’hui. »
> Le retour de Mous Fall, game changer <
Reste désormais à confirmer contre une équipe plus faible, la plus faible du groupe a priori, la Hongrie, ce dimanche à 20h30. Et ainsi débuter une série. « Le plus important, c’est l’état d’esprit et ce soir, il était là à partir de la 5e minute. Contre les autres équipes, il faut qu’on ait un mental de chien dès les premières minutes. C’est là qu’est la marge de progression. Le reste, l’aspect technique, ça vient avec le temps, mais la mentalité, c’est ça qui va nous permettre d’aller là où on veut aller. »
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Rudy Gobert (FIBA)
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Ça n’a pas trop payé dans le troisième quart-temps mais j’ai gardé mon agressivité et j’ai essayé de poser de bons écrans pour mes coéquipiers et puis finir quand j’avais l’opportunité de finir. C’est arrivé dans les dernières minutes. Il faut rester concentré, et c’est ce que j’ai essayé de faire. »\n\n\nFLUSH IT DOWN! 😠@rudygobert27 flying in among the trees! 🌳#EuroBasket x #BringTheNoise\n\n📺 https://t.co/XA74Vl1szW pic.twitter.com/8DXctf0eK8\n\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) September 3, 2022\n\n\nSes rebonds, sa claquette et son… 6/6 aux lancers francs dans le moneytime ont permis aux Bleus de sceller une victoire précieuse, si ce n’est indispensable pour la suite de la compétition.\n\n« Ce soir, nous étions l’équipe que nous voulions être. Nous avons commencé le match un peu mollement défensivement mais on a su élever notre niveau de jeu au fil du match. Dès que l’intensité est montée, notre communication aussi. C’était une autre équipe de France : c’est l’équipe qu’on veut être, une équipe monstrueuse défensivement, et c’est avec ce niveau d’intensité là qu’on peut atteindre nos objectifs. Sur les 35 dernières minutes, c’était la vraie équipe de France. Je ne dirais pas que cette victoire rassure mais il faut gagner des matches si on veut se qualifier pour les huitièmes. On savait que rien n’allait être facile dans ce groupe. On est le 3 septembre ? On peut dire que cette équipe de France est née aujourd’hui. »\n\n> Le retour de Mous Fall, game changer <\n\nReste désormais à confirmer contre une équipe plus faible, la plus faible du groupe a priori, la Hongrie, ce dimanche à 20h30. Et ainsi débuter une série. « Le plus important, c’est l’état d’esprit et ce soir, il était là à partir de la 5e minute. Contre les autres équipes, il faut qu’on ait un mental de chien dès les premières minutes. C’est là qu’est la marge de progression. 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Après la victoire sur l’Italie, des centaines de personnes étaient rassemblées devant le Mediolanum Forum de Milan et comme le montre une vidéo de Sport 24, le Greek Freak a signé des autographes et pris des téléphones portables pour réaliser lui-même des selfies.
« Encore une fois à la fin on ne fait rien, il manque quelque chose. Je ne sais pas pourquoi, d’une certaine manière, la fin est toujours très difficile », a déclaré Jonas Valančiūnas. « Il faut se concentrer, il faut savoir que les minutes les plus importantes sont à la fin. D’une certaine manière, nous jouons très faiblement à la fin. Pour gagner le match, il faut bien jouer à la fin, se concentrer 40 minutes. »
Pour le coach Kazys Maksvytis, ce sont donc les pertes de balle qui ont causé la défaite de son équipe.
« Tout d’abord, dans l’ensemble, c’était un match légèrement meilleur que le premier (NDLR : contre l’Allemagne), surtout défensivement. Il y avait un peu plus de communication, plus de qualité. On a été plus physique. Le tournant s’est produit au quatrième quart-temps. Quand on faisait des erreurs, les adversaires marquaient des points faciles, prenaient l’initiative. Encore une fois, on a commis davantage de balles perdues que fait de passes et pris beaucoup de points après nos erreurs (17 balles perdues pour 16 passes décisives). Dans un match serré, ce sont des chiffres énormes. Nous avons joué avec une équipe forte, nous nous sommes battus, mais ce n’était pas suffisant. »
Photo : Jonas Valančiūnas (FIBA)
", "comment_id":"623346", "plaintext":"Les Lituaniens n’ont pas tenu la distance face aux Bleus (73-77). Le pivot Jonas Valančiūnas (2,11 m, 30 ans) le constate sans s’expliquer pourquoi. Le coach Kazys Maksvytis met l’accent sur le nombre très élevé de balles perdues (17).\n\n« Encore une fois à la fin on ne fait rien, il manque quelque chose. Je ne sais pas pourquoi, d’une certaine manière, la fin est toujours très difficile », a déclaré Jonas Valančiūnas. « Il faut se concentrer, il faut savoir que les minutes les plus importantes sont à la fin. D’une certaine manière, nous jouons très faiblement à la fin. Pour gagner le match, il faut bien jouer à la fin, se concentrer 40 minutes. »\n\nPour le coach Kazys Maksvytis, ce sont donc les pertes de balle qui ont causé la défaite de son équipe.\n\n« Tout d’abord, dans l’ensemble, c’était un match légèrement meilleur que le premier (NDLR : contre l’Allemagne), surtout défensivement. Il y avait un peu plus de communication, plus de qualité. On a été plus physique. Le tournant s’est produit au quatrième quart-temps. Quand on faisait des erreurs, les adversaires marquaient des points faciles, prenaient l’initiative. Encore une fois, on a commis davantage de balles perdues que fait de passes et pris beaucoup de points après nos erreurs (17 balles perdues pour 16 passes décisives). Dans un match serré, ce sont des chiffres énormes. 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Le pivot (2,18 m, 30 ans) est devenu, en peu de temps, un pion essentiel des Bleus, la plaque-tournante de sa raquette, celui qui peut tout changer en rotation de Rudy Gobert et de Vincent Poirier. Cela ne lui a pas empêché de devoir batailler fort, très fort, pour retrouver sa place.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Flashback. Le 3 août dernier, Moustapha Fall contracte une blessure à l’entraînement. Le lendemain, l’IRM révèle une déchirure de 10 centimètres à l’ischio-jambier et, dans la foulée, l’équipe de France officialise logiquement son forfait, qui faisait à peine suite à ceux d’Andrew Albicy – qui, comme lui, a fait son retour dans l’ultime semaine de prépa – et de Victor Wembanyama. S’en est alors suivie une course contre-la-montre improbable, mais bien remportée par le pivot de l’Olympiakos.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[1],1,\"Les délais étaient théoriquement de quatre à six semaines. 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Zéro minute. A la différence de tous ses coéquipiers en équipe de France, Moustapha Fall n’aura pas porté le maillot bleu la moindre seconde durant la préparation à l’Euro. Quarante-huit heures à peine avant le début de la compétition, Vincent Collet n’a pourtant pas hésité à rappeler son vice-champion olympique au dépens de Mam Jaiteh, tout de même MVP de la dernière saison régulière d’Eurocup, et qui avait effectué l’intégralité de la préparation. La raison ? Le pivot (2,18 m, 30 ans) est devenu, en peu de temps, un pion essentiel des Bleus, la plaque-tournante de sa raquette, celui qui peut tout changer en rotation de Rudy Gobert et de Vincent Poirier. Cela ne lui a pas empêché de devoir batailler fort, très fort, pour retrouver sa place.
Flashback. Le 3 août dernier, Moustapha Fall contracte une blessure à l’entraînement. Le lendemain, l’IRM révèle une déchirure de 10 centimètres à l’ischio-jambier et, dans la foulée, l’équipe de France officialise logiquement son forfait, qui faisait à peine suite à ceux d’Andrew Albicy – qui, comme lui, a fait son retour dans l’ultime semaine de prépa – et de Victor Wembanyama. S’en est alors suivie une course contre-la-montre improbable, mais bien remportée par le pivot de l’Olympiakos.
« Les délais étaient théoriquement de quatre à six semaines. On était déjà début août, alors l’espoir était très mince, accorde l’intéressé. Mais après avoir tout pris en considération, on a tout mis en oeuvre afin d’accélérer la cicatrisation. Je suis allé voir des spécialistes en Espagne, puis des spécialistes de foot à Clairefontaine, où je suis resté pendant deux semaines. A la base, je ne pensais pas pouvoir revenir sous le maillot bleu, je pensais surtout à mon retour en club avec l’Olympiakos… mais dès que l’on a entamé les procédures de soins, on s’est dit qu’on pouvait tenter quelque chose, même si ça allait être juste. Et la dernière IRM a finalement révélé qu’il n’y avait plus aucune déchirure, donc que je pouvais reprendre sans risque. »
Il aura ainsi fallu moins de quatre semaines à l’ancien pivot de l’ASVEL pour être opérationnel. Une rééducation express, et bien orchestrée par le staff de l’équipe de France… en collaboration avec celui de l’Olympiakos. « Le staff médical des Bleus faisait des compte-rendus réguliers à celui de l’Olympiakos pour que le club suive ma rééducation. Plusieurs membres sont venus contrôler manuellement à Paris pour donner leur aval. Sans ça, je n’aurais pas pu jouer l’Euro », souligne le pivot aux 21 sélections. Reconnaissant de l’opportunité.
S’il ne compte qu’une seule compétition internationale sous le maillot tricolore, les Jeux Olympiques de Tokyo, ses coéquipiers l’ont en plus accueilli à bras ouverts. « Pendant ma convalescence, j’étais en contact permanent avec Evan (Fournier), Rudy (Gobert), Guerschon (Yabusele). Ils avaient à coeur que je revienne pour pouvoir aider l’équipe, d’autant que cette année, il n’y a pas Nando (De Colo) et Nico (Batum), donc il fallait rester soudés. Je n’ai quasiment pas eu l’impression d’être parti. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/moustapha-fall-fiba.jpg\")
Sur et en dehors du terrain, il a su se rendre indispensable. « Le retour de Moustapha Fall est capital, juge Rudy Gobert. C’est un joueur qui a un rôle très important dans l’équilibre de l’équipe. Sa mentalité, sa dureté, sa hargne et son talent poste bas sont de véritables atouts. Ça aurait vraiment été dur de ne pas avoir Mous. Je pense même qu’il est revenu plus fort qu’avant sa blessure. C’est un joueur capital. Si on veut être champions d’Europe, on a besoin de lui ». D’autant plus gratifiant, surtout venant de la part d’un tripler meilleur défenseur NBA et nouveau co-capitaine des Bleus.
Moustapha Fall sait néanmoins que ce retour implique automatiquement un départ dans le groupe. MVP de l’Eurocup, et sur le point de retrouver les Bleus en compétition internationale, lui qui avait disputé l’Euro 2015 en France, Mouhammadou Jaiteh en a fait les frais. « C’est compliqué de prendre sa place parce qu’il a fait toute la prépa, et que c’est un ami… Même moi, je ne suis pas très à l’aise avec ça. Cela dit, Mam n’était pas sans savoir que la hiérarchie au niveau des intérieurs était déjà un peu établie dès le départ. À partir du moment où je m’entraînais pour revenir, je ne crois pas que c’était une surprise pour lui, d’autant qu’il n’avait pas eu un grand rôle durant la préparation. Disons que j’ai un peu moins de « scrupules » dans ces conditions, même si j’aurais vraiment aimé, pour lui, qu’il rejoue une compétition internationale. »
Ainsi retenu, Vincent Collet doit désormais passer du rôle du sélectionneur à celui de coach. En conséquence, la gestion de Mous Fall est primordiale. Il ne faudrait pas réduire ses travaux estivaux à peau de chagrin en subissant une rechute évitable. Quarante-huit heures avant le premier match contre l’Allemagne (jeudi 1er septembre à 20h30), le pivot de l’Olympiakos n’avait pas encore repris les entraînements tout terrain. « Je manque encore de sensations. Mais sincèrement, je m’attendais à pire pour un premier entraînement collectif », rassure-t-il.
Le sélectionneur des Bleus ne sait pas encore s’il pourra jouer une seule minute demain, mais ce n’était pas une obligation compte tenu du vivier intérieur. « Il n’était pas forcément prévu de l’utiliser dès le premier match. Cela sera à déterminer en concertation avec le staff médical. Cela a toujours été prévu que ce serait une montée progressive. Il lui faut forcément encore un petit temps d’adaptation avant de jouer un match international », reconnaissait Vincent Collet à vingt-quatre heures du match d’ouverture.
D’autant que les Bleus vont affronter l’Allemagne de Daniel Theis, puis la Lituanie de Jonas Valanciunas, la Bosnie-Herzégovine de Jusuf Nurkic et la Slovénie de Mike Tobey. Autant de pivots de haut niveau, sur lesquels l’erreur n’est pas permise, avec deux back-to-back rien qu’au premier tour. « Les meilleurs pivots au monde sont européens. Nurkic, Valanciunas, Jokic… Face à ces gars-là, il faut envoyer le plus de gabarits possibles parce qu’on sait qu’un joueur ne va pas les arrêter. Il faut se relayer, les fatiguer. Si je peux aider sur ce genre de matchup, tant mieux. »
Pour le moment, le seul mot d’ordre reste la patience. Le reste viendra au fil de la compétition. « Tout ce que je sais, c’est que je veux monter en puissance. Plus loin on ira dans cet Euro, plus j’aurai de chances d’être en forme », résume l’international. Espérons donc pour Mous Fall, comme pour les Bleus, que le parcours sera long et heureux.
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Zéro minute. À la différence de tous ses coéquipiers en équipe de France, Moustapha Fall n’aura pas porté le maillot bleu la moindre seconde durant la préparation à l’Euro. Quarante-huit heures à peine avant le début de la compétition, Vincent Collet n’a pourtant pas hésité à rappeler son vice-champion olympique au dépens de Mam Jaiteh, tout de même MVP de la dernière saison régulière d’Eurocup, et qui avait effectué l’intégralité de la préparation. La raison ? Le pivot (2,18 m, 30 ans) est devenu, en peu de temps, un pion essentiel des Bleus, la plaque-tournante de sa raquette, celui qui peut tout changer en rotation de Rudy Gobert et de Vincent Poirier. Cela ne lui a pas empêché de devoir batailler fort, très fort, pour retrouver sa place.
Flashback. Le 3 août dernier, Moustapha Fall contracte une blessure à l’entraînement. Le lendemain, l’IRM révèle une déchirure de 10 centimètres à l’ischio-jambier et, dans la foulée, l’équipe de France officialise logiquement son forfait, qui faisait à peine suite à ceux d’Andrew Albicy – qui, comme lui, a fait son retour dans l’ultime semaine de prépa – et de Victor Wembanyama. S’en est alors suivie une course contre-la-montre improbable, mais bien remportée par le pivot de l’Olympiakos.
« Les délais étaient théoriquement de quatre à six semaines. On était déjà début août, alors l’espoir était très mince, accorde l’intéressé. Mais après avoir tout pris en considération, on a tout mis en oeuvre afin d’accélérer la cicatrisation. Je suis allé voir des spécialistes en Espagne, puis des spécialistes de foot à Clairefontaine…
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De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Moustapha Fall (FIBA)
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Le pivot (2,18 m, 30 ans) est devenu, en peu de temps, un pion essentiel des Bleus, la plaque-tournante de sa raquette, celui qui peut tout changer en rotation de Rudy Gobert et de Vincent Poirier. Cela ne lui a pas empêché de devoir batailler fort, très fort, pour retrouver sa place.\n\nFlashback. Le 3 août dernier, Moustapha Fall contracte une blessure à l’entraînement. Le lendemain, l’IRM révèle une déchirure de 10 centimètres à l’ischio-jambier et, dans la foulée, l’équipe de France officialise logiquement son forfait, qui faisait à peine suite à ceux d’Andrew Albicy – qui, comme lui, a fait son retour dans l’ultime semaine de prépa – et de Victor Wembanyama. S’en est alors suivie une course contre-la-montre improbable, mais bien remportée par le pivot de l’Olympiakos.\n\n« Les délais étaient théoriquement de quatre à six semaines. On était déjà début août, alors l’espoir était très mince, accorde l’intéressé. Mais après avoir tout pris en considération, on a tout mis en oeuvre afin d’accélérer la cicatrisation. Je suis allé voir des spécialistes en Espagne, puis des spécialistes de foot à Clairefontaine, où je suis resté pendant deux semaines. A la base, je ne pensais pas pouvoir revenir sous le maillot bleu, je pensais surtout à mon retour en club avec l’Olympiakos… mais dès que l’on a entamé les procédures de soins, on s’est dit qu’on pouvait tenter quelque chose, même si ça allait être juste. Et la dernière IRM a finalement révélé qu’il n’y avait plus aucune déchirure, donc que je pouvais reprendre sans risque. »\n\n\n« Si on veut être champions d’Europe, on a besoin de Mous »\n\nIl aura ainsi fallu moins de quatre semaines à l’ancien pivot de l’ASVEL pour être opérationnel. Une rééducation express, et bien orchestrée par le staff de l’équipe de France… en collaboration avec celui de l’Olympiakos. « Le staff médical des Bleus faisait des compte-rendus réguliers à celui de l’Olympiakos pour que le club suive ma rééducation. Plusieurs membres sont venus contrôler manuellement à Paris pour donner leur aval. Sans ça, je n’aurais pas pu jouer l’Euro », souligne le pivot aux 21 sélections. Reconnaissant de l’opportunité.\n\nS’il ne compte qu’une seule compétition internationale sous le maillot tricolore, les Jeux Olympiques de Tokyo, ses coéquipiers l’ont en plus accueilli à bras ouverts. « Pendant ma convalescence, j’étais en contact permanent avec Evan (Fournier), Rudy (Gobert), Guerschon (Yabusele). Ils avaient à coeur que je revienne pour pouvoir aider l’équipe, d’autant que cette année, il n’y a pas Nando (De Colo) et Nico (Batum), donc il fallait rester soudés. Je n’ai quasiment pas eu l’impression d’être parti. »\n\nSur et en dehors du terrain, il a su se rendre indispensable. « Le retour de Moustapha Fall est capital, juge Rudy Gobert. C’est un joueur qui a un rôle très important dans l’équilibre de l’équipe. Sa mentalité, sa dureté, sa hargne et son talent poste bas sont de véritables atouts. Ça aurait vraiment été dur de ne pas avoir Mous. Je pense même qu’il est revenu plus fort qu’avant sa blessure. C’est un joueur capital. Si on veut être champions d’Europe, on a besoin de lui ». D’autant plus gratifiant, surtout venant de la part d’un tripler meilleur défenseur NBA et nouveau co-capitaine des Bleus.\n\nMoustapha Fall sait néanmoins que ce retour implique automatiquement un départ dans le groupe. MVP de l’Eurocup, et sur le point de retrouver les Bleus en compétition internationale, lui qui avait disputé l’Euro 2015 en France, Mouhammadou Jaiteh en a fait les frais. « C’est compliqué de prendre sa place parce qu’il a fait toute la prépa, et que c’est un ami… Même moi, je ne suis pas très à l’aise avec ça. Cela dit, Mam n’était pas sans savoir que la hiérarchie au niveau des intérieurs était déjà un peu établie dès le départ. À partir du moment où je m’entraînais pour revenir, je ne crois pas que c’était une surprise pour lui, d’autant qu’il n’avait pas eu un grand rôle durant la préparation. Disons que j’ai un peu moins de « scrupules » dans ces conditions, même si j’aurais vraiment aimé, pour lui, qu’il rejoue une compétition internationale. »\n\n\nEt maintenant, quel rôle pour Moustapha Fall à l’Euro ?\n\nAinsi retenu, Vincent Collet doit désormais passer du rôle du sélectionneur à celui de coach. En conséquence, la gestion de Mous Fall est primordiale. Il ne faudrait pas réduire ses travaux estivaux à peau de chagrin en subissant une rechute évitable. Quarante-huit heures avant le premier match contre l’Allemagne (jeudi 1er septembre à 20h30), le pivot de l’Olympiakos n’avait pas encore repris les entraînements tout terrain. « Je manque encore de sensations. Mais sincèrement, je m’attendais à pire pour un premier entraînement collectif », rassure-t-il.\n\nLe sélectionneur des Bleus ne sait pas encore s’il pourra jouer une seule minute demain, mais ce n’était pas une obligation compte tenu du vivier intérieur. « Il n’était pas forcément prévu de l’utiliser dès le premier match. Cela sera à déterminer en concertation avec le staff médical. Cela a toujours été prévu que ce serait une montée progressive. Il lui faut forcément encore un petit temps d’adaptation avant de jouer un match international », reconnaissait Vincent Collet à vingt-quatre heures du match d’ouverture.\n\nD’autant que les Bleus vont affronter l’Allemagne de Daniel Theis, puis la Lituanie de Jonas Valanciunas, la Bosnie-Herzégovine de Jusuf Nurkic et la Slovénie de Mike Tobey. Autant de pivots de haut niveau, sur lesquels l’erreur n’est pas permise, avec deux back-to-back rien qu’au premier tour. « Les meilleurs pivots au monde sont européens. Nurkic, Valanciunas, Jokic… Face à ces gars-là, il faut envoyer le plus de gabarits possibles parce qu’on sait qu’un joueur ne va pas les arrêter. Il faut se relayer, les fatiguer. Si je peux aider sur ce genre de matchup, tant mieux. »\n\nPour le moment, le seul mot d’ordre reste la patience. Le reste viendra au fil de la compétition. « Tout ce que je sais, c’est que je veux monter en puissance. Plus loin on ira dans cet Euro, plus j’aurai de chances d’être en forme », résume l’international. Espérons donc pour Mous Fall, comme pour les Bleus, que le parcours sera long et heureux.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nZéro minute. À la différence de tous ses coéquipiers en équipe de France, Moustapha Fall n’aura pas porté le maillot bleu la moindre seconde durant la préparation à l’Euro. Quarante-huit heures à peine avant le début de la compétition, Vincent Collet n’a pourtant pas hésité à rappeler son vice-champion olympique au dépens de Mam Jaiteh, tout de même MVP de la dernière saison régulière d’Eurocup, et qui avait effectué l’intégralité de la préparation. La raison ? Le pivot (2,18 m, 30 ans) est devenu, en peu de temps, un pion essentiel des Bleus, la plaque-tournante de sa raquette, celui qui peut tout changer en rotation de Rudy Gobert et de Vincent Poirier. Cela ne lui a pas empêché de devoir batailler fort, très fort, pour retrouver sa place.\n\nFlashback. Le 3 août dernier, Moustapha Fall contracte une blessure à l’entraînement. Le lendemain, l’IRM révèle une déchirure de 10 centimètres à l’ischio-jambier et, dans la foulée, l’équipe de France officialise logiquement son forfait, qui faisait à peine suite à ceux d’Andrew Albicy – qui, comme lui, a fait son retour dans l’ultime semaine de prépa – et de Victor Wembanyama. S’en est alors suivie une course contre-la-montre improbable, mais bien remportée par le pivot de l’Olympiakos.\n\n« Les délais étaient théoriquement de quatre à six semaines. On était déjà début août, alors l’espoir était très mince, accorde l’intéressé. Mais après avoir tout pris en considération, on a tout mis en oeuvre afin d’accélérer la cicatrisation. Je suis allé voir des spécialistes en Espagne, puis des spécialistes de foot à Clairefontaine…\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\n\nPhoto : Moustapha Fall (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/moustapha-fall-fiba-2.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-04T04:15:00.000Z", "updated_at":"2022-09-04T06:52:01.000Z", "published_at":"2022-09-04T04:15:00.000Z", "custom_excerpt":"Blessé à l’ischio-jambier début août, le pivot Moustapha Fall a réalisé une rééducation à vitesse grand V pour retrouver in extremis l’équipe de France, et ainsi disputer son premier EuroBasket. 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Annoncé forfait il y a un mois jour pour jour, le 3 août dernier, après une déchirure de 10 centimètres à l’ischio, Moustapha Fall s’est lancé dans une course contre-la-montre pour retrouver les Bleus. Sélectionné in extremis, le vice-champion olympique n’avait pas pu tenir sa place contre l’Allemagne, et les Bleus étaient passés à côté. Mais dès lors qu’il est rentré face à la Lituanie, dans le premier quart-temps, c’est le visage de toute une équipe qui a changé.
« Honnêtement, je me sens hors de rythme. Mais j’ai compensé par de la dureté, de l’agressivité, en essayant de jouer simple pour faire le moins d’erreurs possibles car je sais que lorsque l’on revient, on a souvent des repères un peu bizarre, on fait des erreurs bêtes. J’ai essayé de ramener de l’énergie et de la dureté parce que c’est ce qui manquait, surtout contre des intérieurs comme les leurs (NDLR : Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis) qui essayaient de nous épuiser à chaque fois. J’ai essayé de les impacter au maximum pour que, quand Rudy (Gobert) et Vincent (Poirier) rentrent sur le terrain, ça soit plus facile pour eux. On est une des équipes les plus athlétiques, si ce n’est la plus athlétique, donc il faut vraiment qu’on utilise notre physique. En attaque, en défense, il faut qu’on agresse, qu’on provoque des fautes, qu’on arrête de perdre la balle. »
https://twitter.com/CanalplusBasket/status/1566094341726248961
> Exclusivité : Moustapha Fall, retour express
Alors qu’il n’avait pas joué la moindre rencontre en un mois, le pivot de l’Olympiakos termine à 6 points à 1/3 aux tirs (et 4/4 aux lancers), 1 rebond et 1 contre pour 7 d’évaluation en 13 minutes. Plus que ses stats, Mous Fall a apporté de la sérénité.
« C’est une belle réaction. On avait mal démarré ce championnat d’Europe, on avait à coeur de répondre tout de suite pour ne pas se mettre en danger parce qu’on sait qu’on est dans un groupe très relevé et qu’on ne peut pas se permettre d’enchainer les défaites. On est satisfaits d’avoir réalisé un gros game face à une grosse équipe. Il y a une très bonne énergie dans l’équipe. Je n’en doutais pas. Même si on a déjoué et qu’on n’a pas fait une bonne performance, il ne faut pas oublier que c’est une très bonne équipe, qui jouait chez elle pour son match d’ouverture. Il faut relativiser. »
L’équipe de France affiche désormais un bilan d’une victoire pour une défaite, avant d’affronter la Hongrie dimanche soir, à 20h30. « On a bien réagi, maintenant il faut de la constance. On a fait un beau match, il ne faut pas qu’on s’enflamme et qu’on aborde tous les matches, petite ou grosse équipe, de la même façon. » On ne peut que boire les paroles du retrouvé Moustapha Fall.
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Moustapha Fall (FIBA)
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Il s’est arraché sur tous les ballons, a nettoyé le cercle, a contré et volé des ballons dans les instants les plus chauds… et ses deux tirs à 3-points en deuxième mi-temps ont changé le cours du match. Exemplaire.
« Pour certains, je sors de nulle part. Mais je peux vous dire que j’ai travaillé pour ça toute ma vie. Je suis très heureux d’avoir ramené cette énergie ce soir, l’équipe en avait besoin. C’est mon style. Je suis comme ça. Je crois que la France commence à apprécier ce que je peux apporter avec ou sans le ballon en mains. Le coach me dit de rester moi-même. Je sais que je peux marquer des tirs ouverts, que je peux défendre, que je peux aider l’équipe », nous a-t-il confié en zone mixte.
Le Manceau termine à 8 points à 3/4 aux tirs, dont 2/2 à 3-points, 4 rebonds, 4 interceptions et 1 contre pour 16 d’évaluation en 21 minutes. L’ailier franco-américain a contribué au redressement de l’équipe de France, passée à côté jeudi soir contre l’Allemagne, et peut de nouveau afficher un large sourire.
« Tout a changé par rapport à l’Allemagne. Nous avons joué plus physique, nous avons mis des tirs importants… Tout le monde a élevé son jeu. Ce n’était pas la défaite de jeudi qui nous a fait mal, mais c’était la manière de jouer. Nous l’avons fait ensemble. Et tout ça, c’est grâce à mes coéquipiers. Ils m’acceptent comme l’un des leurs, et j’ai de l’énergie et de la motivation à leur rendre. »
A la même heure, son club, le MSB, disputait le tournoi de Vannes, et ce n’est pas une blague. Sans doute que certains de ses coéquipiers manceaux, comme beaucoup, auraient pensé qu’il serait l’un des leurs pendant la préparation de la saison de Betclic Elite. Vincent Collet et Evan Fournier complimentaient le Manceau :
« Pour être honnête avec vous, quand le coach construisait l’équipe et qu’on était encore 17 joueurs, je me disais « ce mec ne fera pas partie des 12, c’est sûr », se souvient le capitaine Evan Fournier. Mais il a tellement de coeur. Il donne tout sur le terrain. Ce soir, c’était une splendide étape pour lui, il a débuté dans le cinq. Et il a joué son meilleur match avec l’équipe nationale. Il est le parfait exemple de comment on doit jouer sans ballon pour gagner un match de basket. En plus de ça, il a mis des shoots ce soir. C’est exceptionnel. »
« Je reconnais que quand on a construit le groupe, il ne devait pas en faire partie au départ. Mais ce qu’il a montré en préparation nous a montré qu’il pouvait être une pièce en jouant son rôle. Terry fait partie de ceux qui ont trouvé leur rôle. Et ce soir, il l’a exécuté de la meilleure des manières », ajoute le sélectionneur.
Nul doute que les prochains adversaires de l’équipe de France le surveilleront d’un peu plus près à l’avenir.
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Terry Tarpey (FIBA)
", "comment_id":"623261", "plaintext":"Samedi soir à Cologne, l’équipe de France a renversé la Lituanie grâce à son héros, le Manceau Terry Tarpey, l’invité de dernière minute de Vincent Collet (77-73). Réactions.\n\nEnvoyé dans le cinq de départ contre la Lituanie, Terry Tarpey a fait du Terry Tarpey. Il s’est arraché sur tous les ballons, a nettoyé le cercle, a contré et volé des ballons dans les instants les plus chauds… et ses deux tirs à 3-points en deuxième mi-temps ont changé le cours du match. Exemplaire.\n\n« Pour certains, je sors de nulle part. Mais je peux vous dire que j’ai travaillé pour ça toute ma vie. Je suis très heureux d’avoir ramené cette énergie ce soir, l’équipe en avait besoin. C’est mon style. Je suis comme ça. Je crois que la France commence à apprécier ce que je peux apporter avec ou sans le ballon en mains. Le coach me dit de rester moi-même. Je sais que je peux marquer des tirs ouverts, que je peux défendre, que je peux aider l’équipe », nous a-t-il confié en zone mixte.\n\n\n« Tout ça, c’est grâce à mes coéquipiers »\n\nLe Manceau termine à 8 points à 3/4 aux tirs, dont 2/2 à 3-points, 4 rebonds, 4 interceptions et 1 contre pour 16 d’évaluation en 21 minutes. L’ailier franco-américain a contribué au redressement de l’équipe de France, passée à côté jeudi soir contre l’Allemagne, et peut de nouveau afficher un large sourire.\n\n« Tout a changé par rapport à l’Allemagne. Nous avons joué plus physique, nous avons mis des tirs importants… Tout le monde a élevé son jeu. Ce n’était pas la défaite de jeudi qui nous a fait mal, mais c’était la manière de jouer. Nous l’avons fait ensemble. Et tout ça, c’est grâce à mes coéquipiers. Ils m’acceptent comme l’un des leurs, et j’ai de l’énergie et de la motivation à leur rendre. »\n\n\nLe coach a l’œil sur @Taarpey depuis Vannes 👀#EuroBasket pic.twitter.com/kjsZg1jM3Y\n\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) September 3, 2022\n\n\nA la même heure, son club, le MSB, disputait le tournoi de Vannes, et ce n’est pas une blague. Sans doute que certains de ses coéquipiers manceaux, comme beaucoup, auraient pensé qu’il serait l’un des leurs pendant la préparation de la saison de Betclic Elite. Vincent Collet et Evan Fournier complimentaient le Manceau :\n\n« Pour être honnête avec vous, quand le coach construisait l’équipe et qu’on était encore 17 joueurs, je me disais « ce mec ne fera pas partie des 12, c’est sûr », se souvient le capitaine Evan Fournier. Mais il a tellement de coeur. Il donne tout sur le terrain. Ce soir, c’était une splendide étape pour lui, il a débuté dans le cinq. Et il a joué son meilleur match avec l’équipe nationale. Il est le parfait exemple de comment on doit jouer sans ballon pour gagner un match de basket. En plus de ça, il a mis des shoots ce soir. C’est exceptionnel. »\n\n« Je reconnais que quand on a construit le groupe, il ne devait pas en faire partie au départ. Mais ce qu’il a montré en préparation nous a montré qu’il pouvait être une pièce en jouant son rôle. Terry fait partie de ceux qui ont trouvé leur rôle. Et ce soir, il l’a exécuté de la meilleure des manières », ajoute le sélectionneur.\n\nNul doute que les prochains adversaires de l’équipe de France le surveilleront d’un peu plus près à l’avenir.\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\n\nPhoto : Terry Tarpey (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/tarpey-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-03T18:58:42.000Z", "updated_at":"2022-09-03T21:47:26.000Z", "published_at":"2022-09-03T18:58:42.000Z", "custom_excerpt":"Samedi soir à Cologne, l’équipe de France a renversé la Lituanie grâce à son héros, le Manceau Terry Tarpey, l’invité de dernière minute de Vincent Collet (77-73). 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C’est grâce à une défense retrouvée (11 interceptions, 17 balles perdues pour la Lituanie) que les Bleus ont inversé un match qui longtemps ne leur fut pas favorable, sachant que les Lituaniens ont mené 30 minutes avec un avantage maximum de 13 points. Comme souvent, les qualités athlétiques des Français ont fait la différence à mesure que le temps avançait.
A leur entrée sur le terrain pour la période d’échauffement, les Bleus ont été copieusement sifflés, alors que les Lituaniens ont été applaudis par les fans déjà à leurs places. Un avant-goût de l’ambiance verte, rouge et jaune. « Lietuva ! Lietuva ! » Les supporters français représentaient juste quelques ilots dans la Köln Arena pleine de 18 017 spectateurs.
Pour le cinq de départ, Vincent Collet choisissait -surprise- de mettre Terry Tarpey -qui monte en grade chaque semaine- au milieu de Thomas Heurtel, Evan Fournier, Guerschon Yabusele et Rudy Gobert. Le Manceau avait comme mission de pister Ignas Brazdeikis. Seulement, la défense était tout de suite dépassée, à l’image de Rudy Gobert, alors que les Baltes réussissaient leurs cinq premiers shoots pour mener 4-13 au bout de 4’30, et encore 6-18 malgré l’entrée de Andrew Albicy pour revitaliser le rideau défensif. Le pivot Jonas Valanciunas des New York Pelicans se régalait, alors que sur le banc, le general manager Boris Diaw avait le visage des mauvais jours.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/domantas-sabonis.jpg\")
Absent de toute la préparation, Moustapha Fall faisait son retour à la compétition, et tout de suite impulsait du dynamisme et de la confiance. Evan Fournier prenait pleinement ses responsabilités (11 points dans le premier quart-temps), et les Bleus opéraient la jonction à la 12e minute (28-28). Toujours ce besoin d’être claqué pour réagir.
L’intensité avait grimpé de plusieurs degrés, mais les Bleus étaient sous Fournier dépendance offensivement. Le joueur des New York Knicks avait marqué 17 des 31 premiers points français, alors qu’au même moment, 8 Lituaniens se partageaient à peu près équitablement la marque avec Marius Grigonis en pointe (11 points). Incontestablement, la France était plus percutante avec Moustapha Fall dans la peinture et c’est son abattage -il enfonce, il cherche le partenaire démarqué- combiné à celui de Fournier qui lui permettait d’être toujours dans la course à la mi-temps (40-41).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/terry-tarpey-1.jpg\")
C’est toujours avec Terry Tarpey et sans Thomas Heurtel que la France attaquait la deuxième mi-temps. On notait que c’est sur un trois-points du Franco-Américain servi par Evan Fournier que les Bleus ont viré pour la première fois en tête (46-48- 24e). C’était âpre et indécis. Un temps fort des Lituaniens et les voilà qui se redonnaient un peu d’air (50-56). Surtout les Français étaient de nouveau en panne de combustibles en attaque, demeurant les 3 dernières minutes 57 secondes du troisième quart-temps sans marquer. 50-56 (30e).
Comme toujours dans ce type de match, chaque possession était brûlante. Les Lituaniens aussi savent bien défendre. C’était de nouveau un trois-points de Tarpey qui autorisait les Français à égaliser à 60-60. Et un autre à 3’07 de la fin, en transition de l’inévitable Evan Fournier à mener 67-64. A l’image de l’incroyable Terry Tarpey, les Bleus s’arrachaient en défense. Thomas Heurtel inscrivait 4 points de suite et la France avait un matelas de 7 points (71-64) à 2’03 du buzzer. Et comble de malheur pour les Lituaniens Marius Grigonis se blessait à la cheville.
On crû sur une claquette dunkée de Rudy Gobert sur un shoot raté de Fournier que l’affaire était dans le sac (73-67), mais les Lituaniens se sont battus jusqu’au bout. Rokas Jokubaitis remettait la France à portée de fusil (74-72 à 13″9), mais Gobert s’est saisi du rebond sur un ultime lancer-franc volontairement raté de Ignas Bradzeikis.
Pas question de s’endormir sur ces quelques lauriers, un autre match est prévu dès demain, à 20h30, face à la Hongrie, le sans-grade de ce groupe de Cologne.
La boxscore est ICI. Classement Groupe B.
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne, Allemagne.
Photo d’ouverture : Evan Fournier (FIBA)
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Comme souvent, les qualités athlétiques des Français ont fait la différence à mesure que le temps avançait.\n\n\nUn nouveau départ poussif\n\nA leur entrée sur le terrain pour la période d’échauffement, les Bleus ont été copieusement sifflés, alors que les Lituaniens ont été applaudis par les fans déjà à leurs places. Un avant-goût de l’ambiance verte, rouge et jaune. « Lietuva ! Lietuva ! » Les supporters français représentaient juste quelques ilots dans la Köln Arena pleine de 18 017 spectateurs.\n\nPour le cinq de départ, Vincent Collet choisissait -surprise- de mettre Terry Tarpey -qui monte en grade chaque semaine- au milieu de Thomas Heurtel, Evan Fournier, Guerschon Yabusele et Rudy Gobert. Le Manceau avait comme mission de pister Ignas Brazdeikis. Seulement, la défense était tout de suite dépassée, à l’image de Rudy Gobert, alors que les Baltes réussissaient leurs cinq premiers shoots pour mener 4-13 au bout de 4’30, et encore 6-18 malgré l’entrée de Andrew Albicy pour revitaliser le rideau défensif. Le pivot Jonas Valanciunas des New York Pelicans se régalait, alors que sur le banc, le general manager Boris Diaw avait le visage des mauvais jours.\n\n\nMoustapha Fall donne un coup de fouet aux Bleus\n\nAbsent de toute la préparation, Moustapha Fall faisait son retour à la compétition, et tout de suite impulsait du dynamisme et de la confiance. Evan Fournier prenait pleinement ses responsabilités (11 points dans le premier quart-temps), et les Bleus opéraient la jonction à la 12e minute (28-28). Toujours ce besoin d’être claqué pour réagir.\n\nL’intensité avait grimpé de plusieurs degrés, mais les Bleus étaient sous Fournier dépendance offensivement. Le joueur des New York Knicks avait marqué 17 des 31 premiers points français, alors qu’au même moment, 8 Lituaniens se partageaient à peu près équitablement la marque avec Marius Grigonis en pointe (11 points). Incontestablement, la France était plus percutante avec Moustapha Fall dans la peinture et c’est son abattage -il enfonce, il cherche le partenaire démarqué- combiné à celui de Fournier qui lui permettait d’être toujours dans la course à la mi-temps (40-41).\n\n\nTerry Tarpey, l’énergizer\n\nC’est toujours avec Terry Tarpey et sans Thomas Heurtel que la France attaquait la deuxième mi-temps. On notait que c’est sur un trois-points du Franco-Américain servi par Evan Fournier que les Bleus ont viré pour la première fois en tête (46-48- 24e). C’était âpre et indécis. Un temps fort des Lituaniens et les voilà qui se redonnaient un peu d’air (50-56). Surtout les Français étaient de nouveau en panne de combustibles en attaque, demeurant les 3 dernières minutes 57 secondes du troisième quart-temps sans marquer. 50-56 (30e).\n\nComme toujours dans ce type de match, chaque possession était brûlante. Les Lituaniens aussi savent bien défendre. C’était de nouveau un trois-points de Tarpey qui autorisait les Français à égaliser à 60-60. Et un autre à 3’07 de la fin, en transition de l’inévitable Evan Fournier à mener 67-64. A l’image de l’incroyable Terry Tarpey, les Bleus s’arrachaient en défense. Thomas Heurtel inscrivait 4 points de suite et la France avait un matelas de 7 points (71-64) à 2’03 du buzzer. Et comble de malheur pour les Lituaniens Marius Grigonis se blessait à la cheville.\n\nOn crû sur une claquette dunkée de Rudy Gobert sur un shoot raté de Fournier que l’affaire était dans le sac (73-67), mais les Lituaniens se sont battus jusqu’au bout. Rokas Jokubaitis remettait la France à portée de fusil (74-72 à 13″9), mais Gobert s’est saisi du rebond sur un ultime lancer-franc volontairement raté de Ignas Bradzeikis.\n\nPas question de s’endormir sur ces quelques lauriers, un autre match est prévu dès demain, à 20h30, face à la Hongrie, le sans-grade de ce groupe de Cologne.\n\n\n🇱🇹 L'hymne lituanien, toujours un frisson #EuroBasket2022 pic.twitter.com/XGbunELIU3\n\n— Clément Carton (@clementcarton) September 3, 2022\n\n\n\nMoustapha Fall with the RIM-ROCKER 💣#EuroBasket x #BringTheNoise\n\n📺 https://t.co/XA74Vl1szW pic.twitter.com/8yOwpz7JSX\n\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) September 3, 2022\n\n\nLa boxscore est ICI. 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Dzanan Musa n’était cependant pas satisfait de la tournure des évènements contre l’Allemagne alors que son équipe a mené 47-42 à la mi-temps.
« Nous n’avons tout simplement pas respecté notre plan de match. Je pense que nous aurions pu mieux faire les choses, surtout en défense. Je pense que nous devons apprendre de nos erreurs lors des prochains matchs car nous avons trois matchs vraiment très difficiles contre la Lituanie, la France et la Slovénie demain. Nous ne pouvons pas avoir les erreurs que nous avons commises aujourd’hui. Je pense que si nous résolvons nos problèmes, nous aurons de très bonnes chances. »
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De quoi définitivement renverser la partie et s’assurer une fin de match presque tranquille, si l’on excepte le rapproché après un 3-points de John Roberson à trois minutes du terme (82-76, 37e). La Mannschaft avait couru derrière au score la première moitié de la rencontre, jusqu’à compter 11 points de retard (36-47, 19e).
Comme contre les Bleus, les Allemands ont tous portés leur équipe à un moment donné, notamment Dennis Schröder (18 points, 9 passes), Franz Wagner (18 points, 5 rebonds) et Johannes Thiemann (14 points, 5 rebonds).
Dans la défaite, soulignons les énormes performances des Bosniens Jusuf Nurkic, longtemps inarrêtable dans la raquette (21 points à 8/18 aux tirs, 7 rebonds, 3 contres) et le percutant Dzanan Musa (30 points à… 13/17 aux tirs, 4 passes), devant leur kop de supporters.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/supporters-bosnie-euro-2022-fiba.jpg\")
Dans le groupe B, la France défiera la Lituanie à 17h45 dans un duel sous tension et la Slovénie sera opposée à la Hongrie à 20h30.
À Cologne (Allemagne).
Boxscore Allemagne – Bosnie-Herzégovine / Classement Groupe B
Photo : Dennis Schröder (FIBA)
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La Mannschaft avait couru derrière au score la première moitié de la rencontre, jusqu’à compter 11 points de retard (36-47, 19e).\n\n\nThe nod of approval from Coach @1MrBigShot 🕴#EuroBasket x #BringTheNoise | @bosnianbeast27\n\n📺 https://t.co/XA74Vl1szW pic.twitter.com/Q10ghPKtSd\n\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) September 3, 2022\n\n\nComme contre les Bleus, les Allemands ont tous portés leur équipe à un moment donné, notamment Dennis Schröder (18 points, 9 passes), Franz Wagner (18 points, 5 rebonds) et Johannes Thiemann (14 points, 5 rebonds).\n\nDans la défaite, soulignons les énormes performances des Bosniens Jusuf Nurkic, longtemps inarrêtable dans la raquette (21 points à 8/18 aux tirs, 7 rebonds, 3 contres) et le percutant Dzanan Musa (30 points à… 13/17 aux tirs, 4 passes), devant leur kop de supporters.\n\nDans le groupe B, la France défiera la Lituanie à 17h45 dans un duel sous tension et la Slovénie sera opposée à la Hongrie à 20h30.\n\nÀ Cologne (Allemagne).\n\nBoxscore Allemagne – Bosnie-Herzégovine / Classement Groupe B\n\nPhoto : Dennis Schröder (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/dennis-schroder-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-03T14:36:04.000Z", "updated_at":"2022-09-03T14:40:50.000Z", "published_at":"2022-09-03T14:36:04.000Z", "custom_excerpt":"Vainqueur de l’équipe de France en ouverture, l’Allemagne poursuit son sans-faute à l’EuroBasket 2022. 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Photo : Giannis Antetokounmpo (FIBA)
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Evaldas Beržininkaitis évoque une action qui l’a marqué au cours de France-Allemagne :
« Attention au numéro 22 de l’adversaire. Contre l’Allemagne, il a bloqué un tir qui semblait impossible à attraper, mais sa longueur de bras le rend possible. En défense, il touche beaucoup la balle. La longueur des bras compte beaucoup. »
Il s’agit de Terry Tarpey. Les Lituaniens sont bien renseignés puisqu’ils indiquent que l’ailier du Mans possède une envergure de 2,08 m pour une taille de seulement 1,95 m.
Photo : FIBA
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Photo : Thomas Heurtel (FIBA)
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« J’ai très envie de sortir du groupe, d’aller plus loin qu’au Championnat d’Europe 2017. Nous allons tous essayer de prouver à tout le monde que nous sommes sous-estimés. Oui, nous ne sommes pas l’équipe la plus forte ici, mais nous avons une réserve, il y a 12 joueurs qui ont joué à un haut niveau. Je veux surprendre tout le monde. Nous voulons montrer que les matchs d’août ne sont pas représentatifs. »
Contrainte de jouer « à domicile » à Riga, l’Ukraine avait été battue par l’Italie (89-97), puis en Islande (91-88) pour le compte des qualifications à la Coupe du Monde.
« Tout d’abord, je tiens à remercier tous ceux qui regardent nos matchs. Je sais qu’on parle beaucoup de nous dans les médias, dans les commentaires, on sait qu’ils croient en nous et veulent que l’équipe gagne. Et tout le monde sait que nous pouvons gagner. Par conséquent, nous jouons pour nous, pour notre pays et pour les soldats qui défendent l’Ukraine. Gloire à l’Ukraine ! »
Photo : FIBA
", "comment_id":"623164", "plaintext":"En raison de la guerre dans le pays, l’Ukraine n’est pas une équipe comme les autres à l’EuroBasket. Passé par Nanterre la saison dernière, Vyacheslav Bobrov (2,03 m, 29 ans) a bien conscience que ses équipiers et lui sont investis d’une mission spéciale.\n\nPour leur entrée dans le tournoi, les Ukrainiens ont dominé la Grande-Bretagne, 90-61, avec 7 points et 4 rebonds de Vyacheslav Bobrov, qui se montre ambitieux :\n\n« J’ai très envie de sortir du groupe, d’aller plus loin qu’au Championnat d’Europe 2017. Nous allons tous essayer de prouver à tout le monde que nous sommes sous-estimés. Oui, nous ne sommes pas l’équipe la plus forte ici, mais nous avons une réserve, il y a 12 joueurs qui ont joué à un haut niveau. Je veux surprendre tout le monde. Nous voulons montrer que les matchs d’août ne sont pas représentatifs. »\n\nContrainte de jouer « à domicile » à Riga, l’Ukraine avait été battue par l’Italie (89-97), puis en Islande (91-88) pour le compte des qualifications à la Coupe du Monde.\n\n« Tout d’abord, je tiens à remercier tous ceux qui regardent nos matchs. Je sais qu’on parle beaucoup de nous dans les médias, dans les commentaires, on sait qu’ils croient en nous et veulent que l’équipe gagne. Et tout le monde sait que nous pouvons gagner. Par conséquent, nous jouons pour nous, pour notre pays et pour les soldats qui défendent l’Ukraine. Gloire à l’Ukraine ! »\n\nPhoto : FIBA", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/vyacheslav-bobrov.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-03T07:55:33.000Z", "updated_at":"2022-09-03T07:55:42.000Z", "published_at":"2022-09-03T07:55:33.000Z", "custom_excerpt":"En raison de la guerre dans le pays, l’Ukraine n’est pas une équipe comme les autres à l’EuroBasket. Passé par Nanterre la saison dernière, Vyacheslav Bobrov (2,03 m, 29 ans) a bien conscience que ses équipiers et lui sont investis d’une mission spéciale.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb15", "uuid":"0ab67825-4a79-4858-856c-615e1a1d40ed", "title":"AmeriCup : Le Mexique tombe les Etats-Unis !", "slug":"americup-le-mexique-tombe-les-etats-unis", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/ubdETx_376k?start=1&feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Lors de la première journée de la 19e édition de la FIBA AmeriCup, le Mexique a écrit l’histoire en battant les Etats-Unis, 73-67.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette victoire est la toute première du Mexique contre les États-Unis à l’AmeriCup. Les Mexicains ont fait une différence dans le troisième quart-temps (20-13) pour prendre une avance (56-48) que les Américains ont effacé via un 10-2. Mais après une égalité à 58, le Mexique a repris les commandes pour filer vers la victoire.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le meneur Paul Stoll (1,80 m, 36 ans), passé sans éclats par Limoges et Boulogne-Levallois, a été le héros du Mexique avec 15 points, 5 rebonds, 9 passes et 4 interceptions, tandis que Fabian Jaimes a enregistré un double-double avec 13 points et 10 rebonds. Le Mexique a marqué 44 points dans la peinture avec Jaimes et Daniel Amigo (13 points).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les États-Unis ont eu du mal à faire tomber des tirs à trois points, réalisant un modeste 8/30. Leurs deux leaders ont été Jeremy Pargo (14 points) et Norris Cole (11 points), ex-Monaco et Limoges, les deux seuls joueurs à marquer à deux chiffres pour les États-Unis.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je tiens à féliciter mes joueurs. Ils ont fait un excellent travail. Ils ont suivi le plan de match à la perfection ce soir. Nous sommes très heureux, nous allons profiter de cette victoire contre le numéro un mondial, » a commenté Omar Quintero, le coach du Mexique.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Paul Stoll (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Cette victoire est la toute première du Mexique contre les États-Unis à l’AmeriCup. Les Mexicains ont fait une différence dans le troisième quart-temps (20-13) pour prendre une avance (56-48) que les Américains ont effacé via un 10-2. Mais après une égalité à 58, le Mexique a repris les commandes pour filer vers la victoire.
Le meneur Paul Stoll (1,80 m, 36 ans), passé sans éclats par Limoges et Boulogne-Levallois, a été le héros du Mexique avec 15 points, 5 rebonds, 9 passes et 4 interceptions, tandis que Fabian Jaimes a enregistré un double-double avec 13 points et 10 rebonds. Le Mexique a marqué 44 points dans la peinture avec Jaimes et Daniel Amigo (13 points).
Les États-Unis ont eu du mal à faire tomber des tirs à trois points, réalisant un modeste 8/30. Leurs deux leaders ont été Jeremy Pargo (14 points) et Norris Cole (11 points), ex-Monaco et Limoges, les deux seuls joueurs à marquer à deux chiffres pour les États-Unis.
« Je tiens à féliciter mes joueurs. Ils ont fait un excellent travail. Ils ont suivi le plan de match à la perfection ce soir. Nous sommes très heureux, nous allons profiter de cette victoire contre le numéro un mondial, » a commenté Omar Quintero, le coach du Mexique.
Photo : Paul Stoll (FIBA)
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Le Barça précise que la billetterie a progressé de 52% par rapport à 2018-2019, à environ 1,2 million d’euros, et que la vente de maillots et de produits officiels a plus que doublé par rapport à 2020-2021. Mais sans la section football, le château de cartes s’écroulerait…
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Partout en Europe. Contre les Bleus ce samedi après-midi à Cologne (17h45), ils sont de nouveau attendus en nombre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Turquie a ouvert l’EuroBasket par une victoire sur le Monténégro, mais son coach Ergin Ataman n’a pas été satisfait, ni de la performance de son équipe, ni de l’ambiance à l’intérieur de l’Arena de Tbilissi. Seul un petit groupe de supporters trucs a cherché à briser le silence. \"],[0,[0],1,\"« Après de nombreuses années en Euroleague, cette expérience pour moi dans ce genre de tournoi… Je pense que pour certains joueurs, ce genre d’ambiance… »\"],[0,[],0,\" a-t-il commencé par petits bouts de phrase. \"],[0,[0],1,\"« Je ne sais pas ce que vous ressentez. L’ambiance que vous avez à chaque match en NBA, en Euroleague. Ce soir, nous n’avons vu que 100 spectateurs. Cela nous apporte aucune émotion. Quelle est la différence entre un tournoi U18 et l’EuroBasket ? Il y a beaucoup de joueurs de l’Euroleague et de NBA, mais l’Arena est vide. »\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ergin Ataman aurait certainement davantage apprécié que la Turquie soit incluse dans le groupe de Cologne. Les 19 250 places de la Lanxess Arena étaient toutes occupées pour le match Allemagne-France, normal, mais l’enceinte était aussi bruyante et colorée pour le choc Lituanie-Slovénie, avec pourtant « seulement » 14 500 spectateurs.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il faut souligner que les fans lituaniens étaient très largement en surnombre vis-à-vis des Slovènes. Il suffit de s’aventurer dans les coursives pour s’apercevoir qu’ils sont généralement grands, costauds, et amateurs de bière. Ils – ou elles – portent haut les couleurs vert, rouge et jaune et chantent l’hymne national à plein poumons, bras dessus, bras dessous. Ils s’agitent, crient, insultent un peu, mais ils ne sont pas agressifs, même quand l’effet de la bière se fait ressentir. 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Il y aurait environ 50 000 personnes d’origine lituanienne dans le périmètre de Cologne, et d’autres sont accourus des pays avoisinants, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, France, et même de Grande-Bretagne, du Danemark et d’Islande.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Interrogé par le site \"],[0,[0],1,\"BasketNews\"],[0,[],0,\", le chef de bande, Tomas Balaisis-Sekla, a indiqué avoir rallié Cologne en voiture, ce qui représente 1 500 kilomètres. C’est un habitué de ces transhumances puisqu’il a 19 évènements de ce genre à son actif. Il a apporté sur place des tambours et d’autres accessoires. D’autres ont voyagé en bus, ont pris un vol direct depuis Kaunas, ou le train via Berlin ou Francfort. Si environ un tiers des fans est renouvelé sur chaque compétition, un noyau dur est présent depuis les premières expéditions.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Petit pays mais avec de grandes tailles\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Lituanie est la numéro 1 au nombre de supporters à l’étranger alors que le pays ne recense que 2,8 millions d’habitants. A cela une raison, le basketball est enraciné dans la culture locale depuis bientôt un siècle. Il coule dans les veines de chaque enfant qui rêve de porter un jour le maillot de l’équipe nationale. Le sport numéro 1 dans le pays n’est pas le football comme ailleurs, mais le basket.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ce sont des Américains d’origine lituanienne qui ont ensemencé, les deux plus connus étant Frank Lubin et Michael Ruzgis, qui fut ensuite l’entraîneur de l’équipe de France. Avec leur aide, la Lituanie a remporté les titres européens de 1937 et 1939 avant d’être engloutie par l’URSS, suite à la deuxième guerre mondiale.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La passion pour la balle orange n’a pas disparu pour autant, au contraire\"],[0,[0],1,\". « Nous nous sentions comme une nation occupée. Nous n’avions aucune arme à utiliser. La seule opportunité de faire nos preuves contre les Soviétiques était le basket-ball »\"],[0,[],0,\", a rappelé le journaliste Arunas Pakula, désormais employé à la LKL, la ligue professionnelle lituanienne. Le club du Zalgiris Kaunas, créé en 1944, quelques années seulement après l’occupation du pays, avec un nom commémorant la bataille de Grunwald, est devenu l’un des principaux moyens de résistance non violente. Arvidas Sabonis, père de Domantas, en fut le symbole dans les années quatre-vingt, et sa rivalité avec le CSKA Moscou, donna lieu à des joutes électriques. Une foule de supporters allaient accueillir les héros à l’aéroport lorsqu’ils revenaient de la capitale russe avec une glorieuse victoire.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les infrastructures de formation dans le pays sont bonnes. De plus, si la population du pays est réduite, la moyenne de taille est élevée, 1,80 m, et il existe certains spécimens de très hautes tailles comme Arvidas Sabonis (2,20 m) et Jonas Valanciunas (2,13 m).\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"« Tout le monde connaît l’équipe de basket… n’importe qui peut venir vous voir et dire quelque chose que vous avez mal fait, que vous devriez faire ceci ou cela »,\"],[0,[],0,\" commente l’ancien international Sauius Stombergas. \"],[0,[0],1,\"« Dans d’autres pays, vous sentez que le sport n’est pas si populaire, il n’y a pas beaucoup de fans. Je jouais pour Kinder Bologne en Italie, ils aiment vraiment ce sport là-bas. Mais vous pouviez quand même sentir qu’ils en savaient davantage sur le football que sur le basket, car dans les journaux, tout tourne autour du football. »\"]]],[10,3],[1,\"h3\",[[0,[1],1,\"Le compliment de Luka Doncic\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Même le Slovène Luka Doncic a été impressionné par la fièvre verte à l’Arena de Cologne. \"],[0,[0],1,\"« On aurait dit que nous jouions en Lituanie. De nombreux fans sont venus les soutenir. C’était incroyable. Bien sûr, j’aimerais qu’il y ait plus de fans slovènes. Mais le fait que nous ayons vu autant de supporters lituaniens nous a un peu excités. C’est un pays de basket, comme nous, si je ne me trompe pas, il n’y a que 3 millions d’habitants en Lituanie. Ils se battent toujours pour des médailles. C’est formidable de les voir remplir l’Arena, et peu importe l’équipe qu’ils soutiennent. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Français peuvent être certains que leur prestation de ce samedi ne laissera personne indifférent.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Turquie a ouvert l’EuroBasket par une victoire sur le Monténégro, mais son coach Ergin Ataman n’a pas été satisfait, ni de la performance de son équipe, ni de l’ambiance à l’intérieur de l’Arena de Tbilissi. Seul un petit groupe de supporters trucs a cherché à briser le silence. \"],[0,[0],1,\"« Après de nombreuses années en Euroleague, cette expérience pour moi dans ce genre de tournoi… Je pense que pour certains joueurs, ce genre d’ambiance… »\"],[0,[],0,\" a-t-il commencé par petits bouts de phrase. \"],[0,[0],1,\"« Je ne sais pas ce que vous ressentez. L’ambiance que vous avez à chaque match en NBA, en Euroleague. 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La Turquie a ouvert l’EuroBasket par une victoire sur le Monténégro, mais son coach Ergin Ataman n’a pas été satisfait, ni de la performance de son équipe, ni de l’ambiance à l’intérieur de l’Arena de Tbilissi. Seul un petit groupe de supporters trucs a cherché à briser le silence. « Après de nombreuses années en Euroleague, cette expérience pour moi dans ce genre de tournoi… Je pense que pour certains joueurs, ce genre d’ambiance… » a-t-il commencé par petits bouts de phrase. « Je ne sais pas ce que vous ressentez. L’ambiance que vous avez à chaque match en NBA, en Euroleague. Ce soir, nous n’avons vu que 100 spectateurs. Cela nous apporte aucune émotion. Quelle est la différence entre un tournoi U18 et l’EuroBasket ? Il y a beaucoup de joueurs de l’Euroleague et de NBA, mais l’Arena est vide. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/lituanie-4.jpg\")
Ergin Ataman aurait certainement davantage apprécié que la Turquie soit incluse dans le groupe de Cologne. Les 19 250 places de la Lanxess Arena étaient toutes occupées pour le match Allemagne-France, normal, mais l’enceinte était aussi bruyante et colorée pour le choc Lituanie-Slovénie, avec pourtant « seulement » 14 500 spectateurs.
Il faut souligner que les fans lituaniens étaient très largement en surnombre vis-à-vis des Slovènes. Il suffit de s’aventurer dans les coursives pour s’apercevoir qu’ils sont généralement grands, costauds, et amateurs de bière. Ils – ou elles – portent haut les couleurs vert, rouge et jaune et chantent l’hymne national à plein poumons, bras dessus, bras dessous. Ils s’agitent, crient, insultent un peu, mais ils ne sont pas agressifs, même quand l’effet de la bière se fait ressentir. Les t-shirts bariolés, inspirés du groupe de rock américain Grateful Dead, sont devenus célèbres dans le basket aux Jeux Olympiques de Barcelone de 1992, soit deux ans après que le pays ait retrouvé son indépendance.
Selon différentes estimations, plus de deux milliers de Lituaniens sont à Cologne pour supporter leur équipe nationale. La plus grande concentration de fans, plus de 800, se trouve derrière l’un des paniers. Le prix d’un forfait pour les cinq sessions des matches de la Lituanie est fixé à 265 euros. En fait, il donne la possibilité de tout voir… sauf les matches de l’Allemagne.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/fan-lituanie.jpg\")
Le ministère des Affaires étrangères, ainsi que la diaspora locale, a facilité la venue des supporters. Il y aurait environ 50 000 personnes d’origine lituanienne dans le périmètre de Cologne, et d’autres sont accourus des pays avoisinants, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, France, et même de Grande-Bretagne, du Danemark et d’Islande.
Interrogé par le site BasketNews, le chef de bande, Tomas Balaisis-Sekla, a indiqué avoir rallié Cologne en voiture, ce qui représente 1 500 kilomètres. C’est un habitué de ces transhumances puisqu’il a 19 évènements de ce genre à son actif. Il a apporté sur place des tambours et d’autres accessoires. D’autres ont voyagé en bus, ont pris un vol direct depuis Kaunas, ou le train via Berlin ou Francfort. Si environ un tiers des fans est renouvelé sur chaque compétition, un noyau dur est présent depuis les premières expéditions.
La Lituanie est la numéro 1 au nombre de supporters à l’étranger alors que le pays ne recense que 2,8 millions d’habitants. A cela une raison, le basketball est enraciné dans la culture locale depuis bientôt un siècle. Il coule dans les veines de chaque enfant qui rêve de porter un jour le maillot de l’équipe nationale. Le sport numéro 1 dans le pays n’est pas le football comme ailleurs, mais le basket.
Ce sont des Américains d’origine lituanienne qui ont ensemencé, les deux plus connus étant Frank Lubin et Michael Ruzgis, qui fut ensuite l’entraîneur de l’équipe de France. Avec leur aide, la Lituanie a remporté les titres européens de 1937 et 1939 avant d’être engloutie par l’URSS, suite à la deuxième guerre mondiale.
La passion pour la balle orange n’a pas disparu pour autant, au contraire. « Nous nous sentions comme une nation occupée. Nous n’avions aucune arme à utiliser. La seule opportunité de faire nos preuves contre les Soviétiques était le basket-ball », a rappelé le journaliste Arunas Pakula, désormais employé à la LKL, la ligue professionnelle lituanienne. Le club du Zalgiris Kaunas, créé en 1944, quelques années seulement après l’occupation du pays, avec un nom commémorant la bataille de Grunwald, est devenu l’un des principaux moyens de résistance non violente. Arvidas Sabonis, père de Domantas, en fut le symbole dans les années quatre-vingt, et sa rivalité avec le CSKA Moscou, donna lieu à des joutes électriques. Une foule de supporters allaient accueillir les héros à l’aéroport lorsqu’ils revenaient de la capitale russe avec une glorieuse victoire.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/lituanie-3.jpg\")
Les infrastructures de formation dans le pays sont bonnes. De plus, si la population du pays est réduite, la moyenne de taille est élevée, 1,80 m, et il existe certains spécimens de très hautes tailles comme Arvidas Sabonis (2,20 m) et Jonas Valanciunas (2,13 m).
« Tout le monde connaît l’équipe de basket… n’importe qui peut venir vous voir et dire quelque chose que vous avez mal fait, que vous devriez faire ceci ou cela », commente l’ancien international Sauius Stombergas. « Dans d’autres pays, vous sentez que le sport n’est pas si populaire, il n’y a pas beaucoup de fans. Je jouais pour Kinder Bologne en Italie, ils aiment vraiment ce sport là-bas. Mais vous pouviez quand même sentir qu’ils en savaient davantage sur le football que sur le basket, car dans les journaux, tout tourne autour du football. »
Même le Slovène Luka Doncic a été impressionné par la fièvre verte à l’Arena de Cologne. « On aurait dit que nous jouions en Lituanie. De nombreux fans sont venus les soutenir. C’était incroyable. Bien sûr, j’aimerais qu’il y ait plus de fans slovènes. Mais le fait que nous ayons vu autant de supporters lituaniens nous a un peu excités. C’est un pays de basket, comme nous, si je ne me trompe pas, il n’y a que 3 millions d’habitants en Lituanie. Ils se battent toujours pour des médailles. C’est formidable de les voir remplir l’Arena, et peu importe l’équipe qu’ils soutiennent. »
Les Français peuvent être certains que leur prestation de ce samedi ne laissera personne indifférent.
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La Turquie a ouvert l’EuroBasket par une victoire sur le Monténégro, mais son coach Ergin Ataman n’a pas été satisfait, ni de la performance de son équipe, ni de l’ambiance à l’intérieur de l’Arena de Tbilissi. Seul un petit groupe de supporters trucs a cherché à briser le silence. « Après de nombreuses années en Euroleague, cette expérience pour moi dans ce genre de tournoi… Je pense que pour certains joueurs, ce genre d’ambiance… » a-t-il commencé par petits bouts de phrase. « Je ne sais pas ce que vous ressentez. L’ambiance que vous avez à chaque match en NBA, en Euroleague. Ce soir, nous n’avons vu que 100 spectateurs. Cela nous apporte aucune émotion. Quelle est la différence entre un tournoi U18 et l’EuroBasket ? Il y a beaucoup de joueurs de l’Euroleague et de NBA, mais l’Arena est vide. »
Ergin Ataman aurait certainement davantage apprécié que la Turquie soit incluse dans le groupe de Cologne. Les 19 250 places de la Lanxess Arena étaient toutes occupées pour le match Allemagne-France, normal, mais l’enceinte était aussi bruyante et colorée pour le choc Lituanie-Slovénie, avec pourtant « seulement » 14 500 spectateurs.
Il faut souligner que les fans lituaniens étaient très largement en surnombre vis-à-vis des Slovènes. Il suffit de s’aventurer dans les coursives pour s’apercevoir qu’ils sont généralement grands, costauds, et amateurs de bière. Ils – ou elles – portent haut les couleurs vert, rouge et jaune et chantent l’hymne national…
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De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo d’ouverture : BasketEurope
", "comment_id":"622879", "plaintext":"Les supporters lituaniens sont de véritables sixièmes hommes pour leur équipe nationale. Partout en Europe. Contre les Bleus ce samedi après-midi à Cologne (17h45), ils sont de nouveau attendus en nombre.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLa Turquie a ouvert l’EuroBasket par une victoire sur le Monténégro, mais son coach Ergin Ataman n’a pas été satisfait, ni de la performance de son équipe, ni de l’ambiance à l’intérieur de l’Arena de Tbilissi. Seul un petit groupe de supporters trucs a cherché à briser le silence. « Après de nombreuses années en Euroleague, cette expérience pour moi dans ce genre de tournoi… Je pense que pour certains joueurs, ce genre d’ambiance… » a-t-il commencé par petits bouts de phrase. « Je ne sais pas ce que vous ressentez. L’ambiance que vous avez à chaque match en NBA, en Euroleague. Ce soir, nous n’avons vu que 100 spectateurs. Cela nous apporte aucune émotion. Quelle est la différence entre un tournoi U18 et l’EuroBasket ? Il y a beaucoup de joueurs de l’Euroleague et de NBA, mais l’Arena est vide. »\n\nErgin Ataman aurait certainement davantage apprécié que la Turquie soit incluse dans le groupe de Cologne. Les 19 250 places de la Lanxess Arena étaient toutes occupées pour le match Allemagne-France, normal, mais l’enceinte était aussi bruyante et colorée pour le choc Lituanie-Slovénie, avec pourtant « seulement » 14 500 spectateurs.\n\nIl faut souligner que les fans lituaniens étaient très largement en surnombre vis-à-vis des Slovènes. Il suffit de s’aventurer dans les coursives pour s’apercevoir qu’ils sont généralement grands, costauds, et amateurs de bière. Ils – ou elles – portent haut les couleurs vert, rouge et jaune et chantent l’hymne national à plein poumons, bras dessus, bras dessous. Ils s’agitent, crient, insultent un peu, mais ils ne sont pas agressifs, même quand l’effet de la bière se fait ressentir. Les t-shirts bariolés, inspirés du groupe de rock américain Grateful Dead, sont devenus célèbres dans le basket aux Jeux Olympiques de Barcelone de 1992, soit deux ans après que le pays ait retrouvé son indépendance.\n\n\nVert, rouge et jaune\n\nSelon différentes estimations, plus de deux milliers de Lituaniens sont à Cologne pour supporter leur équipe nationale. La plus grande concentration de fans, plus de 800, se trouve derrière l’un des paniers. Le prix d’un forfait pour les cinq sessions des matches de la Lituanie est fixé à 265 euros. En fait, il donne la possibilité de tout voir… sauf les matches de l’Allemagne.\n\nLe ministère des Affaires étrangères, ainsi que la diaspora locale, a facilité la venue des supporters. Il y aurait environ 50 000 personnes d’origine lituanienne dans le périmètre de Cologne, et d’autres sont accourus des pays avoisinants, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, France, et même de Grande-Bretagne, du Danemark et d’Islande.\n\nInterrogé par le site BasketNews, le chef de bande, Tomas Balaisis-Sekla, a indiqué avoir rallié Cologne en voiture, ce qui représente 1 500 kilomètres. C’est un habitué de ces transhumances puisqu’il a 19 évènements de ce genre à son actif. Il a apporté sur place des tambours et d’autres accessoires. D’autres ont voyagé en bus, ont pris un vol direct depuis Kaunas, ou le train via Berlin ou Francfort. Si environ un tiers des fans est renouvelé sur chaque compétition, un noyau dur est présent depuis les premières expéditions.\n\n\nPetit pays mais avec de grandes tailles\n\nLa Lituanie est la numéro 1 au nombre de supporters à l’étranger alors que le pays ne recense que 2,8 millions d’habitants. A cela une raison, le basketball est enraciné dans la culture locale depuis bientôt un siècle. Il coule dans les veines de chaque enfant qui rêve de porter un jour le maillot de l’équipe nationale. Le sport numéro 1 dans le pays n’est pas le football comme ailleurs, mais le basket.\n\nCe sont des Américains d’origine lituanienne qui ont ensemencé, les deux plus connus étant Frank Lubin et Michael Ruzgis, qui fut ensuite l’entraîneur de l’équipe de France. Avec leur aide, la Lituanie a remporté les titres européens de 1937 et 1939 avant d’être engloutie par l’URSS, suite à la deuxième guerre mondiale.\n\nLa passion pour la balle orange n’a pas disparu pour autant, au contraire. « Nous nous sentions comme une nation occupée. Nous n’avions aucune arme à utiliser. La seule opportunité de faire nos preuves contre les Soviétiques était le basket-ball », a rappelé le journaliste Arunas Pakula, désormais employé à la LKL, la ligue professionnelle lituanienne. Le club du Zalgiris Kaunas, créé en 1944, quelques années seulement après l’occupation du pays, avec un nom commémorant la bataille de Grunwald, est devenu l’un des principaux moyens de résistance non violente. Arvidas Sabonis, père de Domantas, en fut le symbole dans les années quatre-vingt, et sa rivalité avec le CSKA Moscou, donna lieu à des joutes électriques. Une foule de supporters allaient accueillir les héros à l’aéroport lorsqu’ils revenaient de la capitale russe avec une glorieuse victoire.\n\nLes infrastructures de formation dans le pays sont bonnes. De plus, si la population du pays est réduite, la moyenne de taille est élevée, 1,80 m, et il existe certains spécimens de très hautes tailles comme Arvidas Sabonis (2,20 m) et Jonas Valanciunas (2,13 m).\n\n« Tout le monde connaît l’équipe de basket… n’importe qui peut venir vous voir et dire quelque chose que vous avez mal fait, que vous devriez faire ceci ou cela », commente l’ancien international Sauius Stombergas. « Dans d’autres pays, vous sentez que le sport n’est pas si populaire, il n’y a pas beaucoup de fans. Je jouais pour Kinder Bologne en Italie, ils aiment vraiment ce sport là-bas. Mais vous pouviez quand même sentir qu’ils en savaient davantage sur le football que sur le basket, car dans les journaux, tout tourne autour du football. »\n\n\nLes supporters lituaniens sont chauds..😇#LITFRA @EuroBasket pic.twitter.com/InA2eGTCD4\n\n— Basket Europe (@basketeurope) September 3, 2022\n\n\n\nLe compliment de Luka Doncic\n\nMême le Slovène Luka Doncic a été impressionné par la fièvre verte à l’Arena de Cologne. « On aurait dit que nous jouions en Lituanie. De nombreux fans sont venus les soutenir. C’était incroyable. Bien sûr, j’aimerais qu’il y ait plus de fans slovènes. Mais le fait que nous ayons vu autant de supporters lituaniens nous a un peu excités. C’est un pays de basket, comme nous, si je ne me trompe pas, il n’y a que 3 millions d’habitants en Lituanie. Ils se battent toujours pour des médailles. C’est formidable de les voir remplir l’Arena, et peu importe l’équipe qu’ils soutiennent. »\n\nLes Français peuvent être certains que leur prestation de ce samedi ne laissera personne indifférent.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nLa Turquie a ouvert l’EuroBasket par une victoire sur le Monténégro, mais son coach Ergin Ataman n’a pas été satisfait, ni de la performance de son équipe, ni de l’ambiance à l’intérieur de l’Arena de Tbilissi. Seul un petit groupe de supporters trucs a cherché à briser le silence. « Après de nombreuses années en Euroleague, cette expérience pour moi dans ce genre de tournoi… Je pense que pour certains joueurs, ce genre d’ambiance… » a-t-il commencé par petits bouts de phrase. « Je ne sais pas ce que vous ressentez. L’ambiance que vous avez à chaque match en NBA, en Euroleague. Ce soir, nous n’avons vu que 100 spectateurs. Cela nous apporte aucune émotion. Quelle est la différence entre un tournoi U18 et l’EuroBasket ? Il y a beaucoup de joueurs de l’Euroleague et de NBA, mais l’Arena est vide. »\n\nErgin Ataman aurait certainement davantage apprécié que la Turquie soit incluse dans le groupe de Cologne. Les 19 250 places de la Lanxess Arena étaient toutes occupées pour le match Allemagne-France, normal, mais l’enceinte était aussi bruyante et colorée pour le choc Lituanie-Slovénie, avec pourtant « seulement » 14 500 spectateurs.\n\nIl faut souligner que les fans lituaniens étaient très largement en surnombre vis-à-vis des Slovènes. Il suffit de s’aventurer dans les coursives pour s’apercevoir qu’ils sont généralement grands, costauds, et amateurs de bière. Ils – ou elles – portent haut les couleurs vert, rouge et jaune et chantent l’hymne national…\n\n[/arm_restrict_content]\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\n\nPhoto d’ouverture : BasketEurope", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/capture-de-cc-81cran-2022-09-02-a-cc-80-16.53.31.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-03T05:00:00.000Z", "updated_at":"2022-09-03T14:30:32.000Z", "published_at":"2022-09-03T05:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Les supporters lituaniens sont de véritables sixièmes hommes pour leur équipe nationale. Partout en Europe. 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A la question de savoir s’il a été surpris par la sévère défaite des Bleus face à l’Allemagne, il a répondu :
« La France a fait un mauvais match et l’Allemagne a laissé une bonne impression. C’est une équipe physique, bien organisée, qui joue pour ses fans, et ils ont tenu bon pendant 40 minutes. La version française n’était pas la meilleure, mais elle sera différente. Ils sont physiques, ils sont complets, ils ont des joueurs différents, ce ne sera pas bon pour nous. Les deux équipes qui vont se rencontrer veulent se ressaisir. –
Les Allemands ont réussi à freiner Evan Fournier et Elie Okobo. Les Lituaniens parviendront-is à en faire autant ?
« Je ne sais pas si les Allemands ont réussi ou s’ils ont eux-mêmes perdu le rythme, il semblait qu’eux-mêmes n’étaient pas en forme. Les Français se mettent dans la rythme, ils ne jouent pas encore leur meilleur basket, on va essayer de les empêcher de se mettre en forme. Je pense qu’ils seront bien meilleurs que lors du dernier match. »
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Les cadres tricolores dominaient assez nettement pendant les cinq premières minutes dans tous les compartiments du jeu. Les Belges profitaient malgré tout des premières – jeunes – rotations des Bleues pour recoller au score en fin de premier quart-temps (16-16).\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[],0,\"De nouveau sur le terrain, le duo Sarah Michel – Alexia Chartereau, décidément en jambes, permettait toutefois aux Françaises de reprendre les commandes (28-20, 15e). A l’image d’un très beau jeu collectif entre la locale de l’étape, Marine Fauthoux, Chartereau, Chéry et conclu par Tadic sur la zone belge, l’équipe de France maîtrisait son sujet, dans une fluidité que l’on n’avait pas l’habitude de voir depuis leur médaille olympique (37-24, 17e). 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Et une belle cohésion, tant défensive qu’offensive. « \"],[0,[4],1,\"Un match n’est jamais parfait, pour autant les gamines ont été courageuses\"],[0,[],0,\" », a souligné le sélectionneur Jean-Aimé Toupane au micro de \"],[0,[4],1,\"BeIN Sports\"],[0,[],0,\" après la rencontre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il s’agissait du dernier match de l’équipe de France féminine à domicile dans cette préparation à la Coupe du monde (22 septembre – 1er octobre en Australie). Dans moins de quarante huit heures, les Bleues retrouveront de nouveau les Belges pour une revanche, à Courtrai, ce dimanche 4 septembre à 16h (à suivre sur BeIN Sports).\"]]],[1,\"p\",[[0,[5,0],2,\"Boxscore France – Belgique\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[4],1,\"Photo : Alexia Chartereau (FIBA)\"],[0,[],0,\"\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le sans-faute des Bleues se poursuit en préparation. Après avoir battu une faiblarde Bosnie-Herzégovine dans les grandes largeurs le 21 août dernier à Marseille, l’équipe de France féminine a cette fois-ci dominé un adversaire bien plus à son niveau, la Belgique, à Pau, devant 4 564 spectateurs (74-55). Dans la continuité du scrimmage à huis clos de la veille, déjà remporté avec la même marge (83-62).
Sans Sandrine Gruda, forfait pour la compétition, sans Marine Johannès et Assitan Kone, laissées en tenue, sans Sara Chevaugeon et Caroline Hériaud, libérées ce vendredi, et dans l’attente d’Iliana Rupert et de Gabby Williams, toujours aux playoffs WNBA (comme les Belges, privées de leurs deux plaques tournantes Emma Meesseman et Julie Allemand)… c’est une équipe de France inexpérimentée mais pleine de fraicheur qui s’est présentée au Palais des Sports.
L’entame de match des joueuses de Jean-Aimé Toupane fut rigoureuse, à l’image de la nouvelle capitaine Sarah Michel, tant en attaque qu’en défense, avec une belle intensité (7-0, 3e). Les cadres tricolores dominaient assez nettement pendant les cinq premières minutes dans tous les compartiments du jeu. Les Belges profitaient malgré tout des premières – jeunes – rotations des Bleues pour recoller au score en fin de premier quart-temps (16-16).
De nouveau sur le terrain, le duo Sarah Michel – Alexia Chartereau, décidément en jambes, permettait toutefois aux Françaises de reprendre les commandes (28-20, 15e). A l’image d’un très beau jeu collectif entre la locale de l’étape, Marine Fauthoux, Chartereau, Chéry et conclu par Tadic sur la zone belge, l’équipe de France maîtrisait son sujet, dans une fluidité que l’on n’avait pas l’habitude de voir depuis leur médaille olympique (37-24, 17e). Seulement, leur relâchement sur quelques replis défensifs combiné à un regain d’adresse belge ne leur permettaient de rentrer aux vestiaires qu’avec 5 longueurs d’avance (41-36).
En l’absence de Sandrine Gruda, les Bleues tentaient de retrouver un peu de calme et de leadership au retour des vestiaires, pour ne pas réitérer leur fin de première mi-temps manquée, marquée par de la précipitation. Celui-ci est venu de la vice-capitaine, Alexia Chartereau, qui insufflait une énergie communicative des deux côtés du terrain pour passer un 10-0 (51-36, 24e).
Les joueuses de Valéry Demory ne vivaient que sur leur tir extérieur, notamment Julie Vanloo, 13 points à 4/8 à 3-points, et restaient à hauteur au tableau d’affichage (51-45, 27e). Mais les protégées de Jean-Aimé Toupane étaient supérieures, et cette domination allait se justifier dans le dernier tiers du match.
Ana Tadic, très efficace sur ses courts passages, pesait dans la raquette, et Migna Touré (8 points) sur les lignes extérieures par ses pénétrations et son shoot mi-distance. De +9 en fin de troisième quart-temps, l’écart flirtait avec les +20 en fin de rencontre, de quoi rassurer face à un adversaire du même acabit au classement FIBA.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/sarah-michel-ffbb-france-belgique.jpg\")
De ce deuxième match de préparation, retenons la belle présence d’Alexia Chartereau (13 points à 5/7 aux tirs, 6 rebonds pour 21 d’évaluation) mais aussi celle de Sarah Michel (7 points, 3 rebonds, 2 interceptions) ou d’Ana Tadic (14 points à +30 de +/-). Et une belle cohésion, tant défensive qu’offensive. « Un match n’est jamais parfait, pour autant les gamines ont été courageuses », a souligné le sélectionneur Jean-Aimé Toupane au micro de BeIN Sports après la rencontre.
Il s’agissait du dernier match de l’équipe de France féminine à domicile dans cette préparation à la Coupe du monde (22 septembre – 1er octobre en Australie). Dans moins de quarante huit heures, les Bleues retrouveront de nouveau les Belges pour une revanche, à Courtrai, ce dimanche 4 septembre à 16h (à suivre sur BeIN Sports).
Photo : Alexia Chartereau (FIBA)
", "comment_id":"623115", "plaintext":"Portées par sa vice-capitaine Alexia Chartereau, l’équipe de France féminine a maîtrisé la Belgique ce vendredi soir à Pau (74-55). Un deuxième match de préparation encourageant, à trois semaines du début de la Coupe du monde.\n\nLe sans-faute des Bleues se poursuit en préparation. Après avoir battu une faiblarde Bosnie-Herzégovine dans les grandes largeurs le 21 août dernier à Marseille, l’équipe de France féminine a cette fois-ci dominé un adversaire bien plus à son niveau, la Belgique, à Pau, devant 4 564 spectateurs (74-55). Dans la continuité du scrimmage à huis clos de la veille, déjà remporté avec la même marge (83-62).\n\nSans Sandrine Gruda, forfait pour la compétition, sans Marine Johannès et Assitan Kone, laissées en tenue, sans Sara Chevaugeon et Caroline Hériaud, libérées ce vendredi, et dans l’attente d’Iliana Rupert et de Gabby Williams, toujours aux playoffs WNBA (comme les Belges, privées de leurs deux plaques tournantes Emma Meesseman et Julie Allemand)… c’est une équipe de France inexpérimentée mais pleine de fraicheur qui s’est présentée au Palais des Sports.\n\n\nUne entame soignée\n\nL’entame de match des joueuses de Jean-Aimé Toupane fut rigoureuse, à l’image de la nouvelle capitaine Sarah Michel, tant en attaque qu’en défense, avec une belle intensité (7-0, 3e). Les cadres tricolores dominaient assez nettement pendant les cinq premières minutes dans tous les compartiments du jeu. Les Belges profitaient malgré tout des premières – jeunes – rotations des Bleues pour recoller au score en fin de premier quart-temps (16-16).\n\n\nSarah Michel, le drive. Ça marche tout le temps ! 😎\n\n🇫🇷 26-20 🇧🇪 | 14'#PassionnémentBleu #FRABEL pic.twitter.com/P9HTyC6sX1\n\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 2, 2022\n\n\nDe nouveau sur le terrain, le duo Sarah Michel – Alexia Chartereau, décidément en jambes, permettait toutefois aux Françaises de reprendre les commandes (28-20, 15e). A l’image d’un très beau jeu collectif entre la locale de l’étape, Marine Fauthoux, Chartereau, Chéry et conclu par Tadic sur la zone belge, l’équipe de France maîtrisait son sujet, dans une fluidité que l’on n’avait pas l’habitude de voir depuis leur médaille olympique (37-24, 17e). Seulement, leur relâchement sur quelques replis défensifs combiné à un regain d’adresse belge ne leur permettaient de rentrer aux vestiaires qu’avec 5 longueurs d’avance (41-36).\n\n\nAlexia Chartereau en mode leader\n\nEn l’absence de Sandrine Gruda, les Bleues tentaient de retrouver un peu de calme et de leadership au retour des vestiaires, pour ne pas réitérer leur fin de première mi-temps manquée, marquée par de la précipitation. Celui-ci est venu de la vice-capitaine, Alexia Chartereau, qui insufflait une énergie communicative des deux côtés du terrain pour passer un 10-0 (51-36, 24e).\n\nLes joueuses de Valéry Demory ne vivaient que sur leur tir extérieur, notamment Julie Vanloo, 13 points à 4/8 à 3-points, et restaient à hauteur au tableau d’affichage (51-45, 27e). Mais les protégées de Jean-Aimé Toupane étaient supérieures, et cette domination allait se justifier dans le dernier tiers du match.\n\n\nANA TADIC, DÉJÀ À 10PTS ! 🤩 Record en bleu 🇫🇷 battu ✅️#Passionnément #FRABEL pic.twitter.com/uo5NmH4tIM\n\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 2, 2022\n\n\nAna Tadic, très efficace sur ses courts passages, pesait dans la raquette, et Migna Touré (8 points) sur les lignes extérieures par ses pénétrations et son shoot mi-distance. De +9 en fin de troisième quart-temps, l’écart flirtait avec les +20 en fin de rencontre, de quoi rassurer face à un adversaire du même acabit au classement FIBA.\n\nDe ce deuxième match de préparation, retenons la belle présence d’Alexia Chartereau (13 points à 5/7 aux tirs, 6 rebonds pour 21 d’évaluation) mais aussi celle de Sarah Michel (7 points, 3 rebonds, 2 interceptions) ou d’Ana Tadic (14 points à +30 de +/-). Et une belle cohésion, tant défensive qu’offensive. « Un match n’est jamais parfait, pour autant les gamines ont été courageuses », a souligné le sélectionneur Jean-Aimé Toupane au micro de BeIN Sports après la rencontre.\n\nIl s’agissait du dernier match de l’équipe de France féminine à domicile dans cette préparation à la Coupe du monde (22 septembre – 1er octobre en Australie). Dans moins de quarante huit heures, les Bleues retrouveront de nouveau les Belges pour une revanche, à Courtrai, ce dimanche 4 septembre à 16h (à suivre sur BeIN Sports).\n\nBoxscore France – Belgique\n\nPhoto : Alexia Chartereau (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/image-30.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-02T20:29:39.000Z", "updated_at":"2022-09-02T20:54:45.000Z", "published_at":"2022-09-02T20:29:39.000Z", "custom_excerpt":"Portées par sa vice-capitaine Alexia Chartereau, l’équipe de France féminine a maîtrisé la Belgique ce vendredi soir à Pau (74-55). 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Photo : Giannis Antetokounmpo (FIBA)
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Johannes Voigtmann a déjà joué à l’étranger en Espagne, à Vitoria, et en Russie, au CSKA Moscou. En EuroLeague, il compte 185 apparitions en carrière avec une moyenne de 8,5 points par match (40,4 % à trois-points) et 5,3 rebonds.
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« Comment ce monsieur peut se définir comme « un pur produit d’Allah » alors que l’Elan est un club catholique à l’origine ? »
Via le président David Bonnemason-Carrère, l’affaire est remontée en haut lieu, c’est à dire jusqu’au maire François Bayrou. L’un des deux dirigeants de CSG, Greg Heuss, rapporte sa version des faits dans le quotidien :
« Le maire nous a expliqué que l’on devait écarter Taqwa, qu’il ne pouvait pas rester manager général. François Bayrou a expliqué qu’un musulman ne serait pas accepté localement et politiquement car l’Elan est une organisation catholique. Nous avons répondu qu’il était hors de question de virer quelqu’un pour croyance religieuse. Ce n’était pas notre façon de faire ni d’être. Le maire a insisté, nous a répété qu’il fallait qu’on écarte Taqwa. »
Décidément le passage fugace de CSG n’a pas fini de polluer le paysage du basket béarnais.
Photo : Elan Béarnais
", "comment_id":"623031", "plaintext":"Devenu manager général de l’Elan Béarnais, Taqwa Pinero a manifesté sa foi en Allah sur les réseaux sociaux, ce qui a choqué la communauté paloise.\n\nLe « dossier » Taqwa Pinero continue de faire des vagues en Béarn. L’ancien joueur devenu manager général de l’Elan Béarnais ne veut pas quitter son poste quand bien même les investisseurs américains de Counterpointe Sports Group (CSG) ont retiré leurs billes après avoir lancé le club dans le mur. Autre chapitre : le quotidien Sud-Ouest rapporte qu’un sponsor important du club avait manifesté en mai son inquiétude sur le fait que Taqwa Pinero, de confession musulmane, a fait du prosélytisme sur les réseaux sociaux.\n\n« Comment ce monsieur peut se définir comme « un pur produit d’Allah » alors que l’Elan est un club catholique à l’origine ? »\n\nVia le président David Bonnemason-Carrère, l’affaire est remontée en haut lieu, c’est à dire jusqu’au maire François Bayrou. L’un des deux dirigeants de CSG, Greg Heuss, rapporte sa version des faits dans le quotidien :\n\n« Le maire nous a expliqué que l’on devait écarter Taqwa, qu’il ne pouvait pas rester manager général. François Bayrou a expliqué qu’un musulman ne serait pas accepté localement et politiquement car l’Elan est une organisation catholique. Nous avons répondu qu’il était hors de question de virer quelqu’un pour croyance religieuse. Ce n’était pas notre façon de faire ni d’être. Le maire a insisté, nous a répété qu’il fallait qu’on écarte Taqwa. »\n\nDécidément le passage fugace de CSG n’a pas fini de polluer le paysage du basket béarnais.\n\nPhoto : Elan Béarnais", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/taqwa-pinero800-eric-traversie.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-02T13:35:00.000Z", "updated_at":"2022-09-02T12:53:30.000Z", "published_at":"2022-09-02T13:35:00.000Z", "custom_excerpt":"Devenu manager général de l’Elan Béarnais, Taqwa Pinero a manifesté sa foi en Allah sur les réseaux sociaux, ce qui a choqué la communauté paloise.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb1f", "uuid":"6380bd1b-082f-4e83-b781-cdc31c21274c", "title":"Équipe de France féminine : Sara Chevaugeon et Caroline Hériaud libérées", "slug":"equipe-de-france-feminine-sara-chevaugeon-et-caroline-heriaud-liberees", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Les 13 Bleues en stage
Marième Badiane, Lisa Berkani, Alexia Chartereau, Kendra Chery, Helena Ciak, Marine Fauthoux, Marine Johannès, Assitan Kone, Sarah Michel, Marie-Eve Paget, Marie Pardon, Ana Tadic, Mamignan Touré.
Vendredi, jour de match de l’équipe de France féminine, le staff des Bleues a décidé de réduire un peu plus le groupe dans sa préparation à la Coupe du monde 2022. Sara Chevaugeon (1,75 m, 29 ans) et Caroline Hériaud (1,65 m, 25 ans) vont ainsi quitter leurs partenaires dans la journée. Dans l’attente de Gabby Williams et d’Iliana Rupert, qui disputent actuellement les playoffs WNBA, l’équipe de France continue sa préparation avec 13 joueuses.
Vainqueurs de la Bosnie-Herzégovine le 21 août dernier à Marseille (87-52), les Bleues disputent un nouveau match de préparation ce vendredi soir. Les joueuses de Jean-Aimé Toupane accueillent la Belgique à 20h30 au Palais des Sports de Pau (match diffusé en direct sur BeIN Sports).
Les 13 Bleues en stage
Marième Badiane, Lisa Berkani, Alexia Chartereau, Kendra Chery, Helena Ciak, Marine Fauthoux, Marine Johannès, Assitan Kone, Sarah Michel, Marie-Eve Paget, Marie Pardon, Ana Tadic, Mamignan Touré.
Le programme de l’Equipe de France féminine
Photo : Bacot/FFBB
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Plus de détails sur le site : http://ducreux.us/
Non, ce n’est pas une blague. Dans quelques jours, le 7 septembre, vous pourrez avoir entre les mains un roman policier inspiré de l’ASVEL. « Astro ghost, le fantôme de l’Astroballe », publié aux Éditions Héraclite, est l’oeuvre du romancier rhônalpin Jean Ducreux, fan de basket, et particulièrement du club villeurbannais.
Il publie ici son septième roman, le troisième d’une saga, les enquêtes du Moineau de Bellecour. Plus qu’une simple énigme policière, ce récit emmène le lecteur à l’Astroballe, la salle historique de l’ASVEL, et ses abords dans une énigme à la touche humoristique. Jean Ducreux nous dévoile les contours de cet étonnant polar sur fond de balle orange.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/couvastroghost1.png\")
Comment l’idée d’écrire un livre inspiré de l’ASVEL est-elle venue ?
« L’idée d’un roman policier sur l’ASVEL, avec l’ASVEL, autour de l’ASVEL, avec des personnages connus de la planète basket, m’a été initialement suggérée par Luc Paganon, journaliste au Progrès, avec qui je partage un amour immodéré du basket en général, et de l’ASVEL en particulier. Luc est également un lecteur attentif du Moineau de Bellecour et il apparaît en caméo dans Tirage gagnant, le Moineau 2, en tant que personnage parlant. Il lui arrive d’ailleurs tout un tas de péripéties dont je ris encore aujourd’hui. Je lui ai demandé pardon, d’autant que ses parents et ses enfants ont lu le roman en question et qu’ils doivent m’en vouloir énormément (sourire).
Ensuite, l’intrigue du Fantôme de l’Astroballe s’est développée autour d’un axe thématique principal, qui est celui de la tolérance et de l’acceptation de l’autre, un terrain général sur lequel l’ASVEL, homme comme femme, donne un sacré exemple en France, de même que la ville de Villeurbanne, tous champions anti-discrimination. Je ne peux dévoiler plus de détails, sous peine de déflorer mon sujet. On a d’une part la face vertueuse de l’homme – celle du club – qui côtoie le côté sombre de l’âme humaine, des criminels méprisables à tous égards que mon détective privé de la place Bellecour va pourchasser et vaincre. Pas de surprise là-dessus, le Moineau est un être extrêmement positif et bienveillant et c’est lui qui triomphe à la fin.
Enfin, le bouquin se passe aux trois quarts à Villeurbanne, pas seulement à l’Astroballe (et même à Mado Bonnet), mais aussi dans le cœur administratif du club, et puis au cimetière à côté, à la gare routière Laurent-Bonnevay, à l’usine hydroélectrique voisine, au stade nautique, sur le terrain de rugby Georges Lyvet, chez les pompiers en face. Bref, on ne bouge pas du quartier ! »
À partir de quelle documentation avez-vous travaillé ?
« J’ai fait pas mal de recherches sur le web, et je pense que ça se sent, car tous les détails que j’inclus dans le bouquin sont 100 % vérifiés et vérifiables, en dehors du complot criminel qui est bien sûr entièrement inventé. Ensuite, j’ai passé des heures en reconnaissance sur le terrain, la gare, la piscine, le cimetière, le camp de romanichels de la rue de Pierrefrite (disparu depuis), j’ai pris des photos quand j’assistais à un match, intérieur et extérieur de l’Astroballe, jour et nuit. Je ne rate pas un match, quand je décris l’ambiance, la température qui monte dans les tribunes, l’aboyeur qui demande « Faites du bruit ! » ou bien « Debout-debout-debout », c’est du vécu, un ressenti personnel de tous les instants.
Enfin, j’ai bénéficié d’un super coup de bol : par l’entremise de Corinne Ducarre et Alexia Leduc, au siège, j’ai rencontré par deux fois le directeur général adjoint de l’ASVEL, Alain Cloux (NDLR : en partance pour Limoges cet été), un type fantastique, intelligent, fin, plein d’humour, qui a passé des heures avec moi dans les bureaux du club et dans tous les recoins de l’Astroballe, des vestiaires à la salle de muscu, et qui a répondu à une liste interminable de questions. J’avais besoin de tout bien comprendre pour exploiter ces infos efficacement dans le bouquin. Quelle patience il a eue ! On retrouve toutes ses réponses à lui dans le polar. Quand on suit le détective privé Nacho Obispo dans les couloirs du club, dans les loges, dans l’énorme salle des Espaces Atypiques, je ne fais que décrire ce que j’ai vu, en prenant quantité de notes. Comme vous le savez, l’Astroballe est construite principalement en sous-sol – semi enterrée – et organisée en rond, autour du parquet central. Je crois que j’ai baladé Alain trois fois autour de ce terrain, en lui tirant les vers du nez sur les moindres aspects du club, l’organigramme, qui est qui dans le club, qui gère les cintres, le système de la sono, les caméras de surveillance, les bénévoles et j’en passe, jusqu’à la matière des filets utilisée pour les paniers, des heures durant ! Pour le remercier, je lui ai même attribué un rôle parlant dans cette histoire. J’espère là aussi que sa famille me pardonnera (rires). »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/10/astroballe-2021-asvel-cska-moscou-infinity-nine-media.jpg\")
Quelle a été la réaction de votre éditeur quand vous lui avez suggéré un livre inspiré de l’ASVEL ?
« Damien Corban, le patron des Éditions Héraclite, est un type fantastique. Il a dit « banco » tout de suite. Et il m’a aussi dit pas plus tard qu’hier qu’Astro Ghost, le Fantôme de l’Astroballe, est pour lui le meilleur des trois Moineaux. Il est difficile pour moi d’en juger, bien sûr. Le Moineau de Bellecour est une collection, chaque enquête est complètement dissociée des autres. Je suis reconnaissant envers Damien d’avoir édité trois volumes du Moineau de Bellecour en dix-huit mois seulement, mais, bon, le succès que rencontre ce détective privé atypique depuis la première enquête semble lui donner raison. »
Dans ce livre, il est question de l’OSVEL, du président Antwan Parcoeur. Vous aimez détourner la réalité, n’est-ce pas ?
« C’est une spécificité majeure de la collection Le Moineau de Bellecour : la caricature, oui, on décolle complètement du réel. Je n’écris pas des polars archi sérieux ou gore, c’est hyper structuré, soit, mais l’humour est la caractéristique première du style que j’utilise dans cette collection. Depuis sa première enquête, Salsa Picante, le détective privé Nacho Obispo – natif d’Ainay, doué d’une empathie peu ordinaire, grenouille de bénitier qui s’ignore, marié à la très catholique Marie-Caroline (surnommée MaCa) et père de six enfants et d’un chihuahua capricieux – évolue dans un univers connu de tous, Bellecour, Perrache, la Part Dieu, etc. Mais c’est bien la seule attache au réel. Les enquêtes du Moineau se déroulent vraiment à un autre niveau, un méta niveau, plutôt marrant, du moins je l’espère. Les relations entre les gens sont souvent déroutantes, jamais habituelles ou attendues, surtout les personnages récurrents, comme le Commissaire Dinandier et son adjoint Mamadou Ndiambour.
Pour revenir à votre question, oui, c’est le président « Parcoeur » qui demande au Moineau d’enquêter sur une ombre fantomatique qui hante les couloirs de l’Astroballe, et non pas Tony Parker. J’ai choisi d’emblée. Effectivement, TP9, il va le rencontrer, mais c’est tout de même plus amusant de l’appeler différemment, puisqu’on est dans la caricature. Imaginez : « Nacho Obispo rencontre le président Tony Parker »… Ce n’est pas drôle (rires) ! Alors, le lecteur va s’amuser à chercher qui se cache derrière des pseudos tels que Michel-Jean Lasso venu en voisin, Kalamaki Adetokunbo, le sponsor Claude de la Bergerie, Elijah O’Kindle (le soleil de Phoenix), Paolo Labomba, le commentateur Jack Montclerc, etc. Les basketteurs de mes amis qui ont eu le bouquin entre les mains s’en sont donné à cœur joie et ont bien rigolé : il y a au moins une cinquantaine de noms cachés, les uns et les autres subissent les longs interrogatoires de la PJ. Les pseudos sont complètement transparents (ou peut-être un peu moins, pour certains), j’en ris encore. Il y a même un joueur natif de Montbrison, comme moi, un dénommé Guilhem Hautvar ! Tout ce monde-là aide le Moineau dans sa quête ! C’est un peu comme un jeu de piste réservé aux aficionados, mais en sous-main. Alors que pour le lecteur lambda, ça ne fait pas de différence : ce ne sont que des noms à l’intérieur d’une intrigue policière solide et complexe. Et j’insiste sur un point : tout ça est très bon enfant, vraiment bien intentionné, je ne me moque pas, j’ai trop de respect pour toutes les personnes que rencontre le Moineau et que le grand public reconnaîtra peut-être. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/jducreux500.png\")
Sans en dévoiler davantage, pouvez-vous décrire à nos lecteurs l’histoire de ce livre ?
« Volontiers : le détective privé lyonnais Nacho Obispo assiste à un match d’Euroleague de son club préféré lorsque l’invraisemblable se produit : un acte de vandalisme absolument insensé qui va interdire l’utilisation du parquet pendant de longues semaines. Pendant que la police judiciaire fait son travail, le président du club fait venir le Moineau dans sa loge et le charge d’enquêter en marge de la police sur un pseudo spectre que quatre employées du club seulement ont pu apercevoir de loin. Le fantôme de l’Astroballe a-t-il quelque chose à voir avec les dégradations en cours ? Le Moineau est engagé dans la cellule communication du club, sous les ordres d’Enrique Garcillas, et il est donc idéalement bien placé pour observer les allées et venues des uns et des autres. Selon ses mots, lui, le fan absolu, se sent « comme un gamin pénétrant dans une fabrique de jouets ». Rapidement, notre détective voit pour la première fois l’ectoplasme, en même temps qu’il constate de nouveaux dégâts à l’Astroballe. Puis il découvre le premier cadavre, celui d’un ex-employé récemment congédié par le DGA Alain Pointeix. La police poursuit ses investigations, interroge tous les joueurs, alors que Nacho, stupéfait, se demande si le spectre n’est pas un vrai fantôme, revenu du royaume des morts pour le prévenir chaque fois qu’un mauvais coup se prépare. Son épouse MaCa estime qu’il déraisonne. La situation dérape, ça galope, etc. Et de rebondissements en surprise, on arrive à un dénouement tout à fait inhabituel dans un polar ! »
Finissons sur une question plus personnelle : qu’avez-vous fait avant de devenir écrivain ?
« Alors, j’ai fait mes premières armes dans le scénario, avec des bonheurs très divers, tout en étant prof d’anglais. Mon dernier poste avant la retraite était à l’université Claude-Bernard Lyon 1, campus de la Doua, de 2007 à 2020. Aujourd’hui, je suis écrivain à plein temps… et Astro Ghost est mon septième roman ! »
Astro Ghost, le fantôme de l’Astroballe se trouvera dès le 7 septembre en rayon ou à la commande chez tous les libraires de France et de Navarre, ou par correspondance sur le site des Éditions Héraclite.
Plus de détails sur le site : http://ducreux.us/
Photo d’ouverture : Emmanuel Fradin
", "comment_id":"622299", "plaintext":"Le 7 septembre prochain, « Astro ghost, le fantôme de l’Astroballe », un polar inspiré de l’ASVEL, sort en librairie. À l’occasion de la sortie de ce troisième opus des enquêtes du Moineau de Bellecour, Basket Europe a rencontré son auteur, Jean Ducreux.\n\nNon, ce n’est pas une blague. Dans quelques jours, le 7 septembre, vous pourrez avoir entre les mains un roman policier inspiré de l’ASVEL. « Astro ghost, le fantôme de l’Astroballe », publié aux Éditions Héraclite, est l’oeuvre du romancier rhônalpin Jean Ducreux, fan de basket, et particulièrement du club villeurbannais.\n\nIl publie ici son septième roman, le troisième d’une saga, les enquêtes du Moineau de Bellecour. Plus qu’une simple énigme policière, ce récit emmène le lecteur à l’Astroballe, la salle historique de l’ASVEL, et ses abords dans une énigme à la touche humoristique. Jean Ducreux nous dévoile les contours de cet étonnant polar sur fond de balle orange.\n\nComment l’idée d’écrire un livre inspiré de l’ASVEL est-elle venue ?\n« L’idée d’un roman policier sur l’ASVEL, avec l’ASVEL, autour de l’ASVEL, avec des personnages connus de la planète basket, m’a été initialement suggérée par Luc Paganon, journaliste au Progrès, avec qui je partage un amour immodéré du basket en général, et de l’ASVEL en particulier. Luc est également un lecteur attentif du Moineau de Bellecour et il apparaît en caméo dans Tirage gagnant, le Moineau 2, en tant que personnage parlant. Il lui arrive d’ailleurs tout un tas de péripéties dont je ris encore aujourd’hui. Je lui ai demandé pardon, d’autant que ses parents et ses enfants ont lu le roman en question et qu’ils doivent m’en vouloir énormément (sourire).\n\nEnsuite, l’intrigue du Fantôme de l’Astroballe s’est développée autour d’un axe thématique principal, qui est celui de la tolérance et de l’acceptation de l’autre, un terrain général sur lequel l’ASVEL, homme comme femme, donne un sacré exemple en France, de même que la ville de Villeurbanne, tous champions anti-discrimination. Je ne peux dévoiler plus de détails, sous peine de déflorer mon sujet. On a d’une part la face vertueuse de l’homme – celle du club – qui côtoie le côté sombre de l’âme humaine, des criminels méprisables à tous égards que mon détective privé de la place Bellecour va pourchasser et vaincre. Pas de surprise là-dessus, le Moineau est un être extrêmement positif et bienveillant et c’est lui qui triomphe à la fin.\n\nEnfin, le bouquin se passe aux trois quarts à Villeurbanne, pas seulement à l’Astroballe (et même à Mado Bonnet), mais aussi dans le cœur administratif du club, et puis au cimetière à côté, à la gare routière Laurent-Bonnevay, à l’usine hydroélectrique voisine, au stade nautique, sur le terrain de rugby Georges Lyvet, chez les pompiers en face. Bref, on ne bouge pas du quartier ! »\n\nÀ partir de quelle documentation avez-vous travaillé ?\n« J’ai fait pas mal de recherches sur le web, et je pense que ça se sent, car tous les détails que j’inclus dans le bouquin sont 100 % vérifiés et vérifiables, en dehors du complot criminel qui est bien sûr entièrement inventé. Ensuite, j’ai passé des heures en reconnaissance sur le terrain, la gare, la piscine, le cimetière, le camp de romanichels de la rue de Pierrefrite (disparu depuis), j’ai pris des photos quand j’assistais à un match, intérieur et extérieur de l’Astroballe, jour et nuit. Je ne rate pas un match, quand je décris l’ambiance, la température qui monte dans les tribunes, l’aboyeur qui demande « Faites du bruit ! » ou bien « Debout-debout-debout », c’est du vécu, un ressenti personnel de tous les instants.\n\nEnfin, j’ai bénéficié d’un super coup de bol : par l’entremise de Corinne Ducarre et Alexia Leduc, au siège, j’ai rencontré par deux fois le directeur général adjoint de l’ASVEL, Alain Cloux (NDLR : en partance pour Limoges cet été), un type fantastique, intelligent, fin, plein d’humour, qui a passé des heures avec moi dans les bureaux du club et dans tous les recoins de l’Astroballe, des vestiaires à la salle de muscu, et qui a répondu à une liste interminable de questions. J’avais besoin de tout bien comprendre pour exploiter ces infos efficacement dans le bouquin. Quelle patience il a eue ! On retrouve toutes ses réponses à lui dans le polar. Quand on suit le détective privé Nacho Obispo dans les couloirs du club, dans les loges, dans l’énorme salle des Espaces Atypiques, je ne fais que décrire ce que j’ai vu, en prenant quantité de notes. Comme vous le savez, l’Astroballe est construite principalement en sous-sol – semi enterrée – et organisée en rond, autour du parquet central. Je crois que j’ai baladé Alain trois fois autour de ce terrain, en lui tirant les vers du nez sur les moindres aspects du club, l’organigramme, qui est qui dans le club, qui gère les cintres, le système de la sono, les caméras de surveillance, les bénévoles et j’en passe, jusqu’à la matière des filets utilisée pour les paniers, des heures durant ! Pour le remercier, je lui ai même attribué un rôle parlant dans cette histoire. J’espère là aussi que sa famille me pardonnera (rires). »\n\nQuelle a été la réaction de votre éditeur quand vous lui avez suggéré un livre inspiré de l’ASVEL ?\n« Damien Corban, le patron des Éditions Héraclite, est un type fantastique. Il a dit « banco » tout de suite. Et il m’a aussi dit pas plus tard qu’hier qu’Astro Ghost, le Fantôme de l’Astroballe, est pour lui le meilleur des trois Moineaux. Il est difficile pour moi d’en juger, bien sûr. Le Moineau de Bellecour est une collection, chaque enquête est complètement dissociée des autres. Je suis reconnaissant envers Damien d’avoir édité trois volumes du Moineau de Bellecour en dix-huit mois seulement, mais, bon, le succès que rencontre ce détective privé atypique depuis la première enquête semble lui donner raison. »\n\nDans ce livre, il est question de l’OSVEL, du président Antwan Parcoeur. Vous aimez détourner la réalité, n’est-ce pas ?\n« C’est une spécificité majeure de la collection Le Moineau de Bellecour : la caricature, oui, on décolle complètement du réel. Je n’écris pas des polars archi sérieux ou gore, c’est hyper structuré, soit, mais l’humour est la caractéristique première du style que j’utilise dans cette collection. Depuis sa première enquête, Salsa Picante, le détective privé Nacho Obispo – natif d’Ainay, doué d’une empathie peu ordinaire, grenouille de bénitier qui s’ignore, marié à la très catholique Marie-Caroline (surnommée MaCa) et père de six enfants et d’un chihuahua capricieux – évolue dans un univers connu de tous, Bellecour, Perrache, la Part Dieu, etc. Mais c’est bien la seule attache au réel. Les enquêtes du Moineau se déroulent vraiment à un autre niveau, un méta niveau, plutôt marrant, du moins je l’espère. Les relations entre les gens sont souvent déroutantes, jamais habituelles ou attendues, surtout les personnages récurrents, comme le Commissaire Dinandier et son adjoint Mamadou Ndiambour.\n\nPour revenir à votre question, oui, c’est le président « Parcoeur » qui demande au Moineau d’enquêter sur une ombre fantomatique qui hante les couloirs de l’Astroballe, et non pas Tony Parker. J’ai choisi d’emblée. Effectivement, TP9, il va le rencontrer, mais c’est tout de même plus amusant de l’appeler différemment, puisqu’on est dans la caricature. Imaginez : « Nacho Obispo rencontre le président Tony Parker »… Ce n’est pas drôle (rires) ! Alors, le lecteur va s’amuser à chercher qui se cache derrière des pseudos tels que Michel-Jean Lasso venu en voisin, Kalamaki Adetokunbo, le sponsor Claude de la Bergerie, Elijah O’Kindle (le soleil de Phoenix), Paolo Labomba, le commentateur Jack Montclerc, etc. Les basketteurs de mes amis qui ont eu le bouquin entre les mains s’en sont donné à cœur joie et ont bien rigolé : il y a au moins une cinquantaine de noms cachés, les uns et les autres subissent les longs interrogatoires de la PJ. Les pseudos sont complètement transparents (ou peut-être un peu moins, pour certains), j’en ris encore. Il y a même un joueur natif de Montbrison, comme moi, un dénommé Guilhem Hautvar ! Tout ce monde-là aide le Moineau dans sa quête ! C’est un peu comme un jeu de piste réservé aux aficionados, mais en sous-main. Alors que pour le lecteur lambda, ça ne fait pas de différence : ce ne sont que des noms à l’intérieur d’une intrigue policière solide et complexe. Et j’insiste sur un point : tout ça est très bon enfant, vraiment bien intentionné, je ne me moque pas, j’ai trop de respect pour toutes les personnes que rencontre le Moineau et que le grand public reconnaîtra peut-être. »\n\nSans en dévoiler davantage, pouvez-vous décrire à nos lecteurs l’histoire de ce livre ?\n« Volontiers : le détective privé lyonnais Nacho Obispo assiste à un match d’Euroleague de son club préféré lorsque l’invraisemblable se produit : un acte de vandalisme absolument insensé qui va interdire l’utilisation du parquet pendant de longues semaines. Pendant que la police judiciaire fait son travail, le président du club fait venir le Moineau dans sa loge et le charge d’enquêter en marge de la police sur un pseudo spectre que quatre employées du club seulement ont pu apercevoir de loin. Le fantôme de l’Astroballe a-t-il quelque chose à voir avec les dégradations en cours ? Le Moineau est engagé dans la cellule communication du club, sous les ordres d’Enrique Garcillas, et il est donc idéalement bien placé pour observer les allées et venues des uns et des autres. Selon ses mots, lui, le fan absolu, se sent « comme un gamin pénétrant dans une fabrique de jouets ». Rapidement, notre détective voit pour la première fois l’ectoplasme, en même temps qu’il constate de nouveaux dégâts à l’Astroballe. Puis il découvre le premier cadavre, celui d’un ex-employé récemment congédié par le DGA Alain Pointeix. La police poursuit ses investigations, interroge tous les joueurs, alors que Nacho, stupéfait, se demande si le spectre n’est pas un vrai fantôme, revenu du royaume des morts pour le prévenir chaque fois qu’un mauvais coup se prépare. Son épouse MaCa estime qu’il déraisonne. La situation dérape, ça galope, etc. Et de rebondissements en surprise, on arrive à un dénouement tout à fait inhabituel dans un polar ! »\n\nFinissons sur une question plus personnelle : qu’avez-vous fait avant de devenir écrivain ?\n« Alors, j’ai fait mes premières armes dans le scénario, avec des bonheurs très divers, tout en étant prof d’anglais. Mon dernier poste avant la retraite était à l’université Claude-Bernard Lyon 1, campus de la Doua, de 2007 à 2020. Aujourd’hui, je suis écrivain à plein temps… et Astro Ghost est mon septième roman ! »\n\nAstro Ghost, le fantôme de l’Astroballe se trouvera dès le 7 septembre en rayon ou à la commande chez tous les libraires de France et de Navarre, ou par correspondance sur le site des Éditions Héraclite.\nPlus de détails sur le site : http://ducreux.us/\n\nPhoto d’ouverture : Emmanuel Fradin", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/jducreuxastro.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-02T10:00:00.000Z", "updated_at":"2022-09-08T09:26:30.000Z", "published_at":"2022-09-02T10:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Le 7 septembre prochain, « Astro ghost, le fantôme de l’Astroballe », un polar inspiré de l’ASVEL, sort en librairie. 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Ce qui était particulièrement impressionnant, c’est à quel point l’équipe allemande s’est mobilisée, surtout par rapport aux Français. Ainsi Rudy Gobert a été placé sous séquestres. Les Allemands semblaient toujours avoir un temps d’avance sur les intentions des Bleus. Et si ceux-ci ont paru mal à l’aise en attaque, cela a tenu beaucoup à la performance défensive de l’équipe germanique.
Pourtant, à l’image du meneur Dennis Schröder, les Allemands savent qu’ils ont gagné une bataille, pas la guerre. « On n’a rien gagné, je n’ai rien gagné », a déclaré le meneur de jeu, qui a marqué onze points et délivré cinq passes : « Au final, nous avons gagné un match et il nous reste encore quatre matches autres à disputer. Nous devons nous concentrer là-dessus. Nous voulons penser au jour le jour et match par match. Mais on a quand même bien joué en défense. Et c’est notre identité. Chacun accepte son rôle et se donne à 110% lorsqu’il entre. C’est ainsi que nous devons continuer. »
Photo d’ouverture : Daniel Theis (FIBA)
", "comment_id":"623024", "plaintext":"Sa victoire sur la France pour le match d’ouverture de l’EuroBasket a été saluée par les médias du pays, mais l’Allemagne demeure prudente quant à la suite du parcours à Cologne puis Berlin.\n\n« La France n’a marqué que 63 points, c’est incroyable ! », s’est émerveillé Daniel Theis à juste titre. L’impression générale, c’est que l’Allemagne a dominé son voisin dans son domaine de prédilection : la défense. « Notre attitude en défense a été exceptionnelle », a salué l’entraîneur Gordie Herbert après le match, et Johannes Thiemann a ajouté : « C’est ainsi que nous voulons être définis, en tant qu’équipe défensive qui joue avec beaucoup d’engagement, d’énergie et de passion. Nous l’avons fait aujourd’hui. Avec une telle défense, nous pouvons aussi compenser des phases offensives faibles. »\n\nCe qui était particulièrement impressionnant, c’est à quel point l’équipe allemande s’est mobilisée, surtout par rapport aux Français. Ainsi Rudy Gobert a été placé sous séquestres. Les Allemands semblaient toujours avoir un temps d’avance sur les intentions des Bleus. Et si ceux-ci ont paru mal à l’aise en attaque, cela a tenu beaucoup à la performance défensive de l’équipe germanique.\n\nPourtant, à l’image du meneur Dennis Schröder, les Allemands savent qu’ils ont gagné une bataille, pas la guerre. « On n’a rien gagné, je n’ai rien gagné », a déclaré le meneur de jeu, qui a marqué onze points et délivré cinq passes : « Au final, nous avons gagné un match et il nous reste encore quatre matches autres à disputer. Nous devons nous concentrer là-dessus. Nous voulons penser au jour le jour et match par match. Mais on a quand même bien joué en défense. Et c’est notre identité. Chacun accepte son rôle et se donne à 110% lorsqu’il entre. C’est ainsi que nous devons continuer. »\n\nPhoto d’ouverture : Daniel Theis (FIBA)\n\n", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/daniel-theis-france-allemagne-euro-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-02T09:26:26.000Z", "updated_at":"2022-09-02T09:27:55.000Z", "published_at":"2022-09-02T09:26:26.000Z", "custom_excerpt":"Sa victoire sur la France pour le match d’ouverture de l’EuroBasket a été saluée par les médias du pays, mais l’Allemagne demeure prudente quant à la suite du parcours à Cologne puis Berlin.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb22", "uuid":"3a101021-3d94-4f1d-94e3-bcb09f909867", "title":"Vidéo : Le film de présentation de la future arena de l’ASVEL", "slug":"video-le-film-de-presentation-de-la-future-arena-de-lasvel", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://www.youtube.com/embed/iZcqACsMxeA?feature=oembed\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"OL Groupe a dévoilé des images 3D de la LDLC Arena, qui accueillera des matches de l’ASVEL notamment en Euroleague à partir de la fin de l’année 2023.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La capacité d’accueil ira de 12 000 à 16 000 places suivant la configuration et les spectateurs seront répartis sur quatre niveaux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Voici le film de présentation.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : OL\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"
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Kusminskas estime que chacun porte un regard trop respectueux sur Luka Doncic, y compris les arbitres.
« Nous ne pouvons pas et ne devrions pas regarder Luka sur le terrain comme une star, même s’il l’est. Nous devons nous débarrasser de cela et le traiter comme les autres. Je ne veux pas exagérer, mais il semblerait qu’il soit préférable de lui donner le titre de MVP et de mettre fin à cette compétition. C’est déjà anormal pour ces tournois qu’ils ne soient pas jugés par les meilleurs arbitres, ou que les critères de jugement ne soient pas au plus haut niveau des deux côtés du terrain. Il faut l’accepter. Maintenant, nous devons nous calmer et jouer notre jeu au lieu de surveiller des facteurs externes sur lesquels nous n’avons aucune influence et qui ne peuvent que nous faire dérailler. »
Marius Grigonis est persuadé que tout est encore ouvert et possible dans le groupe :
« Il ne s’est rien passé de tragique. Je pense que les Slovènes ne sont vraiment pas aussi bons qu’ils l’étaient lors du dernier Championnat d’Europe. Le match était similaire à celui de Kaunas et s’est décidé par seulement quelques ballons. Mike Tobey a montré un excellent jeu. Il était celui qui a fait pencher la balance du côté slovène. Je sais qu’on peut se battre avec toutes les équipes nationales de ce groupe. Rien n’est perdu, et nous devons passer à autre chose. »
Le coach lituanien, Kazys Maksvytis a tenu le même discours :
« Je ne voudrais pas commenter le travail des arbitres, mais j’ai eu une longue discussion avec eux concernant les critères de jugement, qui, à mon avis, étaient différents en ce qui concerne Doncic et Sabonis. Nous avons également montré trop de respect à Luka. Nous voulions que Luka marque plus de points et fasse moins de passes décisives, mais malheureusement, ce plan n’a pas fonctionné pour nous. »
Luka Doncic a paru un peu sur la réserve, mais il a quand même assuré un double double avec 14 points et 10 passes.
Sur le podium figure l’Adriatic League avec 24 joueurs, qui précède les championnats italien (20), allemand (16), français et grec (14 chacun).
Les 42 joueurs de la ligue espagnole sont répartis en 17 équipes dont 7 pour l’Espagne, 4 pour le Monténégro, 4 autres pour la Serbie, et 3 pour la France (Andrew Albicy, Vincent Poirier et Guerschon Yabusele) et la République tchèque. Ainsi, 16 des 18 équipes de Liga Endesa sont représentées à l’EuroBasket avec un record pour les inévitables Real Madrid (Rudy Fernández, Adam Hanga, Mario Hezonja, Dzanan Musa, Vincent Poirier et Guerschon Yabusele) et FC Barcelone (Rokas Jokubaitis, Nikola Kalinic, Sertac Sanli, Mike Tobey, Tomas Satoransky et Jan Vesely).
Photo : Andrew Albicy (FIBA)
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| 1. | Pau Gasol (ESP) | 58 | 1183 | 20.4 |
| 2. | Tony Parker (FRA) | 66 | 1104 | 16.7 |
| 3. | Dirk Nowitzki (Allemagne) | 54 | 1052 | 19.5 |
| 4. | Nikos Galis (GRE) | 33 | 1031 | 31.2 |
| 5. | Kamil Brabenec (CZE) | 60 | 918 | 15.3 |
| 6. | Miki Berkovitch (ISR) | 39 | 917 | 23,5 |
| 7. | Juan Antonio San Epifanio (ESP) | 52 | 894 | 17.2 |
| 8. | Emiliano Rodríguez (ESP) | 53 | 864 | 16.3 |
| 9. | Radivoj Korac (SRB) | 34 | 844 | 24,8 |
| 10. | Panagiotis Giannakis (GRE) | 58 | 769 | 13.3 |
| 11. | Juan Carlos Navarro (ESP) | 53 | 768 | 14.5 |
| 12. | Stanislav Kropilak (SVK) | 54 | 760 | 14.1 |
| 13. | Sergueï Belov (RUS) | 51 | 727 | 14.3 |
| 14. | Stéphane Ostrowski (FRA) | 43 | 706 | 16.4 |
| 15. | Dariusz Zelig (POL) | 41 | 703 | 17.1 |
| 16. | Wayne Brabender (ESP) | 43 | 684 | 15.9 |
| 17. | Kresimir Cosic (CRO) | 59 | 672 | 11.4 |
| 18. | Dragan Kicanović (SRB) | 40 | 662 | 16.6 |
| 19. | Doron Jamchy (ISR) | 31 | 659 | 21.3 |
| 20. | Hervé Dubuisson (FRA) | 47 | 657 | 14.0 |
| 21. | Arvydas Sabonis (LTU) | 36 | 652 | 18.1 |
| 22. | Andreï Kirilenko (RUS) | 38 | 650 | 17.1 |
| 23. | Dino Meneghin (ITA) | 57 | 638 | 11.2 |
| 24. | Drazen Dalipagic (SRB) | 43 | 623 | 14.5 |
| 25. | Timo Lampen (FIN) | 51 | 621 | 12.2 |
| 26. | Atanas Golomev (BUL) | 32 | 611 | 19.1 |
| 27. | Hedo Turkoğlu (TUR) | 54 | 607 | 11.2 |
| 28. | Francisco Buscato (ESP) | 54 | 607 | 11.2 |
| 29. | Drazen Petrovic (CRO) | 26 | 603 | 23.2 |
| 30. | Goran Dragic (SLO) | 44 | 592 | 13.5 |
| 31. | Iliya Mirtchev (BUL) | 49 | 592 | 12.1 |
| 32. | Jiri Zidek Sr. (CZE) | 44 | 588 | 13.4 |
| 33. | Boris Diaw (FRA) | 73 | 581 | 8.0 |
| 34. | Modestas Paulauskas (LTU) | 39 | 572 | 14.7 |
| 35. | Dragos Nosievici (ROU) | 50 | 554 | 11.1 |
| 36. | Alberto Herreros (ESP) | 41 | 538 | 13.1 |
| 37. | Marco Belinelli (ITA) | 35 | 528 | 15.1 |
| 38. | Alain Gilles (FRA) | 39 | 526 | 13.5 |
| 39. | Ibrahim Kutluay (TUR) | 43 | 526 | 12.2 |
| 40. | Marc Gasol (ESP) | 49 | 520 | 10.6 |
| 41. | Ivo Daneu (SLO) | 40 | 515 | 12.9 |
| 42. | Armand Novacek (ROU) | 35 | 512 | 14.6 |
| 43. | Laszlo Gabanyi (HUN) | 49 | 510 | 10.4 |
| 44. | Viktor Radev (BUL) | 44 | 509 | 11.6 |
| 45. | Jaka Lakovic (SLO) | 57 | 509 | 8.9 |
| 46. | Janusz Wichowski (POL) | 45 | 504 | 11.2 |
| 47. | Frantisek Konvicka (CZE) | 43 | 496 | 11.5 |
| 48. | Arturas Karnisovas (LTU) | 27 | 492 | 18.2 |
| 49. | Raimo Lindholm (FIN) | 51 | 489 | 9.6 |
| 50. | Giorgos Kolokithas (GRE) | 25 | 488 | 19.5 |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2001 | Damir Mulaomerovic | Croatie |
| 2001 | Peja Stojakovic | Yougoslavie |
| 2001 | Hedo Turkoglu | Turquie |
| 2001 | Dirk Nowitzki | Allemagne |
| 2001 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2003 | Tony Parker | France |
| 2003 | Sarunas Jasikevicius | Lituanie |
| 2003 | Saulius Stombergas | Lituanie |
| 2003 | Andreï Kirilenko | Russie |
| 2003 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2005 | Théo Papaloukas | Grèce |
| 2005 | Juan Carlos Navarro | Espagne |
| 2005 | Dimitris Diamantidis | Grèce |
| 2005 | Dirk Nowitzki | Allemagne |
| 2005 | Boris Diaw | France |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2007 | José Calderon | Espagne |
| 2007 | Ramunas Siskauskas | Lituanie |
| 2007 | Andreï Kirilenko | Russie |
| 2007 | Dirk Nowitzki | Allemagne |
| 2007 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2009 | Vassilis Spanoulis | Grèce |
| 2009 | Milos Teodosic | Serbie |
| 2009 | Rudy Fernandez | Espagne |
| 2009 | Erasem Lorbeck | Slovénie |
| 2009 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2011 | Tony Parker | France |
| 2011 | Bo McCalebb | Macédoine |
| 2011 | Juan Carlos Navarro | Espagne |
| 2011 | Andreï Kirilenko | Russie |
| 2011 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2013 | Tony Parker | France |
| 2013 | Goran Dragic | Slovénie |
| 2013 | Bojan Bogdanovic | Croatie |
| 2013 | Linas Kleiza | Lituanie |
| 2013 | Marc Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2015 | Sergio Rodriguez | Espagne |
| 2015 | Nando de Colo | France |
| 2015 | Jonas Maciulis | Lituanie |
| 2015 | Pau Gasol | Espagne |
| 2015 | Jonas Valanciunas | Lituanie |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2017 | Goran Dragic | Slovénie |
| 2017 | Alexey Shved | Russie |
| 2017 | Bogdan Bogdanovic | Serbie |
| 2017 | Luka Doncic | Slovénie |
| 2017 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | Compétition | Lieu | Résultat |
| 2021 | Jeux olympiques | Tokyo (JPN) | Argent |
| 2019 | Coupe du monde | Pékin (CHN) | Bronze |
| 2017 | EuroBasket | Istanbul (TUR) | 12e |
| 2016 | Jeux olympiques | Rio de Janeiro (BRA) | 6ème |
| 2015 | EuroBasket | Lille (FRA) | Bronze |
| 2014 | Coupe du monde | Madrid (ESP) | Bronze |
| 2013 | EuroBasket | Ljubljana (SLO) | Or |
| 2012 | Jeux olympiques | Londres (GBR) | 6ème |
| 2011 | EuroBasket | Kaunas (LTU) | Argent |
| 2010 | Coupe du monde | Istanbul (TUR) | 13e |
| Lorenzo Brown | Espagne |
| Dee Bost | Bulgarie |
| Tyler Dorsey | Grèce |
| Mohamed Kherrazi | Pays-Bas |
| Shane Larkin | Turquie |
| Thad McFadden | Géorgie |
| Kendrick Perry | Monténégro |
| John Roberson | Bosnie |
| A.J. Slaughter | Pologne |
| Jaleen Smith | Croatie |
| Mike Tobey | Slovénie |
| Nick Weiler-Babb | Allemagne |
[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
Ironie de l’Histoire, les deux pays qui ont obtenu le plus de médailles d’or à l’EuroBasket sont aujourd’hui disparus : l’URSS (14) et la Yougoslavie (8). L’URSS a été sacrée championne d’Europe 8 fois d’affilée. Elle a aussi amassé 3 médailles d’argent et 4 de bronze. Elle est restée invaincue 59 matches d’affilée de 1955 à 1969. C’est… la Yougoslavie qui a interrompu sa série victorieuse. Son pourcentage de victoires est de 93% (158-61). Des records imbattables. En ce qui concerne les pays encore vivants, l’Espagne et la Lituanie mènent la danse avec 3 trophées.
Juste avant l’entre-deux d’Allemagne-France, Dirk Nowitzki, qui a porté le maillot de l’équipe allemande pendant plus de vingt ans, qui fut médaillé de bronze au championnat du monde de 2002, et d’argent à l’EuroBasket de 2005, recevra le plus haut honneur de la fédération allemande. Son maillot frappé du numéro 14 sera suspendu au plafond de l’Arena de Cologne devant 18 000 spectateurs, et ne sera plus jamais porté en équipe nationale allemande.
Durant sa carrière, Nowitzki a joué 88 matches officiels avec l’Allemagne, à la moyenne de 19,7 points, 7,5 rebonds et 1,6 passe. Il est considéré par beaucoup d’observateurs comme le meilleur joueur européen de tous les temps, en concurrence avec l’Espagnol Pau Gasol, ayant l’avantage sur lui d’un trophée de MVP de NBA.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/dirk-nowitzki.jpg\")
Le Serbe Svetislav Pesic a fêté ses 73 ans le 28 août. Il est le coach le plus âgé de l’EuroBasket devant le Canadien de l’équipe allemande, Gordon Herbert, 63 ans. Vincent Collet, 59 ans, est le 5e dans la hiérarchie, et le Finlandais de Strasbourg, Lassi Tuovi, 35 ans, le plus jeune.
Toutefois, sur les bancs de l’EuroBasket, le doyen est l’assistant-coach de l’Italie, Carlo Recalcati, qui fêtera ses 77 ans le 11 septembre. L’Italien a été notamment head coach des Azzurri au cours des années 2000.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/svetislav-pesic.jpg\")
Le trophée de l’EuroBasket actuel est la troisième version qui a été brandie pour la première fois par la Slovénie lors de l’édition de 2017. Il a conservé la même forme que l’édition précédente du trophée, qui a été soulevée pour la dernière fois par l’Espagne en 2015. Cette version 3.0 a été créée sur la même base que les trophées des autres championnats continentaux de la FIBA en Afrique, en Amérique et en Asie. Il mesure 26,5 cm de haut et les noms des 40 vainqueurs précédents sont gravés dans le tableau d’honneur. Le bol en argent mesure 35 cm de diamètre et a une finition martelée manuellement faisant référence à la texture d’un ballon de basket.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/trophe-cc-81e-eurobasket.jpg\")
Avec le forfait sur blessure de Sergio Llull, ce sont pas moins de 8 nouveaux joueurs que compte l’équipe d’Espagne vis-à-vis de celle des Jeux Olympiques de Tokyo. Seuls Rudy Fernández, Willy Hernangómez, Usman Garuba et Xabi López Arostegui sont toujours là. Outre les retraites internationales des frères Gasol et de Sergio Rodriguez, l’Espagne souffre du forfait du MVP de la Coupe du monde 2014, Ricky Rubio, victime d’une rupture des ligaments croisés du genou.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/07/fernandez.jpg\")
L’EuroBasket se joue dans cinq salles :
Groupe A : Tbilissi. La Tbilisi Arena (10 000 places, inaugurée en 2022) a été construite pour cet EuroBasket. Sa capacité d’accueil sera un peu réduite pour l’occasion.
Groupe B : Cologne. La Lanxess Arena (19 250 places, inaugurée en 1998) possède la plus grande capacité du pays. Elle est le siège des équipes locales de basketball, handball et hockey sur glace.
Groupe C : Milan. Le Mediolanum Forum (12 700 places, inaugurée en 1990), est une salle multi-fonctions qui accueille de nombreuses rencontres sportives, comme du hockey sur glace ou de la boxe. L’Olimpia Milano en est le club résident.
Groupe D : Prague. L’O2 Arena (12 000 places, inaugurée en 2004) est une enceinte multi-fonctions, construite pour la Coupe du monde de hockey sur glace de 2004.
Phase finale : Berlin. La Mercedes-Benz Arena (14 500 places, inaugurée en 2008), anciennement O2 World, est une salle omnisports utilisée essentiellement pour le basketball et le hockey sur glace. Mais elle accueille aussi des concerts et des événements importants comme le Final Four de handball. Depuis 2008, l’enceinte accueille les clubs du Eisbären Berlin, du championnat d’Allemagne de hockey sur glace, et de l’ALBA Berlin de la Basketball-Bundesliga.
La finale de l’EuroBasket du 2 juillet 1995, entre la Yougoslavie et la Lituanie, est considérée par nombre d’experts comme la plus haletante, la plus émotionnelle, bref la plus belle de l’histoire. Vingt milliers de Grecs ont pris parti pour la Lituanie, reprochant à la Yougoslavie d’avoir éliminé leur équipe favorite en demi-finale. Une faute technique sifflée par l’arbitre américain George Toliver à Arvidas Sabonis a entraîné les protestations des Lituaniens. L’atmosphère s’est envenimée un peu plus suite à plusieurs coups de sifflet en défaveur des Baltes. Ceux-ci ont refusé de retourner sur le terrain après un temps-mort. Aleksandar Djorjevic a réussi à convaincre le charismatique Sarunas Marciulionis de poursuivre le match. Mais si ce même Marciulionis a été élu MVP du tournoi, c’est la Yougoslavie qui a triomphé, 96-90. Le public grec a scandé « La Lituanie est championne » lors de la cérémonie de remise des médailles. Et, après avoir récupéré leurs médailles de bronze, les Croates ont quitté le podium avant que les Yougoslaves reçoivent leurs récompenses, en raison de la guerre entre les deux pays.
Voici la mascotte de l’EuroBasket 2022. A vous de juger si elle est réussie… ou pas.
https://www.youtube.com/watch?v=SbP40E8Kzug&ab_channel=FIBA-TheBasketballChannel
| Joueur | Matchs | Points | Moy. | |
| 1. | Pau Gasol (ESP) | 58 | 1183 | 20.4 |
| 2. | Tony Parker (FRA) | 66 | 1104 | 16.7 |
| 3. | Dirk Nowitzki (Allemagne) | 54 | 1052 | 19.5 |
| 4. | Nikos Galis (GRE) | 33 | 1031 | 31.2 |
| 5. | Kamil Brabenec (CZE) | 60 | 918 | 15.3 |
| 6. | Miki Berkovitch (ISR) | 39 | 917 | 23,5 |
| 7. | Juan Antonio San Epifanio (ESP) | 52 | 894 | 17.2 |
| 8. | Emiliano Rodríguez (ESP) | 53 | 864 | 16.3 |
| 9. | Radivoj Korac (SRB) | 34 | 844 | 24,8 |
| 10. | Panagiotis Giannakis (GRE) | 58 | 769 | 13.3 |
| 11. | Juan Carlos Navarro (ESP) | 53 | 768 | 14.5 |
| 12. | Stanislav Kropilak (SVK) | 54 | 760 | 14.1 |
| 13. | Sergueï Belov (RUS) | 51 | 727 | 14.3 |
| 14. | Stéphane Ostrowski (FRA) | 43 | 706 | 16.4 |
| 15. | Dariusz Zelig (POL) | 41 | 703 | 17.1 |
| 16. | Wayne Brabender (ESP) | 43 | 684 | 15.9 |
| 17. | Kresimir Cosic (CRO) | 59 | 672 | 11.4 |
| 18. | Dragan Kicanović (SRB) | 40 | 662 | 16.6 |
| 19. | Doron Jamchy (ISR) | 31 | 659 | 21.3 |
| 20. | Hervé Dubuisson (FRA) | 47 | 657 | 14.0 |
| 21. | Arvydas Sabonis (LTU) | 36 | 652 | 18.1 |
| 22. | Andreï Kirilenko (RUS) | 38 | 650 | 17.1 |
| 23. | Dino Meneghin (ITA) | 57 | 638 | 11.2 |
| 24. | Drazen Dalipagic (SRB) | 43 | 623 | 14.5 |
| 25. | Timo Lampen (FIN) | 51 | 621 | 12.2 |
| 26. | Atanas Golomev (BUL) | 32 | 611 | 19.1 |
| 27. | Hedo Turkoğlu (TUR) | 54 | 607 | 11.2 |
| 28. | Francisco Buscato (ESP) | 54 | 607 | 11.2 |
| 29. | Drazen Petrovic (CRO) | 26 | 603 | 23.2 |
| 30. | Goran Dragic (SLO) | 44 | 592 | 13.5 |
| 31. | Iliya Mirtchev (BUL) | 49 | 592 | 12.1 |
| 32. | Jiri Zidek Sr. (CZE) | 44 | 588 | 13.4 |
| 33. | Boris Diaw (FRA) | 73 | 581 | 8.0 |
| 34. | Modestas Paulauskas (LTU) | 39 | 572 | 14.7 |
| 35. | Dragos Nosievici (ROU) | 50 | 554 | 11.1 |
| 36. | Alberto Herreros (ESP) | 41 | 538 | 13.1 |
| 37. | Marco Belinelli (ITA) | 35 | 528 | 15.1 |
| 38. | Alain Gilles (FRA) | 39 | 526 | 13.5 |
| 39. | Ibrahim Kutluay (TUR) | 43 | 526 | 12.2 |
| 40. | Marc Gasol (ESP) | 49 | 520 | 10.6 |
| 41. | Ivo Daneu (SLO) | 40 | 515 | 12.9 |
| 42. | Armand Novacek (ROU) | 35 | 512 | 14.6 |
| 43. | Laszlo Gabanyi (HUN) | 49 | 510 | 10.4 |
| 44. | Viktor Radev (BUL) | 44 | 509 | 11.6 |
| 45. | Jaka Lakovic (SLO) | 57 | 509 | 8.9 |
| 46. | Janusz Wichowski (POL) | 45 | 504 | 11.2 |
| 47. | Frantisek Konvicka (CZE) | 43 | 496 | 11.5 |
| 48. | Arturas Karnisovas (LTU) | 27 | 492 | 18.2 |
| 49. | Raimo Lindholm (FIN) | 51 | 489 | 9.6 |
| 50. | Giorgos Kolokithas (GRE) | 25 | 488 | 19.5 |
C’est un quasi inconnu qui possède le record de points sur un match de l’EuroBasket : le Belge Eddy Terrace, né en 1935 et décédé en 2013. Il fut le meilleur marqueur de l’EuroBasket en 1957 avec 24,4 points par match. Son record de tous les temps a été établi lors du match face à l’Albanie : 63 points. C’était d’autant plus méritoire que le championnat d’Europe se déroula à Sofia dans un stade de football, à ciel ouvert. Eddy Terrace inscrivit également 40 points contre l’Ecosse. Il s’est signalé par ailleurs comme le scoreur numéro 1 du championnat de Belgique en 1959-1960, avec près de 29 points de moyenne.
Au XXIe siècle, le pivot espagnol Pau Gasol a figuré 7 fois dans l’équipe All-Stars de l’EuroBasket. Il en a été seulement absent dans les éditions de 2005 et 2013. Il y a à cela une bonne raison : il n’y a pas participé ! Gasol est aussi avec le Yougoslave Kresimir Cosic (1971 et 75), le seul joueur à avoir été élu deux fois MVP (2009 et 2015).
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/07/pau-gasol-1.jpg\")
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2001 | Damir Mulaomerovic | Croatie |
| 2001 | Peja Stojakovic | Yougoslavie |
| 2001 | Hedo Turkoglu | Turquie |
| 2001 | Dirk Nowitzki | Allemagne |
| 2001 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2003 | Tony Parker | France |
| 2003 | Sarunas Jasikevicius | Lituanie |
| 2003 | Saulius Stombergas | Lituanie |
| 2003 | Andreï Kirilenko | Russie |
| 2003 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2005 | Théo Papaloukas | Grèce |
| 2005 | Juan Carlos Navarro | Espagne |
| 2005 | Dimitris Diamantidis | Grèce |
| 2005 | Dirk Nowitzki | Allemagne |
| 2005 | Boris Diaw | France |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2007 | José Calderon | Espagne |
| 2007 | Ramunas Siskauskas | Lituanie |
| 2007 | Andreï Kirilenko | Russie |
| 2007 | Dirk Nowitzki | Allemagne |
| 2007 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2009 | Vassilis Spanoulis | Grèce |
| 2009 | Milos Teodosic | Serbie |
| 2009 | Rudy Fernandez | Espagne |
| 2009 | Erasem Lorbeck | Slovénie |
| 2009 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2011 | Tony Parker | France |
| 2011 | Bo McCalebb | Macédoine |
| 2011 | Juan Carlos Navarro | Espagne |
| 2011 | Andreï Kirilenko | Russie |
| 2011 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2013 | Tony Parker | France |
| 2013 | Goran Dragic | Slovénie |
| 2013 | Bojan Bogdanovic | Croatie |
| 2013 | Linas Kleiza | Lituanie |
| 2013 | Marc Gasol | Espagne |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2015 | Sergio Rodriguez | Espagne |
| 2015 | Nando de Colo | France |
| 2015 | Jonas Maciulis | Lituanie |
| 2015 | Pau Gasol | Espagne |
| 2015 | Jonas Valanciunas | Lituanie |
| Année | All-Stars | Pays |
|---|---|---|
| 2017 | Goran Dragic | Slovénie |
| 2017 | Alexey Shved | Russie |
| 2017 | Bogdan Bogdanovic | Serbie |
| 2017 | Luka Doncic | Slovénie |
| 2017 | Pau Gasol | Espagne |
| Année | Compétition | Lieu | Résultat |
| 2021 | Jeux olympiques | Tokyo (JPN) | Argent |
| 2019 | Coupe du monde | Pékin (CHN) | Bronze |
| 2017 | EuroBasket | Istanbul (TUR) | 12e |
| 2016 | Jeux olympiques | Rio de Janeiro (BRA) | 6ème |
| 2015 | EuroBasket | Lille (FRA) | Bronze |
| 2014 | Coupe du monde | Madrid (ESP) | Bronze |
| 2013 | EuroBasket | Ljubljana (SLO) | Or |
| 2012 | Jeux olympiques | Londres (GBR) | 6ème |
| 2011 | EuroBasket | Kaunas (LTU) | Argent |
| 2010 | Coupe du monde | Istanbul (TUR) | 13e |
Le site BasketNews a répertorié les principaux absents à cet EuroBasket. Certains en raison de blessures, d’un manque d’envie, d’un besoin de repos, ou tout simplement parce qu’ils n’ont pas été sélectionnés.
Allemagne
Belgique
Bosnie-Herzégovine
Croatie
Espagne
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/07/rubio-2.jpg\")
Estonie
France
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/nicolas-batum-3.jpg\")
Georgie
Grande-Bretagne
Grèce
Israel
Italie
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/09/marco-belinelli.jpg\")
Lituanie
Monténégro
Pologne
République tchèque
Serbie
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2017/07/milos-teodosic-cska-moscow-eb15.jpg\")
Turquie
Ils sont 12 naturalisés à cet Euro dont 11 Américains d’origine et un Marocain, Mohamed Kherrazi. Plusieurs ont obtenu des passeports de complaisance, et les pays de l’Est de l’Europe se sont servis abondamment. Alors qu’elle avait utilisé récemment les services du Congolais Serge Ibaka et du Monténégrin Nikola Mirotic, l’Espagne a recours à un Américain, Lorenzo Brown, renouant avec une stratégie initiée dans les années 60 avec Clifford Luyck et Wayne Brabender.
| Lorenzo Brown | Espagne |
| Dee Bost | Bulgarie |
| Tyler Dorsey | Grèce |
| Mohamed Kherrazi | Pays-Bas |
| Shane Larkin | Turquie |
| Thad McFadden | Géorgie |
| Kendrick Perry | Monténégro |
| John Roberson | Bosnie |
| A.J. Slaughter | Pologne |
| Jaleen Smith | Croatie |
| Mike Tobey | Slovénie |
| Nick Weiler-Babb | Allemagne |
https://www.youtube.com/watch?v=JmV25Pmc564&ab_channel=Greg%27scourt
Cet EuroBasket va voir à l’œuvre pas moins de 4 All-Stars NBA. Le Grec Giannis Antetokounmpo l’a été dans la First Team en en 2019, 20, 21 et 22 et dans la Second Team en 2017 et 18. Le Serbe Nikola Jokic dans la First Team en 2019, 21 et 22 et dans la Second Team en 2020. Le Slovène Luka Doncic dans la First Team en 2020, 21 et 22. Et le Français Rudy Gobert dans la Second Team en 2017, 20 et 21 et dans la Third Team en 2019.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/nikola-jokic.jpg\")
Le nombre de médailles d’or amassées par le Soviétique Gennadi Volnov (2,01 m), né en 1939 et décédé à 68 ans. Cela concerne les éditions de 1959, 61, 63, 65, 67 et 69. Volnov a par ailleurs remporté 3 titres de champion d’Europe et 10 titres de champion d’URSS avec le CSKA Moscou, et surtout le titre olympique avec l’équipe soviétique à Munich en 1972.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/gennadij-volnov.jpg\")
L’Américano-Grec Nikos Galis (1,83 m, né en 1957), formé en NCAA (Seton Hall), est le plus formidable scoreur européen de tous les temps. Il a raflé quatre fois le trophée de meilleur marqueur de l’EuroBasket en cinq participations (1983, 87, 89 et 91). Il a totalisé 1 030 points en 33 matches, établissant ainsi une moyenne de 31,2 points. La légende grecque a remporté l’or et le trophée de MVP en 1987, à Athènes, avec une moyenne de 37 points, et l’argent deux ans plus tard. La deuxième meilleure moyenne sur un EuroBasket fut l’œuvre de l’Israélien Doron Jamchi avec 31,9 points. Galis fut également le top scoreur du championnat du monde en 1986. Il fut honoré en étant le premier relayeur du parcours final de la flamme olympique aux Jeux olympiques d’Athènes en 2004.
La France est le pays qui compte le plus de participations à l’EuroBasket. 39. Elle a seulement manqué les éditions de 1969 et 75 en raison d’une non-qualification. L’Italie est juste derrière avec 38 participations, l’Espagne en compte 32. Les Bleus ont obtenu l’or en 2013, l’argent en 1949 et 2011, et le bronze en 1937, 51, 53, 59, 2005. Ils ont gagné 55 % de leurs matches (160 victoires, 130 défaites).
L’Israélien Yaniv Green, 2,07 m, né en 1980, est celui qui compte le plus grand nombre de matches joués à l’EuroBasket à son actif : 99. Il a disputé 8 Euros, de 2001 à 2015 sans discontinuer. Mais le Macédonien Todor Gecevski, le Finlandais Tuukka Kotti, et le Tchèque Jiri Welsch, ont fait mieux dans ce domaine avec 9 participations. Boris Diaw et Tony Parker suivent avec 8 participations sachant que Diaw comptabilise 87 matches contre 79 à Parker.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/yaniv-green.jpg\")
[armelse]
Ironie de l’Histoire, les deux pays qui ont obtenu le plus de médailles d’or à l’EuroBasket sont aujourd’hui disparus : l’URSS (14) et la Yougoslavie (8). L’URSS a été sacrée championne d’Europe 8 fois d’affilée. Elle a aussi amassé 3 médailles d’argent et 4 de bronze. Elle est restée invaincue 59 matches d’affilée de 1955 à 1969. C’est… la Yougoslavie qui a interrompu sa série victorieuse. Son pourcentage de victoires est de 93% (158-61). Des records imbattables. En ce qui concerne les pays encore vivants, l’Espagne et la Lituanie mènent la danse avec 3 trophées.
Juste avant l’entre-deux d’Allemagne-France, Dirk Nowitzki, qui a porté le maillot de l’équipe allemande pendant plus de vingt ans, qui fut médaillé de bronze au championnat du monde de 2002, et d’argent à l’EuroBasket de 2005, recevra le plus haut honneur de la fédération allemande. Son maillot frappé du numéro 14 sera suspendu au plafond de l’Arena de Cologne devant 18 000 spectateurs, et ne sera plus jamais porté en équipe nationale allemande.
Durant sa carrière, Nowitzki a joué 88 matches officiels avec l’Allemagne, à la moyenne de 19,7 points, 7,5 rebonds et 1,6 passe. Il est considéré par beaucoup d’observateurs comme le meilleur joueur européen de tous les temps, en concurrence avec l’Espagnol Pau Gasol, ayant l’avantage sur lui d’un trophée de MVP de NBA.
Le Serbe Svetislav Pesic a fêté ses 73 ans le 28 août. Il est le coach le plus âgé de l’EuroBasket devant le Canadien de l’équipe allemande, Gordon Herbert, 63 ans. Vincent Collet, 59 ans, est le 5e dans la hiérarchie, et le Finlandais de Strasbourg, Lassi Tuovi, 35 ans, le plus jeune.
Toutefois, sur les bancs de l’EuroBasket, le doyen est l’assistant-coach de l’Italie, Carlo Recalcati, qui fêtera ses 77 ans le 11 septembre. L’Italien a été notamment head coach des Azzurri au cours des années 2000…
[/arm_restrict_content]
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Photo d’ouverture : Rudy Gobert (FIBA)
", "comment_id":"621941", "plaintext":"Tout ce qu’il faut savoir sur l’EuroBasket 2022, par les faits et les chiffres.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\n14\n\nIronie de l’Histoire, les deux pays qui ont obtenu le plus de médailles d’or à l’EuroBasket sont aujourd’hui disparus : l’URSS (14) et la Yougoslavie (8). L’URSS a été sacrée championne d’Europe 8 fois d’affilée. Elle a aussi amassé 3 médailles d’argent et 4 de bronze. Elle est restée invaincue 59 matches d’affilée de 1955 à 1969. C’est… la Yougoslavie qui a interrompu sa série victorieuse. Son pourcentage de victoires est de 93% (158-61). Des records imbattables. En ce qui concerne les pays encore vivants, l’Espagne et la Lituanie mènent la danse avec 3 trophées.\n\n\nDirk Nowitzki honoré\n\nJuste avant l’entre-deux d’Allemagne-France, Dirk Nowitzki, qui a porté le maillot de l’équipe allemande pendant plus de vingt ans, qui fut médaillé de bronze au championnat du monde de 2002, et d’argent à l’EuroBasket de 2005, recevra le plus haut honneur de la fédération allemande. Son maillot frappé du numéro 14 sera suspendu au plafond de l’Arena de Cologne devant 18 000 spectateurs, et ne sera plus jamais porté en équipe nationale allemande.\n\nDurant sa carrière, Nowitzki a joué 88 matches officiels avec l’Allemagne, à la moyenne de 19,7 points, 7,5 rebonds et 1,6 passe. Il est considéré par beaucoup d’observateurs comme le meilleur joueur européen de tous les temps, en concurrence avec l’Espagnol Pau Gasol, ayant l’avantage sur lui d’un trophée de MVP de NBA.\n\n\n73\n\nLe Serbe Svetislav Pesic a fêté ses 73 ans le 28 août. Il est le coach le plus âgé de l’EuroBasket devant le Canadien de l’équipe allemande, Gordon Herbert, 63 ans. Vincent Collet, 59 ans, est le 5e dans la hiérarchie, et le Finlandais de Strasbourg, Lassi Tuovi, 35 ans, le plus jeune.\n\nToutefois, sur les bancs de l’EuroBasket, le doyen est l’assistant-coach de l’Italie, Carlo Recalcati, qui fêtera ses 77 ans le 11 septembre. L’Italien a été notamment head coach des Azzurri au cours des années 2000.\n\n\nLe trophée\n\nLe trophée de l’ EuroBasket actuel est la troisième version qui a été brandie pour la première fois par la Slovénie lors de l’édition de 2017. Il a conservé la même forme que l’édition précédente du trophée, qui a été soulevée pour la dernière fois par l’Espagne en 2015. Cette version 3.0 a été créée sur la même base que les trophées des autres championnats continentaux de la FIBA en Afrique, en Amérique et en Asie. Il mesure 26,5 cm de haut et les noms des 40 vainqueurs précédents sont gravés dans le tableau d’honneur. Le bol en argent mesure 35 cm de diamètre et a une finition martelée manuellement faisant référence à la texture d’un ballon de basket.\n\n\n8\n\nAvec le forfait sur blessure de Sergio Llull, ce sont pas moins de 8 nouveaux joueurs que compte l’équipe d’Espagne vis-à-vis de celle des Jeux Olympiques de Tokyo. Seuls Rudy Fernández, Willy Hernangómez, Usman Garuba et Xabi López Arostegui sont toujours là. Outre les retraites internationales des frères Gasol et de Sergio Rodriguez, l’Espagne souffre du forfait du MVP de la Coupe du monde 2014, Ricky Rubio, victime d’une rupture des ligaments croisés du genou.\n\n\nLes salles\n\nL’EuroBasket se joue dans cinq salles :\n\nGroupe A : Tbilissi. La Tbilisi Arena (10 000 places, inaugurée en 2022) a été construite pour cet EuroBasket. Sa capacité d’accueil sera un peu réduite pour l’occasion.\n\nGroupe B : Cologne. La Lanxess Arena (19 250 places, inaugurée en 1998) possède la plus grande capacité du pays. Elle est le siège des équipes locales de basketball, handball et hockey sur glace.\n\nGroupe C : Milan. Le Mediolanum Forum (12 700 places, inaugurée en 1990), est une salle multi-fonctions qui accueille de nombreuses rencontres sportives, comme du hockey sur glace ou de la boxe. L’Olimpia Milano en est le club résident.\n\nGroupe D : Prague. L’O2 Arena (12 000 places, inaugurée en 2004) est une enceinte multi-fonctions, construite pour la Coupe du monde de hockey sur glace de 2004.\n\nPhase finale : Berlin. La Mercedes-Benz Arena (14 500 places, inaugurée en 2008), anciennement O2 World, est une salle omnisports utilisée essentiellement pour le basketball et le hockey sur glace. Mais elle accueille aussi des concerts et des événements importants comme le Final Four de handball. Depuis 2008, l’enceinte accueille les clubs du Eisbären Berlin, du championnat d’Allemagne de hockey sur glace, et de l’ALBA Berlin de la Basketball-Bundesliga.\n\n\nL’extraordinaire finale de 1995\n\nLa finale de l’EuroBasket du 2 juillet 1995, entre la Yougoslavie et la Lituanie, est considérée par nombre d’experts comme la plus haletante, la plus émotionnelle, bref la plus belle de l’histoire. Vingt milliers de Grecs ont pris parti pour la Lituanie, reprochant à la Yougoslavie d’avoir éliminé leur équipe favorite en demi-finale. Une faute technique sifflée par l’arbitre américain George Toliver à Arvidas Sabonis a entraîné les protestations des Lituaniens. L’atmosphère s’est envenimée un peu plus suite à plusieurs coups de sifflet en défaveur des Baltes. Ceux-ci ont refusé de retourner sur le terrain après un temps-mort. Aleksandar Djorjevic a réussi à convaincre le charismatique Sarunas Marciulionis de poursuivre le match. Mais si ce même Marciulionis a été élu MVP du tournoi, c’est la Yougoslavie qui a triomphé, 96-90. Le public grec a scandé « La Lituanie est championne » lors de la cérémonie de remise des médailles. Et, après avoir récupéré leurs médailles de bronze, les Croates ont quitté le podium avant que les Yougoslaves reçoivent leurs récompenses, en raison de la guerre entre les deux pays.\n\n\nLa mascotte\n\nVoici la mascotte de l’EuroBasket 2022. A vous de juger si elle est réussie… ou pas.\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=SbP40E8Kzug&ab_channel=FIBA-TheBasketballChannel\n\n\nMeilleurs marqueurs de tous les temps\n\nJoueurMatchsPointsMoy.1.Pau Gasol (ESP)58118320.42.Tony Parker (FRA)66110416.73.Dirk Nowitzki (Allemagne)54105219.54.Nikos Galis (GRE)33103131.25.Kamil Brabenec (CZE)6091815.36.Miki Berkovitch (ISR)3991723,57.Juan Antonio San Epifanio (ESP)5289417.28.Emiliano Rodríguez (ESP)5386416.39.Radivoj Korac (SRB)3484424,810.Panagiotis Giannakis (GRE)5876913.311.Juan Carlos Navarro (ESP)5376814.512.Stanislav Kropilak (SVK)5476014.113.Sergueï Belov (RUS)5172714.314.Stéphane Ostrowski (FRA)4370616.415.Dariusz Zelig (POL)4170317.116.Wayne Brabender (ESP)4368415.917.Kresimir Cosic (CRO)5967211.418.Dragan Kicanović (SRB)4066216.619.Doron Jamchy (ISR)3165921.320.Hervé Dubuisson (FRA)4765714.021.Arvydas Sabonis (LTU)3665218.122.Andreï Kirilenko (RUS)3865017.123.Dino Meneghin (ITA)5763811.224.Drazen Dalipagic (SRB)4362314.525.Timo Lampen (FIN)5162112.226.Atanas Golomev (BUL)3261119.127.Hedo Turkoğlu (TUR)5460711.228.Francisco Buscato (ESP)5460711.229.Drazen Petrovic (CRO)2660323.230.Goran Dragic (SLO)4459213.531.Iliya Mirtchev (BUL)4959212.132.Jiri Zidek Sr. (CZE)4458813.433.Boris Diaw (FRA)735818.034.Modestas Paulauskas (LTU)3957214.735.Dragos Nosievici (ROU)5055411.136.Alberto Herreros (ESP)4153813.137.Marco Belinelli (ITA)3552815.138.Alain Gilles (FRA)3952613.539.Ibrahim Kutluay (TUR)4352612.240.Marc Gasol (ESP)4952010.641.Ivo Daneu (SLO)4051512.942.Armand Novacek (ROU)3551214.643.Laszlo Gabanyi (HUN)4951010.444.Viktor Radev (BUL)4450911.645.Jaka Lakovic (SLO)575098.946.Janusz Wichowski (POL)4550411.247.Frantisek Konvicka (CZE)4349611.548.Arturas Karnisovas (LTU)2749218.249.Raimo Lindholm (FIN)514899.650.Giorgos Kolokithas (GRE)2548819.5\n\n\nLes records de points sur un match\n\nC’est un quasi inconnu qui possède le record de points sur un match de l’EuroBasket : le Belge Eddy Terrace, né en 1935 et décédé en 2013. Il fut le meilleur marqueur de l’EuroBasket en 1957 avec 24,4 points par match. Son record de tous les temps a été établi lors du match face à l’Albanie : 63 points. C’était d’autant plus méritoire que le championnat d’Europe se déroula à Sofia dans un stade de football, à ciel ouvert. Eddy Terrace inscrivit également 40 points contre l’Ecosse. Il s’est signalé par ailleurs comme le scoreur numéro 1 du championnat de Belgique en 1959-1960, avec près de 29 points de moyenne.\n\nJoueurPointsAdversaireAnnée Eddy Terrasse (Belgique)63Albanie1957 Nikos Galis (Grèce)46Suède1983 Miki Berkovitch (Israël)44Turquie1975 Doron Jamchi (Israël)44Roumanie1987 Nenad Markovic (Bosnie)44Lettonie1997 Giorgos Kolokithas (Grèce)43Espagne1967 Dirk Nowitzki (Allemagne)43Espagne2001 Emiliano Rodriguez (Espagne)43Pays-Bas1967 Costel Cernat (Roumanie)42Israël1975 Ladislav Demsar (Yougoslavie)42Albanie1947 Aleksandar Djordjevic (Yougoslavie)41Lituanie1995 Pau Gasol (Espagne)40France2015\n\n\nLes All-Stars (au XXe siècle)\n\nAu XXIe siècle, le pivot espagnol Pau Gasol a figuré 7 fois dans l’équipe All-Stars de l’EuroBasket. Il en a été seulement absent dans les éditions de 2005 et 2013. Il y a à cela une bonne raison : il n’y a pas participé ! Gasol est aussi avec le Yougoslave Kresimir Cosic (1971 et 75), le seul joueur à avoir été élu deux fois MVP (2009 et 2015).\n\nAnnéeAll-StarsPays2001 Damir Mulaomerovic Croatie2001 Peja Stojakovic Yougoslavie2001Hedo Turkoglu Turquie2001 Dirk Nowitzki Allemagne2001 Pau Gasol Espagne\n\nAnnéeAll-StarsPays2003 Tony Parker France2003 Sarunas Jasikevicius Lituanie2003 Saulius Stombergas Lituanie2003 Andreï Kirilenko Russie2003Pau Gasol Espagne\n\nAnnéeAll-StarsPays2005 Théo Papaloukas Grèce2005 Juan Carlos Navarro Espagne2005 Dimitris Diamantidis Grèce2005 Dirk Nowitzki Allemagne2005 Boris Diaw France\n\nAnnéeAll-StarsPays2007 José CalderonEspagne2007 Ramunas SiskauskasLituanie2007 Andreï KirilenkoRussie2007 Dirk NowitzkiAllemagne2007 Pau GasolEspagne\n\nAnnéeAll-StarsPays2009 Vassilis Spanoulis Grèce2009 Milos Teodosic Serbie2009 Rudy Fernandez Espagne2009 Erasem Lorbeck Slovénie2009Pau Gasol Espagne\n\nAnnéeAll-StarsPays2011 Tony ParkerFrance2011 Bo McCalebb Macédoine2011 Juan Carlos NavarroEspagne2011 Andreï KirilenkoRussie2011 Pau GasolEspagne\n\nAnnéeAll-StarsPays2013 Tony Parker France2013 Goran Dragic Slovénie2013 Bojan Bogdanovic Croatie2013 Linas Kleiza Lituanie2013 Marc GasolEspagne\n\nAnnéeAll-StarsPays2015 Sergio Rodriguez Espagne2015 Nando de Colo France2015 Jonas Maciulis Lituanie2015 Pau Gasol Espagne2015 Jonas Valanciunas Lituanie\n\nAnnéeAll-StarsPays2017 Goran Dragic Slovénie2017 Alexey Shved Russie2017Bogdan Bogdanovic Serbie2017Luka Doncic Slovénie2017 Pau Gasol Espagne\n\n\nL’équipe de France depuis 10 ans\n\nAnnéeCompétitionLieuRésultat2021Jeux olympiques Tokyo (JPN)Argent2019Coupe du mondePékin (CHN)Bronze2017EuroBasket Istanbul (TUR)12e2016Jeux olympiques Rio de Janeiro (BRA) 6ème2015EuroBasketLille (FRA)Bronze2014Coupe du mondeMadrid (ESP)Bronze2013EuroBasket Ljubljana (SLO)Or2012Jeux olympiques Londres (GBR)6ème2011EuroBasketKaunas (LTU)Argent2010Coupe du mondeIstanbul (TUR)13e\n\n\nLes absents :\n\nLe site BasketNews a répertorié les principaux absents à cet EuroBasket. Certains en raison de blessures, d’un manque d’envie, d’un besoin de repos, ou tout simplement parce qu’ils n’ont pas été sélectionnés.\n\nAllemagne\n\n * Moritz Wagner\n * Maxi Kleber\n * Isaiah Hartenstein\n * Isaac Bonga\n * Danilo Barthel\n * Tibor Pleiss\n * Paul Zipser\n * Daniel Theis (?)\n\nBelgique\n\n * Sam van Rossom\n\nBosnie-Herzégovine\n\n * Elmedin Kikanovic\n * Nemanja Gordic\n * Nihad Djedovic\n\nCroatie\n\n * Ante Zizic\n * Dragan Bender\n\nEspagne\n\n * Ricky Rubio\n * Sergio Llull\n * Alex Abrines\n * Santi Aldama\n * Victor Claver\n * Dani Diez\n * Sergi Martinez\n * Pierre Oriola\n * Alberto Abalde\n * Guillem Vives\n\nEstonie\n\n * Henri Vesaar\n\nFrance\n\n * Frank Ntilikina\n * Nando De Colo\n * Nicolas Batum\n * Victor Wembanyama\n\nGeorgie\n\n * Tornike Shengelia\n\nGrande-Bretagne\n\n * O.G. Anunoby\n\nGrèce\n\n * Giorgos Papagiannis (?)\n * Kostas Antetokounmpo (?)\n * Kostas Mitoglou\n\nIsrael\n\n * T.J. Leaf\n\nItalie\n\n * Marco Belinelli\n * Paolo Banchero\n * Danilo Gallinari\n * Alessandro Gentile\n * Daniel Hackett\n * Jeff Brooks\n\nLituanie\n\n * Donatas Motiejunas\n * Edgaras Ulanovas\n * Arturas Gudaitis\n * Eimantas Bendzius\n * Tadas Sedekerskis\n\nMonténégro\n\n * Nikola Vucevic\n * Marko Todorovic\n * Milko Bjelica\n\nPologne\n\n * Jeremy Sochan\n * Marcel Ponitka\n\nRépublique tchèque\n\n * Tomas Satoransky (?)\n\nSerbie\n\n * Bogdan Bogdanovic\n * Milos Teodosic\n * Boban Marjanovic\n * Aleksej Pokusevski\n * Nikola Jovic\n * Aleksa Avramovic\n * Nemanja Bjelica\n\nTurquie\n\n * Omer Yurtseven\n\n\nLes naturalisés\n\nIls sont 12 naturalisés à cet Euro dont 11 Américains d’origine et un Marocain, Mohamed Kherrazi. Plusieurs ont obtenu des passeports de complaisance, et les pays de l’Est de l’Europe se sont servis abondamment. Alors qu’elle avait utilisé récemment les services du Congolais Serge Ibaka et du Monténégrin Nikola Mirotic, l’Espagne a recours à un Américain, Lorenzo Brown, renouant avec une stratégie initiée dans les années 60 avec Clifford Luyck et Wayne Brabender.\n\nLorenzo BrownEspagneDee BostBulgarieTyler DorseyGrèceMohamed KherraziPays-BasShane LarkinTurquieThad McFaddenGéorgieKendrick PerryMonténégroJohn RobersonBosnieA.J. SlaughterPologneJaleen SmithCroatieMike TobeySlovénieNick Weiler-BabbAllemagne\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=JmV25Pmc564&ab_channel=Greg%27scourt\n\n\n4\n\nCet EuroBasket va voir à l’œuvre pas moins de 4 All-Stars NBA. Le Grec Giannis Antetokounmpo l’a été dans la First Team en en 2019, 20, 21 et 22 et dans la Second Team en 2017 et 18. Le Serbe Nikola Jokic dans la First Team en 2019, 21 et 22 et dans la Second Team en 2020. Le Slovène Luka Doncic dans la First Team en 2020, 21 et 22. Et le Français Rudy Gobert dans la Second Team en 2017, 20 et 21 et dans la Third Team en 2019.\n\n\n6\n\nLe nombre de médailles d’or amassées par le Soviétique Gennadi Volnov (2,01 m), né en 1939 et décédé à 68 ans. Cela concerne les éditions de 1959, 61, 63, 65, 67 et 69. Volnov a par ailleurs remporté 3 titres de champion d’Europe et 10 titres de champion d’URSS avec le CSKA Moscou, et surtout le titre olympique avec l’équipe soviétique à Munich en 1972.\n\n\nLe dieu Grec\n\nL’Américano-Grec Nikos Galis (1,83 m, né en 1957), formé en NCAA (Seton Hall), est le plus formidable scoreur européen de tous les temps. Il a raflé quatre fois le trophée de meilleur marqueur de l’EuroBasket en cinq participations (1983, 87, 89 et 91). Il a totalisé 1 030 points en 33 matches, établissant ainsi une moyenne de 31,2 points. La légende grecque a remporté l’or et le trophée de MVP en 1987, à Athènes, avec une moyenne de 37 points, et l’argent deux ans plus tard. La deuxième meilleure moyenne sur un EuroBasket fut l’œuvre de l’Israélien Doron Jamchi avec 31,9 points. Galis fut également le top scoreur du championnat du monde en 1986. Il fut honoré en étant le premier relayeur du parcours final de la flamme olympique aux Jeux olympiques d’Athènes en 2004.\n\n\n39\n\nLa France est le pays qui compte le plus de participations à l’EuroBasket. 39. Elle a seulement manqué les éditions de 1969 et 75 en raison d’une non-qualification. L’Italie est juste derrière avec 38 participations, l’Espagne en compte 32. Les Bleus ont obtenu l’or en 2013, l’argent en 1949 et 2011, et le bronze en 1937, 51, 53, 59, 2005. Ils ont gagné 55 % de leurs matches (160 victoires, 130 défaites).\n\n\n99\n\nL’Israélien Yaniv Green, 2,07 m, né en 1980, est celui qui compte le plus grand nombre de matches joués à l’EuroBasket à son actif : 99. Il a disputé 8 Euros, de 2001 à 2015 sans discontinuer. Mais le Macédonien Todor Gecevski, le Finlandais Tuukka Kotti, et le Tchèque Jiri Welsch, ont fait mieux dans ce domaine avec 9 participations. Boris Diaw et Tony Parker suivent avec 8 participations sachant que Diaw comptabilise 87 matches contre 79 à Parker.\n\n[armelse]\n\n\n14\n\nIronie de l’Histoire, les deux pays qui ont obtenu le plus de médailles d’or à l’EuroBasket sont aujourd’hui disparus : l’URSS (14) et la Yougoslavie (8). L’URSS a été sacrée championne d’Europe 8 fois d’affilée. Elle a aussi amassé 3 médailles d’argent et 4 de bronze. Elle est restée invaincue 59 matches d’affilée de 1955 à 1969. C’est… la Yougoslavie qui a interrompu sa série victorieuse. Son pourcentage de victoires est de 93% (158-61). Des records imbattables. En ce qui concerne les pays encore vivants, l’Espagne et la Lituanie mènent la danse avec 3 trophées.\n\n\nDirk Nowitzki honoré\n\nJuste avant l’entre-deux d’Allemagne-France, Dirk Nowitzki, qui a porté le maillot de l’équipe allemande pendant plus de vingt ans, qui fut médaillé de bronze au championnat du monde de 2002, et d’argent à l’EuroBasket de 2005, recevra le plus haut honneur de la fédération allemande. Son maillot frappé du numéro 14 sera suspendu au plafond de l’Arena de Cologne devant 18 000 spectateurs, et ne sera plus jamais porté en équipe nationale allemande.\n\nDurant sa carrière, Nowitzki a joué 88 matches officiels avec l’Allemagne, à la moyenne de 19,7 points, 7,5 rebonds et 1,6 passe. Il est considéré par beaucoup d’observateurs comme le meilleur joueur européen de tous les temps, en concurrence avec l’Espagnol Pau Gasol, ayant l’avantage sur lui d’un trophée de MVP de NBA.\n\n\n73\n\nLe Serbe Svetislav Pesic a fêté ses 73 ans le 28 août. Il est le coach le plus âgé de l’EuroBasket devant le Canadien de l’équipe allemande, Gordon Herbert, 63 ans. Vincent Collet, 59 ans, est le 5e dans la hiérarchie, et le Finlandais de Strasbourg, Lassi Tuovi, 35 ans, le plus jeune.\n\nToutefois, sur les bancs de l’EuroBasket, le doyen est l’assistant-coach de l’Italie, Carlo Recalcati, qui fêtera ses 77 ans le 11 septembre. 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Photo : Chorale Roanne
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Les 13 joueuses : Julie Vanloo, Elise Ramette, Hind Ben-Abdelkader, Antonia Delaere, Maxuella Lisowa, Heleen Nauwelaers, Marie Vervaet, Laure Resimont, Becky Massey, Ine Joris, Billie Massey, Serena-Lynn Geldof et Kyara Linskens.
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Evan (Fournier) et Rudy (Gobert), nos deux leaders ont été en-dessous. C’est une partie des explications du jour, ce sont des choses qui arrivent. Mais même avec ça, on était encore dans le match jusqu’à la 26-27e minute. En ce qui concerne Evan, on doit s’attendre à un traitement de faveur systématique envers lui. Ils vont rebondir. Ce premier match de l’Euro nous met tout de suite dans le dur. Il nous fait prendre conscience qu’il y a encore beaucoup de choses à améliorer. Je suis à moitié surpris, je dois dire. Je pensais qu’on ferait mieux. Ce type de contre-performance permet souvent de réagir. Le groupe va se prendre en main, on va bosser pour être meilleurs dès samedi. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Evan Fournier, ailier et capitaine de l’équipe de France\"],[0,[],0,\" : « Notre début de match n’était pas si mauvais que ça. On a eu un gros trou d’air vers la fin du troisième quart-temps. Ils ont bien défendu et l’on n’a pas su bien les attaquer. On a vraiment manqué de rythme, à mon image. On a fait beaucoup d’erreurs, on n’était pas assez disciplinés. On a manqué de patience. Ce soir, nos erreurs viennent beaucoup de l’attaque, on s’est un peu cherchés, alors qu’en défense, ça tenait à peu près la route. Il faut qu’on fasse mieux. On joue la Lituanie dans deux jours, c’est une possibilité de se racheter. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Rudy Gobert, pivot de l’équipe de France\"],[0,[],0,\" : « Leur intensité physique nous a beaucoup perturbée. Ils ont été très agressifs défensivement, il n’y avait pas beaucoup de coups de sifflets. Il faut que dans ces situations-là, on soit capables de jouer notre jeu et de jouer simple. Il y a toujours une deuxième option. A titre personnel, il faut que j’élève mon niveau. Je dois être meilleur. On va regarder la vidéo et on va s’ajuster. 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En ce qui concerne Evan, on doit s’attendre à un traitement de faveur systématique envers lui. Ils vont rebondir. Ce premier match de l’Euro nous met tout de suite dans le dur. Il nous fait prendre conscience qu’il y a encore beaucoup de choses à améliorer. Je suis à moitié surpris, je dois dire. Je pensais qu’on ferait mieux. Ce type de contre-performance permet souvent de réagir. Le groupe va se prendre en main, on va bosser pour être meilleurs dès samedi. »
Evan Fournier, ailier et capitaine de l’équipe de France : « Notre début de match n’était pas si mauvais que ça. On a eu un gros trou d’air vers la fin du troisième quart-temps. Ils ont bien défendu et l’on n’a pas su bien les attaquer. On a vraiment manqué de rythme, à mon image. On a fait beaucoup d’erreurs, on n’était pas assez disciplinés. On a manqué de patience. Ce soir, nos erreurs viennent beaucoup de l’attaque, on s’est un peu cherchés, alors qu’en défense, ça tenait à peu près la route. Il faut qu’on fasse mieux. On joue la Lituanie dans deux jours, c’est une possibilité de se racheter. »
Rudy Gobert, pivot de l’équipe de France : « Leur intensité physique nous a beaucoup perturbée. Ils ont été très agressifs défensivement, il n’y avait pas beaucoup de coups de sifflets. Il faut que dans ces situations-là, on soit capables de jouer notre jeu et de jouer simple. Il y a toujours une deuxième option. A titre personnel, il faut que j’élève mon niveau. Je dois être meilleur. On va regarder la vidéo et on va s’ajuster. La Lituanie, ça va être la guerre. »
Guerschon Yabusele, ailier-fort de l’équipe de France : « On s’attendait à ce que l’Allemagne joue de manière très intense, surtout le soir du match d’ouverture combiné au retrait de maillot de Dirk Nowitzki, ça n’a pas manqué. L’Allemagne a très bien joué. A l’inverse, nous avons fait beaucoup d’erreur, avec 11 pertes de balles seulement en première mi-temps par exemple. A partir du moment où ils ont pris les devants, nous n’avons pas su réagir. »
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Evan Fournier / Rudy Gobert (FIBA)
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Par rapport à nos dernières campagnes, notre hiérarchie n’est pas aussi affirmée qu’elle l’était. C’est une difficulté. Nous allons essayer d’y remédier, si c’est possible. Evan (Fournier) et Rudy (Gobert), nos deux leaders ont été en-dessous. C’est une partie des explications du jour, ce sont des choses qui arrivent. Mais même avec ça, on était encore dans le match jusqu’à la 26-27e minute. En ce qui concerne Evan, on doit s’attendre à un traitement de faveur systématique envers lui. Ils vont rebondir. Ce premier match de l’Euro nous met tout de suite dans le dur. Il nous fait prendre conscience qu’il y a encore beaucoup de choses à améliorer. Je suis à moitié surpris, je dois dire. Je pensais qu’on ferait mieux. Ce type de contre-performance permet souvent de réagir. Le groupe va se prendre en main, on va bosser pour être meilleurs dès samedi. »\n\nEvan Fournier, ailier et capitaine de l’équipe de France : « Notre début de match n’était pas si mauvais que ça. 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Sa défense a été poreuse et son attaque aphone. Seul Guerschon Yabusele (18 points et 4 rebonds) a été digne de son statut.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’Allemagne est une équipe solide mais dont on imagine qu’elle trouvera plus talentueuse sur son chemin. Elle a pourtant manoeuvré à sa guise une équipe de France qui est apparue orpheline de ses deux créateurs Nando De Colo et Nicolas Batum, et qui a démontré une déficience inattendue au poste de pivot. Rudy Gobert a été complètement encerclé par la défense allemande et de l’autre côté du terrain, qui a pu croire qu’il a été élu trois fois Meilleur défenseur de la NBA ? Vincent Poirier n’a pas pesé, Moustapha Fall n’a pas joué, et Vincent Collet a parfois utilisé Guerschon Yabusele en 5. Evan Fournier (7 points à 2/10 aux shoots) a confirmé ce que l’on avait vu jusque là, à savoir qu’il est dans le creux de la vague. Et puis le constat est récurrent : la France perd trop de balles – 17 dans ce match – preuve que son jeu n’est pas affiné.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Français avaient également perdu le match d’ouverture en 2017 face à la Finlande (84-86), et l’EuroBasket s’était mal terminée, en huitièmes de finale, face à l’Allemagne. La prochaine échéance est prévue samedi à 17h45 contre la Lituanie, qui a été victime de la Slovénie pour son match d’ouverture. Les Bleus doivent démontrer qu’ils ont un autre visage que celui-là.\"]]],[10,0],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Un cinq de départ newlook\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cet Allemagne-France était lancé à la Lanxess Arena de Cologne dans un cadre festif, à la fois parce que c’était le premier match de la Mannschaft de la compétition, et aussi parce que la fédération allemande en a profité pour \"],[0,[0],1,\"honorer le meilleur basketteur du pays\"],[0,[],0,\" – et pour beaucoup d’Europe -, de tous les temps, Dirk Nowitzki. \"],[0,[1],1,\"« MVP… MVP… »\"],[0,[],0,\" a hurlé le public. Seulement, la cérémonie a été looonnngue, si bien que le coup d’envoi a été donné avec une demi-heure de retard.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La plus grande arena d’Allemagne était bondée mais le spectateur allemand n’a pas l’exubérance du grec ni même du lituanien et l’accueil de ses joueurs s’effectue avec retenue, et celui de l’adversaire avec politesse. Un public de All-Star Game et les deux hymnes chantés. Surprenant et réussi. Un immense maillot blanc avec « Deutschland » imprimé était déployé dans une immense tribune. Il faut tout de même avoir les nerfs solides pour ne pas être paralysé par l’émotion. Ce n’est jamais coton d’amorcer un tournoi en jouant l’équipe à domicile, surtout quand elle est compétitive.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Vincent Collet faisait confiance à un cinq de départ totalement inédit. Andrew Albicy remplaçait Thomas Heurtel comme meneur, Elie Okobo faisait également son entrée, Evan Fournier glissait en 3, avec toujours Guerschon Yabusele et Rudy Gobert à l’intérieur. Le ton était donc résolument défensif, Andrew Albicy étant appelé en première ligne pour jouer le rôle de l’extincteur vis à vis de la star allemande Dennis Schröder.\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[2],1,\"4 passes décisives en première mi-temps\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La France ne restait pas cette fois-ci dans les starting-blocks, et ce sont davantage les Allemands qui subissaient la fameuse pression, attendant 3’40 pour marquer un premier point. Seulement, ces mêmes Allemands défendaient aussi rudement et les Bleus loupaient 8 de leurs 11 premiers shoots – sans parler d’un airball de Rudy Gobert sur un lancer-franc – et subissaient un premier éclat (10-15), condamnant Vincent Collet à utiliser le premier un temps-mort.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le jeu offensif allemand était incontestablement plus fluide autour de Dennis Schröder qui totalisait à la mi-temps 4 passes, soit autant que toute l’équipe de France ! Vincent Collet faisait largement appel à son banc, et cherchait les bonnes clés. Terry Tarpey entrait en piste pour défendre, Guerschon Yabusele passait en 5 et jouait les pompiers de service (10 points à la mi-temps). Difficile de dérégler la belle mécanique allemande. Sur un 2+1 de Dennis Schröder, l’écart montait à 9 points (20-29). C’est l’entrée sur le terrain de Théo Maledon, en association avec Andrew Albicy, en deuxième arrière, qui se montrait payante sur cinq minutes.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un moment revenu au score, les Bleus décrochaient à nouveau à 7 points à la mi-temps (31-38) sur un panier primé du guard Nick Weiler-Babb. Evan Fournier et Rudy Gobert, trois points chacun, était sous l’eau. Heureusement que les Allemands n’avaient pas toujours fait bon usage de leurs positions à trois-points (4/18).\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[2],1,\"Guerschon Yabusele sans reproches\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est avec un un cinq classique et surtout un Guerschon Yabusele, revenu à son poste 4, auteur de deux trois-points de suite et d’un contre diabolique pour reprendre par surprise Franz Wagner qui se croyait peinard pour marquer son layup, que la France a effacé son ardoise en un peu plus de trois minutes : 39-38.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Un feu de paille. Les Bleus lâchaient trop de points sur la ligne des lancers-francs, et leur maladresse généralisée remettait à chaque fois les Allemands sur la bonne voie. Et il suffisait que ceux-ci entrent dans une période d’euphorie pour que l’écart se creuse. 43-57 à la fin du 3e quart-temps. Un début de panique. 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Les Français avaient également perdu le match d’ouverture en 2017 face à la Finlande (84-86), et l’EuroBasket s’était mal terminée, en huitièmes de finale, face à l’Allemagne. La prochaine échéance est prévue samedi à 17h45 contre la Lituanie, qui a été victime de la Slovénie pour son match d’ouverture. Les Bleus doivent démontrer qu’ils ont un autre visage que celui-là.
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Cet Allemagne-France était lancé à la Lanxess Arena de Cologne dans un cadre festif, à la fois parce que c’était le premier match de la Mannschaft de la compétition, et aussi parce que la fédération allemande en a profité pour honorer le meilleur basketteur du pays – et pour beaucoup d’Europe -, de tous les temps, Dirk Nowitzki. « MVP… MVP… » a hurlé le public. Seulement, la cérémonie a été looonnngue, si bien que le coup d’envoi a été donné avec une demi-heure de retard.
La plus grande arena d’Allemagne était bondée mais le spectateur allemand n’a pas l’exubérance du grec ni même du lituanien et l’accueil de ses joueurs s’effectue avec retenue, et celui de l’adversaire avec politesse. Un public de All-Star Game et les deux hymnes chantés. Surprenant et réussi. Un immense maillot blanc avec « Deutschland » imprimé était déployé dans une immense tribune. Il faut tout de même avoir les nerfs solides pour ne pas être paralysé par l’émotion. Ce n’est jamais coton d’amorcer un tournoi en jouant l’équipe à domicile, surtout quand elle est compétitive.
Vincent Collet faisait confiance à un cinq de départ totalement inédit. Andrew Albicy remplaçait Thomas Heurtel comme meneur, Elie Okobo faisait également son entrée, Evan Fournier glissait en 3, avec toujours Guerschon Yabusele et Rudy Gobert à l’intérieur. Le ton était donc résolument défensif, Andrew Albicy étant appelé en première ligne pour jouer le rôle de l’extincteur vis à vis de la star allemande Dennis Schröder.
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La France ne restait pas cette fois-ci dans les starting-blocks, et ce sont davantage les Allemands qui subissaient la fameuse pression, attendant 3’40 pour marquer un premier point. Seulement, ces mêmes Allemands défendaient aussi rudement et les Bleus loupaient 8 de leurs 11 premiers shoots – sans parler d’un airball de Rudy Gobert sur un lancer-franc – et subissaient un premier éclat (10-15), condamnant Vincent Collet à utiliser le premier un temps-mort.
Le jeu offensif allemand était incontestablement plus fluide autour de Dennis Schröder qui totalisait à la mi-temps 4 passes, soit autant que toute l’équipe de France ! Vincent Collet faisait largement appel à son banc, et cherchait les bonnes clés. Terry Tarpey entrait en piste pour défendre, Guerschon Yabusele passait en 5 et jouait les pompiers de service (10 points à la mi-temps). Difficile de dérégler la belle mécanique allemande. Sur un 2+1 de Dennis Schröder, l’écart montait à 9 points (20-29). C’est l’entrée sur le terrain de Théo Maledon, en association avec Andrew Albicy, en deuxième arrière, qui se montrait payante sur cinq minutes.
Un moment revenu au score, les Bleus décrochaient à nouveau à 7 points à la mi-temps (31-38) sur un panier primé du guard Nick Weiler-Babb. Evan Fournier et Rudy Gobert, trois points chacun, était sous l’eau. Heureusement que les Allemands n’avaient pas toujours fait bon usage de leurs positions à trois-points (4/18).
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C’est avec un un cinq classique et surtout un Guerschon Yabusele, revenu à son poste 4, auteur de deux trois-points de suite et d’un contre diabolique pour reprendre par surprise Franz Wagner qui se croyait peinard pour marquer son layup, que la France a effacé son ardoise en un peu plus de trois minutes : 39-38.
Un feu de paille. Les Bleus lâchaient trop de points sur la ligne des lancers-francs, et leur maladresse généralisée remettait à chaque fois les Allemands sur la bonne voie. Et il suffisait que ceux-ci entrent dans une période d’euphorie pour que l’écart se creuse. 43-57 à la fin du 3e quart-temps. Un début de panique. C’est l’ailier-fort Johannes Thiemann qui jouait les plus vilains tours avec son complice de l’Alba Berlin, le meneur Maodo Lo.
L’horloge tournait et on ne voyait pas qui – et comment – pouvait rallumer la flamme, surtout que Evan Fournier, censé être l’homme des missions impossibles, restait longtemps sur le banc. On a attendu des étincelles, elles ne sont jamais venues. Peut-être dans les vestiaires après le match…
La boxscore est ICI.
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne.
https://twitter.com/CanalplusBasket/status/1565428004196597761
Photo d’ouverture : Andrew Albicy et Dennis Schröder (FIBA)
", "comment_id":"622922", "plaintext":"Au-delà de son échec face à l’Allemagne en ouverture de l’EuroBasket (63-76), l’équipe de France est inquiétante. Sa défense a été poreuse et son attaque aphone. Seul Guerschon Yabusele (18 points et 4 rebonds) a été digne de son statut.\n\nL’Allemagne est une équipe solide mais dont on imagine qu’elle trouvera plus talentueuse sur son chemin. Elle a pourtant manoeuvré à sa guise une équipe de France qui est apparue orpheline de ses deux créateurs Nando De Colo et Nicolas Batum, et qui a démontré une déficience inattendue au poste de pivot. Rudy Gobert a été complètement encerclé par la défense allemande et de l’autre côté du terrain, qui a pu croire qu’il a été élu trois fois Meilleur défenseur de la NBA ? Vincent Poirier n’a pas pesé, Moustapha Fall n’a pas joué, et Vincent Collet a parfois utilisé Guerschon Yabusele en 5. Evan Fournier (7 points à 2/10 aux shoots) a confirmé ce que l’on avait vu jusque là, à savoir qu’il est dans le creux de la vague. Et puis le constat est récurrent : la France perd trop de balles – 17 dans ce match – preuve que son jeu n’est pas affiné.\n\nLes Français avaient également perdu le match d’ouverture en 2017 face à la Finlande (84-86), et l’EuroBasket s’était mal terminée, en huitièmes de finale, face à l’Allemagne. La prochaine échéance est prévue samedi à 17h45 contre la Lituanie, qui a été victime de la Slovénie pour son match d’ouverture. Les Bleus doivent démontrer qu’ils ont un autre visage que celui-là.\n\n\nUn cinq de départ newlook\n\nCet Allemagne-France était lancé à la Lanxess Arena de Cologne dans un cadre festif, à la fois parce que c’était le premier match de la Mannschaft de la compétition, et aussi parce que la fédération allemande en a profité pour honorer le meilleur basketteur du pays – et pour beaucoup d’Europe -, de tous les temps, Dirk Nowitzki. « MVP… MVP… » a hurlé le public. Seulement, la cérémonie a été looonnngue, si bien que le coup d’envoi a été donné avec une demi-heure de retard.\n\nLa plus grande arena d’Allemagne était bondée mais le spectateur allemand n’a pas l’exubérance du grec ni même du lituanien et l’accueil de ses joueurs s’effectue avec retenue, et celui de l’adversaire avec politesse. Un public de All-Star Game et les deux hymnes chantés. Surprenant et réussi. Un immense maillot blanc avec « Deutschland » imprimé était déployé dans une immense tribune. Il faut tout de même avoir les nerfs solides pour ne pas être paralysé par l’émotion. Ce n’est jamais coton d’amorcer un tournoi en jouant l’équipe à domicile, surtout quand elle est compétitive.\n\nVincent Collet faisait confiance à un cinq de départ totalement inédit. Andrew Albicy remplaçait Thomas Heurtel comme meneur, Elie Okobo faisait également son entrée, Evan Fournier glissait en 3, avec toujours Guerschon Yabusele et Rudy Gobert à l’intérieur. Le ton était donc résolument défensif, Andrew Albicy étant appelé en première ligne pour jouer le rôle de l’extincteur vis à vis de la star allemande Dennis Schröder.\n\n\n4 passes décisives en première mi-temps\n\nLa France ne restait pas cette fois-ci dans les starting-blocks, et ce sont davantage les Allemands qui subissaient la fameuse pression, attendant 3’40 pour marquer un premier point. Seulement, ces mêmes Allemands défendaient aussi rudement et les Bleus loupaient 8 de leurs 11 premiers shoots – sans parler d’un airball de Rudy Gobert sur un lancer-franc – et subissaient un premier éclat (10-15), condamnant Vincent Collet à utiliser le premier un temps-mort.\n\nLe jeu offensif allemand était incontestablement plus fluide autour de Dennis Schröder qui totalisait à la mi-temps 4 passes, soit autant que toute l’équipe de France ! Vincent Collet faisait largement appel à son banc, et cherchait les bonnes clés. Terry Tarpey entrait en piste pour défendre, Guerschon Yabusele passait en 5 et jouait les pompiers de service (10 points à la mi-temps). Difficile de dérégler la belle mécanique allemande. Sur un 2+1 de Dennis Schröder, l’écart montait à 9 points (20-29). C’est l’entrée sur le terrain de Théo Maledon, en association avec Andrew Albicy, en deuxième arrière, qui se montrait payante sur cinq minutes.\n\nUn moment revenu au score, les Bleus décrochaient à nouveau à 7 points à la mi-temps (31-38) sur un panier primé du guard Nick Weiler-Babb. Evan Fournier et Rudy Gobert, trois points chacun, était sous l’eau. Heureusement que les Allemands n’avaient pas toujours fait bon usage de leurs positions à trois-points (4/18).\n\n\nGuerschon Yabusele sans reproches\n\nC’est avec un un cinq classique et surtout un Guerschon Yabusele, revenu à son poste 4, auteur de deux trois-points de suite et d’un contre diabolique pour reprendre par surprise Franz Wagner qui se croyait peinard pour marquer son layup, que la France a effacé son ardoise en un peu plus de trois minutes : 39-38.\n\nUn feu de paille. Les Bleus lâchaient trop de points sur la ligne des lancers-francs, et leur maladresse généralisée remettait à chaque fois les Allemands sur la bonne voie. Et il suffisait que ceux-ci entrent dans une période d’euphorie pour que l’écart se creuse. 43-57 à la fin du 3e quart-temps. Un début de panique. C’est l’ailier-fort Johannes Thiemann qui jouait les plus vilains tours avec son complice de l’Alba Berlin, le meneur Maodo Lo.\n\nL’horloge tournait et on ne voyait pas qui – et comment – pouvait rallumer la flamme, surtout que Evan Fournier, censé être l’homme des missions impossibles, restait longtemps sur le banc. On a attendu des étincelles, elles ne sont jamais venues. Peut-être dans les vestiaires après le match…\n\nLa boxscore est ICI.\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne.\n\n\nEvan 🎯 Fournier#TeamFranceBasket x @EvanFourmizz | #PassionnémentBleu | #EuroBasket | #FRAGER https://t.co/v6aLmVrJEf\n\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 1, 2022\n\n\nhttps://twitter.com/CanalplusBasket/status/1565428004196597761\n\nPhoto d’ouverture : Andrew Albicy et Dennis Schröder (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/schroder-france-allemagne-euro-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-01T21:01:52.000Z", "updated_at":"2022-09-01T21:55:12.000Z", "published_at":"2022-09-01T21:01:52.000Z", "custom_excerpt":"Au-delà de son échec face à l’Allemagne en ouverture de l’EuroBasket (63-76), l’équipe de France est inquiétante. Sa défense a été poreuse et son attaque aphone. 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Devant 19 000 spectateurs, dont une délégation des Dallas Mavericks composée de Mark Cuban, Jason Kidd ou encore Michael Finley, l’ancien MVP de NBA a vu son maillot monter au plafond de la Lanxess Arena.
« C’est un immense honneur. J’ai toujours aimé jouer pour l’équipe nationale et j’ai toujours tout donné. Presque toute l’équipe de 2002 (NDLR : médaillée de bronze au mondial) est là. Je les remercie de m’avoir toujours accepté tel que je suis. Je les respecte, ainsi que tous mes anciens coéquipiers. Sans eux, rien n’aurait été possible. Merci également à la délégation de Dallas d’avoir fait tout ce chemin. Cela signifie beaucoup. Vous m’avez toujours soutenu en me laissant jouer chaque été. Vous saviez qu’il était important pour moi de représenter mon pays, merci pour tout. Merci également à vous, fans. Ce fut pour moi un voyage inoubliable. Beaucoup d’entre vous nous ont soutenus partout à travers le monde. C’était un plaisir de jouer pour vous », a confié Dirk Nowitzki lors de la cérémonie.
Avec la sélection nationale allemande, l’ancien intérieur de 43 ans a disputé 153 matches sur deux décennies, avec une première apparition à l’EuroBasket en 1999 avant de mener son équipe en finale en 2005. Retraité international depuis 2016, il a terminé sa carrière en NBA à l’issue de la saison 2018-2019. Plus tôt cette année, son maillot 41 avait été retiré par les Dallas Mavericks, avec lesquels il a disputé 21 saisons NBA et a été titré en 2011.
« Dirk Nowitzki, vous avez fasciné des millions de fans avec votre jeu. Votre dévouement donne force et espoir à de nombreuses personnes. Merci », a sobrement remercié le président fédéral Frank-Walter Steinmeier lors de la cérémonie.
La fête se poursuit avec le coup d’envoi de France-Allemagne, prévu – avec 30 minutes de retard – à 20h59, dernier match du jour d’ouverture dans le groupe B.
De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Dirk Nowitzki (FIBA)
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Je les respecte, ainsi que tous mes anciens coéquipiers. Sans eux, rien n’aurait été possible. Merci également à la délégation de Dallas d’avoir fait tout ce chemin. Cela signifie beaucoup. Vous m’avez toujours soutenu en me laissant jouer chaque été. Vous saviez qu’il était important pour moi de représenter mon pays, merci pour tout. Merci également à vous, fans. Ce fut pour moi un voyage inoubliable. Beaucoup d’entre vous nous ont soutenus partout à travers le monde. C’était un plaisir de jouer pour vous », a confié Dirk Nowitzki lors de la cérémonie.\n\n\nThe jersey goes up! 🇩🇪\n\nA true legend of the game, @swish41 gets his #14 jersey retired by Germany! 🙇#EuroBasket x #BringTheNoise pic.twitter.com/YbgOK4O44t\n\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) September 1, 2022\n\n\n\nDeux décennies de succès\n\nAvec la sélection nationale allemande, l’ancien intérieur de 43 ans a disputé 153 matches sur deux décennies, avec une première apparition à l’EuroBasket en 1999 avant de mener son équipe en finale en 2005. Retraité international depuis 2016, il a terminé sa carrière en NBA à l’issue de la saison 2018-2019. Plus tôt cette année, son maillot 41 avait été retiré par les Dallas Mavericks, avec lesquels il a disputé 21 saisons NBA et a été titré en 2011.\n\n« Dirk Nowitzki, vous avez fasciné des millions de fans avec votre jeu. Votre dévouement donne force et espoir à de nombreuses personnes. Merci », a sobrement remercié le président fédéral Frank-Walter Steinmeier lors de la cérémonie.\n\nLa fête se poursuit avec le coup d’envoi de France-Allemagne, prévu – avec 30 minutes de retard – à 20h59, dernier match du jour d’ouverture dans le groupe B.\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\n\nPhoto : Dirk Nowitzki (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/dirk-nowitzki-2-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-01T18:58:49.000Z", "updated_at":"2022-09-01T19:19:34.000Z", "published_at":"2022-09-01T18:58:49.000Z", "custom_excerpt":"En amont du match d’ouverture contre les Bleus devant son public à Cologne à l’EuroBasket, l’Allemagne a honoré sa légende Dirk Nowitzki en retirant son numéro 14 en sélection.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb2d", "uuid":"921b450d-d743-4a52-bf4b-ba2c76273b86", "title":"EuroBasket : La Slovénie résiste à la Lituanie dans un duel au sommet", "slug":"eurobasket-la-slovenie-resiste-a-la-lituanie-dans-un-duel-au-sommet", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/CancarVlatko?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/hashtag/EuroBasket?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}],[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/EuroBasket?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/eurobasket-dans-le-groupe-des-bleus-la-bosnie-herzegovine-se-sort-du-piege-hongrois/\"]],[\"em\"],[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/eurobasket/2022/game/0109/Slovenia-Lithuania#tab=boxscore\"]]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"Dans le groupe des Bleus à Cologne, la Slovénie, tenante du titre, a tenu bon grâce à son duo Luka Doncic – Goran Dragic dans le moneytime (92-95). Un succès déjà précieux.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le groupe de la mort est impitoyable. La Lituanie l’a appris à ses dépens. Dans un mano-a-mano d’une intensité folle devant 14 500 spectateurs à la Lanxess Arena, la Slovénie a doublé les Baltes dans l’ultime période. Les Lituaniens ont toutefois offert une sacrée résistance aux partenaires de Luka Doncic (14 points à 4/14 aux tirs, 10 passes décisives, 6 rebonds).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"On aurait pu croire que les Slovènes, venus à la salle… en taxi, en l’absence de leur bus, auraient du retard à l’allumage. Mais ce sont eux qui ont allumé les premières mèches, derrière l’arc, par l’intermédiaire notamment de Jaka Blazic (12-6, 4e). Portés par des milliers de supporters venus en masse à Cologne, les hommes de Kazys Maksyvtis ne ralentissaient pas le rythme, et leur lutin Lukas Lekavicius les guidait vers un retour en fin de premier quart-temps (27-27).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Insuffisant toutefois pour reprendre le contrôle du match, contre des Slovènes qui marquaient énormément sur contre-attaque. Monté en régime, Luka Doncic commençait à peser, tant offensivement de défensivement (8 points, 3 passes et 3 interceptions à la pause). Et Vlatko Cancar mettait le feu à la salle avec un contre suivi d’un 2+1 sur la tête de Jonas Valanciunas pour permettre aux siens de rentrer aux vestiaires d’une courte tête (51-48).\"]]],[10,0],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Goran Dragic toujours aussi clutch\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Bousculés en première mi-temps, Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis remettaient un temps les pendules à l’heure dans le secteur intérieur (55-57, 24e). Mais aucun n’écart n’était fait. 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On aurait pu croire que les Slovènes, venus à la salle… en taxi, en l’absence de leur bus, auraient du retard à l’allumage. Mais ce sont eux qui ont allumé les premières mèches, derrière l’arc, par l’intermédiaire notamment de Jaka Blazic (12-6, 4e). Portés par des milliers de supporters venus en masse à Cologne, les hommes de Kazys Maksyvtis ne ralentissaient pas le rythme, et leur lutin Lukas Lekavicius les guidait vers un retour en fin de premier quart-temps (27-27).
Insuffisant toutefois pour reprendre le contrôle du match, contre des Slovènes qui marquaient énormément sur contre-attaque. Monté en régime, Luka Doncic commençait à peser, tant offensivement de défensivement (8 points, 3 passes et 3 interceptions à la pause). Et Vlatko Cancar mettait le feu à la salle avec un contre suivi d’un 2+1 sur la tête de Jonas Valanciunas pour permettre aux siens de rentrer aux vestiaires d’une courte tête (51-48).
Bousculés en première mi-temps, Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis remettaient un temps les pendules à l’heure dans le secteur intérieur (55-57, 24e). Mais aucun n’écart n’était fait. Chacune à son tour, les deux équipes prenaient feu : la Slovénie avec Mike Tobey et la Lituanie par Mindaugas Kuzminskas (69-67).
Après quasiment trente minutes derrière, sans jamais être décrochée, la Lituanie pensait prendre les commandes au meilleur des moments après un bel effort collectif (73-78, 34e). Mais la Slovénie faisait parler son coeur de champion, et le duo Goran Dragic (19 points) – Luka Doncic (14 points) prenait ses responsabilités dans le moneytime pour passer un 15-3 fatal (88-81, 39e). Un beau combat de 40 minutes.
Outre Batman et Robin, le joker Mike Tobey a joué sa partition avec 24 points (à 11/17 aux tirs) et 8 rebonds pour 27 d’évaluation en 31 minutes. Il faut souligner que lui, ainsi que ses partenaires, ont bien réussi à contenir le duo Jonas Valanciunas (9 points à 4/10 aux tirs, 12 rebonds) – Domantas Sabonis (10 points à 4/10 aux tirs, 5 rebonds).
Quelques heures plus tôt, la Bosnie-Herzégovine a dominé la Hongrie en ouverture du groupe B. Dans une Lanxess Arena à guichets fermés, l’Allemagne entière attend désormais sa légende Dirk Nowitzki, dont le maillot sera retiré en amont du match contre les Bleus (20h30).
À Cologne (Allemagne).
Photo : Luka Doncic (FIBA)
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Et Vlatko Cancar mettait le feu à la salle avec un contre suivi d’un 2+1 sur la tête de Jonas Valanciunas pour permettre aux siens de rentrer aux vestiaires d’une courte tête (51-48).\n\n\nMAKE IT COUNT VLATKO!@CancarVlatko taking care of business on both ends of the court! 🔒#EuroBasket x #BringTheNoise\n\n📺 https://t.co/XA74Vl1szW pic.twitter.com/lfaq5oKkH0\n\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) September 1, 2022\n\n\n\nGoran Dragic toujours aussi clutch\n\nBousculés en première mi-temps, Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis remettaient un temps les pendules à l’heure dans le secteur intérieur (55-57, 24e). Mais aucun n’écart n’était fait. Chacune à son tour, les deux équipes prenaient feu : la Slovénie avec Mike Tobey et la Lituanie par Mindaugas Kuzminskas (69-67).\n\nAprès quasiment trente minutes derrière, sans jamais être décrochée, la Lituanie pensait prendre les commandes au meilleur des moments après un bel effort collectif (73-78, 34e). Mais la Slovénie faisait parler son coeur de champion, et le duo Goran Dragic (19 points) – Luka Doncic (14 points) prenait ses responsabilités dans le moneytime pour passer un 15-3 fatal (88-81, 39e). Un beau combat de 40 minutes.\n\n\nIf you're going to let Luka work in the paint, you're going to have a bad time.\n\n*insert south park meme* ⛷️#EuroBasket x #BringTheNoise\n\n📺 https://t.co/XA74Vl1szW pic.twitter.com/WNTienPcZC\n\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) September 1, 2022\n\n\nOutre Batman et Robin, le joker Mike Tobey a joué sa partition avec 24 points (à 11/17 aux tirs) et 8 rebonds pour 27 d’évaluation en 31 minutes. Il faut souligner que lui, ainsi que ses partenaires, ont bien réussi à contenir le duo Jonas Valanciunas (9 points à 4/10 aux tirs, 12 rebonds) – Domantas Sabonis (10 points à 4/10 aux tirs, 5 rebonds).\n\nQuelques heures plus tôt, la Bosnie-Herzégovine a dominé la Hongrie en ouverture du groupe B. Dans une Lanxess Arena à guichets fermés, l’Allemagne entière attend désormais sa légende Dirk Nowitzki, dont le maillot sera retiré en amont du match contre les Bleus (20h30).\n\nÀ Cologne (Allemagne).\n\nBoxscore Slovénie – Lituanie\n\n\nWhere is the team BUS, @EuroBasket @FIBA ???!!!????\n\nWe must take 🚕 for transfer to the first game of #EuroBasket 🤷🏻♂️🤷🏻♂️🤷🏻♂️. #mojtim 🏀🇸🇮💪 #BringTheNoise pic.twitter.com/7i2du2TAoo\n\n— Košarkarska zveza SIovenije (@kzs_si) September 1, 2022\n\n\nPhoto : Luka Doncic (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/slovenie-lituanie-fiba-doncic-luka.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-01T17:26:34.000Z", "updated_at":"2022-09-01T17:26:43.000Z", "published_at":"2022-09-01T17:26:34.000Z", "custom_excerpt":"Dans le groupe des Bleus à Cologne, la Slovénie, tenante du titre, a tenu bon grâce à son duo Luka Doncic – Goran Dragic dans le moneytime (92-95). 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Photo : Jacques Cormarèche
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« Ada connaît bien notre championnat et le club. C’est un poste 4 qui dispose d’un vrai bras ce qui permet d’étirer les défenses. Il peut également évoluer au poste 5. Cette saison, il aura un vrai rôle à jouer et bénéficiera d’un temps de jeu plus important que celui dont il a pu disposer la saison dernière, » commente le coach Eric Bartecheky.
Le joueur ajoute :
« Je suis très content d’être de retour. Contrairement à la saison dernière, je suis là dans les temps pour faire la préparation et la saison complète. En faisant partie de l’effectif de départ, cela me donne automatiquement d’autres responsabilités et plus de place pour m’exprimer. Je me sens très bien à Pau, c’est une des nombreuses raisons pour lesquelles je souhaitais rester ici. L’été a été mouvementé mais le principal pour le club est de pouvoir repartir aujourd’hui en Betclic Elite. Nous sortons d’une belle saison qui a permis à l’Elan de retrouver son rang et avec le staff et toute l’équipe, nous sommes motivés et avons à coeur de faire aussi bien cette saison. »
Photo : Jacques Cormarèche
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Portés par le nouveau joueur de Gravelines, Szilard Benke, 12 de ses 20 points à la pause, les Hongrois avaient fait la course en première mi-temps (45-46). Mais les Bosniens ont placé une accélération fatale dans le troisième quart-temps (73-63), et n’ont plus été rattrapés.
Comme contre les Bleus lors du match de qualifications au Mondial il y a quelques jours, Dzanan Musa (19 points, 5 rebonds, 6 passes) et Jusuf Nurkic (19 points, 4 rebonds) se sont montrés précieux dans les instants chauds. Les habitués du championnat de France, John Roberson (18 points, 5 passes) et Miralem Halilovic (16 points, 9 rebonds) ont largement pesé sur la rencontre par ailleurs.
La Lanxess Arena attend désormais le premier choc de la compétition entre la Slovénie de Luka Doncic et la Lituanie de Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis (17h15).
A Cologne (Allemagne).
Boxscore Bosnie-Herzégovine – Hongrie
Photo : Jusuf Nurkic (FIBA)
", "comment_id":"622856", "plaintext":"En ouverture du groupe B – celui de la France – de l’EuroBasket 2022 à Cologne, la Bosnie-Herzégovine a dominé la Hongrie en deuxième mi-temps (95-85).\n\nLa Lanxess Arena de Cologne se remplit tout doucement. Il faut dire que les affiches Slovénie – Lituanie (17h15) et Allemagne – France (20h30) qui vont suivre sont alléchantes, inutile donc de se bousculer au portillon. Sur le terrain, néanmoins, la Bosnie-Herzégovine et la Hongrie jouaient déjà, entre elles, un match crucial.\n\nPortés par le nouveau joueur de Gravelines, Szilard Benke, 12 de ses 20 points à la pause, les Hongrois avaient fait la course en première mi-temps (45-46). Mais les Bosniens ont placé une accélération fatale dans le troisième quart-temps (73-63), et n’ont plus été rattrapés.\n\nComme contre les Bleus lors du match de qualifications au Mondial il y a quelques jours, Dzanan Musa (19 points, 5 rebonds, 6 passes) et Jusuf Nurkic (19 points, 4 rebonds) se sont montrés précieux dans les instants chauds. Les habitués du championnat de France, John Roberson (18 points, 5 passes) et Miralem Halilovic (16 points, 9 rebonds) ont largement pesé sur la rencontre par ailleurs.\n\nLa Lanxess Arena attend désormais le premier choc de la compétition entre la Slovénie de Luka Doncic et la Lituanie de Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis (17h15).\n\nA Cologne (Allemagne).\n\nBoxscore Bosnie-Herzégovine – Hongrie\n\nPhoto : Jusuf Nurkic (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/jusuf-nurkic-fiba-bosnie.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-01T14:15:19.000Z", "updated_at":"2022-09-01T14:17:14.000Z", "published_at":"2022-09-01T14:15:19.000Z", "custom_excerpt":"En ouverture du groupe B – celui de la France – de l’EuroBasket 2022 à Cologne, la Bosnie-Herzégovine a dominé la Hongrie en deuxième mi-temps (95-85).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb32", "uuid":"8580c7bd-79f5-42f0-868e-8117e09891d0", "title":"EuroBasket : Les salles allemandes seront bien remplies", "slug":"eurobasket-les-salles-allemandes-seront-bien-remplies", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"La fédération allemande s’attend à un grand succès populaire pour l’EuroBasket 2022 dont un site du premier préliminaire se tient à Cologne et la phase finale à Berlin. \"],[0,[0],1,\"« Si vous ne regardez pas le basket maintenant, vous ne pouvez plus être aidé »,\"],[0,[],0,\" a déclaré le secrétaire général Wolfgang Brenscheidt.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Le secrétaire-général était très satisfait de la prévente:\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Nous serons complets pour les matches allemands et les autres matches à Cologne seront également très fréquentés »\"],[0,[],0,\", a précisé Wolfang Brenscheidt. \"],[0,[0],1,\"« Et lors de la finale à Berlin la salle sera pleine de toute façon. »\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les deux salles ont de fortes capacités. La Lanxess Arena de Cologne atteint les 19 250 places et la Mercedes-Benz Arena de Berlin 14 500 places. Les billets pour le tournoi du 1er au 18 septembre ont été vendus dans le monde entier.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[0],1,\"« Nous avons même eu des commandes d’Uruguay et d’Indonésie. Au total, nous avons vendu des billets dans 53 pays. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A Cologne, le prix des billets pour une session va de 29 à 79 euros et le package, qui comprend tous les matches, de 229 à 629 euros.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Rosco Allen, Hongrie (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Le secrétaire-général était très satisfait de la prévente:
« Nous serons complets pour les matches allemands et les autres matches à Cologne seront également très fréquentés », a précisé Wolfang Brenscheidt. « Et lors de la finale à Berlin la salle sera pleine de toute façon. »
Les deux salles ont de fortes capacités. La Lanxess Arena de Cologne atteint les 19 250 places et la Mercedes-Benz Arena de Berlin 14 500 places. Les billets pour le tournoi du 1er au 18 septembre ont été vendus dans le monde entier.
« Nous avons même eu des commandes d’Uruguay et d’Indonésie. Au total, nous avons vendu des billets dans 53 pays. »
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Photo : Rosco Allen, Hongrie (FIBA)
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Sergio Scariolo a déjà pu distribuer du temps de jeu mais ses leaders Lorenzo Brown (17 points, 5 passes décisives) et Willy Hernangomez (16 points, 6 rebonds, 4 passes décisives) ont mené la danse, sans grande résistance adverse.
L’Espagne jouera son deuxième match ce samedi contre le pays-hôte de son groupe : la Géorgie (19h).
Photo : Lorenzo Brown (FIBA)
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Photo : Kostas Antetokounmpo (Infinity Nine Media)
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À l’hôtel des Bleus à Cologne, le Bear évoque ce que représente pour lui cette deuxième compétition internationale, qui débute fort avec déjà un gros duel contre le pays-hôte de la compétition, ce jeudi soir (20h30).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Irréprochable en préparation, comme l’an dernier aux Jeux Olympiques de Tokyo, Guerschon Yabusele fait désormais partie des cadres de l’équipe de France. Quelques heures avant de participer à son premier EuroBasket, l’ailier-fort du Real Madrid (2,03 m, 26 ans) a répondu à nos questions à l’hôtel Marriott de Cologne, où les Bleus resteront pour la première phase, avant de s’envoler pour Berlin en cas de qualification.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’équipe de France a tourné la page de la dernière défaite en Bosnie-Herzégovine et souhaite rentrer sans plus attendre dans la compétition. Un premier tour très relevé attend les hommes de Vincent Collet, dont un match inaugural face à l’Allemagne, et ses 19 000 supporters. Sûr de ses forces, le Bear évoque cette première échéance européenne, un nouveau challenge dans une jeune carrière déjà bien remplie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Face au pays-hôte, à quoi vous attendez-vous en termes d’atmosphère, sachant que l’Allemagne profitera de son match d’ouverture pour retirer le maillot de Dirk Nowitzki ?\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"« Ça sera un peu le match de leur vie, on le savait déjà en étant opposés au pays-hôte dès le premier jour de la compétition. Ce sera un vrai combat. Il va y avoir beaucoup d’intensité, beaucoup de fans, beaucoup de bruit et d’émotions… On se prépare, et il faudra suivre le \"],[0,[1],1,\"game plan\"],[0,[],0,\" tout au long de la rencontre si on veut la remporter. C’est un challenge qu’on se doit de relever, et je pense qu’on est prêts. »\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quel est le plan de jeu ?\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"« Peu importe ce qui se passe, il faut rester ensemble. Il va falloir corriger les principales erreurs défensives et, surtout, commencer le match de la bonne façon, ça va être capital, surtout contre eux. Il va falloir contenir Dennis Schröder. C’est un très grand playmaker, qui trouve facilement ses partenaires par ses passes. Il va falloir le déranger, et ne pas le laisser respirer, car quand il joue libre, c’est là qu’il est dangereux. Les gars savent ce qu’il faut faire contre ce genre de joueurs, j’ai confiance en eux. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« La défaite contre la Bosnie-Herzégovine, elle est arrivée, elle est passée, mais on n’a pas oublié. Elle doit nous servir de leçon »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"L’année dernière, vous aviez perdu vos derniers matches amicaux, vous terminez sur une défaite contre la Bosnie-Herzégovine cette année. Que se passe-t-il au moment de switcher en mode compétition ?\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"« La chance que l’on a eue l’année dernière, c’était de jouer les Etats-Unis au premier match. Il y avait vraiment cette fierté de vouloir les battre, cet excès de motivation. Je pense que cette année, ce premier match vient dans le même esprit. On a cette même hargne de vouloir les battre. La défaite contre la Bosnie-Herzégovine, elle est arrivée, elle est passée, mais on n’a pas oublié. On sait les erreurs que l’on a faites, on a travaillé à la vidéo. On n’avait pas encore connu de défaite en préparation, ça peut être un mal pour un bien avant de rentrer dans ce groupe très relevé. Ça peut nous servir de leçon. Ce n’était pas parfait, bien sûr qu’on aimerait tous faire une compétition parfaite, mais ce ne sera pas le cas dans cet Euro très relevé. Il y aura peut-être des défaites et il faudra réagir derrière, parfois en peu de temps. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Avez-vous le sentiment d’avoir un peu levé le pied contre la Bosnie, comme l’évoquait plus tôt Vincent Collet ?\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"« Bien sûr, je suis d’accord avec ce qu’il a dit. Je ne dirais pas qu’il y a eu du relâchement, mais on n’avait pas encore cette excitation du début de compétition. On a profité de ces jours entre les matches pour passer à autre chose. »\"]]],[10,1],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La préparation a débuté le 29 juillet, il y a plus d’un mois. N’était-ce pas trop long ?\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"« Nous, les jeunes joueurs, on est super excités, on a envie d’y aller tout de suite à fond, on a vraiment hâte. J’en discutais avec Evan (Fournier), les joueurs plus expérimentés savent profiter de cette prépa plus longue, des jours off, car dès le début de la compétition, on n’a plus le temps. Ça va vraiment vite, on a deux back-to-back au premier tour. Quand on arrivera dans ces moments-là, il y aura un peu moins d’excitation car la fatigue va prendre le pas. Mais personnellement, j’ai vraiment hâte de commencer. C’est mon premier championnat d’Europe avec les A. C’est ce genre d’atmosphère qu’on aime. Je suis prêt. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quel impact a le retour de Mous Fall – votre ancien coéquipier à l’ASVEL – dans le secteur intérieur de l’équipe de France ?\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"« A titre personnel, je suis très heureux de son retour. C’est un très grand joueur, qui continue de progresser chaque année. C’est une arme offensive dont on ne peut pas se passer. Quand il a la balle au poste, et que personne ne vient aider, c’est quasiment deux points. Quand ça vient aider, il a cette capacité à lire le jeu et faire des bonnes passes. Ca change tout. On a vraiment besoin de lui. Il apporte une pièce à notre jeu qu’on n’a pas forcément dans le reste du temps. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« Le fait qu’il n’y ait pas Nando (De Colo) et Nico (Batum) cette année me donne encore plus de responsabilités »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Vous qui vous êtes adaptés à plein de ligues et compétitions différentes ces dernières années (NBA, Chine, Euroleague, équipe de France), comment évaluez-vous votre progression dans le rôle que vous accorde vos coaches, tant au Real Madrid que sous le maillot bleu ?\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"« J’ai de plus en plus de responsabilités. En plus, cette année chez les Bleus, le fait qu’il n’y ait pas Nando (De Colo) et Nico (Batum), ça m’en donne encore davantage. J’ai dû faire évoluer un peu mon rôle dans cette équipe. Mais effectivement, j’ai aussi eu l’habitude de prendre des responsabilités au Real Madrid, donc c’est une évolution naturelle. En équipe de France, c’est un peu différent qu’en Espagne, mais que je sois un joueur important ou non, je me base toujours sur le même jeu, en essayant d’apporter mon intensité, mon énergie, que ce soit en attaque ou en défense. Je pense que je progresse sur le fait de corriger mes défauts, de faire le moins d’erreurs possibles. C’est ma manière de voir les choses, et ce qui, je pense, me permet de progresser. »\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Au Real Madrid, comment avez-vous vécu l’éviction de Pablo Laso ?\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"« Cela s’est passé cet été, je n’étais pas sur place à ce moment-là. C’est la décision du Real Madrid, c’est comme ça. Ce que je peux dire, c’est que Pablo Laso est un très grand coach, c’est avec lui que j’ai passé un cap. J’ai vécu à ses côtés une saison incroyable, et c’est grâce à lui. Même si je faisais des choses moins bien, il me faisait persévérer, et il m’a donné cette confiance. Je le redis, c’est un très grand coach. Je ne pourrai jamais dire du mal de Pablo Laso. Quand c’est la main qui te donne à manger, je ne peux que le remercier et lui donner du crédit. Pour moi et ma famille, c’était l’une de mes meilleures années professionnelles et je n’ai pas honte de le dire. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Parmi les quatre mousquetaires du Real de la saison précédente, seul Fabien Causeur n’a pas été appelé par Vincent Collet pour cet Euro (Thomas Heurtel et Vincent Poirier également sélectionnés). Ça aurait été bien de boucler la boucle tous les quatre, n’est-ce pas ?\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"« C’est sûr que cette saison était quand même assez incroyable et atypique, avec ces quatre mousquetaires. Notre situation était vraiment parfaite, quatre Français dans l’un des plus grands club d’Europe, ce n’est pas anodin. Il y a beaucoup d’avantages. En ce qui concerne Fabien, je ne sais pas précisément comment le staff de l’équipe de France l’a contacté, s’il a refusé de venir, ou non. Mais s’il avait été là, c’est certain qu’il aurait pu nous aider. Il apporte beaucoup offensivement, à l’image de sa demi-finale d’Euroleague contre Barcelone, il a fait quelque chose d’incroyable. Il a vraiment cette force de pouvoir s’adapter, et je suis certain qu’il l’aurait fait en équipe de France s’il était dans le groupe. Après, il ne faut rien enlever aux gars qui sont dans ce groupe France. Chacun a des qualités sur lesquelles on peut s’appuyer. En équipe de France, on arrive toujours à remplacer les joueurs absents car ça travaille dur. On est bien comme ça. »\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Irréprochable en préparation, comme l’an dernier aux Jeux Olympiques de Tokyo, Guerschon Yabusele fait désormais partie des cadres de l’équipe de France. 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Sûr de ses forces, le Bear évoque cette première échéance européenne, un nouveau challenge dans une jeune carrière déjà bien remplie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Face au pays-hôte, à quoi vous attendez-vous en termes d’atmosphère, sachant que l’Allemagne profitera de son match d’ouverture pour retirer le maillot de Dirk Nowitzki ?\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"« Ça sera un peu le match de leur vie, on le savait déjà en étant opposés au pays-hôte dès le premier jour de la compétition. Ce sera un vrai combat. Il va y avoir beaucoup d’intensité, beaucoup de fans, beaucoup de bruit et d’émotions… On se prépare, et il faudra suivre le \"],[0,[1],1,\"game plan\"],[0,[],0,\" tout au long de la rencontre si on veut la remporter. C’est un challenge qu’on se doit de relever, et je pense qu’on est prêts. »\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Avez-vous le sentiment d’avoir un peu levé le pied contre la Bosnie, comme l’évoquait plus tôt Vincent Collet ?\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"« Bien sûr, je suis d’accord avec ce qu’il a dit. Je ne dirais pas qu’il y a eu du relâchement, mais on n’avait pas encore cette excitation du début de compétition…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne)\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Guerschon Yabusele (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
Irréprochable en préparation, comme l’an dernier aux Jeux Olympiques de Tokyo, Guerschon Yabusele fait désormais partie des cadres de l’équipe de France. Quelques heures avant de participer à son premier EuroBasket, l’ailier-fort du Real Madrid (2,03 m, 26 ans) a répondu à nos questions à l’hôtel Marriott de Cologne, où les Bleus resteront pour la première phase, avant de s’envoler pour Berlin en cas de qualification.
L’équipe de France a tourné la page de la dernière défaite en Bosnie-Herzégovine et souhaite rentrer sans plus attendre dans la compétition. Un premier tour très relevé attend les hommes de Vincent Collet, dont un match inaugural face à l’Allemagne, et ses 19 000 supporters. Sûr de ses forces, le Bear évoque cette première échéance européenne, un nouveau challenge dans une jeune carrière déjà bien remplie.
Face au pays-hôte, à quoi vous attendez-vous en termes d’atmosphère, sachant que l’Allemagne profitera de son match d’ouverture pour retirer le maillot de Dirk Nowitzki ?
« Ça sera un peu le match de leur vie, on le savait déjà en étant opposés au pays-hôte dès le premier jour de la compétition. Ce sera un vrai combat. Il va y avoir beaucoup d’intensité, beaucoup de fans, beaucoup de bruit et d’émotions… On se prépare, et il faudra suivre le game plan tout au long de la rencontre si on veut la remporter. C’est un challenge qu’on se doit de relever, et je pense qu’on est prêts. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/yabusele-fiba.jpg\")
Quel est le plan de jeu ?
« Peu importe ce qui se passe, il faut rester ensemble. Il va falloir corriger les principales erreurs défensives et, surtout, commencer le match de la bonne façon, ça va être capital, surtout contre eux. Il va falloir contenir Dennis Schröder. C’est un très grand playmaker, qui trouve facilement ses partenaires par ses passes. Il va falloir le déranger, et ne pas le laisser respirer, car quand il joue libre, c’est là qu’il est dangereux. Les gars savent ce qu’il faut faire contre ce genre de joueurs, j’ai confiance en eux. »
L’année dernière, vous aviez perdu vos derniers matches amicaux, vous terminez sur une défaite contre la Bosnie-Herzégovine cette année. Que se passe-t-il au moment de switcher en mode compétition ?
« La chance que l’on a eue l’année dernière, c’était de jouer les Etats-Unis au premier match. Il y avait vraiment cette fierté de vouloir les battre, cet excès de motivation. Je pense que cette année, ce premier match vient dans le même esprit. On a cette même hargne de vouloir les battre. La défaite contre la Bosnie-Herzégovine, elle est arrivée, elle est passée, mais on n’a pas oublié. On sait les erreurs que l’on a faites, on a travaillé à la vidéo. On n’avait pas encore connu de défaite en préparation, ça peut être un mal pour un bien avant de rentrer dans ce groupe très relevé. Ça peut nous servir de leçon. Ce n’était pas parfait, bien sûr qu’on aimerait tous faire une compétition parfaite, mais ce ne sera pas le cas dans cet Euro très relevé. Il y aura peut-être des défaites et il faudra réagir derrière, parfois en peu de temps. »
Avez-vous le sentiment d’avoir un peu levé le pied contre la Bosnie, comme l’évoquait plus tôt Vincent Collet ?
« Bien sûr, je suis d’accord avec ce qu’il a dit. Je ne dirais pas qu’il y a eu du relâchement, mais on n’avait pas encore cette excitation du début de compétition. On a profité de ces jours entre les matches pour passer à autre chose. »
La préparation a débuté le 29 juillet, il y a plus d’un mois. N’était-ce pas trop long ?
« Nous, les jeunes joueurs, on est super excités, on a envie d’y aller tout de suite à fond, on a vraiment hâte. J’en discutais avec Evan (Fournier), les joueurs plus expérimentés savent profiter de cette prépa plus longue, des jours off, car dès le début de la compétition, on n’a plus le temps. Ça va vraiment vite, on a deux back-to-back au premier tour. Quand on arrivera dans ces moments-là, il y aura un peu moins d’excitation car la fatigue va prendre le pas. Mais personnellement, j’ai vraiment hâte de commencer. C’est mon premier championnat d’Europe avec les A. C’est ce genre d’atmosphère qu’on aime. Je suis prêt. »
Quel impact a le retour de Mous Fall – votre ancien coéquipier à l’ASVEL – dans le secteur intérieur de l’équipe de France ?
« A titre personnel, je suis très heureux de son retour. C’est un très grand joueur, qui continue de progresser chaque année. C’est une arme offensive dont on ne peut pas se passer. Quand il a la balle au poste, et que personne ne vient aider, c’est quasiment deux points. Quand ça vient aider, il a cette capacité à lire le jeu et faire des bonnes passes. Ca change tout. On a vraiment besoin de lui. Il apporte une pièce à notre jeu qu’on n’a pas forcément dans le reste du temps. »
Vous qui vous êtes adaptés à plein de ligues et compétitions différentes ces dernières années (NBA, Chine, Euroleague, équipe de France), comment évaluez-vous votre progression dans le rôle que vous accorde vos coaches, tant au Real Madrid que sous le maillot bleu ?
« J’ai de plus en plus de responsabilités. En plus, cette année chez les Bleus, le fait qu’il n’y ait pas Nando (De Colo) et Nico (Batum), ça m’en donne encore davantage. J’ai dû faire évoluer un peu mon rôle dans cette équipe. Mais effectivement, j’ai aussi eu l’habitude de prendre des responsabilités au Real Madrid, donc c’est une évolution naturelle. En équipe de France, c’est un peu différent qu’en Espagne, mais que je sois un joueur important ou non, je me base toujours sur le même jeu, en essayant d’apporter mon intensité, mon énergie, que ce soit en attaque ou en défense. Je pense que je progresse sur le fait de corriger mes défauts, de faire le moins d’erreurs possibles. C’est ma manière de voir les choses, et ce qui, je pense, me permet de progresser. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/guerschon-yabusele-fiba.jpg\")
Au Real Madrid, comment avez-vous vécu l’éviction de Pablo Laso ?
« Cela s’est passé cet été, je n’étais pas sur place à ce moment-là. C’est la décision du Real Madrid, c’est comme ça. Ce que je peux dire, c’est que Pablo Laso est un très grand coach, c’est avec lui que j’ai passé un cap. J’ai vécu à ses côtés une saison incroyable, et c’est grâce à lui. Même si je faisais des choses moins bien, il me faisait persévérer, et il m’a donné cette confiance. Je le redis, c’est un très grand coach. Je ne pourrai jamais dire du mal de Pablo Laso. Quand c’est la main qui te donne à manger, je ne peux que le remercier et lui donner du crédit. Pour moi et ma famille, c’était l’une de mes meilleures années professionnelles et je n’ai pas honte de le dire. »
Parmi les quatre mousquetaires du Real de la saison précédente, seul Fabien Causeur n’a pas été appelé par Vincent Collet pour cet Euro (Thomas Heurtel et Vincent Poirier également sélectionnés). Ça aurait été bien de boucler la boucle tous les quatre, n’est-ce pas ?
« C’est sûr que cette saison était quand même assez incroyable et atypique, avec ces quatre mousquetaires. Notre situation était vraiment parfaite, quatre Français dans l’un des plus grands club d’Europe, ce n’est pas anodin. Il y a beaucoup d’avantages. En ce qui concerne Fabien, je ne sais pas précisément comment le staff de l’équipe de France l’a contacté, s’il a refusé de venir, ou non. Mais s’il avait été là, c’est certain qu’il aurait pu nous aider. Il apporte beaucoup offensivement, à l’image de sa demi-finale d’Euroleague contre Barcelone, il a fait quelque chose d’incroyable. Il a vraiment cette force de pouvoir s’adapter, et je suis certain qu’il l’aurait fait en équipe de France s’il était dans le groupe. Après, il ne faut rien enlever aux gars qui sont dans ce groupe France. Chacun a des qualités sur lesquelles on peut s’appuyer. En équipe de France, on arrive toujours à remplacer les joueurs absents car ça travaille dur. On est bien comme ça. »
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Irréprochable en préparation, comme l’an dernier aux Jeux Olympiques de Tokyo, Guerschon Yabusele fait désormais partie des cadres de l’équipe de France. Quelques heures avant de participer à son premier EuroBasket, l’ailier-fort du Real Madrid (2,03 m, 26 ans) a répondu à nos questions à l’hôtel Marriott de Cologne, où les Bleus resteront pour la première phase, avant de s’envoler pour Berlin en cas de qualification.
L’équipe de France a tourné la page de la dernière défaite en Bosnie-Herzégovine et souhaite rentrer sans plus attendre dans la compétition. Un premier tour très relevé attend les hommes de Vincent Collet, dont un match inaugural face à l’Allemagne, et ses 19 000 supporters. Sûr de ses forces, le Bear évoque cette première échéance européenne, un nouveau challenge dans une jeune carrière déjà bien remplie.
Face au pays-hôte, à quoi vous attendez-vous en termes d’atmosphère, sachant que l’Allemagne profitera de son match d’ouverture pour retirer le maillot de Dirk Nowitzki ?
« Ça sera un peu le match de leur vie, on le savait déjà en étant opposés au pays-hôte dès le premier jour de la compétition. Ce sera un vrai combat. Il va y avoir beaucoup d’intensité, beaucoup de fans, beaucoup de bruit et d’émotions… On se prépare, et il faudra suivre le game plan tout au long de la rencontre si on veut la remporter. C’est un challenge qu’on se doit de relever, et je pense qu’on est prêts. »
Avez-vous le sentiment d’avoir un peu levé le pied contre la Bosnie, comme l’évoquait plus tôt Vincent Collet ?
« Bien sûr, je suis d’accord avec ce qu’il a dit. Je ne dirais pas qu’il y a eu du relâchement, mais on n’avait pas encore cette excitation du début de compétition…
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De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne)
Photo : Guerschon Yabusele (FIBA)
", "comment_id":"622794", "plaintext":"À 26 ans, Guerschon Yabusele dispute en Allemagne son premier championnat d’Europe (1er-18 septembre) avec l’équipe de France A. À l’hôtel des Bleus à Cologne, le Bear évoque ce que représente pour lui cette deuxième compétition internationale, qui débute fort avec déjà un gros duel contre le pays-hôte de la compétition, ce jeudi soir (20h30).\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nIrréprochable en préparation, comme l’an dernier aux Jeux Olympiques de Tokyo, Guerschon Yabusele fait désormais partie des cadres de l’équipe de France. Quelques heures avant de participer à son premier EuroBasket, l’ailier-fort du Real Madrid (2,03 m, 26 ans) a répondu à nos questions à l’hôtel Marriott de Cologne, où les Bleus resteront pour la première phase, avant de s’envoler pour Berlin en cas de qualification.\n\nL’équipe de France a tourné la page de la dernière défaite en Bosnie-Herzégovine et souhaite rentrer sans plus attendre dans la compétition. Un premier tour très relevé attend les hommes de Vincent Collet, dont un match inaugural face à l’Allemagne, et ses 19 000 supporters. Sûr de ses forces, le Bear évoque cette première échéance européenne, un nouveau challenge dans une jeune carrière déjà bien remplie.\n\nFace au pays-hôte, à quoi vous attendez-vous en termes d’atmosphère, sachant que l’Allemagne profitera de son match d’ouverture pour retirer le maillot de Dirk Nowitzki ?\n« Ça sera un peu le match de leur vie, on le savait déjà en étant opposés au pays-hôte dès le premier jour de la compétition. Ce sera un vrai combat. Il va y avoir beaucoup d’intensité, beaucoup de fans, beaucoup de bruit et d’émotions… On se prépare, et il faudra suivre le game plan tout au long de la rencontre si on veut la remporter. C’est un challenge qu’on se doit de relever, et je pense qu’on est prêts. »\n\nQuel est le plan de jeu ?\n« Peu importe ce qui se passe, il faut rester ensemble. Il va falloir corriger les principales erreurs défensives et, surtout, commencer le match de la bonne façon, ça va être capital, surtout contre eux. Il va falloir contenir Dennis Schröder. C’est un très grand playmaker, qui trouve facilement ses partenaires par ses passes. Il va falloir le déranger, et ne pas le laisser respirer, car quand il joue libre, c’est là qu’il est dangereux. Les gars savent ce qu’il faut faire contre ce genre de joueurs, j’ai confiance en eux. »\n\n\n« La défaite contre la Bosnie-Herzégovine, elle est arrivée, elle est passée, mais on n’a pas oublié. Elle doit nous servir de leçon »\n\nL’année dernière, vous aviez perdu vos derniers matches amicaux, vous terminez sur une défaite contre la Bosnie-Herzégovine cette année. Que se passe-t-il au moment de switcher en mode compétition ?\n« La chance que l’on a eue l’année dernière, c’était de jouer les Etats-Unis au premier match. Il y avait vraiment cette fierté de vouloir les battre, cet excès de motivation. Je pense que cette année, ce premier match vient dans le même esprit. On a cette même hargne de vouloir les battre. La défaite contre la Bosnie-Herzégovine, elle est arrivée, elle est passée, mais on n’a pas oublié. On sait les erreurs que l’on a faites, on a travaillé à la vidéo. On n’avait pas encore connu de défaite en préparation, ça peut être un mal pour un bien avant de rentrer dans ce groupe très relevé. Ça peut nous servir de leçon. Ce n’était pas parfait, bien sûr qu’on aimerait tous faire une compétition parfaite, mais ce ne sera pas le cas dans cet Euro très relevé. Il y aura peut-être des défaites et il faudra réagir derrière, parfois en peu de temps. »\n\nAvez-vous le sentiment d’avoir un peu levé le pied contre la Bosnie, comme l’évoquait plus tôt Vincent Collet ?\n« Bien sûr, je suis d’accord avec ce qu’il a dit. Je ne dirais pas qu’il y a eu du relâchement, mais on n’avait pas encore cette excitation du début de compétition. On a profité de ces jours entre les matches pour passer à autre chose. »\n\nLa préparation a débuté le 29 juillet, il y a plus d’un mois. N’était-ce pas trop long ?\n« Nous, les jeunes joueurs, on est super excités, on a envie d’y aller tout de suite à fond, on a vraiment hâte. J’en discutais avec Evan (Fournier), les joueurs plus expérimentés savent profiter de cette prépa plus longue, des jours off, car dès le début de la compétition, on n’a plus le temps. Ça va vraiment vite, on a deux back-to-back au premier tour. Quand on arrivera dans ces moments-là, il y aura un peu moins d’excitation car la fatigue va prendre le pas. Mais personnellement, j’ai vraiment hâte de commencer. C’est mon premier championnat d’Europe avec les A. C’est ce genre d’atmosphère qu’on aime. Je suis prêt. »\n\nQuel impact a le retour de Mous Fall – votre ancien coéquipier à l’ASVEL – dans le secteur intérieur de l’équipe de France ?\n« A titre personnel, je suis très heureux de son retour. C’est un très grand joueur, qui continue de progresser chaque année. C’est une arme offensive dont on ne peut pas se passer. Quand il a la balle au poste, et que personne ne vient aider, c’est quasiment deux points. Quand ça vient aider, il a cette capacité à lire le jeu et faire des bonnes passes. Ca change tout. On a vraiment besoin de lui. Il apporte une pièce à notre jeu qu’on n’a pas forcément dans le reste du temps. »\n\n\n« Le fait qu’il n’y ait pas Nando (De Colo) et Nico (Batum) cette année me donne encore plus de responsabilités »\n\nVous qui vous êtes adaptés à plein de ligues et compétitions différentes ces dernières années (NBA, Chine, Euroleague, équipe de France), comment évaluez-vous votre progression dans le rôle que vous accorde vos coaches, tant au Real Madrid que sous le maillot bleu ?\n« J’ai de plus en plus de responsabilités. En plus, cette année chez les Bleus, le fait qu’il n’y ait pas Nando (De Colo) et Nico (Batum), ça m’en donne encore davantage. J’ai dû faire évoluer un peu mon rôle dans cette équipe. Mais effectivement, j’ai aussi eu l’habitude de prendre des responsabilités au Real Madrid, donc c’est une évolution naturelle. En équipe de France, c’est un peu différent qu’en Espagne, mais que je sois un joueur important ou non, je me base toujours sur le même jeu, en essayant d’apporter mon intensité, mon énergie, que ce soit en attaque ou en défense. Je pense que je progresse sur le fait de corriger mes défauts, de faire le moins d’erreurs possibles. C’est ma manière de voir les choses, et ce qui, je pense, me permet de progresser. »\n\nAu Real Madrid, comment avez-vous vécu l’éviction de Pablo Laso ?\n« Cela s’est passé cet été, je n’étais pas sur place à ce moment-là. C’est la décision du Real Madrid, c’est comme ça. Ce que je peux dire, c’est que Pablo Laso est un très grand coach, c’est avec lui que j’ai passé un cap. J’ai vécu à ses côtés une saison incroyable, et c’est grâce à lui. Même si je faisais des choses moins bien, il me faisait persévérer, et il m’a donné cette confiance. Je le redis, c’est un très grand coach. Je ne pourrai jamais dire du mal de Pablo Laso. Quand c’est la main qui te donne à manger, je ne peux que le remercier et lui donner du crédit. Pour moi et ma famille, c’était l’une de mes meilleures années professionnelles et je n’ai pas honte de le dire. »\n\nParmi les quatre mousquetaires du Real de la saison précédente, seul Fabien Causeur n’a pas été appelé par Vincent Collet pour cet Euro (Thomas Heurtel et Vincent Poirier également sélectionnés). Ça aurait été bien de boucler la boucle tous les quatre, n’est-ce pas ?\n« C’est sûr que cette saison était quand même assez incroyable et atypique, avec ces quatre mousquetaires. Notre situation était vraiment parfaite, quatre Français dans l’un des plus grands club d’Europe, ce n’est pas anodin. Il y a beaucoup d’avantages. En ce qui concerne Fabien, je ne sais pas précisément comment le staff de l’équipe de France l’a contacté, s’il a refusé de venir, ou non. Mais s’il avait été là, c’est certain qu’il aurait pu nous aider. Il apporte beaucoup offensivement, à l’image de sa demi-finale d’Euroleague contre Barcelone, il a fait quelque chose d’incroyable. Il a vraiment cette force de pouvoir s’adapter, et je suis certain qu’il l’aurait fait en équipe de France s’il était dans le groupe. Après, il ne faut rien enlever aux gars qui sont dans ce groupe France. Chacun a des qualités sur lesquelles on peut s’appuyer. En équipe de France, on arrive toujours à remplacer les joueurs absents car ça travaille dur. On est bien comme ça. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nIrréprochable en préparation, comme l’an dernier aux Jeux Olympiques de Tokyo, Guerschon Yabusele fait désormais partie des cadres de l’équipe de France. Quelques heures avant de participer à son premier EuroBasket, l’ailier-fort du Real Madrid (2,03 m, 26 ans) a répondu à nos questions à l’hôtel Marriott de Cologne, où les Bleus resteront pour la première phase, avant de s’envoler pour Berlin en cas de qualification.\n\nL’équipe de France a tourné la page de la dernière défaite en Bosnie-Herzégovine et souhaite rentrer sans plus attendre dans la compétition. Un premier tour très relevé attend les hommes de Vincent Collet, dont un match inaugural face à l’Allemagne, et ses 19 000 supporters. Sûr de ses forces, le Bear évoque cette première échéance européenne, un nouveau challenge dans une jeune carrière déjà bien remplie.\n\nFace au pays-hôte, à quoi vous attendez-vous en termes d’atmosphère, sachant que l’Allemagne profitera de son match d’ouverture pour retirer le maillot de Dirk Nowitzki ?\n« Ça sera un peu le match de leur vie, on le savait déjà en étant opposés au pays-hôte dès le premier jour de la compétition. Ce sera un vrai combat. Il va y avoir beaucoup d’intensité, beaucoup de fans, beaucoup de bruit et d’émotions… On se prépare, et il faudra suivre le game plan tout au long de la rencontre si on veut la remporter. C’est un challenge qu’on se doit de relever, et je pense qu’on est prêts. »\n\nAvez-vous le sentiment d’avoir un peu levé le pied contre la Bosnie, comme l’évoquait plus tôt Vincent Collet ?\n« Bien sûr, je suis d’accord avec ce qu’il a dit. 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« Nous avons besoin de lui pour atteindre nos objectifs », a déclaré le coach canadien Gordon Herbert. « »Daniel a travaillé très, très dur au cours des dix à douze derniers jours ».
« Je suis très heureux que cela ait quand même fonctionné avec cette participation à l’EuroBasket », a déclaré Theis. « Je me sens bien, je n’ai plus rien à redire et j’ai hâte d’être au match d’ouverture contre la France avec l’équipe. »
Theis avait raté une grande partie de la préparation en raison de problèmes de genoux. Alors que l’équipe a disputé la Supercoupe à Hambourg et joué contre la Suède et la Slovénie lors des qualifications la Coupe du monde, Theis a terminé sa rééducation à Munich. Mardi et mercredi, le NBAer a ensuite passé les derniers stress tests à Cologne.
La participation de Theis est très importante pour l’équipe d’Allemagne car font défaut Maximilian Kleber, Moritz Wagner, Isaiah Hartenstein et Isaac Bonga quatre joueurs expérimentés de la NBA. Tibor Pleiss d’Efes Istanbul, un autre centre de format international, a également déclaré forfait. Avec Daniel Theis, le capitaine Dennis Schröder et Franz Wagner, Gordon Herbert dispose désormais de trois NBAers.
Daniel Theis a cumulé 8,2 points et 4,9 rebonds en 47 matches avec les Houston Rockets et les Boston Celtics la saison dernière.
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« C’est un honneur d’entraîner ce groupe. »
« Nous avons eu une belle victoire dimanche (contre la Slovénie), nous devons construire là-dessus et nous améliorer. »
« Nous avons de bons joueurs. Le match de dimanche est une bonne preuve de la façon dont nous devrons jouer. Nous avons beaucoup de talent et un bon mélange. »
Dennis Schröder :
« L’attente est énorme. Un EuroBasket à domicile est un grand honneur. C’est ce qu’on attend avec impatience cet été. »
« Luka (Doncic) est l’un des meilleurs guard du monde. Ce sera un énorme défi de jouer contre Gobert. C’est l’un des meilleurs centres du monde. Nous devons aller à plein régime pendant 40 minutes. Nous devons jouer vite et pousser notre jeu jusqu’au bout, alors nous avons de bonnes chances. »
« Être capitaine est une chose énorme. C’est un immense honneur. »
« C’est un match important pour nous, mais Dirk (Nowitzki) le mérite vraiment. Cela nous motivera qu’il soit là. » (Lors de la cérémonie de retrait de son maillot)
« Je vais bien. »
« L’accent est entièrement mis sur nous, nous ne voulons pas nous concentrer sur les autres. »
« Nous avons aussi nos armes, ce dont les autres équipes doivent s’inquiéter. »
Johannes Voigtmann :
« Je fais ce que je fais depuis quelques années. J’ai une certaine position dans l’équipe. Que je sois capitaine ou non n’est pas très important pour moi. »
« Nous voulons créer une certaine euphorie. Bien sûr, cela dépend de votre réussite sportive. Quiconque n’a pas remarqué que le basket-ball est un beau sport ne le verra pas non plus maintenant. On veut emmener celui qui est déjà au basket avec nous. »
« Je pense que nous avons encore du chemin à faire. Mais il était temps. »
« Je suis content. C’est mon métier, qui me passionne. Il manquait quelque chose. Maintenant je suis en forme, je me sens bien. J’attends avec impatience les joueurs et les spectateurs. »
Franz Wagner :
« Des championnats à domicile comme celui-ci n’arrivent pas souvent. C’est quelque chose de spécial pour le sport en Allemagne. »
« J’ai passé un bon moment dès le début et j’ai été très bien accueilli. »
« Nous avons encore plus confiance en nous après avoir battu la Slovénie. »
« Dirk était un très grand modèle pour moi. »
Photo : Johannes Voigtmann, Dennis Schröder et Franz Wagner (FIBA)
Taqwa Pinero a été à l’origine du rapprochement entre la société américaine Counterpointe Sports Group (CSG) et l’Elan Béarnais, club dont il a porté le maillot entre 2017 et 2019. Il en a été nommé general manager avant d’être mis à l’écart lorsque CSG s’est désengagé, laissant une belle ardoise, et a été repris par des investisseurs français avec Sébastien Ménard à leur tête.
« Je ne veux pas me faire mousser, mais j’ai beaucoup joué dans la venue de CSG à Pau. Mais après cela, je n’avais pas de lien avec le côté business. J’avais plusieurs rôles au sein du club, en tant qu’employé puis en tant que manager général, et tout se rapportait au terrain. Quand CSG a accepté de vendre le club, ils ont promis que tous les gens qui leur étaient liés partiraient en même temps. Je n’ai jamais accepté cela personnellement. On parle de mon emploi, qui disparaîtrait sans que j’en sois informé et sans mon accord. C’est d’ailleurs pour cela que je suis toujours au club, que je viens tous les jours, et que je n’ai pas été viré : la vente du club ne peut pas être considérée comme complète parce que je n’ai jamais accepté de partir en même temps que CSG. Mon contrat court toujours… (…) » Bien sûr que je le comprends. Je comprends parfaitement que la nouvelle direction veuille tourner la page, mettre en place sa propre équipe. Mais ça ne peut pas se faire en manquant de respect à mon travail (…) »
Photo : Elan Béarnais
", "comment_id":"622787", "plaintext":"Dans une interview à L’Equipe, l’Américain Taqwa Pinero évoque sa situation actuelle avec l’Elan Béarnais Pau-Lacq Orthez.\n\nTaqwa Pinero a été à l’origine du rapprochement entre la société américaine Counterpointe Sports Group (CSG) et l’Elan Béarnais, club dont il a porté le maillot entre 2017 et 2019. Il en a été nommé general manager avant d’être mis à l’écart lorsque CSG s’est désengagé, laissant une belle ardoise, et a été repris par des investisseurs français avec Sébastien Ménard à leur tête.\n\n« Je ne veux pas me faire mousser, mais j’ai beaucoup joué dans la venue de CSG à Pau. Mais après cela, je n’avais pas de lien avec le côté business. J’avais plusieurs rôles au sein du club, en tant qu’employé puis en tant que manager général, et tout se rapportait au terrain. Quand CSG a accepté de vendre le club, ils ont promis que tous les gens qui leur étaient liés partiraient en même temps. Je n’ai jamais accepté cela personnellement. 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C’était la bonne décision de ne pas faire les Jeux, \"],[0,[],0,\"dit-il au sujet de sa non-venue en équipe de France l’été dernier\"],[0,[1],1,\". D’autres obligations m’ont aussi forcé à faire l’impasse. Pour mon développement personnel et au vu de ce qu’OKC me demandait, je devais passer par là.\"],[0,[],0,\" » La relation de confiance entre la franchise et son poulain n’a pas posé de problème cette fois-ci : « \"],[0,[1],1,\"Dès que j’ai évoqué le sujet de nouveau, OKC m’a tout de suite laissé participer cet été. »\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À tout juste 21 ans, le Normand reste en avance sur son temps. Sa marge de progression est évidente et, quand bien même sa saison de sophomore aux Etats-Unis ne fut pas une franche réussite (7,1 points, 2,6 rebonds et 2,2 passes en 51 matches NBA pour une 14e place avec le Thunder dans la conférence Ouest), sa présence est essentielle pour l’équipe de France, dont il a déjà porté le maillot à 13 reprises. Dans le futur mais, ne l’oublions pas, le présent aussi, dans un Euro ô combien relevé.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cela passera aussi par les notions d’intégration et de plaisir. « \"],[0,[1],1,\"Aujourd’hui, on peut dire que je suis un basketteur épanoui, oui. J’ai déjà connu pas mal de choses dans ma carrière : l’Euroleague, la NBA, l’équipe de France, avec des phases compliquées et des phases avec plus de réussite. Tout ça m’a permis d’engranger de l’expérience et devenir un meilleur joueur. Je suis simplement heureux et excité de disputer cette première compétition internationale avec les A, de découvrir ce monde, de voir ce que cela représente de faire un Euro. » \"],[0,[],0,\"Il lui reste presque une compétition entière pour prouver définitivement sa valeur sans contrarier les ambitions collectives des Bleus.\"]]],[10,3],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"«\"],[0,[1],1,\" Je n’ai pas douté\"],[0,[],0,\" ». Peu responsabilisé contre la République tchèque puis laissé en tenue lors du dernier match des Bleus avant l’Euro, contre la Bosnie-Herzégovine à Sarajevo, on ne donnait plus cher de sa peau pour figurer parmi les douze élus. Sans pression particulière, Théo Maledon (1,93 m, 21 ans) s’est finalement frayé un chemin pour intégrer la liste de Vincent Collet. \"],[0,[1],1,\"« C’était hors de mon contrôle. Je suis resté concentré sur moi-même et ce que je pouvais apporter. 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« Je n’ai pas douté ». Peu responsabilisé contre la République tchèque puis laissé en tenue lors du dernier match des Bleus avant l’Euro, contre la Bosnie-Herzégovine à Sarajevo, on ne donnait plus cher de sa peau pour figurer parmi les douze élus. Sans pression particulière, Théo Maledon (1,93 m, 21 ans) s’est finalement frayé un chemin pour intégrer la liste de Vincent Collet. « C’était hors de mon contrôle. Je suis resté concentré sur moi-même et ce que je pouvais apporter. J’ai essayé de montrer mes qualités au coach, mais ce n’était pas moi qui allait décider de ma présence », constatait le meneur normand à l’hôtel des Bleus à Cologne, la veille du début de la compétition.
Sa sélection, au détriment de celle d’Isaïa Cordinier, s’explique à plusieurs titres : le besoin de pouvoir compter sur un meneur supplémentaire derrière Thomas Heurtel, au cas où la cuisse d’Andrew Albicy ne tiendrait pas, aussi celui de ne pas disposer de deux ailiers au même profil d’energizer – Terry Tarpey ayant été préféré à Isaïa Cordinier sur ce registre, ce qui libérait ainsi une place sur la ligne arrière -, ou de prendre rendez-vous avec l’avenir, car Théo Maledon sera sans doute amené à avoir plus de responsabilités à moyen terme.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/theo-maledon-fiba.jpg\")
Un pari sur l’avenir, donc ? Pas seulement. « Il progresse, se fond de mieux en mieux dans le collectif. Sa principale progression par rapport à ses dernières campagnes, c’est le comportement défensif. Il a également de vrais savoir-faire, une vraie adresse et de très bons appuis offensifs », se satisfaisait le sélectionneur Vincent Collet durant la préparation… avant de mettre en garde. « Il faut encore qu’il apprenne à utiliser ses qualités à bon escient. »
Bien que sélectionné sur le fil, le meneur tricolore n’a pas fait de la figuration contre l’Allemagne en ouverture de l’EuroBasket. En troisième rotation au poste 1, il a apporté 6 points, 1 rebond, 1 passe décisive pour 1 perte de balle en 11 minutes. En mettant de côté sa maladresse extérieure (0/4 à 3-points, 1/5 aux tirs), son agressivité lui a valu d’aller plusieurs fois sur la ligne (4/5 aux lancers-francs), et d’apporter une forme de leadership offensif par séquence, ce dont la France a globalement et collectivement manqué jeudi soir.
Pas facile toutefois d’exister davantage aux côtés de Thomas Heurtel, présumé meneur titulaire, et Andrew Albicy, leader défensif propulsé dans le cinq de départ contre les Allemands afin de réduire l’impact de Dennis Schröder… du moins dans l’esprit de Vincent Collet. « Il y a eu un peu de rodage. Je ne pense pas être encore tout à fait clair avec mon rôle mais cela va venir au fil des matches, avoue l’intéressé. Je veux juste apporter mon énergie et tout ce que je sais faire, avec beaucoup d’intensité. Je dois trouver un juste milieu, tout en amenant mon propre jeu et mes qualités, des deux côtés du terrain. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/maledon-2-france-allemagne-fiba-euro-2022.jpg\")
Cela vient certainement des différences entre la NBA, porté sur la vitesse, et le jeu FIBA, plus ancré dans les notions de collectif. « Il y a beaucoup de différences. Malgré tout, les meilleurs joueurs de cette compétition sont des joueurs NBA. Il faut s’adapter mais je ne trouve pas qu’elles soient si importantes qu’on veuille le croire. » Théo Maledon doit malgré tout faire attention à partager les responsabilités à son poste, et saisir les opportunités sans chercher spécifiquement à briller tout seul. « Le staff technique nous a pris pour notre complémentarité, mais on manque encore de repères ensemble, invoque son coéquipier Thomas Heurtel, qui n’estime pas être un mentor pour son cadet de 12 ans. Tout le monde lui donne des conseils comme il est jeune et qu’il s’agit de sa première compétition. On verra si cela porte ses fruits à la fin. »
L’interrogation initiale était de savoir comment il allait revenir après deux saisons aux Etats-Unis, et un été à travailler avec le staff d’Oklahoma City, qui l’avait largement incité – pour ne pas dire obligé – à privilégier son développement individuel. Un choix qui avait déçu en interne chez les Bleus. D’autant que le leader de la génération dorée 2001, champion d’Europe U16 en 2017 et vice-champion du monde U17 en 2018, appelé comme partenaire d’entraînement à l’été 2019 à seulement 18 ans, n’était – rappelons-le – pas passé si loin de décrocher sa place dans le roster final à la Coupe du monde 2019… et qu’il était attendu après sa saison de rookie réussi à OKC. Le train est finalement repassé pour l’enfant de l’ASVEL.
« Un an plus tard, je n’ai pas de regrets. C’était la bonne décision de ne pas faire les Jeux, dit-il au sujet de sa non-venue en équipe de France l’été dernier. D’autres obligations m’ont aussi forcé à faire l’impasse. Pour mon développement personnel et au vu de ce qu’OKC me demandait, je devais passer par là. » La relation de confiance entre la franchise et son poulain n’a pas posé de problème cette fois-ci : « Dès que j’ai évoqué le sujet de nouveau, OKC m’a tout de suite laissé participer cet été. »
À tout juste 21 ans, le Normand reste en avance sur son temps. Sa marge de progression est évidente et, quand bien même sa saison de sophomore aux Etats-Unis ne fut pas une franche réussite (7,1 points, 2,6 rebonds et 2,2 passes en 51 matches NBA pour une 14e place avec le Thunder dans la conférence Ouest), sa présence est essentielle pour l’équipe de France, dont il a déjà porté le maillot à 13 reprises. Dans le futur mais, ne l’oublions pas, le présent aussi, dans un Euro ô combien relevé.
Cela passera aussi par les notions d’intégration et de plaisir. « Aujourd’hui, on peut dire que je suis un basketteur épanoui, oui. J’ai déjà connu pas mal de choses dans ma carrière : l’Euroleague, la NBA, l’équipe de France, avec des phases compliquées et des phases avec plus de réussite. Tout ça m’a permis d’engranger de l’expérience et devenir un meilleur joueur. Je suis simplement heureux et excité de disputer cette première compétition internationale avec les A, de découvrir ce monde, de voir ce que cela représente de faire un Euro. » Il lui reste presque une compétition entière pour prouver définitivement sa valeur sans contrarier les ambitions collectives des Bleus.
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« Je n’ai pas douté ». Peu responsabilisé contre la République tchèque puis laissé en tenue lors du dernier match des Bleus avant l’Euro, contre la Bosnie-Herzégovine à Sarajevo, on ne donnait plus cher de sa peau pour figurer parmi les douze élus. Sans pression particulière, Théo Maledon (1,93 m, 21 ans) s’est finalement frayé un chemin pour intégrer la liste de Vincent Collet. « C’était hors de mon contrôle. Je suis resté concentré sur moi-même et ce que je pouvais apporter. J’ai essayé de montrer mes qualités au coach, mais ce n’était pas moi qui allait décider de ma présence », constatait le meneur normand à l’hôtel des Bleus à Cologne, la veille du début de la compétition.
Sa sélection, au détriment de celle d’Isaïa Cordinier, s’explique à plusieurs titres : le besoin de pouvoir compter sur un meneur supplémentaire derrière Thomas Heurtel, au cas où la cuisse d’Andrew Albicy ne tiendrait pas, aussi celui de ne pas disposer de deux ailiers au même profil d’energizer – Terry Tarpey ayant été préféré à Isaïa Cordinier sur ce registre, ce qui libérait ainsi une place sur la ligne arrière -, ou de prendre rendez-vous avec l’avenir, car Théo Maledon sera sans doute amené à avoir plus de responsabilités à moyen terme.
Un pari sur l’avenir, donc ? Pas seulement. « Il progresse, se fond de mieux en mieux dans le collectif. Sa principale progression par rapport à ses dernières campagnes, c’est le comportement défensif », estime Vincent Collet…
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De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo : Theo Maledon (FIBA)
", "comment_id":"623036", "plaintext":"Pressenti pour quitter le groupe France dans les derniers jours de préparation, Théo Maledon a finalement conservé sa place pour participer à l’EuroBasket 2022. Le meneur normand dispute sa première compétition internationale avec l’équipe de France A, avec un rôle encore « à éclaircir » mais des ambitions affirmées.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n« Je n’ai pas douté ». Peu responsabilisé contre la République tchèque puis laissé en tenue lors du dernier match des Bleus avant l’Euro, contre la Bosnie-Herzégovine à Sarajevo, on ne donnait plus cher de sa peau pour figurer parmi les douze élus. Sans pression particulière, Théo Maledon (1,93 m, 21 ans) s’est finalement frayé un chemin pour intégrer la liste de Vincent Collet. « C’était hors de mon contrôle. Je suis resté concentré sur moi-même et ce que je pouvais apporter. J’ai essayé de montrer mes qualités au coach, mais ce n’était pas moi qui allait décider de ma présence », constatait le meneur normand à l’hôtel des Bleus à Cologne, la veille du début de la compétition.\n\nSa sélection, au détriment de celle d’Isaïa Cordinier, s’explique à plusieurs titres : le besoin de pouvoir compter sur un meneur supplémentaire derrière Thomas Heurtel, au cas où la cuisse d’Andrew Albicy ne tiendrait pas, aussi celui de ne pas disposer de deux ailiers au même profil d’energizer – Terry Tarpey ayant été préféré à Isaïa Cordinier sur ce registre, ce qui libérait ainsi une place sur la ligne arrière -, ou de prendre rendez-vous avec l’avenir, car Théo Maledon sera sans doute amené à avoir plus de responsabilités à moyen terme.\n\nUn pari sur l’avenir, donc ? Pas seulement. « Il progresse, se fond de mieux en mieux dans le collectif. Sa principale progression par rapport à ses dernières campagnes, c’est le comportement défensif. Il a également de vrais savoir-faire, une vraie adresse et de très bons appuis offensifs », se satisfaisait le sélectionneur Vincent Collet durant la préparation… avant de mettre en garde. « Il faut encore qu’il apprenne à utiliser ses qualités à bon escient. »\n\n\n« Je ne pense pas être encore tout à fait clair avec mon rôle mais cela va venir au fil des matches »\n\nBien que sélectionné sur le fil, le meneur tricolore n’a pas fait de la figuration contre l’Allemagne en ouverture de l’EuroBasket. En troisième rotation au poste 1, il a apporté 6 points, 1 rebond, 1 passe décisive pour 1 perte de balle en 11 minutes. En mettant de côté sa maladresse extérieure (0/4 à 3-points, 1/5 aux tirs), son agressivité lui a valu d’aller plusieurs fois sur la ligne (4/5 aux lancers-francs), et d’apporter une forme de leadership offensif par séquence, ce dont la France a globalement et collectivement manqué jeudi soir.\n\nPas facile toutefois d’exister davantage aux côtés de Thomas Heurtel, présumé meneur titulaire, et Andrew Albicy, leader défensif propulsé dans le cinq de départ contre les Allemands afin de réduire l’impact de Dennis Schröder… du moins dans l’esprit de Vincent Collet. « Il y a eu un peu de rodage. Je ne pense pas être encore tout à fait clair avec mon rôle mais cela va venir au fil des matches, avoue l’intéressé. Je veux juste apporter mon énergie et tout ce que je sais faire, avec beaucoup d’intensité. Je dois trouver un juste milieu, tout en amenant mon propre jeu et mes qualités, des deux côtés du terrain. »\n\nCela vient certainement des différences entre la NBA, porté sur la vitesse, et le jeu FIBA, plus ancré dans les notions de collectif. « Il y a beaucoup de différences. Malgré tout, les meilleurs joueurs de cette compétition sont des joueurs NBA. Il faut s’adapter mais je ne trouve pas qu’elles soient si importantes qu’on veuille le croire. » Théo Maledon doit malgré tout faire attention à partager les responsabilités à son poste, et saisir les opportunités sans chercher spécifiquement à briller tout seul. « Le staff technique nous a pris pour notre complémentarité, mais on manque encore de repères ensemble, invoque son coéquipier Thomas Heurtel, qui n’estime pas être un mentor pour son cadet de 12 ans. Tout le monde lui donne des conseils comme il est jeune et qu’il s’agit de sa première compétition. On verra si cela porte ses fruits à la fin. »\n\n\nUn an plus tard, il n’a aucun regret d’avoir manqué les Jeux\n\nL’interrogation initiale était de savoir comment il allait revenir après deux saisons aux Etats-Unis, et un été à travailler avec le staff d’Oklahoma City, qui l’avait largement incité – pour ne pas dire obligé – à privilégier son développement individuel. Un choix qui avait déçu en interne chez les Bleus. D’autant que le leader de la génération dorée 2001, champion d’Europe U16 en 2017 et vice-champion du monde U17 en 2018, appelé comme partenaire d’entraînement à l’été 2019 à seulement 18 ans, n’était – rappelons-le – pas passé si loin de décrocher sa place dans le roster final à la Coupe du monde 2019… et qu’il était attendu après sa saison de rookie réussi à OKC. Le train est finalement repassé pour l’enfant de l’ASVEL.\n\n« Un an plus tard, je n’ai pas de regrets. C’était la bonne décision de ne pas faire les Jeux, dit-il au sujet de sa non-venue en équipe de France l’été dernier. D’autres obligations m’ont aussi forcé à faire l’impasse. Pour mon développement personnel et au vu de ce qu’OKC me demandait, je devais passer par là. » La relation de confiance entre la franchise et son poulain n’a pas posé de problème cette fois-ci : « Dès que j’ai évoqué le sujet de nouveau, OKC m’a tout de suite laissé participer cet été. »\n\n\nQuand Theo Maledon tente d'interviewer Moustapha Fall 🤣 pic.twitter.com/41tu93yyWt\n\n— Clément Carton (@clementcarton) August 31, 2022\n\n\nÀ tout juste 21 ans, le Normand reste en avance sur son temps. Sa marge de progression est évidente et, quand bien même sa saison de sophomore aux Etats-Unis ne fut pas une franche réussite (7,1 points, 2,6 rebonds et 2,2 passes en 51 matches NBA pour une 14e place avec le Thunder dans la conférence Ouest), sa présence est essentielle pour l’équipe de France, dont il a déjà porté le maillot à 13 reprises. Dans le futur mais, ne l’oublions pas, le présent aussi, dans un Euro ô combien relevé.\n\nCela passera aussi par les notions d’intégration et de plaisir. « Aujourd’hui, on peut dire que je suis un basketteur épanoui, oui. J’ai déjà connu pas mal de choses dans ma carrière : l’Euroleague, la NBA, l’équipe de France, avec des phases compliquées et des phases avec plus de réussite. Tout ça m’a permis d’engranger de l’expérience et devenir un meilleur joueur. Je suis simplement heureux et excité de disputer cette première compétition internationale avec les A, de découvrir ce monde, de voir ce que cela représente de faire un Euro. » Il lui reste presque une compétition entière pour prouver définitivement sa valeur sans contrarier les ambitions collectives des Bleus.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n« Je n’ai pas douté ». Peu responsabilisé contre la République tchèque puis laissé en tenue lors du dernier match des Bleus avant l’Euro, contre la Bosnie-Herzégovine à Sarajevo, on ne donnait plus cher de sa peau pour figurer parmi les douze élus. Sans pression particulière, Théo Maledon (1,93 m, 21 ans) s’est finalement frayé un chemin pour intégrer la liste de Vincent Collet. « C’était hors de mon contrôle. Je suis resté concentré sur moi-même et ce que je pouvais apporter. J’ai essayé de montrer mes qualités au coach, mais ce n’était pas moi qui allait décider de ma présence », constatait le meneur normand à l’hôtel des Bleus à Cologne, la veille du début de la compétition.\n\nSa sélection, au détriment de celle d’Isaïa Cordinier, s’explique à plusieurs titres : le besoin de pouvoir compter sur un meneur supplémentaire derrière Thomas Heurtel, au cas où la cuisse d’Andrew Albicy ne tiendrait pas, aussi celui de ne pas disposer de deux ailiers au même profil d’energizer – Terry Tarpey ayant été préféré à Isaïa Cordinier sur ce registre, ce qui libérait ainsi une place sur la ligne arrière -, ou de prendre rendez-vous avec l’avenir, car Théo Maledon sera sans doute amené à avoir plus de responsabilités à moyen terme.\n\nUn pari sur l’avenir, donc ? Pas seulement. « Il progresse, se fond de mieux en mieux dans le collectif. Sa principale progression par rapport à ses dernières campagnes, c’est le comportement défensif », estime Vincent Collet…\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\n\nPhoto : Theo Maledon (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/maledon-france-allemagne-fiba-euro-2022.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-01T07:59:00.000Z", "updated_at":"2022-09-04T06:53:08.000Z", "published_at":"2022-09-01T07:59:00.000Z", "custom_excerpt":"Pressenti pour quitter le groupe France dans les derniers jours de préparation, Théo Maledon a finalement conservé sa place pour participer à l’EuroBasket 2022. 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Le limogeage de l’entraîneur de Bahia de 59 ans offre des lectures différentes selon les parties concernées. La Confédération argentine (CAB) a indiqué dans un communiqué que Garcia a annoncé son départ verbalement, alors que différentes sources rapportent qu’il « n’est pas parti de son propre chef, ils l’ont viré », selon l’agence Télam.
‘Che’ García, qui avait assumé le poste d’entraîneur à la tête de l’équipe albiceleste suite au départ de Sergio Hernández, après les Jeux Olympiques de Tokyo dans le second trimestre de 2021, a mené lundi soir les Argentins à la victoire face aux Bahamas, 95 -77.
« Mais la relation entre les joueurs et l’entraîneur a été quelque peu tendue pendant le match. Aussi à cause d’autres événements qui ont eu lieu pendant les rassemblements et lors des déplacements précédents, » a révélé le porte-parole de la fédération.
Une autre source consultée a déclaré que ‘Che’ García traverse « une situation complexe personnellement », et que c’est pour ça qu’il a été mis à l’écart.
C’est l’ancien international Pablo Prigioni, 45 ans, ancien joueur de NBA, qui prend le relais. Lequel Prigioni ne laissera pas tomber pour autant son rôle au sein du coaching staff des Minnesota Timberwolves.
« Mon sentiment pour l’équipe nationale est très grand, tout comme mon engagement envers ce groupe. Le maillot de l’Argentine est la chose la plus importante. Nous sommes concentrés, staff et joueurs, pour donner le meilleur de chacun de nous dans le tournoi qui nous attend », a déclaré Prigioni
L’Argentine fera ses débuts ce samedi contre les Îles Vierges, et le Prigioni sera épaulé par Gonzalo García lui-même, Leonardo Gutiérrez et Guido Fabbris.
Photo : Nestor Garcia (FIBA)
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| COURBON | Mathis | 28/01/2005 | 195 | Chorale Roanne |
| DE ALMEIDA | Félix | 01/01/2005 | 198 | ASVEL Basket |
| HUMEAU | Anatole | 02/03/2005 | 193 | JL Bourg en Bresse |
| PIERRE-JUSTIN | Théo | 20/01/2005 | 202 | Elan Béarnais Pau Nord Est |
| Nom | Prénom | Date de Naissance | Taille | Club |
| BOBST | Lou | 16/09/2005 | 175 | Tarbes Gespe Bigorre |
| ELMIRA | Maelynn | 27/07/2005 | 171 | CJM Bourges |
| OUNOUNOU | Margot | 01/04/2005 | 185 | Angers – Union Féminine Basket 49 |
| THEVENET | Lilou | 19/03/2005 | 182 | Pays Voironnais BC |
La France est tête de série numéro 6 chez les garçons et tête de série numéro 7 chez les filles.
Parmi les adversaires de l’Équipe de France U17 féminine, à noter la Lituanie de Juste Jocyte (ASVEL).
U17 masculin :
| Nom | Prénom | Date de Naissance | Taille | Club |
| COURBON | Mathis | 28/01/2005 | 195 | Chorale Roanne |
| DE ALMEIDA | Félix | 01/01/2005 | 198 | ASVEL Basket |
| HUMEAU | Anatole | 02/03/2005 | 193 | JL Bourg en Bresse |
| PIERRE-JUSTIN | Théo | 20/01/2005 | 202 | Elan Béarnais Pau Nord Est |
Entraineur : Anthony Ployez
U17 féminin :
| Nom | Prénom | Date de Naissance | Taille | Club |
| BOBST | Lou | 16/09/2005 | 175 | Tarbes Gespe Bigorre |
| ELMIRA | Maelynn | 27/07/2005 | 171 | CJM Bourges |
| OUNOUNOU | Margot | 01/04/2005 | 185 | Angers – Union Féminine Basket 49 |
| THEVENET | Lilou | 19/03/2005 | 182 | Pays Voironnais BC |
Entraineur : Alexandra Arena
Assistante : Sandra Dijon
3 septembre 2022 – 16h50 (M) : Lettonie – France
3 septembre 2022 – 18h20 (F) : Lituanie – France
3 septembre 2022 – 20h15 (F) : France – République Tchèque
3 septembre 2022 – 20h40 (M) : France – Croatie
", "comment_id":"622743", "plaintext":"Les Équipes de France U17 participent à la Coupe d’Europe 3×3 du 2 au 4 septembre à Athènes (Grèce).\n\nLa France est tête de série numéro 6 chez les garçons et tête de série numéro 7 chez les filles.\n\nParmi les adversaires de l’Équipe de France U17 féminine, à noter la Lituanie de Juste Jocyte (ASVEL).\n\nU17 masculin :\n\nNomPrénomDate de NaissanceTailleClubCOURBONMathis28/01/2005195Chorale RoanneDE ALMEIDAFélix01/01/2005198ASVEL BasketHUMEAUAnatole02/03/2005193JL Bourg en BressePIERRE-JUSTINThéo20/01/2005202Elan Béarnais Pau Nord Est\n\nEntraineur : Anthony Ployez\n\nU17 féminin :\n\nNomPrénomDate de NaissanceTailleClubBOBSTLou16/09/2005175Tarbes Gespe BigorreELMIRAMaelynn27/07/2005171CJM BourgesOUNOUNOUMargot01/04/2005185Angers – Union Féminine Basket 49THEVENETLilou19/03/2005182Pays Voironnais BC\n\nEntraineur : Alexandra Arena\n\nAssistante : Sandra Dijon\n\n3 septembre 2022 – 16h50 (M) : Lettonie – France\n\n3 septembre 2022 – 18h20 (F) : Lituanie – France\n\n3 septembre 2022 – 20h15 (F) : France – République Tchèque\n\n3 septembre 2022 – 20h40 (M) : France – Croatie", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/u17-france-3x3-1-e1662013944661.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-01T06:33:56.000Z", "updated_at":"2022-09-01T06:34:03.000Z", "published_at":"2022-09-01T06:33:56.000Z", "custom_excerpt":"Les Équipes de France U17 participent à la Coupe d’Europe 3×3 du 2 au 4 septembre à Athènes (Grèce).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb3e", "uuid":"5c417c03-06ef-4049-9f18-cfb3e3d7f43e", "title":"EuroBasket : Champion NBA 2022, le Serbe Nemanja Bjelica est forfait", "slug":"eurobasket-champion-nba-2022-le-serbe-nemanja-bjelica-est-forfait", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L’ailier fort Nemanja Bjelica (2,06 m, 34 ans), qui a été sacré champion NBA avec les Golden State Warriors en juin, et qui s’est engagé pour la saison prochaine avec Fenerbahçe, ne participera pas à l’EuroBasket 2022. Il n’a pas pu se remettre complètement d’une blessure au mollet.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Serbie espérait un rétablissement complet pour le championnat d’Europe, mais cela na pas été le cas.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[0],1,\"Nemanja Bjelica n’a pas complètement repris le processus d’entraînement après s’être blessé au mollet de la jambe droite et est actuellement incapable d’atteindre le niveau de forme physique requis pour une compétition aussi exigeante en si peu de temps d’ici le Championnat d’Europe \"],[0,[],0,\" » a déclaré le médecin de l’équipe nationale, le Dr Dragan Radovanović.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ognjen Dobrić, Filip Petrushev et Boriša Simanić ont également été retirés de la liste par le coach Svetislav Pesic.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En revanche, Nemanja Nedovic est d’attaque pour l’EuroBasket, alors que la participation de Nikola Milutinov, qui souffre d’un virus ne semble pas remise en question.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Nemanja Bjelica (FIBA)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"La Serbie espérait un rétablissement complet pour le championnat d’Europe, mais cela na pas été le cas.
« Nemanja Bjelica n’a pas complètement repris le processus d’entraînement après s’être blessé au mollet de la jambe droite et est actuellement incapable d’atteindre le niveau de forme physique requis pour une compétition aussi exigeante en si peu de temps d’ici le Championnat d’Europe » a déclaré le médecin de l’équipe nationale, le Dr Dragan Radovanović.
Ognjen Dobrić, Filip Petrushev et Boriša Simanić ont également été retirés de la liste par le coach Svetislav Pesic.
En revanche, Nemanja Nedovic est d’attaque pour l’EuroBasket, alors que la participation de Nikola Milutinov, qui souffre d’un virus ne semble pas remise en question.
Photo : Nemanja Bjelica (FIBA)
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Tabou\"]],[[0,[],0,\"Kévin Tumba\"]],[[0,[],0,\"Hans Vanwijn\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Bulgarie :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Ivan Alipiev\"]],[[0,[],0,\"Dee Bost\"]],[[0,[],0,\"Dimitar Dimitrov\"]],[[0,[],0,\"Andreï Ivanov\"]],[[0,[],0,\"Pavlin Ivanov\"]],[[0,[],0,\"Deyan Karmfilov\"]],[[0,[],0,\"Chavdar Kostov\"]],[[0,[],0,\"Stanimir Marinov\"]],[[0,[],0,\"Alex Siméonov\"]],[[0,[],0,\"Émile Stoilov\"]],[[0,[],0,\"Alexandre Vezenkov\"]],[[0,[],0,\"Alexandre Yanev\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Espagne :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Laurent Brun\"]],[[0,[],0,\"Jaime Fernández\"]],[[0,[],0,\"Alberto Diaz\"]],[[0,[],0,\"Dario Brizuela\"]],[[0,[],0,\"Xabi Lopez-Arostegui\"]],[[0,[],0,\"Rudy Fernández\"]],[[0,[],0,\"Joël Parra\"]],[[0,[],0,\"Juancho Hernangomez\"]],[[0,[],0,\"Jaime Pradilla\"]],[[0,[],0,\"Usman Garuba\"]],[[0,[],0,\"Sébas Saiz\"]],[[0,[],0,\"Willy Hernangomez\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Géorgie :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Rati Andronikashvili\"]],[[0,[],0,\"Beka Bekauri\"]],[[0,[],0,\"Mikheil Berishvili\"]],[[0,[],0,\"Goga Bitadzé\"]],[[0,[],0,\"Merab Bokolichvili\"]],[[0,[],0,\"Beka Burjanadze\"]],[[0,[],0,\"Kakhaber Jintcharadze\"]],[[0,[],0,\"Sandro Mamukelashvili\"]],[[0,[],0,\"Thad Mc Fadden\"]],[[0,[],0,\"Douda Sanadze\"]],[[0,[],0,\"Giorgi Shermadini\"]],[[0,[],0,\"Giorgi Tsintsadze\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Monténégro :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Kendrick Perry\"]],[[0,[],0,\"Bojan Dubljević\"]],[[0,[],0,\"Zoran Nikolic\"]],[[0,[],0,\"Nemanja Radovic\"]],[[0,[],0,\"Petar Popović\"]],[[0,[],0,\"Igor Drobniak\"]],[[0,[],0,\"Marko Simonovic\"]],[[0,[],0,\"Zoran Vukšelic\"]],[[0,[],0,\"Alexa Ilitch\"]],[[0,[],0,\"Nikola Pavlisevitch\"]],[[0,[],0,\"Dino Radoncić\"]],[[0,[],0,\"Vladimir Mikhaïlovitch\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Turquie :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Onuralp Bitim\"]],[[0,[],0,\"Sehmus Hazer\"]],[[0,[],0,\"Shane Larkins\"]],[[0,[],0,\"Melih Mahmutoğlu\"]],[[0,[],0,\"Sadik Emir Kabaça\"]],[[0,[],0,\"Furkan Korkmaz\"]],[[0,[],0,\"Cédi Osman\"]],[[0,[],0,\"Ercan Osmani\"]],[[0,[],0,\"Alperen Sengun\"]],[[0,[],0,\"Sertac Sanli\"]],[[0,[],0,\"Bougrahan Tuncer\"]],[[0,[],0,\"Yigitcan Saybir\"]]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\" \"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Groupe B\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Allemagne :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Niels Giffey\"]],[[0,[],0,\"Justus Hollatz\"]],[[0,[],0,\"Maodo Lo\"]],[[0,[],0,\"Andréas Obst\"]],[[0,[],0,\"Denis Schroder\"]],[[0,[],0,\"Christian Sengfelder\"]],[[0,[],0,\"Daniel Théis\"]],[[0,[],0,\"Johannes Thiemann\"]],[[0,[],0,\"Johannes Voigtmann\"]],[[0,[],0,\"Franz Wagner\"]],[[0,[],0,\"Nick Weiler-Babb\"]],[[0,[],0,\"Jonas Wohlfarth-Bottermann\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Bosnie-Herzégovine :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Edin Atic\"]],[[0,[],0,\"Sani Campara\"]],[[0,[],0,\"Amar Gégic\"]],[[0,[],0,\"Miralem Halilović\"]],[[0,[],0,\"Kenan Kamenjas\"]],[[0,[],0,\"Alexandre Lazic\"]],[[0,[],0,\"Dzanan Moussa\"]],[[0,[],0,\"Jusuf Nurkic\"]],[[0,[],0,\"Ajdin Penava\"]],[[0,[],0,\"John Robson\"]],[[0,[],0,\"Emir Sulejmanovic\"]],[[0,[],0,\"Adin Vrabac\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"France :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Andrew Albicy\"]],[[0,[],0,\"Moustapha Fall\"]],[[0,[],0,\"Evan Fournier\"]],[[0,[],0,\"Rudy Gobert\"]],[[0,[],0,\"Thomas Heurtel\"]],[[0,[],0,\"Timothé Luwawu-Cabarrot\"]],[[0,[],0,\"Théo Maledon\"]],[[0,[],0,\"Amath M’Baye\"]],[[0,[],0,\"Élie Okobo\"]],[[0,[],0,\"Vincent Poirier\"]],[[0,[],0,\"Terry Tarpey\"]],[[0,[],0,\"Guerschon Yabusele\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Hongrie :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Allen Rosco\"]],[[0,[],0,\"Benké Szilard\"]],[[0,[],0,\"Janos Eilingsfeld\"]],[[0,[],0,\"Csaba Ferencz\"]],[[0,[],0,\"Gyorgy Goloman\"]],[[0,[],0,\"Adam Hanga\"]],[[0,[],0,\"Mikaël Hopkins\"]],[[0,[],0,\"Akos Keller\"]],[[0,[],0,\"Zoltan Perle\"]],[[0,[],0,\"Adam Somogyi\"]],[[0,[],0,\"Benedek Varadi\"]],[[0,[],0,\"David Voïvode\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Lituanie :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Ignas Brazdeikis\"]],[[0,[],0,\"Arnas 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Mavra\"]],[[0,[],0,\"Toni Perkovic\"]],[[0,[],0,\"Roko Prkacin\"]],[[0,[],0,\"Ivan Ramljak\"]],[[0,[],0,\"Dario Saric\"]],[[0,[],0,\"Krunoslav Simon\"]],[[0,[],0,\"Jaleen Smith\"]],[[0,[],0,\"Ivica Zubac\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Estonie :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Sten Stock\"]],[[0,[],0,\"Kerr Kriisa\"]],[[0,[],0,\"Kristian Kullamae\"]],[[0,[],0,\"Martin Dorbek\"]],[[0,[],0,\"Janari Jeesar\"]],[[0,[],0,\"Henri Drell\"]],[[0,[],0,\"Sandre Raieste\"]],[[0,[],0,\"Vene de Siim-Sander\"]],[[0,[],0,\"Christian Kitsing\"]],[[0,[],0,\"Rauno Nürger\"]],[[0,[],0,\"Matthias Tass\"]],[[0,[],0,\"Maïk-Kalev Kotsar\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Grande-Bretagne :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Amine Adamou\"]],[[0,[],0,\"Jamell Anderson\"]],[[0,[],0,\"Kavell Bigby-Williams\"]],[[0,[],0,\"Dan Clark\"]],[[0,[],0,\"Ashley Hamilton\"]],[[0,[],0,\"Myles Hesson\"]],[[0,[],0,\"Kyle Johnson\"]],[[0,[],0,\"Sacha Killeya-Jones\"]],[[0,[],0,\"Dwayne Lautier-Ogunleye\"]],[[0,[],0,\"Callum Lawson\"]],[[0,[],0,\"Ben 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Antetokounmpo\"]]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les 12 joueurs grecs n’ont pas encore été annoncés.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Italie :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Tommaso Baldasso\"]],[[0,[],0,\"Paul Biligha\"]],[[0,[],0,\"Luigi Datome\"]],[[0,[],0,\"Simone Fontecchio\"]],[[0,[],0,\"Nico Mannion\"]],[[0,[],0,\"Nicolas Melli\"]],[[0,[],0,\"Alessandro Pajola\"]],[[0,[],0,\"Achille Polonara\"]],[[0,[],0,\"Giampaolo Ricci\"]],[[0,[],0,\"Marco Spissu\"]],[[0,[],0,\"Amédée Tessitori\"]],[[0,[],0,\"Stefano Tonut\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Ukraine :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Bohdan Blizniuk\"]],[[0,[],0,\"Viatcheslav Bobrov\"]],[[0,[],0,\"Volodimir Géroun\"]],[[0,[],0,\"Artem Kovalov\"]],[[0,[],0,\"Oleksi Len\"]],[[0,[],0,\"Denis Loukachov\"]],[[0,[],0,\"Sviatoslav Mikhaïliouk\"]],[[0,[],0,\"Artem Pustoviy\"]],[[0,[],0,\"Issuf Sanon\"]],[[0,[],0,\"Ilya Sidorov\"]],[[0,[],0,\"Dmitro Skapintsev\"]],[[0,[],0,\"Ivan Tkachenko\"]],[[0,[],0,\"Vitaly Zotov\"]],[]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\" \"]]],[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Groupe D\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Finlande :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Shawn Huff\"]],[[0,[],0,\"Mikaël Jantunen\"]],[[0,[],0,\"Henri Cantonen\"]],[[0,[],0,\"Petteri Koponen\"]],[[0,[],0,\"Miro Little\"]],[[0,[],0,\"Alexandre Madsen\"]],[[0,[],0,\"Lauri Markkanen\"]],[[0,[],0,\"Edon Maxhuni\"]],[[0,[],0,\"Topias Palmi\"]],[[0,[],0,\"Sasu Salin\"]],[[0,[],0,\"Ilari Seppala\"]],[[0,[],0,\"Elias Valtonen\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Israël :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Deni Avdija\"]],[[0,[],0,\"Tamir Blatte\"]],[[0,[],0,\"Jake Cohen\"]],[[0,[],0,\"Tomer Ginat\"]],[[0,[],0,\"Nimrod Lévi\"]],[[0,[],0,\"Yam-Madar\"]],[[0,[],0,\"Gal Mekel\"]],[[0,[],0,\"Raphaël Menco\"]],[[0,[],0,\"Guy Pini\"]],[[0,[],0,\"Romain Sorkin\"]],[[0,[],0,\"Idan Zalmanson\"]],[[0,[],0,\"Yovel Zoosman\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Pologne :\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Alexandre Balcerowski\"]],[[0,[],0,\"Aaron Cel\"]],[[0,[],0,\"Jakub Coulibaly\"]],[[0,[],0,\"Alexandre 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Bulgarie :
Espagne :
Géorgie :
Monténégro :
Turquie :
Allemagne :
Bosnie-Herzégovine :
France :
Hongrie :
Lituanie :
Slovénie :
Croatie :
Estonie :
Grande-Bretagne :
Les 12 joueurs britanniques n’ont pas encore été annoncés.
Grèce :
Les 12 joueurs grecs n’ont pas encore été annoncés.
Italie :
Ukraine :
Finlande :
Israël :
Pologne :
Pays-Bas :
République tchèque :
Serbie :
Photo : Domantas Sabonis, Lituanie (FIBA)
", "comment_id":"622732", "plaintext":"Voici la composition des 24 équipes qui vont participer à l’EuroBasket.\n\n\nGroupe A\n\nBelgique :\n\n * Ismaël Bako\n * Vrenz Bleijenbergh\n * Haris Bratanović\n * Maxime De Zeeuw\n * Pierre-Antoine Gillet\n * Manu Lecomte\n * Alexandre Libert\n * Jean-Marc Mwema\n * Rétin Obasohan\n * Jonathan Tabou\n * Kévin Tumba\n * Hans Vanwijn\n\nBulgarie :\n\n * Ivan Alipiev\n * Dee Bost\n * Dimitar Dimitrov\n * Andreï Ivanov\n * Pavlin Ivanov\n * Deyan Karmfilov\n * Chavdar Kostov\n * Stanimir Marinov\n * Alex Siméonov\n * Émile Stoilov\n * Alexandre Vezenkov\n * Alexandre Yanev\n\nEspagne :\n\n * Laurent Brun\n * Jaime Fernández\n * Alberto Diaz\n * Dario Brizuela\n * Xabi Lopez-Arostegui\n * Rudy Fernández\n * Joël Parra\n * Juancho Hernangomez\n * Jaime Pradilla\n * Usman Garuba\n * Sébas Saiz\n * Willy Hernangomez\n\nGéorgie :\n\n * Rati Andronikashvili\n * Beka Bekauri\n * Mikheil Berishvili\n * Goga Bitadzé\n * Merab Bokolichvili\n * Beka Burjanadze\n * Kakhaber Jintcharadze\n * Sandro Mamukelashvili\n * Thad Mc Fadden\n * Douda Sanadze\n * Giorgi Shermadini\n * Giorgi Tsintsadze\n\nMonténégro :\n\n * Kendrick Perry\n * Bojan Dubljević\n * Zoran Nikolic\n * Nemanja Radovic\n * Petar Popović\n * Igor Drobniak\n * Marko Simonovic\n * Zoran Vukšelic\n * Alexa Ilitch\n * Nikola Pavlisevitch\n * Dino Radoncić\n * Vladimir Mikhaïlovitch\n\nTurquie :\n\n * Onuralp Bitim\n * Sehmus Hazer\n * Shane Larkins\n * Melih Mahmutoğlu\n * Sadik Emir Kabaça\n * Furkan Korkmaz\n * Cédi Osman\n * Ercan Osmani\n * Alperen Sengun\n * Sertac Sanli\n * Bougrahan Tuncer\n * Yigitcan Saybir\n\n\n\n\nGroupe B\n\nAllemagne :\n\n * Niels Giffey\n * Justus Hollatz\n * Maodo Lo\n * Andréas Obst\n * Denis Schroder\n * Christian Sengfelder\n * Daniel Théis\n * Johannes Thiemann\n * Johannes Voigtmann\n * Franz Wagner\n * Nick Weiler-Babb\n * Jonas Wohlfarth-Bottermann\n\nBosnie-Herzégovine :\n\n * Edin Atic\n * Sani Campara\n * Amar Gégic\n * Miralem Halilović\n * Kenan Kamenjas\n * Alexandre Lazic\n * Dzanan Moussa\n * Jusuf Nurkic\n * Ajdin Penava\n * John Robson\n * Emir Sulejmanovic\n * Adin Vrabac\n\nFrance :\n\n * Andrew Albicy\n * Moustapha Fall\n * Evan Fournier\n * Rudy Gobert\n * Thomas Heurtel\n * Timothé Luwawu-Cabarrot\n * Théo Maledon\n * Amath M’Baye\n * Élie Okobo\n * Vincent Poirier\n * Terry Tarpey\n * Guerschon Yabusele\n\nHongrie :\n\n * Allen Rosco\n * Benké Szilard\n * Janos Eilingsfeld\n * Csaba Ferencz\n * Gyorgy Goloman\n * Adam Hanga\n * Mikaël Hopkins\n * Akos Keller\n * Zoltan Perle\n * Adam Somogyi\n * Benedek Varadi\n * David Voïvode\n\nLituanie :\n\n * Ignas Brazdeikis\n * Arnas Butkevicius\n * Martynas Echodas\n * Rokas Giedraitis\n * Marius Grigonis\n * Rokas Jokubaitis\n * Mindaugas Kuzminskas\n * Lukas Lekavicius\n * Domantas Sabonis\n * Jonas Valanciunas\n * Kristupas Zemaitis\n * Eigirdas Zukauskas\n\nSlovénie :\n\n * Jaka Blazic\n * Vlatko Cancar\n * Ziga Dimec\n * Luka Doncic\n * Goran Dragic\n * Zoran Dragic\n * Edo Muric\n * Alexej Nikolic\n * Klemen Prépélic\n * Luka Rupnik\n * Ziga Samar\n * Mike Tobey\n\n\n\n\nGroupe C\n\nCroatie :\n\n * Bojan Bogdanovic\n * Lovro Gnjidic\n * Mario Hezonja\n * Karlo Matković\n * Dominique Mavra\n * Toni Perkovic\n * Roko Prkacin\n * Ivan Ramljak\n * Dario Saric\n * Krunoslav Simon\n * Jaleen Smith\n * Ivica Zubac\n\nEstonie :\n\n * Sten Stock\n * Kerr Kriisa\n * Kristian Kullamae\n * Martin Dorbek\n * Janari Jeesar\n * Henri Drell\n * Sandre Raieste\n * Vene de Siim-Sander\n * Christian Kitsing\n * Rauno Nürger\n * Matthias Tass\n * Maïk-Kalev Kotsar\n\nGrande-Bretagne :\n\n * Amine Adamou\n * Jamell Anderson\n * Kavell Bigby-Williams\n * Dan Clark\n * Ashley Hamilton\n * Myles Hesson\n * Kyle Johnson\n * Sacha Killeya-Jones\n * Dwayne Lautier-Ogunleye\n * Callum Lawson\n * Ben Mockford\n * Luc Nelson\n * Teddy Okereafor\n * Gabe Olaseni\n * Tarik Philip\n * Kareem Queley\n * Rond Jacob\n * Ovie Soko\n * Mo Soluade\n * Devon van Oostrum\n * Carl Wheatle\n * Patrick Whelan\n * Jordan Williams\n * Akwasi Yeboah\n\nLes 12 joueurs britanniques n’ont pas encore été annoncés.\n\nGrèce :\n\n * Nick Calathes\n * Kostas Sloukas\n * Tyler Dorey\n * Giannoulis Larentzakis\n * Michalis Lountzis\n * Lefteris Bohoridis\n * Giannis Antetokounmpo\n * Kostas Papanikolaou\n * Ioannis Papapetrou\n * Thanasis Antetokounmpo\n * Dimitris Agravanis\n * Léonidas Kaselakis\n * Giorgios Papagiannis\n * Kostas Antetokounmpo\n\nLes 12 joueurs grecs n’ont pas encore été annoncés.\n\nItalie :\n\n * Tommaso Baldasso\n * Paul Biligha\n * Luigi Datome\n * Simone Fontecchio\n * Nico Mannion\n * Nicolas Melli\n * Alessandro Pajola\n * Achille Polonara\n * Giampaolo Ricci\n * Marco Spissu\n * Amédée Tessitori\n * Stefano Tonut\n\nUkraine :\n\n * Bohdan Blizniuk\n * Viatcheslav Bobrov\n * Volodimir Géroun\n * Artem Kovalov\n * Oleksi Len\n * Denis Loukachov\n * Sviatoslav Mikhaïliouk\n * Artem Pustoviy\n * Issuf Sanon\n * Ilya Sidorov\n * Dmitro Skapintsev\n * Ivan Tkachenko\n * Vitaly Zotov\n * \n\n\n\n\nGroupe D\n\nFinlande :\n\n * Shawn Huff\n * Mikaël Jantunen\n * Henri Cantonen\n * Petteri Koponen\n * Miro Little\n * Alexandre Madsen\n * Lauri Markkanen\n * Edon Maxhuni\n * Topias Palmi\n * Sasu Salin\n * Ilari Seppala\n * Elias Valtonen\n\nIsraël :\n\n * Deni Avdija\n * Tamir Blatte\n * Jake Cohen\n * Tomer Ginat\n * Nimrod Lévi\n * Yam-Madar\n * Gal Mekel\n * Raphaël Menco\n * Guy Pini\n * Romain Sorkin\n * Idan Zalmanson\n * Yovel Zoosman\n\nPologne :\n\n * Alexandre Balcerowski\n * Aaron Cel\n * Jakub Coulibaly\n * Alexandre Dziewa\n * Jakub Garbacz\n * Lukasz Kolenda\n * Michel Kolenda\n * Michal Michalak\n * Dominik Olejniczak\n * Mateusz Ponitka\n * Jakub Schenk\n * AJ Slaughter\n * Jérémy Sochan\n * Michal Sokolowski\n * Jaroslaw Zyskowski\n\nPays-Bas :\n\n * Yannick Franke\n * Matt Haarms\n * Shane Hammink\n * Digne de Jong\n * Mohamed Kherrazi\n * Charlon Kloof\n * Jesse Edwards\n * Olaf Schaftenaar\n * Roeland Schaftenaar\n * Jito Kok\n * Léon Williams\n * Keye van der Vuurst de Vries\n\nRépublique tchèque :\n\n * Patrick Auda\n * Ondrej Balvin\n * Jaromir Bohacik\n * Vojtech Hruban\n * David Jelinek\n * Vit Krejci\n * Martin Kriz\n * Tomas Kyzlink\n * Lucas Palyza\n * Martin Peterca\n * Viktor Pulpan\n * Tomas Satoranski\n * Ondrej Sehnal\n * Jan Vesely\n * Tomás Vyoral\n\nSerbie :\n\n * Dejan Davidovac\n * Marko Guduric\n * Marko Jagodic-Kuridza\n * Ognjen Jaramaz\n * Nikola Jokic\n * Nikola Kalinic\n * Vladimir Lucic\n * Vanja Marinkovic\n * Vasilije Micic\n * Nikola Milutinov\n * Nemanja Nedovic\n * Dusan Ristic\n\n\n\nPhoto : Domantas Sabonis, Lituanie (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/09/sabonis.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-09-01T06:00:14.000Z", "updated_at":"2022-09-01T07:59:32.000Z", 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Mercredi 31 août, fin de matinée. Le coach des Bleus Vincent Collet donne une conférence de presse face à une quinzaine de journalistes français accrédités pour la phase préliminaire de l’EuroBasket, et tous munis de masques FFP2. Une autre dizaine viendra en renfort à Berlin.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’équipe de France est l’une des rares délégations à organiser des points presse à la veille du Jour J, avec l’ensemble des joueurs. D’autres seront au programme avec le coach et deux ou trois joueurs lors des days off.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Demain, jeudi 1er septembre, à 20h30, c’est le match d’ouverture des Bleus. Face à l’Allemagne, qui est à domicile. Une entrée en matière musclée. Voici le verbatim de Vincent Collet :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Je ne vais pas vous dire le leitomiv de cette année ! C’est réservé aux joueurs (sourire), c’est pour ce soir, mais ce qui est important surtout, c’est d’avoir une vision globale, bien comprendre que c’est une nouvelle aventure qui commence, et qu’à chaque fois, on l’écrive ensemble. C’est ça le vrai fil rouge. Il y avait un thème en 2019 parce qu’on était un groupe totalement nouveau, qui sortait d’un échec retentissant à l’Euro. C’est pour cela qu’il fallait faire une sorte de braquage car on n’était pas du tout attendu et on devait surprendre, étonner le monde. L’année dernière, on était en mission parce qu’on avait derrière nous la Coupe du monde 2019, mais on avait un objectif très élevé. Cette notion de mission correspondait complètement à ce que l’on voulait entreprendre. Cette année, on est plutôt entre les deux puisque malheureusement, on n’a pas conservé totalement le groupe qui a fait la médaille d’argent l’an passé aux Jeux. On est à la fois dans une reconstruction mais aussi la volonté de confirmer ce qui a été fait sur les deux dernières compétitions. Il faut à la fois utiliser le trésor que l’on avait l’an passé en termes d’état d’esprit et détermination, mais malgré tout inventer aussi le chemin qui nous mènera vers les meilleures places de cet Euro. C’est un peu une situation particulière à mes yeux. »\"]]],[10,0],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« On oublie qu’ils ont trois joueurs qui jouent vraiment en NBA »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Le résultat des Allemands obtenus dimanche contre la Slovénie (90-71) est quand même très surprenant et mérite que l’on s’y attarde un peu. Les Allemands sont à domicile. Comme souvent, ils ont été souvent en-dessous de là où on les attendait, ces dernières années – cela fait longtemps qu’ils n’ont pas été dans les derniers carrés -, on oublie qu’ils ont trois joueurs qui jouent vraiment en NBA – ils pourraient en avoir quatre avec (Maximilian) Kleber -, entre (Franz) Wagner qui marque 15 points à Orlando, (Daniel) Theis qui est un vrai joueur, et (Dennis) Schröder également. Ils ne sont pas moins armés que nous. Je pense que cette équipe peut surprendre, au même titre que d’autres. On va le répéter souvent, mais cet Euro, quelque part, en terme de compétitivité, il s’annonce exceptionnel. On va tout de suite être confronté à ça. Je ne sais pas jusqu’à quel point. Est-ce que ça va être l’Alpe D’Huez ? A priori non, mais c’est quand même de la haute montagne. »\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"« On aura besoin d’Andrew Albicy pour limiter Dennis Schröder »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Comme souvent avec les joueurs d’exception, on ne peut pas parler d’arrêter Dennis Schröder, mais ce que l’on voudrait que l’on parvienne à faire, c’est limiter son influence, la diminuer par rapport à ce qu’il peut faire pour ses coéquipiers. Par exemple, dimanche il a fait 10 passes décisives contre la Slovénie. On sait que sa capacité d’accélération est quand même difficile à contrôler, et Andrew (Albicy) est certainement le joueur le plus à même de pouvoir le gêner sur ce registre-là. C’est forcément important. On sait que de toutes façons dans ce type de compétition, il y a des joueurs exceptionnels et qu’il faut toujours essayer de gêner leur capacité à dominer une rencontre. C’est très rare de les arrêter totalement, mais quand déjà on limite leur impact, c’est un premier pas. Lui est clairement la plaque tournante de cette équipe allemande. Non seulement il score mais, c’est le premier ou le deuxième marqueur avec Wagner, mais il est aussi très influent dans le jeu. L’Allemagne est une équipe de shooteurs. Ils ont la capacité de presque tous shooter. Ils n’ont pas de meneurs qui ne soient pas des menaces sur le tir à trois-points, comme les intérieurs et pas seulement (Johannes) Voigtmann. Par conséquent, il y a beaucoup d’actions de drive and kick, c’est-à-dire de pénétration-passe. Lui est forcément le joueur qui en fait le plus. Il sert souvent le caviar pour ses coéquipiers. Il faut que l’on essaye de diminuer ça. Quand tu joues contre une équipe comme ça, il est important que les aides soient contrôlées. Toutes les aides incontrôlées sont souvent sanctionnées par des tirs à trois-points. C’est beaucoup recherché dans leur jeu. A contrario, il faut que l’on essaye de limiter ce type d’action. Schröder commence souvent ses matches dans le contrôle. C’est après qu’il accélère. Ce qui est sûr c’est que l’on aura besoin d’Andrew pour essayer de limiter son influence. »\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« Je serais très surpris qu’on ait la même habitude demain soir »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Il faut être en action plutôt qu’en réaction. C’est très clair que ce qui s’est passé dans ces débuts de match (\"],[0,[1],1,\"NDLR : contre la République tchèque et la Bosnie-Herzégovine\"],[0,[],0,\"), c’est plus une question d’attitude, de comportement. On en a parlé avec les joueurs. On a un peu exploré les différentes pistes qui peuvent nous permettre d’être prêts plus vite, plus agressifs. Cela vient de leur propre bouche. Peut-être qu’ils ont commencé un peu trop tranquilles les matches. Je pense que ça, ça va être corrigé. Ce n’est pas forcément quelque chose sur laquelle on est fixé en priorité. On est plutôt fixé sur la globalité : comment arriver à bien défendre sur cette équipe-là. Le contexte ne va pas être le même. On rentre dans la vraie compétition et on peut s’attendre à ce que les deux équipes soient probablement un peu crispées, mais aussi très déterminées dès le début du match. Il n’y a pas de raisons. Franchement, je serais très surpris qu’on ait la même habitude demain soir. »\"]]],[10,3],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"« Il faut être prêt pour un combat devant 19 000 personnes, qui vont être majoritairement plutôt allemandes que françaises »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Le match de l’Allemagne contre la Suède m’a impressionné en terme défensif. Ils étaient très présents. On sent que défensivement, ils ont une vraie cohésion. Ils sont solides. C’est vrai que ça s’est vu plus chez eux que chez nous contre la Bosnie, mais tu ne peux jamais mesurer le niveau d’investissement même si c’était un match officiel samedi dernier pour nous, clairement on n’a pas eu la bonne approche. On était en-deçà de ce que l’on aurait dû être, mais la vraie compétition commence demain soir. Les qualifs, ce n’est pas la même chose. Tu auras noté que l’on n’est quand même pas éliminé, que l’on a encore de bonnes chances de se qualifier. Même si tu as un discours qui dit « il faut gagner parce que c’est très important », il y a un phénomène inconscient qui fait que c’est un match qui arrive trois ou quatre jours avant la compet… Je me souviens, quelques années en arrière, que lorsque tu faisais un match amical quatre ou cinq jours avant un championnat d’Europe, Tony (Parker) ne jouait pas. Tu pouvais lui dire ce que tu voulais, lui répondais, « je ne vais pas me blesser quatre jours avant ! » Les affaires étaient réglées. Ce sont des phénomènes qui font partie du jeu… Tout ça, c’est la faute du Covid. Normalement, il n’y avait pas de fenêtre avant le championnat d’Europe. C’est quand même très particulier cette situation. Mais par contre, je pense que cette équipe d’Allemagne est montée en puissance contre une équipe slovène qui n’avait pas la même attitude que l’équipe allemande dimanche. J’ai vu le match en entier, tu vois bien que les Slovènes sont surpris par la façon dont les Allemands leur rentrent dedans, la façon dont ils défendent Doncic. Il se retrouve au sol quatre fois, cinq fois, six fois par terre. Ils ne s’y attendaient pas. Parce qu’il y a une équipe qui est pied au plancher. C’est ça surtout qui est intéressant. Il faut que l’on soit conscient de comment ils vont nous accueillir. La façon dont ils sont entrés dans les Slovènes, ça ne peut pas être moins demain soir. Donc là, c’est sûr qu’il faut que l’on soit à l’heure. Ils ont des caractéristiques basket sur les écrans, par exemple. Ils mettent des écrans… Sur les matches de préparation, même les deux de qualification, on n’a jamais vu ça ! Si sur les trois premiers passages d’écran on pleure et que l’on se tourne vers les arbitres, ça voudra dire que l’on n’a pas intégré cette notion-là. Il faut être prêt pour un combat devant 19 000 personnes, qui vont être majoritairement plutôt allemandes que françaises. Il faut que l’on soit prêt à tout ça, ça fait partie des données du match. Au-delà du rapport de forces spécifique, il y a tous ces aspects-là qui vont être très importants. »\"]]],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« La Grèce et la Serbie sont deux épouvantails, probablement les deux favoris de la compet quand on voit la préparation »\"]]],[10,4],[1,\"p\",[[0,[],0,\"(\"],[0,[1],0,\"NDLR : Pour éviter Grèce et Serbie en quart-de-finale, il faut terminer 1\"],[0,[2],1,\"er\"],[0,[],0,\"… ou 4\"],[0,[2],1,\"e\"],[0,[],1,\" du groupe\"],[0,[],0,\"). « Etre dans un groupe fort, avant, ce n’est jamais une bonne nouvelle. Tu ne peux pas préférer davoir le groupe le plus fort de la compétition. C’est d’ailleurs assez surprenant parce que nous sommes 4e au ranking FIBA, la Slovénie est 5-6e, la Lituanie est juste derrière. Il y a trois des huit meilleures équipes qui sont dans un même groupe au championnat d’Europe. Je ne sais pas comment ils s’organisent, mais les fameuses boules, c’est bizarre ! C’est comme ça, on va faire avec. On n’a pas le choix tout comme les équipes qui sont avec nous.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est sûr qu’au fil de la compétition, ça peut avoir une incidence car les équipes dont on parle se projettent toutes au-delà du 8e de finale. Donc automatiquement, tu l’as dans le viseur, et comme dans les autres groupes, on voit difficilement la Grèce et la Serbie ne pas finir premières, ça peut effectivement avoir une influence. Mais, à mon sens, personne ne pourra vraiment calculer. Nous, en plus, on joue l’Allemagne et la Lituanie, notre objectif pour l’instant est de finir premier.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Tu ne peux pas le dire maintenant, mais dans le cas de figure où on s’en sort bien, c’est un avantage d’être dans un groupe fort. Quand tu as un premier tour qui est plutôt confortable, les matches-couperet sont toujours durs… La Grèce et la Serbie sont deux épouvantails, probablement les deux favoris de la compet quand on voit la préparation… Le 8e de finale sera de toutes façons contre une forte équipe. On a vu que l’année dernière aux JO qu’après un premier tour où on avait vraiment bien joué, malgré tout le quart-de-finale avait été rude contre une équipe d’Italie qui était outsider. C’est aussi pour cette raison-là. Tu sors de la poule, tu es quelque part un peu rassuré, et tu affrontes en 8e, par exemple le 4e d’un autre groupe qui s’en est peut-être sorti à l’arrache et n’a plus rien à perdre, et donc ça fait une opposition entre une équipe qui a tout à gagner et une autre qui doit absolument gagner, souvent ça peut servir une équipe qui n’a plus rien à perdre. »\"]]],[10,5],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« Moi, j’ai confiance dans notre potentiel, mais pour l’instant, je trouve qu’il n’est pas optimisé »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Il y a chez nos joueurs une prise de conscience. C’est une autre compétition, on sent une montée en puissance, en terme d’intensité, d’agressivité. Les entraînements de lundi et d’hier, il y a eu vraiment un step de fait vers le haut. C’est une bonne chose. Il faut demain entrer dans la compétition. Pour en avoir vécu un certain nombre de fois, c’est une compétition particulière. Bien sûr, on voudrait tout de suite tout gagner, mais au-delà de ça, il y a comment vous évoluez dans la compétition. Si on gagne demain soir, ce que j’espère, il faudra rebondir pour battre la Lituanie samedi. Et si on perd, il faut aussi avancer et progresser, apprendre vite, et se projeter sur les matches-couperet dont on a parlé. Au-delà de ça, il y a une autre préoccupation, s’améliorer. Il y a une équipe assez jeune quand même avec le renouvellement, et on a besoin d’expérience, et on n’a pas beaucoup de temps pour en acquérir. Il faut malgré tout qu’on en prenne un peu dans les premiers matches. Au-delà des résultats bruts, il va falloir aussi voir comment on progresse au fil des matches. Moi, j’ai confiance dans notre potentiel, mais pour l’instant, je trouve qu’il n’est pas optimisé. Il faut que l’on profite aussi des matches de poule pour aller vers cette optimisation pour être le plus fort possible dans la deuxième phase. »\"]]],[10,6],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’équipe de France est l’une des rares délégations à organiser des points presse à la veille du Jour J, avec l’ensemble des joueurs. D’autres seront au programme avec le coach et deux ou trois joueurs lors des days off.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Demain, jeudi 1er septembre, à 20h30, c’est le match d’ouverture des Bleus. Face à l’Allemagne, qui est à domicile. Une entrée en matière musclée. Voici le verbatim de Vincent Collet :\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Je ne vais pas vous dire le leitomiv de cette année ! 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On est à la fois dans une reconstruction mais aussi la volonté de confirmer ce qui a été fait sur les deux dernières compétitions. Il faut à la fois utiliser le trésor que l’on avait l’an passé en termes d’état d’esprit et détermination, mais malgré tout inventer aussi le chemin qui nous mènera vers les meilleures places de cet Euro. C’est un peu une situation particulière à mes yeux. »\"]]],[10,7],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"« On oublie qu’ils ont trois joueurs qui jouent vraiment en NBA »\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"« Le résultat des Allemands obtenus dimanche contre la Slovénie (90-71) est quand même très surprenant et mérite que l’on s’y attarde un peu. 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L’équipe de France est l’une des rares délégations à organiser des points presse à la veille du Jour J, avec l’ensemble des joueurs. D’autres seront au programme avec le coach et deux ou trois joueurs lors des days off.
Demain, jeudi 1er septembre, à 20h30, c’est le match d’ouverture des Bleus. Face à l’Allemagne, qui est à domicile. Une entrée en matière musclée. Voici le verbatim de Vincent Collet :
« Je ne vais pas vous dire le leitomiv de cette année ! C’est réservé aux joueurs (sourire), c’est pour ce soir, mais ce qui est important surtout, c’est d’avoir une vision globale, bien comprendre que c’est une nouvelle aventure qui commence, et qu’à chaque fois, on l’écrive ensemble. C’est ça le vrai fil rouge. Il y avait un thème en 2019 parce qu’on était un groupe totalement nouveau, qui sortait d’un échec retentissant à l’Euro. C’est pour cela qu’il fallait faire une sorte de braquage car on n’était pas du tout attendu et on devait surprendre, étonner le monde. L’année dernière, on était en mission parce qu’on avait derrière nous la Coupe du monde 2019, mais on avait un objectif très élevé. Cette notion de mission correspondait complètement à ce que l’on voulait entreprendre. Cette année, on est plutôt entre les deux puisque malheureusement, on n’a pas conservé totalement le groupe qui a fait la médaille d’argent l’an passé aux Jeux. On est à la fois dans une reconstruction mais aussi la volonté de confirmer ce qui a été fait sur les deux dernières compétitions. Il faut à la fois utiliser le trésor que l’on avait l’an passé en termes d’état d’esprit et détermination, mais malgré tout inventer aussi le chemin qui nous mènera vers les meilleures places de cet Euro. C’est un peu une situation particulière à mes yeux. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/allemagne.jpg\")
« Le résultat des Allemands obtenus dimanche contre la Slovénie (90-71) est quand même très surprenant et mérite que l’on s’y attarde un peu. Les Allemands sont à domicile. Comme souvent, ils ont été souvent en-dessous de là où on les attendait, ces dernières années – cela fait longtemps qu’ils n’ont pas été dans les derniers carrés -, on oublie qu’ils ont trois joueurs qui jouent vraiment en NBA – ils pourraient en avoir quatre avec (Maximilian) Kleber -, entre (Franz) Wagner qui marque 15 points à Orlando, (Daniel) Theis qui est un vrai joueur, et (Dennis) Schröder également. Ils ne sont pas moins armés que nous. Je pense que cette équipe peut surprendre, au même titre que d’autres. On va le répéter souvent, mais cet Euro, quelque part, en terme de compétitivité, il s’annonce exceptionnel. On va tout de suite être confronté à ça. Je ne sais pas jusqu’à quel point. Est-ce que ça va être l’Alpe D’Huez ? A priori non, mais c’est quand même de la haute montagne. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/07/andrew-albicy-france-hongrie-fiba.jpg\")
« Comme souvent avec les joueurs d’exception, on ne peut pas parler d’arrêter Dennis Schröder, mais ce que l’on voudrait que l’on parvienne à faire, c’est limiter son influence, la diminuer par rapport à ce qu’il peut faire pour ses coéquipiers. Par exemple, dimanche il a fait 10 passes décisives contre la Slovénie. On sait que sa capacité d’accélération est quand même difficile à contrôler, et Andrew (Albicy) est certainement le joueur le plus à même de pouvoir le gêner sur ce registre-là. C’est forcément important. On sait que de toutes façons dans ce type de compétition, il y a des joueurs exceptionnels et qu’il faut toujours essayer de gêner leur capacité à dominer une rencontre. C’est très rare de les arrêter totalement, mais quand déjà on limite leur impact, c’est un premier pas. Lui est clairement la plaque tournante de cette équipe allemande. Non seulement il score mais, c’est le premier ou le deuxième marqueur avec Wagner, mais il est aussi très influent dans le jeu. L’Allemagne est une équipe de shooteurs. Ils ont la capacité de presque tous shooter. Ils n’ont pas de meneurs qui ne soient pas des menaces sur le tir à trois-points, comme les intérieurs et pas seulement (Johannes) Voigtmann. Par conséquent, il y a beaucoup d’actions de drive and kick, c’est-à-dire de pénétration-passe. Lui est forcément le joueur qui en fait le plus. Il sert souvent le caviar pour ses coéquipiers. Il faut que l’on essaye de diminuer ça. Quand tu joues contre une équipe comme ça, il est important que les aides soient contrôlées. Toutes les aides incontrôlées sont souvent sanctionnées par des tirs à trois-points. C’est beaucoup recherché dans leur jeu. A contrario, il faut que l’on essaye de limiter ce type d’action. Schröder commence souvent ses matches dans le contrôle. C’est après qu’il accélère. Ce qui est sûr c’est que l’on aura besoin d’Andrew pour essayer de limiter son influence. »
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« Il faut être en action plutôt qu’en réaction. C’est très clair que ce qui s’est passé dans ces débuts de match (NDLR : contre la République tchèque et la Bosnie-Herzégovine), c’est plus une question d’attitude, de comportement. On en a parlé avec les joueurs. On a un peu exploré les différentes pistes qui peuvent nous permettre d’être prêts plus vite, plus agressifs. Cela vient de leur propre bouche. Peut-être qu’ils ont commencé un peu trop tranquilles les matches. Je pense que ça, ça va être corrigé. Ce n’est pas forcément quelque chose sur laquelle on est fixé en priorité. On est plutôt fixé sur la globalité : comment arriver à bien défendre sur cette équipe-là. Le contexte ne va pas être le même. On rentre dans la vraie compétition et on peut s’attendre à ce que les deux équipes soient probablement un peu crispées, mais aussi très déterminées dès le début du match. Il n’y a pas de raisons. Franchement, je serais très surpris qu’on ait la même habitude demain soir. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/dennis-schro-cc-88der-1.jpg\")
« Le match de l’Allemagne contre la Suède m’a impressionné en terme défensif. Ils étaient très présents. On sent que défensivement, ils ont une vraie cohésion. Ils sont solides. C’est vrai que ça s’est vu plus chez eux que chez nous contre la Bosnie, mais tu ne peux jamais mesurer le niveau d’investissement même si c’était un match officiel samedi dernier pour nous, clairement on n’a pas eu la bonne approche. On était en-deçà de ce que l’on aurait dû être, mais la vraie compétition commence demain soir. Les qualifs, ce n’est pas la même chose. Tu auras noté que l’on n’est quand même pas éliminé, que l’on a encore de bonnes chances de se qualifier. Même si tu as un discours qui dit « il faut gagner parce que c’est très important », il y a un phénomène inconscient qui fait que c’est un match qui arrive trois ou quatre jours avant la compet… Je me souviens, quelques années en arrière, que lorsque tu faisais un match amical quatre ou cinq jours avant un championnat d’Europe, Tony (Parker) ne jouait pas. Tu pouvais lui dire ce que tu voulais, lui répondais, « je ne vais pas me blesser quatre jours avant ! » Les affaires étaient réglées. Ce sont des phénomènes qui font partie du jeu… Tout ça, c’est la faute du Covid. Normalement, il n’y avait pas de fenêtre avant le championnat d’Europe. C’est quand même très particulier cette situation. Mais par contre, je pense que cette équipe d’Allemagne est montée en puissance contre une équipe slovène qui n’avait pas la même attitude que l’équipe allemande dimanche. J’ai vu le match en entier, tu vois bien que les Slovènes sont surpris par la façon dont les Allemands leur rentrent dedans, la façon dont ils défendent Doncic. Il se retrouve au sol quatre fois, cinq fois, six fois par terre. Ils ne s’y attendaient pas. Parce qu’il y a une équipe qui est pied au plancher. C’est ça surtout qui est intéressant. Il faut que l’on soit conscient de comment ils vont nous accueillir. La façon dont ils sont entrés dans les Slovènes, ça ne peut pas être moins demain soir. Donc là, c’est sûr qu’il faut que l’on soit à l’heure. Ils ont des caractéristiques basket sur les écrans, par exemple. Ils mettent des écrans… Sur les matches de préparation, même les deux de qualification, on n’a jamais vu ça ! Si sur les trois premiers passages d’écran on pleure et que l’on se tourne vers les arbitres, ça voudra dire que l’on n’a pas intégré cette notion-là. Il faut être prêt pour un combat devant 19 000 personnes, qui vont être majoritairement plutôt allemandes que françaises. Il faut que l’on soit prêt à tout ça, ça fait partie des données du match. Au-delà du rapport de forces spécifique, il y a tous ces aspects-là qui vont être très importants. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/image-52.jpg\")
(NDLR : Pour éviter Grèce et Serbie en quart-de-finale, il faut terminer 1er… ou 4e du groupe). « Etre dans un groupe fort, avant, ce n’est jamais une bonne nouvelle. Tu ne peux pas préférer davoir le groupe le plus fort de la compétition. C’est d’ailleurs assez surprenant parce que nous sommes 4e au ranking FIBA, la Slovénie est 5-6e, la Lituanie est juste derrière. Il y a trois des huit meilleures équipes qui sont dans un même groupe au championnat d’Europe. Je ne sais pas comment ils s’organisent, mais les fameuses boules, c’est bizarre ! C’est comme ça, on va faire avec. On n’a pas le choix tout comme les équipes qui sont avec nous.
C’est sûr qu’au fil de la compétition, ça peut avoir une incidence car les équipes dont on parle se projettent toutes au-delà du 8e de finale. Donc automatiquement, tu l’as dans le viseur, et comme dans les autres groupes, on voit difficilement la Grèce et la Serbie ne pas finir premières, ça peut effectivement avoir une influence. Mais, à mon sens, personne ne pourra vraiment calculer. Nous, en plus, on joue l’Allemagne et la Lituanie, notre objectif pour l’instant est de finir premier.
Tu ne peux pas le dire maintenant, mais dans le cas de figure où on s’en sort bien, c’est un avantage d’être dans un groupe fort. Quand tu as un premier tour qui est plutôt confortable, les matches-couperet sont toujours durs… La Grèce et la Serbie sont deux épouvantails, probablement les deux favoris de la compet quand on voit la préparation… Le 8e de finale sera de toutes façons contre une forte équipe. On a vu que l’année dernière aux JO qu’après un premier tour où on avait vraiment bien joué, malgré tout le quart-de-finale avait été rude contre une équipe d’Italie qui était outsider. C’est aussi pour cette raison-là. Tu sors de la poule, tu es quelque part un peu rassuré, et tu affrontes en 8e, par exemple le 4e d’un autre groupe qui s’en est peut-être sorti à l’arrache et n’a plus rien à perdre, et donc ça fait une opposition entre une équipe qui a tout à gagner et une autre qui doit absolument gagner, souvent ça peut servir une équipe qui n’a plus rien à perdre. »
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/guerschon-yabusele.jpg\")
« Il y a chez nos joueurs une prise de conscience. C’est une autre compétition, on sent une montée en puissance, en terme d’intensité, d’agressivité. Les entraînements de lundi et d’hier, il y a eu vraiment un step de fait vers le haut. C’est une bonne chose. Il faut demain entrer dans la compétition. Pour en avoir vécu un certain nombre de fois, c’est une compétition particulière. Bien sûr, on voudrait tout de suite tout gagner, mais au-delà de ça, il y a comment vous évoluez dans la compétition. Si on gagne demain soir, ce que j’espère, il faudra rebondir pour battre la Lituanie samedi. Et si on perd, il faut aussi avancer et progresser, apprendre vite, et se projeter sur les matches-couperet dont on a parlé. Au-delà de ça, il y a une autre préoccupation, s’améliorer. Il y a une équipe assez jeune quand même avec le renouvellement, et on a besoin d’expérience, et on n’a pas beaucoup de temps pour en acquérir. Il faut malgré tout qu’on en prenne un peu dans les premiers matches. Au-delà des résultats bruts, il va falloir aussi voir comment on progresse au fil des matches. Moi, j’ai confiance dans notre potentiel, mais pour l’instant, je trouve qu’il n’est pas optimisé. Il faut que l’on profite aussi des matches de poule pour aller vers cette optimisation pour être le plus fort possible dans la deuxième phase. »
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L’équipe de France est l’une des rares délégations à organiser des points presse à la veille du Jour J, avec l’ensemble des joueurs. D’autres seront au programme avec le coach et deux ou trois joueurs lors des days off.
Demain, jeudi 1er septembre, à 20h30, c’est le match d’ouverture des Bleus. Face à l’Allemagne, qui est à domicile. Une entrée en matière musclée. Voici le verbatim de Vincent Collet :
« Je ne vais pas vous dire le leitomiv de cette année ! C’est réservé aux joueurs (sourire), c’est pour ce soir, mais ce qui est important surtout, c’est d’avoir une vision globale, bien comprendre que c’est une nouvelle aventure qui commence, et qu’à chaque fois, on l’écrive ensemble. C’est ça le vrai fil rouge. Il y avait un thème en 2019 parce qu’on était un groupe totalement nouveau, qui sortait d’un échec retentissant à l’Euro. C’est pour cela qu’il fallait faire une sorte de braquage car on n’était pas du tout attendu et on devait surprendre, étonner le monde. L’année dernière, on était en mission parce qu’on avait derrière nous la Coupe du monde 2019, mais on avait un objectif très élevé. Cette notion de mission correspondait complètement à ce que l’on voulait entreprendre. Cette année, on est plutôt entre les deux puisque malheureusement, on n’a pas conservé totalement le groupe qui a fait la médaille d’argent l’an passé aux Jeux. On est à la fois dans une reconstruction mais aussi la volonté de confirmer ce qui a été fait sur les deux dernières compétitions. Il faut à la fois utiliser le trésor que l’on avait l’an passé en termes d’état d’esprit et détermination, mais malgré tout inventer aussi le chemin qui nous mènera vers les meilleures places de cet Euro. C’est un peu une situation particulière à mes yeux. »
« Le résultat des Allemands obtenus dimanche contre la Slovénie (90-71) est quand même très surprenant et mérite que l’on s’y attarde un peu. Les Allemands sont à domicile…
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De l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).
Photo d’ouverture : Timothé Luwawu-Cabarrot, Rudy Gobert et Evan Fournier (FIBA)
", "comment_id":"622689", "plaintext":"Hôtel Marriott de Cologne. Mercredi 31 août, fin de matinée. Le coach des Bleus Vincent Collet donne une conférence de presse face à une quinzaine de journalistes français accrédités pour la phase préliminaire de l’EuroBasket, et tous munis de masques FFP2. Une autre dizaine viendra en renfort à Berlin.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nL’équipe de France est l’une des rares délégations à organiser des points presse à la veille du Jour J, avec l’ensemble des joueurs. D’autres seront au programme avec le coach et deux ou trois joueurs lors des days off.\n\nDemain, jeudi 1er septembre, à 20h30, c’est le match d’ouverture des Bleus. Face à l’Allemagne, qui est à domicile. Une entrée en matière musclée. Voici le verbatim de Vincent Collet :\n\n« Je ne vais pas vous dire le leitomiv de cette année ! C’est réservé aux joueurs (sourire), c’est pour ce soir, mais ce qui est important surtout, c’est d’avoir une vision globale, bien comprendre que c’est une nouvelle aventure qui commence, et qu’à chaque fois, on l’écrive ensemble. C’est ça le vrai fil rouge. Il y avait un thème en 2019 parce qu’on était un groupe totalement nouveau, qui sortait d’un échec retentissant à l’Euro. C’est pour cela qu’il fallait faire une sorte de braquage car on n’était pas du tout attendu et on devait surprendre, étonner le monde. L’année dernière, on était en mission parce qu’on avait derrière nous la Coupe du monde 2019, mais on avait un objectif très élevé. Cette notion de mission correspondait complètement à ce que l’on voulait entreprendre. Cette année, on est plutôt entre les deux puisque malheureusement, on n’a pas conservé totalement le groupe qui a fait la médaille d’argent l’an passé aux Jeux. On est à la fois dans une reconstruction mais aussi la volonté de confirmer ce qui a été fait sur les deux dernières compétitions. Il faut à la fois utiliser le trésor que l’on avait l’an passé en termes d’état d’esprit et détermination, mais malgré tout inventer aussi le chemin qui nous mènera vers les meilleures places de cet Euro. C’est un peu une situation particulière à mes yeux. »\n\n\n« On oublie qu’ils ont trois joueurs qui jouent vraiment en NBA »\n\n« Le résultat des Allemands obtenus dimanche contre la Slovénie (90-71) est quand même très surprenant et mérite que l’on s’y attarde un peu. Les Allemands sont à domicile. Comme souvent, ils ont été souvent en-dessous de là où on les attendait, ces dernières années – cela fait longtemps qu’ils n’ont pas été dans les derniers carrés -, on oublie qu’ils ont trois joueurs qui jouent vraiment en NBA – ils pourraient en avoir quatre avec (Maximilian) Kleber -, entre (Franz) Wagner qui marque 15 points à Orlando, (Daniel) Theis qui est un vrai joueur, et (Dennis) Schröder également. Ils ne sont pas moins armés que nous. Je pense que cette équipe peut surprendre, au même titre que d’autres. On va le répéter souvent, mais cet Euro, quelque part, en terme de compétitivité, il s’annonce exceptionnel. On va tout de suite être confronté à ça. Je ne sais pas jusqu’à quel point. Est-ce que ça va être l’Alpe D’Huez ? A priori non, mais c’est quand même de la haute montagne. »\n\n\n« On aura besoin d’Andrew Albicy pour limiter Dennis Schröder »\n\n« Comme souvent avec les joueurs d’exception, on ne peut pas parler d’arrêter Dennis Schröder, mais ce que l’on voudrait que l’on parvienne à faire, c’est limiter son influence, la diminuer par rapport à ce qu’il peut faire pour ses coéquipiers. Par exemple, dimanche il a fait 10 passes décisives contre la Slovénie. On sait que sa capacité d’accélération est quand même difficile à contrôler, et Andrew (Albicy) est certainement le joueur le plus à même de pouvoir le gêner sur ce registre-là. C’est forcément important. On sait que de toutes façons dans ce type de compétition, il y a des joueurs exceptionnels et qu’il faut toujours essayer de gêner leur capacité à dominer une rencontre. C’est très rare de les arrêter totalement, mais quand déjà on limite leur impact, c’est un premier pas. Lui est clairement la plaque tournante de cette équipe allemande. Non seulement il score mais, c’est le premier ou le deuxième marqueur avec Wagner, mais il est aussi très influent dans le jeu. L’Allemagne est une équipe de shooteurs. Ils ont la capacité de presque tous shooter. Ils n’ont pas de meneurs qui ne soient pas des menaces sur le tir à trois-points, comme les intérieurs et pas seulement (Johannes) Voigtmann. Par conséquent, il y a beaucoup d’actions de drive and kick, c’est-à-dire de pénétration-passe. Lui est forcément le joueur qui en fait le plus. Il sert souvent le caviar pour ses coéquipiers. Il faut que l’on essaye de diminuer ça. Quand tu joues contre une équipe comme ça, il est important que les aides soient contrôlées. Toutes les aides incontrôlées sont souvent sanctionnées par des tirs à trois-points. C’est beaucoup recherché dans leur jeu. A contrario, il faut que l’on essaye de limiter ce type d’action. Schröder commence souvent ses matches dans le contrôle. C’est après qu’il accélère. Ce qui est sûr c’est que l’on aura besoin d’Andrew pour essayer de limiter son influence. »\n\n\n« Je serais très surpris qu’on ait la même habitude demain soir »\n\n« Il faut être en action plutôt qu’en réaction. C’est très clair que ce qui s’est passé dans ces débuts de match (NDLR : contre la République tchèque et la Bosnie-Herzégovine), c’est plus une question d’attitude, de comportement. On en a parlé avec les joueurs. On a un peu exploré les différentes pistes qui peuvent nous permettre d’être prêts plus vite, plus agressifs. Cela vient de leur propre bouche. Peut-être qu’ils ont commencé un peu trop tranquilles les matches. Je pense que ça, ça va être corrigé. Ce n’est pas forcément quelque chose sur laquelle on est fixé en priorité. On est plutôt fixé sur la globalité : comment arriver à bien défendre sur cette équipe-là. Le contexte ne va pas être le même. On rentre dans la vraie compétition et on peut s’attendre à ce que les deux équipes soient probablement un peu crispées, mais aussi très déterminées dès le début du match. Il n’y a pas de raisons. Franchement, je serais très surpris qu’on ait la même habitude demain soir. »\n\n\n« Il faut être prêt pour un combat devant 19 000 personnes, qui vont être majoritairement plutôt allemandes que françaises »\n\n« Le match de l’Allemagne contre la Suède m’a impressionné en terme défensif. Ils étaient très présents. On sent que défensivement, ils ont une vraie cohésion. Ils sont solides. C’est vrai que ça s’est vu plus chez eux que chez nous contre la Bosnie, mais tu ne peux jamais mesurer le niveau d’investissement même si c’était un match officiel samedi dernier pour nous, clairement on n’a pas eu la bonne approche. On était en-deçà de ce que l’on aurait dû être, mais la vraie compétition commence demain soir. Les qualifs, ce n’est pas la même chose. Tu auras noté que l’on n’est quand même pas éliminé, que l’on a encore de bonnes chances de se qualifier. Même si tu as un discours qui dit « il faut gagner parce que c’est très important », il y a un phénomène inconscient qui fait que c’est un match qui arrive trois ou quatre jours avant la compet… Je me souviens, quelques années en arrière, que lorsque tu faisais un match amical quatre ou cinq jours avant un championnat d’Europe, Tony (Parker) ne jouait pas. Tu pouvais lui dire ce que tu voulais, lui répondais, « je ne vais pas me blesser quatre jours avant ! » Les affaires étaient réglées. Ce sont des phénomènes qui font partie du jeu… Tout ça, c’est la faute du Covid. Normalement, il n’y avait pas de fenêtre avant le championnat d’Europe. C’est quand même très particulier cette situation. Mais par contre, je pense que cette équipe d’Allemagne est montée en puissance contre une équipe slovène qui n’avait pas la même attitude que l’équipe allemande dimanche. J’ai vu le match en entier, tu vois bien que les Slovènes sont surpris par la façon dont les Allemands leur rentrent dedans, la façon dont ils défendent Doncic. Il se retrouve au sol quatre fois, cinq fois, six fois par terre. Ils ne s’y attendaient pas. Parce qu’il y a une équipe qui est pied au plancher. C’est ça surtout qui est intéressant. Il faut que l’on soit conscient de comment ils vont nous accueillir. La façon dont ils sont entrés dans les Slovènes, ça ne peut pas être moins demain soir. Donc là, c’est sûr qu’il faut que l’on soit à l’heure. Ils ont des caractéristiques basket sur les écrans, par exemple. Ils mettent des écrans… Sur les matches de préparation, même les deux de qualification, on n’a jamais vu ça ! Si sur les trois premiers passages d’écran on pleure et que l’on se tourne vers les arbitres, ça voudra dire que l’on n’a pas intégré cette notion-là. Il faut être prêt pour un combat devant 19 000 personnes, qui vont être majoritairement plutôt allemandes que françaises. Il faut que l’on soit prêt à tout ça, ça fait partie des données du match. Au-delà du rapport de forces spécifique, il y a tous ces aspects-là qui vont être très importants. »\n\n\n« La Grèce et la Serbie sont deux épouvantails, probablement les deux favoris de la compet quand on voit la préparation »\n\n(NDLR : Pour éviter Grèce et Serbie en quart-de-finale, il faut terminer 1er… ou 4e du groupe). « Etre dans un groupe fort, avant, ce n’est jamais une bonne nouvelle. Tu ne peux pas préférer davoir le groupe le plus fort de la compétition. C’est d’ailleurs assez surprenant parce que nous sommes 4e au ranking FIBA, la Slovénie est 5-6e, la Lituanie est juste derrière. Il y a trois des huit meilleures équipes qui sont dans un même groupe au championnat d’Europe. Je ne sais pas comment ils s’organisent, mais les fameuses boules, c’est bizarre ! C’est comme ça, on va faire avec. On n’a pas le choix tout comme les équipes qui sont avec nous.\n\nC’est sûr qu’au fil de la compétition, ça peut avoir une incidence car les équipes dont on parle se projettent toutes au-delà du 8e de finale. Donc automatiquement, tu l’as dans le viseur, et comme dans les autres groupes, on voit difficilement la Grèce et la Serbie ne pas finir premières, ça peut effectivement avoir une influence. Mais, à mon sens, personne ne pourra vraiment calculer. Nous, en plus, on joue l’Allemagne et la Lituanie, notre objectif pour l’instant est de finir premier.\n\nTu ne peux pas le dire maintenant, mais dans le cas de figure où on s’en sort bien, c’est un avantage d’être dans un groupe fort. Quand tu as un premier tour qui est plutôt confortable, les matches-couperet sont toujours durs… La Grèce et la Serbie sont deux épouvantails, probablement les deux favoris de la compet quand on voit la préparation… Le 8e de finale sera de toutes façons contre une forte équipe. On a vu que l’année dernière aux JO qu’après un premier tour où on avait vraiment bien joué, malgré tout le quart-de-finale avait été rude contre une équipe d’Italie qui était outsider. C’est aussi pour cette raison-là. Tu sors de la poule, tu es quelque part un peu rassuré, et tu affrontes en 8e, par exemple le 4e d’un autre groupe qui s’en est peut-être sorti à l’arrache et n’a plus rien à perdre, et donc ça fait une opposition entre une équipe qui a tout à gagner et une autre qui doit absolument gagner, souvent ça peut servir une équipe qui n’a plus rien à perdre. »\n\n\n« Moi, j’ai confiance dans notre potentiel, mais pour l’instant, je trouve qu’il n’est pas optimisé »\n\n« Il y a chez nos joueurs une prise de conscience. C’est une autre compétition, on sent une montée en puissance, en terme d’intensité, d’agressivité. Les entraînements de lundi et d’hier, il y a eu vraiment un step de fait vers le haut. C’est une bonne chose. Il faut demain entrer dans la compétition. Pour en avoir vécu un certain nombre de fois, c’est une compétition particulière. Bien sûr, on voudrait tout de suite tout gagner, mais au-delà de ça, il y a comment vous évoluez dans la compétition. Si on gagne demain soir, ce que j’espère, il faudra rebondir pour battre la Lituanie samedi. Et si on perd, il faut aussi avancer et progresser, apprendre vite, et se projeter sur les matches-couperet dont on a parlé. Au-delà de ça, il y a une autre préoccupation, s’améliorer. Il y a une équipe assez jeune quand même avec le renouvellement, et on a besoin d’expérience, et on n’a pas beaucoup de temps pour en acquérir. Il faut malgré tout qu’on en prenne un peu dans les premiers matches. Au-delà des résultats bruts, il va falloir aussi voir comment on progresse au fil des matches. Moi, j’ai confiance dans notre potentiel, mais pour l’instant, je trouve qu’il n’est pas optimisé. Il faut que l’on profite aussi des matches de poule pour aller vers cette optimisation pour être le plus fort possible dans la deuxième phase. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nL’équipe de France est l’une des rares délégations à organiser des points presse à la veille du Jour J, avec l’ensemble des joueurs. D’autres seront au programme avec le coach et deux ou trois joueurs lors des days off.\n\nDemain, jeudi 1er septembre, à 20h30, c’est le match d’ouverture des Bleus. Face à l’Allemagne, qui est à domicile. Une entrée en matière musclée. Voici le verbatim de Vincent Collet :\n\n« Je ne vais pas vous dire le leitomiv de cette année ! C’est réservé aux joueurs (sourire), c’est pour ce soir, mais ce qui est important surtout, c’est d’avoir une vision globale, bien comprendre que c’est une nouvelle aventure qui commence, et qu’à chaque fois, on l’écrive ensemble. C’est ça le vrai fil rouge. Il y avait un thème en 2019 parce qu’on était un groupe totalement nouveau, qui sortait d’un échec retentissant à l’Euro. C’est pour cela qu’il fallait faire une sorte de braquage car on n’était pas du tout attendu et on devait surprendre, étonner le monde. L’année dernière, on était en mission parce qu’on avait derrière nous la Coupe du monde 2019, mais on avait un objectif très élevé. Cette notion de mission correspondait complètement à ce que l’on voulait entreprendre. Cette année, on est plutôt entre les deux puisque malheureusement, on n’a pas conservé totalement le groupe qui a fait la médaille d’argent l’an passé aux Jeux. On est à la fois dans une reconstruction mais aussi la volonté de confirmer ce qui a été fait sur les deux dernières compétitions. Il faut à la fois utiliser le trésor que l’on avait l’an passé en termes d’état d’esprit et détermination, mais malgré tout inventer aussi le chemin qui nous mènera vers les meilleures places de cet Euro. C’est un peu une situation particulière à mes yeux. »\n\n\n« On oublie qu’ils ont trois joueurs qui jouent vraiment en NBA »\n\n« Le résultat des Allemands obtenus dimanche contre la Slovénie (90-71) est quand même très surprenant et mérite que l’on s’y attarde un peu. Les Allemands sont à domicile…\n\n[/arm_restrict_content]\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nDe l’un de nos envoyés spéciaux à Cologne (Allemagne).\n\nPhoto d’ouverture : Timothé Luwawu-Cabarrot, Rudy Gobert et Evan Fournier (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/rudy-gobert-3.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-31T18:53:28.000Z", "updated_at":"2022-08-31T18:53:37.000Z", "published_at":"2022-08-31T18:53:28.000Z", "custom_excerpt":"Hôtel Marriott de Cologne. Mercredi 31 août, fin de matinée. Le coach des Bleus Vincent Collet donne une conférence de presse face à une quinzaine de journalistes français accrédités pour la phase préliminaire de l’EuroBasket, et tous munis de masques FFP2. 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Dans un dernier épisode, focus sur les ambitions affirmées des vice-champions olympiques en titre.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Après une médaille mondiale en 2019 et une médaille olympique en 2021, l’équipe de France fait forcément partie des favoris de l’EuroBasket (1er-18 septembre). Un statut à défendre malgré l’absence de deux joueurs de son cinq majeur, Nicolas Batum et Nando De Colo, qui pèsent 340 sélections. 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A revoir : épisode 1 – épisode 2 – épisode 3 – épisode 4 – épisode 5 – épisode 6 – épisode 7 – épisode 8 – épisode 9 – épisode 10
Photo : FFBB
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En discussions avec la Ligue Nationale de Basket (LNB) depuis plusieurs mois, BeIN Sports continue de négocier en coulisses pour conserver les droits de la Betclic Elite. Rien n’a encore été officialisé mais « les discussions sont en bonne voie », selon Florent Houzot, le directeur des antennes, des programmes et de la rédaction de la chaîne lors de la présentation à la presse de la nouvelle saison ce mardi.
A noter que Fedcom, qui vient de racheter les droits de diffusion de l’Euroleague et de l’Eurocup sur les territoires français et monégasque, a également formulé une offre à la LNB pour les droits du championnat de France. Celle-ci est pour le moment en suspens.
Photo : Ismael Kamagate (Thomas Savoja)
", "comment_id":"622666", "plaintext":"Diffuseur d’une affiche de Betclic Elite par journée à compter de décembre dernier, BeIN Sports a annoncé mardi que les discussions pour une prolongation du contrat avec la LNB étaient en bonne voie.\n\nLa saison dernière, BeIN Sports avait récupéré les droits de la Betclic Elite en cours de saison, en décembre. La chaîne cryptée a dès lors retransmis la meilleure affiche de chaque journée de championnat en saison régulière, celle des principaux matches des playoffs et de l’intégralité des finales en exclusivité.\n\nEn discussions avec la Ligue Nationale de Basket (LNB) depuis plusieurs mois, BeIN Sports continue de négocier en coulisses pour conserver les droits de la Betclic Elite. Rien n’a encore été officialisé mais « les discussions sont en bonne voie », selon Florent Houzot, le directeur des antennes, des programmes et de la rédaction de la chaîne lors de la présentation à la presse de la nouvelle saison ce mardi.\n\n\n\nA noter que Fedcom, qui vient de racheter les droits de diffusion de l’Euroleague et de l’Eurocup sur les territoires français et monégasque, a également formulé une offre à la LNB pour les droits du championnat de France. 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De retour dans le groupe France il y a quelques jours, après des semaines de convalescence, Andrew Albicy et Moustapha Fall sont finalement présents dans la sélection en lieu et place d’Isaïa Cordinier et Mam Jaiteh.
Début des hostilités ce jeudi 1er septembre à 20h30 pour l’Équipe de France, qui affrontera d’entrée de jeu l’un des pays-hôtes, l’Allemagne, à Cologne.
La liste des 12 joueurs :
Meneurs : Thomas Heurtel, Théo Maledon, Andrew Albicy
Arrière/Ailiers : Evan Fournier, Elie Okobo, Timothé Luwawu-Cabarrot, Terry Tarpey
Ailiers-forts : Guerschon Yabusele, Amath M’Baye
Pivots : Rudy Gobert, Vincent Poirier et Moustapha Fall
Photo : Equipe de France
", "comment_id":"622667", "plaintext":"À la veille du début de la compétition, le sélectionneur de Vincent Collet a donné sa liste définitive des 12 joueurs qui représenteront l’équipe de France à l’EuroBasket du 1er au 18 septembre.\n\nVincent Collet a dévoilé ce mercredi 31 août, veille du début de la compétition, les 12 joueurs qui représenteront l’équipe de France à l’Euro. Vice-champions olympiques, les Bleus ont a un statut à défendre. Mais amputés de deux membres de leur cinq majeur (Nando De Colo et Nicolas Batum, 340 sélections à eux deux), ils doivent se réinventer pour viser les sommets. Ce sont le capitaine Evan Fournier et son co-capitaine Rudy Gobert qui auront les rênes de l’équipe.\n\nDe retour dans le groupe France il y a quelques jours, après des semaines de convalescence, Andrew Albicy et Moustapha Fall sont finalement présents dans la sélection en lieu et place d’Isaïa Cordinier et Mam Jaiteh.\n\n\n\nDébut des hostilités ce jeudi 1er septembre à 20h30 pour l’Équipe de France, qui affrontera d’entrée de jeu l’un des pays-hôtes, l’Allemagne, à Cologne.\n\nLa liste des 12 joueurs :\nMeneurs : Thomas Heurtel, Théo Maledon, Andrew Albicy\nArrière/Ailiers : Evan Fournier, Elie Okobo, Timothé Luwawu-Cabarrot, Terry Tarpey\nAiliers-forts : Guerschon Yabusele, Amath M’Baye\nPivots : Rudy Gobert, Vincent Poirier et Moustapha Fall\n\n\n12 BLEUS, UN SEUL OBJECTIF 👊\n\nLa liste des 12 joueurs pour l'@EuroBasket a été validée. Premier match face à l'Allemagne demain à 20h30 sur @CanalplusSport 360 😤#TeamFranceBasket | #PassionnémentBleu pic.twitter.com/A8Rfp53imW\n\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) August 31, 2022\n\n\nPhoto : Equipe de France", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/liste_ffbb_euro_16_9.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-31T14:23:52.000Z", "updated_at":"2022-09-01T07:05:14.000Z", "published_at":"2022-08-31T14:23:52.000Z", "custom_excerpt":"À la veille du début de la compétition, le sélectionneur de Vincent Collet a donné sa liste définitive des 12 joueurs qui représenteront l’équipe de France à l’EuroBasket du 1er au 18 septembre.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb44", "uuid":"e85dfd10-2f0e-4210-929b-3e299a0cf609", "title":"EuroBasket : L’Allemagne avec Dennis Schröder, Franz Wagner et Daniel Theis", "slug":"eurobasket-lallemagne-avec-dennis-schroder-franz-wagner-et-daniel-theis", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}],[\"soft-return\",\"\",{}]],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://basketeurope.com/livenews-fr/premium-fr/622429/focus-sur-les-adversaires-des-bleus-au-premier-tour-dans-le-groupe-de-la-mort/embed/#?secret=EDc4b3k5hS#?secret=gsYiWO3jmu\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/lallemagne-retirera-le-maillot-de-dirk-nowitzki-en-ouverture-de-leurobasket-face-aux-bleus/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"Adversaire de l’équipe de France dans son EuroBasket à domicile, l’Allemagne va présenter un effectif très sérieux, avec trois joueurs NBA dont Dennis Schröder, Franz Wagner et… Daniel Theis, qui était incertain en préparation.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Du 1er au 18 septembre, l’Allemagne va accueillir le championnat d’Europe à Cologne pour sa première phase, et Berlin pour sa deuxième. Pour l’occasion, son sélectionneur Gordon Herbert a composé une équipe de 12 joueurs, dont trois NBAers.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En pleine bourre et toujours présent dans les compétitions internationales Dennis Schröder sera le chef de file de la sélection allemande. Il sera secondé par le jeune Franz Wagner, nommé dans la première équipe rookie de NBA cette saison avec Orlando, et par l’expérimenté Daniel Theis, qui était incertain jusqu’au terme de la préparation pour blessure. Les habitués de l’Euroleague Johannes Voigtmann, Maodo Lo, Johannes Thiemann ou Nick Weiler-Babb sont également présents.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"L’Allemagne ouvrira son championnat d’Europe par un duel retentissant contre… l’équipe de France, jeudi 1er septembre, à 20h30, avec en prime la cérémonie \"],[0,[1],1,\"de retrait de maillot de la légende Dirk Nowitzki\"],[0,[],0,\" en sélection.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La liste des 12 :\"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"Niels Giffey\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Justus Hollatz\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"Maodo Lo\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"Andreas Obst\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"Dennis Schröder\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"Christian Sengfelder\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"Daniel Theis\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"Johannes Thiemann\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"Johannes Voigtmann\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"Nick Weiler-Babb\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"Franz Wagner\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"Jonas Wohlfarth-Bottermann\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : Daniel Theis (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Du 1er au 18 septembre, l’Allemagne va accueillir le championnat d’Europe à Cologne pour sa première phase, et Berlin pour sa deuxième. Pour l’occasion, son sélectionneur Gordon Herbert a composé une équipe de 12 joueurs, dont trois NBAers.
En pleine bourre et toujours présent dans les compétitions internationales Dennis Schröder sera le chef de file de la sélection allemande. Il sera secondé par le jeune Franz Wagner, nommé dans la première équipe rookie de NBA cette saison avec Orlando, et par l’expérimenté Daniel Theis, qui était incertain jusqu’au terme de la préparation pour blessure. Les habitués de l’Euroleague Johannes Voigtmann, Maodo Lo, Johannes Thiemann ou Nick Weiler-Babb sont également présents.
L’Allemagne ouvrira son championnat d’Europe par un duel retentissant contre… l’équipe de France, jeudi 1er septembre, à 20h30, avec en prime la cérémonie de retrait de maillot de la légende Dirk Nowitzki en sélection.
La liste des 12 :
Niels Giffey
Justus Hollatz
Maodo Lo
Andreas Obst
Dennis Schröder
Christian Sengfelder
Daniel Theis
Johannes Thiemann
Johannes Voigtmann
Nick Weiler-Babb
Franz Wagner
Jonas Wohlfarth-Bottermann
Photo : Daniel Theis (FIBA)
", "comment_id":"622660", "plaintext":"Adversaire de l’équipe de France dans son EuroBasket à domicile, l’Allemagne va présenter un effectif très sérieux, avec trois joueurs NBA dont Dennis Schröder, Franz Wagner et… Daniel Theis, qui était incertain en préparation.\n\nDu 1er au 18 septembre, l’Allemagne va accueillir le championnat d’Europe à Cologne pour sa première phase, et Berlin pour sa deuxième. Pour l’occasion, son sélectionneur Gordon Herbert a composé une équipe de 12 joueurs, dont trois NBAers.\n\nEn pleine bourre et toujours présent dans les compétitions internationales Dennis Schröder sera le chef de file de la sélection allemande. Il sera secondé par le jeune Franz Wagner, nommé dans la première équipe rookie de NBA cette saison avec Orlando, et par l’expérimenté Daniel Theis, qui était incertain jusqu’au terme de la préparation pour blessure. Les habitués de l’Euroleague Johannes Voigtmann, Maodo Lo, Johannes Thiemann ou Nick Weiler-Babb sont également présents.\n\nL’Allemagne ouvrira son championnat d’Europe par un duel retentissant contre… l’équipe de France, jeudi 1er septembre, à 20h30, avec en prime la cérémonie de retrait de maillot de la légende Dirk Nowitzki en sélection.\n\nLa liste des 12 :\nNiels Giffey\nJustus Hollatz\nMaodo Lo\nAndreas Obst\nDennis Schröder\nChristian Sengfelder\nDaniel Theis\nJohannes Thiemann\nJohannes Voigtmann\nNick Weiler-Babb\nFranz Wagner\nJonas Wohlfarth-Bottermann\n\nPhoto : Daniel Theis (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/dennis-schroder-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-31T13:36:54.000Z", "updated_at":"2022-08-31T13:37:26.000Z", "published_at":"2022-08-31T13:36:54.000Z", "custom_excerpt":"Adversaire de l’équipe de France dans son EuroBasket à domicile, l’Allemagne va présenter un effectif très sérieux, avec trois joueurs NBA dont Dennis Schröder, Franz Wagner et… Daniel Theis, qui était incertain en préparation.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb45", "uuid":"026c448b-7b2e-4bde-bce3-91325e9d11fb", "title":"EuroBasket : Le palmarès des MVP et des Meilleurs marqueurs", "slug":"eurobasket-les-mvp-et-les-meilleurs-marqueurs", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Photo : Tony Parker, MVP de l’EuroBasket 2015 (FIBA)
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Svetislav Pešić estime que la Serbie doit supporter un lourd héritage…
« C’est le championnat d’Europe. Je sais un peu mieux que tout le monde à quoi ressemble les équipes. Ce sera un championnat très exigeant. Les équipes viennent avec une grande motivation et le désir de faire un bon résultat. Il y aura des surprises. Nous essaierons de ne pas être négatifs de notre côté. Mais il faut être prêt, surtout pour la récupération après les matches, surtout mentalement, et puis aussi physiquement. Il faut progresser d’un match à l’autre, et cela ne peut se faire que sans grande euphorie et sans prendre une défaite pour un drame. C’est un tournoi où tout est possible. Nous avons vu que n’importe qui peut battre n’importe qui, surtout sur un match. Ils pensent toujours que nous sommes la Yougoslavie, que nous sommes champions du monde et d’Europe, alors vous pouvez imaginer quelle motivation ils ont pour nous battre.«
Photo : FIBA
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Sa signature au Jazz : « Fascinant, difficile à mettre en mots. Quelque chose loin de la perception, presque choquant. Je suis très excité. Je n’avais pas perdu espoir, au contraire j’étais heureux de rester à Vitoria, un endroit parfait pour grandir. Je me suis dit : « Ce sera pour l’année prochaine ». Une belle surprise qui m’a bouleversé ».
La NBA : « Je pense que je peux rester là-bas. Je vais devoir être solide en défense, dangereux aux shoots derrière l’arc. Bien sûr, il existe une multitude d’options à développer et à affiner pour démontrer que je peux rester à ce niveau ».
Les entraîneurs qui ont contribué à son développement : « Tous. Aito, à Berlin, a été fondamental avec un mélange parfait dont j’avais besoin : à 75 ans, il a une grande énergie et transmet de la confiance et il dit des choses essentielles à faire sur le terrain ».
L’été 2021 en équipe nationale : « Encore un moment très important. Je remercie Meo Sacchetti de m’avoir accordé toutes ces minutes de jeu. Je ne m’y attendais pas. J’étais dans un moment de forme hallucinante, je scorais… Mais la satisfaction personnelle n’est rien comparée aux résultats de l’équipe ».
L’impact avec l’entraîneur Gianmarco Pozzecco ? « Optimal. Il est parfaitement entré dans le rôle avec sa façon d’être positif et énergique. C’est idéal pour ce rôle. En équipe nationale, on a aussi besoin d’un peu de « légèreté » : le bleu est tellement un honneur que le sacrifice d’être loin de la famille pèse moins. »
Photo : FIBA
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La synthèse de 14 sites de paris en ligne fait apparaître la Serbie et la Grèce en favorites de l’EuroBasket. Très probablement que les prestations de Nikola Jokic et Giannis Antetokounmpo ont chamboulé les valeurs établies. La Slovénie de Luka Doncic glisse à la 3e place et la France, battue en Bosnie, hors du podium. A remarquer que l’Allemagne, organisatrice, et vainqueur de la Slovénie, est – de notre avis – sous-côtée.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Groupe A :\"],[0,[],0,\" 1- Espagne, 2- Turquie, 3- Monténégro, 4- Géorgie, 5- Belgique, 6- Bulgarie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Groupe B :\"],[0,[],0,\" 1- Slovénie, 2- France, 3- Lituanie, 4- Allemagne, 5- Bosnie-Herzégovine, 6- Hongrie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Groupe C :\"],[0,[],0,\" 1- Grèce, 2- Italie, 3- Croatie, 4- Ukraine, 5- Grande-Bretagne, 6- Estonie.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Groupe D :\"],[0,[],0,\" 1- Serbie, 2- République tchèque, 3- Israël, 4- Finlande, 5- Pologne, 6- Pays-Bas.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Classement final : 1- Serbie, 2- Grèce, 3- Slovénie, 4- France, 5- Lituanie, 6- Espagne, 7- Italie, 8- Croatie, 9- Turquie, 10- Allemagne, 11- Finlande, 12-République Tchèque, 13- Pologne, 14- Monténégro, 15-Israël, 16- Bosnie-Herzégovine, 17- Géorgie, 18- Ukraine, 19- Belgique, 20-Bulgarie, 21- Hongrie, 22- Grande-Bretagne, 23- Estonie, 24-Pays-Bas.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\" \"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Thomas Heurtel (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Toujours intéressant de connaître l’avis des bookmakers car, c’est sérieux, il y a de l’argent en jeu. 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Groupe A : 1- Espagne, 2- Turquie, 3- Monténégro, 4- Géorgie, 5- Belgique, 6- Bulgarie.
Groupe B : 1- Slovénie, 2- France, 3- Lituanie, 4- Allemagne, 5- Bosnie-Herzégovine, 6- Hongrie.
Groupe C : 1- Grèce, 2- Italie, 3- Croatie, 4- Ukraine, 5- Grande-Bretagne, 6- Estonie.
Groupe D : 1- Serbie, 2- République tchèque, 3- Israël, 4- Finlande, 5- Pologne, 6- Pays-Bas.
Classement final : 1- Serbie, 2- Grèce, 3- Slovénie, 4- France, 5- Lituanie, 6- Espagne, 7- Italie, 8- Croatie, 9- Turquie, 10- Allemagne, 11- Finlande, 12-République Tchèque, 13- Pologne, 14- Monténégro, 15-Israël, 16- Bosnie-Herzégovine, 17- Géorgie, 18- Ukraine, 19- Belgique, 20-Bulgarie, 21- Hongrie, 22- Grande-Bretagne, 23- Estonie, 24-Pays-Bas.
Photo : Thomas Heurtel (FIBA)
", "comment_id":"622574", "plaintext":"D’après les bookmakers, la France devrait se retrouver hors du podium de l’EuroBasket, soit derrière la Serbie, la Grèce et la Slovénie.\n\nToujours intéressant de connaître l’avis des bookmakers car, c’est sérieux, il y a de l’argent en jeu. La synthèse de 14 sites de paris en ligne fait apparaître la Serbie et la Grèce en favorites de l’EuroBasket. Très probablement que les prestations de Nikola Jokic et Giannis Antetokounmpo ont chamboulé les valeurs établies. La Slovénie de Luka Doncic glisse à la 3e place et la France, battue en Bosnie, hors du podium. A remarquer que l’Allemagne, organisatrice, et vainqueur de la Slovénie, est – de notre avis – sous-côtée.\n\nGroupe A : 1- Espagne, 2- Turquie, 3- Monténégro, 4- Géorgie, 5- Belgique, 6- Bulgarie.\n\nGroupe B : 1- Slovénie, 2- France, 3- Lituanie, 4- Allemagne, 5- Bosnie-Herzégovine, 6- Hongrie.\n\nGroupe C : 1- Grèce, 2- Italie, 3- Croatie, 4- Ukraine, 5- Grande-Bretagne, 6- Estonie.\n\nGroupe D : 1- Serbie, 2- République tchèque, 3- Israël, 4- Finlande, 5- Pologne, 6- Pays-Bas.\n\nClassement final : 1- Serbie, 2- Grèce, 3- Slovénie, 4- France, 5- Lituanie, 6- Espagne, 7- Italie, 8- Croatie, 9- Turquie, 10- Allemagne, 11- Finlande, 12-République Tchèque, 13- Pologne, 14- Monténégro, 15-Israël, 16- Bosnie-Herzégovine, 17- Géorgie, 18- Ukraine, 19- Belgique, 20-Bulgarie, 21- Hongrie, 22- Grande-Bretagne, 23- Estonie, 24-Pays-Bas.\n\n\n\nPhoto : Thomas Heurtel (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/thomas-heurtel-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-31T09:59:00.000Z", "updated_at":"2022-08-30T20:18:11.000Z", "published_at":"2022-08-31T09:59:00.000Z", "custom_excerpt":"D’après les bookmakers, la France devrait se retrouver hors du podium de l’EuroBasket, soit derrière la Serbie, la Grèce et la Slovénie.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb49", "uuid":"1d546131-0473-49c0-ae8f-e315165034a8", "title":"Sarah Michel nouvelle capitaine de l’équipe de France féminine", "slug":"sarah-michel-nouvelle-capitaine-de-lequipe-de-france-feminine", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/Sandrine_Gruda?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"__GHOST_URL__/sandrine-gruda-forfait-pour-la-coupe-du-monde/\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"En l’absence de Sandrine Gruda, Sarah Michel (1,80 m, 33 ans) est promue capitaine des Bleues pour la Coupe du monde en Australie (22 septembre-1er octobre).\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sandrine Gruda forfait pour la Coupe du monde \"],[0,[1],1,\"en raison d’une lésion musculaire\"],[0,[],0,\", le staff de l’équipe de France féminine a choisi sa nouvelle capitaine. Il s’agit de la Berruyère Sarah Michel, qui sera épaulée d’Alexia Chartereau, vice-capitaine.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Arrivée sur le tard en équipe de France, en 2015, à l’âge de 27 ans, l’arrière de Bourges compte à ce jour 105 sélections sous le maillot bleu.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : Sarah Michel (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Sandrine Gruda forfait pour la Coupe du monde en raison d’une lésion musculaire, le staff de l’équipe de France féminine a choisi sa nouvelle capitaine. Il s’agit de la Berruyère Sarah Michel, qui sera épaulée d’Alexia Chartereau, vice-capitaine.
Arrivée sur le tard en équipe de France, en 2015, à l’âge de 27 ans, l’arrière de Bourges compte à ce jour 105 sélections sous le maillot bleu.
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|---|---|---|---|---|---|
| 2017 | Helsinki (FIN), Tel-Aviv (ISR), Cluj-Napoca (ROU), Istanbul (TUR) | Slovénie | Serbie | Espagne | Goran Dragic (SLO) |
| 2015 | Berlin (GER), Riga (LAT), Zagreb (CRO), Montpellier, Lille (FRA) | Espagne | Lituanie | France | Pau Gasol (ESP) |
| 2013 | Celje, Jesenice, Koper, Ljubljana (SLO) | France | Lituanie | Espagne | Tony Parker (FRA) |
| 2011 | Alytus, Kaunas, Klaipeda, Panevezys, Siauliai, Vilnius (LTU) | Espagne | France | Russie | Juan Carlos Navarro (ESP) |
| 2009 | Katowice, Lodz, Bydgoszcz, Wroclaw, Varsovie, Poznan, Gdansk (POL) | Espagne | Serbie | Grèce | Pau Gasol (ESP) |
| 2007 | Alicante, Grenade, Séville, Palma de Majorque, Madrid (ESP) | Russie | Espagne | Lituanie | Andreï Kirilenko (RUS) |
| 2005 | Vrsac, Podgorica, Novi Sad, Belgrade (SCG) | Grèce | Allemagne | France | Dirk Nowitzki (Allemagne) |
| 2003 | Boras, Lulea, Norrköpping, Södertälje, Stockholm (SWE) | Lituanie | Espagne | Italie | Sarunas Jasikevicius (LTU) |
| 2001 | Ankara, Antalya, Istanbul (TUR) | Yougoslavie | Turquie | Espagne | Predrag Stojakovic (YUG) |
| 1999 | Antibes, Clermont-Ferrand, Dijon, Toulouse, Le Mans, Pau, Paris (FRA) | Italie | Espagne | Yougoslavie | Gregor Fucka (ITA) |
| 1997 | Gérone, Badalona, Barcelone (ESP) | Yougoslavie | Italie | Russie | Aleksandar Djordjevic (YUG) |
| 1995 | Athènes (GRE) | Yougoslavie | Lituanie | Croatie | Sarunas Marciulionis (LTU) |
| 1993 | Berlin, Karlsruhe, Munich (Allemagne) | Allemagne | Russie | Croatie | Chris Welp (Allemagne) |
| 1991 | Rome (Italie) | Yougoslavie | Italie | Espagne | Toni Kukoc (YUG) |
| 1989 | Zagreb (YUG) | Yougoslavie | Grèce | Union soviétique | Drazen Petrovic (YUG) |
| 1987 | Athènes (GRE) | Grèce | Union soviétique | Yougoslavie | Nikos Galis (GRE) |
| 1985 | Karlsruhe, Leverkusen, Stuttgart (Allemagne) | Union soviétique | Tchécoslovaquie | Italie | Arvidas Sabonis (URS) |
| 1983 | Limoges, Caen, Nantes (FRA) | Italie | Espagne | Union soviétique | Juan Antonio Corbalan (ESP) |
| 1981 | Bratislava, Havirov, Prague (TCH) | Union soviétique | Yougoslavie | Tchécoslovaquie | Valdis Valters (URS) |
| 1979 | Mestre, Sienne, Gorizia, Turin (ITA) | Union soviétique | Israël | Yougoslavie | Mickey Berkowitz (ISR) |
| 1977 | Liège, Ostende (BEL) | Yougoslavie | Union soviétique | Tchécoslovaquie | Drazen Dalipagic (YUG) |
| 1975 | Belgrade, Split, Karlovac, Rijeka (YUG) | Yougoslavie | Union soviétique | Italie | Kresimir Cosic (YUG) |
| 1973 | Badalona, Barcelone (ESP) | Yougoslavie | Espagne | Union soviétique | Wayne Brabender (ESP) |
| 1971 | Essen, Böblingen (Allemagne) | Union soviétique | Yougoslavie | Italie | Kresimir Cosic (YUG) |
| 1969 | Naples, Caserte (ITA) | Union soviétique | Yougoslavie | Tchécoslovaquie | Sergueï Belov (URS) |
| 1967 | Helsinki, Tampere (FIN) | Union soviétique | Tchécoslovaquie | Pologne | Jiri Zednicek (TCH) |
| 1965 | Moscou, Tbilissi (URS) | Union soviétique | Yougoslavie | Pologne | Modestas Paulauskas (URS) |
| 1963 | Wrocław (POL) | Union soviétique | Pologne | Yougoslavie | Emiliano Rodríguez (ESP) |
| 1961 | Belgrade (YUG) | Union soviétique | Yougoslavie | Bulgarie | Radivoj Korac (YUG) |
| 1959 | Istanbul (TUR) | Union soviétique | Tchécoslovaquie | France | Viktor Zoubkov (URS) |
| 1957 | Sofia (BUL) | Union soviétique | Bulgarie | Tchécoslovaquie | Jiri Baumruk (TCH) |
| 1955 | Budapest (HUN) | Hongrie | Tchécoslovaquie | Union soviétique | Janos Greminger (HUN) |
| 1953 | Moscou (URS) | Union soviétique | Hongrie | France | Anatoly Koniev (URSS) |
| 1951 | Paris (FRA) | Union soviétique | Tchécoslovaquie | France | Ivan Mrazek (TCH) |
| 1949 | Le Caire (EGY) | Egypte | France | Grèce | Huseyin Ozturk (TUR) |
| 1947 | Prague (TCH) | Union soviétique | Tchécoslovaquie | Egypte | Aloann Lyssov (URSS) |
| 1946 | Genève (SUI) | Tchécoslovaquie | Italie | Hongrie | Ferenc Németh (HUN) |
| 1939 | Kaunas (LTU) | Lituanie | Lettonie | Pologne | Mykolas Rouzgys (LTU) |
| 1937 | Riga (LAT) | Lituanie | Italie | France | Pranas Talzunas (LTU) |
| 1935 | Genève (SUI) | Lettonie | Espagne | Tchécoslovaquie | Raphaël Martin (ESP) |
| AN | LIEU | OR | ARGENT | BRONZE | MVP |
|---|---|---|---|---|---|
| 2017 | Helsinki (FIN), Tel-Aviv (ISR), Cluj-Napoca (ROU), Istanbul (TUR) | Slovénie | Serbie | Espagne | Goran Dragic (SLO) |
| 2015 | Berlin (GER), Riga (LAT), Zagreb (CRO), Montpellier, Lille (FRA) | Espagne | Lituanie | France | Pau Gasol (ESP) |
| 2013 | Celje, Jesenice, Koper, Ljubljana (SLO) | France | Lituanie | Espagne | Tony Parker (FRA) |
| 2011 | Alytus, Kaunas, Klaipeda, Panevezys, Siauliai, Vilnius (LTU) | Espagne | France | Russie | Juan Carlos Navarro (ESP) |
| 2009 | Katowice, Lodz, Bydgoszcz, Wroclaw, Varsovie, Poznan, Gdansk (POL) | Espagne | Serbie | Grèce | Pau Gasol (ESP) |
| 2007 | Alicante, Grenade, Séville, Palma de Majorque, Madrid (ESP) | Russie | Espagne | Lituanie | Andreï Kirilenko (RUS) |
| 2005 | Vrsac, Podgorica, Novi Sad, Belgrade (SCG) | Grèce | Allemagne | France | Dirk Nowitzki (Allemagne) |
| 2003 | Boras, Lulea, Norrköpping, Södertälje, Stockholm (SWE) | Lituanie | Espagne | Italie | Sarunas Jasikevicius (LTU) |
| 2001 | Ankara, Antalya, Istanbul (TUR) | Yougoslavie | Turquie | Espagne | Predrag Stojakovic (YUG) |
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| 1997 | Gérone, Badalona, Barcelone (ESP) | Yougoslavie | Italie | Russie | Aleksandar Djordjevic (YUG) |
| 1995 | Athènes (GRE) | Yougoslavie | Lituanie | Croatie | Sarunas Marciulionis (LTU) |
| 1993 | Berlin, Karlsruhe, Munich (Allemagne) | Allemagne | Russie | Croatie | Chris Welp (Allemagne) |
| 1991 | Rome (Italie) | Yougoslavie | Italie | Espagne | Toni Kukoc (YUG) |
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| 1987 | Athènes (GRE) | Grèce | Union soviétique | Yougoslavie | Nikos Galis (GRE) |
| 1985 | Karlsruhe, Leverkusen, Stuttgart (Allemagne) | Union soviétique | Tchécoslovaquie | Italie | Arvidas Sabonis (URS) |
| 1983 | Limoges, Caen, Nantes (FRA) | Italie | Espagne | Union soviétique | Juan Antonio Corbalan (ESP) |
| 1981 | Bratislava, Havirov, Prague (TCH) | Union soviétique | Yougoslavie | Tchécoslovaquie | Valdis Valters (URS) |
| 1979 | Mestre, Sienne, Gorizia, Turin (ITA) | Union soviétique | Israël | Yougoslavie | Mickey Berkowitz (ISR) |
| 1977 | Liège, Ostende (BEL) | Yougoslavie | Union soviétique | Tchécoslovaquie | Drazen Dalipagic (YUG) |
| 1975 | Belgrade, Split, Karlovac, Rijeka (YUG) | Yougoslavie | Union soviétique | Italie | Kresimir Cosic (YUG) |
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| 1965 | Moscou, Tbilissi (URS) | Union soviétique | Yougoslavie | Pologne | Modestas Paulauskas (URS) |
| 1963 | Wrocław (POL) | Union soviétique | Pologne | Yougoslavie | Emiliano Rodríguez (ESP) |
| 1961 | Belgrade (YUG) | Union soviétique | Yougoslavie | Bulgarie | Radivoj Korac (YUG) |
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| 1957 | Sofia (BUL) | Union soviétique | Bulgarie | Tchécoslovaquie | Jiri Baumruk (TCH) |
| 1955 | Budapest (HUN) | Hongrie | Tchécoslovaquie | Union soviétique | Janos Greminger (HUN) |
| 1953 | Moscou (URS) | Union soviétique | Hongrie | France | Anatoly Koniev (URSS) |
| 1951 | Paris (FRA) | Union soviétique | Tchécoslovaquie | France | Ivan Mrazek (TCH) |
| 1949 | Le Caire (EGY) | Egypte | France | Grèce | Huseyin Ozturk (TUR) |
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Photo : Slovénie, 2017 (FIBA)
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|---|---|---|---|---|
Groupe B | 17:15 | Lituanie-Slovénie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 20:30 | France-Allemagne | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe C | 17:00 | Croatie-Grèce | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe C | 20:00 | Estonie-Italie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe B | 17:45 | France-Lituanie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe C | 21:00 | Grèce-Italie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe B | 14:30 | Allemagne-Lituanie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 20:30 | France-Hongrie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe C | 17:00 | Grande-Bretagne-Grèce | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe D | 21:00 | Finlande-Serbie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe B | 14:30 | France-Bosnie Herzégovine | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 20:30 | Allemagne-Slovénie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe A | 13:30 | Espagne-Turquie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 17:15 | France-Slovénie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 20:30 | Allemagne-Hongrie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
Groupe C | 17:00 | Estonie-Grèce | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe D | 21:00 | Pologne-Serbie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
Groupe B | 17:15 | Lituanie-Slovénie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 20:30 | France-Allemagne | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe C | 17:00 | Croatie-Grèce | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe C | 20:00 | Estonie-Italie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe B | 17:45 | France-Lituanie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe C | 21:00 | Grèce-Italie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe B | 14:30 | Allemagne-Lituanie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 20:30 | France-Hongrie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe C | 17:00 | Grande-Bretagne-Grèce | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe D | 21:00 | Finlande-Serbie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe B | 14:30 | France-Bosnie Herzégovine | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 20:30 | Allemagne-Slovénie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
| Groupe A | 13:30 | Espagne-Turquie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 17:15 | France-Slovénie | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe B | 20:30 | Allemagne-Hongrie | Canal+ Sport 360 |
| Groupe | Horaire | Match | Chaîne | |
|---|---|---|---|---|
Groupe C | 17:00 | Estonie-Grèce | Canal+ Sport 360 | |
| Groupe D | 21:00 | Pologne-Serbie | Canal+ Sport 360 |
Photo : Equipe de France (FIBA)
", "comment_id":"621898", "plaintext":"C’est le groupe Canal+ qui possède les droits de cet EuroBasket 2022. Les matches seront ainsi diffusés sur Canal+ Sport 360, et sur une chaîne du groupe M6 pour les demi-finales et finale si la France est présente.\n\n\nJEUDI 1er SEPTEMBRE\n\nGroupeHoraireMatchChaîne\nGroupe B17:15Lituanie-SlovénieCanal+ Sport 360Groupe B20:30France-Allemagne\nCanal+ Sport 360\n\n\n\nVENDREDI 2 SEPTEMBRE\n\nGroupeHoraireMatchChaîneGroupe C17:00Croatie-Grèce\nCanal+ Sport 360\nGroupe C20:00Estonie-Italie\nCanal+ Sport 360\n\n\n\nSAMEDI 3 SEPTEMBRE\n\nGroupe HoraireMatchChaîneGroupe B\n17:45\n\nFrance-Lituanie\n\nCanal+ Sport 360\nGroupe C21:00Grèce-Italie\nCanal+ Sport 360\n\n\n\nDIMANCHE 4 SEPTEMBRE\n\nGroupeHoraireMatchChaîneGroupe B14:30Allemagne-Lituanie\nCanal+ Sport 360\nGroupe B\n20:30\nFrance-Hongrie\nCanal+ Sport 360\n\n\n\nLUNDI 5 SEPTEMBRE\n\nGroupeHoraireMatch ChaîneGroupe C\n17:00\n\nGrande-Bretagne-Grèce\n\nCanal+ Sport 360\nGroupe D\n21:00\n\nFinlande-Serbie\n\nCanal+ Sport 360\n\n\n\nMARDI 6 SEPTEMBRE\n\nGroupeHoraireMatch ChaîneGroupe B\n14:30\n\n\nFrance-Bosnie Herzégovine\n\n\nCanal+ Sport 360\n\nGroupe B\n20:30\n\n\nAllemagne-Slovénie\n\n\nCanal+ Sport 360\n\n\n\n\nMERCREDI 7 SEPTEMBRE\n\nGroupeHoraireMatchChaîneGroupe A\n13:30\n\nEspagne-Turquie\n\nCanal+ Sport 360\nGroupe B\n17:15\n\nFrance-Slovénie\n\nCanal+ Sport 360\nGroupe B\n20:30\n\nAllemagne-Hongrie\n\nCanal+ Sport 360\n\n\n\nJEUDI 8 SEPTEMBRE\n\nGroupeHoraireMatchChaîne\nGroupe C\n\n17:00\n\nEstonie-Grèce\n\nCanal+ Sport 360\nGroupe D\n21:00\n\nPologne-Serbie\n\nCanal+ Sport 360\n\n\nPhoto : Equipe de France (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/france-2.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-31T07:00:00.000Z", "updated_at":"2022-08-30T20:19:24.000Z", "published_at":"2022-08-31T07:00:00.000Z", "custom_excerpt":"C’est le groupe Canal+ qui possède les droits de cet EuroBasket 2022. 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Depuis des années, les jeunes internationaux s’exportent aisément dans la “Grande ligue”, témoignage de la qualité de ces basketteurs formés ailleurs qu’aux Etats-Unis ! Une chose est sûre : l’EuroBasket 2022 élève son niveau.\"]]],[10,2],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Nikola Jokic et Giannis Antetokounmpo (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Hors modifications d’effectifs de dernière minute, ils devraient être 35 NBAers à faire parler leur talent aux quatre coins du Vieux continent durant la première quinzaine de septembre. Pour une grande partie d’entre eux, l’objectif est clair : repartir avec le trophée tant convoité. Car, dès lors que leur présence à cet EuroBasket eu été confirmée, leur sélection nationale respective s’est mise à rêver.
Trois des quatre meilleurs joueurs NBA au classement MVP de la saison 2021-2022 participent à cet Euro, le rendant si compétitif et prestigieux. Le double MVP en titre Nikola Jokic tiendra la tête de l’équipe serbe. Un autre double MVP de NBA, Giannis Antetokounmpo, s’occupera de remettre la Grèce sur la carte des grandes nations de basket. Et le dernier de ce formidable trio, Luka Doncic, 4e au ranking du MVP 2021-2022 dans la ligue outre-atlantique, défendra son titre de champion d’Europe acquis en 2017 avec la Slovénie. À l’époque, l’homme à tout faire était âgé de seulement 18 ans.
Durant la période de préparation, Nikola Jokic a pu affronter les deux superstars. Des duels scrutés de toute part et qui ont mis l’eau à la bouche des fans de balle orange.
En France aussi, les NBAers enfileront la tunique bleue et blanche. Ils auraient pu être davantage nombreux. Durant la préparation, Vincent Collet avait convié cinq NBAers. Après le forfait de Frank Ntilikina, l’équipe de France comptera sans doute quatre joueurs de NBA. Les nouveaux capitaine et co-capitaine des Bleus Evan Fournier et Rudy Gobert, l’ailier Timothé Luwawu-Cabarrot, et le meneur Théo Maledon.
Dans la liste des nations dont il faudra fortement se méfier, nous retrouverons la Turquie de Furkan Korkmaz, Cedi Osman et Alperen Sengun ; la Croatie de Bojan Bogdanovic, Dario Saric et Ivica Zubac ; ou encore la Lituanie du duo Domantas Sabonis – Jonas Valanciunas.
Elle se fait petite durant cette préparation… Et bien que son effectif soit moins impressionnant que lors des précédentes éditions, l’Espagne est évidemment une nation à ne pas sous-estimer. Revancharde des dernières compétitions internationales, la Roja pourra se venger à coup d’Usman Garuba et des frères Willy et Juancho Hernangomez.
L’Allemagne, à domicile, sera aussi redoutable avec ses NBAers et joueurs majeurs de sa sélection Dennis Schröder et Franz Wagner. Blessé durant la préparation, l’intérieur Daniel Theis est encore incertain pour la compétition.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/dennis-schroder-1.jpg\")
Mais aussi… Goran Dragic, Vlatko Cancar (Slovénie) ; Thanasis Antetokounmpo, Tyler Dorsey (Grèce) ; Goga Bitadze, Sandro Mamukelashvili (Géorgie) ; Alex Len, Sviatoslav Mykhailiuk (Ukraine) ; Jusuf Nurkic (Bosnie-Herzégovine) ; Lauri Markkanen (Finlande) ; Deni Avdija (Israël) ; Vit Krejci (République tchèque) ; Marko Simonovic (Monténégro) ; Simone Fontecchio (Italie).
La NBA s’empare donc de l’Europe… ou alors n’est-ce pas plutôt le contraire ? Depuis des années, les jeunes internationaux s’exportent aisément dans la “Grande ligue”, témoignage de la qualité de ces basketteurs formés ailleurs qu’aux Etats-Unis ! Une chose est sûre : l’EuroBasket 2022 élève son niveau.
Photo : Nikola Jokic et Giannis Antetokounmpo (FIBA)
", "comment_id":"622318", "plaintext":"Pour cette nouvelle édition de l’EuroBasket, la première depuis cinq ans, les joueurs européens de NBA sont nombreux à revêtir le maillot de leur sélection nationale lors du championnat continental.\n\nHors modifications d’effectifs de dernière minute, ils devraient être 35 NBAers à faire parler leur talent aux quatre coins du Vieux continent durant la première quinzaine de septembre. Pour une grande partie d’entre eux, l’objectif est clair : repartir avec le trophée tant convoité. Car, dès lors que leur présence à cet EuroBasket eu été confirmée, leur sélection nationale respective s’est mise à rêver.\n\nTrois des quatre meilleurs joueurs NBA au classement MVP de la saison 2021-2022 participent à cet Euro, le rendant si compétitif et prestigieux. Le double MVP en titre Nikola Jokic tiendra la tête de l’équipe serbe. Un autre double MVP de NBA, Giannis Antetokounmpo, s’occupera de remettre la Grèce sur la carte des grandes nations de basket. Et le dernier de ce formidable trio, Luka Doncic, 4e au ranking du MVP 2021-2022 dans la ligue outre-atlantique, défendra son titre de champion d’Europe acquis en 2017 avec la Slovénie. À l’époque, l’homme à tout faire était âgé de seulement 18 ans.\n\nDurant la période de préparation, Nikola Jokic a pu affronter les deux superstars. Des duels scrutés de toute part et qui ont mis l’eau à la bouche des fans de balle orange.\n\n\nWho’s up for a little Sombor Shuffle? 🃏#FIBAWC | #WinForAll x @KSSrbije pic.twitter.com/nzX88KhYik\n\n— FIBA Basketball World Cup (@FIBAWC) August 25, 2022\n\n\nEn France aussi, les NBAers enfileront la tunique bleue et blanche. Ils auraient pu être davantage nombreux. Durant la préparation, Vincent Collet avait convié cinq NBAers. Après le forfait de Frank Ntilikina, l’équipe de France comptera sans doute quatre joueurs de NBA. Les nouveaux capitaine et co-capitaine des Bleus Evan Fournier et Rudy Gobert, l’ailier Timothé Luwawu-Cabarrot, et le meneur Théo Maledon.\n\nDans la liste des nations dont il faudra fortement se méfier, nous retrouverons la Turquie de Furkan Korkmaz, Cedi Osman et Alperen Sengun ; la Croatie de Bojan Bogdanovic, Dario Saric et Ivica Zubac ; ou encore la Lituanie du duo Domantas Sabonis – Jonas Valanciunas.\n\nElle se fait petite durant cette préparation… Et bien que son effectif soit moins impressionnant que lors des précédentes éditions, l’Espagne est évidemment une nation à ne pas sous-estimer. Revancharde des dernières compétitions internationales, la Roja pourra se venger à coup d’Usman Garuba et des frères Willy et Juancho Hernangomez.\n\nL’Allemagne, à domicile, sera aussi redoutable avec ses NBAers et joueurs majeurs de sa sélection Dennis Schröder et Franz Wagner. Blessé durant la préparation, l’intérieur Daniel Theis est encore incertain pour la compétition.\n\nMais aussi… Goran Dragic, Vlatko Cancar (Slovénie) ; Thanasis Antetokounmpo, Tyler Dorsey (Grèce) ; Goga Bitadze, Sandro Mamukelashvili (Géorgie) ; Alex Len, Sviatoslav Mykhailiuk (Ukraine) ; Jusuf Nurkic (Bosnie-Herzégovine) ; Lauri Markkanen (Finlande) ; Deni Avdija (Israël) ; Vit Krejci (République tchèque) ; Marko Simonovic (Monténégro) ; Simone Fontecchio (Italie).\n\nLa NBA s’empare donc de l’Europe… ou alors n’est-ce pas plutôt le contraire ? Depuis des années, les jeunes internationaux s’exportent aisément dans la “Grande ligue”, témoignage de la qualité de ces basketteurs formés ailleurs qu’aux Etats-Unis ! Une chose est sûre : l’EuroBasket 2022 élève son niveau.\n\nPhoto : Nikola Jokic et Giannis Antetokounmpo (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/nikola-jokic-giannis-antetokounmpo.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-31T06:00:00.000Z", "updated_at":"2022-08-30T20:08:44.000Z", "published_at":"2022-08-31T06:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Pour cette nouvelle édition de l’EuroBasket, la première depuis cinq ans, les joueurs européens de NBA sont nombreux à revêtir le maillot de leur sélection nationale lors du championnat continental.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb4d", "uuid":"29e05ce8-9a8c-4de4-9074-e41c1f9cea7a", "title":"EuroBasket : Le programme des matches", "slug":"eurobasket-le-programme-des-matches", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le programme des matches de l’EuroBasket, qui se tient du 1er au 18 septembre. La phase préliminaire se joue sur quatre sites (Tbilissi, Cologne, Milan et Prague) et la phase finale à Berlin.\"]]],[1,\"h3\",[[0,[],0,\"Groupe A (Tbilissi, Géorgie)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jour 1 (Jeudi 1er septembre)\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Espagne vs Bulgarie (13h30 CET)\"]],[[0,[],0,\"Turquie vs Monténégro (16h15 CET)\"]],[[0,[],0,\"Belgique vs Géorgie (19h00 CET)\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jour 2 (Samedi 3 septembre)\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Monténégro vs Belgique (13h30 CET)\"]],[[0,[],0,\"Bulgarie vs Turquie (16h15 CET)\"]],[[0,[],0,\"Géorgie vs Espagne (19h00 CET)\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jour 3 (Dimanche 4 septembre)\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Bulgarie vs Monténégro (13h30 CET)\"]],[[0,[],0,\"Espagne vs Belgique (16h15 CET)\"]],[[0,[],0,\"Turquie vs Géorgie (19h00 CET)\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jour 4 (Mardi 6 septembre)\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"Belgique vs Turquie (13h30 CET)\"]],[[0,[],0,\"Monténégro vs Espagne (16h15 CET)\"]],[[0,[],0,\"Géorgie vs Bulgarie 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Jour 1 (Jeudi 1er septembre)
Jour 2 (Samedi 3 septembre)
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Jour 5 (Jeudi 8 septembre
Horaires des matches (à confirmer)
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Horaires des matches (ordre à confirmer)
Mardi 13 septembre
Mercredi 14 septembre
Horaires des matches (ordre à confirmer)
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Dimanche 18 septembre
Dimanche 18 septembre
Photo : La Slovénie, championne d’Europe en 2017 (FIBA)
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A revoir : épisode 1 – épisode 2 – épisode 3 – épisode 4 – épisode 5 – épisode 6 – épisode 7 – épisode 8 – épisode 9
Photo : Evan Fournier (FFBB)
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L’Espagne utilise ainsi la possibilité accordée par la FIBA d’utiliser les services d’un joueur naturalisé en équipe nationale comme elle l’a fait dans un passé récent avec Nikola Mirotic et Serge Ibaka.
« C’est une ressource absolument légale, la seule chose que nous ayons faite a été de suivre une règle de la FIBA , tout comme de nombreuses autres équipes, grandes et petites, l’ont fait. Je comprends qu’il y a des discussions sur les réseaux et dans les bars, sans une compréhension approfondie de cela. Et elles sont respectables, mais ça me dérange beaucoup qu’il y en ait qui viennent donner leur avis pour faire du bruit alors qu’ils ne bossent pas pour la formation. C’est un débat pour les réseaux, mais il ne correspond pas à la réalité. Il me semble que c’est du populisme avec un manque de profondeur et de contenu. Je ne peux pas fermer la porte, dans un moment de besoin absolu, à un joueur qui veut être là, qui fait un effort brutal pour être là. Il a une éducation exquise, il s’est parfaitement intégré. Il a été très respectueux avec les capitaines, avec les gens qui sont là depuis plus longtemps. Il a été, surtout les premiers jours, avec les yeux ouverts, apprenant sur le terrain et aussi en termes de coexistence, de méthodologie, de voyage, ce qu’est cette famille dont nous parlons tant, et dans laquelle il est entré avec grand soin jusqu’à ce qu’il en soit membre à part entière. L’équipe l’a accueilli à bras ouverts, pour sa qualité humaine et pour ses qualités sportives. Au final, ce que nous voulons, c’est gagner, être compétitif, avoir une coexistence de groupe qui nous permette d’être plus forts sur le terrain plus tard. Et Lorenzo s’est non seulement adapté, mais il est un atout très, très important à la fois sur et en dehors du terrain. »
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Je comprends qu’il y a des discussions sur les réseaux et dans les bars, sans une compréhension approfondie de cela. Et elles sont respectables, mais ça me dérange beaucoup qu’il y en ait qui viennent donner leur avis pour faire du bruit alors qu’ils ne bossent pas pour la formation. C’est un débat pour les réseaux, mais il ne correspond pas à la réalité. Il me semble que c’est du populisme avec un manque de profondeur et de contenu. Je ne peux pas fermer la porte, dans un moment de besoin absolu, à un joueur qui veut être là, qui fait un effort brutal pour être là. Il a une éducation exquise, il s’est parfaitement intégré. Il a été très respectueux avec les capitaines, avec les gens qui sont là depuis plus longtemps. Il a été, surtout les premiers jours, avec les yeux ouverts, apprenant sur le terrain et aussi en termes de coexistence, de méthodologie, de voyage, ce qu’est cette famille dont nous parlons tant, et dans laquelle il est entré avec grand soin jusqu’à ce qu’il en soit membre à part entière. L’équipe l’a accueilli à bras ouverts, pour sa qualité humaine et pour ses qualités sportives. Au final, ce que nous voulons, c’est gagner, être compétitif, avoir une coexistence de groupe qui nous permette d’être plus forts sur le terrain plus tard. Et Lorenzo s’est non seulement adapté, mais il est un atout très, très important à la fois sur et en dehors du terrain. »\n\nCela s’appelle de la Realpolitik.\n\nPhoto : Lorenzo Brown et Jorge Garbajosa", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/lorenzo-brown-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-30T16:50:00.000Z", "updated_at":"2022-08-30T12:04:38.000Z", "published_at":"2022-08-30T16:50:00.000Z", "custom_excerpt":"Dans une interview pour AS, le président de la fédération espagnole, Jorge Garbajosa revient sur la polémique qui a agité le basket espagnol suite à la naturalisation express de l’Américain Lorenzo Brown (1,96 m, 32 ans) et de son inclusion dans l’équipe nationale.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb50", "uuid":"4d981ea3-0590-482e-9a77-6ab50944891a", "title":"TV : France-Allemagne et France-Lituanie en clair !", "slug":"tv-france-allemagne-et-france-lituanie-en-clair", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/canalplus?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"L’EuroBasket 2022 marque la naissance de la chaîne \"],[0,[0],1,\"Canal+ Sport 360\"],[0,[],0,\", qui va offrir les deux premiers matches de l’équipe de France en clair.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"C’est sur \"],[0,[0],1,\"Canal+Sport 360\"],[0,[],0,\" que seront diffusés les matches du championnat d’Europe, et pour son lancement la chaîne sera en clair sur les box (SFR, Free, Orange…) pour France-Allemagne (1er septembre, 20h15) et France-Lituanie (3 septembre, 17h45).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\" \"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les journalistes George Eddy et Stéphane Genti et le consultant Christophe Denis seront aux commentaires.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Vincent Poirier (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"C’est sur Canal+Sport 360 que seront diffusés les matches du championnat d’Europe, et pour son lancement la chaîne sera en clair sur les box (SFR, Free, Orange…) pour France-Allemagne (1er septembre, 20h15) et France-Lituanie (3 septembre, 17h45).
Les journalistes George Eddy et Stéphane Genti et le consultant Christophe Denis seront aux commentaires.
Photo : Vincent Poirier (FIBA)
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Fran Guarra a été sacrifié pour sa part pour des considérations tactiques : l’Espagne, selon Scariolo, a besoin de joueurs qui peuvent contribuer à plusieurs rôles différents et Guerra n’est qu’un pur cinq.
« Ce sera une référence lors du prochain appel », a souligné l’Italien à propos du pivot de Lenovo Tenerife.
On note qu’avec 238 sélections internationales, Rudy Fernandez -15 tournois majeurs dans son sac à dos avec 6 EuroBasket, 4 Coupes du Monde, et 5 JO- en a presque autant que tous les autres joueurs réunis (288).
L’Espagne sera dans le groupe A de l’EuroBasket avec le Monténégro, la Géorgie, la Turquie, la Bulgarie et la Belgique.
Lorenzo Brown (1,96 m, 31 ans, Maccabi Tel Aviv)
Alberto Díaz (1,88 m, 28 ans, Unicaja Malaga)
Darío Brizuela (1,88 m, 27 ans, Unicaja Malaga)
Jaime Fernández (1,86 m, 29 ans, Lenovo Tenerife)
Joel Parra (2,02 m, 21 ans, Joventut Badalone)
Rudy Fernández (1,96 m, 37 ans, Real Madrid)
Xabi López-Arostegui (2,00 m, 25 ans,Valencia Basket)
Jaime Pradilla (2,02 m, 21 ans, Valencia Basket)
Juancho Hernangómez (2,06 m, 26 ans, Toronto Raptors)
Sebas Saiz (2,05 m, 28 ans, Alvark Tokyo)
Usman Garuba (2,03 m, 20 ans, Houston Rockets).
Willy Hernangómez (2,11 m, 28 ans, New Orleans Pelicans).
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Sandrine Gruda est depuis de nombreuses années la meilleure joueuse française et son forfait fait suite à ceux de Olivia Epoupa, Valériane Vukosavljevic, Endy Miyem, et encore Alix Duchet. De plus, si Marine Johannes peut réintégrer le groupe, Iliana Rupert et Gabby Williams sont toujours en course en WNBA. Un défi redoutable attend le nouveau coach Jean-Aimé Toupane et les Bleues en Australie.
Un match de préparation est prévu face à la Belgique vendredi 2 septembre (20h30), au Palais des Sports de Pau (match diffusé en direct sur BeIN SPORTS).
Photo : FIBA
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La FFBB rappelle dans un communiqué combien l’été fut fructueux dans la discipline.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"lls s’appellent Loïs Grasshoff, Rudy Ekwakwe-Priso, Loïc Noudogbessi, Mathys Kangudia et ils sont champions du monde. Au terme d’un parcours sans faute (7 victoires – 0 défaite), les Français sont montés sur la plus haute marche du podium pour la première fois depuis la création de la compétition en 2011. Jusqu’ici seule l’Équipe de France féminine 3×3 U18 avait réussi l’exploit d’être sacrée championne du monde (2015 et 2016). Malgré leur nonqualification pour la Coupe d’Europe U17 l’année dernière, la génération 2004 a montré qu’il faudra compter sur eux dans les années à venir. Élu dans l’équipe-type de la compétition, Rudy Ekwakwe-Priso (Elan Béarnais Pau-LacqOrthez) remporte le titre de MVP et termine meilleur marqueur Français de la compétition.\"],[1,[],0,0]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La moisson continue pour les Équipes de France 3×3 avec cette nouvelle médaille internationale même si il reste encore de nombreuses échéances à venir :\"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"Coupe du Monde 3×3 (Or) – Équipe de France féminine 3×3\"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"Coupe du Monde 3×3 (Bronze) – Équipe de France masculine 3×3\"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"Jeux Méditerranéens (Or) – Équipe de France masculine U23 3×3\"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"Jeux Méditerranéens (Argent) – Équipe de France féminine U23 3×3\"],[1,[],0,5],[0,[],0,\"Coupe du Monde 3×3 U18 (Or) – Équipe de France masculine U18 3×3\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"Coupe d’Europe 3×3 U17 : 2-4 septembre 2022\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"Coupe d’Europe 3×3 : 9-11 septembre 2022\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"Nations League Final : 14-16 septembre 2022\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"Women’s Series Final : 17-18 septembre 2022\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"Coupe du Monde 3×3 U23 : 5-9 octobre 2022\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À noter : La France est la seule nation à avoir placé ses deux équipes dans le dernier carré de la Coupe du Monde 3×3 U18. Les Françaises échouent au pied du podium après deux courtes défaites face à l’Allemagne en demi-finale (16-18) puis l’Espagne (14-16). Il n’aura malheureusement pas manqué grand-chose aux coéquipières de Daniela Dibanzilua qui réalisent tout de même une grande compétition.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Equipe de Fance 3×3 U18\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"lls s’appellent Loïs Grasshoff, Rudy Ekwakwe-Priso, Loïc Noudogbessi, Mathys Kangudia et ils sont champions du monde. Au terme d’un parcours sans faute (7 victoires – 0 défaite), les Français sont montés sur la plus haute marche du podium pour la première fois depuis la création de la compétition en 2011. Jusqu’ici seule l’Équipe de France féminine 3×3 U18 avait réussi l’exploit d’être sacrée championne du monde (2015 et 2016). Malgré leur nonqualification pour la Coupe d’Europe U17 l’année dernière, la génération 2004 a montré qu’il faudra compter sur eux dans les années à venir. Élu dans l’équipe-type de la compétition, Rudy Ekwakwe-Priso (Elan Béarnais Pau-LacqOrthez) remporte le titre de MVP et termine meilleur marqueur Français de la compétition.
La moisson continue pour les Équipes de France 3×3 avec cette nouvelle médaille internationale même si il reste encore de nombreuses échéances à venir :
Coupe du Monde 3×3 (Or) – Équipe de France féminine 3×3
Coupe du Monde 3×3 (Bronze) – Équipe de France masculine 3×3
Jeux Méditerranéens (Or) – Équipe de France masculine U23 3×3
Jeux Méditerranéens (Argent) – Équipe de France féminine U23 3×3
Coupe du Monde 3×3 U18 (Or) – Équipe de France masculine U18 3×3
Coupe d’Europe 3×3 U17 : 2-4 septembre 2022
Coupe d’Europe 3×3 : 9-11 septembre 2022
Nations League Final : 14-16 septembre 2022
Women’s Series Final : 17-18 septembre 2022
Coupe du Monde 3×3 U23 : 5-9 octobre 2022
À noter : La France est la seule nation à avoir placé ses deux équipes dans le dernier carré de la Coupe du Monde 3×3 U18. Les Françaises échouent au pied du podium après deux courtes défaites face à l’Allemagne en demi-finale (16-18) puis l’Espagne (14-16). Il n’aura malheureusement pas manqué grand-chose aux coéquipières de Daniela Dibanzilua qui réalisent tout de même une grande compétition.
Photo : Equipe de Fance 3×3 U18
", "comment_id":"622558", "plaintext":"L’Équipe de France masculine 3×3 U18 est devenue dimanche championne du monde pour la première fois de son histoire après avoir battu la Serbie en finale (21-17). La FFBB rappelle dans un communiqué combien l’été fut fructueux dans la discipline.\n\nlls s’appellent Loïs Grasshoff, Rudy Ekwakwe-Priso, Loïc Noudogbessi, Mathys Kangudia et ils sont champions du monde. Au terme d’un parcours sans faute (7 victoires – 0 défaite), les Français sont montés sur la plus haute marche du podium pour la première fois depuis la création de la compétition en 2011. Jusqu’ici seule l’Équipe de France féminine 3×3 U18 avait réussi l’exploit d’être sacrée championne du monde (2015 et 2016). Malgré leur nonqualification pour la Coupe d’Europe U17 l’année dernière, la génération 2004 a montré qu’il faudra compter sur eux dans les années à venir. Élu dans l’équipe-type de la compétition, Rudy Ekwakwe-Priso (Elan Béarnais Pau-LacqOrthez) remporte le titre de MVP et termine meilleur marqueur Français de la compétition.\n\n\nLa moisson continue pour les Équipes de France 3×3 avec cette nouvelle médaille internationale même si il reste encore de nombreuses échéances à venir :\nCoupe du Monde 3×3 (Or) – Équipe de France féminine 3×3\nCoupe du Monde 3×3 (Bronze) – Équipe de France masculine 3×3\nJeux Méditerranéens (Or) – Équipe de France masculine U23 3×3\nJeux Méditerranéens (Argent) – Équipe de France féminine U23 3×3\nCoupe du Monde 3×3 U18 (Or) – Équipe de France masculine U18 3×3\nCoupe d’Europe 3×3 U17 : 2-4 septembre 2022\nCoupe d’Europe 3×3 : 9-11 septembre 2022\nNations League Final : 14-16 septembre 2022\nWomen’s Series Final : 17-18 septembre 2022\nCoupe du Monde 3×3 U23 : 5-9 octobre 2022\n\nÀ noter : La France est la seule nation à avoir placé ses deux équipes dans le dernier carré de la Coupe du Monde 3×3 U18. Les Françaises échouent au pied du podium après deux courtes défaites face à l’Allemagne en demi-finale (16-18) puis l’Espagne (14-16). Il n’aura malheureusement pas manqué grand-chose aux coéquipières de Daniela Dibanzilua qui réalisent tout de même une grande compétition.\n\nPhoto : Equipe de Fance 3×3 U18", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/france-u18.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-30T10:30:00.000Z", "updated_at":"2022-08-30T07:58:15.000Z", "published_at":"2022-08-30T10:30:00.000Z", "custom_excerpt":"L’Équipe de France masculine 3×3 U18 est devenue dimanche championne du monde pour la première fois de son histoire après avoir battu la Serbie en finale (21-17). La FFBB rappelle dans un communiqué combien l’été fut fructueux dans la discipline.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb54", "uuid":"07059163-1655-4a7a-8c28-47c5a04c20a8", "title":"EuroBasket : Ilari Seppala (Saint-Chamond) avec la Finlande", "slug":"eurobasket-ilari-seppala-saint-chamond-avec-la-finlande", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"| # | Nom | Taille | Nais. | Club 2022–23 |
| 1 | Miro LITTLE | 195 | 2004 | Sunrise Christian HS (États-Unis) |
| 7 | Shawn HUFF | 198 | 1984 | Free agent |
| 9 | Sasu SALIN | 191 | 1991 | Lenovo Ténérife (ESP) |
| 11 | Petteri KOPONEN | 194 | 1988 | Free agent |
| 14 | Henri KANTONEN | 198 | 1997 | Kauhajoki |
| 18 | Mikaël JANTUNEN | 205 | 2000 | Trévise (ITA) |
| 19 | Elias VALTONEN | 200 | 1999 | Basquet Manresa(ESP) |
| 20 | Alexandre MADSEN | 208 | 1995 | AEK Athènes (GRE) |
| 21 | Edon MAXHUNI | 188 | 1998 | Free agent |
| 23 | Lauri MARKKANEN | 213 | 1997 | Cleveland Cavaliers(NBA) |
| 35 | Ilari SEPPÄLÄ | 188 | 1993 | Saint Chamond (FRA) |
| 41 | Topias PALMI | 196 | 1994 | Free agent |
La star est le pivot des Cavaliers Lauri Markkanen (21,8 points et 9,0 rebonds en 4 matches de qualifications à la Coupe du Monde). On remarque que pas moins de quatre joueurs n’ont toujours pas de club, ce qui n’est pas le cas de Ilari Seppala, qui a trouvé preneur à Saint-Chamond après avoir déjà évolué deux saisons à Aix-Maurienne.
| # | Nom | Taille | Nais. | Club 2022–23 |
| 1 | Miro LITTLE | 195 | 2004 | Sunrise Christian HS (États-Unis) |
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| 9 | Sasu SALIN | 191 | 1991 | Lenovo Ténérife (ESP) |
| 11 | Petteri KOPONEN | 194 | 1988 | Free agent |
| 14 | Henri KANTONEN | 198 | 1997 | Kauhajoki |
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| 19 | Elias VALTONEN | 200 | 1999 | Basquet Manresa(ESP) |
| 20 | Alexandre MADSEN | 208 | 1995 | AEK Athènes (GRE) |
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| 35 | Ilari SEPPÄLÄ | 188 | 1993 | Saint Chamond (FRA) |
| 41 | Topias PALMI | 196 | 1994 | Free agent |
Photo : Ilari Seppala (FIBA)
", "comment_id":"622569", "plaintext":"Première équipe européenne qualifiée pour la Coupe du Monde 2023, la Finlande a publié la liste des joueurs qui vont participer à l’EuroBasket.\n\nLa star est le pivot des Cavaliers Lauri Markkanen (21,8 points et 9,0 rebonds en 4 matches de qualifications à la Coupe du Monde). On remarque que pas moins de quatre joueurs n’ont toujours pas de club, ce qui n’est pas le cas de Ilari Seppala, qui a trouvé preneur à Saint-Chamond après avoir déjà évolué deux saisons à Aix-Maurienne.\n\n#NomTailleNais.Club 2022–231Miro LITTLE1952004Sunrise Christian HS (États-Unis)7Shawn HUFF1981984Free agent9Sasu SALIN1911991Lenovo Ténérife (ESP)11Petteri KOPONEN1941988Free agent14Henri KANTONEN1981997Kauhajoki18Mikaël JANTUNEN2052000Trévise (ITA)19Elias VALTONEN2001999Basquet Manresa(ESP)20Alexandre MADSEN2081995AEK Athènes (GRE)21Edon MAXHUNI1881998Free agent23Lauri MARKKANEN2131997Cleveland Cavaliers(NBA)35Ilari SEPPÄLÄ1881993Saint Chamond (FRA)41Topias PALMI1961994Free agent\n\n * Entraîneur : Lassi TUOVI\n * Directeur sportif : Henrik DETTMANN\n\nPhoto : Ilari Seppala (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/ilari-seppala.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-30T09:36:00.000Z", "updated_at":"2022-08-30T08:41:39.000Z", "published_at":"2022-08-30T09:36:00.000Z", "custom_excerpt":"Première équipe européenne qualifiée pour la Coupe du Monde 2023, la Finlande a publié la liste des joueurs qui vont participer à l’EuroBasket.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb55", "uuid":"5a2ad97a-566d-41ef-b5a0-89ca7df5028c", "title":"Euroleague : Nico Mannion et Tornike Shengelia toujours dans l’attente d’une prolongation de contrat avec la Virtus Bologne", "slug":"euroleague-nico-mannion-et-tornike-shengelia-toujours-dans-lattente-dune-prolongation-de-contrat-avec-la-virtus-bologne", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[],\"markups\":[[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[],0,\"Le meneur Niccolò Mannion (1,90 m, 21 ans) fait partie de l’équipe italienne qui est engagée à l’EuroBasket, mais son avenir à la Virtus Bologne n’a pas encore été totalement éclairci. Idem pour l’intérieur géorgien Tornike Shengelia (2,06 m, 30 ans).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"La Virtus Bologne attend de savoir quand Tornike Shengelia va pouvoir pleinement récupéré ses moyens après sa luxation de l’humérus avec atteinte des ligaments de l’épaule gauche qui le prive de l’EuroBasket. Pour lui pas d’opération, mais en attendant un pronostic précis, difficile de penser le revoir sur les terrains avant novembre. Le joueur, qui a un accord verbal avec le club pour une prolongation de deux ans n’a pas encore signé le contrat.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Par ailleurs, pour le moment, il n’y a aucun signe concret pour une prolongation du contrat de Nico Mannion bien que le PDG de la Virtus, Luca Baraldi a publiquement admis que l’intention du club serait de prolonger l’accord expirant en juin 2023. Il est probable que le sujet deviendra plus chaud au début de la saison.\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Photo : Nico Mannion (Virtus)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"La Virtus Bologne attend de savoir quand Tornike Shengelia va pouvoir pleinement récupéré ses moyens après sa luxation de l’humérus avec atteinte des ligaments de l’épaule gauche qui le prive de l’EuroBasket. Pour lui pas d’opération, mais en attendant un pronostic précis, difficile de penser le revoir sur les terrains avant novembre. Le joueur, qui a un accord verbal avec le club pour une prolongation de deux ans n’a pas encore signé le contrat.
Par ailleurs, pour le moment, il n’y a aucun signe concret pour une prolongation du contrat de Nico Mannion bien que le PDG de la Virtus, Luca Baraldi a publiquement admis que l’intention du club serait de prolonger l’accord expirant en juin 2023. Il est probable que le sujet deviendra plus chaud au début de la saison.
Photo : Nico Mannion (Virtus)
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« Ce fut vraiment différent, et de manière positive. Je suis vraiment heureuse d’être venue ici cette saison. J’étais excitée de travailler avec Sandy (NDLR: sa coach Sandy Brondello, qui est aussi celle de l’Australie) et tout le monde. J’espère que je reviendrai, » a t-elle commenté.
Incontestablement, sa créativité est en osmose avec le jeu prôné en WNBA. Même les Américains sont subjugués par certaines de ses fulgurances. Mais quel sera son futur dans la ligue ? L’été prochain, l’Euro est programmé du 15 au 25 juin, alors qu’en 2024, elle devrait se consacrer entièrement aux Jeux Olympiques de Paris. Enchaîner saison en club-WNBA-équipe nationale est excitant mais aussi un non sens sur le plan de la santé. A peine seront t-elles revenues d’Australie que les internationales vont devoir enclencher sur le championnat de France et les coupes européennes. Toute mécanique si belle soit-elle a besoin de temps de repos. A 27 ans, la Normande doit faire attention à ne pas se brûler les ailes.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/marine-johannes.jpg\")
Gabril Deck du Real Madrid s’est régalé face au Bahamas, culminant à 37 points et 7 rebonds, alors que Facundo Campazzo a réalisé un double double avec 17 points et 10 passes. De plus, l’arrière des Indiana Pacers, Buddy Hield, a été bien tenu à 10 points pour un 4/11 aux tirs et 8 balles perdues, plus tout de même 7 rebonds et 6 passes.
Il n’y a eu aucun suspense lors du match Panama-Canada. Les Canadiens ont effectué une différence d’entrée menant 33-7. Sous la conduite du meneur Kevin Pangos (17 points, 5 rebonds, 5 passes), ils ont continué jusqu’au bout leur marche en avant. Kelly Olynik s’est révélé le meilleur marqueur et les 12 Canadiens ont scoré. Le Panama s’est contenté d’un pauvre 26,5% aux shoots.
Le Canada est ainsi toujours invaincu dans le groupe E (8-0) devant le Venezuela (7-1) et l’Argentine (6-2).
Photo : Kevin Pangos (Canada, FIBA)
", "comment_id":"622545", "plaintext":"Lors des qualifications à la Coupe du Monde de la zone américaine, l’Argentine et le Canada ont passé une soirée tranquille face à des équipes modestes, respectivement les Bahamas (95-77) et le Panama (50-106).\n\nGabril Deck du Real Madrid s’est régalé face au Bahamas, culminant à 37 points et 7 rebonds, alors que Facundo Campazzo a réalisé un double double avec 17 points et 10 passes. De plus, l’arrière des Indiana Pacers, Buddy Hield, a été bien tenu à 10 points pour un 4/11 aux tirs et 8 balles perdues, plus tout de même 7 rebonds et 6 passes.\n\nIl n’y a eu aucun suspense lors du match Panama-Canada. Les Canadiens ont effectué une différence d’entrée menant 33-7. Sous la conduite du meneur Kevin Pangos (17 points, 5 rebonds, 5 passes), ils ont continué jusqu’au bout leur marche en avant. Kelly Olynik s’est révélé le meilleur marqueur et les 12 Canadiens ont scoré. Le Panama s’est contenté d’un pauvre 26,5% aux shoots.\n\nLe Canada est ainsi toujours invaincu dans le groupe E (8-0) devant le Venezuela (7-1) et l’Argentine (6-2).\n\nPhoto : Kevin Pangos (Canada, FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/kevin-pangos.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-30T07:17:42.000Z", "updated_at":"2022-08-30T07:17:49.000Z", "published_at":"2022-08-30T07:17:42.000Z", "custom_excerpt":"Lors des qualifications à la Coupe du Monde de la zone américaine, l’Argentine et le Canada ont passé une soirée tranquille face à des équipes modestes, respectivement les Bahamas (95-77) et le Panama (50-106).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb58", "uuid":"f7ab63e8-a40c-4636-abe5-6a129fc1d33b", "title":"Ettore Messina regrette d’avoir écarté Simone Fontecchio à Milan", "slug":"ettore-messina-regrette-davoir-ecarte-simone-fontecchio-a-milan", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://basketeurope.com/livenews-fr/622499/eurobasket-litalie-annonce-sa-liste-sans-danilo-gallinari/embed/#?secret=GdzV9vo29A#?secret=tPbusQ3uLa\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"Interrogé en amont de l’EuroBasket à Milan, le sélectionneur italien et coach de l’Olimpia Ettore Messina se souvient de l’époque où il a écarté Simone Fontecchio en club, avant qu’il n’explose avec l’Alba Berlin.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ettore Messina est l’un des coachs les plus respectés d’Europe. Et quand il se trompe, l’ancien assistant de Gregg Popovich l’admet, même à retardement. Arrivé en 2019 à la tête de l’Olimpia Milan, le tacticien italien regrette de ne pas avoir conservé, à l’époque, Simone Fontecchio, futur joueur du Utah Jazz et leader présumé de la Nazionale à l’Euro, dans son équipe en 2020.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« Je ne m’attendais pas à un tel développement de sa part. Il a fait un bond énorme. Nicolo Melli a dû aller à Bamberg pour devenir Nicolo Melli, tout comme Simone Fontecchio a dû aller à l’Alba Berlin pour devenir Simone Fontecchio. Évidemment, il n’a pas été assez aidé dans sa progression ici, et je suis le premier responsable de ça. Lorsque nous avons discuté en 2020, je ne pensais pas pouvoir lui accorder plus de 5 à 10 minutes de temps de jeu car nous avions Vlado Micov et MarShon Brooks. A cette époque, j’aurais peut-être dû accorder moins de minutes à Micov ou Brooks et envoyer Simone Fontecchio sur le terrain. Je pensais agir dans son intérêt en lui disant qu’il ne jouerait plus. Il a choisi Berlin et a explosé là-bas », a regretté l’Italien de 62 ans.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Ettore Messina a profité de l’occasion pour faire l’éloge de l’effectif 2022-2023 de l’Olimpia Milan, le qualifiant de « \"],[0,[1],1,\"plus fort et de plus profond depuis qu’il est avec le club\"],[0,[],0,\" ».\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« J’espère que cet effectif nous permettra de passer à l’étape suivante. L’objectif est de gagner la compétition. Mais il faudra d’abord gagner sa place en playoffs car 8 places sont disponibles pour 18 équipes au départ, rien n’est simple. Quand il y a des blessés, il y a quelques minutes pour tout le monde et tout le monde est content, aussi parce que ceux qui sont en dehors de l’équipe peuvent récupérer et la retrouver en bonne position. Les problèmes surviennent quand tout le monde est en bonne santé et quelqu’un doit rester sur le banc et vous devez être honnête, clarifier la situation », a souligné le coach.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Simone Fontecchio (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Ettore Messina est l’un des coachs les plus respectés d’Europe. Et quand il se trompe, l’ancien assistant de Gregg Popovich l’admet, même à retardement. Arrivé en 2019 à la tête de l’Olimpia Milan, le tacticien italien regrette de ne pas avoir conservé, à l’époque, Simone Fontecchio, futur joueur du Utah Jazz et leader présumé de la Nazionale à l’Euro, dans son équipe en 2020.
« Je ne m’attendais pas à un tel développement de sa part. Il a fait un bond énorme. Nicolo Melli a dû aller à Bamberg pour devenir Nicolo Melli, tout comme Simone Fontecchio a dû aller à l’Alba Berlin pour devenir Simone Fontecchio. Évidemment, il n’a pas été assez aidé dans sa progression ici, et je suis le premier responsable de ça. Lorsque nous avons discuté en 2020, je ne pensais pas pouvoir lui accorder plus de 5 à 10 minutes de temps de jeu car nous avions Vlado Micov et MarShon Brooks. A cette époque, j’aurais peut-être dû accorder moins de minutes à Micov ou Brooks et envoyer Simone Fontecchio sur le terrain. Je pensais agir dans son intérêt en lui disant qu’il ne jouerait plus. Il a choisi Berlin et a explosé là-bas », a regretté l’Italien de 62 ans.
Ettore Messina a profité de l’occasion pour faire l’éloge de l’effectif 2022-2023 de l’Olimpia Milan, le qualifiant de « plus fort et de plus profond depuis qu’il est avec le club ».
« J’espère que cet effectif nous permettra de passer à l’étape suivante. L’objectif est de gagner la compétition. Mais il faudra d’abord gagner sa place en playoffs car 8 places sont disponibles pour 18 équipes au départ, rien n’est simple. Quand il y a des blessés, il y a quelques minutes pour tout le monde et tout le monde est content, aussi parce que ceux qui sont en dehors de l’équipe peuvent récupérer et la retrouver en bonne position. Les problèmes surviennent quand tout le monde est en bonne santé et quelqu’un doit rester sur le banc et vous devez être honnête, clarifier la situation », a souligné le coach.
Photo : Simone Fontecchio (FIBA)
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Lorsque nous avons discuté en 2020, je ne pensais pas pouvoir lui accorder plus de 5 à 10 minutes de temps de jeu car nous avions Vlado Micov et MarShon Brooks. A cette époque, j’aurais peut-être dû accorder moins de minutes à Micov ou Brooks et envoyer Simone Fontecchio sur le terrain. Je pensais agir dans son intérêt en lui disant qu’il ne jouerait plus. Il a choisi Berlin et a explosé là-bas », a regretté l’Italien de 62 ans.\n\nEttore Messina a profité de l’occasion pour faire l’éloge de l’effectif 2022-2023 de l’Olimpia Milan, le qualifiant de « plus fort et de plus profond depuis qu’il est avec le club ».\n\n« J’espère que cet effectif nous permettra de passer à l’étape suivante. L’objectif est de gagner la compétition. Mais il faudra d’abord gagner sa place en playoffs car 8 places sont disponibles pour 18 équipes au départ, rien n’est simple. Quand il y a des blessés, il y a quelques minutes pour tout le monde et tout le monde est content, aussi parce que ceux qui sont en dehors de l’équipe peuvent récupérer et la retrouver en bonne position. Les problèmes surviennent quand tout le monde est en bonne santé et quelqu’un doit rester sur le banc et vous devez être honnête, clarifier la situation », a souligné le coach.\n\nPhoto : Simone Fontecchio (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/simone-fontecchio-italie-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-30T06:36:39.000Z", "updated_at":"2022-08-30T06:36:47.000Z", "published_at":"2022-08-30T06:36:39.000Z", "custom_excerpt":"Interrogé en amont de l’EuroBasket à Milan, le sélectionneur italien et coach de l’Olimpia Ettore Messina se souvient de l’époque où il a écarté Simone Fontecchio en club, avant qu’il n’explose avec l’Alba Berlin.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb59", "uuid":"b35f3ab3-0238-4282-8006-8caa6bdd1101", "title":"Qualif. Coupe du monde : John Jenkins permet à Team USA de vaincre la Colombie", "slug":"qualif-coupe-du-monde-john-jenkins-permet-a-team-usa-de-vaincre-la-colombie", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://twitter.com/FIBAWC?ref_src=twsrc%5Etfw\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"a\",[\"href\",\"https://www.fiba.basketball/basketballworldcup/2023/americas-qualifiers/game/2908/Colombia-USA\"]],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"Lundi soir, les Etats-Unis ont battu la Colombie lors des éliminatoires à la Coupe du monde (95-77). Team USA se rapproche d’une qualification au Mondial.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A Barranquilla, les Etats-Unis se sont débarrassés sans forcer de la Colombie. Un succès acquis grâce à l’ancien arrière du BCM Gravelines-Dunkerque, John Jenkins, qui a mené ses coéquipiers à la victoire avec 26 points (dont 8/14 à 3-points). L’ancien de la JL Bourg Eric Mika a ajouté 7 points, 9 rebonds et 3 passes décisives.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cette victoire met les Américains (7-1) en position de décrocher une place pour la Coupe du monde – qui se tiendra aux Philippines, au Japon et en Indonésie en 2023 – lors de la prochaine fenêtre de qualification, mi-novembre.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« J’ai d’excellents coéquipiers qui m’ont trouvé dans mes positions favorites. Nous ne jouons pas ensemble depuis longtemps, mais nous avons eu du temps pour affiner notre tactique. L’entraîneur (Jim) Boylen nous permet de jouer sur nos points forts », a confié le héros du soir à la FIBA.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les États-Unis affichent désormais un bilan de 7-1 dans le groupe F et ont deux victoires d’avance sur le Brésil, le Mexique et l’Uruguay (5-3). 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Cette victoire met les Américains (7-1) en position de décrocher une place pour la Coupe du monde – qui se tiendra aux Philippines, au Japon et en Indonésie en 2023 – lors de la prochaine fenêtre de qualification, mi-novembre.
« J’ai d’excellents coéquipiers qui m’ont trouvé dans mes positions favorites. Nous ne jouons pas ensemble depuis longtemps, mais nous avons eu du temps pour affiner notre tactique. L’entraîneur (Jim) Boylen nous permet de jouer sur nos points forts », a confié le héros du soir à la FIBA.
Les États-Unis affichent désormais un bilan de 7-1 dans le groupe F et ont deux victoires d’avance sur le Brésil, le Mexique et l’Uruguay (5-3). Les États-Unis affronteront le Brésil et de nouveau la Colombie les 11 et 14 novembre prochains.
Photo : John Jenkins (FIBA)
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Dans la zone Afrique, la Côte d’Ivoire a largement dominé le Cap-Vert. Invaincus, les partenaires de Vanessa Fofana, Souleyman Diabate, Jean-François Kebe ou encore… le naturalisé Alex Poythress aborderont la prochaine fenêtre de qualification, en février, sans la moindre pression.
Dans la zone Asie, le Liban est de retour à la Coupe du monde pour la première fois depuis 2010. Les Libanais s’étaient notamment imposés lors de la première phase face au Canada.
Sans surprise, ils seront accompagnés, dans la zone Océanie, de la Nouvelle-Zélande, qui a battu la Jordanie, et qui participera à son 6e Mondial consécutif. L’Australie ne devrait pas tarder à officialiser sa présence.
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Tous rejoignent les hôtes, le Japon et les Philippines, sur la ligne de départ de la Coupe du monde 2023.
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Les Libanais s’étaient notamment imposés lors de la première phase face au Canada.\n\nSans surprise, ils seront accompagnés, dans la zone Océanie, de la Nouvelle-Zélande, qui a battu la Jordanie, et qui participera à son 6e Mondial consécutif. 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Avant de penser à soulever un tel trophée, encore faut-il passer l’obstacle du premier tour, à Cologne, où les vice-champions olympiques ont été placés dans « le groupe de la mort » avec l’Allemagne, la Lituanie, la Hongrie, la Bosnie-Herzégovine et la Slovénie. Focus sur les premiers adversaires des Bleus.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À peine la préparation express et les qualifications à la Coupe du monde digérées, l’équipe de France s’envole pour l’Allemagne où l’attend un EuroBasket des plus relevés (1-18 septembre). Au premier tour, les Bleus ont hérité du groupe B, dit « groupe de la mort », à Cologne, avec comme seul avantage celui de s’acclimater au pays où aura lieu la deuxième phase, à Berlin, à 500 km de là. Ce qui ne sera pas le cas des autres poules, à Prague, Milan et Tbilissi. En revanche, les adversaires qui font face aux Bleus n’ont rien d’un cadeau.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les hommes de Vincent Collet – 4e au classement FIBA, 2e de la zone euro – lanceront leur championnat d’Europe par un choc face au pays-hôte, l’Allemagne, en ouverture. La suite du programme est tout aussi complexe avec, dans l’ordre, la Lituanie de Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis, la Hongrie, la Bosnie-Herzégovine – qui vient de battre les Bleus à Sarajevo – et la Slovénie de Luka Doncic, tenante du titre et première favorite à sa succession.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Sortir de ce groupe en terminant dans les quatre premiers ne relèverait pas d’un exploit pour les vice-champions olympiques, mais l’adversité est telle que l’équipe de France n’aura – déjà – pas le droit à l’erreur, ou bien devra en payer le prix fort dès les huitièmes de finale. En deuxième phase, le groupe B croisera avec le groupe A composé de l’Espagne, la Turquie, le Monténégro, la Géorgie, la Belgique et la Bulgarie. La première semaine sera d’une importance capitale, comme rarement elle le fut jusqu’alors dans un Euro.\"]]],[10,0],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Allemagne\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Classement FIBA\"],[0,[],0,\" : 11e (8e zone Europe)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Les 13 joueurs restants : \"],[0,[],0,\"Niels Giffey / Justin Hollatz / David Kramer / Maodo Lo / Andreas Obst / Dennis Schroder / Christian Sengfelder / Daniel Theis (incertain) / Johannes Thiemann / Johannes Voigtmann / Nick Weiler-Babb / Franz Wagner / Jonas Wohlfarth\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Premier adversaire\"],[0,[],0,\" : France – 1er septembre (20h30)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et si le match d’ouverture était déjà capital pour les Bleus ? L’équipe de France disputera, après une cérémonie en l’honneur de Dirk Nowitzki, son premier match à Cologne devant 18 500 spectateurs, et ne devra pas céder sous la pression comme elle l’a fait contre la Bosnie-Herzégovine samedi dernier. D’autant que l’Allemagne, bourreau des Bleus à l’Euro 2017 au stade des huitièmes de finale – malgré 17 ans sans médaille – arrive avec une génération plutôt expérimentée, qui a réalisé une préparation solide malgré les absents. Au compteur : seule une défaite en Serbie, des victoires avec marge sur la République Tchèque, la Suède et, surtout, la dernière en date, contre la Slovénie, avec la manière (90-71).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En chef de file, le NBAer Dennis Schroder, incertain pendant la préparation (cheville) et finalement apte à tenir son rang, mais aussi Franz Wagner, qui souhaite capitaliser sur sa bonne première saison en NBA (Rookie First Team), ou encore l’inévitable Daniel Theis (toutefois incertain). Sans oublier les habitués de l’Euroleague, Maodo Lo, Nick Weiler-Babb, Andreas Obst, Johannès Voigtmann ou Johannès Thiemann. Une équipe équilibrée, aux forces diverses sur tous les postes malgré plusieurs absents (Moritz Wagner, Maxi Kleber, Tibor Pleiss, Isaac Bonga, Isaiah Hartenstein), capable de rivaliser sur 40 minutes avec de nombreux adversaires… et poussée par son public.\"]]],[10,1],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Lituanie\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Classement FIBA\"],[0,[],0,\" : 8e (5e zone Europe)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La liste des 12 \"],[0,[],0,\": Ignas Brazdeikis / Arnas Butkevicius / Martynas Echodas / Rokas Giedraitis / Marius Grigonis / Rokas Jokubaitis / Mindaugas Kuzminskas / Lukas Lekavicius / Domantas Sabonis / Jonas Valanciunas / Kristupas Zemaitis / Eigirdas Zukauskas\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Premier adversaire\"],[0,[],0,\" : Slovénie – 1er septembre (17h15)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En préparation, la Lituanie s’est conjuguée au plus-que-parfait. Sept victoires en sept matches, dont deux contre l’Espagne, et pour terminer un succès sur le Monténégro (qui venait de dominer la Bosnie). Pas étonnant qu’elle devance jusqu’alors l’équipe de France dans son groupe aux qualif’ pour le Mondial 2023. Au-delà des résultats, le contenu est parfaitement maîtrisé, le collectif huilé. Son attaque est l’une des meilleures de la préparation, avec trois dernières sorties à 88 points ou plus.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme les Bleus, trois joueurs auront très peu de responsabilités (Echodas, Zukauskas, Zemaitis). En revanche, la Lituanie pourra compter sur un cinq de départ exceptionnel (Jokubaitis – Brazdeikis – Giedraitis – Sabonis – Valanciunas), peut-être le plus attractif de la compétition, auquel il faut ajouter Marius Grigonis, pour ne citer que lui, en sortie de banc. Autant de joueurs qui dominent en Euroleague mais aussi en NBA, en ce qui concerne le duo d’intérieurs superstars. On n’imagine même pas si Kazys Maksvytis aurait pu compter sur Donatas Motiejunas, Arturas Gudaitis, Tadas Sedekerskis ou encore Edgaras Ulanovas.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Pas montée sur un podium international depuis l’Euro 2015, la Lituanie espère remédier à cela cette année. Mais attention au tirage, car ouvrir une compétition par des oppositions face à la Slovénie, la France (puis l’Allemagne le lendemain à 14h30) n’est pas chose aisée.\"]]],[10,2],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Hongrie\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Classement FIBA\"],[0,[],0,\" : 43e (21e zone Europe)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La liste des 12 \"],[0,[],0,\": Rosco Allen / Szilard Benke / Janos Eillingsfeld / Csaba Ferencz / Gyorgy Goloman / Adam Hanga / Kemal Karaodzic / Akos Keller / Zoltan Perl / Adam Somogyi / Benedek Varadi / David Vojvoda\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Premier adversaire\"],[0,[],0,\" : Bosnie-Herzégovine – 1er septembre (14h30)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À la lecture de l’effectif hongrois, ce serait un véritable exploit que l’équipe dirigée par le Monténégrin Stojan Ivkovic arrive en huitièmes de finale. 43e nation au ranking FIBA, elle ne compte dans ses rangs qu’un seul joueur de renommée européenne : Adam Hanga. En préparation : des succès contre la Géorgie et la Slovaquie, des larges défaites contre la Lituanie et la Croatie… mais aussi une dernière victoire intéressante en République Tchèque (79-82) qui maintient la sélection hongroise en course pour un ticket à la Coupe du monde.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À noter qu’au-delà des deux succès des Bleus contre la Hongrie lors de la première phase de qualif’ au Mondial, leur star Adam Hanga était retenue en Euroleague avec le Real Madrid. Il ne faudrait pas qu’une déconvenue contre les Hongrois, que les Bleus affronteront en milieu de premier tour à l’Euro, ne vienne briser un possible élan de début de compétition.\"]]],[10,3],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Bosnie-Herzégovine\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Classement FIBA\"],[0,[],0,\" : 46e (24e zone Europe)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La liste des 12 \"],[0,[],0,\": Edin Atic / Sani Campara / Amar Gegic / Miralem Halilovic / Kenan Kamenjas / Aleksandar Lazic / Dzanan Musa / Jusuf Nurkic / Ajdin Penava / John Roberson / Emir Sulejmanovic / Adin Vrabac\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Premier adversaire\"],[0,[],0,\" : Hongrie – 1er septembre (14h30)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les Bleus l’ont appris à leur dépens samedi dernier : la Bosnie-Herzégovine n’est pas un adversaire à prendre à la légère. Son classement FIBA n’en fait pas un favori en deuxième semaine mais, sur un match, elle est capable de prendre feu, comme à Sarajevo contre les hommes de Vincent Collet, en témoigne la série infligée au troisième quart-temps (19-0).\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Cela est surtout dû à la présence de deux joueurs : le NBAer Jusuf Nurkic, à la panoplie large et la présence incontournable, mais aussi le MVP de Liga Endesa Dzanan Musa, nouvelle recrue du Real Madrid. Ces deux-là peuvent renverser le cours d’une rencontre et prendre feu à tout moment, sans compter les apports de l’ancien Strasbourgeois naturalisé John Roberson, et du néo-Nanterrien Miralem Halilovic, deux valeurs sûres du championnat de France.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Malgré une préparation tronquée, notamment à cause des déboires financiers de leur fédération, qui ont d’ailleurs menacé leur présence à l’Euro, les Bosniens viendront à Cologne avec l’objectif de réitérer un exploit… et de se faufiler au deuxième tour.\"]]],[10,4],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Slovénie\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Classement FIBA\"],[0,[],0,\" : 5e (3e zone Europe)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"La liste des 12 \"],[0,[],0,\": Jaka Blazic / Vlatko Cancar / Luka Doncic / Ziga Dimec / Goran Dragic / Zoran Dragic / Edo Muric / Aleksej Nikolic / Klemen Prepelic / Luka Rupnik / Ziga Samar / Mike Tobey\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Premier adversaire\"],[0,[],0,\" : Lituanie – 1er septembre (17h15)\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Il y a cinq ans, lors du dernier championnat d’Europe, la Slovénie avait surpris bon nombre d’observateurs pour s’imposer. Cette année, ce pays de seulement 2 millions d’habitants est attendu au tournant, il est même donné favori de la compétition par les bookmakers. D’autant que Luka Doncic a convaincu Goran Dragic de revenir en sélection pour l’occasion. Batman et Robin seront les deux chefs d’orchestre d’une équipe toujours aussi offensive, avec également dans ses rangs Klemen Prepelic, Mike Tobey ou Vlatko Cancar.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"En préparation, la Slovénie – même quand elle fut privée de Luka Doncic – a fait le plein de confiance, avec 7 succès en autant de rencontres dont face à la Turquie, la Serbie ou encore la Croatie… jusqu’à sa défaite fleuve en Allemagne (90-71), dimanche, où la star des Dallas Mavericks s’est même foulée la cheville (sans gravité). Un mini coup d’arrêt non sans rappeler celui de l’équipe de France. Dernier adversaire des Bleus à Cologne, ce duel contre la Slovénie s’annonce électrique, d’autant qu’il pourrait avoir à la fois un rôle primordial dans le classement final du groupe mais aussi, et surtout, un goût de revanche vis-à-vis de la demi-finale olympique de Tokyo.\"]]],[10,5],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Groupe B – Calendrier\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Jeudi 1er septembre\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"14h30 : Bosnie-Herzégovine – Hongrie\"]],[[0,[],0,\"17h15 : Slovénie – Lituanie\"]],[[0,[],0,\"20h30 : Allemagne – France\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Samedi 3 septembre\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"14h30 : Allemagne – Bosnie-Herzégovine\"]],[[0,[],0,\"17h45 : France – Lituanie\"]],[[0,[],0,\"20h30 : Hongrie – Slovénie\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Dimanche 4 septembre\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"14h30 : Allemagne – Lituanie\"]],[[0,[],0,\"17h45 : Slovénie – Bosnie-Herzégovine\"]],[[0,[],0,\"20h30 : France – Hongrie\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Mardi 6 septembre\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"14h30 : Bosnie-Herzégovine – France\"]],[[0,[],0,\"17h15 : Hongrie – Lituanie\"]],[[0,[],0,\"20h30 : Allemagne – Slovénie\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Mercredi 7 septembre\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"14h30 : Lituanie – Bosnie-Herzégovine\"]],[[0,[],0,\"17h15 : France – Slovénie\"]],[[0,[],0,\"20h30 : Allemagne – Hongrie\"]]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Le programme de l’équipe de France à l’EuroBasket 2022\"]]],[3,\"ul\",[[[0,[],0,\"1er septembre à 20h30 : France – Allemagne (à Cologne)\"]],[[0,[],0,\"3 septembre à 17h45 : Lituanie – France (à Cologne)\"]],[[0,[],0,\"4 septembre à 20h30 : France – Hongrie (à Cologne)\"]],[[0,[],0,\"6 septembre à 14h30 : Bosnie-Herzégovine – France (à Cologne)\"]],[[0,[],0,\"7 septembre à 17h15 : France – Slovénie (à Cologne)\"]],[[0,[],0,\"10 ou 11 septembre : Huitièmes de finale en cas de qualification (à Berlin)\"]],[[0,[],0,\"13 ou 14 septembre : Quarts de finale en cas de qualification (à Berlin)\"]],[[0,[],0,\"16 septembre : Demi-finale en cas de qualification (à Berlin)\"]],[[0,[],0,\"18 septembre : Finale ou match pour la médaille de bronze en cas de qualification (à Berlin)\"]]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\".\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[armelse]\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"À peine la préparation express et les qualifications à la Coupe du monde digérées, l’équipe de France s’envole pour l’Allemagne où l’attend un EuroBasket des plus relevés (1-18 septembre). Au premier tour, les Bleus ont hérité du groupe B, dit « groupe de la mort », à Cologne, avec comme seul avantage celui de s’acclimater au pays où aura lieu la deuxième phase, à Berlin, à 500 km de là. Ce qui ne sera pas le cas des autres poules, à Prague, Milan et Tbilissi. En revanche, les adversaires qui font face aux Bleus n’ont rien d’un cadeau.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Les hommes de Vincent Collet – 4e au classement FIBA, 2e de la zone euro – lanceront leur championnat d’Europe par un choc face au pays-hôte, l’Allemagne, en ouverture. 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La première semaine sera d’une importance capitale, comme rarement elle le fut jusqu’alors dans un Euro.\"]]],[10,6],[1,\"h3\",[[0,[0],1,\"Allemagne\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Classement FIBA\"],[0,[],0,\" : 11e (8e zone Europe)\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Les 13 joueurs restants : \"],[0,[],0,\"Niels Giffey / Justin Hollatz / David Kramer / Maodo Lo / Andreas Obst / Dennis Schroder / Christian Sengfelder / Daniel Theis (incertain) / Johannes Thiemann / Johannes Voigtmann / Nick Weiler-Babb / Franz Wagner / Jonas Wohlfarth\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Premier adversaire\"],[0,[],0,\" : France – 1er septembre (20h30)\"]]],[10,7],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Et si le match d’ouverture était déjà capital pour les Bleus ? L’équipe de France disputera, après une cérémonie en l’honneur de Dirk Nowitzki, son premier match à Cologne devant 18 500 spectateurs, et ne devra pas céder sous la pression comme elle l’a fait contre la Bosnie-Herzégovine samedi dernier. D’autant que l’Allemagne, bourreau des Bleus à l’Euro 2017 au stade des huitièmes de finale – malgré 17 ans sans médaille – arrive avec une génération plutôt expérimentée, qui a réalisé une préparation solide malgré les absents. Au compteur : seule une défaite en Serbie, et des victoires avec marge sur la République Tchèque, la Suède et, surtout, la dernière en date, contre la Slovénie, avec la manière (90-71)…\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\"]]],[1,\"p\",[[0,[2],1,\"Photo : Equipe de France (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
À peine la préparation express et les qualifications à la Coupe du monde digérées, l’équipe de France s’envole pour l’Allemagne où l’attend un EuroBasket des plus relevés (1-18 septembre). Au premier tour, les Bleus ont hérité du groupe B, dit « groupe de la mort », à Cologne, avec comme seul avantage celui de s’acclimater au pays où aura lieu la deuxième phase, à Berlin, à 500 km de là. Ce qui ne sera pas le cas des autres poules, à Prague, Milan et Tbilissi. En revanche, les adversaires qui font face aux Bleus n’ont rien d’un cadeau.
Les hommes de Vincent Collet – 4e au classement FIBA, 2e de la zone euro – lanceront leur championnat d’Europe par un choc face au pays-hôte, l’Allemagne, en ouverture. La suite du programme est tout aussi complexe avec, dans l’ordre, la Lituanie de Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis, la Hongrie, la Bosnie-Herzégovine – qui vient de battre les Bleus à Sarajevo – et la Slovénie de Luka Doncic, tenante du titre et première favorite à sa succession.
Sortir de ce groupe en terminant dans les quatre premiers ne relèverait pas d’un exploit pour les vice-champions olympiques, mais l’adversité est telle que l’équipe de France n’aura – déjà – pas le droit à l’erreur, ou bien devra en payer le prix fort dès les huitièmes de finale. En deuxième phase, le groupe B croisera avec le groupe A composé de l’Espagne, la Turquie, le Monténégro, la Géorgie, la Belgique et la Bulgarie. La première semaine sera d’une importance capitale, comme rarement elle le fut jusqu’alors dans un Euro.
Classement FIBA : 11e (8e zone Europe)
Les 13 joueurs restants : Niels Giffey / Justin Hollatz / David Kramer / Maodo Lo / Andreas Obst / Dennis Schroder / Christian Sengfelder / Daniel Theis (incertain) / Johannes Thiemann / Johannes Voigtmann / Nick Weiler-Babb / Franz Wagner / Jonas Wohlfarth
Premier adversaire : France – 1er septembre (20h30)
Et si le match d’ouverture était déjà capital pour les Bleus ? L’équipe de France disputera, après une cérémonie en l’honneur de Dirk Nowitzki, son premier match à Cologne devant 18 500 spectateurs, et ne devra pas céder sous la pression comme elle l’a fait contre la Bosnie-Herzégovine samedi dernier. D’autant que l’Allemagne, bourreau des Bleus à l’Euro 2017 au stade des huitièmes de finale – malgré 17 ans sans médaille – arrive avec une génération plutôt expérimentée, qui a réalisé une préparation solide malgré les absents. Au compteur : seule une défaite en Serbie, des victoires avec marge sur la République Tchèque, la Suède et, surtout, la dernière en date, contre la Slovénie, avec la manière (90-71).
En chef de file, le NBAer Dennis Schroder, incertain pendant la préparation (cheville) et finalement apte à tenir son rang, mais aussi Franz Wagner, qui souhaite capitaliser sur sa bonne première saison en NBA (Rookie First Team), ou encore l’inévitable Daniel Theis (toutefois incertain). Sans oublier les habitués de l’Euroleague, Maodo Lo, Nick Weiler-Babb, Andreas Obst, Johannès Voigtmann ou Johannès Thiemann. Une équipe équilibrée, aux forces diverses sur tous les postes malgré plusieurs absents (Moritz Wagner, Maxi Kleber, Tibor Pleiss, Isaac Bonga, Isaiah Hartenstein), capable de rivaliser sur 40 minutes avec de nombreux adversaires… et poussée par son public.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/dennis-schroder.jpg\")
Classement FIBA : 8e (5e zone Europe)
La liste des 12 : Ignas Brazdeikis / Arnas Butkevicius / Martynas Echodas / Rokas Giedraitis / Marius Grigonis / Rokas Jokubaitis / Mindaugas Kuzminskas / Lukas Lekavicius / Domantas Sabonis / Jonas Valanciunas / Kristupas Zemaitis / Eigirdas Zukauskas
Premier adversaire : Slovénie – 1er septembre (17h15)
En préparation, la Lituanie s’est conjuguée au plus-que-parfait. Sept victoires en sept matches, dont deux contre l’Espagne, et pour terminer un succès sur le Monténégro (qui venait de dominer la Bosnie). Pas étonnant qu’elle devance jusqu’alors l’équipe de France dans son groupe aux qualif’ pour le Mondial 2023. Au-delà des résultats, le contenu est parfaitement maîtrisé, le collectif huilé. Son attaque est l’une des meilleures de la préparation, avec trois dernières sorties à 88 points ou plus.
Comme les Bleus, trois joueurs auront très peu de responsabilités (Echodas, Zukauskas, Zemaitis). En revanche, la Lituanie pourra compter sur un cinq de départ exceptionnel (Jokubaitis – Brazdeikis – Giedraitis – Sabonis – Valanciunas), peut-être le plus attractif de la compétition, auquel il faut ajouter Marius Grigonis, pour ne citer que lui, en sortie de banc. Autant de joueurs qui dominent en Euroleague mais aussi en NBA, en ce qui concerne le duo d’intérieurs superstars. On n’imagine même pas si Kazys Maksvytis aurait pu compter sur Donatas Motiejunas, Arturas Gudaitis, Tadas Sedekerskis ou encore Edgaras Ulanovas.
Pas montée sur un podium international depuis l’Euro 2015, la Lituanie espère remédier à cela cette année. Mais attention au tirage, car ouvrir une compétition par des oppositions face à la Slovénie, la France (puis l’Allemagne le lendemain à 14h30) n’est pas chose aisée.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/sabonis-valanciunas-lituanie-fiba.jpg\")
Classement FIBA : 43e (21e zone Europe)
La liste des 12 : Rosco Allen / Szilard Benke / Janos Eillingsfeld / Csaba Ferencz / Gyorgy Goloman / Adam Hanga / Kemal Karaodzic / Akos Keller / Zoltan Perl / Adam Somogyi / Benedek Varadi / David Vojvoda
Premier adversaire : Bosnie-Herzégovine – 1er septembre (14h30)
À la lecture de l’effectif hongrois, ce serait un véritable exploit que l’équipe dirigée par le Monténégrin Stojan Ivkovic arrive en huitièmes de finale. 43e nation au ranking FIBA, elle ne compte dans ses rangs qu’un seul joueur de renommée européenne : Adam Hanga. En préparation : des succès contre la Géorgie et la Slovaquie, des larges défaites contre la Lituanie et la Croatie… mais aussi une dernière victoire intéressante en République Tchèque (79-82) qui maintient la sélection hongroise en course pour un ticket à la Coupe du monde.
À noter qu’au-delà des deux succès des Bleus contre la Hongrie lors de la première phase de qualif’ au Mondial, leur star Adam Hanga était retenue en Euroleague avec le Real Madrid. Il ne faudrait pas qu’une déconvenue contre les Hongrois, que les Bleus affronteront en milieu de premier tour à l’Euro, ne vienne briser un possible élan de début de compétition.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/hanga-jokubaitis-hongrie-lituanie-fiba.jpg\")
Classement FIBA : 46e (24e zone Europe)
La liste des 12 : Edin Atic / Sani Campara / Amar Gegic / Miralem Halilovic / Kenan Kamenjas / Aleksandar Lazic / Dzanan Musa / Jusuf Nurkic / Ajdin Penava / John Roberson / Emir Sulejmanovic / Adin Vrabac
Premier adversaire : Hongrie – 1er septembre (14h30)
Les Bleus l’ont appris à leur dépens samedi dernier : la Bosnie-Herzégovine n’est pas un adversaire à prendre à la légère. Son classement FIBA n’en fait pas un favori en deuxième semaine mais, sur un match, elle est capable de prendre feu, comme à Sarajevo contre les hommes de Vincent Collet, en témoigne la série infligée au troisième quart-temps (19-0).
Cela est surtout dû à la présence de deux joueurs : le NBAer Jusuf Nurkic, à la panoplie large et la présence incontournable, mais aussi le MVP de Liga Endesa Dzanan Musa, nouvelle recrue du Real Madrid. Ces deux-là peuvent renverser le cours d’une rencontre et prendre feu à tout moment, sans compter les apports de l’ancien Strasbourgeois naturalisé John Roberson, et du néo-Nanterrien Miralem Halilovic, deux valeurs sûres du championnat de France.
Malgré une préparation tronquée, notamment à cause des déboires financiers de leur fédération, qui ont d’ailleurs menacé leur présence à l’Euro, les Bosniens viendront à Cologne avec l’objectif de réitérer un exploit… et de se faufiler au deuxième tour.
Classement FIBA : 5e (3e zone Europe)
La liste des 12 : Jaka Blazic / Vlatko Cancar / Luka Doncic / Ziga Dimec / Goran Dragic / Zoran Dragic / Edo Muric / Aleksej Nikolic / Klemen Prepelic / Luka Rupnik / Ziga Samar / Mike Tobey
Premier adversaire : Lituanie – 1er septembre (17h15)
Il y a cinq ans, lors du dernier championnat d’Europe, la Slovénie avait surpris bon nombre d’observateurs pour s’imposer. Cette année, ce pays de seulement 2 millions d’habitants est attendu au tournant, il est même donné favori de la compétition par les bookmakers. D’autant que Luka Doncic a convaincu Goran Dragic de revenir en sélection pour l’occasion. Batman et Robin seront les deux chefs d’orchestre d’une équipe toujours aussi offensive, avec également dans ses rangs Klemen Prepelic, Mike Tobey ou Vlatko Cancar.
En préparation, la Slovénie – même quand elle fut privée de Luka Doncic – a fait le plein de confiance, avec 7 succès en autant de rencontres dont face à la Turquie, la Serbie ou encore la Croatie… jusqu’à sa défaite fleuve en Allemagne (90-71), dimanche, où la star des Dallas Mavericks s’est même foulée la cheville (sans gravité). Un mini coup d’arrêt non sans rappeler celui de l’équipe de France. Dernier adversaire des Bleus à Cologne, ce duel contre la Slovénie s’annonce électrique, d’autant qu’il pourrait avoir à la fois un rôle primordial dans le classement final du groupe mais aussi, et surtout, un goût de revanche vis-à-vis de la demi-finale olympique de Tokyo.
![](\"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/07/doncic-dragic-slove-cc-81nie-fiba.jpg\")
Jeudi 1er septembre
Samedi 3 septembre
Dimanche 4 septembre
Mardi 6 septembre
Mercredi 7 septembre
Le programme de l’équipe de France à l’EuroBasket 2022
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[armelse]
À peine la préparation express et les qualifications à la Coupe du monde digérées, l’équipe de France s’envole pour l’Allemagne où l’attend un EuroBasket des plus relevés (1-18 septembre). Au premier tour, les Bleus ont hérité du groupe B, dit « groupe de la mort », à Cologne, avec comme seul avantage celui de s’acclimater au pays où aura lieu la deuxième phase, à Berlin, à 500 km de là. Ce qui ne sera pas le cas des autres poules, à Prague, Milan et Tbilissi. En revanche, les adversaires qui font face aux Bleus n’ont rien d’un cadeau.
Les hommes de Vincent Collet – 4e au classement FIBA, 2e de la zone euro – lanceront leur championnat d’Europe par un choc face au pays-hôte, l’Allemagne, en ouverture. La suite du programme est tout aussi complexe avec, dans l’ordre, la Lituanie de Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis, la Hongrie, la Bosnie-Herzégovine – qui vient de battre les Bleus à Sarajevo – et la Slovénie de Luka Doncic, tenante du titre et première favorite à sa succession.
Sortir de ce groupe en terminant dans les quatre premiers ne relèverait pas d’un exploit pour les vice-champions olympiques, mais l’adversité est telle que l’équipe de France n’aura – déjà – pas le droit à l’erreur, ou bien devra en payer le prix fort dès les huitièmes de finale. En deuxième phase, le groupe B croisera avec le groupe A composé de l’Espagne, la Turquie, le Monténégro, la Géorgie, la Belgique et la Bulgarie. La première semaine sera d’une importance capitale, comme rarement elle le fut jusqu’alors dans un Euro.
Classement FIBA : 11e (8e zone Europe)
Les 13 joueurs restants : Niels Giffey / Justin Hollatz / David Kramer / Maodo Lo / Andreas Obst / Dennis Schroder / Christian Sengfelder / Daniel Theis (incertain) / Johannes Thiemann / Johannes Voigtmann / Nick Weiler-Babb / Franz Wagner / Jonas Wohlfarth
Premier adversaire : France – 1er septembre (20h30)
Et si le match d’ouverture était déjà capital pour les Bleus ? L’équipe de France disputera, après une cérémonie en l’honneur de Dirk Nowitzki, son premier match à Cologne devant 18 500 spectateurs, et ne devra pas céder sous la pression comme elle l’a fait contre la Bosnie-Herzégovine samedi dernier. D’autant que l’Allemagne, bourreau des Bleus à l’Euro 2017 au stade des huitièmes de finale – malgré 17 ans sans médaille – arrive avec une génération plutôt expérimentée, qui a réalisé une préparation solide malgré les absents. Au compteur : seule une défaite en Serbie, et des victoires avec marge sur la République Tchèque, la Suède et, surtout, la dernière en date, contre la Slovénie, avec la manière (90-71)…
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Photo : Equipe de France (FIBA)
", "comment_id":"622429", "plaintext":"Du 1er au 18 septembre, l’équipe de France va tenter de décrocher le deuxième titre européen de son histoire. Avant de penser à soulever un tel trophée, encore faut-il passer l’obstacle du premier tour, à Cologne, où les vice-champions olympiques ont été placés dans « le groupe de la mort » avec l’Allemagne, la Lituanie, la Hongrie, la Bosnie-Herzégovine et la Slovénie. Focus sur les premiers adversaires des Bleus.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nÀ peine la préparation express et les qualifications à la Coupe du monde digérées, l’équipe de France s’envole pour l’Allemagne où l’attend un EuroBasket des plus relevés (1-18 septembre). Au premier tour, les Bleus ont hérité du groupe B, dit « groupe de la mort », à Cologne, avec comme seul avantage celui de s’acclimater au pays où aura lieu la deuxième phase, à Berlin, à 500 km de là. Ce qui ne sera pas le cas des autres poules, à Prague, Milan et Tbilissi. En revanche, les adversaires qui font face aux Bleus n’ont rien d’un cadeau.\n\nLes hommes de Vincent Collet – 4e au classement FIBA, 2e de la zone euro – lanceront leur championnat d’Europe par un choc face au pays-hôte, l’Allemagne, en ouverture. La suite du programme est tout aussi complexe avec, dans l’ordre, la Lituanie de Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis, la Hongrie, la Bosnie-Herzégovine – qui vient de battre les Bleus à Sarajevo – et la Slovénie de Luka Doncic, tenante du titre et première favorite à sa succession.\n\nSortir de ce groupe en terminant dans les quatre premiers ne relèverait pas d’un exploit pour les vice-champions olympiques, mais l’adversité est telle que l’équipe de France n’aura – déjà – pas le droit à l’erreur, ou bien devra en payer le prix fort dès les huitièmes de finale. En deuxième phase, le groupe B croisera avec le groupe A composé de l’Espagne, la Turquie, le Monténégro, la Géorgie, la Belgique et la Bulgarie. La première semaine sera d’une importance capitale, comme rarement elle le fut jusqu’alors dans un Euro.\n\n\nAllemagne\n\nClassement FIBA : 11e (8e zone Europe)\n\nLes 13 joueurs restants : Niels Giffey / Justin Hollatz / David Kramer / Maodo Lo / Andreas Obst / Dennis Schroder / Christian Sengfelder / Daniel Theis (incertain) / Johannes Thiemann / Johannes Voigtmann / Nick Weiler-Babb / Franz Wagner / Jonas Wohlfarth\n\nPremier adversaire : France – 1er septembre (20h30)\n\nEt si le match d’ouverture était déjà capital pour les Bleus ? L’équipe de France disputera, après une cérémonie en l’honneur de Dirk Nowitzki, son premier match à Cologne devant 18 500 spectateurs, et ne devra pas céder sous la pression comme elle l’a fait contre la Bosnie-Herzégovine samedi dernier. D’autant que l’Allemagne, bourreau des Bleus à l’Euro 2017 au stade des huitièmes de finale – malgré 17 ans sans médaille – arrive avec une génération plutôt expérimentée, qui a réalisé une préparation solide malgré les absents. Au compteur : seule une défaite en Serbie, des victoires avec marge sur la République Tchèque, la Suède et, surtout, la dernière en date, contre la Slovénie, avec la manière (90-71).\n\nEn chef de file, le NBAer Dennis Schroder, incertain pendant la préparation (cheville) et finalement apte à tenir son rang, mais aussi Franz Wagner, qui souhaite capitaliser sur sa bonne première saison en NBA (Rookie First Team), ou encore l’inévitable Daniel Theis (toutefois incertain). Sans oublier les habitués de l’Euroleague, Maodo Lo, Nick Weiler-Babb, Andreas Obst, Johannès Voigtmann ou Johannès Thiemann. Une équipe équilibrée, aux forces diverses sur tous les postes malgré plusieurs absents (Moritz Wagner, Maxi Kleber, Tibor Pleiss, Isaac Bonga, Isaiah Hartenstein), capable de rivaliser sur 40 minutes avec de nombreux adversaires… et poussée par son public.\n\n\nLituanie\n\nClassement FIBA : 8e (5e zone Europe)\n\nLa liste des 12 : Ignas Brazdeikis / Arnas Butkevicius / Martynas Echodas / Rokas Giedraitis / Marius Grigonis / Rokas Jokubaitis / Mindaugas Kuzminskas / Lukas Lekavicius / Domantas Sabonis / Jonas Valanciunas / Kristupas Zemaitis / Eigirdas Zukauskas\n\nPremier adversaire : Slovénie – 1er septembre (17h15)\n\nEn préparation, la Lituanie s’est conjuguée au plus-que-parfait. Sept victoires en sept matches, dont deux contre l’Espagne, et pour terminer un succès sur le Monténégro (qui venait de dominer la Bosnie). Pas étonnant qu’elle devance jusqu’alors l’équipe de France dans son groupe aux qualif’ pour le Mondial 2023. Au-delà des résultats, le contenu est parfaitement maîtrisé, le collectif huilé. Son attaque est l’une des meilleures de la préparation, avec trois dernières sorties à 88 points ou plus.\n\nComme les Bleus, trois joueurs auront très peu de responsabilités (Echodas, Zukauskas, Zemaitis). En revanche, la Lituanie pourra compter sur un cinq de départ exceptionnel (Jokubaitis – Brazdeikis – Giedraitis – Sabonis – Valanciunas), peut-être le plus attractif de la compétition, auquel il faut ajouter Marius Grigonis, pour ne citer que lui, en sortie de banc. Autant de joueurs qui dominent en Euroleague mais aussi en NBA, en ce qui concerne le duo d’intérieurs superstars. On n’imagine même pas si Kazys Maksvytis aurait pu compter sur Donatas Motiejunas, Arturas Gudaitis, Tadas Sedekerskis ou encore Edgaras Ulanovas.\n\nPas montée sur un podium international depuis l’Euro 2015, la Lituanie espère remédier à cela cette année. Mais attention au tirage, car ouvrir une compétition par des oppositions face à la Slovénie, la France (puis l’Allemagne le lendemain à 14h30) n’est pas chose aisée.\n\n\nHongrie\n\nClassement FIBA : 43e (21e zone Europe)\n\nLa liste des 12 : Rosco Allen / Szilard Benke / Janos Eillingsfeld / Csaba Ferencz / Gyorgy Goloman / Adam Hanga / Kemal Karaodzic / Akos Keller / Zoltan Perl / Adam Somogyi / Benedek Varadi / David Vojvoda\n\nPremier adversaire : Bosnie-Herzégovine – 1er septembre (14h30)\n\nÀ la lecture de l’effectif hongrois, ce serait un véritable exploit que l’équipe dirigée par le Monténégrin Stojan Ivkovic arrive en huitièmes de finale. 43e nation au ranking FIBA, elle ne compte dans ses rangs qu’un seul joueur de renommée européenne : Adam Hanga. En préparation : des succès contre la Géorgie et la Slovaquie, des larges défaites contre la Lituanie et la Croatie… mais aussi une dernière victoire intéressante en République Tchèque (79-82) qui maintient la sélection hongroise en course pour un ticket à la Coupe du monde.\n\nÀ noter qu’au-delà des deux succès des Bleus contre la Hongrie lors de la première phase de qualif’ au Mondial, leur star Adam Hanga était retenue en Euroleague avec le Real Madrid. Il ne faudrait pas qu’une déconvenue contre les Hongrois, que les Bleus affronteront en milieu de premier tour à l’Euro, ne vienne briser un possible élan de début de compétition.\n\n\nBosnie-Herzégovine\n\nClassement FIBA : 46e (24e zone Europe)\n\nLa liste des 12 : Edin Atic / Sani Campara / Amar Gegic / Miralem Halilovic / Kenan Kamenjas / Aleksandar Lazic / Dzanan Musa / Jusuf Nurkic / Ajdin Penava / John Roberson / Emir Sulejmanovic / Adin Vrabac\n\nPremier adversaire : Hongrie – 1er septembre (14h30)\n\nLes Bleus l’ont appris à leur dépens samedi dernier : la Bosnie-Herzégovine n’est pas un adversaire à prendre à la légère. Son classement FIBA n’en fait pas un favori en deuxième semaine mais, sur un match, elle est capable de prendre feu, comme à Sarajevo contre les hommes de Vincent Collet, en témoigne la série infligée au troisième quart-temps (19-0).\n\nCela est surtout dû à la présence de deux joueurs : le NBAer Jusuf Nurkic, à la panoplie large et la présence incontournable, mais aussi le MVP de Liga Endesa Dzanan Musa, nouvelle recrue du Real Madrid. Ces deux-là peuvent renverser le cours d’une rencontre et prendre feu à tout moment, sans compter les apports de l’ancien Strasbourgeois naturalisé John Roberson, et du néo-Nanterrien Miralem Halilovic, deux valeurs sûres du championnat de France.\n\nMalgré une préparation tronquée, notamment à cause des déboires financiers de leur fédération, qui ont d’ailleurs menacé leur présence à l’Euro, les Bosniens viendront à Cologne avec l’objectif de réitérer un exploit… et de se faufiler au deuxième tour.\n\n\nSlovénie\n\nClassement FIBA : 5e (3e zone Europe)\n\nLa liste des 12 : Jaka Blazic / Vlatko Cancar / Luka Doncic / Ziga Dimec / Goran Dragic / Zoran Dragic / Edo Muric / Aleksej Nikolic / Klemen Prepelic / Luka Rupnik / Ziga Samar / Mike Tobey\n\nPremier adversaire : Lituanie – 1er septembre (17h15)\n\nIl y a cinq ans, lors du dernier championnat d’Europe, la Slovénie avait surpris bon nombre d’observateurs pour s’imposer. Cette année, ce pays de seulement 2 millions d’habitants est attendu au tournant, il est même donné favori de la compétition par les bookmakers. D’autant que Luka Doncic a convaincu Goran Dragic de revenir en sélection pour l’occasion. Batman et Robin seront les deux chefs d’orchestre d’une équipe toujours aussi offensive, avec également dans ses rangs Klemen Prepelic, Mike Tobey ou Vlatko Cancar.\n\nEn préparation, la Slovénie – même quand elle fut privée de Luka Doncic – a fait le plein de confiance, avec 7 succès en autant de rencontres dont face à la Turquie, la Serbie ou encore la Croatie… jusqu’à sa défaite fleuve en Allemagne (90-71), dimanche, où la star des Dallas Mavericks s’est même foulée la cheville (sans gravité). Un mini coup d’arrêt non sans rappeler celui de l’équipe de France. Dernier adversaire des Bleus à Cologne, ce duel contre la Slovénie s’annonce électrique, d’autant qu’il pourrait avoir à la fois un rôle primordial dans le classement final du groupe mais aussi, et surtout, un goût de revanche vis-à-vis de la demi-finale olympique de Tokyo.\n\n\nGroupe B – Calendrier\n\nJeudi 1er septembre\n\n * 14h30 : Bosnie-Herzégovine – Hongrie\n * 17h15 : Slovénie – Lituanie\n * 20h30 : Allemagne – France\n\nSamedi 3 septembre\n\n * 14h30 : Allemagne – Bosnie-Herzégovine\n * 17h45 : France – Lituanie\n * 20h30 : Hongrie – Slovénie\n\nDimanche 4 septembre\n\n * 14h30 : Allemagne – Lituanie\n * 17h45 : Slovénie – Bosnie-Herzégovine\n * 20h30 : France – Hongrie\n\nMardi 6 septembre\n\n * 14h30 : Bosnie-Herzégovine – France\n * 17h15 : Hongrie – Lituanie\n * 20h30 : Allemagne – Slovénie\n\nMercredi 7 septembre\n\n * 14h30 : Lituanie – Bosnie-Herzégovine\n * 17h15 : France – Slovénie\n * 20h30 : Allemagne – Hongrie\n\nLe programme de l’équipe de France à l’EuroBasket 2022\n\n * 1er septembre à 20h30 : France – Allemagne (à Cologne)\n * 3 septembre à 17h45 : Lituanie – France (à Cologne)\n * 4 septembre à 20h30 : France – Hongrie (à Cologne)\n * 6 septembre à 14h30 : Bosnie-Herzégovine – France (à Cologne)\n * 7 septembre à 17h15 : France – Slovénie (à Cologne)\n * 10 ou 11 septembre : Huitièmes de finale en cas de qualification (à Berlin)\n * 13 ou 14 septembre : Quarts de finale en cas de qualification (à Berlin)\n * 16 septembre : Demi-finale en cas de qualification (à Berlin)\n * 18 septembre : Finale ou match pour la médaille de bronze en cas de qualification (à Berlin)\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nÀ peine la préparation express et les qualifications à la Coupe du monde digérées, l’équipe de France s’envole pour l’Allemagne où l’attend un EuroBasket des plus relevés (1-18 septembre). Au premier tour, les Bleus ont hérité du groupe B, dit « groupe de la mort », à Cologne, avec comme seul avantage celui de s’acclimater au pays où aura lieu la deuxième phase, à Berlin, à 500 km de là. Ce qui ne sera pas le cas des autres poules, à Prague, Milan et Tbilissi. En revanche, les adversaires qui font face aux Bleus n’ont rien d’un cadeau.\n\nLes hommes de Vincent Collet – 4e au classement FIBA, 2e de la zone euro – lanceront leur championnat d’Europe par un choc face au pays-hôte, l’Allemagne, en ouverture. La suite du programme est tout aussi complexe avec, dans l’ordre, la Lituanie de Jonas Valanciunas et Domantas Sabonis, la Hongrie, la Bosnie-Herzégovine – qui vient de battre les Bleus à Sarajevo – et la Slovénie de Luka Doncic, tenante du titre et première favorite à sa succession.\n\nSortir de ce groupe en terminant dans les quatre premiers ne relèverait pas d’un exploit pour les vice-champions olympiques, mais l’adversité est telle que l’équipe de France n’aura – déjà – pas le droit à l’erreur, ou bien devra en payer le prix fort dès les huitièmes de finale. En deuxième phase, le groupe B croisera avec le groupe A composé de l’Espagne, la Turquie, le Monténégro, la Géorgie, la Belgique et la Bulgarie. La première semaine sera d’une importance capitale, comme rarement elle le fut jusqu’alors dans un Euro.\n\n\nAllemagne\n\nClassement FIBA : 11e (8e zone Europe)\n\nLes 13 joueurs restants : Niels Giffey / Justin Hollatz / David Kramer / Maodo Lo / Andreas Obst / Dennis Schroder / Christian Sengfelder / Daniel Theis (incertain) / Johannes Thiemann / Johannes Voigtmann / Nick Weiler-Babb / Franz Wagner / Jonas Wohlfarth\n\nPremier adversaire : France – 1er septembre (20h30)\n\nEt si le match d’ouverture était déjà capital pour les Bleus ? L’équipe de France disputera, après une cérémonie en l’honneur de Dirk Nowitzki, son premier match à Cologne devant 18 500 spectateurs, et ne devra pas céder sous la pression comme elle l’a fait contre la Bosnie-Herzégovine samedi dernier. D’autant que l’Allemagne, bourreau des Bleus à l’Euro 2017 au stade des huitièmes de finale – malgré 17 ans sans médaille – arrive avec une génération plutôt expérimentée, qui a réalisé une préparation solide malgré les absents. Au compteur : seule une défaite en Serbie, et des victoires avec marge sur la République Tchèque, la Suède et, surtout, la dernière en date, contre la Slovénie, avec la manière (90-71)…\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Equipe de France (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/banc-equipe-de-france-rep-tche-cc-80que-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-30T05:00:00.000Z", "updated_at":"2022-08-29T17:47:49.000Z", "published_at":"2022-08-30T05:00:00.000Z", "custom_excerpt":"Du 1er au 18 septembre, l’équipe de France va tenter de décrocher le deuxième titre européen de son histoire. 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Photo : Basket Landes
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Elle compte notamment dans ses rangs le pivot des Portland TrailBlazers Jusuf Nurkic, l’ancien NBAer et nouveau joueur du Real Madrid Dzanan Musa, mais aussi des joueurs référencés du championnat de France comme John Roberson (ex-Strasbourg) et Miralem Halilovic (Nanterre).
La liste des 12 :
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La France et la Slovénie arrivent en tête, ex-aequo, des pronostics.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Comme à chaque compétition internationale, la FIBA s’est tournée vers les journalistes accrédités pour l’Euro afin d’établir une tendance. La grande majorité des votants vient d’Europe, mais d’autres viennent de divers continents. La date limite pour soumettre les réponses était le 22 août.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A cette date, les médias ont mis la France et la Slovénie ex-aequo comme les deux favoris de la compétition (30,4 % des voix), devant la Grèce (15,2 %), la Serbie (12,7 %), la Lituanie et l’Espagne (3,8 % chacun). A retenir que la Roja, qui figurait toujours sur le podium prévisionnel des dernières compétitions, est reléguée au 6e choix des médias.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"A titre individuel, Luka Doncic apparait comme le favori de bon nombre de catégories, dont le titre de MVP. Dans le détail :\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quelle équipe remportera le titre de l’EuroBasket 2022 ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1. France : 30,4 % \"],[1,[],0,0],[0,[],0,\"1. Slovénie : 30,4 % \"],[1,[],0,1],[0,[],0,\"3. Grèce : 15,2 % \"],[1,[],0,2],[0,[],0,\"4. Serbie : 12,7 % \"],[1,[],0,3],[0,[],0,\"5. Lituanie : 3,8 % \"],[1,[],0,4],[0,[],0,\"6. Espagne 3,8 % \"],[1,[],0,5],[0,[1],1,\"Autres & N/A : 3,7 %\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quelles équipes monteront sur le podium ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1. Slovénie : 74,7 %\"],[1,[],0,6],[0,[],0,\"2. France : 62 %\"],[1,[],0,7],[0,[],0,\"3. Serbie : 55,7 %\"],[1,[],0,8],[0,[],0,\"4. Grèce : 48,1 %\"],[1,[],0,9],[0,[],0,\"5. Espagne : 26,6 %\"],[1,[],0,10],[0,[],0,\"6. Lituanie : 12,7 %\"],[1,[],0,11],[0,[],0,\"7. Allemagne : 6,3 %\"],[1,[],0,12],[0,[],0,\"8. Turquie : 5,1 %\"],[1,[],0,13],[0,[1],1,\"Autre & N/A : 8,8 %\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Quel joueur sera nommé MVP ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1. 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Giannis Antetokounmpo : 19 %\"],[1,[],0,29],[0,[],0,\"2. Nikola Jokic : 19 %\"],[1,[],0,30],[0,[],0,\"4. Jonas Valanciunas : 7,6 %\"],[1,[],0,31],[0,[],0,\"5. Domantas Sabonis : 2,5 %\"],[1,[],0,32],[0,[1],1,\"Autre & N/A : 12,7 %\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Qui sera le meilleur passeur ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1. Luka Doncic : 35,4 %\"],[1,[],0,33],[0,[],0,\"2. Nick Calathes : 10,1 %\"],[1,[],0,34],[0,[],0,\"3. Dennis Schroder : 8,9 %\"],[1,[],0,35],[0,[],0,\"4. Goran Dragic : 7,6 %\"],[1,[],0,36],[0,[],0,\"5. Vasilije Micic : 6,3 %\"],[1,[],0,37],[0,[],0,\"5. Nikola Jokic : 6,3 %\"],[1,[],0,38],[0,[],0,\"9. Thomas Heurtel : 2,5 %\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"Qui sera le meilleur jeune joueur ?*\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1. Franz Wagner : 14 %\"],[1,[],0,39],[0,[],0,\"2. Rokas Jokubaitis : 8,9 %\"],[1,[],0,40],[0,[],0,\"3. Alperen Sengun : 7,6 %\"],[1,[],0,41],[0,[],0,\"3. Deni Avdija : 7,6 %\"],[1,[],0,42],[0,[],0,\"5. Niccolo Mannion : 5,1 %\"],[1,[],0,43],[0,[],0,\"6. Yam Madar : 3,8 %\"],[1,[],0,44],[0,[],0,\"6. Theo Maledon : 3,8 %\"],[1,[],0,45],[0,[1],1,\"Autre & N/A : 49,2 %\"],[1,[],0,46],[0,[1],1,\"*les joueurs éligibles sont ceux nés en 2000 ou après\"],[0,[],0,\"\"]]],[1,\"p\",[[0,[0],1,\"À quel joueur confieriez-vous le tir pour le titre ?\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"1. Luka Doncic : 45,6 %\"],[1,[],0,47],[0,[],0,\"2. Nikola Jokic : 12,7 %\"],[1,[],0,48],[0,[],0,\"3. Goran Dragic : 8,9 %\"],[1,[],0,49],[0,[],0,\"4. Vasilije Micic : 7,6 %\"],[1,[],0,50],[0,[],0,\"5. Evan Fournier : 5,1 %\"],[1,[],0,51],[0,[],0,\"6. Giannis Antetokounmpo : 2,5 %\"],[1,[],0,52],[0,[1],1,\"Autres & N /A : 17,7 %\"]]],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Luka Doncic (FIBA)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Comme à chaque compétition internationale, la FIBA s’est tournée vers les journalistes accrédités pour l’Euro afin d’établir une tendance. La grande majorité des votants vient d’Europe, mais d’autres viennent de divers continents. La date limite pour soumettre les réponses était le 22 août.
A cette date, les médias ont mis la France et la Slovénie ex-aequo comme les deux favoris de la compétition (30,4 % des voix), devant la Grèce (15,2 %), la Serbie (12,7 %), la Lituanie et l’Espagne (3,8 % chacun). A retenir que la Roja, qui figurait toujours sur le podium prévisionnel des dernières compétitions, est reléguée au 6e choix des médias.
A titre individuel, Luka Doncic apparait comme le favori de bon nombre de catégories, dont le titre de MVP. Dans le détail :
Quelle équipe remportera le titre de l’EuroBasket 2022 ?
1. France : 30,4 %
1. Slovénie : 30,4 %
3. Grèce : 15,2 %
4. Serbie : 12,7 %
5. Lituanie : 3,8 %
6. Espagne 3,8 %
Autres & N/A : 3,7 %
Quelles équipes monteront sur le podium ?
1. Slovénie : 74,7 %
2. France : 62 %
3. Serbie : 55,7 %
4. Grèce : 48,1 %
5. Espagne : 26,6 %
6. Lituanie : 12,7 %
7. Allemagne : 6,3 %
8. Turquie : 5,1 %
Autre & N/A : 8,8 %
Quel joueur sera nommé MVP ?
1. Luka Doncic : 41,8 %
2. Giannis Antetokounmpo : 22,8 %
3. Nikola Jokic : 11,4 %
4. Rudy Gobert : 8,9 %
5. Evan Fournier : 3,8 %
6. Domantas Sabonis : 2,5 %
Autre & N/A : 8,8 %
Qui sera le meilleur entraîneur ?
1. Dimitris Itoudis : 27,8 %
2. Svetislav Pesic : 13,9 %
3. Aleksander Sekulic : 11,4 %
4. Sergio Scariolo : 10,1 %
5. Vincent Collet : 7,6 %
5. Ergin Ataman : 7,6 %
7. Gordon Herbert : 5,1 %
8. Gianmarco Pozzecco : 3,8 %
Autre & N/A : 12,8 %
Qui sera le meilleur rebondeur ?
1. Rudy Gobert : 39,2 %
2. Giannis Antetokounmpo : 19 %
2. Nikola Jokic : 19 %
4. Jonas Valanciunas : 7,6 %
5. Domantas Sabonis : 2,5 %
Autre & N/A : 12,7 %
Qui sera le meilleur passeur ?
1. Luka Doncic : 35,4 %
2. Nick Calathes : 10,1 %
3. Dennis Schroder : 8,9 %
4. Goran Dragic : 7,6 %
5. Vasilije Micic : 6,3 %
5. Nikola Jokic : 6,3 %
9. Thomas Heurtel : 2,5 %
Qui sera le meilleur jeune joueur ?*
1. Franz Wagner : 14 %
2. Rokas Jokubaitis : 8,9 %
3. Alperen Sengun : 7,6 %
3. Deni Avdija : 7,6 %
5. Niccolo Mannion : 5,1 %
6. Yam Madar : 3,8 %
6. Theo Maledon : 3,8 %
Autre & N/A : 49,2 %
*les joueurs éligibles sont ceux nés en 2000 ou après
À quel joueur confieriez-vous le tir pour le titre ?
1. Luka Doncic : 45,6 %
2. Nikola Jokic : 12,7 %
3. Goran Dragic : 8,9 %
4. Vasilije Micic : 7,6 %
5. Evan Fournier : 5,1 %
6. Giannis Antetokounmpo : 2,5 %
Autres & N /A : 17,7 %
Photo : Luka Doncic (FIBA)
", "comment_id":"622513", "plaintext":"Questionnés par la FIBA, les médias accrédités à l’EuroBasket ont livré leurs prédictions. La France et la Slovénie arrivent en tête, ex-aequo, des pronostics.\n\nComme à chaque compétition internationale, la FIBA s’est tournée vers les journalistes accrédités pour l’Euro afin d’établir une tendance. La grande majorité des votants vient d’Europe, mais d’autres viennent de divers continents. La date limite pour soumettre les réponses était le 22 août.\n\nA cette date, les médias ont mis la France et la Slovénie ex-aequo comme les deux favoris de la compétition (30,4 % des voix), devant la Grèce (15,2 %), la Serbie (12,7 %), la Lituanie et l’Espagne (3,8 % chacun). A retenir que la Roja, qui figurait toujours sur le podium prévisionnel des dernières compétitions, est reléguée au 6e choix des médias.\n\nA titre individuel, Luka Doncic apparait comme le favori de bon nombre de catégories, dont le titre de MVP. Dans le détail :\n\nQuelle équipe remportera le titre de l’EuroBasket 2022 ?\n\n1. France : 30,4 %\n1. Slovénie : 30,4 %\n3. Grèce : 15,2 %\n4. Serbie : 12,7 %\n5. Lituanie : 3,8 %\n6. Espagne 3,8 %\nAutres & N/A : 3,7 %\n\nQuelles équipes monteront sur le podium ?\n\n1. Slovénie : 74,7 %\n2. France : 62 %\n3. Serbie : 55,7 %\n4. Grèce : 48,1 %\n5. Espagne : 26,6 %\n6. Lituanie : 12,7 %\n7. Allemagne : 6,3 %\n8. Turquie : 5,1 %\nAutre & N/A : 8,8 %\n\nQuel joueur sera nommé MVP ?\n\n1. Luka Doncic : 41,8 %\n2. Giannis Antetokounmpo : 22,8 %\n3. Nikola Jokic : 11,4 %\n4. Rudy Gobert : 8,9 %\n5. Evan Fournier : 3,8 %\n6. Domantas Sabonis : 2,5 %\nAutre & N/A : 8,8 %\n\nQui sera le meilleur entraîneur ?\n\n1. Dimitris Itoudis : 27,8 %\n2. Svetislav Pesic : 13,9 %\n3. Aleksander Sekulic : 11,4 %\n4. Sergio Scariolo : 10,1 %\n5. Vincent Collet : 7,6 %\n5. Ergin Ataman : 7,6 %\n7. Gordon Herbert : 5,1 %\n8. Gianmarco Pozzecco : 3,8 %\nAutre & N/A : 12,8 %\n\nQui sera le meilleur rebondeur ?\n\n1. Rudy Gobert : 39,2 %\n2. Giannis Antetokounmpo : 19 %\n2. Nikola Jokic : 19 %\n4. Jonas Valanciunas : 7,6 %\n5. Domantas Sabonis : 2,5 %\nAutre & N/A : 12,7 %\n\nQui sera le meilleur passeur ?\n\n1. Luka Doncic : 35,4 %\n2. Nick Calathes : 10,1 %\n3. Dennis Schroder : 8,9 %\n4. Goran Dragic : 7,6 %\n5. Vasilije Micic : 6,3 %\n5. Nikola Jokic : 6,3 %\n9. Thomas Heurtel : 2,5 %\n\nQui sera le meilleur jeune joueur ?*\n\n1. Franz Wagner : 14 %\n2. Rokas Jokubaitis : 8,9 %\n3. Alperen Sengun : 7,6 %\n3. Deni Avdija : 7,6 %\n5. Niccolo Mannion : 5,1 %\n6. Yam Madar : 3,8 %\n6. Theo Maledon : 3,8 %\nAutre & N/A : 49,2 %\n*les joueurs éligibles sont ceux nés en 2000 ou après\n\nÀ quel joueur confieriez-vous le tir pour le titre ?\n\n1. Luka Doncic : 45,6 %\n2. Nikola Jokic : 12,7 %\n3. Goran Dragic : 8,9 %\n4. Vasilije Micic : 7,6 %\n5. Evan Fournier : 5,1 %\n6. Giannis Antetokounmpo : 2,5 %\nAutres & N /A : 17,7 %\n\nPhoto : Luka Doncic (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/08/doncic-luwawu-2.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-29T17:08:37.000Z", "updated_at":"2022-08-29T17:55:10.000Z", "published_at":"2022-08-29T17:08:37.000Z", "custom_excerpt":"Questionnés par la FIBA, les médias accrédités à l’EuroBasket ont livré leurs prédictions. La France et la Slovénie arrivent en tête, ex-aequo, des pronostics.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb5f", "uuid":"e10317f2-efa8-45b5-a613-061b26a1e894", "title":"Coupe du monde féminine : Ornella Bankolé quitte les Bleues", "slug":"coupe-du-monde-feminine-ornella-bankole-quitte-les-bleues", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"| Prénom | Nom | Naissance | Taille | Poste | Sél | Pts | Club 2021 / 2022 |
| Marième | BADIANE | 24/11/1994 | 1,90 | 4-5 | 35 | 91 | LDLC ASVEL Féminin |
| Lisa | BERKANI | 19/05/1997 | 1,76 | 1-2 | 8 | 7 | Flammes Carolo |
| Alexia | CHARTEREAU | 05/09/1998 | 1,91 | 4 | 78 | 544 | LDLC ASVEL Féminin |
| Kendra | CHERY | 16/07/2001 | 1,88 | 3 | 4 | 10 | Basket Landes |
| Sara | CHEVAUGEON | 12/02/1993 | 1,75 | 2-3 | 18 | 63 | LDLC ASVEL Féminin |
| Helena | CIAK | 15/12/1989 | 1,97 | 5 | 120 | 680 | LDLC ASVEL Féminin |
| Marine | FAUTHOUX | 23/01/2001 | 1,74 | 1 | 33 | 116 | Basket Landes |
| Sandrine | GRUDA | 25/06/1987 | 1,93 | 4-5 | 215 | 2784 | Schio (Italie) |
| Caroline | HERIAUD | 22/12/1996 | 1,65 | 1 | 2 | 6 | Villeneuve d’Ascq |
| Marine | JOHANNES | 21/01/1995 | 1,77 | 2 | 102 | 953 | LDLC ASVEL Féminin |
| Assitan | KONE | 23/04/1995 | 1,90 | 4-5 | 1 | 6 | La Roche Vendée |
| Sarah | MICHEL | 10/01/1989 | 1,80 | 2-3 | 105 | 457 | Bourges Basket |
| Marie-Eve | PAGET | 28/11/1994 | 1,71 | 1 | 2 | 13 | Basket Landes |
| Marie | PARDON | 05/01/2001 | 1,78 | 1 | 1 | 3 | Tarbes GB |
| Iliana | RUPERT* | 12/07/2001 | 1,94 | 4-5 | 42 | 138 | Bourges Basket |
| Ana | TADIC | 21/09/1998 | 1,95 | 5 | 3 | 5 | Tarbes GB |
| Mamignan | TOURE | 19/12/1994 | 1,83 | 2-3 | 6 | 43 | BLMA |
| Gabby | WILLIAMS* | 09/09/1996 | 1,80 | 3 | 26 | 242 | Sopron (Hongrie) |
Actuellement en stage à Pau, l’équipe de France féminine poursuit sa préparation à la Coupe du monde. Ce lundi, le staff tricolore a toutefois décidé de réduire le Groupe France, et ainsi de libérer la néo-Berruyère Ornella Bankolé.
Vainqueurs de la Bosnie-Herzégovine le 21 août dernier à Marseille, les Bleues disputeront un nouveau match de préparation à la fin de la semaine contre la Belgique, vendredi 2 septembre à 20h30, au Palais des Sports de Pau (retransmis sur BeIN Sports).
L’effectif restant de l’équipe de France :
| Prénom | Nom | Naissance | Taille | Poste | Sél | Pts | Club 2021 / 2022 |
| Marième | BADIANE | 24/11/1994 | 1,90 | 4-5 | 35 | 91 | LDLC ASVEL Féminin |
| Lisa | BERKANI | 19/05/1997 | 1,76 | 1-2 | 8 | 7 | Flammes Carolo |
| Alexia | CHARTEREAU | 05/09/1998 | 1,91 | 4 | 78 | 544 | LDLC ASVEL Féminin |
| Kendra | CHERY | 16/07/2001 | 1,88 | 3 | 4 | 10 | Basket Landes |
| Sara | CHEVAUGEON | 12/02/1993 | 1,75 | 2-3 | 18 | 63 | LDLC ASVEL Féminin |
| Helena | CIAK | 15/12/1989 | 1,97 | 5 | 120 | 680 | LDLC ASVEL Féminin |
| Marine | FAUTHOUX | 23/01/2001 | 1,74 | 1 | 33 | 116 | Basket Landes |
| Sandrine | GRUDA | 25/06/1987 | 1,93 | 4-5 | 215 | 2784 | Schio (Italie) |
| Caroline | HERIAUD | 22/12/1996 | 1,65 | 1 | 2 | 6 | Villeneuve d’Ascq |
| Marine | JOHANNES | 21/01/1995 | 1,77 | 2 | 102 | 953 | LDLC ASVEL Féminin |
| Assitan | KONE | 23/04/1995 | 1,90 | 4-5 | 1 | 6 | La Roche Vendée |
| Sarah | MICHEL | 10/01/1989 | 1,80 | 2-3 | 105 | 457 | Bourges Basket |
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| Ana | TADIC | 21/09/1998 | 1,95 | 5 | 3 | 5 | Tarbes GB |
| Mamignan | TOURE | 19/12/1994 | 1,83 | 2-3 | 6 | 43 | BLMA |
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*Joueuses aux playoffs WNBA / Programme
Photo : Ornella Bankolé (Bacot/FFBB)
", "comment_id":"622509", "plaintext":"Actuellement en stage à Pau, le sélectionneur des Bleues Jean-Aimé Toupane a remercié l’ailière Ornella Bankole (1,81 m, 24 ans). Elle ne disputera pas la fin de la préparation à la Coupe du monde, qui se déroulera à Sydney en Australie (22 septembre au 1er octobre).\n\nActuellement en stage à Pau, l’équipe de France féminine poursuit sa préparation à la Coupe du monde. Ce lundi, le staff tricolore a toutefois décidé de réduire le Groupe France, et ainsi de libérer la néo-Berruyère Ornella Bankolé.\n\nVainqueurs de la Bosnie-Herzégovine le 21 août dernier à Marseille, les Bleues disputeront un nouveau match de préparation à la fin de la semaine contre la Belgique, vendredi 2 septembre à 20h30, au Palais des Sports de Pau (retransmis sur BeIN Sports).\n\nL’effectif restant de l’équipe de France :\n\nPrénomNomNaissanceTaillePosteSélPtsClub 2021 / 2022MarièmeBADIANE24/11/19941,904-53591LDLC ASVEL FémininLisaBERKANI19/05/19971,761-287Flammes CaroloAlexiaCHARTEREAU05/09/19981,91478544LDLC ASVEL FémininKendraCHERY16/07/20011,883410Basket LandesSaraCHEVAUGEON12/02/19931,752-31863LDLC ASVEL FémininHelenaCIAK15/12/19891,975120680LDLC ASVEL FémininMarineFAUTHOUX23/01/20011,74133116Basket LandesSandrineGRUDA25/06/19871,934-52152784Schio (Italie)CarolineHERIAUD22/12/19961,65126Villeneuve d’AscqMarineJOHANNES21/01/19951,772102953LDLC ASVEL FémininAssitanKONE23/04/19951,904-516La Roche VendéeSarahMICHEL10/01/19891,802-3105457Bourges BasketMarie-EvePAGET28/11/19941,711213Basket LandesMariePARDON05/01/20011,78113Tarbes GBIlianaRUPERT*12/07/20011,944-542138Bourges BasketAnaTADIC21/09/19981,95535Tarbes GBMamignanTOURE19/12/19941,832-3643BLMAGabbyWILLIAMS*09/09/19961,80326242Sopron (Hongrie)\n\n*Joueuses aux playoffs WNBA / Programme\n\nPhoto : Ornella Bankolé (Bacot/FFBB)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/ornella-bankole-bacot-ffbb-scaled.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-29T16:31:37.000Z", "updated_at":"2022-08-29T16:31:45.000Z", "published_at":"2022-08-29T16:31:37.000Z", "custom_excerpt":"Actuellement en stage à Pau, le sélectionneur des Bleues Jean-Aimé Toupane a remercié l’ailière Ornella Bankole (1,81 m, 24 ans). Elle ne disputera pas la fin de la préparation à la Coupe du monde, qui se déroulera à Sydney en Australie (22 septembre au 1er octobre).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb60", "uuid":"4497314d-0a19-4f75-9d2b-3ae8618de63e", "title":"Strasbourg : Junior Mbida pigiste médical de Ike Udanoh", "slug":"strasbourg-junior-mbida-pigiste-medical-de-ike-udanoh", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"embed\",{\"url\":\"https://basketeurope.com/livenews-fr/621770/strasbourg-doit-faire-avec-les-problemes-administratifs-de-marcus-keene-et-les-blessures/embed/#?secret=8vX6NoI8sa#?secret=LXNOeKXAzC\",\"html\":\"\"}]],\"markups\":[[\"strong\"],[\"em\"]],\"sections\":[[1,\"h2\",[[0,[0],1,\"La SIG Strasbourg a officialisé ce lundi la signature du pivot Junior Mbida (2,04 m, 32 ans) en tant que pigiste médical de Ike Udanoh.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Opéré du poignet durant l’été, Ike Udanoh manquera le début de la saison de Betclic Elite. Le staff médical évalue le retour de son pivot nigérian à la compétition autour de mi-octobre. Par conséquent, la SIG Strasbourg a engagé un remplaçant radical en la personne de Junior Mbida.\"]]],[1,\"p\",[[0,[],0,\"Joueur polyvalent et reconnu pour ses qualités défensives depuis onze saisons en LNB, le Franco-Camerounais rejoindra ses nouveaux coéquipiers à l’entraînement cette semaine, une fois les examens médicaux d’usage réalisés. La saison dernière, il avait terminé la saison avec Orléans, où il avait compilé 5,3 points à 53,4 % aux tirs, 3,3 rebonds et 0,4 contre en 15 minutes de moyenne sur 14 matches.\"]]],[1,\"blockquote\",[[0,[],0,\"« \"],[0,[1],1,\"Nous sommes heureux que Junior nous rejoigne. Il a montré un grand enthousiasme dès lors que nous sommes entrés en contact avec lui. Le fait de pouvoir compter sur lui est une bonne chose car son apport sera très important pour nous durant cette présaison et pour le début de saison. Nous comptons beaucoup sur lui\"],[0,[],0,\" », a expliqué le directeur sportif Nicola Alberani par communiqué.\"]]],[10,0],[1,\"p\",[[0,[1],1,\"Photo : Junior Mbida (Teddy Picaudé)\"]]]],\"ghostVersion\":\"3.0\"}", "lexical":null, "html":"Opéré du poignet durant l’été, Ike Udanoh manquera le début de la saison de Betclic Elite. Le staff médical évalue le retour de son pivot nigérian à la compétition autour de mi-octobre. Par conséquent, la SIG Strasbourg a engagé un remplaçant radical en la personne de Junior Mbida.
Joueur polyvalent et reconnu pour ses qualités défensives depuis onze saisons en LNB, le Franco-Camerounais rejoindra ses nouveaux coéquipiers à l’entraînement cette semaine, une fois les examens médicaux d’usage réalisés. La saison dernière, il avait terminé la saison avec Orléans, où il avait compilé 5,3 points à 53,4 % aux tirs, 3,3 rebonds et 0,4 contre en 15 minutes de moyenne sur 14 matches.
« Nous sommes heureux que Junior nous rejoigne. Il a montré un grand enthousiasme dès lors que nous sommes entrés en contact avec lui. Le fait de pouvoir compter sur lui est une bonne chose car son apport sera très important pour nous durant cette présaison et pour le début de saison. Nous comptons beaucoup sur lui », a expliqué le directeur sportif Nicola Alberani par communiqué.
Photo : Junior Mbida (Teddy Picaudé)
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Bien qu’ayant terminé la préparation par quatre défaites consécutives dont les deux dernières en qualif’ pour le Mondial contre la Lettonie à l’extérieur (111-85) et la Serbie (82-89) à domicile, la Turquie fait partie des sérieux outsiders au championnat d’Europe.
Elle est placée dans le groupe A avec la Géorgie, pays hôte de la première phase, le Monténégro, la Géorgie, l’Espagne, la Bulgarie et la Belgique. Et croisera avec le groupe B, celui de l’équipe de France, en cas de qualification en huitièmes de finale.
La liste des 12 joueurs turcs à l’EuroBasket :
Photo : Shane Larkin (FIBA)
", "comment_id":"622493", "plaintext":"Lundi, la Turquie a annoncé sa liste finale pour l’EuroBasket 2022. Sans surprise, y figurent les NBAers Cedi Osman, Furkan Korkmaz et Alperen Sengun, mais aussi Shane Larkin.\n\nLes sélections finales pour l’Euro s’enchainent. Après la Slovénie, Ergin Ataman vient de révéler ses 12 joueurs retenus. Sans surprise, Cedi Osman, Furkan Korkmaz et Alperen Sengun sont dedans. Il en va de même pour la star de l’Euroleague Shane Larkin, ou encore Sehmus Hazer et Sertac Sanli.\n\nBien qu’ayant terminé la préparation par quatre défaites consécutives dont les deux dernières en qualif’ pour le Mondial contre la Lettonie à l’extérieur (111-85) et la Serbie (82-89) à domicile, la Turquie fait partie des sérieux outsiders au championnat d’Europe.\n\nElle est placée dans le groupe A avec la Géorgie, pays hôte de la première phase, le Monténégro, la Géorgie, l’Espagne, la Bulgarie et la Belgique. Et croisera avec le groupe B, celui de l’équipe de France, en cas de qualification en huitièmes de finale.\n\nLa liste des 12 joueurs turcs à l’EuroBasket :\n\n * Onuralp Bitim\n * Sehmus Hazer\n * Sadik Emir Kabaca\n * Furkan Korkmaz\n * Shane Larkin\n * Melih Mahmutoglu\n * Cedi Osman\n * Ercan Osmani\n * Sertac Sanli\n * Yigitcan Saybir\n * Alperen Sengun\n * Bugrahan Tuncer\n\nPhoto : Shane Larkin (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2022/08/larkin-micic-fiba.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-29T14:45:00.000Z", "updated_at":"2022-08-29T14:52:37.000Z", "published_at":"2022-08-29T14:45:00.000Z", "custom_excerpt":"Lundi, la Turquie a annoncé sa liste finale pour l’EuroBasket 2022. Sans surprise, y figurent les NBAers Cedi Osman, Furkan Korkmaz et Alperen Sengun, mais aussi Shane Larkin.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb62", "uuid":"fce32abb-157f-4cba-baab-b9133451a0c9", "title":"EuroBasket : Moustapha Fall remplace Mam Jaiteh en équipe de France !", "slug":"eurobasket-moustapha-fall-remplace-mam-jaiteh-en-equipe-de-france", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Les 12 joueurs restants à Cologne :
Thomas Heurtel / Andrew Albicy / Théo Maledon / Elie Okobo / Evan Fournier / Terry Tarpey / Timothé Luwawu-Cabarrot / Amath Mbaye / Guerschon Yabusele / Vincent Poirier / Rudy Gobert / Moustapha Fall
Moustapha Fall a réussi son pari. Après avoir déclaré forfait en début de préparation début août, à la suite d’une blessure à la cuisse contractée lors d’une séance d’entraînement, le pivot tricolore est de retour en équipe de France. Le vice-champion olympique a suivi un programme de soins et de réathlétisation en France, notamment à Clairefontaine, et a reçu, ce lundi, le feu vert du médecin de l’Olympiakos, venu spécialement à Paris, et du staff médical des Bleus.
Il réintégrera progressivement l’effectif sur le terrain afin de s’assurer de sa guérison complète. Moustapha Fall rejoindra le groupe France dès lundi soir à Cologne, où se déroulera la première phase du Championnat d’Europe à partir du jeudi 1er septembre.
À la suite de ce retour, et après avoir écarté Isaïa Cordinier, le staff technique de l’équipe de France a ainsi annoncé qu’il libérait Mouhammadou Jaiteh.
« Je tenais à remercier et féliciter pour son comportement exemplaire Mam Jaiteh pendant toute la période de préparation avec l’équipe de France, depuis fin juillet. J’avais prévenu dernièrement Mam du retour potentiel de Mous. Son sérieux et son abnégation ont été un véritable apport et un exemple pour nous tous », a fait savoir l’entraîneur de l’équipe de France, Vincent Collet, dans un communiqué.
La liste officielle des douze joueurs pour l’EuroBasket doit être annoncée la veille de la compétition, mercredi 31 août.
Les 12 joueurs restants à Cologne :
Thomas Heurtel / Andrew Albicy / Théo Maledon / Elie Okobo / Evan Fournier / Terry Tarpey / Timothé Luwawu-Cabarrot / Amath Mbaye / Guerschon Yabusele / Vincent Poirier / Rudy Gobert / Moustapha Fall
Photo : Moustapha Fall (FIBA)
", "comment_id":"622486", "plaintext":"Blessé à la cuisse puis annoncé forfait début août, Moustapha Fall (2,18 m, 30 ans) effectue finalement son retour en équipe de France pour disputer l’EuroBasket. Peu utilisé en préparation, Mam Jaiteh quitte ainsi les Bleus.\n\nMoustapha Fall a réussi son pari. Après avoir déclaré forfait en début de préparation début août, à la suite d’une blessure à la cuisse contractée lors d’une séance d’entraînement, le pivot tricolore est de retour en équipe de France. Le vice-champion olympique a suivi un programme de soins et de réathlétisation en France, notamment à Clairefontaine, et a reçu, ce lundi, le feu vert du médecin de l’Olympiakos, venu spécialement à Paris, et du staff médical des Bleus.\n\nIl réintégrera progressivement l’effectif sur le terrain afin de s’assurer de sa guérison complète. Moustapha Fall rejoindra le groupe France dès lundi soir à Cologne, où se déroulera la première phase du Championnat d’Europe à partir du jeudi 1er septembre.\n\n\nMam Jaiteh remercié\n\nÀ la suite de ce retour, et après avoir écarté Isaïa Cordinier, le staff technique de l’équipe de France a ainsi annoncé qu’il libérait Mouhammadou Jaiteh.\n\n« Je tenais à remercier et féliciter pour son comportement exemplaire Mam Jaiteh pendant toute la période de préparation avec l’équipe de France, depuis fin juillet. J’avais prévenu dernièrement Mam du retour potentiel de Mous. Son sérieux et son abnégation ont été un véritable apport et un exemple pour nous tous », a fait savoir l’entraîneur de l’équipe de France, Vincent Collet, dans un communiqué.\n\nLa liste officielle des douze joueurs pour l’EuroBasket doit être annoncée la veille de la compétition, mercredi 31 août.\n\nLes 12 joueurs restants à Cologne :\nThomas Heurtel / Andrew Albicy / Théo Maledon / Elie Okobo / Evan Fournier / Terry Tarpey / Timothé Luwawu-Cabarrot / Amath Mbaye / Guerschon Yabusele / Vincent Poirier / Rudy Gobert / Moustapha Fall\n\nPhoto : Moustapha Fall (FIBA)", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/wp-content/uploads/2021/07/fall-1.jpg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2022-08-29T14:16:04.000Z", "updated_at":"2022-08-29T14:16:12.000Z", "published_at":"2022-08-29T14:16:04.000Z", "custom_excerpt":"Blessé à la cuisse puis annoncé forfait début août, Moustapha Fall (2,18 m, 30 ans) effectue finalement son retour en équipe de France pour disputer l’EuroBasket. Peu utilisé en préparation, Mam Jaiteh quitte ainsi les Bleus.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6568f7bdc0e2da000153fb63", "uuid":"e825d50a-0eca-437a-b6de-396679f32d69", "title":"Fedcom rachète les droits TV de l’Euroleague et de l’Eurocup en France et à Monaco", "slug":"fedcom-rachete-les-droits-de-leuroleague-et-de-leurocup-en-france-et-a-monaco", "mobiledoc":"{\"version\":\"0.3.1\",\"atoms\":[],\"cards\":[[\"html\",{\"html\":\"Fedcom vise aussi le championnat de France
L’Equipe explique par ailleurs que la société vise également le championnat de France. Mais BeIN Sports tiendrait la corde : « Plusieurs sources concordantes affirment qu’une offre aurait également été formulée pour l’acquisition des droits du championnat de France. Un dossier qui est lui toujours en suspens. Satisfaite de son association avec BeIN Sports, son diffuseur premium depuis décembre dernier, la LNB discute également d’une prolongation avec la chaîne, tout en espérant, sans doute, poursuivre sa collaboration avec Sport en France, et France Télévisions pour certaines affiches au niveau régional », écrit le quotidien.
L’Euroleague change de nouveau de diffuseur. Détenus la saison dernière par la Chaîne L’Equipe – qui avait notamment retransmis les playoffs de l’AS Monaco – les droits de l’Euroleague, mais aussi de l’Eurocup, ont été, selon L’Equipe, récupérés par le sponsor majeur et actionnaire majoritaire de la Roca Team, Fedcom, pour le territoire monégasque… mais aussi français. La durée du contrat serait de quatre ans.
Le montant des droits ne sont pas encore connus mais L’Equipe explique par ailleurs que les nouveaux détenteurs auraient « l’intention de mettre sur pied une plateforme numérique comme support privilégié de diffusion ». Chaque match de Monaco et de l’ASVEL, les deux représentants de Betclic Elite en Euroleague, bénéficierait, à domicile, « d’un dispositif conséquent en termes de production, avec des plateaux d’avant et d’après-match, ainsi que deux commentateurs présents physiquement à chaque rencontre ».
Pour l’heure, on ne sait pas encore si cette offre sera complétée par des canaux TV plus traditionnels.
Partenaire historique de l’AS Monaco football – qu’elle a quitté en 2021 -, la société Fedcom est passée au basket en 2019 et son président Aleksej Fedoriscev, devenu patron du club de la Principauté en janvier 2022, mise ainsi sur les droits TV des coupes d’Europe… afin de faciliter les démarches pour obtenir plus rapidement une licence de membre permanent de l’Euroleague ?
Fedcom vise aussi le championnat de France
L’Equipe explique par ailleurs que la société vise également le championnat de France. Mais BeIN Sports tiendrait la corde : « Plusieurs sources concordantes affirment qu’une offre aurait également été formulée pour l’acquisition des droits du championnat de France. Un dossier qui est lui toujours en suspens. Satisfaite de son association avec BeIN Sports, son diffuseur premium depuis décembre dernier, la LNB discute également d’une prolongation avec la chaîne, tout en espérant, sans doute, poursuivre sa collaboration avec Sport en France, et France Télévisions pour certaines affiches au niveau régional », écrit le quotidien.
Photo : Donatas Motiejunas / Paul Lacombe (Monaco)
", "comment_id":"622476", "plaintext":"Partenaire majeur de l’Euroleague et actionnaire majoritaire de l’AS Monaco Basket, Fedcom s’est offert, selon L’Equipe, les droits de l’Euroleague et de l’Eurocup en France et à Monaco.\n\nL’Euroleague change de nouveau de diffuseur. Détenus la saison dernière par la Chaîne L’Equipe – qui avait notamment retransmis les playoffs de l’AS Monaco – les droits de l’Euroleague, mais aussi de l’Eurocup, ont été, selon L’Equipe, récupérés par le sponsor majeur et actionnaire majoritaire de la Roca Team, Fedcom, pour le territoire monégasque… mais aussi français. La durée du contrat serait de quatre ans.\n\nLe montant des droits ne sont pas encore connus mais L’Equipe explique par ailleurs que les nouveaux détenteurs auraient « l’intention de mettre sur pied une plateforme numérique comme support privilégié de diffusion ». 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Mais BeIN Sports tiendrait la corde : « Plusieurs sources concordantes affirment qu’une offre aurait également été formulée pour l’acquisition des droits du championnat de France. Un dossier qui est lui toujours en suspens. 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\"Je suis l'une des meilleures joueuses du monde, déclare t-elle tout de go au Redaktions Netzwerk Deutschland. Bien sûr, cela peut faire la différence. Je sais que j'aborderai le tournoi à 100 pour cent. Et je n'ai pas besoin de me mettre la pression pour être plus que 100 pour cent\".
Les Allemandes se sont qualifiées pour la première fois pour les Jeux Olympiques et affronteront les États-Unis, le Japon et la Belgique au tour préliminaire olympique à Villeneuve d'Ascq.
\"Je pars dans ce tournoi pour gagner une médaille. Mais cela se fait étape par étape\", a déclaré Satou Sabally, qui joue en WNBA pour les Dallas Wings et n'a pas participé aux Championnats d'Europe l'année dernière au cours duquel l'Allemagne a pris la sixième place.
À Dallas, elle profite des conseils de l'icône allemande Dirk Nowitzki, qui a fait toute sa carrière NBA aux Mavs.
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Et je n'ai pas besoin de me mettre la pression pour être plus que 100 pour cent\".\n\nLes Allemandes se sont qualifiées pour la première fois pour les Jeux Olympiques et affronteront les États-Unis, le Japon et la Belgique au tour préliminaire olympique à Villeneuve d'Ascq.\n\n\"Je pars dans ce tournoi pour gagner une médaille. Mais cela se fait étape par étape\", a déclaré Satou Sabally, qui joue en WNBA pour les Dallas Wings et n'a pas participé aux Championnats d'Europe l'année dernière au cours duquel l'Allemagne a pris la sixième place.\n\nÀ Dallas, elle profite des conseils de l'icône allemande Dirk Nowitzki, qui a fait toute sa carrière NBA aux Mavs.\n\n\"Nous échangeons déjà des idées. Dirk était également présent à l'un de nos matches de barrage l'année dernière. C'était très cool qu'il nous soutienne là-bas. 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Avec ses 18 points, 4 passes, et 2 rebonds en 31 minutes, l'ancien meneur de jeu de l'INSEP passé à la fin mars à Saint-Quentin, a frappé les esprits.
« En vrai, c’est un honneur de pouvoir représenter la France, mon équipe et toutes les équipes où j’ai pu jouer ces dernières années, déclare t-il. Franchement, c’était une super expérience, inoubliable. On arrive, ils nous donnent tous les équipements et maillots d’entraînement, ensuite on s’entraînait deux fois par jour. On a fait pas mal d’activités, on a visité le siège de Nike qui est à Portland. C’est un environnement différent, on s’entraîne dans une salle NBA, c’est le top du top. Le match, on l’a perdu, mais en soi, c’était cool de pouvoir jouer contre les États-Unis. On a montré des belles choses. »
Que pense t-il de son match ?
« J’étais complet, j’ai pu montrer tout mon arsenal et j’en suis satisfait. On avait une bonne équipe et de toute façon, à ce niveau, tout le monde est fort. » Et d'ajouter : « Je ne me dis pas que je suis dans la lignée car je n’ai encore rien fait. Il y a bien des mecs qui ont fait des bons Hoop Summit qui n’ont pas fini par être dans les meilleurs joueurs français. »
Comment voit-il son futur immédiat ?
« J’ai une bonne taille pour un poste 1, donc forcément, on peut se dire pourquoi pas un poste 2. Mais plus le basket évolue, plus les joueurs sont grands sur tous les postes. Je pense que poste 1, c’est ce qui me correspond et je veux rester à ce poste. Je n’ai pas pris de décision encore, elle dépendra de mon choix. Je veux trouver l’endroit où je pourrai le mieux me développer pour me préparer à la NBA… »", "comment_id":"6621346875790500015ad7de", "plaintext":"Avec ses 18 points, 4 passes, et 2 rebonds en 31 minutes, l'ancien meneur de jeu de l'INSEP passé à la fin mars à Saint-Quentin, a frappé les esprits.\n\n« En vrai, c’est un honneur de pouvoir représenter la France, mon équipe et toutes les équipes où j’ai pu jouer ces dernières années, déclare t-il. Franchement, c’était une super expérience, inoubliable. On arrive, ils nous donnent tous les équipements et maillots d’entraînement, ensuite on s’entraînait deux fois par jour. On a fait pas mal d’activités, on a visité le siège de Nike qui est à Portland. C’est un environnement différent, on s’entraîne dans une salle NBA, c’est le top du top. Le match, on l’a perdu, mais en soi, c’était cool de pouvoir jouer contre les États-Unis. On a montré des belles choses. »\n\nQue pense t-il de son match ?\n\n« J’étais complet, j’ai pu montrer tout mon arsenal et j’en suis satisfait. On avait une bonne équipe et de toute façon, à ce niveau, tout le monde est fort. » Et d'ajouter : « Je ne me dis pas que je suis dans la lignée car je n’ai encore rien fait. Il y a bien des mecs qui ont fait des bons Hoop Summit qui n’ont pas fini par être dans les meilleurs joueurs français. »\n\nComment voit-il son futur immédiat ?\n\n« J’ai une bonne taille pour un poste 1, donc forcément, on peut se dire pourquoi pas un poste 2. Mais plus le basket évolue, plus les joueurs sont grands sur tous les postes. Je pense que poste 1, c’est ce qui me correspond et je veux rester à ce poste. Je n’ai pas pris de décision encore, elle dépendra de mon choix. 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L'équipe de l'INSEP retrouvera le Real Madrid, le FC Barcelone, ratiopharm Ulm, Mega MIS Belgrade, l'ALBA Berlin, Armani Milan et Overtime Elite.
En plus des quatre vainqueurs des quatre phases précédentes, l'Euroleague a donné quatre invitations, parmi lesquelles se distingue la participation de l'équipe Overtime Elite. Ce sera la première fois qu'une équipe des États-Unis participera à l'ANGT.
\"Les plus grands talents du basket-ball mondial se retrouveront à Berlin pour le Final Four de l'Euroleague du tournoi Adidas Next Generation. Les finales de l'ANGT ouvriront une fois de plus une nouvelle frontière lorsque les matchs se joueront dans la capitale allemande du 23 au 26 mai\", écrit l'Euroleague dans un communiqué. \"La Finale ANGT, le principal événement mondial de basket-ball des clubs juniors, réunira à nouveau huit équipes, dont quatre ont obtenu leur place grâce à la phase de qualification : le Real Madrid (ANGT Podgorica), le FC Barcelone (ANGT Belgrade), ratiopharm Ulm (Dubaï), et le PFBB INSEP Paris (Paris).
Les quatre autres équipes qui participeront à la phase finale à Berlin le feront via des wildcards : Mega MIS Belgrade, ALBA Berlin, EA7 Emporio Armani Milan et Overtime Elite. Mega s'est classé 5ème à l'ANGT de Belgrade, ALBA a terminé 6ème à l'ANGT de Podgorica et Milan a terminé 2ème à l'ANGT de Belgrade. Overtime Elite, pour sa part, concourra pour la première fois dans l'ANGT avec une équipe composée d'une sélection de joueurs de moins de 18 ans provenant de toute la ligue.
Overtime Elite est une ligue U-16 à U-20 basée à Atlanta qui regroupe bon nombre des meilleurs jeunes talents des États-Unis et d'ailleurs. Il y a huit équipes dans la ligue Overtime Elite, qui vient de terminer sa troisième saison. Overtime Elite a envoyé 15 joueurs de basket-ball professionnels du monde entier, dont deux joueurs choisis en tête de la draft NBA, les frères Amen et Ausar Thompson.
Les huit équipes de l'ANGT Berlin seront réparties en deux groupes. Milan, Mega, Real Madrid et Ulm seront dans le groupe A, tandis que le groupe B est composé de l'ALBA, Barcelone, Overtime Elite et PFBB.\"", "comment_id":"66214a2d75790500015ad813", "plaintext":"L'équipe de l'INSEP retrouvera le Real Madrid, le FC Barcelone, ratiopharm Ulm, Mega MIS Belgrade, l'ALBA Berlin, Armani Milan et Overtime Elite.\n\nEn plus des quatre vainqueurs des quatre phases précédentes, l'Euroleague a donné quatre invitations, parmi lesquelles se distingue la participation de l'équipe Overtime Elite. Ce sera la première fois qu'une équipe des États-Unis participera à l'ANGT.\n\n\"Les plus grands talents du basket-ball mondial se retrouveront à Berlin pour le Final Four de l'Euroleague du tournoi Adidas Next Generation. 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Seul le trio Chery-Heal-Mitchell a réellement alimenté la marque et les 2e et 4e quart-temps ont été dévastateurs. 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C'est donc avec un avantage inattendu et conséquent de 18 points que le TGB va se présenter au Prado pour la manche retour -c'est, en cette année olympique, une éventuelle différence de points qui qualifiera une équipe pour les demi-finales. Les filles de François Gomez sont entrées à 300 à l'heure dans le match pour mener 26 à 8 au bout de dix minutes. Bourges fera ensuite jeu égal avec son hôte mais ne se remettra jamais de ce départ catastrophique.
A la mi-temps, Dominique Malonga (1,98m, 18 ans) avait déjà cumulé 15 points, 10 rebonds, 1 contre et 1 interception, prouvant qu'elle est bien le phénomène annoncé. Elle a un peu baissé pied par la suite (20 points, 18 rebonds, 3 contres et aussi 4 balles perdues au final) mais elle était très bien entourée en cette soirée de grâce. Carla Leite, la 9e de la draft WNBA, a été une fois nouvelle fois tranchante provoquant 10 fautes pour 21 points et 6 passes, alors que Marie-Paule Foppossi n'était pas en reste avec 20 points et 6 rebonds.
Et tout le monde a défendu au TGB... Privées en l'occasion des services de la Lituanienne Kamile Nacickaite, les Berruyères ont fini le match avec une réussite de seulement 32 %. Le carré d'étrangères Spanou-Colley-Mann-Steinberga a cumulé un très vilain 3 sur 26 ! Ce sera chaud au Prado dimanche !
\"J’ai un projet ailleurs (NDLR : Villeneuve-d’Ascq) qui va arriver, donc forcément j’ai envie de finir l’aventure au TGB de la meilleure manière. Si je peux repartir du TGB avec le titre de champion de France, bien sûr que je le prends\", avait prévenu Carla Leite avant le match dans La Dépêche.
Comme on pouvait le craindre, l'ASVEL était beaucoup trop diminuée (absences de Julie Allemand, Marine Fauthoux, Juste Jocyte et Gabby Williams, Laura Quevedo, Sandrine Gruda, Marine Johannes, Alice Kunek et Helena Ciak qui n'a joué hier que 25 secondes en raison d'une déchirure à la cuisse !) pour rivaliser avec Basket Landes. Seul le trio Chery-Heal-Mitchell a réellement alimenté la marque et les 2e et 4e quart-temps ont été dévastateurs. Les championnes de France en titre vont sortir par la petite porte après une saison pourrie par les blessures et autres.
Les dix Landaises ont participé à l'élaboration du score avec 16 points, 7 passes et 26 d'évaluation pour Marie Pardon.
La boxscore de Tarbes-Bourges est ICI.
La boxscore de Lyon-Basket Landes est ICI.
Scottie Wilbekin a marqué 18 points, George Papagiannis a ajouté 12 points plus six rebonds, Melih Mahmutoglu 12 points et Tarik Biberovic 11 points.
Dans le championnat national, Fenerbahçe (22-5) est le dauphin d'Efes (24-3) alors que Besiktas est positionné à la 3e place à égalité avec Pinar Karsiyaka (19-8). Avant ce match, le Fener demeurait sur deux défaites (Efes et Turk Telekom) en championnat et également sur deux défaites en Euroleague (Efes de nouveau et Olympiakos).
Les deux premiers matches face à Monaco sont programmés les 24 et 26 avril. La Roca Team reçoit dimanche Le Portel en Betclic Elite.
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\"Il y a peut-être un hiatus avec certains mais on progresse sur le sujet. Tous ceux qui discutent avec lui peuvent se rendre compte qu’il est intelligent, travailleur, humain. Après, dans sa manière de coacher, avec ses joueurs, il y a un côté “je t’aime moi non plus”. Mais c’est un gagneur. Et dans mon esprit, tout est clair, on construit la saison prochaine avec le coach et Nicola Alberani\", explique t-il dans les colonnes des DNA.
La SIG a connu une période troublée sur le plan économique. Christophe Lasvigne se veut rassurant.
“SIG et Entreprises” ( qui regroupe les actionnaires du club ), pèse désormais 2 millions d’euros, contre 1,1 il y a six mois et a recapitalisé le club à hauteur de 420 000 euros. Une vingtaine d’actionnaires a intégré cette structure. En son sein, Matt Pokora s’avère un collaborateur très impliqué avec un gros travail sur le nouveau maillot, sur un nouveau logo. La LNB et même la BCL nous regardent avec intérêt parce que ça va dans le sens du basket, un élargissement des audiences.\" Il ajoute à propos du Rhénus 2.0 : \"On reste sur le projet initial et on s’appuie sur les quatre leviers qui peuvent le faire avancer : la relation avec les collectivités publiques, la levée de fonds qui suit son cours, la négociation avec le pool bancaire et la location des espaces créés dans ce projet. Et je peux vous dire que ce projet n’est pas mort. 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Et dans mon esprit, tout est clair, on construit la saison prochaine avec le coach et Nicola Alberani\", explique t-il dans les colonnes des DNA.\n\nLa SIG a connu une période troublée sur le plan économique. Christophe Lasvigne se veut rassurant.\n\n“SIG et Entreprises” ( qui regroupe les actionnaires du club ), pèse désormais 2 millions d’euros, contre 1,1 il y a six mois et a recapitalisé le club à hauteur de 420 000 euros. Une vingtaine d’actionnaires a intégré cette structure. En son sein, Matt Pokora s’avère un collaborateur très impliqué avec un gros travail sur le nouveau maillot, sur un nouveau logo. La LNB et même la BCL nous regardent avec intérêt parce que ça va dans le sens du basket, un élargissement des audiences.\" Il ajoute à propos du Rhénus 2.0 : \"On reste sur le projet initial et on s’appuie sur les quatre leviers qui peuvent le faire avancer : la relation avec les collectivités publiques, la levée de fonds qui suit son cours, la négociation avec le pool bancaire et la location des espaces créés dans ce projet. Et je peux vous dire que ce projet n’est pas mort. Et il est bien vivant.\"", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/massimo-cancellieri-limoges-fiba.webp", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-19T07:26:22.000Z", "updated_at":"2024-04-19T10:57:46.000Z", "published_at":"2024-04-19T10:57:46.000Z", "custom_excerpt":"Le nouveau président de la SIG Strasbourg, Christophe Lasvigne, a l'intention de garder Massimo Cancellieri, arrivé à l'été dernier, comme coach de son club.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"66224b4d75790500015ad934", "uuid":"52f58b57-7682-4d99-be01-643cd6a040cc", "title":"Les matches de Betclic Elite sont diffusés sur l'app Betclic", "slug":"les-matches-de-betclic-elite-sont-diffuses-sur-lapp-betclic", "mobiledoc":null, "lexical":"{\"root\":{\"children\":[{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"La retransmission des matchs est réservée aux joueurs disposant d'un compte sur l'app Betclic... 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La retransmission des matchs est réservée aux joueurs disposant d'un compte sur l'app Betclic... C'est un retour à un procédé que l'on pensait démodé mais cela peut être utile si les matches ne sont plus diffusés sur la plateforme Skweek.
\"Depuis 3 saisons, la Ligue Nationale de Basket et un des leaders européens des paris sportifs Betclic ont conclu un partenariat de naming pour le Championnat de France masculin de 1ère division, devenu la Betclic Elite. Betclic s’engage depuis pour faire vivre le basket plus fort. Et Betclic tient sa promesse !
Les passionnés de basket peuvent suivre en direct tous les matchs de la Betclic Elite sur l’app Betclic, accessible sur mobile, tablette ou sur PC, afin de vivre des expériences sportives toujours plus intenses, divertissantes et immersives.
Et pour faire vivre le sport de l’intérieur, et au plus près du terrain, Betclic a récemment offert aux fans de basket une expérience immersive, avec le dispositif de caméra embarquée sur les joueurs Betclic Cam. Déployée en février dernier, pendant le match qui opposait le Paris Basketball au Saint-Quentin Basketball à l’Adidas Arena, la Betclic Cam était aussi retransmise sur l’app Betclic.\"", "comment_id":"66224b4d75790500015ad934", "plaintext":"La retransmission des matchs est réservée aux joueurs disposant d'un compte sur l'app Betclic... C'est un retour à un procédé que l'on pensait démodé mais cela peut être utile si les matches ne sont plus diffusés sur la plateforme Skweek.\n\n\"Depuis 3 saisons, la Ligue Nationale de Basket et un des leaders européens des paris sportifs Betclic ont conclu un partenariat de naming pour le Championnat de France masculin de 1ère division, devenu la Betclic Elite. Betclic s’engage depuis pour faire vivre le basket plus fort. 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Aco Petrovic, deux fois vainqueur de la C1 et multimédaillé avec la Yougoslavie, a déjà été le head coach du Brésil de 2017 à 2021. Au cours de cette période, il a enregistré 26 victoires en 33 matchs. Il va être accompagné de l'ancien joueur brésilien qui est actuellement entraîneur adjoint des Houston Rockets, Tiago Spliter.
Aco Peytrovic, qui est le frère aîné de feu l'ancienne star yougoslave et croate, Drazen Petrovic, succède à Gustavo De Conti, qui a entraîné le Brésil lors de la Coupe du monde 2023. L'équipe a été éliminée au deuxième tour, se classant quatrième dans un groupe qui comprenait également le Canada, la Lettonie et l'Espagne.
\"Je suis très heureux de revenir entraîner l'équipe brésilienne\", a déclaré Petrovic. \"Il est maintenant temps de se concentrer sur le tournoi de qualification olympique en Lettonie et de chercher une place aux Jeux Olympiques de Paris.\"
Le Brésil sera au TQO de Riga dans un groupe avec le Cameroun et le Monténégro. S'il se qualifie pour les demi-finales, il se retrouvera face à la Lettonie, les Philippines ou la Géorgie, pour une place en finale. Le vainqueur du tournoi recevra un billet pour les Jeux olympiques.
\"Il est respecté dans le monde entier et connaît les défis auxquels nous serons confrontés contre les équipes européennes lors de ces pré-olympiques. Il a toute notre confiance, aux côtés de Splitter et de l'ensemble du staff\" - a souligné le président du CBB, Guy Peixoto Jr à propos de l'engagement du Croate.", "comment_id":"66224e4c75790500015ad95c", "plaintext":"Aco Petrovic, deux fois vainqueur de la C1 et multimédaillé avec la Yougoslavie, a déjà été le head coach du Brésil de 2017 à 2021. Au cours de cette période, il a enregistré 26 victoires en 33 matchs. Il va être accompagné de l'ancien joueur brésilien qui est actuellement entraîneur adjoint des Houston Rockets, Tiago Spliter.\n\nAco Peytrovic, qui est le frère aîné de feu l'ancienne star yougoslave et croate, Drazen Petrovic, succède à Gustavo De Conti, qui a entraîné le Brésil lors de la Coupe du monde 2023. L'équipe a été éliminée au deuxième tour, se classant quatrième dans un groupe qui comprenait également le Canada, la Lettonie et l'Espagne.\n\n\"Je suis très heureux de revenir entraîner l'équipe brésilienne\", a déclaré Petrovic. \"Il est maintenant temps de se concentrer sur le tournoi de qualification olympique en Lettonie et de chercher une place aux Jeux Olympiques de Paris.\"\n\nLe Brésil sera au TQO de Riga dans un groupe avec le Cameroun et le Monténégro. S'il se qualifie pour les demi-finales, il se retrouvera face à la Lettonie, les Philippines ou la Géorgie, pour une place en finale. Le vainqueur du tournoi recevra un billet pour les Jeux olympiques.\n\n\"Il est respecté dans le monde entier et connaît les défis auxquels nous serons confrontés contre les équipes européennes lors de ces pré-olympiques. 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Mais ce n’est pas d’actualité, il y a de l’espoir. Les filles sont extraordinairement résilientes, le vestiaire est super soudé et le club a toujours su faire face à l’adversité.\\\"\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"extended-quote\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"root\",\"version\":1}}", "html":"
Le classement à l'issue de la saison régulière est le suivant :
1. Charleville-Mézières (10 points | 4-2) ; 2. Saint-Amand (9 points | 3-3) ; 3. Roche Vendée (8 points | 3-3) ; 4. Landerneau (7 points | 2-4).
Le Landerneau Basket Bretagne est donc dernier sur la ligne de départ mais l'équipe bretonne est sur une bonne dynamique avec 6 victoires acquises durant la phase retour. A l'inverse, Roche Vendée demeure sur une série de cinq défaites et le bilan de Saint-Amand (1-4 en mars-avril) n'est pas non plus fameux. Le président du club breton, Erwan Croguennec, ne veut pas entendre parler de rétrogradation.
\"Ce serait une injustice terrible, grossière..., martèle t-il dans Le Télégramme. Et je ne suis pas le seul à le penser. On nous reproche de ne pas avoir respecté le fonds de réserve la saison dernière, qui doit représenter 10 % du budget et qu’on n’avait alors pas. Mais c’était aussi le cas d’autres clubs qui, eux, n’ont eu que des amendes financières, pas de retrait de points comme nous et La Roche-sur-Yon. On attend toujours la grille pour comprendre comment tout cela se décide. L’union des clubs la réclame, mais ne l’obtient pas. Aujourd’hui, ces sanctions se prennent à la seule appréciation de la CCG (Commission de Contrôle de Gestion), sans plus d’information. Ça fait peur et ça donne le sentiment d’un deux poids, deux mesures.\"
L'objectif de Landerneau est clair :
\"Sur les six matchs, il faut qu’on en gagne quatre, dont dès ce vendredi contre Charleville, qu’on a battu en saison régulière. Dans la mesure où on part de la dernière place, on sera vite fixé sur notre destin si on enchaîne défaite sur défaite. Ce que je souhaite avant tout, c’est de sortir de chaque match en ayant le sentiment d’avoir tout donné. Et si on doit descendre, on descendra. Mais ce n’est pas d’actualité, il y a de l’espoir. Les filles sont extraordinairement résilientes, le vestiaire est super soudé et le club a toujours su faire face à l’adversité.\"", "comment_id":"6622523d75790500015ad990", "plaintext":"Le classement à l'issue de la saison régulière est le suivant :\n\n 1. Charleville-Mézières (10 points | 4-2) ; 2. Saint-Amand (9 points | 3-3) ; 3. Roche Vendée (8 points | 3-3) ; 4. 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Son dernier match avant le quart-de-finale de l’Euroleague face à Monaco.\",\"author\":\"La rédaction\",\"publisher\":\"BasketEurope.com\",\"thumbnail\":\"https://www.basketeurope.com/content/images/size/w1200/2024/04/Nigel-Hayes-Davis.webp\"},\"caption\":\"\"},{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Strasbourg veut conserver son coach Massimo Cancellieri\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"extended-heading\",\"version\":1,\"tag\":\"h1\"},{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Le nouveau président de la SIG Strasbourg, Christophe Lasvigne, a l'intention de garder Massimo Cancellieri, arrivé à l'été dernier, comme coach de son club.\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1},{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"La SIG Strasbourg a participé au top 16 de la BCL, est toujours en position de disputer les playoffs du championnat de France, et se retrouve en finale de la Coupe de France face à la JDA Dijon avec plus d'un millier de supporters attendus à l'Accor Arena de Paris-Bercy. 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Franchement, c’était une super expérience, inoubliable. On arrive, ils nous donnent tous les équipements et maillots d’entraînement, ensuite on s’entraînait deux fois par jour. On a fait pas mal d’activités, on a visité le siège de Nike qui est à Portland. C’est un environnement différent, on s’entraîne dans une salle NBA, c’est le top du top. Le match, on l’a perdu, mais en soi, c’était cool de pouvoir jouer contre les États-Unis. On a montré des belles choses.\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1},{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\" »\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"extended-quote\",\"version\":1},{\"type\":\"bookmark\",\"version\":1,\"url\":\"__GHOST_URL__/nolan-traore-saint-quentin-je-veux-trouver-lendroit-ou-je-pourrai-le-mieux-me-developper/\",\"metadata\":{\"icon\":\"https://www.basketeurope.com/content/images/size/w256h256/2023/11/icon-basketeurope.png\",\"title\":\"Nolan Traoré (Saint-Quentin) : “Je veux trouver l’endroit où je pourrai le mieux me développer”\",\"description\":\"Pour l’Aisne Nouvelle, Nolan Traoré (1,91 m, 17 ans) est revenu sur son expérience au Nike Hoop Summit et aborde en quelques mots son avenir.\",\"author\":\"Pascal Legendre\",\"publisher\":\"BasketEurope.com\",\"thumbnail\":\"https://www.basketeurope.com/content/images/2024/04/Nolan-Traore--FIBA.jpeg\"},\"caption\":\"\"},{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Playoffs LFB : Tarbes bouscule Bourges\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"extended-heading\",\"version\":1,\"tag\":\"h1\"},{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Tarbes a réussi à désarçonner Bourges lors du match aller des quarts-de-finale de playoffs (87-69) alors que Basket Landes s'est imposé à l'ASVEL trop diminuée (67-89).\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1},{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"C'est donc avec un avantage inattendu et conséquent de 18 points que le TGB va se présenter au Prado pour la manche retour -c'est, en cette année olympique, une éventuelle différence de points qui qualifiera une équipe pour les demi-finales. 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La Ligue Nationale de Basket a envoyé un email à ses clubs pour les informer qu'aucun match ne sera diffusé sur la plateforme Skweek ce week-end mais que ceux du dimanche sur La Chaîne L'Equipe sont maintenus jusqu'à la fin de la saison.
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w256h256/2023/11/icon-basketeurope.png\"){kind=icon}
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Ballon-2-1.jpeg\")
Quatre équipes jouent les playdowns, une seule descendra en Ligue 2. Landerneau -tout comme La Roche Vendée- part avec le retrait d'un point suite à une décision du contrôle de gestion.
Le classement à l'issue de la saison régulière est le suivant :
1. Charleville-Mézières (10 points | 4-2) ; 2. Saint-Amand (9 points | 3-3) ; 3. Roche Vendée (8 points | 3-3) ; 4. Landerneau (7 points | 2-4).
Le Landerneau Basket Bretagne est donc dernier sur la ligne de départ mais l'équipe bretonne est sur une bonne dynamique avec 6 victoires acquises durant la phase retour. A l'inverse, Roche Vendée demeure sur une série de cinq défaites et le bilan de Saint-Amand (1-4 en mars-avril) n'est pas non plus fameux. Le président du club breton, Erwan Croguennec, ne veut pas entendre parler de rétrogradation.
\"Ce serait une injustice terrible, grossière..., martèle t-il dans Le Télégramme.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/virginie-bremont-open-lfb-2019.webp\")
Fenerbahçe a fait du petit bois de Besiktas, 87-66, dans le championnat turc. Son dernier match avant le quart-de-finale de l'Euroleague face à Monaco.
Scottie Wilbekin a marqué 18 points, George Papagiannis a ajouté 12 points plus six rebonds, Melih Mahmutoglu 12 points et Tarik Biberovic 11 points.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Nigel-Hayes-Davis.webp\")
Le nouveau président de la SIG Strasbourg, Christophe Lasvigne, a l'intention de garder Massimo Cancellieri, arrivé à l'été dernier, comme coach de son club.
La SIG Strasbourg a participé au top 16 de la BCL, est toujours en position de disputer les playoffs du championnat de France, et se retrouve en finale de la Coupe de France face à la JDA Dijon avec plus d'un millier de supporters attendus à l'Accor Arena de Paris-Bercy. Son président envisage de reconduire à leur poste le coach Massimo Cancellieri, même s'il ne fait pas forcément l'unanimité, et le directeur sportif Nicola Alberani.
\"Il y a peut-être un hiatus avec certains mais on progresse sur le sujet. Tous ceux qui discutent avec lui peuvent se rendre compte qu’il est intelligent, travailleur, humain. Après, dans sa manière de coacher, avec ses joueurs, il y a un côté “je t’aime moi non plus”. Mais c’est un gagneur. Et dans mon esprit, tout est clair, on construit la saison prochaine avec le coach et Nicola Alberani\", explique t-il dans les colonnes des DNA.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/massimo-cancellieri-limoges-fiba.webp\")
Le phénomène Caitlin Clark aux Etats-Unis met en lumière les inégalités salariales entre les basketteurs et les basketteuses. Même le Président Joe Biden s'en est ému. Pourtant la joueuse est en train de faire fructifier son talent.
2,4 millions de personnes, soit 300 % de plus que le record précédent, établi en 2004 (!) ont assisté à la draft WNBA et à la consécration de Caitlin Clark comme numéro 1. Sa nouvelle équipe, l'Indiana Fever, affiche déjà complet pour toute la saison un mois avant le premier entre-deux.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Caitlin-Clark-Nike-Signature-Shoe-1068x774.jpeg\")
En 7 matches, Chris Clemons (1,77 m, 26 ans) s'est imposé comme un acteur majeur de la Betclic Elite.
Jusque là, Chris Clemons avait joué uniquement en NBA (32 matches), en G-League et en Chine, et pour sa première expérience européenne, il cartonne. 27 points contre Monaco et 30 contre Le Mans pour ses deux dernières sorties, 17,4 points en moyenne. Il s'est exprimé dans L'Est Républicain sur son adaptation rapide :
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Chris-Clermons.jpeg\")
Pour l'Aisne Nouvelle, Nolan Traoré (1,91 m, 17 ans) est revenu sur son expérience au Nike Hoop Summit et aborde en quelques mots son avenir.
Avec ses 18 points, 4 passes, et 2 rebonds en 31 minutes, l'ancien meneur de jeu de l'INSEP passé à la fin mars à Saint-Quentin, a frappé les esprits.
« En vrai, c’est un honneur de pouvoir représenter la France, mon équipe et toutes les équipes où j’ai pu jouer ces dernières années, déclare t-il. Franchement, c’était une super expérience, inoubliable. On arrive, ils nous donnent tous les équipements et maillots d’entraînement, ensuite on s’entraînait deux fois par jour. On a fait pas mal d’activités, on a visité le siège de Nike qui est à Portland. C’est un environnement différent, on s’entraîne dans une salle NBA, c’est le top du top. Le match, on l’a perdu, mais en soi, c’était cool de pouvoir jouer contre les États-Unis. On a montré des belles choses. »
Pascal Legendre![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Nolan-Traore--FIBA.jpeg\")
Tarbes a réussi à désarçonner Bourges lors du match aller des quarts-de-finale de playoffs (87-69) alors que Basket Landes s'est imposé à l'ASVEL trop diminuée (67-89).
C'est donc avec un avantage inattendu et conséquent de 18 points que le TGB va se présenter au Prado pour la manche retour -c'est, en cette année olympique, une éventuelle différence de points qui qualifiera une équipe pour les demi-finales. Les filles de François Gomez sont entrées à 300 à l'heure dans le match pour mener 26 à 8 au bout de dix minutes. Bourges fera ensuite jeu égal avec son hôte mais ne se remettra jamais de ce départ catastrophique.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Carla-Leite-LFB.png\")
Au Final Four de la Basketball Champions League à Belgrade, du 26 au 28 avril, les quatre équipes participantes disputeront les tout premiers matchs d'une compétition internationale de clubs sur un sol en verre, équipé de panneaux LED.
Les équipes du Lenovo Tenerife, de Peristeri bwin, de l'UCAM Murcia et d'Unicaja Malaga écriront ainsi une page de l'histoire du basket-ball en jouant sur l'ASB GlassFloor qui, depuis son introduction officielle en juillet 2023, a été saluée comme l'innovation la plus avant-gardiste en matière d'infrastructure de basket-ball.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/asb-glassfloor-source-fiba-media-43.webp\")
Suite au conflit entre le groupe L'Equipe et FedCom Media, en raison d'impayés de ce dernier, révélé cette semaine par Le Parisien, la production des matches n'est actuellement plus assurée aussi la totalité des rencontres de Betclic Elite de ce week-end ne sera pas disponible sur Skweek. En revanche, le match entre l'ASVEL et le Paris Basketball sera bel et bien diffusé en clair ce dimanche, à 19h, sur La Chaîne L'Equipe.
Celle-ci sanctionnait l'AS Monaco de la perte de sa rencontre contre la SIG Strasbourg du 24 mars 2024 par pénalité. Il avait été reproché aux Monégasques d'avoir fait appel aux services de Sasa Obradovic et Jaron Blossomgame alors que ceux-ci auraient dû être suspendus en raison de leur leur expulsion une semaine auparavant en Coupe de France.
Parallèlement, la Chambre d’appel de la FFBB renvoie l’affaire devant cette même commission qui se réunira dans les meilleurs délais. En conséquence et à ce jour, Monaco récupère une victoire. Le classement du Championnat de France de Betclic Elite, mis à jour, est disponible sur lnb.fr. A savoir, Monaco est 1er avec 27 victoires et 4 défaites et Strasbourg 8e avec 14 victoires et 15 défaites.
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Cinq joueuses héraultaises (20 points pour Ameryst Alston) se retrouvent en double figure contre trois dans le camp adverse.
Grâce à un troisième quart-temps de folie (43-20), Angers a fait souffrir le finaliste de l'Euroleague. Les Angevines ont mené 57-56 à la 28e minute réalisant un total de 12 paniers à trois-points sur le match. Jasmine Bailey a réalisé un double double (22 points et 10 rebonds), alors que Leila Lacan, après un départ timide, a cumulé 12 points et 4 interceptions. Mais force est restée à l'ESBVA qui a laissé son rival sur place dans le money time avec le trio Diaby (18 points), Salaün (17), Zellous (16) particulièrement efficace.
Charnay – Lattes-Montpellier : 62-77
Angers – Villeneuve d’Ascq : / 73-82
Roche Vendée – Saint-Amand : 81-66 / Voir le replay
Landerneau – Charleville-Mézières : 73-66 / Voir le replay
A ceux qui en doutaient encore, le Stade Rochelais a définitivement démontré qu'il est le numéro 1 de la saison de Pro B. La Rochelle, c'est de la hargne, une force collective avec six joueurs à 12 et davantage à l'évaluation et Jubrile Belo comme meilleur marqueur avec 15 points. A Vichy, c'est Ilias Kamardine (15 points) qui a été le meilleur marqueur. Seule ombre au tableau pour La Rochelle, l'entorse à la cheville de Mathéo Leray.
Julien Cortey (coach de La Rochelle) dans Sud Ouest : « Ce soir, ça s’est joué au mental, ils nous ont bien poussés dans nos retranchements et on a eu ce supplément d’âme qui nous amène à la victoire. C’est pour ce genre de moment qu’on fait ce métier. Dans le rythme, l’intensité, c’était un peu un avant-goût des playoffs, avec deux équipes qui voulaient vraiment gagner. C’est la meilleure attaque de la division et la tactique était de ne pas les laisser shooter facilement et de contrôler le rebond, car on sait qu’ils sont très bons là-dessus. On n’a pas perdu le fil de notre plan de match et c’est ça qui nous fait gagner. Je félicite les gars car ils ont vraiment joué un super basket. Je peux le dire : je suis fier et heureux ! Le seul point noir de la soirée c’est bien évidemment Mathéo (Leray) avec son entorse à la cheville, mais je penserai aux problèmes demain matin (samedi).
Cette saison, exceptionnellement, la première place de la saison régulière ne donne pas accès à l'élite. Seul le vainqueur des playoffs aura son billet.
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Nous regardons en arrière et voyons quelles équipes nous avons pu laisser derrière nous et lesquelles pendant une bonne partie de la saison l'ont été encore plus. Je pense qu'il est juste de souligner qu'il s'agit d'un programme en pleine croissance et qu'il doit avoir la force de tirer énergie et impulsion d'un parcours comme celui réalisé au cours des deux dernières années, qui se mesure en termes de victoires, de classement, de crédibilité et reconnaissance. À ce jour, Virtus est une équipe considérée comme l'une des meilleures équipes d'Europe, seulement deux ans après son retour en Euroleague. Nous l’avons testé directement avec la façon dont nos adversaires nous ont affrontés match après match. Je pense que c'est un fait qui devrait être un moteur pour un club qui fait d'énormes sacrifices pour maintenir l'équipe à ces niveaux, si l'on considère la taille des budgets et la structure dont disposent les équipes. 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D'après mon expérience, j'ai un souvenir rare d'un programme qui a été capable de se hisser au sommet du basket-ball national et continental en si peu de temps. Il suffit de regarder le palmarès de la Virtus dont l'histoire actuelle de cette direction est née il y a juste six ans. Dire que ce n'est que la deuxième année de l'Euroleague et qu'on regrette de ne pas avoir atteint le top 8 après 34 matchs de saison régulière ! Nous regardons en arrière et voyons quelles équipes nous avons pu laisser derrière nous et lesquelles pendant une bonne partie de la saison l'ont été encore plus. Je pense qu'il est juste de souligner qu'il s'agit d'un programme en pleine croissance et qu'il doit avoir la force de tirer énergie et impulsion d'un parcours comme celui réalisé au cours des deux dernières années, qui se mesure en termes de victoires, de classement, de crédibilité et reconnaissance. À ce jour, Virtus est une équipe considérée comme l'une des meilleures équipes d'Europe, seulement deux ans après son retour en Euroleague. Nous l’avons testé directement avec la façon dont nos adversaires nous ont affrontés match après match. Je pense que c'est un fait qui devrait être un moteur pour un club qui fait d'énormes sacrifices pour maintenir l'équipe à ces niveaux, si l'on considère la taille des budgets et la structure dont disposent les équipes. Rester dans cette élite sera crucial, j'espère que Virtus pourra y parvenir grâce au chemin parcouru et aux résultats sur le terrain, ainsi qu'aux succès évidents qui se mesurent en termes de participation du public, d'organisation du club et de respect des fair-play financier. Le club s'est montré vertueux également à cet égard, ce sont tous des détails qui semblent projeter ce club au sommet du basket continental.\"
Rappelons que la Virtus ne dispose pas d'une licence A et qu'elle est soumise au bon vouloir de l'Euroleague pour être sur la ligne de départ à la rentrée prochaine.
Gravelines et Roanne sont actuellement à égalité avec dix victoires, seulement le BCM a un match en retard à jouer et a gagné dans la Loire (69-78). DJ Cooper est non seulement un incroyable passeur (11,7 de moyenne) mais il a prouvé face à Monaco (18 points) qu'il peut scorer avec abondance si le besoin s'en fait sentir. Il donne son sentiment au Progrès avant l'heure H.
« C’est un match important même si mathématiquement ce n’est pas “do or die”. Mais si nous gagnons, nous serons sur la bonne voie, si on perd, on sera sur la mauvaise pente. Ils ont peut-être un meilleur calendrier, mais ce qui compte, c’est que l’on a notre destin en main. On joue encore l’Asvel à domicile et si on réitère le style de match contre Monaco, nous pouvons les battre. »
Gagner et si possible, récupérer le point-average.
« C’est l’objectif ! D’abord, le seul objectif que l’on doit avoir est de gagner et, ensuite seulement, on pourra tenter le goal-average. En fait, tout est encore possible. On peut aller battre Nancy ou n’importe quelle autre adversaire. On voit les résultats chaque week-end. » Le meneur américain ajoute : « On est tard dans la saison donc c’est difficile de changer les choses. On fait tout ce que l’on peut. On aurait dû gagner beaucoup d’autres matchs, Limoges, Le Mans… Mais on est encore en vie, on doit continuer. Outre les cadres, tout le monde doit être agressif et assumer son rôle. Nos joueurs français ont été assez solides ces derniers temps et on a besoin de bons joueurs étrangers. »", "comment_id":"6623821ffdfaa30001fcef7c", "plaintext":"Gravelines et Roanne sont actuellement à égalité avec dix victoires, seulement le BCM a un match en retard à jouer et a gagné dans la Loire (69-78). DJ Cooper est non seulement un incroyable passeur (11,7 de moyenne) mais il a prouvé face à Monaco (18 points) qu'il peut scorer avec abondance si le besoin s'en fait sentir. Il donne son sentiment au Progrès avant l'heure H.\n\n« C’est un match important même si mathématiquement ce n’est pas “do or die”. Mais si nous gagnons, nous serons sur la bonne voie, si on perd, on sera sur la mauvaise pente. Ils ont peut-être un meilleur calendrier, mais ce qui compte, c’est que l’on a notre destin en main. On joue encore l’Asvel à domicile et si on réitère le style de match contre Monaco, nous pouvons les battre. »\n\nGagner et si possible, récupérer le point-average.\n\n« C’est l’objectif ! D’abord, le seul objectif que l’on doit avoir est de gagner et, ensuite seulement, on pourra tenter le goal-average. En fait, tout est encore possible. On peut aller battre Nancy ou n’importe quelle autre adversaire. 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DJ Cooper est l'un des atouts majeurs de la Chorale pour faire pencher la balance dans son sens.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"66238cc3fdfaa30001fcefb1", "uuid":"af40b6ad-43a6-4879-b396-58972f1ff45c", "title":"Une spectatrice décède d'une crise cardiaque lors du match Denain-Evreux", "slug":"une-spectatrice-decede-dune-crise-cardiaque", "mobiledoc":null, "lexical":"{\"root\":{\"children\":[{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Le communiqué du club :\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"\\\"La vie est parfois aussi cruelle qu’injuste, hier soir Audrey, 27 ans, jeune supportrice du Saint-Quentin Basketball venue supporter les Dragons a perdu la vie dans accident cardiaque foudroyant au bord du parquet.\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Les équipes du club et quelques supporters ont effectué avec beaucoup de courage les premiers secours en attendant les pompiers. 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Le communiqué du club :
\"La vie est parfois aussi cruelle qu’injuste, hier soir Audrey, 27 ans, jeune supportrice du Saint-Quentin Basketball venue supporter les Dragons a perdu la vie dans accident cardiaque foudroyant au bord du parquet.
Les équipes du club et quelques supporters ont effectué avec beaucoup de courage les premiers secours en attendant les pompiers. Nous salons leur courage et leur détermination ainsi que celle des pompiers et du SMUR qui ont tenté jusqu’au bout de ramener Audrey à la vie.
Nous souhaitons saluer l’exemplarité du commissaire de la rencontre, des officiels, des dirigeants des 2 clubs et des supporters sur place. Personne n’est préparé à vivre ce genre de situation et il n’existe pas de vérité sur le protocole à suivre et sur les décisions à prendre.
Le club souhaite exprimer une nouvelle fois ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches d’Audrey ainsi qu’au SQBB, à son groupe de supporter des renards blancs et aux supporters de Denain dont elle était désormais et dont elle sera éternellement.
Aujourd’hui, le basket est en deuil. À jamais dans nos cœurs Audrey.\"
BasketEurope s'associe à la douleur de la famille et des proches d'Audrey.
La LNB a pris la décision de lui rendre hommage ce soir avant le coup d’envoi du match du Championnat de France de Betclic ELITE entre Saint-Quentin et Dijon.
", "comment_id":"66238cc3fdfaa30001fcefb1", "plaintext":"Le communiqué du club :\n\n\"La vie est parfois aussi cruelle qu’injuste, hier soir Audrey, 27 ans, jeune supportrice du Saint-Quentin Basketball venue supporter les Dragons a perdu la vie dans accident cardiaque foudroyant au bord du parquet.\n\nLes équipes du club et quelques supporters ont effectué avec beaucoup de courage les premiers secours en attendant les pompiers. Nous salons leur courage et leur détermination ainsi que celle des pompiers et du SMUR qui ont tenté jusqu’au bout de ramener Audrey à la vie.\n\nNous souhaitons saluer l’exemplarité du commissaire de la rencontre, des officiels, des dirigeants des 2 clubs et des supporters sur place. Personne n’est préparé à vivre ce genre de situation et il n’existe pas de vérité sur le protocole à suivre et sur les décisions à prendre.\n\nLe club souhaite exprimer une nouvelle fois ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches d’Audrey ainsi qu’au SQBB, à son groupe de supporter des renards blancs et aux supporters de Denain dont elle était désormais et dont elle sera éternellement.\n\nAujourd’hui, le basket est en deuil. À jamais dans nos cœurs Audrey.\"\n\nBasketEurope s'associe à la douleur de la famille et des proches d'Audrey.\n\nLa LNB a pris la décision de lui rendre hommage ce soir avant le coup d’envoi du match du Championnat de France de Betclic ELITE entre Saint-Quentin et Dijon.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Denain.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-20T09:37:07.000Z", "updated_at":"2024-04-20T10:08:54.000Z", "published_at":"2024-04-20T09:45:07.000Z", "custom_excerpt":"Le club de Denain Voltaire a fait part d'une très triste nouvelle sur les réseaux sociaux : le décès d'une jeune spectatrice de 27 ans lors de son match face à Evreux.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6623ca43fdfaa30001fcefd9", "uuid":"8251f58e-aec9-42bf-ad88-eb99a7b8f9ca", "title":"Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures", "slug":"ce-quil-faut-retenir-des-24-dernieres-heures-102", "mobiledoc":null, "lexical":"{\"root\":{\"children\":[{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Qui est l’arbitre française pré-sélectionnée pour les Jeux Olympiques de Paris ?\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"extended-heading\",\"version\":1,\"tag\":\"h1\"}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"La Nîmoise Amel Dahra, 35 ans, est montée en flèche dans la hiérarchie nationale et internationale des arbitres, au point d’être pré-sélectionnée - avec comme autre Français Yohan Rosso - pour siffler aux Jeux Olympiques de Paris 2024.\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":1,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Comment avez-vous appris que vous étiez retenu parmi les 40 arbitres pré-sélectionnés pour les Jeux Olympiques ?\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}, {\"type\":\"linebreak\",\"version\":1}, {\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"\\\"J’ai reçu un mail de la FFBB. J’en ai pris connaissance après mon service puisque je travaille en boulangerie, mais je précise que je ne suis pas boulangère de formation, je suis plutôt dans la partie snacking et pâtisserie. A 13h, j’ai récupéré mon téléphone et j’ai été surprise car j’ai reçu un certain nombre de messages importants par rapport à ce que je reçois d’habitude. Je me suis doutée qu’il y avait quelque chose qui se passait. J’ai ouvert ma boîte mail et c’est là que j’ai découvert que je faisais partie de la short list des arbitres susceptibles d’être aux Jeux Olympiques.\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":1,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"C’est une drôle de sensation d’apprendre ça par un simple mail ? A une époque cela devait être par courrier ou par téléphone ?\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}, {\"type\":\"linebreak\",\"version\":1}, {\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"C’est une très bonne question, je serais ravie de savoir comment on procédait avant pour ce type d’information. Nous, on est habitué pour tous les désignations à recevoir des mails. C’est un canal qui permet d’avoir la traçabilité, à la personne de le consulter à n’importe quel moment. Aujourd’hui, l’appel téléphonique reste plutôt rare.\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":1,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Comment se fait cette pré-sélection ? 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La Rochelle, c'est de la hargne, une force collective avec six joueurs à 12 et davantage à l'évaluation et Jubrile Belo comme meilleur marqueur avec 15 points. A Vichy, c'est Ilias Kamardine (15 points) qui a été le meilleur marqueur. 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Cela n’empêche pas Satou Sabally d’être très ambitieuse.\",\"author\":\"La rédaction\",\"publisher\":\"BasketEurope.com\",\"thumbnail\":\"https://www.basketeurope.com/content/images/2024/04/Satou-Sabally.jpeg\"}, \"caption\":\"\"}, {\"children\":[],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"root\",\"version\":1}}", "html":"La Nîmoise Amel Dahra, 35 ans, est montée en flèche dans la hiérarchie nationale et internationale des arbitres, au point d’être pré-sélectionnée - avec comme autre Français Yohan Rosso - pour siffler aux Jeux Olympiques de Paris 2024.
Comment avez-vous appris que vous étiez retenu parmi les 40 arbitres pré-sélectionnés pour les Jeux Olympiques ?
\"J’ai reçu un mail de la FFBB. J’en ai pris connaissance après mon service puisque je travaille en boulangerie, mais je précise que je ne suis pas boulangère de formation, je suis plutôt dans la partie snacking et pâtisserie. A 13h, j’ai récupéré mon téléphone et j’ai été surprise car j’ai reçu un certain nombre de messages importants par rapport à ce que je reçois d’habitude. Je me suis doutée qu’il y avait quelque chose qui se passait. J’ai ouvert ma boîte mail et c’est là que j’ai découvert que je faisais partie de la short list des arbitres susceptibles d’être aux Jeux Olympiques.
C’est une drôle de sensation d’apprendre ça par un simple mail ? A une époque cela devait être par courrier ou par téléphone ?
C’est une très bonne question, je serais ravie de savoir comment on procédait avant pour ce type d’information. Nous, on est habitué pour tous les désignations à recevoir des mails. C’est un canal qui permet d’avoir la traçabilité, à la personne de le consulter à n’importe quel moment. Aujourd’hui, l’appel téléphonique reste plutôt rare.
Comment se fait cette pré-sélection ? Il y a des points, des notes attribuées à chaque match international ou est-ce un jury ou une seule personne qui décide ?
Pascal Legendre![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/03/herve_bellenger_is_ffbb.jpeg\")
Les Choletais ont complètement perdu les pédales dans le dernier quart-temps. L'ADA Blois leur a infligé un 0-19 et a ramassé la mise. 71-80.
Jusque là, sans être dominateur, Cholet Basket a mené le match au train. Il avait ainsi 9 points de marge (62-53) à la 30e minute. Et tout d'un coup, la nuit noire. 7'57 sans marquer le moindre point en raison d'une suite de cagades. Il a fallu attendre que Tidjane Salaün réussisse deux lancers-francs pour mettre fin à la pénitence. Mais pendant ce temps-là, Blois s'était envolé. 62-72.
D'ailleurs, CB a encore patienté jusqu'à la dernière minutes pour ajouter 7 points supplémentaires. C'est ainsi que l'ADA a remporté le dernier quart-temps 9-27. Surréaliste. Les Blésois doivent beaucoup à Armel Traoré auteur d'un double double (10 points et 10 rebonds) plus 3 interceptions, et aux 14 points et 6 points de Rashard Kelly, et surtout à leur rage de... condamnés. Cette 9e victoire, qui met fin à une série de 8 défaites, leur offre une dernière chance de salut.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Rion-Brown.jpeg\")
Le pivot américain de Peristeri,Trevor Thompson (2,13 m, 29 ans), n'a pas joué vendredi soir le match du championnat grec contre le Panathinaikos. Il était officiellement malade. En fait son absence était due à une toute autre raison.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Trevor-Thompson.jpeg\")
C'est un match ultra important que Gravelines et Roanne vont se livrer ce soir (18h30) à Dunkerque. DJ Cooper est l'un des atouts majeurs de la Chorale pour faire pencher la balance dans son sens.
Gravelines et Roanne sont actuellement à égalité avec dix victoires, seulement le BCM a un match en retard à jouer et a gagné dans la Loire (69-78). DJ Cooper est non seulement un incroyable passeur (11,7 de moyenne) mais il a prouvé face à Monaco (18 points) qu'il peut scorer avec abondance si le besoin s'en fait sentir. Il donne son sentiment au Progrès avant l'heure H.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/DJ-Cooper-Jacques-Cormare-che.webp\")
Le club de Denain Voltaire a fait part d'une très triste nouvelle sur les réseaux sociaux : le décès d'une jeune spectatrice de 27 ans lors de son match face à Evreux.
\"La vie est parfois aussi cruelle qu’injuste, hier soir Audrey, 27 ans, jeune supportrice du Saint-Quentin Basketball venue supporter les Dragons a perdu la vie dans accident cardiaque foudroyant au bord du parquet.
Les équipes du club et quelques supporters ont effectué avec beaucoup de courage les premiers secours en attendant les pompiers. Nous salons leur courage et leur détermination ainsi que celle des pompiers et du SMUR qui ont tenté jusqu’au bout de ramener Audrey à la vie.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Denain.png\")
La Virtus Bologne a raté la dernière marche vers les playoffs en s'inclinant face à Baskonia Vitoria (89-77), mais le coach Luca Banchi dresse un bilan positif sur la saison de son équipe.
« Félicitations à Baskonia, aux joueurs, aux entraîneurs et au club : ils ont joué un grand match ce soir, a t-il commencé par dire. Je pense qu'il est important de féliciter également mes joueurs car nous sommes venus jouer ce match après une très longue saison, renforçant notre identité d'équipe match après match et démontrant que nous pouvons vraiment rivaliser avec tout le monde sur chaque terrain contre n'importe quel adversaire. Je laisse à chacun le soin de juger à quel point nous méritions d'être parmi les huit premiers, mais ce soir, Baskonia a fait un meilleur effort et une meilleure performance, notamment sur les rebonds offensifs et les tirs à 3-points, la plupart de ces tirs ont été générés par des possessions supplémentaires et c'est notre plus grand regret.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Virtus.webp\")
Le PDG d'Endesa, José Bogas, le président de l'Association des clubs de basket-ball, Antonio Martín, et la présidente de la Fédération, Elisa Aguilar, ont annoncé au siège de l'entreprise énergétique le renouvellement jusqu'en 2027 de leurs accords de sponsoring respectifs.
Ces accords confirment Endesa, leader dans le pays dans les secteurs du gaz et de l'électricité, comme le sponsor numéro un du basket-ball espagnol avec un investissement total au cours des 14 dernières années de plus de 100 millions d'euros, tant en termes de soutien financier qu'en actions d'activation et d'amplification.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Endesa.jpeg\")
Dans un communiqué, le société de jeu en ligne et de paris sportifs, Betclic, qui est le naming de la division d'élite de la Ligue Nationale de Basket, rappelle que les matches de la Betclic Elite sont diffusés sur son application via le système Keemotion.
La retransmission des matchs est réservée aux joueurs disposant d'un compte sur l'app Betclic... C'est un retour à un procédé que l'on pensait démodé mais cela peut être utile si les matches ne sont plus diffusés sur la plateforme Skweek.
\"Depuis 3 saisons, la Ligue Nationale de Basket et un des leaders européens des paris sportifs Betclic ont conclu un partenariat de naming pour le Championnat de France masculin de 1ère division, devenu la Betclic Elite. Betclic s’engage depuis pour faire vivre le basket plus fort. Et Betclic tient sa promesse !
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Ballon-Betclic-Elite-Tuan-Nguyen-1.webp\")
En battant son dauphin Vichy (87-74), La Rochelle (27 victoires et 4 défaites) ne peut plus être rejoint en tête de la saison régulière d'ici la fin du championnat.
A ceux qui en doutaient encore, le Stade Rochelais a définitivement démontré qu'il est le numéro 1 de la saison de Pro B. La Rochelle, c'est de la hargne, une force collective avec six joueurs à 12 et davantage à l'évaluation et Jubrile Belo comme meilleur marqueur avec 15 points. A Vichy, c'est Ilias Kamardine (15 points) qui a été le meilleur marqueur. Seule ombre au tableau pour La Rochelle, l'entorse à la cheville de Mathéo Leray.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Stade-Rochelais.jpeg\")
Les Guerrières se sont imposées à Angers (73-82) alors que les Gazelles ont fait de même à Charnay (62-77).
Il y avait déjà une belle différence au bout de dix minutes (10-19) en faveur de Lattes-Montpellier, et malgré un sursaut des Bourguignonnes (10-0), le BLMA a repris les commandes pour s'éloigner définitivement (35-50, 44-61). Cinq joueuses héraultaises (20 points pour Ameryst Alston) se retrouvent en double figure contre trois dans le camp adverse.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Romane-Bernies-FIBA.jpeg\")
Aleksandar \"Aco\" Petrovic, 65 ans, sera le coach de l'équipe nationale brésilienne lors des qualifications pour les Jeux Olympiques de 2024, a annoncé la Fédération du Brésil.
Aco Petrovic, deux fois vainqueur de la C1 et multimédaillé avec la Yougoslavie, a déjà été le head coach du Brésil de 2017 à 2021. Au cours de cette période, il a enregistré 26 victoires en 33 matchs. Il va être accompagné de l'ancien joueur brésilien qui est actuellement entraîneur adjoint des Houston Rockets, Tiago Spliter.
Aco Peytrovic, qui est le frère aîné de feu l'ancienne star yougoslave et croate, Drazen Petrovic, succède à Gustavo De Conti, qui a entraîné le Brésil lors de la Coupe du monde 2023. L'équipe a été éliminée au deuxième tour, se classant quatrième dans un groupe qui comprenait également le Canada, la Lettonie et l'Espagne.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Petrovic.jpeg\")
L'Allemagne sera l'un des petits poucets lors du tournoi olympique féminin. Cela n'empêche pas Satou Sabally d'être très ambitieuse.
Née à New York d'un père gambien et d'une mère allemande, Satou Sabally (1,93 m, 25 ans) est davantage connue pour ses performances en WNBA qu'avec l'équipe nationale mais elle est venue renforcer celle-ci à l'occasion du TQO et cela s'est avéré décisif pour renverser le Brésil à domicile (71-73). Elle a fonctionné au rythme d'un double double sur le tournoi (19 points et 10 rebonds) plus 4,5 passes. Le jeune femme ne manque pas de confiance en elle.
\"Je suis l'une des meilleures joueuses du monde, déclare t-elle tout de go au Redaktions Netzwerk Deutschland. Bien sûr, cela peut faire la différence. Je sais que j'aborderai le tournoi à 100 pour cent. Et je n'ai pas besoin de me mettre la pression pour être plus que 100 pour cent\".
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Satou-Sabally.jpeg\")
La Pologne fait partie des pays européens qui n'hésitent pas à naturaliser des joueurs pour améliorer le rendement de leur équipe nationale. AJ Slaughter a rendu ainsi de bons et loyaux services à son pays d'adoption, mais l'ancien joueur de Pro A file sur ses 37 ans.
Kyle Guy a l'avantage d'être plus jeune. Il a un passé en NBA, en G-League, à Badalone, au Panathinaikos -jusqu'en janvier de cette année- et évidemment pas en Pologne. Il est actuellement localisé à Tenerife et il y performe : 20,6 points et 2,7 passes décisives en neuf apparitions en BCL, ainsi que 14,0 points et 2,2 passes décisives en 14 matchs de l'ACB.
Chema de Lucas et Eurohoops affirment qu'il devrait obtenir le précieux passeport pour le TQO qui va se tenir à Valence. La Pologne y affrontera la Finlande et les Bahamas en phase de groupes et, si elle se qualifie, le Liban, l'Angola et l'Espagne en demi-finale. Seul le vainqueur du tournoi obtiendra une place aux Jeux olympiques.
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« Rudy Fernandez devrait prendre sa retraite. Sergio Llull à 35 ans. Sergio Rodriguez parle aussi de retraite. Les cadres historiques vont sans doute partir et il faudra renouveler l'équipe. Je crois qu'on a 9 joueurs en fin de contrat ce qui va changer la dynamique parce que le club aime conserver les joueurs longtemps. Mais le GM est assez intelligent pour gérer ça et je suis sûr qu'ils ont déjà leur idée sur la question. »
Jouer pour le Real est forcément un privilège que ce soit en football et au basket. Et Vincent Poirier en a pleinement conscience.
« On en parle beaucoup. C'est dur de partir. La ville est très agréable. Les installations sont top. Et il y a le mythe Real Madrid. J'ai été élevé dans le football donc le Real Madrid c'est quelque chose de dingue. Tu es avec de grands joueurs. Bien sûr quand tu perds 2-3 matches, on te regarde bizarre mais c'est pour ça qu'on joue au basket. Quand tu discutes avec d'autres gars dans les d'autres équipes, j'aurais du mal à revenir à certains détails d'organisation. Partir c'est compliqué. Et le Real le sait parfaitement. C'est ma dernière année de contrat. J'ai un enfant, je ne pourrais pas faire un an ici, un an là-bas. La stabilité c'est important dans une carrière. Et tu te rends compte que le temps passe vite. Le but c'est d'arriver à la fin et d'avoir laissé une marque. Donc tu comptes les trophées et les médailles. C'est cool. »", "comment_id":"6623d82ffdfaa30001fcf046", "plaintext":" Champion d’Europe en titre, le Real Madrid a dominé la saison régulière d’Euroleague. 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C'est dur de partir. La ville est très agréable. Les installations sont top. Et il y a le mythe Real Madrid. J'ai été élevé dans le football donc le Real Madrid c'est quelque chose de dingue. Tu es avec de grands joueurs. Bien sûr quand tu perds 2-3 matches, on te regarde bizarre mais c'est pour ça qu'on joue au basket. Quand tu discutes avec d'autres gars dans les d'autres équipes, j'aurais du mal à revenir à certains détails d'organisation. Partir c'est compliqué. Et le Real le sait parfaitement. C'est ma dernière année de contrat. J'ai un enfant, je ne pourrais pas faire un an ici, un an là-bas. La stabilité c'est important dans une carrière. Et tu te rends compte que le temps passe vite. Le but c'est d'arriver à la fin et d'avoir laissé une marque. Donc tu comptes les trophées et les médailles. 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Selon la disposition de la jeune femme, elle se serait disputée avec le joueur qui l'aurait attrapée par le cou, giflée au visage et aussi mordue dans le dos. Selon BasketNews, La police grecque a découvert que l'application Panic Button, nécessaire dans les cas de violence domestique, n'avait pas été installée sur son téléphone portable. La jeune femme a également refusé d’être transférée et hébergée temporairement dans un endroit sûr.
Trevor Thompson est un joueur majeur de Peristeri avec en moyenne 11,4 points et 8,4 rebonds sur 17 matchs de Basketball Champions League. L'équipe grecque s'est qualifiée pour le Final Four de la compétition, qui se déroulera à Belgrade du 26 au 28 avril, où elle affrontera Lenovo Tenerife en demi-finale.
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L'équipe grecque s'est qualifiée pour le Final Four de la compétition, qui se déroulera à Belgrade du 26 au 28 avril, où elle affrontera Lenovo Tenerife en demi-finale.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Trevor-Thompson.jpeg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-20T15:11:10.000Z", "updated_at":"2024-04-20T15:23:18.000Z", "published_at":"2024-04-20T15:23:18.000Z", "custom_excerpt":"Le pivot américain de Peristeri,Trevor Thompson (2,13 m, 29 ans), n'a pas joué vendredi soir le match du championnat grec contre le Panathinaikos. Il était officiellement malade. 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D'ailleurs, CB a encore patienté jusqu'à la dernière minutes pour ajouter 7 points supplémentaires. C'est ainsi que l'ADA a remporté le dernier quart-temps 9-27. Surréaliste. Les Blésois doivent beaucoup à Armel Traoré auteur d'un double double (10 points et 10 rebonds) plus 3 interceptions, et aux 14 points et 6 points de Rashard Kelly, et surtout à leur rage de... condamnés. Cette 9e victoire, qui met fin à une série de 8 défaites, leur offre une dernière chance de salut.
Après Gravelines et Roanne, il s'agit de la troisième défaite de suite de Cholet Basket contre des équipes de fond de classement. Quelque chose ne tourne plus rond dans les Mauges.
« Je crois que ce qui nous arrive, à partir du moment où on perd deux trois ballons sur zone presse, on s’est mis à paniquer, a commenté le coach Laurent Vila rapporte Ouest France. Même un petit peu avant par rapport à notre agressivité, on a eu des décisions pas bonnes. On s’est mis à paniquer vraiment, il y a eu ce sentiment de panique générale. J’aurais pu peut-être sortir ces deux joueurs qui ont joué très peu finalement, mais je pense que le mal était fait. On n’a plus joué presque à ce moment-là. Ce n’est pas normal. Il faut se resolidariser, reprendre nos bases et jouer autrement. On les a laissés totalement dominer le match. On est inconstants, on a toujours des joueurs qui se cherchent. Peut-être qu’il ne faut pas les mettre sur le terrain. J’ai la confiance de tout le monde. Sauf que force est de constater que l’efficacité n’est pas là. On s’est laissé pousser, prendre le ballon dans les mains. Ce que je regrette, c’est ça, ce manque de combativité. Un nouveau pigiste ? 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Peut-être qu’il ne faut pas les mettre sur le terrain. J’ai la confiance de tout le monde. Sauf que force est de constater que l’efficacité n’est pas là. On s’est laissé pousser, prendre le ballon dans les mains. Ce que je regrette, c’est ça, ce manque de combativité. Un nouveau pigiste ? On a acté un joueur qui arrivera probablement en début de semaine. »", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Rion-Brown.jpeg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-20T15:37:57.000Z", "updated_at":"2024-04-20T17:07:26.000Z", "published_at":"2024-04-20T16:03:08.000Z", "custom_excerpt":"Les Choletais ont complètement perdu les pédales dans le dernier quart-temps. 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Arturs Zagars a du patienter jusqu'à la fin de la saison régulière de la LKL lituanienne pour revenir à la compétition et participer à une victoire 111-79 contre Pineo Zvaigzdes. Il a joué un peu plus de 11 minutes pour 5 points avec un seul panier sur cinq shoots à plus de 6,75m.
Le Letton avait été impressionnant à la Coupe du monde établissant notamment un nouveau record dans la compétition du plus grand nombre de passes décisives en un seul match avec 17 lors du match pour la cinquième place contre la Lituanie. Il avait été élu dans la deuxième équipe du tournoi avec des stats de 12,4 points (41,7 % à trois-points) et 7,4 passes. Il avait alors signé un contrat de trois ans avec Fenerbahçe qui l'avait immédiatement prêté aux Wolves pour un an.
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La Chorale a perdu très gros en s'inclinant lourdement à Gravelines (82-67), le match, le point average particulier, et sans doute ses dernières illusions. DJ Cooper a été remarquable (19 points, 12 rebonds) mais le banc a été bien faiblard, notamment la paire d'Américains Cyril Langevine-Wayne Selden (16 minutes de jeu à deux pour un point minuscule).
« Il ne faut pas être devin pour se dire que c’est compliqué pour le maintien avec deux victoires d’avance pour le BCM. Avec trois matchs à jouer, ce sera très compliqué. On ne s’est pas assez reposé sur le collectif à la fin. On a trop joué de “un contre un”. C’est la construction offensive qui nous a manqué les cinq dernières minutes. Maintenant, il faut faire le travail, on a une attitude à avoir et on verra bien ce que cela donne, » a lâché le coach de la Chorale Marc Berjoan au Progrès.
Evidemment, après le succès à Cholet (71-80) au prix d'un superbe quatrième quart-temps, l'état d'esprit était différent à Blois. Rashard Kelly s'est exprimé sur le sujet pour La Nouvelle République :
« Les mecs sont super heureux. On a eu une saison difficile mais on a continué à travailler dur. Cela prouve qu’on est un groupe qui ne lâche jamais rien, malgré le tableau d’affichage. On a continué à se battre et c’est une victoire méritée aujourd’hui. C’est notre identité, tout le monde nous dit de ne jamais abandonner, »
Seulement à quatre journées de la fin l'ADA compte deux victoires de moins que Gravelines et un point-average défavorable... à un point de différentiel près. Le BCM qui en est à 11 succès sur ses 20 derniers matches et qui va notamment recevoir Boulogne-Levallois.
« Mathématiquement, ce n’est pas fini mais on a fait un grand pas vers le maintien, a d'ailleurs savouré le coach Jean-Christophe Prat. Laisser Roanne à 67 points, bravo à mes joueurs. On voulait limiter l’influence de Cooper sur l’équipe, défense sur leur “pick” d’une façon et les faire jouer sur demi-terrain. J’avais demandé aussi de faire travailler sur jeu “posté”. Ils ont mis du temps à craquer malgré tout même si cette équipe n’aime pas défendre. »
Il faudrait un miracle, on vous dit.
", "comment_id":"6624a982fdfaa30001fcf134", "plaintext":"Il existe des combinaisons possibles pour que Roanne et Blois échappent à la sentence mais dans les deux camps ont évoque un \"miracle\".\n\nLa Chorale a perdu très gros en s'inclinant lourdement à Gravelines (82-67), le match, le point average particulier, et sans doute ses dernières illusions. DJ Cooper a été remarquable (19 points, 12 rebonds) mais le banc a été bien faiblard, notamment la paire d'Américains Cyril Langevine-Wayne Selden (16 minutes de jeu à deux pour un point minuscule).\n\n« Il ne faut pas être devin pour se dire que c’est compliqué pour le maintien avec deux victoires d’avance pour le BCM. Avec trois matchs à jouer, ce sera très compliqué. On ne s’est pas assez reposé sur le collectif à la fin. On a trop joué de “un contre un”. C’est la construction offensive qui nous a manqué les cinq dernières minutes. Maintenant, il faut faire le travail, on a une attitude à avoir et on verra bien ce que cela donne, » a lâché le coach de la Chorale Marc Berjoan au Progrès.\n\nEvidemment, après le succès à Cholet (71-80) au prix d'un superbe quatrième quart-temps, l'état d'esprit était différent à Blois. Rashard Kelly s'est exprimé sur le sujet pour La Nouvelle République :\n\n« Les mecs sont super heureux. On a eu une saison difficile mais on a continué à travailler dur. Cela prouve qu’on est un groupe qui ne lâche jamais rien, malgré le tableau d’affichage. On a continué à se battre et c’est une victoire méritée aujourd’hui. C’est notre identité, tout le monde nous dit de ne jamais abandonner, »\n\nSeulement à quatre journées de la fin l'ADA compte deux victoires de moins que Gravelines et un point-average défavorable... à un point de différentiel près. Le BCM qui en est à 11 succès sur ses 20 derniers matches et qui va notamment recevoir Boulogne-Levallois.\n\n« Mathématiquement, ce n’est pas fini mais on a fait un grand pas vers le maintien, a d'ailleurs savouré le coach Jean-Christophe Prat. Laisser Roanne à 67 points, bravo à mes joueurs. On voulait limiter l’influence de Cooper sur l’équipe, défense sur leur “pick” d’une façon et les faire jouer sur demi-terrain. J’avais demandé aussi de faire travailler sur jeu “posté”. 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Passé en février de Phoenix à Memphis, en proie à des problèmes de santé mentale, il ne s'est pas contenté visiblement des 16 minutes de moyenne sur cinq matchs qui lui ont été données aux Grizzlies.
« Je veux tout simplement jouer au basket. Je veux entrer en jeu, et faire ce que je travaille à l’entraînement. Je me suis accroché pendant que j’avais la vingtaine mais désormais, j’espère jouer au basket comme je le souhaite. Le niveau du basket japonais augmente et je veux jouer des matches où il y a une grosse intensité ».
Le Japon comptera tout spécialement sur lui et Rui Hachimura pour jouer les trouble-fête à Villeneuve d'Ascq dans un groupe qui compte la France, l'Allemagne et le vainqueur du TQO en Lettonie.
", "comment_id":"6624b0adfdfaa30001fcf175", "plaintext":"L'ailier des Grizzlies a publié un message sur les réseaux sociaux pour annoncer qu’il jouera en B-League, le championnat japonais, la prochaine saison. Passé en février de Phoenix à Memphis, en proie à des problèmes de santé mentale, il ne s'est pas contenté visiblement des 16 minutes de moyenne sur cinq matchs qui lui ont été données aux Grizzlies.\n\n« Je veux tout simplement jouer au basket. Je veux entrer en jeu, et faire ce que je travaille à l’entraînement. Je me suis accroché pendant que j’avais la vingtaine mais désormais, j’espère jouer au basket comme je le souhaite. Le niveau du basket japonais augmente et je veux jouer des matches où il y a une grosse intensité ».\n\nLe Japon comptera tout spécialement sur lui et Rui Hachimura pour jouer les trouble-fête à Villeneuve d'Ascq dans un groupe qui compte la France, l'Allemagne et le vainqueur du TQO en Lettonie.\n\n", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Yuta-Watanabe.jpeg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-21T06:22:37.000Z", "updated_at":"2024-04-21T10:44:43.000Z", "published_at":"2024-04-21T10:44:44.000Z", "custom_excerpt":"L'un des moteurs de l'équipe du Japon, adversaire de la France aux Jeux Olympiques, Yuta Watanabe (2,06 m, 29 ans) a choisi de rentrer dans son pays après 213 matches en NBA. ", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6624b79ffdfaa30001fcf1a8", "uuid":"07ab3bb1-3f1e-47be-88e9-bde02f07c38a", "title":"Julien Mahé (Saint-Quentin) : \"David Holston, quel joueur, quelle carrière !\"", "slug":"julien-mahe-saint-quentin-david-holston-quel-joueur-quelle-carriere", "mobiledoc":null, "lexical":"{\"root\":{\"children\":[{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Avec ses neuf saisons à la JDA et ses états de service, David Holston (1,67 m) est un monument de la Ligue Nationale de Basket et alors qu'il est un quadragénaire en puissance (il a eu 38 ans en janvier), il est capable de sortir des matches de derrière les fagots, comme ce fut le cas ce samedi soir face à SQBB (19 points dont 5/10 à trois-points, 5 passes et 3 rebonds). D'où les commentaires louangeurs de Julien Mahé que rapporte \",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Le Bien Public\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"link\",\"version\":1,\"rel\":\"noreferrer\",\"target\":null,\"title\":null,\"url\":\"https://www.bienpublic.com/sport/2024/04/20/laurent-legname-(jda-dijon)-toujours-les-memes-maux\"}, {\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\". \",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"« C’est vraiment une très belle victoire. J’ai beaucoup de respect pour Dijon, une équipe bien coachée et qui joue très bien au basket, avec un David Holston... quel joueur, quelle carrière ! Chapeau à lui. C’est la première fois de la saison qu'on arrive à renverser un match aussi mal embarqué, surtout défensivement. D’abord dû à la qualité de jeu de Dijon, et on avait aussi trop peu d'intensité. On a été obligé de faire des changements à la mi-temps. Il fallait arrêter de donner des paniers faciles sans faire de fautes. On s’est adapté sur Holston et seulement sur Holston, car il nous a fait la leçon. Il a ensuite dû contourner davantage, il a mis des trois points, mais il s’est usé. Cette adaptation qui nous a fait du bien. Défensivement, on a été remarquable. Avec six points encaissés en 9 minutes dans le dernier quart, on ne donnait plus rien. Je suis très fier des garçons. On a joué pendant 30 minutes dans un rythme qui n’était pas le nôtre et on a su remporter le match. »\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"extended-quote\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"root\",\"version\":1}}", "html":"Avec ses neuf saisons à la JDA et ses états de service, David Holston (1,67 m) est un monument de la Ligue Nationale de Basket et alors qu'il est un quadragénaire en puissance (il a eu 38 ans en janvier), il est capable de sortir des matches de derrière les fagots, comme ce fut le cas ce samedi soir face à SQBB (19 points dont 5/10 à trois-points, 5 passes et 3 rebonds). D'où les commentaires louangeurs de Julien Mahé que rapporte Le Bien Public.
« C’est vraiment une très belle victoire. J’ai beaucoup de respect pour Dijon, une équipe bien coachée et qui joue très bien au basket, avec un David Holston... quel joueur, quelle carrière ! Chapeau à lui. C’est la première fois de la saison qu'on arrive à renverser un match aussi mal embarqué, surtout défensivement. D’abord dû à la qualité de jeu de Dijon, et on avait aussi trop peu d'intensité. On a été obligé de faire des changements à la mi-temps. Il fallait arrêter de donner des paniers faciles sans faire de fautes. On s’est adapté sur Holston et seulement sur Holston, car il nous a fait la leçon. Il a ensuite dû contourner davantage, il a mis des trois points, mais il s’est usé. Cette adaptation qui nous a fait du bien. Défensivement, on a été remarquable. Avec six points encaissés en 9 minutes dans le dernier quart, on ne donnait plus rien. Je suis très fier des garçons. 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D’abord dû à la qualité de jeu de Dijon, et on avait aussi trop peu d'intensité. On a été obligé de faire des changements à la mi-temps. Il fallait arrêter de donner des paniers faciles sans faire de fautes. On s’est adapté sur Holston et seulement sur Holston, car il nous a fait la leçon. Il a ensuite dû contourner davantage, il a mis des trois points, mais il s’est usé. Cette adaptation qui nous a fait du bien. Défensivement, on a été remarquable. Avec six points encaissés en 9 minutes dans le dernier quart, on ne donnait plus rien. Je suis très fier des garçons. 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\"87 points concédés, c’est trop. Il n’y a d’ailleurs qu’un quart-temps, le premier, où l’on encaisse moins de 20 points... Si on veut être ambitieux, il faut faire mieux défensivement, » peut-on lire dans La République du Centre. Et dans la perspective de jouer Rouen mercredi avec comme enjeu la quatrième place, il a ajouté : « Rouen va nous rentrer dedans ! À nous de bien réagir. »
Avant le coup d'envoi, l'OLB en a profité pour mettre à l'honneur plusieurs anciens joueurs champions de N3 avec Fleury en 1993, ou de N2 avec l’Entente orléanaise. Soit Marco Pellin, Laurent Bernard, Johan Blot, Nicolas Bayle, Sébastien Houdas, Aurélien Brisson, Stan Rollin. La Rep précise que la femme de Ludovic Vaty, décédé début septembre, était également présente avec leurs deux enfants.
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Devant 6 125 spectateurs, l'OLB a célébré plusieurs anciens joueurs et grâce à sa victoire sur Lille (96-87), validé sa participations aux playoffs.
Arrivé dans le Loiret pour suppléer Ludovic Beyhurst, le meneur américain Terrell Gomez (1,73 m, 26 ans) a eu un impact immédiat avec 18 points à 5/7 à trois-points et 8 passes. Mais si le coach Germain Castano était un peu critique, c'est pour une autre raison.
\"87 points concédés, c’est trop. Il n’y a d’ailleurs qu’un quart-temps, le premier, où l’on encaisse moins de 20 points... Si on veut être ambitieux, il faut faire mieux défensivement, » peut-on lire dans La République du Centre. Et dans la perspective de jouer Rouen mercredi avec comme enjeu la quatrième place, il a ajouté : « Rouen va nous rentrer dedans ! À nous de bien réagir. »
Pascal Legendre![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Orle-ans.jpeg\")
Le Wall Street Journal révèle que c'est un contrat à 28 millions de dollars (26,2M€) sur huit ans que la superstar Caitlin Clark vient de signer avec la firme Nike, soit 3,5M$ par an.
On vous avez dit qu'il ne fallait pas s'inquiéter pour l'ancien prodige d'Iowa et que si elle allait devoir se satisfaire d'un salaire annuel de 76 535 $ pour sa saison de rookie au Indiana Fever, l'apport du sponsoring allait lui permettre de gagner beaucoup d'argent.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Caitlin-Clark-1.webp\")
L'un des moteurs de l'équipe du Japon, adversaire de la France aux Jeux Olympiques, Yuta Watanabe (2,06 m, 29 ans) a choisi de rentrer dans son pays après 213 matches en NBA.
L'ailier des Grizzlies a publié un message sur les réseaux sociaux pour annoncer qu’il jouera en B-League, le championnat japonais, la prochaine saison. Passé en février de Phoenix à Memphis, en proie à des problèmes de santé mentale, il ne s'est pas contenté visiblement des 16 minutes de moyenne sur cinq matchs qui lui ont été données aux Grizzlies.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Yuta-Watanabe.jpeg\")
Saint-Quentin est venu à bout de Dijon (77-73) et son entraîneur, Julien Mahé, a rendu un hommage appuyé au meneur américain de la JDA, David Hoslton.
Avec ses neuf saisons à la JDA et ses états de service, David Holston (1,67 m) est un monument de la Ligue Nationale de Basket et alors qu'il est un quadragénaire en puissance (il a eu 38 ans en janvier), il est capable de sortir des matches de derrière les fagots, comme ce fut le cas ce samedi soir face à SQBB (19 points dont 5/10 à trois-points, 5 passes et 3 rebonds). D'où les commentaires louangeurs de Julien Mahé que rapporte Le Bien Public.
« C’est vraiment une très belle victoire. J’ai beaucoup de respect pour Dijon, une équipe bien coachée et qui joue très bien au basket, avec un David Holston... quel joueur, quelle carrière ! Chapeau à lui. C’est la première fois de la saison qu'on arrive à renverser un match aussi mal embarqué, surtout défensivement.
Pascal Legendre![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/David-Holston.jpeg\")
La soirée de samedi pourrait avoir définitivement relégué Roanne et Blois en Pro B en compagnie de Boulogne-Levallois.
Il existe des combinaisons possibles pour que Roanne et Blois échappent à la sentence mais dans les deux camps ont évoque un \"miracle\".
La Chorale a perdu très gros en s'inclinant lourdement à Gravelines (82-67), le match, le point average particulier, et sans doute ses dernières illusions. DJ Cooper a été remarquable (19 points, 12 rebonds) mais le banc a été bien faiblard, notamment la paire d'Américains Cyril Langevine-Wayne Selden (16 minutes de jeu à deux pour un point minuscule).
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Milan-Barbitch.jpeg\")
Vincent Poirier (2,13 m, 30 ans) arrive en fin de contrat au Real Madrid et visiblement il est prêt à rempiler.
Champion d’Europe en titre, le Real Madrid a dominé la saison régulière d’Euroleague. Il est aussi en tête du championnat d’Espagne, à égalité avec Unicaja Malaga. Vincent Poirier s’est épanoui au sein du club de la capitale espagnole formant avec le Capverdien Walter Taveres une sacrée paire de big men. Tout baigne, mais… des changements en profondeur sont à prévoir dans l’effectif comme le souligne l’international dans une interview à la revue fédérale Basketball :
Pascal Legendre![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/vincent-poirier-real-madrid-euroleague.webp\")
Révélation de la Coupe du Monde 2023, le combo guard letton Arturs Zagars (1,90 m, 24 ans le 21 avril) se remet d'une grave blessure au genou.
Arturs Zagars a du patienter jusqu'à la fin de la saison régulière de la LKL lituanienne pour revenir à la compétition et participer à une victoire 111-79 contre Pineo Zvaigzdes. Il a joué un peu plus de 11 minutes pour 5 points avec un seul panier sur cinq shoots à plus de 6,75m.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Arturs-Zagars.jpeg\")
Le combo guard américain Kyle Guy (1,85 m, 26 ans) serait en passe d'obtenir le passeport polonais et de jouer ainsi le TQO de Valence.
La Pologne fait partie des pays européens qui n'hésitent pas à naturaliser des joueurs pour améliorer le rendement de leur équipe nationale. AJ Slaughter a rendu ainsi de bons et loyaux services à son pays d'adoption, mais l'ancien joueur de Pro A file sur ses 37 ans.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Kyle-Guy-FIBA.jpeg\")
L'Equipe Magazine a enquêté sur le cas de Sarah Strong, fille de Danny, ancien joueur du Havre, de Gravelines et de GET Vosges, et de Allison, ancienne joueuse de WNBA, d'Aix-en-Provence, championne d'Europe avec Valenciennes en 2004, trois fois MVP étrangère du championnat de France, et actuellement vice-présidente des Boston Celtics.
Sarah est née en Espagne en 2006 et elle a débuté le basket à Madrid, et elle vient de réaliser une saison phénoménale au lycée : 30 succès en 30 matches, 21 points, 16,8 rebonds et 4,8 passes de moyenne. Plutôt que Duke et North Carolina, elle a choisi d'entrée à l'université à U-Conn du coach Geno Auriemma et par où sont passées notamment Bria Harley, Gabby Williams et Lou-Lopez Sénéchal. Trois Françaises tout comme Sarah qui possède aussi cette nationalité étant donné que ses parents ont été naturalisés en 2004. Mais...
..Sarah Strong a déjà obtenu deux titres mondiaux de 3x3 en U18 avec les Etats-Unis, et elle appartient à l'équipe junior américaine de 5x5 ; elle a disputé ainsi le Nike Hoop Summit Team.
« Je ne vous cache pas que son rêve c’est de jouer pour l’équipe nationale américaine. Mais elle a très envie de découvrir un jour le Championnat de France, comme sa mère, » averti Allison Feaster.
On vous avez dit qu'il ne fallait pas s'inquiéter pour l'ancien prodige d'Iowa et que si elle allait devoir se satisfaire d'un salaire annuel de 76 535 $ pour sa saison de rookie au Indiana Fever, l'apport du sponsoring allait lui permettre de gagner beaucoup d'argent.
Caitlin Clark (1,83 m, 22 ans) a donc obtenu le jackpot de la part de Nike, qui était en concurrence avec Puma, Adidas et Under Armour, qui lui offrait 16 millions de dollars sur quatre ans. La firme de l'Oregon s'inscrit donc dans la durée et va lui créer une chaussure signature. D'autres sponsors sont ou vont tomber dans son escarcelle.
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On a joué un gros match durant lequel tout le monde s’est montré concerné et pour lequel tout le monde a répondu présent. A la fin on a essayé de faire le job… Mais quand ils prennent 7 rebonds offensifs en première mi-temps et 7 en deuxième, ce sont les 7 de la deuxième qui nous ont coûté cher. J’essayais de changer en jouant grand, petit, etc… Mais rien n’a changé. La bataille des rebonds c’est à la vie à la mort et nous n’avons pas été là. Ça me dérange. »
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Le Paris Basketball a aligné 10 victoires de suite en Betclic Elite. Son dernier faux-pas remonte au 27 janvier face à Monaco. Il occupe la 2e place avec 22 victoires et 7 défaites.
Le Paris Basketball a enchaîné 15 victoires de suite en Eurocup après son échec à Carpentier contre Besiktas le 21 novembre. Il a survolé la compétition.
Le Paris Basketball a gagné ses trois matches à la Leaders Cup et il est reparti avec le trophée.
Son seul raté, c'est en Coupe de France puisque le Paris Basketball fut éliminé par Lille, une équipe de Pro B, le 16 octobre. L'explication : il avait délégué dans le Nord essentiellement des espoirs. Ne pas courir quatre lièvres à la fois lui a été profitable.
Hier, le Paris Basketball a fait une démonstration de sa force à l'Astroballe face à l'ASVEL, une équipe d'Euroleague titulaire d'une Licence A, et qui luttait comme lui pour la 2e place. 66-86 !
« Nous avons manqué notre rendez-vous et sommes sonnés » a avoué le coach de Villeurbanne Pierric Poupet en conférence de presse rapporte Le Progrès. « Leur intensité leur a fait faire beaucoup de fautes (18-8 à la pause, Hifi, Ward et Kratzer lestés de quatre fautes après trente minutes de jeu) et nous, nous n’en avons pas fait suffisamment. C’est révélateur d’une équipe qui en veut beaucoup. Nous nous sommes essoufflés parce qu’ils nous ont imposé leur intensité tout au long du match. Nous ne sommes pas habitués à ça. Personne ne joue comme Paris, qui est toujours à la limite, en Europe. Avec autant d’activité. C’est un challenge. Quand une équipe impose ce niveau-là d’intensité et d’agressivité, il faut être encore plus dur. Jouer peut-être de la même manière. Et ça, on n’a pas réussi à le faire. »
Trois chiffres à retenir plus particulièrement :
1) Le 9-25 dans le dernier quart-temps.
2) Le 3/23 de l'ASVEL à trois-points... L'équipe la plus adroite du championnat dans ce domaine.
3) 24 points à 11/17 aux tirs, 6 rebonds, 4 passes, 2 interceptions et même 1 contre pour 2 balles perdues pour TJ Shorts. 28 d'évaluation. Seul Mike James peut l'empêcher d'être le MVP de la saison de Betclic Elite après avoir été l'an dernier celui de la BCL et du championnat allemand et de l'Eurocup il y a quelques jours.
Signe des temps, les trois finalistes pour le trophée de MVP ne sont pas Américains. Il y a un Slovène, un Canadien et un Serbe. Voir deux Français dans le trio des meilleurs défenseurs est également un fait remarquable. Victor Wembanyama est donc en course pour un doublé.
Les Tarbaises doivent s'attendre à ce que le Prado soit plein et gronde car le public berruyer n'imagine pas que ses joueuses puissent être éliminées dès les quarts-de-finale, et à l'issue d'une formule à l'ancienne puisque par simple match aller-retour.
Les équipières de Kayla Alexander sont remontées comme des pendules comme l'affirme la Canadienne dans les colonnes du Berry.
« On a clairement élevé notre niveau d’intensité dans les derniers entraînements qu’on a pu faire. Au match aller, l’équipe de Tarbes a montré qu’elle était prête. Elle a frappé en premier. Il faut qu’on réponde, ça passe par un niveau d’intensité très élevé dès le premier ballon. Cela passera aussi par la défense, de façon individuelle et collective. »
Trois joueuses tarbaises vont être particulièrement ciblées : Carla Leite, Dominique Malonga et Marie-Paule Foppossi, qui ont apporté 61 des 87 points de leur équipe à l'aller. Bourges attend aussi une plus forte contribution de ses étrangères qui ont failli dans l'antre du TGB. Forfait ce soir-là, la Lituanienne Kamile Nacickaite sera ce soir dans ses rangs.
« Même si on est passés à côté sur le premier match, on est capables de faire un bon match ce lundi, assure l’entraîneur Olivier Lafargue. On s’est préparés. On a analysé pourquoi on a été mis autant en difficultés, préparé la façon dont on pourra contrer ça, et on va repartir au combat. Beaucoup de gens peuvent ne pas croire en nous. Les toujours défaitistes pourront me dire ce qu’ils veulent ; moi, je pense qu’on peut le faire. Il reste quarante minutes, je crois en nous. »
Les jeunes Tarbaises sont prévenues : ça ne va pas rigoler sur le coup de 20h50 au Prado.
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Marine Fauthoux a passé deux saisons à Basket Landes et elle conserve un oeil attentif sur son ancien club.
\"Franchement, j’ai suivi. Je ne vais pas mentir : j’ai regardé pratiquement tous les matchs. Après niveau résultats, j’étais plutôt concentrée sur ceux de l’ASVEL ! Je n’étais pas à me demander « qu’est-ce que va faire Basket Landes ». Non, je me demandais ce que nous, on allait faire, accomplir cette saison. On a eu beaucoup de catastrophes donc ça a été compliqué. Mais je pense qu’elles méritent là où elles sont. Encore une fois à Bercy… (sourire) c’est quand même énorme. Pareil avec ce quart de play-offs. Je pense qu’elles sont à leur place vu la saison qu’elles ont fait.\"
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Lundi 22 avril :
19h00 - Basket Landes / ASVEL F - LFB - Sport en France / Skweek
20h00 - Bourges / Tarbes - LFB - Sport en France / Skweek
Mardi 23 avril :
20h00 - Lattes-Montpellier / Charnay - LFB - Sport en France / Skweek
20h00 - Villeneuve d'Ascq / Angers - LFB - Sport en France / Skweek
20h00 - Blois / Chalon - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
20h00 - Limoges / Gravelines-Dunkerque - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
20h00 - Saint-Quentin / Nanterre - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
Mercredi 24 avril :
19h00 - Monaco / Fenerbahçe (Turquie) - Euroleague - Skweek
20h00 - Boulogne-Levallois / Bourg - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
20h00 - Dijon / Le Portel - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
20h00 - Nancy / ASVEL - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
20h00 - Paris / Cholet - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
20h00 - Strasbourg / Le Mans - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
Vendredi 26 avril :
19h00 - Monaco / Fenerbahçe (Turquie) - Euroleague - Skweek / La Chaine L'Equipe (en différé à 21h)
Samedi 27 avril :
14h00 - Basket Landes / Bourges - Finale Coupe de France féminine - Skweek (sous réserve de diffusion) / La Chaine L'Equipe (en différé à 21h10)
16h30 - Dijon / Strasbourg - Finale Coupe de France masculine - Skweek (sous réserve de diffusion) / La Chaine L'Equipe
Dimanche 28 avril :
14h30 - Le Portel / Le Mans - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
16h30 - ASVEL / Saint-Quentin - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion)
19h00 - Paris / Bourg - Betclic Elite - Skweek (sous réserve de diffusion) / La Chaîne L'Equipe
REGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON 2023-2024 :
À LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE :
LA CHAÎNE L'EQUIPE
La Chaîne L'Equipe retransmet un match de Betclic Elite chaque dimanche et quelques rencontres d'Euroleague. Disponible gratuitement sur le canal 21 de la TNT.
FRANCE TÉLÉVISIONS
France Télévisions est le diffuseur gratuit des Jeux Olympiques de Paris 2024 (Eurosport est le diffuseur payant). Le groupe retransmet également, sur les antennes régionales de France 3, quelques affiches de Pro B et de Ligue Féminine (canaux 301 à 324).
SPORT EN FRANCE
La chaîne gratuite Sport en France diffuse une affiche par journée de Ligue Féminine (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).
BEIN SPORTS
BeIN Sports diffuse la NBA. Ses chaînes sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 46 à 48 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).
SUR INTERNET :
SKWEEK
L'intégralité des matches de Betclic Elite, d'Euroleague et d'Eurocup masculine, un match par semaine de Ligue Féminine, de l'Euroleague et de l'Eurocup féminine, le top 8 Coupe de France et du 3x3 sont diffusés en live et disponibles en replay sur la plateforme Skweek.
DAZN
La plateforme diffuse les matches de qualification des équipes de France masculine et féminine ainsi que ceux des clubs français en BCL. Il est possible d'y accéder par internet ou en téléchargeant l'application sur iOS ou Android.
LNB TV
La plateforme digitale (OTT) de la LNB retransmet l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay. Trois façons d’y accéder : sur le site LNB, sur le site LNB TV ou en téléchargeant l’application LNB sur iOS ou Android.
YOUTUBE
Les chaînes YouTube de la FFBB, de la FIBA et de la FIBA 3x3 diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : notamment la Ligue Féminine, l'Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.
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— LFB (@basketlfb) March 13, 2024
Kristen Mann (@dreamingtree44) a toujours la 𝐟𝐥𝐚𝐦𝐦𝐞 et la 𝐠𝐫𝐢𝐧𝐭𝐚 sur le terrain 🤩
12 PTS / 5 RBDS / 3 PDS / 2 INT / 20 EVAL contre @ASVEL_Feminin en demi-finale de la #CDFBasket
🎥 @skweektv | @ffbasketball | @BourgesBasket pic.twitter.com/gU0eIgtchi
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Je pourrais faire des choses, sortir de la musique, mais le plus difficile est d'amener les gens à écouter. J'aimerais en sortir plus et cet été, j'espère pouvoir le faire. Et je n’ai aucune idée de ce que je ferai la saison prochaine, si je continuerai à jouer ou si je prendrai ma retraite. Si j’ai plus de temps. J’aimerais m’y consacrer davantage pour être en mesure de sortir plus de musique, peut-être aller en tournée, des choses comme ça. Je viens de jouer dans un café local à Bourges, samedi \",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}, {\"detail\":0,\"format\":2,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"(13 avril)\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}, {\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\". 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Et puis on n’a pas connu une belle saison, en dehors de la victoire en finale de la Coupe de France. Cette année, j'ai pensé beaucoup plus à la retraite en essayant de me préparer mentalement. Mais je sais qu’au bout du compte, rien ne me préparera vraiment à cela, ce n'est pas facile du tout mentalement et sur le plan émotionnel. Mais c'est quelque chose d'inévitable. Si cela arrive à la fin de la saison, il faudra s'y faire. 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— LFB (@basketlfb) March 13, 2024
Kristen Mann (@dreamingtree44) a toujours la 𝐟𝐥𝐚𝐦𝐦𝐞 et la 𝐠𝐫𝐢𝐧𝐭𝐚 sur le terrain 🤩
12 PTS / 5 RBDS / 3 PDS / 2 INT / 20 EVAL contre @ASVEL_Feminin en demi-finale de la #CDFBasket
🎥 @skweektv | @ffbasketball | @BourgesBasket pic.twitter.com/gU0eIgtchi
Après avoir gagné la Coupe de France avec Basket Landes en 2023, vous êtes de retour en finale contre votre ancienne équipe sous le maillot de Bourges. Qu'est-ce que cette rencontre représente pour vous ?
Evidemment, je suis excitée à l'idée d'être de retour (en finale) ! La Coupe de France est l'un des titres qui me manquent avec Bourges. J'espère que tout va bien se passer et que nous allons gagner. Basket Landes est mon ancien club, mais en même temps, c'est une équipe complètement renouvelée, à l'exception de deux joueuses. Je ne suis pas vraiment \"attachée\" à elle, dans un certain sens. Mais l'assistante-coach (Shona Thornburn) est ma meilleure amie, je connais très bien Julie (Barennes, la coach), Marie-Laure (Lafargue, la présidente)... De ce point de vue, et aussi par rapport au public, c'est un peu différent. Mais j'espère tout de même qu'on va prendre notre revanche d'il y a deux ans (défaite de Bourges 91-88 contre Basket Landes après deux prolongations).
Pour vous, que représenterait ce troisième titre dans la compétition ?
Ça serait tout pour moi ! Honnêtement, je suis en fin de carrière et je veux juste gagner le plus possible ici. Remporter trois, peut-être quatre trophées avec Bourges. Ce serait une incroyable façon de finir, particulièrement avec l'équipe que nous avons là. Ces filles sont géniales, on s'entend très bien. Et c'est toujours mieux de jouer avec des amies.
Jusqu'ici, comment se passe votre saison ?
Assez bien, je n'ai pas à me plaindre. Evidemment, on était très déçues d'avoir été éliminées de l'Eurocup (en 8e de finale contre Besiktas), mais ce sont des choses qui arrivent. Janvier a été un mois horrible pour nous, pour de nombreuses raisons. On a perdu beaucoup de matches, Tima (Pouye) s'est blessée... Depuis la trève de février, on a retrouvé notre rythme et l'arrivée de Shay (Colley) nous à aussi rendues meilleures.
\"J'ai toujours pensé que la France possédait l'un des championnats les plus compétitifs en Europe\"
Vous avez joué de nombreuses saisons et êtes passée par beaucoup de club en France. Quel est votre rapport avec le pays ?
C'est ma seconde maison, et j'aimerais d'ailleurs m'y installer définitivement. Je suis en train de faire les démarches pour obtenir le passeport français, j'attends d'ailleurs toujours des nouvelles de mon dossier. J'ai passé la moitié de ma vie en Europe et j'adore la façon de vivre ici par rapport à ce que je connais aux Etats-Unis. J'ai toujours aimé être ici, je m'y sens plus en sécurité. C'est l'une des raisons pour lesquels je suis en France depuis si longtemps. C'est vrai que j'ai pratiquement joué partout en LFB (NDLR : 9 clubs depuis 2007). Ici, je suis comme à la maison.
Quel regard portez-vous sur le niveau de la Ligue Féminine ?
J'ai toujours pensé que la France possédait l'un des championnats les plus compétitifs en Europe, de la première équipe à la douzième. Dans beaucoup de pays en Europe, il y a trois équipe de très haut niveau. Ici, ce n'est pas le cas, c'est très concurrentiel, nous en sommes un très bon exemple cette année. On a terminé deuxièmes de la saison régulière et pourtant, on a perdu à domicile contre l'une des équipes de bas de tableau (Landerneau) en janvier. Tout peut arriver dans cette ligue, c'est sa force.
Vous avez évoqué votre fort lien avec la France. Parlez-vous un petit peu le français ?
Un petit peu, oui. J'essaye de le parler avec des personnes que je ne connais pas, ou avec qui je n'ai pas établi un lien en anglais. Parce que quand je sais qu'on peut me répondre en anglais, je triche ! (rire)
Un mot que vous appréciez particulièrement en français ?
Laissez-moi réfléchir... Il n'y a que des gros mots qui viennent à mon esprit... Je sais que quand on apprend une langue, dans un nouveau pays, ce sont souvent les premier mots que l'on retient (rire). Mais je dis souvent \"punaise\". Sinon, il y a aussi les mots du quotidien comme \"s'il vous plait\", \"merci\", bonjour\"...
\n\"Moi tu m'parles pas d'âge\" 😝
— LFB (@basketlfb) March 13, 2024
Kristen Mann (@dreamingtree44) a toujours la 𝐟𝐥𝐚𝐦𝐦𝐞 et la 𝐠𝐫𝐢𝐧𝐭𝐚 sur le terrain 🤩
12 PTS / 5 RBDS / 3 PDS / 2 INT / 20 EVAL contre @ASVEL_Feminin en demi-finale de la #CDFBasket
🎥 @skweektv | @ffbasketball | @BourgesBasket pic.twitter.com/gU0eIgtchi
En parallèle du basket, vous avez également une passion pour la musique. Quels sont vos projets et vos ambitions dans ce domaine ?
Dans un monde parfait, j'adorerais pouvoir vivre de la musique, que cela soit mon travail à temps plein. Mais je ne sais pas si ça sera possible. Sortir des chansons, c'est devenu accessible avec les différents réseaux sociaux et les choses comme ça. Je pourrais faire des choses, sortir de la musique, mais le plus difficile est d'amener les gens à écouter. J'aimerais en sortir plus et cet été, j'espère pouvoir le faire. Et je n’ai aucune idée de ce que je ferai la saison prochaine, si je continuerai à jouer ou si je prendrai ma retraite. Si j’ai plus de temps. J’aimerais m’y consacrer davantage pour être en mesure de sortir plus de musique, peut-être aller en tournée, des choses comme ça. Je viens de jouer dans un café local à Bourges, samedi (13 avril). Ensuite, je vais passer à l'impression (d'affiches) à Bourges. C'est un projet au long cours.
Selon vous, existe-t-il des similarités entre le basket et la musique ?
En termes de pratique et de répétition, je pense que oui, c'est évident. Faire les mêmes exercices sur le terrain, encore et encore, ça ressemble au fait de chanter les mêmes chansons, de répéter en musique. Il y a effectivement des aspects similaires. Mais quand je suis sur scène, les gens essayent toujours de comparer avec le terrain. Je joue devant des milliers de personnes, mais je suis avec coéquipières et d’autres personnes. Ce n’est pas la même chose. Jouer en concert, c'est certainement plus stressant, mais j’ai toujours la même montée d’adrénaline que lorsque je joue. Par exemple, après les matchs, je dors très mal, que je gagne ou que je perde. Généralement, je reste debout pendant des heures. Samedi soir aussi, je n'ai pas pu m’endormir avant trois heures du matin, simplement à cause de l’adrénaline de mon concert. Ce n'est bon ni pour ma peau, ni pour mon processus de vieillissement (rire).
Avez vous d'autres passions \"secrètes\" ?
Pas vraiment. Je dirais que le basket, la musique et mon chien sont les trois choses qui m'occupent. Chez moi, j'ai deux chiens et ils me manquent beaucoup. Si je ne les vois pas rapidement, je vais peut être en prendre un troisième. Il me faut vraiment un chien dans ma vie.
\"J'aimerais jouer une année de plus, ce qui me permettrait d'atteindre les 20 ans de carrière professionnelle\"
Vous êtes aussi réputée pour votre goût des tatouages... combien en avez-vous ?
Je crois que j'en ai neuf. Ils ont tous une signification particulière, avec une petite histoire derrière. Ils sont le moyen de créer quelque chose. Le dernier que j'ai fait représente le symbole du chanteur Prince. Je me le suis fait tatouer avec ma mère et ma soeur parce qu'on adore toutes les trois cet artiste.
Pour en revenir au terrain, vous continuez de jouer au plus haut niveau à plus de 40 ans. Quel est votre ressenti par rapport à cela ?
Je ne vais pas vous mentir, c'est quelque chose dont je suis très fière. Ce n’est pas tous les jours que l'on voit quelqu'un jouer jusqu'à 40 ans, surtout pour les femmes. Je sais que quelques-unes d’entre nous l’ont fait en LFB. Personnellement, je me sens bien. J’aimerais jouer une année de plus si je le peux, ce qui me permettrait d'atteindre les 20 ans de carrière professionnelle. C’est un petit objectif dans ma tête. Mais en même temps, je ne veux pas forcer. Je ne veux pas le faire simplement pour le faire. Je veux toujours être passionnée par le jeu, sans \"tuer mon corps\" non plus. Pour l'instant, je me sens bien, je touche du bois. Mais on verra bien comment cela se passera cet été.
À quel stade de votre réflexion vous trouvez-vous au sujet d'une éventuelle retraite ?
J’y ai plus pensé cette année que par le passé. Je sais que l’année dernière, par exemple, à Basket Landes, c’était une saison horrible pour moi parce que je ne me sentais pas bien physiquement. J’avais des problèmes avec mon tendon d'Achille, mon dos. Je me demandais ce qu'il se passait parce que l'année précédente, tout allait très bien. Et puis on n’a pas connu une belle saison, en dehors de la victoire en finale de la Coupe de France. Cette année, j'ai pensé beaucoup plus à la retraite en essayant de me préparer mentalement. Mais je sais qu’au bout du compte, rien ne me préparera vraiment à cela, ce n'est pas facile du tout mentalement et sur le plan émotionnel. Mais c'est quelque chose d'inévitable. Si cela arrive à la fin de la saison, il faudra s'y faire. Si c’est l’année prochaine, ça sera très bien.
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Kristen-Mann-FIBA-2-1.png\")
Avez-vous déjà des projets pour l'après-basket ?
Pas vraiment. Bien sûr que j'y ai déjà pensé, je pense que c'est la question qui m'a le plus été posée depuis que j'ai 20 ans. À 25 ans, je me disais que j'avais encore du temps, et puis boom ! J'en suis là aujourd'hui. Le temps est passé si vite... Honnêtement, je ne sais pas si je voudrais entrainer, les coaches ont un rythme de vie très difficile. Je sais que le développement des compétences n'a pas encore une place importante ici, surtout chez les féminines. Ça ne me dérangerait pas de faire quelque chose là-dedans. Je m'imagine quand même faire quelque chose dans le basket, mais je ne sais pas vraiment quoi. Peut-être agent. J'espère qu'une opportunité se présentera à moi. Et si ce n'est pas le cas, je devrai me bouger pour trouver quelque chose. Dans le pire des cas, je sais qu'il sera facile pour moi de trouver un poste dans le coaching aux Etats-Unis parce que nous avons la NCAA, la WNBA, où il y a des milliers de possibilités. Mais je ne veux pas vraiment retourner vivre là-bas pour le moment. C'est là que les choses se compliquent.
Quels sont vos prochains objectifs sur les parquets ?
Pour le moment, je sais qu'il ne reste que quelques matches à jouer. Je veux tous les gagner. Pour l'instant, le but est de battre Tarbes. Ensuite, il y aura la finale de la Coupe de France. Le principal est de prendre les matches les uns après les autres. Mais évidemment, dans un monde parfait, ma volonté est de tous les remporter.
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Mais j'espère tout de même qu'on va prendre notre revanche d'il y a deux ans (défaite de Bourges 91-88 contre Basket Landes après deux prolongations).\n\nPour vous, que représenterait ce troisième titre dans la compétition ?\n\nÇa serait tout pour moi ! Honnêtement, je suis en fin de carrière et je veux juste gagner le plus possible ici. Remporter trois, peut-être quatre trophées avec Bourges. Ce serait une incroyable façon de finir, particulièrement avec l'équipe que nous avons là. Ces filles sont géniales, on s'entend très bien. Et c'est toujours mieux de jouer avec des amies.\n\nJusqu'ici, comment se passe votre saison ?\n\nAssez bien, je n'ai pas à me plaindre. Evidemment, on était très déçues d'avoir été éliminées de l'Eurocup (en 8e de finale contre Besiktas), mais ce sont des choses qui arrivent. Janvier a été un mois horrible pour nous, pour de nombreuses raisons. On a perdu beaucoup de matches, Tima (Pouye) s'est blessée... 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Ici, je suis comme à la maison.\n\nQuel regard portez-vous sur le niveau de la Ligue Féminine ?\n\nJ'ai toujours pensé que la France possédait l'un des championnats les plus compétitifs en Europe, de la première équipe à la douzième. Dans beaucoup de pays en Europe, il y a trois équipe de très haut niveau. Ici, ce n'est pas le cas, c'est très concurrentiel, nous en sommes un très bon exemple cette année. On a terminé deuxièmes de la saison régulière et pourtant, on a perdu à domicile contre l'une des équipes de bas de tableau (Landerneau) en janvier. Tout peut arriver dans cette ligue, c'est sa force.\n\nVous avez évoqué votre fort lien avec la France. Parlez-vous un petit peu le français ?\n\nUn petit peu, oui. J'essaye de le parler avec des personnes que je ne connais pas, ou avec qui je n'ai pas établi un lien en anglais. Parce que quand je sais qu'on peut me répondre en anglais, je triche ! 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Mais je ne sais pas si ça sera possible. Sortir des chansons, c'est devenu accessible avec les différents réseaux sociaux et les choses comme ça. Je pourrais faire des choses, sortir de la musique, mais le plus difficile est d'amener les gens à écouter. J'aimerais en sortir plus et cet été, j'espère pouvoir le faire. Et je n’ai aucune idée de ce que je ferai la saison prochaine, si je continuerai à jouer ou si je prendrai ma retraite. Si j’ai plus de temps. J’aimerais m’y consacrer davantage pour être en mesure de sortir plus de musique, peut-être aller en tournée, des choses comme ça. Je viens de jouer dans un café local à Bourges, samedi (13 avril). Ensuite, je vais passer à l'impression (d'affiches) à Bourges. C'est un projet au long cours.\n\nSelon vous, existe-t-il des similarités entre le basket et la musique ?\n\nEn termes de pratique et de répétition, je pense que oui, c'est évident. Faire les mêmes exercices sur le terrain, encore et encore, ça ressemble au fait de chanter les mêmes chansons, de répéter en musique. Il y a effectivement des aspects similaires. Mais quand je suis sur scène, les gens essayent toujours de comparer avec le terrain. Je joue devant des milliers de personnes, mais je suis avec coéquipières et d’autres personnes. Ce n’est pas la même chose. Jouer en concert, c'est certainement plus stressant, mais j’ai toujours la même montée d’adrénaline que lorsque je joue. Par exemple, après les matchs, je dors très mal, que je gagne ou que je perde. Généralement, je reste debout pendant des heures. Samedi soir aussi, je n'ai pas pu m’endormir avant trois heures du matin, simplement à cause de l’adrénaline de mon concert. Ce n'est bon ni pour ma peau, ni pour mon processus de vieillissement (rire).\n\nAvez vous d'autres passions \"secrètes\" ?\n\nPas vraiment. Je dirais que le basket, la musique et mon chien sont les trois choses qui m'occupent. Chez moi, j'ai deux chiens et ils me manquent beaucoup. Si je ne les vois pas rapidement, je vais peut être en prendre un troisième. Il me faut vraiment un chien dans ma vie.\n\n\"J'aimerais jouer une année de plus, ce qui me permettrait d'atteindre les 20 ans de carrière professionnelle\"\n\nVous êtes aussi réputée pour votre goût des tatouages... combien en avez-vous ?\n\nJe crois que j'en ai neuf. Ils ont tous une signification particulière, avec une petite histoire derrière. Ils sont le moyen de créer quelque chose. Le dernier que j'ai fait représente le symbole du chanteur Prince. Je me le suis fait tatouer avec ma mère et ma soeur parce qu'on adore toutes les trois cet artiste.\n\nPour en revenir au terrain, vous continuez de jouer au plus haut niveau à plus de 40 ans. Quel est votre ressenti par rapport à cela ?\n\nJe ne vais pas vous mentir, c'est quelque chose dont je suis très fière. Ce n’est pas tous les jours que l'on voit quelqu'un jouer jusqu'à 40 ans, surtout pour les femmes. Je sais que quelques-unes d’entre nous l’ont fait en LFB. Personnellement, je me sens bien. J’aimerais jouer une année de plus si je le peux, ce qui me permettrait d'atteindre les 20 ans de carrière professionnelle. C’est un petit objectif dans ma tête. Mais en même temps, je ne veux pas forcer. Je ne veux pas le faire simplement pour le faire. Je veux toujours être passionnée par le jeu, sans \"tuer mon corps\" non plus. Pour l'instant, je me sens bien, je touche du bois. Mais on verra bien comment cela se passera cet été.\n\nÀ quel stade de votre réflexion vous trouvez-vous au sujet d'une éventuelle retraite ?\n\nJ’y ai plus pensé cette année que par le passé. Je sais que l’année dernière, par exemple, à Basket Landes, c’était une saison horrible pour moi parce que je ne me sentais pas bien physiquement. J’avais des problèmes avec mon tendon d'Achille, mon dos. Je me demandais ce qu'il se passait parce que l'année précédente, tout allait très bien. Et puis on n’a pas connu une belle saison, en dehors de la victoire en finale de la Coupe de France. Cette année, j'ai pensé beaucoup plus à la retraite en essayant de me préparer mentalement. Mais je sais qu’au bout du compte, rien ne me préparera vraiment à cela, ce n'est pas facile du tout mentalement et sur le plan émotionnel. Mais c'est quelque chose d'inévitable. Si cela arrive à la fin de la saison, il faudra s'y faire. Si c’est l’année prochaine, ça sera très bien.\n\nAvez-vous déjà des projets pour l'après-basket ?\n\nPas vraiment. Bien sûr que j'y ai déjà pensé, je pense que c'est la question qui m'a le plus été posée depuis que j'ai 20 ans. À 25 ans, je me disais que j'avais encore du temps, et puis boom ! J'en suis là aujourd'hui. Le temps est passé si vite... Honnêtement, je ne sais pas si je voudrais entrainer, les coaches ont un rythme de vie très difficile. Je sais que le développement des compétences n'a pas encore une place importante ici, surtout chez les féminines. Ça ne me dérangerait pas de faire quelque chose là-dedans. Je m'imagine quand même faire quelque chose dans le basket, mais je ne sais pas vraiment quoi. Peut-être agent. J'espère qu'une opportunité se présentera à moi. Et si ce n'est pas le cas, je devrai me bouger pour trouver quelque chose. Dans le pire des cas, je sais qu'il sera facile pour moi de trouver un poste dans le coaching aux Etats-Unis parce que nous avons la NCAA, la WNBA, où il y a des milliers de possibilités. Mais je ne veux pas vraiment retourner vivre là-bas pour le moment. C'est là que les choses se compliquent.\n\nQuels sont vos prochains objectifs sur les parquets ?\n\nPour le moment, je sais qu'il ne reste que quelques matches à jouer. Je veux tous les gagner. Pour l'instant, le but est de battre Tarbes. Ensuite, il y aura la finale de la Coupe de France. Le principal est de prendre les matches les uns après les autres. Mais évidemment, dans un monde parfait, ma volonté est de tous les remporter.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Kristen-Mann-FIBA.png", "featured":1, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"paid", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-22T07:32:31.000Z", "updated_at":"2024-04-23T07:23:02.000Z", "published_at":"2024-04-22T11:05:56.000Z", "custom_excerpt":"Victorieuse en Coupe de France avec Basket Landes en 2023, Kristen Mann est de retour à Bourges cette saison. À 40 ans, l'Américaine va jouer une nouvelle finale... contre son équipe précédente. 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Pour voter c'est ICI.
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— Cholet Basket (@CB_officiel) April 22, 2024
Toutes les infos 👇https://t.co/giml8NOSum
Bienvenue dans la #CBFAMILY @ej_stevenson5 ! pic.twitter.com/T8dVoql8Y5
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Bienvenue dans la #CBFAMILY @ej_stevenson5 ! pic.twitter.com/T8dVoql8Y5
Après trois défaites d’affilée en Betclic Elite, Cholet Basket tente de réagir pour atteindre les playoffs. Le club des Mauges, toujours dans le top 8 après 30 journées, vient d’enregistrer l’arrivée d’Erik Stevenson en tant que pigiste médical de Nick Johnson, forfait pour le restant de la saison.
Le meneur-arrière américain (1,93 m, 24 ans) va connaître sa première expérience en Europe. Après un long cursus universitaire entre Wichita State, Washington, South Carolina et West Virginia (15,4 points à 37,1 % à 3-points) entre 2018 et 2023, il n’a pas été drafté et vient de disputer sa première saison professionnelle en G-League avec les Austin Spurs puis les Texas Legends. Il tournait à 10,4 points, 3,3 rebonds et 2,9 passes pour 10 d’évaluation en 22 minutes en 46 rencontres dans l’antichambre de la NBA.
“C'est un joueur très intéressant dans le sens où c'est vraiment un bon shooteur. Quand on shoote en G-League à 38 % de réussite avec la distance NBA, c’est quand même qu'il a vraiment cette qualité, commente son nouveau coach, Laurent Vila. Il peut tirer après dribble, en catch and shoot et ce que j'aime chez lui, c'est sa capacité à être altruiste dans le jeu. Il peut voir des passes, l'extra-passe, créer sur pick and roll. En plus de ça, il voit les secondes passes, il oriente le jeu en pointant du doigt la situation suivante par rapport à son action. Il a de la communication, de la vision du jeu, il fait la même chose en défense sur le positionnement. Son efficacité dépendra beaucoup de son adaptation par rapport à notre jeu européen, français, qui est différent de la G-League. Tout de suite quand on s'est parlé, il m'a demandé les matches. Je lui ai envoyé nos trois derniers pour qu'il voie comment on joue. Il est content car c'est une bonne opportunité pour lui, comme pour Samuta Avea, ce sont des joueurs qui ne sont pas vraiment connus en Europe et nous sommes quand même une équipe référencée. On va essayer de se qualifier pour les playoffs donc ils vont être vus, mais je pense que ce sont des joueurs qui ont aussi l'esprit d'équipe, qui veulent apporter à l'équipe plus que se montrer soi-même. On a besoin de ce style de joueur-là.”
Le meneur-arrière de 24 ans sera de suite dans le bain. Après avoir participé ce lundi matin à son premier entraînement collectif, il devrait être qualifié pour affronter Paris, vainqueur de l'Eurocup et sur une série de 20 victoires de rang, ce mercredi dans la capitale (20h). Son dernier match remonte au 31 mars dernier.
\n✍️ Erik Stevenson est Choletais !
— Cholet Basket (@CB_officiel) April 22, 2024
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— Jonathan Givony (@DraftExpress) April 22, 2024
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— Jonathan Givony (@DraftExpress) April 22, 2024
\"J'ai toujours rêvé d'accéder à la meilleure ligue du monde\", a déclaré Zaccharie Risacher à ESPN. \"Je m'y consacre depuis que je suis enfant. La JL Bourg m'a donné une incroyable opportunité de montrer ce que je peux faire. C'est l'endroit idéal pour démarrer ma jeune carrière. Je suis vraiment reconnaissant d'avoir l'opportunité de jouer pour cette organisation. Je suis fier de faire partie de cette aventure avec mes coéquipiers et de ce que nous avons accompli en Eurocup. Nous voulons vraiment faire quelque chose de spécial pour le reste de la saison. Cela a été une longue saison et un long processus avec beaucoup de hauts et de bas.\"
Zaccharie Risacher affiche une moyenne de 10,4 points (39% à trois-points) et 3,4 rebonds en 23 minutes par match.
\"Je me sens bien physiquement. Je fais toujours en sorte que mon corps se sente bien pour jouer des matchs au plus haut niveau. Il y a eu des moments dans la saison où je me suis senti un peu plus fatigué en raison du nombre de matchs, qui en incluent parfois deux ou trois par semaine, avec des déplacements difficiles. Et cela ne comprend pas le travail de développement supplémentaire que je fais en même temps. C'est compliqué pour un jeune corps. Mais cela n'a jamais été une excuse. \"
La draft NBA se déroulera sur deux jours à New York, les 26 et 27 juin. Le premier tour se déroulera au Barclays Center de Brooklyn, suivi du deuxième tour le lendemain au studio d'ESPN dans le Lower Manhattan.
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— beIN SPORTS (@beinsports_FR) April 21, 2024
🎙️ Les JO, le basket féminin, le New York Liberty, Caitlin Clark... La star de WNBA Breanna Stewart a répondu aux questions de @SoFrenchProd !#SNL #NBAextra pic.twitter.com/AGcDwHl9oq
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L'égérie de Puma parle de son équipe, le New York Liberty, de son équipière Marine Johannes, de la WNBA, du phénomène Caitlin Clark, et bien sûr des Jeux Olympiques.
\n[📺INTERVIEW] 🏀 #NBA
— beIN SPORTS (@beinsports_FR) April 21, 2024
🎙️ Les JO, le basket féminin, le New York Liberty, Caitlin Clark... La star de WNBA Breanna Stewart a répondu aux questions de @SoFrenchProd !#SNL #NBAextra pic.twitter.com/AGcDwHl9oq
Créée en 1994, la Fête Nationale du MiniBasket réunit chaque année des enfants de 6 à 11 ans, sur chaque département français tous les week-ends des mois de mai et juin.
Cette fête est organisée sur le plan national par la FFBB et relayée par ses Comités Départementaux sur une centaine de sites. Plus de 100 000 enfants disputent des tournois et révisent les fondamentaux du basket sur des ateliers. Ils sont encadrés par près de 5 000 bénévoles. Mots d’ordre de la Fête Nationale du MiniBasket : convivialité et amusement. En fin de journée, tous les enfants sont réunis pour la traditionnelle remise de récompenses. Ils reçoivent tous la même dotation offerte par les partenaires de la Fête.
Voici les sites :
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/dossier_presse_fete_nationale_du_minibasket_2024_page-0006.jpg\")
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/dossier_presse_fete_nationale_du_minibasket_2024_page-0007.jpg\")
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/dossier_presse_fete_nationale_du_minibasket_2024_page-0008.jpg\")
\"Audrey était une jeune fille de 27 ans la vie devant elle ! Supportrice du club de basket sa passion elle a suivi pour assister au match, malheureusement le destin en a décide autrement un arrêt cardiaque foudroyant l'a emporté pendant l'échauffement des joueurs vendredi soir a Denain.pour aider la famille a participer aux frais d'obsèques une cagnotte est a votre disposition..supporter amis merci de partager cette cagnotte pour Audrey qui avait le cœur sur la main la vie devant elle et va laisser un énorme vide dans le cœur de beaucoupDe personnes..😞 a jamais dans nos cœurs\", peut-on lire dans la présentation.
Il reste 22 jours pour faire un don.
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Supportrice du club de basket sa passion elle a suivi pour assister au match, malheureusement le destin en a décide autrement un arrêt cardiaque foudroyant l'a emporté pendant l'échauffement des joueurs vendredi soir a Denain.pour aider la famille a participer aux frais d'obsèques une cagnotte est a votre disposition..supporter amis merci de partager cette cagnotte pour Audrey qui avait le cœur sur la main la vie devant elle et va laisser un énorme vide dans le cœur de beaucoupDe personnes..😞 a jamais dans nos cœurs\", peut-on lire dans la présentation.\n\nIl reste 22 jours pour faire un don.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Audrey.webp", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-22T15:48:41.000Z", "updated_at":"2024-04-23T05:26:34.000Z", "published_at":"2024-04-23T05:26:35.000Z", "custom_excerpt":"Une cagnotte Leetchi a été ouverte pour Audrey, la supportrice de Saint-Quentin décédée d'une crise cardiaque avant le match de Pro B, vendredi, Denain-Saint-Quentin.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"66269554fdfaa30001fcf6b6", "uuid":"3e8ccf00-e71c-4b30-a9e0-92301a1acb5f", "title":"Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures", "slug":"ce-quil-faut-retenir-des-24-dernieres-heures-104", "mobiledoc":null, "lexical":"{\"root\":{\"children\":[{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":1,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"ITW Kristen Mann (Bourges) : \\\"J'aimerais m'installer définitivement en France\\\"\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"extended-heading\",\"version\":1,\"tag\":\"h3\"}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Victorieuse en Coupe de France avec Basket Landes en 2023, Kristen Mann est de retour à Bourges cette saison. 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La fin de saison approche, et le rythme s'élève cette semaine avec beaucoup de rencontre à fort enjeu dans les différentes compétitions : le quart de finale de Monaco contre le Fenerbahçe en Euroleague, la Betclic Elite, les playoffs de la Ligue féminine ou encore les finales de la Coupe de France.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Alpha-Diallo-Euroleague.png\")
Large vainqueur de l'ASVEL à l'Astroballe ce dimanche (66-86), le Paris Basketball continue d'impressionner. Avec une série en cours de 10 victoires de suite en championnat ainsi que des titres en Leaders Cup et en Eurocup, les hommes de Tuomas Iisalo semblent irrésistibles. Ils occupent seuls la deuxième place de la Betclic Elite.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/TJ-Shorts-1.webp\")
La première saison historique de Victor Wembanyama se traduit dans les nominations pour les différents trophées individuels de la saison 2023-24. Le phénomène tricolore a en effet été sélectionné parmi les trois finalistes pour les trophées de meilleur rookie et de meilleur défenseur de la saison. Si le premier titre devrait lui revenir, Wemby doit en revanche composer avec la concurrence de son compatriote Rudy Gobert pour le second.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/wembanyama-2.webp\")
Pourtant deuxième de la saison régulière 2023-24 de la Ligue Féminine, Bourges n'est plus très loin de l'élimination. Battues 87-69 à Tarbes, les Tango doivent remonter un écart de 18 points ce lundi pour se qualifier pour les demi-finales. Une mission qui ne s'annonce pas simple face à la fougue de la jeunesse tarbaise.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Pauline-Astier.jpeg\")
Cholet n'est pas épargné par les blessures depuis quelques semaines. Après avoir récupéré Gérald Ayayi, le club des Mauges doit désormais se passer de Nick Johnson. Afin d'éviter une fin de saison difficile, CB vient d'annoncer la signature d'Erik Stevenson. L'arrière américain de 24 ans, fort shooteur, va connaître sa première expérience en Europe.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Erik-Stevenson-Cholet-Basket.jpeg\")
Sans grande surprise Zaccharie Risacher va bien se présenter à la Draft 2024. Projeté à la première place de la cuvée depuis de longues semaines, l'ailier de la JL Bourg a bien soumis les documents nécessaires à son inscription à la NBA. Reste à savoir s'il sera effectivement appelé en premier le 26 juin prochain.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/zaccharie-risacher-tuan-nguyen.webp\")
Toujours convalescente à la suite d'une blessure au dos, Marine Fauthoux doit se contenter d'observer la fin de saison de son équipe de l'ASVEL depuis le banc. Alors qu'elle faisait partie des candidates à une sélection aux Jeux Olympiques avec l'équipe de France cet été, la meneuse de 23 ans dit vouloir se concentrer sur sa rééducation avant de penser à un éventuel été olympique avec les Bleues.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Marine-Fauthoux-FIBA.jpeg\")
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— Basketball Champions League (@BasketballCL) April 22, 2024
🎬 @CB_officiel’s @TidjaneSalaun shares his story and his dreams in the latest episode of our #BasketballCL Diaries 📕 pic.twitter.com/VERNExNXL3
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Outre l'intéressé, on retrouve son coach à Cholet Basket, Laurent Vila, celui des U21, Régis Boissié et sa soeur, Janelle, l'internationale de Villeneuve d'Ascq.
\n🗣️ “𝑰 𝒅𝒐𝒏'𝒕 𝒆𝒗𝒆𝒏 𝒌𝒏𝒐𝒘 𝒘𝒉𝒂𝒕 𝑰'𝒎 𝒄𝒂𝒑𝒂𝒃𝒍𝒆 𝒐𝒇 𝒚𝒆𝒕.”
— Basketball Champions League (@BasketballCL) April 22, 2024
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Formidable Carla Leite ! Son entrée dans le match a été fulgurante. 14 points en un peu plus de 12 minutes avec 4 passes, 1 interception et 1 contre. Elle a géré ses deux fautes tombées très vite et joué toute la première mi-temps avant de souffler un peu sur le banc dans le troisième quart-temps. Elle a passé au final 38'13 secondes sur le terrain et le temps que la meneuse de tout juste 20 ans a le ballon entre les mains est à chaque match très important. Cela explique pour beaucoup ses 5 pertes de balle. Elle a fini le match à 26 points en manquant la cible une seule fois en neuf shoots. Les Berruyères n'ont eu souvent pas d'autres choix que de la bousculer pour l'empêcher d'aller au cercle, ce qui explique qu'elle a provoqué 11 fautes de l'adversaire.
Le deuxième nom à souligner en rouge est celui de Marie-Paule Foppossi. Il ne faut pas se fier à son âge, 26 ans, car ce n'est que sa deuxième saison en pro étant donné qu'elle a passé cinq années en NCAA, à Syracuse et Rhode Island. pour son retour en France, elle a déjà eu le temps de participer à l'Euro 2023 et hier soir, elle a assuré 18 points et 6 rebonds.
Le troisième élément à mentionner au TGB, c'est évidemment Dominique Malonga, 1,98m et 18 ans. On retiendra ses 16 points et 7 rebonds et encore plus sa placidité sur la ligne des lancers-francs dans le money time avec un 5/6, et c'est elle aussi qui a pris le rebond défensif de la gagne.
Pour autant, n'oublions pas les complices de ce formidable exploit. Jess Zodia 19 ans, Serena Kessler, 21 ans, Camille Droguet, 25 ans, Nancy Fora 26 ans, et l'Estonienne Mailis Pokk, la doyenne avec ses 31 ans. La seule étrangère d'un groupe qui a perdu en cours de route sa cheftaine Isabelle Yacoubou...
Le TGB ne s'est pas contenté de gérer son capital de 18 points conquis de haute lutte à l'aller. Il a mené 28-33 et encore 47-51 à la mi-temps. Les Tango n'ont tenu le choc que parce que leur pivot canadienne Kayla Alexander a sorti le grand jeu (24 points, 11/16 aux shoots, 12 rebonds sur le match).
A l'issue du troisième quart-temps, Bourges n'avait que deux points d'avance. On avait annoncé un avis de tempête au Prado. Elle est survenue à ce moment-là. Emmenées par Alix Duchet (19 points), les Tango ont soufflé très fort sur la défense tarbaise. 78-68 en moins de deux minutes. Les filles de François Gomez étaient forcément épuisées par les efforts consentis et le manque de banc. La pression sur la porteuse du ballon était terrible et les Tarbaises en ont perdu 22, des ballons.
90-75 à quatre minutes de la fin. On s'est dit que le TGB allait craquer. Mais, non, il tenait le choc encore et encore. 94-80. 96-81. Jamais Bourges n'est passé devant au score sur l'ensemble des deux matches. Alix Duchet a fait perdre les pédales à Carla Leite grâce à une défense étouffante mais la meneuse internationale a manqué son layup sur l'action suivante. C'est à ce moment-là que Dominique Malonga a capté le rebond et fait un 2/2 aux lancers-francs. L'Américaine Shaylisha Colley a loupé le trois-points de l'égalisation au buzzer. Vous imaginez : c'est la première fois depuis 1995 que Bourges n'est pas en demi-finale du championnat de France !
Oui, quel suspense, quel match des Tarbaises, quelle aventure ! Son prochain épisode se jouera lors du derby du Sud Ouest face à Basket Landes en demi-finale.
Quarts de finale
Basket Landes (3) - Lyon (6) : 67-89 / 79-60
Basket Landes qualifié 168-127
Bourges (2) - Tarbes (5) : 87-69 / 98-83
Tarbes qualifié 170-167
\n🚨 Shay Colley manque la balle de prolongation et c'est @tgbbasket qui crée l'exploit et qui se qualifie pour les demi-finales des playoffs ! 🤩#SKWEEKLive #BasketLFB pic.twitter.com/32X2Wb9M1v
— SKWEEK (@skweektv) April 22, 2024
Clément Carton![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/01/Kamardine-Leite-FIBA.jpg\")
« On tient trois quart-temps vraiment très, très bien. De 18, on passe à un moment à +24, 25. Et puis Bourges se lâche vraiment avec des joueuses qui prennent des risques et qui sont récompensées, qui se battent sous le panier, qui nous dominent. Je pense que cette équipe a fait ce qu’il fallait. Quand ça se joue à un point, il faut arrêter de discuter. C’est un lancer-franc, un panier raté. La pièce peut tomber d’un côté comme de l’autre. Elle est tombée de notre côté, c’est magnifique, mais elle aurait pu tomber du côté de Bourges. Il n’y a rien à redire, cette équipe nous a dominés les dix dernières minutes puisque le reste du temps on a fait jeu égal avec l’une des meilleures équipes françaises. C’est notre grande satisfaction de pouvoir rivaliser avec le Bourges de cette année même si je comprends que vous soyez déçus d’être éliminé en quart car tout le monde annonçait un Bourges-Villeneuve d’Ascq en finale. Mais Bourges reste Bourges et l’a prouvé aujourd’hui. »
Rappel : Bourges avait terminé à la deuxième place la saison régulière avec 18 victoires et 4 défaites, alors que Tarbes s'était classée 7e (10-12), soit une victoire de plus seulement que le 9e, Charleville.
« On vient gagner notre place en demi-finale comme on l’a fait en demi-finale de Coupe de France. Il n’y a pas de hasard. Cette équipe de Tarbes a peut-être été sous-estimée et par moi en premier car je pense que l’on aurait pu dans la saison régulière faire un peu mieux si j’avais eu plus de conviction sur le niveau que l’on avait. Aujourd’hui, les filles ont montré que j’avais mal évalué le niveau de ce groupe. Elles prouvent avec ces deux demi-finales qu’elles font partie des quatre meilleures équipes françaises cette année. Il faut le dire comme ça… Il y a eu un quart-temps très compliqué avec (il rit) la trouille ! Une vraie trouille. Les joueuses, le staff aussi. Il y a longtemps que je n’avais pas eu peur comme ça, que l’on se fasse crucifier à la dernière seconde sur un dernier panier. Ça se passe souvent comme ça. Que l’on n’aurait plus que nos larmes pour pleurer. Ça n’a pas été le cas, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? 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Samedi 23 avril 2022 à l'Accor Arena de Paris-Bercy. Opposé à Strasbourg, l'Elan Béarnais remporte sa quatrième Coupe de France - et son premier trophée depuis 15 ans - devant plus de 15 000 personnes (95-86). Une finale lors de laquelle les Palois ont pu compter sur la grosse performance de Vitalis Chikoko (15 points, 8 rebonds, 3 passes décisives et 5 contres), logiquement élu MVP du match.
\"On avait joué un très bons match d'équipe, sans leur donner aucune chance du début à la fin de la rencontre\", se remémore le pivot. \"On était plus agressifs, prêts au combat, affamés. On voulait vraiment gagner, et on l'a fait ! D'un point de vue personnel, cela a été l'un de mes plus grands souvenirs en France\". Une rencontre au cours de laquelle Giovan Oniangue et Gregor Hrovat ont également apporté leur contribution à la victoire. Mais les trois hommes n'imaginaient sans doute pas se retrouver en position de gagner un nouveau trophée ensemble, sous un autre maillot, 24 mois plus tard. Et pourtant...
Arrivé à Dijon à l'été 2022, Hrovat a vu Chikoko le rejoindre en Bourgogne à la dernière intersaison. Sans contrat pendant plusieurs mois, Oniangue a pour sa part profité du départ précipité de Dylan Affo Mama au coeur de l'automne pour retrouver ses deux ex-coéquipiers en Bourgogne. Si les anciens Palois avaient connu le succès collectif - une demi-finale en Betclic Elite en plus de la victoire en Coupe - lors de leur saison commune dans le sud-ouest, l'exercice 2023-24 s'est révélé bien plus difficile avec la JDA. Une entame ratée, plusieurs modifications de l'effectif en cours de route, un changement d'entraineur et de nombreuses blessures à des postes-clés ont rythmé la saison du club bourguignon, plus habitué à la stabilité qu'aux remous incessants des derniers mois.
Forcément, cela s'est ressenti dans les résultats d'une JDA distancée par les autres candidats aux playoffs à quatre journées de la fin de la saison en Betclic Elite. De quoi faire naître une certaine frustration chez les joueurs, à l'image du pivot zimbabwéen : \"La façon dont la saison s'est déroulée est une véritable déception pour moi. À un moment, c'est presque comme si on avait un nouveau blessé chaque semaine. Et à chaque fois que quelqu'un revenait, un autre joueur était indisponible. C'était difficile\".
Dans cet horizon gris, les hommes de Laurent Legname bénéficient tout de même d'une petite éclaircie qui pourrait se transformer en grand rayon de soleil dans les prochains jours : ils sont qualifiés pour la finale de la Coupe de France 2024, contre Strasbourg. Un bel accomplissement facilité par un parcours favorable, avec deux équipes de Pro B (Vichy et... Pau) accrochées à leur tableau de chasse sur les trois matches qui les ont mené à Bercy. Victorieux en 2006 contre Orléans mais défaits face à l'ASVEL en 2021, les Dijonnais ont donc l'occasion de décrocher un deuxième trophée dans la compétition, au cœur d'une saison où rien ne semblait pourtant leur réussir. De quoi rappeler de bons souvenirs à leurs anciens Béarnais.
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Si Gregor Hrovat, touché au genou et forfait jusqu'à la fin de la saison, n'évoluera pas sur le parquet de l'Accor Arena, Giovan Oniangue et Vitalis Chikoko seront bien présents dans un effectif dijonnais qui a récupéré ses forces vives. L'ailier de 33 ans connait mieux que personne l'importance d'un tel match, lui qui va disputer sa quatrième finale dans la compétition. Clin d'œil du destin, il va d'ailleurs être opposé à la SIG pour la troisième fois à ce stade. \"C'est vrai que c'est assez particulier\", confirme-t-il. \"C'est toujours un plaisir, un moment mémorable de jouer des matches comme celui-là, à Bercy, dans une belle salle, avec l'appui de plus de 15 000 personnes. Mais on va essayer de jouer comme si c'était une autre équipe pour aller gagner ce match\".
Une confrontation qui n'est pourtant pas anodine pour Dijon, sorti vainqueur de ses deux rencontres face aux Alsaciens cette saison. Leur dernier affrontement, disputé au Palais des Sports au début du mois d'avril, a permis aux Bourguignons de reprendre confiance (80-68) avant les retrouvailles parisiennes : \"Quand ils sont venus à Dijon, on a aussi eu une petite pensée pour la finale. On voulait vraiment lancer un petit message, montrer que ça n’allait pas être facile contre nous malgré la saison un peu frustrante qu'on est en train de vivre\", explique Giovan Oniangue. \"Après, une finale, ça reste une finale. On va oublier ce qu'il s'est passé auparavant et essayer de prendre ce match de manière déterminée. Mais c'est vrai que le fait de les avoir joués récemment, ça nous a fait un petit avant-goût de la bataille qui nous attend samedi\". Même si ce résultat ne présage en rien de l'issue de la finale, il laisse imaginer un match disputé entre deux équipes loin de leur standing des dernières années.
\"On ressent beaucoup d'engouement et on veut vraiment donner cette victoire aux supporters\"
Figures établies de la Betclic Elite, Chikoko et Oniangue sont conscients du rôle qu'ils ont à jouer auprès de leurs plus jeunes coéquipiers dans la préparation d'un match si important : \"J'essaye toujours d'aider mes coéquipiers, que ce soit sur le terrain ou en dehors\", détaille le pivot de 33 ans. \"C'est important de parler, surtout par rapport à ceux qui n'ont jamais joué de finales ou remporté de titres. Avec mon expérience et celle d'autres joueurs comme Dave (Holston) ou Jacques (Alingue), je pense que ça fait partie de notre rôle, d'essayer de donner confiance à nos coéquipiers\". Un vécu essentiel dans ce contexte, qui demande une bonne gestion de ses émotions pour ne pas se laisser submerger par l'enjeu.
Dans l'adversité, les Dijonnais pourront en tout cas compter sur la mobilisation de leurs supporters. Un déplacement en train a été organisé par le club afin de faire venir à Paris plus d'un millier de fans de la JDA. Témoin de cette ferveur grandissante depuis quelques jours, Giovan Oniangue espère bien que son équipe pourra s'en nourrir : \"On reçoit plein de messages d’encouragements pour la finale. Même quand on croise les fans, que ce soit dans la rue ou après les matchs, ils nous disent qu'ils ont pris leur place et qu'ils sont vraiment motivés. Je sais que ça fait longtemps que la JDA n'a pas gagné la Coupe de France, donc c'est un moment que les supporters aimeraient revivre. On ressent beaucoup d'engouement et on veut vraiment leur donner cette victoire\".
Dans tous les cas, et malgré la mauvaise passe dijonnaise dans le championnat de France depuis deux mois (7 défaites sur les 8 derniers matches), Vitalis Chikoko veut croire en la capacité de son équipe à se sublimer pour aller chercher la victoire \"la plus importante de la saison\" : \"On sait quel genre d'équipe ils (Strasbourg) sont. Ils ont beaucoup de combattants. Ce match ne sera pas facile, ils veulent le gagner autant que nous. En tant qu'équipe, on doit simplement donner tout ce qu'on a pour ce match, offensivement et défensivement, quitte à mourir sur le terrain. Je pense que si on reste ensemble et qu'on joue en équipe, tout sera possible\". Les deux vainqueurs de l'édition 2022 le savent : ils ont l'opportunité de ramener un trophée à un club qui n'a pas l'occasion d'en gagner chaque année. Deux ans après, porteront-ils à nouveau bonheur à leur équipe contre la SIG ? Réponse ce samedi à partir de 16h30.
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Mais les trois hommes n'imaginaient sans doute pas se retrouver en position de gagner un nouveau trophée ensemble, sous un autre maillot, 24 mois plus tard. Et pourtant...\n\nArrivé à Dijon à l'été 2022, Hrovat a vu Chikoko le rejoindre en Bourgogne à la dernière intersaison. Sans contrat pendant plusieurs mois, Oniangue a pour sa part profité du départ précipité de Dylan Affo Mama au coeur de l'automne pour retrouver ses deux ex-coéquipiers en Bourgogne. Si les anciens Palois avaient connu le succès collectif - une demi-finale en Betclic Elite en plus de la victoire en Coupe - lors de leur saison commune dans le sud-ouest, l'exercice 2023-24 s'est révélé bien plus difficile avec la JDA. Une entame ratée, plusieurs modifications de l'effectif en cours de route, un changement d'entraineur et de nombreuses blessures à des postes-clés ont rythmé la saison du club bourguignon, plus habitué à la stabilité qu'aux remous incessants des derniers mois.\n\n\nUne saison à sauver\n\nForcément, cela s'est ressenti dans les résultats d'une JDA distancée par les autres candidats aux playoffs à quatre journées de la fin de la saison en Betclic Elite. De quoi faire naître une certaine frustration chez les joueurs, à l'image du pivot zimbabwéen : \"La façon dont la saison s'est déroulée est une véritable déception pour moi. À un moment, c'est presque comme si on avait un nouveau blessé chaque semaine. Et à chaque fois que quelqu'un revenait, un autre joueur était indisponible. C'était difficile\".\n\nDans cet horizon gris, les hommes de Laurent Legname bénéficient tout de même d'une petite éclaircie qui pourrait se transformer en grand rayon de soleil dans les prochains jours : ils sont qualifiés pour la finale de la Coupe de France 2024, contre Strasbourg. Un bel accomplissement facilité par un parcours favorable, avec deux équipes de Pro B (Vichy et... Pau) accrochées à leur tableau de chasse sur les trois matches qui les ont mené à Bercy. Victorieux en 2006 contre Orléans mais défaits face à l'ASVEL en 2021, les Dijonnais ont donc l'occasion de décrocher un deuxième trophée dans la compétition, au cœur d'une saison où rien ne semblait pourtant leur réussir. De quoi rappeler de bons souvenirs à leurs anciens Béarnais.\n\nSi Gregor Hrovat, touché au genou et forfait jusqu'à la fin de la saison, n'évoluera pas sur le parquet de l'Accor Arena, Giovan Oniangue et Vitalis Chikoko seront bien présents dans un effectif dijonnais qui a récupéré ses forces vives. L'ailier de 33 ans connait mieux que personne l'importance d'un tel match, lui qui va disputer sa quatrième finale dans la compétition. Clin d'œil du destin, il va d'ailleurs être opposé à la SIG pour la troisième fois à ce stade. \"C'est vrai que c'est assez particulier\", confirme-t-il. \"C'est toujours un plaisir, un moment mémorable de jouer des matches comme celui-là, à Bercy, dans une belle salle, avec l'appui de plus de 15 000 personnes. Mais on va essayer de jouer comme si c'était une autre équipe pour aller gagner ce match\".\n\nUne confrontation qui n'est pourtant pas anodine pour Dijon, sorti vainqueur de ses deux rencontres face aux Alsaciens cette saison. Leur dernier affrontement, disputé au Palais des Sports au début du mois d'avril, a permis aux Bourguignons de reprendre confiance (80-68) avant les retrouvailles parisiennes : \"Quand ils sont venus à Dijon, on a aussi eu une petite pensée pour la finale. On voulait vraiment lancer un petit message, montrer que ça n’allait pas être facile contre nous malgré la saison un peu frustrante qu'on est en train de vivre\", explique Giovan Oniangue. \"Après, une finale, ça reste une finale. On va oublier ce qu'il s'est passé auparavant et essayer de prendre ce match de manière déterminée. Mais c'est vrai que le fait de les avoir joués récemment, ça nous a fait un petit avant-goût de la bataille qui nous attend samedi\". Même si ce résultat ne présage en rien de l'issue de la finale, il laisse imaginer un match disputé entre deux équipes loin de leur standing des dernières années.\n\n\"On ressent beaucoup d'engouement et on veut vraiment donner cette victoire aux supporters\"\n\nFigures établies de la Betclic Elite, Chikoko et Oniangue sont conscients du rôle qu'ils ont à jouer auprès de leurs plus jeunes coéquipiers dans la préparation d'un match si important : \"J'essaye toujours d'aider mes coéquipiers, que ce soit sur le terrain ou en dehors\", détaille le pivot de 33 ans. \"C'est important de parler, surtout par rapport à ceux qui n'ont jamais joué de finales ou remporté de titres. Avec mon expérience et celle d'autres joueurs comme Dave (Holston) ou Jacques (Alingue), je pense que ça fait partie de notre rôle, d'essayer de donner confiance à nos coéquipiers\". Un vécu essentiel dans ce contexte, qui demande une bonne gestion de ses émotions pour ne pas se laisser submerger par l'enjeu.\n\nDans l'adversité, les Dijonnais pourront en tout cas compter sur la mobilisation de leurs supporters. Un déplacement en train a été organisé par le club afin de faire venir à Paris plus d'un millier de fans de la JDA. Témoin de cette ferveur grandissante depuis quelques jours, Giovan Oniangue espère bien que son équipe pourra s'en nourrir : \"On reçoit plein de messages d’encouragements pour la finale. Même quand on croise les fans, que ce soit dans la rue ou après les matchs, ils nous disent qu'ils ont pris leur place et qu'ils sont vraiment motivés. Je sais que ça fait longtemps que la JDA n'a pas gagné la Coupe de France, donc c'est un moment que les supporters aimeraient revivre. On ressent beaucoup d'engouement et on veut vraiment leur donner cette victoire\".\n\nDans tous les cas, et malgré la mauvaise passe dijonnaise dans le championnat de France depuis deux mois (7 défaites sur les 8 derniers matches), Vitalis Chikoko veut croire en la capacité de son équipe à se sublimer pour aller chercher la victoire \"la plus importante de la saison\" : \"On sait quel genre d'équipe ils (Strasbourg) sont. Ils ont beaucoup de combattants. Ce match ne sera pas facile, ils veulent le gagner autant que nous. En tant qu'équipe, on doit simplement donner tout ce qu'on a pour ce match, offensivement et défensivement, quitte à mourir sur le terrain. Je pense que si on reste ensemble et qu'on joue en équipe, tout sera possible\". Les deux vainqueurs de l'édition 2022 le savent : ils ont l'opportunité de ramener un trophée à un club qui n'a pas l'occasion d'en gagner chaque année. Deux ans après, porteront-ils à nouveau bonheur à leur équipe contre la SIG ? Réponse ce samedi à partir de 16h30.", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Giovan-Oniangue-Vitalis-Chikoko-FIBA.png", "featured":1, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"paid", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-23T07:16:15.000Z", "updated_at":"2024-04-24T12:00:24.000Z", "published_at":"2024-04-24T12:00:22.000Z", "custom_excerpt":"Titrés avec Pau en 2022, Giovan Oniangue et Vitalis Chikoko vont disputer une nouvelle finale de Coupe de France, sous le maillot de Dijon. 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L’intérieur de 28 ans nous raconte cette expérience qui en appelle d’autres.
Clément Carton![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Damien-Inglis-Damien-Inglis-Euroleague-3-1.webp\")
Longtemps mené au score dans le premier match de ces quarts de finale de l'Euroleague ce mardi, le Maccabi Tel-Aviv est parvenu à renverser le Panathinaïkos dans le dernier quart-temps ! (87-91) Les Israéliens entament parfaitement leur série alors que les Grecs se retrouvent déjà sous pression.
Valentin Perrot![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Lorenzo-Brown-Euroleague.png\")
Meilleure équipe de l'Euroleague cette saison et grand favori de la compétition, le Real Madrid a assumé son statut en s'imposant largement pour son premier match des quarts de finale face à Baskonia (90-74). Une victoire incontestable qui lance bien les Madrilènes dans cette série 100% espagnole.
Valentin Perrot![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/size/w1200/2024/04/Facundo-Campazzo-Codi-Miller-McIntyre-Euroleague.png\")
Après avoir largement remporté le match aller à domicile, Tarbes a su résister à la pression de Bourges au Prado (98-83) en quarts de finale des playoffs de la LFB. Porté par une jeunesse dorée incarnée par Carla Leite ou encore Dominique Malonga, le TGB réalise l'exploit d'éliminer les Tango avant les demi-finales pour la première fois depuis 1995.
Pascal Legendre![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Tarbes.jpeg\")
François Gomez peut être fier de ses joueuses. Face à une équipe de Bourges largement favorite, le coach de Tarbes a vu sa jeune équipe réaliser un exploit pour se qualifier en demi-finale de la LFB. Même si le technicien reconnaut que la double confrontation contre les Tango s'est jouée sur un fil.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Franc-ois-Gomez-TGB.jpeg\")
Retiré du coaching depuis 2015, Jean-Louis Borg a repris du service cette saison sur le banc de son club de cœur, Hyères-Toulon. Un retour plein de réussite pour l'ancien technicien de Vichy et Dijon, qui a mené les Varois au titre de champions de France de Nationale 1, synonyme de remontée en Pro B.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Jean-Louis-Borg.jpeg\")
Vu en NBA sous le maillot des Brooklyn Nets entre 2018 et 2020, Dzanan Musa est désormais un élément important du Real Madrid. Le Bosnien est donc bien placé pour parler de la différence entre la ligue américaine et le basket européen. L'ailier met en avant l'enjeu sportif supérieur des matches européens en comparaison avec ce qui se fait de l'autre côté de l'Atlantique.
La rédaction![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/dzanan-musa.webp\")
Damien Inglis est comme le bon vin : il se bonifie avec le temps. Sous le feu des projecteurs en début de carrière après avoir été jeté dans le grand bain de la NBA, le Guyanais a mis du temps à faire son trou jusqu’à prendre du galon en Espagne. A 28 ans, il vient de boucler sa première saison d’Euroleague à une honorable 13e place avec un vrai impact à Valence (8,2 points à 51 % aux tirs, 4,7 rebonds, 1,7 passe et 0,7 interception pour 9,6 d’évaluation en 20 minutes de moyenne sur 32 matches).
L’international français nous a accordé une heure d’entretien dans lequel il revient sur sa belle entrée au sein du gotha européen malgré les hauts et les bas de l’équipe espagnole. Il évoque également les différences entre la Betclic Elite et la Liga Endesa, son futur en Euroleague et en équipe de France mais aussi ses activités extra-sportives et son intérêt prononcé pour le développement du basket - mais pas que - en Guyane.
Valence a longtemps été en course pour intégrer le play-in avant de dégringoler au classement (14-20, 13e). Comment avez-vous vécu cette longue saison de l’intérieur ?
“C’était ma première saison d’Euroleague. Je suis arrivé à Valence avec une très grande motivation. Je voulais absolument jouer au très haut niveau européen. J’ai été agréablement accueilli. Je n’ai jamais douté de ma capacité à jouer à ce niveau mais le fait de pouvoir enfin le montrer m’a procuré du plaisir. Sur le plan personnel, j’ai passé une bonne année. Il y a eu des hauts et des bas mais j’ai été plutôt consistant sur la globalité de la saison. En tant que rookie, j’ai énormément appris. Mon jeu s’est encore développé. Ça fait du bien d’être considéré parmi les top players de quelconque catégorie.
Diriez-vous que vous avez changé de catégorie cette saison ?
Bien sûr. Il y a toujours eu cet astérisque sur moi. On sait depuis longtemps qui je suis mais on doutait jusqu’à cette année de ma capacité à jouer en Euroleague. Maintenant que j’ai joué à ce niveau, que j’ai montré que j’en étais capable, je crois que la perception des gens sur moi a changé.
“Un de mes objectifs de saison était de rester en bonne forme physique”
Etes-vous satisfait de votre saison sur le plan individuel et collectif ?
Sur le plan individuel, je suis un éternel insatisfait. Je sais que j’ai globalement fait une bonne saison même si je sais que j’aurais pu faire encore mieux. Je suis surtout content d’avoir pu montrer ma polyvalence sur tous les aspects du game et d’avoir pu apporter à mon équipe sur la période car j’ai très peu manqué de matches (NDLR : seulement deux pour 8,2 points à 51 % aux tirs dont 28 % à 3-points, 4,7 rebonds, 1,7 passe et 0,7 interception pour 9,6 d’évaluation (PIR) en 20 minutes de moyenne sur 32 matches). Un de mes objectifs de saison était de rester en bonne forme physique toute l’année. J’ai beaucoup travaillé mais j’ai eu la chance de ne pas avoir été blessé et d’être resté disponible pour l’équipe, qui a connu beaucoup de blessures…
Justement, comment avez-vous vécu les très nombreuses blessures au sein de l’effectif de Valence et l’éviction d’Alex Mumbru ?
On a connu énormément de blessures, il nous a manqué des joueurs par ci par là toute l’année. Ça nous a coûté pas mal de matches à la longue. Ça s'est fini sur une déroute à domicile contre l’ASVEL et le licenciement du coach... Ce sont des moments toujours compliqués à gérer. Maintenant, la saison d’Euroleague est terminée, on ne peut plus rien y changer. On est tous déçus de ne pas avoir pu pousser jusqu’au play-in, on voulait tous y aller, mais c’était une saison particulière. On espère pouvoir la finir du mieux que possible en ACB (NDLR : trois victoires d’affilée en Liga Endesa où Valence est remonté à la 4e place).
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Damien-Inglis-Euroleague-3.webp\")
L’évolution naturelle de votre jeu vous a fait passé de l’aile à l’intérieur avec le temps et même glisser cette année au poste 5 par séquence. Comment l’expliquez-vous ?
Mes années d'ailier, ça commence à remonter à il y a très longtemps, à avant ma blessure (NDLR : saison 2014-2015). Quand je suis parti en NBA, j’étais un poste 3. Après ma blessure, mon corps avait changé, j'avais gonflé. Et il y avait cet effet Draymond Green : Golden State dominait la ligue américaine alors tout le monde s’est mis en quête d’un poste 4 polyvalent. J’avais des qualités de passeur et de défenseur. A Milwaukee, on a cherché à me comparer à Draymond Green. On m’avait mis dans ce rôle où je devais faire un peu de tout chez les Bucks. Depuis, ça ne m’a jamais quitté. J’ai un bon QI basket qui me permet d’être un deuxième meneur sur le terrain. Quand tu es poste 4, tu es un peu la deuxième plaque tournante de l’équipe, ça me satisfait.
A Valence, je suis passé au poste 5 par nécessité car nos deux pivots se sont blessés. Mais il n’y a pas plus de changement que ça. On m’a fait jouer à ce poste car personne d’autre ne pouvait défendre sur les postes 5 adverses. C’est l’unique raison. Ma polyvalence me permet de défendre sur plusieurs positions et de m’adapter aux joueurs autour en attaque. Je me repose sur mes qualités principales. Dans la raquette, je suis inarrêtable, il n’y a pas beaucoup de personnes qui peuvent me stopper. La raquette, c’est ma maison.
Brandon Davies, Boubacar Touré et désormais Alpha Kaba… Valence a construit une raquette un peu made in France cette année. Racontez-nous vos liens avec eux…
Brandon Davies, c’est un super ami. On a créé une excellente relation depuis qu’on est ici. C’est un très bon joueur et encore une meilleure personne. Il a cette expérience de l’Euroleague. Il connaît tous les rouages du milieu professionnel, sa carrière en atteste. Il est très important pour nous à Valence. On a perdu des matches quand il n'était pas là, ça aurait été un gros bonus de l’avoir toute l’année. Au sujet de Boubacar (Touré), sa saison a été écourtée à cause des blessures mais ça reste un très bon joueur. C’est dommage qu’il n’ait pas pu finir la saison. Alpha (Kaba) a pris la place de Bouba pour la fin de saison en Liga, c’est un très bon joueur également. On espère qu’il puisse continuer à nous apporter ce que Bouba nous a apporté, à savoir cette intensité et cette densité physique pour mieux terminer nos matches (NDLR : 2,7 points, 1,7 rebond en 8 minutes sur ses trois premiers matches, trois victoires).
Comment est la vie à Valence ?
C’est une ville sympa. Il fait bon, il fait chaud. Il y a tout ce qu’il faut. On s’y plait facilement. Il y a pas mal de Français ici.
“L’Euroleague, c’est un peu comme une secte, c’est très fermé”
Vous avez découvert l’Euroleague cette année seulement à 28 ans - en signant un contrat d’un an avec une option pour la suivante. Comment expliquer cette si longue attente ?
J’ai plusieurs théories (rires). L’Euroleague, c’est un peu comme une secte, c’est très fermé. Chaque année, tu as quelques profils indéniables qui arrivent à ce niveau parce qu’ils sortent d’une énorme saison. Ils correspondent à ce que tout le monde recherche. Je prends l’exemple de Mathias Lessort, avec qui j’ai joué à Monaco. Il remplit la case du joueur physique, poste 5 athlétique, dense. Après une bonne saison d’Eurocup, son profil correspond déjà à ce qui se fait en Euroleague.
Après, il y a des joueurs qui ne sont pas forcément très typiques de l’Euroleague, comme moi. Dans cette ligue, le poste 4 a tendance à écarter le terrain en shootant à 3-points… à quelques exceptions près comme des Toko Shengelia qui sont dominants sur d’autres secteurs de jeu. Moi, je ne suis pas un sniper. Comme je ne tire pas beaucoup à 3-points (NDLR : 28 % cette saison), les gens se demandaient ce que je savais faire d’autre. Il y a eu des doutes sur moi à ce sujet, si j’allais être capable de jouer au post-up et de faire ce que j’étais capable de faire en Eurocup à ce niveau-là. Dans mon cas, il a fallu qu’Alex (Mumbru) croit en moi. Il m’a donné cette opportunité de jouer en Euroleague et j’ai prouvé que je savais faire la même chose que dans un niveau inférieur.
Ce n’est que mon opinion mais, pour moi, une fois que tu as mis le pied dedans en Euroleague, le regard change. Que ce soit les coachs ou les GM, tout le monde veut garder son poste, ils se tournent plus souvent vers ce qu’on connaît mieux. C’est beaucoup plus facile à expliquer quand ça ne fonctionne pas. Prendre quelqu’un qui n’a pas joué en Euroleague, qui n’a pas le profil type, c’est dur à expliquer, à faire un pari dessus.
Qu’est-ce qui vous a le plus surpris en Euroleague ?
L’ajustement à la densité des matches, sur la façon de prendre soin de son corps avec autant de déplacements, autant de minutes... J’ai eu quelques pics de fatigue physique et mentale, ça s’est traduit par des performances un peu moins bonnes sur certains matches. Sinon, j’ai appris quelques trucs tactiquement. Aujourd’hui, j’ai un peu plus de bouteille. Je suis plus à l’aise car je sais comment les équipes défendent, comment le jeu se déroule.
“Si on parle de vivier, la France est dix fois meilleure. Si on parle de championnat, l’Espagne est dix fois meilleure”
Vous avez connu trois clubs différents en trois ans en Espagne (Bilbao, Gran Canaria, Valence). On voit encore cette année la densité de la course aux playoffs en Liga Endesa. Y a-t-il un championnat équivalent en Europe selon vous ?
Je le répète : aucun championnat n’équivaut à la Liga Endesa. Il n’y a aucune hiérarchie. Evidemment, Madrid et Barcelone ont les meilleures équipes sur le papier mais avec la densité des calendriers et la difficulté des matches, toutes les équipes peuvent battre toutes les autres. Ce n’est pas que le talent qui compte en Espagne, c’est aussi la préparation du match. C’est un championnat tellement homogène, très dense, très physique. En dessous de Madrid et Barcelone, il y a 8-9 équipes qui se tirent la bourre. Il n’y a pas tant d’écart que ça entre les équipes. Il n’y a aucun match facile.
Le championnat français est très physique dans le sens athlétique. En Liga ACB, on joue plus vite, le jeu est beaucoup plus rapide. La vitesse d’exécution rend le match beaucoup plus physique que la physicalité du jeu en elle-même. Et c’est très tactique : il y a beaucoup de scouting. C’est un championnat très mental. Il faut s’adapter en permanence.
La Liga Endesa est faite pour vous…
Je n’ai pas fait toutes les ligues dans le monde donc je ne sais pas laquelle me va le mieux mais je suis à l’aise avec l’ACB, oui. C’est un championnat qui me plait. Mais pour jouer ce championnat (à fond) et l’Euroleague en même temps, il faut être très costaud ! A Valence, on n’a pas l’effectif de Madrid ou Barcelone qui peut faire tourner donc c’est difficile de tout enchaîner avec les déplacements. Maintenant, on est habitué.
Le basket français est-il en train de rattraper le basket espagnol ?
Si on parle uniquement de vivier et de talent, on est dix fois meilleurs (en France) parce qu’on produit beaucoup plus de prospects. On a de meilleurs talents que les Espagnols. On les a doublés depuis des années. Ceci dit, l’Espagne a un championnat beaucoup plus attractif car il y a plusieurs équipes au budget très conséquent, le Real Madrid et le FC Barcelone en premier lieu. Ils peuvent vraiment attirer des joueurs de valeur, les meilleurs en Europe. En termes de championnat, la Liga Endesa est dix fois meilleure.
Mais c’est vrai qu’aujourd’hui, les Espagnols ont un meilleur jeu que le nôtre. La façon dont ils jouent est différente. Nous, on a beaucoup plus de talent : on se repose beaucoup plus sur nos qualités physiques et de un-contre-un. Eux, il le pallient par un énorme QI basket et une qualité de joueur d’équipe qui remplit son rôle. C’est ce qui explique en partie leur force en équipe nationale.
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Que pensez-vous de l’évolution de l’AS Monaco depuis votre titre d’Eurocup en 2021 ?
C’est bien pour eux. Ce qu’ils font, c’est remarquable. Monter comme ça dans la hiérarchie européenne, ça ne s’est pas beaucoup vu par le passé. C’est quand même énorme pour la France d’avoir un club qui arrive à ce niveau-là, parmi les meilleures équipes d’Europe. La seule chose que je regrette un petit peu - et ce n’est que mon avis - c’est que les joueurs français n’aient pas vraiment d’impact en Euroleague.
Le Real Madrid est-il intouchable cette année selon vous ?
Ils ont un effectif solide. On les a joués cinq fois cette année. Peu importe la configuration, ils trouvent toujours un moyen de gagner le match. Ils ont un collectif bien huilé. Quand ils sont au complet, c’est très difficile de jouer contre eux.
Quel est votre regard sur l’éventuelle introduction de Dubaï en Euroleague, d’une expansion de ligue à Paris ou à Londres ?
Ça va rendre l’Euroleague plus attractive. Ça va devenir un championnat mondial - si Dubaï rentre, ça ne sera plus que l’Europe - où les places seront chères (pour les joueurs). C’est toujours intéressant d’avoir des équipes qui ont les moyens et qui rendent le championnat plus attractif. Ce n’est pas une mauvaise chose de tendre vers un business beaucoup plus tangible et plus intéressant sportivement et financièrement.
“Mes années NBA m’ont permis de m’affirmer en tant qu’homme, d’avoir un regard sur le monde entier”
Maintenant que vous avez réalisé une belle carrière en Europe, quel sentiment gardez-vous de vos trois années aux Etats-Unis ?
Ça a été un moment décisif pour moi car mes années NBA m’ont permis de m’affirmer en tant qu’homme, d’avoir un regard sur le monde entier, sur l’impact d’un sportif dans la société. Grâce à la NBA, j’ai appris ce que c’était que d’être entrepreneur, comment investir son argent… Ça m’a ouvert l’esprit. Quand on est sportif, on est très vite plongé dans un monde où l’on ne voit que nous. La NBA m’a permis d’ouvrir les yeux, d’avoir un œil plus global sur tout ce qu’il se passe y compris sur l’impact racial ou financier. Aujourd’hui, je suis un homme affirmé. Je suis plus qu’un basketteur. Le basket, c’est mon gagne-pain, c’est ma passion, je fais du basket par plaisir mais je suis tout autant investi dans mon rôle de père et mes activités extra-basket.
Le saviez-vous ? Damien Inglis a été sélectionné en 31e position de la draft NBA 2014 devant notamment Nikola Jokic (41e), Walter Tavares (43e) ou encore Vasilije Micic (52e).
Quelles sont ces activités ?
Je suis entrepreneur. J’ai investi dans des restaurants en Guyane, je suis co-propriétaire de restaurants. J’ai des activités entrepreneuriales dans d’autres business en Guyane. Comme beaucoup d’autres basketteurs, j’ai investi dans la pierre (rires). Bref, j’ai essayé de diversifier mes revenus et de créer de l’économie. Je prends vraiment plaisir dans toutes ces activités. Et je ne vais pas dire que je m’investis politiquement mais j’ai un pied dans la politique en Guyane, je reste très attentif au développement du département, des DOM. C’est encore dans les papiers mais je travaille actuellement sur le projet d’une fondation. Je suis sportif, j’ai un impact énorme sur la société et notamment vis-à-vis des jeunes, qui respectent beaucoup plus les gens qui sortent du même milieu qu’eux et qui arrivent à s’en sortir. J’ai mon mot à dire. Je prends plaisir à le faire. Je veux redonner, je prends à cœur de rendre aux Domiens ce qu’ils m’ont donné - j’ai eu de très bons mentors par le passé - et je ne suis pas le seul.
“Quand j’avais 10 ans, j’ai rencontré Steeve Essart. Il a fait un speech sur ce qu’il fallait faire pour devenir athlète professionnel. Ces 15 minutes ont changé ma vie”
Vous avez cette âme de mentor…
Moi, je suis un sportif avant tout, un fan de basket. C’est important de ne pas perdre le nord, ce qui m’a amené à ce niveau. Et j’ai envie de partager comme on a partagé avec moi. Quand j’avais 10 ans, j’ai rencontré Steeve Essart, qui a été le premier basketteur guyanais à venir en France métropolitaine pour sa carrière de sportif (NDLR : pro entre 1996 et 2016). Il a fait un speech général de 15-20 minutes sur ce qu’il fallait faire pour devenir athlète professionnel. Ces 15 minutes ont changé ma vie. C’était très inspirant. Il n’avait rien dit de très exceptionnel mais je me suis inspiré de son partage d’expérience.
Je suis très axé sur l’aspect mental, le développement humain et sportif, l’impact d’un sportif à tous les niveaux dans la société : de la santé à l’esprit de cohésion. J’ai appris tout ça au cours de ma carrière et je suis entouré de personnes qui sont mes mentors mais aussi de professionnels, comme des avocats. J’ai une équipe huilée autour de moi pour continuer à me développer en tant que sportif et en tant qu’homme.
Il semble y avoir un petit creux générationnel dans le basket guyanais, qui a été porté entre autres par Kevin Séraphin, mais que pouvez-vous nous dire sur le développement du basket en Guyane ?
C’est vrai que ça fait quelques années qu’on a pas sorti de grand prospect. C’est un “grand” petit département domien assez pauvre qui est quand même beaucoup plus axé football que basket. On se donne les moyens pour sortir plus de talents au basket, on a pas mal de licenciés, on pratique le basket en Guyane… mais on aimerait beaucoup plus. On espère faire sortir beaucoup plus de talents au travers de la fondation qu’on souhaite monter dans un futur proche - on bosse sur le business plan mais tout n’est pas encore parfaitement huilé. Il faut pouvoir dénicher les talents et les mentorer car il y a beaucoup de jeunes qui se perdent en chemin.
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Vous avez fait les équipes de France jeunes. Comment expliquez-vous que vous n’ayez été lancé sous le maillot bleu qu’en novembre 2022, pour les qualif de la Coupe du monde 2023 ?
C’est un peu ma carrière. Je suis parti très jeune en NBA. Après, j’ai connu des blessures, des échecs… J’ai dû me remettre sur pied, réapprendre à jouer au basket en Europe, refaire mes gammes. Je n’étais pas prêt, pas encore assez mature pour évoluer à ce niveau-là. Le talent a toujours été là mais le problème, c’était plus la discipline que demande le haut-niveau, surtout au niveau national. Et avec le corps que j’ai, la façon dont je suis fait, je dirais que je dois faire beaucoup plus que d’autres pour être meilleur ou aussi bon que les autres. J’ai dû apprendre à devenir ou redevenir un homme discipliné. Ça a mis du temps. J’ai fini par atteindre une sorte de maturité grâce au championnat espagnol.
En février 2023, vous disiez d’ailleurs qu’il vous a fallu quitter la France et vous exiler en Espagne pour que votre travail soit enfin reconnu…
J’avais dit ça dans une interview, effectivement. Ce n’est qu’un avis personnel mais il y a du vrai là-dedans. Pour jouer dans des top équipes françaises, comme Monaco par exemple, il faut être à un niveau incroyable pour avoir un vrai rôle, avec un impact. Grâce à l’ASVEL et Monaco, le championnat français est aujourd’hui de plus en plus respecté mais il ne l’a pas toujours été. Quand je suis arrivé à Bilbao (en 2021), que j’ai fait quelques gros matches contre le Real et le Barça, j’ai de suite senti que j’étais beaucoup plus regardé et accepté. L’exposition mais aussi le fait de jouer un basket plus axé sur le jeu d’équipe et sur la confiance m’a permis de fleurir et d’atteindre l’équipe de France. Donc, oui, quelque part, il a fallu que je parte de la France, sortir du championnat, pour devenir international et faire partie des meilleurs joueurs français. La plupart d’entre eux ne jouent d’ailleurs pas en France, particulièrement en NBA et en Euroleague, ce n’est pas un secret.
Comment avez-vous vécu le fait de ne pas faire partie de la liste pour la Coupe du monde 2023 ?
Sur le moment, j’étais déçu car j’avais très envie d’y aller. J’avais très bien fini la saison à Gran Canaria (NDLR : vainqueur de l’Eurocup). Dans un deuxième temps, ça m’a motivé à faire encore plus la nouvelle saison. Malgré tout, j’ai compris pourquoi je n’y étais pas. Je n’étais pas en Euroleague : c’était dur de justifier ma présence pour une première compétition internationale avec le monde qu’il y avait à mon poste. Maintenant, je continue de jouer ma petite carte à fond et je prends ce qu’il y a à prendre.
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Malgré tout, vous avez toujours été appelé par Vincent Collet pour les fenêtres internationales depuis novembre 2022, et encore en février dernier avec l’ouverture aux joueurs d’Euroleague. Avez-vous senti une concurrence accrue en Equipe de France, sachant que c’était le dernier rassemblement avant la préparation des JO de Paris ?
Cette fenêtre n’a pas été différente des autres. Vincent (Collet) a énormément insisté sur la défense, notre agressivité sur la balle, mais son message reste le même. On a des joueurs assez intelligents pour comprendre les qualités de chacun. Pour réussir, on doit se plier aux besoins du coach. On va essayer de ramener la meilleure médaille possible, quelle que soit la composition de l’équipe.
Malgré la concurrence, notamment sur votre poste avec entre autres Guerschon Yabusele, Nicolas Batum, l’arrivée potentielle de Victor Wembanyama… Pensez-vous avoir une carte à jouer pour Paris 2024 ?
Je suis un compétiteur. Autant de sacrifices faits, ce n’est pas pour rien. Evidemment que je vais jouer ma carte à fond si je suis appelé. Vincent Collet sait que je suis disponible. Si je ne suis pas dans la liste, ma carrière continuera et je devrai me préparer pour la saison d’après, c’est aussi simple que ça.
Vous avez signé un contrat de 1+1 an à Valence mais le club n’est pas assuré de disputer l’Euroleague la saison prochaine. Serez-vous encore à Valence ?
Sincèrement, je n’en ai aucune idée. On vient tout juste de changer de coach (NDLR : interview réalisée le 9 avril dernier, quatre jours après le licenciement d’Alex Mumbru), c’est difficile de savoir dans quel sens on va se diriger. Il y a des incertitudes, y compris sur une participation à l’Euroleague. Maintenant que j’ai goûté à l’Euroleague, que je me suis montré au monde européen, j’y suis ouvert. Je veux jouer au top niveau européen. Je resterai à Valence s’il y a l’Euroleague et si le projet m’intéresse mais il est trop tôt pour avoir un avis tranché sur la question.
À moyen terme, seriez-vous intéressé pour revenir dans le championnat de France ?
Je suis ouvert à tout, je ne suis fermé à rien. A moyen terme, mon objectif reste de jouer l’Euroleague.”
L'AS Monaco (23-11) a terminé 3e de la saison régulière alors que le Fener (20-14) s'est classé sixième avec trois défaites sur les quatre derniers matches. Les deux équipes ont gagné chez elle : victoire des Turcs, 86-74, au Ulker Sports and Event Hall le 15 décembre, victoire 76-69 des Monégasques à Gaston-Médecin le 2 février. Depuis l'arrivé de la Roca Team en Euroleague lors de la saison 2021-22, le Fener mène quatre victoires à deux.
Le site du club a rassemblé quelques données et des commentaires du coach et de joueurs de la Roca Team.
Les tops 5 des scoreurs
AS Monaco :
Mike James (USA), meneur, 18,7 pts, 5,2 passes.
Elie Okobo (FRA), meneur-arrière, 10,8 pts, 3,2 passes.
Alpha Diallo (USA), arrière-ailier, 10,5 pts, 4,2 rebonds.
Jordan Loyd (USA), meneur-arrière, 10,3 pts, 2,6 rebonds.
Dontas Motiejunas (Lituanie), pivot, 8,1 pts, 3,4 rebonds.
Fenerbahçe Istanbul :
Nigel Hayes-Davis (USA), ailier, 14,4 pts, 4,7 rebonds.
Scottie Wilbekin (USA), meneur-arrière, 13,2 pts, 3,4 passes.
Johnathan Motley (USA), pivot, 11,8 pts, 4,3 rebonds.
Marko Guduric (Serbie), arrière, 9 pts, 2,6 rebonds.
Tyler Dorsey (USA), arrière, 8,9 pts, 1,6 rebonds.
Le programme de la série
Match 1 : mercredi 24 avril à 19h à Gaston-Médecin.
Match 2 : vendredi 26 avril à 19h à Gaston-Médecin.
Match 3 : mercredi 1er mai à 19h45 à Istanbul.
Match 4 éventuel : vendredi 3 mai à 19h45 à Istanbul.
Match 5 éventuel : date à déterminer, à Gaston-Médecin.
Quelques comparaisons par Darius Garuolis :
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Expe-rience.jpeg\")
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Coaches.jpeg\")
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Euroleague-age.jpeg\")
Sasa Obradovic : « Le Fener a des jokers dans toutes les positions. Le travail du coach (Sarunas Jasikevicius) est excellent, il va obtenir le maximum de ses joueurs. Ce sera une série très difficile. Ce n'est pas un joueur qui fera la différence... Hayes est un facteur clé, ils ont des pivots qui peuvent shooter, Dorsey qui monte en puissance, ce sont des joueurs NBA. Pour le Fener le Final Four est un objectif du début de saison, au vu de l'effectif, de tout l'investissement, de l’histoire. De notre côté nous avons réalisé un grand accomplissement en saison régulière mais tout le monde veut gravir un nouveau palier, aller au Final Four. Nous l'avons déjà fait la saison passée, ce serait incroyable. Il pourrait y avoir des surprises de la part des coaches, des petites choses.... La concentration, la dureté, feront la différence. »", "comment_id":"6627cb4445223900018816c9", "plaintext":"L'AS Monaco (23-11) a terminé 3e de la saison régulière alors que le Fener (20-14) s'est classé sixième avec trois défaites sur les quatre derniers matches. Les deux équipes ont gagné chez elle : victoire des Turcs, 86-74, au Ulker Sports and Event Hall le 15 décembre, victoire 76-69 des Monégasques à Gaston-Médecin le 2 février. Depuis l'arrivé de la Roca Team en Euroleague lors de la saison 2021-22, le Fener mène quatre victoires à deux.\n\nLe site du club a rassemblé quelques données et des commentaires du coach et de joueurs de la Roca Team.\n\nLes tops 5 des scoreurs\n\nAS Monaco :\nMike James (USA), meneur, 18,7 pts, 5,2 passes.\nElie Okobo (FRA), meneur-arrière, 10,8 pts, 3,2 passes.\nAlpha Diallo (USA), arrière-ailier, 10,5 pts, 4,2 rebonds.\nJordan Loyd (USA), meneur-arrière, 10,3 pts, 2,6 rebonds.\nDontas Motiejunas (Lituanie), pivot, 8,1 pts, 3,4 rebonds.\n\nFenerbahçe Istanbul : \nNigel Hayes-Davis (USA), ailier, 14,4 pts, 4,7 rebonds.\nScottie Wilbekin (USA), meneur-arrière, 13,2 pts, 3,4 passes.\nJohnathan Motley (USA), pivot, 11,8 pts, 4,3 rebonds.\nMarko Guduric (Serbie), arrière, 9 pts, 2,6 rebonds.\nTyler Dorsey (USA), arrière, 8,9 pts, 1,6 rebonds.\n\nLe programme de la série\n\nMatch 1 : mercredi 24 avril à 19h à Gaston-Médecin.\nMatch 2 : vendredi 26 avril à 19h à Gaston-Médecin.\nMatch 3 : mercredi 1er mai à 19h45 à Istanbul.\nMatch 4 éventuel : vendredi 3 mai à 19h45 à Istanbul.\nMatch 5 éventuel : date à déterminer, à Gaston-Médecin.\n\nQuelques comparaisons par Darius Garuolis :\n\nSasa Obradovic : « Le Fener a des jokers dans toutes les positions. Le travail du coach (Sarunas Jasikevicius) est excellent, il va obtenir le maximum de ses joueurs. Ce sera une série très difficile. Ce n'est pas un joueur qui fera la différence... Hayes est un facteur clé, ils ont des pivots qui peuvent shooter, Dorsey qui monte en puissance, ce sont des joueurs NBA. Pour le Fener le Final Four est un objectif du début de saison, au vu de l'effectif, de tout l'investissement, de l’histoire. De notre côté nous avons réalisé un grand accomplissement en saison régulière mais tout le monde veut gravir un nouveau palier, aller au Final Four. Nous l'avons déjà fait la saison passée, ce serait incroyable. Il pourrait y avoir des surprises de la part des coaches, des petites choses.... La concentration, la dureté, feront la différence. »\n\nJaron Blossomgame : « Les deux équipes peuvent gagner à l’extérieur. Nous étions la deuxième meilleure équipe en déplacement cette saison derrière Madrid, avec 10 victoires. De leur côté ils ont été incroyablement efficaces à la maison (15-2), mais nous avons de l’expérience, nous savons quel sera le contexte là-bas, nous pouvons l’affronter. En premier lieu, nous allons tout faire pour faire la différence à la maison, avec le soutien de nos fans. Je pense que ce sera encore énormément intense mais une série orientée davantage sur la défense. Le Maccabi est une équipe au gros impact offensif, comme nous, le Fener a plus de puissance en défense que le Maccabi. Je ne m’attends pas à de gros scores, je pense que ce sera beaucoup plus physique, un basket dur, sans concession, et je pense que l’équipe la plus solide l’emportera. Le rebond sera déterminant ainsi que tous les détails qui font la décision dans les grandes batailles. »\n\nJordan Loyd : « Dans l'ensemble, nous nous sentons bien. Nous sommes confiants. Nous attendons ce moment avec impatience depuis deux semaines, c'est donc excitant. Nous sommes tout simplement ravis d'être de retour en playoffs, et nous espérons une grande opportunité. Nous sommes en très bonne position. L'équipe est en excellente position. Tout le monde est très motivé et prêt pour demain. Fener est une grande équipe, évidemment. Une équipe bien entraînée, une équipe très physique, une grande équipe. Ils vous lancent beaucoup de choses différentes, offensivement et défensivement. Nous devons donc communiquer. Nous devons être au point, nous devons être vifs et nous devons jouer dur. Nous devons faire les petites choses vraiment bien. Il faut donc être capable de s'ajuster, de s'adapter, de communiquer avec ses coéquipiers. C'est un effort d'équipe, pas seulement d'une personne. Pour l'instant, nous ne pensons qu'au premier match. C'est tout ce qui nous préoccupe. Nous sommes heureux de jouer à domicile et nous allons en profiter. »\n\nAlpha Diallo : « Nous sommes sur la même longueur d'onde, nous connaissons l'objectif et nous travaillons pour atteindre le Final Four. C’est toujours un match très serré quand nous jouons contre Fenerbahçe. Je pense que c'est une équipe très dure et physique, donc nous savons que nous devons faire face à cette énergie, et nous aurons le public derrière nous sur notre terrain, donc nous devons y aller et faire le travail. Ils ont de très grands arrières et une très grande présence à l'intérieur. Nous devons être à la hauteur de cette intensité et être prêts à jouer. Nous avons eu beaucoup de temps pour nous préparer. Nous connaissons déjà cette équipe parce que nous l'avons déjà jouée plusieurs fois. J'ai l'impression que ce sera une bonne série. Nous avons notre public derrière nous, l'avantage du terrain, alors nous devons en profiter. Nous n'avons pas le plus grand nombre de supporters en Euroleague, mais nous avons certains des meilleurs supporters. Nous sommes ravis de les avoir, et nous avons hâte de les voir se déchaîner avec nous ce mercredi. »\n\nDonatas Motiejunas : « Nous travaillons toute l'année pour ce genre de moment. Ce qui est fou, c'est que ces moments passent très vite. On a l'impression que la saison est si longue. Il faut se battre chaque semaine, parfois deux fois par semaine, surtout en Euroleague. Puis, lorsque les playoffs arrivent, tout s’enchaîne. Il suffit de regarder le tableau de l'EuroLeague et de voir quelles équipes n'ont pas réussi à se qualifier, avec quel type de talent. Je pense que c'est un privilège pour nous. Je pense que nous avons encore vécu une année extraordinaire. Nous sommes encore mieux préparés cette année que l'année dernière. Je pense que le Fener est une équipe terrible, forte, avec un entraîneur extraordinaire. Il est très précis, très tactique. Ce sera une bataille physique très forte entre deux équipes aux styles différents Je pense que pour les fans, cela va être un énorme divertissement. Je m'attends à ce que nos supporters viennent prêts à applaudir, à crier et à transpirer parce que nous aurons besoin d'eux dans notre dos, c'est certain. Ce sont eux qui nous donnent de l'énergie. 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Jaron Blossomgame : « Les deux équipes peuvent gagner à l’extérieur. Nous étions la deuxième meilleure équipe en déplacement cette saison derrière Madrid, avec 10 victoires. De leur côté ils ont été incroyablement efficaces à la maison (15-2), mais nous avons de l’expérience, nous savons quel sera le contexte là-bas, nous pouvons l’affronter. En premier lieu, nous allons tout faire pour faire la différence à la maison, avec le soutien de nos fans. Je pense que ce sera encore énormément intense mais une série orientée davantage sur la défense. Le Maccabi est une équipe au gros impact offensif, comme nous, le Fener a plus de puissance en défense que le Maccabi. Je ne m’attends pas à de gros scores, je pense que ce sera beaucoup plus physique, un basket dur, sans concession, et je pense que l’équipe la plus solide l’emportera. Le rebond sera déterminant ainsi que tous les détails qui font la décision dans les grandes batailles. »
Jordan Loyd : « Dans l'ensemble, nous nous sentons bien. Nous sommes confiants. Nous attendons ce moment avec impatience depuis deux semaines, c'est donc excitant. Nous sommes tout simplement ravis d'être de retour en playoffs, et nous espérons une grande opportunité. Nous sommes en très bonne position. L'équipe est en excellente position. Tout le monde est très motivé et prêt pour demain. Fener est une grande équipe, évidemment. Une équipe bien entraînée, une équipe très physique, une grande équipe. Ils vous lancent beaucoup de choses différentes, offensivement et défensivement. Nous devons donc communiquer. Nous devons être au point, nous devons être vifs et nous devons jouer dur. Nous devons faire les petites choses vraiment bien. Il faut donc être capable de s'ajuster, de s'adapter, de communiquer avec ses coéquipiers. C'est un effort d'équipe, pas seulement d'une personne. Pour l'instant, nous ne pensons qu'au premier match. C'est tout ce qui nous préoccupe. Nous sommes heureux de jouer à domicile et nous allons en profiter. »
Alpha Diallo : « Nous sommes sur la même longueur d'onde, nous connaissons l'objectif et nous travaillons pour atteindre le Final Four. C’est toujours un match très serré quand nous jouons contre Fenerbahçe. Je pense que c'est une équipe très dure et physique, donc nous savons que nous devons faire face à cette énergie, et nous aurons le public derrière nous sur notre terrain, donc nous devons y aller et faire le travail. Ils ont de très grands arrières et une très grande présence à l'intérieur. Nous devons être à la hauteur de cette intensité et être prêts à jouer. Nous avons eu beaucoup de temps pour nous préparer. Nous connaissons déjà cette équipe parce que nous l'avons déjà jouée plusieurs fois. J'ai l'impression que ce sera une bonne série. Nous avons notre public derrière nous, l'avantage du terrain, alors nous devons en profiter. Nous n'avons pas le plus grand nombre de supporters en Euroleague, mais nous avons certains des meilleurs supporters. Nous sommes ravis de les avoir, et nous avons hâte de les voir se déchaîner avec nous ce mercredi. »
Donatas Motiejunas : « Nous travaillons toute l'année pour ce genre de moment. Ce qui est fou, c'est que ces moments passent très vite. On a l'impression que la saison est si longue. Il faut se battre chaque semaine, parfois deux fois par semaine, surtout en Euroleague. Puis, lorsque les playoffs arrivent, tout s’enchaîne. Il suffit de regarder le tableau de l'EuroLeague et de voir quelles équipes n'ont pas réussi à se qualifier, avec quel type de talent. Je pense que c'est un privilège pour nous. Je pense que nous avons encore vécu une année extraordinaire. Nous sommes encore mieux préparés cette année que l'année dernière. Je pense que le Fener est une équipe terrible, forte, avec un entraîneur extraordinaire. Il est très précis, très tactique. Ce sera une bataille physique très forte entre deux équipes aux styles différents Je pense que pour les fans, cela va être un énorme divertissement. Je m'attends à ce que nos supporters viennent prêts à applaudir, à crier et à transpirer parce que nous aurons besoin d'eux dans notre dos, c'est certain. Ce sont eux qui nous donnent de l'énergie. Si je me souviens bien du cinquième match de l'année dernière, ils nous soulèvent vraiment. »
Nom | Prénom | Née le | Ranking FIBA | Club |
LIMOUZIN | Hortense | 01/07/1998 | 18 | Groupe de Préparation Olympique* |
DJEKOUNDADE | Myriam | 02/01/1998 | 21 | Groupe de Préparation Olympique* |
NGO NDJOCK | Anna | 14/01/1999 | 66 | Groupe de Préparation Olympique* |
PAGET | Marie-Eve | 28/11/1994 | 39 | Groupe de Préparation Olympique* |
L’Équipe de France féminine 3x3 lance sa saison ce mercredi aux États-Unis avec la première étape du circuit international FIBA 3x3 Women’s Series. La première des dix-neuf étapes du circuit devrait permettre aux Bleues de se jauger face à certaines des meilleures équipes du monde. En effet, le Canada, l’Allemagne et Porto Rico seront de la partie tout les Etats-Unis, champions du monde en titre.
A quelques mois des Jeux Olympiques et quelques jours des différents Tournois de Qualification Olympique, cette étape américaine sera l’occasion pour de nombreux pays de tester ses joueuses et évaluer la concurrence au plus haut niveau mondial. Afin de pouvoir préserver les organismes au maximum cet été et pour répondre aux règles de la FIBA, le coach Yann Julien a composé un groupe de 6 joueuses qui défendra les couleurs de la France sur les différentes étapes du circuit cette saison.
Le circuit mondial féminin fera escale en France pour cinq étapes cette saison menant aux FIBA 3x3 Women’s Series Finals. Vainqueur de l’édition 2019 et finaliste en 2022 et 2023, la France peut nourrir de grandes ambitions dans la compétition. La saison dernière les Bleues s’étaient qualifiées pour la finale mondiale du circuit grâce notamment à leurs trois victoires obtenues sur les étapes de Bordeaux, Clermont-Ferrand et Marseille.
Composition du groupe :
\n\nNom | Prénom | Née le | Ranking FIBA | Club |
LIMOUZIN | Hortense | 01/07/1998 | 18 | Groupe de Préparation Olympique* |
DJEKOUNDADE | Myriam | 02/01/1998 | 21 | Groupe de Préparation Olympique* |
NGO NDJOCK | Anna | 14/01/1999 | 66 | Groupe de Préparation Olympique* |
PAGET | Marie-Eve | 28/11/1994 | 39 | Groupe de Préparation Olympique* |
Entraineur : Yann Julien
Retrouvez le programme complet du Women’s Series de Springfield en cliquant ici
Toutes les rencontres seront à suivre en direct sur YouTube.com/FIBA3x3
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La saison dernière les Bleues s’étaient qualifiées pour la finale mondiale du circuit grâce notamment à leurs trois victoires obtenues sur les étapes de Bordeaux, Clermont-Ferrand et Marseille.\n\nComposition du groupe :\n\n\n\nNom\n\nPrénom\n\nNée le\n\nRanking FIBA\n\nClub\n\nLIMOUZIN\n\nHortense\n\n01/07/1998\n\n18\n\nGroupe de Préparation Olympique*\n\nDJEKOUNDADE\n\nMyriam\n\n02/01/1998\n\n21\n\nGroupe de Préparation Olympique*\n\nNGO NDJOCK\n\nAnna\n\n14/01/1999\n\n66\n\nGroupe de Préparation Olympique*\n\nPAGET\n\nMarie-Eve\n\n28/11/1994\n\n39\n\nGroupe de Préparation Olympique*\n\n\n\nEntraineur : Yann Julien\n\nRetrouvez le programme complet du Women’s Series de Springfield en cliquant ici\n\nToutes les rencontres seront à suivre en direct sur YouTube.com/FIBA3x3", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/marie-eve-paget.webp", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-23T15:21:47.000Z", "updated_at":"2024-04-23T15:28:30.000Z", "published_at":"2024-04-23T15:28:30.000Z", "custom_excerpt":"Hortense Limouzin, Myriam Djekoundade, Anna Ngo Ndjock et Marie-Eve Paget ont été retenues pour disputer la première étape des FIBA 3x3 Women's Series qui aura lieu à Springfield (États-Unis), les 23 et 24 avril.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6627f184452239000188178b", "uuid":"1a70b265-2dfa-4f4c-ac31-3913a14cb50d", "title":"Euroleague : Le Maccabi Tel-Aviv surprend le Panathinaïkos et reprend déjà l'avantage du terrain !", "slug":"euroleague-panathinaikos-maccabi-tel-aviv", "mobiledoc":null, "lexical":"{\"root\":{\"children\":[{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"On leur promettait l'enfer dans une OAKA Arena surchauffée ce mardi. 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— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 23, 2024
On leur promettait l'enfer dans une OAKA Arena surchauffée ce mardi. Mais ni le contexte, ni l'adversité solide proposée par le Panathinaïkos n'ont suffi à faire trembler le Maccabi Tel-Aviv à l'occasion de ce premier match des quarts de finale de l'Euroleague. Menés pendant la majeure partie du match mais jamais décrochés, les Israéliens ont ressurgi dans le dernier quart-temps pour arracher la victoire contre toute attente dans la capitale grecque (87-91).
Meilleure attaque de la compétition cette saison, la troupe menée par Oded Kattash faisait honneur à sa réputation en imposant son jeu rapide dès les premiers instants. Mais le Pana ne se laissait pas décrocher, tenant le rythme offensif de son adversaire dans le premier quart-temps (25-26) avant de faire preuve de davantage de contrôle ensuite. Auteurs d'un impeccable 11/11 à deux points dans la première moitié du match, l'excellent Mathias Lessort (22 points, 6 rebonds) et ses coéquipiers rentraient aux vestiaires avec de l'avance au tableau d'affichage (50-42).
Avec un Kostas Sloukas en mode chef d'orchestre (12 points, 13 passes décisives), l'attaque grecque ne ralentissait pas après la pause. En face, Lorenzo Brown (16 points) et ses coéquipiers s'accrochaient sans parvenir à recoller complètement dans le troisième quart (70-63). Mais Tel-Aviv accentuait encore sa pression en égalisant dès le début de l'ultime période (73-73). Même la sortie sur blessure de leur leader Wade Baldwin (15 points, 7 passes décisives) ne déstabilisait pas la dynamique positive des hommes d'Oded Kattash, qui prenaient l'avantage.
Tout se jouait finalement dans la dernière minute, avec un panier décisif de Lorenzo Brown suivi d'une perte de balle fatale de Kostas Sloukas. À force de ne pas arriver à faire l'écart, le Panathinaïkos a été puni par une équipe du Maccabi Tel-Aviv qui n'a jamais cessé de croire à la victoire ce mardi (87-91). Un succès d'une importance fondamentale pour les Israéliens, qui reprennent l'avantage du terrain aux Grecs. Deuxièmes du classement de la saison régulière, ces derniers se retrouvent désormais sous pression et devront impérativement remporter leur deuxième match à domicile jeudi pour ne pas se rapprocher d'une élimination prématurée.
\nWOW! Who saw that coming? @MaccabiTLVBC take Game One in Athens! #EveryGameMatters pic.twitter.com/T8mCFRONpZ
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Boxscore Panathinaïkos - Maccabi Tel-Aviv / Calendrier Playoffs Euroleague
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Auteurs d'un impeccable 11/11 à deux points dans la première moitié du match, l'excellent Mathias Lessort (22 points, 6 rebonds) et ses coéquipiers rentraient aux vestiaires avec de l'avance au tableau d'affichage (50-42).\n\n\nLe Maccabi ne lâche rien\n\nAvec un Kostas Sloukas en mode chef d'orchestre (12 points, 13 passes décisives), l'attaque grecque ne ralentissait pas après la pause. En face, Lorenzo Brown (16 points) et ses coéquipiers s'accrochaient sans parvenir à recoller complètement dans le troisième quart (70-63). Mais Tel-Aviv accentuait encore sa pression en égalisant dès le début de l'ultime période (73-73). Même la sortie sur blessure de leur leader Wade Baldwin (15 points, 7 passes décisives) ne déstabilisait pas la dynamique positive des hommes d'Oded Kattash, qui prenaient l'avantage.\n\nTout se jouait finalement dans la dernière minute, avec un panier décisif de Lorenzo Brown suivi d'une perte de balle fatale de Kostas Sloukas. À force de ne pas arriver à faire l'écart, le Panathinaïkos a été puni par une équipe du Maccabi Tel-Aviv qui n'a jamais cessé de croire à la victoire ce mardi (87-91). Un succès d'une importance fondamentale pour les Israéliens, qui reprennent l'avantage du terrain aux Grecs. Deuxièmes du classement de la saison régulière, ces derniers se retrouvent désormais sous pression et devront impérativement remporter leur deuxième match à domicile jeudi pour ne pas se rapprocher d'une élimination prématurée.\n\nWOW! Who saw that coming? @MaccabiTLVBC take Game One in Athens! #EveryGameMatters pic.twitter.com/T8mCFRONpZ\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 23, 2024\n\n\nBoxscore Panathinaïkos - Maccabi Tel-Aviv / Calendrier Playoffs Euroleague", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Lorenzo-Brown-Euroleague.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-23T17:36:04.000Z", "updated_at":"2024-04-23T19:53:20.000Z", "published_at":"2024-04-23T19:53:20.000Z", "custom_excerpt":"Longtemps mené au score dans le premier match de ces quarts de finale de l'Euroleague ce mardi, le Maccabi Tel-Aviv est parvenu à renverser le Panathinaïkos dans le dernier quart-temps ! 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En tête de bout en bout, les hommes de Chus Mateo ont même mis un bel éclat à l'équipe de Dusko Ivanovic, complètement dominée dans cette rencontre (90-74). \",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Les Merengue ont mis la main sur la rencontre dès les premières minutes avec un 8-2 initial. Ils dépassaient rapidement la dizaine de points d'avance (25-11) avant de voir leur adversaire basque rentrer dans son match (26-17 à la fin du premier quart-temps). Rien de bien inquiétant pour Dzanan Musa (16 points, 3 rebonds, 3 passes décisives) et ses partenaires, qui repartaient rapidement de l'avant pour mener de 11 points à mi-parcours (48-37).\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":1,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Un match à sens unique\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"extended-heading\",\"version\":1,\"tag\":\"h3\"}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Le retour des vestiaires ressemblait beaucoup au début de match, avec un Real Madrid conquérant et décidé à envoyer son adversaire dans les cordes. Collectifs (21 passes décisives) et adroits à trois points (42,4 % de réussite), les Madrilènes se détachaient inexorablement (70-53). Du côté de Baskonia, Markus Howard (15 points) et Matthew Costello (14 points, 6 rebonds, 3 passes décisives) se démenaient mais cela était bien insuffisant face à l'armada adverse. \",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Alors que le sort de la rencontre était scellé, \",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Vincent Poirier\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"link\",\"version\":1,\"rel\":\"noreferrer\",\"target\":null,\"title\":null,\"url\":\"__GHOST_URL__/vincent-poirier-le-real-madrid-cest-quelque-chose-de-dingue/\"}, {\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\" (10 points, 7 rebonds) se distinguait, Sergio Llull dépassait Juan Carlos Navarro au classement des joueurs ayant inscrit le plus de tirs à trois points dans l'histoire de l'Euroleague et le Real Madrid gérait proprement les derniers instants de la rencontre (90-74). Un premier match sans grand frisson pour le champion d'Europe en titre, qui a fait respecter son statut contre le 8e de la saison régulière. De son côté, Baskonia se tourne déjà vers le deuxième match dans la capitale espagnole ce jeudi, en sachant qu'il faudra faire bien mieux pour mettre en danger ce Real là sur son parquet.\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"type\":\"embed\",\"version\":1,\"url\":\"https://twitter.com/EuroLeague/status/1782873215385112736\",\"embedType\":\"twitter\",\"html\":\"\\n\\n\\n\",\"metadata\":{\"url\":\"https://twitter.com/EuroLeague/status/1782873215385112736\",\"author_name\":\"Turkish Airlines EuroLeague\",\"author_url\":\"https://twitter.com/EuroLeague\",\"html\":\"On a night that saw Sergio Llull become the competition's all-time leader in three-pointers made, @RMBaloncesto cruised to a 90-74 victory over @Baskonia to a 1-0 lead in their best-of-five series
— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 23, 2024
Baskonia will try to regroup for Game 2 on Thursday pic.twitter.com/3rpSmB760L
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— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 23, 2024
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Après avoir survolé la saison régulière de l'Euroleague, le Real Madrid attaquait enfin les choses sérieuses dans la défense de son titre avec le premier match de son quart de finale contre Baskonia. Une formalité pour l'équipe de la capitale, qui n'a laissé aucune chance à son adversaire dans cet duel entre équipes espagnoles. En tête de bout en bout, les hommes de Chus Mateo ont même mis un bel éclat à l'équipe de Dusko Ivanovic, complètement dominée dans cette rencontre (90-74).
Les Merengue ont mis la main sur la rencontre dès les premières minutes avec un 8-2 initial. Ils dépassaient rapidement la dizaine de points d'avance (25-11) avant de voir leur adversaire basque rentrer dans son match (26-17 à la fin du premier quart-temps). Rien de bien inquiétant pour Dzanan Musa (16 points, 3 rebonds, 3 passes décisives) et ses partenaires, qui repartaient rapidement de l'avant pour mener de 11 points à mi-parcours (48-37).
Le retour des vestiaires ressemblait beaucoup au début de match, avec un Real Madrid conquérant et décidé à envoyer son adversaire dans les cordes. Collectifs (21 passes décisives) et adroits à trois points (42,4 % de réussite), les Madrilènes se détachaient inexorablement (70-53). Du côté de Baskonia, Markus Howard (15 points) et Matthew Costello (14 points, 6 rebonds, 3 passes décisives) se démenaient mais cela était bien insuffisant face à l'armada adverse.
Alors que le sort de la rencontre était scellé, Vincent Poirier (10 points, 7 rebonds) se distinguait, Sergio Llull dépassait Juan Carlos Navarro au classement des joueurs ayant inscrit le plus de tirs à trois points dans l'histoire de l'Euroleague et le Real Madrid gérait proprement les derniers instants de la rencontre (90-74). Un premier match sans grand frisson pour le champion d'Europe en titre, qui a fait respecter son statut contre le 8e de la saison régulière. De son côté, Baskonia se tourne déjà vers le deuxième match dans la capitale espagnole ce jeudi, en sachant qu'il faudra faire bien mieux pour mettre en danger ce Real là sur son parquet.
\nOn a night that saw Sergio Llull become the competition's all-time leader in three-pointers made, @RMBaloncesto cruised to a 90-74 victory over @Baskonia to a 1-0 lead in their best-of-five series
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Boxscore Real Madrid - Baskonia / Calendrier Playoffs Euroleague
", "comment_id":"6628136a452239000188180b", "plaintext":"Après avoir survolé la saison régulière de l'Euroleague, le Real Madrid attaquait enfin les choses sérieuses dans la défense de son titre avec le premier match de son quart de finale contre Baskonia. Une formalité pour l'équipe de la capitale, qui n'a laissé aucune chance à son adversaire dans cet duel entre équipes espagnoles. En tête de bout en bout, les hommes de Chus Mateo ont même mis un bel éclat à l'équipe de Dusko Ivanovic, complètement dominée dans cette rencontre (90-74).\n\nLes Merengue ont mis la main sur la rencontre dès les premières minutes avec un 8-2 initial. Ils dépassaient rapidement la dizaine de points d'avance (25-11) avant de voir leur adversaire basque rentrer dans son match (26-17 à la fin du premier quart-temps). Rien de bien inquiétant pour Dzanan Musa (16 points, 3 rebonds, 3 passes décisives) et ses partenaires, qui repartaient rapidement de l'avant pour mener de 11 points à mi-parcours (48-37).\n\n\nUn match à sens unique\n\nLe retour des vestiaires ressemblait beaucoup au début de match, avec un Real Madrid conquérant et décidé à envoyer son adversaire dans les cordes. Collectifs (21 passes décisives) et adroits à trois points (42,4 % de réussite), les Madrilènes se détachaient inexorablement (70-53). Du côté de Baskonia, Markus Howard (15 points) et Matthew Costello (14 points, 6 rebonds, 3 passes décisives) se démenaient mais cela était bien insuffisant face à l'armada adverse.\n\nAlors que le sort de la rencontre était scellé, Vincent Poirier (10 points, 7 rebonds) se distinguait, Sergio Llull dépassait Juan Carlos Navarro au classement des joueurs ayant inscrit le plus de tirs à trois points dans l'histoire de l'Euroleague et le Real Madrid gérait proprement les derniers instants de la rencontre (90-74). Un premier match sans grand frisson pour le champion d'Europe en titre, qui a fait respecter son statut contre le 8e de la saison régulière. De son côté, Baskonia se tourne déjà vers le deuxième match dans la capitale espagnole ce jeudi, en sachant qu'il faudra faire bien mieux pour mettre en danger ce Real là sur son parquet.\n\nOn a night that saw Sergio Llull become the competition's all-time leader in three-pointers made, @RMBaloncesto cruised to a 90-74 victory over @Baskonia to a 1-0 lead in their best-of-five series\n\nBaskonia will try to regroup for Game 2 on Thursday pic.twitter.com/3rpSmB760L\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 23, 2024\n\n\nBoxscore Real Madrid - Baskonia / Calendrier Playoffs Euroleague", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Facundo-Campazzo-Codi-Miller-McIntyre-Euroleague.png", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-23T20:00:42.000Z", "updated_at":"2024-04-23T20:54:58.000Z", "published_at":"2024-04-23T20:54:58.000Z", "custom_excerpt":"Meilleure équipe de l'Euroleague cette saison et grand favori de la compétition, le Real Madrid a assumé son statut en s'imposant largement pour son premier match des quarts de finale face à Baskonia (90-74). Une victoire incontestable qui lance bien les Madrilènes dans cette série 100% espagnole.", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6628a1574522390001881873", "uuid":"3ffb140f-f685-4234-a19a-24a28bb39f91", "title":"Betclic Elite : Limoges et Chalon valident le maintien !", "slug":"betclic-elite-chalon-et-limoges-valident-le-maintien", "mobiledoc":null, "lexical":"{\"root\":{\"children\":[{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"A trois journées de la fin, Limoges et Chalon-sur-Saône peuvent souffler : le maintien dans l’élite est validé. Le CSP a réussi un joli tour de force contre le BCM Gravelines-Dunkerque, qui pouvait aussi faire un pas vers le maintien en cas de victoire (88-63). Il n’en a rien été, la faute à leur maladresse extérieure (5/21 à 3-points) mais surtout à un Nicolas Lang de gala (26 points à 8/13 aux tirs et 7/7 aux lancers, 3 rebonds et 3 passes décisives pour 27 d’évaluation en 30 minutes).\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"type\":\"embed\",\"version\":1,\"url\":\"https://twitter.com/limogescsp/status/1782846725062832539\",\"embedType\":\"twitter\",\"html\":\"\\n\\n\\n\",\"metadata\":{\"url\":\"https://twitter.com/limogescsp/status/1782846725062832539\",\"author_name\":\"Limoges CSP\",\"author_url\":\"https://twitter.com/limogescsp\",\"html\":\"⚪️⚪️🟢⚪️ 7’55
— Limoges CSP (@limogescsp) April 23, 2024
Lucaaaaas c’est quoi ce truc ???!!🤯
44-28 pic.twitter.com/CyeWFjSsIr
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— Limoges CSP (@limogescsp) April 23, 2024
Lucaaaaas c’est quoi ce truc ???!!🤯
44-28 pic.twitter.com/CyeWFjSsIr
A trois journées de la fin, Limoges et Chalon-sur-Saône peuvent souffler : le maintien dans l’élite est validé. Le CSP a réussi un joli tour de force contre le BCM Gravelines-Dunkerque, qui pouvait aussi faire un pas vers le maintien en cas de victoire (88-63). Il n’en a rien été, la faute à leur maladresse extérieure (5/21 à 3-points) mais surtout à un Nicolas Lang de gala (26 points à 8/13 aux tirs et 7/7 aux lancers, 3 rebonds et 3 passes décisives pour 27 d’évaluation en 30 minutes).
\n⚪️⚪️🟢⚪️ 7’55
— Limoges CSP (@limogescsp) April 23, 2024
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Même constat pour l'Élan qui a non seulement validé son maintien mais aussi resserré l’étau autour de Blois, qui compte deux victoires de retard sur Gravelines, 15e et premier non-relégable, tandis que le BCM pourrait voir revenir la Chorale en cas de faux pas au prochain match. Les coéquipiers de Milan Barbitch (13 points) ont laissé échapper une avance de 9 points dans le dernier quart-temps pour s'incliner en prolongation (92-95), subissant le coup de chaud de Demonte Harper (36 points à 11/20 aux tirs, 5 rebonds, 29 d’éval en 38 minutes).
Quatre équipes vont continuer de se confronter à distance (Dijon, Gravelines-Dunkerque, Roanne et Blois) pour éviter de terminer parmi les deux équipes relégables qui accompagneront Boulogne-Levallois en Pro B.
Résultats / Classement Betclic Elite
", "comment_id":"6628a1574522390001881873", "plaintext":"A trois journées de la fin, Limoges et Chalon-sur-Saône peuvent souffler : le maintien dans l’élite est validé. Le CSP a réussi un joli tour de force contre le BCM Gravelines-Dunkerque, qui pouvait aussi faire un pas vers le maintien en cas de victoire (88-63). Il n’en a rien été, la faute à leur maladresse extérieure (5/21 à 3-points) mais surtout à un Nicolas Lang de gala (26 points à 8/13 aux tirs et 7/7 aux lancers, 3 rebonds et 3 passes décisives pour 27 d’évaluation en 30 minutes).\n\n⚪️⚪️🟢⚪️ 7’55\n\nLucaaaaas c’est quoi ce truc ???!!🤯\n\n44-28 pic.twitter.com/CyeWFjSsIr\n\n— Limoges CSP (@limogescsp) April 23, 2024\n\n\nMême constat pour l'Élan qui a non seulement validé son maintien mais aussi resserré l’étau autour de Blois, qui compte deux victoires de retard sur Gravelines, 15e et premier non-relégable, tandis que le BCM pourrait voir revenir la Chorale en cas de faux pas au prochain match. Les coéquipiers de Milan Barbitch (13 points) ont laissé échapper une avance de 9 points dans le dernier quart-temps pour s'incliner en prolongation (92-95), subissant le coup de chaud de Demonte Harper (36 points à 11/20 aux tirs, 5 rebonds, 29 d’éval en 38 minutes).\n\nQuatre équipes vont continuer de se confronter à distance (Dijon, Gravelines-Dunkerque, Roanne et Blois) pour éviter de terminer parmi les deux équipes relégables qui accompagneront Boulogne-Levallois en Pro B.\n\nRésultats / Classement Betclic Elite", "feature_image":"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Nicolas-Lang-15-Limoges-CSP-Tuan-Nguyen.jpeg", "featured":0, "type":"post", "status":"published", "locale":null, "visibility":"public", "email_recipient_filter":"all", "created_at":"2024-04-24T06:06:15.000Z", "updated_at":"2024-04-24T06:09:51.000Z", "published_at":"2024-04-24T06:09:51.000Z", "custom_excerpt":"La 31e journée de Betclic Elite a officiellement validé le maintien du Limoges CSP et de l'Élan Chalon, vainqueurs de Gravelines-Dunkerque (88-63) et de Blois (92-95, a.p.).", "codeinjection_head":null, "codeinjection_foot":null, "custom_template":null, "canonical_url":null, "newsletter_id":null, "show_title_and_feature_image":1}, { "id":"6628a75e452239000188188c", "uuid":"0823b253-593d-49f9-b430-ee22bdaa2edc", "title":"LFB : Villeneuve d’Ascq et Lattes-Montpellier dans le dernier carré", "slug":"lfb-villeneuve-dascq-et-lattes-montpellier-dans-le-dernier-carre", "mobiledoc":null, "lexical":"{\"root\":{\"children\":[{\"children\":[{\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":8,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"Après Basket Landes et Tarbes\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"link\",\"version\":1,\"rel\":null,\"target\":null,\"title\":null,\"url\":\"__GHOST_URL__/tarbes-le-triomphe-de-la-jeunesse/\"}, {\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\", Villeneuve d’Ascq et Lattes-Montpellier ont obtenu leur ticket pour la demi-finale de la Ligue Féminine. Ce mardi soir au Palacium, l’ESBVA, déjà vainqueur de 9 points à l’aller, n'a laissé aucun espoir à Angers (100-91). Avec cinq joueuses à plus de 10 points, le collectif nordiste a fait déjouer l'UFAB 49 d'une Julie Wojta trop seule (23 points à 9/14 au tir) pour parvenir à renverser la vapeur en terre adverse.\",\"type\":\"extended-text\",\"version\":1}],\"direction\":\"ltr\",\"format\":\"\",\"indent\":0,\"type\":\"paragraph\",\"version\":1}, {\"children\":[{\"detail\":0,\"format\":0,\"mode\":\"normal\",\"style\":\"\",\"text\":\"C’est par la grande porte que la double MVP en titre du championnat de France, Kennedy Burke, boucle son aventure villeneuvoise (20 points à 8/14 aux tirs). 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Ce mardi soir au Palacium, l’ESBVA, déjà vainqueur de 9 points à l’aller, n'a laissé aucun espoir à Angers (100-91). Avec cinq joueuses à plus de 10 points, le collectif nordiste a fait déjouer l'UFAB 49 d'une Julie Wojta trop seule (23 points à 9/14 au tir) pour parvenir à renverser la vapeur en terre adverse.
C’est par la grande porte que la double MVP en titre du championnat de France, Kennedy Burke, boucle son aventure villeneuvoise (20 points à 8/14 aux tirs). L’ailière américaine va partir à la conquête de la WNBA avec le New York Liberty et ses coéquipières devront faire sans elle.
Les vice-championnes d'Europe rejoignent ainsi Lattes-Montpellier dans le dernier carré. Malgré leur défaite au match retour (64-75), les Gazelles ont décroché leur qualification en parvenant à conserver leur avance de 15 points à l’aller contre le promu, Charnay (62-77).
Elles peuvent remercier Élodie Naigre (26 points à 11/13 et 9 rebonds), qui a - entre autres - sécurisé la qualification à 24 secondes du buzzer en se jetant sur la balle pour obtenir la dernière possession. Le conte de fées s’arrête ainsi en quarts-de-finale pour Charnay, à 4 petits points d’un dernier carré.
Ligue Féminine - Résultats des quarts de finale
Basket Landes (3) - Lyon (6) : 89-67 / 79-60 / Basket Landes qualifié 168-127
Bourges (2) - Tarbes (5) : 87-69 / 98-83 / Tarbes qualifié 170-167
Lattes Montpellier (4) - Charnay (5) : 77-62 / 64-75 / Lattes-Montpellier qualifié 141-137
Villeneuve d’Ascq (1) - Angers (8) : 82-73 / 100-91 / Villeneuve d'Ascq qualifié 182-164
La FFBB a dévoilé ce mardi soir, après la fin de la deuxième phase de la troisième division française masculine, les lauréats de ses trophées individuels. Parmi le cinq majeur, on retrouve deux champions de France avec Hyères-Toulon, le meneur Théo Lefebvre et le pivot Quentin Losser, mais aussi les anciens de LNB, Valentin Bigote (Le Havre) et Jazzmarr Ferguson (Saint-Vallier). Un quatuor complété par le MVP de la saison régulière, Aaron Levarity.
Valeur sûre du collectif de Fabien Anthonioz sur le plan défensif et offensif (57,9% au tir), énorme rebondeur (18 doubles-doubles réalisés cette saison) et leader de la statistique en NM1 (11,6 prises par match), l’intérieur de 27 ans de Boulogne-sur-Mer est tout simplement la meilleure évaluation du championnat. L’international bahaméen s’est imposé comme une valeur sûre de la NM1, lui qui était arrivé à Lyon SO la saison précédente après avoir lancé sa carrière au Danemark. Il succède au palmarès à Joe Burton.
Outre le titre de meilleur entraîneur, qui - on le savait déjà - revient à Jean-Louis Borg, qui a brillamment renvoyé le HTV en Pro B, le vote organisé auprès des joueurs, représentés par les capitaines de chaque équipe de la division, des entraîneurs et d’un panel de médias a choisi de récompenser Nolan Traoré comme meilleur jeune de la division.
La pépite du Pôle France - qui termine la saison avec Saint-Quentin - a explosé lors de la première partie de saison avec le Centre fédéral. Le meneur a compilé 16,8 points, 3,2 rebonds, 5,5 passes et 2 interceptions pour 16,3 d’évaluation, ce qui fait de lui le quatrième scoreur, le neuvième passeur, le troisième intercepteur et onzième à l’évaluation. Pas mal pour un joueur de 17 ans ?
Le cinq majeur
Théo LEFEBVRE (Hyères-Toulon - 28 ans / FRA) : 10,2 points / 2,5 rebonds / 6,5 passes / 1,3 interceptions / Evaluation : 12,4 (36 matches).
Jazzmarr FERGUSON (Saint-Vallier - 35 ans / USA) : 17,3 points / 2,7 rebonds / 3,7 passes / 1,1 interceptions / Evaluation : 14,1 (36 matches).
Valentin BIGOTE (Le Havre - 32 ans / FRA) : 16,4 points / 4,4 rebonds / 4,4 passes / 1,1 interceptions / Evaluation : 17,7 (34 matches).
Aaron LEVARITY (Boulogne-sur-Mer - 26 ans / BHS) : 12,3 points / 11,6 rebonds / 2 passes / Evaluation : 21,2 (33 matches).
Quentin LOSSER (Hyères-Toulon - 24 ans / FRA) : 11,3 points / 7,3 rebonds / 1,4 passes / 1,3 interceptions / Evaluation : 15,7 (36 matches).
L’incroyable série de victoires de l’USK Prague a pris fin. Après 301 succès de rang dans le championnat de République tchèque de basket féminin, le club où évolue la Française Valériane Ayayi a été défait, ce lundi, dans le match 2 de la finale (71-69).
Le Zabiny Brno, l'équipe dans laquelle évoluait Lou Lopez Sénéchal en début de saison, a ainsi recollé à 1-1 dans cette finale. Il n’y a pas non plus péril en la demeure pour les demi-finalistes de l'Euroleague - éliminées par Villeneuve d’Ascq - puisque la série se joue au meilleur des cinq manches et que Prague dispose toujours de l'avantage du terrain.
C’est tout de même un exploit remarquable puisque Prague, titré sans discontinuer depuis 2011, n’avait plus perdu un match en championnat, playoffs inclus, depuis onze ans ! C’était le 30 avril 2013, déjà en finale contre Brno.
Marca précise que ces 301 victoires d’affilée constituent un record encore plus impressionnant que celui des 256 succès de rang de Brno entre février 1998 et février 2007.
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Selon le média En Pleine Lucarne, la chaîne 21 de la TNT ne retransmettra plus l’Euroleague cette saison, et donc aucun match de Monaco en playoffs, même en cas de qualification pour le Final Four.
La fin de saison européenne sera donc diffusée en exclusivité… sur Skweek, à commencer par les quarts de finale entre Monaco et Fenerbahçe dont le match 1 est programmé ce mercredi soir à 19h.
En début de saison, Skweek et La Chaîne L’Equipe avaient reconduit leur partenariat concernant la diffusion en clair des matches de la compétition reine en Europe après une première saison qui avait fait la part belle à la qualification de Monaco au Final Four. Pour l'heure, l'arrêt ne concerne que cette fin de saison.
En outre, la plateforme Skweek a informé ses abonnés mardi soir qu’elle ne serait “pas en mesure de diffuser la 31e journée de Betclic Elite” et qu’elle faisait son “possible pour rétablir la diffusion dans les plus brefs délais”.
La rédaction\\n\\n\\n\",\"metadata\":{\"url\":\"https://twitter.com/skweektv/status/1782870295851774004\",\"author_name\":\"SKWEEK\",\"author_url\":\"https://twitter.com/skweektv\",\"html\":\"LA FAMEUSE "MANDARINA" DE SERGIO LLULL 🍊🍊🍊@RMBaloncesto x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/pN2I3GhZ6e
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— Sergio Llull (@23Llull) April 23, 2024
A seguir! 😜🍊#HalaMadrid pic.twitter.com/8DcXWJCSUr
À 36 ans, Sergio Llull continue d'écrire sa légende en Euroleague. Reconnu tout au long de sa carrière pour sa capacité à inscrire de gros tirs, le meneur espagnol s'est adjugé la première place d'un prestigieux classement : celui des joueurs ayant inscrit le plus de tirs à trois points dans leur carrière en Euroleague.
\nLA FAMEUSE \"MANDARINA\" DE SERGIO LLULL 🍊🍊🍊@RMBaloncesto x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/pN2I3GhZ6e
— SKWEEK (@skweektv) April 23, 2024
Avec ses deux réussite à longue distance lors de la large victoire du Real Madrid contre Baskonia (90-74), l'international espagnol européenne en est désormais à 624 tirs à trois points inscrits - en 403 matches - dans la plus prestigieuse compétition européenne. Soit une unité de plus qu'une autre légende du basket espagnol et européen, Juan Carlos Navarro, qui a pour sa part disputé 341 rencontres.
Avec ce nouveau record, Llull rentre un peu plus dans l'histoire et rappelle qu'il est toujours là, malgré l'usure du temps. Acteur important du triomphe européen de son équipe en 2023, il pourrait avoir une nouvelle fois son mot à dire dans la défense de ce titre en Euroleague au cours des prochaines semaines.
\n1-0 y récord de triples de la Euroliga!
— Sergio Llull (@23Llull) April 23, 2024
A seguir! 😜🍊#HalaMadrid pic.twitter.com/8DcXWJCSUr
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— NBA France (@NBAFRANCE) April 24, 2024
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9 REBONDS
2 PASSES
3 STL / 1 BLK
6-8 FG
6-7 FT @rudygobert27 & les @Timberwolves mènent 2-0 face aux Suns ! pic.twitter.com/96FNgJ93Fv
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— NBA France (@NBAFRANCE) April 24, 2024
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3 STL / 1 BLK
6-8 FG
6-7 FT @rudygobert27 & les @Timberwolves mènent 2-0 face aux Suns ! pic.twitter.com/96FNgJ93Fv
Après l'échec de la Coupe du Monde 2023 avec les Bleus, Rudy Gobert a parfaitement rebondi. Pour sa deuxième saison avec les Minnesota Timberwolves, le pivot français est l'une des grandes raisons de la réussite de son équipe, troisième au classement de la Conférence Ouest en NBA. Ce retour en forme semble bienvenu pour l'équipe de France, alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 se profilent. Un événement lors duquel le Français se verrait bien représenter son pays en tant que porte-drapeau, comme il l'a récemment affirmé dans Le Monde :
\"Bien sûr que je postule, j’en ai toujours rêvé et ce serait un incroyable honneur. Je me suis toujours dévoué à l’équipe de France et ce serait une nouvelle manière de représenter le pays\"
Mais ce rêve est encore loin de se concrétiser pour l'ancien joueur du Utah Jazz au vu de l'importante concurrence à laquelle il va faire face dans l'attribution de ce rôle symbolique. Quoi qu'il en soit, le natif de Saint-Quentin sera un élément-clé de l'équipe de France lors du tournoi olympique. Une compétition lors de laquelle il espère battre les Etats-Unis et décrocher un premier titre olympique, à domicile.
Avant cela, le joueur de 31 ans a une saison à terminer de l'autre côté de l'Atlantique. Grand favori pour glaner un quatrième titre de meilleur défenseur de la saison, il permet pour l'instant aux Wolves de mener deux victoires à zéro au premier tour des playoffs contre les Phoenix Suns. Avec un Rudy Gobert à ce niveau, l'équipe de Minneapolis peut espérer prolonger sa saison lors des prochaines semaines.
\nRUDY. GOBERT. 🇫🇷 🐺
— NBA France (@NBAFRANCE) April 24, 2024
18 POINTS
9 REBONDS
2 PASSES
3 STL / 1 BLK
6-8 FG
6-7 FT @rudygobert27 & les @Timberwolves mènent 2-0 face aux Suns ! pic.twitter.com/96FNgJ93Fv
Pour son grand retour en playoffs, le Panathinaïkos a perdu son avantage du terrain dès le match 1 face au Maccabi Tel-Aviv. Une défaite (87-91) que l’entraîneur Ergin Ataman a en travers de la gorge, comme en atteste son commentaire d’après match.
“Nous n'avons pas bien joué, mais deux fautes sur des tirs à 3-points… C’est ridicule. Je ne comprends pas. Ce n’est pas juste pour le basket de donner 6 points à Baldwin à chaque fois dans cette position. Quoi qu'il en soit, nous n’avons pas bien joué. Nous avons eu une chance de gagner le match mais nous avons raté beaucoup de tirs ouverts, nous avons fait perdu un ballon sur la dernière possession (Kostas Sloukas) et le Maccabi a gagné le match. Mais nous n’en sommes qu’à 0-1. Nous gagnerons cette série”, avait partagé le coach turc quelques minutes après le buzzer final.
Le fantasque tacticien s’est ensuite montré bref en conférence de presse où il n’a fourni aux journalistes qu’une seule citation… inattendue et évasive.
“Nous sommes une bien meilleure équipe que le Maccabi. Perdre 1-0 n'est pas très important pour nous. Nous devons retrouver notre forme et notre jeu. J'ai promis à tous les gens ici que nous irions au Final Four. Si nous n’allons pas au Final Four, je ne serai plus au Panathinaïkos l'année prochaine.”
L’été dernier, le coach turc a signé un contrat de deux ans au sein de la maison verte. Pour ne pas mettre un terme prématuré à ce dernier, il vaudrait mieux que le Pana égalise lors du match 2 prévu ce jeudi à 20h15 à l’OAKA Arena. Sinon, le déplacement à la Stark Arena de Belgrade - où joue le Maccabi en playoffs - s’effectuera avec une épée de Damoclès sur les hommes d’Ergin Ataman.
Valentin PerrotPaoline Ekambi a été une pionnière. Elle fut membre de l’équipe juniors médaillée d’argent à l’Euro juniors en 1981. C’était la première fois qu’une équipe féminine française montait en jeune sur un podium. Un autre temps. La Parisienne fut également la première Française à partir aux Etats-Unis dans une université américaine de Division I, le Marist College, avec côté études une option langues avec russe, italien, français littéraire et bien sûr anglais. Trois fois championne de France, elle fut surtout médaillée d’argent à l’Euro de 1993 avec des équipières telles que Yannick Souvré, Isabelle Fijalkowki, Odile Santaniello et Carole Force. Son parcours en équipe de France s’est échelonné de 1980 à 1993 et une fois conclu, elle fut la recordwoman de sélections (254) jusqu’à ce que Céline Dumerc fasse encore un peu mieux (262).
Paoline Ekambi, 61 ans, est encore une pionnière dans le basket à son corps défendant. Victime à l’adolescence d’un inceste de la part de son père, elle a eu le courage de rendre publics ces moments extrêmement douloureux, inhumains. Elle témoigne de ses souffrances dans un ouvrage intitulé « Ma promesse en héritage », aux éditions Amphora*.
« Comment vit-on de l’intérieur un quotidien dont l’horreur est devenue insupportable ? Quels mécanismes mettons en place pour survivre ? Comment la sidération se mue-t-elle en combattivité ? » Ce sont les questions posées dans la préface du livre avec les réponses à l’intérieur.
Pour ce témoignage, Paoline Ekambi a été guidée par la journaliste Liliane Trévisan, passée notamment par le mensuel Maxi-Basket, le quotidien L’Equipe, et aujourd’hui collaboratrice à BasketEurope.
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Paoline-Ekambi.-Match.jpg\")
Voici l’exposé de Paoline Ekambi et Liliane Trévisan :
« Je suis très émue. Ce n’est pas évident de parler de soi car dans le sport, on n’a pas l’habitude de montrer ses faiblesses. J’avais pensé depuis très longtemps de faire de mon trauma un engagement pour impacter positivement sur la société, contribuer à ce combat crucial car je ne veux pas détourner mon regard des enfants qui souffrent que ce soit dans le sport ou dans d’autres domaines.
Je vais vous donner quelques chiffres car ils sont édifiants et c’est ce qui m’a encore plus motivée de dépasser la douleur de ce que ça pu être de m’immerger dans l’enfer de mon enfance pour rédiger ce livre. Aujourd’hui, il y a 6,7 millions de Français qui déclarent avoir été victimes d’inceste. Ce qui fait 10% de la population française. Il y a 22% d’hommes et 78% de femmes. C’est à prendre avec mesure car je parle bien de gens qui ont déclaré. Il y a 160 000 enfants par an qui sont victimes d’inceste. Ce qui fait à peu près 148 enfants par jour. C’est insupportable.
A travers mon histoire personnelle, dans ce livre, je voudrais dire que le basket c’est plus qu’un sport. Quand j’ai commencé le basket à l’INSEP, j’avais 14 ans. Jusque-là, j’avais été éduqué à la dure mais quelques mois après mon entrée à l’INSEP, ma vie est devenue un enfer. Le basket a été en fait pour moi un espace de liberté, qui m’a permis de souffler un peu et surtout de me réapproprier mon corps, mes émotions. Surtout, je dois énormément à mes coaches de l’époque. Jackie Delachet était la capitaine de l’équipe de France médaillée d’argent au championnat d’Europe de 1970 et vice-championne d’Europe (juniors) en tant que coach quand nous étions à l’INSEP.
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Marist-College.jpg\")
A 17 ans, après un entraînement à l’INSEP, j’ai complètement craqué car c’était vraiment très lourd à porter. A mon entraîneur, Jackie, et au directeur technique national, qui était Joë Jaunay -j’ai eu aussi la chance de connaître comme président de la fédération Robert Busnel-, j’ai dit que je voulais me suicider. On a parlé ensemble. Leur écoute a été vraiment pour moi bénéfique. A cette époque, dans les années 80, dans notre société l’inceste était extrêmement tabou et personne n’écoutait. Eux l’ont fait, sans jugement, avec bienveillance. Ils ont décidé d’aller voir mes parents. Ils sont revenus, en définitive, il n'y avait rien à faire.
Ils m’ont accompagnée pour mettre en place des stratégies d’évitement. Eviter que je retourne chez mes parents le week-end. Grâce à leur soutien, à partir de là, je me suis consacrée pleinement au basket car j’ai compris que c’était pour moi le ticket vers la liberté, que le sport c’était plus que la gloire et les médailles. Cela a un impact significatif pour la reconstruction non seulement émotionnelle mais aussi se réapproprier son corps. C’est un vecteur qui permet aussi de se socialiser, de pouvoir partager sa passion avec d’autres personnes. Pour moi, le sport a le pouvoir de changer des vies et il m’a sauvée la vie. C’est pour ça qu’aujourd’hui j’œuvre dans ce combat, pour aider d’autres victimes, leur donner l’espoir de pouvoir s’en sortir, mais aussi sensibiliser la société. Nous avons aujourd’hui le pouvoir de forcer la reconnaissance de ce crime car il s’agit d’un crime. Un crime qui efface la vie des enfants, qui fracasse des vies, qui est l’abnégation des enfants. Notre devoir est de pouvoir les protéger, protéger leur intégrité pour leur bien-être, leur épanouissement car c’est notre promesse d’avenir. »
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Ekambi-Equipe-Mag.jpeg\")
« Lorsque j’étais jeune journaliste, j’avais un idéal. Je voyais le sport comme un univers préservé, un endroit où l’on apprend les vraies valeurs, des choses qui comptent dans une vie, la solidarité, le goût de l’effort, de la discipline, le dépassement de soi et aussi l’estime de soi. Inutile de dire qu’au bout de quelques années dans le journalisme de sport, j’ai vite compris que contrairement à l’image que l’on a que le sport est à l’abri des dérives de la société, il ne l’est non seulement pas, mais parfois il les véhicule avec beaucoup de complaisance. Sur la fin de ma carrière à L’Equipe, je me suis investie dans la lutte contre les agressions sexuelles dans le milieu sportif avec l’appui de la direction du journal. J’ai découvert la face très cachée du sport.
Il y a une anecdote qui amuse beaucoup les gens. En fait, j’avais fait un papier sur Paoline dans L’Equipe en février 2021, une double page, où elle exposait vraiment pour la première fois, noir sur blanc, ce qui avait été son calvaire. Cela avait eu beaucoup de retentissement et j’avais été déjà choqué par l’ignominie de ce qu’elle me livrait par parcelles comme anecdotes. J’étais resté en contact avec elle, je suis sa carrière depuis qu’elle a 17 ans pour le magazine Maxi-Basket. Je connaissais déjà bien les dérives du sport mais cette double page m’a ouvert les yeux sur cette championne que je connaissais, que j’avais vu vivre, que j’avais vu jouer, que j’avais accompagné, sur les terrains et dans les hôtels, et comme elle m’avait demandée quelle perception j’avais d’elle à l’époque, je lui ai dit que « pour moi tu étais barge, une joueuse imprévisible, incontrôlable avec des réactions tout le temps excessives, outrancières, que ce soit dans la joie ou dans la colère ». A cette époque, je constatais cette chose mais je ne m’étais jamais inquiétée de savoir pourquoi cette fille était comme ça.
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Verre-d-orange.jpg\")
L’été dernier, j’étais chez moi très tranquille avec mes deux chats sur mes genoux en train de mater quelques épisodes de Yellow Jackets que j’avais en retard quand mon téléphone a sonné. C’était Paoline. Il y a eu une conversation assez ubuesque, irréelle, qui ne peut être générée que par une personnalité comme Paoline. Elle m’a dit : « je suis chez un éditeur, il est emballé par mon histoire, il faut que vous trouviez quelqu’un pour l’écrire, et je lui ai donné son nom. » Je lui ai dit, « Pao, on n’a jamais parlé de ça, il en n’a jamais été question. » Elle sait mettre la pression. Elle me dit : « écoute, je leur ai dit que je te passais un coup de fil et que j’avais ta réponse dans cinq minutes… Ne réfléchis pas, dis oui. » Comme j’ai beaucoup d’affect pour elle, je lui ai dit oui pour la forme et tout s’est enchaîné comme ça avec toute l’équipe d’Amphora qui était au soutien.
J’ai plongé dans les Abysses du calvaire qu’elle a vécu car la fraction qu’elle m’avait livrée pour le papier dans L’Equipe était vraiment minime par rapport à tout le chemin qu’elle avait dû encaisser. Ça m’a fait mettre plusieurs choses en perspective. On dit toujours que le sport est une grande famille. Or, une famille c’est sâcrée. C’est le premier endroit au monde où vous êtes en sécurité, encadré. Or, Paoline est l’incarnation de ce que la famille peut faire de pire et le sport de meilleur. J’ai aussi rencontré pour mes enquêtes sur les agressions sexuelles une jeune nageuse de compétition qui était au club de Sarcelles qui était l’inverse, avec ce que le sport peut faire de pire -elle a été violée pendant des années par un coéquipier au vu et au su des dirigeants de club qui ne faisaient rien- et par contre elle a été sauvée par une famille aimante, présente, solidaire. Il y a les mêmes mécanismes, c’est-à-dire que lorsqu’une victime est seule dans une famille ou dans un club et appelle à l’aide, on lui met une chape de plomb sur les épaules en lui disant que si elle parle, son père va aller en prison, sa mère aussi, ses frères à la DDASS, et dans le sport, c’est pareil, que si elle parle elle va tuer son sport, son club. Il y a une pression énorme, une omerta. Et ceux qui s’en affranchissent ont besoin d’un courage énorme, de faire un sacrifice, de se mettre à nue. C’est ce que Paoline voulait faire et donc je l’ai accompagnée.
Ce livre est l’itinéraire d’un calvaire mais surtout -parce qu’aujourd’hui Paoline en est l’incarnation, c’est une femme debout, qui s’est reconstruite, une chef d’entreprise- elle prouve qu’il y a un espoir et que le sport peut être cet espoir. On ne parle pas que de la gouvernance du sport, des acteurs du terrain, coaches, bénévoles, joueurs, des médias, il appartient à chacun d’entre nous d’être vigilant, de surveiller les signes qui pourraient être annonciateur d’un mal-être. Il ne faut jamais fermer les yeux car on sait que les prédateurs sont dans le sport. Pas un sport peut dire qu’il est à l’abri.
-Combien y a-t-il d’intervenants dans le livre et ont-ils facilement accepté de parler ?
Lorsque nous avons commencé à travailler sur le déroulé du livre, il m’a paru incontournable que l’on puisse entendre d’autres voix que celle de Paoline. Je voulais absolument qu’on puisse s’appuyer sur d’autres témoignages, et aussi sur des témoignages d’hommes, pour éviter ce regard parfois suspicieux qu’on peut complaisamment jeter sur un livre « écrit par des femmes ».
En échangeant avec Pao sur le sujet, nous avons réuni cinq témoins, qui chacun à leur façon avaient vu Paoline vivre son calvaire : sa coach à l’INSEP Jackie Delachet, sa coéquipière en équipe de France Odile Santaniello, et trois hommes. Son grand frère Samuel, son grand amour au Marist College, l’ex-joueur français Alain Forestier, et son premier coach lorsqu’elle a démarré le basket, Pascal Le Corre. Qui fut aussi celui chez qui elle s’est sauvée un soir alors que son père l’avait battue très violemment, et qui lui avait ouvert sa porte.
Tous avaient la volonté de s’exprimer, même si à l’évocation de certains souvenirs, nous avons vécu des moments douloureux et poignants. Et certaines confessions ont été bouleversantes, comme celle d’Alain Forestier, au sujet de l’agression par son coach dont il fut victime au Marist College. Ou, et ce fut un moment grave et sidérant pour Paoline et moi, les aveux spontanés d’agressions sexuelles de son premier coach, pourtant son sauveur, sur sa petite soeur et sur des joueuses. Nous étions complètement remuées.
![\"\"](\"__GHOST_URL__/content/images/2024/04/Ekambi.254jpeg.jpeg\")
-Outre les scènes de viol, Paoline a eu une éducation très dure. Sa mère était froide et son père était violent, lui infligeait des coups de ceinture, des punitions, de véritables supplices. Vous écrivez tout ceci à la première personne du singulier. Est-ce un exercice particulièrement délicat ?
Oui, c’est vraiment très particulier, et ce fut parfois très lourd et pesant à gérer. Parce qu’il était de ma responsabilité, en me basant sur les notes que Paoline avait mises noir sur blanc, et en échangeant énormément avec elle, de restituer toute la noirceur, la souffrance, la terreur, et cette longue descente aux enfers qu’elle avait vécue. Il me fallait, comme elle l’a joliment dit, descendre en apnée avec elle , main dans la main, à des profondeurs oppressantes. Il fallait que je trouve les mots pour exposer l’horreur de son calvaire, pour que le lecteur puisse visualiser, ressentir, mais sans jamais tomber dans le voyeurisme, le vulgaire, le racoleur…
Ca a été parfois très dur, douloureux. Car je suis une femme, et je ressentais dans ma chair, mon intimité ce qu’elle avait subi. Le chapitre qui raconte le premier viol de son père a été un fardeau, une épreuve. J’ai mis plus longtemps à l’écrire, je voyais la scène, et j’ai eu du mal à y poser des mots qui disent cette violence sans être obscènes, pour respecter le courage et la dignité que Paoline porte en elle. Quand j’en ai eu terminé avec ce chapitre, j’étais nauséeuse… On s’est beaucoup soutenues toutes les deux, tout au long de ce cheminement. »
*Ma Promesse en héritage. Par Paoline Ekambi et Liliane Trévisan. 235 pages. 22 euros. Editions Amphora.
", "comment_id":"6628eb314522390001881a22", "plaintext":"Paoline Ekambi a été une pionnière. Elle fut membre de l’équipe juniors médaillée d’argent à l’Euro juniors en 1981. C’était la première fois qu’une équipe féminine française montait en jeune sur un podium. Un autre temps. La Parisienne fut également la première Française à partir aux Etats-Unis dans une université américaine de Division I, le Marist College, avec côté études une option langues avec russe, italien, français littéraire et bien sûr anglais. Trois fois championne de France, elle fut surtout médaillée d’argent à l’Euro de 1993 avec des équipières telles que Yannick Souvré, Isabelle Fijalkowki, Odile Santaniello et Carole Force. Son parcours en équipe de France s’est échelonné de 1980 à 1993 et une fois conclu, elle fut la recordwoman de sélections (254) jusqu’à ce que Céline Dumerc fasse encore un peu mieux (262).\n\nPaoline Ekambi, 61 ans, est encore une pionnière dans le basket à son corps défendant. Victime à l’adolescence d’un inceste de la part de son père, elle a eu le courage de rendre publics ces moments extrêmement douloureux, inhumains. Elle témoigne de ses souffrances dans un ouvrage intitulé « Ma promesse en héritage », aux éditions Amphora*.\n\n« Comment vit-on de l’intérieur un quotidien dont l’horreur est devenue insupportable ? Quels mécanismes mettons en place pour survivre ? Comment la sidération se mue-t-elle en combattivité ? » Ce sont les questions posées dans la préface du livre avec les réponses à l’intérieur.\n\nPour ce témoignage, Paoline Ekambi a été guidée par la journaliste Liliane Trévisan, passée notamment par le mensuel Maxi-Basket, le quotidien L’Equipe, et aujourd’hui collaboratrice à BasketEurope.\n\nVoici l’exposé de Paoline Ekambi et Liliane Trévisan :\n\n\nPaoline Ekambi : « Le basket a été en fait pour moi un espace de liberté, qui m’a permis de souffler un peu et surtout de me réapproprier mon corps, mes émotions »\n\n \n\n« Je suis très émue. Ce n’est pas évident de parler de soi car dans le sport, on n’a pas l’habitude de montrer ses faiblesses. J’avais pensé depuis très longtemps de faire de mon trauma un engagement pour impacter positivement sur la société, contribuer à ce combat crucial car je ne veux pas détourner mon regard des enfants qui souffrent que ce soit dans le sport ou dans d’autres domaines.\n\nJe vais vous donner quelques chiffres car ils sont édifiants et c’est ce qui m’a encore plus motivée de dépasser la douleur de ce que ça pu être de m’immerger dans l’enfer de mon enfance pour rédiger ce livre. Aujourd’hui, il y a 6,7 millions de Français qui déclarent avoir été victimes d’inceste. Ce qui fait 10% de la population française. Il y a 22% d’hommes et 78% de femmes. C’est à prendre avec mesure car je parle bien de gens qui ont déclaré. Il y a 160 000 enfants par an qui sont victimes d’inceste. Ce qui fait à peu près 148 enfants par jour. C’est insupportable.\n\nA travers mon histoire personnelle, dans ce livre, je voudrais dire que le basket c’est plus qu’un sport. Quand j’ai commencé le basket à l’INSEP, j’avais 14 ans. Jusque-là, j’avais été éduqué à la dure mais quelques mois après mon entrée à l’INSEP, ma vie est devenue un enfer. Le basket a été en fait pour moi un espace de liberté, qui m’a permis de souffler un peu et surtout de me réapproprier mon corps, mes émotions. Surtout, je dois énormément à mes coaches de l’époque. Jackie Delachet était la capitaine de l’équipe de France médaillée d’argent au championnat d’Europe de 1970 et vice-championne d’Europe (juniors) en tant que coach quand nous étions à l’INSEP.\n\nA 17 ans, après un entraînement à l’INSEP, j’ai complètement craqué car c’était vraiment très lourd à porter. A mon entraîneur, Jackie, et au directeur technique national, qui était Joë Jaunay -j’ai eu aussi la chance de connaître comme président de la fédération Robert Busnel-, j’ai dit que je voulais me suicider. On a parlé ensemble. Leur écoute a été vraiment pour moi bénéfique. A cette époque, dans les années 80, dans notre société l’inceste était extrêmement tabou et personne n’écoutait. Eux l’ont fait, sans jugement, avec bienveillance. Ils ont décidé d’aller voir mes parents. Ils sont revenus, en définitive, il n'y avait rien à faire.\n\nIls m’ont accompagnée pour mettre en place des stratégies d’évitement. Eviter que je retourne chez mes parents le week-end. Grâce à leur soutien, à partir de là, je me suis consacrée pleinement au basket car j’ai compris que c’était pour moi le ticket vers la liberté, que le sport c’était plus que la gloire et les médailles. Cela a un impact significatif pour la reconstruction non seulement émotionnelle mais aussi se réapproprier son corps. C’est un vecteur qui permet aussi de se socialiser, de pouvoir partager sa passion avec d’autres personnes. Pour moi, le sport a le pouvoir de changer des vies et il m’a sauvée la vie. C’est pour ça qu’aujourd’hui j’œuvre dans ce combat, pour aider d’autres victimes, leur donner l’espoir de pouvoir s’en sortir, mais aussi sensibiliser la société. Nous avons aujourd’hui le pouvoir de forcer la reconnaissance de ce crime car il s’agit d’un crime. Un crime qui efface la vie des enfants, qui fracasse des vies, qui est l’abnégation des enfants. Notre devoir est de pouvoir les protéger, protéger leur intégrité pour leur bien-être, leur épanouissement car c’est notre promesse d’avenir. »\n\n \n\n\nLiliane Trévisan : « Le chapitre qui raconte le premier viol de son père a été un fardeau, une épreuve »\n\n« Lorsque j’étais jeune journaliste, j’avais un idéal. Je voyais le sport comme un univers préservé, un endroit où l’on apprend les vraies valeurs, des choses qui comptent dans une vie, la solidarité, le goût de l’effort, de la discipline, le dépassement de soi et aussi l’estime de soi. Inutile de dire qu’au bout de quelques années dans le journalisme de sport, j’ai vite compris que contrairement à l’image que l’on a que le sport est à l’abri des dérives de la société, il ne l’est non seulement pas, mais parfois il les véhicule avec beaucoup de complaisance. Sur la fin de ma carrière à L’Equipe, je me suis investie dans la lutte contre les agressions sexuelles dans le milieu sportif avec l’appui de la direction du journal. J’ai découvert la face très cachée du sport.\n\nIl y a une anecdote qui amuse beaucoup les gens. En fait, j’avais fait un papier sur Paoline dans L’Equipe en février 2021, une double page, où elle exposait vraiment pour la première fois, noir sur blanc, ce qui avait été son calvaire. Cela avait eu beaucoup de retentissement et j’avais été déjà choqué par l’ignominie de ce qu’elle me livrait par parcelles comme anecdotes. J’étais resté en contact avec elle, je suis sa carrière depuis qu’elle a 17 ans pour le magazine Maxi-Basket. Je connaissais déjà bien les dérives du sport mais cette double page m’a ouvert les yeux sur cette championne que je connaissais, que j’avais vu vivre, que j’avais vu jouer, que j’avais accompagné, sur les terrains et dans les hôtels, et comme elle m’avait demandée quelle perception j’avais d’elle à l’époque, je lui ai dit que « pour moi tu étais barge, une joueuse imprévisible, incontrôlable avec des réactions tout le temps excessives, outrancières, que ce soit dans la joie ou dans la colère ». A cette époque, je constatais cette chose mais je ne m’étais jamais inquiétée de savoir pourquoi cette fille était comme ça.\n\nL’été dernier, j’étais chez moi très tranquille avec mes deux chats sur mes genoux en train de mater quelques épisodes de Yellow Jackets que j’avais en retard quand mon téléphone a sonné. C’était Paoline. Il y a eu une conversation assez ubuesque, irréelle, qui ne peut être générée que par une personnalité comme Paoline. Elle m’a dit : « je suis chez un éditeur, il est emballé par mon histoire, il faut que vous trouviez quelqu’un pour l’écrire, et je lui ai donné son nom. » Je lui ai dit, « Pao, on n’a jamais parlé de ça, il en n’a jamais été question. » Elle sait mettre la pression. Elle me dit : « écoute, je leur ai dit que je te passais un coup de fil et que j’avais ta réponse dans cinq minutes… Ne réfléchis pas, dis oui. » Comme j’ai beaucoup d’affect pour elle, je lui ai dit oui pour la forme et tout s’est enchaîné comme ça avec toute l’équipe d’Amphora qui était au soutien.\n\nJ’ai plongé dans les Abysses du calvaire qu’elle a vécu car la fraction qu’elle m’avait livrée pour le papier dans L’Equipe était vraiment minime par rapport à tout le chemin qu’elle avait dû encaisser. Ça m’a fait mettre plusieurs choses en perspective. On dit toujours que le sport est une grande famille. Or, une famille c’est sâcrée. C’est le premier endroit au monde où vous êtes en sécurité, encadré. Or, Paoline est l’incarnation de ce que la famille peut faire de pire et le sport de meilleur. J’ai aussi rencontré pour mes enquêtes sur les agressions sexuelles une jeune nageuse de compétition qui était au club de Sarcelles qui était l’inverse, avec ce que le sport peut faire de pire -elle a été violée pendant des années par un coéquipier au vu et au su des dirigeants de club qui ne faisaient rien- et par contre elle a été sauvée par une famille aimante, présente, solidaire. Il y a les mêmes mécanismes, c’est-à-dire que lorsqu’une victime est seule dans une famille ou dans un club et appelle à l’aide, on lui met une chape de plomb sur les épaules en lui disant que si elle parle, son père va aller en prison, sa mère aussi, ses frères à la DDASS, et dans le sport, c’est pareil, que si elle parle elle va tuer son sport, son club. Il y a une pression énorme, une omerta. Et ceux qui s’en affranchissent ont besoin d’un courage énorme, de faire un sacrifice, de se mettre à nue. C’est ce que Paoline voulait faire et donc je l’ai accompagnée.\n\nCe livre est l’itinéraire d’un calvaire mais surtout -parce qu’aujourd’hui Paoline en est l’incarnation, c’est une femme debout, qui s’est reconstruite, une chef d’entreprise- elle prouve qu’il y a un espoir et que le sport peut être cet espoir. On ne parle pas que de la gouvernance du sport, des acteurs du terrain, coaches, bénévoles, joueurs, des médias, il appartient à chacun d’entre nous d’être vigilant, de surveiller les signes qui pourraient être annonciateur d’un mal-être. Il ne faut jamais fermer les yeux car on sait que les prédateurs sont dans le sport. Pas un sport peut dire qu’il est à l’abri.\n\n-Combien y a-t-il d’intervenants dans le livre et ont-ils facilement accepté de parler ?\n\nLorsque nous avons commencé à travailler sur le déroulé du livre, il m’a paru incontournable que l’on puisse entendre d’autres voix que celle de Paoline. Je voulais absolument qu’on puisse s’appuyer sur d’autres témoignages, et aussi sur des témoignages d’hommes, pour éviter ce regard parfois suspicieux qu’on peut complaisamment jeter sur un livre « écrit par des femmes ».\n\nEn échangeant avec Pao sur le sujet, nous avons réuni cinq témoins, qui chacun à leur façon avaient vu Paoline vivre son calvaire : sa coach à l’INSEP Jackie Delachet, sa coéquipière en équipe de France Odile Santaniello, et trois hommes. Son grand frère Samuel, son grand amour au Marist College, l’ex-joueur français Alain Forestier, et son premier coach lorsqu’elle a démarré le basket, Pascal Le Corre. Qui fut aussi celui chez qui elle s’est sauvée un soir alors que son père l’avait battue très violemment, et qui lui avait ouvert sa porte.\n\nTous avaient la volonté de s’exprimer, même si à l’évocation de certains souvenirs, nous avons vécu des moments douloureux et poignants. Et certaines confessions ont été bouleversantes, comme celle d’Alain Forestier, au sujet de l’agression par son coach dont il fut victime au Marist College. Ou, et ce fut un moment grave et sidérant pour Paoline et moi, les aveux spontanés d’agressions sexuelles de son premier coach, pourtant son sauveur, sur sa petite soeur et sur des joueuses. Nous étions complètement remuées. \n\n -Outre les scènes de viol, Paoline a eu une éducation très dure. Sa mère était froide et son père était violent, lui infligeait des coups de ceinture, des punitions, de véritables supplices. Vous écrivez tout ceci à la première personne du singulier. Est-ce un exercice particulièrement délicat ?\n\nOui, c’est vraiment très particulier, et ce fut parfois très lourd et pesant à gérer. Parce qu’il était de ma responsabilité, en me basant sur les notes que Paoline avait mises noir sur blanc, et en échangeant énormément avec elle, de restituer toute la noirceur, la souffrance, la terreur, et cette longue descente aux enfers qu’elle avait vécue. Il me fallait, comme elle l’a joliment dit, descendre en apnée avec elle , main dans la main, à des profondeurs oppressantes. Il fallait que je trouve les mots pour exposer l’horreur de son calvaire, pour que le lecteur puisse visualiser, ressentir, mais sans jamais tomber dans le voyeurisme, le vulgaire, le racoleur…\n\nCa a été parfois très dur, douloureux. Car je suis une femme, et je ressentais dans ma chair, mon intimité ce qu’elle avait subi. Le chapitre qui raconte le premier viol de son père a été un fardeau, une épreuve. 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