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Salaires Pro B 2022-23 – Saint-Chamond: le couac malgré Mathieu Boyer
Malgré des ressources financières en forte augmentation, Saint-Chamond est bien loin de réitérer sa campagne précédente, où le club avait guigné la montée jusqu’à la dernière journée. Cette saison, c’est du côté du maintien que regarde le club couramiaud. Et ce malgré un trio Mathieu Boyer-Josh Ajayi-Mathieu Guichard très performannt.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous..\n\n\n\nSaint-Chamond – saison 2022-2023\nBudget : 2 818 000 € (7e, +40 %)\nMasse salariale : 741 000 € (8e, +13 %)\nClassement après 19 journées : 16e (6-13)\n\nQue se passe-t-il à Saint-Chamond ? Alors que le Saint-Chamond Basket Vallée du Gier (SCBVG) inaugurait sa nouvelle Arena (4 200 places) pour la première journée du championnat par une victoire lui offrant la première place provisoire au classement, le club couramiaud a ensuite entamé une lente descente aux enfers – dont deux séries de quatre et cinq défaites consécutives – qui lui fait occuper aujourd’hui les bas-fonds du classement.\n\nPourtant, le club, qui avait lutté la saison passée jusqu’à la dernière journée pour l’accession directe à l’élite, a nettement renforcé ses moyens financiers, augmentant de plus de 800 000 euros son budget et de près de 100 000 euros les ressources dévolues à la masse salariale.\n\nLe problème tient en un seul mot : défense. 2e à l’évaluation collective en attaque, 1e aux passes décisives (23,2) et à l’adresse à deux-points (58,9 %), Saint-Chamond est également la 2e plus mauvaise défense de Pro B, avec 86,1 points encaissés.\n\n\n\n\nDans la moyenne haute\n\nAvec ses finances renforcées, Saint-Chamond en a profité pour augmenter de manière conséquente la plupart de ses joueurs ayant prolongé leur séjour en terres couramiaudes, seul l’arrivant de Nantes Josh Ajayi voyant ses émoluments baisser. Même le coach Alain Thinet a eu droit à son augmentation, plutôt logique vu les résultats de la saison précédente.\n\nGlobalement, le SCBVG est resté raisonnable sur les tarifs pratiqués. Le joueur le mieux payé de l’effectif, Mathieu Boyer, se classe aux alentours de la 30e place dans la hiérarchie des salaires de Pro B. Et trois joueurs se situent vers la 35e position dans ce même classement.\n\n\nJonathan Hoyaux et Guillaume Payen-Boucard à la peine\n\nQuatre joueurs de l’effectif se montrent des plus rentables : Josh Ajayi, passé de 9,2 d’évaluation à Nantes à 13,9, Mathieu Guichard, régulier aux alentours des 14 d’évaluation, Hasan Varence, encore au-dessus des 11 d’évaluation et, surtout, un Mathieu Boyer énorme, qui a encore haussé son niveau de jeu, passant de 16,8 à 19,9 d’évaluation (2e de Pro B).\n\nMais cela ne suffit pas à faire de Saint-Chamond un club qui gagne, même si Kamel Ammour, Théo Magrit et Badr Moujib réalisent une bonne saison.\n\nCar plusieurs joueurs majeurs se trouent, en cette première partie de saison. Jonathan Hoyaux a vu sa production chuter de 13,0 à 8,5 d’évaluation alors qu’il a été augmenté de 5 000 euros, Ilari Seppala justifie difficilement son salaire avec ses 6,9 d’évaluation et Guillaume Payen-Boucard, copieusement augmenté, est passé de 11,8 d’évaluation à 6,9. De surcroît, le Canadien s’est fracturé le péroné et est out pour la saison. Il va falloir voir ce que va donner son remplaçant, A.J. Hess, passé furtivement par Aix-Maurienne (1 match de Leaders Cup) en 2020.Pour réussir à se maintenir, le SCBVG va devoir s’acheter une défense. Mais il restera toujours difficile de justifier cette dégringolade au vu des efforts financiers consentis par le club.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Mathieu BoyerFRA38 000 €202360 000 €Josh AjayiNIG/USA62 000 €202355 000 €Jonathan HoyauxFRA50 000 €202455 000 €Mathieu GuichardFRA50 000 €202455 000 €Guillaume Payen-BoucardCAN39 000 €202350 000 €Ilari SeppalaFIN-202350 000 €Hasan VarenceUSA33 000 €202345 000 €Kamel AmmourFRA/ALG25 000 €202435 000 €Théo MagritFRA13 000 €202325 000 €Badr MoujibFRA15 000 €2023 (prêt)20 000 €A.J. HessUSA/ARM-5 mois20 000 €Elijah OlaniyiUSA/NIG-Essai1 000 €Adika Peter-McNeillyCAN/LCA-(2 mois)8 000 €Alain Thinet (coach)FRA50 000 €202355 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Mathieu Boyer et Josh Ajayi © SCBVG (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Quimper: Digué Diawara et Ivan Vranes seuls au monde
Que se passe-t-il en Bretagne ? Depuis une saison et demie, les Béliers de Kemper perdent la tête. Sans changement fondamental dans leurs ressources, les Quimpérois ne réitèrent franchement pas leur belle saison 2020-21. Il faut dire que peu de joueurs justifient complètement le salaire qui leur est versé.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous..\n\n\n\nQuimper – saison 2022-2023\nBudget : 2 641 000 € (8e, +4 %)\nMasse salariale : 665 500 € (13e, -4 %)\nClassement après 19 journées : 13e (8-11)\n\nQuimper a terminé la saison 2020-21 de Pro B au sixième rang, avec 21 victoires pour 13 défaites. Un magnifique résultat pour une équipe dotée de ressources financières dans la partie basse de la division. Mais, depuis, alors que ses moyens ont peu évolué – le budget ayant tout de même gagné près de 500 000 euros depuis lors, à la différence de la masse salariale, augmentée de seulement 30 000 euros –, le club breton s’est enlisé dans la difficulté. 15e à la fin de la saison 2021-22 (14-20), il fait à peine mieux cette saison. Avec, pour le moment, un classement à la hauteur de sa masse salariale : 13e dans les deux cas.\n\n\n\n\nPas de folies\n\nDans la constitution de son effectif, Quimper n’a pas fait de folies. Hormis Lucas Bourhis qui a vu son salaire multiplié par deux, aucun autre joueur n’a bénéficié d’une importante augmentation. Au contraire, ils sont plusieurs à toucher moins cette saison que la précédente.\n\nDans l’ensemble, les Béliers de Kemper proposent à leurs joueurs des émoluments relativement similaires, ils sont ainsi huit à percevoir entre 30 000 et 55 000 euros. Quant à Lolo Foirest, le coach, il a connu une petite augmentation, qui le positionne parmi les entraîneurs les mieux payés de Pro B.\n\n\nErreurs de casting et performances en baisse\n\nLa saison a mal commencé pour Quimper avec deux erreurs de casting qui ont coûté cher, T.J. Price et Wayne Martin. Qu’il a bien fallu remplacer, ce qu’ont fait Jessie Begarin et Ashley Hamilton, pour des salaires à peu près similaires sur une année. Parallèlement s’est posé le problème du rendement d’une bonne partie du contingent breton. Que ce soit Antoine Wallez, Jessie Begarin, Paul-Lou Duwiquet ou, surtout, Lucas Bourhis (de 14,1 d’évaluation en 2021-22 à 8,1 cette saison), tous ont vu leurs performances baisser. Théo Léon et Quentin Ruel sont en légère progression, pour leur part. Mais les deux seuls joueurs à vraiment sortir du lot sont Ivan Vranes (de 10,3 à 17,5 d’évaluation) et Digué Diawara (de 13,6 à 18,6). Guère suffisant pour viser plus haut que le maintien.\n\nDe surcroît, selon nos estimations, le club ne dispose plus d’une quelconque marge de manœuvre financière pour procéder à des retouches de son effectif. Si cela s’avère juste, Laurent Foirest va devoir faire avec les joueurs sous ses ordres actuellement, en faisant en sorte qu’ils élèvent leur niveau.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Lucas BourhisFRA40 000 €202455 000 €Jessie BegarinFRA80 000 €9 mois50 000 €Digué DiawaraFRA45 000 €202350 000 €Ivan VranesCRO57 000 €202347 000 €Théo LéonFRA40 000 €202340 000 €Paul-Lou DuwiquetFRA35 000 €202338 000 €Antoine WallezFRA38 000 €202435 000 €Ashley HamiltonGBR-7 mois30 000 €Quentin RuelFRA30 000 €202328 000 €T.J. PriceUSA-(6 mois)25 000 €Laurent Foirest (coach)FRA65 000 €202470 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Digué Diawara © Béliers de Kemper (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Orléans: Tyran de Lattibeaudière bien seul
Doté de très gros moyens financiers, l’Orléans Loiret Basket déçoit lors de cette première partie de saison. La mayonnaise ne prend pas au sein d’un effectif où seuls Tyran De Lattibeaudière et Junior Mbida tirent réellement leur épingle du jeu.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous..\n\n\n\nOrléans – saison 2022-2023\nBudget : 4 001 000 € (2e, Betclic Élite la saison passée)\nMasse salariale : 1 287 500 € (2e)\nClassement après 19 journées : 11e (9-10)\n\nEst-ce parce que le coach Germain Castano a vu son salaire subir une jolie cure d’amaigrissement suite à la descente de l’OLB en Pro B (ce qu’évidemment, nous ne croyons pas) ? Toujours est-il qu’Orléans vit douloureusement la rétrogradation de son équipe à l’étage inférieur. Et ce alors que le club dispose de gros moyens. Même après avoir logiquement réduit la voilure en passant de Betclic Élite en deuxième division (- 200 000 euros de budget, – 80 000 euros de masse salariale environ), les ressources de l’Orléans Loiret Basket présentent bien : 2e budget et masse salariale de l’antichambre de l’élite, dépassées par le seul Élan Chalon.\n\nMalgré ces belles ressources, ça ne tourne pas très rond à Orléans, avec une vilaine 11e place et un bilan négatif (9 victoires pour 10 défaites) alors que la mi-saison est passée. L’objectif initial de remontée immédiate risque de se révéler difficile à tenir.\n\n\n\n\nQue les gros salaires lèvent le doigt !\n\nAvec sa masse salariale replète, l’OLB a pu mettre les petits plats dans les grands, s’offrant cinq joueurs dont les revenus figurent parmi les 20 plus hauts salaires de la division, dont l’un s’installe à la deuxième place du classement et trois dans les quinze premiers. Cependant, on pourra noter que, en dehors de Tyran De Lattibeaudière, de Neftali Difuidi et de Jean-Fabrice Dossou – les deux derniers avec de petits salaires –, tous les joueurs évoluant la saison dernière en LNB ont connu une baisse de leurs émoluments, parfois de manière importante : – 20 000 euros pour Jean-Michel Mipoka.\n\nAlors, certes, Orléans a dû commencer sa saison régulière avec un effectif d’autant plus réduit que le prometteur Jean-Fabrice Dossou s’est rapidement blessé pour une longue durée et qu’il a fallu attendre que Jonathan Stark et Junior Mbida signent pour disposer d’un roster de 9 professionnels. Mais cela n’explique pas tout.\n\n\nJunior Mbida rentable, les autres moins\n\nLe rendement de certains joueurs cadres, en effet, n’est pas à la hauteur des attentes. Si Tyran De Lattibeaudière est exempt de tout reproche (18,1 d’évaluation après 19 journées), Toni Perkovic et Jonathan Stark sont moyennement performants pour leur confortable salaire. Le meneur Jarred Ogungbemi-Jackson, lui, est intrinsèquement rentable (16,1 d’évaluation), mais son équipe perd... Enfin, des quatre qui évoluaient à l’étage supérieur la saison passée – Jérémy Leloup, Malela Mutuale, Junior Mbida et Jean-Michel Mipoka –, seul l’intérieur camerounais Junior Mbida, avec ses 14,1 d’évaluation, se montre positivement, les trois autres ne fournissant pas totalement ce dont on est en droit d’attendre de joueurs d’un tel pedigree. Peut-être sont-ils rattrapés par l’âge, eux qui affichent entre 32 et 37 ans ?\n\nEn bref, Orléans est à la peine et, sans modification, rien ne laisse présager un changement. Cela étant, d’après nos informations, l’OLB n’a dépensé qu’environ 80 % de son budget alloué à sa masse salariale. Et il lui resterait donc dans les 200 000 euros (bruts) pour embaucher un nouveau joueur (ou plusieurs). Une belle poire pour la soif, mais à consommer judicieusement.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Jarred Ogungbemi-JacksonCAN/JAM-2023110 000 €Tyran De LattibeaudièreJAM70 000 €202380 000 €Toni PerkovicCRO-202380 000 €Jonathan StarkUSA-8 mois80 000 €Jérémy LeloupFRA84 000 €202475 000 €Malela MutualeFRA60 000 €202360 000 €Junior MbidaCMR65 000 €8,5 mois60 000 €Jean-Michel MipokaFRA75 000 €202355 000 €Neftali DifuidiFRA20 000 €202333 000 €Jean-Fabrice DossouFRA/BEN20 000 €202333 000 €Germain CastanoFRA100 000 €202485 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Tyran de Lattibeaudière © Tuan Nguyen (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Nantes: JaCori Payne intéressant
Club le mieux doté derrière les cinq cadors financiers du championnat, le Nantes Basket Hermine n’est pas encore dans la position qu’il souhaiterait. Mais rien n’est impossible pour une équipe homogène, avec en fer de lance l’excellent rapport qualité-prix de JaCori Payne\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous..\n\n\n\nVille – saison 2022-2023\nBudget : 3 028 000 € (6e, +6 %)\nMasse salariale : 939 500 € (6e, -3 %)\nClassement après 19 journées : 8e (10-8)\n\nLa saison 2021-22 de l’Hermine de Nantes n’a pas été à la hauteur des attentes et des moyens investis, loin s’en faut. Lorsqu’on s’avance en début de saison avec le 5e budget et la 4e masse salariale de Pro B, on vise autre chose qu’une très modeste 13e place et un bilan de 15 victoires pour 19 défaites.\n\nD’où un changement de philosophie : si le budget a cru d’environ 150 000 euros depuis la saison dernière, la masse salariale a quant à elle diminué d’un peu plus de 30 000 euros.\n\n\n\n\nDes salaires très hiérarchisés\n\nLe NBC a constitué un effectif clairement hiérarchisé, avec 5 joueurs dont le salaire figure entre la 8e et la 30e place des plus hauts revenus de Pro B, 4 autres payés 35 000 euros et moins et, au milieu, un meneur US peu référencé, JaCori Payne. Disposant de réserves financières sur sa masse salariale, le club en a profité pour faire venir tout dernièrement l’arrière canadien Malcolm Duvivier. Quant à Jean-Marc Dupraz, il fait partie des entraîneurs très bien payés de la division.\n\n\nStats en baisse, collectif en hausse\n\nÀ la lecture du tableau ci-dessous, on s’aperçoit qu’hormis Terry Smith – dans de toutes petites proportions – et Garry Chatuant (40 ans dans un mois !), tous les joueurs déjà présents en LNB la saison dernière ont été augmentés. Ce qui ne se traduit pas concrètement par une hausse des performances individuelles, au contraire. De Terry Smith à Harvey Gauthier, tous ont vu leur évaluation diminuer. Un fait mineur, puisque l’équipe fonctionne mieux que la précédente – le résultat collectif est tout de même plus important que les stats individuelles.\n\nLa bonne surprise vient de JaCori Payne, micro-meneur (1,75 m) au petit salaire mais meilleure évaluation de l’équipe (13,3). À l’opposé, Assane Ndoye, qui arrive de Betclic Élite (Limoges) pourrait sembler ne pas justifier son salaire, avec ses 6,7 d’évaluation – mais il s’agit principalement d’un joueur de l’ombre, un « glue guy ». À son exception, on constate que les cinq plus hauts salaires sont également les meilleures évaluations de l’équipe, entre 11 et 13,3, alors que les suppléants tournent à une évaluation comprise entre 2,0 et 7,4 pour l’inusable Garry Chatuant. La hiérarchie de l’équipe est donc clairement affirmée.\n\nAvec des joueurs talentueux associés à d’autres dédiés au collectif, Jean-Marc Dupraz a réussi à bâtir une équipe qui semble trouver sa vitesse de croisière après des débuts chaotiques : 7 défaites en 11 matchs pour débuter, 6 victoires pour 1 défaite depuis. Si la tendance se confirme, Nantes pourra redécouvrir les joies des playoffs pour la première fois depuis 2017.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Terry SmithUSA/ARM85 000 €202384 000 €Kevin DinalFRA65 000 €202480 000 €Assane NdoyeFRA55 000 €202470 000 €Ryan RhoomesUSA/JAM42 000 €202365 000 €Thomas Hieu-CourtoisFRA45 000 €202460 000 €JaCori PayneUSA-202345 000 €Jean-François KebeFRA/CIV12 000 € (4 mois)202335 000 €Garry ChathuantFRA45 000 €202335 000 €Arthur BoubaFRA-202420 000 €Harvey GauthierFRA18 000 €202420 000 €Jean-Marc Dupraz (coach)FRA35 000 € (5 mois)durée inconnue70 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : JaCori Payne © Hermine de Nantes – Gaëlle Louis (montage Basket Europe)
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Salaires Pro B 2022-23 – Lille: Bastien Vautier fait sauter la banque
Après une saison 2021-22 maussade, le Lille Métropole Basket est reparti en campagne avec des moyens quasiment inchangés et une équipe profondément renouvelée. Avec à la clé une superbe première partie de saison, grâce notamment à un Bastien Vautier étincelant.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nLille – saison 2022-2023\nBudget : 1 670 000 euros (17e, -5 %)\nMasse salariale (brut) : 670 000 euros (11e, +3 %)\nClassement après 19 journées : 5e (12-7)\n\nLa saison dernière, le Lille Métropole Basket n’a décroché son maintien que sur un fil, terminant 16e et avec le même bilan de 14 victoires pour 20 défaites que Tours, le premier relégué. Il fallait donc réagir. Ce que le club n’a pas réellement fait au niveau de ses moyens financiers : son budget est même en baisse de près de 100 000 euros mais sa masse salariale a très légèrement augmenté, de 20 000 euros.\n\nDe quoi continuer dans les bas-fonds de la division ? Que nenni ! Grâce à leur recrutement avisé, les Red Giants font la course en haut de tableau, étant 5e avec trois victoires d’avance sur le premier non-qualifiable pour les playoffs. Tout cela en se payant le luxe de devancer des écuries bien mieux loties financièrement telles que Champagne Basket, Antibes ou Orléans.\n\n\n\n\nTrois salaires majeurs, et c’est tout\n\nDevant renouveler la quasi-totalité de son effectif, le LMB a su attirer des joueurs connaissant bien la division, comme Marcos Suka-Umu ou Lien Phillip, tout en restant très mesuré dans les salaires proposés.\n\nSi les trois joueurs les mieux payés figurent dans les 50 plus hauts revenus de la division, tous les autres figurent au-delà de la 120e place dans cette hiérarchie ! Avec notamment Vincent Golson, le deuxième joueur étranger le moins payé sur la saison après Michael Akuchie (Angers). Pour sa part, Maxime Bézin, le coach, a vu ses émoluments quelque peu augmenter, tout en restant dans la deuxième moitié de la hiérarchie salariale des entraîneurs de Pro B.\n\n\nVautier et Suka-Umu en fer de lance\n\nDans un effectif très stable (aucun joueur coupé, aucun pigiste), où seul Carl Ponsar a manqué quelques matches, deux joueurs ressortent d’un lot extrêmement homogène, Marcos Suka-Umu et, encore plus, Bastien Vautier, soit deux des trois plus hauts salaires de l’équipe. Le premier est le 3e passeur de la division, alors que Bastien Vautier, qui effectue sa première saison complète depuis sa rupture des ligaments croisés en 2021, explose les compteurs : 6e scoreur (17,6 points), 6e rebondeur (8,3 prises), 7e à l’adresse à deux-points (66,8 %), 14e contreur (0,7 par match) et surtout 1er à l’évaluation (21,8), loin devant le deuxième, Mathieu Boyer (19,9). Certains joueurs de Pro B gagnent le double en étant moins productifs !\n\nLe reste de l’équipe complète bien ce duo, offrant de 7,3 d’évaluation (Vincent Golson) à 11,5 (Lien Phillip) pour les joueurs majeurs. Gaëtan Meyniel se distingue dans ce lot : l’ancien du centre de formation de Roanne, qui n’avait jusque là évolué qu’en NM1, payé comme le jeune de 22 ans qu’il est, a supplanté Golson à la mène des Red Giants, produisant 9,3 d’évaluation en 22 minutes. Une belle affaire vu son salaire, sachant qu’il est sous contrat pluri-annuel ! Avec son collectif solide (2e aux passes décisives, 22,6 par match), Lille peut se permettre de rêver aux playoffs. Il n’y aura somme toute pas de lutte pour le maintien cette année.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Bastien VautierFRA21 000 € (6 mois)202355 000 €Lien PhillipCAN/GRE60 000 €202350 000 €Marcos Suka-UmuESP49 000 €202350 000 €Luc LoubakiFRA33 000 €202433 000 €Lorenzo Thirouard-SamsonFRA20 000 €202428 000 €Vincent GolsonUSA-202328 000 €Carl PonsarFRA-202325 000 €Essome MiyemFRA20 000 €202324 000 €Gaëtan MeynielFRA-202518 000 €Marc-Olivier LasserreFRA18 000 €202418 000 €Maxime Bézin (coach)FRA45 000 €202350 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Bastien Vautier © Christophe Delrue (montage Basket Europe)
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L’EuroBasket féminin 2023 dévoile ses mascottes
Alors que l’équipe de France a obtenu son ticket pour l’EuroBasket 2023 en battant la Lituanie jeudi soir, la FIBA a dévoilé les mascottes de la prochaine compétition européenne.\n\nElles se prénomment Isa et Sia et ont été présentés ce jeudi comme les mascottes officielles de l’EuroBasket féminin 2023 de la FIBA, du 15 au 25 juin prochain.\n\nReprésentant les pays hôtes, Israël et la Slovénie, les deux sœurs jumelles possèdent chacune « un ensemble unique de forces et de capacités » et sont toutes deux « prêtes à réaliser des choses incroyables grâce à leur passion et leur unité ». En somme, des caractéristiques essentielles pour faire briller le collectif.\n\nCes deux mascottes ont des traits de personnalité qui leur sont propres. Isa adore l’océan et serait en train de frapper les vagues à Tel Aviv si elle n’était pas en mode entraînement. Quant à Sia, elle préfère les montagnes, qui lui procurent à la fois puissance et calme, qu’elle apporte ensuite sur le terrain à Ljubljana.
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Vidéo : le parcours de vie d’Yvonne Anderson
Dans un long entretien vidéo, Bourges raconte le parcours de vie de sa meneuse américano-serbe Yvonne Anderson (1,75 m, 32 ans).\n\nElle est la joueuse majeur des Tango Bourges cette saison. Dans le cadre de sa série #FiertéTango, le club dresse le portrait d’Yvonne Anderson, avec une interview de l’intéressée et de sa mère. On en apprend sur ses débuts dans le basket, sa sélection en équipe de Serbie ou encore sur son arrivée à Bourges.\n\nL’internationale serbe tourne cette saison à 13,7 points à 46,8 % aux tirs, 4,2 passes décisives et 3,8 rebonds pour 13,5 d’évaluation en 30 minutes en LFB et surtout à 17,4 points à 50,8 % aux tirs (à 38,6 % à 3-points), 4,8 rebonds, 3,8 passes décisives et 2,1 interceptions pour 17,3 d’évaluation en Euroleague.\n\nPhoto : Yvonne Anderson (FIBA)
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Boulogne-Levallois : Hugo Besson opéré avec succès
Le meneur des Metropolitans 92 Hugo Besson (1,95 m, 21 ans) a subi cette semaine une arthroscopie de la hanche.\n\nCes derniers jours, l’infirmerie des Metropolitans 92 est bien remplie. En ce qui concerne le cas Hugo Besson, son opération s’est bien passée, annonce le club. Souffrant de la hanche et absent depuis le 9 janvier dernier, le meneur-arrière a subi une arthroscopie qui l’éloignera des terrains plusieurs semaines.\n\nReste à savoir si l’ancien meilleur jeune de Pro B rejouera avec le club francilien, sachant qu’un accord entre le n°58 de la dernière Draft et Fuenlabrada a fuité en janvier dernier avant que le club espagnol ne se rétracte face à son état physique. Sa présence à Blois ce weekend indique qu’il reste un joueur des Metropolitans 92... pour l’instant !\n\n\nL’arthroscopie d’Hugo s’est bien passée !\n\nBon rétablissement Hugo 👊🏻#GoMets92 pic.twitter.com/I4wHbrj0Pk\n\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) February 9, 2023\n\n\nPhoto : Hugo Besson (Thomas Savoja)
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Equipe de France féminine : Kendra Chéry en civil contre la Lituanie
Ce jeudi, l’équipe de France a l’occasion de valider son ticket pour l’EuroBasket 2023 contre la Lituanie (18h30). Ce sera sans la Landaise Kendra Chéry.\n\nAvec un groupe initial de 13 joueuses, Jean-Aimé Toupane devait faire un choix. Le sélectionneur et son staff ont décidé de se passer de l’ailière Kendra Chéry (Basket Landes) pour le match capital de cette fenêtre internationale contre la Lituanie. Une rencontre dont le vainqueur sera propulsé à l’EuroBasket 2023.\n\nLe groupe des 12 : Marine Fauthoux, Pauline Astier, Romane Bernies, Marine Johannès, Sarah Michel, Migna Touré, Gabby Williams, Valériane Vukosavljevic, Janelle Salaün, Marième Badiane, Iliana Rupert et Héléna Ciak.\n\n\n🚨 Les 12 pour #LITFRA demain jeudi à Vilnius : Astier, Badiane, Bernies, Ciak, Fauthoux, Johannes, Michel, Rupert, Salaun, Touré, Vukosavljevic et Williams\nK. Chery sera en civil#PassionnémentBleu\n\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) February 8, 2023\n\n\nPhoto : Kendra Chery (FIBA)
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Lorenzo Brown prolonge au Maccabi Tel Aviv jusqu’en 2026 !
Initialement sous contrat jusqu’en 2024, le champion d’Europe Américano-Espagnol Lorenzo Brown (1,96 m, 32 ans) vient de prolonger au Maccabi Tel Aviv de deux saisons supplémentaires, soit jusqu’en 2026.\n\nCiblé par de nombreuses écuries européennes dont le Real Madrid, le meneur américano-espagnol Lorenzo Brown a opté pour un contrat longue durée au Maccabi Tel Aviv. Il vient de parapher un contrat valant jusqu’en 2026. Selon le journaliste Omri Manhime, ce nouveau bail ne comprend pas de clause avant l’été 2025, date à laquelle le club pourra mettre fin au contrat s’il le souhaite.\n\nArrivé l’été dernier, champion d’Europe 2022 est une pièce maîtresse du jeu du club-nation israélien. Il tourne cette saison à 16,5 points à 45,7 % aux tirs dont 33,7 % à 3-points et 87,2 % aux lancers, 3,2 rebonds, 6,0 passes décisives, 0,9 interception et 17,0 d’évaluation (7e de la compétition) en Euroleague.\n\nAvec un bilan de 12 victoires et 11 défaites, le Maccabi est en ballotage relativement favorable pour atteindre les playoffs européens cette saison après deux tiers de la saison régulière. Il affronte ce jeudi soir l’Etoile Rouge de Belgrade (20h05).\n\n\n✒️ @Zo_Brown #Zo26 | #WeAreMaccabi pic.twitter.com/DhlP0r3htG\n\n— Maccabi Tel Aviv BC (@MaccabitlvBC) February 9, 2023\n\n\nPhoto : Lorenzo Brown (Euroleague)
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Eurocup : sans jouer, la JL Bourg qualifiée pour les playoffs
Avec la défaite de Cluj à Brescia mercredi soir, la JL Bourg est officiellement qualifiée pour le top 16 de l’Eurocup.\n\nComme Paris, Bourg-en-Bresse est d’ores et déjà assuré de disputer les playoffs de l’Eurocup à quatre journées de la fin de la saison régulière. Mercredi soir, la défaite des Roumains de Cluj-Napoca à Brescia a officiellement qualifié l’équipe de Freddy Fauthoux, dont la rencontre de la 14e journée face à Bursaspor a été reportée en raison du tremblement de terre en Turquie.\n\nActuellement troisième de son groupe (8-5), la JL Bourg va désormais tenter de figurer le plus haut possible pour avoir l’avantage du terrain au top 16. Pas une chose aisée au vu du calendrier avec des duels à venir contre Prometey, Badalone, Ulm et Bursaspor, les quatre autres candidats les plus dangereux pour le top 4 du groupe.\n\n\nSi vous n'avez pas eu l'info cette nuit, la voilà 💥 pic.twitter.com/ZLwkpk8bpM\n\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) February 9, 2023\n\n\nPhoto : Frédéric Fauthoux / Axel Julien (Jacques Cormarèche)
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Nenad Markovic (Dijon) après le succès renversant contre Holon : «Une victoire incroyable»
Privée de David Holston, la JDA Dijon s’est offert un succès de prestige, au finish, contre l’Hapoel Holon lors du top 16 de la Basketball Champions League mercredi soir (81-89).\n\nSans David Holston (doigt), avec Gavin Ware malade et Matt Mobley tout juste de retour et en plus avec la sortie du blessure prématurée du jeune Robin Ducoté après une tentative de dunk ratée, la JDA Dijon a dû s’employer pour l’emporter contre les Israéliens de l’Hapoel Holon.\n\nAprès avoir compté 14 points de retard dans le deuxième quart-temps (32-46), l’équipe de Nenad Markovic l’a finalement emporté au finish en passant un splendide 33-16 dans le dernier acte. Elle a notamment pu compter sur un excellent trio Jonathan Rousselle (18 points, 6 passes décisives) – David Brembly (22 points et 5 rebonds) – Matt Mobley (18 points). Renversant !\n\n« C’est une victoire incroyable. Dans le dernier quart, on a fait ce qu’on voulait faire exactement du début, a expliqué le coach dijonnais en conférence de presse. Longtemps pendant le match, on semblait avoir peur de quelque chose, on n’était pas assez rapide, pas assez agressif dans les duels, on était pas au rendez-vous, il fallait qu’on soit plus agressif. En plus on avait Matt (Mobley) qui avait une heure d’entraînement derrière lui, Gavin (Ware) qui était malade, et on n’était pas sûr qu’il puisse jouer, et Robin (Ducoté) qui se blesse. Je suis heureux pour des gars comme Jo (Rousselle) et David (Brembly) qui ont été très importants ce (mercredi) soir. Ils ont mis des gros shoots au moment où on en avait besoin. Quand Robin (Ducoté) se blesse, et que Jonathan (Rousselle) reste au sol, je me suis dit qu’on nous avait jeté un sort, mais Jonathan est revenu, il a du caractère et il a joué encore mieux après. »\n\n[adsence2]\n\nGrâce à cette victoire, Dijon recolle à Strasbourg et Jérusalem, trois équipes avec un bilan de 2-1 à mi-parcours du top 16 de BCL. Son adversaire du soir, l’Hapoël Holon, est lui bloqué à zéro victoire. La JDA reste ainsi en position favorable pour décrocher son ticket pour les quarts de finale, mais elle devra bien négocier son match retour face à Jérusalem le 14 mars prochain.\n\nEn attendant, un beau duel contre Boulogne-Levallois à l’extérieur attend les Dijonnais dès vendredi soir en championnat.\n\nBoxscore Dijon – Holon / Calendrier BCL / Classement BCL\n\nPhoto : Jonathan Rousselle (FIBA)
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Euroleague : Sasha Vezenkov en mode record contre l’Alba Berlin
Mercredi soir, le leader de l’Euroleague, l’Olympiakos, n’a fait qu’une bouchée de la lanterne rouge, l’Alba Berlin (60-93). Sasha Vezenkov a sorti une perf’ à 40 d’évaluation, avec son record de points de la saison à la clé.\n\nOn a coutume de dire que cette saison d’Euroleague est plus dense que jamais. Mais mercredi soir, il y a eu plusieurs classes d’écart entre le leader, l’Olympiakos, et l’Alba Berlin. En Allemagne, les Grecs ont plié l’affaire dès le premier acte (13-28), portant l’écart à +33 à l’extérieur. La grande classe.\n\nGrand favori pour le titre de MVP, le sportif bulgare de l’année Sasha Vezenkov a sorti le – très – grand jeu. Avec à la clé son record de points de la saison, 28 unités à 10/13 aux tirs dont 4/6 à 3-points, mais aussi 13 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 4 fautes provoquées et 1 perte de balle en 32 minutes. Une performance d’une propreté extrême à 40 d’évaluation, qui n’est pourtant pas un record (il avait réalisé 43 contre le Bayern en novembre dernier).\n\nPour l’anecdote, c’est aussi le deuxième joueur le plus rapide de l’histoire de l’Olympiakos à inscrire 200 tirs à 3-points en Euroleague. Il lui a fallu 146 rencontres contre 117 pour la légende Vassilis Spanoulis.\n\nBoxscore Alba Berlin – Olympiakos / Classement Euroleague\n\nPhoto : Sasha Vezenkov (Euroleague)
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FIBA Europe Cup : Cholet bat Porto et affrontera Kiev en quarts de finale
Vainqueur de Porto mercredi soir à la Meilleraie, Cholet termine premier du groupe I de la FIBA Europe Cup. L’équipe de Laurent Vila défiera les Ukrainiens du Budivelnyk Kiev en quarts de finale.\n\nCela ne faisait plus de doute depuis déjà deux rencontres : Cholet Basket va voir les quarts de finale de la FIBA Europe Cup. En revanche, l’équipe des Mauges a dû finir le travail pour empocher la première place du groupe en battant Porto (95-83).\n\nMercredi soir, il n’y a pas eu photo. Les Choletais ont passé un 14-0 à des Portugais diminués dès le premier quart-temps et n’ont jamais été rattrapé, comptant jusqu’à 20 points d’avance dans le troisième acte. Notons que sept Choletais (Curier, Dallo, Patton, Ellis, Campbell, Artis et Robineau) ont dépassé les 10 points inscrits dans une partie résolument collective, la dernière du pigiste de Neal Sako, Darel Poirier (2 points, 4 rebonds en 14 minutes). « Le travail est fait« , a commenté le coach Laurent Vila.\n\n\n🎙️ Retrouvez la réaction de Laurent Vila après la victoire face à Porto ! #CBFAMILY pic.twitter.com/QIqgZTIIdP\n\n— Cholet Basket (@CB_officiel) February 9, 2023\n\n\n\nDirection... l’Italie pour défier Kiev en quarts de finale\n\nAinsi premiers de leur groupe, les Choletais affronteront le BK Budivelnyk Kiev en quarts de finale. Ils retrouveront des anciennes têtes de LNB, parmi lesquelles Johnny Berhanemeskel (troisième scoreur de Betclic Elite l’an dernier à Roanne) et Vyacheslav Bobrov (ex-Nanterre).\n\nLe match aller aura lieu le mercredi 8 mars à Veroli en Italie, ville où l’équipe ukrainienne évolue durant la guerre dans son pays. Le match retour se déroulera une semaine plus tard, le 15 mars, à la Meilleraie.\n\nBoxscore Cholet – Porto / Tableau quarts de finale\n\nPhoto : Justin Patton (FIBA)
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NBA : Kevin Durant transféré à Phoenix !
Coup de tonnerre dans le basket international, la star américaine Kevin Durant (2,08 m, 34 ans) rejoint les Phoenix Suns.\n\nAprès le transfert de Kyrie Irving à Dallas, les Brooklyn Nets continuent leur remanie-tout. La star de Team USA prend la direction de Phoenix. Il rejoint l’Arizona en compagnie de T.J. Warren, en échange de Mikal Bridges, Cam Johnson, Jae Crowder et quatre choix de Draft au premier tour.\n\nLes Suns ont désormais en leur possession un « big four » avec Chris Paul, Devin Booker, Kevin Durant et Deandre Ayton !\n\n\nThe Suns are sending Mikal Bridges, Cam Johnson, Jae Crowder, four first-round picks, a 2028 pick swap for Durant and TJ Warren, sources tell ESPN. Durant wanted move and new owner Mat Ishbia pushed to get deal done tonight. https://t.co/fqFUMIDllo\n\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) February 9, 2023\n\n\n\nRussell Westbrook aussi tradé\n\nConcernant les autres stars américaines, Russell Westbrook quitte les Los Angeles Lakers pour le Utah Jazz tandis que D’Angelo Russell et Malik Beasley partent du Minnesota pour la Californie et que Mike Conley passe du Jazz aux Timberwolves.\n\nL’Autrichien Jakob Poeltl quitte également les San Antonio Spurs pour retrouver les Toronto Raptors en échange de Khem Birch. Les franchises NBA ont jusqu’à jeudi soir (21h en France) pour s’échanger des joueurs.\n\nPhoto : Kevin Durant (FIBA)
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ASVEL féminin : Dominique Malonga absente six semaines
Touchée au dos, la jeune intérieure de l’ASVEL Dominique Malonga (1,98 m, 17 ans) sera éloignée des terrains pendant un mois et demi.\n\nVictime de douleurs dorsales, la jeune internationale Dominique Malonga est arrêtée pour six semaines, a annoncé l’ASVEL féminin mercredi soir. La néo-internationale (une sélection) n’avait pas pris part à la victoire face à Villeneuve-d’Ascq ce samedi en Ligue Féminine (89-85).\n\nCette blessure l’empêchera de tenir son rang lors du quart de finale d’Eurocup contre Angers les 23 février et 2 mars prochains. En cas de qualification, Dominique Malonga retrouverait ses coéquipières approximativement lors de la demi-finale retour de la compétition européenne (16 et 23 mars). Cette saison, la fille d’Agathe N’Nindjem tourne à 6,4 points et 4 rebonds en 12 minutes de moyenne.\n\n\n❌ Six semaines d’absence pour Dominique MALONGA\n\n➕ https://t.co/OQ9sKb9q1c#ASVElles\n\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) February 8, 2023\n\n\nPar ailleurs, le club lyonnais annonce le retour d’Alexia Chartereau, également absente (genou) lors de la dernière journée de Ligue Féminine et forfait cette semaine pour les deux matches de qualification des Bleues à l’Euro 2023. L’intérieure retrouvera les séances collectives la semaine prochaine.\n\nPhoto : Dominique Malonga (FIBA)
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Salaires Pro B 2022-23 – La Rochelle: Robert Turner, le sauveur?
Malgré des finances d’un niveau très correct, le Stade Rochelais lutte pour éviter la relégation. Il faut dire que rares sont les joueurs à se distinguer – et ceux-là ne sont pas les plus hauts salaires. Un couac dans le recrutement ?\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nLa Rochelle – saison 2022-2023\nBudget : 2 379 000 euros (9e, NM1 l’an dernier)\nMasse salariale (brut) : 712 000 euros (9e)\nClassement après 19 journées : 15e (6-13)\n\nPour son accession en Pro B, le Stade Rochelais a mis les petits plats dans les grands, s’avançant sur la ligne de départ avec des moyens conséquents pour un promu. Parvenir à présenter les 9e budget et masse salariale de la division n’est pas à la portée de tous les nouveaux arrivants de l’étage inférieur – preuve en est Angers, l’autre équipe montée de NM1, qui dispose de la dernière masse salariale de l’antichambre de l’élite.\n\nMalgré cela, alors qu’Angers est en position d’accéder aux playoffs, La Rochelle se débat, elle, pour éviter la relégation. Les finances ne font pas tout, et l’adaptation à un nouveau niveau réserve toujours son lot de surprises.\n\n\n\n\nDes salaires moyens mais homogènes\n\nPour démarrer sa saison, le club des Charentes-Maritimes s’est appuyée sur quelques joueurs connaissant bien la Pro B, déjà présents au club en NM1 comme Ruphin Kayembe ou Gaëtan Clerc, ou arrivant de solides équipes de Pro B, comme Alexis Tanghe (Blois) et Jérôme Sanchez (Nantes).\n\nLe premier de ces nouveaux arrivants a accepté une baisse importante de ses revenus (environ 20 000 euros de moins qu’à Blois), le second voyant son salaire inchangé. Globalement, le Stade Rochelais n’a pas fait de folies, le salaire de ses joueurs majeurs étant compris dans une fourchette allant de 30 000 à 50 000 euros. Quant à Julien Cortey, le coach, il perçoit l’un des plus petits salaires de sa corporation.\n\n\nDéceptions en série\n\nMalheureusement, le rendement de bon nombre des joueurs rochelais n’est pas à la hauteur de leurs émoluments. Keith Wright se montrait productif (15,6 d’évaluation) mais décevait tout de même ses dirigeants, qui s’en sont séparés, tout comme de Henry Pwono, pas au niveau attendu.\n\nPar ailleurs, les trois joueurs les mieux payés, Alexis Tanghe, Jérôme Sanchez et Ruphin Kayembe, sont en-dessous de ce que l’on était en droit d’attendre de leur part. De son côté, la jeune garde française – Matthieu Robin, Victor Diallo, Louis Marnette (de retour de blessure) – n’a pas encore un apport comparable aux autres joueurs français des clubs comparables.\n\nEn fait, des joueurs ayant débuté l’exercice, seuls Gaëtan Clerc et Javon Masters sont au niveau attendu, malgré un salaire très moyen. Le Stade Rochelais va maintenant espérer que le remplaçant de Keith Wright, le dénommé Robert Turner III, continue sur la lancée de ses premières bonnes prestations (14,7 d’évaluation) et contribue à hisser le niveau de jeu du collectif. Il faudra bien cela pour arriver à décrocher le maintien.\n\n\n\nModifierJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Alexis TangheFRA70 000 €202450 000 €Jerome SanchezFRA50 000 €202350 000 €Ruphin KayembeFRA/CNG-202350 000 €Gaëtan ClercFRA-202443 000 €Javon MastersJAM/CAN-202340 000 €Arnauld ThinonFRA-202338 000 €Matthieu RobinFRA-202430 000 €Robert Turner IIIUSA-6 mois22 000 €Djoko SalicSRB/BOS-6 mois18 000 €Victor DialloFRA-202417 000 €Louis MarnetteFRA50 000 €6 mois15 000 €Mouhamed ThiamFRA-202314 000 €Keith WrightUSA-(6 mois)26 000 €Henry PwonoCNG-(6 mois)22 500 €Kiady RazanamaheninaFRA/MAD-(1 mois)2 500 €Julien Cortey (coach)FRA202443 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Robert Turner III © Stade Rochelais (montage Basket Europe)
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Un documentaire en l’honneur de l’ancienne star yougoslave Mirza Delibasic
Shooting for Mirza est un documentaire signé du cinéaste madrilène Juan Gautier. Il fait l’éloge de l’ancienne star du basket yougoslave Mirza Delibasic.\n\nMirza Delibasic est un nom associé à ceux de Kresimir Cosic, Dragan Kikanovic, Dragan Dalipagic et encore Zoran Slavnic. Son palmarès comprend une médaille d’or olympique aux Jeux de Moscou en 1980, un Championnat du monde en 1978, deux Championnats d’Europe en 1975 et 1977, une Coupe d’Europe des clubs champions et les championnats de Yougoslavie et d’Espagne. Il a joué pour le KK Bosna Sarajevo jusqu’en 1981, puis pour le Real Madrid pendant deux saisons, laissant une marque indélébile. En 1983, ce joueur élégant de 1,97m, spécialiste des passes improbables, fut victime d’un accident vasculaire cérébral qui interrompt sa carrière alors qu’il a à peine 29 ans.\n\nLors de la guerre des Balkans, Delibasic prend la décision de rester en Bosnie avec son peuple, dans une ville assiégée exposée en permanence aux bombes. A ce jour, en plus d’une légende du sport, il est un héros en Bosnie. Mirza Delibašić est décédé en 2001 des suites d’un cancer lymphatique. Aujourd’hui, son fils Danko promeut sa mémoire en essayant de reconstituer l’histoire de l’homme derrière le mythe.\n\n\n\SHOOTING FOR MIRZA\\n\n🇧🇦El 24 de febrero llega a los cines el documental de Juan Gautier dedicado a MIRZA DELIBASIC, uno de los mitos del baloncesto europeo.\n\n¡Estrenamos el trailer en exclusiva! 🎬\n\n👀 @fernandoromay1 | @LeyendasRMB | @MargenesOnline pic.twitter.com/F5DjCKCL7h\n\n— Gigantes del Basket (@GIGANTESbasket) February 7, 2023\n
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Eurocup : un Paris explosif fait la peau au Buducnost Podgorica
Un Paris Basketball de gala s’est imposé largement face à un concurrent direct au classement, le Buducnost Podgorica. Festival offensif, sérieux en défense et victoire 103-87.\n\nLa Halle Carpentier n’a pas connu un grand suspens ce mercredi soir. Grâce à une très bonne entame de match, plusieurs stops défensifs et des points cherchés dans la raquette, le Paris Basketball s’est rapidement défait d’un adversaire sans solution.\n\nPremiers coups d’éclat : deux dunks foudroyants de Juhann Begarin ont contraint l’entraîneur Podgorica à prendre son premier temps-mort (15-8, 6e). Le meneur Erick Green sauvait les meubles côté monténégrin avec 11 points dès le premier quart-temps (27-19, 10e). Malgré un coup de mieux de Podgorica en début de deuxième quart-temps, les Parisiens gardaient une avance précieuse à la mi-temps après un panier au buzzer de Juhann Begarin, encore lui (54-42, 20e).\n\n\n.@BegarinJuhann with a monstruous dunk💯#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/qxMDA64asr\n\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) February 8, 2023\n\n\n\nLes internationaux français en grande forme\n\nLe festival du Paris Basketball s’est poursuivi au retour des vestiaires. Avec une folle adresse à trois-points (10/16 après 30 minutes de jeu), le clou était déjà enfoncé pour signer une 9e victoire en Eurocup. C’est davantage en tribunes que Podgorica a montré les dents. Venus en nombre, les Monténégrins ont montré quelques agitations, obligeant les forces de l’ordre à intervenir en milieu de troisième quart-temps.\n\nWill Weaver s’est alors permis de faire rentrer sa jeune garde. Mohamed Diawara, Killian Malwaya, Maël Hamon Crespin et Kevan Moreno ont goûté à un peu de succès engrangé plus tôt dans la rencontre par leurs aînés. Les MVP’s de la soirée seront sans hésitation le duo Ismael Kamagaté – Juhann Begarin. Le premier a contrôlé d’une main de maître la raquette et son vis-à-vis Alpha Kaba (2 points et 7 rebonds). Il termine en double-double à 13 points pour 14 rebonds. Le second a été tout aussi royal, un energizer inarrêtable qui s’offre 22 points au compteur.\n\nLe Paris Basketball a encore quatre matches à jouer en Eurocup avant la fin de la saison régulière. Déjà assuré de faire les Playoffs, il retrouvera la scène européenne dans un mois, le 8 mars, après la trêve internationale. Avant cela, ils disputeront un match crucial pour le maintien en Betclic Elite lors de la réception de l’Elan Béarnais dimanche prochain.\n\nÀ Paris.\n\nBoxscore Paris Basketball – Buducnost Podgorica / Calendrier Eurocup / Classement Eurocup\n\nPhoto : Eurocup
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Johanne Gomis et l’après-basket : «Au début, je suis très à fleur de peau et même un peu fragile...»
L’ancienne internationale Johanne Gomis, 37 ans, est désormais responsable du centre de formation de l’ASVEL. Elle a donné une interview en profondeur à Oyaba360 dont voici trois temps-forts.\n\nA propos de sa « différence »\n\n« Je suis née dans le Val-De-Marne, mais nous avons très vite déménagé en Picardie. À notre arrivée, je me retrouve dans une école où je suis la seule noire. C’est un fait anecdotique, qui a quand même son importance, car en réalité, je suis réellement différente, différente de tous les autres enfants. Je ne dirais pas que je n’ai pas d’amis, mais je ne m’y sens pas à ma place. Et il faut visualiser le contexte, nous sommes au début des années 90. »\n\nA propos de l’équipe de France :\n\n« Je fais ma première sélection en Équipe de France quand Pierre Vincent me convoque. Je suis à la fois surprise, contente, stressée et très timide. Je ne m’y sens pas légitime. La sélection est toujours difficile pour moi, peu importe les saisons que je fais en club. Je ne sais pas trop comment l’expliquer. La première fois que j’entends l’hymne national en Équipe de France, j’en pleure tellement je suis émue. C’est incroyable, et en même temps, j’ai toujours ce sentiment d’illégitimité. Je pense que c’est pour moi un plafond de verre pendant très longtemps. Et puis j’appartiens à une génération entre-deux. Au-dessus de moi, c’est très fort. C’est-à-dire les 83, les Dumerc and co. Ensuite la génération en dessous, 89, 90, elle aussi est très forte (...) J’ai l’anecdote d’une sélection où je ne suis pas dans la liste. Je ne comprends pas. Je suis hyper triste. Je me remets en question sur les points à améliorer ou les choses que je n’ai pas faites. Je fais partie de ses joueuses qui demandent toujours des explications à leur sélectionneur afin de comprendre le pourquoi du comment. Et l’équipe de France, c’est aussi comme cela. Tu es réunie après le lunch. Il y a toute l’équipe. Le sélectionneur annonce les 12 filles qui partent jouer la compétition. Il énonce les différents noms des filles sélectionnées devant tout le monde. Lorsqu’il n’y a pas ton nom, tu te dis : “Peut-être que je ne l’ai pas entendu”. Tu n’es pas sûre. Ensuite, il explique que le départ se fera le lendemain et que sa porte reste ouverte pour les joueuses non sélectionnées voulant des explications. De mon côté, je reste hagarde et les autres filles viennent me réconforter. Tu penses avoir mal entendu puis tu réalises que tu n’es réellement pas dans la liste. Il y a des fois où tu as conscience que tu n’es pas à la hauteur et d’autres où tu souhaites comprendre, car tu penses avoir fait tout ce qu’il faut. J’ai, par exemple, eu un coach au moins autant ému que moi, après l’annonce de sa liste pour les Jeux. »\n\nA propos de l’après-basket :\n\n« Lorsque tu arrêtes ta carrière sportive, il y a une partie de toi qui n’est plus là. C’est même la plus grosse partie de toi, ton essence. J’ai dit toute ma vie que j’étais basketteuse. Et je ne le suis plus maintenant. Dans mon titre et la personne que je suis, ça n’existe plus. J’ai tout de suite une activité, c’est ce qui m’empêche de réfléchir trop longtemps. Je pense que j’étais une athlète solide mentalement qui tombe et se relève. Mais dans ma nouvelle vie, tout me parait compliqué. Au début, je suis très à fleur de peau et même un peu fragile. À l’inverse de ce que j’étais en tant qu’athlète, finalement. La moindre chose peut me faire pleurer. J’ai du mal à définir les raisons de ce qui me rend aussi fragile, puisque j’ai envie d’assumer mon nouveau rôle. Mes proches et ceux qui m’entourent, eux, voient le changement. Je suis une nouvelle personne. “Jo l’athlète” est-elle morte ? J’ai aussi la chance aujourd’hui d’être entouré de personnes qui ont aussi arrêté leur carrière dans ma nouvelle activité. Ils sont passés par l’étape par laquelle je suis passé et m’ont donné un peu les clés. Ça m’a permis de dédramatiser les choses. »\n\nPhoto : FIBA
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Voici les maillots du BCM Gravelines pour le Carnaval
C’est chaque année un moment attendu : voici la version 2023 des maillots du BCM Gravelines-Dunkerque pour le carnaval.\n\nCe sont à chaque fois des maillots bariolés et c’est le jaune/orange qui seront les couleurs prédominantes sur cette tunique mais tout en gardant des touches de rose et de bleu. Les joueurs les porteront le samedi 4 match lors du match de Carnaval contre le Paris Basketball. Ils seront en vente sur le site du club pour les abonnés dès demain jeudi et pour les non-abonnés à partir du lundi 13 février.\n\nPhotos : BCM
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La belge Emma Meesseman va devoir choisir entre son équipe nationale et la WNBA
Les joueuses européennes vont devoir faire un choix entre leur équipe nationale et leur franchise WNBA. C’est ce qu’a expliqué la Belge Emma Meesseman, qui est une star des deux côtés de l’Atlantique.\n\nEmma Meesseman (1,92 m, 29 ans) indique qu’elle va prendre une décision en fin de semaine quand elle saura si la Belgique sera qualifiée ou non à l’EuroBasket après ses matches face à l’Allemagne et la Macédoine du Nord.\n\n”Cela va dépendre d’une qualification ou pas pour l’Euro. C’est toujours difficile de combiner trois compétitions avec la saison en club, l’équipe nationale et la WNBA. La saison en Turquie termine tard (NDLR: elle joue à Fenerbahçe). On saura cette semaine si on va à l’Euro et comment se ferait alors la préparation les deux semaines qui précèdent. La WNBA a instauré aussi une nouvelle règle qui impose aux joueuses d’être là obligatoirement dès le début. Ce n’est pas bon pour les joueuses européennes.”\n\nL’EuroBasket en Slovénie et Israël se déroule du 15 au 25 juin alors que la WNBA redémarre le 5 mai pour la pré-saison et la saison régulière le 19 mai. Les internationales françaises vont se retrouver devant le même cas de figure...\n\nPhoto : FIBA
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Turquie : Shane Larkin s’investit pour venir en aide aux victimes du tremblement de terre
L’international turc d’Anadolu Efes, originaire des Etats-Unis, Shane Larkin, est monté en première ligne pour venir en aide aux victimes du tremblement de terre qui a dévasté la Turquie lundi.\n\n« De nombreuses personnes dans la région traversent des moments très difficiles dans des conditions défavorables. Je crois que la meilleure chose que nous puissions faire dans de telles situations est d’être ensemble, a t-il déclaré. Dans cette situation, je voudrais expliquer que tous les dons à la Fondation Shane Larkin seront transférés en coordination aux institutions officielles avec lesquelles nous sommes en contact et qui travaillent pour les victimes du tremblement de terre. C’est une grande tragédie, mais je crois que nous pouvons la surmonter si nous sommes unis, forts et résilients. Veuillez garder vos prières pour notre peuple touché par cette tragédie.«\n\nSelon les derniers bilans, les séismes ont tué 8 574 personnes en Turquie et 2 662 en Syrie.\n\n\n🇹🇷🙏🏽 pic.twitter.com/glrSRc7onM\n\n— Shane Larkin (@shanelarkin) February 7, 2023\n\n\nPhoto : FIBA
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CJ Williams revient à Pau
Après plusieurs semaines de recherche, l’Elan Béarnais a enfin trouvé son renfort, en faisant revenir l’arrière américaine CJ Williams (1,96 m, 33 ans) qui avait joué avec lui la deuxième partie de la saison 2020-21.\n\nCJ Williams est un joueur très expérimenté, qui a fait de la NBA, de la G-League, et à Dijon lors de la saison 2015-16. Après son passage en Béarn (10,7 points, 3,0 rebonds), il a transité par Yalova en Turquie et Ness Ziona en Israël où il a pointé à 9,2 points (38,9 % à trois-points) et 3,2 rebonds en ce début de saison. Commentaire du président Sébastien Ménard :\n\n« Nous sommes ravis d’accueillir un ancien pensionnaire de l’Elan Béarnais qui aime notre club, nos supporters et notre territoire ! Au-delà de toutes ces qualités techniques, notamment d’adresse longue distance, de sa grande expérience au plus haut niveau (NBA, Euroleague...) il peut nous apporter toute son expérience et a déjà connu un contexte compliqué lors de sa venue en 2021. Engagé et doté d’un très bon état d’esprit, il nous a paru le profil le plus adapté pour poursuivre notre plan de sauvetage du club entamé en août 2022. La possibilité de se libérer immédiatement nous permettra, suite à la validation de la visite médicale, également de palier à l’absence de Markeith Cummings pour les deux prochaines rencontres. Bravo et merci à Audrey Sauret pour cette belle idée et pour sa contribution décisive! »\n\nLe coach Eric Bartecheky ajoute :\n\n« On a enfin trouvé notre joueur. CJ est un joueur qui connait bien le championnat, déjà passé par le club, qui connait le basket et il a surtout un bon shoot à 3-points »
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Nando De Colo envoie une pique à la Ministre des Sports
Sur twitter, Nando De Colo a critiqué un message de la Ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, qui a attendu que LeBron James devienne le meilleur marqueur de la NBA pour le féliciter d’être devenu le meilleur marqueur des histoires des Coupes d’Europe.\n\nC’est le 3 février lors d’un match contre la Virtus Bologne que le Villeurbannais a atteint 4 905 points et a ainsi détrôné le Grec Nick Galis comme recordman des points en coupes d’Europe. Mais, ici même, un exploit d’un Français fait moins le buzz que celui d’un Américain qui bénéficie de la force de communication de la NBA. CQFD.\n\n\nAvec tout mon respect Madame la Ministre, c’est dommage d’attendre un record étranger pour féliciter ses propres athlètes. Mais merci quand même. https://t.co/YyR3bp8FHx\n\n— Nando De Colo (@NandoDeColo) February 8, 2023\n\n\nPhoto : Euroleague
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Sadio Doucouré (Nanterre) : «On va tout faire pour redresser la barre»
Sadio Doucouré (2,01 m, 30 ans) effectue à Nanterre une pige médicale en remplacement de Rion Brown et il s’en dit ravi dans une interview sur le site du club.\n\nA la question de savoir pourquoi il a choisi l’équipe de Pascal Donnadieu, il répond :\n\n« Pour plusieurs raisons. Déjà, parce que je suis natif de la région parisienne et la seule fois où j’ai pu jouer pour une équipe parisienne, c’était à Levallois (13 matchs en 2019-20) et c’était super parce que ma famille pouvait venir me voir jouer. Quand mon agent m’a parlé de Nanterre, j’ai tout de suite accepté, tu ne peux pas refuser Nanterre, surtout dans la situation dans laquelle j’étais. »\n\nAprès avoir porté les maillots de huit clubs différents, Sadio Doucouré était sans job depuis la fin de saison dernière.\n\n« Je connais le club depuis mes années en centre de formation et ça n’a jamais changé. Quand je dis que Nanterre ça ne se refuse pas, c’est que même en tant que supporters, c’est Nanterre quoi (rires.) quand j’en parle avec ma famille, c’est dingue ! Pour comparer au foot, à Paris quand tu parles du PSG tout le monde est content, Nanterre c’est la même chose pour moi. Si cette saison Levallois a plus de spectateurs, c’est en grande partie grâce à Victor Wembanyama. On ne va pas se mentir, Nanterre, c’est au-dessus. »\n\nAvec 7 victoires et 13 défaites, Nanterre est actuellement 14e au classement de la Betclic Elite. Une place inhabituelle pour le club double vainqueur d’une coupe d’Europe.\n\n« J’ai parlé du PSG, je suis un grand fan de foot. Je n’ai pas vraiment suivi la saison en Betclic Élite et en pro B. Je connais bien Bastien (Pinault) et Benjamin (Sene), Miki (Halilovic) aussi puisque je l’ai joué quand il était à Orléans. C’est clair que de voir Nanterre à ce niveau-là du classement ce n’est pas habituel puisque le club est connu pour jouer la première partie de tableau. On va tout faire pour redresser la barre. »\n\nPhoto : Nanterre 92
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Pauline Astier, l’avenir de l’équipe de France conjugué au présent
En avance sur les temps de passage, Pauline Astier (1,78 m, 20 ans) a de nouveau été appelée en équipe de France à l’occasion d’une fenêtre internationale décisive pour la qualification à l’EuroBasket 2023. La meneuse de Bourges, aux six sélections chez les Bleues, s’affirme de jour en jour comme le futur du basket français. Basket Europe s’est entretenu avec elle.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nPauline Astier devient une habituée de la liste de Jean-Aimé Toupane. Appelée dans le groupe A pour préparer la Coupe du monde en Australie, elle était également du voyage en Océanie l’été dernier. Conviée une nouvelle fois au rassemblement des Bleues au mois de novembre, la meneuse des Tango Bourges s’installe comme une joueuse essentielle au projet du sélectionneur, qui a sans doute un oeil rivé sur Paris 2024. Questionnée sur son sentiment après une nouvelle sélection, elle nous a répondu tout sourire :\n\n« À chaque fois, je suis très contente. Quand la liste sort, c’est toujours une belle surprise même si je fais ce qu’il faut en club ou pendant les stages pour en faire partie. »\n\nPauline Astier en équipe de France est ni un choix anodin, ni un choix par défaut en l’absence de joueuses arrières des Bleues, comme Alix Duchet ou Olivia Epoupa. Après avoir été une des patronnes de la sélection U20 au championnat d’Europe de la catégorie en août 2022, elle avait directement enchaîné avec les Bleues. À la suite de son été, la Tarbaise a pris les responsabilités qui lui ont été aisément allouée à Bourges, en l’absence de quelques cadres. MVP du match des champions face à Basket Landes, elle a commencé sa saison de la plus belle des manières avant de connaître un léger coup de fatigue en fin d’année.\n\n« Cette saison, c’est la deuxième fois où je joue une compétition européenne. Cela se passe bien même si j’ai eu un petit coup de mou en fin d’année, à force d’enchaîner tous les étés. Il y a forcément un moment où la fatigue arrive. En janvier, j’ai repris le rythme et mes repères avec Bourges en fonction des joueuses présentes ou non. Il faut tout le temps se réadapter. »\n\nL’adaptation, le maître mot de Pauline Astier en club comme en sélection. Capable d’évoluer au poste 1 comme au poste 2, elle apporte de la polyvalence au jeu et crée sans cesse pour ses coéquipières. Ses quasiment trois passes décisives de moyenne en 18 minutes cette saison en témoignent :\n\n« Je veux apporter quelque chose que l’équipe n’a pas. Du rythme, ma fougue liée à ma jeunesse et de l’énergie ».\n\nUn renouveau qui fait du bien aux équipes dans lesquelles elle évolue, et elle ne passe jamais inaperçue une fois sur le terrain. Joueuse moderne par excellence, c’est un profil que ne possède pas l’équipe de France.\n\n\n« J’ai beaucoup à apprendre de Sarah Michel, j’aime comment elle réfléchit, elle défend. Je retrouve des similitudes dans nos jeux. »\n\nUne arrière à la « Sarah Michel », avec l’expérience en moins, le rapprochement est tout trouvé. Les Berruyères évoluent ensemble en pro depuis 2019, bien que Pauline Astier ait rejoint le centre de formation dès 2016. Rapidement, la désormais capitaine des Bleues est devenue un modèle pour elle :\n\n« Je peux être associée à Sarah sur les lignes arrières, c’est un avantage, on arrive à se relayer. Il ne faut pas se fermer de portes ni trop s’éparpiller, c’est un juste milieu à trouver quand on évolue sur les deux postes. J’arrive à retrouver des similitudes entre les deux postes et aussi dans nos deux jeux. J’ai beaucoup à apprendre de Sarah Michel, j’aime comment elle réfléchit, elle défend. »\n\nSarah Michel n’est évidemment pas la seule joueuse familière à Pauline en équipe de France. En plus d’avoir croisé toutes les filles une multitude de fois en tant qu’adversaires, nombreuses d’entre elles sont également passées par le Tango Bourges Basket. Des amies qui ont aussi facilité son arrivée en équipe de France. Iliana Rupert et Alexia Chartereau, entre autres, ont marqué Bourges, chez qui Pauline a décidé de prolonger jusqu’en 2025. Elle revient sur ce moment fort en début de saison, lorsqu’elle fut honorée par surprise au centre du parquet par sa présidente Agnès Saint-Gès :\n\n« Je ne m’attendais pas à une telle cérémonie. Je pensais qu’ils allaient l’annoncer juste sur les réseaux sociaux. J’étais hyper heureuse« .\n\n\nCette pose, on en parle Sarah Michel et @PaulineAstier3 ? 😅\n👋 @BourgesBasket c'est comme ça toute l'année ? #PassionnémentBleu @EuroBasketWomen pic.twitter.com/wrjYwfb8Zy\n\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) February 6, 2023\n\n\nÀ bientôt 21 ans, le début de carrière de Pauline Astier est remarquable. Elle s’en donne les moyens, peu importe dans quel contexte elle évolue. Sous les ordres de Jean-Aimé Toupane comme ceux d’Olivier Lafargue, à Bourges, le courant passe très bien. Les deux coaches lui font confiance et « n’ont pas peur de lui laisser prendre des initiatives ». Dans le club qu’elle qualifie « d’excellence », elle note aussi la chance qu’elle a d’évoluer dans un tel cadre, aux côtés de joueuses qui facilitent sa progression. Une déclaration d’amour au Tango Bourges Basket :\n\n« À Bourges, nous avons tout à notre disposition pour évoluer dans les meilleures conditions. Il y a les coachs, les structures, les bénévoles et le public bien évidemment. Quand on est bien dans un endroit, cela nous pousse à y rester. »\n\nPour le moment, c’est sur l’équipe de France qu’elle se focalise. Les Bleues affrontent ce jeudi la sélection de Lituanie, qui compte dans ses rangs la pépite Juste Jocyte, « une forte shooteuse avec beaucoup de talent », prévient Pauline Astier. Sans déjà penser aux Jeux Olympiques à la maison, la meneuse compte d’abord se battre pour faire partie de la liste de l’EuroBasket 2023 – en cas de qualification des Bleues – du 15 au 25 juin prochain.\n\n.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nPauline Astier devient une habituée de la liste de Jean-Aimé Toupane. Appelée dans le groupe A pour préparer la Coupe du monde en Australie, elle était également du voyage en Océanie l’été dernier. Conviée une nouvelle fois au rassemblement des Bleues au mois de novembre, la meneuse des Tango Bourges s’installe comme une joueuse essentielle au projet du sélectionneur, qui a sans doute un oeil rivé sur Paris 2024. Questionnée sur son sentiment après une nouvelle sélection, elle nous a répondu tout sourire :\n\n« À chaque fois, je suis très contente. Quand la liste sort, c’est toujours une belle surprise même si je fais ce qu’il faut en club ou pendant les stages pour en faire partie. »\n\nPauline Astier en équipe de France est ni un choix anodin, ni un choix par défaut en l’absence de joueuses arrières des Bleues, comme Alix Duchet ou Olivia Epoupa. Après avoir été une des patronnes de la sélection U20 au championnat d’Europe de la catégorie en août 2022, elle avait directement enchaîné avec les « vraies » Bleues...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Pauline Astier (FFBB)
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Paul Seignolle, président de Blois : «Il faut rajeunir les instances dirigeantes de la ligue»
Alain Béral va mettre un terme à son mandat de président de la Ligue Nationale de Basket. Cela s’agite dans les coulisses pour lui trouver un successeur. Le président de l’ADA Blois, Paul Seignolle, souhaite du sang frais.\n\nC’est le 28 juin prochain que 72 votants éliront le sixième président de la LNB. Il apparaît que Philippe Ausseur, le président de la DNCCGCP (Direction nationale du conseil et du contrôle de gestion des clubs professionnels) et Dominique Juillot, l’ancien président de l’Élan Chalon de 1993 à 2021 pourraient postuler. Dans les colonnes de La Nouvelle République, Paul Seignolle déclare qu’il attend la Leaders Cup à Saint-Chamond pour en savoir davantage.\n\n« Le premier est un financier, c’est l’homme a qui l’on présente notre budget chaque année. Le second a été député et il est toujours maire (de Mercurey). Voilà pour les hommes, mais ce qui compte ce sont les programmes. J’espère qu’ils viendront avec le 18 février. » Les souhaits du président blésois ? « Déjà, qu’il associe les clubs au fonctionnement de la ligue. Mais aussi qu’il rajeunisse les instances dirigeantes car nous sommes un certain nombre, et je suis dans le wagon, à avoir déjà de la bouteille. L’expérience, c’est bien. Mais on a besoin de renouveau. »\n\nPaul Seignolle estime par ailleurs que la Betclic Elite se doit de passer de 18 à 16 clubs.\n\n« On va passer à 16 en 2024-2025, nous avons voté en ce sens l’an dernier. Vincent Collet vient d’affirmer que cette réduction ne lui semblait finalement pas nécessaire... On peut toujours revoter... Mais, pour moi, le sujet n’est plus là. Notre priorité, c’est déjà de rebâtir. »\n\nPhoto : Tuan Nguyen
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Betclic Elite: Un point sur les contrats pros utilisés par les clubs
Chaque club a le droit par saison à 16 contrats professionnels, jokers médicaux compris. Voici leur situation :\n\n15 : Nanterre, Paris, Strasbourg, Villeurbanne.\n\n14 : Limoges, Nancy\n\n13 : Fos, Monaco\n\n12 : Blois, Boulogne-Levallois, Bourg, Dijon, Gravelines-Dunkerque, Le Mans, Le Portel\n\n11 : Cholet\n\n10 : Pau, Roanne\n\nA partir du 1er mars, chaque club n’a plus droit qu’à 2 jokers médicaux, toujours dans la limite des 16 contrats pros autorisés.\n\nPhoto : Paul Lacombe (Strasbourg, FIBA), l’un des 15 contrats pros de la SIG.
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Qualifications EuroBasket : Les 15 Lituaniennes pour le match contre la France
Quinze joueuses dont la Lyonnaise Juste Jocyte constituent le groupe lituanien qui jouera contre la France, le jeudi 9 février à Vilnius, et le 12 février contre l’Ukraine à Riga.\n\nHuit d’entre-elles opèrent à l’étranger. Daugilė Šarauskaitė, qui évolue en Turquie, au Basketbol Kaiser est forfait en raison d’un doigt cassé.\n\n * Audronė Zdanevičiūtė, Kaunas Aistės-LSMU\n * Dalia Donskichytė, Klaipėda Neptūnas\n * Eglė Šventoraitė, Botas SK Ankara (Turquie)\n * Gabija Meškonytė, Lointek Gernika (Espagne)\n * Gabriele Šulskė, Vilnius Kibirkštis\n * Gerda Raulušaitytė, Vilnius Kibirkštis\n * Giedrė Labuckienė, Gérone Spar (Espagne)\n * Gintarė Petronytė, Vilnius Kibirkštis\n * Justė Jocytė, Lyon ASVEL (France)\n * Kamilė Nacickaitė, Galatasaray Istanbul (Turquie)\n * Laura Juškaitė, Virtus Eirene Raguse (Italie)\n * Laurita Jurčiūtė, Université internationale de Klaipėda LCC\n * Monika Grigalauskytė, Mersin Cukurova BK (Turquie)\n * Santa Whitestocking, Holon Elitzur (Israël)\n * Ugnė Sirtautaitė, Vilnius Kibirkštis\n\nPhoto : Juste Jocyte (FIBA)
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Dee Spencer de retour à Roanne en guest star
L’une des plus grandes stars depuis la création de la LNB, élu Meilleur Joueur étranger de Pro A en 2007, Dee Spencer, donnera le coup d’envoi du match entre Roanne et Fos ce vendredi.\n\nL’Américain a enchanté la Halle Vacheresse de 2005 à 2007. Avec lui, la Chorale a réussi le doublé semaine des As-championnat de France lors de la saison 2006-2007. Dee Spencer a joué ensuite à la Virtus Bologne, à Anadolu Efes, au Mans (2008-10), avant de faire le tour du globe, du Liban à la Chine en passant par la Corée du Sud et le Venezuela. Il joue aujourd’hui en Egypte, à 40 ans.\n\n\n🚨 Evènement à Vacheresse ce vendredi 🚨\nDee Spencer est de retour à #Roanne 🔵⚪\nLa Légende donnera le coup d'envoi du match de #BetclicELITE 🆚 @FosProvenceBB 🏀\nA la #ChoraleNation de jouer maintenant 🙏\n👉 Venez blinder la Halle pour ovationner le #MVP 2007 👏#CHOBYERS pic.twitter.com/2ZXVGSmGF1\n\n— Chorale Roanne Basket (@ChoraleRoanne) February 7, 2023\n
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8e de finale Coupe de France : Le Mans et ses espoirs font chuter Nancy
Amputé de cinq joueurs de base, Le Mans a tout de même réussi à éliminer le SLUC Nancy en Lorraine (78-86).\n\nKaza Kajami-Keane, Terry Tarpey, Tres Tinkle, Williams Narace et Valentin Chery étaient tous forfait en raison de blessures diverses. Alors bien sûr, Matt Morgan (25 points à 6/11 aux shoots) a été royal bien secondé par Brynton Lemar (19 points), Josh Carlton (15 points et 9 rebonds) et encore Abdoulaye Ndoye (8 points et 7 rebonds), mais le coach Elric Delord a du confier 30 minutes à Marcus Gomis et 55 minutes à des Espoirs. C’est ainsi que Raphaël Djasrambaye en a profité pour marquer 6 points et prendre 5 rebonds.\n\n« Avec cinq joueurs pros absents, sincèrement, il aurait été normal de perdre à Nancy. Moi-même je n’aurais pas misé beaucoup sur notre victoire... Mais en même temps, si on perdait, c’était la fin de la compétition. Alors avec le staff, on devait tout mettre en place pour tenter de gagner ce match. Pour y arriver, il fallait impliquer au maximum les jeunes et se comporter comme si on était au complet. On pouvait perdre, mais je voulais au moins qu’on affiche un esprit conquérant et qu’on fasse tout pour gagner. Je voulais qu’on sorte de ce match sans aucun regret. » a savouré Elric Delord en conférence de presse. « Evidemment après le match, le sentiment qui domine c’est la fierté. Les gars ont tout fait pour gagner et ils l’ont fait tous ensemble. Je suis fier d’entrainer un groupe comme celui-là. Cette équipe a du cœur et elle l’a une nouvelle fois démontré. Cette victoire à Nancy est une très belle performance dans un contexte particulier, avec tant de joueurs blessés, et l’enjeu de décrocher un quart de finale de Coupe de France. Mais plus que cette victoire, c’est la dynamique actuelle de l’équipe que je préfère souligner. Collectivement on joue bien, les joueurs s’entendent bien et tout le monde fait les efforts nécessaires. L’état d’esprit général est très bon en ce moment. On doit le conserver. »\n\nLes motifs de satisfaction pour le SLUC ? Les 25 points et 14 rebonds pour 35 d’évaluation de Mike Scott et tout autant d’avoir rassemblé 5 044 spectateurs pour un match de Coupe de France, un mardi. Cela confirme que Nancy est la ville où le basket est roi. Pour le reste... Les yeux des Lorrains sont désormais braqués sur samedi et la réception du Portel. Cette fois, il ne faudra pas se louper sous peine de se mettre en grand danger. Quant au Mans, il reçoit l’ASVEL ce week-end. A voir si son effectif va se remplumer d’ici là.\n\nPhoto : MSB
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Salaires Pro B 2022-23 – Gries-Souffel: Tom Digbeu, un retour remarqué
Ayant fait des efforts pour grimper dans la hiérarchie financière de la Pro B, l’Alliance Sportive Alsace n’en tire pour le moment pas tous les bénéfices. Ce malgré les très bonnes performances de Strahinja Gavrilovic et l’arrivée remarquée de Tom Digbeu en France.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nGries-Souffelweyersheim – saison 2022-2023\nBudget : 1 885 000 euros (14e, +8 %)\nMasse salariale (brut) : 773 500 euros (7e, +10 %)\nClassement après 19 journées : 12e (9-10)\n\nFondée en 2021, l’Alliance Sportive Alsace, fusion de Gries-Oberhoffen et Souffelweyersheim, s’est immédiatement imposée comme l’une des équipes de Pro B à surveiller, d’autant que dotée de ressources financières intéressantes. Si son budget n’atteint pas encore les 2 millions d’euros, le club alsacien en consacre une importante partie – 41 % – à sa masse salariale, ce qui était déjà le cas la saison passée. En un an, les Alsaciens ont augmenté leur budget d’environ 130 000 euros et leur masse salariale d’environ 70 000 euros, de quoi recruter un très bon joueur de Pro B et d’augmenter le salaire de ses joueurs.\n\nPour le moment, cette hausse des moyens ne se traduit pas sur le plan sportif. L’ASA figure « seulement » au 10e rang ex-aequo du championnat. La faute à un début d’exercice complètement raté – 8 défaites sur les 9 premières rencontres. Ayant remplacé Kyan Anderson, peu à l’aise dans son rôle de meneur de jeu, par Jamar Diggs, l’équipe de Julien Espinosa a repris des couleurs, remontant dans la hiérarchie grâce à ses 8 victoires sur les 10 derniers matches.\n\n\n\n\nDes joueurs bien payés\n\nTout en n’augmentant que peu ses plus hauts salaires – Ivan Vranes, plus gros revenu la saison passée, touchait 57 000 euros –, le club alsacien paye très correctement ses joueurs majeurs. Les deux joueurs les mieux payés figurent dans les 30 plus hauts salaires de la division, les deux suivants autour des 50 premiers.\n\nEn outre, si l’on projette sur la saison les émoluments de Jamar Diggs, qui toucherait alors environ 65 000 euros, Gries-Souffel afficherait deux joueurs dans les 25 plus hauts salaires de Pro B. Un indicateur de la montée de gamme du club. Pour sa part, le coach Julien Espinosa se situe dans la moyenne des salaires des entraîneurs de Pro B.\n\n\nLa révélation Tom Digbeu\n\nSi Jamar Diggs (12,5 d’évaluation) et, surtout, Strahinja Gavrilovic (15,5, 15e évaluation de Pro B) justifient leur salaire, il n’en est pas encore de même pour Zimmy Nwogbo (10,5 d’évaluation cette saison contre 13,3 l’année passée tout en étant augmenté de 10 000 euros) et pour Cyrille Eliezer-Vanerot (8,3 d’évaluation contre 10,4 en 2021-22).\n\nC’est surtout du côté des joueurs français que l’on rencontre des satisfactions, malgré des salaires peu élevés. Jérôme Cazenobe est dans ses standards (11,5 d’évaluation avec 4,5 points de moyenne !), alors que Sofiane Briki, Anthony Racine, Léopold Ca et le jeune Nathan de Sousa ont vu leur rendement progresser, le dernier produisant d’excellents matches – quatre à plus de 10 d’évaluation sur les cinq dernières rencontres, alors qu’il va fêter ses 20 ans fin février.\n\nPlus marquant encore, Tom Digbeu, arrivé début décembre, tourne à 16,9 d’évaluation après des débuts pétaradants : 4 matches pour démarrer entre 21 et 29 d’évaluation. Mais la suite s’est révélée plus difficile pour le fils d’Alain, avec 5 rencontres entre 10 et 19 d’évaluation puis, pour les deux dernières parties, 3 et 5 d’évaluation. À voir quel sera le Tom Digbeu des prochains matches...\n\nAvec ses moyens confortables, l’ASA semble être à un tournant de sa saison : soit elle continue sur sa bonne série actuelle et peut alors prétendre aux playoffs, soit elle se met à stagner et il faudra alors regarder dans le rétroviseur pour ne pas se faire peur.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Strahinja GavrilovicSRB-202365 000 €Zimmy NwogboUSA/NIG50 000 €202360 000 €Cyrille Eliezer-VanerotFRA55 000 €202355 000 €Jérôme CazenobeFRA50 000 €202350 000 €Jamar DiggsUSA75 000 €7 mois45 000 €Dovydas RedikasLIT12 000 € (4 mois)202335 000 €Sofiane BrikiFRA25 000 €202435 000 €Anthony RacineFRA30 000 € (8 mois)202335 000 €Leopold CaFRA30 000 €202432 000 €Tom DigbeuESP/FRA-7 mois30 000 €Nathan De SousaFRA21 000 €2023 (prêt)27 500 €Kyan AndersonUSA-(4 mois)24 000 €Jimmy DjimrabayeCAF30 600 €(1 mois)4 000 €Julien Espinosa (coach)FRA20 000 € (4 mois)202455 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Tom Digbeu © Tom Roeckel (montage Basket Europe)
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Vidéo : la Tony Parker Academy de Saint-Ouen se prépare depuis Lyon
Ce weekend, BFM TV a consacré un reportage à la future Tony Parker Academy de Saint-Ouen. Les élus locaux ont visité la première du nom, à Lyon.\n\nAprès celle de Lyon en 2019, une deuxième Tony Parker Academy va ouvrir ses portes d’ici la fin 2024 à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. L’établissement sera installé dans le complexe sportif de l’Île-des-Vannes. Mais avant sa sortie de terre, les élus locaux ont rencontré TP dans son académie de Lyon.\n\n« C’est la première fois que j’ai autant d’élus à la même table. Et c’est génial parce que je crois beaucoup à l’union fait la force. Il faut fédérer pour réunir de grands projets. Ça va être fabuleux. On va pouvoir améliorer la vie des jeunes là-bas », a confié le président de l’ASVEL à BFM pour l’occasion.\n\n\n🏀 \Un projet qui transforme totalement le territoire\\n\nDéjà implantée à Lyon, la Tony Parker Academy ouvrira ses portes à Saint-Ouen en 2024 pic.twitter.com/IUkx2dvuFx\n\n— BFM Paris Île-de-France (@BFMParis) February 4, 2023\n\n\nPhoto : Tony Parker (LNB)
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Le point sur l’infirmerie à Boulogne-Levallois
Les Mets font partie des équipes durement touchées par les blessures. Voici un point étape effectué par le club lui-même.\n\nTremont WATERS\n\nPOINT INFIRMERIE : FEVRIER 2023\n\nSouffrant d’une commotion cérébrale depuis le match contre Fos-sur-Mer, le meneur Tremont Waters est actuellement arrêté jusqu’à ce qu’il soit de nouveau apte à jouer. Son retour sur les parquets est estimé après la fenêtre internationale FIBA.\n\nHugo BESSON\n\nÀ la suite d’un choc subi à la hanche contre Nanterre, Hugo Besson a été arrêté pendant 15 jours. Une arthroscopie est prévue cette semaine.\n\nArmel TRAORE\n\nArrêté depuis novembre pour une blessure au niveau du genou, Armel Traore a été opéré et a repris sa réathlétisation. Son retour est estimé au 1er mars.\n\nAaron HENRY\n\nBlessé au genou lors d’un entrainement début décembre, Aaron Henry est en cours de réathlétisation.\n\nIdrissa BA\n\nOpéré au niveau de l’épaule en novembre, Idrissa Ba poursuit sa rééducation.\n\nIbrahima Fall FAYE\n\nTouché aux ligaments croisés lors du match contre Nanterre en novembre, Ibrahima Fall Faye a commencé sa rééducation.\n\nPhoto : Hugo Besson (Thomas Savoja)
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BCL : Strasbourg défait à Jérusalem au terme d’un match fou
En terres hostiles, la SIG Strasbourg va nourrir des regrets. Elle repart de l’Hapoel Jérusalem avec une défaite décidée au buzzer face à un candidat direct à la première place du groupe (81-80).\n\nÀ huit minutes de la fin, Strasbourg menait de 15 points à Jérusalem et pensait avoir fait le plus dur au cours d’une rencontre de haute intensité. Mais c’était sans compter un adversaire tenace, galvanisé par son public et dotée de quelques pépites aux noms de l’intérieur Zach Hankins (28 points et 12 rebonds), l’artilleur Speedy Smith (11 points et 8 passes décisives) et le shooteur décisif Levi Randolph (14 points).\n\n\n🚨 TIME TO LEVITATE! @LeviRandolph20 hits the game winner against his former club to deafening noise in Jerusalem! 🚨 #BasketballCL pic.twitter.com/lTyhqsTEoB\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) February 7, 2023\n\n\nDans la continuité d’un troisième quart maîtrisé (55-63, 30e), les Strasbourgeois revenaient forts dès l’entame du dernier acte. En enchaînant stops défensifs et jeu rapide, Marcus Keene et ses coéquipiers comptaient 15 points d’avance à la 32e minute.\n\nPuis le collectif alsacien s’est ensuite fait surprendre ! Les joueurs de Jerusalem n’avaient pas dit leur dernier mot à domicile. Poussés par leur public et aidés d’une faute anti-sportive sifflée à l’encontre de la formation française, l’Hapoel revenait à quatre points à quatre minutes du terme. Ses joueurs retrouvaient peu à peu une adresse extérieure létale et recollait au score à deux minutes de la fin, à 75 partout.\nLes tirs de haut niveau frappaient de tous les côtés. Marcus Keene envoyait même une bombe quasi-victorieuse derrière l’arc avec une horloge qui indiquait 3,6 secondes à jouer. Le temps nécessaire pour les joueurs de Jérusalem de trouver une ultime attaque fructueuse.\n\n\nMarkus Keene en mode MVP, malgré la défaite ...\n\nLe meneur de Strasbourg espérait une meilleure fin. Incisif dès le début de la rencontre avec 7 points et 2 caviars dans le premier quart, il permettait à la SIG de mener 19à 16. Il termine le match à 20 points et 12 passes décisives. Principal artisan du mano a mano qui a eu lieu entre les deux équipes, il a bien était secondé par l’entrée de Lucas Beaufort en première période puis les belles séquences offensives de Rodions Kurucs (19 points et 6 rebonds) au retour des vestiaires.\n\nLes hommes de Luca Banchi devront se rattraper avec la réception de Cholet ce samedi en Betclic Elite. Ils tenteront de se rapprocher du top 8 du classement. Leur prochaine rencontre sur la scène européenne se déroulera après la trêve internationale. Nous retrouverons la SIG le 8 mars pour l’affrontement retour face à la JDA Dijon.\n\n\n😮‍💨 @Marcus3Keene is puttin' on a CLINIC!#BasketballCL I @sigstrasbourg pic.twitter.com/DdjYe5s8Ok\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) February 7, 2023\n\n\nBoxscore Hapoel Jerusalem – SIG Strasbourg / Calendrier BCL / Classement BCL\n\nPhoto : FIBA
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BCL : Renversé à Athènes, Limoges s’éloigne des quarts de finale
Malgré avoir compté 20 points d’avance, le Limoges CSP a concédé mardi soir sa troisième défaite de rang dans le top 16 de BCL contre l’AEK Athènes (82-72). La qualification en quarts de finale s’éloigne un peu plus.\n\nTrente ans après son sacre européen, Limoges était de retour ce mardi soir dans la capitale grecque. Dans un tout autre contexte car l’AEK Athènes étant privé de ses supporters, on a cru revivre un match de la saison de pandémie. Et dans ce cas-là, le sort d’un match ne réserve aucune surprise à l’équipe qui s’endort, ce qui a clairement été le cas du CSP.\n\nPrivés de Bryce Jones (béquille), les Limougeauds avaient pourtant réalisé un départ canon (17-37, 13e). Ce grâce à une adresse extérieure diabolique (9/12 derrière l’arc après 13 minutes, 4/4 pour le seul Lucas Ugolin) et un Jayvon Graves tout feu tout flamme (20 points à 7/13 aux tirs, 7 rebonds, 7 passes pour 22 d’évaluation). Et puis, l’équipe de Massimo Cancellieri s’est arrêtée de jouer.\n\n\n♨️♨️♨️ Is it too late to apply for the Best Young Player award? 20yo Lucas Ugolin is up to 9pts in just 3min! #BasketballCL I @limogescsp pic.twitter.com/h4K3G8isBy\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) February 7, 2023\n\n\n\n7 points inscrits dans le quatrième quart-temps\n\nL’AEK Athènes s’était déjà dangereusement rapprochée juste avant la pause (35-42). Et dans le sillage du duo Akil Mitchell (21 points, 9 rebonds, 5 passes) – Isaiah Miles (20 points, 4 rebonds), le collectif grec (27 passes décisives) a fini par faire craquer son adversaire à l’entrée du moneytime (69-68, 35e). On n’a jamais revu Limoges, complètement amorphe dans les 10 dernières minutes (23-7 lors du dernier acte).\n\nDésormais à 0-3 en BCL, les Limougeauds s’éloignent dangereusement d’une qualification en quarts de finale, que seul un sans faute lors de la phase retour leur permettra d’atteindre. Sèchement battus par Bourg en championnat ce weekend, ils devront déjà retrouver de la confiance à Nanterre dans quatre jours avant de penser à la suite de leur épopée européenne début mars.\n\nBoxscore AEK Athènes – Limoges CSP / Calendrier BCL / Classement BCL\n\nPhoto : Jayvon Graves (FIBA)
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Betclic Elite : Tremont Waters élu joueur du mois de janvier
Après Victor Wembanyama en novembre, un autre joueur des Metropolitans 92 remporte le trophée de joueur du mois de Betclic Elite en janvier : le meneur Tremont Waters.\n\nÉlu joueur du mois de janvier par les fans, Tremont Waters (1,80 m, 25 ans) a démarré l’année de la plus belle des manières avec 22,3 points et 5,6 passes décisives de moyenne. Durant ce premier mois de l’année, Boulogne-Levallois a remporté trois des quatre matches disputés, dont deux victoires par la plus petite des marges contre l’ASVEL et à Fos.\n\nLa mauvaise nouvelle, c’est que le meneur de poche devrait manquer la Leaders Cup. « Souffrant d’une commotion cérébrale depuis le match contre Fos-sur-Mer, Tremont Waters est actuellement arrêté jusqu’à ce qu’il soit de nouveau apte à jouer. Son retour sur les parquets est estimé après la fenêtre internationale FIBA« , indique son club par communiqué.\n\nLes joueurs du mois cette saison en Betclic ELITE :\nOctobre 2022 :Matt Morgan (Le Mans)\nNovembre 2022 :Victor Wembanyama (Boulogne-Levallois)\nDécembre 2022 :Nadir Hifi (Le Portel)\nJanvier 2023 :Tremont Waters (Boulogne-Levallois)\n\nPhoto : Tremont Waters (Thomas Savoja)
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Equipe de France, début de saison à Bologne, fin de contrat en WNBA... Iliana Rupert se confie
Si Iliana Rupert avait manqué la précédente fenêtre internationale, l’intérieure de la Virtus Bologne est bien présente pour aider une équipe de France confiante vers la qualification à l’EuroBasket 2023.\n\nAvec 48 sélections au compteur, Iliana Rupert va certainement passer la barre des 50 matches sous le maillot de l’équipe de France lors de cette fenêtre internationale. À seulement 21 ans, l’intérieure de la Virtus Bologne a tout gagné en 2022 et s’impose déjà parmi les patronnes du groupe de Jean-Aimé Toupane. Pour sa première sortie de l’année avec les Bleues, aucune pression à l’horizon. Simplement la joie de retrouver ses coéquipières et l’envie d’aller chercher cette qualification au championnat d’Europe.\n\n« On a un groupe qui commence de mieux en mieux à se connaître. Ce n’est jamais évidemment sur les fenêtres car il faut vite switcher par rapport au club mais on sait que toutes les joueuses sont très sérieuses. On ne se fait pas de soucis. On est toujours très contentes de se retrouver. Être déjà aussi proche des 50 sélections, je n’en avais pas conscience et j’en suis fière. »\n\nRetrouver Iliana Rupert en France est aussi l’occasion de prendre des nouvelles de sa saison en Italie, avec la Virtus Bologne où elle tourne à 11,4 points et 6,9 rebonds de moyenne par match en Euroleague féminine. « Cela se passe assez bien, nous sommes deuxièmes en championnat. En Euroleague, c’était plus compliqué. Nous ne pouvons plus nous qualifier pour la suite de la compétition mais on veut finir de la bonne manière. On a un groupe qui tourne bien, qui se connait bien donc je suis très contente ».\n\n[adsence2]\n\n\n« C’était une demande de ma part de ne pas poursuivre avec la franchise cet été »\n\nIliana Rupert est également revenue sur la fin de son contrat avec la franchise de WNBA des Las Vegas Aces. Les tenants du titre n’ont pas conservé l’internationale française, une annonce officialisée lundi soir. L’intéressée a donné des précisions sur les dessous de la démarche.\n\n« C’était une demande de ma part, avec mon agent, de ne pas poursuivre avec eux cet été. Cela posait problème aux Aces que j’arrive tard, après l’EuroBasket. C’est une ligue dans laquelle j’ai envie d’évoluer donc on trouvera une solution pour la réintégrer plus tard. Le roster des Aces était déjà bien chargé, j’aimerais trouver une équipe avec un rôle plus important. Je veux trouver une équipe qui ne joue pas forcément le titre, simplement dans laquelle je peux évoluer et avoir plus de responsabilités. Heureusement, je n’ai pas appris la nouvelle sur les réseaux sociaux. »\n\nLe rêve américain n’est pas encore fini pour Iliana Rupert, qui le partagera sans doute prochainement avec son frère Rayan Rupert. Le joueur des New Zealand Breakers est attendu relativement haut à la Draft NBA 2023, une fierté pour sa soeur aînée. « Je l’ai eu lundi au téléphone, ce n’est pas facile avec le décalage horaire. Il va débuter les demi-finales des playoffs dans une saison finalement assez courte. Il a fait un super retour après une blessure en fin d’année 2022. Il ne regrette pas du tout son choix donc je ne peux qu’être contente de son évolution. »\n\nPropos recueillis à l’INSEP.\n\nPhoto : Iliana Rupert (FIBA)
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Jean-Aimé Toupane (équipe de France) : «L’état d’esprit, un critère pour porter le maillot des Bleues»
Avant d’affronter la Lituanie ce jeudi puis la Finlande dimanche en clôture des qualifications à l’EuroBasket – qui se déroulera du 15 au 25 juin prochain -, le sélectionneur de l’équipe de France féminine Jean-Aimé Toupane s’est confié en conférence de presse.\n\nL’équipe de France féminine est à la porte d’une qualification pour l’EuroBasket 2023. Réunies depuis ce lundi à l’INSEP pour préparer leur deux déplacements, en Lituanie (ce jeudi à 18h30) puis en Finlande (ce dimanche à 14h), les Bleues affichent une belle sérénité. Le groupe de Jean-Aimé Toupane reste pour autant concentré sur l’affiche de jeudi, hautement décisive. Basket Europe a rencontré le sélectionneur à l’INSEP.\n\nLors de l’entraînement, le groupe de treize joueuses a semblé plutôt détendu avant d’aborder ces deux prochains matches. Vous nous le confirmez ?\n« Oui, elles ont plaisir à se retrouver en équipe de France. Nous sommes à deux matches d’un objectif important avec une première rencontre où l’on affronte déjà notre adversaire direct au classement. Celui qui gagnera sera qualifié. Forcément, il y a un enjeu mais qui est préparé sereinement, avec la même dynamique qu’à la précédente fenêtre internationale (l’équipe de France avait largement remporté ses deux matches, contre la Finlande et l’Ukraine : NDLR).\n\nEn l’absence d’Alexia Chartereau, les treize joueuses convoquées seront-elles du voyage ?\nOui elles seront toutes là. On a envie d’avoir les meilleures joueuses possibles. Maintenant il faut faire avec la santé de chacune et se concentrer sur celles qui sont là.\n\n[adsence2]\n\nÀ quoi vous attendez-vous en terme d’adversité sur ces deux rencontres ?\nOn reste dans un premier temps focus sur le premier match, où les Lituaniennes peuvent prendre la première place chez elle, devant leur public. Il y aura forcément de l’adversité de par le contexte. Mais nous sommes prêts à relever le défi. Nous avions remporté notre premier duel contre elles au mois de novembre 2021, c’était chez nous et nous étions dos au mur à l’époque. La Lituanie est dans cette tendance là aujourd’hui donc il faudra se méfier. Elle ne nous donnera pas la qualification si facilement.\n\nCette fenêtre internationale est placée juste avant la dernière ligne droite de la saison en championnat. Comment jugez-vous l’état physique des troupes ?\nC’est vrai qu’on leur demande d’enchaîner de compétition en compétition, ce n’est pas facile pour elles. Mais c’est aussi cela, le sport de haut niveau. C’est pour toutes les équipes pareil. On ne peut pas tout le temps ramener ce contexte là car il est commun à tout le monde. Je pense que toutes les filles en sont conscientes et il ne faut pas se trouver d’excuses par rapport à la santé de chacune.\n\nOn note quelques absentes à la mène : Olivia Epoupa et Alix Duchet – qui était initialement sur la liste. Est-ce que ce sont des choix liés à leur état physique ?\nOn a la chance d’avoir une très bonne formation et de très bonnes joueuses. Quand certaines sont absentes, on trouve toujours des joueuses pour les remplacer. Dans ce que l’on met en place, il y a les compétences basket de chacune qui sont très importantes mais cela ne fait pas tout. Il y a aussi l’état d’esprit. On demande aux filles d’en avoir un bon, de montrer que porter le maillot de l’équipe de France engage à des responsabilités. On sait où l’on va grâce à cela. Ce sont des critères pour porter le maillot des Bleues, des valeurs que nous partageons tous et qui expliquent nos choix.\n\n[adsence2]\n\nÀ quatre mois de l’EuroBasket, était-ce aussi le moment de tester des joueuses, des systèmes en terme de basket ?\nJe n’aime pas trop le mot « tester ». Je dirais simplement, avec l’expérience que j’ai, que l’on peut partir avec une idée d’équipe puis finalement, cette formation évolue. Le script n’est jamais écrit à l’avance. Quand bien même on le pense d’une certaine façon, il peut être différent à l’arrivée. Notre objectif est justement de gérer ces imprévus et de s’adapter en permanence au contexte. C’est ce que l’on a essayé de faire en appelant notamment Romane Bernies.\n\nLa sélection actuelle est composée de joueuses assez jeunes et d’autres davantage expérimentées, comment le lien se fait ?\nLe lien se fait très bien car, au-delà des générations, les joueuses se sont déjà beaucoup rencontrées au fur et à mesure de leur parcours en équipe de France et au sein de leurs clubs. Nous sommes en phase de construction mais la dynamique est positive. Ce groupe a la volonté de bien faire, de mieux se connaître aussi en dehors du terrain. »\n\nPropos recueillis à l’INSEP.\n\nPhoto : Jean-Aimé Toupane (FIBA)
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Dopage : Dinos Mitoglou (ex-Milan) suspendu deux ans et demi
Testé positif lors d’un contrôle anti-dopage en mars dernier, l’international grec Dinos Mitoglou (2,10 m, 26 ans) a reçu une suspension de 32 mois, soit deux ans et demi, selon SDNA.\n\nEn mars dernier, Dinos Mitoglou a été écarté de l’Olimpia Milan pour un contrôle anti-dopage positif. Puis en novembre dernier, la médecin qui a donné au joueur la substance pour laquelle il s’est fait prendre a été arrêtée. Entre temps, l’international grec a porté plainte contre cette dernière, tout en restant suspendu. « Le médecin m’a assuré que c’était un médicament miracle venant de Russie », avait-il déclaré dans des documents judiciaires.\n\nLa sentence est désormais tombée. Selon le média grec SDNA, l’ailier de l’Olimpia Milan a écopé d’une suspension de 32 mois. En cause : l’usage d’une des plus importantes substances dopantes interdites par l’agence mondiale antidopage. Le rapport note toutefois que Dinos Mitoglou a le droit de faire appel devant le juge sportif de la FIBA, puis au Tribunal Arbitral du Sport (TAS), qui prendra la décision finale.\n\nLe Grec se serait tourné vers la médecin après avoir subi une fracture du pied au début de la saison 2021-22. Il tournait jusqu’alors à 7,6 points et 4,2 rebonds en 18 minutes de moyenne en Euroleague.\n\n[adsence2]\n\nPhoto : Dinos Mitoglou (Euroleague)
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564 000 spectateurs cumulés lors de la phase aller de BetclicElite, un record !
Après une saison 2021-2022 marquée par un retour progressif du public dans les salles, la saison 2022-2023 devrait être celle de tous les records d’affluence. Un effet Victor Wembanyama, mais pas que !\n\nÀ l’issue de la phase aller, 564 000 spectateurs se sont rendus dans les salles de Betclic Elite ! Un chiffre annoncé ce mardi par la Ligue Nationale de Basket (LNB) qui constitue bien évidemment un nouveau record pour l’élite du basket professionnel français*.\n\nEn projetant cette tendance sur la fin de la saison régulière, la saison 2022-2023 marquerait le record en nombre de spectateurs cumulés accueillis dans les salles, avec plus d’un million d’entrées.\n\n\nUne rencontre sur trois à guichets fermés sur la phase aller\n\nLes raisons de ce succès d’affluence s’expliquent principalement par la présence du phénomène Victor Wembanyama, qui remplit toutes les salles. Sur les 17 rencontres disputées par les Metropolitans 92 à la mi-saison, 14 se sont déroulées à guichets fermés, domicile et extérieur compris !\n\nIl faut également souligner que le promu, le SLUC Nancy, est le club qui réunit le plus de spectateurs en moyenne avec 5 763 spectateurs à Gentilly sur la phase aller, soit 96 % de taux de remplissage ! La SIG Strasbourg (5 437 entrées, 88 %) et l’ASVEL (5 318 entrées, 96 %) complètent le podium.\n\nParadoxalement, l’AS Monaco – leader du championnat – est le seul club sous le tiers de remplissage moyen (2 443 spectateurs, 54 %) avec Pau, qui dispose toujours à ce jour de la plus grande salle de France. Notons également que l’ADA Blois a réussi l’exploit d’être à 100 % de sa capacité, mais avec une salle de 2 568 places...\n\nÀ la mi-saison, ce sont ainsi 46 rencontres sur 153 qui se sont déroulées à guichets fermés, soit près d’un match sur trois. L’affluence moyenne s’élève à 3 685 spectateurs, établissant là aussi un record à ce stade de la compétition.\n\nCes affluences moyennes se reflètent dans le taux de remplissage moyen historique de 84 % dans les salles de Betclic Elite – le record sur une saison complète s’élève à 83 %. Sur les 13e, 14e et 15e journées pendant les fêtes de Noël, la LNB note un taux de remplissage exceptionnel de 94 %.\n\n[adsence2]\n\n\nUn nouveau record de spectateurs sur la phase retour ?\n\nLa LNB précise enfin que la rencontre délocalisée à Roland-Garros lors de la 5e journée de Betclic Elite entre le Paris Basketball et l’AS Monaco constitue le record d’affluence des matches aller avec 10 424 spectateurs. Un record déjà battu lors de la phase retour lors de la rencontre Paris Basketball – LDLC ASVEL à l’Accor Arena en janvier dernier, avec 11 277 spectateurs présents.\n\nLe record de spectateurs pour une rencontre de basket de l’élite française est pour le moment de 15 220 spectateurs réunis le 10 mars 2018 lors d’un match entre Nanterre et l’ASVEL. Ce record sera-t-il battu lors des prochaines rencontres délocalisées des trois clubs parisiens à l’Accor Arena et à Paris La Défense Arena sur la phase retour ?\n\n*depuis le retour de l’élite à 18 clubs à partir de la saison 2014-2015\n\nPhoto : Victor Wembanyama (Thomas Savoja)
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Salaires Pro B 2022-23 – Évreux: la révélation Ilias Kamardine
L’ALM Évreux n’est pas en très bonne posture en cette première moitié de championnat. Et ce alors que le club dispose de moyens légèrement supérieurs à son – brillant – dernier exercice. Cela étant, plusieurs joueurs tirent leur épingle du jeu, dont l’étonnant Ilias Kamardine, qui a franchi sans soucis le cap entre le championnat Espoirs et la Pro B.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nÉvreux – saison 2022-2023\nBudget : 1 960 000 euros (13e, +15 %)\nMasse salariale (brut) : 599 500 euros (16e, +0 %)\nClassement après 19 journées : 14e (6-12)\n\nL’ALM Évreux a rarement disposé de moyens financiers importants, tout en sachant tirer le plus souvent son épingle du jeu en Pro B. Preuve en est la saison dernière où, avec le 16e budget (250 000 euros de moins que cette année) et la 17e masse salariale (1 000 euros de plus que cette saison), le club normand avait réussi à remporter la Leaders Cup et se classer 5e (20 victoires pour 14 défaites) avant de s’incliner 2-0 en quarts de finale de playoffs face à Antibes.\n\nMais, pillé de ses meilleurs joueurs à l’intersaison – Djordje Milosevic, Marquis Jackson ou Fabien Paschal, dont le mieux payé gagnait 42 000 euros -, le club de l’Eure a bien du mal en cette première partie de saison, avec notamment une série délicate de deux victoires pour huit défaites sur les dix derniers matches. Et ce alors que le club paye aujourd’hui des joueurs à 50 000 euros.\n\n\n\n\nUne grille salariale homogène\n\nCela étant, les huit joueurs confirmés de l’équipe de Neno Asceric, qui voient leurs émoluments se situer dans une fourchette de 30 000 à 50 000 euros, figurent dans la deuxième partie de la hiérarchie salariale de la Pro B. Et il en va de même pour le nouvel arrivant, Keith Wright, qui a perçu une somme un peu inférieure de La Rochelle cette année avant de quitter les lieux, et va gagner quelque chose aux alentours des 50 000 euros sur l’année.\n\nOutre ces huit pros expérimentés, Évreux a recruté deux Espoirs prometteurs, Ilias Kamardine et Hugo Meniandi, qui perçoivent de petites sommes. Quant au coach, Nedeljko « Neno » Asceric, il gagne ni plus ni moins la même somme que la saison dernière.\n\n\nDes joueurs plutôt performants, un collectif en faillite\n\nDans l’ensemble, les joueurs ébroïciens justifient, individuellement, leur salaire, à l’exception d’un Paolo Marinelli moyennement à son aise. Il est le seul dans le trio des joueurs les mieux payés du club, Ousmane Camara, plus joueur de l’ombre que scoreur invétéré, faisant son job alors que Christian Lutete, 5e scoreur de la ligue, est une belle trouvaille. Il en va de même pour un Shekinah Munanga, de plus en plus performant, et d’un Ilias Kamardine, déjà capable de jouer près de 24 minutes par match pour un rendement aux alentours de 10 d’évaluation. Pas mal pour un joueur payé 25 000 euros ! Quant à l’autre jeune de l’effectif, Hugo Mienandi, il se montre également au niveau, pour un salaire encore plus réduit.\n\nMais, si la plupart des Ébroïciens ont un rendement a minima correct, la mayonnaise collective semble ne pas encore avoir réellement pris, surtout en attaque : 16e aux points marqués, 15e aux passes décisives. Tant que les individualités ne formeront pas une véritable équipe, l’ALM sera en danger de relégation. Reste au club à espérer que Neno Asceric réussisse à donner le liant qui manque tant à son équipe.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Ousmane CamaraFRA40 000 €202345 000 €Christian LuteteUSA/RDC-202345 000 €Paolo MarinelliCRO20 000 €202342 000 €Luka AscericFRA/SRB/AUT-202340 000 €Shekinah MunangaRDC25 000 €202436 000 €Bubu PaloUSA-202335 000 €Tommy GhezalaFRA25 000 €202330 000 €Keith WrightUSA-6 mois18 000 €Ilias KamardineFRA-2023 (prêt)25 000 €Hugo MienandiFRA-2023 (prêt)20 000 €Thibault Daval-BraquetFRA30 000 €(6,5 mois)18 000 €Ira LeeUSA/KOR(2 mois)6 000 €Neno Asceric (coach)SRB/AUT54 000 €202354 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Ilias Kamardine © Tuan Nguyen (montage Basket Europe)
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Rudy Fernandez nommé sportif espagnol de l’année par Mundo Deportivo
Vainqueur de son quatrième EuroBasket en septembre dernier, Rudy Fernandez a reçu le trophée du meilleur sportif espagnol de l’année 2022 par le média Mundo Deportivo.\n\nOn ne compte plus les trophées et distinctions de Rudy Fernandez. L’ailier du Real Madrid (1,96 m, 37 ans) a reçu le titre de meilleur sportif espagnol de l’année 2022 lors de la 75e édition du Grand Gala de Mundo Deportivo à Barcelone.\n\nCapitaine courage de la Roja championne d’Europe en déjouant les pronostics – et en battant la France en finale -, « Rudy la mèche » a aussi ajouté deux titres en club, la Liga et la Supercoupe, en plus d’une finale d’Euroleague.\n\nLa dernière fois qu’un basketteur avait remporté cette distinction, c’était Juan Carlos Navarro en 2011.\n\nNotons par ailleurs qu’un autre Madrilène a été récompensé par le média espagnol mais en foot. Le Français Karim Benzema, aussi élu Ballon d’Or, a été nommé meilleur joueur du championnat espagnol 2021-2022.\n\nPhoto : Rudy Fernandez (FIBA)
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Elan Béarnais : Markeith Cummings absent au moins trois semaines
La trêve arrive bientôt mais Pau-Orthez va tout de même devoir faire sans son ailier Markeith Cummings, touché ce weekend contre Fos, pendant près d’un mois.\n\nToujours dans l’attente d’un renfort, l’Elan Béarnais va devoir tenir avec des rangs encore resserrés jusqu’à la trêve, voire plus. Le club annonce que Markeith Cummings sera absent pour une durée de trois à cinq semaines pour une lésion musculaire contractée face à Fos-sur-Mer.\n\nL’ailier US manquera donc les matches à Paris et Le Portel en Coupe de France et profitera de la trêve pour se remettre sur pieds. Il compilait jusqu’ici 13,3 points, 3,2 rebonds et 1,7 passe décisive de moyenne en Betclic Elite, faisant partie des meilleurs rapports qualité-prix des joueurs étrangers.\n\nPhoto : Markeith Cummings (Tuen Nguyen)
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Pro B : Le shooteur A.J. Hess renforce Saint-Chamond
Pour pallier la blessure de Guillaume Boucard, Saint-Chamond a opté pour l’ailier américano-arménien A.J. Hess (2,00 m, 29 ans).\n\nEn quête d’un pigiste, le staff sur SCVBC s’était dans un premier temps porté sur Elijah Olaniyi. N’ayant pas apporté satisfaction pendant sa période d’essai, ce dernier a quitté la Loire en fin de semaine dernière.\n\nAlain Thinet et de Maxime Nelaton ont donc repris leurs recherches et se sont arrêtés sur l’option A.J. Hess. L’ailier américano-arménien de 29 ans s’est engagé jusqu’à la fin de la saison.\n\nPassé par la Suisse, la Belgique (à Mons-Hainaut) ou encore par la Bulgarie la saison dernière, il n’a disputé qu’un seul match cette saison en G-League aux Santa Cruz Warriors. Le shooteur a toujours oscillé autour des 40 % derrière l’arc sur ses dernières saisons, ce qui devrait en faire une option intéressante dans la quête de maintien du club ligérien.\n\n\n🚨 RECRUTEMENT\n\nA.J. Hess rejoint le SCBVG jusqu'à la fin de la saison pour palier à la blessure de Guillaume Boucard.\n+ d'infos ⬇#GOSCBVG #PROB #LNB #BASKETBALL https://t.co/BEpB9HQbmB\n\n— Saint-Chamond Basket Vallée du Gier (@SCBVG) February 7, 2023\n\n\nPhoto : A.J. Hess (FIBA)
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8e de finale Coupe de France : ouverture ce soir avec Nancy-Le Mans
Les 8e de finale de la Coupe de France débutent ce mardi soir avec le match SLUC Nancy-Le Mans SB.\n\nMardi 7 février – 20h00\nNancy (Betclic Elite) – Le Mans (Betclic Elite) – En live sur Youtube\n\nMardi 14 février – 20h00\nAntibes (Pro B) – Dijon (Betclic Elite) – En live sur Youtube\n\nMercredi 15 février – 19h00\nMonaco (Betclic Elite) – Boulogne-Levallois (Betclic Elite) – En direct et en exclusivité sur MCS Basket\nPau-Lacq-Orthez (Betclic Elite) – Le Portel (Betclic Elite) – En live sur Youtube\n\nMercredi 15 février – 20h00\nStrasbourg (Betclic Elite) – Boulazac (Pro B) – En live sur Youtube\nLimoges (Betclic Elite) – Bourg-en-Bresse (Betclic Elite) – En live sur Youtube\nLyon-Villeurbanne (Betclic Elite) – Roanne (Betclic Elite) – En live sur Youtube\n\nJeudi 16 février – 20h30\nSaint Chamond (Pro B) – Cholet (Betclic Elite) – En live sur Youtube\n\nPhoto : Stéphane Gombauld (SLUC Nancy)
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WNBA : Les Las Vegas Aces se séparent d’Iliana Rupert !
Championne WNBA en septembre dernier avec les Las Vegas Aces, l’internationale française Iliana Rupert (1,94 m, 21 ans) vient d’être remerciée par sa franchise.\n\nCoup de tonnerre dans le Nevada. Choisie en 12e position de la Draft en 2021 et championne WNBA l’année suivante avec un rôle majeur dans la rotation, Iliana Rupert vient d’être coupée par les Las Vegas Aces. La directrice générale de la franchise, Natalie Williams, a annoncé lundi soir que son équipe renonçait à ses droits.\n\nIliana Rupert n’avait pas joué l’année de sa Draft mais l’été dernier, en 2022, elle avait participé à 17 matches de saison régulière avec une moyenne de 3,8 points à 36,8 % derrière l’arc et 2,3 rebonds. Elle avait ensuite disputé 7 matches de playoffs pour 2,1 points et 7 minutes de moyenne lors de la conquête du titre.\n\n[adsence2]\n\nAlors que les Aces se sont renforcés lors de la Free Agency, c’est son statut de joueuse internationale qui a fait peur à sa franchise, avec notamment la perspective qu’Iliana Rupert dispute l’EuroBasket avec l’équipe de France du 15 au 25 juin prochain. « Les Las Vegas Aces ne l’auraient pas coupée si elle avait été Américaine », précise d’ailleurs le spécialiste Richard Cohen sur Twitter.\n\nEn attendant de savoir si elle trouvera un point de chute en WNBA, la grande soeur de Rayan Rupert tourne à 11,4 points à 40,0 % à 3-points, 6,9 rebonds, 2,5 passes et 1,3 interception pour 15,9 d’évaluation en Euroleague avec la Virtus Bologne. Un club qui ne verra pas les playoffs européens mais qui est solidement ancré à la 2e place du championnat italien.\n\n\nMerci, @Iliana_rups 🏆 pic.twitter.com/OyEEGW4nBJ\n\n— Las Vegas Aces (@LVAces) February 6, 2023\n\n\nPhoto : Iliana Rupert (FIBA)
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VTB League : porté par Thomas Heurtel, le Zénit fait tomber le CSKA Moscou
Invaincu depuis cinq mois et 24 matches en VTB League, le CSKA Moscou de Livio Jean-Charles est tombé pour la première fois contre le Zénit Saint-Pétersbourg du duo Thomas Heurtel – Adrien Moerman (86-90).\n\nExclus en Euroleague, les cadors russes de la VTB League cartonnent dans leur championnat domestique. À ce titre, le CSKA Moscou n’avait encore jamais perdu cette saison. C’est désormais chose faite avec ce court revers face au Zénit Saint-Pétersbourg de Xavi Pascual.\n\nMeilleur passeur du championnat et nommé parmi les All-Stars, Thomas Heurtel a continué sa moisson habituelle en compilant 13 points à 2/5 à 3-points et 11 passes décisives. Il a bien été secondé par Tim Frazier (15 points), Trey Thompkins (11 points, 5 rebonds) mais surtout Adrien Moerman. L’ancien Monégasque a réalisé un troisième match convaincant sous ses nouvelles couleurs avec 11 points à 3/6 derrière l’arc, 5 rebonds et 4 passes décisives.\n\nCôté moscovite, Nikola Milutinov a récolté 20 points et 8 rebonds, Alexey Shved 15 points, 5 rebonds et 5 passes tandis que le Français Livio Jean-Charles s’est fendu de 6 points et 6 rebonds.\n\nLe CKSA Moscou (24-1) reste leader devant l’UNICS Kazan (21-3) et le Zénit (18-7).\n\nPhoto : Thomas Heurtel (Zénit Saint-Pétersbourg)
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Michael Roll quitte le Paris Basketball
Arrivé le 26 janvier dernier pour donner un coup de main au Paris Basketball en l’absence de Kyle Allman (cheville), Michael Roll quitte déjà le club.\n\nKyle Allman étant bientôt sur le chemin du retour, le Paris Basketball remercie son remplaçant médical. Lundi soir, le club de la capitale a officialisé le départ de l’Américain Michael Roll (1,98 m, 35 ans).\n\nL’arrière international tunisien n’aura donc disputé que trois rencontres sous le maillot parisien pour 10,3 points à 40,7 % aux tirs et 3,0 passes décisives en 26 minutes de moyenne.\n\n\nMerci @Mreezy20 🙏\n\nComme initialement prévu, Michael Roll quitte l’équipe après avoir rendus de fiers services pour pallier à nos blessures 💪\n\nLe club lui souhaite le meilleur pour la suite de sa carrière 👋\n\n📸 @DebeureJ pic.twitter.com/epilLTJAzR\n\n— Paris Basketball (@ParisBasketball) February 6, 2023\n\n\nJeune papa, l’ancien shooteur d’élite d’UCLA prépare désormais sa reconversion en tant que consultant pour la télévision californienne. Il pourrait par ailleurs disputer les trois prochains matches de qualification à la Coupe du monde 2023 avec la Tunisie fin février. Sa dernière danse ?\n\nPhoto : Michael Roll (Eurocup)
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Salaires Pro B 2022-23 – Denain: Michael Oguine se transcende
Malgré une refonte quasi-totale de son effectif, coach compris, et un budget de milieu de gamme, Denain Voltaire a connu un excellent début de saison avant de faiblir. Mais ses plus gros salaires – qui restent modestes pour la division – font le job, Michael Oguine en premier lieu.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nDenain – saison 2022-2023\nBudget : 2 226 000 euros (10e, +17 %)\nMasse salariale (brut) : 666 500 euros (12e, +7 %)\nClassement après 19 journées : 10e (9-10)\n\nDepuis plusieurs années, Denain a pris l’habitude de faire mieux que ses moyens, avec des participations plus que régulières en playoffs. La saison dernière a dérogé – de peu – à la règle avec une dixième place au classement... à une victoire des playoffs. Cela n’a pas empêché le club nordiste d’augmenter sensiblement ses ressources financières de 300 000 euros de budget et de 45 000 euros de masse salariale. D’où le gain de deux places dans la hiérarchie budgétaire de la Pro B, avec une somme totale dépassant – enfin – les 2 millions d’euros.\n\nAvec un recrutement sans fausse note, l’ASC Denain Voltaire a très bien démarré la saison – trois victoires et une première place au classement pour débuter – avant de connaître un coup de moins bien depuis décembre avec 4 victoires pour 7 défaites. Et l’équipe nordiste de se retrouver à un rang conforme à ses moyens.\n\n\n\n\nUne grande homogénéité de salaires\n\nPour constituer son équipe, l’ASCDV a pris le pli de proposer des salaires à peu près similaires à ses joueurs, en constituant plus ou moins deux groupes : d’un côté cinq joueurs majeurs, dont quatre entre 53 000 et 60 000 euros, de l’autre des « remplaçants » entre 32 000 et 38 000 euros. Le tout étant accompagné d’un stagiaire prêté par Cholet, Kevin Marsillon-Noleo, qui perçoit un tout petit salaire.\n\nAvec un salaire maximal de 60 000 euros, le club n’a donc pas fait de folie, Brandon Edwards, qui touche cette somme, figurant hors du top 30 de la hiérarchie salariale des joueurs de Pro B. De surcroît, Denain a fait des économies sur les émoluments de son nouveau coach. Avec ses 36 000 euros annuels, François Sence est ainsi le coach au plus petit salaire de Pro B. Son prédécesseur, Rémy Valin, gagnait 60 000 euros la saison passée.\n\n\nHiérarchie respectée\n\nMême s’ils sont globalement modestes, les revenus de pratiquement tous les joueurs déjà présents en Pro B la saison dernière ont été augmentés, parfois dans de belles proportions : Michael Oguine est passé de 35 000 à 55 000 euros, Matthieu Missionnier de 33 000 à 43 000 euros. Seuls Earvine Bassoumba et Babacar Niasse gagnent moins cette saison, dans de très faibles proportions.\n\nÀ l’examen, on constate qu’il y a une véritable différence de rendement entre les cinq plus hauts salaires – qui sont également les cinq meilleures évaluations (entre 9 et 15, globalement) –, et les remplaçants, qui tournent autour des 5 d’évaluation. Dans le premier groupe, Michael Oguine sort du lot, figurant au septième rang des meilleurs marqueurs de Pro B, alors que Matthieu Missonnier en est le 9e passeur. Dans le second, le prometteur Kevin Marsillon-Noleo vaut déjà mieux que son tout petit salaire, les autres remplaçants produisant peu ou prou des performances conformes à leurs petits revenus.\n\nAvec une équipe homogène et très bien hiérarchisée, Denain peut mener la vie dure aux « gros » de la division, pour peu que ses joueurs continuent à être en bonne santé (hormis Earvine Bassoumba, parfois benché par son coach, aucun joueur n’a manqué plus d’un match !).\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Brandon EdwardsUSA45 000 €202360 000 €Chuba OhamsUSA/NIG-202356 000 €Michael OguineUSA/NIG35 000 €202355 000 €Johan LofbergSWE-202353 000 €Matthieu MissonnierFRA33 000 €202343 000 €Soriah BanguraFRA21 000 € (7 mois)202338 000 €Dimitri RadnicFRA20 000 €202332 000 €Earvine BassoumbaCGO35 000 €202332 000 €Babacar NiasseFRA36 000 €202332 000 €Kevin Marsillon-NoleoFRA-prêt 202314 000 €François Sence (coach)FRA-202436 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Michael Oguine – Denain Voltaire (montage Basket Europe)
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Le Mans : Terry Tarpey diminué
Si Terry Tarpey n’a disputé « que » 29 minutes sur les deux derniers matches du Mans, c’est en raison d’une épaule douloureuse.\n\nAlors que Le Mans se déplace ce mardi soir à Nancy pour les huitièmes de finale de la Coupe de France, Terry Tarpey (1,96 m, 28 ans) n’est pas certain de tenir un rôle majeur. Lors des deux derniers matches contre Pau et à Cholet – deux larges victoires -, le vice-champion d’Europe n’a disputé que 15 et 14 minutes.\n\nLa raison ? L’international français souffre d’une épaule. « Il ne s’est pas entraîné depuis deux semaines. On le ménage, mais il veut se sacrifier pour l’équipe, c’est un sacré message envoyé au reste de l’effectif. C’est un exemple et il est utile à chaque passage, même amoindri », a détaillé son coach Eric Delord au Maine Libre.\n\nKaza Kajami-Keane (cheville) et Valentin Chéry (pouce) sont aussi à l’infirmerie ces derniers jours. Et Williams Narace comme Tres Tinkle pourraient être préservés face aux Nancéiens.\n\nPhoto : Terry Tarpey (Le Mans)
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Eurocup : Le match Bursaspor-Bourg reporté en raison du tremblement de terre en Turquie
Le match entre Bursaspor et la JL Bourg, qui devait se jouer le 8 février et les matchs de la 24e journée d’Euroleague, Anadolu Efes Istanbul contre Real Madrid et Fenerbahce Istanbul contre Armani Milan, qui devaient avoir lieu respectivement les 9 et 10 février, ont été reportés suite à l’annulation par le gouvernement turc de toutes les compétitions sportives jusqu’à nouvel ordre en raison des tremblements de terre qui ont frappé le pays lundi.\n\nL’Euroleague Basketball évaluera avec les équipes concernées les meilleures options possibles pour reprogrammer les matchs en fonction des dates disponibles. De plus amples informations seront publiées au besoin dans les prochains jours.\n\nSelon le ministre turc de la Santé Fahrettin Koca, les séismes ont fait 1 651 morts en Turquie et au moins 11.159 blessés.\n\nPhoto: Alexandre Chassang (Bourg, Jacques Cormarèche)
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Lou Lopez Sénéchal, la Française qui brille à U-Conn
Elle est Grenobloise, née au Mexique d’un père mexicain et d’une mère française. Elle a passé un an en Irlande et elle porte le maillot de l’université la plus célèbre du basket féminin américain, UConn. Et Lou Lopez Sénéchal (1,85 m, 24 ans) y joue beaucoup et bien.\n\nUConn, c’est l’université de Breanna Stewart, Sue Bird, Maya Moore, Diana Taurasi et encore Gabby Williams et Bria Hartley. Lou Lopez Sénéchal y a été transférée cet été en provenance de Fairfield. Pour son année senior, elle joue 32 minutes par match pour 16,7 points (47,5% à trois-points), 3,1 rebonds et 1,7 passe. Avec 20 victoires et 2 défaites, U-Conn est actuellement classée 5e dans le ranking de AP.\n\nSon célèbre coach de U-Conn, Geno Auriemma, a déclaré récemment :\n\n« Elle n’obtiendra aucun vote All-America, mais je ne connais personne qui ait été plus important pour son équipe en Amérique qu’elle ne l’a été pour nous. »\n\nLe site swish-swish lui consacre une intéressante interview. Elle y déclare notamment :\n\n« Je me vois comme quelqu’un de très ouvert d’esprit. J’ai voyagé très jeune, du Mexique vers la France, et avec ma famille ailleurs dans le monde, pour découvrir de nouvelles cultures et de nouvelles personnes, j’adore ça. Après UConn, si je peux aller dans un autre pays qu’en France, en Espagne ou ailleurs, pour jouer professionnellement, je suis partante. Découvrir une autre culture, un pays que je ne connais pas, c’est toujours très valorisant et ça m’a toujours aidée à devenir plus mature. Pendant mes 5 années ici, avoir été à droite et à gauche dans mon passé, même si ce n’est pas facile, je pense que ça m’a aidée à devenir celle que je suis maintenant. Je suis toujours curieuse. Je n’aime pas forcément rester au même endroit longtemps. Après le basket, je ne me vois pas aller dans un pays et y rester pour le reste de ma vie. Le fait que je puisse parler français, anglais et espagnol, c’est un atout que j’essaye d’utiliser le plus possible. »
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Vidéo : «Dans l’enfer du derby de Belgrade»
Skweek a réalisé ce reportage saisissant sur le derby de Belgrade entre l’Etoile Rouge et le Partizan. Un autre monde.
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Salaires Pro B 2022-23 – Châlons-Reims: David Skara pétille
Fraîchement relégué, le Champagne Basket est reparti en Pro B avec un budget « raisonnable ». Le club champenois connaît une première partie de saison en dents de scie, la faute à d’innombrables blessures. Cela étant, les éléments les mieux payés de l’effectif font pratiquement tous de bonnes prestations.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nChâlons-Reims – saison 2022-2023\nBudget : 3 406 000 euros (4e, en Betclic Élite l’an dernier)\nMasse salariale (brut) : 981 000 euros (5e)\nClassement après 19 journées : 6e (11-8)\n\nAu terme d’une saison cauchemardesque, Châlons-Reims, connu aujourd’hui sous le nom de Champagne Basket, a vécu la relégation en Pro B. Ce qui semble logique pour un club qui avait multiplié les exploits de maintien les précédentes saisons et avec encore l’an dernier le 16e budget et la 17e masse salariale de l’élite. Toujours est-il que la descente du club marnais est arrivée au plus mauvais moment, juste après l’inauguration de la Reims Arena (5 500 places).\n\nEn redécouvrant la deuxième division, le club champenois a donc réduit la voilure (de 600 000 euros de budget et 300 000 euros de masse salariale). Des moyens qui lui permettent malgré tout de bien figurer en Pro B et de viser une remontée « dans les deux à trois prochaines années« . Cela dit, on pouvait s’attendre à voir le Champagne Basket plus haut après 19 journées, même s’il n’y a pas péril en la demeure (6e place à trois victoires du leader). La faute notamment à une cascade de blessures qui a touché une bonne partie de l’effectif : seuls quatre des neufs professionnels ont joué tous les matches. Ce qui explique le manque de régularité du Champagne Basket, qui a enchaîné les séries de deux victoires puis deux défaites.\n\n\n\n\nTous dans les mêmes eaux\n\nL’effectif champenois se distingue par l’homogénéité des salaires qui lui sont versés : personne n’est payé moins de 50 000 euros (sauf Samir Gbetkom, arrivé en cours de saison, qui dépasserait cette barre sur une année complète) et le plus gros salaire, Grismay Paumier, touche 82 000 euros. Il reste relativement loin de la barre des 100 000 euros, franchie par seulement trois joueurs cette année en Pro B.\n\nAutre particularité : tous les joueurs ont vu leurs émoluments augmenter par rapport à la saison passée, parfois dans de fortes proportions, comme Djordje Milosevic, passé de 42 000 euros à Evreux l’année dernière à 70 000 euros cette année. Seule exception à cette règle, Vincent Vent, qui touche un chouïa moins qu’à Nancy, alors que son rendement s’est nettement amélioré. Quant au coach, Thomas Andrieux, il figure parmi les entraîneurs bien payés de la division, avec le même salaire que de son temps à Boulazac.\n\n\nBonnes et mauvaises surprises\n\nCette homogénéité salariale se retrouve dans les performances des joueurs, pour une bonne partie d’entre-eux au moins. Si Djordje Milosevic est moins performant que la saison dernière (12,8 d’évaluation contre 16,3), cela est principalement dû au fait qu’il évolue dans un contexte plus concurrentiel, partageant de ce fait les responsabilités. Marquis Jackson, Mathis Keita, David Skara et Jean-Philippe Dally gagnent plus que la saison dernière – leurs salaires s’étalaient de 42 000 à 58 000 euros -, mais leur rendement est disparate : Jackson est globalement au même niveau, Dally et Keita ont une production en baisse alors que Skara brille : il tournait à 11,9 d’évaluation en 2021-22 en Pro B.\n\nPour leur part, Lamine Sambe et Vincent Vent proposent un profil très différent : le premier a été augmenté de 7 000 euros sur l’année pour un rendement pratiquement divisé par deux, le second a vu son salaire légèrement baisser alors que son évaluation a augmenté d’environ un tiers.\n\nChampagne Basket possède donc un effectif équilibré, qui ne demande qu’à acquérir des automatismes – et donc à être épargné par les blessures. Si cela s’accomplit, Châlons-Reims devrait remonter au classement. Et certainement se montrer redoutable en playoffs.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Grismay PaumierCUB75 000 €202482 000 €Djordje MilosevicSRB42 000 €202370 000 €Jean-Philippe DallyFRA58 000 €202467 000 €Marquis JacksonUSA42 000 €202365 000 €David SkaraCRO50 000 €202363 000 €Mathis KeitaFRA48 000 €202463 000 €Lamine SambeSEN/FRA48 000 €202455 000 €Vincent VentFRA54 000 €202352 000 €Timothé CrusolFRA40 000 €202350 000 €Samir GbetkomCAM30 000 €6 mois27 000 €Zaid HearstUSA/NIG-(1 mois)6 000 €Ludovic BeyhurstFRA60 000 €(1 mois)4 000 €Thomas Andrieux (coach)FRA-202465 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : David Skara © Champagne Basket (montage Basket Europe)
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Pro B : Champion du monde en 2019, l’Espagnol Javier Beiran en renfort à Saint-Quentin !
L’expérimenté ailier espagnol Javier Beiran (2,05 m, 35 ans) est annoncé à Saint-Quentin actuellement 2e de Pro B.\n\nJavier Beiran a joué 5 saisons à Estudiantes Madrid, 6 à Grand Canaria, 5 à Tenerife et il a commencé la présente à Fuenlabrada où il a été remercié en décembre après avoir disputé 4 matches à 1,3 point et 1,8 rebond. Rien à voir avec sa meilleure saison statistique : 12,1 points, 6,4 rebonds et 2,8 passes, à Tenerife en 2016-17.\n\nSon principal fait d’armes est d’avoir été champion du monde avec l’Espagne en 2019. Comme 11e homme, il entra 4 fois sur le terrain pour 4′ de jeu en moyenne.\n\n\nJAVIER EST UN GUERRIER ! 🇪🇸\n\nDoté d'une grande intelligence de jeu, Javier est un joueur expérimenté qui a connu le très haut niveau.\nOn compte sur vous pour lui réserver le meilleur accueil possible à Pierre Ratte. 💙#BienvenidoJavier pic.twitter.com/ZMsrBGqleT\n\n— Saint-Quentin Basket Ball (@SQBB_Officiel) February 6, 2023\n\n\nPhoto : FIBA
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Euroleague : L’ASVEL et Monaco aux deux dernières places des affluences
Avec 16 864 spectateurs, le Partizan Belgrade est leader des affluences d’Euroleague après 10, 11 ou 12 matches à domicile. Pénalisés par leurs salles à capacité réduite, l’ASVEL et l’AS Monaco ferment la marche du classement.\n\nSource : Darius Garuolis\n\nPhoto : Astroballe (Infinity Nine Media)
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Les Français de l’étranger : Rodrigue Beaubois impérial en Turquie, les Madrilènes contrôlent l’Europe
Quelle semaine pour nos Français expatriés partout en Europe ! Quasiment tous sont repartis avec la victoire en Euroleague comme en Eurocup, sans compter les quelques belles performances dans leur championnat respectif ...\n\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Grèce à Israël en passant par la Turquie et l’Italie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\nLors de cette semaine à deux matches en Euroleague, nous avons eu le droit à un duel entre joueurs français entre l’impressionnant Olympiakos et le double-tenant du titre de l’Anadolu Efes. À domicile, la formation grecque a frappé un grand coup (76-70) dans une rencontre ultra-serrée où Moustapha Fall a fait le sale boulot avec 4 rebonds et 2 contres. Rodrigue Beaubois a été davantage participatif au scoring avec 10 points et 3 passes décisives mais repartait avec une défaite coûteuse qui positionne Istanbul à la 11e place du classement à dix journées de la fin.\nLe duo Beaubois – M’Baye a su se rattraper en championnat. Ils ont inscrit 36 points à eux deux et se sont offerts une victoire au buzzer sur le terrain du voisin du Darussafaka.\n\nToujours en Turquie, Axel Bouteille a encore montré qu’il était essentiel au succès de son équipe. En Eurocup, l’arrière a marqué 18 points contre Wroclaw et permet à Ankara de prendre la 2e place provisoire d’un groupe dominé par le Gran Canaria de Damien Inglis et Andrew Albicy. De retour en ligue turque, Axel Bouteille s’est offert une seconde victoire dans la semaine contre Bahcesehir, agrémentée de 14 points et 4 rebonds.\n\n\nLe Real en tête de l’Euroleague et de la Liga Endesa\n\nOn n’arrête plus les Merengue ! Après deux victoires sur la scène européenne, contre le Panathinaikos puis à Monaco, le Real Madrid a conforté sa place de coleader du championnat espagnol face au Lenovo Tenerife de Marcelo Huertas. Son ancien coéquipier à l’époque de Baskonia, Vincent Poirier, a été le Français le plus affamé sous les cercles avec 15 points marqués et 2 contres.\n\nPlus à l’Est, « va tutto bene » pour les Frenchies d’Italie. Timothé Luwawu-Cabarrot s’impose comme un des leaders offensifs de Milan avec 12 points marqués dans une victoire à Trieste. Le meneur David Michineau s’est également illustré avec Naples. Il a aligné 21 points, 6 passes décisives et 6 rebonds contre le voisin de Scafati. Mauvaise nouvelle pour la Virtus Bologne. L’ailier Tricolore Isaïa Cordinier s’est blessé pour la deuxième fois cette saison, il s’absentera un mois et demi des parquets.\n\n\nLE CINQ MAJEUR DE LA SEMAINE\n\n\nCOUPES D’EUROPE\n\nEUROLEAGUE\n\nMam Jaiteh (Virtus Bologne)\nVictoire 84-72 contre Etoile Rouge Belgrade\n11 points à 66,7 % aux tirs, 8 rebonds et 1 perte de balles pour 12 d’évaluation en 23 minutes\nVictoire 64-77 à Lyon-Villeurbanne\n4 points 40,0 % aux tirs, 3 rebonds et 2 pertes de balles pour 2 d’évaluation en 16 minutes\n\nIsaïa Cordinier (Virtus Bologne)\nVictoire 84-72 contre Etoile Rouge Belgrade\n11 points à 66,7 % aux tirs, 3 rebonds, 2 passes décisives, 2 interceptions et 1 perte de balle pour 15 d’évaluation en 19 minutes\nVictoire 64-77 à Lyon-Villeurbanne\n10 points à 44,4 % aux tirs, 5 rebonds, 5 passes décisives et 3 interceptions pour 18 d’évaluation en 24 minutes\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid)\nVictoire 83-68 contre Panathinaikos\n16 points à 55,6 % aux tirs, 7 rebonds, 2 interceptions et 1 perte de balles pour 20 d’évaluation en 18 minutes\nVictoire 91-95 à Monaco\n9 points à 50,0 % aux tirs, 5 rebonds, 4 passe décisives, 1 interception, 1 perte de balles et 1 contre pour 15 d’évaluation en 29 minutes\n\nVincent Poirier (Real Madrid)\nVictoire 91-95 à Monaco\n2 points à 50,0 % aux tirs, 2 rebonds et 1 perte de balles pour 2 d’évaluation en 5 minutes\n\nFabien Causeur (Real Madrid)\nVictoire 83-68 contre Panathinaikos\n4 points à 66,7 % aux tirs, 1 rebond et 1 passe décisive pour 5 d’évaluation en 17 minutes\nVictoire 91-95 à Monaco\n2 passes décisives et 1 interception pour 3 d’évaluation en 5 minutes\n\nPetr Cornelie (Real Madrid)\nVictoire 83-68 contre Panathinaikos\n8 points à 60,0 % aux tirs, 4 rebonds, 1 passe décisive et 1 interception pour 12 d’évaluation en 16 minutes\nVictoire 91-95 à Monaco\n2 points à 33,3 % aux tirs et 1 rebond pour 1 d’évaluation en 13 minutes\n\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes)\nVictoire 80-70 contre Zalgiris Kaunas\n9 points à 66,7 % aux tirs, 2 rebonds, 2 passes décisives et 1 interception pour 12 d’évaluation en 18 minutes\nDéfaite 76-70 à Olympiakos\n10 points à 50,0 % aux tirs, 3 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balles pour 9 d’évaluation en 27 minutes\n\nAmath M’Baye (Anadolu Efes)\nVictoire 80-70 contre Zalgiris Kaunas\n4 points à 20,0 % aux tirs, 2 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 1 contre pour 5 d’évaluation en 23 minutes\nDéfaite 76-70 à Olympiakos\n4 points à 100,0 % aux tirs, 2 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 1 perte de balles et 1 contre pour 8 d’évaluation en 9 minutes\n\nMoustapha Fall (Olympiakos)\nVictoire 73-93 au Fenerbahçe\n4 rebonds, 4 passes décisives, 1 interception, 3 pertes de balles et 2 contres pour 8 d’évaluation en 21 minutes\nVictoire 76-70 contre Anadolu Efes\n10 points à 100,0 % aux tirs, 2 rebonds, 1 passe décisive et 1 perte de balles pour 10 d’évaluation en en 14 minutes\n\nTimothé Luwawu-Cabarrot (Olimpia Milan)\nVictoire 89-83 contre Baskonia\n17 points à 60,0 % aux tirs, 4 rebonds et 3 pertes de balles pour 11 d’évaluation en 33 minutes\nVictoire 74-68 contre Etoile Rouge Belgrade\n8 points à 57,1 % aux tirs, 6 rebonds, 1 interception et 1 perte de balles pour 11 d’évaluation en 23 minutes\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade)\nVictoire 92-71 contre ASVEL\n12 points à 50,0 % aux tirs, 4 rebonds, 2 passes décisives, 2 interceptions, 1 perte de balles et 1 contre pour 17 d’évaluation en 25 minutes\nVictoire 74-88 au Zalgiris Kaunas\n14 points à 62,5 % aux tirs, 6 rebonds, 1 passe décisive et 6 pertes de balles pour 9 d’évaluation en 29 minutes\n\n[adsence2]\n\nEUROCUP\n\nAxel Bouteille (Turk Telekom Ankara)\nVictoire 76-63 contre Wroclaw\n18 points à 53,8 % aux tirs, 6 rebonds, 1 perte de balles et 1 contre pour 18 d’évaluation en 24 minutes\n\nAlpha Kaba (Buducnost Podgorica)\nVictoire 78-68 contre Londres\n9 points à 50,0 % aux tirs, 11 rebonds et 1 passe décisive pour 17 d’évaluation en 24 minutes\n\nDamien Inglis (Gran Canaria)\nVictoire 118-99 contre Paris\n10 points à 45,5 % aux tirs, 4 rebonds, 2 passes décisives, 2 interceptions et 1 perte de balle pour 11 d’évaluation en 14 minutes\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria)\nVictoire 118-99 contre Paris\n12 points à 100,0 % aux tirs, 6 passes décisives, 2 rebonds et 2 pertes de balles pour 18 d’évaluation en 17 minutes\n\nJaylen Hoard (Hapoel Tel-Aviv)\nVictoire 60-78 à Trente\n7 points à 75,0 % aux tirs, 5 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 1 perte de balles pour 10 d’évaluation en 16 minutes\n\nBCL\n\nJerry Boutsiele (Bahcesehir)\nDéfaite 95-88 au Rytas Vilnius\n23 points à 72,7 % aux tirs, 10 rebonds, 2 passes décisives, 1 perte de balles et 1 contre pour 31 d’évaluation en 36 minutes\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoël Holon)\nDéfaite 63-65 contre Hapoel Jerusalem\n2 rebonds et 1 perte de balles en 11 minutes pour 1 d’évaluation\n\n[adsence2]\n\n\nCHAMPIONNATS ETRANGERS\n\nESPAGNE\n\nFabien Causeur (Real Madrid)\nVictoire 88-77 contre Tenerife\n6 points à 33,3 % aux tirs, 3 rebonds et 3 interceptions pour 8 d’évaluation en 23 minutes\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid)\nVictoire 88-77 contre Tenerife\n8 points à 40,0 % aux tirs, 2 rebonds et 2 interceptions pour 5 d’évaluation en 26 minutes\n\nVincent Poirier (Real Madrid)\nVictoire 88-77 contre Tenerife\n15 points à 75,0 % aux tirs, 4 rebonds et 2 contres pour 18 d’évaluation en 25 minutes\n\nPetr Cornelie (Real Madrid)\nVictoire 88-77 contre Tenerife\n7 points à 100,0 % aux tirs, 2 rebonds, 2 passes décisives et 1 perte de balles pour 10 d’évaluation en 13 minutes\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria)\nVictoire 88-70 contre Malaga\n8 points à 50,0 % aux tirs, 8 passes décisives, 3 rebonds, 4 interceptions et 2 pertes de balles pour 18 d’évaluation en 27 minutes\n\nDamien Inglis (Gran Canaria)\nVictoire 88-70 contre Malaga\n2 points à 20,0 % aux tirs, 6 rebonds, 1 passe décisive, 3 pertes de balles et 1 contre pour 3 d’évaluation en 17 minutes\n\nLeo Westermann (Obradoiro)\nVictoire 77-64 contre Bilbao\n3 points à 0,0 % aux tirs, 2 passes décisives, 1 rebond, 2 interceptions et 2 pertes de balles pour -2 d’évaluation en 17 minutes\n\n[adsence2]\n\nTURQUIE\n\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes)\nVictoire 80-83 au Darussafaka\n20 points à 70,0 % aux tirs, 4 rebonds, 1 passe décisive, 3 interceptions et 4 pertes de balles pour 20 d’évaluation en 34 minutes\n\nAmath M’Baye (Anadolu Efes)\nVictoire 80-83 au Darussafaka\n16 points à 50,0 % aux tirs, 2 rebonds et 2 passes décisives pour 15 d’évaluation en 33 minutes\n\nAxel Bouteille (Turk Telekom)\nVictoire 72-77 à Bahcesehir\n14 points à 45,5 % aux tirs et 4 rebonds pour 12 d’évaluation en 22 minutes\n\nJerry Boutsiele (Bahcesehir)\nN’a pas joué.\n\nITALIE\n\nMouhammadou Jaiteh (Virtus Bologne)\nVictoire 84-78 contre Brescia\n4 points à 50,0 % aux tirs, 2 rebonds et 1 contre pour 5 d’évaluation en 18 minutes\n\nIsaïa Cordinier (Virtus Bologne)\nBlessé.\n\nDavid Michineau (Naples)\nVictoire 71-69 contre Scafati\n21 points à 61,5 % aux tirs, 6 rebonds, 6 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balles pour 23 d’évaluation en 35 minutes\n\nTimothé Luwawu-Cabarrot (Milan)\nVictoire 59-65 à Trieste\n12 points à 33,3 % aux tirs, 4 rebonds, 1 passe décisive, 3 pertes de balles et 1 contre pour 6 d’évaluation en 24 minutes\n\nHugo Invernizzi (Trévise)\nVictoire 81-97 à Vérone\n5 rebonds et 1 passe décisive pour 5 d’évaluation en 14 minutes\n\nGRECE\n\nMoustapha Fall (Olympiakos)\nN’a pas joué.\n\nSylvain Francisco (Peristeri)\nVictoire 75-69 contre Apollon\n14 points à 36,4 % aux tirs, 5 passes décisives, 2 rebonds, 3 interceptions et 2 pertes de balles pour 16 d’évaluation en 31 minutes\n\nLIGUE ADRIATIQUE\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade)\nVictoire 78-103 au Mega MIS\n9 points à 80,0 % aux tirs, 5 rebonds, 4 passes décisives, 2 pertes de balles et 1 contre pour 15 d’évaluation en 15 minutes\n\nMalcolm Cazalon (Mega Mozzart)\nN’a pas joué.\n\nAlpha Kaba (Buducnost Podgorica)\nVictoire 84-58 contre Meridian\n10 points à 83,3 % aux tirs, 7 rebonds, 3 pertes de balles et 2 contre pour 15 d’évaluation en 24 minutes\n\nRUSSIE\n\nThomas Heurtel (Zenit Saint-Petersburg)\nVictoire 71-73 au MBA Moscou\n16 points à 33,3 % aux tirs, 8 passes décisives, 4 rebonds, 2 interceptions et 1 perte de balles pour 16 d’évaluation en 28 minutes\n\nAdrien Moerman (Zenit Saint-Petersburg)\nVictoire 71-73 au MBA Moscou\n3 points à 33,3 % aux tirs, 1 rebond et 2 pertes de balles pour 1 d’évaluation en 16 minutes\n\nLouis Labeyrie (UNICS Kazan)\nDéfaite 103-70 au Lokomotiv\n11 points à 62,5 % aux tirs, 8 rebonds, 1 passe décisive, 1 contre et 2 pertes de balles pour 16 d’évaluation en 31 minutes\n\nLivio Jean-Charles (CSKA Moscou)\nVictoire 89-70 contre Novgorod\n19 points à 62,5 % aux tirs, 8 rebonds, 1 passe décisive, 2 interceptions, 1 contre et 2 pertes de balles pour 30 d’évaluation en 18 minutes\n\n[adsence2]\n\nISRAEL\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoël Holon)\nN’a pas joué.\n\nJaylen Hoard (Hapoël Tel Aviv)\nN’a pas joué.\n\nTidjan Keita (Hapoël Beer Sheva)\nN’a pas joué.\n\nLITUANIE\n\nDaryl Doualla (Nevezis)\nVictoire 86-98 à Prienai\n5 points à 66,7 % aux tirs, 4 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 1 perte de balles pour 6 d’évaluation en 26 minutes\n\nBNXT LEAGUE\n\nAlexandre Gavrilovic (Mons-Hainaut)\nVictoire 72-62 contre Aalstar\n13 points à 75,0 % aux tirs, 6 rebonds, 1 passe décisive et 2 pertes de balle pour 14 d’évaluation en 30 minutes\n\nPOLOGNE\n\nAaron Cel (Torun)\nDéfaite 98-88 au Enea Zastal Zielona Gora\n7 points à 75,0 % aux tirs, 2 rebonds et 4 pertes de balles pour 4 d’évaluation en 20 minutes\n\nNBL\n\nRayan Rupert (New Zealand Breakers)\nVictoire 81-91 au Illawarra Hawks\n7 points à 33,3 % aux tirs, 5 rebonds, 2 passes décisives, 2 interceptions et 2 pertes de balles pour 6 d’évaluation en 23 minutes\nVictoire 75-80 au Brisbane Bullets\n3 rebonds et 1 interception pour -1 d’évaluation en 21 minutes\n\n[adsence2]\n\nPhoto : Mathias Lessort (Euroleague)
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Vidéo : Un clip musical sur l’univers des playgrounds avec le Basket Paris 14
Un clip musical agréable qui met en scène un joueur de playground parisien qui réalise son rêve. « Crown » par Telegraph avec la participation de George Eddy.\n\nLe commentaire des auteurs partagés sur les réseaux sociaux :\n\n« On avait depuis longtemps envie de rendre hommage au basketball français, un univers qui grandit chaque année, avec de jeunes générations très talentueuses. Alors on s’est donné ce défi un peu fou de mélanger fiction et réalité... et de tout faire nous-mêmes ! Pour cela on a suivi pendant trois mois avec notre caméra une jeune équipe du club de @BasketParis14. On a été portés par l’énergie et l’enthousiasme de ce groupe, ce qui nous a permis d’ouvrir des portes qu’on pensait impossibles à atteindre. Et voilà le résultat : une petite histoire avec pour fil rouge la détermination d’un jeune joueur qu’on a rencontré. On est extrêmement reconnaissants envers toutes les personnes qui ont soutenu le projet et on espère que ça vous plaira ! Et si c’est le cas, dites-le nous ! Pour nous soutenir et remercier toutes les équipes qui ont participé, n’hésitez pas à aller sur #Youtube pour commenter, partager et liker cette #vidéo. A très vite ! Matthieu, Maxime, Julien & William »\n\n\nTrès sympa ce clip!Je m'identifie complètement avec cette histoire d'un joueur de playground qui réalise son rêve. C'est mon histoire, aussi... Pour moi, \le crown\ c'etait en 1984 quand j'ai aidé le Racing Paris à monter en premiere div au meme temps que j'ai commencé à Canal+. https://t.co/iN9Gs41mB3\n\n— George Eddy (@georgeeddy2) February 6, 2023\n
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En plaisantant, Mike James invite Kevin Durant à jouer pour Monaco
Dès que Mike James écrit un tweet, les sites internet européens spécialisés sont en ébullition. Même quand c’est sous la forme d’une blague.\n\nMike James et Kevin Durant, qui ont joué ensemble aux Brooklyn Nets, sont de bons amis et la superstar de la NBA est venu voir jouer le Monégasque lors des playoffs de l’Euroleague, la saison dernière, contre Olympiakos, dans la Principauté et au Pirée.\n\nAlors que KD serait dans le viseur des Phoenix Suns, Mike James a écrit en plaisantant que Monaco est prêt à lui offrir un yacht.\n\nKevin Durant n’a pas joué depuis le 8 janvier en raison d’une blessure au genou qu’il a subie contre le Miami Heat. A 34 ans, il affiche en moyenne 29,7 points, 6,7 rebonds et 5,3 passes décisives par match cette saison. Son salaire pour cette saison est de 44 124 845 dollars. Pour l’anecdote, un méga-yacht de 100 mètres avec 50 membres d’équipage coûte en moyenne 275 millions de dollars.\n\nhttps://twitter.com/TheNatural_05/status/1622339882138861570\n\nPhoto : FIBA
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Chima Moneke, après la victoire de Monaco contre Paris : «En ce moment, je suis heureux à Monaco»
Ce dimanche, l’AS Monaco a mis une petite claque au Paris Basketball (103-81) pour conserver sa première place en Betclic Élite. Une rencontre à sens unique qui permet aux hommes de Sasa Obradovic de bien préparer leur match contre l’ASVEL en Euroleague.\n\nMalgré quelques absents de taille dans les rangs de la Roca Team, trois joueurs ont terminé le match avec 18 points sur la ligne des statistiques : Mike James, Jaron Blossomgame et la nouvelle recrue Chima Moneke. Ce dernier n’a pas caché sa joie d’être à Monaco après le match :\n\n« Il faut dire qu’on était un peu fatigué en arrivant, puis quatre de nos joueurs n’étaient pas là. On a redoublé d’effort, on voulait se mettre hors de danger rapidement. Paris est une équipe qui joue bien, je pense qu’on a fait le travail. J’aime beaucoup créer une connexion avec les fans, c’est comme ça que je veux que le basket soit dès que je suis sur le parquet. Pour les gens qui payent pour nous voir, c’est le meilleur moyen des remercier. En quelque sorte, on leur rend la monnaie de la pièce. Je suis un homme simple et heureux, je veux faire sourire les gens quand je joue au basket. La vie est dure pour tout le monde, c’est important de leur faire passer du bon temps. Je m’intègre super bien dans l’équipe jour après jour alors que ça ne fait que deux semaines que je suis là. Je sais qu’il va encore me falloir du temps pour m’adapter. Le championnat et l’Euroleague sont deux compétitions différentes, il faut s’adapter aux deux. Je suis content de ma manière de jouer mais je veux m’impliquer davantage en Euroleague, ça va prendre du temps. On a des joueurs talentueux qui ont des qualités athlétiques impressionnantes. C’est la première fois que je suis dans une équipe qui joue pour gagner tous ses matchs, c’est super cool. Tous les matchs sont durs. Il va falloir qu’on enchaîne les victoires. Ces quelques jours sans match vont me permettre de profiter de mon appartement (rires). J’ai un superbe appartement mais j’étais à l’hôtel toute la semaine dernière. Maintenant, je vais pouvoir me reposer et regarder tranquillement des films. En ce moment, je suis juste heureux à Monaco ».\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ZoHL1-DfTxk&t=1s&ab_channel=LNBOfficiel\n\nL’entraineur Sasa Obradovic a aussi fait le point sur les absents avant d’évoquer les débuts en professionnel d’Amboise Couture, qui a disputé les 3 dernières minutes du match :\n\n« Ce soir, Yakuba Ouattara était malade mais il pourra rejoindre l’équipe le week-end prochain. Il y a d’autres petites blessures qui seront guéries également pour ce week-end. Le match contre le Real Madrid était incroyable à regarder, même si on ne repart pas avec la victoire. On est encore dans la course au haut de tableau. En Euroleague, Chima Moneke et Jaron Blossomgame jouent un peu moins mais ils ont la détermination de montrer leur talent en championnat (18 points chacun). Jordan Loyd est encore un peu derrière mais il a besoin de retrouver son niveau après sa blessure. Il devrait être à 100 % très bientôt. La saison est encore longue, tout le monde doit être prêt à donner du sien dans cette 2e partie de saison. Je veux voir la même énergie et intensité contre l’ASVEL au prochain match, tout le monde va devoir être prêt. Une semaine de repos avant le prochain match, ça va faire du bien mais il va falloir bien s’entraîner quand même, c’est mon rôle du coach. C’est aussi l’occasion pour les jeunes comme Amboise Couture de voir ce qu’est le haut niveau. Il a pu voir ce que ça fait de jouer dans une bonne ambiance. Il a encore beaucoup de travail à faire mais il était content de jouer avec les gars ».\n\nhttps://twitter.com/ASMonaco_Basket/status/1622319131201519620\n\n[adsence2]\n\n\n« 44% à 2-points, ce n’est pas suffisant »\n\nDu côté des Parisiens, ce match est avant tout une leçon à apprendre avant les matchs d’Eurocup. Pour l’entraineur Will Weaver, c’est surtout le pourcentage d’adresse qui a fait pencher la balance en faveur de la Roca Team :\n\n« On n’a pas fait du bon travail à la finition, 44 % à 2-points, ce n’est pas assez pour remporter de genre de match. Je pense qu’on doit prendre plus de tirs quand on en a la possibilité. En face, Monaco avait une bonne équipe avec des joueurs talentueux. Ces matchs sont une leçon pour nous, on s’améliore et ça nous prépare aussi pour les matchs européens ».\n\nEnfin, le capitaine Gauthier Denis (12 points, 3 rebonds, 1 passe) pointe du doigt les erreurs commises par les Parisiens pendant la rencontre :\n\n« Au match aller, on était plus compétitif sur l’ensemble du match. On commence bien le match, on était bien dedans mais l’AS Monaco a vite trouvé du rythme. En première mi-temps, on a eu pas mal de soucis au tir et au rebond, j’avais l’impression qu’on se faisait dominer dans ces secteurs de jeu. On a essayé en deuxième mi-temps de parier sur des tactiques défensives pour revenir mais ça n’a pas marché. La balle bougeait bien entre nous même si on a fait des fautes rapides. C’est ce genre de match qui est très formateur pour les matchs européens et notre parcours en Eurocup. Évidemment qu’on n’était pas favori avant le début du match, Monaco est une grosse équipe. Dans le 3e quart-temps, on a pris un éclat difficile à remonter. On a fait quelques fautes sur Matthew Strazel à 3-points, qui lui ont donné beaucoup de lancers-francs. Ce n’est pas positif mais ce n’est pas ça qui nous fait perdre le match, ce n’est pas le tournant de la rencontre ».\n\nPhoto : AS Monaco
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Vidéo : Le reportage de Stade 2 sur Victor Wembanyama
Stade 2 était ce week-end à Blois pour la venue de Victor Wembanyama. Voici le reportage. « Wemby ! Wemby ! Wemby !... »\n\n\n🏀 #STADE2 | Wembanyama, déjà si grand\n\nLe basketteur français Victor Wembanyama, 19 ans, 2,21m, est annoncé futur numéro un de la draft NBA en juin prochain. En France, il est fêté partout où il passe comme ce fut le cas ce week-end à Blois pour le match de ses Metropolitans pic.twitter.com/ZWqPPXq7X7\n\n— francetvsport (@francetvsport) February 5, 2023\n\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Dominique Juillot : «Je serai candidat à la présidence de la LNB si...»
Après 12 ans de mandat, Alain Béral quittera en juin la présidence de la Ligue Nationale de Basket. Dans une interview à Creusot Infos, Dominique Juillot laisse entendre qu’il pourrait être candidat à sa succession.\n\nDominique Juillot, 68 ans, a été comme joueur champion de France de Nationale 3 avec Chalon et surtout son président emblématique. Chef d’entreprise, il est maire de Mercurey, fut député et président de la Communauté d’Agglomération du Grand Chalon, et aussi vice-président de la LNB.\n\n« C’est vrai que j’ai été sollicité ces derniers temps, mais je ne suis pas candidat officiellement, car je veux mesurer l’intérêt pour le basket d’une candidature. Il n’est pas question pour moi d’être candidat pour être candidat. Je serai candidat à la Présidence de la LNB si... » déclare-t-il dans l’interview.\n« À la demande de Michel Gobillot, le Président de l’UCOB, l’Union des Clubs Professionnels de Basket, j’ai accepté de venir échanger avec les clubs, le 18 février, à Saint-Etienne, à l’occasion de la Leaders Cup. Je veux me faire une idée de ce que les clubs attendent de la LNB. Très concrètement, je vais leur dire comment je vois les choses. Je ferai part de mon expérience de 30 ans, dont 12 ans à la Ligue. Je leur dirai comment je vois la Ligue. Pour moi, la LNB doit être au service de ses clubs et du basket ; mais aussi comment, à mes yeux, la LNB doit travailler en complémentarité avec la fédération, comment on peut parfaire la formation. »
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Pau Gasol nommé ambassadeur de la Coupe du Monde 2023
L’icône espagnol Pau Gasol a été nommé ambassadeur de la Coupe du Monde FIBA 2023, qui va se tenir cet été aux Philippines, au Japon et en Indonésie.\n\nPau Gasol fut comme joueur une figure de la Coupe du Monde. Il y fit sensation dès sa première apparition en 2002 à Indianapolis, guidant l’Espagne à la cinquième place et finissant 6e marqueur. Il l’a remporté en 2006 au Japon avec la moyenne de 21,2 points (63,1% de réussite) et 9,4 rebonds par match et il en fut élu le MVP. Lors de sa dernière apparition en Coupe du monde, à domicile, en 2014, Gasol a mené l’Espagne à six victoires consécutives avant que les Espagnols ne soient contrariés par la France en quarts de finale. Il avait été si bon dans le tournoi que Gasol a de nouveau fait partie du All-Star Five.\n\nEn tout, Gasol a disputé trois Coupes du monde, cinq Jeux Olympiques et sept EuroBasket.\n\n« La Coupe du monde est le trophée le plus difficile à remporter en basket-ball », a déclaré Gasol. « Une équipe gagnante a besoin de caractère, d’alchimie et de coéquipiers qui viendront vous chercher quand vous serez à terre. C’est un grand honneur pour moi de faire partie d’une si grande équipe de légendes du basket-ball et de rejoindre Luis Scola, une véritable légende et l’un de mes rivaux les plus coriaces, dans ce rôle d’ambassadeur mondial pour la Coupe du monde 2023. »\n\nIl y a quelques mois à peine, Pau Gasol a déjà été l’ambassadeur à la Coupe du Monde féminine en Australie. Il est également membre de la commission des athlètes du Comité international olympique, et il est par ailleurs consultant, investisseur et activiste dans des projets liés au sport et au bien-être.\n\nPhoto : FIBA
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+39 pour l’ASVEL face à Dijon – TJ Parker : «On est un groupe de 12 et on peut vraiment monter en pression»
Sans David Holson et Matt Mobley, la JDA Dijon était trop démunie face au bloc villeurbannais. On ne s’attendait tout de même pas qu’elle prenne une telle raclée (99-60).\n\nLa différence à l’évaluation (124 à 48) prouve que la JDA a été ballotée dans tous les domaines. Son adresse à trois-points (4/22) a été ainsi misérable et le coach Nenad Markovic a regretté en conférence de presse -propos rapportés par Le Bien Public– que ses joueurs aient oublié tout sens collectif.\n\n« Ce (dimanche) soir, il y en a qui ont oublié le collectif, oublié de faire des blocks, de mettre des lancers. On n’a pas montré qu’on était 4e du championnat, on peut perdre de 40 points, mais il faut au moins ressembler à une équipe qui jouait au basket. »\n\nA l’inverse, le coach villeurbannais, TJ Parker a pu vanter la solidité de son groupe, sachant que tout le monde a joué au moins dix minutes et que c’est Antoine Diot, qui se retrouve parfois reclus sur le banc, qui a eu droit au temps de jeu le plus important (26 minutes).\n\n« On a changé deux trois choses, surtout au niveau des intentions défensives. On est un groupe de 12 et on peut vraiment monter en pression, on va garder ces intentions car ça donne du rythme, en défense comme en attaque. Mais ce n’est qu’un match, il faut continuer. On a cette force en championnat, on peut jouer à douze, et si on défend dur, sur la durée du match ça ne tiendra pas pour l’adversaire. Il faut qu’on l’ait aussi en Euroleague. (...) Bien sûr, ça change sans Holston, c’est quelqu’un qui peut créer son propre tir, faire les bonnes passes, on s’y était préparé et on avait prévu de le fatiguer avec tout le monde. Mais les blessures arrivent à toutes les équipes et on n’a pas changé notre façon de jouer, c’est positif. »\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Le programme TV : Trois matches sur France 3 dimanche
Sportivement, la semaine est dominée par le désormais clasico Monaco-ASVEL en Euroleague et par France-Lituanie décisif pour la qualification à l’EuroBasket féminin, mais sur le plan télévisuel, on assiste à une grande première avec pas moins de trois matches diffusés en même temps, dimanche, sur France 3 dont deux de Pro B.\n\nMercredi 8 février :\n\n18h00 : Bursaspor/Bourg – Eurocup – Skweek\n\n20h30 : Paris/Buducnost – Eurocup – Skweek\n\nJeudi 9 février :\n\n18h30 : Lituanie/France – Qual. EuroBasket fem. – BeIN Sport 2\n\nVendredi 10 février :\n\n19h00 : Monaco/Villeurbanne – Euroleague – Skweek\n\n20h00 : Boulogne-Levallois/Dijon – Betclic Elite – BeIN Sport 2\n\nDimanche 12 février :\n\n15h15 : Bourg/Monaco – Betclic Elite – France 3 Côte d’Azur et France 3 Rhône-Alpes\n\n15h15 : Evreux/Champagne Basket – Pro B – France 3 Grand Est et France 3 Normandie\n\n15h15 : Saint-Quentin/Lille – Pro B – France 3 Pas-de-Calais et France 3 Picardie\n\nLe programme de la semaine sur MCS Basket\nMercredi 8 février :\n03h00 – Arkansas/Kentucky – NCAA\nDimanche 12 février :\n12h30 – Barcelone/Breogan – Espagne\n13h30 – Anadolu/Bursaspor – Turquie\n17h30 – Varese/Milan – Italie\n18h00 – Reggio Emilia/Virtus Bologne – Italie\n\nMCS Basket, c’est chaque année plus de 600 matches de basketball en direct et à la demande.\n\nCOMMENT REGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON 2022-2023 :\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE :\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse, entre autres, l’affiche de la journée de Betclic Elite, les équipes de France et la NBA. Ses chaines sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52 – Canal Sat : canaux 66 à 68 – Free : canaux 31 à 33 – Orange : canaux 45 à 47 ou 176 à 178 – SFR : canaux 115 à 117).\nSTATIONS REGIONALES DE FRANCE 3\nChaque weekend, France 3 retransmet du basket sur ses antennes régionales (Betclic Elite, Ligue Féminine, Pro B). Ses chaînes sont accessibles gratuitement et localement sur la TNT. Elles sont également accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 301 à 324, Free : canaux 301 à 326, Canal : canaux 350 à 373, Orange : canaux 211 à 236, SFR : canaux 431 à 456).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite diffuse une affiche par journée de saison régulière plus les playoffs de Ligue Féminine. Plusieurs émissions spéciales durant l’année, disponibles en replay (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\nLA CHAINE L’EQUIPE\nLa Chaîne L’Equipe diffuse 30 rencontres d’Euroleague en clair cette saison (dont 23 affiches de saison régulière et 7 rencontres de playoffs) en direct ou en léger différé. Disponible sur le canal 21 de la TNT.\n\nSUR INTERNET (OTT) :\nLNB TV – LA PLATEFORME DIGITALE OTT DE LA LNB\nLa plateforme diffuse l’ensemble des matches (*qui ne sont pas diffusés par BeIN Sports et France 3) de Betclic Elite et de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay et sont tous commentés. Trois façons d’y accéder : sur le site LNB, sur le site LNB TV ou en téléchargeant l’application LNB sur iOS ou Android.\nSKWEEK\nTous les matches d’Euroleague masculine et féminine et ceux des équipes françaises en Eurocup sont diffusés en live et en replay sur la plateforme skweek.tv. Des avant-matches et des émissions spéciales chaque semaine.\nMCS BASKET\nLes matches des championnats d’Espagne, Italie, Turquie et de NCAA ainsi que la Coupe de France, la Coupe d’Espagne, la Coupe de Turquie et la Coupe d’Italie sont disponibles sur la plateforme MCS Basket.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de la FFBB – commentaires en français -, de la Basketball Champions League, de la FIBA et de la FIBA 3×3 diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : respectivement Ligue Féminine, BCL, Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3×3 notamment.\nTWITCH\nLa chaîne First Team diffuse des matches des Metropolitans 92 gratuitement et en direct sur sa chaîne Twitch et sur LNB TV.\n\nPhoto : Axel Julien (Thomas Savoja)
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Russie : Pavel Podkolzine, de la NBA au cinéma
A l’image de l’Allemand Heiko Schaffartzik, le géant russe Pavel Podkolzine s’est reconverti, à 38 ans, comme acteur de cinéma et de télévision.\n\nLe Russe Pavel Podkolzine annoncé entre 2,23 m et 2,26 m, est l’un des 12 joueurs russes qui ont réussi à entrer en NBA. Après deux ans passés à Dallas, de 2004 à 2006, l’ancien pivot international est retourné dans son pays natal et a fait l’essentiel de sa carrière en Super League. Il s’est métamorphosé depuis en acteur et il est apparu dans la série « 1703 » dans le rôle d’un tueur. Comment en est-il arrivé là ? Simple.\n\n« Ils avaient besoin d’une personne costaude, mais pas seulement grande. Le réalisateur et le directeur de casting ne savaient plus comment faire puis ils ont cherché « la personne la plus grande » dans un moteur de recherche, après quoi ils en ont obtenu trois ou quatre personnes. Alors ils m’ont vu moi et mon Instagram. J’avais un rêve, quand je n’étais pas encore comédien, de jouer dans des films et des séries. Une notification est arrivée. J’ai tout de suite téléphoné au directeur de casting, le lendemain on a contacté le réalisateur via zoom, on s’est mis d’accord sur tout. Deux jours plus tard, je me suis envolé pour Moscou, j’ai fait quelques bouts d’essai, ils ont pris des mesures puis je me suis immédiatement envolé pour le tournage. »\n\nPavel Podkolzine raconte qu’il n’a pas eu réellement le trac.\n\n« Quand tu joues au basket depuis 20 ans, tu es tout le temps devant les caméras. Et si vous vous sentez détendu devant les caméras, ce ne sera pas difficile pour vous. Dès l’âge de 15 ans, j’ai joué pour l’équipe nationale junior, à 17 ans, je suis parti pour l’Italie (NDLR : à Varèse), j’ai donné des interviews en italien et en anglais. Au début, vous êtes attiré par le rôle, et puis ça roule. Vous êtes motivé par le fait qu’il s’agit d’un nouveau domaine d’activité. Jusqu’à récemment, je me contentais de m’ entraîner, de manger, de dormir et et de jouer, ce pendant 20 ans, mais ici, vous faites quelque chose de complètement différent. »\n\nEst-il un bon acteur ?\n\n« Chacun peut avoir son opinion, mais dans mon entourage tout le monde disait que je jouais très bien. »\n\nEn voyant la photo-ci-dessous aux côtés de deux policiers qui ont l’air d’être des enfants, on se dit que le géant a la figure de l’emploi. Il est déjà sur un autre tournage, un projet appelé « Magic Site ».\n\nYandex GamesANNONCE•6+\n\nBubble Hit\n\nPlay popular games online in your browser. No installation required\n\nFind out morePublicité 18+\n\n« Attendez, toute l’équipe était-elle sûre de ça ? »\n\n– Je ne sais pas pour toute l’équipe, mais je l’ai vu de mes propres yeux. Il semble juste que ce ne soit pas possible. Ce ne sont pas seulement quelques courses à l’improviste, mais des points controversés qui seraient décidés en votre faveur, mais ici, ils sont allés dans le sens de rivaux. C’était visible à l’œil nu : deux ou trois coups de sifflet – et en NBA, ils peuvent résoudre beaucoup de choses – étaient très controversés. Dans ces situations, le ballon aurait dû rester avec nous, avec l’équipe à domicile, mais ils sont allés à Miami.\n\n– En Amérique, Nowitzki avait une longue réputation de « choker » après cela ...\n\n– Mais en 2011, ils ont quand même gagné. Cuban a fini par se réconcilier avec David Stern. En NBA, les commissaires adorent que les propriétaires d’équipe soutiennent la ligue. Puis il l’a sévèrement condamné à une amende, puis ils ont tout effacé, et tout va bien.\n\nNowitzki est certainement devenu plus fort au fil des ans. Y compris mentalement. Quand tu es en tête et que tu perds la série finale, tu te fais quand même vermifuger. Tu as passé 20 ans au club et tu n’as toujours pas gagné le championnat ?!\n\nLui et Cuban sont comme père et fils. Il me semble qu’à un moment donné, il est venu à Cuba et lui a demandé de faire la paix avec la ligue et de ne pas agir de manière aussi provocante pour remporter au moins un titre. Bien sûr, je ne connais pas les détails, c’est ma vision personnelle.\n\n– Vous avez joué contre Nowitzki à l’entraînement. Comment c’était ?\n\nIl pourrait être positif, ou il pourrait être très sérieux. Regarder ce qui se passe. Si quelqu’un quelque part ne travaille pas assez, et qu’il travaille dur et perd à cause de quelqu’un, alors il pourrait crier et arrêter l’entraînement. Expliquer d’un ton élevé, pourtant son aikyu travaille un ordre de grandeur supérieur au reste.\n\nIl est donc l’âme de l’entreprise. Toujours plaisanter, toujours taquiner quelqu’un, toujours sourire.\n\nC’était dur de jouer contre lui. 213 cm de haut, des compétences de tir aiguisées – peu importe ce que vous faites, il marquera toujours. Contre Jordan : « Appelle-moi Jésus noir, je te battrai quand même. » Il avait aussi de mauvais jours quand il s’enduisait. En général, il restait toujours après l’entraînement et finalisait, mais s’il y avait une mauvaise journée, il ne quittait pas du tout le gymnase.\n\nC’est un fanatique comme le reste des grands. Comment Kobe a absolument léché tout le match à Michael. C’est juste qu’ils sont fans dans la mesure où ils s’y sont entièrement consacrés. Regardez comment la vie de Nowitzki s’est construite : il a fondé une famille à la fin de sa carrière, avant il n’avait que du basket, du basket, du basket... Il s’entraînait sans arrêt, discutait avec son entraîneur Holger, jouait aux échecs avec lui. Quand Steve Nash était dans le club, ils pouvaient prendre une bière et venir dans la salle jeter... Des fans jusqu’au bout.\n\nYandex GamesANNONCE•0+\n\nBubble Saga\n\nPlay popular games online in your browser. No installation required\n\nFind out morePublicité 18+\n\n\nDette de Varèse, Dallas pharma et coachs noirs\n\n– Lorsque vous avez déménagé à Dallas, vous avez contracté un emprunt pour donner de l’argent à Varese...\n\n« Mes agents l’ont fait. Je pense que c’est l’une des erreurs les plus stupides.\n\nJ’ai quitté Novossibirsk en tant que mineur. Et quand j’ai eu 18 ans, ils m’ont bêtement glissé un nouveau contrat de 5 ans. J’ai demandé: « Qu’est-ce que c’est? » Ils ont dit : « Ouais, juste un ajout. » Il s’est avéré que c’est mon nouveau contrat. L’agent était tout aussi stupide. Ou était juste de mèche avec le club. Il s’est avéré que si j’avais fini de jouer en Italie, ils n’auraient rien reçu. Et donc ils ont apparemment décidé que j’irais en Amérique et que je devrais racheter le contrat. Il s’est avéré que vous devez donner 650 000 dollars. Les agents ont pris l’argent de la banque et l’ont transféré en Italie. Et, à mon avis, l’équipe a transféré 300 000 dollars supplémentaires. Ensemble – environ un million de dollars.\n\nEt vous comprenez que le 21e choix au repêchage reçoit environ 750 000 dollars lors de la première saison, environ 950 000 lors de la deuxième saison et un peu plus d’un million lors de la troisième.\n\nNous avons donc réussi à gagner au moins.\n\nJe n’aurais pas dû partir si jeune. Il faut aller en NBA en tant qu’homme très préparé et mature, 23-24 ans, qui a déjà gagné en Europe, qui a passé plusieurs entraîneurs. C’est bien que les jeunes ne partent que s’ils croient en toi : tu peux y évoluer pendant deux ou trois ans, pas jouer, mais purement physiquement tu évolues très vite, car des préparateurs physiques, des coachs purement basket travaillent avec toi depuis longtemps et fastidieusement. Et vous travaillez dans une chaise berçante cinq jours sur sept. De plus, ils donnent une très bonne ferme. Ils ne s’injectent pas, mais après chaque entraînement, ils vous donnent un cinquième de tasse.\n\nCroyez-vous en la mâchoire de Wade ? Lorsque Wade est revenu d’une blessure avec une énorme mâchoire qu’il n’avait pas auparavant et que l’on pense que c’est un signe d’utilisation de HGH...\n\n« Regardez LeBron James dépenser des millions pour lui-même. La pharmacologie est différente : il y a quelqu’un qui va se gonfler comme un poulet de chair, et il y a des dresseurs compétents qui sélectionnent les médicaments les plus purs. Plus les superstars, personne ne touchera à ce sujet. Est-ce que tu sais pourquoi? Regardez : je n’ai pas joué, mais j’ai passé des tests cinq fois par saison, tous les deux mois, mais Dirk jamais.\n\nY a-t-il eu un moment où vous vous êtes senti prêt à les combattre ?\n\n– Oui, mais déjà en deuxième année, quand je me suis plus ou moins installé – je suis devenu plus fort physiquement, je me suis entraîné dans un fauteuil à bascule, je suis devenu plus fort mentalement. Dans la Summer League, c’était beaucoup plus facile. Mais, malheureusement, à ce moment-là, personne ne m’aurait laissé jouer. Ensuite, l’équipe a remporté le titre et Avery Johnson était l’entraîneur ...\n\n– On a le sentiment que l’attitude envers Johnson a changé au fil des ans...\n\nYandex GamesANNONCE•6+\n\nBubble Hit\n\nPlay popular games online in your browser. 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Même Steve Nash a été renvoyé. Il me semble que les entraîneurs blancs vivent déjà dehors, et en cas de ratés, ils chercheront ceux qui sont plus à l’aise avec les joueurs, et la plupart d’entre eux sont noirs.\n\n– En jouant là-bas, as-tu compris pourquoi la plupart des basketteurs font faillite ?\n\n– C’est simple. Parlant, ils reçoivent un bon salaire et peuvent tout se permettre. Et quand ils arrêtent de jouer, leurs dépenses restent les mêmes. La plupart ne comprennent pas cela. Ils ne comprennent que des cas isolés – ici, par exemple, j’ai compris. Pas vite, mais j’ai compris, c’est aussi grâce à ma femme. Dieu merci, j’ai réalisé où dépenser l’argent gagné.\n\n« Il y a aussi des cours sur la façon d’utiliser correctement l’argent...\n\n– À quoi ça sert? Eh bien, il y avait des cours à New York. Je viens d’Italie, je n’ai rien compris du tout. Ils ont dit quelque chose en anglais. J’ai joué en Italie avec Jerry McCollough, qui était alors à l’UNICS, et nous avons toujours essayé de parler italien avec lui. Je connaissais quelques phrases en anglais et ce n’est qu’ensuite que j’ai appris la langue en six mois.\n\nDe plus, l’anglais et la langue parlée par les Noirs américains sont généralement des choses différentes.\n\n– Quel a été votre premier achat après le contrat en Amérique ?\n\n– J’ai pris la voiture pour moi – au début c’était une Mercedes Classe S de 2000 (carrosserie 220) et pour ma femme – une Mercedes Classe E de 2003 (carrosserie 211). Nous avons été absents pendant un an. Et puis j’ai pris tout cela et j’ai échangé contre une nouvelle carrosserie Mercedes Classe S 221, en payant 15 à 20 000 dollars supplémentaires.\n\nTout est plus facile et plus accessible en Amérique.\n\n– L’avez-vous amenée en Russie plus tard ?\n\n– Celui-ci. Et un de plus – BMW X5.\n\n\nNovossibirsk et Sakhaline\n\n– Vous dites toujours que vous devez jouer, pas vous asseoir. Y a-t-il un montant pour lequel vous seriez prêt à siéger ?\n\n– C’est une question provocante. C’est difficile à dire. Je suis content que ma carrière se soit déroulée comme elle l’a fait.\n\ncoddyschool.comANNONCE\n\nCoding school for kids Coddy!\n\nOnline courses at Coddy anywhere in the world! Sign up for online course!\n\nFind out morePublicité 18+\n\nMais c’est comme ça que je pense. Mais il y a des joueurs qui pensent différemment. Ils vous diront : « En fin de compte, vous jouerez, mais vous ne gagnerez rien. »\n\nCe n’est pas à propos de ça. Vous évoluerez dans le jeu et aurez la chance de faire vos preuves dans une autre équipe. L’importance d’un joueur augmente non pas lorsque vous marquez 30 points par match, mais lorsque vous marquez 7-8 points, mais que votre équipe remporte le championnat. Et puis la note de tous les joueurs augmente, les gens les regardent tous. J’ai joué avec deux personnes qui ont marqué 30-35 points, mais à chaque fois nous avons perdu 20-25 points. Il s’agissait de Lee Nylon de Novosibirsk et de Khalil Dux de Surgut. Super joueurs, mais ils n’ont pas du tout affecté les actions de l’équipe.\n\nEt regardez le Championnat de Russie 2014/15, lorsque nous avons remporté l’or en Super League et la Coupe de Russie. Cette réalisation est toujours tenue, personne ne l’a répété. À ce moment-là, au moins quatre ou cinq joueurs ont marqué plus de 10 points, car il y avait un jeu d’équipe complexe : deux jeunes joueurs étaient sur le banc, et les 10 personnes ont obtenu à peu près le même temps.\n\nEst-ce le moment le plus heureux de votre carrière ?\n\n– Un parmi beaucoup.\n\nLa préparation des Championnats d’Europe juniors 2002 en Lettonie, même si nous n’y avons pas gagné, seulement l’argent. Le brouillon est aussi un moment cool. Et en basket-ball pour adultes – lorsque nous avons remporté la Coupe pour la première fois, puis le Championnat de Russie.\n\nÀ 30 ans, vous obtenez le « Meilleur centre » – je ne m’y attendais pas, c’était bien avec mon propre public, où ils me respectent, où ils vont vers moi.\n\n– Que s’est-il passé ensuite avec cette équipe à Novossibirsk?\n\n– Le responsable de la culture physique et des sports de Novossibirsk a déclaré: « Non seulement nous ne pouvons pas vous donner un budget plus élevé, mais nous le réduisons également pour vous. »\n\nJ’ai joué un an après ça et puis je suis parti. Je ne suis pas si en colère, c’était juste clair que l’équipe ne grandissait pas. L’argent de la ville est allé au développement du hockey. Disons-le de cette façon : l’équipe a suivi son propre chemin, j’ai suivi le mien. Quand j’ai joué pour Sakhaline, nous nous sommes rencontrés en finale de la Coupe de Russie. Novosibirsk a remporté une autre Coupe de Russie et nous avons pris la deuxième place. Pour des raisons objectives.\n\n« Sakhaline » a alors réuni une « équipe de rêve », et certaines personnes ont tout foutu en l’air. Sandler a ensuite constitué une équipe, l’entraîneur-chef était Raud, il était assisté de Plotnikov et Uchaikin. Mais Sandler a eu des conflits à Sakhaline avec des Coréens locaux qui voulaient qu’il parte là-bas. Ils y sont entrés et ont tout détruit de l’intérieur. L’équipe et moi nous sommes réunis et avons décidé qu’il nous suffisait de terminer le championnat pour remplir toutes les conditions.\n\nYandex GamesANNONCE•0+\n\nBubble Saga\n\nPlay popular games online in your browser. No installation required\n\nFind out morePublicité 18+\n\nC’était dommage. L’équipe était très puissante, nous étions censés gagner la Coupe de Russie et le Championnat de Russie, mais tout était cassé de l’intérieur. Cela ne s’est pas produit. Par la suite, Eduard Mikhalych a créé le club Vostok-65, qui n’a pas non plus duré longtemps. Par la suite, il a créé le Dynamo Vladivostok, voyons ce qui va lui arriver ensuite.\n\nQuoi que Sandler entreprenne, il prouve à chaque fois qu’il parvient à construire un projet solide qui rivalise bien avec les autres équipes.\n\nPourquoi le basket russe est-il en baisse ?\n\n– La Ligue VTB est une ligue commerciale. Les présidents de clubs qui créent des équipes reçoivent beaucoup d’argent, mais ils ne dépenseront pas cet argent pour les jeunes, les gens n’iront pas pour ça. Les gens veulent regarder les meilleurs joueurs de basket.\n\nMais, à mon avis, le problème est toujours chez les légionnaires. Regardez la Chine, comment ils ont développé une ligue en peu de temps – parce qu’il y a au maximum deux étrangers qui y jouent. Si la Ligue VTB accordait plus de temps aux Russes prometteurs, ce serait mieux.\n\nMais les légionnaires ne peuvent pas être enlevés. Et pour le développement de la jeunesse, un montant infime est alloué, qui reste après toutes les dépenses.\n\n\nLa réputation d’être paresseux\n\n– Selon vous, d’où vient votre réputation de fou ?\n\n– Oui, je ne sais pas, certains entraîneurs, des idiots, ont parlé. Dans notre pays, il est de coutume d’accrocher des étiquettes à tout le monde : il n’aime pas s’entraîner, mais c’est généralement un alcoolique... Ce sont généralement des gueules sales : l’un a dit, l’autre l’a soutenu.\n\n– Vous souvenez-vous qu’à Nizhny, vous avez été expulsé avec le libellé « Nous voulions qu’il joue pour nous plus fort qu’il ne le voulait. » Ça t’a fait mal ?\n\n– J’étais blessé d’être venu là-bas et d’être dans une forme folle, juste fou. J’ai marqué 33 points pour une bonne équipe turque au camp d’entraînement.\n\nLe fait est que je me suis souvent tordu la cheville dans ma carrière, mais je ne l’ai jamais guéri jusqu’au bout. Plus tard, le médecin m’a expliqué que lorsque vous vous tordez la cheville, souvent les ligaments sont étirés et le sang est cuit à l’intérieur, des «souris articulaires» se forment. Vous le tordez et les os commencent à frotter au niveau du pli, ce qui signifie que le liquide synovial a bêtement disparu. Et de nombreux athlètes font simplement des injections avec ce liquide. Je suis allé chez le médecin: « Docteur, ma cheville me fait tellement mal que je ne peux pas pousser. » Et tout le monde pensait que j’avais décidé de jouer un billet de faveur.\n\nYandex GamesANNONCE•0+\n\nBubble Saga\n\nPuzzles • Bubble shooters\n\nFind out morePublicité 18+\n\nAprès cela, je suis allé en voiture à Moscou. Mon ami médecin a fait une IRM de ma cheville et m’a fait une injection de liquide synovial. Au bout de quelques jours j’allais bien.\n\nEt le médecin de Nizhny Novgorod a essayé de noyer cette douleur avec des injections intramusculaires. Ils ont catégoriquement refusé de faire une IRM. Les entraîneurs ont pensé que j’étais paresseux et m’ont abandonné...\n\nL-logique. Votre jambe vous fait mal – cela signifie que vous êtes un cadeau. Et puis ils s’appellent, disent à quel point je suis paresseux et stupide. Un entraîneur m’a aussi dit : « Tu es un mouton, tu es stupide. »\n\nL’école de coaching russe est une histoire à part. Un entraîneur peut à la fois ruiner un joueur talentueux à zéro et faire une étoile d’un zéro complet.\n\n– De quoi rêves-tu ?\n\n– A propos de la paix mondiale. Pour qu’il n’y ait pas de guerres, pour que tous les peuples vivent en bonne santé et en harmonie, pour qu’il n’y ait pas de chaos dans le monde.\n\nTraitez-vous les uns les autres avec amour, compréhension et sourire, tout le meilleur !\n\nPhoto : Gettyimages.ru/Tom Pennington ; Instagram/ podkolzin__pavel\n\n *
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Salaires Pro B 2022-23 – Chalon: Antoine Eito et Mike Gelabale à 100 000 euros et plus
Malgré des ressources financières en léger retrait, tout en restant les plus importantes de la division, l’Élan Chalon vise à tout prix la remontée. Le Suédois Mattias Markusson, l’inamovible Antoine Eito et le toujours surprenant Lionel Gaudoux n’y sont pas pour rien.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier est toujours exclusivement réservé à nos abonnés alors n’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nChalon-sur-Saône – saison 2022-2023\nBudget : 4 875 000 euros (1e, -3 %)\nMasse salariale : 1 363 000 euros (1e, -6 %)\nClassement après 19 journées : 1e (14-5)\n\nQuatre ans après le deuxième titre de champion de France de son histoire, l’Élan Chalon ne s’attendait sans doute pas à descendre à l’issue de la saison 2020-2021. La relégation fut dure à avaler et le plus gros budget de la Pro B a connu un ascenseur plus fragile que prévu, en terminant 7e de la saison régulière avant d’être éliminé en quarts de finale par Blois, futur promu en Betclic Élite.\n\nMême s’il s’aligne avec un budget et une masse salariale en légère baisse, respectivement d’environ 270 000 euros et 80 000 euros, le club de Saône-et-Loire n’abandonne pas pour autant ses rêves de remontée. La petite réduction de voilure n’empêche pas les Chalonnais de figurer au premier rang de la Pro B sur ces deux caractéristiques, tout en figurant tout en haut du championnat après 19 journées.\n\n\n\n\nDes gros salaires rentables\n\nCet état de fait se confirme par la lecture du classement des plus gros salaires de Pro B : les premières places sont trustées par des Chalonnais. Antoine Eito et Mickaël Gelabale figurent sur le podium des plus gros portefeuilles de la division. Le premier nommé, numéro 1, émarge à 120 000 euros annuels net, ce qui le classerait dans le top 100 des joueurs les mieux payés à l’étage supérieur. Le second, troisième plus gros salaire de Pro B cette année, a réduit quelque peu son salaire (de 120 000 à 100 000 euros), ce qui le placerait autour du top 120 de Betclic Élite.\n\nPour le reste, l’Élan n’a pas vraiment fait de folies. On note que le pari de recruter Mattias Markusson s’est avéré payant puisque le géant international suédois est le 5e salaire de l’équipe tout en étant la meilleure évaluation (15,4). À côté de cela, lui aussi international mais pour la Slovénie, Luka Lapornik perçoit un petit salaire, la moitié de ce que touche le coach Savo Vucevic, qui est le coach le mieux rémunéré de Pro B.\n\n\nJackpot mérité pour Lionel Gaudoux\n\nUne autre bonne pioche se nomme Lionel Gaudoux. Arrivant de NM1 la saison dernière, l’intérieur a étincelé à Saint-Quentin pour un tout petit tarif (35 000 euros). Un salaire qu’il a doublé pour un rendement globalement équivalent, et ce alors qu’il doit faire avec la concurrence de Mattias Markusson et Mike Gelabale. En parlant de l’ancien international français, si ses statistiques sont en baisse, il tient toujours une place prépondérante dans le jeu chalonnais, du haut de ses 39 ans. Du côté des – relatives – déceptions, on peut citer Kevin Harley, dont le rendement a diminué alors que son salaire a lui augmenté dans des proportions faibles.\n\nSinon, grâce à un Antoine Eito à un très bon niveau, l’Élan Chalon a pu compenser la longue absence de Tayler Persons, son meneur américain, qui n’est pas encore tout à fait revenu à son niveau. Et l’espoir de retrouver la lumière de l’élite reste d’actualité, pour peu que les tauliers chalonnais restent en forme et valides.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Antoine EitoFRA120 000 €2024120 000 €Mickael GelabaleFRA120 000 €2023100 000 €Damien BouquetFRA90 000 €202490 000 €Tayler PersonsUSA-202388 000 €Mattias MarkussonSUE-202480 000 €Kevin HarleyFRA72 000 €202378 000 €Lionel GaudouxFRA35 000 €202570 000 €Luka LapornikSLO-202355 000 €Kenny BaptisteFRA60 000 €6 mois (prêt)36 000 €Samir GbetkomCAM30 000 €(6 mois)36 000 €Sitraka RaharimanantoaninaMAD20 000 €202430 000 €Kyshawn GeorgeSUIstagiaire3 000 €Galen RobinsonUSA-(2 mois)12 000 €Savo Vucevic (coach)MTN/FRA-2023110 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club
Parle moi en détail de :
La LNB 3e ligue européenne sur twitter
Avec 82 611 followers, la Ligue Nationale de Basket est la 12e ligue au monde la plus suivie sur twitter, mais la 3e en Europe des ligues nationales derrière l’Espagne et la Turquie. Et donc devant l’Italie et l’Allemagne.\n\nLa toute puissance de la NBA s’exprime pleinement dans ce classement. A noter aussi le bon positionnement des ligues argentine et brésilienne.\n\nSource : Darius Garuolis.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Nando De Colo honoré pour son record en Coupes d’Europe
Mardi dernier, Nando De Colo est devenu le meilleur marqueur de l’histoire des Coupes d’Europe. Le Président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat, et le Secrétaire Général de la FIBA, Andreas Zagklis, étaient présents à Villeurbanne, ce dimanche, pour saluer cette performance exceptionnelle.\n\nÀ l’exception d’un interlude de deux ans en NBA, Nando De Colo comptabilise quatorze campagnes continentales, dont dix en EuroLeague. Un chiffre qui donne le vertige, preuve de sa longévité exceptionnelle au plus haut niveau et qui fait de lui une référence dans la compétition reine.\n\nDouble vainqueur en 2016 et 2019 avec le club russe du CSKA Moscou, MVP de la saison 2015-2016, du Final Four 2016, membre du premier cinq en 2015-16, 2016-17 et 2017-18, membre du second cinq en 2014-15, 2018-19 et 2020-21, nommé dans la All-Decade Team 2010-20, De Colo collectionne les trophées collectifs et individuels. À tout cela s’ajoute un titre d’EuroCup en 2010 avec Valence, une finale de la même compétition en 2012 avec le club espagnol mais aussi une finale d’EuroChallenge en 2009 avec Cholet.\n\nNando De Colo est entré dans l’histoire du basket européen et devance désormais les légendes grecques Nikos Galis et Vassilis Spanoulis au classement des meilleurs marqueurs de l’histoire des Coupes d’Europe.\n\nJean-Pierre Siutat, le Président de la FFBB, et Andreas Zagklis, Secrétaire Général de la FIBA, ont fait le déplacement à Villeurbanne à l’occasion de la rencontre entre LDLC ASVEL et la JDA Dijon pour lui remettre officiellement deux présents symbolisant les performances de ce joueur et ainsi saluer son record.\n\nJean-Pierre Siutat : « De Cholet à l’ASVEL, Nando De Colo a battu tous les records, pour aujourd’hui inscrire son nom tout en haut du palmarès des meilleurs marqueurs en Coupes d’Europe. C’est à la fois une grande fierté pour le basket français mais également pour tous les passionnés de notre sport qui admirent encore aujourd’hui et je l’espère encore longtemps, ce joueur au talent incroyable. ».\n\nAndreas Zagklis : « Au nom de la FIBA, je tiens à féliciter chaleureusement Nando De Colo pour cet accomplissement extraordinaire. Ce record symbolise la longévité exceptionnelle d’une carrière d’excellence, que toute la famille FIBA espère encore longue, tant en club qu’avec la sélection nationale française ».\n\n\n🔥 La légende @NandoDeColo récompensée par @ffbasketball, @LNBofficiel et @FIBA dans une belle ambiance à l’Astroballe ! #LDLCASVEL pic.twitter.com/XwAaMpjOA9\n\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) February 5, 2023\n\n\nPhoto : Infinity Nine Media
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Equipe de France féminine : Alexia Chartereau forfait
L’intérieure de l’Équipe de France Alexia Chartereau (1,91m, 24 ans) est contrainte de déclarer forfait pour les qualifications à l’Euro 2023, dont le début du rassemblement a lieu ce dimanche. Touchée mercredi en Coupe d’Europe avec son club du LDLC ASVEL Féminin, cette dernière ne sera pas en mesure de rejoindre le stage des Bleues.\n\nL’Équipe de France féminine est donc désormais composée de 13 joueuses, qui prendront part à leur premier entraînement à l’INSEP demain lundi.\n\nEn tête du groupe B après ses deux succès en novembre dernier contre la Finlande (103-77) et l’Ukraine (109-88), l’Équipe de France féminine doit valider définitivement sa qualification pour l’Euro 2023 à l’occasion des deux prochains matches à venir en février prochain. Après s’être réunies quelques jours à l’INSEP (Paris), les joueuses de Jean-Aimé Toupane disputeront deux matches à l’extérieur pour conclure cette campagne de qualification : à Kaunas face à la Lituanie le jeudi 9 février (18h30, heure française), et à Helsinki face à la Finlande le dimanche 12 février (14h00, heure française).\n\nPhoto : FIBA
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Lauren Jackson victime d’une rupture du tendon d’Achille
La carrière inégalée de l’Australienne Lauren Jackson, 41 ans, semble s’être terminée sur une déchirure partielle du tendon d’Achille survenue lors d’un match du championnat australien, entre les Southside Flyers et les Sydney Flames qui a attiré 7 681 fans à la John Cain Arena.\n\nLauren Jackson était en jeu depuis seulement dix secondes lorsqu’elle est rentrée en collision avec une autre joueuse et sa jambe a vrillé. Elle est retournée au vestiaire en boitant avant de revenir avec des béquilles pour s’asseoir sur le banc.\n\n« Je ne me sens pas bien, mais c’est comme ça. J’étais en sursis de toute façon... c’est un peu ironique n’est-ce pas, a t-elle déclaré. C’était absolument incroyable. Faire partie de ce match était juste magique, mais c’était dommage que je ne puisse pas jouer plus de 10 secondes. Je verrai ce que j’ai... mais la bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas mon pied cassé, c’est l’autre jambe. Je pense que c’est mon tendon d’Achille. »\n\nConsidérée comme l’une des meilleures joueuses du Monde, Lauren Jackson a effectué son come back l’année dernière, après une retraite forcée en raison d’une blessure, pour aider les Opals à remporter une médaille de bronze à la Coupe du monde à Sydney. Elle devait prendre une retraite définitive à l’issue de la présente saison.
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Betclic Elite : Monaco se défait de Paris sans trembler
Ce dimanche, l’AS Monaco s’est assez largement imposée face au Paris Basketball dans la cadre de la 20e journée de Betclic Élite (103-81). Une victoire qui remet les hommes de Sasa Obradovic dans le droit chemin, deux jours après la défaite de la Roca Team contre le Real Madrid en Euroleague.\n\nÀ Gaston-Médecin, l’AS Monaco a triomphé sans difficulté de Paris malgré plusieurs absents de marque (Yoan Makoundou, Alpha Diallo et Yakuba Ouattara). Le début de match poussif de la Roca Team (0-8) a rapidement été compensé par un Mike James des grands soirs, auteur de 18 points (autant que Chima Moneke et Jaron Blossomgame). L’Américain a répondu au bon début de match d’Aamir Simms et ses deux paniers derrière la ligne (14 points au total pour le Parisien).\n\n\n12 points pour Jaron Blossomgame dans le 2e quart-temps\n\nComme à son habitude, Donta Hall a enflammé Gaston-Médecin grâce à ses deux dunks impressionnants qui ont permis à Monaco de prendre un peu d’air. Les trois points d’avance à la fin du premier quart-temps (24-21) vont tripler 10 minutes plus tard. Entre temps, Matthew Strazel obtient des lancers-francs qu’il a plutôt bien convertis (8/10) et Jaron Blossomgame s’enflamme pour inscrire 12 points dans le 2e quart-temps. Pour finir cette première mi-temps, Mike James a marqué un trois-points au buzzer qui donnait un petit matelas d’avance à la Roca Team (53-42).\n\n\nComme un air de déjà vu 🙄@ASMonaco_Basket #BetclicELITE #LNBextra pic.twitter.com/P8az67iYMf\n\n— LNB (@LNBofficiel) February 5, 2023\n\n\n\nDonta Hall, le patron de la défense\n\nLa déroute parisienne s’est accentuée en deuxième mi-temps. Jeremy Evans et Ismael Kamagate ont fait les frais d’un Donta Hall impérial sous son panier. Ses 4 contres dans le 3e quart-temps ont enflammé Gaston-Médecin. L’écart s’est stabilisé autour de 20 points et les Parisiens n’ont jamais semblé en mesure de combler ce retard.\n\nElie Okobo passe la barre des 100 points à 3’30 de la fin du match, et les Monégasques ont ensuite géré leur avance. Le jeune Amboise Couture, chaudement applaudi par le public lors de son entrée en jeu a pu grappiller quelques minutes de jeu et inscrire ses premiers points.\n\n\nDONTA HALL EST IMPASSABLE 🚫🚫🚫\n\n6 contre pour lui 🤯@ASMonaco_Basket #BetclicELITE #LNBextra pic.twitter.com/UlKQBM0hwG\n\n— LNB (@LNBofficiel) February 5, 2023\n\n\nPour les deux équipes, des matchs importants sont à venir. La Roca Team va recevoir l’ASVEL vendredi prochain en Euroleague pendant que Paris affrontera les Monténégrins de Budućnost en Eurocup.\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Italie : Walter De Raffaele licencié à Venise, même les bonnes choses ont une fin
Sur le banc depuis 2016, dans le staff depuis 2011, le coach Walter De Raffaele, 54 ans, a été démis de ses fonctions à Reyer Venise alors qu’il a mis le club en lumière ces dernières années.\n\nDe Raffaele a conduit Reyer à deux titres nationaux (2017 et 19), une coupe d’Italie (20) et une FIBA Eurocup (18), il a fêté le 24 janvier son 400e match sur le banc de l’équipe, mais quatre défaites d’affilée lui ont été fatales. La dernière, ce dimanche, a été concédé face à Brindisi (75-76).
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Euroleague : Isaïa Cordinier indisponible pour un mois et demi
L’international de la Virtus Bologne, Isaïa Cordinier (1,96m, 26 ans) souffre d’une aponévrosite plantaire depuis le match d’Euroleague face à Villeurbanne. Il sera absent des parquets pour environ un mois et demi.\n\nCette saison, Isaïa Cordinier affiche une moyenne de 10,1 points (44,4% à trois-points), 3,3 rebonds et 2,1 passes décisives en 22 minutes dans le championnat italien et 6,7 points (27,9% à trois-points), 2,2 rebonds et 1,7 passe en Euroleague.
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Ligue 2 féminine : Chartres mord le leader Charnay à domicile
Chartres a réussi à dominer Charnay en Bourgogne, puis à résister à son retour pour s’imposer 62-65.\n\nLes Chartraises ont mené 29-45 avec un 10/23 à trois-points dont un 4/4 pour Emma Peytour. Mais après la mi-temps, elles ont mis 7 minutes 30 pour marquer de nouveau, ce qui a permis à Charnay de revenir à 40-45 et même de mener 54-52. Mais c’est Chartres qui a donné le coup de collier nécessaire dans le money time pour s’imposer de justesse avec 16 points d’Emma Peytour comme meilleure marqueuse.\n\n« On est encore une fois derrière à la mi-temps. Comme face à Mondeville et Reims. Cela devient redondant. On attend de se faire botter les fesses pour réagir ensuite. Même si elle est sans conséquence au classement, cette défaite est anormale. Il nous a manqué de la dureté, de l’adresse et de la lucidité sur les dernières actions pour mieux gérer. Et puis ça fait deux matches qu’on n’est pas efficace à 3-points. Pourtant, à l’entraînement, on tire. Bref, on ne fait pas le travail correctement. Ce n’est pas dramatique mais c’est rageant et ça fait chier ! » a juré le coach de Charnay Stéphane Leite, rapporte le JSL.\n\nDe fait, Charnay (11 victoires et 3 défaites) a toujours une pointure d’avance sur Chartres (10-4) au classement.\n\nPhoto : C’Chartres Basket Féminin
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Salaires Pro B 2022-23 – Boulazac: Nic Moore, un leader blessé
Le Boulazac Basket Dordogne voulait faire oublier sa très décevante saison passée. Le club périgourdin est en passe d’y parvenir, malgré des moyens en baisse. Seul hic, son meilleur joueur, et le mieux payé, Nic Moore, est blessé, au moins jusque mi-mars.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nBoulazac – saison 2022-2023\nBudget : 3 348 000 euros (5e, -6 %)\nMasse salariale (brut) : 1 049 500 euros (4e, -16 %)\nClassement après 19 journées : 4e (13-6)\n\nAprès une – très – décevante 12e place la saison passée, et un peu reluisant bilan de 15 victoires pour 19 défaites pour un candidat à la montée, le Boulazac Basket Dordogne a choisi de moins dépenser cette année, mais mieux.\n\nUne démarche plutôt positive puisqu’avec une masse salariale en baisse de 16 %, soit la plus grosse régression de la division entre les deux exercices (!), le club périgourdin figure au 4e rang de Pro B après 19 journées. Un classement en rapport avec ses ressources, qui figurent malgré tout parmi les plus importantes du championnat.\n\n\n\n\nDes salaires stables\n\nHormis Louis Cassier et Nic Moore, dans de relativement faibles proportions, tous les joueurs ont vu leur salaire rester à la même hauteur, voire diminuer, par rapport à la saison dernière, y compris les nouveaux arrivants. C’est le cas notamment de Clément Cavallo et de Nicolas de Jong, deux joueurs estampillé LNB.\n\nAutant dire que le BBD n’a pas fait de folies, même si Nic Moore figure parmi les plus hauts salaires du championnat – un rang qu’il justifiait jusqu’à sa blessure, avec un beau 17,3 d’évaluation. Même le coach qui a « sauvé » le BBD d’un accident industriel, Alexandre Ménard, n’a pas vu ses revenus évoluer, en projetant son salaire de la fin de la saison 2021-22.\n\n\nDes étrangers rentables\n\nÀ Boulazac, ce sont surtout les joueurs étrangers qui disposent des plus hauts revenus, à l’exception de Cheikh Sané, qui est « cadeau », même si ses statistiques n’ont rien d’ébouriffant – il apporte principalement sa dissuasion défensive. De leur côté, Nic Moore, nous l’avons vu, mais aussi Travis Munnings, plutôt bien revenu après sa blessure de début de saison, et Martin Junakovic, après une période d’adaptation, justifient leurs émoluments.\n\nCôté JFL, Louis Cassier se montre bien plus à l’aise en Pro B qu’à l’étage supérieur (10,4 contre 3,5 d’évaluation avec Roanne l’an passé) alors qu’Olivier Cortale, Clément Cavallo et Paul Billong se montrent productifs, un peu plus que Bathiste Tchouaffé ou Nicolas de Jong, en retrait sur la saison dernière. En bref, si Boulazac arrive à éviter de trop fréquents trous d’air comme celui vécu dernièrement à Angers (défaite 105-87), l’équipe fait clairement partie des principaux candidats à la montée, directement ou via les playoffs.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Nic MooreUSA50 000 € (8 mois)202390 000 €Travis MunningsBAH/USA–202370 000 €Louis CassierFRA60 000 €202468 000 €Martin JunakovicCRO–202365 000 €Clément CavalloFRA72 000 €202465 000 €Olivier CortaleFRA60 000 €202360 000 €Bathiste TchouaffeFRA55 000 €202355 000 €Nicolas De JongNED/FRA47 000 € (8 mois)202352 500 €Kavell Bigby-WilliamsGBR–(5 mois)45 000 €Cheikh SaneSEN35 000 €8 mois30 000 €Paul BillongFRA20 000 €202320 000 €Raijon KellyUSA45 000 €2 mois8 000 €Alexandre Ménard (coach)FRA18 000 € (3,5 mois)202460 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Nic Moore – photo BBD – Nicolas Ravinaud (montage Basket Europe)
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Markis McDuffie (Dijon) : «Tout le monde veut nous ‘‘botter le cul’’»
Markis McDuffie (2,03 m, 25 ans) est l’une des révélations de la saison. L’ailier-fort américain de la JDA Dijon sera l’une des pièces maîtresses de son équipe qui s’apprête à défier l’ASVEL, ce dimanche à 17h.\n\nAvec 17,8 points, Markis McDuffie est actuellement le 5e marqueur de la Betclic Elite. Mieux encore, il est le dauphin de Victor Wembanyama dans la catégorie statistique la plus significative, l’évaluation (20,2). Seulement, l’ancien joueur de Naples n’a pas été d’un grand secours lors de la défaite cette semaine en BCL face à Strasbourg car il a été expulsé -pour la première fois de sa carrière- au bout de cinq minutes.\n\nA la question du Bien Public qui lui demande si c’est le rythme des matches qui fait que la JDA a souvent du retard à l’allumage, il répond :\n\n« Je ne suis pas sûr. Disons que depuis qu’on est qualifié pour le Top 16 de la BCL, on doit être concentré sur chaque match, sur deux fronts. Avant, il y avait quand même la volonté de briller en championnat de France en premier lieu. Mais quand tu avances dans la compétition européenne, tes ambitions grandissent aussi. Sur certains matches, on a sans doute démarré en se disant ‘‘voyons ce que l’équipe adverse va nous proposer’’, au lieu de tout de suite leur faire mal par notre jeu. Et ce sont eux qui nous ont décroché ce coup à la mâchoire d’entrée. On est une bonne équipe du championnat, et ça veut dire que tout le monde veut nous ‘‘botter le cul’’. On doit en être conscient pour être bien présent dans les premières minutes... et aussi dans les dernières (il sourit). Peu importe ce qu’il se passe au milieu. Physiquement, on est bien, mais on doit tout de suite être dedans mentalement, ne pas être juste en mode gestion. »\n\nLa JDA, qui s’était imposée à l’aller en Bourgogne (95-90) sait qu’elle aura face à elle un adversaire revanchard et qui a un besoin absolu de points pour conserver sa place dans le top 8... et son standing.\n\nPhoto : FIBA\n\n *
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Le Portel : Ron Curry sera absent plusieurs semaines
Chacun à son lot de blessures. L’ESSM Le Portel déplore la blessure à la cheville de son arrière américain Ron Curry (1,93 m, 29 ans), qui sera indisponible plusieurs semaines.\n\nAvec 9,5 points, Ron Curry est le 4e marqueur du Portel dans l’ordre hiérarchique. Il avait également assuré 3,6 rebonds et 3,0 passes en 20 matches. L’ESSM est à la recherche d’un pigiste.\n\n\n🚑 Touché à la cheville lors du match face à Strasbourg, @_Ronx2 Curry sera éloigné des terrains durant quelques semaines suite aux tests médicaux effectués ce jour...\n\nL’ensemble du club souhaite un prompt rétablissement à Ron 🙏\n\nL'ESSM se met en quête d’un joker médical. pic.twitter.com/Ue5KnPpRP6\n\n— ESSM Le Portel (@ESSMbasket) February 4, 2023\n\n\nPhoto : EESM
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Pau sauve -pour l’instant- sa saison, mais perd Markeith Cummings
En battant Fos/Mer (74-63) et en récupérant le point average, l’Elan Béarnais a rempli son contrat de ce samedi soir, mais il a subi un nouveau coup dur.\n\nL’ailier américain Markeith Cummings (1,98 m, 34 ans) s’est blessé sur la dernière possession et devrait être absent plusieurs semaines. Cummings, c’est statistiquement le 2e rendement de l’équipe (11,7) derrière Vitalis Chikoko. C’est un handicap supplémentaire pour une équipe déjà juste en effectif et qui n’arrive pas à trouver un joueur pour le consolider après l’aller-retour de Rickey McGill.\n\nPour le reste, les Béarnais ont fait le travail face à Fos à commencer par un Vitalis Chikoko dominateur (18 points, 6/8 aux tirs, 13 rebonds et 35 d’évaluation)... Même si l’adresse à trois-points (5/26) n’était pas au rendez-vous. Pas plus à Fos d’ailleurs, qui a obtenu exactement le même total.\n\nCette victoire sur les BYers était IN-DIS-PEN-SA-BLE mais loin d’être suffisante, surtout avec les victoires de Blois et du Portel. D’ailleurs, au classement officiel, Pau est toujours avant-dernier.\n\n« C’est un soulagement, une fin de série, » a soufflé le coach Eric Bartecheky à la fin du match. « Au-delà de ça, c’était impératif pour nous de gagner ce soir face à un adversaire direct et de pouvoir mettre Fos, à deux victoires d’écart ainsi que le goal average. Le combat continue pour nous, mais ce soir, il est vrai que c’était capital de le prendre. Pour l’équipe et les joueurs, même si on a souffert et que l’on a eu pas mal de fautes, ils ont bien répondu présent dans l’engagement. Tout le monde était conscient de l’enjeu de ce match une fois de plus. Je m’attendais à ce que l’on soit davantage en difficulté, on a eu une semaine qui a été compliquée où j’ai été malade et je n’ai donc pas pu prendre part à certains entraînements, Enzo aussi jeudi qui n’était pas là. La situation dans laquelle on était m’a fait peur mais j’étais bien content qu’à la mi-temps, on soit à +10. Vitalis a été présent dès le début du match, on a pris le choix de ne pas le sortir de la 2e mi-temps. Pour Markeith, nous allons attendre les résultats du staff médical, mais j’ai bien peur que ce soit les ischios. »\n\nPhoto : Markeith Cummings (Tuan Nguyen)
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Tyren Johnson (Blois) : «Notre come-back final, ce sont un peu les dieux du basket»
Les 2 800 spectateurs blésois étaient venus voir autant Victor Wembanyama que l’ADA Blois. Mais, en mettant le panier de la gagne sur Boulogne-Levallois, c’est Tyren Johnson qui a été le héros de la soirée.\n\nVictor Wembanyama et ses 20 points, 8 rebonds, 6 passes et 2 contres n’auront pas suffit. Pas plus que l’avance constatée des Mets en fin de match mise à mal par un 10-0 de l’ADA Blois, qui lui a permis de reprendre l’avantage à 73-72 à 1’45 du buzzer. Dans l’affaire, Amadou Sow (25 points et 8 rebonds) a abattu un sacré boulot.\n\nPourtant, Wemby a encore fait des siennes et à 73-77, et 30 secondes à jouer, on ne donnait plus cher des chances des joueurs du Loir-et-Cher. Mais Amadou Sow est encore passé par là, les hommes de Vincent Collet ont perdu un ballon, et Tyren Johnson d’un panier primé a donné le coup de grâce. En défense, Victor Wembanyama avait glissé et sur la dernière action, il a perdu la balle.\n\nLes fans blésois ont été doublement heureux : ils ont vu la star du basket mondial -certains ont acheté son maillot- et leur équipe favorite à gagner, ce qui lui permet de toujours croire au maintien.\n\n[adsence2]\n\n« Notre come-back final, ce sont un peu les dieux du basket, a conclu Tyren Johnson, propos rapportés par La Nouvelle République... Il y a eu cinq ou six matchs cette saison qui ont tourné en faveur de nos adversaires. Ce samedi, la chance nous a souri. Moi, je n’ai jamais vraiment perdu confiance durant cette rencontre. C’est juste que je précipitais trop mes shoots. Le dernier de la soirée (à 3 points, face à Victor Wembanyama), s’inscrit dans ce qu’on a fait ensemble ici depuis cinq ans. C’était normal que je le prenne. Je le marque, c’est génial. Mais si je l’avais raté, on était toujours là quand même. Quant à Victor, j’aime sa mentalité, sa façon de jouer. Son histoire, c’est une belle histoire de basket. J’aime la façon dont le public l’accueille, il le mérite. C’est un jeune joueur avec beaucoup de talent. »\n\n\nUn game winner signé Mister @tyrenjohnson ! 🥶#BetclicElite #ADABlois pic.twitter.com/EF5WCWyMkh\n\n— 🐝 ADA Blois Basket 41 (@ADABloisBasket) February 4, 2023\n\n\nPhoto : Tyren Johnson (ADA Blois, Tuan Nguyen)
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Le top 20 des meilleurs marqueurs des Coupes d’Europe de tous les temps
Nando De Colo s’est installé durablement en tête des meilleurs marqueurs de tous les temps dans les coupes d’Europe car ses six poursuivants au classement ont déjà pris leur retraite.\n\nNando De Colo est passé vendredi soir en tête des top-scoreurs à l’occasion du match ASVEL-Virtus Bologne. En consultant le classement, on s’aperçoit que le joueur en activité qui le suit le plus près est le Serbe Milos Teodosic, mais il a le même âge que le Français, soit 35 ans. Le Monégasque Mike James est plus jeune, 32 ans, mais il est loin derrière.\n\n[adsence2]\n\nPhoto : Nando De Colo (Infinity Nine Media)
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LFB : L’ASVEL avec le coeur tombe Villeneuve d’Ascq
Diminuée, c’est avec le coeur que l’ASVEL a écarté Villeneuve d’Ascq (90-85).\n\nSans Julie Allemand (ischio-jambiers), Dominique Malonga (dos), Sandrine Gruda (mollet), Alexia Chartereau (genoux) et avec une Marine Johannes malade, l’ASVEL a été prise dans le tourbillon Villeneuve d’Ascq et a été reléguée un temps à quinze points.\n\nMais le trio Marine Johannes (22 points dont un 4/11 à trois-points, 7 rebonds et 6 passes), Gabby Williams (22 points, 7 rebonds, 4 passes et 4 interceptions), Helena Ciak (21 points et 6 rebonds) lui a permis de rebondir, de rattraper puis de doubler son adversaire dans le dernier quart-temps. L’Américaine Briann January, nouvellement arrivée, a joué 24 minutes pour 6 points.\n\nA Villeneuve, ce sont Kennedy Burke (26 points et 28 d’évaluation) et Kariata Diaby (16 points et 8 rebonds) qui ont été les plus efficaces.\n\nBilan de la soirée : Lyon a rejoint Bourges à la première place (10 victoires et 2 défaites) alors que Villeneuve d’Ascq suit derrière en compagnie de Lattes-Montpellier (9-3). Bref, rien n’est joué.\n\nPhoto : Marine Johannes (FIBA)
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Espagne : Tamara Abalde à la retraite
L’internationale espagnole Tamara Abalde, 33 ans, qui a joué notamment pour Aix-en-Provence et Basket Landes, se retire des parquets.\n\nAprès avoir pratiqué le haut niveau pendant près de deux décennies, et porté plus de 10 maillots différents -notamment Aix en 2011-2012 et Basket Landes la saison suivante-, et gagné une médaille d’or et une de bronze à l’EuroBasket, Tamara Abalde vient de faire ses adieux.\n\n« Ça a été une belle aventure, près de 20 ans de carrière professionnelle, des heures d’entraînements interminables, des matchs, des voyages et des moments inoubliables. Des expériences qui ont fait de moi la personne que je suis aujourd’hui. Je ne peux que dire MERCI, a t-elle commenté. Je ne pourrais pas citer tous ceux qui m’ont accompagné durant toutes ces années, un par un, mais je sais que vous savez qui vous êtes : la chose la plus précieuse que je retiens de ma carrière, ce sont les personnes qui ont croisé mon chemin, et qui sont devenus des amis pour la vie. »\n\nTamara Abalde est la soeur aînée de l’international Alberto Abalde.\n\nPhoto : FIBA
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Vidéo : «Dans le casque» avec Timothé Luwawu-Cabarrot
Après Moustapha Fall et Amath Mbaye c’est au tour de Timothé Luwawu-Cabarrot de se prêter au jeu de « Dans le casque » ! TLC saura-t-il reconnaître les différents sons en lien avec sa carrière ?\n\nImages et montage : Dan Javourez (FFBB)\n\nPhoto : FIBA
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Salaires Pro B 2022-23 – Antibes: Jean-Marc Pansa et Tim Derksen moins rentables que l’an dernier
Les Sharks d’Antibes ont des ambitions, un budget conséquent, un effectif de qualité et bien payé. Mais, après être passé tout proche de la montée l’année dernière, le bilan pourrait être meilleur à la mi-saison.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nAntibes – saison 2022-2023\nBudget : 3 641 000 euros (3e, +13 %)\nMasse salariale (brut) : 1 089 000 euros (3e, +6 %)\nClassement après 19 journées : 7e (11-8)\n\nSans pression de temps, Antibes affiche régulièrement sa volonté de retrouver la Betclic Élite. Pour ce faire, les Sharks ont réussi à faire progresser budget, de 400 000 euros environ, et masse salariale, de 60 000 euros environ. De quoi figurer sur le podium des clubs les plus aisés de Pro B, derrière Chalon et Orléans, plus récemment rétrogradés que le club azuréen.\n\nPour autant, les belles enveloppes ne garantissent pas de sécurité dans cette division. Plutôt bien partie, l’équipe de Daniel Goethals a connu un gros trou noir entre mi-décembre et mi-janvier – cinq défaites consécutives -, ce qui lui vaut de n’occuper « que » la 6e place ex-aequo du championnat après 18 journées.\n\n\n\n\nDes salaires confortables\n\nPourtant, Antibes paye confortablement ses joueurs. Ses deux plus gros salaires figurent dans le top 10 des émoluments de Pro B et ils sont cinq à gagner 70 000 euros et plus, soit le tiers supérieur des revenus des joueurs de deuxième division.\n\nÀ l’autre bout du spectre, deux joueurs seulement, dont un jeune, gagnent moins de 40 000 euros – une somme à l’échelle de la Pro B. Quant au coach belge Daniel Goethals, il a vu son salaire légèrement augmenter.\n\n\nUn effectif quelque peu à la peine\n\nLorsque l’on regarde les salaires des Sharks, on s’aperçoit que, hormis Ludovic Negrobar (12,2 d’évaluation cette saison contre 11,2 la précédente), tous les joueurs ayant rempilé ont vu leur rendement baisser. Et ce alors que, pour parler des mieux rémunérés, des Jean-Marc Pansa (11,1 au lieu de 13,4) ou Tim Derksen (13,0 contre 17,0) ont vu leurs émoluments sérieusement gonfler.\n\nIl n’y a pas pour autant péril en la demeure. Le club peut sans problème viser les playoffs s’il ne connaît pas de nouveau trou noir – d’autant qu’il reste sur quatre victoires de rang -, le rendement individuel moindre de ses joueurs étant en partie compensé par un bel équilibre d’effectif, avec neuf joueurs entre 6,8 et 12,9 d’évaluation. Seuls Sullivan Hernandez (2,8) et le Camerounais Roger Moute a Bidias (5,5), peu performant mais pas bien cher, figurent en-dessous de cette barre. Avec un peu plus de constance, Antibes sera à coup sûr dans le premier tiers du classement en fin de saison.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Jean-Marc PansaFRA75 000 €202595 000 €Tim DerksenUSA/ITA70 000 €202495 000 €Temidayo YussufUSA/NIG70 000 €202385 000 €Xavier PollardUSA-202472 000 €Ludovic NegrobarFRA60 000 €202470 000 €Gédéon PitardCAM/FRA45 000 €202352 000 €Nobel Boungou-ColoFRA25 000 € (2,5 mois)7 mois45 000 €Benjamin MonclarFRA45 000 €202345 000 €Sullivan HernandezFRA40 000 €202345 000 €Roger Moute a BidiasCAM-202444 000 €Vincent AmsellemFRA20 000 €202425 000 €Ludovic BeyhurstFRA60 000 €(1 mois)3 500 €Daniel Goethals (coach)BEL75 000 €202580 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Antibes Sharks (montage Basket Europe)
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Lituanie-France féminin : Gintarė Petronytė, leader de l’équipe balte
Jeudi à Vilnius, le match Lituanie-France sera décisif pour attribuer une place pour l’EuroBasket. La meilleure joueuse lituanienne de sa génération, la pivot Gintarė Petronytė (1,95 m, 33 ans) sera une fois encore la leader de l’équipe balte.\n\nLors du match aller à Villeneuve d’Ascq, les Bleues ont surclassé leurs adversaires (83-56) mais croire que le tour est joué avant même le premier entre-deux du match retour serait d’une grande imprudence. Lors du match à Villeneuve, Juste Jocyte, blessée, était forfait. La jeune prodige lyonnaise, âgée de 17 ans, est de retour. Elle va sauter demain dans un avion pour la Lituanie; il lui reste à disputer ce samedi soir un match très important avec l’ASVEL contre Villeneuve d’Ascq.\n\n« Nous commençons le camp d’entraînement vendredi. Il est vrai qu’au début nous n’aurons pas tous les joueuses, d’autres auront encore des matches dans leurs championnats de clubs et rejoindront l’équipe nationale ce week-end, a déclaré jeudi l’entraîneur Rimantas Grigas. « Il reste deux batailles décisives, dont une à domicile, devant nos propres spectateurs, et nous nous y préparerons de manière responsable. » Le deuxième match, ce sera contre l’Ukraine, dimanche 12 février, sur terrain neutre, à Riga, en Lettonie.\n\nLa Lituanie et la France se sont déjà rencontrées 23 fois, et les Bleues sont sorties vainqueurs à 18 reprises. Le premier match remonte au championnat d’Europe, à Rome, en 1938, mais ensuite la Lituanie a été absorbée par l’URSS et la confrontation suivante remonte à 1995.\n\nA l’occasion de ce match, le capitaine de l’équipe nationale, Gintarė Petronytė, aura l’opportunité de devenir la 2e marqueuse lituanienne de tous les temps. Actuellement, Petronytė se classe troisième avec 1 777 points (en 154 matchs). Sandra Valužytė-Linkevičienė, qui occupe la deuxième place, a marqué 1 782 points au cours de sa carrière en équipe nationale (en 168 matches). La meilleure marqueuse étant Jurgita Štreimikytė-Virbickienė avec 2 101 points en 157 matchs.\n\nGintare Petronyte est la numéro 1 à l’évaluation (17,5), la 2e marqueuse (13,8) et la 2e rebondeuse (6,3) de son équipe lors de cette fenêtre.\n\nLa Lituanie n’a pas participé à l’EuroBasket depuis 2015. Elle avait alors terminé 8e. Gintare Petronyte, et aussi Kamile Nacickaite et Monika Grigalauskyte étaient déjà présentes. Pour s’assurer un maximum de soutien, la fédération lituanienne assurera une entrée gratuite pour ce match contre la France.\n\nPhoto : Gintare Petronyte (FIBA)
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Cholet-Le Mans : Le début de match supersonique de Matt Morgan
Matt Morgan a réalisé un début de match époustouflant lors de la victoire du Mans sur Cholet (83-103).\n\nSans son meneur Kaza Kajami-Keane et sa doublure au pivot Valentin Chery -ce qui a contraint le coach Elric Delord a aligné Marcus Gomis dans le cinq de départ et a donné du temps de jeu à l’inexpérimenté Néerlandais Mathias Van Beemt-, le MSB est parti comme une fusée grâce à un extraordinaire Mat Morgan. D’entrée, le shooting guard américain a planté 18 points en moins de 6 minutes, à 100% de réussite, dont un 4/4 à trois-points. Du très rarement vu en Betclic Elite.\n\nAinsi, euphoriques, les Manceaux ont mené 49-25 alors que Morgan était parti respirer sur le banc. C’est alors que Laurent Vila a commandé un pressing tout terrain et une boîte sur le diable d’Américain. Résultat : l’avance mancelle a fondu comme beurre dans la poele pour n’être plus que de 13 points (47-60) à la mi-temps que Matt Morgan avait conclu avec 23 points.\n\nCholet est revenu à 10 points, mais le MSB était tout en maîtrise avec Josh Carlton, actuellement très performant, auteur d’un double double (15 points et 13 rebonds), et une intensité générale bien supérieure. Il avait reconstitué son matelas à 66-88 et a pu ensuite dérouler.\n\nMatt Morgan a fini avec 30 points mais sans jamais forcer (12/16 aux shoots, 4 passes, 31 d’éval).\n\n\n🔴#CBMSB #BetclicÉLITE #basket 🏀 Avant la rencontre, le portrait de #MattMorgan. Rencontre à suivre en direct ce samedi 4 février à 15h10 @CB_officiel @MSB_Officiel @AnthonyBrulez @laurastriano @SimonDarnauzan\n►https://t.co/MfUAvNxMPw pic.twitter.com/LImZfdepwi\n\n— France 3 Pays de la Loire (@F3PaysdelaLoire) February 4, 2023\n\n\n\nUne MT1 exceptionnelle pour Matt Morgan dans ce derby 🤯\n\n⚡ 23 PTS à 9/11 au tir\n3️⃣ 5/7 à 3PTS\n💎 3 AST\n📝 26 EVAL@MSB_Officiel #BetclicELITE #LNBTV pic.twitter.com/eVjZ06DWQI\n\n— LNB (@LNBofficiel) February 4, 2023\n\n\nPhoto : Matt Morgan (Thomas Savoja)
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Chronique – Le mental dans le basket: Dans la tête d’un arbitre Euroleague
Chaque mois, Basket Europe vous propose une chronique, une vraie Masterclass sur un aspect important mais souvent négligé : le mental. Plongeons cette fois-ci dans la tête d’un arbitre d’Euroleague, dont le mental est testé à rude épreuve à chaque seconde sur le parquet.\n\nCe mois-ci, on vous emmène là où vous n’êtes sûrement jamais allé. Peut-être même n’auriez-vous jamais imaginé y entrer. Sébastien Clivaz, estampillé arbitre Euroleague, est un vrai passionné. Un homme authentique, père de famille, un mari, avec une grande personnalité. Il nous ouvre les portes de son jardin intérieur secret et de l’approche mentale chez les arbitres.\n\n\nSous les feux des critiques\n\nLes critiques continuent de fuser sur l’arbitrage en NBA après la faute non sifflée sur LeBron James contre les Celtics il y a de ça quelques jours. Cela nous rappelle le pied en touche non sifflé de Nikola Mirotić avant de marquer son tir à 3-points égalisateur contre l’Étoile Rouge de Belgrade il y a quelques semaines en Euroleague.\n\nOui, les arbitres font des erreurs, parfois grossières, et parfois elles influencent même sur le résultat final. Quand cela arrive, cela met encore plus de pression sur les autres arbitres qui n’ont plus aucun droit à l’erreur, alors qu’ils n’ont rien à voir avec l’erreur en question. Quand il s’agit de performance, comme pour les joueurs, un arbitre est plus performant s’il est bien dans sa tête et non s’il est mis sous pression inutilement.\n\n\n« Savoir expliquer sa décision »\n\nCertains joueurs ou entraîneurs n’acceptent pas qu’un arbitre puisse se tromper mais comme pour tout un chacun, il s’agit, pour les arbitres aussi, de leur capacité à se reconcentrer sur le moment présent et avoir l’humilité de reconnaître quand ils se trompent. L’arbitre ne se moque pas du joueur lorsqu’il rate un tir facile, une passe ou défend mal. Il ne critique pas non plus un entraîneur qui ne trouve pas les solutions tactiques ou qui a des difficultés dans le management de son effectif.\n\nPour Sébastien Clivaz, il s’agit surtout d’être en mesure d’expliquer pourquoi l’arbitre prend la décision de siffler ou pas une situation de jeu. Il est important de savoir communiquer avec les joueurs et les entraîneurs et ainsi leur prouver votre professionnalisme et, surtout, qu’ils comprennent la décision.\n\nL’arbitre est un passionné, qui cherche à être le meilleur possible et qui subit une pression externe énorme. Quand verrons-nous un arbitre être félicité ou applaudi parce qu’il a bien arbitré ?\n\n\nUn vrai jeu de rôles\n\nLes arbitres sont testés à chaque match : par les entraîneurs qui mettent la pression dès qu’ils le peuvent pour prendre l’ascendant psychologique, par les joueurs dont certains ont été programmés à renier chaque faute sifflée à leur encontre, par les supporters... Dans tout ça, l’arbitre doit rester maître de ses décisions, en apprenant à aimer ce jeu de rôles instauré par les autres acteurs de la rencontre et jouer son propre rôle.\n\nPour notre arbitre en question, on peut comprendre certaines réactions, mais le plus important est qu’il faille toujours instaurer un respect mutuel, entre professionnels et entre êtres humains.\n\n\n« Il faut être vraiment passionné par votre sport »\n\nPas plus tard que le mardi 31 janvier 2023, les supporters du Fenerbahçe ont largement montré au corps arbitral leur mécontentement, l’un d’entre eux s’est même mis sur leur chemin à la mi-temps, alors que son équipe perdait de 21 points contre Olympiakos et ne mettait pas un pied devant l’autre.\n\nSe faire huer, insulter, ou recevoir des briquets et autres pièces dans les salles de Grèce fait partie des légendes du basket. Les huées du public de Basket Landes lors de la dernière journée d’Euroleague Women le confirment, le décor est planté. Imaginez-vous devant 15 à 20 000 supporters en furie, qui ne vous laissent rien passer. « Il faut être vraiment passionné par votre sport », rappelle l’arbitre.\n\nÀ découvrir chaque mois – notre chronique «le mental dans le basket»\nEpisode 1 – Les bases de la préparation mentale\nEpisode 2 – La méditation, l’outil mystique de la performance\nEpisode 3 – Le périlleux exercice du lancer-franc\nEpisode 4 – Fonda-mental\nEpisode 5 – Ces détails qui n’en sont pas\nEpisode 6 – L’importance de nos perceptions\n\n\nLes incertitudes du règlement\n\nLe basket est également un sport qui change constamment. Certaines règles ont évolué, comme pour les fautes commises pour arrêter le jeu en transition qui sont désormais sanctionnées par une antisportive, mais d’autres restent incertaines. Prenez le départ direct, 95% du temps le joueur fera marcher en levant son pied d’appui avant de poser le dribble. Certains arbitres le sifflent plus régulièrement que d’autres et les joueurs ne savent pas toujours ce qui leur est permis ou pas.\n\nEn NBA, ce pas est légal, et sur les réseaux sociaux beaucoup le travaillent malgré l’infraction au règlement. Verrons-nous une évolution de la règle qui permettra le départ direct comme en NBA et donc favoriser l’attaquant ? Seul le temps nous le dira, mais ce qui est important aujourd’hui est d’avoir de la clarté par rapport à ce que le joueur peut, ou ne peut pas faire, pour que l’arbitre puisse agir en fonction.\n\nComme pour chaque entraîneur, joueur ou supporter, n’oubliez pas que l’arbitre est lui aussi un passionné qui joue un rôle majeur dans le bon déroulement des compétitions. Il se servira de chaque match comme une expérience pour devenir meilleur. Alors, la prochaine fois que vous assistez à un match, soyez compréhensif, et si vous le trouvez bon n’hésitez pas à le lui dire ou même l’applaudir, entre amoureux de la balle orange...\n\nNico BOURGADE\nCoach en performance mentale – Auteur du guide mental, «1 contre 1 avec toi-même» (disponible sur le site d’Amazon en format broché ou en e-book)\nMail: [email protected]\n\nPhoto : FIBA, montage Basket Europe
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Salaires Pro B 2022-23 – Angers: la belle surprise Akaemji Williams
Dans le top 8 à la mi-saison et finaliste de la Leaders Cup Pro B, Angers joue largement au-dessus de ses moyens. Son recrutement bon marché, Shawn Tanner en tête, et l’affirmation d’Akaemji Williams à ce niveau permettent à l’Étoile de briller.\n\n\n\nComme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.\n\n\n\nAngers – saison 2022-2023\nBudget : 1 871 000 euros (16e, NM1 l’an dernier)\nMasse salariale (brut) : 572 000 euros (18e)\nClassement après 18 journées : 9e (10-9)\n\nSoyons honnêtes, à l’occasion de nos prédictions de début de saison de Pro B, nous avions placé Angers au dernier rang de la division. C’était mal connaître la force de caractère, le nez des dirigeants et le talent des joueurs : voilà l’Étoile Angers Basket en position de se qualifier pour les playoffs à mi-saison. En plus d’une finale de la Leaders Cup que le club disputera le 19 février prochain contre Boulazac à l’Arena de Saint-Chamond !\n\nÀ notre décharge, l’EAB s’avançait sur la ligne de départ avec de très modestes moyens, disposant de la plus petite masse salariale du championnat, derrière même Aix Maurienne, l’usuel bonnet d’âne de la Pro B en la matière. Mais le novice à cet étage a su conserver les joueurs qu’il fallait de son exercice en NM1 et réaliser un recrutement astucieux.\n\n\n\n\nDes salaires de bas de tableau\n\nPour constituer son effectif, Angers a principalement misé sur des joueurs cherchant à confirmer et prêts à faire des sacrifices sur leur salaire. Ce qui explique qu’un Jonathan Augustin-Fairell coûte moins cher que la saison dernière à Chalon-sur-Saône alors que, pour le peu de joueurs ayant évolué en deuxième division la saison passée, l’augmentation est dérisoire.\n\nQuant à Ali Bouziane, il est tout simplement le coach avec l’avant-dernier salaire de Pro B, devant François Sence (Denain). Une preuve de plus qu’en deuxième division, ce ne sont pas toujours les plus riches qui réussissent.\n\n\nLes bonnes surprises Akaemji Williams et Shawn Tanner\n\nTout ce beau monde a su se hisser au niveau de la Pro B, du jeune Shawn Tanner, 21 ans et une première véritable saison pro de belle facture (8,0 d’évaluation) à Jonathan Augustin-Fairell (14,2 d’évaluation). Et comment ne pas mettre en avant Akaemji Williams, un meneur qui a débuté sa carrière professionnelle en NM2 avant de faire les beaux jours de l’EAB la saison dernière en NM1 ? Aujourd’hui en Pro B, l’Américain y affiche globalement les mêmes prestations qu’à l’étage inférieur (2e passeur du championnat avec 7,1 offrandes) pour un salaire de joueur moyen de la division.\n\nAvec pour épauler ces joueurs un Youri Golitin (anciennement Morose), un Yohan Choupas ou un Florian Léopold qui réalisent leur meilleure saison statistique, l’EAB a de quoi s’installer confortablement en Pro B et y jouer les trublions, en faisant mentir les pronostics de début de saison.\n\n\n\nJoueursNatSalaire 21/22ContratSalaire 22/23Jonathan Augustin-FairellUSA/BAH55 000 € (8 mois)202350 000 €Stephan GauthierFRA-202345 000 €Akaemji WilliamsUSA-202340 000 €Kevin LavieilleFRA-202336 000 €Youri Morose/GolitinFRA-202335 000 €Yohan ChoupasFRA27 000 €202430 000 €Florian LeopoldFRA30 000 €202330 000 €Michael AkuchieUSA/NIG-202325 000 €Shawn TannerFRA15 000 €202320 000 €Rosaire MalongaJFL-(7 mois)20 000 €Arthur MinkondaFRA-202415 000 €Ali Bouziane (coach)FRA/ALG-202440 000 €\n\n\n\nLes salaires sont en net annuel et en euros. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\n* Les contrats entre parenthèses sont ceux de joueurs partis du club\n\nPhoto : Akaemji Williams (LNB, montage Basket Europe)
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Nando De Colo (ASVEL) : «J’essaie de faire le maximum pour écrire l’histoire»
Nando De Colo a battu hier contre la Virtus Bologne le record de points du Grec Nick Galis en coupes d’Europe. Comme on pouvait l’attendre, il a commenté cet exploit avec sobriété.\n\n« Il y a une certaine fierté, mais j’étais d’abord venu là pour jouer un match d’Euroleague, rapporte Le Progrès. Je pense à mes proches, à tous ceux qui m’ont suivi durant ma carrière, à ma femme, à mes filles, qui savent très bien ce que ça représente. J’essaie de faire le maximum pour écrire l’histoire. Un jour, je me retournerai sur tout cela et c’est peut-être à ce moment-là que j’en prendrai le plus conscience. C’est sympa que ce soit arrivé sur un lancer-franc. C’est un clin d’œil. Avant de shooter, j’ai eu un peu le temps d’y penser et d’en faire un à ma femme ».\n\nLe problème, c’est que l’ASVEL a exposé des faiblesses récurrentes en attaque. Nando De Colo a marqué 20 points, mais les autres Villeurbannais au cumul en ont totalisé juste 44.\n\n« Ce soir, on a clairement manqué de concentration sur les détails qu’on avait bien précisés. T.J avait clairement dit que nous devions être ensemble. Nous l’avons été par moments, mais parfois nous étions trop dans du jeu individuel. Il y a des échéances qui vont arriver et il y a pas mal de choses à revoir. Cela passe par une prise de conscience individuelle. Le basket est fait d’erreurs, mais si on ne fait pas ce qu’il faut faire pour le coéquipier, c’est tout de suite plus compliqué. J’espère que les gars vont en prendre conscience, mais on ne va pas lâcher. »\n\nIl ne faut pas « lâcher » car demain dimanche se présente l’obstacle de la JDA Dijon, 4e du classement, alors que l’ASVEL, en cas de défaite, serait à même de sortir du top 8. Ca ferait vraiment désordre.\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=U9IZtmDNOgs&t=2s&ab_channel=SKWEEK\n\nPhoto : Infinity Nine Media
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Joel Embiid et les Bleus : 10 questions brûlantes
Le pivot des Sixers, Camerounais, Français et Américain, annoncera à la fin de la saison s’il décide de rejoindre une sélection nationale pour cet été et la Coupe du Monde FIBA. En attendant, on fait le point sur les sujets qui nous brûlent les lèvres.\n\nEst-ce que c’est moral ?\n\nTout de suite les grands mots. On parle ici de compétition sportive internationale donc laissons la morale en dehors du débat. Est-ce que c’est légitime ou acceptable ? Dans un monde idéal, Joel Embiid et Pascal Siakam auraient rejoint la sélection du Cameroun au cours des étés précédents pour les fenêtres de qualification à la Coupe du Monde et, comme Luka, Giannis, Jokic, Gobert, Lauri Markkanen et tant d’autres l’ont fait, sa participation aurait permis à coup sûr à son équipe de sortir des qualifications du continent pour la World Cup.\n\nEt le basket africain en serait sorti grandi. Embiid aurait pu jouer des matches à enjeux sur le territoire Camerounais, l’engouement aurait été énorme. Un vrai coup de développement pour le basket sur le continent mais aussi au niveau mondial. Un parcours du Cameroun à la Coupe du Monde 2023 similaire à celui du Maroc à la Coupe du Monde de foot 2022 aurait été fabuleux. Le monde dans lequel nous vivons est ce qu’il est, c’est-à-dire pas idéal, pour tout un tas de raisons.\n\nLa FIBA devrait-elle interdire les naturalisés ? Rappelons que le règlement de la fédération internationale est déjà très stricte avec seulement un naturalisé par équipe. En comparaison avec le handball par exemple – le Qatar vice-champion du monde en 2015 avec une équipe composée aux trois-quarts de naturalisés – le basket s’en sort très bien. Avec 212 pays membres de la fédération internationale et autant de lois différentes sur l’attribution des passeports, l’équilibre n’est pas facile à trouver mais au final, seuls les pays restent souverains sur l’attribution d’une nationalité. Si le débat se pose aujourd’hui pour Embiid, c’est que la France l’a reconnu comme un des siens.\n\nVa-t-il choisir la France ?\n\nImpossible à ce stade d’affirmer quoi que ce soit. Embiid possède désormais trois passeports. Cameroun, France, Etats-Unis. Mais dans sa dernière interview publiée sur le sujet dans L’Equipe, clairement, on sent que sa décision penche du côté de la France. Et la dernière fois que Boris Diaw a été interrogé, il semblait aussi confiant que, si Embiid rejoint un jour une sélection, ce soient les Bleus.\n\n2023 ou 2024 ?\n\nDans la culture du basket américain, qui est celle d’Embiid, les Jeux Olympiques représentent le sommet du basket international. Mais le nouveau format de la Coupe du Monde à 32 équipes a été une réussite formidable en Chine en 2019. De plus, après l’EuroBasket 2022 qui a présenté un plateau de superstar inédit, les plus grandes stars du basket mondial prouvent un grand attachement à leur sélection. La France devrait présenter une équipe très compétitive, Luka Doncic a annoncé sa participation, la porte est ouverte pour Giannis, Jokic, Sabonis, Porzingis. Chacun est conscient que la phase finale aux Philippines, dans un pays fou du basket et une Arena de plus de 50 000 spectateurs va constituer une expérience unique.\n\nEt si le Team USA ne vient pas avec une Dream Team version 2023, l’opportunité de gagner un titre mondial est réel pour une poignée d’équipes, dont les Bleus.\n\nEnfin, Vincent Collet a déjà annoncé qu’il considérait que 2023 et 2024 constituait un même bloc. Et donc, la porte de Paris passe peut-être par Manille, même pour un joueur du calibre de Embiid.\n\nVincent Collet a-t-il le choix ?\n\nMaintenant que le pivot des Sixers est officiellement Français, soyons clair. Collet est obligé de le sélectionner. Au-delà du débat « moral » abordé en première question, il ne peut pas ne pas sélectionner Embiid. Quels seraient les arguments d’un tel choix ? Il va déstabiliser l’équipe ? La victoire serait plus belle sans lui si le groupe en place depuis 2019 parvenait enfin à l’emporter après trois finales perdues ?\n\nUne seule réponse suffit à ces questions. Imaginons un instant que Collet se passe d’Embiid, partant du principe que sa raquette classique, renforcée par Victor Wembanyama suffise. Soit. Puis Gobert se blesse. Puis Wemby. Et le débat est alors tout autre. Non, si Embiid veut rejoindre les Bleus, Collet n’a pas le choix. Et mieux, on l’imagine ravi.\n\nDonc plus de Terry Tarpey ?\n\nEmbiid est donc désormais dans le roster. Cela veut donc dire que Terry Tarpey ne peut plus faire partie de l’équipe ? Pas du tout. Le héros des fenêtres de qualification et la révélation pour la France à l’Euro 2022 – dernier joueur à monter à bord puis intégration du cinq majeur en cours de compétition – n’est pas naturalisé, contrairement à ce qui avait pu être dit lors de son arrivée en Bleu. L’ailier du Mans dispose d’un passeport français depuis son plus jeune âge, précaution prise à l’époque par ses parents. Les derniers naturalisés à avoir joué pour les Bleus sont donc Alain Koffi (2017, 2009 et 2004), Joakim Noah (2011) et Tariq Kirksay (2007).\n\nPourquoi Evan Fournier a changé d’avis ?\n\n« T’es pas Français, t’es pas là. Bien sûr qu’il nous ferait du bien en équipe de France. Mais ce n’est pas le débat », avait déclaré de façon assez lapidaire Evan Fournier à l’été 2018 quand la question avait commencé à faire surface. « Il sera le bienvenu », a dit le même Fournier en janvier 2023. « On l’accueillera à bras ouverts. On sera très compétitifs avec l’ajout d’un nouveau big man. Quelque chose de spécial est en train de se construire. »\n\nSeuls les imbéciles ne changent pas d’avis ? Après la réaction épidermique – Fournier est connu pour son franc parler et aussi son attachement indéfectible au maillot Bleu – faut-il voir dans cette évolution un signe que l’idée devient de plus en plus concrète. Et qu’au sein des Bleus, des discussions sérieuses à ce sujet ont eu lieu ?\n\nQue va-t-il apporter ?\n\nJoel Embiid est en train de signer une saison de MVP NBA. Il évolue à un niveau similaire à Luka, Jokic, Giannis. Et on a pu voir ces dernières années quel impact des joueurs d’un tel talent ont sur une sélection nationale.\n\nLa France reste sur trois finales lors des trois dernières compétitions internationales majeurs. Autant la prestation des Bleus en 2021 à Tokyo avait été dominatrice, autant le parcours à l’Euro tient du miracle. Alors certes, Batum et De Colo devraient faire leur retour en 2023, mais avec deux ans de plus qu’à Tokyo, ce qui n’est pas un détail vu l’âge des capitaines. La France a montré en 2022 un gros déficit au niveau offensif. Création, talent pur, intelligence de jeu. La défense et la vaillance ont renversé des montagnes et les Bleus possèdent un réservoir de joueurs opérationnels très profond. Mais en termes de star power, elle est désormais loin de posséder une arme absolue de nombreuses autres nations.\n\nLe meilleur attaquant des Bleus – Evan Fournier – est aujourd’hui un joueur sorti de la rotation de sa franchise NBA. Si l’Espagne a prouvé qu’il est possible de gagner avec une bande de soldats, ce sera sans doute l’exception qui confirme la règle : pour gagner, il faut des superstars.\n\nVictor Wembanyama a le profil pour devenir un joueur de ce calibre, mais il n’a encore que 19 ans. Avec Joel Embiid, les Bleus récupérerait un des meilleurs attaquants du monde, un pivot au répertoire technique impressionnant. Un point de fixation au poste bas sans équivalent dans le monde. De quoi régler une bonne partie des problèmes de la France.\n\nEst-ce qu’il peut perturber le collectif ?\n\nOui. S’il venait, beaucoup questions se posent alors. Comment s’intégrerait-il dans le fonctionnement du groupe France où la discipline est forte, où les règles de vie sont acceptées par les joueurs ayant connus les équipes de jeunes ? Ce mode de vie contraignant est-il compatible avec une superstar NBA qui n’a pas partagé cette culture dès le plus jeune âge ? D’autant plus que le bonhomme affiche une personnalité exubérante ?\n\nSur le terrain, l’adaptation au jeu FIBA présente toujours un challenge. Les défenses sont plus denses, les ajustements de règles, l’importance de chaque possession, les matches couperets. L’identité de l’équipe de France s’est toujours construite en défense. Embiid peut-il se mettre au service du collectif ? Plus globalement, est-il prêt à partager, à ne pas scorer nécessairement 30 points par match.\n\nEmbiid en 4, Gobert en 5 et Wemby en 3 ?\n\nLe fantasme absolu. Un frontcourt terrifiant. Vincent Collet lui-même l’a évoqué lors du dernier rassemblement des Bleus, avec un sourire certes mais... Gobert et Embiid sont très complémentaires car le Sixer dispose d’un tir à trois-points très fiable. Wemby peut jouer n’importe où. Ces trois-là offrent de multiples options à l’intérieur. Mais est-il envisageable de les aligner en même temps ? Sur la dernière fenêtre de qualification à la Coupe du Monde, Collet a fait jouer Wemby au poste 3 contre la Bosnie pendant deux minutes aux côtés d’Alexandre Chassang et Yoan Makoundou.\n\nL’équipe manquerait certainement un peu de mobilité et peut être aussi un peu d’adresse – quoi que – mais présenterait une taille et une densité physique inégalée dans l’histoire du basket mondial.\n\nAvec lui, les Bleus sont-ils évidemment favoris ?\n\nOui. Il faut voir le reste du roster présenté par les Bleus mais sauf catastrophe, avec Embiid, la France serait favorite en 2023 et sans doute même en 2024. Reste alors la question de son intégration, évidemment, mais impossible alors de se cacher. Fournier et Gobert affirment depuis des années ne plus viser que l’or, quelle que soit la compétition. Avec Embiid, impossible d’annoncer autre chose.\n\n[adsence2]\n\nPhoto : NBA
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Loïc Akono et le club de Metz ont déposé des plaintes contre X
Loïc Akono et son club des Canonniers de Metz ont déposé trois plaintes contre X suite aux propos racistes proférés par un spectateur lors d’un match de Nationale 2 à Charleville-Mézières.\n\nEn plein match, un spectateur avait insulté Loïc Akono en lui criant « Relève-toi bonobo » (NDLR : Un bonobo est un Chimpanzé nain ou Chimpanzé pygmée). Le parquet de Charleville-Mézières avait ouvert ensuite une enquête préliminaire et la FFFB a décrété à titre conservatoire un huis clos pour tous les matches à domicile du club de Charleville-Mézières. Par ailleurs, Loïc Akono a reçu un très large soutien du monde du basket.\n\n« Pour nous, dans cette affaire, il y a une dimension à la fois collective et individuelle », a commenté l’avocat Me Xavier Iochum auprès de l’AFP. « C’est bien qu’une enquête ait été ouverte mais pour le joueur lui-même, c’est bien qu’on puisse aussi investiguer sur les injures racistes qui lui ont été personnellement adressées, avec l’espoir que cela débouche » sur un procès. »\n\nPhoto : Canonniers de Metz
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LFB : Laetitia Guapo prolonge jusqu’en 2026 avec Bourges
Bourges a repoussé Roche-Vendée (77-56) et Laetitia Guapo (1,84 m, 27 ans) a annoncé à l’issue du match qu’elle a signé un nouveau contrat pour le club du Cher jusqu’en 2026.\n\nLaetitia Guapo est arrivée à Bourges en 2020 en provenance de Charnay. Si elle s’est fait un nom au niveau mondial grâce au 3×3, ce qui lui a notamment permis de se voir attribuer le Trophée Alain Gilles en 2022, elle performe également en 5×5. Elle a ainsi marqué 12 points hier face à Roche Vendée.\n\n« On a fait dix matches en un mois. Je ne sais pas si les gens se rendent compte mais ça fait un match tous les deux ou trois jours, a t-elle commenté. C’était un dur mois de janvier avant de partir en trêve, mais je crois que l’on a quand même rempli l’objectif. Ce soir, on peut voir encore que l’on ne lâche rien, même si elles nous font un peu déjouer dans le deuxième quart-temps, on répond présentes. »\n\n\nLaëtitia Guapo prolonge jusqu'en 2026 avec les Tango ! #FiertéTango pic.twitter.com/jA8l9W66Tl\n\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) February 3, 2023\n\n\nPhoto : FIBA
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Pour Jean-Denys Choulet, Kadri Monedadze est «pas loin d’être le meilleur au qualité-prix au niveau de la ligue»
Avec sa nouvelle victoire (la 11e) sur Nancy (98-95), la Chorale de Roanne s’installe pour durer dans le top 8.\n\nLa Chorale de Roanne a longtemps très bien mené son affaire avec 28 passes décisives et encore un 13/26 à trois-points. De quoi lui permettre de mener 80-64 à la 29e minute. Mais elle s’est laissée endormir tout d’un coup et un 0-11 a permis au SLUC de revenir totalement dans le match.\n\nC’est finalement le discret Kyle Foster qui lui a permis de conserver le gain du match d’un panier à 4 dixièmes du buzzer.\n\n« Je pense que l’on peut gagner ce match là dix fois avant, sans se faire peur, » a commenté le coach de la Chorale, Jean-Denys Choulet. Malheureusement, on n’apprend pas toujours de nos erreurs. On a fait un peu la même chose à Nancy avec un meneur qui nous en a mis deux dans le money time, et là on a fait pratiquement la même chose. Ce qui m’agace fortement -même si je suis très heureux d’avoir gagné ce match face à une équipe de Nancy qui n’a plus rien à voir avec ce qu’elle était-, c’est qu’on n’a plus joué collectivement les 6-7 dernières minutes alors qu’on fait ça très, très bien tout le match. Je ne sais pas pourquoi, les 6-7 dernières minutes, on fait n’importe quoi. On dribble sur place, on fait des pick and roll à deux n’importe quoi. Ce n’est pas notre jeu. Au lieu de nous reposer sur nos système de jeu quand c’est important, on commence à faire du un-contre-un, n’importe quoi. »\n\nJD Choulet a rendu un hommage appuyé à l’arrière-ailier, originaire de Mayotte, Kadri Monedadze (1,91 m, 29 ans), qui a compilé 15 points, 6 rebonds et 3 passes.\n\n« Ce soir, Kadri a été très très bon. Je pense que ce n’est pas loin d’être le meilleur au qualité-prix au niveau de la ligue. Tant mieux ! Pour nous surtout. Pour lui ça viendra certainement après. »\n\nPhoto : Kadri Monedadze (Chorale)
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Strasbourg échoue au Portel – Paul Lacombe : «il y avait de la fatigue ce soir»
Auteure d’une belle performance à Dijon pour le compte de la BCL (72-85), la SIG Strasbourg n’a pas réussi à clôturer victorieusement sa semaine. La faute à une équipe du Portel qui s’éloigne un peu plus des deux dernières places fatidiques (82-71).\n\nIl faut encore mettre en avant la performance de Nadir Hifi, auteur de 24 points, 8 rebonds et 5 passes pour 31 d’évaluation. Un autre Français, Paul Lacombe (16 points, 20 d’évaluation) a réussi sa soirée, ce qui n’a pas été le cas de tous ses équipiers alsaciens. DeAndre Lansdowne est ainsi sorti du terrain avec 1 d’évaluation.\n\n« Malgré tout ce qu’on peut dire, il y avait de la fatigue ce soir et ça s’est ressenti, a commenté celui après le match. Par exemple, depuis que je suis de retour au club, je n’ai jamais vu Dre (DeAndre Lansdowne) rater ses deux lancers francs. L’énergie a manqué ce soir. Mais on connaissait le rythme. On est venu à Strasbourg pour jouer deux matchs par semaine. On sait qu’on doit enchaîner les matchs et qu’on doit être prêt. Ce soir, on ne l’était pas. A l’inverse, Le Portel s’est battu et ils méritent totalement leur victoire. Avec un début de saison comme le nôtre, on ne peut pas se permettre de faire ce genre de match. On doit au moins se battre et être compétitif et ce soir on n’a même pas eu à un moment donné une chance de gagner. Il y a des blessés, c’est vrai, mais on ne va pas s’apitoyer sur notre sort. Ce soir, nous n’étions pas dans le match et il faudra l’être pour les prochains. C’est vrai qu’on n’a pas eu beaucoup de temps pour préparer ce match. J’ai entendu le coach qui parlait de la balle perdue en début de match. On peut manquer d’énergie sur l’enchaînement des actions, perdre à la bagarre aux rebonds, mais les balles perdues bêtement : on ne peut pas se le permettre. »\n\nPhoto : FIBA
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377 108 licenciés en Espagne, contre 678 482 en France
La Fédération espagnole a clôturé le décompte du nombre de licences pour l’année 2022 avec des chiffres légèrement supérieurs à ceux de 2019, avant la pandémie de Covid.\n\nLe nombre total de licenciés est de 377 108. Un chiffre qui est légèrement supérieur à celui de 2019-20, 376 352. Chez les garçons, il est passé de 245 813 en 2019 à 173 962 en 2020 pour remonter à 246 464 la saison dernière. Chez les filles, la tendance est similaire. De 130 539, il est tombé à 98 483 et il s’est redressé à 130 644. Un chiffre qui place le basket-ball comme le sport avec le plus de licences féminines dans toute l’Espagne.\n\nPar Communautés autonomes, le classement est toujours mené par Madrid (79 455), la Catalogne (74 947), la Communauté valencienne (41 470), le Pays basque (34 748) et l’Andalousie (29 340).\n\nA titre de comparaison, il y avait 678 482 licenciés à la FFBB à l’issue de la saison 2021-22 et le nombre de licenciés dans un club est monté cette saison à 580 888 dont 197 726 féminines. Il faut rappeler aussi que la population de l’Espagne est de 47,4 millions contre 67,7 millions en France\n\nPhoto : FIBA
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Basket Landes : Jillian Harmon prolongée jusqu’à la fin de la saison
Revenue au club en tant que pigiste médicale de Clarince Djaldi-Tabdi, l’américano-néo-zélandaise Jillian Harmon (1,85 m, 35 ans) a vu son contrat avec Basket Landes prolongé jusqu’à la fin de la saison.\n\nEn Ligue Féminine, Jillian Harmon a apporté 3,6 points et 5,3 rebonds en 9 matches, et 5,6 points et 4,2 rebonds en 9 matches d’Euroleague.\n\n“On est hyper contents de pouvoir garder Jillian jusqu’à la fin de l’année. Elle a montré dès son arrivée sa solidité, son intelligence, son apport défensif... C’est une joueuse sur laquelle on peut s’appuyer et une personne qui est très attachée au club”, a commenté la coach Julie Barennes.\n\nPhoto : FIBA
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Les 6 infos de la semaine : Nando De Colo dans la légende des coupes d’Europe
Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 29 janvier au 4 février.\n\nToute l’année, Basket Europe vous informe hebdomadairement de l’actualité du basket français et européen à travers la rubrique «les 6 infos de la semaine» en accès gratuit.\n\n\nNando De Colo devient le meilleur marqueur de l’histoire des Coupes d’Europe !\n\nCe vendredi 3 février 2023, Nando De Colo est entré un peu plus dans la légende du basket européen. Contre la Virtus Bologne, le Villeurbannais est devenu le meilleur marqueur de l’histoire des coupes d’Europe en dépassant le légendaire Nick Galis (4 904 points). Le Nordiste était déjà devenu le troisième joueur de l’histoire à dépasser les 4 000 points inscrits en Euroleague en décembre dernier. À 35 ans et sous contrat à Villeurbanne jusqu’en 2024, il a encore le temps d’aller chercher le record all-time des meilleurs marqueurs de l’Euroleague. Un classement dominé par le Grec Vassilis Spanoulis (4 455 points).\n\n\nEuroleague : l’ASVEL s’éloigne un peu plus des playoffs\n\nLa longue semaine des deux représentants français de l’Euroleague avait débuté par un choc l’un contre l’autre en Betclic Elite. Un duel remporté par la Roca Team à l’Astroballe. L’ASVEL a ensuite concédé deux revers de rang, le premier à Belgrade contre le Partizan, le second à la maison face à la Virtus Bologne. À l’inverse, Monaco a sécurisé une très belle victoire à Berlin mais a manqué le coche – de peu – contre le Real Madrid. L’équipe de T.J. Parker pointe à l’avant-dernier rang (8-15) et, à l’inverse, celle de Sasa Obradovic à la 4e place ex-aequo (14-9) à 11 journées de la fin. Prochain duel européen : Monaco – ASVEL, vendredi prochain, sur le Rocher.\n\n\nCoupes d’Europe : Strasbourg s’offre Dijon en top 16 de BCL, zéro pointé en Eurocup\n\nSemaine délicate pour les clubs français dans les diverses coupes d’Europe. En Eurocup, Bourg s’est fait surprendre à domicile par Brescia et le Paris Basketball s’est incliné dans les grandes largeurs sur le parquet de Gran Ganaria. En BCL, Limoges n’a pas fait le poids contre Malaga. Seule la SIG Strasbourg l’a emporté – avec un excellent Paul Lacombe -... dans le duel 100 % français du top 16 à Dijon. Déjà qualifié pour les quarts mais vainqueur sans briller en Roumanie, Cholet jouera la première place de son groupe de FIBA Europe Cup à la Meilleraie mercredi prochain.\n\n\nEurocup féminine : trois équipes au rendez-vous des quarts de finale\n\nComme l’année dernière, il y aura trois équipes françaises en quarts de finale de l’Eurocup féminine : Villeneuve d’Ascq, Angers et l’ASVEL. Les deux dernières citées, vainqueurs respectifs des Belges de Braine et des Roumaines de Sepsi, se défieront au prochain tour. C’est en revanche terminé pour Charleville-Mézières et Lattes-Montpellier. À noter qu’en Euroleague féminine, Basket Landes est désormais lanterne rouge de son groupe mais que Bourges reste en course pour les playoffs avant un duel crucial en Pologne qui aura lieu après la trêve internationale.\n\n\nPropos racistes envers Loïc Akono : Charleville-Mézières écope d’un huis clos total\n\nDimanche dernier, Loïc Akono, double champion de France de Pro B évoluant désormais en NM2 à Metz, a été visé par des propos racistes descendant des gradins de Charleville-Mézières. Un spectateur l’avait traité de « bonobo » à plusieurs reprises. Mise au fait, la fédération française a réagi en ouvrant un dossier disciplinaire puis en prononçant, sur décision de sa commission de discipline, le huis clos total des matches de Charleville-Mézières à domicile en NM2. Une mesure à titre conservatoire.\n\n\nC’est parti pour le dossier salaires Pro B !\n\nAprès vous avoir révélé les salaires des joueurs et coachs de la première division, la rédaction de Basket Europe dévoilera ceux de la deuxième division durant la première quinzaine du mois de février. À compter de samedi, vous pourrez découvrir les salaires de la saison 2022-2023 pour deux équipes par jour, par ordre alphabétique. Pour découvrir le mode d’emploi, c’est ici !\n\nLa liste des articles de notre dossier salaires de Betclic Elite\nClub par club\nBlois : la barre des 100 000 euros franchie, une première\nBoulogne-Levallois (Metropolitans 92) : Wemby, l’affaire du siècle\nBourg : une trouvaille nommée James Palmer\nCholet: Laurent Vila – Dominic Artis, duo de choc\nDijon : Markis McDuffie, facteur X\nFos: Allan Dokossi tient la baraque\nGravelines-Dunkerque: le rebond Laurent Legname\nLe Mans: Terry Tarpey, mini prix et donne le maximum\nLe Portel: Hifi des idées de génie\nLimoges: le CSP surfe sur la vague Cancellieri\nLyon-Villeurbanne (ASVEL) : Nando De Colo, premier millionnaire français\nMonaco: Tous les records sont battus\nNancy : Mike Scott, la surprise du chef\nNanterre : Sur les sables mouvants\nParis: Ismaël Kamagate, un joyau à bon prix\nPau: L’âge de raison\nRoanne : March attaque\nStrasbourg: l’effet Luca Banchi\n\nNos analyses\nLes coachs : Sasa Obradovic et les autres\nTop 20 : Victor Wembanyama loin derrière les millionnaires\nTop 5 par poste : Monaco et l’ASVEL – presque – seuls au monde\nTop-Flop JFL : L’extraordinaire rentabilité de Nadir Hifi\nTop-Flop JNFL : Emmanuel Nzekwesi très rentable, Brynton Lemar beaucoup moins\n\n\nMais aussi...\n\n * [Abonnés] À la découverte de l’Adidas Arena, en chantier avancé pour accueillir le Paris Basketball\n * [Abonnés] Top 20 Salaires Betclic Elite : Victor Wembanyama loin derrière les millionnaires\n * Les Français des Etats-Unis : Rudy Gobert sort de l’ombre, Killian Hayes dans la lumière\n * Les Français de l’étranger : Timothé Luwawu-Cabarrot fait sa place à Milan\n * Quand l’ADA Blois met en vente... des maillots de Victor Wembanyama !\n * Décès de Thierry Rupert : la responsabilité d’un médecin établie\n * TV : le top 8 de la Coupe de France sur MCS Basket\n\n[adsence2]\n\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. 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